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misette

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  1. vidéo Entretenons nos lieux de culte.docx vidéo Entretenons nos lieux de culte.pdf Vidéo par écrit : « Entretenons nos lieux de culte » Dès les temps anciens, les serviteurs de Jéhovah ont instauré des lieux de culte. Ce modèle a été suivi jusqu’à notre époque. Aujourd’hui, partout dans le monde, nous nous réunissons dans des Salles du Royaume. C’est là que nous recevons réconfort et direction spirituelle grâce à l’organisation de Jéhovah. Et c’est là que nous bénéficions de la compagnie encourageante de nos frères et sœurs. Mais nos Salles du Royaume jouent un autre rôle encore. Elles sont les centres du culte pur au niveau local. Un frère a déclaré : « En Indonésie où je vie, notre congrégation a invité des fonctionnaires locaux et des voisins à la journée « portes ouvertes » qui a précédé l’inauguration de notre Salle du Royaume. Le maire, qui était présent, a été impressionné par la qualité du bâtiment, sa fonctionnalité et son beau jardin. Il a dit : « la propreté de cette Salle reflète l’authenticité de votre foi ». Sa remarque nous a rendus tellement fier de servir notre Dieu Jéhovah. » Ce genre de fait nous rappelle l’importance de ne jamais banaliser nos lieux de culte. Alors, comment pouvons-nous montrer à Jéhovah notre reconnaissance pour nos Salles du Royaume ? Quand nos Salles du Royaume sont propres et en ordre, elles reflètent les qualités et la personnalité du Dieu que nous adorons, un Dieu d’ordre (1 Corinthiens 14 :31). De plus, le nettoyage régulier de nos lieux de culte permet de protéger la santé de ceux qui se réunissent, et leur maintenance prolonge la durée de vie des bâtiments eux-mêmes. Bien sûr, les congrégations sont les premières responsables de la maintenance mais les représentants du LDC peuvent apporter leur aide où il y a besoin et former d’autres frères à inspecter les Salles et à faire des réparations en toute sécurité. Rappelons-nous que nous ne devrions pas accomplir seul une tâche qui présente un risque à la Salle du Royaume. Il faut toujours respecter les consignes de sécurité. Quand un problème est identifié tôt, il peut être corrigé en moins de temps et à moindre coût. Nous honorons Jéhovah en utilisant les offrandes avec sagesse tout comme nous l’honorons en faisant un don. Aux temps bibliques, quand il a fallu récolter des fonds pour rénover la maison de Jéhovah, de nombreuses personnes ont répondu avec joie à cet appel. Qu’elles aient peu ou beaucoup, elles ont donné généreusement. Nos Salles du Royaume sont plus que de simples bâtiments : ce sont des lieux de culte dédiés à Jéhovah. En entretenant de notre mieux ces lieux de culte, nous montrons que nous aimons nos frères et sœurs, les nouveaux et plus important encore, Jéhovah, Celui qui avec amour, nous donne de magnifiques lieux de culte pour l’adorer ! Pourquoi avons-nous des Salles du Royaume ? Nous recevons réconfort et direction spirituelle grâce à l’organisation de Jéhovah. Et c’est là que nous bénéficions de la compagnie encourageante de nos frères et sœurs. Elles sont les centres du culte pur au niveau local. Pourquoi est-il important de maintenir notre Salle du Royaume propre et en bon état ? Le nettoyage régulier de nos lieux de culte permet de protéger la santé de ceux qui se réunissent, et leur maintenance prolonge la durée de vie des bâtiments eux-mêmes. En quoi participer au programme de maintenance t’est-il profitable ? Les représentants du LDC peuvent apporter leur aide où il y a besoin et former d’autres frères à inspecter les Salles et à faire des réparations en toute sécurité. Pourquoi la sécurité est-elle importante, et quelles mesures de sécurité sont présentées dans la vidéo ? Nous ne devrions pas accomplir seul une tâche qui présente un risque à la Salle du Royaume. Il faut toujours respecter les consignes de sécurité. Nous ne devrions pas accomplir seul une tâche qui présente un risque à la Salle du Royaume. Il faut toujours respecter les consignes de sécurité. Comment pouvons-nous honorer Jéhovah par nos offrandes ? En utilisant les offrandes avec sagesse tout comme nous l’honorons en faisant un don. cpw_F_r240P[1].mp4
  2. Merci Folens C'est pour tout le monde. Je trouve qu'on peut mieux retenir par écrit et y relire à tout moment.
  3. video - Les yeux des aveugles s'ouvriront.docx video - Les yeux des aveugles s'ouvriront.pdf Résumé de la vidéo : Talita Alnashi : « Les yeux des aveugles s’ouvriront » Frère Geoffrey Jackson (Conseil d’administration) : Commençons par rendre visite à une famille de Stockholm en Suède Les parents, Usama et Kristina, ont deux filles, Talita et Isabella. Quand Talita est née, les médecins lui ont découvert une cataracte aux deux yeux. La cataracte est un trouble de la vision qui survient quand le cristallin devient opaque. Les médecins ont opéré Talita pour qu’elle ne perde pas complètement la vue. Une situation dramatique pour des parents. Aujourd’hui Talita a 7 ans. Elle voit à peine d’un œil et ne voit plus du tout de l’autre. Dans ce système de choses, éduquer un enfant dans les voies de Jéhovah n’est déjà pas si simple même quand il est en bonne santé. Voyons comment les parents de Talita si sont pris pour lui donner une solide éducation spirituelle malgré ses problèmes de vue. Talita déclare : « J’ai hâte de pouvoir bien voir et de jouer avec un ours et un lion et de m’asseoir sur le dos d’un tigre » Son père : « Jéhovah nous fait une promesse magnifique en Isaïe 35 :5 « les yeux des aveugles s’ouvriront » Sa mère : « ça été difficile d’en arriver là où nous en sommes aujourd’hui. Nous remercions Jéhovah pour toute l’aide qu’il nous a apporté. » Son père : « Quand Talita a pu sortir de la maison après son opération, on a tenu aller aux réunions » Sa mère : « Ce qui nous a beaucoup aidé, c’est de pouvoir jeter notre fardeau sur Jéhovah. On a prié ensemble, on a beaucoup pleurer ensemble, parce que c’était très dur » Son père : « Une des difficultés, c’est qu’il faut décrire à Talita, toutes les images ;on doit lui dire qui entre en scène, et tout ce qui se passe. » Sa mère : « Mais, on a à notre disposition tellement de choses incroyables sur JW.ORG et aux réunions. Talita aime beaucoup lire Ecoute Le Grand Enseignant . Grâce aux questions, elle vit les histoires » Son père : « Elle a une excellente mémoire et elle retient énormément tout ce qu’elle dit. Quand on est avec des amis, souvent les interroge. Talita : « J’aime beaucoup chanter les cantiques » Sa mère : « Talita s’est fixé l’objectif d’apprendre encore plus de cantiques. Ce qui nous aide beaucoup, c’est la belle musique qu’on a sur le site et les vidéos de Caleb et Sophia » Son père : « Comme elle connaît bien Le Recueil d’histoires bibliques, du coup elle arrive à répondre avec ses mots à elle. Par exemple, on lui demande « sais-tu ce qui est arrivé à David ». Si elle connaît la réponse, on l’encourage à répondre à la réunion ». Talita : « Quand je réponds aux réunions, Jéhovah est content parce qu’il aime les enfants ». Sa mère : « Elle demande souvent aux frères et sœurs « est-ce que tu aimes Jéhovah ? » et ça la rend encore plus proche d’eux. ». Un des plus beaux moments où on a vu que la spiritualité de Talita avait grandi, c’est quand elle a passé une nuit chez ses grands-parents. Mes parents ne sont pas TJ. Sa grand-mère avait dit que Dieu n’existe pas. Quand Talita est rentré à la maison, elle a dit : « avant de dormir, j’ai prié Jéhovah et je lui ai demandé, s’il te plaît d’aider grand-mère que tu existes, que tu es réel. » Son père : « On essaie de garder notre merveilleuse espérance vivante. Donc, on parle souvent de ce qu’on fera dans le Paradis. On attend avec impatience le moment où Talita pourra à nouveau voir et on vivra dans le Paradis avec tous nos amis. Ce sera merveilleux ! » Talita : « Je pense que Jéhovah a très envie de me voir jouer avec un tigre » ˙ Quelle est l’« épine dans la chair » de Talita ? Quand Talita est née, les médecins lui ont découvert une cataracte aux deux yeux. ˙ Quelles promesses bibliques aident Talita et ses parents à rester positifs ? « Jéhovah nous fait une promesse magnifique en Isaïe 35 :5 « les yeux des aveugles s’ouvriront » ˙ Peu après l’opération de Talita, comment ses parents ont-ils montré qu’ils s’appuyaient sur Jéhovah ? « Ce qui nous a beaucoup aidé, c’est de pouvoir jeter notre fardeau sur Jéhovah. On a prié ensemble, on a beaucoup pleurer ensemble, parce que c’était très dur » ˙ Comment les parents de Talita utilisent-ils ce que l’Organisation met à notre disposition pour faire grandir l’amour pour Dieu dans le cœur de leur fille ? « Talita aime beaucoup lire Ecoute Le Grand Enseignant. Grâce aux questions, elle vit les histoires », Le Recueil d’histoires bibliques, chanter les cantiques, les vidéos de Caleb et Sophia ˙ Qu’est-ce qui montre que Talita fait des progrès spirituels malgré son « épine dans la chair » ? « Comme elle connaît bien Le Recueil d’histoires bibliques, du coup elle arrive à répondre avec ses mots à elle. Par exemple, on lui demande « sais-tu ce qui est arrivé à David ». Si elle connaît la réponse, on l’encourage à répondre à la réunion » ˙ Qu’est-ce qui t’encourage dans l’exemple de Talita ?
  4. video.docx Résumé de la Vidéo : Ce que nos opérations de secours ont apporté à nos frères des Antilles ˙ Quelles conséquences les ouragans Irma et Maria ont-ils eues sur nos frères des Antilles ? Un frère déclare : « Pour moi, Irma était un monstre ». Une sœur : Par moments, la maison tremblait tellement, que j’ai cru qu’elle allait sécrouler On n’a pas arrêté de prier Jéhovah ˙ Comment Jéhovah a-t-il utilisé ses serviteurs pour aider nos frères des Antilles ? Il y avait beaucoup de pillages sur l’île. Les supermarchés et les grands magasins étaient détruits. La congrégation et les filiales de La Barbade et de France ont envoyé des frères sur le champ. Malgré la pluie et le vent, les frères sont venus fixer une bâche que nous avions mise sur le toit pour qu’elle ne s’envole pas. Finalement, le conteneur de 12 mètres est arrivé et c’était formidable. Il y avait des petits mots à l’intérieur : les frères nous disaient qu’ils priaient pour nous. En plus de la nourriture, ils nous envoyaient de jolis messages pour nous encourager. On les a distribués aux frères et ils étaient très heureux. Il y a eu un groupe de secours qui s’est mis en place. Très rapidement, il a fallu mesurer la dimension de ce qui nous attendait. L’un des objectifs premier de ce comité de secours, c’était d’apporter en urgence une aide spirituelle à nos compagnons. Ils nous ont demandé de venir ici dans un cadre pastoral, une mission pastorale en vue d’encourager nos compagnons et de passer chez eux, et surtout de pouvoir ainsi les écouter. Au départ, nous avons constitué un groupe composé d’une aide médicale, technique, une aide psychologique aussi. 7 Une fois les denrées arrivées, il a fallu avec une équipe déjà sur place, confectionner des cartons afin d’avoir un conditionnement qui permette de les mettre dans ce conteneur et de faire partir la marchandise le week-end même. Mais pour l’instant les objectifs étaient surtout de réparer, de mettre nos frères et sœurs à l’abri de la pluie. Les congrégations ont joué le jeu effectivement d’une part parce qu’elles ont été très réactives. ˙ Qu’ont ressenti les victimes des ouragans en constatant l’amour et la générosité de leurs frères ? Nos compagnons ont été très généreux. Il y avait beaucoup de kits alimentaires qui étaient arrivés, des produits de premières nécessicités. Mais ce qui nous a surtout touché, c’est le courage des compagnons. Ils ont beaucoup apprécié déjà qu’ils soient venus et que la filiale soit à leurs côtés. Ils ont vraiment ressenti une aide, du réconfort des compagnons qui se trouvaient loin. Ils l’ont souvent dit : Ils ressentent l’attention particulière de l’Organisation de Jéhovah. Quand il y a un ouragan, on ne peut plus compter sur soi-même. On doit compter sur Jéhovah à chaque instant. Il est notre Protecteur : c’est lui qui va nous protéger. Nous devons donc lui faire entièrement confiance. Les dépenses liées aux catastrophes pourraient s’élever à 25 millions de dollars (22 277 000 millions d’euros). Mais maintenant que les dégâts ont été entièrement évalués et alors que d’autres catastrophes se sont produites, nous estimons que les dépenses liées aux opérations de secours atteindront environ 60 millions de dollars (53 500 000 millions d’euros). ˙ Combien de frères et soeurs ont participé aux opérations de secours aux Antilles ? Jusque-là, rien qu’aux Antilles, plus de 4100 frères et sœurs venant d’une dizaine de pays, ont apporté leur aide. Nous tenons à remercier tous ceux qui ont participé aux opérations de secours. Merci pour vos sacrifices et pour votre état d’esprit volontaire. ˙ Comment pouvons-nous tous soutenir les opérations de secours ? Un tel rapport nous rend fiers du peuple de Jéhovah. Ses membres s’aiment sincèrement les uns les autres, comme Jésus l’avait dit à propos de ses vrais disciples. Le Collège central apprécie beaucoup le soutien que vous apportez par vos offrandes généreuses, votre état d’esprit volontaire et vos prières. ˙ Après avoir vu cette vidéo, qu’est-ce que ça te fait d’appartenir à cette organisation pleine d’amour ? Cette vidéo nous a montré tout ce qui a été fait dans seulement quelques-uns des endroits touchés par les ouragans. 702018128_F_cnt_1_r360P.mp4
  5. ˙ Combien de frères et soeurs ont participé aux opérations de secours aux Antilles ? Jusque-là, rien qu’aux Antilles, plus de 4100 frères et sœurs venant d’une dizaine de pays, ont apporté leur aide. Nous tenons à remercier tous ceux qui ont participé aux opérations de secours. Merci pour vos sacrifices et pour votre état d’esprit volontaire. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 13 MAI 2019 - 2 Corinthiens 7-10.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 13 MAI 2019 - 2 Corinthiens 7-10.pdf video.docx JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : 2 Corinthiens 7-10 2 Corinthiens 9:15 : Qu’est-ce que l’« indescriptible don gratuit » de Dieu ? (w16.01 12 § 2). « Merci à Dieu pour son indescriptible don gratuit » Paul savait que le sacrifice parfait du Christ garantissait la réalisation des magnifiques promesses de Dieu (2 Corinthiens 1:20). Cet « indescriptible don gratuit » engloberait donc toute la bienveillance et la bonté de cœur que Jéhovah nous témoignerait par l’intermédiaire de Jésus. Ce don est tellement extraordinaire que le langage humain ne suffit pas à le décrire. Quel effet doit-il avoir sur nous ? À quelles actions concrètes doit-il nous pousser quand on se prépare à célébrer le Mémorial de la mort du Christ - w16.01 12 § 2 Qu’est-ce que ce don nous pousse à faire ? Il nous pousse 1) à imiter Jésus fidèlement, 2) à aimer nos frères et sœurs, et 3) à pardonner aux autres de tout notre cœur. Ce don est « indescriptible », car les mots ne peuvent pas décrire toute sa valeur.- w16.01 Indescriptible : Si fort, si important qu'on ne peut le décrire. La rançon est si merveilleuse qu’il est impossible d’en faire une description complète 2 Corinthiens 10:17 : Que signifie ‘se vanter à propos de Jéhovah’ ? (g99 8/7 20-21). « Mais celui qui se vante, qu’il se vante à propos de Jéhovah. » Dans les Écritures grecques chrétiennes, le verbe kaukhaomaï, traduit par “ se montrer fier, se glorifier ”(se vanter), est pris en bonne ou en mauvaise part. Ainsi, Paul dit qu’on est en droit de ‘ se glorifier (se vanter), s’appuyant sur l’espérance de la gloire de Dieu ’. Il fait également cette recommandation : “ Celui qui se vante, qu’il se vante en Jéhovah. ” (Romains 5:2 ; 2 Corinthiens 10:17). Cela signifie être fier d’avoir pour Dieu Jéhovah, sentiment qui nous poussera à nous glorifier (vanter) de sa réputation. g99 8/7 20-21 Se vanter, se glorifier évoque souvent l’idée d’orgueil égoïste. La Bible montre que nul homme n’a la moindre raison de se glorifier en lui-même ou en ce qu’il a accompli. Dans la congrégation chrétienne de Corinthe, certains étaient gonflés d’orgueil, fiers d’eux-mêmes ou d’autres hommes, ce qui causait des divisions dans la congrégation. En se tournant vers des hommes plutôt que vers Christ, ils avaient des pensées charnelles. Ces gens ne s’intéressaient pas au bien-être spirituel de la congrégation, mais ils voulaient se vanter des apparences, sans vraiment chercher à aider leurs compagnons chrétiens à cultiver un cœur bon devant Dieu (2Co 5:12). C’est pourquoi l’apôtre Paul reprit sévèrement la congrégation en lui montrant qu’aucun de ses membres n’avait de raison de se vanter en qui que ce soit, si ce n’était en Jéhovah Dieu et en ce qu’il avait fait en leur faveur – it2 Orgueil Les prétentieux ne s’intéressaient pas à l’unité et à la santé spirituelle de la congrégation. Ils préféraient se vanter des apparences plutôt que d’aider leurs compagnons dans la foi à se présenter devant Dieu avec un cœur bon. C’est pourquoi Paul a repris la congrégation. Mais Paul lui-même ne se vantait-il pas ? Certains ont pu le penser en raison de ce qu’il disait sur son apostolat. Mais “ pour Dieu ”, il fallait qu’il se vante. Il se vantait de ses références d’apôtre pour que les Corinthiens n’abandonnent pas Jéhovah. Il agissait ainsi pour les ramener à Dieu, car de faux apôtres étaient en train de les entraîner dans la mauvaise direction. Toutefois, Paul n’était pas constamment à vouloir impressionner tout le monde par ses œuvres – TG1998 15/12 §4,5 Lorsque, en qualité de ministres chrétiens, nous accomplissons quelque chose dans le service de Jéhovah, vantons-nous en lui, et non en nous-mêmes. . Après tout, ce n’est qu’avec des armes spirituelles “puissantes du fait de Dieu” que nous sommes capables de renverser les faux raisonnements. Il n’y en a qu’un et un seul en qui nous pouvons nous vanter et plus nous apprendrons de lui, plus nous voudrons nous vanter en lui. C’est Jéhovah Dieu – TG1990 15/9 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? “ Puisque nous avons ces promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, parachevant la sainteté dans la crainte de Dieu. ” (2 Corinthiens 7:1). Jéhovah veut que nous nous abstenions des pratiques qui altèrent notre chair, notre organisme, et qui ravagent notre esprit, notre inclination mentale dominante. Nous devons donc rejeter les dépendances connues pour être nuisibles à la santé physique et mentale. La Bible nous indique d’ailleurs une raison impérieuse de nous ‘ purifier de toute souillure ’. Notez le début de 2 Corinthiens 7:1 : “ Puisque nous avons ces promesses. ” Quelles promesses ? Les versets qui précèdent l’indiquent ; il s’agit des promesses suivantes de Jéhovah : “ Je vous accueillerai. Et je serai pour vous un père. ” (2 Corinthiens 6:17, 18). Rendez-vous compte ! Jéhovah vous promet de vous accorder sa protection et de vous aimer, comme un père prend soin d’un fils ou d’une fille ! Mais Jéhovah ne réalisera ces promesses que si vous rejetez les souillures “ de la chair et de l’esprit ”. Il serait donc insensé de permettre à l’une de ces habitudes ou de ces pratiques répugnantes de vous priver de vos relations étroites et précieuses avec Jéhovah - « Amour de Dieu » p93-95 §20;21 “ La tristesse qui vient de Dieu produit une repentance qui conduit au salut ”. On manifeste une telle tristesse quand on considère, après une mauvaise action, avoir péché contre Dieu. Ce sentiment incite à rechercher le pardon de Dieu et à cesser de mal agir. “ Mais la tristesse du monde produit la mort. ” Cela concerne la personne qui est triste de voir sa faute dévoilée et d’en subir un préjudice, mais qui ne désire pas obtenir le pardon de Dieu (2Co 7:10, 11). - it-1 p632-633 “ Dieu aime celui qui donne avec joie ” Cette déclaration, consignée en 2 Corinthiens 9:7, est un principe directeur pour les Témoins de Jéhovah. En donnant de leur temps, de leur énergie et de leurs biens matériels au profit d’autrui, ils s’efforcent de suivre l’exhortation suivante : “ Aimez, non pas en parole ni avec la langue, mais en action et vérité. ”1 Jean 3:18. Quand naît un besoin, par exemple lorsqu’une catastrophe naturelle survient, les Témoins se sentent honorés d’aider les sinistrés. Les Témoins de Jéhovah ne paient pas de dîme ni ne sollicitent de fonds d’aucune manière. Leur œuvre est financée entièrement par des offrandes volontaires – RV2008/5 p21 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Ce n’est pas seulement lorsqu’on donne un conseil que la franchise est indispensable. Paul a écrit à la congrégation de Corinthe : “ J’ai une grande franchise à votre égard. Je me glorifie grandement à votre sujet. ” (2 Corinthiens 7:4). Paul ne s’est pas retenu de féliciter ses frères et sœurs quand ils le méritaient. L’amour l’a conduit à se concentrer sur les qualités de ses compagnons chrétiens, même s’il connaissait leurs faiblesses. Aujourd’hui encore, l’assemblée est bâtie lorsque les anciens ne se retiennent pas de féliciter leurs frères et sœurs. – TG2006 15/5 p15 L’apôtre Paul savait ce que signifie être abattu. “En fait, dit-il, à notre arrivée en Macédoine, notre chair n’a pas connu de soulagement (...) — en dehors il y avait des luttes, au-dedans des craintes. Toutefois Dieu, qui console ceux qui sont jetés à bas, nous a consolés par la présence de Tite.” (2 Corinthiens 7:5, 6). Son découragement découlait de plusieurs situations pénibles qui survenaient en même temps. Il y avait ‘des luttes en dehors’ — de sévères persécutions qui mettaient sa vie elle-même en danger. En outre, il y avait ‘des craintes au-dedans’, c’est-à-dire l’inquiétude au sujet des congrégations, telles que celle de Corinthe. Quelques mois plus tôt, Paul avait écrit sa première lettre aux chrétiens de Corinthe. Il y avait condamné plusieurs mauvaises choses qui existaient dans la congrégation et, apparemment, il s’inquiétait de la façon dont les Corinthiens allaient réagir à sa lettre. Néanmoins, Paul a été consolé lorsque Tite est venu de Corinthe et lui a rapporté la réaction favorable des Corinthiens. De même aujourd’hui, Jéhovah peut utiliser un de ses serviteurs pour nous communiquer une bonne nouvelle et apaiser notre sentiment de détresse. – TG1992 15/7 p19 Comme les Israélites de l’Antiquité, nous devons veiller à ce que nos sacrifices volontaires conviennent à Dieu. Nous devons rester équilibrés, nous acquitter d’abord de nos responsabilités relatives à notre famille et au culte pour Jéhovah. Nous ne devrions pas sacrifier du temps et des ressources pour d’autres au point de négliger le bien-être spirituel ou physique de notre famille. Nous offririons en quelque sorte ce que nous n’avons pas (2 Corinthiens 8:12). De plus, il nous faut entretenir notre propre spiritualité. Soyons certains, cependant, que si nous nous conformons aux normes bibliques, nos sacrifices nous apporteront beaucoup de joie et de satisfaction et seront particulièrement « agréés» de Jéhovah. – TG2013 15/12 p15 §16 Les frères du Collège central s’efforcent d’être fidèles et avisés dans leur façon d’utiliser les offrandes. Ils prient pour prendre de bonnes décisions, établissent un budget et le respectent. Aux temps bibliques, ceux qui s’occupaient des offrandes suivaient des instructions précises pour faire en sorte qu’elles servent uniquement au culte de Jéhovah. Des siècles plus tard, l’apôtre Paul a réuni de l’argent pour secourir les frères de Judée. Il a veillé à ce que les frères choisis pour transporter les offrandes soient des personnes qui se préoccupaient « de ce qui est droit, non seulement aux yeux de Jéhovah, mais aussi aux yeux des hommes » 2 Corinthiens 8:18-21. L’organisation suit des procédures strictes dans sa façon d’utiliser les offrandes. – TG2018/1 §12 “ En effet, si quelqu’un a de la bonne volonté, alors le don qu’il fait en fonction de ce qu’il a, et non de ce qu’il n’a pas, est particulièrement approuvé” (2 Corinthiens 8:12). Dieu ne demande pas aux chrétiens de s’endetter pour offrir des cadeaux coûteux. En fait, quand on donne “ selon ce qu’on a ”, ce don n’est pas tout juste satisfaisant, il est “ agréable ” à Dieu. Quel contraste rassurant avec le slogan “ achetez maintenant, payez plus tard ” diffusé pendant les fêtes – TG2012 1/12 p5 Beaucoup de personnes habitent dans des pays où la vie est très difficile et où il y a beaucoup de pauvreté. L’organisation de Jéhovah essaie d’aider les frères de ces pays. (2 Corinthiens 8:14) Pourtant, même nos frères et sœurs qui sont pauvres trouvent qu’il est important de donner. Au 1er siècle, les frères et sœurs de Macédoine étaient dans une « profonde pauvreté », mais ils ont insisté pour donner de l’argent à d’autres frères et sœurs pauvres. Nous aussi, donnons ce que nous pouvons pour montrer que nous remercions Jéhovah pour les bénédictions qu’il nous a données. Jéhovah se réjouit quand il les voit donner avec joie ce qu’ils peuvent. (2 Corinthiens 9:7) – TG2013 15/12 §14,15 Quels buts nos activités de secours visent-elles ? Paul a répondu à cette question dans sa deuxième lettre aux Corinthiens (2 Corinthiens 9:11-15). Il a mis en évidence trois objectifs que permet d’atteindre le « ministère de ce service public ». Premièrement, les activités de secours glorifient Jéhovah. Remarquez le nombre de fois où Paul attire l’attention sur Dieu dans les cinq versets mentionnés ci-dessus. Il parle d’un « remerciement à Dieu » et de « beaucoup de remerciements envers Dieu » (versets 11, 12). Il dit que les secours amènent les chrétiens à « glorifier Dieu » et à louer « l’extraordinaire faveur imméritée de Dieu » (versets 13, 14). Et il conclut par un « Grâces soient rendues à Dieu » (verset 15). Comme Paul, nous voyons dans les opérations de secours des occasions de glorifier Jéhovah et de « parer » ses enseignements Deuxièmement, nous pourvoyons aux besoins de nos compagnons (2 Cor. 9:12a). Nous tenons à répondre aux besoins immédiats de nos frères et sœurs et à alléger leurs souffrances. Pourquoi ? Parce que les membres de l’assemblée forment « un seul corps » et que, « si un membre souffre, tous les autres membres souffrent avec lui » (1 Cor. 12:20, 26). C’est donc l’affection fraternelle et la compassion qui poussent de nombreux frères et sœurs à porter secours à leurs compagnons sinistrés. Ceux qui ne partagent pas notre foi ne sont pas insensibles à nos opérations de secours. Troisièmement, nous aidons les sinistrés à reprendre leurs activités spirituelles. Pourquoi est-ce important ? Selon Paul, ceux qui reçoivent du secours se sentent poussés à exprimer « beaucoup de remerciements envers Dieu » (2 Cor. 9:12b). Or comment pourraient-ils mieux témoigner leur gratitude envers Jéhovah qu’en reprenant leurs activités spirituelles le plus vite possible ? - Royaume en action p210-216 §7-12 Paul mettait en pratique ce qu’il prêchait. Quand il a eu affaire aux “ super-apôtres ” de la congrégation de Corinthe, il a exhorté les frères en ces termes : “ Or moi, Paul, je vous en supplie par la douceur et la bonté du Christ, moi si humble d’apparence quand je suis parmi vous, alors que, quand je suis absent, je me montre hardi à votre égard. ” (2 Corinthiens 10:1). Paul imitait réellement le Christ. Remarquons qu’il en appelait aux frères “ par la douceur ” du Christ. Il n’agissait donc ni avec arrogance ni en dictateur. Son exhortation a sans aucun doute attendri les membres de la congrégation qui avaient le cœur bon. Il a apaisé les tensions et favorisé la paix et l’unité dans la congrégation. Ne pourrions-nous pas tous l’imiter ? Les anciens, en particulier, devraient calquer leurs actions sur celles du Christ et de Paul. – TG2003 1/ 4 p24 §14 Nous devons tout d’abord mener une lutte intense contre Satan et son monde méchant. Il est indispensable de résister à l’influence des « forteresses » du monde, qui comprennent ses doctrines, ses philosophies et ses pratiques nuisibles comme l’immoralité sexuelle, l’usage du tabac ou de la drogue et l’abus d’alcool. De plus, nous devons constamment combattre nos faiblesses charnelles et le découragement (2 Cor. 10:3-6). Est-ce vraiment possible de vaincre des adversaires aussi puissants ? Oui, mais à condition de se battre. Se servant de l’exemple du boxeur de son époque, Paul a dit de lui-même : « Voici de quelle façon je dirige mes coups : je les dirige de façon à ne pas battre l’air » (1 Cor. 9:26). À l’image d’un boxeur, nous devons repousser nos adversaires. Jéhovah nous y aide en nous entraînant. Il fournit des directives salvatrices dans sa Parole. Correctement exposée, quelle action peut avoir la vérité de la Parole de Dieu ? Elle ‘ renverse des forteresses ’, c’est-à-dire dévoile les fausses doctrines, les pratiques nuisibles et les philosophies qui reflètent la sagesse humaine imparfaite. Nous l’employons pour faire tomber toute idée qui “ se dresse contre la connaissance de Dieu ”. Ses enseignements nous permettent d’aider nos semblables à conformer leurs pensées à la vérité. Jéhovah nous aide également grâce aux publications, aux réunions et aux assemblées. Mettons-nous en pratique ce que nous apprenons ? Si nous ne le faisons pas, cela reviendrait à « battre l’air », à ne pas nous opposer pleinement à notre adversaire. – TG2016/9 p8-9 §2,3 Le responsable de circonscription s’efforce d’apporter une aide spirituelle à tous, jeunes et vieux. Il serait donc normal que nous lui témoignions notre reconnaissance. Mais qu’en serait-il si nous le critiquions en raison de ses points faibles ou le comparions désavantageusement à d’autres responsables ayant visité l’assemblée ? Ne serait-ce pas pour lui des plus démoralisant ? Paul n’a certainement pas été encouragé d’entendre certains critiquer son activité. Des chrétiens de Corinthe faisaient, semble-t-il, des remarques désobligeantes sur son apparence et ses talents d’orateur. Que Paul fût ou non bon orateur, il méritait le respect dû à un apôtre. Ses discours publics conservés dans la Bible portent l’empreinte d’un orateur convaincant. Certains membres bravaient l’autorité théocratique“ Ses lettres ont du poids et de la force, disaient-ils, mais sa présence en personne est faible et sa parole méprisable. ” (2 Corinthiens 10:10). Heureusement, les responsables de circonscription entendent en général des paroles qui traduisent plutôt l’amour et la reconnaissance. – TG1996 15/11 p13 §14 Résumé de la Vidéo : Ce que nos opérations de secours ont apporté à nos frères des Antilles ˙ Quelles conséquences les ouragans Irma et Maria ont-ils eues sur nos frères des Antilles ? Un frère déclare : « Pour moi, Irma était un monstre ». Une sœur : Par moments, la maison tremblait tellement, que j’ai cru qu’elle allait sécrouler On n’a pas arrêté de prier Jéhovah ˙ Comment Jéhovah a-t-il utilisé ses serviteurs pour aider nos frères des Antilles ? Il y avait beaucoup de pillages sur l’île. Les supermarchés et les grands magasins étaient détruits. La congrégation et les filiales de La Barbade et de France ont envoyé des frères sur le champ. Malgré la pluie et le vent, les frères sont venus fixer une bâche que nous avions mise sur le toit pour qu’elle ne s’envole pas. Finalement, le conteneur de 12 mètres est arrivé et c’était formidable. Il y avait des petits mots à l’intérieur : les frères nous disaient qu’ils priaient pour nous. En plus de la nourriture, ils nous envoyaient de jolis messages pour nous encourager. On les a distribués aux frères et ils étaient très heureux. Il y a eu un groupe de secours qui s’est mis en place. Très rapidement, il a fallu mesurer la dimension de ce qui nous attendait. L’un des objectifs premier de ce comité de secours, c’était d’apporter en urgence une aide spirituelle à nos compagnons. Ils nous ont demandé de venir ici dans un cadre pastoral, une mission pastorale en vue d’encourager nos compagnons et de passer chez eux, et surtout de pouvoir ainsi les écouter. Au départ, nous avons constitué un groupe composé d’une aide médicale, technique, une aide psychologique aussi. 7 Une fois les denrées arrivées, il a fallu avec une équipe déjà sur place, confectionner des cartons afin d’avoir un conditionnement qui permette de les mettre dans ce conteneur et de faire partir la marchandise le week-end même. Mais pour l’instant les objectifs étaient surtout de réparer, de mettre nos frères et sœurs à l’abri de la pluie. Les congrégations ont joué le jeu effectivement d’une part parce qu’elles ont été très réactives. ˙ Qu’ont ressenti les victimes des ouragans en constatant l’amour et la générosité de leurs frères ? Nos compagnons ont été très généreux. Il y avait beaucoup de kits alimentaires qui étaient arrivés, des produits de premières nécessicités. Mais ce qui nous a surtout touché, c’est le courage des compagnons. Ils ont beaucoup apprécié déjà qu’ils soient venus et que la filiale soit à leurs côtés. Ils ont vraiment ressenti une aide, du réconfort des compagnons qui se trouvaient loin. Ils l’ont souvent dit : Ils ressentent l’attention particulière de l’Organisation de Jéhovah. Quand il y a un ouragan, on ne peut plus compter sur soi-même. On doit compter sur Jéhovah à chaque instant. Il est notre Protecteur : c’est lui qui va nous protéger. Nous devons donc lui faire entièrement confiance. Les dépenses liées aux catastrophes pourraient s’élever à 25 millions de dollars (22 277 000 millions d’euros). Mais maintenant que les dégâts ont été entièrement évalués et alors que d’autres catastrophes se sont produites, nous estimons que les dépenses liées aux opérations de secours atteindront environ 60 millions de dollars (53 500 000 millions d’euros). ˙ Comment pouvons-nous tous soutenir les opérations de secours ? Un tel rapport nous rend fiers du peuple de Jéhovah. Ses membres s’aiment sincèrement les uns les autres, comme Jésus l’avait dit à propos de ses vrais disciples. Le Collège central apprécie beaucoup le soutien que vous apportez par vos offrandes généreuses, votre état d’esprit volontaire et vos prières. ˙ Après avoir vu cette vidéo, qu’est-ce que ça te fait d’appartenir à cette organisation pleine d’amour ? Cette vidéo nous a montré tout ce qui a été fait dans seulement quelques-uns des endroits touchés par les ouragans. 60145705_316064219073796_8397459588294639616_n.mp4 702018128_F_cnt_1_r360P.mp4
  6. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 6 MAI 2019 - 2 Corinthiens 4-6.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 6 MAI 2019 - 2 Corinthiens 4-6.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : 2 Corinthiens 4-6 2 Corinthiens 4:7 : Que désigne l’expression « ce trésor dans des vases en terre » ? (w12 1/2 p28 § 6-7). « Cependant, nous avons ce trésor dans des vases en terre, pour que cette puissance qui dépasse la normale soit celle de Dieu et non pas celle qui vient de nous. » Le trésor dont parlait l’apôtre Paul est ‘ ce ministère ’ qui consiste à ‘ manifester la vérité ’. Frère Splane a rappelé aux élèves que les cinq mois qu’ils avaient passés à étudier les ont préparés pour une affectation spéciale dans ce ministère. Ils doivent tenir cette affectation en haute estime. L’orateur a expliqué que les “ vases de terre ” sont nos corps de chair. Il a comparé un vase en terre avec un vase en or. Les vases en or ne servent pas souvent. Par contre, les vases en terre sont faits pour être utilisés. Si nous mettions un trésor dans un vase en or, l’attention risquerait d’être attirée autant sur le vase que sur le trésor qu’il contient. La leçon pour les élèves : “ Vous ne voulez pas attirer l’attention sur vous-mêmes. En tant que missionnaires, votre objectif est de diriger les personnes vers Jéhovah. Vous êtes de modestes vases de terre. ” L’orateur a poursuivi la comparaison en expliquant qu’aux temps bibliques certains vases étaient conçus pour résister au feu et d’autres étaient enduits d’une épaisse couche de vernis pour éviter les éclats. La leçon à retenir ? Au cours des premiers mois dans leur affectation, les missionnaires vont certainement se forger une épaisse couche de vernis. Ils seront moins sensibles aux critiques, moins prompts à s’offusquer. “ Vous découvrirez que vous êtes plus endurants que vous ne le pensez ”, leur a dit frère Splane. Jéhovah a confié ce trésor qu’est la prédication non pas aux anges mais à des vases de terre. “ Cela montre que Jéhovah a confiance en vous ”, a-t-il conclu. - w12 1/2 p28 § 6-7 Bien souvent, les trésors matériels s’accompagnent de beaucoup de douleurs et apportent seulement des bienfaits limités ou temporaires. En revanche, notre ministère nous procure des bienfaits permanents, à nous ainsi qu’à autrui. Grâce à lui, des personnes sincères apprennent à connaître Jéhovah, opèrent les changements nécessaires dans leur vie et obtiennent l’espérance certaine de vivre éternellement. En tenant en haute estime notre ministère, nous avons un but satisfaisant dans la vie, le sentiment durable d’accomplir une œuvre utile et un espoir réjouissant pour l’avenir – km2/07 p1 Ce trésor est la mission que Dieu donne de prêcher, et les vases de terre sont les humains à qui Jéhovah a confié ce trésor. Ces humains n’en demeurent pas moins imparfaits et limités ; c’est pourquoi Paul poursuit en expliquant que, puisque cette mission leur est confiée, il faut que “ cette puissance qui passe la normale soit celle de Dieu et non pas celle qui vient de nous ”. (2 Corinthiens 4:7.) Nous sommes en effet assurés que Jéhovah nous accordera la puissance nécessaire pour accomplir le travail qui nous attend – TG2000 1/7 p18 2 Corinthiens 6:13 : Comment pouvons-nous obéir à la recommandation d’‘ouvrir tout grand notre coeur ’ ? (w09 15/11 p21 § 7). « Alors, en réponse à notre affection — je vous parle comme à mes enfants — vous aussi, ouvrez tout grand votre cœur. » Comment nous ‘ élargir ’ pour ce qui est de manifester l’amour fraternel ? Il est assez fréquent que les gens du même âge ou de la même origine ethnique cherchent à se rapprocher, ou encore que ceux qui ont les mêmes goûts en matière de divertissement passent du temps ensemble. Mais si le fait de partager avec certains chrétiens les mêmes centres d’intérêt nous éloigne des autres, alors, c’est qu’il nous faut nous ‘ élargir ’. Demandons-nous : ‘ Est-il rare que je prêche ou que je me détende avec ceux qui ne font pas partie de mon cercle d’amis ? À la Salle du Royaume, est-ce que je limite mes contacts avec ceux qui sont arrivés récemment dans l’assemblée, considérant que c’est à eux de gagner peu à peu mon amitié ? Est-ce que je salue aussi bien les plus âgés que les plus jeunes ? ’ - w09 15/11 p21 § 7 Paul encourageait les Corinthiens à s’élargir dans leur amour pour leurs compagnons. Il leur fallait remplacer la méfiance et la mesquinerie par un état d’esprit positif et un cœur généreux. Un serviteur de Dieu qui s’élargit en amour apprécie sincèrement ses compagnons. Il les tient en haute estime, respecte leur dignité et se soucie de leurs besoins. Même quand il a une raison légitime de se plaindre, il est prompt à pardonner et rejette toute rancune. Il préfère accorder à ses compagnons le bénéfice du doute. Sa générosité de cœur lui permet de manifester le genre d’amour auquel Jésus pensait lorsqu’il a dit : “ Par là tous sauront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour entre vous. ” Si nous ouvrons « tout grand notre cœur », nous remplacerons les préjugés par l’amour. L’amour véritable nous permettra de ne pas nous limiter aux amis que nous avons déjà, mais de chercher à nous lier d’amitié, au sein de l’assemblée, avec ceux dont nous ne sommes pas proches. Qui peuvent-ils être ? Certains sont timides ou, pour une raison ou pour une autre, ont peu d’amis. D’emblée, nous pourrions penser que nous n’avons pas grand-chose en commun avec eux, si ce n’est que nous pratiquons le même culte S’élargir signifie aussi que nous nous montrerons compréhensifs à l’égard de ceux qui ont des besoins particuliers. Connaissez-vous quelqu’un qui souffre d’une maladie chronique ou qui rencontre une autre épreuve ? S’élargir en amour et cultiver un cœur généreux nous aidera à nous montrer compatissants vis-à-vis de ces compagnons et à les soutenir TG07 1/1p9 Pour honorer les autres, vous pouvez prendre l’initiative de les saluer aux réunions. Vous pouvez aussi les inviter à prêcher ou à préparer une réunion avec vous. Avec un tel comportement, la tendre affection ne peut que grandir. Dans l’assemblée, tant sur le plan familial qu’individuel, on peut ‘ s’élargir ’ en se rendant visite, par exemple pour partager un repas simple, ou en se livrant ensemble à des activités saines – TG2004 1/10 p16-17 Pourquoi est-il important d’apprendre à connaître nos frères et sœurs ? Les amitiés se renforcent : Lorsque nous faisons mieux connaissance avec nos compagnons chrétiens, leur foi, leur endurance et leurs autres qualités nous apparaissent de façon plus évidente. Leurs défauts s’amenuisent à nos yeux et les liens d’amitié se resserrent. Lorsque nous nous connaissons bien, nous sommes davantage en mesure de nous bâtir et de nous consoler mutuellement. Nous pouvons devenir les uns pour les autres “ une aide qui fortifie ” afin de résister aux influences malsaines du monde de Satan Allez vers les autres : Comment pouvons-nous nous élargir dans nos tendres affections envers nos compagnons chrétiens ? Lors des réunions chrétiennes, ne vous contentez pas de saluer vos frères et sœurs. Efforcez-vous d’entamer une conversation intéressante. Sans pour autant être indiscret, témoignez un intérêt personnel à votre interlocuteur. Une autre façon d’aller vers les autres est de les inviter à votre table. Vous pouvez aussi prendre rendez-vous avec eux pour prêcher ensemble. Lorsque nous prenons l’initiative de faire plus ample connaissance avec nos frères, nous favorisons l’unité de l’assemblée. Avons-nous tendance à nouer des liens uniquement avec ceux de notre âge ou avec ceux qui ont les mêmes centres d’intérêt que nous ? Nous ne devrions pas laisser de tels critères conditionner nos amitiés dans l’assemblée. En nous élargissant dans nos tendres affections, nous nous fortifions mutuellement et nous favorisons la paix dans l’assemblée km 5/2004 p4 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? À propos de Celui qui est à l’origine de la lumière, tant physique que spirituelle, Paul écrit : “ Dieu est celui qui a dit : ‘ Que des ténèbres brille la lumière ’, et il a éclairé nos cœurs pour les illuminer avec la glorieuse connaissance de Dieu par la face de Christ. ” (2 Corinthiens 4:6). Puisque Jéhovah nous accorde l’immense honneur de faire de nous ses ministres, gardons-nous purs, afin d’être en mesure de refléter sa gloire comme des miroirs. Les individus qui sont dans les ténèbres spirituelles sont incapables de voir la gloire de Jéhovah ou le reflet qu’en donne Jésus Christ. Mais nous qui servons Jéhovah, nous captons la lumière glorieuse qui émane des Écritures et nous la reflétons vers autrui. Ceux qui sont actuellement dans les ténèbres ont absolument besoin de la lumière venant de Dieu pour échapper à la destruction. D’où notre joie et notre zèle à obéir au commandement divin d’illuminer les ténèbres, à la gloire de Jéhovah. TG2004 15/3 p17 §9,10 Il se peut que, malgré la présence d’amis secourables à nos côtés, nous ayons du mal à affronter nos difficultés quotidiennes. Peut-être vous sentez-vous parfois perdu et avez-vous l’impression de ne pas voir le bout du tunnel. Dans ce cas, c’est plus que jamais le moment de vous tourner vers Jéhovah et de lui demander son esprit saint. “ Lorsque je suis faible, a écrit l’apôtre Paul, c’est alors que je suis puissant. ” (2 Corinthiens 4:7-10 ; 12:10) Paul savait que l’esprit de Dieu pouvait compenser les faiblesses humaines, de quelque nature qu’elles soient. Sachez donc que, si vous vous sentez faible ou que vous ayez besoin d’aide, la force agissante de Dieu peut vous revigorer. Paul a même écrit qu’il ‘ prenait plaisir dans les faiblesses ’. Car c’est quand il était faible qu’il sentait l’esprit saint agir sur lui. Vous pouvez, vous aussi, connaître ce sentiment TG2010 15/3 p14§16 “ Nous ne renonçons pas ; au contraire, même si l’homme que nous sommes extérieurement dépérit, à coup sûr l’homme que nous sommes intérieurement se renouvelle de jour en jour. ” — 2 Corinthiens 4:16. Notez l’expression “ de jour en jour ”. Elle suppose que l’on profite des dispositions de Jéhovah quotidiennement. Dans la mesure où, régulièrement, “ de jour en jour ”, nous prions Jéhovah et méditons sur ses qualités inestimables et sur ses promesses, nous pouvons compter sur lui : il nous soutiendra par sa puissance. Ne laissons pas passer une journée sans nous être intéressés à des questions spirituelles. Il se peut que nous dépérissions sur le plan physique. Mais si nous continuons de nous nourrir des précieuses promesses de Dieu, nous sommes régénérés sur le plan spirituel – TG2004 15/4 p25 §1 Jéhovah nous a fait un don merveilleux : c’est la faculté de se représenter mentalement des choses jamais vues est un don de Dieu. Elle nous permet de faire des projets judicieux et de savourer à l’avance des choses agréables. Jéhovah connaît l’avenir et, dans les Écritures, il nous dit bien des fois ce qui va se produire. Nous pouvons ainsi former des images mentales de l’avenir. En fait, la capacité de nous imaginer des choses jamais vues nous permet d’exercer la foi (2 Cor. 4:18). – TG2015 15/5 p19 §1 La foi doit jouer un rôle central dans notre existence, pas un rôle accessoire. Contrairement à ceux qui n’ont pas foi en Jéhovah, nous portons nos regards au-delà du présent. La foi nous aide à voir “ Celui qui est invisible ” et à courir la course avec endurance. Bien que notre course ne soit pas facile, il est possible de la terminer. - 2 Cor. 5:7. – TG2011 15/9 p16 §17 Paul a déclaré : « L’amour que le Christ a nous oblige » (2 Corinthiens 5:14, 15). Paul comprenait que nous ne pouvons pas accepter l’extraordinaire amour du Christ sans nous sentir « obligés » de vivre pour lui. Quand notre esprit saisit pleinement ce que Jéhovah a fait pour nous et que notre cœur est touché par son amour, nous désirons vivre entièrement pour Christ Jésus. Qu’est-ce que cela implique ? Celui qui comprend que le sacrifice de Jésus a le pouvoir de le libérer des effets du péché — et désire montrer sa reconnaissance pour cette disposition — devrait s’efforcer de vivre en accord avec ce que Dieu souhaite pour lui. Cela signifie acquérir la compréhension de ce que Dieu demande, éduquer sa conscience selon les principes bibliques et mener sa vie en harmonie avec eux. Ceux qui aiment Jéhovah se sentent poussés à imiter l’exemple du Christ, à marcher comme il a marché et à suivre fidèlement ses traces. Par notre obéissance, nous démontrons notre amour pour Dieu et pour Christ. – TG2016/1 p13 Se vouer à Dieu et se faire baptiser, c’est entrer dans une famille incomparable. Tout d’abord, Jéhovah devient notre Père et notre Ami. Avant notre baptême, nous étions éloignés de lui ; nous voilà réconciliés avec lui (2 Corinthiens 5:19). Grâce au sacrifice de Christ, nous nous sommes approchés de Dieu, et lui s’approche alors de nous – TG2006 1/ 4 p30 §18 2 Cor. 6:1, 2: “Travaillant avec lui, nous vous supplions aussi de ne pas accepter la faveur imméritée de Dieu pour en manquer le but. Car il dit: ‘En un temps favorable je t’ai entendu, et en un jour de salut je t’ai secouru.’ Voici, c’est maintenant le temps tout à fait favorable. Voici, c’est maintenant le jour du salut.” La possibilité nous est actuellement donnée d’obtenir le salut. Dieu n’exercera pas indéfiniment sa faveur imméritée envers les humains pécheurs. Aussi devons-nous veiller à ne pas en manquer le but. – rs Péché 2 Cor. 6:14-18: “Quels rapports y a-t-il entre la justice et le mépris de la loi? Ou quelle association y a-t-il entre la lumière et les ténèbres? Par ailleurs, quel accord y a-t-il entre Christ et Bélial? Ou quelle part a le fidèle avec l’incroyant? Et quelle entente y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles? (...) ‘“C’est pourquoi sortez du milieu d’eux, et séparez-vous”, dit Jéhovah, “et ne touchez plus à la chose impure”’; ‘“et je vous accueillerai (...), et vous serez pour moi des fils et des filles”, dit Jéhovah, le Tout-Puissant.’” On peut rompre avec les pratiques non chrétiennes qui font appel aux sentiments en cultivant un amour sincère pour Jéhovah et le vif désir de lui plaire. Une personne qui connaît et aime vraiment Dieu n’a pas du tout le sentiment qu’elle nuit à son bonheur quand elle rejette les pratiques qui honorent de faux dieux ou qui favorisent le mensonge. Son amour sincère lui permet de se réjouir avec la vérité, et non de l’injustice – rs Fêtes Un amour sincère pour Dieu et pour la vérité contenue dans la Bible a attiré des millions de gens vers une organisation qui remplit ces critères bibliques et d’autres encore. Les Témoins de Jéhovah du monde entier forment un groupe organisé et uni qui s’efforce de faire la volonté de Dieu. Ils ont confiance dans cette promesse : “ Je résiderai parmi eux et je marcherai parmi eux, et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. ” (2 Corinthiens 6:16). Vous aussi, vous pouvez connaître cette merveilleuse bénédiction si vous adorez Jéhovah Dieu avec son organisation. – TG2011 1/6 p13 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? A l’époque de Jésus comme à celle de Moïse la majorité des Israélites ont rejeté la possibilité unique qui s’offrait à eux. Il en va de même à notre époque. La plupart des gens rejettent la bonne nouvelle que nous prêchons. Cela ne nous surprend pas. Paul a écrit en effet : “ Si donc la bonne nouvelle que nous annonçons est vraiment voilée, elle est voilée chez ceux qui périssent, chez qui le dieu de ce système de choses a aveuglé l’intelligence des incrédules. ” 2 Corinthiens 4:3, 4. Certes, Satan s’évertue à cacher la bonne nouvelle, mais en plus bien des personnes se voilent la face parce qu’elles refusent de voir. TG2005 15/8 p21 §7 “Le dieu de ce système de choses”, Satan le Diable, encourage toutes sortes de pratiques qui pervertissent le désir d’adorer qui est en l’homme, désir qui lui vient de Dieu (II Cor. 4:4). Certains dirigeants ont été vénérés comme des dieux. Des millions d’hommes se prosternent devant des idoles. Des millions d’autres sont en adoration devant des acteurs ou des athlètes qui sortent du commun. On accorde fréquemment un honneur indu à la créature au cours de certaines célébrations. Cet esprit est si répandu que ceux qui aiment vraiment Jéhovah et qui veulent lui vouer un attachement exclusif doivent veiller jour après jour à ne pas se laisser gagner par son influence. – rs Esprit du monde Les chrétiens du 1er siècle avaient besoin d’une bonne acuité spirituelle. Ils accomplissaient leur ministère dans des conditions adverses. Paul a déclaré : “ Nous sommes pressés de toute manière, mais non à l’étroit, sans pouvoir bouger ; nous sommes perplexes, mais non absolument sans issue ; nous sommes persécutés, mais non abandonnés ; nous sommes jetés à terre, mais non détruits. ” — 2 Corinthiens 4:8, 9. Malgré cela, les fidèles disciples ont tenu bon. Une foi solide en Dieu leur a permis de dire avec Paul : “ Nous ne renonçons pas ; au contraire, même si l’homme que nous sommes extérieurement dépérit, à coup sûr l’homme que nous sommes intérieurement se renouvelle de jour en jour. ” D’où tenaient-ils ces forces quotidiennement renouvelées ? Paul poursuit : “ Car bien que la tribulation soit momentanée et légère, elle produit pour nous une gloire dont le poids est de plus en plus extraordinaire et qui est éternelle ; tandis que nous fixons nos yeux, non pas sur les choses qui se voient, mais sur celles qui ne se voient pas. Car les choses qui se voient sont temporaires, mais celles qui ne se voient pas sont éternelles. ” — 2 Corinthiens 4:16-18. Paul encourageait ses frères chrétiens à ne pas laisser les soucis, les difficultés, les persécutions, bref les épreuves de toutes sortes, occulter la glorieuse récompense placée devant eux. Il leur fallait voir par-delà la situation qu’ils traversaient, et fixer leurs regards sur l’issue heureuse de la course chrétienne. Voilà comment leur détermination à poursuivre la lutte était chaque jour renouvelée. À notre époque, les chrétiens ont tout autant besoin de posséder une excellente acuité spirituelle. – TG1996 15/2 p27-29 Si nous continuons de mettre le Royaume à la première place dans notre vie et ne perdons pas de vue les bienfaits éternels qu’il apportera, nous pourrons nous aussi résister à la tentation de transiger en échange d’un soulagement temporaire de nos tourments. — 2 Cor. 4:16-18. – TG2010 15/7 p12 5:5 — Que veut dire “ livrer un [...] homme méchant à Satan pour la destruction de la chair, afin que l’esprit soit sauvé ” ? Lorsqu’un chrétien pratique un péché grave et ne s’en repent pas, il est excommunié. Dès lors, il fait de nouveau partie du monde de Satan. C’est en ce sens qu’il est livré à Satan. En l’expulsant, l’assemblée a détruit, c’est-à-dire ôté du milieu d’elle, un élément corrupteur, préservant ainsi l’esprit, ou attitude dominante, de l’assemblée – TG2008 15/7 p28 Au sujet de cette mission spéciale confiée à Jésus, Paul écrit : “ Celui qui n’a pas connu le péché, [Dieu] l’a fait péché pour nous, afin que nous devenions justice de Dieu par son moyen. ” (2 Corinthiens 5:21). L’expression “ fait péché ” peut aussi se traduire par ‘ fait sacrifice pour le péché ’. “ Il est, dit l’apôtre Jean, un sacrifice propitiatoire pour nos péchés, pas seulement pour les nôtres cependant, mais aussi pour ceux du monde entier. ” Ainsi, avec le sacrifice de Jésus les chrétiens disposent d’un moyen d’accès auprès de Dieu bien supérieur à celui que les sacrifices de la Loi ont offert aux Israélites pendant un temps. Quiconque exerce la foi dans ce sacrifice rédempteur et obéit à Dieu peut obtenir le pardon de ses péchés et la faveur divine. – TG2000 15/8 p18 §5 De quelle façon, les vrais chrétiens se différencient-ils des membres des fausses religions ? Ils « disent la vérité ». Paul a expliqué : « Nous nous recommandons comme ministres de Dieu [...] par des paroles véridiques » (2 Cor. 6:4, 7). Cela signifie qu’une personne vraiment honnête dit toujours la vérité. – TG2018/10 p6 §14 Paul a consigné sous inspiration un principe essentiel dont il faut tenir compte pour choisir un conjoint : “ Ne formez pas d’attelage disparate avec des non-croyants. ” (2 Corinthiens 6:14). Paul faisait ici appel à une illustration tirée du monde agricole. Si on attelle sous un même joug deux animaux de tailles ou de forces très différentes, les deux vont souffrir. De même, attelés ensemble par le mariage, un croyant et un non-croyant connaîtront inévitablement des frictions et des tensions. Si l’un d’eux veut se garder dans l’amour de Jéhovah et que l’autre ne s’en soucie pas vraiment, voire pas du tout, ils n’auront pas les mêmes priorités dans la vie et cela risque fort de provoquer un malaise profond entre eux. L’association spirituelle d’un vrai chrétien et de quelqu’un qui ne l’est pas constituerait un “ attelage disparate ”, une situation boiteuse. Cela ne pourrait que compromettre la foi du chrétien. Il arrive que des chrétiens célibataires estiment qu’un attelage mal assorti vaut toujours mieux que la solitude dont ils souffrent sur le moment. Certains décident d’ignorer le conseil biblique et se marient avec quelqu’un qui ne sert pas Jéhovah. Bien souvent, l’issue est douloureuse. Ils se retrouvent en compagnie d’une personne avec qui ils ne peuvent pas partager les choses les plus importantes de la vie. La solitude que cette situation engendre est parfois plus insupportable encore que celle qu’ils ressentaient avant le mariage. Heureusement, des milliers de chrétiens célibataires font confiance aux conseils divinement inspirés et les suivent fidèlement. Même s’ils aspirent à se marier un jour, ils restent célibataires jusqu’à ce qu’ils trouvent un conjoint parmi les adorateurs de Jéhovah. - « Amour de Dieu », p113 §9,10
  7. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 29 AVRIL 2019 - 2 Corinthiens 1-3.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 29 AVRIL 2019 - 2 Corinthiens 1-3.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : 2 Corinthiens 1-3 2 Corinthiens 1:22 : Que sont le « gage » et le « sceau » que chaque chrétien oint reçoit de Dieu ? (w16.04 32). « Il a aussi mis son sceau sur nous et nous a donné dans nos cœurs le gage de ce qui est à venir, à savoir l’esprit » ▪ Le gage : D’après un ouvrage de référence, le terme grec rendu par « gage » en 2 Corinthiens 1:22 était « un terme juridique et commercial » désignant « le premier versement, les arrhes, l’acompte, qui paient à l’avance une partie du prix d’achat et garantissent ainsi le droit à l’article en question, ou qui valident un contrat ». Dans le cas des oints, Jéhovah leur donne à l’avance un gage de leur récompense. Le paiement complet décrit en 2 Corinthiens 5:1-5 signifie pour eux revêtir un corps céleste incorruptible. Leur récompense comprend également le don de l’immortalité. En grec moderne, un terme voisin désigne une bague de fiançailles. C’est une image appropriée pour ceux qui feront partie de l’épouse symbolique de Christ (2 Cor. 11:2 ; Rév. 21:2, 9). ▪ Le sceau : Dans le passé, le sceau servait de signature prouvant la propriété, l’authenticité ou l’autorisation. Dans le cas des oints, ils sont « scellés », ou marqués, au sens figuré par l’esprit saint en tant que propriété de Dieu (Éph. 1:13, 14). Cependant, le sceau d’un chrétien oint ne devient définitif qu’à un certain moment avant qu’il meure, fidèle, ou bien avant le déclenchement de la grande tribulation - w16.04 p32 Paul a comparé l’esprit saint à un sceau. Jéhovah oint ces chrétiens de son esprit saint pour indiquer qu’ils lui appartiennent. C’est à la Pentecôte de l’an 33 que les premiers chrétiens juifs commencèrent à être scellés, quand ils furent oints de l’esprit saint. Quand ces esclaves sont adoptés comme fils spirituels de Dieu, ils reçoivent par avance un gage de leur héritage céleste, un sceau, ou garantie. L’esprit de Dieu était à l’époque — et il est encore aujourd’hui — pour les fidèles chrétiens oints un sceau, c’est-à-dire un ‘gage de ce qui était à venir’, à savoir la vie céleste dans l’immortalité. Cette onction ne concerne que 144 000 disciples - TG2007 1/1 p31 De plus, tous les oints ne prennent pas conscience de leur appel céleste exactement de la même manière. Pour certains, cette prise de conscience est soudaine et pour d’autres, elle est progressive. Mais quoi qu’il en soit, chacun possède ce dont l’apôtre Paul a parlé ainsi : « Après avoir cru, vous avez été scellés de l’esprit saint promis, qui est un gage par anticipation de notre héritage » (Éph. 1:13, 14). Cette opération particulière de l’esprit saint est comparable à un acompte, une garantie (ou gage) de ce qui est à venir. Ce « gage » donne aux chrétiens oints l’intime conviction d’avoir l’espérance céleste TG2016/1 p18 2 Corinthiens 2:14-16 : À quoi Paul faisait-il peut-être référence quand il a parlé d’« un cortège triomphal » ? (w10 1/8 23). « Mais merci à Dieu qui toujours nous emmène à sa suite dans un cortège triomphal en compagnie du Christ et qui répand par notre intermédiaire le parfum de sa connaissance en tout lieu ! 15 Car pour Dieu nous sommes un agréable parfum de Christ qui se diffuse parmi ceux qui sont en train d’être sauvés et parmi ceux qui vont à la destruction ; 16 pour ces derniers, c’est une odeur de mort menant à la mort, pour les autres, un parfum de vie menant à la vie. Et qui est qualifié pour cela ? » ▪ Paul a écrit : “ Dieu [...] nous conduit dans un cortège triomphal en compagnie du Christ et [...], par notre intermédiaire, rend perceptible en tout lieu l’odeur de sa connaissance. Car pour Dieu nous sommes une agréable odeur de Christ parmi ceux qui sont en train d’être sauvés et parmi ceux qui périssent ; pour ceux-ci, une odeur venant de la mort pour la mort, pour ceux-là, une odeur venant de la vie pour la vie. ” — 2 Corinthiens 2:14-16. L’apôtre faisait allusion à la coutume romaine d’organiser un cortège de célébration en l’honneur d’un général qui avait vaincu des ennemis de l’État. À ces occasions, on exposait le butin ainsi que les prisonniers de guerre et on menait des taureaux au sacrifice, tandis que le général victorieux et son armée recevaient les acclamations de la foule. Au terme de la procession, on sacrifiait les taureaux et on exécutait vraisemblablement un bon nombre de prisonniers. La métaphore de l’“ agréable odeur de Christ ” qui signifierait la vie pour certains et la mort pour d’autres est “ sans doute tirée de la coutume romaine de brûler de l’encens sur le chemin du cortège, déclare une encyclopédie (The International Standard Bible Encyclopedia). Le parfum qui était synonyme de triomphe pour les vainqueurs rappelait aux captifs l’exécution qui les attendait probablement ”. - w10 1/8 p23 CORTÈGE TRIOMPHAL - Cortège officiel célébrant la victoire sur un ennemi. Le mot grec thriambeuô, qui signifie “ conduire dans un cortège triomphal ”, ne figure que deux fois dans les Écritures, chacune dans un contexte métaphorique quelque peu différent. — 2Co 2:14 ; Col 2:15. Dans l’image, Paul et ses compagnons chrétiens, sujets dévoués de Dieu, tels des fils, des officiers de haut rang et des soldats victorieux, “ en compagnie du Christ ” suivent tous dans le défilé le Dieu qui les conduit en un grandiose cortège triomphal le long d’une voie parfumée de fleurs. Par leur attachement à la Bible et leur prédication du message réconfortant qu’elle renferme, les vrais chrétiens diffusent “ une agréable odeur ” de vie qui plaît à Jéhovah.- it-1 p548 Que voulait faire ressortir l’apôtre Paul où il parle de lui-même et de ses compagnons comme d’une “odeur”? On comprendra mieux ces paroles en considérant certaines caractéristiques des processions triomphales romaines. Quand l’armée victorieuse revenait et qu’elle défilait dans la ville de Rome, on parfumait l’air en brûlant de l’encens sur les autels des temples. L’odeur de cet encens signifiait différentes choses selon les personnes. Pour les soldats vainqueurs, l’odeur était délicieuse, annonciatrice d’honneurs, d’avancement et de richesse. Mais pour les captifs, qui étaient traités sans merci et que l’on faisait aussi défiler dans les rues, l’encens brûlé avait une odeur désagréable, car il leur rappelait qu’ils seraient exécutés à la fin de la procession. De même, le message proclamé par l’apôtre Paul et ses compagnons était comme une odeur délicieuse pour ceux qui l’acceptaient, mais une infection pour ceux qui le rejetaient. - TG1978 1/1 p32 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? La principale source de consolation, c’est Jéhovah, notre Père céleste compatissant (2 Corinthiens 1:3, 4). Jéhovah est le plus grand exemple d’empathie (la capacité à ressentir personnellement la peine que les autres ressentent). Nous pouvons être absolument certains que Jéhovah veut nous aider. Comme c’est réconfortant de savoir qu’il comprend nos sentiments et qu’il donne la consolation dont nous avons tant besoin. Un des moyens que Jéhovah utilise est « la consolation de l’esprit saint » (Actes 9:31). En effet, sa force agissante est une source très puissante de consolation. Jésus a promis que le Père donnerait volontiers « de l’esprit saint à ceux qui le lui demanderaient » - TG2017/7 p13 Jéhovah « nous console dans toute notre tribulation » (2 Cor. 1:3, 4). Il peut apaiser notre esprit, notre cœur et nos émotions au moyen de sa Parole, de son esprit saint et de la nourriture spirituelle dispensée par l’esclave fidèle – TG2017/2 L’habitude de prier régulièrement Jéhovah nous rapproche de lui, et cela aussi nous aide à nous préparer en vue de la persécution. Plus nous nous reposons sur notre Père céleste en recourant à la prière, plus nous augmentons notre confiance en lui (2 Corinthiens 1:8-10). Nos relations avec Dieu seront alors si solides qu’aucun ennemi, homme ou démon, ne pourra les briser. – TG1983 1/8 p18 §12 Paul a traversé d’innombrables épreuves et a même parfois frôlé la mort (2 Cor. 1:8-10). Pourtant, il n’avait pas une peur maladive de mourir. Il puisait de la consolation dans la certitude d’avoir le soutien de Dieu. Il a déclaré : « Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père des tendres miséricordes et le Dieu de toute consolation, qui nous console dans toute notre tribulation » (2 Cor. 1:3, 4). Paul ne s’est pas apitoyé sur son sort. Ses tribulations l’ont plutôt aidé à cultiver la compassion, ce qui a affiné son aptitude à consoler les autres. Nous avons tous enduré des souffrances plus ou moins intenses. Mais, comme Paul l’a souligné, les épreuves nous rendent plus aptes à consoler ceux qui traversent des moments difficiles. Aussi, soyons sensibles à la souffrance de nos compagnons et imitons Jéhovah en étant une source de consolation. TG2013 15/3 Paul et ses compagnons n’ont peut-être pas su que demander dans la prière lorsqu’ils ont subi la tribulation dans le district d’Asie. Étant ‘accablés à l’extrême, au-delà de leurs forces, ils sentaient en eux-mêmes qu’ils avaient reçu la sentence de mort’. Mais ils ont demandé à d’autres de supplier pour eux et ont mis leur confiance en Dieu, qui peut relever les morts, et il les a effectivement secourus (2 Corinthiens 1:8-11). Qu’il est réconfortant de savoir que Jéhovah Dieu entend les prières de ses fidèles serviteurs et qu’il agit en conséquence – TG1992 15/9 p13§13 Face à des décisions d’ordre personnel, les chrétiens sincères doivent faire un choix qui leur permettra de garder une conscience pure et tranquille devant Dieu. Leur désir devrait être de pouvoir dire en toutes circonstances: “Notre conscience en témoigne (...): nous nous sommes conduits dans le monde, et plus particulièrement à votre égard, avec sainteté et avec une sincérité conforme à la volonté de Dieu.” (II Corinthiens 1:12). Un chrétien montrera jusqu’à quel point il aime Jéhovah et ses principes dans les décisions qu’il prendra sur des questions de conscience – TG1982 15/2 §9 3:2 — Qu’est-ce qui “ n’a pas encore été manifesté ” aux chrétiens oints, et qui ceux-ci verront-ils “ tel qu’il est ” ? Ce qui n’a pas encore été manifesté aux chrétiens oints, c’est l’apparence qu’ils auront quand ils seront ressuscités au ciel avec un corps spirituel. Cependant, ils savent que ‘ lorsque Dieu sera manifesté, ils seront semblables à lui, parce qu’ils le verront tel qu’il est ’, lui, “ l’Esprit ”. — 2 Cor. 3:17, 18 – TG2008 15/8 Paul a indiqué à ses compagnons chrétiens qui est la Source de la vraie liberté. Il a écrit : « Jéhovah est l’Esprit ; et là où est l’esprit de Jéhovah, là est la liberté » (2 Cor. 3:17). Quelques versets avant 2 Corinthiens 3:17, Paul a mentionné ce qui est arrivé à Moïse quand il est descendu du mont Sinaï après avoir été en présence d’un ange de Jéhovah. Son visage émettait des rayons de lumière ! En le voyant, le peuple avait eu peur, et Moïse avait dû mettre un voile sur son visage (2 Cor. 3:7, 13). Mais Paul a expliqué que « quand on se tourne vers Jéhovah, le voile est enlevé » (2 Cor. 3:16). Que signifient ces paroles ? Jéhovah, le Créateur de toutes choses, est le seul à posséder une liberté absolue, ou illimitée. Il est donc logique qu’en la présence de Jéhovah, « là où est [son] esprit », il y ait la liberté. Toutefois, pour bénéficier de cette liberté, nous devons nous « tourner vers Jéhovah », c’est-à-dire développer une relation personnelle avec lui. Les Israélites qui se trouvaient dans le désert après avoir été libérés d’Égypte voyaient les choses d’un point de vue humain, et pas du point de vue de Jéhovah. C’était comme s’ils avaient un voile sur leur cœur et leur esprit : ils ne voulaient pas voir tout ce que Jéhovah avait fait pour eux. En effet, la seule chose qui les intéressait, c’était d’utiliser leur toute nouvelle liberté pour satisfaire des désirs physiques. La liberté que l’esprit de Jéhovah procure est plus qu’une libération d’un esclavage physique. L’esprit de Jéhovah libère de l’imperfection et de la mort, ainsi que du faux culte et de ses pratiques - TG2018/4 §2-5 Comment le peuple de Jéhovah aujourd’hui peut-il ‘refléter comme des miroirs la gloire de Jéhovah’? (2 Corinthiens 3:18.) La gloire de Dieu brille par le moyen de “la glorieuse bonne nouvelle au sujet du Christ, qui est l’image de Dieu”. Les Témoins de Jéhovah reflètent cette gloire en parlant de la gloire de Jéhovah et de la gloire de son Royaume dirigé par son Fils – TG1990 15/8 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Paul a propagé avec zèle le message du Royaume en Asie Mineure et en Europe, où il a fondé de nombreuses congrégations. Certaines d’entre elles ont eu sa visite à plusieurs reprises. Dans ses lettres, il a parfois jugé nécessaire de jurer qu’il disait la vérité (Gal. 1:20). Quand des Corinthiens lui ont reproché de ne pas être digne de confiance, il a écrit pour sa défense : “ Aussi vrai que Dieu est fidèle, la parole que nous vous avons adressée n’est pas Oui et cependant Non. ” (2 Cor. 1:18). À ce moment-là, Paul avait quitté Éphèse et traversait la Macédoine en direction de Corinthe. Au départ, il avait prévu de retourner à Corinthe avant de se rendre en Macédoine (2 Cor. 1:15, 16). Mais il est parfois nécessaire de modifier un itinéraire. Les surveillants itinérants le savent bien. Ils procèdent à ces changements non pas pour des questions de préférence ou des raisons peu sérieuses, mais parce qu’il le faut. Pour en revenir à Paul, c’est dans l’intérêt de la congrégation de Corinthe qu’il avait différé sa venue. En quoi était-ce bénéfique ? Quelque temps après avoir défini son itinéraire initial, Paul avait reçu des nouvelles troublantes : on tolérait à Corinthe des dissensions et des comportements immoraux (1 Cor. 1:11 ; 5:1). Pour redresser la situation, il a rédigé sa première lettre aux Corinthiens, dans laquelle il a inclus des conseils fermes. Puis, au lieu d’embarquer directement pour Corinthe, Paul a décidé de laisser aux chrétiens de cette ville le temps d’appliquer ses recommandations. Ainsi, lorsqu’il se rendrait finalement sur place, sa visite serait plus encourageante. Dans sa seconde lettre, il a certifié que c’était là la raison du changement : “ J’invoque Dieu comme témoin contre mon âme même que c’est pour vous épargner que je ne suis pas encore venu à Corinthe. ” (2 Cor. 1:23). Ne ressemblons jamais aux détracteurs de Paul. Manifestons plutôt un profond respect pour ceux qui ont été placés à notre tête. – TG2012 15/10 p29 §6,7 Comment « considérer » celui que la honte et le désespoir dus à un péché passé continuent d’accabler, alors qu’il a fait le nécessaire pour se rétablir ? Parlant d’un transgresseur de Corinthe repentant, Paul a écrit : « Vous devriez lui pardonner volontiers et le consoler, de peur que d’une manière ou d’une autre un tel homme ne soit englouti par sa tristesse excessive. Je vous exhorte donc à confirmer votre amour pour lui » (2 Cor. 2:7, 😎. D’après un lexique, le terme traduit par « confirmer » signifie « ratifier, valider, rendre juridiquement contraignant ». Nous ne pouvons pas nous contenter de supposer que l’intéressé comprend que nous l’aimons et que nous nous soucions de lui. Il a besoin de le constater à travers notre état d’esprit et nos actes. – TG2008 15/7 p28 §7 Ce qui est important, c’est le profond amour et l’intérêt que nous portons à ceux que nous enseignons. Paul a écrit ceci aux Corinthiens : “C’est vous-mêmes qui êtes notre lettre, inscrite sur nos cœurs, connue et lue par tous les humains. Car on vous montre comme étant une lettre de Christ écrite par nous en tant que ministres, inscrite non avec de l’encre, mais avec l’esprit d’un Dieu vivant, non sur des tablettes de pierre, mais sur des tablettes de chair, sur des cœurs.” (II Cor. 3:2, 3). Quand on a un profond amour pour ceux qu’on enseigne, les enseignés seront comme des ‘lettres’ inscrites sur nos cœurs. Comme nous comptons sur l’aide de l’esprit de Dieu et que nous faisons tout notre possible dans la limite de nos capacités, ceux qui accueillent notre enseignement deviendront comme des lettres de Christ, inscrites par l’esprit de Dieu sur des cœurs. Oui, l’effet de l’esprit de Dieu sur leurs cœurs les incitera à manifester une personnalité chrétienne qu’on pourra voir ou ‘lire’. Luttez-vous avec énergie en tant que ‘collaborateur’ de Dieu pour produire de telles ‘lettres’ ? – TG1974 1/6 p344 §23 La Parole de Dieu explique ce qui rend quelqu’un qualifié pour prêcher la bonne nouvelle chrétienne. Sous l’inspiration divine, l’apôtre Paul a écrit : “ Ce n’est pas que de nous-mêmes nous soyons qualifiés pour estimer quelque chose comme venant de nous, mais notre capacité vient de Dieu qui nous a vraiment qualifiés pour être ministres. ” (2 Corinthiens 3:5, 6). Celui qui est ‘ qualifié ’ est compétent et digne d’entreprendre une tâche donnée. Les vrais ministres de la bonne nouvelle sont bel et bien qualifiés pour prêcher. Ils sont capables, compétents, dignes d’effectuer cette œuvre. Mais d’où vient cette capacité ? de Jéhovah. Il veille à ce que tous ses serviteurs fidèles soient qualifiés, aptes à effectuer le travail qu’il leur confie. Comment donc Jéhovah rend-il capables aujourd’hui les vrais chrétiens ? Trois moyens qu’il utilise pour cela : 1) sa Parole, 2) son esprit saint et 3) son organisation terrestre. – TG2002 15/2 §3,4 Que nous soyons actuellement persécutés ou non, nous devrions nous soucier de nos compagnons chrétiens. 2 Cor. 1:8 Aujourd’hui, en cas de persécution, notre souci pour la sécurité de nos frères nous rend “ prudents comme des serpents ”. Nous poursuivons l’œuvre de prédication avec prudence et refusons de trahir nos frères en divulguant leurs noms ou d’autres informations aux persécuteurs. – TG2008 15/2 §18 Pourquoi Jésus s’appelle-t-il lui-même “ l’Amen ” ? Ce titre confère une autorité juridique à son message. “ Amen ” est la transcription d’un mot hébreu qui signifie “ certainement ”, “ ainsi soit-il ! ” ; on le dit à la fin des prières pour donner son adhésion aux sentiments qui viennent d’être exprimés. Jésus est “ l’Amen ”, parce que son intégrité parfaite et sa mort sacrificielle confirment et garantissent la réalisation de toutes les précieuses promesses de Jéhovah (2 Corinthiens 1:20). Depuis lors, toutes les prières sont à juste titre adressées à Jéhovah par l’intermédiaire de Jésus. – re chap13 §4 Paul a pressé les chrétiens de Corinthe de réintégrer le coupable. Pour quelle raison ? Pour qu’ils ne soient “ pas dupes de Satan ”, explique l’apôtre. Apparemment, le pécheur s’était repenti et avait purifié sa vie (2 Corinthiens 2:8-11). Si les Corinthiens refusaient de réintégrer cet homme repentant, ils seraient alors dupes de Satan en ce sens qu’ils se montreraient aussi durs et impitoyables que le Diable le souhaitait. Très probablement, ils ne tardèrent pas à ‘ lui pardonner et à le consoler ’. — 2 Corinthiens 2:5-7. – TG2006 15/11 p27
  8. Rajout 1 Corinthiens 14:8, 9 - Si le signal qui sort de la trompette est confus, qui se préparera au combat ? De même, si, avec votre langue, vous ne prononcez pas des paroles faciles à comprendre, comment saura-t-on ce qui est dit ? En fait, vous parlerez en l’air » L’apôtre Paul a utilisé l’exemple de la sonnerie de la trompette au temps d’Israël qui servait à rassembler le peuple ou l’armée au combat, à l’importance d’avoir des paroles facilement compréhensibles. Si le son de la trompette n’était pas clair, l’armée en marche pouvait subir des conséquences désastreuses. Pareillement, des paroles imprécises peuvent prêter à confusion ou induire en erreur. – TG2015 15/12 p15
  9. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 22 AVRIL 2019 -1 Corinthiens 14-16.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 22 AVRIL 2019 -1 Corinthiens 14-16.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : 1 Corinthiens 14-16 1 Corinthiens 14:34, 35 : L’apôtre Paul a-t-il interdit aux femmes de parler ? (w12 1/9 9, encadré). « que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis de prendre la parole. Qu’elles soient soumises, comme le dit aussi la Loi. 35 Si elles veulent des explications, qu’elles interrogent leurs maris à la maison, car il est honteux pour une femme de prendre la parole dans l’assemblée. » [Encadré, page 9] L’apôtre Paul a-t-il interdit aux femmes de s’exprimer ? “ Que les femmes se taisent dans les congrégations ”, a écrit Paul (1 Corinthiens 14:34). Que voulait-il dire par là ? Mettait-il en doute leur intelligence ? Non. D’ailleurs, il a souvent parlé en bien de l’enseignement des femmes (2 Timothée 1:5 ; Tite 2:3-5). Dans cette même lettre aux Corinthiens, Paul demandait aussi à tous ceux qui avaient le don des langues et de prophétie de se taire lorsqu’un autre parlait (1 Corinthiens 14:26-30, 33). Apparemment, certaines chrétiennes étaient si enthousiastes au sujet de leur nouvelle foi qu’elles interrompaient l’orateur pour poser des questions, comme c’était la coutume dans le monde grec. Pour éviter ce désordre, Paul les a encouragées à interroger “ leurs propres maris à la maison ”. — 1 Corinthiens 14:35. Au cours de ce qui était vraisemblablement des réunions publiques, lorsque “ la congrégation entière ” et des “ non-croyants ” s’assemblaient en un même lieu, il fallait que les femmes “ se taisent ”. Si ‘ elles voulaient apprendre quelque chose, elles pouvaient interroger leurs propres maris à la maison, car il était honteux pour une femme de parler dans une congrégation Si elle n’était pas autorisée à enseigner dans une réunion de la congrégation, la femme pouvait cependant instruire à l’extérieur de la congrégation des personnes qui désiraient apprendre la vérité biblique et la bonne nouvelle au sujet de Jésus Christ. Elle était également autorisée à ‘ enseigner ce qui est bon ’ aux jeunes femmes (et aux enfants) au sein de la congrégation (Tt 2:3-5). Toutefois, elle n’avait pas le droit d’exercer l’autorité sur un homme ni de contester ce que les hommes disaient, dans les réunions de la congrégation par exemple. Elle devait se rappeler ce qui était arrivé à Ève, ainsi que les propos par lesquels Dieu définit la position de la femme après qu’Adam et Ève eurent péché – it1 p875 Pourquoi Paul donne-t-il ce commandement aux sœurs de se taire ? Pour préserver l’ordre au sein de la congrégation. Peut-être certaines sœurs contestaient-elles ce qui était dit dans la congrégation. La mise au point de Paul a aidé les chrétiennes à rejeter cet esprit frondeur et à accepter humblement leur place dans la disposition arrêtée par Jéhovah en matière d’autorité, notamment vis-à-vis de leurs maris. Par leur silence, elles indiqueraient aussi qu’elles n’aspirent pas à enseigner la congrégation. Il ne convient pas, en effet, qu’une femme assume la fonction d’enseignant. Paul n’écrira-t-il pas à Timothée : “ Je ne permets pas à la femme d’enseigner, ou de dominer sur l’homme, mais qu’elle soit dans le silence. ” 1 Timothée 2:12. Est-ce à dire qu’une chrétienne ne doit jamais s’exprimer aux réunions ? Non. Elles peuvent faire des commentaires. En résumé, les chrétiennes “ se taisent ” en ce sens qu’elles ne cherchent pas à endosser le rôle dévolu aux hommes ni à instruire la congrégation. Elles ne posent pas de questions polémiques qui risqueraient de saper l’autorité de ceux qui enseignent. “Si elles veulent apprendre quelque chose, qu’elles questionnent à la maison leur propre mari, car il est honteux pour une femme de parler dans une congrégation.” (1 Corinthiens 14:35). Il veut dire par là que, si une chrétienne ne comprend pas ou n’approuve pas une déclaration quelconque faite ou lue pendant une réunion, elle ne doit pas soulever de controverse devant l’assemblée. Elle demandera plutôt à son mari, quand elle sera chez elle, des éclaircissements sur la question. En assumant leur propre rôle dans la congrégation, elles contribuent beaucoup à ce que les réunions se déroulent dans une atmosphère paisible, de sorte que ‘ tout se fasse pour bâtir ’. - TG2006 1/3 p28-29 1 Corinthiens 14:34, 35 - Ces paroles rédigées sous l’inspiration de Dieu invitaient les chrétiennes à prêter attention à l’enseignement prodigué par des hommes désignés à cet effet. Elles devaient garder le silence, sans chercher à avoir part à l’instruction donnée en public. Par leur conduite et leur attitude, ces chrétiennes démontraient leur soumission aux dispositions prises par la congrégation en matière d’enseignement. Il aurait été déplacé qu’une femme soulève un débat en public, manifestant ainsi son désaccord avec les membres masculins de la congrégation ou laissant entendre que leur enseignement n’était pas clair. Cette attitude aurait traduit un manque d’humilité et de modestie, et elle aurait nui à l’ordre et au sérieux qui doivent présider aux réunions de la congrégation. Par contre, une fois chez elle, la chrétienne pouvait interroger son mari croyant pour qu’il l’aide à adopter une saine optique. Posées dans le cadre du foyer, les questions qui préoccupaient une chrétienne ne risquaient pas de rejaillir sur elle et de donner l’impression qu’elle était effrontée ou qu’elle ne savait pas garder sa place. En rappelant qu’il était mal que la femme se substitue à un enseignant, l’apôtre Paul, loin de se fier à son propre jugement, s’en référait à l’autorité des Écritures. – RV1978 8/9 p27 1 Corinthiens 15:53 : Que signifie devenir immortel et impérissable ? (it-1 1181). « Il faut en effet que ce qui est périssable devienne impérissable, et que ce qui est mortel devienne immortel. » Incorruptibilité Unis à Jésus dans la ressemblance de sa résurrection, ses cohéritiers sont aussi ressuscités pour acquérir, non seulement la vie éternelle comme créatures spirituelles, mais encore l’immortalité et l’incorruptibilité. Ayant vécu, servi fidèlement, et étant morts dans leur corps humain corruptible, ils reçoivent alors un corps spirituel incorruptible, ce que Paul explique clairement en 1 Corinthiens 15:42-54. Dès lors, le terme immortalité a sans doute trait à la qualité de la vie qu’ils possèdent : éternelle et indestructible, tandis que le mot incorruptibilité se rapporte apparemment à l’organisme ou au corps que Dieu leur donne, et qui est par nature à l’abri de la déchéance, du dépérissement ou de la destruction. Il semble donc que Dieu leur accorde le pouvoir de subsister de manière autonome, sans dépendre de sources d’énergie extérieures comme ses autres créatures de chair ou spirituelles. Dieu leur témoigne ainsi une confiance extraordinaire. Toutefois, cette existence indépendante et indestructible ne les soustrait pas à la direction divine. À l’instar de leur Chef Christ Jésus, ils demeurent soumis à la volonté et aux directives de leur Père - it-1 p1181 L’immortalité désigne la qualité de la vie que quelqu’un possède, le fait qu’elle soit sans fin et indestructible. Les mots “ immortel ” ou “ immortalité ” n’apparaissent pas dans les Écritures hébraïques, mais elles montrent, toutefois, que Jéhovah Dieu, la Source de toute vie, n’est pas sujet à la mort, donc qu’il est immortel Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Parlant de Jéhovah, Paul a également écrit : « Dieu est un Dieu, non pas de désordre, mais de paix » (1 Cor. 14:33). Notez que l’apôtre n’oppose pas le désordre à l’ordre, mais à la paix. Pourquoi ? Parce que l’ordre en lui-même ne garantit pas la paix. Par exemple, une troupe de soldats peut se rendre au front en marchant au pas ; seulement cette façon ordonnée de se déplacer ne débouchera pas sur la paix, mais sur la guerre. Les chrétiens veulent donc se rappeler cette vérité essentielle : tout système ordonné qui n’est pas fondé sur la paix s’écroule tôt ou tard. La paix divine, en revanche, favorise un ordre durable.– Livre Le Royaume en action p120 Dans la communauté chrétienne du 1er siècle, Paul est un homme de renom. On le serait à moins : pour les besoins de son ministère, il a parcouru des milliers de kilomètres sur terre et sur mer, et on ne compte plus les congrégations qu’il a fondées. Outre le don de parler en langues étrangères, il a reçu de Jéhovah des visions (1 Corinthiens 14:18). Dieu lui a également inspiré la rédaction de 14 lettres, incorporées plus tard aux Écritures grecques chrétiennes. À l’évidence, Paul a œuvré bien plus que tous les autres apôtres. 1 Corinthiens 15:10. Certains pourraient croire que Paul éprouve une satisfaction intense à être ainsi sur le devant de la scène et fait même étalage de son autorité. Or il n’en est rien, car ce fer de lance de l’activité chrétienne est un homme modeste. “ Je suis, dit-il, le plus petit des apôtres. ” Et d’ajouter : “ Je ne suis pas digne d’être appelé apôtre, parce que j’ai persécuté la congrégation de Dieu. ” (1 Corinthiens 15:9). L’ancien persécuteur n’oublie jamais que ses relations avec Dieu sont déjà pure faveur imméritée ; combien plus ses exceptionnelles attributions de service. Il n’a donc pas le sentiment que ses résultats extraordinaires dans le ministère le rendent supérieur aux autres. Paul est un exemple pour nous, chrétiens. Quelles que soient ses attributions, aucun d’entre nous ne devrait se sentir supérieur aux autres – TG2000 1/8 p14 Paul savait que s’il lui était permis d’accomplir son ministère, c’était uniquement grâce à la faveur imméritée de Dieu. Il la mentionne plus de 90 fois dans ses 14 lettres, plus que tout autre écrivain biblique (1 Corinthiens 15:10). Il était profondément reconnaissant à Dieu de l’avoir traité avec miséricorde, et il voulait tout faire pour que Dieu n’ait pas le sentiment de lui avoir accordé sa faveur imméritée en vain. Voilà pourquoi il a « peiné bien plus » que tous les autres apôtres. Son exemple nous convainc que, si nous confessons nos péchés et changeons de conduite, Jéhovah est disposé à nous pardonner même des péchés graves, à les effacer en vertu de la rançon offerte par Jésus. C’est là une leçon importante pour celui qui a du mal à croire que le sacrifice de Christ puisse le racheter lui aussi – TG2013 15/1 p23 « De même [...] qu’en Adam tous meurent, de même aussi dans le Christ tous seront rendus à la vie » (1 Corinthiens 15:22). Étant descendants d’Adam, nous « mourons » tous. En effet, nous ne pouvons pas échapper aux griffes de la maladie et de la mort, ni nous réconcilier avec Dieu et être innocents devant lui. Et étant de simples humains, nous ne pouvons ramener « à la vie » ni nous-même ni qui que ce soit d’autre. Nous avons cruellement besoin d’aide parce que le prix de la rançon est au-dessus de nos moyens. Livrés à nous-mêmes, nous serions impuissants. Par amour, Jéhovah a volontairement payé le « traitement » vital dont nous avons besoin, afin que par le moyen de Jésus « tous [soient] rendus à la vie ». Comment la rançon permet-elle cela ? « Le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. » En effet, la foi dans le sang versé de Jésus rend possible le pardon des péchés et la vie éternelle. Et que signifiera la rançon pour nos chers disparus ? « Puisque [...] la mort vient par un homme, la résurrection des morts vient aussi par un homme [Jésus] » (1 Corinthiens 15:21). Aucun don n’a été offert par une personne plus haut placée ni motivé par un amour plus grand que ne l’a été le sacrifice de Jésus. Personne n’a jamais renoncé à autant de choses que Jéhovah. Et aucun autre don ne comble un besoin plus important que ce sacrifice qui nous libère du péché et de la mort. Oui, aucun don ne peut égaler la rançon, dont la valeur est indescriptible. – TG2017/2 p3 Puisque le Royaume est un gouvernement dont Jéhovah se sert pour amener la terre et ses habitants humains à la perfection et les réconcilier avec lui, quel rôle le Roi Jésus Christ et les 144 000 rois-prêtres joueront ils après le Millénaire ? “ Puis, la fin, quand il remettra le royaume à son Dieu et Père, quand il aura réduit à rien tout gouvernement et tout pouvoir et puissance. Car il faut qu’il règne jusqu’à ce que Dieu ait mis tous les ennemis sous ses pieds. ” — 1 Corinthiens 15:24, 25. Si le Royaume doit être remis à Dieu, pourquoi les Écritures disent-elles qu’il durera à jamais ? Parce que ses réalisations, elles, subsisteront pour toujours. Christ sera honoré éternellement pour le rôle qu’il aura joué dans la justification de la souveraineté divine. Mais avec le péché et la mort définitivement éradiqués et les humains rachetés, il n’y aura plus besoin de Rédempteur. Au terme de la domination millénaire du Royaume, l’existence d’un gouvernement auxiliaire entre Jéhovah et les humains obéissants ne sera plus nécessaire. ‘ Dieu sera toutes choses pour tous. ’ 1 Corinthiens 15:28. – TG2000 15/10 p20 Concernant les offrandes, l’apôtre Paul a énoncé un principe (1 Corinthiens 16:1, 2). Sous inspiration, il a encouragé ses frères de Corinthe non pas à décider du montant de leurs offrandes en fonction de l’argent qui leur reste à la fin de la semaine, mais plutôt à mettre de l’argent de côté dès le début de la semaine, selon leurs moyens. Comme au 1er siècle, les frères et sœurs de notre époque planifient leurs dons, selon leurs moyens. Nos offrandes pour le soutien des intérêts du Royaume seront constantes si elles sont prévues à l’avance et faites systématiquement. Jéhovah attache beaucoup de prix à une telle générosité. – TG2013 15/12 p14 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? En Israël, on sonnait de la trompette pour rassembler le peuple ou le renvoyer chez lui, ainsi que pour encourager l’armée au combat. La Bible utilise l’exemple de la sonnerie de trompette pour illustrer l’importance d’avoir des paroles facilement compréhensibles. Si le son de la trompette n’était pas clair, l’armée en marche pouvait subir des conséquences désastreuses. Pareillement, si nos paroles sont imprécises, elles peuvent prêter à confusion ou induire en erreur. Bien sûr, les efforts que nous faisons pour être concis et clairs ne devraient pas nous amener à parler brutalement ou sans tact (1 Corinthiens 14:8, 9). TG2015 15/12 p21 §13 Lorsque l’assemblée de Corinthe s’est mise à faire les choses d’une manière radicalement différente des autres assemblées, Paul lui a écrit : “ Comment ? Est-ce de chez vous que la parole de Dieu est sortie, ou est-ce seulement jusqu’à vous qu’elle est parvenue ? ” (1 Corinthiens 14:36). Paul s’est servi de cette question pour corriger leur point de vue et les aider à comprendre qu’ils ne devaient pas agir indépendamment. Lorsqu’elles suivaient la direction donnée par les apôtres, les congrégations croissaient et prospéraient. – TG2011 1/6 p14 La Parole de Dieu ne mentionne pas dans le détail toutes les dispositions ou procédures nécessaires à la bonne marche de l’assemblée. Cependant, la Bible dit clairement : “ Que tout se fasse décemment et avec ordre. ” (1 Corinthiens 14:40). Le Collège central se plie à cette instruction en mettant en place diverses procédures et directives pour faciliter le fonctionnement harmonieux et ordonné de l’assemblée. Les chrétiens qui assument des responsabilités sont des exemples d’obéissance lorsqu’ils mettent en œuvre ces dispositions avec promptitude. Eux-mêmes se montrent ‘ raisonnables et disposés à obéir ’ aux surveillants dont ils dépendent. C’est pourquoi dans chaque groupe de prédication, dans chaque assemblée, dans chaque circonscription et dans chaque pays, nous avons le bonheur de servir Jéhovah dans l’unité et de manière ordonnée, ce qui fait honneur au Dieu heureux. 1 Corinthiens 14:33 – Livre Amour de Dieu p49 Paul était persuadé que Jésus a été relevé d’entre les morts. Et pour justifier sa conviction, il rappelle « que Christ est mort pour nos péchés selon les Écritures ; et qu’il a été enterré, oui qu’il a été relevé le troisième jour selon les Écritures ; et qu’il est apparu à Céphas, puis aux douze ». Il ajoute ensuite : « Après cela il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois, dont la plupart sont demeurés en vie jusqu’à présent, mais quelques-uns se sont endormis dans la mort. Après cela il est apparu à Jacques, puis à tous les apôtres ; mais, en tout dernier lieu, il m’est apparu à moi aussi » (1 Corinthiens 15:3-8). Paul commence par affirmer avec force que Christ est mort pour nos péchés, a été enterré puis ressuscité. Comment peut-il en être aussi sûr ? Notamment grâce à de nombreux témoignages. La majorité de ces témoins sont encore en vie aux jours de Paul, et peuvent confirmer que ces apparitions ont eu lieu (1 Corinthiens 15:6). On peut facilement ignorer le témoignage d’une personne ou deux, mais pas celui de 500 ou plus. Notons également cette précision de Paul : la mort, ainsi que l’enterrement et la résurrection de Jésus, ont eu lieu « selon les Écritures ». Ces évènements accomplissaient en effet des prophéties messianiques des Écritures hébraïques, indiquant par-là que Jésus était le Messie promis. Certains doutaient, à l’époque de Paul comme à la nôtre, que Jésus ait été relevé. Si Jésus n’avait pas été ressuscité, nous n’aurions probablement jamais entendu parler de lui. TG2013 1/3 p3 Qu’apprenons-nous de la façon dont Jésus s’est comporté envers sa famille ? Il ne s’est pas vexé quand certains ont prétendu qu’il avait perdu la raison. Même après son exécution et sa résurrection, il a continué d’encourager sa famille en apparaissant à Jacques, un de ses demi-frères. Cette apparition semble avoir contribué à convaincre Jacques, mais également ses autres demi-frères, sa mère, qu’il était le Messie. Ainsi, quand les apôtres et d’autres disciples se sont réunis à Jérusalem dans une chambre haute, ils étaient présents et, de toute évidence, ils ont eux aussi reçu l’esprit saint. Par la suite, Jacques mais également Jude, un autre demi-frère de Jésus, ont reçu de beaux privilèges (1 Cor. 15:7). – TG2014 15/3 p4 Des années plus tard, quand sa qualité d’apôtre lui sera contestée, Paul défendra son autorité en faisant valoir l’épisode de la route de Damas. “ Ne suis-je pas apôtre ? N’ai-je pas vu Jésus notre Seigneur ? ” rétorquera-t-il. Et après avoir rappelé que Jésus ressuscité était apparu à d’autres aussi, Saul (Paul) ajoutera : “ Mais, en tout dernier lieu, il m’est apparu à moi aussi, comme à quelqu’un qui est né avant terme. ” (1 Corinthiens 15:8). C’était en quelque sorte comme si Saul, par sa vision de la gloire céleste de Jésus, avait eu l’honneur de naître, c’est-à-dire de ressusciter, pour la vie spirituelle avant l’heure. Saul a accepté avec reconnaissance son privilège et s’est efforcé de s’en montrer digne. “ Je suis le plus petit des apôtres, et je ne suis pas digne d’être appelé apôtre, parce que j’ai persécuté la congrégation de Dieu, écrira-t-il. Mais [...] sa faveur imméritée [c’est-à-dire celle de Dieu] à mon égard ne s’est pas révélée vaine, mais j’ai peiné bien plus [que tous les autres apôtres]. ” — 1 Corinthiens 15:9, 10. Peut-être à la manière de Saul vous rappelez-vous l’époque où vous avez compris que pour obtenir la faveur de Dieu il vous faudrait renoncer à des croyances profondément ancrées en vous. Sans aucun doute avez-vous souvent remercié Jéhovah de vous avoir permis de comprendre la vérité. Quand Saul a vu la lumière et a compris ce qu’on attendait de lui, il n’a pas hésité. Le restant de sa vie sur la terre, il a œuvré avec zèle et détermination en ce sens. Quel excellent exemple pour tous ceux qui recherchent la faveur de Jéhovah à notre époque – TG200015/1 p29 Certains chrétiens de la Corinthe antique ne savent pas quoi penser de la résurrection ; d’autres n’y croient tout simplement pas. Si la résurrection n’est pas une réalité, quelles en sont les conséquences ? Paul l’explique dans la première lettre qu’il adresse à ces chrétiens : « Si vraiment il n’y a pas de résurrection des morts, Christ non plus n’a pas été relevé. Mais si Christ n’a pas été relevé, notre prédication, bien sûr, est vaine, et notre foi est vaine. Et même nous sommes trouvés de faux témoins de Dieu, [...] votre foi est inutile ; vous êtes encore dans vos péchés. Oui, aussi ceux qui se sont endormis dans la mort en union avec Christ ont péri » (1 Corinthiens 15:13-18). Paul commence son raisonnement par une affirmation difficilement contestable : Si les morts ne peuvent pas être relevés, alors Christ, qui est mort, n’a pas pu être relevé. Dans ce cas, la prédication de la Bonne Nouvelle est vaine, un immense canular. En effet, la résurrection de Christ est un élément-clé de la doctrine chrétienne. Elle est étroitement liée aux enseignements fondamentaux de la Bible relatifs à la souveraineté de Dieu, à son nom, à son Royaume et à notre salut. Si la résurrection n’a pas eu lieu, le message que Paul et les autres apôtres proclament est vide de sens et sans valeur. - TG2013 1/3 p4 La Bible parle du moment où “ la mort sera réduite à rien ”, c’est-à-dire où elle n’existera plus (1 Cor. 15:26). Deux catégories de personnes bénéficieront de ce changement. Les membres de la “ grande foule ” actuellement en vie pourront entrer dans le monde nouveau promis avec l’espoir de connaître une vie sans fin. Quant aux milliards d’humains déjà morts, il leur sera possible de ressusciter. Pouvez-vous imaginer l’allégresse lorsque ceux qui composent la “ grande foule ” accueilleront les ressuscités ? – TG2012 15/9 p11 Qu’en sera-t-il de l’issue ultime de la maladie, la conséquence inévitable du péché : la mort ? Elle est notre « dernier ennemi », l’adversaire devant lequel tous les humains imparfaits doivent tôt ou tard capituler (1 Cor. 15:26). Mais fait-elle le poids face à Jéhovah ? Notez ce qu’Isaïe a prédit : « Il engloutira la mort pour toujours ; oui, le Souverain Seigneur Jéhovah essuiera les larmes de dessus tous les visages » (Is. 25:8). Voyez-vous ce que cela veut dire ? Plus d’enterrements, plus de cimetières, plus de larmes de chagrin ! Ce sont au contraire des larmes de joie qui couleront quand Jéhovah accomplira sa prodigieuse promesse de résurrection. Les innombrables blessures infligées par la mort pourront enfin guérir. Livre Royaume en action p237 15:29 — Que signifie ‘ être baptisé pour être des morts ’ ? Paul ne recommandait pas de baptiser les vivants à la place des morts qui n’avaient pas reçu le baptême. Il voulait dire que les chrétiens oints de l’esprit sont immergés dans une vie durant laquelle ils demeurent intègres jusqu’à leur mort, après quoi ils sont ressuscités pour une vie spirituelle. – TG2008 15/7 p27 Les loisirs et les divertissements comblent un besoin important. Mais il pourrait y avoir danger si nous amuser était notre principal objectif dans la vie. Au Ier siècle, beaucoup pensaient ainsi : « Mangeons et buvons, car demain il nous faudra mourir » (1 Cor. 15:32). Le même état d’esprit règne aujourd’hui dans de nombreuses régions du monde. - TG2017/5 p22 Paul a donné ce conseil : “ Restez éveillés, tenez ferme dans la foi. ” (1 Corinthiens 16:13). Ainsi, rester éveillé suppose d’être fermement établi dans la foi chrétienne. Comment resterons-nous éveillés ? En approfondissant notre connaissance de la Parole de Dieu. De bonnes habitudes d’étude individuelle et la fréquentation régulière des réunions renforcent notre foi. Un aspect important de celle-ci consiste à nous souvenir constamment du jour de Jéhovah. En revoyant de temps à autre les preuves bibliques que nous approchons de la fin du système actuel, nous éviterons de perdre de vue les vérités importantes qui s’y rattachent. Il est bon également d’observer le déroulement des événements mondiaux qui accomplissent les prophéties bibliques. Un frère allemand a écrit : “ Chaque fois que je suis les informations (les guerres, les tremblements de terre, la violence et la pollution de la planète), cela me rappelle que nous sommes près de la fin. ”- TG2003 1/1 p18
  10. rajout 1 Cor. 11:26 — À quelle fréquence la mort de Jésus doit-elle être commémorée, et “ jusqu’à ” quand ? Paul ne voulait pas dire que la mort de Jésus serait commémorée souvent. Le terme grec rendu par “ toutes les fois que ” signifie “ chaque fois que ”. Paul voulait donc dire que chaque fois que les chrétiens oints consomment les emblèmes du Mémorial — soit une fois par an, le 14 Nisan —, ils “ proclame[nt] la mort du Seigneur ”. Ils font cela “ jusqu’à ce qu’il arrive ”, c’est-à-dire jusqu’à ce qu’il les reçoive dans les cieux en les ressuscitant. – TG2008 15/7 p27 1 Cor. 13:5. ‘ Nous mettre à l’épreuve pour voir si nous sommes dans la foi ’ implique de juger notre conduite d’après ce que nous apprenons de la Bible. ‘ Éprouver ce que nous sommes nous-mêmes ’ signifie évaluer notre niveau de spiritualité, notamment la finesse de nos “ facultés de perception ” et l’étendue de nos œuvres de foi (Héb. 5:14 ; Jacq. 1:22-25). Appliquons le sage conseil de Paul, et nous continuerons à marcher sur la voie de la vérité. - TG2008 15/7 p27 1 Cor. 13:13 — En quoi l’amour est-il plus grand que la foi et l’espérance ? Quand les “ choses qu’on espère ” deviennent réalité et que “ l’attente assurée ” de ces choses prend fin, des aspects de la foi et de l’espérance prennent également fin (Héb. 11:1). L’amour est plus grand que la foi et l’espérance en ce qu’il durera toujours. - TG2008 15/7 p27
  11. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 8 AVRIL 2019 - 1 Corinthiens 10-13.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 8 AVRIL 2019 - 1 Corinthiens 10-13.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : 1 Corinthiens 10-13 1 Corinthiens 10:8 : Pourquoi ce verset dit-il que 23000 Israélites sont morts en un seul jour pour avoir commis des actes sexuels immoraux, alors que Nombres 25:9 parle de 24000 morts ? (w04 1/4 29). « Ne commettons pas d’actes sexuels immoraux, comme certains d’entre eux l’ont fait, et ils furent 23 000 à mourir en un seul jour » Questions des lecteurs : Il peut y avoir plusieurs explications à cette différence. Il se pourrait tout simplement que le nombre exact soit compris entre 23000 et 24000, et puisse donc s’arrondir dans un sens ou dans l’autre. Envisageons une autre explication. L’apôtre Paul a mentionné la conduite des Israélites à Shittim afin d’avertir les chrétiens de Corinthe, une ville alors connue pour ses moeurs dépravées. Il a écrit : «« Ne commettons pas d’actes sexuels immoraux, comme certains d’entre eux l’ont fait, et ils furent 23 000 à mourir en un seul jour » C’est en parlant des fornicateurs mis à mort par Jéhovah que Paul donne le nombre de 23000 (1 Corinthiens 10:8). En revanche, Nombres chapitre 25 nous dit qu’« Israël s’attacha au Baal de Péor ; et la colère de Jéhovah s’enflamma contre Israël ». Jéhovah demanda alors à Moïse d’exécuter « tous les chefs du peuple ». Moïse confia cette mission aux juges. Finalement, quand Finéas supprima sur-le-champ l’Israélite qui avait amené une femme madianite dans le camp, « le fléau fut arrêté ». Le récit s’achève sur ces mots : « Ceux qui moururent par suite du fléau se montèrent à vingt-quatre mille » (Nombres 25:1-9). Selon toute apparence, le chiffre donné dans les Nombres comprend « les chefs du peuple » exécutés par les juges, ainsi que les Israélites exécutés directement par Jéhovah. Il se pourrait bien qu’il y ait eu un millier de chefs mis à mort par les juges, ce qui porte le nombre des tués à 24000. Que ces chefs, ou meneurs, aient commis la fornication, pris part aux festivités ou donné leur consentement à ceux qui firent ces choses, ils étaient coupables de s’être « attachés au Baal de Péor ». Pour ce qui est du verbe « s’attacher », un ouvrage indique qu’il signifie « prendre de l’attachement pour une personne, se lier à elle ». Les Israélites étaient un peuple voué à Jéhovah, mais quand ils ‘se sont attachés au Baal de Péor’, ils ont rompu cette relation exclusive qui les unissait à Dieu. Quelque 700 ans plus tard, par l’intermédiaire du prophète Osée, Jéhovah dira « Eux, ils sont venus vers Baal de Péor, ils se sont alors voués à la chose honteuse, et ils sont devenus immondes comme l’objet de leur amour » (Osée 9:10). Tous ces individus méritaient la condamnation divine. C’est pourquoi Moïse donna ce rappel aux fils d’Israël : « Vos propres yeux ont vu ce que Jéhovah a fait dans l’affaire du Baal de Péor, ils ont vu que tout homme qui avait marché à la suite du Baal de Péor, c’est lui que Jéhovah ton Dieu a anéanti du milieu de toi. » (Deutéronome 4:3). - w04 1/4 29 À cause du péché d’Israël en rapport avec le Baal de Péor, Jéhovah envoya un fléau mortel qui tua des milliers d’Israélites. Étant donné la contradiction apparente entre Nombres 25:9 et 1 Corinthiens 10:8, une question se pose quant au nombre réel de ceux qui moururent par suite du fléau. Il semble que 23 000 Israélites moururent directement par suite du fléau et que 1 000 “ chefs ” ou meneurs furent tués par les juges d’Israël, puis pendus et exposés à la vue de tous - it-1 p248 1 Corinthiens 11:5, 6, 10 : Une proclamatrice doit-elle se couvrir la tête lorsqu’elle donne un cours biblique en présence d’un proclamateur masculin ? (w15 15/2 30). Versets 5 et 6 « mais toute femme qui prie ou qui prophétise la tête découverte fait honte à son chef, car c’est exactement comme si elle était une femme à la tête rasée. En effet, si une femme ne se couvre pas la tête, autant qu’elle se fasse tondre les cheveux ; mais s’il est honteux pour une femme d’être tondue ou rasée, elle devrait se couvrir. » Verset 10 « Voilà pourquoi la femme doit avoir un signe d’autorité sur la tête, à cause des anges » Dans l’article de la rubrique « Questions des lecteurs » paru dans La Tour de Garde du 15 juillet 2002, on lit qu’une sœur doit se couvrir la tête quand elle dirige une étude biblique en présence d’un proclamateur masculin, baptisé ou non. Après réexamen de la question, nous avons jugé nécessaire d’apporter un changement à cette directive. Si une sœur est accompagnée d’un frère lorsqu’elle dirige une étude bien établie, elle se couvrira la tête. En agissant de la sorte, elle montre son respect pour le principe de l’autorité établi par Jéhovah dans la congrégation, car elle assume alors une responsabilité qui incombe normalement à un frère (1 Cor. 11:5, 6, 10). Ou bien elle pourra proposer au frère de diriger l’étude s’il est qualifié pour cela et en mesure de le faire. Si maintenant elle est accompagnée d’un proclamateur non baptisé, et qui n’est pas son mari, il n’y a aucune raison biblique qui l’oblige à se couvrir la tête. Cependant, la conscience de certaines sœurs peut les inciter à se couvrir la tête même dans de telles circonstances. - w15 15/2 30 Le verset 10 mentionne deux raisons pour lesquelles une chrétienne voudra respecter cette exigence : “ La femme doit avoir un signe d’autorité sur la tête, à cause des anges. ” On relève pour commencer l’expression “ un signe d’autorité ”. Comment comprendre cette expression ? En se couvrant la tête, une femme montre qu’elle reconnaît l’autorité que Jéhovah a conférée aux éléments masculins dans la congrégation. Elle exprime ainsi son amour et sa fidélité envers Jéhovah Dieu. - lv p211 La place de la femme. Dans les temps anciens, la femme devait, dans certaines circonstances, se couvrir la tête en signe de soumission. Traitant de l’autorité au sein de la congrégation chrétienne, l’apôtre Paul expliqua que si une femme prie ou prophétise dans la congrégation, assumant alors un rôle que Dieu a confié à l’homme, elle doit se couvrir la tête. En s’acquittant temporairement d’une telle tâche parce qu’il n’y a aucun chrétien voué à Dieu pour l’accomplir, la chrétienne, même si elle a les cheveux longs, ne doit pas prétendre que ceux-ci suffisent à indiquer sa soumission. Il lui faut plutôt démontrer par ses actes qu’elle se soumet à l’homme et reconnaît son autorité. Elle glorifie non seulement son mari et chef, mais aussi Jéhovah Dieu, le Chef de tous - it-1 p234 Qui doit prononcer les prières durant une étude biblique ? Si un frère baptisé accompagne une sœur pour une étude, c’est lui qui prononcera les prières, bien que la sœur puisse diriger l’étude à la condition de se couvrir la tête. Par contre, si le proclamateur qui accompagne la sœur pour l’étude est un homme non baptisé, c’est la sœur qui prononcera les prières. Dans cette situation, elle aura la tête couverte pendant qu’elle priera et pendant qu’elle dirigera l’étude. – km2005/3 partie 7 Une proclamatrice qui conduit une étude sur le pas de la porte doit-elle se couvrir la tête si elle est accompagnée par un proclamateur de sexe masculin ? Une proclamatrice qui conduit régulièrement une étude biblique doit se couvrir la tête si un proclamateur de sexe masculin l’accompagne. La Tour de Garde du 15 juillet 2002 explique à la page 27 : « Il s’agit d’un programme d’enseignement organisé, dans le cadre duquel celui qui dirige l’étude préside. Cette étude devient alors un prolongement de la congrégation. Si une chrétienne dirige l’étude en présence d’un Témoin masculin, elle se couvrira la tête. » Cela est valable que l’étude ait lieu dans une maison, sur le pas d’une porte ou dans un autre cadre. D’un autre côté, si une étude sur le pas de la porte n’a pas encore lieu régulièrement, une sœur accompagnée par un proclamateur de sexe masculin n’aura pas besoin de se couvrir la tête, même si l’objectif de la nouvelle visite est de montrer comment se déroule une étude ou d’examiner une partie d’une publication d’étude. Étant donné qu’une étude sur le pas de la porte se met souvent en place petit à petit, grâce à une série de nouvelles visites, on fera preuve de bon sens et d’équilibre pour déterminer à partir de quand une proclamatrice se couvrira la tête. – km2013/11 En quelles circonstances convient-il qu’une chrétienne se couvre la tête pour des raisons spirituelles ? “ Toute femme qui prie ou qui prophétise la tête découverte fait honte à son chef ”, a écrit l’apôtre Paul. Pourquoi ? En raison du principe divin de l’autorité : “ Le chef de la femme, c’est l’homme. ” Dans la congrégation chrétienne, la prière et l’enseignement sont normalement la responsabilité de l’homme. Par conséquent, lorsqu’une chrétienne assume des tâches relatives au culte qui, d’ordinaire, sont accomplies par son mari ou par un homme baptisé, elle devrait se couvrir la tête. Une chrétienne peut avoir à se couvrir la tête dans le cadre familial. Lorsque la famille se réunit pour étudier la Bible ou prendre un repas, le mari se charge normalement de l’enseigner et de la représenter dans la prière. Toutefois, s’il n’est pas Témoin de Jéhovah, cette responsabilité peut échoir à sa femme. Dès lors qu’une chrétienne prie à haute voix en faveur des autres et d’elle-même ou qu’elle étudie la Bible avec ses enfants en présence de son mari, il convient qu’elle se couvre la tête. Elle n’est pas obligée de le faire si son mari est absent, puisqu’elle est autorisée par Dieu à enseigner ses enfants Que dire à présent si l’un des fils de la famille est voué à Jéhovah Dieu et baptisé ? Étant membre de la congrégation chrétienne, il devrait être instruit par des éléments masculins. Si son père est croyant, c’est lui qui devrait enseigner son jeune fils. En l’absence du père, lorsqu’une mère étudie la Bible avec son fils baptisé et les autres enfants elle se couvrira la tête. Il lui appartient de décider si elle demandera ou non à son fils baptisé de prier lors de cette étude ou au moment du repas. Peut-être estimera-t-elle qu’il n’est pas encore suffisamment capable et décidera-t-elle alors de prononcer elle-même la prière. Dans ce cas, elle se couvrira la tête. Les chrétiennes peuvent avoir à se couvrir la tête dans le cadre de certaines activités de la congrégation. Lors d’une réunion pour la prédication organisée en semaine, par exemple, il peut arriver qu’il n’y ait pas d’homme baptisé, mais uniquement des sœurs. Il en va de même lors d’une réunion de la congrégation. Une chrétienne se couvrira la tête si, lors des réunions de la congrégation ou pour la prédication, elle assume des tâches qui incombent normalement à des frères. Une chrétienne doit elle se couvrir la tête si elle traduit un discours biblique oralement ou en langue des signes, ou lorsqu’elle lit en public les paragraphes d’un manuel d’étude pour les besoins d’une réunion de la congrégation ? Non, car dans ce cas elle ne préside ni n’enseigne. De même, il n’est pas nécessaire qu’une sœur se couvre la tête lorsqu’elle participe à une démonstration, relate un fait vécu ou présente un devoir d’élève à l’École du ministère théocratique. La situation est différente quand un homme baptisé assiste à une étude biblique qui se tient régulièrement chez quelqu’un. Il s’agit d’un programme d’enseignement organisé, dans le cadre duquel celui qui dirige l’étude préside. Cette étude devient alors un prolongement de la congrégation. Si une chrétienne dirige l’étude en présence d’un Témoin masculin, elle se couvrira la tête. Le frère devrait néanmoins prononcer la prière. Une sœur ne priera pas en présence d’un homme baptisé sauf cas exceptionnel, par exemple si ce frère a perdu l’usage de la parole. Il peut arriver que, lors d’une étude biblique, une chrétienne soit accompagnée par un proclamateur non baptisé. Si elle le désire, elle peut lui demander de diriger l’étude. Toutefois, comme il ne peut à bon droit représenter la sœur dans la prière, il convient que ce soit elle qui prie lors de l’étude, auquel cas elle se couvrira la tête. Si c’est elle qui dirige l’étude, elle se couvrira également la tête. En effet, même si cet homme n’est pas encore baptisé, les non-Témoins l’associeront à la congrégation en raison de son activité de prédication. – TG2002 15/7 p26-27 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Ce que Paul dit au sujet des Israélites est un avertissement pour les chrétiens. Il écrit : “ Je ne veux pas que vous ignoriez, frères, que nos ancêtres ont tous été sous le nuage et que tous ont traversé la mer et que tous ont été baptisés dans Moïse par le moyen du nuage et de la mer. ” (1 Corinthiens 10:1-4). Les Israélites contemporains de Moïse ont vu des manifestations grandioses de la puissance divine, notamment la miraculeuse colonne de nuage qui les conduisait le jour et qui favorisa leur fuite à travers la mer Rouge. Ils ont eu la preuve indéniable que Jéhovah les aimait – TG2001 15/6 p14 §7 “ Toutefois, la plupart d’entre eux, Dieu ne les a pas agréés, car ils ont été abattus dans le désert. ” (1 Corinthiens 10:5). La plupart des Israélites qui avaient quitté l’Égypte se sont mis hors d’état d’entrer en Terre promise. S’étant attirés la désapprobation divine par leur manque de foi, ils sont morts dans le désert. Quelle leçon en dégager ? Selon Paul, “ ces choses sont devenues nos exemples, pour que nous ne soyons pas des gens qui désirent des choses mauvaises, comme ils les ont désirées ”. — 1 Corinthiens 10:6. Les Israélites avaient quantité de choses spirituelles sur lesquelles fixer leurs pensées dans le désert. Ils étaient entrés en alliance avec Jéhovah et formaient une nation qui lui était vouée. Ils avaient reçu une prêtrise, un tabernacle pour centre de culte et un système d’offrandes de sacrifices à Jéhovah. Or, au lieu de se réjouir de ces dons spirituels, ils ont trouvé à redire aux dispositions d’ordre matériel prévues par Dieu. De nos jours, contrairement aux Israélites dans le désert, le peuple de Jéhovah a son approbation. Individuellement, cependant, chacun doit continuer à penser à Dieu s’il veut être capable de repousser les envies égoïstes susceptibles d’obscurcir sa vision spirituelle. Il nous faut être déterminé “ à rejeter l’impiété et les désirs de ce monde, et à vivre avec bon sens et justice et attachement à Dieu dans le présent système de choses ”. (Tite 2:12.) – TG2001 15/6 p14 §8-10 Paul fait une autre mise en garde quand il écrit : “ Ne devenez pas non plus idolâtres, comme certains d’entre eux ; ainsi que c’est écrit : ‘ Le peuple s’assit pour manger et boire, et ils se levèrent pour s’amuser. ’ ” (1 Corinthiens 10:7). L’apôtre évoque ici l’épisode où les Israélites ont persuadé Aaron de fabriquer un veau d’or. L’objet de leur idolâtrie n’était pas une image sculptée ; c’étaient leurs envies d’ordre matériel. Toute envie, bien sûr, n’est pas mauvaise. Jéhovah nous a créés avec des besoins humains et la capacité de goûter à divers plaisirs. Mais qui fait passer la recherche du plaisir avant ses relations avec Dieu n’est pas moins qu’un idolâtre. Il y a peu de danger que nous nous abandonnions un jour au culte des idoles. Par contre, nous pourrions devenir idolâtres en cessant d’adorer Jéhovah de toute notre âme pour satisfaire nos propres envies égoïstes - TG2001 15/6 p14 §11 Paul cite un domaine où les désirs charnels peuvent provoquer l’oubli spirituel. Il écrit : “ Ne pratiquons pas non plus la fornication, comme certains d’entre eux ont commis la fornication, et il en tomba vingt-trois mille en un seul jour. ” (1 Corinthiens 10:8). Il fait allusion ici à ce qui s’est passé dans les plaines de Moab, à la fin des 40 ans d’errance dans le désert. Alors que Jéhovah venait d’aider les Israélites à conquérir des terres à l’est du Jourdain, beaucoup l’ont oublié et se sont montrés ingrats. Au seuil de la Terre promise, ils se sont laissé entraîner à l’immoralité sexuelle et au culte impur du Baal de Péor. Environ 24 000 furent détruits, parmi lesquels un millier de meneurs. — Nombres 25:9. Les serviteurs de Jéhovah sont connus pour leur grande moralité. Mais il arrive que, sous la tentation de l’immoralité sexuelle, des chrétiens cessent de penser à Dieu et à ses principes. Ils deviennent des auditeurs oublieux. Au départ, il ne s’agit pas forcément de fornication (acte sexuel immoral). Ce peut être une envie d’aller voir du côté de la pornographie, de s’abandonner à des plaisanteries déplacées, de flirter ou encore de fréquenter de près des personnes sans grande moralité. Autant de comportements qui ont conduit des chrétiens au péché. Devant la tentation de commettre un acte immoral, nous devons à tout prix ne jamais cesser de penser à Jéhovah, mais au contraire observer les rappels contenus dans sa Parole - TG2001 15/6 p14 §17-19 La grande majorité des chrétiens ne cèdent pas à l’immoralité sexuelle. Mais prenons garde de ne pas adopter un état d’esprit qui nous conduirait à murmurer pour un oui ou pour un non : nous nous exposerions à la désapprobation divine. “ Ne mettons pas [...] Jéhovah à l’épreuve, nous dit Paul, comme certains d’entre eux l’ont mis à l’épreuve, et ils périrent par les serpents. Ne murmurez pas non plus, comme certains d’entre eux ont murmuré, et ils périrent par le destructeur. ” (1 Corinthiens 10:9, 10). Les Israélites ont murmuré contre Moïse et Aaron — et même directement contre Dieu —, se plaignant de la manne qui leur était pourtant fournie miraculeusement. Jéhovah s’est-il senti moins offensé par leurs murmures que par leur fornication ? Le récit biblique montre que beaucoup périrent par des serpents. Précédemment, plus de 14 700 rebelles coupables de murmures avaient déjà été détruits. Par conséquent, ne mettons pas la patience de Jéhovah à l’épreuve en méprisant ce qu’il nous donne. - TG2001 15/6 p14 §20 Paul conclut sa série d’avertissements par cette exhortation à ses frères chrétiens : “ Or ces choses leur arrivaient comme exemples, et elles ont été écrites pour nous avertir, nous sur qui les fins des systèmes de choses sont arrivées. Par conséquent, que celui qui pense être debout prenne garde de ne pas tomber. ” (1 Corinthiens 10:11, 12). Comme les Israélites, nous avons reçu de nombreuses bénédictions de la part de Jéhovah. Mais contrairement à eux, puissions-nous ne jamais oublier tout le bien que Dieu nous fait ni nous montrer ingrats ! Quand les inquiétudes de la vie nous pèsent, réfléchissons aux promesses extraordinaires contenues dans sa Parole. Fixons nos pensées sur les précieuses relations que nous entretenons avec Jéhovah et continuons à prêcher le Royaume comme nous en avons été chargés. C’est là la voie du vrai bonheur. - TG2001 15/6 p14 §20 Jéhovah connaît parfaitement nos limites. Par conséquent, il ne s’attend pas à ce que nous endurions par notre propre force. Il nous offre son aide paternelle. Bien sûr, par moments, nous avons peut-être l’impression de ne plus pouvoir avancer. Mais il nous promet qu’il ne permettra jamais que ses serviteurs souffrent au-delà de ce qu’ils peuvent supporter. Oui, il « préparera [...] l’issue.- 1 Corinthiens 10:13. Nous pouvons donc être sûrs qu’il évalue parfaitement ce que nous sommes capables de supporter. Jéhovah doit tout connaître de nous, y compris les difficultés auxquelles nous nous heurtons, notre personnalité et ce à quoi nous sommes en mesure de résister. Nous connaît-il aussi bien que cela ? Oui. Les Écritures affirment qu’il connaît chacun de nous intimement. Il n’ignore rien de notre quotidien. Il est même capable de discerner nos pensées et les intentions de notre cœur. Quand le soulagement n’arrive pas immédiatement après nos appels à l’aide, attendons Celui qui sait exactement quand agir en notre faveur. N’oublie pas qu’il tient à nous venir en aide, mais que lui aussi exerce la patience.TG2015 15/4 p26 Jéhovah répond à nos prières en nous donnant la force d’endurer face à la tentation. Sa Parole nous dit : “ Dieu [...] ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de ce que vous pouvez supporter, mais avec la tentation il préparera aussi l’issue. ” (1 Corinthiens 10:13). Tant que nous nous appuyons sur lui, Dieu ne laissera jamais une tentation s’intensifier au point que nous n’ayons pas la force spirituelle de triompher. Comment ‘ prépare-t-il l’issue ’ ? En ‘ donnant de l’esprit saint à ceux qui le lui demandent ’. Cet esprit peut rappeler à notre mémoire des principes bibliques qui renforceront notre détermination à faire ce qui est droit et qui nous permettront de prendre des décisions sages. Il peut aussi nous aider à manifester les qualités précises dont nous avons besoin pour venir à bout de mauvais penchants. Il peut même inciter des compagnons chrétiens à ‘ devenir pour nous une aide qui fortifie ’. N’êtes-vous pas reconnaissant à Jéhovah de répondre avec tant d’amour à vos prières ? - Veillez !, p26 Étant donné que Jéhovah Dieu est tout-puissant, il est sage d’avoir la crainte de lui déplaire. Paul nous conseille de ne pas exciter la jalousie de Jéhovah en nous livrant à une forme quelconque d’idolâtrie, car, dit-il, “sommes-nous plus forts que lui”? Absolument pas (1 Corinthiens 10:22)! Pourtant, tous ceux qui violent délibérément les justes commandements de Dieu agissent comme s’ils étaient plus forts que Jéhovah! Paul souligne cette pensée en disant: “Notre Dieu est aussi un feu consumant.” Hébreux 12:29. – TG1986 15/8 p8-9 Toute institution fondée par Dieu étant régie par le principe de l’autorité, l’amour est particulièrement important. Paul a expliqué : « Je veux que vous sachiez que le chef de tout homme, c’est le Christ ; et le chef de la femme, c’est l’homme ; et le chef du Christ, c’est Dieu » (1 Cor. 11:3). Mais exercer une autorité ne veut pas dire être autoritaire. Par exemple, Jéhovah exerce son autorité sur Christ avec bonté et désintéressement, et Christ s’y soumet volontiers. Il respecte l’autorité pleine d’amour de Dieu. Il n’aurait probablement pas éprouvé ce sentiment si son Père l’avait traité avec dureté ou tyrannie. TG2015 15/11 p22§6 Marcher par l’esprit saint nous permet de rester proches de Dieu et de son Fils. Paul a écrit à ses compagnons de Corinthe à propos des dons spirituels : “ Je vous fais savoir [à vous, anciens idolâtres,] que personne, quand il parle par l’esprit de Dieu, ne dit : ‘ Jésus est maudit ! ’ et que personne ne peut dire : ‘ Jésus est Seigneur ! ’ si ce n’est par l’esprit saint. ” (1 Corinthiens 12:1-3). L’esprit qui pousserait une personne à maudire Jésus ne pourrait venir que de Satan le Diable. Quant à nous, chrétiens, qui marchons par l’esprit saint, nous sommes convaincus que Jéhovah a ressuscité Jésus et qu’il l’a élevé au-dessus de toute autre création. Nous avons foi dans le sacrifice rédempteur de Christ, et nous acceptons en Jésus le Seigneur établi par Dieu. TG2007 15/7 p21 §4 Paul prend un exemple qui nous permet de comprendre la façon dont Jéhovah considère la faiblesse humaine. Au chapitre 12, il nous rappelle que même la partie du corps humain la moins attirante ou la plus faible joue un rôle (1 Corinthiens 12:12, 18, 21-23). Des évolutionnistes estiment quant à eux que certaines parties du corps ne servent à rien. Cependant, des découvertes anatomiques montrent que des parties du corps autrefois jugées inutiles remplissent en réalité des fonctions essentielles. Par exemple, certains doutaient de l’utilité du petit orteil. Mais on reconnaît à présent qu’il participe à l’équilibre de tout le corps. La comparaison de Paul souligne que tous les membres de l’assemblée sont utiles. Contrairement à Satan, qui prive les humains de leur dignité, Jéhovah considère que tous ses serviteurs, y compris ceux qui semblent faibles, sont « nécessaires » Cette pensée devrait rassurer chacun quant à son rôle dans son assemblée et dans l’assemblée mondiale de Dieu. Réfléchis, par exemple, à ceci : as-tu déjà offert le bras à une personne âgée ? Tu as alors sans doute dû adapter ton pas au sien. Ton geste ne t’a-t-il pas fait autant de bien qu’à elle ? Quand nous répondons aux besoins des autres, nous connaissons en effet la joie de prendre soin de notre prochain. En outre, nous gagnons en patience, en amour et en maturité. Notre Père aimant sait que, lorsque chacun accorde de la valeur aux autres, quelles que soient leurs limites, l’équilibre et l’amour règnent dans l’assemblée. – TG2014 15/6 p24 §4,5 Bien que la lumière spirituelle ait continué de briller tout au long du 1er siècle, Jéhovah n’a pas donné à ces chrétiens une révélation détaillée de ses desseins. Comme l’apôtre Paul l’écrivait à des croyants de son temps, “ à présent, [...] nous voyons, les contours étant indécis, au moyen d’un miroir de métal ”. (1 Corinthiens 13:12.) Ce genre de miroir ne renvoyait pas une image très nette. Les chrétiens devaient donc s’attendre à n’avoir au départ qu’une compréhension limitée de la lumière spirituelle. Après la mort des apôtres, la lumière a même perdu temporairement de son éclat, mais à l’époque moderne la connaissance des Écritures est devenue abondante – TG2000 15/3 p12 §8 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Paul écrivit : “ Ils [les Israélites] buvaient, en effet, au rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher représentait le Christ. ” (1Co 10:4). À deux occasions au moins et à deux endroits différents, les Israélites reçurent miraculeusement de l’eau provenant d’un rocher. Par conséquent, en tant que source d’eau, le rocher les suivait effectivement. Ce rocher était sans doute un type représentant ou symbolisant Christ Jésus, qui déclara aux Juifs : “ Si quelqu’un a soif, qu’il vienne vers moi et qu’il boive ! ” — Jn 7:37. - it-2 p805 À propos du récit où les Israélites ont désobéi à la Loi de Dieu en se prosternant devant des idoles et en commettant des actes sexuels immoraux et des milliers d’hommes sont morts pour avoir désobéi, l’apôtre Paul a écrit : « Nous pouvons tirer leçon de ces évènements, qui ont été mis par écrit pour nous avertir, nous sur qui sont arrivées les fins des systèmes de choses » (1 Cor. 10:7-11). Satan s’est certainement réjoui de voir que ces Israélites avaient commis des péchés graves et qu’ils avaient ainsi perdu la possibilité d’entrer en Terre promise. Si nous voulons agir avec sagesse, nous tirerons leçon de ce qui leur est arrivé, sachant que rien ne rendrait Satan plus heureux que de nous empêcher d’entrer dans le monde nouveau - TG2019/6 p26 À Corinthe, certains étaient apparemment devenus trop sûrs d’eux : ils pensaient qu’ils étaient tellement forts spirituellement qu’ils ne chuteraient jamais “Que celui qui pense être debout prenne garde de tomber.” (I Cor. 10:12). Personne ne devrait être trop sûr de sa force spirituelle et croire qu’il ne peut pas trébucher. Nous pouvons tous tomber – TG1976 15/9 §14 À propos du vin que les chrétiens oints boivent lors du Mémorial, Paul a écrit : “ La coupe de bénédiction que nous bénissons, n’est-elle pas une participation au sang du Christ ? ” (1 Corinthiens 10:16). En quel sens ceux qui boivent le vin ‘ participent-ils au sang du Christ ’ ? Ils ne contribuent en aucun cas au sacrifice rédempteur, puisqu’ils ont eux-mêmes besoin de la rédemption. C’est en vertu de leur foi dans le pouvoir rédempteur du sang du Christ que leurs péchés sont pardonnés et qu’ils sont déclarés justes pour la vie au ciel. C’est par le moyen de ce même sang versé que les 144 000 cohéritiers du Christ sont ‘ sanctifiés ’, mis à part, purifiés du péché pour être des “ saints ”- TG2006 15/2 p23-24 §10 “ Tout est permis, mais tout n’est pas avantageux. Tout est permis, mais tout n’est pas encourageant. (1 Corinthiens 10:23). Paul ne voulait manifestement pas dire qu’il est permis de faire des choses que la Parole de Dieu condamne expressément. En comparaison avec les quelque 600 lois données à l’Israël antique, seul un nombre restreint de commandements précis régissent la vie du chrétien. Par conséquent, de nombreuses questions sont laissées à la conscience de chacun. Une personne qui s’est vouée à Jéhovah dispose de la liberté dont on bénéficie lorsqu’on se laisse diriger par l’esprit de Dieu. Ayant pris à cœur la vérité, le chrétien écoute sa conscience éduquée par la Bible, et il laisse Dieu le diriger par son esprit saint. Cela permet au chrétien voué de déterminer ce qui ‘ bâtira ’ et ce qui sera ‘ avantageux ’ pour lui-même et pour les autres. Il comprend que les décisions qu’il prend auront une incidence sur ses relations personnelles avec Dieu, à qui il s’est voué. – TG1998 15/3 p19-20 §5 L’apôtre Paul a écrit : “ Tout ce qui se vend au marché de la viande, continuez à le manger, sans poser de question à cause de votre conscience. ” (1 Corinthiens 10:25). D’où provenait cette viande ? Les sacrifices d’animaux étaient la cérémonie principale qui avait lieu dans les temples grecs et romains, mais toute la viande n’était pas mangée pendant la cérémonie. L’excédent était apporté sur les marchés de viande publics. Ainsi, la viande vendue sur le marché n’était pas seulement des restes de cérémonies religieuses. Paul voulait dire que, même si les chrétiens ne participaient pas au culte païen, ils pouvaient acheter de la viande sacrifiée dans un temple car elle n’était pas contaminée en elle-même. – TG2010 1/10 p12 Les participants au Mémorial devraient sérieusement réfléchir à l’avertissement contenu en 1 Corinthiens 11:27-29. Que voulait dire l’apôtre Paul ? Que si un chrétien oint n’entretenait pas une bonne relation avec Jéhovah, il prendrait les emblèmes de manière indigne. Cet avertissement rappelle aux oints qu’ils ne possèdent pas encore leur récompense. Il leur faut continuer d’avancer « vers le but pour le prix de l’appel de Dieu, appel vers le haut, par le moyen de Christ Jésus » (Phil. 3:13-16) – TG2016/1 p23 §5 Durant ta préparation pour le Repas du Seigneur, réfléchis à ce que l’apôtre Paul a écrit à la congrégation de Corinthe (1 Corinthiens 11:27-34). Paul souligne que quiconque mange le pain ou boit la coupe indignement est « coupable à l’égard du corps et du sang du Seigneur », Jésus Christ. Un oint doit donc « s’approuver lui-même après s’être examiné sérieusement », et alors seulement avoir part aux emblèmes. Autrement, il « mange et boit un jugement contre lui-même ». À cause d’une conduite inconvenante, beaucoup de Corinthiens étaient « faibles et malades, et bon nombre dormaient dans la mort » spirituelle. Certains mangeaient et buvaient tellement avant ou pendant le Mémorial qu’ils n’étaient éveillés ni mentalement ni spirituellement. Celui qui avait part aux emblèmes de cette manière indigne s’attirait la désapprobation divine. Comparant le Mémorial à un repas pris à plusieurs, Paul a adressé aux « convives » cette mise en garde : « Vous ne pouvez boire la coupe de Jéhovah et la coupe des démons ; vous ne pouvez avoir part à “la table de Jéhovah” et à la table des démons » (1 Cor. 10:16-21). Si un chrétien qui prend les emblèmes au Repas du Seigneur a commis un péché grave, il devrait chercher une aide spirituelle. Maintenant, si ce chrétien oint a produit « des fruits qui conviennent à la repentance », il ne montre pas de mépris pour le sacrifice de Jésus en ayant part aux emblèmes du Mémorial. Lors de notre préparation individuelle pour le Mémorial, il nous sera sûrement utile de prier Dieu sérieusement au sujet de l’espérance qu’il nous a donnée. En effet, aucun humain voué à Jéhovah et disciple de son Fils ne voudrait manquer de respect pour le sacrifice de Jésus en prenant les emblèmes du Mémorial s’il n’a pas la preuve manifeste qu’il est oint. - TG2015 15/1 p15 §11-13 Quel est l’intérêt de savoir comment Jéhovah a béni la congrégation des oints au Ier siècle ? Arrêtons-nous sur les paroles que Paul a adressées à la congrégation de Corinthe concernant les dons miraculeux qui étaient accordés par l’esprit saint : “ Il y a diversité de dons, mais il y a le même esprit ; il y a diversité de ministères, et pourtant il y a le même Seigneur ; il y a diversité d’opérations, et pourtant il y a le même Dieu qui accomplit toutes ces opérations en tous. ” (1 Cor. 12:4-6, 11). Effectivement, l’esprit saint peut opérer de différentes manières sur différents serviteurs de Dieu afin qu’un objectif soit atteint. Cet esprit est offert aussi bien au “ petit troupeau ” de Christ qu’à ses “ autres brebis ”. Néanmoins, il n’agit pas toujours à l’identique sur chaque membre de l’assemblée. Les anciens, par exemple, sont “ établis ” dans leurs fonctions par l’esprit saint. Mais les chrétiens oints n’exercent pas tous la fonction de responsable. Que faut-il en conclure ? Simplement que l’esprit de Dieu opère de diverses façons sur les membres de l’assemblée – TG2011 15/12 p24 §12,13 Comparant l’assemblée des chrétiens oints au corps humain, l’apôtre Paul déclare : “ Dieu a composé le corps [...] afin qu’il n’y ait pas de division dans le corps, mais que ses membres aient un égal souci les uns des autres. ” (1 Corinthiens 12:12, 24-26). L’expression grecque rendue par ‘ avoir un égal souci les uns des autres ’ emporte l’idée de ‘ s’inquiéter ’ les uns pour les autres. Les membres de l’assemblée chrétienne devraient avoir un vif intérêt les uns pour les autres. Mais comment les vrais chrétiens peuvent-ils montrer qu’ils ‘ s’inquiètent ’ les uns pour les autres ? Ils peuvent le faire en priant en faveur de leurs compagnons et en offrant une aide pratique à ceux qui en ont besoin. Cela peut avoir pour effet de révéler ce qu’il y a de bon chez ceux qui bénéficient de ces marques d’intérêt. – TG2007 15/6 p20 Paul imitait fidèlement le Christ ; c’est pourquoi il pouvait se permettre de dire à ses frères : “ Devenez mes imitateurs. ” (1 Cor. 11:1). Paul a encouragé les chrétiens de Corinthe à rechercher avec zèle certains dons de l’esprit qui existaient au 1er siècle, comme le don de guérison et le don des langues. Mais il les a aussi invités à poursuivre un objectif plus élevé encore. En 1 Corinthiens 12:31, il a évoqué “ une voie extraordinaire ”. Les versets qui suivent indiquent qu’il s’agit de l’amour. Mais qu’entendait Paul par “ extraordinaire ” ? Il a précisé sa pensée dans le chapitre 13:1-3.) Si on ne fait pas preuve d’amour, à quoi bon posséder des capacités hors du commun et accomplir des exploits ? Poussé par l’esprit de Dieu, Paul répond sans ambages : cela ne sert à rien ! Paul ne pouvait pas être plus clair – TG2009 15/12 p26 §12
  12. rajout 1 Corinthiens 7:39 Une femme est liée aussi longtemps que son mari est vivant. Mais si son mari vient à s’endormir dans la mort, elle est libre de se marier à qui elle veut, mais seulement avec un disciple du Seigneur – Une TG posait la question »Que faire si on reçoit une demande en mariage de quelqu’un qui n’a pas une foi forte, voire ne partage pas vos croyances ? La TG précise Sachez qu’un mauvais choix peut vous causer une peine bien plus dure à supporter que la solitude. N’oubliez pas non plus que le mariage engage pour la vie, et qu’on est lié à son conjoint pour le meilleur et pour le pire (1 Cor. 7:27). N’agissez donc pas en désespoir de cause. Ne prenez pas une décision que vous regretterez plus tard. - TG2011 15/10 Serait-il judicieux qu’un chrétien fréquente quelqu’un qui semble progresser dans son étude de la Bible, peut-être avec l’intention d’attendre qu’il soit baptisé pour se marier avec lui ? Non. Les motivations d’un étudiant de la Bible risquent de ne pas être bien nettes s’il sait qu’un chrétien souhaite se marier avec lui, mais attend pour cela qu’il soit baptisé. Quand deux personnes qui envisagent de se marier se sont vouées à Jéhovah, leur engagement l’une envers l’autre repose sur un fondement solide, spirituel. Elles ont les mêmes valeurs et les mêmes objectifs. Cela contribue grandement au bonheur de leur union
  13. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 1er AVRIL 2019 - 1 Corinthiens 7-9.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 1er AVRIL 2019 - 1 Corinthiens 7-9.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : 1 Corinthiens 7-9 1 Corinthiens 7:11 : Dans quels cas un chrétien peut-il envisager la séparation ? (lvs 251). « Mais si elle se sépare, qu’elle reste seule ou bien qu’elle se réconcilie avec son mari ; et un mari ne doit pas quitter sa femme » Notes Parfois, certains chrétiens décident de se séparer de leur conjoint même quand aucun acte sexuel immoral n’a été commis (1 Corinthiens 7:11). Un chrétien peut envisager la séparation dans les cas suivants : ˙ Le refus volontaire de satisfaire les besoins de la famille : C’est quand un mari refuse de fournir à sa famille ce dont elle a besoin pour vivre, si bien qu’elle n’a plus d’argent ni de nourriture (1 Timothée 5:8). ˙ Les violences physiques : Ce sont des coups et des blessures. Le conjoint maltraité estime alors que sa santé ou sa vie sont en danger (Galates 5:19-21). ˙ La mise en danger évidente de la relation d’un chrétien avec Jéhovah : C’est quand les actions d’un conjoint empêchent complètement l’autre de servir Jéhovah (Actes 5:29). – lvs p251 Paul ne nie pas que les hommes et les femmes imparfaits décident parfois de quitter leur conjoint. Mais il dit que, si un conjoint se sépare, les deux doivent ‘ rester sans se marier ’. Pourquoi ? Parce que, même lorsque l’un des conjoints quitte l’autre, les liens du mariage subsistent aux yeux de Dieu. Que faire si le conjoint non Témoin choisit de se séparer ? La Bible dit : « Si le non-croyant entreprend de se séparer, qu’il se sépare ; un frère ou une sœur ne sont pas asservis en pareil cas, mais Dieu vous a appelés à la paix » (1 Cor. 7:15). Cela ne veut pas dire que le chrétien est désormais bibliquement libre de se remarier. Mais il n’est pas obligé d’essayer de forcer son conjoint à rester. La séparation peut lui apporter une certaine paix. Un chrétien marié avec un non-croyant doit s’efforcer sincèrement de préserver la solidité de leur union. Cependant, si malgré tous ses efforts son conjoint décide de le quitter, il ne devrait pas pour autant se culpabiliser. De plus, le chrétien peut espérer que son conjoint revienne avec le désir de travailler à sauver leur couple et finisse par partager ses croyances. – TG2016/8 p16 §16 Quand ils conseillent un chrétien dont le conjoint ne partage pas sa foi, les anciens s’inspirent entre autres de ces recommandations de Paul : “ Aux personnes mariées, je donne des instructions, non pas moi cependant, mais le Seigneur : qu’une femme ne se sépare pas de son mari ; mais si vraiment elle se sépare, qu’elle reste sans se marier ou bien qu’elle se réconcilie avec son mari ; et un mari ne doit pas quitter sa femme. ” “ Femme, comment sais-tu que tu ne sauveras pas ton mari ? ajoute Paul. Ou bien, mari, comment sais-tu que tu ne sauveras pas ta femme ? ” (1 Cor. 7:10-16). Quelle bénédiction, en effet, pour un couple mixte sur le plan religieux lorsque le non-croyant se met à suivre le vrai culte ! Quelles situations peuvent amener un chrétien à se séparer de son conjoint ? Certaines femmes se sont séparées de leur mari parce qu’il refusait délibérément de subvenir aux besoins de sa famille. D’autres chrétiens ont pris cette décision parce qu’ils subissaient des violences physiques extrêmes ou parce que leur spiritualité était incontestablement en danger. La décision de se séparer de son mari ou de sa femme est une décision personnelle. Toutefois, le chrétien dont le conjoint ne partage pas ses croyances doit examiner honnêtement la question dans la prière. Il se demandera par exemple : ‘ Mon conjoint est-il entièrement responsable de la mise en danger de ma spiritualité ? N’ai-je pas quelque peu négligé d’étudier la Bible, d’assister aux réunions et de participer au ministère ? ’- TG2012 15/5 p11 §13-15 LES MOTIFS DE SÉPARATION Certaines situations peuvent-elles justifier la séparation ou même le divorce d’avec son conjoint sans qu’il ait commis la fornication ? Oui, mais dans ce cas le chrétien n’est pas libre de fréquenter une tierce personne dans l’intention de se remarier (Matthieu 5:32). Tout en tolérant ce genre de séparation, la Bible stipule que quelqu’un qui quitte son conjoint devrait ‘ rester sans se marier ou bien se réconcilier ’. (1 Corinthiens 7:11.) Quelles situations extrêmes peuvent rendre une séparation souhaitable ? Il arrive que la famille soit sans ressources à cause de la paresse incorrigible ou des mauvaises habitudes du mari. Peut-être dilapide-t-il les revenus de la famille dans le jeu, la drogue ou l’alcool. Si un tel homme refuse de changer, allant peut-être jusqu’à financer ses vices avec l’argent que gagne sa femme, celle-ci a le droit de décider d’obtenir une séparation légale pour se protéger, elle et ses enfants Une telle séparation peut aussi être envisagée si l’un des conjoints est extrêmement violent envers l’autre, l’ayant peut-être battu à plusieurs reprises, au point que sa santé ou même sa vie soient en danger. En outre, si de façon permanente l’un essaie de forcer l’autre à enfreindre les lois de Dieu, le conjoint menacé peut aussi envisager une séparation, surtout si la situation est telle que sa vie spirituelle est en péril. Le conjoint menacé arrivera peut-être à la conclusion que le seul moyen d’“ obéir à Dieu, en sa qualité de chef, plutôt qu’aux hommes ” est d’obtenir une séparation légale. Dans tous les cas de violence conjugale extrême, nul ne devrait insister pour que le conjoint innocent se sépare ou reste avec l’autre. Certes, des amis mûrs et des responsables de l’assemblée peuvent offrir leur aide et des conseils fondés sur la Bible, mais ils ne savent pas en détail tout ce qui se passe entre un mari et sa femme. Seul Jéhovah le voit. Naturellement, une chrétienne mariée n’honorerait pas le mariage tel que Dieu l’a institué si elle invoquait de piètres excuses pour mettre un terme à son union. Cependant, si une situation extrêmement dangereuse se prolongeait, personne ne devrait critiquer sa décision de se séparer de son conjoint. – TG2003 15/9 Le refus de pourvoir aux besoins des siens est un motif de séparation. La séparation est donc envisageable si un mari refuse de pourvoir aux besoins des siens. Bien sûr, quand c’est un chrétien qui est accusé d’agir ainsi, les responsables de l’assemblée examineront attentivement la question. Un refus opiniâtre de pourvoir aux besoins de sa famille peut entraîner l’excommunication. Des violences physiques graves constituent un autre motif de séparation. Supposons qu’il arrive souvent à un mari non croyant de s’enivrer, de s’emporter et de brutaliser son conjoint croyant. En priant et en manifestant le fruit de l’esprit de Jéhovah, le conjoint croyant parviendra peut-être à prévenir ces éclats de colère et à rendre la situation supportable. Mais s’il subit des violences telles que sa santé et sa vie s’en trouvent véritablement menacées, les Écritures l’autorisent à se séparer de son conjoint. Là encore, les responsables de l’assemblée examineront les accusations de violence lorsque le mariage mis en péril est celui de deux chrétiens, et ils devront peut-être prendre une mesure d’excommunication Une grave menace sur la spiritualité est encore un autre motif de séparation. Un croyant qui vit dans un foyer divisé sur le plan religieux doit faire tout son possible pour tirer profit des dispositions prises par Dieu pour son bien-être spirituel. Mais si l’opposition manifestée par son conjoint non croyant (qui recourt peut-être à la force) l’empêche vraiment de pratiquer le vrai culte et met vraiment en danger sa spiritualité, il peut décider de se séparer. Qu’en est-il si la condition spirituelle d’un foyer où les deux conjoints sont croyants est particulièrement mauvaise? Les responsables de l’assemblée doivent apporter leur aide, mais c’est avant tout au mari baptisé qu’il incombe de remédier promptement à la situation. Bien sûr, si un chrétien marié agit en apostat en essayant d’amener son conjoint à ne plus servir Jéhovah, les responsables de l’assemblée régleront la situation conformément aux Écritures. Quand quelqu’un est exclu parce qu’il met sérieusement en danger la spiritualité de son conjoint, refuse de pourvoir à ses besoins, ou lui fait subir des violences physiques graves, le chrétien fidèle qui cherche à obtenir une séparation légale ne va pas à l’encontre du conseil de Paul exhortant les chrétiens à ne pas poursuivre un autre croyant en justice. 1 Corinthiens 6:1-8. Il se peut donc que la séparation se justifie dans les situations extrêmes. Mais bien sûr, on ne doit pas se servir de simples prétextes pour obtenir une séparation. Les chrétiens qui se séparent en portent personnellement la responsabilité et doivent comprendre que nous aurons tous des comptes à rendre à Jéhovah – TG1988 1/11 Paul ne nie pas que les hommes et les femmes imparfaits décident parfois de quitter leur conjoint. Mais il dit que, si un conjoint se sépare, les deux doivent ‘ rester sans se marier ’. Pourquoi ? Parce que, même lorsque l’un des conjoints quitte l’autre, les liens du mariage subsistent aux yeux de Dieu. Paul pouvait l’affirmer parce que Jésus avait dit : “ Quiconque divorce d’avec sa femme — sauf pour motif de fornication [acte sexuel immoral] — et se marie avec une autre, commet l’adultère. ” (Matthieu 19:9). Le seul motif permettant de divorcer en accord avec les Écritures est la “ fornication ”, c’est-à-dire l’immoralité sexuelle. Il semble que, dans le cas envisagé par Paul, aucun des conjoints ne se soit livré à l’immoralité. Par conséquent, malgré le départ du mari ou de la femme, le mariage est toujours valide aux yeux de Dieu. – TG2000 15/12 p28 1 Corinthiens 7:36 : Pourquoi un chrétien devrait-il se marier uniquement après avoir «passé la fleur de la jeunesse»?w00 15/7 31 § 2 « Mais si quelqu’un pense qu’il agit d’une manière incorrecte en ne se mariant pas, et s’il a passé la fleur de la jeunesse, voici ce qu’il devrait faire : qu’il fasse ce qu’il veut ; en cela il ne pèche pas. Qu’ils se marient ». Rester pur dans un monde immoral : c’est possible ! Par conséquent, les jeunes gens ne devraient pas se précipiter dans le mariage au moment où leurs pulsions sexuelles commencent à s’éveiller. Le mariage exige un engagement, et pour assumer une telle responsabilité la maturité est indispensable (Genèse 2:24). Mieux vaut attendre d’avoir « passé la fleur de la jeunesse », la période où l’appel des sens est fort et risque de fausser le jugement (1 Corinthiens 7:36). Un adulte désireux de se marier qui aurait une liaison sous prétexte qu’il ne trouve pas de conjoint manquerait de bon sens et commettrait assurément un péché. - w00 15/7 31 § 2 Certains ont déclaré : « C’est très risqué de se marier trop jeune. Nos sentiments, nos objectifs, nos goûts continuent de changer entre la fin de l’adolescence et l’approche de la trentaine. ” Bien sûr, l’aptitude à se marier n’est pas qu’une question d’âge. Néanmoins, on peut avoir le raisonnement faussé et ne pas discerner d’éventuels problèmes si l’on envisage de se marier alors que n’est pas passé le stade de la jeunesse où l’attirance pour l’autre sexe est un sentiment nouveau et particulièrement fort. – TG1999 15/2 p5 Les jeunes changent rapidement en grandissant. Beaucoup de ceux qui se sont mariés très jeunes ont découvert après quelques années que leurs besoins et leurs aspirations ainsi que ceux de leur conjoint n’étaient plus les mêmes. Selon les statistiques, ceux qui se marient adolescents risquent beaucoup plus d’être malheureux et de divorcer que ceux qui attendent un peu. Ne soyez donc pas pressé de vous marier. Quelques années de célibat au début de l’âge adulte vous permettront d’acquérir une expérience précieuse qui fera de vous une personne mûre, plus apte à être un conjoint à la hauteur. Si vous remettez à plus tard la question du mariage, vous pourrez mieux vous connaître vous-même : ce qui est indispensable pour réussir votre mariage. - Bonheur familial, p15-16 Il faut de la maturité pour tenir cet engagement. C’est pourquoi Paul a conseillé aux chrétiens de ne pas se marier avant d’avoir “ passé la fleur de la jeunesse ”, période au cours de laquelle les pulsions sexuelles puissantes peuvent fausser le jugement (1 Corinthiens 7:36). Les jeunes changent rapidement en grandissant. Beaucoup de ceux qui se sont mariés très jeunes ont découvert après quelques années que leurs besoins et leurs aspirations ainsi que ceux de leur conjoint n’étaient plus les mêmes. Selon les statistiques, ceux qui se marient adolescents risquent beaucoup plus d’être malheureux et de divorcer que ceux qui attendent un peu. Ne soyez donc pas pressé de vous marier. Quelques années de célibat au début de l’âge adulte vous permettront d’acquérir une expérience précieuse qui fera de vous une personne mûre, plus apte à être un conjoint à la hauteur. Si vous remettez à plus tard la question du mariage, vous pourrez mieux vous connaître vous-même : ce qui est indispensable pour réussir votre mariage. - fy 15-16 L’une des raisons est que vous approchez de “la fleur de l’âge”, l’époque où les désirs sexuels sont le plus forts (1 Corinthiens 7:36). Explication du professeur Bettie Youngs: “Pendant la puberté, les taux d’hormones augmentent considérablement et déclenchent tous les changements physiques qui transforment un corps d’enfant en celui d’un adulte. L’élévation des taux d’hormones qui accompagne l’adolescence provoque de nombreux changements sur les plans affectif et comportemental.” Des changements de quel ordre? Les plus importants touchent souvent aux sentiments que l’on éprouve pour l’autre sexe. “Les transformations que subit le corps à la puberté se traduisent souvent par une intensification du désir sexuel. Vous risquez de penser davantage au sexe, d’être plus facilement excité, et parfois même de vous sentir obsédé. Plusieurs des adolescents [que nous avons interrogés] ont dit qu’il leur arrivait de marcher dans la rue ou d’être assis dans le bus et de ressentir alors une excitation sexuelle qui leur embrasait tout le corps.” Cette obsession de l’autre sexe est l’un des nombreux “désirs propres à la jeunesse” que les jeunes doivent combattre – RV1994 22/7 p24 La fleur de l’âge - L’adolescent entre dans une période de sa vie que la Bible appelle “la fleur de l’âge” et qui se traduit par l’épanouissement du désir sexuel. Alors que les fonctions de reproduction se mettent en place, l’organisme libère de puissantes hormones qui agissent sur les organes reproducteurs. À cette époque, le jeune homme ou la jeune fille prend conscience des sensations agréables que peuvent lui procurer ces organes. Parfois, la curiosité et le caractère nouveau de ces sensations excitantes amènent certains à se livrer à des attouchements délibérés pour se procurer davantage de plaisir ou pour se décharger d’une forte tension. En raison des changements de son organisme, un jeune homme ou une jeune fille peut ressentir une excitation sexuelle sans même le vouloir. Chez les garçons, par exemple, des tensions engendrées par des soucis, des craintes ou des déceptions diverses peuvent ébranler leur système nerveux sensible et provoquer une excitation sexuelle. À son tour, la production de sperme donne parfois lieu à des émissions nocturnes, accompagnées généralement de rêves érotiques, ou réveille le garçon dans un état d’excitation sexuelle. Des jeunes filles peuvent se retrouver tout aussi involontairement dans cette situation. Et une jeune femme pourra ressentir un puissant désir sexuel immédiatement avant ou après ses règles. Si vous avez déjà observé chez vous de telles réactions involontaires, n’en soyez pas troublé; elles sont normales chez un jeune. Même si elles sont très intenses, ces sensations n’ont rien à voir avec la masturbation dans la mesure où elles sont essentiellement inconscientes. Avec le temps, vous passerez “la fleur de l’âge” et ces nouvelles sensations seront moins intenses. – RV1987 8/11 p18-19 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Se fondant sur les paroles de Jésus, l’apôtre Paul explique que si tout chrétien, marié ou célibataire, peut servir Dieu d’une manière agréée, le célibataire “ bien résolu dans son cœur ” à demeurer tel qu’il est ‘ fait mieux ’. En quel sens ? Le chrétien marié doit consacrer une partie de son temps et de son énergie à plaire à son conjoint, et à prendre soin de lui. Le chrétien célibataire peut se concentrer sur le service du Seigneur sans avoir à s’acquitter d’une telle obligation. Il considère sa situation comme un “ don ” de Dieu. — 1 Cor. 7:7, 32-38. – TG2012 15/11 p20 Jéhovah connaît ceux qui lui appartiennent - « Si quelqu’un aime Dieu, celui-là est connu de lui. » 1 Corinthiens 8:3 Le jour d’avant, Moïse avait dit au peuple : « Jéhovah fera connaître qui lui appartient. » (Nombres 16:5) Jéhovah savait qui était sincère et qui était hypocrite. Comment l’a-t-il montré ? Il a envoyé du feu qui venait du ciel pour tuer Coré et les 250 hommes. Mais il n’a pas tué Aaron. Voilà comment Jéhovah a fait voir que Aaron était un adorateur sincère et que c’était bien lui qu’il avait choisi pour être le prêtre. À l’époque de Paul, quelque chose de semblable s’est passé chez les chrétiens. Paul a fait remarquer que certains disaient qu’ils étaient chrétiens alors qu’ils enseignaient des choses que la Bible ne dit pas. Pourtant, ils faisaient encore partie de l’assemblée. On aurait pu croire que ces apostats étaient des gens sincères. Mais ils étaient comme des loups, des animaux dangereux. Ils avaient commencé à détruire « la foi de quelques-uns ». Paul était sûr que Jéhovah voyait ce qui se passait et qu’il allait agir. Pourquoi ? Parce qu’il se souvenait de ce que Jéhovah avait fait à Coré et aux 250 hommes qui étaient avec lui. Nous aussi, nous pouvons être sûrs que Jéhovah voit ce qui se passe dans les assemblées – TG2014 15/7 §2,3 L’expression « un seul Jéhovah » montre que Jéhovah veut que ses adorateurs soient unis et qu’ils aient le même but. Dans la congrégation chrétienne du 1er siècle, il y avait des Juifs, des Grecs, des Romains et des gens d’autres nationalités. Ils n’avaient pas tous les mêmes origines religieuses, les mêmes coutumes et les mêmes préférences. À cause de cela, certains avaient du mal à pratiquer le nouveau culte ou à abandonner complètement leur ancienne religion. C’est pour cela que Paul a dû leur rappeler que les chrétiens avaient un seul Dieu, Jéhovah (1 Corinthiens 8:5, 6). Et dans l’assemblée aujourd’hui ? Le prophète Isaïe a prédit que, « dans la période finale des jours », des gens de toutes les nations se rassembleraient pour adorer Jéhovah. Ils diraient : « Jéhovah nous instruira de ses voies, et nous voulons marcher dans ses sentiers » (Isaïe 2:2, 3). Nous sommes heureux de voir cette prophétie s’accomplir ! Nous venons d’endroits différents, nous avons des cultures différentes, nous parlons des langues différentes, et nous sommes tous unis dans le culte de Jéhovah. – ws2016/6 §15,16 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Lorsque l’apôtre Paul a écrit aux Corinthiens, il a recommandé de se marier “ en raison des actes sexuels immoraux si répandus ”. (1 Corinthiens 7:2.) Le monde actuel est aussi mauvais, si ce n’est plus, que la ville antique de Corinthe. Les sujets immoraux dont les gens parlent ouvertement, l’indécence de leur tenue vestimentaire et les histoires sensuelles présentées dans les revues et les livres, à la télévision et au cinéma, tout cela contribue à éveiller des appétits sexuels illicites. Aux Corinthiens vivant dans une ambiance comparable, Paul a dit : “ Il vaut mieux se marier que de brûler de passion. ”- 1 Corinthiens 7:9. Bonheur familial, p156-157 Bien que rien n’excuse l’infidélité conjugale, un manque de tendresse de la part d’un conjoint peut inciter l’autre à chercher de l’affection ailleurs. La Bible dit donc aux couples : « Ne vous privez pas l’un l’autre de ce dû, si ce n’est d’un commun accord, pour un temps fixé. » Et voici la raison de cette mise en garde : « De peur que Satan ne vous tente continuellement à cause de votre manque de maîtrise » (1 Cor. 7:5). En effet, qu’il serait triste que des conjoints permettent à Satan d’exploiter leur « manque de maîtrise » et d’amener l’un d’eux à céder à l’adultère ! À l’inverse, si chaque conjoint cherche, « non pas son propre avantage, mais celui de l’autre » et si, par amour plutôt que par devoir, il rend à l’autre son dû, les relations intimes peuvent contribuer à renforcer le lien conjugal – TG2015 15/1 p27 Une décision personnelle importante - Paul n’a jamais forcé qui que ce soit ni à se marier ni à rester célibataire (1 Cor. 7:7). Même s’il appréciait sa condition de célibataire pour servir Jéhovah, il n’en respectait pas moins le droit des autres à se marier. À notre époque, chaque chrétien a également le droit de se marier ou non. Personne ne devrait lui dicter ses choix. TG2011 15/10 p13-17 §4 Comme en témoigne la première lettre aux Corinthiens, Paul avait une haute opinion du célibat. (1 Corinthiens 7:8) Pour autant, il ne s’élevait pas au-dessus des personnes mariées, contrairement à ce que fait le clergé célibataire de la chrétienté. L’apôtre a cependant mis en évidence un avantage que quantité de célibataires mettent à profit. Un célibataire est en effet plus facilement en mesure d’accepter certaines attributions de service qu’une personne mariée. Paul a eu l’honneur d’être “ apôtre des nations ”. - TG2011 15/10 p13-17 §5,6 Que faire si le conjoint non Témoin choisit de se séparer ? La Bible dit : « Si le non-croyant entreprend de se séparer, qu’il se sépare ; un frère ou une sœur ne sont pas asservis en pareil cas, mais Dieu vous a appelés à la paix » (1 Cor. 7:15). Cela ne veut pas dire que le chrétien est désormais bibliquement libre de se remarier. Mais il n’est pas obligé d’essayer de forcer son conjoint à rester. La séparation peut lui apporter une certaine paix. De plus, le chrétien peut espérer que son conjoint revienne avec le désir de travailler à sauver leur couple et finisse par partager ses croyances. – TG2016/8 p16 §16 “ Comment sais-tu que tu ne sauveras pas ton conjoint ? ” 1 Cor. 7:16.L’apôtre Paul a recommandé aux chrétiens de ne pas quitter leur conjoint au motif que celui-ci est un “ non-croyant ”. (1 Corinthiens 7:12-16) Envisager que son mari ou sa femme puisse un jour adhérer au vrai culte permet au chrétien de rester heureux. Cela dit, pour ce qui est de communiquer la vérité à un non-croyant, il convient de se montrer mesuré. Quelques gouttes de vérité distribuées au bon moment font souvent beaucoup plus de bien qu’un déluge de paroles. – TG2012 15/2 7:33, 34 — Que sont ces “ choses du monde ” dont l’homme marié ou la femme mariée s’inquiètent ? Paul fait allusion aux choses courantes de la vie dont les chrétiens mariés doivent se soucier. Il s’agit notamment de la nourriture, du vêtement, du logement ; mais il n’est pas question ici des choses mauvaises de ce monde, que les chrétiens rejettent – TG2008 15/7 p27 Maintenant, que faire si vous recevez une demande en mariage de quelqu’un qui n’a pas une foi forte, voire ne partage pas vos croyances ? Sachez qu’un mauvais choix peut vous causer une peine bien plus dure à supporter que la solitude. N’oubliez pas non plus que le mariage engage pour la vie, et qu’on est lié à son conjoint pour le meilleur et pour le pire (1 Cor. 7:27). N’agissez donc pas en désespoir de cause. Ne prenez pas une décision que vous regretterez plus tard. La Bible conseille au serviteur de Dieu qui cherche un conjoint de se marier « seulement dans le Seigneur », c’est-à-dire de n’épouser qu’un adorateur de Jéhovah voué et baptisé qui se conforme aux enseignements bibliques. Le Témoin qui épouse un autre Témoin s’unit à un être voué à Jéhovah qui sera capable de l’aider à rester intègre.- 1 Cor. 7:39. TG2011 15/10 p13-17 §12 « La scène de ce monde est en train de changer ”, a écrit Paul (1 Cor. 7:31). Manifestement, l’apôtre comparait le monde à une scène de théâtre dans laquelle les acteurs d’un drame jouent leur rôle de bon ou de méchant jusqu’à un changement de décor. Aujourd’hui se joue un drame d’une importance capitale, dans lequel un rôle vous est attribué. Il porte principalement sur la justification de la souveraineté de Jéhovah Dieu. La situation qu’il dépeint est comparable à celle d’un pays où, d’un côté, un gouvernement dûment constitué assure le maintien de l’ordre et, de l’autre côté, une organisation criminelle règne en recourant à la fraude, à la violence et au meurtre. Cette organisation conteste l’autorité souveraine du gouvernement et met à l’épreuve la fidélité de tous les citoyens. La situation que nous venons d’évoquer existe à l’échelle de l’univers. Le gouvernement du “ Souverain Seigneur Jéhovah ” est légalement établi . Mais l’humanité est menacée par une organisation criminelle dirigée par le “ méchant ”. Cette dernière conteste l’autorité souveraine du gouvernement de Dieu et met à l’épreuve la fidélité de tous les humains – TG2010 15/11 Les décisions relatives au mariage et au célibat comptent parmi les plus difficiles qui soient. L’imperfection, à l’origine de la plupart des problèmes relationnels, touche tout le monde. Aucun humain, marié ou célibataire, ne peut donc éviter de connaître la déception, pas même celui qui a l’approbation et la bénédiction de Jéhovah. Si vous suivez les sages recommandations contenues dans le chapitre 7 de 1 Corinthiens, vous vous épargnerez bien des déboires. Que vous décidiez de rester célibataire ou non, aux yeux de Jéhovah vous ‘ ferez bien ’. (1 Corinthiens 7:37, 38) Il n’est pas de meilleur objectif que de vouloir obtenir l’approbation de Dieu. Grâce à elle, vous pourrez entrer dans le monde nouveau, où rien ne viendra plus compliquer les relations hommes-femmes. – TG2011 15/10 p17 §21 Paul nous avertit : “ La connaissance gonfle, mais l’amour bâtit ” (1 Corinthiens 8:1). En réalité, le problème ne vient pas de la connaissance exacte. C’est de notre côté qu’il se situe, dans nos tendances pécheresses. Sans l’influence pondératrice de l’amour, la connaissance risque de ‘ gonfler quelqu’un d’orgueil ’, lui donnant un sentiment de supériorité. Cela n’arrivera pas si le mobile premier est l’amour. “ L’amour [...] ne se vante pas, ne se gonfle pas d’orgueil. ” (1 Corinthiens 13:4). Le chrétien animé par l’amour ne devient pas fier, même s’il acquiert une connaissance profonde. L’amour préserve son humilité et le retient de vouloir se mettre en valeur. Jésus possédait une connaissance immense ; pourtant, il n’a jamais écrasé les autres. Quand donc vous expliquez vos croyances, ne prenez pas un ton péremptoire ni un air de supériorité. Notre objectif est de toucher les cœurs et d’attirer nos semblables vers les vérités que nous aimons – TG2001 1/1 p9 §6 Défendant sa qualité d’apôtre dans sa lettre à la congrégation de Corinthe, Paul écrivit : “ Qui sert jamais comme soldat à ses propres frais ? ” (1Co 9:7). Bien qu’il n’eût pas accepté d’aide matérielle de la part des Corinthiens, Paul montrait ici qu’étant un soldat au service de Christ, son Maître, il aurait été tout à fait en droit de le faire. – it-2 Soldat Comment ceux qui prêchaient beaucoup à l’époque des apôtres achetaient-ils les choses nécessaires pour vivre ? Ils ne demandaient pas d’argent à leurs frères et sœurs. Ils travaillaient quelques heures par semaine quand ils avaient besoin d’argent. (1 Corinthiens 9:11-15) Mais quand des frères et sœurs voulaient les aider, ils étaient contents. Par exemple, des chrétiens les invitaient à prendre un repas ou à loger chez eux. Parfois c’était toute une assemblée qui faisait quelque chose pour eux. À notre époque aussi beaucoup de chrétiens font des efforts pour être serviteurs à plein temps. Jéhovah apprécie ce que nous faisons pour eux. – TG2014 15/9 Une bonne conscience fait beaucoup plus que nous mettre en garde contre des actes mauvais. Elle nous pousse à accomplir de belles œuvres. Quelles sont les plus importantes ? Participer au ministère de maison en maison et saisir toutes les occasions de prêcher informellement. La conscience de Paul le poussait à accomplir de telles œuvres. Il a écrit : « La nécessité m’en est imposée. Oui, malheur à moi si je n’annonçais pas la bonne nouvelle ! » (1 Cor. 9:16). Quand nous imitons Paul, notre conscience nous parle : elle nous donne l’assurance que nous agissons bien. Par ailleurs, quand nous prêchons la bonne nouvelle, nous cherchons à sensibiliser la conscience de ceux à qui nous parlons. TG2015 15/9 §16 Comme l’apôtre Paul, nous savons qu’il nous faut prêcher (1 Cor. 9:16). Toutefois, si nous avons de la compassion, nous ne prêcherons pas par simple obligation. Nous le ferons parce que nous nous soucions des gens et que nous voulons les aider. Nous savons aussi qu’« il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir » (Actes 20:35). Plus nous prêcherons dans l’objectif de donner, plus nous aimerons cette activité. – TG2019/3 §3 L’apôtre Paul a écrit : “ Voici donc de quelle façon je cours : je ne cours pas à l’aventure ; voici de quelle façon je dirige mes coups : je les dirige de façon à ne pas battre l’air. ” (1 Cor. 9:26). Il parlait de sa détermination à atteindre des objectifs spirituels. Toutefois, nous pouvons en tirer un principe pour notre ministère. Nous voulons diriger nos “ coups ”, nos efforts, avec sagesse afin qu’ils soient le plus efficaces possible. – km2012/1 p1 Dans la Bible, la vie du chrétien est comparée à une course. Les coureurs, dans une course, courent tous. L’apôtre Paul a utilisé cette comparaison dans la première lettre qu’il a adressée aux membres de la congrégation de Corinthe. “ Ne savez-vous pas, leur a-t-il écrit, que les coureurs, dans une course, courent tous, mais qu’un seul reçoit le prix ? Courez de manière à l’obtenir. ” — 1 Cor. 9:24. Paul laissait-il entendre à ces chrétiens qu’un seul d’entre eux remporterait le prix, à savoir la vie, tandis que les autres auraient couru en vain ? Non, évidemment. Il faisait remarquer que les athlètes s’entraînaient dur avec l’objectif de gagner, et il souhaitait que ses compagnons fournissent le même genre d’efforts pour obtenir la vie éternelle. Tous pourraient alors espérer remporter la victoire. En effet, tous les chrétiens qui achèvent la course dans laquelle ils sont engagés obtiennent la récompense. Les paroles de Paul stimulent ceux qui ont pris le départ de la course pour la vie, mais elles les invitent aussi à la réflexion. Pourquoi ? Parce que la récompense — qu’il s’agisse de la vie au ciel ou de la vie sur une terre paradisiaque — est d’une valeur inestimable. Il est vrai que le parcours est long et difficile ; il est jalonné d’obstacles, de sources de distraction et de pièges. Malheureusement, certains ont ralenti, ont arrêté de courir ou sont tombés en chemin. – TG2011 15/9 p16 §2-4 Paul s’est comparé lui-même à un boxeur quand il a dit : « Voici de quelle façon je dirige mes coups : je les dirige de façon à ne pas battre l’air » (1 Corinthiens 9:26). Comme un boxeur qui se bat contre un autre boxeur, nous devons lutter contre nos ennemis. Jéhovah nous aide à le faire en nous entraînant. Comment ? Par le moyen de la Bible, et aussi des publications, des réunions chrétiennes, et des assemblées pour nous défendre contre nos ennemis, comme un boxeur qui donne des coups dans l’air. Il nous faut faire attention tout le temps. Pourquoi ? Parce que ces ennemis risquent d’attaquer quand on ne s’y attend pas, ou quand on est faible. Mais si nous arrêtions de faire attention et de lutter, nos ennemis (Satan, son monde, et nos faiblesses) pourraient nous vaincre. Alors, n’abandonnons jamais. Ne nous découragons pas, ne laissons pas retomber nos mains – ws2016/9 §3 Dans une de ses lettres aux chrétiens de Corinthe, Paul a décrit la stratégie qu’il suivait pour se reprendre lui-même (1 Corinthiens 9:26, 27). Il s’attaquait à sa nature humaine imparfaite par des « coups » bien dirigés. Il est très probable qu’il cherchait des conseils précis dans les Écritures, qu’il suppliait Jéhovah de l’aider à les appliquer et qu’il faisait de gros efforts pour progresser. Son exemple nous est utile, parce que nous menons le même genre de combat contre nos inclinations imparfaites. – TG2013 15/4 p14 §10 Paul nous a livré le secret de son succès: “Mon corps, je le bourre de coups et je l’emmène comme esclave, de peur qu’après avoir prêché aux autres, je ne devienne moi-même, d’une façon ou d’une autre, un homme désapprouvé.” (1 Corinthiens 9:27). Comme Paul, nous devons devenir maîtres de notre chair imparfaite plutôt que de la laisser nous dominer. Il nous faut extirper les tendances, aspirations et désirs charnels. Devenu chrétien, Paul a-t-il eu du mal à faire ce qui est juste? Oui. Toute sa vie, il a combattu les désirs mauvais dont il avait été l’esclave. Paul s’obligeait à faire le bien, même lorsque son corps l’incitait au mal. Si vous imitez Paul, vous aussi vous remporterez ce combat. – TG1992 1/8 p18 §19
  14. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 25 MARS 2019 - 1 Corinthiens 4-6.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 25 MARS 2019 - 1 Corinthiens 4-6.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : 1 Corinthiens 4-6 1 Corinthiens 4:9 : Pourquoi peut-on dire que les humains qui servent Dieu sont un « spectacle » pour les anges ? (w09 15/5 24 § 16) « Il me semble que Dieu nous a exposés publiquement en dernier, nous les apôtres, comme des condamnés à mort, car nous sommes devenus un spectacle pour le monde, pour les anges et pour les hommes. » Les chrétiens sous le feu de l’épreuve sont “ un spectacle [...] pour les anges ”. (1 Cor. 4:9.) Ceux-ci constatent avec plaisir nos actes de fidélité ; la repentance d’un pécheur les remplit même de joie (Luc 15:10). Par ailleurs, ils remarquent l’attitude soumise des chrétiennes. La Bible indique que “ la femme doit avoir un signe d’autorité sur la tête, à cause des anges ”. (1 Cor. 11:3, 10.) Il est vraiment agréable pour les anges de voir les chrétiennes ainsi que tous les autres serviteurs terrestres de Dieu respecter l’ordre et l’autorité théocratiques. Une telle obéissance est un rappel approprié pour les fils célestes de Dieu. - w09 15/5 24 § 16 L’exemple contenu en 1 Corinthiens 4:9 s’inspire sans doute des compétitions romaines ; Paul et ses compagnons, les apôtres, sont comparés ici à ceux qui étaient amenés dans l’arène pour le dernier spectacle — car on gardait habituellement le divertissement le plus sanglant pour la fin et ceux qu’on réservait pour celui-ci étaient sûrs de mourir. Paul faisait ainsi allusion à la façon dont s’achevaient les combats de gladiateurs romains dans l’arène de l’amphithéâtre ; on avait coutume d’y amener certains participants dévêtus et sans défense, qui étaient envoyés à une véritable boucherie, à une mort certaine. Une vaste audience, d’humains et d’anges, a vu les souffrances infligées aux chrétiens du Ier siècle parce qu’ils rendaient témoignage au Royaume - it-2 p40 Paul pensait peut-être aux exhibitions de bestiaires, bestiarii (hommes qui combattaient des animaux), et de gladiateurs (hommes qui combattaient d’autres hommes). Certains luttaient pour de l’argent, mais les criminels étaient contraints à se battre. Au début, on leur permettait de se servir d’armes, mais par la suite ils étaient introduits, dans l’arène, nus et sans aucun moyen de défense, voués à une mort certaine. Sous le regard de spectateurs, les “anges” et les “hommes” (pas simplement “le monde” des humains), les apôtres ressemblaient à ceux qui allaient mourir au cours d’un spectacle sanglant de ce genre. Paul dit qu’il a “combattu contre des bêtes sauvages à Éphèse”, mais certains doutent qu’un citoyen romain ait été contraint à cela et sont d’avis qu’il fait allusion à des adversaires bestiaux (1 Corinthiens 15:32). Pourtant, la déclaration de Paul selon laquelle Dieu l’a délivré “d’une aussi grande chose que la mort” dans le district d’Asie (où se situait Éphèse) cadre mieux avec un combat contre des bêtes sauvages dans une arène qu’avec l’opposition d’adversaires humains. – TG1990 15/9 p24 Leur intégrité a touché bon nombre d’observateurs, tout comme notre endurance dans l’arène moderne aujourd’hui. Paul voulait dire que les chrétiens calomniés et persécutés étaient comme exposés dans un théâtre sous les yeux de l’univers entier. À l’époque de Paul, le théâtre était un divertissement très apprécié, mais de nombreuses pièces faisaient la part belle à l’immoralité et à la violence, dont les premiers chrétiens étaient encouragés à se garder. Dans l’Empire romain, il arrivait que des chrétiens soient donnés en spectacle dans un théâtre ou dans une arène, où ils devaient parfois affronter des bêtes sauvages. Mais pour qui sommes-nous un spectacle, à notre époque ? : Pour le monde et pour les hommes : Les médias parlent parfois des activités des Témoins de Jéhovah. Nous apprécions les bons commentaires, objectifs et honnêtes, concernant notre œuvre, mais nous nous attendons aussi à ce que nos détracteurs répandent de temps à autre des informations calomnieuses. Il nous faut néanmoins continuer à nous recommander comme ministres de Dieu “ grâce à la mauvaise et à la bonne réputation ”. (2 Cor. 6:4, 8.) Pour les observateurs honnêtes, il est clair que nous sommes les authentiques disciples de Jésus Christ. Pour les anges : Nous sommes également observés par les créatures spirituelles. Le Diable et ses démons nous observent, mais dans “ une grande fureur ”, et cherchent à arrêter notre “ œuvre : rendre témoignage à Jésus ”. Les anges de Dieu fidèles nous observent eux aussi et ils se réjouissent quand un pécheur, même un seul, se repent. Le fait de savoir que les anges considèrent notre ministère comme l’œuvre actuellement effectuée sur la terre la plus urgente et la plus utile doit nous fortifier. Si vous êtes en butte à l’opposition ou si vous pensez que votre ministère est improductif, rappelez-vous que partout dans l’univers on vous observe. Votre endurance fidèle est très éloquente. Et finalement votre “ beau combat de la foi ” vous permettra de ‘ saisir fermement la vie éternelle ’. - km 8/2001 p1 1 Corinthiens 6:3 : À quoi Paul faisait-il apparemment référence quand il a écrit : « Nous jugerons des anges » ? (it-2 151 § 2). « Et ne savez-vous pas que nous jugerons des anges ? Alors pourquoi pas des affaires de cette vie ? » Bien qu’ils soient supérieurs à l’homme, les anges sont soumis à la loi et aux commandements de Dieu. Même son adversaire Satan, Jéhovah le commanda et lui imposa des restrictions. Michel l’archange attesta et respecta la position de Juge suprême que détenait Jéhovah quand il déclara au cours de sa discussion avec le Diable : “ Que Jéhovah te réprimande. ” (Jude 9 ; voir aussi Zach 3:2 « Alors l’ange de Jéhovah a dit à Satan : « Que Jéhovah te réprimande, ô Satan ! Oui, que Jéhovah, qui a choisi Jérusalem, te réprimande ! Cet homme n’est-il pas un bout de bois enflammé arraché du feu ? ». Jéhovah Dieu a placé tous les anges sous l’autorité de Jésus Christ glorifié. C’est donc sur l’ordre de Jésus qu’un messager angélique fut envoyé auprès de Jean. En 1 Corinthiens 6:3, l’apôtre Paul déclare que les frères spirituels de Christ auront dans leurs attributions celle consistant à juger des anges, sans doute parce qu’ils participeront d’une certaine manière à l’exécution du jugement sur les esprits méchants. - it-2 151 § 2 Paul fit remarquer aux chrétiens que “ les saints jugeront le monde ” et ‘ qu’ils jugeront des anges ’. Ces paroles ne concernent pas l’époque actuelle, mais l’avenir, quand les chrétiens qui régneront avec Christ siégeront en juges célestes, appliquant la loi de Dieu et exécutant le jugement sur les méchants. La Bible nous montre qu’un jugement attend effectivement le Diable, jugement à l’issue duquel il aura la tête écrasée – it-2 p125 Les anges ont le pouvoir de vivre indéfiniment, mais leur force vitale ne se rétablit pas d’elle-même et n’est pas indestructible. L’immortalité ne leur fut jamais accordée ; cela ressort du fait que Jésus, ressuscité, était la seule des créatures de Jéhovah à la posséder aux jours de l’apôtre Paul, bien que la vie des anges eût commencé très longtemps auparavant. – TG1964 1/7 Au 1er siècle de notre ère, des pécheurs repentants ont été appelés à devenir membres du Royaume céleste. Tous ceux qui se sont montrés fidèles jusqu’à la mort devaient être associés comme rois et prêtres au Seigneur Jésus-Christ et occuper ainsi une position plus élevée que les anges. Toutefois, les anges ne se sont pas vexés de n’avoir pas été choisis par Jéhovah Dieu bien que l’ayant servi fidèlement avant même la création de l’homme. Au contraire, ils se sont réjouis, comprenant que les difficultés rencontrées et surmontées par ces hommes les équipaient pour servir en tant que rois et prêtres compréhensifs et miséricordieux. Reconnaissant que cette disposition de Jéhovah est juste et bien fondée, les anges servent donc avec humilité les futurs héritiers du Royaume encore sur la terre. C’est ce qu’indique le texte d’Hébreux 1:14, disant : “Ne sont-ils pas tous des esprits pour un service public, envoyés pour servir ceux qui vont hériter le salut ?” Ils donnent donc un excellent exemple. A notre époque, une épreuve pour ceux qui ne sont pas établis responsables. Étant imparfaits, nous sommes enclins à penser plus de nous-mêmes qu’il ne le faudrait normalement. Nous devons donc nous efforcer d’imiter l’humilité de Jéhovah Dieu et de ses fils angéliques, y compris Jésus-Christ. Parfois, certains événements dans les assemblées du peuple de Dieu mettent à l’épreuve l’humilité d’un grand nombre de chrétiens. C’est particulièrement le cas lorsque des hommes sont établis pour assumer certaines fonctions spéciales. Par exemple, quelques-uns n’ayant pas été nommés responsables peuvent penser qu’on devrait néanmoins les considérer comme des enseignants dans l’assemblée. Même au premier siècle de notre ère, certains chrétiens raisonnaient ainsi. S’adressant vraisemblablement à ces hommes, le disciple Jacques écrivit : “Ne vous empressez pas, mes frères, de devenir enseignants : sachez que nous assumons ainsi une responsabilité plus grande.” — Jacq. 3:1 – TG1972 15/7 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Rappelons-nous qu’un intendant avait un travail à effectuer. C’est aussi notre cas. Dieu nous a fait un cadeau inestimable : il nous a enseigné la vérité à son sujet. Et il s’attend à ce que nous la communiquions. Paul a dit : “ Que l’homme nous estime donc comme des subordonnés de Christ et des intendants de saints secrets de Dieu. ” (1 Cor. 4:1). Paul reconnaissait qu’il était un intendant. À ce titre, il lui fallait accorder une grande attention aux “ saints secrets ” et s’appliquer à en parler à autrui, conformément à l’ordre de son Maître, Jésus Christ. Parler à son prochain de la vérité est en fait une preuve d’amour. Évidemment, la situation de chacun est différente. Nous ne pouvons pas tous en faire autant dans le ministère, et Jéhovah le comprend. Ce qui compte, c’est de faire tout ce que nous pouvons. Nous témoignons ainsi un amour désintéressé à Dieu et à nos semblables – TG2012 15/12 p11 Nous devons être fidèles, dignes de confiance. Les belles qualités et aptitudes que peut avoir un intendant ne sont d’aucune utilité s’il prend ses responsabilités à la légère ou s’il manque à ses engagements envers son maître. Pour mener sa tâche à bien, il doit absolument se montrer fidèle. Que signifie être trouvé fidèle ? ‘Cela signifie exercer une foi totale dans les déclarations et les précieuses promesses de Jéhovah. Cela désigne aussi quelqu’un qui est véridique, constant, intègre devant Jéhovah. Souvenons-nous de ces paroles de Paul : “ Ce qu’on cherche chez les intendants, c’est qu’un homme soit trouvé fidèle. ” — 1 Cor. 4:2. Si nous sommes fidèles, nous serons à coup sûr récompensés. Si nous ne sommes pas fidèles, nous en pâtirons. On ne peut être à la fois fidèle et infidèle. Ayons toujours à cœur de nous acquitter fidèlement de nos responsabilités. - TG2012 15/12 p12 4:16. Puisque Jéhovah renouvelle ‘ de jour en jour l’homme que nous sommes intérieurement ’, tirons régulièrement profit des dispositions qu’il prend. Ne laissons pas passer une journée sans nous être intéressés à des questions spirituelles TG2008 15/7 4:17, 18. Quand nous nous rappelons que “ la tribulation est momentanée et légère ”, il nous est plus facile de rester fidèles à Jéhovah durant les épreuves. – TG2008 15/7 La Parole de Dieu stipule que les pécheurs non repentants doivent être “ ôtés ” de l’assemblée. (1 Corinthiens 5:9-13.) Cette mesure est nécessaire et vise au moins trois objectifs : 1) empêcher que le nom de Jéhovah soit terni ; 2) protéger l’assemblée de la corruption et 3) amener, si possible, le pécheur à se repentir. – TG2011 15/2 On a défini l’esclave comme quelqu’un qui est la propriété légale d’une ou de plusieurs autres personnes et qui lui (ou leur) doit une obéissance absolue. Nous devenons la propriété légale de Jéhovah lorsque nous lui vouons notre vie et que nous nous faisons baptiser. “ Vous ne vous appartenez pas, car vous avez été achetés à un prix ”, explique l’apôtre Paul (1 Corinthiens 6:19, 20). Ce prix, c’est bien entendu le sacrifice rédempteur de Jésus Christ, puisque c’est sur cette base que Dieu nous accepte comme ses serviteurs, que nous soyons oints ou que nous ayons l’espérance terrestre. Aussi, une fois baptisés, “ nous appartenons à Jéhovah ”. Étant donné que nous avons été achetés avec le sang précieux de Jésus Christ, nous devenons par la même occasion ses esclaves à lui aussi, et nous sommes tenus de garder ses commandements. Grâce au sacrifice rédempteur de Christ, Jéhovah a pris des dispositions pour libérer l’humanité de la condamnation à la mort éternelle. - TG2005 15/3 p15 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Comment pourrions-nous en venir à manquer de modestie en pensée ou en acte ? Voici quelques signaux d’alerte : nous prenons notre propre personne ou nos privilèges trop au sérieux, nous attirons excessivement l’attention sur nous-mêmes ou nous défendons fermement nos opinions en nous basant simplement sur notre position, nos relations ou notre raisonnement personnel (1 Cor. 4:6). Bien souvent, quand nous agissons ainsi, nous n’avons même pas conscience d’avoir franchi la limite entre modestie et présomption. – TG2017/1 p17 §8 N’allons pas au-delà de ce qui est écrit. ” Plus loin dans sa lettre, Paul souligna la nécessité pour chacun d’être modeste, tout comme lui-même avait manifesté cette qualité en ayant une appréciation raisonnable de lui-même. Les Corinthiens étaient tombés dans le piège consistant à se glorifier dans certains hommes, tels qu’Apollos, et même en Paul. L’apôtre les reprit en leur disant qu’ils agissaient en hommes charnels et non spirituels et il écrivit : “ Or, frères, ces choses, je les ai présentées sous une autre forme, de manière à ce qu’elles s’appliquent à moi et à Apollos pour votre bien, pour que, dans notre cas, vous appreniez cette règle : ‘ N’allez pas au-delà de ce qui est écrit [c’est-à-dire : n’allez pas au-delà des limites que les Écritures fixent aux humains dans l’attitude qu’ils doivent avoir les uns envers les autres et envers eux-mêmes] ’, afin que, individuellement, vous ne vous gonfliez pas d’orgueil en faveur de l’un contre l’autre. Car qui te rend différent d’un autre ? Oui, qu’as-tu que tu n’aies reçu ? Si donc tu l’as vraiment reçu, pourquoi te glorifies-tu comme si tu ne l’avais pas reçu ? ” En gardant cela présent à l’esprit, le chrétien évite de s’enorgueillir et de glorifier soit lui-même, soit quelqu’un d’autre en raison des origines familiales, de la race, de la couleur ou de la nationalité, de la beauté physique, des capacités, de la connaissance, de l’esprit brillant, etc. Se glorifier humblement en Jéhovah, et non en nous-mêmes, favorise l’unité au sein de l’assemblée — 1Co 4:6, 7. - it-2 p306 Les chrétiens du 1er siècle ont été déclarés justes et ont été oints d’esprit saint afin qu’ils puissent recevoir leur héritage céleste. Tant qu’ils étaient sur terre, leur onction ne leur conférait pas la royauté sur leurs compagnons chrétiens, également oints. Manifestement, certains chrétiens du 1er siècle ont perdu cette réalité de vue et se sont mis à chercher à dominer indûment leurs frères dans l’assemblée. Certains voulaient se mettre en avant. Ils oubliaient, semble-t-il, que sur la terre il n’existe pas de rois dans la théocratie chrétienne. Cette situation a amené Paul à demander : “ Déjà vous êtes rassasiés, n’est-ce pas ? Déjà vous êtes riches, n’est-ce pas ? Vous avez commencé à régner sans nous, n’est-ce pas ? Oui, je voudrais que vous ayez commencé à régner, pour que nous aussi nous puissions régner avec vous. ” (1 Cor. 4:8). Paul a donc rappelé aux chrétiens oints de son temps : “ Non que nous dominions sur votre foi, mais nous sommes des compagnons de travail pour votre joie. ” 2 Cor. 1:24. Au lieu de se comporter comme les rois de ce monde, les bergers chrétiens cultivent l’humilité, qualité qui est agréable à Jéhovah – TG2008 15/1 p22 Paul a mené une vie bien différente de celle du roi Salomon. Ni trône en ivoire ni festin avec des rois, mais plutôt la faim, la soif, le froid, la nudité (2 Cor. 11:24-27). Après avoir accepté Jésus comme Messie, Paul a perdu sa position honorable dans le judaïsme. Les chefs religieux se sont mis à le haïr. Il a été emprisonné, fouetté, battu et lapidé. Il n’a pas caché que lui et ses compagnons ont été insultés, persécutés et diffamés. D’où sa conclusion : “ Nous sommes devenus comme les ordures du monde, le rebut de toutes choses, jusqu’à maintenant. ”1 Cor. 4:11-13. Aux yeux de Paul, l’approbation du Dieu qu’il aimait comptait davantage qu’une position en vue ou la richesse. Avons-nous la même détermination que Paul ? TG2012 15/12 p4 §9 Timothée a longtemps coopéré avec l’apôtre Paul, plus âgé. Paul a écrit aux Corinthiens : « Je vous envoie Timothée, car il est mon enfant bien-aimé et fidèle dans le Seigneur ; et il vous rappellera mes méthodes pour ce qui est de Christ Jésus, comme je les enseigne partout dans chaque congrégation » (1 Cor. 4:17). Ces quelques mots témoignent de l’étroite coopération entre les deux hommes. L’apôtre avait pris le temps d’enseigner à Timothée ses « méthodes pour ce qui est de Christ ». Timothée avait été réceptif et avait gagné l’affection de Paul, qui, de son côté, était persuadé que le jeune frère répondrait aux besoins spirituels des chrétiens de Corinthe. Quel bel exemple pour les anciens d’aujourd’hui qui forment des frères à diriger l’assemblée – 2017/1 p30 §14 5:5 — Que veut dire “ livrer un [...] homme méchant à Satan pour la destruction de la chair, afin que l’esprit soit sauvé ” ? Lorsqu’un chrétien pratique un péché grave et ne s’en repent pas, il est excommunié. Dès lors, il fait de nouveau partie du monde de Satan. C’est en ce sens qu’il est livré à Satan. En l’excommuniant, l’assemblée a détruit, c’est-à-dire ôté du milieu d’elle, un élément corrupteur, préservant ainsi l’esprit, ou attitude dominante, de l’assemblée – TG2008 15/7 5:16 — En quel sens les chrétiens oints ne ‘ connaissent-ils personne selon la chair ’ ? Ils n’ont pas une vision charnelle des gens, c’est-à-dire qu’ils ne font pas preuve de favoritisme, en fonction notamment de la richesse, de la race, de l’origine ethnique ou nationale. Ce qui leur importe, ce sont les relations spirituelles qu’ils entretiennent avec leurs compagnons chrétiens - TG2008 15/7 6:18. ‘ Fuir la fornication ’(toute conduite sexuelle immorale) ce n’est pas seulement s’abstenir de commettre des actes sexuels immoraux, c’est aussi s’abstenir de la pornographie, de l’impureté morale, des rêveries impures, du flirt — bref, de tout ce qui peut mener à un acte sexuel immoral. Notons que Paul ne s’est pas contenté de dire : “ Évitez la fornication (l’acte sexuel immoral). ” Les chrétiens doivent faire plus que cela. Ils doivent fuir les actes immoraux, tout comme ils fuiraient un danger qui menacerait leur vie. Si nous faisons fi de ce conseil, les risques de succomber à l’immoralité et de perdre la faveur de Dieu seront encore plus grands. – TG2008 15/7 Quand, dans la congrégation de Corinthe, des problèmes graves ont surgi sous forme d’injustices et d’actes frauduleux, Paul a écrit : “ Pourquoi ne vous laissez-vous pas plutôt faire du tort ? Pourquoi ne vous laissez-vous pas plutôt spolier ? ” L’apôtre exhortait les chrétiens à renoncer de bon gré à une chose au lieu de poursuivre leurs frères en justice (1 Cor. 6:1-7). - TG2009 15/2 p19 Faire la paix avec un frère offensé mettra probablement notre humilité à l’épreuve. Les personnes humbles n’entrent pas dans des débats ni dans des conflits avec leurs compagnons pour faire valoir de prétendus droits. Cela créerait un climat malsain, semblable à celui qui existait parmi les chrétiens de la Corinthe antique. À propos de cette situation, l’apôtre Paul a fait ce constat qui incite à la réflexion : “ C’est une défaite complète pour vous que d’avoir des procès entre vous. Pourquoi ne vous laissez-vous pas plutôt faire du tort ? Pourquoi ne vous laissez-vous pas plutôt spolier ? ” — 1 Cor. 6:7. Jésus n’a pas dit que nous devions aller voir notre frère pour le convaincre que nous avons raison et qu’il a tort. Bien plutôt, notre objectif doit être de rétablir de bonnes relations. Pour faire la paix, nous devons exprimer nos sentiments avec sincérité. Nous devons aussi reconnaître que les sentiments de notre compagnon ont été blessés. Et si nous avons commis une erreur, nous voudrons sûrement nous excuser humblement. – TG200915/2 p10 §6,7 Imaginons qu’un frère pense que vous avez péché contre lui. Jésus dit que vous devez aller ‘ faire la paix avec votre frère ’, que vous ayez ou non le sentiment de lui avoir causé du tort. Imparfaites et sujettes aux maladresses, deux personnes en désaccord ont probablement chacune une part de responsabilité. D’où l’importance que les deux fassent des concessions. La question n’est pas tant de savoir qui a tort ou raison, mais qui prendra l’initiative de faire la paix. Les chrétiens de Corinthe traduisaient d’autres serviteurs de Dieu devant les tribunaux profanes pour des désaccords d’ordre financier par exemple. Sachant cela, l’apôtre Paul les a repris en ces termes : “ Pourquoi ne vous laissez-vous pas plutôt faire du tort ? Pourquoi ne vous laissez-vous pas plutôt spolier ? ” (1 Corinthiens 6:7). Bien que Paul ait dit cela pour déconseiller à ses compagnons chrétiens d’exposer leurs différends personnels devant les tribunaux profanes, le principe reste clair : le plus important n’est pas de prouver qui a tort ou qui a raison, mais de préserver la paix entre croyants. Si nous gardons ce principe à l’esprit, il nous sera plus facile de nous excuser pour une erreur dont on nous accuse. - 2002/11/1 p6 Serait-il convenable, dans le cas d’un accident dans lequel sont impliqués des chrétiens voués, que l’un d’eux poursuivît l’autre sur le plan légal en vue d’obtenir gain de cause pour la compagnie d’assurances qui le défend ? Il n’y aurait là rien de mal si c’était le seul moyen par lequel celui des deux qui doit supporter le dommage pouvait être dédommagé par sa compagnie d’assurances. C’est à lui de décider s’il veut porter l’affaire devant la justice ou non. Ce n’est point là une illustration de la situation présentée par l’apôtre Paul concernant les poursuites judiciaires telle que nous le rapporte 1 Corinthiens 6:1-8. Il parlait alors de personnes qui se prétendaient chrétiennes et qui étaient en conflit les unes avec les autres. L’une d’elles avait le sentiment d’être frustrée par l’autre. Mais l’apôtre montra avec sagesse que les chrétiens devraient être capables de régler leurs différends en privé, si ce n’est directement par ceux qui sont en cause, alors que ce soit avec l’aide d’autres frères mûrs de l’assemblée. Cependant, quand il n’y a pas une telle animosité entre des membres de l’assemblée et que la poursuite légale devienne une question de procédure requise afin d’obtenir une compensation de la compagnie d’assurance, la situation est alors toute différente. La décision à prendre devient une question absolument personnelle – TG1964 p96 On lit en 1 Corinthiens 6:18 : « Fuyez toute conduite sexuelle immorale » Cela implique de rester aussi éloignés que possible de tout ce qui pourrait nous faire tomber dans l’immoralité sexuelle. Pour rester moralement purs, il est par exemple essentiel de ne pas se lier d’amitié avec ceux qui ne tiennent pas compte des principes de Dieu sur la sexualité. Nourrir son esprit de pensées immorales peut également mener à l’inconduite sexuelle. La sagesse dicte donc de rejeter les musiques, les films, les livres et toutes les autres choses qui mettent en scène un acte sexuel ou qui encouragent une conduite sexuelle qui déplaît à Dieu - RV2013/9 p5
  15. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 18 MARS 2019 - 1 Corinthiens 1-3.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 18 MARS 2019 - 1 Corinthiens 1-3.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : 1 Corinthiens 1-3 1 Corinthiens 1:20 : Comment Dieu a-t-il « rendu stupide la sagesse du monde » ? (it-2 854 § 5). « Où est le sage ? Où est le scribe ? Où est le débatteur de ce monde ? Dieu n’a-t-il pas rendu stupide la sagesse du monde ? » Sagesse C’est ainsi que dans sa sagesse le monde a rejeté comme étant une sottise le don de Dieu fait par le moyen de Christ ; ses chefs avaient beau être des administrateurs capables et judicieux, ils allèrent jusqu’à ‘attacher sur un poteau le Seigneur glorieux’ (1Co 1:18 ; 2:7, 8). Cependant, Dieu prouvait désormais que la sagesse des sages du monde était sottise, et il leur faisait honte en utilisant ce qu’ils considéraient comme « une chose sotte de Dieu » pour réaliser son dessein invincible, ainsi que des personnes qu’ils jugeaient ‘sottes, faibles et sans distinction’ (1Co 1:19-28). Paul rappela aux chrétiens de Corinthe que « la sagesse de ce système de choses » et « celle des chefs de ce système de choses » seraient réduites à rien ; cette sagesse n’avait donc pas sa place dans le message spirituel de l’apôtre (1Co 2:6, 13). Il mit en garde les chrétiens de Colosses contre le piège de « la philosophie [philosophias, littéralement : « amour de la sagesse »] et d’une vaine tromperie selon la tradition des hommes » (Col 2:8 ; voir aussi v. 2:20-23) (Colossiens 2:20-23) « Si vous êtes morts avec Christ quant aux choses élémentaires du monde, pourquoi vivez-vous comme si vous faisiez toujours partie du monde, en continuant de vous soumettre à des décrets tels que : « Ne prends pas, ne goûte pas, ne touche pas » ? Ces décrets concernent des choses qui périssent toutes lorsqu’on les consomme. Ce sont des commandements et des enseignements d’hommes. Bien que ces choses-là aient une apparence de sagesse par un culte que l’on s’impose à soi-même et par une fausse humilité, un dur traitement du corps, elles n’ont aucune valeur pour combattre les désirs de la chair. » - it-2 854 § 5 La fausse humilité. Celui qui manifeste “ une fausse humilité ” — une humilité feinte pour impressionner les autres, peut-être en renonçant à des choses matérielles ou en traitant son corps sévèrement — montre en réalité qu’il est “ gonflé d’orgueil [...] par sa mentalité charnelle ”.Les Écritures disent bien aux chrétiens qu’ils ne doivent pas laisser leur humilité devenir seulement un vernis. Celui qui se complaît dans une fausse humilité peut devenir “ gonflé d’orgueil sans raison véritable par sa mentalité charnelle ”. Celui qui est vraiment humble ne pensera pas que le Royaume de Dieu ou son admission dans celui-ci dépend de ce qu’il mange et boit, ou de ce qu’il s’abstient de manger ou de boire. La Bible montre qu’on peut manger, boire ou encore s’abstenir de certaines choses parce qu’on pense devoir agir ainsi pour raison de santé ou par motif de conscience. Celui qui croit que Dieu le regardera avec faveur parce qu’il s’abstient ou non de manger, de boire, de toucher à certaines choses, parce qu’il observe ou non certains jours sacrés, ne se rend pas compte que ses actions ‘ ont bien une apparence de sagesse, par un culte qu’il s’impose à lui-même et une fausse humilité, un traitement sévère du corps, mais elles n’ont aucune valeur pour combattre la satisfaction de la chair ’. — Col 2:18, 23 - it1 Humilité Le bon usage de son corps. Le chrétien doit apprécier le corps que Dieu lui a donné et s’aimer suffisamment pour en prendre convenablement soin, afin de pouvoir le présenter en service sacré agréable à Dieu. Cela exige de faire usage de raison et d’entretenir son corps par la nourriture et d’autres choses nécessaires, sans oublier la propreté physique ; toutefois, d’autres soins sont plus importants encore. Ils comprennent la spiritualité, la recherche du Royaume de Dieu et de sa justice, ainsi que la pratique de la droiture morale (Col 2:20-23) – it1 Corps À Corinthe, certains se laissaient abuser par des raisonnements charnels (1 Corinthiens 3:1-3). Ils s’attachaient plus à des philosophies humaines qu’à la Parole de Dieu. Les penseurs grecs de l’époque étaient assurément des hommes très intelligents. Pourtant, aux yeux de Dieu, ils faisaient figure de sots. “ Il est écrit : ‘ Je ferai périr la sagesse des sages, et l’intelligence des intellectuels, je la pousserai de côté ’, a rappelé Paul. Où est le sage ? Où est le scribe ? Où est le discuteur de ce système de choses ? Dieu n’a-t-il pas rendu sotte la sagesse du monde ? ” (1 Corinthiens 1:19, 20). Ces intellectuels étaient influencés, non par l’esprit de Dieu, mais par “ l’esprit du monde ”. (1 Corinthiens 2:12.) Leur philosophie et leurs idées étaient en contradiction avec la pensée de Jéhovah. La vérité chrétienne est renfermée dans la Parole écrite de Dieu, la Bible Pour bien comprendre cette dernière, il n’est pas nécessaire d’étudier la philosophie profane. Les sages, les hommes cultivés et les raisonneurs du temps de Paul avaient beau briller sur le plan intellectuel, ils n’apportaient aucune réponse concrète aux problèmes de l’humanité.– TG2003 15/7 Qui veut devenir vraiment sage doit devenir sot aux yeux du monde, “ car la sagesse de ce monde est sottise auprès de Dieu ”. Ce ne sont pas les sages de ce monde que Jéhovah choisit pour le représenter, mais ceux qui sont méprisés, considérés comme ignares, sots. Cela rend la sottise du monde encore plus manifeste. En outre, cela enlève à ceux qui ont des capacités toute raison de se glorifier. Au contraire, comme il se doit, toute la gloire va à Jéhovah, la Source de la sagesse – it2 Sot 1 Corinthiens 2:3-5 : Comment l’exemple de Paul peut-il nous aider ? (w08 15/7 27 § 6). « Je suis venu chez vous faible, craintif et tout tremblant ; et mon langage et ce que j’ai prêché n’étaient pas des paroles de sagesse persuasives, mais une démonstration d’esprit et de puissance, pour que vous ayez foi, non pas dans la sagesse humaine, mais dans la puissance de Dieu. » Alors qu’il donnait le témoignage à Corinthe, un haut lieu de la philosophie et de l’érudition grecques, Paul s’est peut-être demandé s’il parviendrait à persuader ses auditeurs. Cependant, il n’a pas permis à une quelconque faiblesse ou crainte de l’empêcher d’accomplir le ministère que Dieu lui avait confié. Pareillement, nous ne devons pas permettre à des circonstances inhabituelles de nous empêcher d’annoncer la bonne nouvelle du Royaume de Dieu. Comme Paul, nous pouvons nous tourner vers Jéhovah avec confiance pour qu’il nous aide. w08 15/7 27 § 6 Quand on s’adresse à quelqu’un dans des circonstances inhabituelles, on peut avoir le souci de présenter la vérité de Dieu d’une manière convenable et efficace. Ce fut le cas même de l’apôtre Paul quand il se rendit à Corinthe, centre de la philosophie et de l’enseignement grecs. Aux chrétiens de cette ville, il écrivit : “Je suis venu chez vous dans la faiblesse, dans la crainte et avec grand tremblement.” (I Cor. 2:3). Pourquoi Paul éprouvait-il de tels sentiments ? Étant Juif et se rendant dans le centre de la culture grecque, il s’inquiétait de toute évidence de savoir si sa présentation de la vérité dans des circonstances exceptionnelles accomplirait le dessein de Dieu et toucherait le cœur de ses auditeurs. Grâce à l’esprit de Dieu, Paul réussit parfaitement à aider des Corinthiens sincères à devenir disciples de Jésus Christ. Bien qu’étant lui-même très instruit, Paul ne les attira pas par un langage déraisonnable ni par l’emploi de la sagesse humaine, mais avec la vérité enseignée par l’esprit de Dieu Comme Paul, en tant que vrais chrétiens, nous pouvons également aider avec succès d’autres personnes à parvenir à la connaissance de la volonté et des desseins de Dieu. Le manque de connaissance à propos de certaines questions profanes ne nous désavantage pas. Quels que soient leur instruction, leur passé et leur position sociale, les gens ont en réalité besoin de la vérité contenue dans la Bible. Or, l’esprit de Dieu nous aidera à communiquer cette vérité avec exactitude en agissant envers nous comme un enseignant. – TG1974 p607 Quand Paul arriva à Corinthe pour annoncer la bonne nouvelle, il ne se laissa pas impressionner par la sagesse des Grecs païens. Il n’essaya pas de gagner des adeptes en rivalisant avec les intellectuels grecs, ou de montrer qu’il était plus intelligent que les philosophes païens. Il ne se fit pas un devoir de flatter les oreilles des hommes qui cherchaient la sagesse du monde, les théories et les philosophies humaines. Paul était venu pour poser Jésus-Christ comme le fondement d’une congrégation de chrétiens Tout comme l’apôtre Paul, un vrai chrétien de nos jours tremblera peut-être et se sentira faible en arrivant dans une citadelle de la sagesse et des philosophies de ce monde. Pourtant, il pourra faire une démonstration de l’esprit et de la puissance de Dieu et affermir ainsi la foi de ceux qui l’écouteront – TG1967 p74 L’exemple de l’apôtre Paul montre bien quelle doit être l’attitude du chrétien quand il fait des disciples. Dans sa première lettre aux Corinthiens, Paul explique qu’il n’a pas cherché à impressionner ses auditeurs par des paroles présomptueuses, mais qu’il voulait que ceux-ci fondent leur foi sur Jésus Christ et non sur la sagesse des hommes, et qu’ils l’affermissent grâce à l’esprit et à la puissance qui vient de Dieu. Paul accordait donc tout l’honneur de la croissance de la congrégation chrétienne à Jéhovah Dieu et il se considérait humblement comme un simple ministre ou serviteur ou esclave qui s’efforçait de faire des disciples non pas pour lui-même, mais pour Jésus Christ. Pareillement, les chrétiens qui participent aujourd’hui à cette même œuvre veilleront à ce que les futurs disciples considèrent Jéhovah Dieu et Jésus Christ, et non eux-mêmes, comme leurs véritables enseignants. Ils doivent également surveiller leur enseignement. Chacun peut ainsi se demander s’il enseigne vraiment toutes les choses que le Christ a commandées – TG1977 p465 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Jéhovah favorise les humbles, et pas les orgueilleux. Il cache la vérité « aux sages et aux intellectuels », à ceux qui sont sages et instruits aux yeux des hommes et qui, par orgueil, pensent ne pas avoir besoin de son aide (1 Corinthiens 1:19-21). Par contre, il révèle la vérité aux « tout-petits », à ceux qui se tournent vers lui d’un cœur sincère et avec l’humilité d’un enfant (1 Corinthiens 1:26-28). – TG2013 1/1 p9 La claire vision de ce que nous sommes — de vrais chrétiens — et de nos relations avec le Maître Souverain de l’univers nous incite à nous ‘ glorifier en Jéhovah ’. (1 Corinthiens 1:31.) Nous glorifier, mais en quel sens ? En ce sens que nous sommes fiers d’avoir Jéhovah pour Dieu. Nous faisons nôtre cette exhortation : “ Que celui qui se vante se vante de ceci : d’être perspicace et de me connaître, de savoir que je suis Jéhovah, Celui qui exerce la bonté de cœur, le droit et la justice sur la terre. ” (Jérémie 9:24). Nous nous ‘ glorifions ’ du privilège de connaître Dieu et d’être utilisés par lui pour venir en aide à nos semblables. – TG2005 15/2 p13 Il ne vous échappe probablement pas que les nations n’ont pas reconnu le Royaume de Christ. Elles rejettent les déclarations proclamant son établissement, et continuent à affirmer leur propre souveraineté. Cette proclamation n’est pour elles que sottise. Ainsi, “aucun des chefs de ce système de choses n’est parvenu à connaître” la sagesse que Dieu a montrée en choisissant Christ comme Roi. Aveuglées par un système placé sous l’emprise de Satan et des esprits rebelles qu’il a établis princes, elles se trouvent en opposition au Royaume messianique. — I Corinthiens 2:8 – TG1986 15/10 p6-7 “ L’œil ne les a pas vues ” Dans sa lettre aux Corinthiens, l’apôtre Paul cita le livre d’Isaïe ; il écrivit : “ Comme c’est écrit : ‘ L’œil ne les a pas vues, et l’oreille ne les a pas entendues, et elles n’ont pas été conçues dans le cœur de l’homme, les choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment. ’ ” (1 Corinthiens 2:9). Ni la déclaration de Paul ni les paroles d’Isaïe ne parlent des choses que Jéhovah a préparées pour ses serviteurs dans un héritage céleste ou dans un futur paradis sur la terre. Paul applique les propos d’Isaïe aux bienfaits dont les chrétiens bénéficiaient déjà au 1er siècle, par exemple la compréhension des choses profondes de Dieu et la lumière spirituelle provenant de Jéhovah. 1 Corinthiens 2:9 ne parle pas de choses matérielles, car le verset suivant, 1 Corinthiens 2:10, concerne les ‘choses profondes de Dieu’. Il s’agit de la ‘sagesse de Dieu’ liée au ‘saint secret’, de sa ‘sagesse cachée’, qui vient d’au-delà du système solaire, qui vient de Dieu lui-même.” (1 Corinthiens 2:7). On ne peut comprendre les choses spirituelles profondes qu’au moment où Jéhovah a prévu de les révéler et, même à ce moment-là, seulement si on est spirituel et si on entretient des relations étroites avec Dieu. Les paroles de Paul s’appliquent à ceux qui ont peu ou pas de spiritualité. Leur œil ne peut voir, ou discerner, les vérités spirituelles, et leur oreille ne peut les entendre, ou les comprendre. La connaissance des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment ne pénètre même pas dans le cœur de tels individus. Mais à ceux qui sont voués à Dieu, comme Paul, Dieu a révélé ces choses grâce à son esprit. — 1 Corinthiens 2:1-16. - ip-2 p366 L’esprit de Dieu transforme le chrétien en quelqu’un qui est nettement différent de ceux qui font partie du monde. L’esprit de Dieu donne aussi au chrétien une compréhension plus étendue des choses. Paul a écrit: “Nul ne connaît les choses de Dieu, si ce n’est l’esprit de Dieu.” (1 Corinthiens 2:11). D’une manière générale, “les choses de Dieu” comprennent des vérités comme le sacrifice rédempteur, le Royaume de Dieu et de Jésus Christ, l’espérance de la vie éternelle, et l’anéantissement prochain du monde méchant. Grâce à l’aide de l’esprit de Dieu, les chrétiens connaissent ces enseignements et les tiennent pour la vérité, ce qui leur procure une conception de la vie différente de celle des personnes du monde. Ils sont heureux de trouver leur joie à servir Jéhovah dès maintenant, avec la perspective de continuer à le faire pour l’éternité. – TG1994 1/ 4 p19 En I Corinthiens 2:11, l’apôtre Paul déclare: “Car qui parmi les hommes connaît les choses de l’homme, si ce n’est l’esprit de l’homme qui est en lui?” Il en est de même pour Jésus Christ. Bien qu’il ait été utilisé par Jéhovah Dieu dans la création de l’humanité, ce fut autre chose pour lui de devenir un homme, de connaître tout ce qui constitue la vie terrestre et d’éprouver en lui-même les sentiments des humains. Aussi est-il écrit: “Bien que Fils, il a appris l’obéissance par les souffrances qu’il a endurées” en tant qu’homme sur la terre (Hébreux 5:8) – TG1987 1/4 p16-17 Jéhovah attire en douceur le cœur d’une personne qui est « dans la disposition qu’il faut » (Actes 13:48). Il le fait de deux manières : au moyen de la prédication de la bonne nouvelle, qui touche chacun personnellement, et au moyen de son esprit saint. Quand il voit un cœur réceptif aux vérités bibliques, il utilise son esprit pour aider la personne à les comprendre et à les appliquer dans sa vie (1 Corinthiens 2:11, 12). Sans cette aide, nous ne pourrions pas devenir de véritables disciples de Jésus ni de fidèles adorateurs de Jéhovah. – TG2013 1/5 p14 Si vous êtes chrétien, c’est que Dieu vous a vous aussi attiré à lui. Notre Père céleste a remarqué quelque chose de précieux dans notre cœur, il a vu du bon en vous. Quand vous avez prêté attention au message de la bonne nouvelle, Jéhovah vous a aidé à le comprendre en vous fournissant son esprit (1 Cor. 2:11, 12). Lorsque vous vous êtes efforcé d’appliquer ce que vous appreniez, il a béni vos efforts. Enfin, le jour où vous lui avez voué votre vie, il s’en est réjoui. Ainsi, depuis votre tout premier pas sur la route de la vie, Jéhovah a été à vos côtés. – TG2012 15/4 p27 §6 2:15, 16 — En quel sens sommes-nous “ une agréable odeur de Christ ” ? En ce sens que nous adhérons à la Bible et diffusons son message. Bien que ce “ parfum ” puisse écœurer les injustes, il est agréable à Jéhovah et aux personnes sincères. – TG2008 15/7 Une raison de nous montrer humbles : Jéhovah lui-même fait preuve d’humilité. “ Nous sommes les compagnons de travail de Dieu ”, dit la Bible (1 Cor. 3:9). Rendez-vous compte : Jéhovah, dont la grandeur est incomparable, nous témoigne de l’honneur en nous offrant la possibilité de prêcher la bonne nouvelle à l’aide de sa Parole, la Bible. Bien que ce soit lui qui fasse croître les graines que nous semons et arrosons, il nous honore en nous permettant de collaborer avec lui (1 Cor. 3:6, 7). N’est-ce pas là une incroyable marque d’humilité ? Indéniablement, l’humilité de Jéhovah est pour chacun de nous un puissant encouragement à se comporter comme un petit. – TG201215/11 p15 §6 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Les serviteurs de Jéhovah doivent être “ bien unis dans la même pensée et dans la même opinion ”. (1Co 1:10) Cela signifie qu’ils doivent être unis en ce qui concerne les intérêts du culte pur — les choses importantes —, non dans les goûts personnels ou dans des questions secondaires qui se régleront lorsqu’ils atteindront la maturité. Ils doivent “ avoir même pensée dans le Seigneur ” au lieu de se quereller - it-2 p525 Apollos avait une forte influence sur les Corinthiens ; malheureusement, sa prédication a produit des effets négatifs inattendus. Paul et Apollos s’étaient tous deux beaucoup dépensés à Corinthe pour planter et arroser la semence, la vérité au sujet du Royaume. Paul y avait prêché aux environs de l’an 50 de notre ère, à peu près deux ans avant l’arrivée d’Apollos. Au moment où il écrivit sa première lettre aux Corinthiens, vers l’an 55, des clans s’étaient formés. Certains considéraient Apollos comme leur chef, d’autres penchaient pour Paul ou Pierre, et d’autres encore restaient exclusivement attachés à Christ (1 Corinthiens 1:10-12). Certains disaient : ‘ J’appartiens à Apollos. ’ Pourquoi donc ? Le message que prêchaient Paul et Apollos était le même, mais leurs personnalités étaient différentes. De son propre aveu, Paul était “ inexpérimenté quant à la parole ” ; Apollos, lui, était “ éloquent ”. Grâce à ses aptitudes, il trouvait des oreilles attentives dans la communauté juive de Corinthe. Il n’y avait pas de désunion ni de rivalité entre eux ; au contraire, ils collaboraient visiblement dans une confiance mutuelle pour résoudre les problèmes de Corinthe. Paul avait peut-être des doutes sur quelques Corinthiens, mais certainement pas sur Apollos. Les deux hommes travaillaient en complète harmonie ; leurs enseignements étaient complémentaires. Paul lui-même a dit : “ J’ai planté, Apollos a arrosé ” ; tous les deux étaient “ compagnons de travail de Dieu ”. — 1 Corinthiens 3:6, 9, 21-23. – TG1996 1/10 p21-22 Quelque temps après avoir défini son itinéraire initial, Paul avait reçu des nouvelles troublantes : on tolérait à Corinthe des dissensions et des comportements immoraux (1 Cor. 1:11). Pour redresser la situation, il a rédigé sa première lettre aux Corinthiens, dans laquelle il a inclus des conseils fermes. Puis, au lieu d’embarquer directement pour Corinthe, Paul a décidé de laisser aux chrétiens de cette ville le temps d’appliquer ses recommandations. Ainsi, lorsqu’il se rendrait finalement sur place, sa visite serait plus encourageante. Ne ressemblons jamais aux détracteurs de Paul. Manifestons plutôt un profond respect pour ceux qui ont été placés à notre tête. Nous avons tout lieu d’imiter l’apôtre, qui était lui-même un imitateur de Christ – TG2012 15/10 p27 §7 Pour les Juifs, Christ était un sujet d’achoppement. Pour les non-Juifs, Christ était une sottise. La Bible dit: “Nous prêchons Christ attaché sur un poteau, sujet d’achoppement pour les Juifs et sottise pour les nations.” (1 Corinthiens 1:23). Les Juifs rejetèrent Christ comme Sauveur, parce que sa manière de vivre et de mourir ne convenait pas à leurs ambitions nationalistes. Aux yeux des nations non juives qui cherchaient Dieu par le moyen de la spéculation humaine, la manière de vivre et de mourir du Christ était complètement incompréhensible. Sa mort semblait n’être qu’un gâchis inutile. La volonté et le dessein de Jéhovah Dieu révélés et accomplis par Christ étaient sottise parce que diamétralement opposés aux hypothèses et aux valeurs humaines. Même aujourd’hui, des millions de gens trébuchent à cause de Christ Jésus – vi p22-23 Paul nous aide à comprendre la différence entre un « homme spirituel » et un « homme physique » (1 Corinthiens 2:14-16). Quelqu’un de « physique » n’accepte pas « les choses de l’esprit de Dieu, car elles sont une sottise pour lui ; et il ne peut pas parvenir à les connaître ». À l’inverse, quelqu’un de « spirituel » « examine [...] toutes choses » et il a « la pensée de Christ », ce qui signifie qu’il s’efforce de penser comme Jésus. Paul nous encourage bien sûr à être des personnes spirituelles – TG2018/2 p18 §3 La Bible identifie un élément indispensable à la spiritualité. En 1 Corinthiens 2:12-15, elle dit de l’homme spirituel qu’il reçoit l’esprit qui vient de Dieu. Cet esprit est la force agissante de Dieu, et son action est une condition préalable pour parvenir à connaître les choses spirituelles. Elle rend capable d’examiner et de comprendre toute question d’un point de vue spirituel. Au contraire, celui qui n’a pas l’esprit de Dieu est qualifié d’homme physique, considérant les choses spirituelles comme une sottise. Son jugement se limite donc à ce que révèle la sagesse humaine. Notre capacité spirituelle provenant de Dieu, qui nous a créés à son image, la spiritualité authentique ne s’atteint pas par la conscience de soi, la sagesse humaine ou la réalisation personnelle. Elle requiert l’influence de l’esprit saint de Dieu. En fait, selon la Bible, ceux qui ne veulent pas de cette influence, qui choisissent de suivre leurs propres désirs et des “ choses impies ”, n’ont pas de spiritualité. Des inclinations et des appétits charnels les animent. 1 Corinthiens 2:14 – RV2009/12 p12-13 2:16. Avoir “ la pensée de Christ ”, c’est saisir sa manière de penser, penser comme lui, bien connaître sa personnalité et suivre son exemple. Il est très important d’étudier soigneusement la vie et le ministère de Jésus. – TG2008 15/7 p27 Puisque le lait favorise la croissance physique vers la maturité, la doctrine chrétienne élémentaire est comparée à du “ lait ” pour les tout-petits sur le plan spirituel, qui les fortifie et les fait croître jusqu’à ce qu’ils soient capables d’assimiler “ la nourriture solide ”, les vérités spirituelles plus profondes (1Co 3:2) Tout comme Paul, les ministres chrétiens d’aujourd’hui s’intéressent aux petits sur le plan spirituel en leur donnant du “ lait ”, autrement dit en les aidant à s’appuyer solidement sur la doctrine chrétienne de base. Ils encouragent ces ‘ petits ’, ces nouveaux, ‘ à faire naître en eux un ardent désir pour le lait non frelaté de la parole ’. (1 Pierre 2:2.) L’apôtre Paul avait compris que les nouveaux demandaient une attention particulière, témoin ces paroles : “ Tout homme qui a part au lait ne connaît pas la parole de justice, car c’est un tout petit. ” (Hébreux 5:13). Les ministres de Dieu doivent se montrer patients, pleins d’égards, compréhensifs et doux envers ces nouveaux, ces inexpérimentés, et leur donner le lait pur de la Parole au moyen d’une étude de la Bible et dans la congrégation. RV1996 1/1 p29 Au 1er siècle, dans la congrégation de Corinthe, s’étaient infiltrés des hommes ambitieux qui se mettaient en évidence, se glorifiaient dans les hommes et suscitaient des querelles. La congrégation était donc partagée en clans qui, jalousement, se tournaient vers des hommes, les élevaient et les suivaient. Paul expliqua qu’une telle jalousie était charnelle, et non spirituelle (1Co 3:3) Il expliqua que l’amour qui vient de Dieu n’est pas jaloux, au sens péjoratif du terme, mais qu’il est confiant, plein d’espoir et qu’il agit toujours dans l’intérêt d’autrui. La jalousie comme celle que Paul censura dans la congrégation de Corinthe n’est pas juste. Elle ne favorise pas l’attachement exclusif à Jéhovah. Au contraire, c’est une forme d’idolâtrie, d’origine démoniaque, et elle engendre envie et querelle. La Bible met ses lecteurs en garde à maintes reprises contre cette jalousie, en montrant qu’elle touche le cœur lui-même. La mauvaise jalousie peut conduire celui qui l’éprouve à pécher contre Dieu - it-1 p1235 “Moi j’ai planté, Apollos a arrosé, mais Dieu le faisait croître.” (1 Cor. 3:6). Par ces paroles, l’apôtre Paul définissait trois étapes fondamentales pour faire des disciples de Christ. Les deux premières étapes, planter et arroser, sont un privilège et une responsabilité qui revient aux serviteurs de Dieu voués et baptisés. Cela suppose prêcher en public et de maison en maison, de façon informelle et d’autres manières encore. Cela implique également enseigner progressivement aux personnes à observer toutes les choses que Jésus a commandées. On ne peut s’acquitter de cette dernière étape qu’en rendant visite aux gens qui manifestent de l’intérêt, afin d’avoir des discussions bibliques et d’étudier la Bible avec eux. - km 8/91 p3-4 Il existe un feu que nous devons tous affronter : les épreuves de notre foi. Les chrétiens de Corinthe devaient savoir, comme nous aujourd’hui, que toute personne à qui nous enseignons la vérité sera éprouvée. Un enseignement médiocre risque donc d’avoir de tristes conséquences. “ Si l’œuvre de quelqu’un, qu’il a bâtie dessus, demeure, écrit Paul, il recevra une récompense ; si l’œuvre de quelqu’un est brûlée, il subira une perte, mais lui, il sera sauvé ; cependant, s’il en est ainsi, ce sera comme à travers le feu. ” 1 Corinthiens 3:14, 15. Voilà qui fait réfléchir ! Il peut être déchirant, après avoir travaillé dur pour aider quelqu’un à devenir un disciple, de le voir succomber à la tentation ou à la persécution et abandonner finalement la voie de la vérité. Paul en était conscient, et c’est pour cette raison qu’il parlait d’une perte subie en pareil cas. La peine pourrait être si intense que notre salut se ferait “ comme à travers le feu ” ; ce serait comme un homme qui perd tout dans un incendie et qui n’est sauvé lui-même que de justesse. Comment limiter ce risque de perte ? En bâtissant avec des matériaux résistants. Si nous enseignons nos étudiants de manière à toucher leur cœur, en les amenant à accorder du prix à des qualités chrétiennes aussi précieuses que la sagesse, le discernement, la crainte de Jéhovah et la vraie foi, alors c’est que nous sommes en train de bâtir avec des matériaux durables et qui résistent au feu. Ceux qui acquerront ces qualités continueront à faire la volonté de Dieu ; leur espérance de demeurer vivants pour toujours sera certaine – TG1998 1/11 p11-12
  16. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 11 MAES 2019 - ROMAINS 15-16.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 11 MAES 2019 - ROMAINS 15-16.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Romains 15-16 Romains 15:27 : En quel sens les chrétiens gentils avaient-ils une « dette » envers les chrétiens de Jérusalem ? (w89 1/12 24 § 3). « Ils l’ont fait avec plaisir, c’est vrai, mais en réalité ils avaient une dette envers eux ; en effet, puisque les nations ont reçu une part de leurs biens spirituels, elles se doivent aussi de les servir avec leurs biens matériels. » « Pour éprouver la sincérité de votre amour » Les Gentils qui étaient devenus leurs frères devaient certainement se sentir poussés à les aider dans leurs épreuves. N’avaient-ils pas une « dette » particulière vis-à-vis des chrétiens de Jérusalem ? N’était-ce pas à partir de Jérusalem que la bonne nouvelle s’était étendue aux Gentils ? Paul tient le raisonnement suivant : « Car les chrétiens juifs de Jérusalem ont partagé leurs biens spirituels avec ceux qui ne sont pas juifs; les non-Juifs doivent donc aussi les servir en les aidant de leurs biens matériels » (Romains 15:27, Français courant). - w89 1/12 24 § 3 Les croyants d’origine gentile étaient en quelque sorte “ débiteurs ” des chrétiens d’origine juive de Jérusalem, parce qu’ils avaient reçu d’eux un profit spirituel. Il était donc normal qu’ils apportent une aide matérielle à leurs frères juifs pauvres – it1 p629 Les offrandes volontaires destinées aux saints de Judée prouvaient la fraternité qui unissait les adorateurs de Jéhovah d’origines juive et gentile. En leur envoyant des dons, les chrétiens de souche gentile montraient également à leurs coreligionnaires judéens leur reconnaissance pour les richesses spirituelles qu’ils recevaient d’eux. Il se faisait donc un partage tant matériel que spirituel. – TG2002 15/11 p9 §18 Nous pouvons tirer d’importantes leçons des offrandes volontaires en réfléchissant à l’attitude de ceux qui, au 1er siècle, ont participé au programme de secours en faveur des saints. Cette collecte reflétait bien plus que leur inquiétude à l’égard d’autres adorateurs de Jéhovah touchés par la pauvreté. Elle supposait l’existence d’un lien fraternel entre les chrétiens d’origine juive et ceux d’origine gentile. Le fait d’offrir ou d’accepter des offrandes était révélateur de l’unité et de l’amitié qui s’étaient établies entre ces Gentils et ces Juifs. Ils partageaient sur le plan tant matériel que spirituel. – TG2001 15/3 p29 Quand, une famine sévissant en Palestine, l’apôtre Paul a apporté aux chrétiens de Judée un don envoyé par leurs compagnons d’Europe, (les gentils) c’était un service public. De nos jours, les chrétiens sont heureux d’accomplir un service similaire en se portant rapidement au secours de leurs frères qui sont dans l’affliction, victimes de catastrophes naturelles ou d’autres malheurs. – TG2000 15/11 p10 §9 Romains 16:25 : Qu’est-ce que le « saint secret qui a été gardé dans le silence durant des temps de longue durée » ? (it-2 647 § 2). « À Dieu, qui peut vous affermir selon la bonne nouvelle que j’annonce et la prédication de Jésus Christ, selon la révélation du saint secret qui a été gardé dans le silence durant des temps de longue durée » Prescience, prédétermination, prédestination Le Messie, ou Christ, devait être la Semence promise par le moyen de laquelle toutes les personnes justes de toutes les familles de la terre seraient bénies (Ga 3:8, 14). Il fut pour la première fois question de cette « semence » après que la rébellion en Éden eut déjà commencé, mais avant la naissance d’Abel (Gn 3:15). Cela se passait quelque 4000 ans avant que ne soit révélé le « saint secret » par l’identification claire de cette « semence » messianique. Ce secret fut donc effectivement « gardé dans le silence durant des temps de longue durée » (Rm 16:25-27 ; Ép 1:8-10 ; 3:4-11). - it-2 647 § 2 Le “ saint secret ”. Le dessein divin qui devait être révélé en la personne de Jésus Christ demeura un “ saint secret [ou : mystère] [...] gardé dans le silence durant des temps de longue durée ”. Au début, seul Dieu connaissait ce “ saint secret ”. Saint, un mot qui signifie sacré, pur, ou encore exceptionnel. Ce secret est appelé saint secret parce qu’il vient de Dieu, qui est saint. Depuis plus de 4 000 ans, depuis la rébellion en Éden, les hommes de foi attendaient la réalisation de la promesse divine selon laquelle une “ semence ” meurtrirait la tête de l’Adversaire (le “ serpent ”), apportant ainsi le soulagement à l’humanité. Depuis près de 2 000 ans, ils fondaient leur espoir sur l’alliance que Jéhovah avait conclue avec Abraham pour une “ semence ” qui ‘ prendrait possession de la porte de ses ennemis ’, et par le moyen de laquelle se béniraient toutes les nations de la terre. C’est donc progressivement, sur une période de presque 6 000 ans, que le “ saint secret ” a été révélé Enfin, ‘ quand arriva le terme du temps, Dieu envoya son Fils ’, révéla par son intermédiaire la signification du “ saint secret ”, fournit une réponse définitive à la question soulevée par son Adversaire. [La question capitale est d’ordre moral]) et offrit le moyen de racheter du péché et de la mort les humains obéissants grâce au sacrifice rédempteur de son Fils – it2 p16 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? L’endurance du chrétien ne dépend pas de sa force personnelle. C’est Jéhovah qui, par le moyen de son esprit et par la consolation des Écritures, soutient et fortifie ses serviteurs. Il “ donne l’endurance ” à ceux qui se confient entièrement en lui ; c’est pourquoi les chrétiens le prient légitimement de leur accorder son aide, qui comprend la sagesse requise pour faire face à une épreuve particulière (Romains 15:4, 5). Jéhovah ne permettra jamais que quelqu’un soit soumis à une épreuve qu’il lui serait impossible de supporter. Le Tout-Puissant préparera l’issue afin que celui qui recherche Son aide, qui ne perd pas sa foi, mais lui fait entièrement confiance, puisse endurer. – it1 p759 Il y a longtemps, Jéhovah inspira des hommes fidèles afin qu’ils consignent par écrit ses conseils dans les Écritures. Cette Parole écrite de Dieu renferme les conseils paternels qu’il nous adresse, à nous qui sommes ses enfants. Quoique certaines de ses instructions concernent directement la nation d’Israël, elles nous sont utiles également, selon ce que dit Paul : “Car toutes les choses qui ont été écrites dans le passé le furent pour notre instruction.” (Rom. 15:4). Dieu donna à la nation d’Israël des conseils pratiques relatifs au culte, lui prescrivant de lui rendre un dévouement exclusif et de ne pas se souiller en adorant des idoles ou en adoptant les pratiques des religions païennes. Si nous suivons les mêmes conseils, nous garderons intactes nos relations avec Jéhovah Dieu, et nous ne ferons pas l’objet de sa colère. – TG1965 15/11 §8 « Que Dieu vous accorde d’avoir entre vous la même attitude mentale qu’avait Christ Jésus » Romains 15:5 Paul nous encourage à avoir « la même attitude mentale qu’avait Christ Jésus ». Comment pouvons-nous imiter Jésus ? Pour l’imiter, nous devons donc bien connaître sa façon de penser et sa personnalité. Et puisque Jésus se soucie plus que tout de sa relation avec son Père, être comme lui nous rapprochera de Jéhovah. Si nous nous efforçons de progresser spirituellement, l’esprit saint nous aidera à transformer notre façon de penser. Petit à petit, nous apprendrons à penser comme Christ. C’est donc très important d’apprendre à penser comme Jésus. – TG2018/2 p18 Jéhovah est « le Dieu qui donne l’endurance et la consolation » (Romains 15:5). Il est le seul qui comprend parfaitement notre situation. Il sait que nous sommes influencés par les personnes autour de nous, par nos sentiments, et par les qualités et les défauts hérités de nos parents. Il sait donc exactement de quoi nous avons besoin pour endurer – ws2016/4 p9 §5 Jéhovah « donne l’espérance [qui nous remplit] de toute joie et paix » (Rom. 15:13). L’espérance que Dieu donne nous permet d’endurer les épreuves que subit notre foi. Les oints qui se montrent « fidèle jusqu’à la mort » recevront au ciel « la couronne de vie » (Rév. 2:10). Les chrétiens qui ont l’espérance terrestre et qui restent intègres connaîtront des bienfaits éternels dans le Paradis planétaire promis. Que suscite naturellement en nous une telle perspective ? Ne nous remplit-elle pas de joie et de paix, mais aussi d’amour pour l’Auteur de « tout beau don et de tout présent parfait ? » - TG2014 15/6 §11 Jéhovah est “ le Dieu qui donne l’espérance ”, a dit l’apôtre Paul, avant d’affirmer qu’Il peut ‘ nous remplir de toute joie et paix, parce que nous croyons, pour que nous abondions en espérance par la puissance de l’esprit saint ’. (Romains 15:13.) Si notre espérance abonde en nous, nous serons en mesure d’endurer n’importe quelle situation, le cœur rempli de joie et de paix. Comme elle l’est pour les chrétiens oints, l’espérance se révélera être aussi pour les autres chrétiens “ une ancre pour l’âme, à la fois sûre et ferme ”. (Héb. 6:18, 19.) Notre espérance est une chose à laquelle nous pouvons nous accrocher lorsque nous traversons les tempêtes de la vie. Elle nous aide à ne pas sombrer dans le doute ou le manque de foi – TG2012 15/3 §1 Appartenant à l’organisation de Dieu, nous avons la joie de participer à « la sainte œuvre de la bonne nouvelle de Dieu » (Romains 15:16). Cette œuvre étant « sainte », cela fait de nous des « compagnons de travail » de Jéhovah, qui est « le Saint ». La prédication de la bonne nouvelle contribue à la sanctification du saint nom de Jéhovah. Et se voir confier « la glorieuse bonne nouvelle du Dieu heureux » est sans conteste un honneur inestimable – TG2014 15/5 §12 “ De son côté, le Dieu qui donne la paix écrasera bientôt Satan sous vos pieds. ” (Romains 16:20). Il ne s’agit pas là que d’une meurtrissure superficielle. Satan doit être écrasé ! Paul utilisa ici le terme grec suntribô, qui signifie réduire en bouillie, broyer, fouler, détruire complètement en écrasant. – re p287 La sagesse au sens absolu réside en Jéhovah Dieu, le “ seul sage ” en ce sens (Romains 16:27). Nul autre, en effet, ne possède la sagesse au sens absolu ; toute vraie sagesse vient de lui. C’est la raison pour laquelle Jésus, pourtant la plus sage de ses créatures, ne s’est pas fié à sa propre sagesse, mais a parlé comme son Père le lui avait demandé. “ Seul sage ”, Jéhovah l’est également en ce sens qu’il est seul capable de sonder l’avenir. Vous vous rappelez certainement que la sagesse divine a l’aigle pour symbole. Bien qu’il pèse à peine cinq kilos, l’aigle royal possède des yeux plus grands que ceux d’un homme adulte. Sa vue remarquablement perçante lui permet de repérer des proies minuscules à des centaines de mètres, voire à plus de un kilomètre. “ Ses yeux, a dit un jour Jéhovah, regardent sans relâche dans le lointain. ” (Job 39:29). Jéhovah aussi a la faculté de regarder “ dans le lointain ”, mais dans son cas il s’agit de l’avenir. La Bible en fournit la preuve à travers des centaines de prophéties, c’est-à-dire de l’histoire écrite à l’avance. C’est pourquoi, nous pouvons avoir une confiance absolue dans la sagesse de Jéhovah – cl p176-178 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Quand Paul a qualifié certains de « forts », ce n’était pas pour leur donner un sentiment de supériorité (Romains 15:1). Il expliquait plutôt que les chrétiens expérimentés devaient être patients avec ceux qui n’étaient pas encore bien enracinés dans la vérité. – TG2014 15/6 p24 L’apôtre Paul a encouragé les chrétiens en ces termes : « Faites-vous mutuellement bon accueil, tout comme le Christ aussi nous a fait bon accueil » (Romains 15:7). Paul a mentionné en particulier des frères qui avaient été pour lui « une aide qui fortifie ». Aujourd’hui, alors que Satan s’attaque avec colère au peuple de Dieu, nous avons encore plus besoin d’être fortifiés TG2018/6 p30 “ Faites-vous mutuellement bon accueil ” dit Romains 15:7 - Nous devrions nous montrer impartiaux et faire bon accueil dans l’assemblée à toute personne qui cherche sincèrement la vérité, ainsi qu’annoncer le message relatif au Royaume à tous ceux que nous rencontrons. - TG2008 15/6 p31 Paul a écrit aux chrétiens de Rome : « Je vous exhorte, frères, par notre Seigneur Jésus Christ et par l’amour de l’esprit, à lutter avec moi dans des prières à Dieu pour moi » (Romains 15:30). Paul demandait-il ici à ses compagnons chrétiens d’intercéder pour lui auprès de Dieu ? Absolument pas. Si quelqu’un avait pu intercéder auprès de Dieu, ç’aurait plutôt été Paul, un apôtre de Christ. En réalité, il montrait qu’il n’y a aucune objection à demander à quelqu’un de prier Dieu en notre faveur. TG2013 1/6 À un moment donné, Aquila et Priscille ont travaillé avec Paul, car ils étaient tous trois fabricants de tentes. Là encore, ce couple coopérait sans heurt ni rivalité (Actes 18:3). Mais à n’en pas douter, c’est le temps qu’ils consacraient ensemble à des activités chrétiennes qui leur a permis de garder un haut niveau de spiritualité. À Corinthe, à Éphèse et à Rome, on voyait en eux des “ compagnons de travail en Christ Jésus ”. (Romains 16:3.) Quel que soit l’endroit où ils se trouvaient, ils agissaient de concert pour faire progresser l’œuvre de prédication du Royaume. Incontestablement, avoir des activités et des objectifs communs renforce les liens conjugaux – TG2011 15/1 §12 Aquila et sa femme, Prisca ont donné un exemple de courage en ‘risquant leur tête’ pour un de leurs compagnons. Ils ont reçu Paul chez eux. Pendant les 15 années qu’a duré leur amitié, ils ont même, d’une façon qui n’est pas spécifiée, risqué leur vie pour lui. Ils vivaient à Rome lorsque Paul a dit aux chrétiens de cette ville: “Saluez Prisca et Aquila, mes collaborateurs en Christ Jésus, qui ont risqué leur tête pour mon âme, et je les en remercie, non seulement moi, mais encore toutes les congrégations des nations.” — Romains 16:3, 4. En risquant leur tête pour Paul, Aquila et Prisca ont agi en accord avec ces paroles de Jésus: “Je vous donne un commandement nouveau: que vous vous aimiez les uns les autres, et que, comme je vous ai aimés, vous aussi vous vous aimiez les uns les autres.” (Jean 13:34). Ce commandement était “nouveau” en ce qu’il allait plus loin que ce qui était requis par la Loi mosaïque, c’est-à-dire d’aimer son prochain comme on s’aime soi-même (Lévitique 19:18). Cela exigeait un amour et un esprit de sacrifice allant jusqu’à donner sa vie pour autrui, comme Jésus l’a fait. – TG1993 15/11 p20 Aux temps apostoliques, les chrétiens avaient coutume de se saluer par un “saint baiser”. (Romains 16:16) Dans ce texte, Paul faisait simplement allusion à une coutume courante de son temps. Voilà une belle expression d’affection fraternelle. Aujourd’hui, dans bien des pays du monde, il est plus habituel de voir s’exprimer l’affection par un sourire amical et une ferme poignée de main. Chez les peuples latins, comme par exemple les Mexicains, il arrive de prendre un ami dans ses bras, ce qui est une véritable marque d’affection. La chaleureuse affection des chrétiens qui appartiennent à ces peuples pourrait en partie expliquer le grand accroissement qu’ils connaissent – TG1993 15/10 p15 §15
  17. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 4 MARS 2019 - ROMAINS 12-14.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 4 MARS 2019 - ROMAINS 12-14.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Romains 12-14 Romains 12:1 : Que signifie ce verset ? (lvs chap. 6 § 5-6). « Frères, je vous supplie donc, par la compassion de Dieu, de présenter vos corps comme un sacrifice vivant, saint et que Dieu peut approuver : un service sacré que vous offrez en utilisant votre raison. » Comment choisir nos divertissements 5 Tout ce que nous faisons dans la vie a un effet sur notre culte pour Jéhovah. C’est ce que Paul a expliqué quand il a dit : ‘Présentez vos corps comme un sacrifice vivant, saint et que Dieu peut approuver’ (Romains 12:1). Et Jésus a dit : « Tu dois aimer Jéhovah ton Dieu de tout ton coeur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ta force » (Marc 12:30). Nous voulons toujours donner à Jéhovah le meilleur de nous-mêmes. Dans l’ancien Israël, quand quelqu’un sacrifiait un animal à Jéhovah, il devait offrir un animal en bonne santé. Quand l’animal n’était pas en bonne santé, Dieu n’acceptait pas le sacrifice (Lévitique 22:18-20). De la même façon, Dieu pourrait ne pas accepter notre culte. 6 Jéhovah nous dit : « Vous devez être saints, car je suis saint » (1 Pierre 1:14-16 ; 2 Pierre 3:11). Jéhovah n’acceptera notre culte que s’il est saint, ou pur (Deutéronome 15:21). Notre culte ne peut pas être pur si nous faisons des choses que Jéhovah déteste, comme la violence, les actes sexuels immoraux et tout ce qui a un lien avec le spiritisme (Romains 6:12-14 ; 8:13). Mais si nous nous divertissons avec ces choses, cela ne plaira pas non plus à Jéhovah. Notre culte ne sera pas pur et Jéhovah ne l’acceptera pas. Cela mettra sérieusement en danger notre amitié avec lui. - lvs chap. 6 § 5-6 Le bon usage de son corps. Le chrétien doit apprécier le corps que Dieu lui a donné et s’aimer suffisamment pour en prendre convenablement soin, afin de pouvoir le présenter en service sacré agréable à Dieu. Cela exige de faire usage de raison et d’entretenir son corps par la nourriture et d’autres choses nécessaires, sans oublier la propreté physique ; toutefois, d’autres soins sont plus importants encore. Ils comprennent la spiritualité, la recherche du Royaume de Dieu et de sa justice, ainsi que la pratique de la droiture morale. L’apôtre Paul nous encourage à nous servir de notre « raison » pour devenir le genre de personnes que façonne la pensée de Jéhovah plutôt que celle du monde – it1 Corps L’homme étant aussi une création de Jéhovah, il est soumis à Ses lois physiques ; de plus, puisqu’il est une créature douée de raison et d’un sens moral, capable de réfléchir et d’avoir une spiritualité, il est également assujetti aux lois morales de Dieu – it2 Législateur Pour que notre culte soit “ agréable à Dieu ”, nous devons lui offrir “ un service sacré avec votre raison ” ou, en d’autres termes, un “ culte spirituel qui a un sens, un culte logique, conforme à ce que la raison vous demande. Pour présenter à Dieu un sacrifice saint, nous devons laisser dominer la raison, et non les émotions– g2011/01 p28 Manifester l’esprit de sacrifice, c’est bien plus que s’en tenir à un programme de réunions et de participation au ministère chrétien. Cela signifie être déterminé à faire la volonté de Dieu quoi qu’il en coûte. C’est être prêt à supporter des épreuves et des désagréments. Le premier souci du chrétien n’est pas de poursuivre des ambitions personnelles ou des objectifs matérialistes. Sa vie est centrée sur le désir de chercher d’abord le Royaume de Dieu et Sa justice. Il est prêt, si cela s’avère nécessaire, à ‘prendre son poteau de supplice’, à endurer la persécution, la honte ou même la mort.- TG1992 1/ 2 p25 Dans le monde profane, certaines personnes occupent une position d’autorité. Les fonctionnaires des gouvernements ont pour rôle de faire respecter la loi et l’ordre, et de répondre aux besoins des citoyens. Chacun en bénéficie. C’est pourquoi l’apôtre Paul a conseillé aux chrétiens de considérer ces autorités gouvernementales comme des « autorités supérieures » à qui les chrétiens doivent se soumettre. Nous honorons volontiers les fonctionnaires des gouvernements, selon ce qui est attendu dans le pays et conforme aux usages. Nous coopérons avec eux lorsqu’ils exercent leurs fonctions. Bien sûr, l’honneur et le soutien que nous leur accordons doivent avoir des limites raisonnables, bibliques. S’ils nous demandent de faire quelque chose qui nous ferait désobéir à Jéhovah, nous ne pouvons pas accepter. Dans ce cas, c’est à Jéhovah que nous obéissons plutôt qu’aux humains, et c’est lui que nous honorons – TG2017/3 p8§9 Romains 13:1 : En quel sens les autorités supérieures sont-elles « placées dans leurs positions » par Dieu ? (w08 15/6 31 § 4). « Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures, car aucune autorité n’existe sans la permission de Dieu ; en effet, c’est par Dieu que les autorités qui existent sont placées dans leurs positions » Les autorités gouvernementales « se trouvent placées de par Dieu dans leurs positions relatives » en ce sens qu’elles exercent leur domination parce que Dieu le leur permet. Dans certains cas, Dieu a même vu d’avance leur domination. Cela ressort clairement de ce que la Bible a annoncé concernant plusieurs dirigeants. - w08 15/6 31 § 4 Bien qu’il n’ait pas créé ces institutions, Jéhovah Dieu a permis qu’elles viennent à l’existence, et c’est avec sa permission qu’elles continuent d’exister. Toutefois, lorsqu’il le juge bon, Dieu peut supprimer, diriger ou manœuvrer ces autorités pour qu’elles accomplissent sa volonté. Sans la permission de Dieu, aucune autorité humaine n’existerait. Jéhovah n’est pas à l’origine de ces autorités humaines, mais elles existent avec sa permission. Dieu permet aux gouvernements humains de dominer jusqu’à ce que le temps soit venu pour le Royaume céleste du Christ d’étendre sa domination à la terre. – it1 p234 En qualifiant les autorités civiles de “supérieures”, manquons-nous d’une manière ou d’une autre à l’honneur que nous devons rendre à Jéhovah ? Non, car Jéhovah est bien plus que supérieur. Il est le “Souverain Seigneur”, le “Dieu suprême”. Ces autorités civiles ne sont supérieures que par rapport aux autres humains, et dans la sphère d’activité qui leur est propre. Elles ont la responsabilité de gouverner et de protéger la société. – TG1990 15/12 p30 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? La foi n’est pas une qualité que tout le monde possède. Mais Jéhovah donne de la foi à tous ceux qui l’adorent (Romains 12:3). Nous devrions être très reconnaissants que Jéhovah nous donne de la foi – ws2016/10 p21§1 En cette époque difficile, nous avons tous besoin de cultiver de l’endurance. Pour surmonter les épreuves qui durent dans le temps, nous avons aussi besoin de la détermination, de la patience et de la paix intérieure que seul Dieu peut nous donner. Il nous aide à combattre le désespoir et à nous accrocher à notre espérance (Romains 12:12 ). Si vous vivez une épreuve, peut-être une situation injuste qui semble s’éterniser, ne perdez pas espoir. – TG2015 1/ 2 p12 Dans le monde nouveau, sans doute nous faudra-t-il parfois exercer la patience. Imagine ceci : Tu apprends que, pour la plus grande joie de leurs parents et amis, certaines personnes ont été ressuscitées. Mais toi, tu attends encore la résurrection de tes chers disparus. Si c’était le cas, te réjouirais-tu avec ceux qui se réjouissent et ferais-tu preuve de patience ? (Romains 12:15). Apprendre à attendre patiemment la réalisation des promesses de Jéhovah dès aujourd’hui nous aidera à exercer la patience dans le monde nouveau. – TG2015 15/8 p19 §9 Aujourd’hui, les nations en guerre sollicitent souvent le soutien de Dieu. Or Dieu ne prend pas parti dans les conflits actuels. En effet, il déclare clairement dans la Bible : « Ne rendez à personne le mal pour le mal. [...] Ne vous vengez pas vous-mêmes » (Romains 12:17, 19). De plus, il a fait savoir que les humains devraient attendre patiemment qu’il passe à l’action, ce qu’il fera à Armaguédon qui sera la guerre qui mettra fin à toutes les guerres. – TG2015 11/1 p7. Alors que nous avançons dans « les derniers jours », l’attitude de certains à qui nous prêchons va sans doute empirer. Mais ne laissons pas leurs réactions nous faire perdre notre compassion ou notre joie. Jéhovah peut nous donner la force de « continuer à vaincre le mal par le bien » (Romains 12:21). Jéhovah est conscient des difficultés que nous avons en prédication. Il se réjouit beaucoup quand nous imitons sa miséricorde. – TG2018/7 p27 Nos adversaires peuvent nous attaquer quand nous nous y attendons le moins ou quand nous sommes au plus bas. Restons toujours vigilants. La Bible nous exhorte : « Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais continue à vaincre le mal par le bien » (Rom. 12:21). L’encouragement à ne pas se laisser « vaincre par le mal » montre que nous pouvons gagner la lutte contre le mal. Nous y parviendrons si nous continuons de le combattre. Par contre, si nous baissions notre garde et cessions de lutter, Satan, son monde méchant ou notre chair imparfaite pourraient l’emporter. Ne laisse jamais Satan t’intimider et faire retomber tes mains. Ne t’avoue jamais vaincu Une façon importante de manifester notre gratitude pour la rançon est de vouer notre vie à Jéhovah en vertu de notre foi en la rançon et de nous faire baptiser. Notre baptême démontre que « nous appartenons à Jéhovah » (Rom. 14:8). - TG2017/2 p8 §13 N’oublions pas ce qu’a dit l’apôtre Paul : “ Chacun de nous rendra compte à Dieu pour soi-même. ” (Romains 14:12). Soyons bien conscients que chaque fois que nous péchons, c’est contre Jéhovah. Cela nous aidera à respecter ses principes élevés et à nous garder d’une conduite impure. “ Il n’y a pas de création qui ne soit manifeste aux regards de Dieu, nous rappelle la Bible, mais toutes choses sont nues et mises à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte. ” (Hébreux 4:13). Nous devons effectivement rendre compte à Dieu, mais c’est bien sûr d’abord par amour que nous faisons sa volonté et que nous nous conformons à ses normes justes. – TG2001 15/6 p18-23 §16 Romains 14:17. Les bonnes relations qu’un individu entretient avec Dieu ne tiennent pas essentiellement à ce qu’il mange ou boit, ou à ce qu’il se retient de manger ou de boire. Elles sont en fait liées à la justice, à la paix et à la joie. – TG2008 15/6 p31 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? La Parole de Dieu nous invite à nous évaluer avec mesure. L’apôtre Paul a écrit sous inspiration : “ En vertu de la faveur imméritée qui m’a été donnée, je dis à chacun d’entre vous de ne pas penser de lui-même plus qu’il ne faut penser ; mais de penser de manière à être sain d’esprit, chacun selon la mesure de foi que Dieu lui a donnée en partage. ” — Romains 12:3. Évidemment, il ne conviendrait pas d’avoir une trop haute opinion de soi — ce serait de la suffisance ; mais il ne faut pas non plus tomber dans l’autre extrême en estimant qu’on ne vaut rien. Il faut se juger de façon raisonnable en faisant la part de ses points forts et de ses limites. Une chrétienne a résumé ainsi sa manière de voir : “ Je ne suis pas ce qui se fait de mieux ; mais je ne suis pas non plus le mal incarné. Il y a chez moi du bon et du mauvais, comme chez tout le monde. ”- TG2005 1/8 p5 Le lien qui unit les chrétiens est vraiment incomparable. L’apôtre Paul a écrit : “ Que votre amour soit sans hypocrisie. [...] Dans l’amour fraternel, ayez une tendre affection les uns pour les autres. ” (Rom. 12:9, 10). Incontestablement, les chrétiens goûtent un ‘ amour (agapê) sans hypocrisie ’. Cet amour ne se résume pas à une simple émotion qui jaillit du cœur. Il s’agit d’un sentiment qui se nourrit des principes bibliques. Mais Paul parle aussi d’“ amour fraternel ” (philadelphia) et de “ tendre affection ” (philostorgos, un composé des mots philos et storgê). Selon un bibliste, “ l’amour fraternel désigne un amour affectueux, la sympathie, le fait de témoigner de la bonté, d’offrir son aide ”. Associé à l’amour agapê, il contribue à tisser des liens étroits entre les serviteurs de Jéhovah. L’autre expression (philostorgos), traduite par “ tendre affection ”, n’apparaît qu’à cet endroit dans la Bible et évoque une chaleureuse intimité, semblable à celle qui existe dans une famille. – TG2009 15/7p14 L’esclavage chrétien est très différent de l’idée qu’on se fait généralement de l’esclavage. Ce mot est souvent synonyme de domination cruelle, d’oppression et d’injustices. Toutefois, la Parole inspirée de Dieu parle d’un esclavage volontaire sous l’autorité d’un Maître bienveillant. En fait, quand l’apôtre Paul a exhorté les chrétiens du Ier siècle à « travaille[r] comme des esclaves pour Jéhovah », il les encourageait à offrir à Dieu un service sacré motivé par l’amour (Romains 12:11). Avant d’être baptisés, nous avons pris la décision de servir Jéhovah. Nous nous sommes voués à Jéhovah, nous lui avons promis de lui obéir et de faire ce qu’il nous demande parce que nous l’aimons. Personne ne nous a forcés à prendre cette décision. – TG2013 15/10 p12 §1 Comment devenir zélé pour le vrai culte et le rester ? Certains, de nature timide ou réservée, ont du mal à exprimer leurs sentiments ou à aller vers les autres. Toutefois, il est bon de se souvenir qu’être zélé, ce n’est pas simplement manifester de l’enthousiasme. Ce n’est pas non plus une question de personnalité. La réponse à notre question ressort de cette exhortation de Paul : “ Soyez brûlants de l’esprit. ” (Rom. 12:11). L’apôtre puisait en grande partie son courage et sa force dans l’esprit de Jéhovah. Entre le moment où il a été appelé par Jésus et son emprisonnement, suivi de son martyre à Rome, plus de trente ans se sont écoulés. Pourtant, son zèle ne s’est jamais refroidi. Paul comptait en permanence sur Dieu, qui lui a insufflé par son esprit la force dont il avait besoin. “ Pour toutes choses j’ai cette force grâce à celui qui me donne de la puissance ”, a-t-il affirmé (Phil. 4:13). Inspirons-nous de son exemple - TG2010 15/12 p16-17 « Pleurez avec ceux qui pleurent » (Rom. 12:15). Nous ne savons peut-être pas toujours quoi dire à quelqu’un qui est profondément peiné. Mais parfois, nos larmes en disent plus que nos mots. Quand nos frères et sœurs voient notre amour et notre compassion, ils savent qu’ils ne sont pas seuls, mais qu’ils sont entourés d’amis attentionnés sur qui ils peuvent compter. – TG2019/4 p14 §18 Comment pourrions-nous en venir à manquer de modestie en pensée ou en acte ? Voici quelques signaux d’alerte : On pourrait se croire plus important que les autres parce qu’on a des responsabilités dans l’assemblée ou parce que nos amis en ont, ou nous prenons notre propre personne ou nos privilèges trop au sérieux (Romains 12:16) ; nous attirons excessivement l’attention sur nous-mêmes ou nous défendons fermement nos opinions en nous basant simplement sur notre position, nos relations ou notre raisonnement personnel. Bien souvent, quand nous agissons ainsi, nous n’avons même pas conscience d’avoir franchi la limite entre modestie et présomption. – TG2017/1 p17 §8 Romains 12:17. Paul explique que lorsque nous sommes l’objet d’attaques, nous ne devons pas rendre la pareille. C’est particulièrement vrai quand mari et femme n’ont pas la même religion. Le chrétien doit se retenir de répondre à une méchanceté par une autre méchanceté. ‘ Rendre le mal pour le mal ’ en parole ou en acte n’apporte rien de bon. Cela risque plutôt d’envenimer la situation. D’où le conseil de Paul : “ Proposez-vous ce qui est beau aux yeux de tous les hommes. ” TG2009 15/10 p8 §3 La plupart des gens que nous rencontrons en prédication sont polis. Cependant, Jésus a prophétisé que certains nous haïraient. Nous ne devrions donc pas être surpris si une personne se met en colère. Quand cela arrive, nous désirons réagir d’une façon qui plaise à celui que nous représentons, Jéhovah (Romains 12:17-21). De cette manière, nous éviterons probablement que la situation ne s’envenime. Nous donnerons aussi un bon témoignage à notre interlocuteur et à ceux qui nous observent ; ils seront ainsi plus disposés à écouter la prochaine fois que des Témoins de Jéhovah passeront chez eux – km2015/1 Paul a dit qu’une des choses qui l’identifiaient à un ministre de Dieu était la bonté. Les gens étaient attirés par lui parce qu’il se montrait bienveillant en paroles et en actes, ce qui prouvait son intérêt pour eux. Pareillement, nous pouvons attirer des personnes à la vérité en nous montrant bienveillants. Si nous le sommes envers ceux qui s’opposent à nous, cela peut toucher leur cœur et les adoucir (Rom. 12:20). Ils peuvent même finir par s’intéresser au message de la Bible. – TG2018/11 p28 12:20 — Comment ‘ entasse-t-on des charbons ardents ’ sur la tête d’un ennemi ? Dans les temps bibliques, on déposait le minerai sur une couche de charbons et on le recouvrait d’une autre couche de charbons. La chaleur accrue au-dessus du minerai favorisait la fonte du métal, ainsi que la séparation d’avec ses impuretés. D’une façon similaire, nous mettons des charbons ardents sur la tête d’un ennemi en ayant à son égard des actes de bonté. Ces actes de bonté peuvent faire fondre l’inimitié et amener un adversaire à adopter une attitude plus conciliante vis-à-vis des serviteurs de Jéhovah, et peut-être même susciter en lui un intérêt pour la bonne nouvelle. Lorsque cela se produit, le mal est vaincu par le bien. Sa dureté fondra et ses belles qualités ressortiront. – TG2008 15/6 p31 Quelle est la loi la plus importante pour les chrétiens ? La loi de l’amour. L’amour est appelé « la loi royale » et il est « l’accomplissement de la loi » (Romains 13:10). Nous ne sommes pas surpris que la Bible donne autant d’importance à cette qualité, car « Dieu est amour » - TG2018/6 p16 §15 Voyons-nous que les prophéties de la Bible que nous avons étudiées sont en train de se réaliser ? Jésus nous avait avertis que nous ne connaîtrions pas le jour et l’heure exacts. Par contre, comme l’a dit Paul, nous connaissons bel et bien « l’époque ». (Romains 13:11). Nous vivons cette époque, les derniers jours. Si nous sommes bien attentifs aux prophéties bibliques et à ce que Jéhovah Dieu et Jésus Christ font actuellement, nous verrons à coup sûr les preuves incontestables que nous sommes vraiment près de la fin de ce système de choses.– w2014 15/1 p26 §17 L’esprit du monde provoque le sommeil spirituel. Accaparés par les affaires courantes de la vie, beaucoup ne sont pas « conscients de leur pauvreté spirituelle ». Beaucoup de gens pensent qu’ils n’ont pas besoin de connaître Dieu. Ils utilisent la plus grande partie de leur temps et de leur énergie à obtenir beaucoup de choses que le monde propose. Ils se laissent séduire par les attraits matériels du monde, qui flattent « le désir de la chair et le désir des yeux ». De plus, l’industrie du spectacle encourage l’amour « des plaisirs », et les tentations s’intensifient d’année en année. Ces choses les détournent de ce qui est plus important, et ainsi ils ne s’occupent pas de leur relation avec Dieu. C’est pour cette raison que Paul a dit aux chrétiens de ne pas faire de « projets pour les désirs de la chair », qui provoquent le sommeil spirituel (Rom. 13:11-14). – TG2016/7 §13 « Le moment de la nuit où on a le plus de mal à veiller, c’est juste avant le lever du jour », dit un ancien travailleur de nuit. Ceux qui doivent rester éveillés la nuit ne le contrediront probablement pas. Le chrétien se heurte à une difficulté semblable parce que la longue nuit qu’est le système mauvais de Satan est aujourd’hui au point le plus sombre de son histoire (Romains 13:12). L’époque que nous vivons en ce moment est comme le moment le plus noir de la nuit : nous sommes très près de la fin du monde de Satan. Et les chrétiens doivent continuer à lutter pour rester éveillés spirituellement. Qu’il serait dangereux de s’endormir en cette heure avancée ! Nous devons donc impérativement être « sains d’esprit » et, comme nous le recommande la Bible, être « vigilants en vue des prières » (1 Pierre 4:7). – TG2013 15/11 p3 §1,2 Paul a écrit à la congrégation de Rome : “ Revêtez le Seigneur Jésus Christ, et ne faites pas de projets pour les désirs de la chair. ” (Romains 13:14). Figurément parlant, les chrétiens portent Jésus comme un vêtement. Ils s’efforcent d’imiter ses qualités et ses manières d’agir de façon à refléter, même imparfaitement, l’image de leur Maître. Pour ‘ revêtir le Seigneur Jésus Christ ’, il nous faut bien connaître sa vie et nous appliquer à vivre comme il vivait. – TG2005 1/1 p7 §20-21 “ Qui es-tu pour juger le domestique d’un autre ? ” (Rom. 14:4). Dans sa lettre aux Romains, Paul traitait de problèmes qui avaient surgi dans la congrégation, composée de chrétiens issus de cultures diverses. Certains avaient tendance à critiquer les décisions et les actions de leurs compagnons. La question de Paul montrait à ces chrétiens l’importance de se faire mutuellement bon accueil et de laisser à Jéhovah le droit de juger. De même aujourd’hui, les Témoins de Jéhovah viennent de tous horizons. Et pourtant, Jéhovah a réussi à créer entre nous une unité exceptionnelle. Contribuons-nous à cette unité ? Si nous sommes tentés de critiquer un frère qui prend une certaine décision en toute bonne conscience, il serait judicieux que nous nous posions la question de Paul reproduite ci-dessus. – TG2010 15/4 p15 Romains 14:14, 15. Nous ne devrions pas attrister notre frère ou le faire trébucher par la nourriture ou la boisson que nous lui proposons – TG2008 15/6 p31 Nouer des amitiés étroites dans l’assemblée peut nous permettre de nous fortifier les uns les autres (Romains 14:19). C’est particulièrement important en période difficile. Paul a lui-même rencontré de nombreuses épreuves, il a souffert à cause des persécutions mais Jéhovah lui a donné la force d’endurer. Il l’a parfois encouragé au moyen de compagnons chrétiens. Ces chrétiens aimaient Paul. Donc, quand il a eu besoin d’aide, ils l’ont consolé et encouragé. Peut-être que tu te souviens de moments où des frères et sœurs de ton assemblée ont dit ou fait quelque chose qui t’a encouragé. – TG2015 15/6 p30 Comment les paroles de Romains 14:21 nous encouragent-elles à respecter la conscience des autres ? Paul a montré que nous devons respecter la conscience des autres quand il a écrit : « C’est bien de ne pas manger de viande, ou de ne pas boire de vin, ou de ne rien faire sur quoi ton frère trébuche » (Rom. 14:21). Même si ta conscience t’autorise à boire de l’alcool, serais-tu prêt à renoncer à ce droit pour ne pas faire « trébucher » ton frère qui a une conscience différente ? Sans aucun doute ! Prenons le cas d’un frère qui, avant de connaître la vérité, consommait trop d’alcool. Depuis, il a décidé de ne plus en boire du tout. Tu ne voudrais certainement rien faire qui l’amènerait à retomber dans de mauvaises habitudes. C’est pourquoi, si nous recevions un tel frère chez nous, nous n’insisterions pas pour qu’il boive de l’alcool.- TG2018/6 p16 §12
  18. JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Romains 9-11 Romains 9:21-23 : Pourquoi devons-nous nous laisser modeler par le Grand Potier, Jéhovah ? (w13 15/6 25 § 5) « Comment ? Est-ce que le potier n’a pas pouvoir sur l’argile pour fabriquer à partir du même bloc d’argile un récipient pour un usage honorable et un autre pour un usage déshonorant ? Si Dieu a voulu montrer sa colère et faire connaître sa puissance, et s’il a supporté avec beaucoup de patience des récipients de colère méritant d’être détruits, n’en a-t-il pas le droit ? Et s’il a agi ainsi afin de faire connaître l’immensité de sa gloire à des récipients de miséricorde qu’il a préparés d’avance pour la gloire » Et si un humain refuse obstinément de se laisser modeler, comment le Grand Potier exerce-t-il son autorité ? Pense au sort d’une argile qui devient impropre à l’usage que le potier veut en faire. Eh bien, il peut soit en faire un autre récipient soit la jeter ! Toutefois, quand l’argile est inutilisable, c’est généralement de la faute du potier. Mais en ce qui concerne notre Potier, ce n’est jamais le cas (Deut. 32:4). Quand une personne ne cède pas au modelage de Jéhovah, c’est toujours de sa faute à elle. Le Grand Potier exerce son autorité sur les humains en s’adaptant à la manière dont ils réagissent à son modelage. Ceux qui réagissent bien sont façonnés en récipients utiles. Par exemple, les chrétiens oints sont des « vases de miséricorde » qui ont été façonnés en « récipient pour un usage honorable ». En revanche, ceux qui s’opposent obstinément à Dieu finissent par être des « vases de colère devenus dignes de destruction » (Rom. 9:19-23) - w13 15/6 25 § 5 Si Jéhovah nous discipline (autrement dit nous façonne) avec patience, c’est parce qu’il nous aime comme ses enfants. Il veut que nous ayons de la sagesse, que nous soyons heureux, et que nous l’aimions comme notre Père Comme un potier habile qui connaît le genre d’argile qu’il modèle, notre Potier nous connaît très bien. Il connaît nos faiblesses, nos limites et nos progrès. C’est en pensant à tout cela qu’il façonne chacun de nous Jéhovah nous façonne, ou nous modèle : Il nous aide à changer pour devenir de meilleures personnes. Pour cela, il utilise la Bible, son esprit saint et l’assemblée – ws2016 Juin p3 Depuis la rébellion en Éden, tous ceux qui s’opposent à Jéhovah et à ses lois sont “ des vases de colère devenus dignes de destruction ”. Or Jéhovah continue d’exercer la patience. Les méchants se sont moqués de ses actions, ils ont persécuté ses serviteurs, ils ont même tué son Fils. Romains 10:2 : Pourquoi devons-nous nous assurer que notre culte est basé sur la connaissance exacte ? (it-1 1234 § 6) « Car, comme je peux en témoigner, ils ont du zèle pour Dieu, mais non selon la connaissance exacte ». Un zèle mal orienté. On peut se montrer sincèrement zélé, ou jaloux, pour une certaine cause, et néanmoins avoir tort et déplaire à Dieu. C’était le cas d’un grand nombre de Juifs du 1er siècle. Ils cherchaient à parvenir à la justice par leurs œuvres dans le cadre de la Loi mosaïque. Toutefois, Paul expliqua que leur zèle était mal orienté parce qu’il leur manquait la connaissance exacte. C’est pourquoi ils ne recevaient pas la vraie justice, celle qui vient de Dieu. Il leur faudrait prendre conscience de leur faute et se tourner vers Dieu par l’intermédiaire de Christ s’ils voulaient recevoir la justice et être affranchis de la condamnation de la Loi (Rm 10:1-10). Saul de Tarse était du nombre, zélé outre mesure pour le judaïsme, ‘ persécutant la congrégation de Dieu et la dévastant ’. Il observait scrupuleusement la Loi ; il était ‘ quelqu’un qui se montrait irréprochable ’. (Ga 1:13, 14 ; Ph 3:6.) Cependant, sa jalousie pour le judaïsme était mal orientée. Comme son cœur était sincère, Jéhovah exerça sa faveur imméritée par l’intermédiaire de Christ en le dirigeant vers la voie du vrai culte. — 1Tm 1:12, 13.- it-1 1234 § 6 Certains Juifs du 1er siècle refusaient d’admettre une vérité que les Écritures hébraïques établissaient clairement : l’identité du Messie. Jésus de Nazareth avait satisfait à tous les critères, réalisé toutes les prophéties. Pourtant un épais tissu d’idées préconçues empêchait quantité de ses compatriotes de comprendre la Parole de Dieu. Que nous apprend ce fait ? Qu’il est important de lire la Bible sans préjugés, car, tel un voile, ceux-ci obscurcissent l’intelligence des vérités bibliques. La Bible nous encourage à étudier consciencieusement ses enseignements. TG2009 1/7 La simple lecture de la Bible ne suffit pas pour devenir solide dans la foi. Nous devons comprendre et reconnaître l’importance de ce que nous lisons ; nous devons acquérir une connaissance exacte. À l’époque des apôtres, beaucoup de Juifs avaient une certaine connaissance des Écritures hébraïques, mais comme ils ne possédaient pas la connaissance exacte, leur zèle était vain. Ceux qui croient servir Dieu avec zèle doivent ‘voir à l’épreuve s’ils sont dans la foi, constater ce qu’ils sont personnellement’. – TG1977 15/10 §13 L’homme qui veut plaire à Dieu doit être sincère. Toutefois, Dieu n’agrée pas une religion simplement parce que ses pratiquants sont sincères. Leur sincérité était mal orientée. Ils se tournaient dans la mauvaise direction pour se faire instruire. Ils restaient attachés au système religieux juif, qui avait rejeté le Fils de Dieu et qui, de ce fait, se trouvait lui-même rejeté par Dieu – TG1969 1/9 Notre foi et le culte que nous rendons à Jéhovah ne devraient pas être fondés uniquement sur des sentiments. Nous avons besoin de la connaissance exacte de notre Créateur et de sa volonté. – TG2008 15/9 Il en va de même de nombreux membres de la chrétienté de nos jours. Comme les Juifs du Ier siècle, “ ils ont du zèle pour Dieu ; mais non selon la connaissance exacte ”. (Romains 10:2.) Quelques-uns étudient bien la Bible, mais ils ne veulent pas croire en son contenu. Ils refusent d’admettre que Jéhovah enseigne son peuple par l’intermédiaire de la classe de l’esclave fidèle et avisé, composée des chrétiens oints (Matthieu 24:45). Nous, pour notre part, nous comprenons que Jéhovah enseigne ses serviteurs et qu’il a toujours révélé la vérité progressivement (Proverbes 4:18). Nous nous laissons enseigner par lui, et il nous accorde de connaître sa volonté et son dessein. – TG2005 15/8 §10 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Notre conscience peut parfois se tromper. Pourquoi ? Parce qu’elle peut être influencée par nos pensées et nos sentiments imparfaits. Elle risque alors de nous guider dans la mauvaise direction. Une conscience qui fonctionne correctement ne s’acquiert pas de façon automatique. Notre conscience doit être éduquée. Pour nous aider, Jéhovah nous donne son esprit saint et les principes de la Bible (Romains 9:1). – lvs chap2 p16 §7 Ne doutons pas que Jéhovah fera ce qui est juste et droit en toutes circonstances. Même s’il nous semble que l’homme n’agit pas contre certaines injustices, Jéhovah, lui, promet : “ À moi la vengeance ; c’est moi qui paierai de retour. ” (Romains 12:19). Aussi, restons dans l’attente, et nous exprimerons la même conviction que l’apôtre Paul : “ Y a-t-il de l’injustice chez Dieu ? Que cela n’arrive jamais ! ” Romains 9:14. – cl chap12 p127 §20 À partir d’une même masse d’argile, le potier pouvait fabriquer un récipient pour un usage honorable et un autre pour un usage déshonorant, banal ou ordinaire. Pareillement, Jéhovah a le pouvoir de façonner les humains comme il lui plaît et il tolère les méchants, “ des vases de colère devenus dignes de destruction ”, mais cela concourt au bien des “ vases de miséricorde ”, les personnes qui composent l’Israël spirituel. — Romains 9:14-26. – it2 p626 Ne doutons jamais de Jéhovah. Dieu est parfait, et ses pensées sont supérieures aux nôtres. Si nous ne sommes pas orgueilleux, nous devrions être capables d’admettre que nous ne comprenons pas tout. L’humilité et la modestie nous aideront donc à admettre que notre compréhension des choses est limitée (Romains 9:20). La plupart du temps, nous ne savons pas tout au sujet d’une situation. – TG2013 15/8 p14 §18 Il est capital que tous les humains connaissent le nom divin (Romains 10:13). Cela implique bien davantage que de savoir simplement quel est le nom personnel de Dieu. Cela demande de connaître aussi la personne que ce nom représente et de mener une vie conforme aux desseins rattachés à ce nom. Tous ceux qui adorent le vrai Dieu ont la responsabilité de faire connaître son nom avec zèle, à l’exemple de Jésus. Jéhovah Dieu promet de bénir ceux qui connaissent, emploient et honorent son grand nom – it1 p324 Quelles œuvres bonnes Jéhovah apprécie-t-il notamment ? Tout d’abord, nos efforts pour imiter son Fils, Jésus Christ. Il attache également une grande importance à nous voir proclamer la bonne nouvelle de son Royaume. En Romains 10:15, nous lisons : “ Qu’ils sont jolis les pieds de ceux qui annoncent des bonnes nouvelles de choses bonnes ! ” Peut-être ne nous viendrait-il pas à l’idée de qualifier de “ jolis ” nos pauvres pieds. Mais ils représentent ici nos efforts pour prêcher la bonne nouvelle, efforts que Jéhovah trouve beaux et précieux – cl chap24 p240 §8 La vue spirituelle. L’œil spirituel comme l’œil physique sont des dons de Dieu. Dieu promet de guérir les yeux spirituels, tout comme les yeux physiques, et de supprimer toute raison de pleurer. Il est impossible de comprendre les desseins de Dieu sans le don de la vue spirituelle. À l’inverse, Jéhovah cache sa vérité aux yeux des obstinés et des rebelles, en faisant “ que leurs yeux s’obscurcissent ”. (Romains 11:8-10) “ Ils ont des yeux [au sens littéral], mais ils ne voient pas [au sens spirituel]. ”-it2 p433 Moïse a dit aux Israélites que les commandements de Jéhovah étaient pour leur bien et que, s’ils y obéissaient, ils resteraient en vie. C’est pareil aujourd’hui. Tout ce que Jéhovah nous demande de faire va améliorer notre vie. Notre Père, Jéhovah, sait toujours ce qu’il y a de mieux pour nous (Romains 11:33). Cela signifie que, lorsque Jéhovah dit ou fait quelque chose, c’est toujours par amour – lvs chap1 p4 §15 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? T’es-tu déjà senti découragé parce que les personnes de ton territoire ne veulent pas écouter le message du Royaume ? Si c’est le cas, tu peux comprendre ce que l’apôtre Paul a ressenti. Pendant la trentaine d’années où il a prêché, il en a aidé beaucoup à devenir chrétiens. Toutefois, il n’a pas fait beaucoup de disciples parmi les Juifs. La plupart d’entre eux ont refusé de l’écouter et certains l’ont même persécuté. Quel effet cela a-t-il eu sur lui ? Il a admis : « J’ai une grande tristesse et une douleur incessante dans mon cœur » (Rom. 9:1-3). Pourquoi de tels sentiments ? Parce qu’il aimait vraiment prêcher et qu’il se souciait sincèrement des Juifs. Il était donc triste de les voir rejeter la miséricorde de Dieu. – W2018P Mai p12 §4 Mais cela ne suffit pas de lire des versets aux personnes à qui nous prêchons. Pourquoi ? Parce que la plupart des gens ne comprennent pas bien, ou pas du tout, la Bible. C’était déjà le cas au 1er siècle (Romains 10:2). Ne pensons pas que les personnes comprendront l’idée essentielle d’un verset simplement parce que nous le leur lisons. Faisons ressortir certaines parties du verset (peut-être en relisant les mots-clés) et prenons le temps de les expliquer. Cette méthode est très efficace pour que le message biblique touche l’esprit et le cœur des personnes – w2017 Septembre p23 §8 Le danger d’être juste à ses propres yeux - Dans sa lettre aux chrétiens de Rome, l’apôtre Paul a signalé un danger dont nous devons tous nous méfier si nous voulons effectivement ‘ chercher d’abord la justice de Dieu ’. Il a dit des Juifs de son époque : “ Je leur rends témoignage qu’ils ont du zèle pour Dieu ; mais non selon la connaissance exacte ; en effet, ne connaissant pas la justice de Dieu, mais cherchant à établir la leur propre, ils ne se sont pas soumis à la justice de Dieu. ” (Rom. 10:2, 3). Selon lui, ces Juifs fervents ne comprenaient pas la justice de Dieu parce qu’ils se préoccupaient avant tout d’établir leur justice à eux. Nous pourrions nous aussi tomber dans ce travers. Comment ? En nous comparant aux autres et en faisant du service que nous offrons à Dieu une compétition. Une telle attitude pourrait facilement nous amener à avoir une confiance excessive en nos capacités. Nous finirions alors par perdre de vue la justice de Dieu – TG2010 15/8 p10 §5,6 Il est exigé des vrais chrétiens plus qu’une simple confession de foi. Ils doivent démontrer leur croyance par des œuvres (Romains 10:10). Nés pécheurs, ceux qui deviennent chrétiens se repentent, se retournent, vouent leur vie à Jéhovah pour l’adorer et le servir, puis se font baptiser dans l’eau – it1 p444 Pour être forte, la foi doit s’appuyer sur la connaissance. Il faut commencer par étudier la Bible. Pour affermir sa foi, on doit examiner soigneusement les Écritures pour s’assurer de leur authenticité. “ La foi naît de ce qu’on a entendu ”, a écrit Paul (Romains 10:17). Que voulait-il dire ? Qu’en se nourrissant de la Parole de Dieu, on bâtit sa foi en Jéhovah, en ses promesses et en son organisation. Celui qui pose des questions en toute bonne foi obtiendra des réponses rassurantes. La fiabilité de la Parole de Dieu et la réalisation exacte de ses prophéties inspirent confiance en la réalisation de toutes Ses promesses. TG2005 15/02 p19 Le proclamateur zélé qu’était Paul ‘ glorifiait son ministère ’. (Romains 11:13) Comment ? Il avait renoncé à toute ambition personnelle. Il n’avait pas honte non plus d’être connu comme un compagnon de travail du Dieu qu’il servait. Il considérait au contraire son ministère comme le plus grand honneur qu’on puisse avoir. Il exposait la Parole de Dieu avec habileté et efficacité. Les bons résultats qu’il obtenait encourageaient les autres, les incitaient à accomplir leur ministère plus pleinement. Sous ce rapport aussi son ministère était glorifié. Comme Paul, nous glorifions notre ministère si nous utilisons la Parole de Dieu souvent et avec efficacité. Dans tous les aspects de notre activité, nous devrions avoir pour objectif de communiquer une pensée des Écritures au plus de gens possible. – TG2003 15/11 p9 §6,7
  19. JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Romains 9-11 Romains 9:21-23 : Pourquoi devons-nous nous laisser modeler par le Grand Potier, Jéhovah ? (w13 15/6 25 § 5) « Comment ? Est-ce que le potier n’a pas pouvoir sur l’argile pour fabriquer à partir du même bloc d’argile un récipient pour un usage honorable et un autre pour un usage déshonorant ? Si Dieu a voulu montrer sa colère et faire connaître sa puissance, et s’il a supporté avec beaucoup de patience des récipients de colère méritant d’être détruits, n’en a-t-il pas le droit ? Et s’il a agi ainsi afin de faire connaître l’immensité de sa gloire à des récipients de miséricorde qu’il a préparés d’avance pour la gloire » Et si un humain refuse obstinément de se laisser modeler, comment le Grand Potier exerce-t-il son autorité ? Pense au sort d’une argile qui devient impropre à l’usage que le potier veut en faire. Eh bien, il peut soit en faire un autre récipient soit la jeter ! Toutefois, quand l’argile est inutilisable, c’est généralement de la faute du potier. Mais en ce qui concerne notre Potier, ce n’est jamais le cas (Deut. 32:4). Quand une personne ne cède pas au modelage de Jéhovah, c’est toujours de sa faute à elle. Le Grand Potier exerce son autorité sur les humains en s’adaptant à la manière dont ils réagissent à son modelage. Ceux qui réagissent bien sont façonnés en récipients utiles. Par exemple, les chrétiens oints sont des « vases de miséricorde » qui ont été façonnés en « récipient pour un usage honorable ». En revanche, ceux qui s’opposent obstinément à Dieu finissent par être des « vases de colère devenus dignes de destruction » (Rom. 9:19-23) - w13 15/6 25 § 5 Si Jéhovah nous discipline (autrement dit nous façonne) avec patience, c’est parce qu’il nous aime comme ses enfants. Il veut que nous ayons de la sagesse, que nous soyons heureux, et que nous l’aimions comme notre Père Comme un potier habile qui connaît le genre d’argile qu’il modèle, notre Potier nous connaît très bien. Il connaît nos faiblesses, nos limites et nos progrès. C’est en pensant à tout cela qu’il façonne chacun de nous Jéhovah nous façonne, ou nous modèle : Il nous aide à changer pour devenir de meilleures personnes. Pour cela, il utilise la Bible, son esprit saint et l’assemblée – ws2016 Juin p3 Depuis la rébellion en Éden, tous ceux qui s’opposent à Jéhovah et à ses lois sont “ des vases de colère devenus dignes de destruction ”. Or Jéhovah continue d’exercer la patience. Les méchants se sont moqués de ses actions, ils ont persécuté ses serviteurs, ils ont même tué son Fils. Romains 10:2 : Pourquoi devons-nous nous assurer que notre culte est basé sur la connaissance exacte ? (it-1 1234 § 6) « Car, comme je peux en témoigner, ils ont du zèle pour Dieu, mais non selon la connaissance exacte ». Un zèle mal orienté. On peut se montrer sincèrement zélé, ou jaloux, pour une certaine cause, et néanmoins avoir tort et déplaire à Dieu. C’était le cas d’un grand nombre de Juifs du 1er siècle. Ils cherchaient à parvenir à la justice par leurs œuvres dans le cadre de la Loi mosaïque. Toutefois, Paul expliqua que leur zèle était mal orienté parce qu’il leur manquait la connaissance exacte. C’est pourquoi ils ne recevaient pas la vraie justice, celle qui vient de Dieu. Il leur faudrait prendre conscience de leur faute et se tourner vers Dieu par l’intermédiaire de Christ s’ils voulaient recevoir la justice et être affranchis de la condamnation de la Loi (Rm 10:1-10). Saul de Tarse était du nombre, zélé outre mesure pour le judaïsme, ‘ persécutant la congrégation de Dieu et la dévastant ’. Il observait scrupuleusement la Loi ; il était ‘ quelqu’un qui se montrait irréprochable ’. (Ga 1:13, 14 ; Ph 3:6.) Cependant, sa jalousie pour le judaïsme était mal orientée. Comme son cœur était sincère, Jéhovah exerça sa faveur imméritée par l’intermédiaire de Christ en le dirigeant vers la voie du vrai culte. — 1Tm 1:12, 13.- it-1 1234 § 6 Certains Juifs du 1er siècle refusaient d’admettre une vérité que les Écritures hébraïques établissaient clairement : l’identité du Messie. Jésus de Nazareth avait satisfait à tous les critères, réalisé toutes les prophéties. Pourtant un épais tissu d’idées préconçues empêchait quantité de ses compatriotes de comprendre la Parole de Dieu. Que nous apprend ce fait ? Qu’il est important de lire la Bible sans préjugés, car, tel un voile, ceux-ci obscurcissent l’intelligence des vérités bibliques. La Bible nous encourage à étudier consciencieusement ses enseignements. TG2009 1/7 La simple lecture de la Bible ne suffit pas pour devenir solide dans la foi. Nous devons comprendre et reconnaître l’importance de ce que nous lisons ; nous devons acquérir une connaissance exacte. À l’époque des apôtres, beaucoup de Juifs avaient une certaine connaissance des Écritures hébraïques, mais comme ils ne possédaient pas la connaissance exacte, leur zèle était vain. Ceux qui croient servir Dieu avec zèle doivent ‘voir à l’épreuve s’ils sont dans la foi, constater ce qu’ils sont personnellement’. – TG1977 15/10 §13 L’homme qui veut plaire à Dieu doit être sincère. Toutefois, Dieu n’agrée pas une religion simplement parce que ses pratiquants sont sincères. Leur sincérité était mal orientée. Ils se tournaient dans la mauvaise direction pour se faire instruire. Ils restaient attachés au système religieux juif, qui avait rejeté le Fils de Dieu et qui, de ce fait, se trouvait lui-même rejeté par Dieu – TG1969 1/9 Notre foi et le culte que nous rendons à Jéhovah ne devraient pas être fondés uniquement sur des sentiments. Nous avons besoin de la connaissance exacte de notre Créateur et de sa volonté. – TG2008 15/9 Il en va de même de nombreux membres de la chrétienté de nos jours. Comme les Juifs du Ier siècle, “ ils ont du zèle pour Dieu ; mais non selon la connaissance exacte ”. (Romains 10:2.) Quelques-uns étudient bien la Bible, mais ils ne veulent pas croire en son contenu. Ils refusent d’admettre que Jéhovah enseigne son peuple par l’intermédiaire de la classe de l’esclave fidèle et avisé, composée des chrétiens oints (Matthieu 24:45). Nous, pour notre part, nous comprenons que Jéhovah enseigne ses serviteurs et qu’il a toujours révélé la vérité progressivement (Proverbes 4:18). Nous nous laissons enseigner par lui, et il nous accorde de connaître sa volonté et son dessein. – TG2005 15/8 §10 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Notre conscience peut parfois se tromper. Pourquoi ? Parce qu’elle peut être influencée par nos pensées et nos sentiments imparfaits. Elle risque alors de nous guider dans la mauvaise direction. Une conscience qui fonctionne correctement ne s’acquiert pas de façon automatique. Notre conscience doit être éduquée. Pour nous aider, Jéhovah nous donne son esprit saint et les principes de la Bible (Romains 9:1). – lvs chap2 p16 §7 Ne doutons pas que Jéhovah fera ce qui est juste et droit en toutes circonstances. Même s’il nous semble que l’homme n’agit pas contre certaines injustices, Jéhovah, lui, promet : “ À moi la vengeance ; c’est moi qui paierai de retour. ” (Romains 12:19). Aussi, restons dans l’attente, et nous exprimerons la même conviction que l’apôtre Paul : “ Y a-t-il de l’injustice chez Dieu ? Que cela n’arrive jamais ! ” Romains 9:14. – cl chap12 p127 §20 À partir d’une même masse d’argile, le potier pouvait fabriquer un récipient pour un usage honorable et un autre pour un usage déshonorant, banal ou ordinaire. Pareillement, Jéhovah a le pouvoir de façonner les humains comme il lui plaît et il tolère les méchants, “ des vases de colère devenus dignes de destruction ”, mais cela concourt au bien des “ vases de miséricorde ”, les personnes qui composent l’Israël spirituel. — Romains 9:14-26. – it2 p626 Ne doutons jamais de Jéhovah. Dieu est parfait, et ses pensées sont supérieures aux nôtres. Si nous ne sommes pas orgueilleux, nous devrions être capables d’admettre que nous ne comprenons pas tout. L’humilité et la modestie nous aideront donc à admettre que notre compréhension des choses est limitée (Romains 9:20). La plupart du temps, nous ne savons pas tout au sujet d’une situation. – TG2013 15/8 p14 §18 Il est capital que tous les humains connaissent le nom divin (Romains 10:13). Cela implique bien davantage que de savoir simplement quel est le nom personnel de Dieu. Cela demande de connaître aussi la personne que ce nom représente et de mener une vie conforme aux desseins rattachés à ce nom. Tous ceux qui adorent le vrai Dieu ont la responsabilité de faire connaître son nom avec zèle, à l’exemple de Jésus. Jéhovah Dieu promet de bénir ceux qui connaissent, emploient et honorent son grand nom – it1 p324 Quelles œuvres bonnes Jéhovah apprécie-t-il notamment ? Tout d’abord, nos efforts pour imiter son Fils, Jésus Christ. Il attache également une grande importance à nous voir proclamer la bonne nouvelle de son Royaume. En Romains 10:15, nous lisons : “ Qu’ils sont jolis les pieds de ceux qui annoncent des bonnes nouvelles de choses bonnes ! ” Peut-être ne nous viendrait-il pas à l’idée de qualifier de “ jolis ” nos pauvres pieds. Mais ils représentent ici nos efforts pour prêcher la bonne nouvelle, efforts que Jéhovah trouve beaux et précieux – cl chap24 p240 §8 La vue spirituelle. L’œil spirituel comme l’œil physique sont des dons de Dieu. Dieu promet de guérir les yeux spirituels, tout comme les yeux physiques, et de supprimer toute raison de pleurer. Il est impossible de comprendre les desseins de Dieu sans le don de la vue spirituelle. À l’inverse, Jéhovah cache sa vérité aux yeux des obstinés et des rebelles, en faisant “ que leurs yeux s’obscurcissent ”. (Romains 11:8-10) “ Ils ont des yeux [au sens littéral], mais ils ne voient pas [au sens spirituel]. ”-it2 p433 Moïse a dit aux Israélites que les commandements de Jéhovah étaient pour leur bien et que, s’ils y obéissaient, ils resteraient en vie. C’est pareil aujourd’hui. Tout ce que Jéhovah nous demande de faire va améliorer notre vie. Notre Père, Jéhovah, sait toujours ce qu’il y a de mieux pour nous (Romains 11:33). Cela signifie que, lorsque Jéhovah dit ou fait quelque chose, c’est toujours par amour – lvs chap1 p4 §15 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? T’es-tu déjà senti découragé parce que les personnes de ton territoire ne veulent pas écouter le message du Royaume ? Si c’est le cas, tu peux comprendre ce que l’apôtre Paul a ressenti. Pendant la trentaine d’années où il a prêché, il en a aidé beaucoup à devenir chrétiens. Toutefois, il n’a pas fait beaucoup de disciples parmi les Juifs. La plupart d’entre eux ont refusé de l’écouter et certains l’ont même persécuté. Quel effet cela a-t-il eu sur lui ? Il a admis : « J’ai une grande tristesse et une douleur incessante dans mon cœur » (Rom. 9:1-3). Pourquoi de tels sentiments ? Parce qu’il aimait vraiment prêcher et qu’il se souciait sincèrement des Juifs. Il était donc triste de les voir rejeter la miséricorde de Dieu. – W2018P Mai p12 §4 Mais cela ne suffit pas de lire des versets aux personnes à qui nous prêchons. Pourquoi ? Parce que la plupart des gens ne comprennent pas bien, ou pas du tout, la Bible. C’était déjà le cas au 1er siècle (Romains 10:2). Ne pensons pas que les personnes comprendront l’idée essentielle d’un verset simplement parce que nous le leur lisons. Faisons ressortir certaines parties du verset (peut-être en relisant les mots-clés) et prenons le temps de les expliquer. Cette méthode est très efficace pour que le message biblique touche l’esprit et le cœur des personnes – w2017 Septembre p23 §8 Le danger d’être juste à ses propres yeux - Dans sa lettre aux chrétiens de Rome, l’apôtre Paul a signalé un danger dont nous devons tous nous méfier si nous voulons effectivement ‘ chercher d’abord la justice de Dieu ’. Il a dit des Juifs de son époque : “ Je leur rends témoignage qu’ils ont du zèle pour Dieu ; mais non selon la connaissance exacte ; en effet, ne connaissant pas la justice de Dieu, mais cherchant à établir la leur propre, ils ne se sont pas soumis à la justice de Dieu. ” (Rom. 10:2, 3). Selon lui, ces Juifs fervents ne comprenaient pas la justice de Dieu parce qu’ils se préoccupaient avant tout d’établir leur justice à eux. Nous pourrions nous aussi tomber dans ce travers. Comment ? En nous comparant aux autres et en faisant du service que nous offrons à Dieu une compétition. Une telle attitude pourrait facilement nous amener à avoir une confiance excessive en nos capacités. Nous finirions alors par perdre de vue la justice de Dieu – TG2010 15/8 p10 §5,6 Il est exigé des vrais chrétiens plus qu’une simple confession de foi. Ils doivent démontrer leur croyance par des œuvres (Romains 10:10). Nés pécheurs, ceux qui deviennent chrétiens se repentent, se retournent, vouent leur vie à Jéhovah pour l’adorer et le servir, puis se font baptiser dans l’eau – it1 p444 Pour être forte, la foi doit s’appuyer sur la connaissance. Il faut commencer par étudier la Bible. Pour affermir sa foi, on doit examiner soigneusement les Écritures pour s’assurer de leur authenticité. “ La foi naît de ce qu’on a entendu ”, a écrit Paul (Romains 10:17). Que voulait-il dire ? Qu’en se nourrissant de la Parole de Dieu, on bâtit sa foi en Jéhovah, en ses promesses et en son organisation. Celui qui pose des questions en toute bonne foi obtiendra des réponses rassurantes. La fiabilité de la Parole de Dieu et la réalisation exacte de ses prophéties inspirent confiance en la réalisation de toutes Ses promesses. TG2005 15/02 p19 Le proclamateur zélé qu’était Paul ‘ glorifiait son ministère ’. (Romains 11:13) Comment ? Il avait renoncé à toute ambition personnelle. Il n’avait pas honte non plus d’être connu comme un compagnon de travail du Dieu qu’il servait. Il considérait au contraire son ministère comme le plus grand honneur qu’on puisse avoir. Il exposait la Parole de Dieu avec habileté et efficacité. Les bons résultats qu’il obtenait encourageaient les autres, les incitaient à accomplir leur ministère plus pleinement. Sous ce rapport aussi son ministère était glorifié. Comme Paul, nous glorifions notre ministère si nous utilisons la Parole de Dieu souvent et avec efficacité. Dans tous les aspects de notre activité, nous devrions avoir pour objectif de communiquer une pensée des Écritures au plus de gens possible. – TG2003 15/11 p9 §6,7
  20. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 25 Février 2019 - Romains 9-11.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 25 Février 2019 - Romains 9-11.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Romains 9-11 Romains 9:21-23 : Pourquoi devons-nous nous laisser modeler par le Grand Potier, Jéhovah ? (w13 15/6 25 § 5) « Comment ? Est-ce que le potier n’a pas pouvoir sur l’argile pour fabriquer à partir du même bloc d’argile un récipient pour un usage honorable et un autre pour un usage déshonorant ? Si Dieu a voulu montrer sa colère et faire connaître sa puissance, et s’il a supporté avec beaucoup de patience des récipients de colère méritant d’être détruits, n’en a-t-il pas le droit ? Et s’il a agi ainsi afin de faire connaître l’immensité de sa gloire à des récipients de miséricorde qu’il a préparés d’avance pour la gloire » Et si un humain refuse obstinément de se laisser modeler, comment le Grand Potier exerce-t-il son autorité ? Pense au sort d’une argile qui devient impropre à l’usage que le potier veut en faire. Eh bien, il peut soit en faire un autre récipient soit la jeter ! Toutefois, quand l’argile est inutilisable, c’est généralement de la faute du potier. Mais en ce qui concerne notre Potier, ce n’est jamais le cas (Deut. 32:4). Quand une personne ne cède pas au modelage de Jéhovah, c’est toujours de sa faute à elle. Le Grand Potier exerce son autorité sur les humains en s’adaptant à la manière dont ils réagissent à son modelage. Ceux qui réagissent bien sont façonnés en récipients utiles. Par exemple, les chrétiens oints sont des « vases de miséricorde » qui ont été façonnés en « récipient pour un usage honorable ». En revanche, ceux qui s’opposent obstinément à Dieu finissent par être des « vases de colère devenus dignes de destruction » (Rom. 9:19-23) - w13 15/6 25 § 5 Si Jéhovah nous discipline (autrement dit nous façonne) avec patience, c’est parce qu’il nous aime comme ses enfants. Il veut que nous ayons de la sagesse, que nous soyons heureux, et que nous l’aimions comme notre Père Comme un potier habile qui connaît le genre d’argile qu’il modèle, notre Potier nous connaît très bien. Il connaît nos faiblesses, nos limites et nos progrès. C’est en pensant à tout cela qu’il façonne chacun de nous Jéhovah nous façonne, ou nous modèle : Il nous aide à changer pour devenir de meilleures personnes. Pour cela, il utilise la Bible, son esprit saint et l’assemblée – ws2016 Juin p3 Depuis la rébellion en Éden, tous ceux qui s’opposent à Jéhovah et à ses lois sont “ des vases de colère devenus dignes de destruction ”. Or Jéhovah continue d’exercer la patience. Les méchants se sont moqués de ses actions, ils ont persécuté ses serviteurs, ils ont même tué son Fils. Romains 10:2 : Pourquoi devons-nous nous assurer que notre culte est basé sur la connaissance exacte ? (it-1 1234 § 6) « Car, comme je peux en témoigner, ils ont du zèle pour Dieu, mais non selon la connaissance exacte ». Un zèle mal orienté. On peut se montrer sincèrement zélé, ou jaloux, pour une certaine cause, et néanmoins avoir tort et déplaire à Dieu. C’était le cas d’un grand nombre de Juifs du 1er siècle. Ils cherchaient à parvenir à la justice par leurs œuvres dans le cadre de la Loi mosaïque. Toutefois, Paul expliqua que leur zèle était mal orienté parce qu’il leur manquait la connaissance exacte. C’est pourquoi ils ne recevaient pas la vraie justice, celle qui vient de Dieu. Il leur faudrait prendre conscience de leur faute et se tourner vers Dieu par l’intermédiaire de Christ s’ils voulaient recevoir la justice et être affranchis de la condamnation de la Loi (Rm 10:1-10). Saul de Tarse était du nombre, zélé outre mesure pour le judaïsme, ‘ persécutant la congrégation de Dieu et la dévastant ’. Il observait scrupuleusement la Loi ; il était ‘ quelqu’un qui se montrait irréprochable ’. (Ga 1:13, 14 ; Ph 3:6.) Cependant, sa jalousie pour le judaïsme était mal orientée. Comme son cœur était sincère, Jéhovah exerça sa faveur imméritée par l’intermédiaire de Christ en le dirigeant vers la voie du vrai culte. — 1Tm 1:12, 13.- it-1 1234 § 6 Certains Juifs du 1er siècle refusaient d’admettre une vérité que les Écritures hébraïques établissaient clairement : l’identité du Messie. Jésus de Nazareth avait satisfait à tous les critères, réalisé toutes les prophéties. Pourtant un épais tissu d’idées préconçues empêchait quantité de ses compatriotes de comprendre la Parole de Dieu. Que nous apprend ce fait ? Qu’il est important de lire la Bible sans préjugés, car, tel un voile, ceux-ci obscurcissent l’intelligence des vérités bibliques. La Bible nous encourage à étudier consciencieusement ses enseignements. TG2009 1/7 La simple lecture de la Bible ne suffit pas pour devenir solide dans la foi. Nous devons comprendre et reconnaître l’importance de ce que nous lisons ; nous devons acquérir une connaissance exacte. À l’époque des apôtres, beaucoup de Juifs avaient une certaine connaissance des Écritures hébraïques, mais comme ils ne possédaient pas la connaissance exacte, leur zèle était vain. Ceux qui croient servir Dieu avec zèle doivent ‘voir à l’épreuve s’ils sont dans la foi, constater ce qu’ils sont personnellement’. – TG1977 15/10 §13 L’homme qui veut plaire à Dieu doit être sincère. Toutefois, Dieu n’agrée pas une religion simplement parce que ses pratiquants sont sincères. Leur sincérité était mal orientée. Ils se tournaient dans la mauvaise direction pour se faire instruire. Ils restaient attachés au système religieux juif, qui avait rejeté le Fils de Dieu et qui, de ce fait, se trouvait lui-même rejeté par Dieu – TG1969 1/9 Notre foi et le culte que nous rendons à Jéhovah ne devraient pas être fondés uniquement sur des sentiments. Nous avons besoin de la connaissance exacte de notre Créateur et de sa volonté. – TG2008 15/9 Il en va de même de nombreux membres de la chrétienté de nos jours. Comme les Juifs du Ier siècle, “ ils ont du zèle pour Dieu ; mais non selon la connaissance exacte ”. (Romains 10:2.) Quelques-uns étudient bien la Bible, mais ils ne veulent pas croire en son contenu. Ils refusent d’admettre que Jéhovah enseigne son peuple par l’intermédiaire de la classe de l’esclave fidèle et avisé, composée des chrétiens oints (Matthieu 24:45). Nous, pour notre part, nous comprenons que Jéhovah enseigne ses serviteurs et qu’il a toujours révélé la vérité progressivement (Proverbes 4:18). Nous nous laissons enseigner par lui, et il nous accorde de connaître sa volonté et son dessein. – TG2005 15/8 §10 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Notre conscience peut parfois se tromper. Pourquoi ? Parce qu’elle peut être influencée par nos pensées et nos sentiments imparfaits. Elle risque alors de nous guider dans la mauvaise direction. Une conscience qui fonctionne correctement ne s’acquiert pas de façon automatique. Notre conscience doit être éduquée. Pour nous aider, Jéhovah nous donne son esprit saint et les principes de la Bible (Romains 9:1). – lvs chap2 p16 §7 Ne doutons pas que Jéhovah fera ce qui est juste et droit en toutes circonstances. Même s’il nous semble que l’homme n’agit pas contre certaines injustices, Jéhovah, lui, promet : “ À moi la vengeance ; c’est moi qui paierai de retour. ” (Romains 12:19). Aussi, restons dans l’attente, et nous exprimerons la même conviction que l’apôtre Paul : “ Y a-t-il de l’injustice chez Dieu ? Que cela n’arrive jamais ! ” Romains 9:14. – cl chap12 p127 §20 À partir d’une même masse d’argile, le potier pouvait fabriquer un récipient pour un usage honorable et un autre pour un usage déshonorant, banal ou ordinaire. Pareillement, Jéhovah a le pouvoir de façonner les humains comme il lui plaît et il tolère les méchants, “ des vases de colère devenus dignes de destruction ”, mais cela concourt au bien des “ vases de miséricorde ”, les personnes qui composent l’Israël spirituel. — Romains 9:14-26. – it2 p626 Ne doutons jamais de Jéhovah. Dieu est parfait, et ses pensées sont supérieures aux nôtres. Si nous ne sommes pas orgueilleux, nous devrions être capables d’admettre que nous ne comprenons pas tout. L’humilité et la modestie nous aideront donc à admettre que notre compréhension des choses est limitée (Romains 9:20). La plupart du temps, nous ne savons pas tout au sujet d’une situation. – TG2013 15/8 p14 §18 Il est capital que tous les humains connaissent le nom divin (Romains 10:13). Cela implique bien davantage que de savoir simplement quel est le nom personnel de Dieu. Cela demande de connaître aussi la personne que ce nom représente et de mener une vie conforme aux desseins rattachés à ce nom. Tous ceux qui adorent le vrai Dieu ont la responsabilité de faire connaître son nom avec zèle, à l’exemple de Jésus. Jéhovah Dieu promet de bénir ceux qui connaissent, emploient et honorent son grand nom – it1 p324 Quelles œuvres bonnes Jéhovah apprécie-t-il notamment ? Tout d’abord, nos efforts pour imiter son Fils, Jésus Christ. Il attache également une grande importance à nous voir proclamer la bonne nouvelle de son Royaume. En Romains 10:15, nous lisons : “ Qu’ils sont jolis les pieds de ceux qui annoncent des bonnes nouvelles de choses bonnes ! ” Peut-être ne nous viendrait-il pas à l’idée de qualifier de “ jolis ” nos pauvres pieds. Mais ils représentent ici nos efforts pour prêcher la bonne nouvelle, efforts que Jéhovah trouve beaux et précieux – cl chap24 p240 §8 La vue spirituelle. L’œil spirituel comme l’œil physique sont des dons de Dieu. Dieu promet de guérir les yeux spirituels, tout comme les yeux physiques, et de supprimer toute raison de pleurer. Il est impossible de comprendre les desseins de Dieu sans le don de la vue spirituelle. À l’inverse, Jéhovah cache sa vérité aux yeux des obstinés et des rebelles, en faisant “ que leurs yeux s’obscurcissent ”. (Romains 11:8-10) “ Ils ont des yeux [au sens littéral], mais ils ne voient pas [au sens spirituel]. ”-it2 p433 Moïse a dit aux Israélites que les commandements de Jéhovah étaient pour leur bien et que, s’ils y obéissaient, ils resteraient en vie. C’est pareil aujourd’hui. Tout ce que Jéhovah nous demande de faire va améliorer notre vie. Notre Père, Jéhovah, sait toujours ce qu’il y a de mieux pour nous (Romains 11:33). Cela signifie que, lorsque Jéhovah dit ou fait quelque chose, c’est toujours par amour – lvs chap1 p4 §15 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? T’es-tu déjà senti découragé parce que les personnes de ton territoire ne veulent pas écouter le message du Royaume ? Si c’est le cas, tu peux comprendre ce que l’apôtre Paul a ressenti. Pendant la trentaine d’années où il a prêché, il en a aidé beaucoup à devenir chrétiens. Toutefois, il n’a pas fait beaucoup de disciples parmi les Juifs. La plupart d’entre eux ont refusé de l’écouter et certains l’ont même persécuté. Quel effet cela a-t-il eu sur lui ? Il a admis : « J’ai une grande tristesse et une douleur incessante dans mon cœur » (Rom. 9:1-3). Pourquoi de tels sentiments ? Parce qu’il aimait vraiment prêcher et qu’il se souciait sincèrement des Juifs. Il était donc triste de les voir rejeter la miséricorde de Dieu. – W2018P Mai p12 §4 Mais cela ne suffit pas de lire des versets aux personnes à qui nous prêchons. Pourquoi ? Parce que la plupart des gens ne comprennent pas bien, ou pas du tout, la Bible. C’était déjà le cas au 1er siècle (Romains 10:2). Ne pensons pas que les personnes comprendront l’idée essentielle d’un verset simplement parce que nous le leur lisons. Faisons ressortir certaines parties du verset (peut-être en relisant les mots-clés) et prenons le temps de les expliquer. Cette méthode est très efficace pour que le message biblique touche l’esprit et le cœur des personnes – w2017 Septembre p23 §8 Le danger d’être juste à ses propres yeux - Dans sa lettre aux chrétiens de Rome, l’apôtre Paul a signalé un danger dont nous devons tous nous méfier si nous voulons effectivement ‘ chercher d’abord la justice de Dieu ’. Il a dit des Juifs de son époque : “ Je leur rends témoignage qu’ils ont du zèle pour Dieu ; mais non selon la connaissance exacte ; en effet, ne connaissant pas la justice de Dieu, mais cherchant à établir la leur propre, ils ne se sont pas soumis à la justice de Dieu. ” (Rom. 10:2, 3). Selon lui, ces Juifs fervents ne comprenaient pas la justice de Dieu parce qu’ils se préoccupaient avant tout d’établir leur justice à eux. Nous pourrions nous aussi tomber dans ce travers. Comment ? En nous comparant aux autres et en faisant du service que nous offrons à Dieu une compétition. Une telle attitude pourrait facilement nous amener à avoir une confiance excessive en nos capacités. Nous finirions alors par perdre de vue la justice de Dieu – TG2010 15/8 p10 §5,6 Il est exigé des vrais chrétiens plus qu’une simple confession de foi. Ils doivent démontrer leur croyance par des œuvres (Romains 10:10). Nés pécheurs, ceux qui deviennent chrétiens se repentent, se retournent, vouent leur vie à Jéhovah pour l’adorer et le servir, puis se font baptiser dans l’eau – it1 p444 Pour être forte, la foi doit s’appuyer sur la connaissance. Il faut commencer par étudier la Bible. Pour affermir sa foi, on doit examiner soigneusement les Écritures pour s’assurer de leur authenticité. “ La foi naît de ce qu’on a entendu ”, a écrit Paul (Romains 10:17). Que voulait-il dire ? Qu’en se nourrissant de la Parole de Dieu, on bâtit sa foi en Jéhovah, en ses promesses et en son organisation. Celui qui pose des questions en toute bonne foi obtiendra des réponses rassurantes. La fiabilité de la Parole de Dieu et la réalisation exacte de ses prophéties inspirent confiance en la réalisation de toutes Ses promesses. TG2005 15/02 p19 Le proclamateur zélé qu’était Paul ‘ glorifiait son ministère ’. (Romains 11:13) Comment ? Il avait renoncé à toute ambition personnelle. Il n’avait pas honte non plus d’être connu comme un compagnon de travail du Dieu qu’il servait. Il considérait au contraire son ministère comme le plus grand honneur qu’on puisse avoir. Il exposait la Parole de Dieu avec habileté et efficacité. Les bons résultats qu’il obtenait encourageaient les autres, les incitaient à accomplir leur ministère plus pleinement. Sous ce rapport aussi son ministère était glorifié. Comme Paul, nous glorifions notre ministère si nous utilisons la Parole de Dieu souvent et avec efficacité. Dans tous les aspects de notre activité, nous devrions avoir pour objectif de communiquer une pensée des Écritures au plus de gens possible. – TG2003 15/11 p9 §6,7
  21. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 18 FEVRIER 2019 - ROMAINS 7-8.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 18 FEVRIER 2019 - ROMAINS 7-8.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Romains 7-8 Romains 8:6 : Quelle différence y a-t-il entre « fixer sa pensée sur la chair » et « fixer sa pensée sur l’esprit » ? (w17.06 3) « En effet, fixer sa pensée sur la chair mène à la mort, mais fixer sa pensée sur l’esprit mène à la vie et à la paix » Celui qui pense à la chair se concentre sur ses désirs et ses penchants imparfaits ; il parle constamment des choses de la chair et s’en délecte. Celui qui pense à l’esprit donne la priorité aux choses qui sont en accord avec Dieu et ses pensées ; il se laisse diriger par l’esprit saint. « Penser à la chair » conduit à la mort ; « penser à l’esprit » conduit à la vie et à la paix – w17 06 Avant d’effectuer une action, bonne ou mauvaise, nous y avons forcément pensé. Celui qui fixe constamment son attention sur les choses de la chair ne tarde pas à développer une attitude mentale axée uniquement sur elles. Celles-ci finissent en général par avoir entièrement prise sur ses opinions, ses centres d’intérêt et ce qu’il affectionne. “ Penser à la chair [...] signifie la mort ” — spirituelle aujourd’hui et physique dans un proche avenir. Pourquoi ? “ Parce que penser à la chair signifie inimitié contre Dieu, car elle n’est pas soumise à la loi de Dieu, et même, elle ne peut pas l’être. Ceux donc qui vivent selon la chair ne peuvent plaire à Dieu. ” “ Penser à l’esprit signifie vie ”, la vie éternelle dans l’avenir, “ et paix ”, la paix intérieure et la paix avec Dieu dès aujourd’hui. Dans la pratique, qu’implique “ penser à l’esprit ” ? Fixer constamment son attention sur les choses de l’esprit de manière à développer une attitude mentale axée sur elles. Notre façon de penser est alors “ soumise à la loi de Dieu ” et s’harmonise avec la sienne. Ainsi, lorsque se présente une tentation, nous n’avons aucun doute quant à la conduite à adopter. Nous sommes poussés vers le bon choix, un choix guidé par l’esprit de Dieu. Il est donc essentiel de fixer nos pensées sur les choses de l’esprit. Pour y parvenir, ‘ mobilisons nos facultés mentales pour l’action ’, mettons au centre de notre vie des activités spirituelles régulières, comme la prière, la lecture et l’étude de la Bible, les réunions et la prédication Ne permettons pas aux choses de la chair d’être une source de distraction. En pensant aux choses de l’esprit, nous continuerons à marcher selon l’esprit. Cela nous vaudra des bénédictions, car penser à l’esprit signifie vie et paix - TG2011 15/11 p14 §15-18 Etre une personne spirituelle n’est pas une simple question de convenance personnelle ou de tendance naturelle. Il s’agit en réalité d’une question de vie ou de mort. En quel sens quelqu’un de spirituel reçoit-il ‘ vie et paix ’ ? D’après la Bible, une telle personne est, dès à présent, en paix avec elle-même ainsi qu’avec Dieu et, dans l’avenir, elle recevra la vie éternelle en récompense. – TG2007 1/8 p4 Romains 8:26, 27 : Comment Jéhovah peut-il répondre aux « gémissements qui ne sont pas exprimés » ?(w09 15/11 7 § 20). « Pareillement, l’esprit aussi vient à notre aide quand nous sommes faibles ; car le problème, c’est que nous ne savons pas toujours ce qu’il nous faut demander dans nos prières, mais lorsque nos gémissements ne sont pas exprimés, l’esprit lui-même intercède en notre faveur. 27 Et celui qui examine les cœurs sait quelle est l’intention de l’esprit, parce que c’est selon la volonté de Dieu qu’il intercède en faveur des saints ». 20 Il peut nous arriver de ne pas savoir quoi dire dans nos prières personnelles. “ Le problème, explique Paul, le voici : ce pour quoi nous devons prier comme nous en avons besoin, nous ne le savons pas, mais l’esprit [saint] lui-même sollicite pour nous avec des gémissements qui n’ont pas été exprimés. Cependant, celui qui scrute les cœurs [c’est-à-dire Dieu] sait quelle est l’intention de l’esprit. ” (Rom. 8:26, 27). Jéhovah a fait consigner dans les Écritures de nombreuses prières. Il considère que ces requêtes inspirées correspondent à ce que nous aurions souhaité lui demander, et il les exauce. Dieu nous connaît intimement et il comprend les sentiments que les écrivains de la Bible ont décrits sous l’impulsion de l’esprit. Jéhovah répond à nos supplications quand l’esprit “ sollicite ”, autrement dit intercède, pour nous. Mais à mesure que notre connaissance biblique s’affine, nous trouvons plus facilement les mots pour exprimer nos requêtes. – TG2009 15/11 p7§20 En Romains 8:26, 27, Paul explique que les serviteurs de Dieu ne savent pas toujours exactement quoi demander comme ils en ont besoin quand ils prient. Cependant, Dieu sait qu’ils désirent que sa volonté soit faite. Il sait aussi de quoi ses serviteurs ont besoin. Par le passé, Dieu a fait consigner dans sa Parole de nombreuses prières inspirées, qui expriment sa volonté ou sa pensée à leur égard. Il agrée donc ces prières inspirées comme étant ce que son peuple aimerait dire et ce pour quoi il aimerait prier, et en conséquence il les exauce. Dieu connaît les cœurs sincères et il connaît aussi la “ pensée ” des choses qu’il a fait dire à son esprit par l’intermédiaire des rédacteurs de la Bible. Il sait “ quelle est l’intention [la pensée] de l’esprit ” lorsque celui-ci “ sollicite ”, ou intercède, pour eux. - it-2 p524-525 Nos gémissements intérieurs demeurent souvent inexprimés parce que nous ne comprenons pas totalement la situation dans laquelle nous nous trouvons ou parce que nous ne savons pas que dire à Jéhovah. C’est dans ces moments-là que l’esprit saint peut intercéder pour nous. Paul a écrit: “Le problème se pose: ce que nous devons demander dans nos prières comme il le faudrait, nous ne le savons pas, mais l’esprit lui-même sollicite pour nous par des gémissements inexprimés.” (Romains 8:26). Comment cela? La Parole de Dieu renferme des prophéties et des prières inspirées qui se rapportent à notre situation. Jéhovah les laisse en quelque sorte intercéder pour nous. Il considère que c’est ce que nous dirions si nous comprenions comment elles s’appliquent à notre cas, et il nous exauce en conséquence. – TG1991 15/12 p18 §18 Parfois, nous avons du mal à savoir exactement quoi demander dans la prière. Dans ce cas, Dieu peut même voir les sentiments que nous n’avons pas su exprimer ; il fait appel à sa connaissance parfaite de notre situation pour répondre précisément à nos besoins (Romains 8:26, 27). Quand nous nous rendons compte que Dieu est intervenu dans notre vie, même de façon discrète, nous nous sentons attirés par lui. – TG2014 1/ 4 p4 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Nous sommes tous issus d’Adam. Que nous le voulions ou non, nous avons hérité de lui un corps imparfait, soumis au péché et à la mort. Paul décrit bien notre triste condition. « Je suis charnel, écrit-il, vendu sous le péché. Homme misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps voué à cette mort ? » Paul répond lui-même à sa question : « Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur ! » (Romains 7:14, 24, 25). – TG2015 1/3 p4 Jéhovah est conscient du pouvoir du péché. Sa Parole présente le péché comme une force qui tient l’homme dans son étreinte mortelle. Et quelle étreinte ! Dans sa lettre aux Romains, l’apôtre Paul explique : nous sommes “ sous le péché ”, comme des soldats sont sous les ordres de leur commandant (Romains 3:9) ; le péché “ a régné ” sur les humains comme un roi (Romains 5:21) ; il “ réside ” en nous (Romains 7:17, 20) ; sa “ loi ” est constamment à l’œuvre en nous, cherchant à diriger nos actions (Romains 7:23, 25). Quelle terrible emprise le péché exerce sur notre chair déchue Romains 7:21, 24. cl chap26 §5 Satan veut détruire notre amitié avec Jéhovah. Il aimerait détruire notre relation avec Jéhovah, que ce soit en nous attaquant frontalement par la persécution ou sournoisement en rongeant lentement notre foi. Le découragement est une de ses tactiques sournoises les plus efficaces. C’est efficace, car cela détruit peu à peu notre amitié avec Jéhovah. Parfois Paul était découragé. Un jour il a dit qu’il était un « homme misérable ». Il pensait qu’il ne valait rien. (Romains 7:21-24) Pourtant Paul avait une belle amitié avec Jéhovah, et il faisait sans doute partie du collège central. Alors pourquoi était-il découragé ? C’était à cause de ses points faibles. Il voulait faire le bien mais ce n’était pas toujours facile. Si nous sommes découragé à cause de nos points faibles, nous serons rassuré de savoir que Paul a eu les mêmes sentiments. – TG2014 15/9 p12 §12 L’apôtre Paul a encouragé tous les chrétiens à ne pas banaliser, ou considérer comme ordinaire, la liberté que Jéhovah nous a donnée par le moyen de son Fils, Jésus Christ. Paul était profondément malheureux et avait la conscience troublée parce qu’il était captif du péché et de la mort. Mais il a déclaré avec reconnaissance : « Grâces soient rendues à Dieu [ou : Je remercie Dieu] par Jésus Christ notre Seigneur ! » Pourquoi ? Il a expliqué à ses compagnons chrétiens : « Car la loi de l’esprit qui donne la vie en union avec Christ Jésus vous a libérés de la loi du péché et de la mort » (Rom. 7:24, 25 ; 8:2). À l’exemple de Paul, nous ne devrions jamais oublier que Jéhovah nous a libérés du péché et de la mort. Grâce à la rançon, nous pouvons servir notre Dieu avec une conscience nette et y prendre vraiment plaisir – TG2018 Avril p8 §7 Paul s’est exclamé : « Homme misérable que je suis ! » (Rom. 7:24). Beaucoup d’entre nous se disent la même chose. Pourquoi ? Parce que même si nous désirons réellement plaire à Jéhovah, nous n’y arrivons pas toujours à cause de notre imperfection, et cela nous décourage. Mais la Bible nous assure que «ceux qui se réfugient en Jéhovah» n’ont pas à se sentir écrasés par la culpabilité – TG2017 Novembre p8 §1,2 Romains 7:21-25. Paul savait bien comme cela peut être dur de lutter contre de mauvais désirs et des faiblesses. Mais il était sûr qu’il pouvait gagner le combat s’il priait Jéhovah pour lui demander son aide, et s’il manifestait sa foi dans le sacrifice de Jésus. Et nous ? Pouvons-nous gagner le combat contre nos faiblesses ? Oui, si comme Paul nous comptons entièrement sur la force de Jéhovah et pas sur la nôtre, et si nous avons foi en la rançon. – ws2016/9 p8 §14 Jéhovah n’acceptera notre culte que s’il est saint, ou pur. Notre culte ne peut pas être pur si nous faisons des choses que Jéhovah déteste, comme la violence, les actes sexuels immoraux et tout ce qui a un lien avec le spiritisme (Romains 8:13). Mais si nous nous divertissons avec ces choses, cela ne plaira pas non plus à Jéhovah. Notre culte ne sera pas pur et Jéhovah ne l’acceptera pas. Cela mettra sérieusement en danger notre amitié avec lui. – lvs chap6 p75 §6 Tous ceux qui sont fidèles à Jéhovah et à son organisation recevront des bienfaits. Les chrétiens oints seront rois avec Jésus dans le ciel. (Romains 8:16, 17) Les autres chrétiens recevront la vie sans fin dans le Paradis. Tous les adorateurs de Jéhovah ont la belle mission de parler aux gens de ces bienfaits. Si nous rendons notre amitié avec Jéhovah plus forte et si nous continuons à progresser spirituellement en avançant au rythme de l’organisation de Jéhovah, en marchant constamment à son allure, nous aussi nous pourrons recevoir des bienfaits extraordinaires. – ws2014 15/5 p21 §16 Dieu ne manifeste pas son amour uniquement en comblant nos besoins physiques. Il nous a aussi accordé de l’honneur et de la dignité en mettant en nous des besoins spirituels et en nous donnant la capacité de les combler. Grâce à cela, les humains qui obéissent à Dieu peuvent espérer faire un jour partie de sa famille, être ses « enfants » (Romains 8:19-21).- TG2014 1/3 p3 Romains 8:21 nous garantit que le monde nouveau viendra bel et bien. Ce verset promet que « la création elle aussi sera libérée de l’esclavage de la corruption et aura la liberté glorieuse des enfants de Dieu ». La question est de savoir si nous y serons, si nous obtiendrons la récompense – TG2016/12 p13 §4 Quand nous rendons témoignage, nous pouvons expliquer que, sous le règne de Christ, l’humanité bénéficiera de l’application complète du sacrifice rédempteur et sera progressivement amenée à la perfection. La Bible déclare : « La création elle aussi sera libérée de l’esclavage de la corruption et aura la liberté glorieuse des enfants de Dieu » (Rom. 8:21). Cela sera possible uniquement grâce à la faveur extraordinaire de Jéhovah. – TG2016/7 p30 §18 L’amour de Dieu pour les humains est si grand qu’il ne leur refuse pas le bien, quoi qu’il lui en coûte. Son amour est éternel. Nous pourrons toujours compter dessus. Tout humain sensible à l’amour de Jéhovah et qui se soumet avec obéissance à sa domination connaîtra un avenir merveilleux « Je suis convaincu, a écrit Paul, que ni mort ni vie, ni anges ni gouvernements, ni choses présentes ni choses à venir, ni puissances, ni hauteur ni profondeur, ni aucune autre création ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Christ Jésus notre Seigneur » (Rom. 8:38, 39). – TG2015 15/11 p16 §15 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Satan sait que nous avons des points faibles. Parfois il profite de nos points faibles pour nous pousser à faire des choses mauvaises. Alors cela devient difficile de rester fidèles à Jéhovah. Il y a des signaux qui nous avertissent d’un danger. Par exemple, ne plus prier, ou prêcher moins, ou aller moins souvent aux réunions. C’est dangereux de penser que ce n’est pas grave. Nous risquons peu à peu de ne plus entendre ce que Jéhovah nous dit. Satan va en profiter et il va nous pousser à obéir à nos mauvais désirs. Finalement, nous risquons de faire une action mauvaise que nous ne pensions jamais faire. (Romains 7:15) Mais cela n’arrivera pas si nous faisons des changements dans notre conduite dès que nous voyons le signal d’un danger. Si nous écoutons bien la voix de Jéhovah, nous n’écouterons jamais la voix d’étrangers. – ws2014 15/8 p21 §8 Tout le monde peut être tenté, même des adultes. En effet, la tentation peut se manifester de différentes façons. L’apôtre Paul n’était pas tout jeune quand il a écrit : « Je prends en effet plaisir à la loi de Dieu [...], mais je vois dans mes membres une autre loi qui fait la guerre contre la loi de mon intelligence et qui m’emmène captif vers la loi du péché » (Romains 7:22, 23). Si Paul a résisté à l’envie de céder, nous aussi nous pouvons y arriver ! Et puis, pourquoi devenir esclave de nos désirs ? (1 Corinthiens 9:27). Si nous sommes jeune et si nous apprenons dès maintenant à résister à la tentation, nous allons nous épargner bien des soucis et cela nous sera également utile quand nous serons adulte. – RV2014/10 p8 La liberté que l’esprit de Jéhovah procure est plus qu’une libération d’un esclavage physique. L’esprit de Jéhovah libère de l’imperfection et de la mort, ainsi que du faux culte et de ses pratiques (Romains 8:2). Quelle liberté extraordinaire ! Même quelqu’un qui est en prison ou esclave peut en ressentir les bienfaits – TG2018 Avril p8 §5 Les chrétiens oints pensent toujours au Royaume céleste de Dieu et à leur espérance d’être « cohéritiers de Christ » (Rom. 8:14-17). Et ceux qui ont une espérance terrestre ? Comment les paroles de Paul s’appliquent-elles à eux ? Comment les « autres brebis » peuvent-elles penser toujours aux « choses d’en haut » ? Bien qu’elles n’aient pas l’espérance céleste, les autres brebis aussi peuvent penser toujours aux choses d’en haut. Comment ? En accordant la priorité à Jéhovah Dieu et aux intérêts du Royaume. Notre chair imparfaite nous porte à nous adonner à des choses qui flattent nos sens (Romains 7:21-25). Sans l’action de l’esprit saint de Dieu dans notre vie, nous pourrions céder à « des œuvres des ténèbres » Pour rester vigilant spirituellement, il nous faut donc penser toujours aux choses d’en haut. Nous pouvons le faire sous trois rapports. Notre conduite, notre mentalité, notre soutien à la prédication – TG2014 15/10 p28 Dans le monde d’aujourd’hui, le chagrin, les souffrances et la mort sont partout. Les humains gémissent, souffrent et meurent (Romains 8:22) C’est pour cela que nous avons besoin du monde nouveau de Jéhovah où la guérison physique complète promise par Dieu aura lieu. Dans ce monde-là, tous les humains auront ce que Jéhovah a promis : une santé parfaite. Notre reconnaissance sincère envers Dieu et notre foi profonde dans ses promesses devraient dès maintenant nous pousser à faire tout notre possible pour être dignes de vivre dans le monde nouveau. – TG2015 15/6 p12 §18 Une image nette de notre récompense invisible nous aide à persévérer, à être joyeux et à prendre des décisions en fonction de notre espoir de vivre éternellement. Paul a écrit à des chrétiens oints : « Si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous continuons à l’attendre avec endurance » (Rom. 8:25). En fait, ces paroles s’appliquent à tous les chrétiens qui espèrent vivre éternellement. Bien que nous n’ayons pas encore reçu notre « récompense », notre foi est si forte que nous continuons à l’attendre patiemment. Comme Moïse, nous ne considérons aucune année passée à servir Jéhovah comme du temps perdu. TG2014 15/4 p3
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