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JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU 3-9 juin 2019 Recherchons des perles spirituelles GALATES 4-6   


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                                                                                                         JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
                                                                                          3-9 juin 2019  

                                                                     Recherchons des perles spirituelles
                                                                                          GALATES 4-6   perles.jpg
         
Ga 4:6 : Que veut dire le mot hébreu ou araméen abba ? (w09 1/4 13).

Le mot araméen ʼabbaʼ peut vouloir dire “ le père ” ou “ Ô Père ! ” On le retrouve à trois reprises dans les Écritures, à chaque fois dans une prière et à propos du Père céleste, Jéhovah. Quelle idée emporte-t-il exactement ?
Le Dictionnaire de la Bible, par André-Marie Gerard, déclare que ce terme “ ajoute au mot [...] ‘ père ’ une note plus familière, affectueuse et possessive ”. Il s’agit d’un terme à la fois tendre et respectueux, l’un des tout premiers mots qu’un enfant apprenait.  
w09 1/4 13

                                                                               ABBA
Le mot araméen ʼabbaʼ correspond à la forme emphatique ou définie du mot ʼav et signifie littéralement “ le père ” ou  “ Ô Père ! ” Pour s’adresser à leur père dans l’intimité, les enfants employaient ce mot qui exprimait à la fois un peu de l’intimité qui se dégage du terme “ papa ” et le respect que sous-entend l’usage du mot “ père ” ; il était en même temps familier et respectueux. Il s’agissait donc plus d’un terme affectueux que d’un titre et c’était un des tout premiers mots qu’un enfant apprenait.
Ce mot araméen apparaît trois fois dans les Écritures. Il est toujours transcrit dans le grec original et dans la plupart des traductions françaises. Il est chaque fois suivi de sa traduction : ho patêr, en grec, littéralement “ le père ”, ou employé au vocatif : “ Ô Père ! ” Dans chaque cas, il se rapporte au Père céleste, Jéhovah.     
it-1 13  
                                                                                    “Abba, Père”


● Marc rapporte dans son Évangile que Jésus employa le mot “Abba” dans la prière qu’il adressa à son Père, à Gethsémané, peu de temps avant sa mort. “Abba, Père, dit-il, toutes choses te sont possibles ; écarte de moi cette coupe. Cependant, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux.” (Marc 14:36). Voilà, adressé par un fils à son père aimant, un appel fervent, très vite suivi de l’assurance que ce fils restera obéissant quoi qu’il arrive. En araméen, le mot “abba” signifie “père” et correspond au mot hébreu ab (père), mais c’est la forme emphatique de ce terme. Les enfants employaient ce nom intime pour s’adresser à leur père. Tout en exprimant une certaine familiarité, comme c’est le cas pour le mot français “papa”, ce terme n’exclut pas la dignité qu’on attache ordinairement au mot “père”, car il est à la fois familier et respectueux. Ce terme était donc plus affectueux qu’un titre, et c’était l’un des premiers mots que prononçait un enfant lorsqu’il apprenait à parler. Ce mot apparaît deux autres fois dans la Bible, dans les épîtres de Paul : Romains 8:15 et Galates 4:6. Dans ces deux passages, le mot est employé en rapport avec les chrétiens appelés à devenir des fils de Dieu engendrés de l’esprit, et il indique l’intimité de leurs relations avec leur Père. Bien qu’ils soient “esclaves de Dieu”, ils sont néanmoins des fils dans la maison d’un Père aimant, et cette condition leur est réellement révélée par le saint esprit, ceci par l’intermédiaire de leur Seigneur Jésus. — Rom. 6:22 ; 8:15 ; Gal. 4:6.w67 347


Pourquoi, dans une prière, Jésus a-t-il appelé Jéhovah “ Abba, Père ” ?


Le mot araméen ʼabbaʼ peut vouloir dire “ le père ” ou “ Ô Père ! ” On le retrouve à trois reprises dans les Écritures, à chaque fois dans une prière et à propos du Père céleste, Jéhovah. Quelle idée emporte-t-il exactement ?
Le Dictionnaire de la Bible, par André-Marie Gerard, déclare que ce terme “ ajoute au mot [...] ‘ père ’ une note plus familière, affectueuse et possessive ”. Il s’agit d’un terme à la fois tendre et respectueux, l’un des tout premiers mots qu’un enfant apprenait. Dans le jardin de Gethsémané, quelques heures avant sa mort, Jésus a prié avec ferveur en disant “ Abba, Père ”. — Marc 14:36.
D’après le Dictionnaire encyclopédique de la Bible, de Maredsous, ce mot “ n’est pour ainsi dire jamais appliqué à Dieu dans la littérature juive ” de la période gréco-romaine. Et Jacques Hervieux d’ajouter : “ Dans leur prière (sic), les juifs n’utilisaient pas ce vocable jugé trop familier pour s’adresser à Dieu. ” Cependant, “ en appelant Dieu Abba, [...] Jésus marque le lien unique qui l’attache au Père, en même temps que la profondeur véritable de ce lien ”, lit-on dans l’encyclopédie catholique Théo. Les autres occurrences du terme “ Abba ”, toutes deux dans les écrits de l’apôtre Paul, indiquent que les premiers chrétiens aussi l’utilisaient quand ils priaient. — Romains 8:15 ; Galates 4:6.
La Tour de Garde,1/4/2009, p. 13


Quand il priait, Jésus employait parfois l’expression “ Abba, Père ”. (Marc 14:36.) Terme affectueux utilisé dans le cercle familial pour “ père ”, “ Abba ” était parmi les premiers mots qu’un enfant prononçait. Mais c’était aussi un terme respectueux. Cela dénote donc à la fois la façon intime que Jésus avait de s’adresser à son Père bien-aimé et le profond respect que lui inspirait l’autorité paternelle de Jéhovah. Toutes ses prières présentaient ce mélange d’intimité et de respect. 
cf 134


Ga 6:17 : De quelles façons peut-on comprendre ces paroles de Paul : « Je porte sur mon corps les marques d’un esclave de Jésus » ? (w10 1/11 15).


Paul écrivit aux Galates : “ Je porte sur mon corps les marques [gr. : stigmata] d’un esclave de Jésus. ” (Ga 6:17). Nombreuses furent les souffrances physiques infligées au corps de Paul à cause de son service chrétien ; certaines lui laissèrent sans aucun doute des cicatrices, qui confirmaient sa prétention d’être un fidèle esclave appartenant à Jésus Christ (2Co 11:23-27). C’est peut-être à ces marques qu’il faisait allusion. Ou peut-être faisait-il référence à la vie de chrétien qu’il menait en produisant le fruit de l’esprit et en accomplissant l’œuvre de son ministère chrétien. — Voir MARQUE.it-2 232


Lorsque l’apôtre Paul a dit qu’il portait sur son corps “ les marques d’un esclave de Jésus ”, à quoi faisait-il allusion ? — Galates 6:17.
▪ Les paroles de Paul pouvaient évoquer plusieurs choses pour ses auditeurs du Ier siècle. Par exemple, dans l’Antiquité, on utilisait un fer rouge pour identifier les prisonniers de guerre, les pilleurs de temples et les esclaves fugitifs. Appliquée sur des humains de cette façon, la marque au feu était considérée comme déshonorante.


Cependant, toutes les marques au feu n’avaient pas cette signification. De nombreux peuples anciens en utilisaient pour indiquer leur appartenance à une tribu ou à une religion en particulier. Par exemple, selon le Dictionnaire théologique du Nouveau Testament (angl.), “ les Syriens se consacraient aux dieux Hadad et Atargatis en se faisant des marques sur le poignet ou le cou [...]. Celle d’une feuille de lierre était apposée sur l’adorateur de Dionysos ”.
Beaucoup de commentateurs modernes supposent que Paul faisait allusion aux cicatrices laissées par les violences physiques qu’il avait subies au cours de son activité missionnaire (2 Corinthiens 11:23-27). Mais peut-être voulait-il dire que son mode de vie — et non des marques littérales — l’identifiait à un chrétien.
 w10 1/11 15

Les marques d’un esclave: “Que personne ne me suscite d’ennuis, écrit Paul, car je porte sur mon corps les marques d’un esclave de Jésus.” (Galates 6:17). Chez certains peuples païens de l’Antiquité, on marquait les esclaves pour indiquer à qui ils appartenaient. Divers motifs étaient marqués au fer rouge ou tatoués sur leur peau. Les nombreuses souffrances physiques que Paul avait subies en raison de son ministère chrétien avaient sans doute laissé des cicatrices, attestant, comme il l’affirme, qu’il était un esclave fidèle appartenant au Christ, persécuté pour Son nom (2 Corinthiens 11:23-27). C’est peut-être ces cicatrices que Paul appelle “les marques d’un esclave”, à moins qu’il ne pense à la vie de chrétien qu’il menait, manifestant le fruit de l’esprit de Dieu et accomplissant son ministère.w90 15/11 23


Jéhovah est notre Propriétaire et notre Dieu. Nous reconnaissons avec joie, que nous soyons un membre du reste ou une autre brebis, que nous sommes sa propriété vivante qu’il s’est acquise par le sang de son Fils Jésus-Christ. Nous portons les marques de notre servitude, comme l’apôtre Paul qui déclara : “ À l’avenir, qu’on ne vienne plus me tracasser, car je porte dans mon corps les stigmates d’un esclave de Jésus. ” (Gal. 6:17, NW). Nous reconnaissons donc que Dieu a le droit de dicter ce que doit être notre religion et nous voulons l’adorer comme le vrai Dieu. Nous n’avons aucun droit à faire valoir contre lui. Nous sommes obligés de garder ses commandements et nous voulons lui rendre par amour un service sacré. Nous obéirons à Dieu plutôt qu’aux hommes. Nous sommes ses esclaves théocratiques pour toujours.w53 154

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