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Eric Ouellet

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                                                                          Jéhovah est un Dieu aux Paroles de vérité

     

    Rm 3:4 : De quelles façons Dieu peut-il être « reconnu véridique » ? (w08 15/6 30 § 5).

    Rm 3:4. Quand la parole de l’homme est en contradiction avec ce que Dieu dit dans sa Parole, nous sommes convaincus “ que Dieu [sera] trouvé véridique ”. Nous nous fions donc au message de la Bible et nous agissons en harmonie avec la volonté de Dieu. En participant avec zèle à l’œuvre consistant à prêcher le Royaume et à faire des disciples, nous pouvons aider autrui à constater que Dieu est véridique. w08 15/6 30

    L’erreur et l’injustice des hommes ne portent pas préjudice à Dieu. Elles font ressortir plus nettement encore sa véracité, sa sainteté et sa justice, et ce contraste frappant contribue à le glorifier. On pourrait répondre que, dans ce cas, lorsque les hommes font le mal, leur inconduite tourne, au moins indirectement, à l’avantage de Dieu.

    LA PLUPART des exemplaires de la Parole écrite de Dieu, la sainte Bible, se trouvent dans la chrétienté. Mais cette dernière l’accepte-t-elle pour autant comme “la parole de vérité” ? Autrement dit, y croit-elle réellement ? Par ses actes, qui sont plus éloquents que ses paroles, elle montre qu’elle n’accepte pas la sainte Bible et qu’elle lui préfère la science, la philosophie et la politique de ce monde. Que doivent en déduire les quelque deux milliards d’hommes qui ne font pas partie de la chrétienté ? Logiquement, ils pourraient poser cette question : Du moment que la chrétienté ne croit pas et n’obéit pas à son grand livre saint, n’est-ce pas là une preuve que la sainte Bible ne contient pas la vérité, que le Dieu de la Bible n’existe pas ? N’est-ce pas au moins un signe indiquant qu’il n’est pas le vrai Dieu, qu’il ne dit pas la vérité, bref, qu’il est menteur ? Ceux qui, tout en ne faisant pas partie de la chrétienté, connaissent bien la Bible, répondront par un Non ! catégorique.

    Invoquons le témoignage d’un écrivain biblique bien connu. Il s’agit de l’apôtre Paul, qui vécut il y a dix-neuf siècles. À son époque, ceux qui lisaient la Bible se trouvaient dans une situation semblable à la nôtre. Paul, Juif circoncis, dut s’élever contre sa propre nation, car celle-ci avait présenté sous un faux jour la Bible hébraïque de ce temps-là. 
    Les Juifs divisaient ces Écrits en vingt-quatre livres, alors que la chrétienté les répartit en trente-neuf livres. Ces Écrits sacrés, remplis de prophéties prononcées au nom de Dieu, auraient dû amener les Juifs à devenir disciples de Jésus-Christ, qui vint, parla, vécut, travailla, mourut et ressuscita d’entre les morts dans leur pays même.

    Les prophéties divines de la Bible eurent beau se réaliser parmi eux, prouvant que Jésus, descendant du roi David, était le Christ, les Juifs, dans leur immense majorité, refusèrent de l’accepter. En s’obstinant à ne pas y croire, ils désobéirent à leur Dieu Jéhovah. 

    Nous ne perdons pas de vue que la plupart des Juifs circoncis de ce temps-là repoussaient le témoignage de leurs propres saints Écrits prophétiques. Mais ce refus de leur part prouvait-il que les saintes déclarations de Dieu étaient fausses ? Leur incroyance montrait-elle que Dieu, l’Inspirateur de la sainte Bible, n’avait pas respecté ses engagements dans l’alliance qu’il avait conclue avec les Juifs par la médiation de Moïse ? Dieu s’était-il montré indigne de faire l’objet de notre confiance, de notre foi ? En ce cas, ferions-nous mieux de rejeter la Bible parce qu’elle serait non véridique ou simplement l’œuvre d’écrivains ordinaires, susceptibles de se tromper, voire de mentir ?  Devrions-nous suivre l’exemple des Juifs et nous attacher plutôt aux traditions humaines qu’aux saintes Écritures ?
    Pour démontrer la véracité de Dieu, pourquoi l’apôtre Paul cite-t-il les paroles de David contenues au Psaume 51:4 51:2, NW ?

    Pour démontrer la fidélité et la véracité de Dieu, l’apôtre Paul cite les paroles du roi David consignées dans Psaume 51:6 51:4, NW. Pourquoi ? Dans ce psaume, David n’essaie pas de se défendre, de s’excuser ou de se déclarer juste et, du coup, de discréditer Dieu. David reconnaît son tort, son péché, et rend témoignage à la véracité et à la justice de Dieu.

    David déclare : “Ô Dieu ! aie pitié de moi dans ta bonté ; selon ta grande miséricorde, efface mes transgressions ; lave-moi complètement de mon iniquité, et purifie-moi de mon péché. Car je reconnais mes transgressions, et mon péché est constamment devant moi. J’ai péché contre toi seul, et j’ai fait ce qui est mal à tes yeux, en sorte que tu seras juste dans ta sentence, sans reproche dans ton jugement. Voici, je suis né dans l’iniquité, et ma mère m’a conçu dans le péché. Mais tu veux que la vérité soit au fond du cœur : fais donc pénétrer la sagesse au dedans de moi ! Purifie-moi avec l’hysope, et je serai pur ; lave-moi, et je serai plus blanc que la neige.” — Ps. 51:3-9 51:1-7, NW ; Rom. 3:4.

    C’est contre toi — contre toi avant tout — que j’ai péché ; j’ai fait ce qui est mal à tes yeux. Ainsi, tu es juste quand tu parles, tu es droit quand tu juges.                                               

    Si les hommes en général, et plus particulièrement ceux de la chrétienté et du judaïsme, se repentaient comme le roi David de Jérusalem, ils confesseraient qu’ils sont pécheurs dès leur naissance et enclins à l’erreur depuis leur conception dans le sein de leur mère. Alors, ils s’humilieraient devant Dieu au lieu de contester sa vérité et de défendre la science et la morale humaines. Ils reconnaîtraient qu’ils sont pécheurs et que c’est à juste titre que la loi de Dieu les condamne. Ils admettraient que Dieu est véridique quand il parle et juge, quand bien même cet aveu ferait d’eux des menteurs. En agissant de la sorte, ils montreraient la vraie sagesse. Ils auraient la bonne attitude à l’égard de la Parole écrite de Dieu. Ils l’accepteraient, y croiraient, la comprendraient et vivraient en harmonie avec elle. Par leur comportement, ils recommanderaient la Bible aux hommes à qui ils l’offrent.

    Les hommes nés dans l’erreur et le péché peuvent raisonner de la sorte. Ils prétendront que Dieu agit injustement en restant fidèle à sa Parole de vérité et en exécutant sur eux ses jugements à cause de leur injustice.

    En raisonnant ainsi, les sages de ce monde se révèlent être des menteurs qui s’enfoncent dans l’erreur. Selon eux, les pécheurs n’ont pas à craindre un jugement de condamnation de la part de Dieu. Ils ne tiennent aucun compte du fait que le péché, l’erreur et la transgression des lois sont mauvais en soi. Une philosophie religieuse serait dans l’erreur si elle prétendait qu’une faute qui ne fait du tort qu’à ceux qui la commettent n’est pas un péché. Il serait faux également de dire que le mal que nous faisons n’est pas un péché méritant un châtiment simplement parce que notre acte procure accidentellement à quelqu’un un avantage ou un bienfait. N’en déplaise à certaines philosophies religieuses, un mal est un mal, et personne n’a le droit de faire du tort à quelqu’un, fût-ce à soi-même. Pourquoi ?

    Chacun de nous est le produit de la création divine, et nul n’a le droit de nuire à ce que Dieu a créé. Toute action mauvaise est un péché, parce qu’elle constitue une violation de la loi de Dieu régissant la vie de ses créatures. Dieu ne désire nullement nous voir pécher simplement pour faire éclater sa propre justice.
    Si nous désirons aimer, honorer et respecter Dieu notre Créateur, que devons-nous faire ? Nous agirons de façon “que Dieu soit trouvé véridique” chaque fois qu’il y a une controverse entre Dieu et les hommes. Nous ferons cela en nous référant à la Parole écrite de Dieu, la Bible. Nous accepterons comme vrai tout ce qu’elle dit sur l’histoire des hommes, les doctrines religieuses et la ligne de conduite à suivre lorsque les hommes et les institutions politiques de ce monde deviennent très exigeants. Nous reconnaîtrons de tout notre cœur que la Parole écrite de Dieu, l’Écriture sainte, constitue le critère pour déterminer ce qui est vérité et justice.
                                                                         “Ta parole est vérité.(Jean 17:17)

    Tous les commandements divins consignés dans la Parole écrite de Dieu ont été donnés en vue de l’accomplissement de la vérité. Leur but est d’aider les hommes obéissants à se conformer sans cesse à la vérité. Dieu a promulgué ses commandements afin de faire concourir les personnes et les choses à la réalisation de ses prophéties, pour que celles-ci se révèlent véridiques. w66 1/3 p. 133-138

    Rm 3:24, 25 : Comment « la rançon payée par Christ Jésus » pouvait-elle, avant d’avoir été payée, couvrir « les péchés qui s’étaient produits dans le passé » ? (w08 15/6 29 § 6).

    Dieu se révèle juste dans toutes ses actions. On constate que dans ses manières d’agir envers les humains imparfaits Dieu n’enfreint jamais les normes de justice et de droit qu’il a lui-même fixées. Il ne déclare pas justes des pécheurs en vertu de leur propre mérite, ce qui reviendrait à passer sur le péché (Ps 143:1, 2). L’apôtre Paul explique : “ Tous, en effet, ont péché et n’atteignent pas à la gloire de Dieu, et c’est comme don gratuit qu’ils sont déclarés justes par sa faveur imméritée, en raison de la libération par la rançon payée par Christ Jésus. Dieu l’a exposé comme offrande de propitiation, grâce à la foi en son sang. C’était afin de montrer sa propre justice, parce qu’il pardonnait les péchés qui s’étaient produits dans le passé pendant que Dieu usait de patience ; de façon à montrer sa propre justice à l’époque présente, pour qu’il soit juste même quand il déclare juste l’homme qui a foi en Jésus. ” (Rm 3:23-26). Ainsi Dieu, par faveur imméritée, a offert un moyen légal fondé sur le sacrifice de Christ, moyen par lequel il reste absolument droit et juste lorsqu’il pardonne les péchés de ceux qui exercent la foi.    it-1 610

    La rançon fournie par Jéhovah et ses bienfaits attestent éloquemment de l’amour et de la miséricorde de Jéhovah, mais aussi de sa fidélité à ses normes élevées de justice, car au travers de la rançon il montre “ sa propre justice à l’époque présente, pour qu’il soit juste même quand il déclare juste l’homme qui [bien qu’imparfait] a foi en Jésus ”. — Rm 3:21-26 it- 1264


    Toutefois c'est sur le fondement du sacrifice à venir de Jésus Christ que Dieu put pardonner à David repentant sans déroger à sa justice (Rm 3:25, 26) it-1177
    Sur la base du futur sacrifice de Jésus Christ, Dieu pouvait pardonner les péchés de David tout en ne dérogeant pas à Sa justice (Psaume 32:1, 2). D’ailleurs, la Bible explique que l’accomplissement le plus remarquable de la rançon offerte par Jésus est précisément “ de montrer sa propre justice [celle de Dieu], parce qu’il pardonnait les péchés qui s’étaient produits dans le passé ”, de même que ceux de “ l’époque présente ”. — Romains 3:25, 26.

    Les humains reçoivent de grands bienfaits grâce à la valeur du sang de Jésus. Sur la base de la rançon, les pécheurs repentants peuvent cultiver des relations d’intimité avec Dieu. En outre, la rançon offre la perspective d’une résurrection dans le monde nouveau prévu par Dieu. Cette résurrection concernera les serviteurs de Dieu fidèles qui sont morts avant que la rançon ait été payée, et même de nombreuses personnes qui n’adoraient pas Dieu et sont mortes dans l’ignorance. La Bible dit en effet : “ Il va y avoir une résurrection tant des justes que des injustes. ” (Actes 24:15). À cette époque-là, sur la base de la rançon, Jéhovah accordera à tous les humains obéissants la vie éternelle (Jean 3:36). w05 1/11 13 

    Jéhovah a fait en sorte que même les humains ayant vécu avant Christ bénéficient de la rançon. À ses yeux, dès l’instant où il a annoncé la venue d’un Sauveur pour l’humanité, la rançon était pour ainsi dire payée, car il sait que son dessein ne peut échouer (Gen. 3:15). Des siècles plus tard, l’apôtre Paul a exprimé sa gratitude envers Dieu pour « la libération par la rançon payée par Christ Jésus ». Il a ajouté que Dieu « pardonnait les péchés qui s’étaient produits dans le passé pendant qu[’Il] usait de patience » (Rom. 3:21-26). Ainsi, sans le sacrifice de Jésus, aucun humain ne pourrait être proche de Dieu. w14 15/8 18 

    Rien ne peut empêcher le Dieu Tout-Puissant, Jéhovah, de réaliser ce qu’il souhaite. C’est pourquoi, à peine l’homme était-il tombé dans le péché que Dieu, par anticipation, considérait la rançon comme déjà payée ; il pouvait dès lors entretenir des relations avec ceux qui exerçaient la foi dans l’accomplissement de ses promesses. C’est ce qui a permis à des descendants d’Adam, eux aussi pécheurs, tels que Hénok, Noé et Abraham, de marcher avec lui et d’être ses amis, sans pour autant nuire à sa sainteté. — Genèse 5:24 ; 6:9 ; Jacques 2:23.

    Dans les Écritures, les péchés sont comparés à des dettes (voir Matthieu 6:12, 14; 18:21-35; Luc 11:4). Tous les hommes étant pécheurs, ils sont lourdement endettés auprès de Dieu. “Le salaire que paie le péché, c’est la mort.” (Romains 6:23). Ayant été ‘vendus sous le péché’ par leur ancêtre Adam, les humains étaient tout à fait incapables de se libérer eux-mêmes de cette dette écrasante (Romains 7:14). Seule la mort pouvait effacer la dette de quelqu’un, “car celui qui est mort se trouve quitte de son péché”. (Romains 6:7.) Ce ne sont pas les bonnes œuvres qu’un pécheur pouvait faire durant sa vie qui allaient lui permettre de racheter ce qu’Adam avait perdu, ni même le faire apparaître juste devant Dieu. — Psaume 49:7, 9; Romains 3:20.

    Comment Jéhovah allait-il donc libérer l’humanité déchue sans transiger pour autant avec les normes de justice qu’il avait lui-même fixées?
    La réponse à cette question exalte la sagesse et la faveur imméritée de Jéhovah. L’apôtre Paul explique cela en des termes très beaux dans sa lettre aux Romains. Nous lisons: “C’est comme don gratuit qu’ils [les pécheurs] sont déclarés justes par sa faveur imméritée, grâce à la libération moyennant la rançon payée par Christ Jésus. Dieu l’a exposé comme offrande de propitiation moyennant la foi en son sang w85 1/12 9

     

    Jéhovah est un Dieu de vérité et tout ceux et celles qui suivent les recommandations de sa Sainte Paroles bénéficieront de sa promesse de vivre éternellement pour toujours. 

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