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Perles spirituelles - Semaine du 15 Mars 2021 - Nombres 11-12


misette

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Perles spirituelles (10 min) : Nombres 11-12

Nombres 11:7, 8 : Pourquoi peut-on dire que l’aspect et le goût de la manne témoignaient de la bonté de Jéhovah ? (it-2 207).

« La manne était comme de la graine de coriandre et ressemblait au bdellium. 8 Le peuple se dispersait et la ramassait ; on la broyait dans des moulins à bras ou on la pilait dans un mortier ; puis on la cuisait dans des marmites ou on en faisait des pains ronds. Elle avait le goût d’un gâteau sucré à l’huile.»

Description. La manne était ‘ blanche comme de la graine de coriandre ’ et son “ aspect ” celui du bdellium, substance transparente semblable à de la cire et qui prend une forme de perle. Son goût était comparable à celui des “ gâteaux plats au miel ” ou d’“ un gâteau sucré à l’huile ”. Après avoir broyé la manne dans un moulin à bras ou l’avoir pilée dans un mortier, on la faisait cuire à l’eau, ou au four sous forme de gâteaux. — it-2 p207

Le bdellium était certainement précieux, car il est mentionné en même temps que l’or et la pierre d’onyx. Les Israélites ont dû le connaître puisque Moïse dit que la manne avait l’apparence du bdellium. Cette substance aromatique était très appréciée dans les temps anciens, à la fois des Juifs et des Gentils. Cette résine venait d’un arbre, et selon Pline, elle était transparente, cireuse et onctueuse. Son parfum se répandait à une distance considérable, son arôme et sa saveur, pareils à ceux de la myrrhe, étaient toutefois plus légers. Brûlé, le bdellium répand une odeur balsamique. Les anciens l’utilisaient de la même manière que la myrrhe, dans les parfums, l’encens et les médicaments. – TG1965  1/12 p716

L’apparition de la manne ne relevait pas d’un phénomène naturel. Elle dépendait d’une force surnaturelle. C’est ce qui explique, par exemple, qu’elle pouvait se produire en tous lieux et en toutes saisons. Quand on voulait garder de la manne pour le lendemain, il s’y engendrait des vers et elle commençait à sentir ; toutefois, la double portion que chaque famille ramassait la veille du sabbat hebdomadaire ne s’abîmait pas pendant la nuit, si bien qu’elle pouvait être consommée le sabbat, jour où la manne n’apparaissait pas. Il est clair que la manne était une nourriture miraculeuse. – TG1999  15/8 p25

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Un incident survenu à l’époque du prophète Moïse nous aide à prendre conscience des soins pleins d’amour avec lesquels Jéhovah vient au secours de Ses serviteurs. Cela s’est passé à Tabérah, qui signifie “combustion [c.-à-d. incendie, embrasement]”. En cet endroit du désert du Sinaï, Dieu a fait s’embraser un feu contre des Israélites insatisfaits. La “multitude mélangée” qui était sortie d’Égypte avec le peuple d’Israël s’était associée à eux pour se plaindre de la nourriture fournie par Dieu. Sachant Dieu en colère et ne se sentant pas capable d’assumer ses responsabilités envers le peuple et de pourvoir à ses besoins, Moïse s’est mis à crier: “Je ne puis, à moi seul, porter tout ce peuple, car il est trop lourd pour moi. Si donc c’est de cette façon que tu agis avec moi, tue-moi tout à fait, je te prie, si j’ai trouvé faveur à tes yeux, et que je ne voie pas mon malheur!” (Nombres 11:1-15). À la suite de cela, qu’a fait Jéhovah? Il a nommé “soixante-dix hommes d’entre les anciens d’Israël” et il a mis son esprit sur eux afin qu’ils puissent participer aux tâches administratives confiées à Moïse (Nombres 11:16, 17, 24, 25). Ces hommes qualifiés ayant été désignés, il a été plus facile aux Israélites et au vaste mélange de gens de recevoir de l’aide ; À notre époque, les anciens œuvrent en qualité de responsables dans les quelque 120 400 assemblées de Témoins de Jéhovah dans le monde. – TG1993 15/5 p13 §6

Personne ne peut se croire à l’abri de l’avidité et de la convoitise. Dans le désert, les Israélites ont fait preuve d’une avidité révoltante en une certaine occasion. Lorsque Jéhovah leur a fourni des cailles en abondance parce qu’ils se plaignaient de ne manger que de la manne, ils se sont comportés en gloutons, ce qui leur a valu un châtiment sévère. Nombres 11:4-6, 31-33. Tous ces individus avides ont été punis. Dès lors, quelle que soient notre fortune, nos privilèges de service ou notre expérience, nous pouvons tous tomber dans ce piège. Ce n’est pas pour rien que Jésus a déclaré: “Gardez-vous de toute espèce de convoitise.” — Luc 12:15. Si nous voulons suivre ce conseil, il nous faudra pratiquer la maîtrise de soi et procéder régulièrement à un examen de conscience rigoureux. L’avidité prend naissance dans le cœur. Par conséquent, il importe que nous scrutions continuellement notre cœur pour voir si d’une manière ou d’une autre ce travers n’est pas en train d’y prendre racine. La Bible nous y aidera. Comment cela? Tout d’abord parce qu’elle nous rappelle ce que Jésus et ses disciples ont dit sur l’avidité. – TG1985  1/ 4 p16 §3

Les Israélites avaient quantité de choses spirituelles sur lesquelles fixer leurs pensées dans le désert. Ils étaient entrés en alliance avec Jéhovah et formaient une nation qui lui était vouée. Ils avaient reçu une prêtrise, un tabernacle pour centre de culte et un système d’offrandes de sacrifices à Jéhovah. Or, au lieu de se réjouir de ces dons spirituels, ils ont trouvé à redire aux dispositions d’ordre matériel prévues par Dieu. — Nombres 11:4-6.

De nos jours, contrairement aux Israélites dans le désert, le peuple de Jéhovah a son approbation. Individuellement, cependant, chacun doit continuer à penser à Dieu s’il veut être capable de repousser les envies égoïstes susceptibles d’obscurcir sa vision spirituelle. Il nous faut être déterminé “ à rejeter l’impiété et les désirs de ce monde, et à vivre avec bon sens et justice et attachement à Dieu dans le présent système de choses ”. (Tite 2:12.) Que ceux d’entre nous qui font partie de la congrégation chrétienne depuis leur petite enfance ne pensent pas qu’ils manquent quelque chose de bon. Si de telles idées devaient un jour nous traverser l’esprit, souvenons-nous de Jéhovah et des merveilleuses bénédictions qu’il nous réserve. – TG2001  15/6 p13

Bien des circonstances de la vie peuvent être vues sous deux angles différents : positif ou négatif ; c’est une question d’attitude d’esprit. Dans le désert, les Israélites ont été nourris miraculeusement de la manne. S’ils avaient regardé autour d’eux, ils auraient été profondément reconnaissants à Jéhovah de pourvoir à leur subsistance dans cette contrée désolée. Cela aurait été le signe d’une attitude d’esprit positive. Tout au contraire, ils se sont souvenus de la grande variété de nourriture que l’on trouvait en Égypte et se sont plaints de cette manne qu’ils jugeaient rebutante. Quelle attitude négative ! — Nombres 11:4-6.

De nos jours, pareillement, le chrétien peut, selon son attitude d’esprit, voir les choses sous un jour soit radieux, soit désespérant. Sans une bonne attitude, il pourrait facilement perdre sa joie, ce qui serait grave, car, dit Néhémie, “ la joie de Jéhovah est notre forteresse ”. (Néhémie 8:10.) Outre qu’ils nous aident à demeurer forts, l’optimisme et la joie favorisent la paix et l’unité de l’assemblée. — TG2000  1/9 p11 §1,2

Pourquoi n’est-il pas sage de nous dire sans arrêt que notre vie était plus agréable avant ? La nostalgie peut nous amener à nous rappeler uniquement les bonnes choses du passé et à minimiser les difficultés que nous rencontrions. Prenons le cas des Israélites. Après avoir quitté l’Égypte, ils ont vite oublié à quel point leur vie avait été difficile là-bas. De quoi se souvenaient-ils surtout ? Ils disaient : « Quels bons souvenirs nous avons du poisson que nous mangions gratuitement en Égypte, sans parler des concombres, des pastèques, des poireaux, des oignons et de l’ail ! » (Nomb. 11:5). Mais était-ce vraiment « gratuitement » qu’ils mangeaient tout cela ? Non. Ils payaient le prix fort : ils étaient esclaves, et les Égyptiens les maltraitaient ! (Ex. 1:13, 14 ; 3:6-9). Mais par la suite, ils ont oublié ces difficultés et ils se sont mis à regretter le passé. Ils rêvaient du « bon vieux temps » au lieu de se concentrer sur ce que Jéhovah venait de faire pour eux. Cela ne lui a pas du tout plu (Nomb. 11:10). – TG2020/11  p24 §6

En aspirant à retourner en Égypte, la nation désobéissante a montré qu’elle n’accordait que peu de valeur aux bénédictions spirituelles qu’elle avait reçues ; elle leur préférait les poireaux, les oignons et l’ail du pays qu’elle avait fui (Nomb. 11:5). Aussi ingrate qu’Ésaü, elle était prête à renoncer à son précieux héritage spirituel en échange d’une nourriture savoureuse. – TG2011 15/7 p24

Quand nous rencontrons des difficultés, il est facile de regretter le « bon vieux temps », peut-être l’époque où nous n’avions pas encore pris position pour la vérité. Quand cela nous arrive, nous avons souvent tendance à exagérer les joies et à minimiser les problèmes du passé. C’est ce qu’ont fait les Israélites après avoir quitté l’Égypte (Nb 11:5, 6). Si nous nous attardons sur de telles pensées, nous pourrions être tentés de retourner à notre ancien mode de vie. Il est de loin préférable de compter nos bénédictions actuelles et de nous concentrer sur les joies que nous apportera le Royaume. Pour tracer des sillons droits, le laboureur ne devait pas se laisser distraire par ce qui était derrière lui. Pareillement, un chrétien ne peut pas se permettre de se laisser distraire par les choses qu’il a laissées derrière lui dans le monde – mwb2018/7 p3

Le découragement peut saper notre endurance et nuire à notre attachement à Dieu. Plus d’un serviteur de Jéhovah a connu le découragement (Nombres 11:11-15). Le découragement est particulièrement dévastateur s’il s’accompagne de ressentiment, parce qu’on nous a offensés ou encore repris ou disciplinés sévèrement. Mais la réprimande et la discipline prouvent que Dieu s’intéresse à nous et nous aime. Nous ne devrions pas considérer la discipline comme une punition, mais comme un moyen de nous former dans la voie de la justice. Si nous sommes humbles, nous apprécierons les conseils qu’on nous donne et nous les accepterons, convaincus que “ les blâmes de la discipline sont le chemin de la vie ”. (Proverbes 6:23.) De cette façon, nous serons de plus en plus attachés à Dieu. – TG2002  15/7 p13 §17

Appuyons-nous sur l’esprit saint - Si nous gardons constamment Jéhovah devant nous, il nous conduira par son esprit saint. L’esprit de Dieu reposait sur les 70 hommes qui furent choisis pour aider Moïse à “ porter la charge du peuple ” d’Israël. Seuls Eldad et Médad sont nommés, mais l’esprit a permis à chacun d’eux de s’acquitter de ses responsabilités (Nomb. 11:13-29). Assurément, ces hommes craignaient Dieu, étaient capables, dignes de confiance et honnêtes, comme ceux qui furent choisis auparavant (Ex. 18:21). Ce sont ces mêmes qualités que l’on retrouve chez les anciens aujourd’hui. – TG2008  15/2 p6 §16

Moïse exerçait une grande autorité sur le peuple de Dieu, mais il ne s’est pas accroché jalousement à cette autorité. Par exemple, un jour, Jéhovah lui a enlevé une partie de son esprit saint pour la donner à un groupe d’anciens qui se tenaient près de la tente de la rencontre. Peu après, Moïse a entendu dire que deux anciens qui ne s’étaient pas tenus près de la tente de la rencontre avaient eux aussi reçu de l’esprit saint et s’étaient mis à se conduire en prophètes. Comment a-t-il réagi quand Josué lui a demandé de les en empêcher ? Il n’a pas envié l’attention que Jéhovah accordait à ces deux hommes. Au contraire, il s’est réjoui avec eux de l’honneur qui leur était fait (Nomb. 11:24-29).

Quelle leçon pouvons-nous tirer de son exemple ? Si tu es ancien, est-ce qu’on t’a déjà demandé de former quelqu’un afin qu’il exerce dans l’assemblée une responsabilité qui te plaît beaucoup ? Parlons d’une autre situation, à laquelle beaucoup de frères âgés sont confrontés. Pendant plusieurs dizaines d’années, certains ont exercé la fonction de coordinateur dans un collège d’anciens. Mais arrivés à l’âge de 80 ans, ils ont volontiers accepté que cette responsabilité soit confiée à quelqu’un d’autre. Les responsables de circonscription qui ont 70 ans acceptent humblement de cesser d’effectuer cette activité pour accomplir une autre forme de service. De plus, on a récemment demandé à des béthélites du monde entier de devenir pionniers. Ces frères et sœurs fidèles n’éprouvent pas de ressentiment envers ceux qui exercent les responsabilités qu’ils assumaient autrefois. Si nous sommes humbles et que nous nous satisfaisons de ce que nous avons, nous respecterons, l’autorité que Jéhovah a confiée à d’autres – TG2020/2 p14 §10-12

Lorsque les Israélites ont désiré manger de la viande dans le désert, Jéhovah leur a donné des cailles en abondance. Cependant, leur avidité les a conduits à abuser égoïstement de ce don, ce qui a fait entrer Dieu dans une grande colère (Nombres 11:31-33). Depuis, Dieu n’a pas changé. Voilà pourquoi les chrétiens évitent le gaspillage, qui pourrait être un signe d’avidité. Certains peuvent penser qu’ils ont le droit de faire une consommation illimitée. Mais ces richesses ne doivent pas être gaspillées sous prétexte que nous pouvons nous les payer ou qu’elles sont abondantes. Après avoir nourri miraculeusement une foule nombreuse, Jésus a ordonné que l’on rassemble les morceaux de poisson et de pain qui restaient (Jean 6:12). Il a veillé à ne pas gaspiller ce que son Père avait offert. – RV2012/7 p10

L’esprit de Dieu a donné de la force à Moïse - Moïse était “ de beaucoup le plus humble ” de tous les humains de son époque (Nomb. 12:3). Cet homme doux de caractère s’est vu confier d’immenses responsabilités au sein du peuple d’Israël. L’esprit saint lui a donné la capacité de prophétiser, de juger, de rédiger une portion des Écritures, de conduire la nation et d’accomplir des miracles. Cependant, à un moment donné, Moïse a trouvé sa tâche trop lourde (Nomb. 11:14, 15). Jéhovah a alors enlevé “ une partie de l’esprit ” qui était sur lui et l’a mise sur 70 anciens afin qu’ils l’épaulent (Nomb. 11:16, 17). Même si la charge lui paraissait excessivement pesante, en réalité Moïse n’était pas livré à lui-même. Les 70 désignés pour l’aider ne le seraient pas non plus. Moïse avait reçu assez d’esprit saint pour s’acquitter de ses fonctions. Après la réorganisation, il en a reçu en quantité suffisante, tout comme les 70 anciens.

Jéhovah nous accorde autant d’esprit saint que nous en avons besoin, compte tenu de notre situation. “ Il ne donne pas l’esprit avec mesure ”, mais pleinement. Jean 1:16 ; 3:34.

Êtes-vous en butte à des épreuves ? Vous sollicite-t-on de plus en plus ? Vous démenez-vous pour combler les besoins physiques et spirituels de votre famille tandis que le coût de la vie augmente ou malgré des soucis de santé ? Assumez-vous d’importantes responsabilités dans l’assemblée ? Soyez convaincu que, par le moyen de son esprit, Dieu peut vous communiquer la force nécessaire pour surmonter n’importe quelle difficulté. — TG2011  15/12 p18 §3-5

À Moïse, son gendre modeste et humble qui s’épuisait à s’occuper des problèmes des autres, Jéthro donna un conseil pratique: celui de se décharger de certaines responsabilités sur d’autres hommes qualifiés (Exode 18:17-26; Nombres 12:3). “La sagesse est avec les modestes”, dit Proverbes 11:2. Être modeste, c’est connaître et accepter ses limites. Un homme modeste n’a pas de réticence à déléguer et il ne craint pas non plus de perdre son autorité en confiant des responsabilités appropriées à d’autres hommes capables (Nombres 11:16, 17, 26-29). Au contraire, il souhaite vivement les aider à progresser. — TG1995  1/12 p13 §16

Comme Miriam était prophétesse, elle a transmis des messages de Dieu. Elle occupait une position importante en Israël et elle a chanté, avec les hommes, un chant de victoire après que Dieu a détruit l’armée égyptienne dans la mer Rouge. Miriam et Aaron ont critiqué Moïse. Ils étaient de toute évidence motivés par l’orgueil et la jalousie. Mécontents de la manière dont Jéhovah se sert de Moïse, ils veulent avoir plus d’autorité et être plus influents. Est-ce parce que Moïse est autoritaire, un homme orgueilleux qui court après la gloire ? Il a certainement des défauts, mais l’ambition et l’orgueil n’en font pas partie. Dieu « écoutait », et il a sévèrement réprimandé Miriam et Aaron (Nombres 12:1-9). Il a ensuite frappé Miriam de la lèpre, apparemment parce qu’elle avait été à l’origine des critiques. Quand Moïse a supplié Dieu d’avoir pitié d’elle, Dieu l’a guérie. Après avoir été mise en quarantaine pendant sept jours, elle a été autorisée à rejoindre le camp d’Israël (Nombres 12:10-15).

La Bible indique que Miriam a accepté la réprimande. Des siècles plus tard, Dieu a fait allusion à l’honneur exceptionnel qu’elle avait reçu quand il a rappelé au peuple d’Israël : « J’ai envoyé devant toi Moïse, Aaron et Miriam » (Michée 6:4).

Qu’apprenons-nous de Miriam ? L’histoire de Miriam révèle que Dieu prête attention à ce que ses adorateurs disent les uns sur les autres. Elle nous apprend aussi que, pour plaire à Dieu, nous devons rejeter l’orgueil et la jalousie, des défauts qui pourraient nous amener à salir la réputation des autres - ijwbq article 161 - Questions bibliques

Concernant la faiblesse humaine, comment régler notre point de vue sur celui de Jéhovah ? En examinant comment il a traité diverses affaires impliquant certains de ses serviteurs. Comment aurais-tu considéré l’attitude d’Aaron lorsqu’influencé par sa sœur, Miriam, il a critiqué Moïse qui avait épousé une femme étrangère ? (Nomb. 12:1, 2). Jéhovah aurait pu punir Aaron sur-le-champ. Mais il a discerné que cet homme n’était ni foncièrement mauvais ni le plus coupable. Il semble qu’Aaron a laissé les circonstances ou certaines influences le détourner du droit chemin. Mais quand on lui a fait prendre conscience de ses erreurs, il les a reconnues volontiers et a soutenu les jugements divins. (Nomb. 12:11). Jéhovah a choisi de se concentrer sur sa foi et son attitude repentante. Des siècles plus tard, on se souvenait toujours de lui et de ses descendants comme d’hommes craignant Jéhovah.

Afin de régler notre pensée sur celle de Jéhovah, analysons la façon dont nous considérons ceux qui semblent faibles. Par exemple, comment réagissons-nous quand un adolescent manque de bon sens dans le choix d’un divertissement ou qu’il se montre désinvolte ? Au lieu d’être excessivement critiques, réfléchissons à ce que nous pourrions faire pour l’aider à mûrir. Prendre l’initiative d’apporter notre aide à celui qui en a besoin nous rendra plus compréhensifs et nous fera grandir en amour. TG2014  15/6 p23 §11-13

Non seulement Moïse écoutait ceux qu’il affectionnait, mais encore il priait pour eux. Il a même prié pour des personnes qui lui avaient causé du tort. Un jour, Miriam, sa sœur, a murmuré contre lui. Jéhovah l’a alors frappée de lèpre. Loin de se réjouir de cette punition, Moïse est rapidement intervenu en faveur de sa sœur. « Ô Dieu, s’il te plaît ! Guéris-la, s’il te plaît ! » a-t-il supplié (Nombres 12:13). Quel sentiment autre que l’amour aurait pu pousser Moïse à prononcer une prière aussi désintéressée ? Imitons Moïse en cultivant de l’amour pour les autres, même si cela réclame des sacrifices. – TG2013  1/ 2 p6

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