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JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU - RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES  - SEMAINE DU 30 AVRIL 2019 - 5 mai  2019


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                                                        JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

                                                RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES

                                                  - SEMAINE DU 30 AVRIL 2019 - 5 mai  2019 

                                                                    2 CORINTHIENS 1-3

                                                    Recherchons des perles spirituelles 

 


2Co 1:22 : Que sont le « gage » et le « sceau » que chaque chrétien oint reçoit de Dieu ? (w16.04 32)

De plus, tous les oints ne prennent pas conscience de leur appel céleste exactement de la même manière. Pour certains, cette prise de conscience est soudaine et pour d’autres, elle est progressive. Mais quoi qu’il en soit, chacun possède ce dont l’apôtre Paul a parlé ainsi : « Après avoir cru, vous avez été scellés de l’esprit saint promis, qui est un gage par anticipation de notre héritage » (Éph. 1:13, 14). Cette opération particulière de l’esprit saint est comparable à un acompte, une garantie (ou gage) de ce qui est à venir. Ce « gage » donne aux chrétiens oints l’intime conviction d’avoir l’espérance céleste (lire 2 Corinthiens 1:21, 22 ; 5:5).


7 Le chrétien qui reçoit ce « gage » a-t-il la garantie qu’il vivra au ciel ? Non. Il est sûr d’y avoir été invité, mais il ne recevra sa récompense céleste que s’il se montre fidèle jusqu’à la fin. Pierre l’a expliqué en ces termes : « C’est pourquoi, frères, faites d’autant plus tout votre possible pour vous assurer votre appel et votre choix ; car si vous continuez à faire ces choses, non vous ne faillirez jamais. C’est ainsi, en effet, que vous sera richement fournie l’entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ » (2 Pierre 1:10, 11). Chaque chrétien oint doit donc faire de gros efforts pour rester fidèle. Sinon, son appel céleste, ou invitation, ne lui servira à rien (Héb. 3:1 ; Rév. 2:10).1/2016, p. 18
 


Que faut-il entendre par sceller les esclaves, et qui sont ces esclaves de Dieu ?

C’est à la Pentecôte de l’an 33 que les premiers chrétiens juifs commencèrent à être scellés, quand ils furent oints de l’esprit saint. Par la suite, Dieu se mit à appeler “ des gens des nations ” et à les oindre (Romains 3:29 ; Actes 2:1-4, 14, 32, 33 ; 15:14). L’apôtre Paul écrivit que les chrétiens oints de l’esprit ont la garantie d’‘ appartenir à Christ ’, et il ajouta que Dieu “ a mis aussi son sceau sur nous et nous a donné le gage de ce qui est à venir, à savoir l’esprit, dans nos cœurs ”. (2 Corinthiens 1:21, 22 ; voir Révélation 14:1.) Ainsi, quand ces esclaves sont adoptés comme fils spirituels de Dieu, ils reçoivent par avance un gage de leur héritage céleste, un sceau, ou garantie (2 Corinthiens 5:1, 5 ; Éphésiens 1:10, 11)     re 115
 

Paul a comparé l’esprit saint à un sceau quand il a dit : “ Celui qui garantit que vous et nous, nous appartenons à Christ, et celui qui nous a oints, c’est Dieu. Il a mis aussi son sceau sur nous et nous a donné le gage de ce qui est à venir, à savoir l’esprit, dans nos cœurs. ” (2 Corinthiens 1:21, 22). Ainsi donc, Jéhovah oint ces chrétiens de son esprit saint pour indiquer qu’ils lui appartiennent.
Cependant, le marquage au sceau des oints s’opère en deux phases. Le marquage initial diffère du marquage définitif sur deux points : 1) sa raison d’être ; 2) le moment où il a lieu. Le marquage initial sert à choisir un nouveau membre qui est ajouté au nombre des chrétiens oints. Le marquage au sens définitif, quant à lui, sert à confirmer que celui qui a été choisi et scellé a pleinement prouvé sa fidélité. Ce n’est qu’à ce moment-là, lors du marquage définitif, que le sceau est appliqué de façon permanente “ au front ” de ce chrétien oint, ce qui le désigne de manière probante comme étant un ‘ esclave ’ éprouvé et fidèle ‘ de notre Dieu ’. Le marquage au sceau mentionné en Révélation chapitre 7 se rapporte à cette phase finale du marquage. — Révélation 7:3.
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Que sont le « gage » et le « sceau » que chaque chrétien oint reçoit de Dieu ? (2 Cor. 1:21, 22 ; note).
▪ Le gage : D’après un ouvrage de référence, le terme grec rendu par « gage » en 2 Corinthiens 1:22 était « un terme juridique et commercial » désignant « le premier versement, les arrhes, l’acompte, qui paient à l’avance une partie du prix d’achat et garantissent ainsi le droit à l’article en question, ou qui valident un contrat ». Dans le cas des oints, Jéhovah leur donne à l’avance un gage de leur récompense. Le paiement complet décrit en 2 Corinthiens 5:1-5 signifie pour eux revêtir un corps céleste incorruptible. Leur récompense comprend également le don de l’immortalité (1 Cor. 15:48-54).
En grec moderne, un terme voisin désigne une bague de fiançailles. C’est une image appropriée pour ceux qui feront partie de l’épouse symbolique de Christ (2 Cor. 11:2 ; Rév. 21:2, 9).
▪ Le sceau : Dans le passé, le sceau servait de signature prouvant la propriété, l’authenticité ou l’autorisation. Dans le cas des oints, ils sont « scellés », ou marqués, au sens figuré par l’esprit saint en tant que propriété de Dieu (Éph. 1:13, 14). Cependant, le sceau d’un chrétien oint ne devient définitif qu’à un certain moment avant qu’il meure, fidèle, ou bien avant le déclenchement de la grande tribulation (Éph. 4:30 ; Rév. 7:2-4).

Autrefois, on appliquait un sceau sur de l’argile ou de la cire pour authentifier un document.La Tour de Garde (étude),
4/2016, p. 32


2Co 2:14-16 : À quoi Paul faisait-il peut-être référence quand il a parlé d’« un cortège triomphal » ? (w10 1/8 23)
                                                       “Dans un cortège triomphal”


UN CORTÈGE triomphal célébrait avec faste une victoire sur un ennemi. L’un des plus grands honneurs que le Sénat romain pût accorder à un général victorieux était de lui permettre de célébrer sa victoire par un tel cortège officiel et coûteux. L’apôtre Paul a parlé de cortège triomphal à deux reprises dans ses écrits. Avant d’analyser ses paroles, essayez donc de vous représenter ce genre de cortège. Imaginez la foule se pressant le long des rues tandis que le cortège avance lentement sur la Via Triumphalis et gravit une montée sinueuse jusqu’au temple de Jupiter, sur le Capitole.
“L’odeur des épices que l’on faisait brûler se répandait dans les temples et dans les rues, parfumant l’air, écrit l’historien James Freeman. Les membres du Sénat et les principaux citoyens de l’État se joignaient au cortège, honorant ainsi le vainqueur de leur présence. Les plus riches dépouilles de guerre, tels l’or, l’argent, les armes de toutes sortes, les étendards, les œuvres d’art rares et coûteuses, et tout ce que le conquérant, ou le vaincu, jugeait précieux, étaient transportées à la vue de tous dans les rues bondées de la cité. Les prisonniers étaient également obligés de défiler dans le cortège. Le général dont le triomphe était célébré conduisait un char d’une forme particulière, tiré par quatre chevaux. Il portait une robe brodée d’or et une tunique ornée de fleurs. Il tenait un rameau de laurier dans la main droite et un sceptre dans la main gauche, tandis que sur son front était posée une couronne de laurier semblable à celle en usage à Delphes. C’est ainsi que, sous les acclamations des soldats et les applaudissements de la foule, le conquérant avançait dans les rues jusqu’au temple de Jupiter où des sacrifices étaient offerts, et où était donnée une fête publique.”


Lorsque Paul écrivit sa seconde lettre aux Corinthiens, en 55 de notre ère, il utilisa le cortège triomphal dans une illustration. Il déclara: “Mais grâce soit rendue à Dieu qui toujours nous emmène dans un cortège triomphal, en compagnie du Christ, et qui, par notre entremise, en tout lieu, rend perceptible l’odeur de sa connaissance! C’est que nous sommes pour Dieu une bonne odeur de Christ parmi ceux qui sont en train d’être sauvés et parmi ceux qui sont en train de périr; pour ceux-ci une odeur émanée de la mort pour la mort, pour ceux-là une odeur émanée de la vie pour la vie.” — 2 Corinthiens 2:14-16.


Dans cette illustration, Paul et les autres chrétiens oints sont présentés comme des sujets dévoués de Dieu, “en compagnie du Christ”. Ils sont comparés à des fils, à des officiers et à des soldats formés par Jéhovah et conduits par lui dans un cortège triomphal le long d’une route parfumée. (Voir La Tour de Garde du 15 juillet 1990, pages 10 à 15.) Cette illustration du cortège triomphal indique également que la mort est l’unique perspective de ceux qui rejettent la bonne nouvelle du Royaume. La Tour de Garde du 15 novembre 1990, 
 


 Paul a écrit : “ Dieu [...] nous conduit dans un cortège triomphal en compagnie du Christ et [...], par notre intermédiaire, rend perceptible en tout lieu l’odeur de sa connaissance. Car pour Dieu nous sommes une agréable odeur de Christ parmi ceux qui sont en train d’être sauvés et parmi ceux qui périssent ; pour ceux-ci, une odeur venant de la mort pour la mort, pour ceux-là, une odeur venant de la vie pour la vie. ” — 2 Corinthiens 2:14-16.
L’apôtre faisait allusion à la coutume romaine d’organiser un cortège de célébration en l’honneur d’un général qui avait vaincu des ennemis de l’État. À ces occasions, on exposait le butin ainsi que les prisonniers de guerre et on menait des taureaux au sacrifice, tandis que le général victorieux et son armée recevaient les acclamations de la foule. Au terme de la procession, on sacrifiait les taureaux et on exécutait vraisemblablement un bon nombre de prisonniers.
La métaphore de l’“ agréable odeur de Christ ” qui signifierait la vie pour certains et la mort pour d’autres est “ sans doute tirée de la coutume romaine de brûler de l’encens sur le chemin du cortège, déclare une encyclopédie (The International Standard Bible Encyclopedia). Le parfum qui était synonyme de triomphe pour les vainqueurs rappelait aux captifs l’exécution qui les attendait probablement ”w10 1/8 23.

                                                   .Protégés par “ une agréable odeur ”
Par leur attachement à la Bible et leur prédication du message réconfortant qu’elle renferme, les vrais chrétiens diffusent “ une agréable odeur ” de vie qui plaît à Jéhovah. Pour les injustes, en revanche, ils dégagent ce que la Traduction œcuménique de la Bible appelle une “ odeur de mort qui conduit à la mort ”. C’est que l’odorat symbolique des méchants est tellement altéré par le système de choses de Satan qu’ils éprouvent un certain dégoût, pour ne pas dire de l’hostilité, vis-à-vis de ceux qui diffusent l’“ agréable odeur de Christ ”. Les proclamateurs de la bonne nouvelle sont, par contre, “ une agréable odeur de Christ parmi ceux qui sont en train d’être sauvés ”. (2 Corinthiens 2:14-16.)  w05 1/9 31

HMM! Sentez-vous ce doux parfum? Nous ne voulons pas parler ici de la senteur de fleurs épanouies, mais du “parfum” qu’exhalent les écrits les plus précieux au monde. Ces écrits ne proviennent pas de simples hommes. Non, ils constituent le “bouquet” inspiré par Celui qui a également créé les fleurs qui embaument et embellissent la terre. Le privilège de répandre ce parfum de la connaissance de Dieu est un grand trésor. Oui, il s’agit d’un service particulièrement précieux, qui n’est pas accordé à tout le monde.
2 Ce trésor inestimable a été confié aux disciples du Christ le jour de la Pentecôte de l’an 33 de notre ère, quand la possibilité leur a été offerte de servir activement Jéhovah Dieu. Remplis d’esprit saint, ils se sont mis à répandre un “parfum” en parlant “des choses magnifiques de Dieu”. (Actes 2:1-4, 11.) Grâce à eux, le parfum de la connaissance de Dieu allait parvenir aux autres humains, non seulement aux Juifs circoncis, mais aussi aux incirconcis de toute nation, tribu, peuple et langue (Actes 10:34, 35). Aux yeux des véritables disciples, ce service était plus précieux que toutes les richesses matérielles que les hommes puissent s’amasser.
3 De nos jours, l’œuvre magnifique consistant à répandre le parfum de la connaissance de Dieu s’effectue dans le monde entier, sur une échelle inégalée dans l’histoire humaine. Toute l’humanité reçoit ainsi le témoignage relatif au Royaume de Dieu maintenant instauré et confié au Roi divinement établi, Jésus Christ (Matthieu 6:10; Actes 1:8). Considérez-vous qu’annoncer le Roi et son Royaume est un service aussi précieux qu’un trésor inestimable? Jésus Christ, qui inaugura la prédication de la bonne nouvelle de ce Royaume, lui attachait un tel prix, donnant ainsi l’exemple à suivre. — Matthieu 4:17; 6:19-21.
                                                      Parfumons le chemin du cortège triomphal
4 Pourquoi le service de Dieu doit-il être un trésor à nos yeux? Entre autres, parce que ceux qui servent Jéhovah ont dès maintenant le privilège remarquable d’être emmenés par lui dans un magnifique cortège triomphal. Selon La Sainte Bible publiée sous la direction de L. Pirot et A. Clamer, on lit en 2 Corinthiens 2:14: “À Dieu cependant toutes nos actions de grâces, lui qui, partout, nous met dans son cortège de triomphe, dans le Christ, et qui fait sentir le parfum de sa connaissance, par nous, en tous pays [“fait que notre connaissance de lui se répande dans le monde entier comme un parfum délicieux!”, Phillips]!” Par ces paroles, l’apôtre Paul semble faire allusion à une pratique qui avait cours dans l’Antiquité: l’organisation de cortèges de victoire.
5 Du temps de la République romaine, l’un des plus grands honneurs que le Sénat pouvait accorder à un général victorieux était de lui permettre de célébrer sa victoire par un cortège triomphal coûteux. Le cortège romain avançait lentement sur la Via Triumphalis et gravissait une montée sinueuse jusqu’au temple de Jupiter, sur le Capitole. Les rois, les princes et les généraux capturés pendant la guerre, ainsi que leurs enfants et leurs serviteurs, étaient emmenés enchaînés et souvent nus, à leur plus grande honte.
6 Lorsque le cortège traversait Rome, les gens jetaient des fleurs devant le char du vainqueur. On brûlait de l’encens qui parfumait toute la route. Ce doux parfum présageait des honneurs et un avenir plus assuré pour les soldats victorieux. Par contre, il présageait la mort pour les captifs condamnés à être exécutés au terme de la procession. Ces faits éclairent l’application spirituelle que Paul fait de cette illustration en 2 Corinthiens 2:14-16. Cette illustration présente Paul et ses compagnons chrétiens comme des sujets dévoués de Dieu, qui, “en compagnie du Christ”, suivent tous la procession victorieuse de Dieu, lequel les emmène dans un magnifique cortège triomphal sur une route parfumée.     w90 15/7 10-15

Questions bibliques :
2:15, 16 — En quel sens sommes-nous “ une agréable odeur de Christ ” ? En ce sens que nous adhérons à la Bible et diffusons son message. Bien que ce “ parfum ” puisse écœurer les injustes, il est agréable à Jéhovah et aux personnes sincères.     w08 15/7 28







 

 

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