Jump to content
The World News Media

JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU 9-15 septembre 2019 Recherchons des perles spirituelles HÉBREUX 9-10


Guest

Recommended Posts

  • Guest

JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
  9-15 septembre 2019
Recherchons des perles spirituelles HÉBREUX 9-10

 

perles.jpg
Hé 9:16, 17 : Que signifient ces versets ? (w92 1/3 31 § 4-6).


Quand Jésus prit la coupe de vin pour la passer à ses disciples, il dit : “ Cette coupe signifie la nouvelle alliance en vertu de mon sang, qui doit être versé en votre faveur. ” (Luc 22:20, NW). Cette allusion à la nouvelle alliance est très importante, par rapport aux bienfaits reçus et aux bienfaits partagés. Si nous reprenons la lettre aux Hébreux, nous pourrons identifier cette alliance et mieux apprécier son importance. L’expression nouvelle alliance suppose l’existence d’une alliance précédente et en principe, quand quelque chose de nouveau s’avère nécessaire, cela sous-entend l’abandon de ce qui est devenu vieux. Paul écrit à ce propos : “ En disant : alliance nouvelle, il rend vieille la première. Or ce qui est vieilli et vétuste est près de disparaître. ” La première alliance en question fut l’ancienne alliance de la loi conclue avec l’Israël selon la chair par la médiation de Moïse. Mais “ c’est en effet en les blâmant ” que Jéhovah déclara aux Israélites les paroles suivantes, prononcées déjà à l’époque de Jérémie : “ Voici l’alliance que je ferai avec la maison d’Israël, après ces jours-là, dit Jéhovah : Je mettrai ma loi au dedans d’eux et je l’écrirai sur leur cœur (...). Je pardonnerai leur iniquité et je ne me souviendrai plus de leur péché. ” — Héb. 8:8, 13, Jé ; Jér. 31:33, 34, AC.


18 Pour valider une alliance et pardonner l’iniquité, il faut verser du sang. “ Un testament (une alliance, NW) en effet, n’est valide qu’à la suite du décès, (...) et sans effusion de sang il n’y a point de rémission. ” Jésus est le médiateur de la nouvelle alliance, laquelle est validée par son sang versé. Son sang fournit également le moyen légal de pardonner réellement les péchés et de purifier “ notre conscience ” alors que les sacrifices d’animaux selon l’ancienne alliance de la loi ne procuraient — et encore, de façon toute symbolique — que “ la pureté de la chair ”. — Héb. 9:13, 14, 17, 22, Jé  w62 225


En ce qui concerne la nouvelle alliance, qui est “ l’homme faisant l’alliance ” ? Jéhovah est l’Auteur de la nouvelle alliance, alors que Jésus est “ l’homme faisant l’alliance ”, c’est-à-dire qu’il en est le médiateur. Par sa mort, Jésus a fourni le sacrifice nécessaire à la validation de cette alliance. — Luc 22:20 ; Héb. 9:15.La Tour de Garde,15/10/2008, p. 32

                                                                                                                                             ASSURANCE-VIE

 

                                                   
                                                                                                                          image.png

Une police d'assurance-vie ne peut être réclamée que si la personne couverte par celle-ci décède. Essayer de simuler un décès pour réclamer l'assurance est une fraude. De la même manière, Adam est mort en raison de son péché. Ainsi, celui qui payait la rançon devait aussi mourir pour satisfaire la justice de Dieu. (Rom 5:12) Mais si Jésus est le Dieu Tout-Puissant, il ne peut pas mourir. (Habakkuk 1:12) S'il ne mourait pas vraiment, comment la rançon pouvait-elle être valable et aider l'humanité à être rachetée? Mais nous savons que la rançon ne ressemble pas à une police d'assurance contre la fraude et que Jésus n'a pas simulé sa mort. Jésus en tant que fils, distinct du Père, est mort et la rançon a été effective. Une personne distincte, son père, Jéhovah, le ressuscita (Actes 10:40)


Nécessité du sang pour valider une alliance. Le rédacteur inspiré de la lettre aux Hébreux traite de deux alliances principales, l’alliance de la Loi et l’alliance nouvelle. Dans cet examen, il explique que Christ est médiateur de l’alliance nouvelle (Hé 9:15). Ses paroles contenues en Hébreux 9:16 constituent un sujet de controverse parmi les biblistes. En conséquence, ce verset est rendu des façons suivantes : “ Oui, là où il y a testament, la mort du testateur est une nécessité présente. ” (Ch). “ Car là où il y a testament, il est nécessaire que la mort du testateur soit constatée. ” (Jé). “ Car là où il y a alliance, il faut que la mort de l’homme faisant l’alliance soit fournie. ” (MN). “ Car là où il y a alliance il est nécessaire que la mort de celui qui a fait l’alliance soit apportée. ” (The Emphasised Bible, par J. Rotherham, 1897). “ Car là où il y a alliance il est nécessaire que la mort de la victime de l’alliance intervienne. ” — The Holy Bible, par R. Young, 1887.
La traduction littérale se lit comme suit dans des versions interlinéaires du texte grec : “ Où car alliance, mort nécessité être apportée de celui qui a fait alliance pour lui-même. ” (Hé 9:16, Int). “ Car où il y a une alliance, la mort il y a nécessité d’être offerte de celui qui fait alliance. ” — The Interlinear Greek-English New Testament, par Alfred Marshall.


La traduction de diathêkê par “ alliance ” rend correctement la pensée du rédacteur. La traduction “ testament ”, qui figure dans de nombreuses versions, ne concorde pas avec l’emploi du terme dans la Septante ainsi que dans de nombreux endroits des Écritures grecques chrétiennes (Lc 1:72 ; Ac 3:25 ; 7:8 ; Rm 9:4 ; 11:27 ; Hé 8:6-10 ; 12:24). “ Testament ” n’a rien à voir non plus avec ce dont parle Paul, puisque dans le contexte il traite de l’alliance de la Loi et de l’alliance nouvelle. Ni l’alliance de la Loi ni l’alliance nouvelle n’étaient un “ testament ”.
En Hébreux 9:16, l’apôtre Paul parlait manifestement d’alliances entre Dieu et l’homme (et non entre homme et homme), qui exigeaient des sacrifices. Et il est à noter que, particulièrement chez les Hébreux, l’accès auprès de Dieu et les alliances avec lui se faisaient habituellement grâce à des sacrifices, les victimes étant parfois coupées en morceaux quand il s’agissait d’entrer dans une alliance. Il est tout à fait clair que l’alliance de la Loi et l’alliance nouvelle exigeaient une effusion de sang pour entrer en vigueur et être valides devant Dieu. Autrement, Dieu ne les aurait pas considérées comme valides ni n’aurait traité les individus concernés en personnes liées à lui par une alliance (Hé 9:17). Pour que l’alliance de la Loi soit validée, des animaux (des taureaux et des boucs) furent sacrifiés, prenant la place de Moïse, le médiateur (Hé 9:19). Pour valider la nouvelle alliance, c’est la vie humaine de Jésus Christ qui fut sacrifiée. — Lc 22:20 ; voir Appendice MN, p. 1713.    it-2 244

Hé 10:5-7 : Quand Jésus a-t-il prononcé ces paroles, et que signifient-elles ? (it-1 263-264).

Après avoir signalé la portée limitée des sacrifices d’animaux, Paul écrit : “ Quand [Jésus] entre dans le monde, il dit : ‘ “ Sacrifice et offrande, tu n’en as pas voulu, mais tu m’as préparé un corps. Tu n’as pas agréé holocaustes et sacrifice pour le péché. ” Alors j’ai dit : “ Vois ! Je suis venu (dans le rouleau du livre il est écrit à mon sujet) pour faire ta volonté, ô Dieu ! ” ’ ” — Hébreux 10:5-7.
4 Paul cite Psaume 40:6-8 pour expliquer que Jésus n’est pas venu perpétuer “ sacrifice et offrande ”, “ holocaustes et sacrifice pour le péché ”. Au moment où l’apôtre écrit ces lignes, ces rites n’ont plus l’approbation divine. Jésus est venu avec un corps préparé par son Père céleste, un corps équivalent à celui que Dieu avait préparé pour Adam (Genèse 2:7 ; Luc 1:35 ; 1 Corinthiens 15:22, 45). Fils parfait de Dieu, il est la “ semence ” de la femme annoncée en Genèse 3:15 et, bien qu’ayant été ‘ meurtri au talon ’, il va faire en sorte de ‘ meurtrir Satan à la tête ’. Jéhovah a ainsi fourni en la personne de Jésus le moyen de salut attendu par les hommes de foi depuis Abel.
w00 15/8 18


Au moment de son baptême, Jésus priait (Luc 3:21). Tout porte à croire qu’à cet instant de son existence il a réalisé les paroles de Psaume 40:6-8. C’est ce que l’apôtre Paul a indiqué plus tard en lui attribuant ces propos : “ Sacrifice et offrande, tu n’en as pas voulu, mais tu m’as préparé un corps. ” (Hébreux 10:5). Ainsi, Jésus montrait qu’il savait que Dieu ‘ ne voulait pas ’ que l’on continue à offrir des sacrifices d’animaux au temple de Jérusalem. Il comprenait qu’en revanche Dieu lui avait préparé un corps humain parfait que lui-même offrirait en sacrifice, et que ce geste supprimerait ensuite la nécessité des sacrifices d’animaux. Désirant ardemment se soumettre à la volonté de Dieu, Jésus a dit encore dans sa prière : “ Vois ! Je suis venu (dans le rouleau du livre il est écrit à mon sujet) pour faire ta volonté, ô Dieu ! ” (Hébreux 10:7). Quel magnifique exemple de courage et d’attachement désintéressé Jésus a laissé ce jour-là pour tous ceux qui deviendraient plus tard ses disciples ! — Marc 8:34.    w96 1/7 14


En se présentant pour être baptisé, Jésus accomplissait réellement les paroles des “Prophètes”. L’apôtre Paul indique quelles prophéties Jésus accomplit. Dans Hébreux 10:5-10, il dit à propos de Jésus au moment de sa présentation pour être baptisé : “C’est pourquoi, en entrant dans le monde, il dit : “‘Sacrifice et offrande, tu n’en as pas voulu, mais tu m’as préparé un corps. Tu n’as approuvé ni holocaustes ni offrande pour le péché.” Alors j’ai dit : “Voici, je viens (dans le rouleau du livre il est écrit de moi) pour faire ta volonté, ô Dieu.”’ (...) Par ladite ‘volonté’ nous avons été sanctifiés par l’offrande du corps de Jésus-Christ une fois pour toutes.” Jésus accomplissait le Psaume 40:7-9. La “volonté” de Dieu exigeait que Jésus se sacrifie, qu’il offre son “corps”.


25 Puisque la prophétie exigeait cela, Jésus aurait eu mauvaise conscience s’il n’était pas venu pour accomplir la volonté particulière de Dieu, donc s’il ne s’était pas présenté à Jean pour être baptisé. Il est évident que le baptême de Jésus avait une signification symbolique. Ce n’était pas un “symbole de repentance pour le pardon des péchés”, mais le symbole de sa venue ou de sa présentation pour accomplir la “volonté” de Dieu qui incluait l’offrande de son corps en sacrifice une fois pour toutes. Étant Juif, Jésus était déjà sous la loi de Moïse et membre de la seule nation de la terre alors vouée à Dieu pour faire “tout ce qu’a dit Jéhovah”. Étant également le fils premier-né de Marie, que Joseph, son mari, adopta comme s’il était le sien, Jésus fut sanctifié pour appartenir à Dieu (Ex. 13:1, 2, Da). C’est pourquoi Joseph et Marie durent racheter Jésus, afin qu’il puisse accomplir un travail profane (Nomb. 3:13-51 ; 18:14-16). Ainsi, le baptême de Jésus ne représentait pas l’offrande de sa personne à Dieu, mais sa présentation pour faire la volonté de Dieu en allant jusqu’à se sacrifier.


26 Jéhovah Dieu montra qu’il acceptait la présentation de son Fils Jésus en répandant sur lui son esprit saint au moment où il sortait de l’eau et en faisant entendre des cieux sa voix disant : “Celui-là est mon Fils, le bien-aimé, que j’ai approuvé.” (Mat. 3:16, 17). Après cela, Jean-Baptiste présenta Jésus oint comme “l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde”. (Jean 1:18-36 ; Actes 10:37, 38.) Jésus accomplit la volonté de Dieu jusqu’à la fin de sa vie dans la chair. Au cours de la dernière nuit qu’il passa sur la terre en tant qu’homme, il pria Dieu en ces termes : “Mon Père, s’il n’est pas possible que ceci passe sans que je le boive, que ta volonté se fasse.” (Mat. 26:39-44). Selon Jean 19:30, le lendemain, vers trois heures de l’après-midi alors qu’il était pendu au poteau de torture, “Jésus dit : ‘C’est accompli !’ et, baissant la tête, il rendit son souffle”. Ainsi, conformément à la volonté de Dieu, le corps de Jésus fut offert une fois pour toutes.w73 110
 

Link to comment
Share on other sites


  • Views 193
  • Replies 0
  • Created
  • Last Reply

Popular Days

Posted Images





×
×
  • Create New...

Important Information

Terms of Service Confirmation Terms of Use Privacy Policy Guidelines We have placed cookies on your device to help make this website better. You can adjust your cookie settings, otherwise we'll assume you're okay to continue.