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Perles spirituelles - Semaine du 22 Mars 2021 - Nombres 13-14


misette

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Perles spirituelles (10 min) : Nombres 13-14

Nombres 13:27 : Quelles informations ramenées par les espions auraient dû fortifier la foi des Israélites ? Lv 20:24 ; it-1 740

« Voici ce qu’ils racontèrent à Moïse : « Nous sommes entrés dans le pays où tu nous as envoyés ; le lait et le miel y coulent vraiment à flots ; en voilà les fruits.»

Le pays que Dieu donna à Israël était incontestablement un bon pays. Lorsque Moïse envoya des espions en avant de la nation avec mission d’explorer la Terre promise et de se procurer des échantillons de ses produits, ils rapportèrent des figues, des grenades et une grappe de raisin si grosse que deux hommes la portaient entre eux sur une barre ! Même s’ils reculèrent de peur par manque de foi, ils reconnurent : le pays “ ruisselle vraiment de lait et de miel ”. — Nb 13:23, 27. - it-1 p740

Croire une information mensongère peut avoir de graves conséquences. C’est ce qui s’est passé à l’époque de Moïse, quand 10 des 12 espions qui avaient exploré la Terre promise ont fait un rapport négatif et exagéré (Nomb. 13:25-33). Les Israélites l’ont cru et se sont complètement découragés (Nomb. 14:1-4). Ils se sont peut-être dit que, comme la plupart des espions avaient dit la même chose, ce devait être vrai. Ils n’ont donc pas voulu écouter le rapport positif présenté par Josué et Caleb, des hommes dignes de confiance (Nomb. 14:6-10). Au lieu de chercher à connaître les faits et d’avoir foi en Jéhovah, ils ont choisi de croire le rapport négatif. Quelle réaction stupide !

Nous devons être particulièrement prudents quand nous entendons des choses sur les Témoins de Jéhovah. N’oublions pas que Satan est « l’accusateur de nos frères » (Rév. 12:10). C’est pourquoi Jésus nous a avertis que des opposants diraient « toutes sortes de mensonges malveillants » contre nous (Mat. 5:11). Si nous gardons à l’esprit cet avertissement, nous ne serons pas surpris d’entendre des choses choquantes sur les Témoins. – TG2018/8 §5,6

Nous risquons à tout moment d’être incités à suivre la foule. Cette pression se fait parfois sentir tout à coup, et il peut être très difficile d’y résister. Songez par exemple à ce que Josué et Caleb ont un jour vécu. Ils faisaient partie des 12 espions envoyés en Terre promise. Une fois de retour, dix d’entre eux ont tenu des propos négatifs et décourageants. Ils ont même affirmé que certains habitants du pays étaient des géants qui descendaient des Nephilim, hybrides nés de l’union entre des anges rebelles et des femmes (Gen. 6:4). Cette affirmation était absurde. Les Nephilim avaient été supprimés lors du déluge, des siècles auparavant, et ils n’avaient pas eu d’enfants. Malheureusement, même des déclarations non fondées parviennent à influencer ceux qui manquent de foi. Le compte rendu négatif de ces dix espions a rapidement semé la panique chez les Israélites. La plupart en ont bientôt conclu que ce serait une erreur d’entrer en Terre promise, alors que Jéhovah les y invitait. Dans cette situation pour le moins tendue, qu’ont fait Josué et Caleb ? — Nomb. 13:25-33.

Ils n’ont pas suivi la foule. Ils ont défendu la vérité, même quand on les a menacés de mort. D’où tiraient-ils leur courage ? En grande partie de leur foi. Les hommes de foi voient clairement la différence entre les opinions humaines non fondées et les promesses sacrées de Jéhovah Dieu. Les deux hommes ont plus tard exprimé leur confiance en Jéhovah, affirmant qu’il réalise la moindre de ses promesses. Josué et Caleb étaient attachés à Dieu et n’ont jamais envisagé de suivre la foule incrédule, ce qui les aurait conduits à le décevoir. Ils sont restés fermes et sont donc pour nous d’excellents exemples. – TG2011  15/7 §5,6

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Les douze espions choisis par Moïse pour explorer la Terre promise durent, faire preuve de courage. Ces hommes partirent vers le nord, traversèrent le Négueb et pénétrèrent dans la région montagneuse au-delà pour examiner le pays et ses habitants. Ceux-ci seraient-ils forts ou faibles, en grand nombre ou peu nombreux ? Le pays serait-il bon ou mauvais ? Les espions devaient se renseigner sur les villes, les habitations, les camps et les fortifications. Le sol serait-il gras ou maigre ; y aurait-il des arbres ? Avant de les envoyer, Moïse leur déclara : “ Ayez bon courage, et prenez des fruits du pays. ” C’est ce qu’ils firent et “ ils furent de retour de l’exploration du pays au bout de quarante jours ”. (Nomb. 13:17-25.) Qu’avaient-ils trouvé ? Un pays où coulaient le lait et le miel. Pour le prouver, ils montrèrent les fruits qu’ils y avaient cueillis. Ce fut donc un rapport favorable. Mais dix des douze espions eurent peur des habitants qu’ils avaient vus. Ils racontèrent que les villes étaient très grandes et fortifiées et que ce serait une folie de vouloir pénétrer dans ce pays. Caleb, un espion courageux, comme Josué, exprima l’avis contraire, disant : “ Montons, emparons-nous du pays, nous y serons vainqueurs. ” (Nomb. 13:30). Les Israélites se laissèrent effrayer par le rapport des dix et ne mirent pas leur confiance en Jéhovah Dieu. Ils murmurèrent contre Moïse et son frère Aaron, et beaucoup d’entre eux dirent : “ Que ne sommes-nous morts dans le pays d’Égypte, ou que ne sommes-nous morts dans ce désert ! ” — Nomb. 14:2.

La crainte des hommes, la crainte des gouvernements déjà établis dans la Terre promise, voilà ce qui empêcha les enfants d’Israël d’aller plus avant. Josué et Caleb, deux hommes fidèles qui avaient exploré le pays, déchirèrent leurs vêtements, “ et ils parlèrent ainsi à toute l’assemblée des enfants d’Israël : Le pays que nous avons parcouru pour l’explorer est un excellent pays. Si Jéhovah nous est favorable, il nous fera entrer dans ce pays et nous le donnera ; c’est un pays où coulent le lait et le miel. Seulement ne vous mettez pas en rébellion contre Jéhovah, et ne craignez point les hommes de ce pays, car ils seront pour nous une pâture ; leur abri s’est retiré d’eux, et Jéhovah est avec nous, ne les craignez point ”. — Nomb. 14:5-9, 

Pour les enfants d’Israël, c’était comme s’ils entraient dans un monde nouveau. Ce pays était très différent du désert, un pays très beau, presque un jardin d’Éden. Mais pour le posséder, ils devaient travailler, voire combattre, mais non par leur propre force. Il fallait avoir confiance en Dieu

À la clôture du présent système de choses, combien de personnes auront le courage d’aller de l’avant et d’entrer dans un monde nouveau fondé sur la justice ? Combien de gens désirent un tel monde ? Et combien ont le courage de l’annoncer publiquement de maison en maison ? Et vous, croyez-vous que le Grand Moïse, Jésus-Christ, est mort pour vous, pour vous permettre de vivre ici-bas dans cette terre promise qui sera le nouveau jardin d’Éden ? – TG1962  15/3

Les espions qui pénétrèrent en Terre promise, “ un pays [...] de vignes, de figues et de grenades ”, rapportèrent du ouadi d’Eshkol une grappe de raisin si grosse qu’il fallut l’accrocher à une barre portée par deux hommes (Nb 13:23). On raconte que les grappes de raisin de cette région pèsent couramment 4,5 à 5,5 kg. On a signalé une grappe pesant 12 kg et une autre de plus de 20 kg. Les espions sont tellement impressionnés par leur cueillette qu’ils nomment cette région fertile “ ouadi d’Eshkol ”, ou “ Grappe de raisin ” - it-2 p1154

Que voulaient dire Josué et Caleb quand ils parlèrent des habitants de Canaan comme du “ pain ” ? Le terme “ pain ”, tel qu’il est employé dans la Bible, a plusieurs sens figurés. Par exemple, Josué et Caleb dirent aux Israélites rassemblés que les habitants de Canaan étaient ‘ du pain pour eux ’, ce qui signifiait apparemment qu’ils pourraient aisément les vaincre et que cette victoire soutiendrait et affermirait Israël (Nb 14:9). Josué et Caleb affichaient-ils un optimisme démesuré ? Pas du tout. Comme le reste de la nation, ils avaient vu Jéhovah humilier la puissante Égypte et ses dieux par les dix plaies.

Puis ils avaient vu Jéhovah engloutir Pharaon et ses forces militaires dans la mer Rouge. Il est indéniable que la peur dont étaient saisis les dix espions et ceux qui s’étaient laissé influencer par leur rapport était inexcusable. Jéhovah exprima d’ailleurs sa profonde déception : “ Jusqu’à quand n’auront-ils pas foi en moi, malgré tous les signes que j’ai accomplis au milieu d’eux ? ” — Nombres 14:11. À notre époque, c’est grâce à une foi pareille à celle de Josué et de Caleb que la Bonne nouvelle du Royaume est prêchée dans le monde entier par plus de huit millions de Témoins de Jéhovah, jeunes et vieux, vigoureux ou de constitution fragile. Aucun ennemi n’a réussi à réduire au silence cette puissante et courageuse armée. – TG2009/8 

Le cas des Israélites que Jéhovah a libérés d’Égypte montre que le manque de foi peut endurcir le cœur. La nation a vu Dieu opérer pour elle de nombreux miracles, parfois redoutables ! Pourtant, à l’approche de la Terre promise, les Israélites ont manqué de foi. Au lieu de faire confiance à Jéhovah, ils ont eu peur et ont murmuré contre Moïse. Ils ont même voulu retourner en Égypte, où ils avaient été esclaves ! Profondément peiné, Jéhovah a dit : « Jusqu’à quand ce peuple va-t-il manquer de respect envers moi ? » (Nomb. 14:1-4, 11 ; Ps. 78:40, 41). Parce que son manque de foi avait endurci son cœur, cette génération a péri dans le désert.

Aujourd’hui, à l’approche du monde nouveau, c’est notre foi qui est mise à l’épreuve. Il est bien d’en évaluer la qualité. Nous pourrions analyser notre façon de considérer les paroles de Jésus en Matthieu 6:33. Demande-toi : « Mes priorités et mes décisions montrent-elles que je crois réellement les paroles de Jésus ? Est-ce que je déciderais de manquer des réunions ou de prêcher moins pour augmenter mes revenus ? Que ferai-je si la pression du travail continue de s’intensifier ? Vais-je laisser le monde me couler dans son moule, voire me faire quitter la vérité ? » - TG2016/6

L’IMPORTANCE D’UNE BONNE CONDITION DE CŒUR - Puisque la foi se base sur des preuves, pour qu’elle naisse, il faut commencer par acquérir « une connaissance exacte de la vérité » (1 Tim. 2:4). Mais ce n’est pas suffisant. L’apôtre Paul a écrit : « C’est avec le cœur qu’on exerce la foi » (Rom. 10:10). Il faut croire dans les vérités bibliques, mais aussi leur accorder de la valeur. C’est seulement alors qu’on sera poussé à exercer la foi, c’est-à-dire à agir en accord avec ces vérités. Une personne qui n’éprouve pas une reconnaissance sincère pour les vérités de la Bible peut en arriver à rejeter des preuves convaincantes si elle s’accroche obstinément à des idées préconçues ou si elle se cherche des excuses pour faire ce qui lui plaît. C’est pour cela qu’aux temps bibliques, ceux qui ont été témoins de miracles n’ont pas tous eu foi pour autant (Nomb. 14:11). L’esprit de Dieu produit la foi seulement chez ceux qui préfèrent la vérité au mensonge – TG2019/8

Pendant les 40 ans qui ont suivi, de 1513 à 1473 av. notre ère, Moïse a connu bien des déceptions. Il a néanmoins guetté les occasions d’honorer Jéhovah et a chaleureusement encouragé ses frères à faire de même. Pourquoi ? Parce qu’il aimait le nom et la souveraineté de Jéhovah plus que son propre nom (Ex. 32:10-13 ; Nomb. 14:11-16). En dépit des déceptions ou des contrariétés, nous devrions nous aussi soutenir la domination de Dieu, confiants que ses manières d’agir sont plus sages, plus justes et meilleures qu’aucune autre. En êtes-vous convaincu ? – TG2011  15/3

À se laisser abuser par les apparences, les Israélites ont connu d’autres revers encore. Parce qu’ils marchaient par la vue, ils ont tremblé de peur devant leurs ennemis (Nombres 13:28, 32 ; Deutéronome 1:28). C’est pour cette raison aussi qu’ils ont contesté l’autorité de Moïse, pourtant conférée par Dieu, et qu’ils se sont plaints de leur sort. À cause de ce manque de foi, ils ont dit préférer l’Égypte, un pays dominé par les démons, à la Terre promise (Nombres 14:1-4 ; Psaume 106:24). Jéhovah a dû être terriblement blessé de constater le mépris odieux de ce peuple pour son Roi invisible !

Nous qui servons Jéhovah aujourd’hui, nous attachons beaucoup de prix à nos bonnes relations avec lui. Nous avons le souci de tirer des enseignements du passé et de tenir compte de ces leçons précieuses dans notre vie. Parce que les Israélites ont marché par la vue, ils ont oublié que, par l’intermédiaire de Moïse, c’était Dieu qui les dirigeait. Si nous n’y prenons garde, nous aussi nous pouvons oublier que ce sont Jéhovah Dieu et le Grand Moïse, Jésus Christ, qui dirigent la congrégation chrétienne de nos jours. Nous devons veiller à ne pas considérer d’un regard purement humain la partie terrestre de l’organisation de Jéhovah. Si nous commettions cette erreur, nous risquerions d’adopter un esprit critique, et de manquer de reconnaissance pour les représentants de Jéhovah et pour la nourriture spirituelle qui nous est fournie par “ l’esclave fidèle et avisé ”. – TG2005  15/9

Les Israélites, pas plus que les Égyptiens, n’avaient jamais rien vu de pareil. Alors qu’ils fuyaient l’Égypte, une colonne de nuage se tenait auprès d’eux jour après jour. La nuit, elle se transformait en une colonne de feu. Phénomène impressionnant, s’il en est ! Mais d’où venait-elle ? “ Jéhovah marchait en avant d’eux, le jour dans une colonne de nuage pour les conduire par le chemin, et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer, pour qu’ils puissent marcher le jour et la nuit. ” (Ex. 13:21, 22). Jéhovah a utilisé la colonne de feu et de nuage pour conduire ses serviteurs hors d’Égypte et les guider dans le désert. Ces derniers devaient se tenir prêts à la suivre. Lorsqu’ils ont été sur le point d’être rattrapés par les forces égyptiennes, la colonne les a protégés en se plaçant entre les deux camps (Ex. 14:19, 20). Elle n’indiquait pas la voie la plus directe vers la Terre promise, mais le seul moyen d’arriver à destination était de se fier à sa direction.

La présence de cette colonne garantissait aux Israélites que Dieu était avec eux. Elle représentait Jéhovah, qui a parfois parlé du milieu d’elle (Nomb. 14:14 ; Ps. 99:7). En outre, elle rappelait que Moïse était le guide que Dieu avait choisi pour la nation. Aujourd’hui, Jéhovah ne laisse pas non plus son peuple sans direction claire. De même qu’il n’a pas demandé aux Israélites de trouver tout seuls leur chemin, de même il ne nous demande pas de trouver tout seuls la voie qui mène au monde nouveau promis. Il a nommé Jésus Christ “ Conducteur ”. Jésus, quant à lui, a délégué une partie de son autorité à un esclave fidèle, constitué de chrétiens oints de l’esprit. Cet esclave, pour sa part, établit des anciens. – TG2011  15/4

Nombres 14:24. Un bon moyen de ne pas céder aux pressions du monde pour nous inciter à faire le mal est de manifester “ un autre esprit ” (ou attitude mentale), esprit qui doit être différent de celui du monde. – TG2004  1/8

Comme Jéhovah avait choisi Moïse et Aaron pour guider son peuple, il exigeait d’eux « plus que d’ordinaire ». Quarante ans plus tôt, Jéhovah n’avait pas permis à toute une génération d’Israélites d’entrer en Terre promise parce qu’ils s’étaient rebellés contre lui (Nomb. 14:26-30, 34). C’était donc juste et approprié qu’il punisse Moïse de la même façon pour sa rébellion. Tout comme les autres rebelles, Moïse n’a pas été autorisé à entrer en Terre promise. Qu’est-ce qui a amené Moïse à se rebeller contre Jéhovah ? Relisons Psaume 106:32, 33 : « Ils provoquèrent sa colère [celle de Jéhovah] aux eaux de Meriba, et, à cause d’eux, les choses tournèrent mal pour Moïse. Ils aigrirent son esprit [celui de Moïse], si bien qu’il parla avec ses lèvres sans réfléchir. » C’est envers Jéhovah que les Israélites ont mal agi, mais c’est Moïse qui s’est irrité. Son manque de maîtrise l’a amené à parler sans penser aux conséquences. Moïse n’a pas gardé les yeux fixés sur Jéhovah en cette occasion parce qu’il a laissé le comportement des autres le distraire.

Si un prophète aussi fidèle que Moïse a pu se laisser distraire et pécher, la même chose pourrait facilement nous arriver. Tout comme Moïse était sur le point d’entrer en Terre promise, nous sommes sur le point d’entrer dans le monde nouveau. Nous accordons certainement de la valeur à ce privilège. Mais pour ne pas le perdre, nous devons garder les yeux fixés sur Jéhovah et toujours lui obéir. – TG2018/7

 

 

Nombres 13:23
"Lorsqu’ils arrivèrent à la vallée de l’Èshkol, ils coupèrent une branche sur laquelle se trouvait une seule grappe de raisin, qu’ils durent porter à deux au moyen d’une barre. Ils cueillirent aussi des grenades et des figues"
 
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