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RECHERCHONS DESPERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 29 OCTOBRE 2018 - JEAN 18-19


misette

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JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

Recherchons des perles spirituelles (8 min) : JEAN 18-19

Jean 19:30 : Que signifie l’expression « Jésus [...] rendit son esprit » ? (nwtsty).

« Quand il eut pris le vin aigre, Jésus dit : « Cela s’est accompli ! » et, inclinant la tête, il rendit son esprit »

Il rendit son esprit : ou « il expira », « il cessa de respirer ». Le terme « esprit » (grec pneuma) peut désigner ici le « souffle » ou la « force vitale ». Cette compréhension est en harmonie avec l’emploi du verbe grec ékpnéô (litt. « rendre un souffle ») dans les versets parallèles Marc 15:37 et Luc 23:46 (où il est rendu par « expira » dans le texte et par « rendit son dernier souffle » dans la note). Certains pensent que l’emploi du terme grec traduit par « rendit » signifie que Jésus a volontairement arrêté de lutter pour rester en vie, car tout s’était accompli. Quoi qu’il en soit, il a volontairement « répandu sa vie jusqu’à la mort » (Is 53:12 ; Jean 10:11). – nwtsty

Jésus confia  sa vie à Jéhovah, convaincu qu’il allait le ressusciter. Avec une pleine confiance en son Père, Christ inclina la tête et mourut. – jy chap132

Jean 19:31 : Quelle preuve a-t-on que Jésus est mort le 14 nisan 33 de notre ère ? (nwtsty).

« Comme c’était le jour de la Préparation, les Juifs demandèrent à Pilate de faire briser les jambes des suppliciés et de faire enlever les corps, pour que les corps ne restent pas sur les poteaux de supplice le sabbat (car ce sabbat était un grand sabbat) »

Ce sabbat était un grand sabbat : Le 15 nisan était le lendemain de la Pâque et, peu importe le jour de la semaine où il tombait, ce jour était toujours un sabbat (Lv 23:5-7). Quand ce sabbat spécial coïncidait avec le sabbat hebdomadaire (c’est-à-dire le septième jour de la semaine juive, qui débutait le vendredi au coucher du soleil et s’achevait le samedi au coucher du soleil), c’était « un grand sabbat ». Le lendemain de la mort de Jésus était un grand sabbat, la mort de Jésus a donc eu lieu un vendredi. La seule année entre 31 et 33 de n. è. où le 14 nisan était un vendredi est l’année 33. Ce fait vient appuyer la conclusion que Jésus a dû mourir le 14 nisan 33. – nwtsty

Chez les Juifs, chaque semaine, le samedi était un jour de repos qu’on appelait sabbat. Le lendemain de la Pâque, le 15 Nisan, était le premier jour de la fête des Gâteaux sans levain. C’était aussi un sabbat. Quand 2 sabbats tombaient le même jour, on appelait ce jour un « grand » sabbat. En l’an 33, le 15 Nisan a été un grand sabbat parce que c’était un samediTG2013  15/12 p17

On peut encore avancer une autre preuve pour démontrer que le ministère de Jésus a bien duré trois ans et demi. Le texte de Jean 19:31 nous permet de conclure que Jésus est mort un vendredi, car il indique que le lendemain était un “grand” sabbat. En effet, quand le sabbat hebdomadaire correspondait au premier jour de la fête des gâteaux non fermentés, fête qui durait une semaine, lequel premier jour était lui aussi un sabbat, il s’agissait logiquement d’un “grand” sabbat (Lév. 23:6, 7). Or, la Pâque, quatorzième jour de Nisan, n’est tombée un vendredi ni en 31 ni en 32, mais en 33. C’est donc bien le 14 Nisan de l’an 33 que Jésus est mort, ce qui fait que son ministère a duré trois ans et demi. – TG1976  15/10 p630

Une autre date certaine des Écritures grecques est celle du 14 Nisan de l’an 33, jour où Jésus fut cloué au bois. Les Écritures montrent pertinemment, dans Jean 19:31, que Jésus est mort un jour correspondant à notre vendredi, car le lendemain (15 Nisan), est-il dit, était un grand sabbat. Cela signifie que deux sabbats légaux tombaient sur le même samedi : 1le sabbat hebdomadaire juif, selon Exode 20:10, et 2selon la loi mosaïque, le 15 Nisan devait être un jour de repos, quel que fût le jour sur lequel il tombait, comme l’indique Lévitique 23:6, 7. Ce double sabbat ayant lieu le même jour ne se produisait qu’à des intervalles de quelques années. Cela indique que, selon les Écritures, Jésus mourut un vendredi après-midi. TG1955  15/6 p190

Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

Jésus Christ prenait plaisir à louer Jéhovah publiquement — dans les synagogues, lors des fêtes au temple de Dieu à Jérusalem, et avec ses disciples (Jean 18:20). Quelle joie, quel privilège, d’imiter Jésus en louant Jéhovah à chaque occasion avec nos compagnons, et ce particulièrement maintenant que nous ‘ voyons approcher le jour ’ ! – TG2007  1/3 p23 §14

La Bible est franche sur les faiblesses d’humains dont Jéhovah s’est autrefois servi pour diriger son peuple. Par exemple, Pierre, bien qu’ayant reçu une importante responsabilité dans la congrégation chrétienne du Ier siècle, il a commis de graves erreurs (Jean 18:27). Depuis Adam et Ève, aucun humain excepté Jésus n’a été parfait.

Pourquoi Jéhovah a-t-il veillé à ce que les rédacteurs bibliques rapportent les erreurs d’hommes qu’il avait investis d’une autorité ? Pour montrer, entre autres choses, qu’il est capable de guider son peuple au moyen d’humains imparfaits. Il a d’ailleurs toujours procédé de cette manière.  TG2013  15/11 p25 §12,13

Jéhovah accorde-t-il de l’importance aux détails ? Tout à fait. Réfléchissez à ceci : Dans l’Antiquité, les Israélites avaient reçu l’ordre de ne briser aucun os de l’agneau pascal (Exode 12:46). Ce n’était peut-être qu’un détail. D’ailleurs, comprenaient-ils pourquoi ils ne devaient pas briser un seul de ses os ? Probablement pas. Mais Jéhovah savait que ce détail prédisait que lorsque le Messie serait mis à mort sur le poteau de supplice, pas un seul de ses os ne serait brisé (Jean 19:31-33, 36).

Que nous enseignent les paroles de Jésus ? Que nous aussi nous pouvons être pleinement confiants dans le fait que toutes les promesses de Jéhovah se réaliseront jusque dans les moindres détails. – wp2017 n°4 p13

Lorsqu’il est passé en jugement devant Ponce Pilate, Jésus a dit : “ Mon royaume ne fait pas partie de ce monde. Si mon royaume faisait partie de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour que je ne sois pas livré aux Juifs. Mais voilà, mon royaume n’est pas d’ici. ” (Jean 18:36). Jésus savait qu’il deviendrait un jour un Roi céleste et qu’il ne serait pas intronisé par des humains, mais par Jéhovah.  Le Royaume est le moyen par lequel le nom de Jéhovah sera sanctifié, sa souveraineté justifiée et sa volonté faite sur la terre comme dans le ciel – TG2002  1/11 p15-16 §5

Et Marie ? A-t-elle encore été honorée par la suite ? Jéhovah a-t-il continué à la récompenser d’élever Jésus et d’en prendre soin ? Oui. Il a veillé à ce que certaines de ses paroles et de ses actions soient rapportées dans la Bible. Apparemment, Marie n’a pas pu accompagner Jésus pendant les trois ans et demi où il a prêché. Elle est donc passée à côté de belles expériences. Quoi qu’il en soit, elle a pu être avec Jésus lorsque celui-ci est mort (Jean 19:26). Et, plus tard, quand l’esprit saint a été répandu sur les disciples lors de la Pentecôte, elle était présente (Actes 1:13, 14). Par conséquent, elle a sûrement été ointe comme les autres disciples. Si c’est le cas, elle a reçu la possibilité de vivre au ciel avec Jésus pour toujours. Quelle belle récompense pour son service fidèle ! – TG2018 Juillet p10 §14

Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

Notre modèle, Jésus, a fait preuve de hardiesse de bien des manières. Par exemple, malgré la haine de ceux qui détenaient pouvoir et influence, il n’a pas adouci le message que Dieu voulait transmettre aux humains. Il n’a pas craint de dénoncer les faux enseignements des puissants chefs religieux, imbus de leur propre justice. Il leur a déclaré sans détour qu’ils étaient condamnés. Face à une troupe de soldats, dans le jardin de Gethsémané, Jésus a courageusement dit qui il était (Jean 18:3-8). Plus tard, amené devant le Sanhédrin, il n’a pas hésité à affirmer qu’il était le Christ et le Fils de Dieu, même s’il savait que le grand prêtre qui l’interrogeait cherchait une occasion de le condamner à mort. Voilà qui réclamait bien du courage ! Cela étant, Jésus a déclaré à Pilate : “ C’est pour ceci que je suis né, et c’est pour ceci que je suis venu dans le monde : pour rendre témoignage à la vérité. ” (Jean 18:37). Jéhovah avait mandaté Jésus pour prêcher la bonne nouvelle, et Jésus était heureux de le faire parce qu’il aimait son Père céleste. . Par ailleurs, Jésus aimait profondément les gens. Il savait que leur vie n’était pas facile. C’est parce que, nous aussi, nous aimons Dieu et notre prochain que nous prêchons avec hardiesse.  TG2009  15/7 p23 §9,10

Tout au long de son ministère, Jésus a fait preuve d’un courage remarquable. La nuit précédant sa mort, lorsqu’on est venu l’arrêter, il s’est de suite fait connaître aux soldats afin de protéger ses disciples : “ Si [...] c’est moi que vous cherchez, laissez aller ceux-ci. ” (Jean 18:8). Quelques instants plus tard, il a demandé à Pierre de ranger son épée, montrant par-là que son courage ne reposait pas sur les armes, mais sur Jéhovah. — Jean 18:11. Jésus n’a pas eu peur de démasquer les chefs religieux impitoyables et la fausseté de leurs enseignements. Tous les disciples de Jésus auront inévitablement des épreuves. Pour y résister, chacun de nous doit affermir sa foi. Le courage de Jésus n’était pas simplement de la bravoure ; c’est surtout la foi qui lui donnait du courage. Nous aussi, nous puiserons notre courage dans la foi. Il nous faut pour cela, comme Jésus, nourrir notre esprit des enseignements qui constituent le fondement de la foi en lisant et en étudiant la Bible chaque jour, et aussi en assistant aux réunions. . Il nous faut également méditer, c’est-à-dire soumettre ces enseignements à une longue et profonde réflexion ; c’est ainsi que nous les faisons pénétrer dans notre cœur. Pour avoir le courage d’agir, nous devons posséder une foi vivante. Il nous faut donc demander à Dieu de nous accorder son esprit saint, car la foi est une facette du fruit de cet esprit – TG2009  15/9 p14 §12-16

Peu avant sa mort, il a répondu à des chefs religieux juifs qui l’interrogeaient sur ses méthodes d’enseignement: “C’est au grand jour que j’ai parlé au monde. J’ai toujours enseigné en synagogue et dans le temple, où se réunissent tous les Juifs; et je n’ai rien dit en secret.” — Jean 18:20.

Nous pouvons noter que le message de Jésus s’adresse à un bien plus vaste auditoire que les seuls habitants de la Palestine? Il intéresse le monde entier. Jésus n’a pas dit: ‘J’ai parlé à tout le peuple’, c’est-à-dire à tous les Juifs. Dans un but prophétique, il a plutôt choisi d’employer le terme “monde”. Ainsi, Jésus ne prêchait pas une doctrine ésotérique; son message était universel. – RV1988  8/11 p19

Le grand prêtre Anne a passé outre à la règle selon laquelle les accusations capitales devaient être jugées de jour, et non de nuit. De plus, tout examen des faits aurait dû avoir lieu en audience publique, et non à huis clos. Sachant que l’interrogatoire d’Anne était illégal, Jésus lui a répondu : “ Pourquoi m’interroges-tu ? Interroge ceux qui ont entendu ce que je leur ai dit. Écoute ! Ceux-là savent ce que j’ai dit. ” (Jean 18:21). Anne aurait dû questionner les témoins, plutôt que l’accusé. La remarque de Jésus aurait poussé un juge honnête à respecter la procédure prévue, mais Anne ne se souciait pas de la justice. – TG2011  1/4 p19

Pourquoi Jésus a-t-il dit : « Ne pensez pas que je sois venu mettre la paix » ? Parce qu’il voulait aider certains de ses auditeurs à comprendre qu’en devenant ses disciples, ils auraient des difficultés. En effet, son message pouvait diviser les gens. Évidemment, son intention était de proclamer la vérité de Dieu, pas de briser des familles (Jean 18:37). Mais ce serait difficile pour les disciples d’obéir fidèlement à ses enseignements si leurs amis ou leurs proches rejetaient la vérité.

Jésus a montré que l’opposition familiale faisait partie des souffrances que ses disciples devaient être prêts à subir. Pour être dignes de lui, c’est-à-dire pour lui plaire, ses disciples ont supporté que leurs proches se moquent d’eux ou même les rejettent. Mais ils ont gagné beaucoup plus qu’ils n’ont perdu.

Si des proches s’opposent à notre choix d’adorer Jéhovah, nous les aimons quand même. Mais nous devons rester conscients que notre amour pour Jéhovah et Jésus passe avant tout. Nous devons aussi rester conscients que Satan pourrait utiliser notre affection pour notre famille pour briser notre fidélité à Jéhovah. – TG2017 Octobre p13 §3,4

 Qu’est-ce que la vérité ? ” - C’est le gouverneur romain Ponce Pilate qui, d’un ton désabusé, a posé cette question à Jésus. Il ne cherchait pas de réponse, et Jésus ne lui en a pas donné. Pilate pensait sans doute que la vérité était trop difficile à saisir. — Jean 18:38. Cette attitude dédaigneuse à l’égard de la vérité se retrouve chez beaucoup de nos contemporains, y compris des chefs religieux, des enseignants et des hommes politiques. Ils pensent que la vérité, particulièrement dans les domaines moral et spirituel, n’est pas absolue, mais relative et changeante. Cela sous-entend que chacun peut déterminer par lui-même ce qui est bien et ce qui est mal. Cela autorise aussi à rejeter, sous prétexte qu’elles seraient périmées, les valeurs et les normes morales respectées par les générations précédentes. – TG2007 1/10 p32 

Rendre témoignage à la vérité.  Lorsque Pilate lui demanda : “ Alors, tu es un roi ? ” Jésus lui répondit : “ C’est toi qui dis que je suis un roi. C’est pour ceci que je suis né, et c’est pour ceci que je suis venu dans le monde : pour rendre témoignage à la vérité. Tout homme qui est du côté de la vérité écoute ma voix. ” (Jean 18:37). La vérité à laquelle Jésus rendit témoignage n’était pas simplement la vérité en général. C’était la vérité capitale sur ce qu’étaient et ce que sont les desseins de Dieu, vérité fondée sur une réalité fondamentale : la volonté souveraine de Dieu et sa capacité d’accomplir cette volonté. Par son ministère, Jésus révéla que cette vérité renfermée dans le “ saint secret ” est le Royaume de Dieu qui a pour Roi-Prêtre sur le trône Jésus Christ, le “ fils de David ”Jésus ne devait pas simplement parler, prêcher et enseigner. En plus de s’être dépouillé de sa gloire céleste pour naître en tant qu’homme, il lui fallait accomplir toutes les prophéties le concernant, dont les ombres, ou modèles, contenues dans l’alliance de la Loi. Pour confirmer la véracité de la parole et des promesses prophétiques de son Père, Jésus était tenu de vivre de façon à faire que cette vérité devienne réalité, l’accomplissant par ses paroles et par ses actions, par son mode de vie et par la manière dont il mourrait. En un mot, il devait être la vérité, en quelque sorte l’incarnation de la vérité, comme lui-même affirma l’être. - it-2 p26

Jésus, notre Modèle - De tous ceux qui ont servi Dieu animés d’un sentiment d’urgence, Jésus Christ est assurément le plus bel exemple. Il faut dire qu’il avait seulement trois ans et demi devant lui, et tant à faire ! Il a pourtant accompli plus de choses que n’importe qui d’autre en faveur du vrai culte. Il a fait connaître le nom et le dessein de son Père, prêché la bonne nouvelle du Royaume, dévoilé l’hypocrisie et les faux enseignements des chefs religieux, et défendu la souveraineté de Jéhovah au point de le payer de sa vie. Tandis qu’il parcourait le pays, il n’a jamais ménagé ses efforts ; il enseignait les gens, il les aidait et les guérissait. Personne n’en a jamais fait autant en un laps de temps si court. Personne ne s’est investi comme lui.  Jean 18:37.- TG2010  15/12 p9 §5

Le type de flagellation qu’on lui a infligé provoquait, dit-on, “ des déchirures longues et profondes qui saignaient abondamment ”. On l’a cloué à un poteau, mode d’exécution qui entraînait “ une mort lente dans un maximum de souffrances ”. Essayez d’imaginer la douleur atroce qu’il a ressentie quand on lui a transpercé les mains et les pieds avec de grands clous (Jean 19:1, 16-18). Et celle, indicible, qui l’a submergé quand on a redressé le poteau, que tout son corps s’est trouvé suspendu aux clous et que son dos lacéré est venu racler le bois rugueux. Et n’oublions pas qu’il a enduré ce supplice, alors qu’il était en proie à l’accablement moral.

Que pourrions-nous avoir à endurer, nous qui suivons le Christ ? Jésus a dit : “ Si quelqu’un veut venir à ma suite, qu’il [...] prenne son poteau de supplice et me suive continuellement. ” (Matthieu 16:24). Le “ poteau de supplice ” désigne ici la souffrance, la honte, voire la mort. Suivre le Christ n’est pas la voie de la facilité. Nos principes chrétiens nous rendent différents. Comme nous ne faisons pas partie du monde, il a de la haine pour nous. Néanmoins, nous sommes prêts à prendre notre poteau de supplice, prêts à souffrir, et même à mourir — plutôt que de renoncer à suivre notre Modèle. – cf p68

Pourquoi Ponce Pilate a-t-il eu peur en entendant qu’on accusait Jésus de s’être “ fait fils de Dieu  ? — Jean 19:7.

Le sénat romain avait, à titre posthume, élevé Jules César au rang de dieu. Octavien, son fils adoptif et successeur sur le trône, fut ensuite appelé divi filius, ce qui en latin signifie “ fils d’un divin ” ou “ fils de Dieu ”. Cette appellation finit par devenir une distinction solennelle accordée aux empereurs. C’est ce que confirme une multitude d’inscriptions sur des pièces de monnaie, statues, autels et temples romains. Ainsi, en reprochant à Jésus de se faire “ fils de Dieu ”, les Juifs l’accusaient en fait de s’octroyer un titre officiel, ce qui revenait à de la sédition.

Au moment du procès de Jésus, c’est Tibère qui avait hérité du titre de divi filius. Cet empereur avait la réputation effrayante de mettre à mort tous ceux qu’il considérait comme ses ennemis. Le gouverneur romain Pilate eut donc “ encore plus peur ” parce que les Juifs insinuaient qu’il manquerait de loyauté envers César s’il ne condamnait pas Jésus. Cédant à la pression, il ordonna finalement son exécution. — Jean 19:8, 12-16. – TG2008 1/6 p27

Jean 19:11 — Jésus songeait-il à Judas Iscariote lorsqu’il a parlé à Pilate de l’homme qui l’avait livré à lui ? Il semble y avoir lieu de croire que Jésus avait à l’esprit tous ceux qui partageaient la responsabilité de sa mise à mort, et pas seulement Judas ou quelque autre individu en particulier. S’étaient rendus coupables de ce péché Judas, “ les prêtres en chef et le Sanhédrin tout entier ”, et même “ les foules ” que l’on avait persuadées de demander la libération de Barabbas. – TG2008 15/4 p32

Pilate essaya de disculper Jésus afin de le relâcher, mais les chefs juifs crièrent : “ Si tu relâches cet homme, tu n’es pas un ami de César. Tout homme qui se fait roi parle contre César. ” (Jean 19:12). L’expression “ ami de César ” était un titre honorifique souvent conféré aux gouverneurs des provinces, mais en l’occurrence les chefs juifs l’utilisèrent vraisemblablement dans un sens large, insinuant que Pilate s’exposait à être accusé de tolérer la haute trahison. La crainte d’un empereur jaloux fut un facteur déterminant dans la décision de Pilate de condamner à mort un innocent. Dans le même temps, les prêtres proclamèrent leur fidélité au trône impérial en disant : “ Nous n’avons de roi que César ”, rejetant ainsi toute domination théocratique (Jean 19:13-16). Ils s’élevèrent en vain contre le titre de “ Roi des Juifs ” que Pilate avait apposé sur le poteau de Jésus (Jean 19:19-22). Il était coutumier chez les Romains d’indiquer sur un panneau le crime pour lequel un malfaiteur était condamné. - it-1 p 414-415

“ Pilate continua à chercher un moyen de [...] relâcher [Jésus]. Mais les Juifs crièrent, en disant : ‘ Si tu relâches cet homme, tu n’es pas un ami de César. Tout homme qui se fait roi parle contre César. ’ ” (Jean 19:12). Le César de l’époque était l’empereur Tibère, réputé pour exécuter tout homme qu’il considérait comme infidèle — même un fonctionnaire de haut rang. Ayant déjà irrité les Juifs, Pilate ne pouvait risquer d’autres frictions, encore moins une accusation d’infidélité. Les mots de la foule équivalaient à une menace voilée, à un chantage ; Pilate a eu peur. Il a cédé sous la pression et a fait attacher Jésus, un innocent, sur un poteau. — Jean 19:16. - Jésus était innocent. Pourtant, il savait que sa mort était nécessaire au salut des humains obéissants (Matthieu 20:28). Il aimait tant la justice qu’il s’est soumis à l’injustice la plus criante de toute l’Histoire. Il l’a fait pour des pécheurs comme nous. Ne l’oublions jamais – TG2011  1/ 4 p22

Bien que n’étant pas la langue du peuple, le latin était la langue de la Rome impériale et, par conséquent, la langue officielle de la Palestine lorsque Jésus Christ était sur la terre. Il n’est dès lors pas étonnant de trouver quelques latinismes dans les Écritures grecques chrétiennes. Le mot “ latin ” lui-même ne figure qu’une seule fois dans la Bible, en Jean 19:20, où il est dit que l’inscription placée au-dessus de Jésus sur le poteau de supplice était rédigée en hébreu, en grec et en latin. - it-2 p116

Pourquoi le vêtement intérieur de Jésus intéressait-il tant les soldats romains ?

Les quatre soldats qui ont surveillé l’exécution de Jésus se sont partagé ses vêtements. “ Mais, lit-on en Jean 19:23, le vêtement intérieur de Jésus était sans couture, tissé depuis le haut dans toute sa longueur. ” Plutôt que de le déchirer en quatre, les soldats ont décidé de le tirer aux sorts. Comment ce genre de vêtement était-il fabriqué ?

Le vêtement intérieur désignerait une tunique en lin ou en laine semblable à une chemise, et qui descendait jusqu’aux genoux ou aux chevilles. Généralement, pour confectionner un tel vêtement, on superposait deux carrés ou deux rectangles de tissu qu’on cousait ensemble sur trois côtés, en laissant des trous pour la tête et les bras.

Une tunique plus onéreuse était fabriquée selon le même procédé, si ce n’est qu’on employait “ un seul grand morceau d’étoffe, plié en deux, avec un trou au milieu pour la tête ”, explique le livre Jésus et son époque (angl.). Le tissu était ourlé. Ce genre de tunique ne nécessitait plus que deux coutures sur les côtés.

Les vêtements dénués de couture comme celui que portait Jésus n’étaient fabriqués qu’en Palestine. Ils étaient tissés sur un métier de haute lice, qui comportait deux jeux de fils de chaîne verticaux, placés l’un à l’avant de la traverse de l’appareil et l’autre à l’arrière. Le tisserand faisait passer sa navette — chargée du fil de trame horizontal — de l’avant à l’arrière du tissu, réalisant, selon les termes d’un ouvrage de référence, “ une étoffe tubulaire ”. Sans doute était-il rare de posséder une tunique sans couture, ce qui explique l’intérêt des soldats pour celle de Jésus. – TG2009  1/7 p22

On jetterait les sorts sur les vêtements du Messie. “ Ils se partagent mes vêtements, a écrit David, et sur mes habits ils jettent les sorts. ” (Ps. 22:18). Ces paroles prophétiques se sont réalisées, comme le confirme le récit biblique : ‘ Quand ils eurent attaché Jésus sur un poteau, les soldats romains distribuèrent ses vêtements de dessus en jetant les sorts. ’ Jean 19:23, 24. TG2011 15/8 p15

Jean 19:25-27 relate un exemple particulièrement émouvant de son amour empreint d’abnégation. La scène se passe l’après-midi de sa mort, tandis qu’il agonise sur le poteau de supplice. Songez à tout ce qui doit le préoccuper à ce moment : ses disciples, l’œuvre de prédication et, surtout, son intégrité et l’effet qu’elle aura sur le nom de son Père. L’avenir de l’humanité tout entière dépend de lui ! Pourtant, peu avant d’expirer, Jésus pense également à sa mère, Marie, qui est, semble-t-il, déjà veuve. Il demande à l’apôtre Jean de veiller sur elle comme sur sa propre mère, ce que l’apôtre fera en la prenant chez lui. Jésus s’est soucié des besoins physiques et spirituels de sa mère. Quelle tendre manifestation d’amour désintéressé !        cf chap29 §7

Pour abréger les souffrances des criminels condamnés à mourir sur le poteau, les Romains avaient, semble-t-il, coutume de leur donner le coup de grâce en leur brisant les jambes. À la requête des Juifs, les soldats brisèrent les jambes des hommes attachés sur des poteaux à côté de Jésus Christ, mais, constatant que Jésus était déjà mort, ils ne brisèrent pas les siennes. C’est ainsi que s’accomplit la prophétie consignée en Psaume 34:20. — Jean 19:31-36  - it-1 p1236

À la mort de Jésus Christ, Nicodème apporta “ un rouleau de myrrhe et d’aloès, environ cent livres ”. Le récit ajoute : “ Ils prirent donc le corps de Jésus et le lièrent de bandes avec les aromates, comme les Juifs ont coutume de préparer un enterrement. ” (Jean 19:39, 40). Toutefois, cela ne s’appelait pas précisément un embaumement, et c’était différent des procédés d’embaumement employés par les Égyptiens. Ce fut la manière habituelle de préparer le corps pour l’enterrement, sans aucun doute semblable à ce qu’on avait fait pour préparer Lazare à l’inhumation - it-1 p736

 

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