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misette

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  2. Vidéo par écrit « « Le fer s’aiguise par le fer » » -Semaine du 28 janvier.docx Vidéo par écrit « « Le fer s’aiguise par le fer » » -Semaine du 28 janvier.pdf « Le fer s’aiguise par le fer » 3 frères interviewés par Gary Breaux assistant du comité pour le service Gary Breaux : Nous avons la joie d’interviewer 3 frères qui ont été responsables itinérants ; et l’objectif de cet interview est bien résumé en Proverbes 27 :17 « Le fer s’aiguise par le fer. Ainsi un homme aiguise le visage d’un autre » TMN ancienne version « Comme le fer aiguise le fer, ainsi un homme aide son ami à progresser » TMN française C’est vrai, on peut aiguiser une lame en fer à l’aide d’un outil lui aussi en fer et le Proverbe dit que de la même manière, un homme peut aiguiser le visage d’un autre. Mais qu’est-ce que ça veut dire « aiguiser un visage ». Bien le mot hébreu traduit par visage emporte l’idée de « contenance » c’est-à-dire une manière de se tenir, une attitude qui peut être assurée oui ou non. Donc un homme par son expérience peut aiguiser la contenance d’un autre, lui donner de l’assurance et c’est l’objectif de cet interview. Ces frères ont des dizaines d’années d’expérience dans le service itinérant. Ils ont rencontré des épreuves et des difficultés, ils ont jeté leur fardeau sur Jéhovah et Jéhovah les a soutenus. Jerry Murray – Son parcours : Il a déclaré : “Ma mère a commencé à étudier en 1946.Je me suis fait baptiser en 1954 et je suis devenu pionnier en 1960. Avec ma femme, nous avons été invités à la 41ème classe de Guiléad en 1965 et nous avons été envoyés en Guyane britannique qu’on appelle aujourd’hui Guyana. Nous y sommes restés 5 ans et demi. Comme j’ai eu des problèmes de santé, nous avons été réaffectés à Grenada dans le Mississippi en tant que pionniers spéciaux. Nous y sommes restés 2 ans et en 1973, je suis redevenu responsable itinérant. Maintenant, depuis Septembre, nous sommes redevenus pionniers spéciaux ». Felice Episcopo - Son parcours : Il a déclaré : « Un jour, un frère oint est venu frapper à notre porte à Summit dans le New Jersey aux Etats-Unis. Ma mère est devenue Témoin en 1945. Il nous a enseigné la Bible et je lui en suis très reconnaissant. Je me suis fait baptiser en 1950, je suis devenu pionnier en 1953 et j’ai eu la joie de suivre les cours de la 26ème classe de Guiléad en 1955. En 1956, j’ai été nommé responsable de circonscription en Bolivie puis en 1959, responsable de circonscription et de district en Argentine. En 1964, nous avons reçu une nouvelle affectation. Nous sommes devenus parents et nous avons dû rentrer aux Etats-Unis. Chaque décennie nous a réservé des défis. Années 50, le service missionnaire, années 60, les enfants, années 70, le soutien de l’œuvre en Espagne avec nos deux garçons, années 80 les CCR puis les constructions internationales, années 90 et 2000, responsable itinérant et instructeur et en 2015, pionnier spécial ». Rodney Thompson - Son parcours : Il a déclaré : « J’avais 5 ans quand mon père a connu la vérité. Je me suis fait baptiser à 12 ans en 1953 et en 1959, à la fin de mes études, je suis devenu pionnier permanent. En 1962, j’ai été invité au Béthel. Ça été une étape importante dans ma vie et j’y suis resté 4 ans. Puis j’ai quitté le Béthel pour me marier. A l’époque, j’étais attiré par le service itinérant. On m’a dit « commence par être pionnier spécial pendant 6 mois et après on verra » Donc nous avons été pionniers spéciaux pendant 1 an et demi. Puis en 1968, nous avons été affectés dans le service itinérant. J’ai eu la joie d’être responsable de circonscription et de district, instructeur à l’école de formation ministérielle et l’année dernière, ma 40ème année de service, j’ai été instructeur en détachement et depuis le 1er septembre 2014, nous sommes pionniers spéciaux ». Gary Breaux : « A vous 3, vous cumulez plus de 150 ans de service à plein temps. C’est remarquable ! Mais nous aimerions connaître quelles épreuves, quelles difficultés vous avez rencontrées » Jerry Murray – « Dans le service itinérant, on voyageait beaucoup. C’est d’ailleurs pour ça qu’on l’appelle service itinérant. En Amérique du Sud, au Guyana, on voyageait parfois des semaines sans utiliser de voiture. On voyageait par avion, par bateau, par d’autres moyens de transport encore. Pour ce qui est des logements, ils étaient très modestes au Guyana, d’autres étaient très luxueux. A chaque fois, les frères nous ont offert ce qu’ils avaient de mieux. Pendant plus de la moitié de nos années passées dans le service itinérant, nous avons logé chez des frères et sœurs et nous avons noué certaines de nos amitiés les plus fortes et les plus durables avec des frères et sœurs qui nous ont hébergés. Franchement, j’encourage vraiment les responsables itinérants à loger chez des frères et sœurs pour renforcer des relations avec eux. Une difficulté rencontrée. Les affectations de dernière minute. Par exemple, l’année dernière, durant la première semaine de l’année de service, j’ai reçu un coup de fil du Béthel, très tôt le jeudi matin, avant 7 heures. On me demandait d’aller dans le Wisconsin – Usa pour remplacer un responsable de district. J’ai demandé quand t’est-ce je dois aller ? On m’a répondu ce week-end. Il faudrait que tu partes demain. Je n’avais aucun discours de prêt et je devais en donner quatre. J’ai donc fait au plus simple. J’ai appelé des amis dans le service itinérant et je leur ai dit de m’envoyer les notes de leurs discours pour m’aider et c’est ce qu’ils ont fait. Et je crois que c’est l’avantage d’avoir des amitiés fortes avec d’autres responsables itinérants » Felice Episcopo – Les difficultés qu’il a rencontrées « En Bolivie où j’ai commencé le service de responsable de circonscription en novembre 1956, on se déplaçait principalement en camion et ma circonscription couvrait tout le pays qui fait à peu près deux fois et demi la taille de la Californie. Il n’y avait que cinq congrégations en Bolivie ; à part ça, c’était des groupes isolés. J’ai eu la joie de faire connaître la vérité dans de nombreux villages. Ce n’était pas toujours facile mais j’étais jeune et solide. Par contre, la vraie difficulté qu’on a eu à surmonter, c’était en 1964 quand on a dû quitter notre chère affectation pour élever notre enfant ; et je dois avouer que j’ai perdu un an à m’apitoyer sur moi-même jusqu’au jour où j’ai compris à quel point j’étais négatif. Avec l’aide de Jéhovah, je me suis dit « reprend-toi, ta carrière de serviteur à plein temps n’est pas forcément terminée ». Et nous nous sommes fixés l’objectif de reprendre notre service. En 1986, quand nos fils étaient grands, nous avons pu reprendre notre service spécial à plein temps. Rodney Thompson - Les difficultés qu’il a rencontrées – « J’aimerai citer un exemple précis. Alors que j’attendais mon affectation à mon départ du Béthel, ma femme m’a dit « il y a deux endroits où je ne veux pas aller à cause du racisme : le Mississippi et l’Alabama. Et bien notre première affectation, ça été l’Alabama et la troisième le Mississippi. Et on s’est régalé parce que Jéhovah nous a façonnés et il nous a formés ; c’était une magnifique expérience. Ça nous a préparé à assumer les tâches que Jéhovah nous a confiées. Dans les difficultés, je citerai aussi le fait de prendre soin de nos parents âgés et mes problèmes de santé. Par exemple, Vernis s’est beaucoup inquiété pour sa maman. Elle s’en voulait de ne pas pouvoir être auprès de sa maman pour s’occuper d’elle, même si son frère et ses deux sœurs prenaient soin d’elle. Et en ce qui me concerne, mes frères et sœurs, je suis l’ainé de 8 enfants, m’ont beaucoup soutenu dans mon affectation. Si mes parents avaient un problème, j’étais le dernier à être au courant, ils réglaient tout, et ils m’en parlaient seulement ensuite. Je leur en suis très reconnaissant. Et pour ce qui est de mes problèmes de santé, il y a 8 ou 9 ans, on m’a diagnostiqué un cancer de la prostate. L’Organisation m’a été d’un grand soutien. Je me demandais comment on allait payer le traitement et si on recevrait de l’aide. Ils m’ont laissé décider du traitement que je subirais et j’ai choisi une chirurgie robotisée qui se pratiquait en Alabama. Finalement on s’est tellement bien occupé de moi, que j’ai pu dormir tranquille et je n’ai pas eu besoin de m’inquiéter. Encore aujourd’hui, je remercie le Béthel pour son soutien ». Gary Breaux : « Merci à tous les 3 pour vos témoignages. On imagine que ça n’a pas dû être facile pour vous. Peut-être, que vous pourriez nous expliquer comment vous avez jeté vos fardeaux sur Jéhovah, comment il vous a soutenu dans vos épreuves ». Jerry Murray – « Bien en 1996, je suis tombé très malade et les médecins ne savaient pas ce que j’avais. Ça à durer jusqu’au printemps 97. Je prêchais avec le responsable de district, frère Samuel Herd, et j’étais tellement mal que je fais une porte, puis je m’allongeais et je faisais une autre porte. Frère Herd m’a dit que j’étais fou de m’acharner comme ça et il m’a conseillé d’appeler le service médical du Béthel. Finalement je suis allé dans une clinique pour faire des examens. En fait, j’avais une forme assez grave de sclérodermie. C’est une maladie auto immune qui est une catégorie de maladies graves liées à une suractivité du système immunitaire qui lutte contre des tissus naturellement présents chez l'homme. Ma femme et moi, on a toujours cru qu’on serait toujours jeune quand le paradis arriverait. On n’avait jamais mis beaucoup d’argent de côté. Et quand j’y repense, je serai incapable d’expliquer comment les choses se sont passées. Mais ça s’est passé. On a toujours eu tout ce qu’il nous fallait. Notre allocation de pionniers spéciaux couvrait nos besoins essentiels et l’allocation de l’appartement mais il nous manquait quand même 400 dollars (352 euros) chaque mois. Heureusement, des frères écrivaient des cartes pour me souhaiter un bon rétablissement dans lesquels, ils glissaient 10 ou 15 dollars (9 ou 14 euros). Au final, on a toujours eu ce qu’il fallait. La seule explication que je vois : c’est que Jéhovah a toujours veillé à nos besoins et bien sûr, la filiale a aussi joué un rôle important ». Felice Episcopo – « Quand nous avons repris notre service spécial à plein temps en 1986, nous avons dû prendre soin de membres âgés de notre famille. Par moment, c’était tellement difficile que j’ai cru qu’on allait devoir arrêter notre service. Mais certains frères qui étaient passés par là, nous ont beaucoup aidés. Comme frère Firvida, qui nous a dit : « Vous pouvez y arriver » et avec l’aide de Jéhovah et beaucoup de prières, on y est arrivé et on continue de prendre soin d’eux jusqu’à ce jour. Donc, aujourd’hui, depuis qu’on est redevenus pionniers spéciaux, ce n’est plus seulement de deux personnes qu’il faut comblés les besoins, mais de quatre. Et pour la première fois de ma vie, je suis confronté aussi à un gros problème de santé : un cancer. Mais je suis persuadé que Jéhovah prendra bien soin de nous comme il l’a toujours fait ». Rodney Thompson - « Un verset qui m’a beaucoup encouragé c’est Jérémie 29 :11,12 « Car je sais bien ce que j’envisage pour vous, déclare Jéhovah. C’est la paix que je veux pour vous, et non le malheur. Je veux vous donner un avenir et un espoir. Vous m’appellerez, vous viendrez me prier, et je vous écouterai.”. Je crois en ses paroles. On a eu des questions sans réponses. On a fait face à des obstacles, à des problèmes qui semblaient sans solution. Alors on a attendu devoir ce que Jéhovah allait faire. Et il a toujours trouvé la bonne solution pour nous. Nous lui en sommes très reconnaissants ». Gary Breaux : « Peut-être que vous pourriez maintenant nous expliquer ce qui vous a aidé à persévérer dans votre affectation pendant toutes ces années ». Rodney Thompson - « C’est la joie de servir les autres. Je crois que frère Murray en a déjà touché deux mots. Ça n’à rien avoir avec la fonction, c’est vraiment l’honneur de servir les autres. On nous appelait serviteur de circonscription à une époque. Quand on peut aider quelqu’un, il réagit bien. Ça fait vraiment plaisir. En fait, une question qui revient souvent c’est : « Tu te souviens de moi ? » et la plupart du temps, la réponse est « Non ». Mais souvent, quand des frères et sœurs nous posent cette question, ils nous rappellent quelque chose que nous avons dit ou fait qui les a touchés et qui leur a fait du bien. Et ça c’est une belle récompense, ça nous aide à persévérer » Felice Episcopo – « Moi, je dirai l’amour du le service. C’est très enrichissant de servir ses frères et sœurs mais il y a des défis comme celui d’être toujours sur la route et tout ce qui va avec. Heureusement, j’ai une femme en or. Elle était missionnaire quand elle avait la vingtaine et elle a été toujours missionnaire dans l’âme. Même quand elle a élevé les enfants. Toutes ces années, elle m’a toujours accompagné sans se plaindre. La seule chose qu’elle a réclamé, c’est un bon programme d’activités spirituelles ». Jerry Murray – « C’est tout à fait vrai ce qu’on dit les frères. En fait, être responsable itinérant, c’est être au service de nos frères et de Jéhovah. Et donc, quand on aime Jéhovah et ses frères, être à leur service, ça permet d’avancer, ça motive et on prend plaisir à ce qu’on fait ». Rodney Thompson – « Je suis entière d’accord avec frère Episcopo quand il a parlé d’une femme en or, d’une femme qui soutient son mari. Sans elles, on y arriverait pas ». Gary Breaux : « C’est vrai ! Je connais bien vos femmes. Je confirme qu’elles sont vraiment très précieuses. Chacun de vous a été récemment réaffecté en tant que pionnier spécial et ce changement vous a causé un stress. Est-ce que vous pourriez nous dire ce que vous avez ressenti, comment cela s’est passé pour vous et peut-être de donner quelques suggestions aux frères qui atteindront bientôt les 70 ans ». Jerry Murray – « Pour moi, la plus grosse difficulté a été d’ordre psychologique. Pendant plus de 40 ans, j’ai eu un emploi du temps bien chargé, et établi par la filiale. On me disait, où aller, quand aller et quoi faire. Et tout d’un coup, plus rien. L’année dernière, j’ai fait deux discours à l’assemblée régionale, j’ai é té instructeur à l’école des anciens pendant 5 semaines, président d’une assemblée, j’ai été instructeur à deux écoles des pionniers, j’ai été servir ma circonscription et tout ça, c’est fini maintenant. Comme le disait frère Episcopo, on aime énormément toutes ces activités ; donc ça fait un gros changement. J’avais aussi un peu l’impression d’avoir été mis sur la touche parce que je n’avais plus accès aux mêmes informations qu’avant. Maintenant, j’ai dû m’y faire. Ce qui m’a beaucoup aidé, c‘est une phrase de la lettre annonçant notre changement d’affectation. Elle disait que le Collège central a pris cette décision en raison de l’amour. Je suis convaincu que c’est le cas parce que je me rends compte que ma santé s’est détériorée et que mes forces ont diminué. Je pouvais aller encore aux réunions, donner des discours mais ce que je ne pouvais plus faire aussi bien qu’avant, c’était les longues journées de prédication ; et c’est pourtant notre mission principale. On est là pour aider les frères à prêcher la bonne nouvelle du Royaume. Quand j’ai accepté cette réalité, ça m’a aidé à m’adapter à ce changement. Et donc, je voudrais dire aux frères qui vont vivre ce changement, qu’ils ont un peu de temps pour s’y préparer, vous avez un peu de temps pour réfléchir à ce que vous allez faire et je vous le recommande fortement. Réfléchissez à l’endroit où vous aimeriez vivre. Personnellement, je vous encourage d’aller où vous êtes connu, là où vous avez des amis, ou peut-être là où vous avez été itinérant. Réfléchissez aussi aux raisons pour lesquelles le Collège central a pris cette décision et aux bienfaits que vont en retirer les assemblées. Prenez aussi le temps de vous rappeler les bons moments et toutes les joies que vous avez eues au service de Jéhovah. Je pense que c’est ce que Paul faisait parce que dans sa dernière lettre de II Timothée 4 :7 « J’ai combattu le beau combat », il repensait sans doute aux joies qu’il avait eu dans le ministère. Je crois que c’est une très bonne chose. Felice Episcopo – « Moi, je dois dire que j’aimais beaucoup cette vie, alors forcément, ça me manque. On doit faire une croix sur certaines choses, accepté de ne plus être au courant de tout. Mais j’ai vraiment le sentiment que le Collège central dirige les choses, et accepter cette direction, c’est une bonne habitude à prendre parce que de toute façon, dans le monde nouveau, on nous dira aussi quoi faire. Donc ma recommandation, c’est de se laisser diriger par le Collège central et si ça veut dire changer d’affectation, et bien d’accord, il faut s’y habituer parce que c’est comme ça que ça va se passer. Quand les Autorités de César ne seront plus là, il faudra bien qu’on soit dirigé ». Rodney Thompson – « J’ai eu la chance d’être très occupé jusqu’au bout. J’ai participé à l’école biblique des couples chrétiens, à une assemblée internationale, puis j’ai été instructeur à 3 écoles des pionniers. Tout cela m’a bien occupé jusqu’au moment où il était temps de changer. Je n’ai pas vraiment eu le temps d’angoisser, de m’appesantir sur ce qu’allait être cette nouvelle affectation. Donc ma réaffectation dans le service de pionnier spécial a été facilitée grâce à cela. Comme le disait frère Murray, si on peut s’installer dans un endroit où on a effectué notre service, alors on va se retrouver avec des amis fidèles. C’est ce qui s’est passé pour moi. Je me suis installé dans une région où j’avais été responsable itinérant. Alors les frères me connaissaient, ils m’ont fourni un appartement situé dans une Salle du Royaume. Ils m’ont été d’un grand soutien, et ça nous a aidé à nous adapter au changement ». Jerry Murray – « Il faut apprendre à appartenir à une assemblée. Pendant des années, nous avons supervisé des assemblées de notre circonscription. Maintenant, on est comme n’importe quel ancien, dans un collège. Et en fait, il a fallu que je fasse des recherches pour savoir ce que font les anciens. Il a fallu me rafraîchir la mémoire. J’ai dû aussi apprendre à être un bon pionnier spécial et je me suis concentré là-dessus. Par exemple, pendant 40 ans, j’avais accompagné les autres dans leurs études, leurs nouvelles visites et je n’en avais pas beaucoup moi-même. Maintenant, il faut que j’apprenne à en avoir et à bien m’en occuper. Donc, il n’y a pas de quoi s’ennuyer. Felice Episcopo – « Pour aller dans le même sens, même si en 1964, j’ai fait l’erreur de m’apitoyer sur moi-même, cette fois, j’ai hâte de goûter à plein de nouvelles choses. Etre un vrai ancien dans une assemblée, un collège et une chose à laquelle je tiens vraiment, en tant qu’ex. responsable itinérant, c’est de bien faire sentir aux frères que je ne suis pas là pour rivaliser avec eux. J’ai hâte de faire partie de leur collège et d’appliquer ce que j’ai enseigné pendant toutes ces années. J’ai hâte d’avoir des études bibliques et j’ai l’intention d’appliquer ce que l’esclave nous encourage à faire avec les maris non Témoins. J’ai déjà eu de bons résultats dans ce domaine et j’espère commencer des études avec certains d’entre eux et peut-être de les emmener à progresser jusqu’au baptême ». Rodney Thompson – « Quelque chose que ma femme apprécie. Vous n’allez pas me croire : c’est d’avoir la lecture des paragraphes lors de l’étude de la Tour de Garde. Pendant des dizaines d’années, c’était des résumés de Tour de Garde ou alors des études abrégées quand on visite des assemblées. Elle les apprécie de les avoir en entier maintenant. Un jour dans l’assemblée où je suis affecté à présent, j’ai fait la lecture des paragraphes à l’étude de la Tour de Garde et quand je suis redescendu de l’estrade, le frère m’a demandé « c’est quand la dernière fois que tu as fait la lecture à la Tour de Garde ? ». C’était un vrai plaisir. Gary Breaux – « Et pour trouver un logement, c’est souvent source de stress. Comment ça s’est passé pour vous » Felice Episcopo – « Bien c’est toujours une grosse difficulté parce qu’il nous faut un logement pour quatre. Pas seulement pour deux. On a déjà fait quelques recherches, mais ce n’est pas facile de repartir à zéro quand l’Organisation vous a fourni un toit pendant 29 ans. Cela dit, on est sûr que Jéhovah va nous aider. Le problème n’est pas encore résolu, mais il le sera bientôt. On va faire notre part et Jéhovah nous bénira » Rodney Thompson – « Dans notre cas, ma femme et moi, on est logé dans un appartement situé dans une Salle du Royaume. Ce sont les anciens qui l’ont mis à notre disposition. Les frères ont fait beaucoup pour nous. Ils l’ont entièrement repeint et ils nous ont fourni tout ce qu’il nous fallait pour qu’on soit bien logé. Ils veillent aussi toujours à ce que l’on soit bien installé, semaine après semaine. C’est un grand soutien pour nous. Gary Breaux – « Nous voulons vraiment vous remercier pour tout ce que vous avez fait et pour vos beaux témoignages. Soyez sûr que nos prières à Jéhovah vont vous bénir, vous et vos femmes. Tandis que vous persévérez dans le service spécial à plein temps en tant que pionniers spéciaux » C’était très encourageant n’est-ce pas, d’entendre le témoignage de ces frères. Comme le dit le Proverbes « Le fer s’aiguise par le fer ». Et c’est vrai. Un homme spirituel peut aiguiser le visage d’un autre homme spirituel. C’est pour cette raison que nous avons tellement apprécié cet interview. Dans votre parcours spirituel, vous rencontrerez des épreuves et des difficultés. Qu’est-ce qui vous aidera dans ces moments-là : Premièrement, la plupart d’entre vous, auront dans leur circonscription, d’anciens responsables itinérants devenus pionniers spéciaux. Profitez de leur sagesse, passez du temps avec eux, et apprenez d’eux. Deuxièmement, vous connaissez d’autres responsables de circonscription. Peut -être un jour, vous rencontrerez un problème dont vous aimeriez parler avec l’un d’entre eux. Essayez de le voir le lundi ou passez-lui un coup de téléphone. Ses conseils, ses recommandations, ses suggestions pourront vous être très utiles. Rappelez-vous aussi que la Filiale est là pour vous aider. Vous pourrez avoir une conversation avec un membre du comité de la Filiale ou du département pour le service. Ces frères seront toujours là pour vous soutenir et vous apportez toute l’aide possible, mais par-dessus tout, n’oubliez pas que Jéhovah sera toujours à vos côtés. Pour conclure, j’aimerai vous citez un très beau verset 1 Samuel 12 :22 « Par égard pour son grand nom, Jéhovah ne vous abandonnera pas, car Jéhovah s’est décidé à faire de vous son peuple » TMN française Alors, frères, nous vous encourageons à rester très proche de Jéhovah, à l’exemple de ces 3 frères. Appuyez-vous sur Lui et il vous soutiendra dans toutes les épreuves et les difficultés que vous rencontrerez dans votre service et vous recevrez, vous aussi, de nombreuses bénédictions dans votre service sacré ! Cahier Vie chrétienne et ministère ˙ Assiste aux réunions pour la prédication. Le responsable de circonscription est encouragé de voir que les proclamateurs font des sacrifices pour profiter pleinement de la semaine d’activité spéciale (1Th 1:2, 3 ; 2:20). Pourrais-tu être pionnier auxiliaire ce mois-là ? Pourrais-tu proposer au responsable et à sa femme de prêcher avec toi ou de t’accompagner à un cours biblique ? Ils aiment prêcher avec différents proclamateurs, dont ceux qui prêchent depuis peu ou ceux qui manquent d’assurance en prédication. ˙ Sois hospitalier. Pourrais-tu loger le responsable de circonscription et sa femme ou les inviter à manger ? C’est une façon de leur montrer que tu les aimes. Dis-toi qu’ils ne s’attendent pas à être reçus comme des rois (Lc 10:38-42). ˙ Écoute et applique ses instructions et ses conseils. Avec beaucoup d’amour, le responsable de circonscription nous donne des conseils pour que nous puissions servir encore mieux Jéhovah. Mais il arrive qu’il soit obligé de nous donner des conseils fermes (1Co 5:1-5). Notre obéissance et notre soumission sont une source de joie pour lui (Hé 13:17). ˙ Exprime ta reconnaissance. Dis au responsable de circonscription et à sa femme en quoi leurs efforts t’ont fait du bien. Tu peux le faire de vive voix ou leur écrire un mot (Col 3:15).
  3. rajout Livre Prédicateurs chapitre 30 La Société a organisé une assemblée spéciale à Montréal les 2 et 3 novembre 1946. Les différents orateurs ont donné un aperçu de la position des Témoins de Jéhovah à la lumière tant des Écritures que de la loi du pays. Ensuite, on a annoncé une campagne de diffusion, en 16 jours et dans tout le pays, du tract La haine ardente du Québec pour Dieu, pour Christ et pour la liberté, est un sujet de honte pour tout le Canada, et cela en anglais, en français et en ukrainien. Ce tract relatait en détail les violences exercées par les foules et les autres atrocités commises à l’encontre des Témoins de Jéhovah du Québec. Un deuxième tract intitulé Québec, tu as trahi ton peuple! a ensuite été publié. Au Québec, le nombre des arrestations est monté en flèche. Pour remédier à la situation, la filiale de la Société Watch Tower au Canada a créé un service juridique avec des représentants à la fois à Toronto et à Montréal. Le public canadien a protesté avec vigueur lorsqu’il a appris par voie de presse que Maurice Duplessis, premier ministre du Québec, avait volontairement provoqué la faillite du restaurant tenu par un Témoin de Jéhovah, Frank Roncarelli, pour la simple raison qu’il payait la caution de ses compagnons dans la foi. Puis, le 2 mars 1947, les Témoins de Jéhovah ont lancé une pétition nationale invitant les Canadiens à demander au gouvernement l’adoption d’une Déclaration des droits. Ils ont recueilli plus de 500 000 signatures. C’était la pétition la plus importante jamais présentée au Parlement canadien. L’année suivante, une autre pétition, qui a eu encore plus de succès, est venue appuyer la première. Pendant ce temps, la Société a choisi deux affaires qui pourraient faire jurisprudence pour interjeter appel devant la Cour suprême du Canada. L’une d’elles, l’affaire Aimé Boucher contre Sa Majesté le Roi, avait pour objet l’accusation de sédition qui avait été maintes fois lancée contre les Témoins. L’affaire Boucher avait trait à la participation d’Aimé Boucher, paisible agriculteur, à la diffusion du tract La haine ardente du Québec. Était-ce séditieux de sa part de faire connaître les violences exercées par les foules contre les Témoins du Québec, de montrer le peu de respect que les personnalités auxquelles les Témoins avaient affaire manifestaient pour la loi, et d’apporter la preuve que ces actions étaient menées à l’instigation des évêques et d’autres membres du clergé catholique? Un juge de la Cour suprême qui a analysé le tract diffusé a déclaré: “Le document était intitulé ‘La haine ardente du Québec pour Dieu, pour Christ et pour la liberté, est un sujet de honte pour tout le Canada’. Il consistait d’abord en un appel au calme et à la raison lancé à ceux qui allaient examiner les questions annoncées par ce titre; ensuite, en un aperçu de la vive persécution dont les Témoins, en tant que frères du Christ, sont victimes au Québec; puis en une relation plus détaillée de cas précis de persécution; enfin, en un appel aux habitants de la province, pour protester contre la loi de la rue et les méthodes dignes de la Gestapo, afin que, grâce à l’étude de la Parole de Dieu et à l’obéissance à ses commandements, puisse se produire une ‘abondante moisson de bons fruits d’amour pour Lui, pour le Christ et pour la liberté humaine’.” La Cour suprême a cassé la sentence rendue contre Aimé Boucher, mais trois des cinq juges ont simplement ordonné un nouveau procès. Les juridictions inférieures allaient-elles rendre un jugement impartial? L’avocat des Témoins de Jéhovah a alors demandé que la Cour suprême entende elle-même l’affaire une deuxième fois. Aussi étonnant que cela puisse paraître, la Cour a accepté. Or, durant la période d’instruction du dossier, le nombre des juges de la Cour suprême a augmenté, et l’un des juges a changé d’avis. C’est ainsi qu’en décembre 1950 frère Boucher a été acquitté par cinq voix contre quatre. Livre Le Royaume en action chapitre 13 Au cours des années 1940, les Témoins du Canada subissent une opposition féroce. En 1946, pour dénoncer publiquement le mépris de l’État envers la liberté de culte, nos frères organisent une campagne de 16 jours durant laquelle ils distribuent un tract intitulé La haine ardente du Québec pour Dieu, pour Christ et pour la liberté, est un sujet de honte pour tout le Canada. Ce tract de quatre pages décrit les émeutes organisées par le clergé, les brutalités policières, ainsi que les violences perpétrées par des foules à l’encontre de nos frères de la province du Québec. « Les arrestations illégales des témoins de Jéhovah se continuent », y lit-on. « Il y a plus de 800 accusations portées contre les témoins de Jéhovah dans le Grand Montréal. » Le Premier ministre du Québec, Maurice Duplessis, très proche du cardinal Villeneuve, réagit au tract en déclarant une « guerre sans merci » aux Témoins. Le nombre de procédures double rapidement, passant à 1 600. « La police nous arrêtait si souvent que nous avons cessé de compter », se rappellera une pionnière. Les proclamateurs qui sont pris à distribuer le tract sont inculpés de diffusion d’écrits séditieux. En 1947, frère Aimé Boucher et ses filles, Gisèle et Lucille, âgées respectivement de 18 et 11 ans, sont les premiers à être jugés pour sédition. Ils ont effectivement distribué des tracts Haine ardente du Québec près de leur ferme, dans les collines au sud de Québec, mais il est difficile de voir en eux des fauteurs de troubles sans foi ni loi. Frère Boucher est un homme humble et doux qui s’occupe paisiblement de sa petite ferme et se rend de temps en temps en ville avec sa charrette. Sa famille a pourtant subi quelques-uns des mauvais traitements mentionnés dans le tract. Leur innocence crève les yeux, mais le juge de première instance, qui déteste les Témoins, refuse de la reconnaître. Il prend le parti de l’accusation, qui soutient que, le tract incitant à la malveillance, les Boucher sont coupables. Son point de vue se résume donc ainsi : Dire la vérité est un crime ! Aimé et Gisèle sont condamnés pour diffamation séditieuse, et la petite Lucille elle-même a droit à deux jours de prison. Les frères font appel devant la Cour suprême du Canada, la plus haute juridiction du pays, qui accepte d’entendre l’affaire. Pendant ce temps, nos courageux frères et sœurs du Québec continuent de prêcher le Royaume. La fréquence et la violence des agressions ne diminuent pas, mais les résultats sont là : Au cours des quatre années qui suivent la diffusion du tract en 1946, le nombre des Témoins au Québec passe de 300 à 1 000 ! En juin 1950, les neuf juges de la Cour suprême du Canada en formation plénière examinent l’affaire Boucher. Six mois plus tard, le 18 décembre, ils rendent une décision en notre faveur. Frère Glen How, l’un de nos avocats, expliquera que la cour a accepté l’argument de la défense selon lequel la « sédition » sous-entend l’incitation à la violence ou à l’insurrection contre le gouvernement. Or le tract « ne contenait, observera-t-il, aucune incitation de ce genre et constituait, dès lors, un exercice légal de la liberté d’expression ». Et de conclure : « J’étais aux premières loges pour constater que Jéhovah nous avait accordé la victoire. » La décision de la Cour suprême constitue une victoire retentissante pour le Royaume de Dieu. Elle permet de classer 122 autres affaires dans lesquelles des Témoins du Québec sont inculpés de sédition. Elle accorde aussi aux citoyens du Canada, et du Commonwealth en général, la liberté de s’exprimer sur les méthodes de l’État. Enfin, elle stoppe net l’attaque menée par le tandem Église-État contre les libertés des Témoins de Jéhovah.
  4. Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Si nous chérissons “ la parole de vérité ” et que nous ‘ gardions la loi de Dieu constamment ’, nous aurons le courage nécessaire pour donner le témoignage sans craindre la honte. Grâce à une étude assidue de la Parole écrite de Dieu, nous serons à même de ‘ parler de ses rappels devant des rois ’ La prière et l’esprit de Jéhovah également nous aideront à dire ce qu’il faut, comme il le faut. Avec courage, Paul a parlé des rappels de Dieu à des dirigeants de son époque. Il a par exemple donné le témoignage au gouverneur romain Félix, qui “ l’écouta sur la foi en Christ Jésus ”. (Actes 24:24, 25.) Il a en outre rendu témoignage devant le gouverneur Festus et le roi Agrippa (Actes 25:22–26:32). Avec le soutien de Jéhovah, nous pouvons nous aussi être des témoins courageux, qui n’ont jamais “ honte de la bonne nouvelle ”. – TG2005 15/4 p13 §14 Dieu laisse subsister la structure politique du monde parce qu’elle offre une certaine stabilité, qui nous permet de prêcher la bonne nouvelle du Royaume. Dieu nous demande même de prier pour ceux qui gouvernent, surtout quand leurs décisions pourraient avoir une incidence sur notre culte. En cas d’injustice, nous en appelons aux autorités gouvernementales, comme l’apôtre Paul l’a fait (Actes 25:11). Bien que la Bible enseigne que l’adversaire de Dieu, Satan, a pouvoir sur les systèmes politiques, elle ne dit pas qu’il tient chaque dirigeant ou responsable dans sa main. Gardons-nous donc de laisser entendre qu’un dirigeant en particulier est manipulé par le Diable. Quand nous avons affaire « aux gouvernements et aux autorités », nous « ne parlons en mal de personne » (Tite 3:1, 2). – TG2016 Avril p28 §6 Avant de devenir chrétien, l’apôtre Paul était farouchement opposé à la propagation du christianisme. Toutefois, comme il agissait dans l’ignorance, Jéhovah lui a fait miséricorde. Il lui a manifesté sa faveur imméritée en lui confiant la mission de prêcher, mission à laquelle Paul a attaché le plus grand prix (Actes 26:9-18). Reconnaissant pour la miséricorde de Jéhovah, il s’est dépensé à fond dans l’accomplissement de son ministère. 2 Cor. 12:15. Selon la miséricorde de Dieu, nous aussi nous avons reçu un ministère (2 Cor. 4:1). Comme Paul, nous nous en montrerons reconnaissants en nous efforçant d’aider les autres à progresser spirituellement. Nous pouvons le faire, notamment en commençant et en poursuivant des études bibliques – km2003/7 p1 §1 À notre époque, beaucoup de gens sont comme Saul. Ils peuvent changer, mais ce n’est pas facile. La raison en est que quelqu’un fait de grands efforts pour amener chacun de nous à faire ce qui est mal. Savez-vous de qui il s’agit ? Jésus en parla lorsqu’il s’adressa à Saul depuis les cieux ; il lui dit : ‘Je t’envoie pour leur ouvrir les yeux, pour les tourner des ténèbres vers la lumière et du pouvoir de Satan vers Dieu.’ — Actes 26:17, 18. Ainsi, c’est Satan le Diable qui est à l’origine de l’enseignement de toutes mauvaises choses. Il désire que les hommes se conduisent mal. Si nous accomplissons de mauvaises actions, cela plaît au Diable. Mais nous désirons faire plaisir à Jéhovah. Nous plairons à Dieu si nous prêtons toujours attention à la Bible et faisons ce qu’elle nous dit. En faisant ce qui plaît à Dieu, nous accomplissons des choses excellentes, parce que Dieu est bon – TG2011 1/11 Par cette œuvre mondiale de prédication et d’enseignement, Dieu a manifesté son amour envers les humains qui ne le connaissaient pas en leur offrant la possibilité de s’approcher de lui et de recevoir le pardon de leurs péchés (Actes 26:18). Cette mission (prêcher et enseigner) était aussi une marque d’amour envers les messagers eux-mêmes, car elle leur permettait d’exprimer leur attachement à Jéhovah et de montrer leur amour du prochain. – TG2001 1/ 4 p9 §4 Tout l’honneur revient à Dieu : Notre situation privilégiée de ministres de Dieu nous autorise-t-elle à nous glorifier ? Certainement pas. Au sujet du ministère chrétien, Paul était conscient qu’il pouvait effectuer son ministère seulement grâce à la force que Dieu lui donnait. De même, nous reconnaissons que c’est uniquement parce que nous avons “ obtenu le secours qui vient de Dieu ” que l’œuvre de prédication s’accomplit actuellement (Actes 26:22). Au moyen de cette proclamation mondiale, Jéhovah nous utilise d’une manière puissante pour provoquer une secousse parmi les nations, présage de la destruction qui aura lieu prochainement lorsque le jugement sera exécuté. Quel privilège nous avons d’être des “ compagnons de travail de Dieu ” dans la grande moisson spirituelle - km2004/2 p1 §4 Les chrétiens du premier siècle avaient bien plus de zèle, d’enthousiasme, de détermination, de puissance et d’endurance que les membres des autres religions. Ces choses leur avaient été données par Jéhovah Dieu, et les chrétiens primitifs reconnurent cette source de leur force. Quand il comparut devant Agrippa, Paul déclara en toute humilité : “ Mais, grâce au secours de Dieu, j’ai subsisté jusqu’à ce jour, rendant témoignage devant les petits et les grands. ” (Actes 26:22). C’était la force agissante, l’esprit saint de Jéhovah qui permit aux fidèles disciples du Christ d’aller de l’avant en dépit d’une violente opposition. – TG1954 1/12 §19 Donner à Jéhovah le meilleur de nous-mêmes signifie également imiter son amour pour les humains. Cet amour nous motive pour essayer de porter le message vivifiant de la vérité à un maximum de personnes. Il nous incite à manifester un intérêt personnel à nos interlocuteurs. Il nous permet de continuer à penser à eux au-delà du premier contact et de revenir les voir. Il nous pousse à faire tout notre possible pour les aider à progresser spirituellement. Actes 26:28, 29 – km2004/4 p1 §4 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? 25:8-12. De nos jours, rien ne s’oppose à ce que les chrétiens aient recours aux moyens que leur offre la loi “ lorsqu’il s’agit de défendre la bonne nouvelle et de la faire reconnaître en justice ”. — Phil. 1:7. – TG2008 15/5 p32 Une bonne conduite ne suffit pas toujours. Il est parfois nécessaire de défendre avec hardiesse nos positions fondées sur la Bible, ce qui peut nous amener à faire appel aux gouvernements et aux tribunaux pour garantir notre protection - Actes 25:10-12 – TG2007 15/12 p21 §8. Quand on lui a demandé de présenter sa défense devant Hérode Agrippa II, Paul a aussi usé de tact. Il était de notoriété publique qu’Agrippa entretenait une liaison incestueuse avec sa sœur Bérénice, pratique clairement condamnée par la Parole de Dieu. Pourtant, loin de le blâmer, Paul a trouvé de bonnes raisons de le féliciter. “ Au sujet de toutes les choses dont je suis accusé par les Juifs, roi Agrippa, je m’estime heureux que ce soit devant toi que j’aie à présenter ma défense aujourd’hui, surtout parce que tu t’y connais dans toutes les coutumes ainsi que dans les controverses parmi les Juifs. ” — Actes 26:1-3. Nous ferions bien d’user du même tact que Paul dans nos rapports avec autrui. Complimenter un voisin, un camarade de classe ou un collègue de travail peut favoriser des relations paisibles avec eux et les inciter à opter pour une bonne conduite. En offrant des félicitations bien méritées, nous pouvons toucher les cœurs. Et qui sait si cela n’encouragera pas des personnes sincères à conformer leurs pensées et leurs agissements à la connaissance exacte ? – TG2007 1/9 p14 Puisque la Parole de Dieu condamne les titres honorifiques, serait-ce mal de la part d’un chrétien de s’adresser à un roi en l’appelant “ Roi ” ou à un juge en disant “ Monsieur le Juge ” ou “ Votre Seigneurie ” ? Non. Quand les chrétiens s’adressent aux gouverneurs et aux juges, ils s’adressent à eux en tant que fonctionnaires publics et non comme à des serviteurs d’un culte ou à des chefs spirituels. Quand il comparut devant le roi Agrippa, l’apôtre Paul déclara : “ De tous les griefs dont je suis accusé par les Juifs, roi Agrippa. ” Et, devant Festus, procurateur de la Judée pendant le règne de Néron, Paul dit : “ Je ne suis pas fou, très excellent Festus. ” Bien que Paul rendît le respect officiel aux fonctionnaires publics, jamais il ne s’adressa aux conducteurs spirituels chrétiens ou non chrétiens en employant des titres spéciaux. — Actes 26:2, 25 Que signifie tout cela ? Cela signifie que ceux qui veulent servir Dieu de la manière qu’il prescrit cesseront de s’adresser aux membres du clergé en se servant de titres tels que “ Révérend ” et “ Père ”. Les vrais chrétiens n’emploient aucune sorte de titres honorifiques. Cela signifie davantage encore : l’emploi de ces titres est un signe de fausse religion. – TG1955 15/9 La repentance est un facteur déterminant pour qui veut être réintégré dans la congrégation chrétienne. Une personne excommuniée n’est pas automatiquement acceptée dans la congrégation après un certain laps de temps. Avant qu’elle ne soit réintégrée, sa condition de cœur doit changer foncièrement. Le pécheur doit prendre conscience de la gravité de son péché et de l’opprobre qu’il a jeté sur Jéhovah et sur la congrégation. Il doit se repentir, prier Dieu pour implorer son pardon et se conformer aux exigences divines. Au moment où il demande sa réintégration, il devrait pouvoir donner la preuve qu’il s’est repenti et qu’il produit “ des œuvres qui conviennent à la repentance ”. Actes 26:20. – TG2006 15/11 p27 §9 26:24, 25. Nous devons annoncer “ des paroles de vérité et de bon sens ” même si elles semblent sottes ou insensées à “ l’homme physique ”. 1 Cor. 2:14. Paul instruit ne regardait pas en arrière avec nostalgie, regrettant ce qu’il aurait pu faire grâce à son instruction; il n’utilisait pas non plus son “grand savoir” pour impressionner les autres (Actes 26:24). Mettant plutôt toute sa confiance en Jéhovah Dieu, il a fait allusion à ses anciennes perspectives, en disant: “Oubliant les choses qui sont derrière et tendu vers celles qui sont devant, je poursuis ma course vers le but pour le prix de l’appel de Dieu, appel vers le haut, grâce à Christ Jésus.” (Philippiens 3:13, 14). Paul accordait du prix aux choses spirituelles. Aujourd’hui aussi, des sages selon la chair accueillent favorablement la bonne nouvelle. Des gens ayant reçu une instruction dans des domaines très variés et qui exercent toutes sortes de professions ont accepté la vérité et utilisent leur formation dans le service de Jéhovah. Néanmoins, quelle que soit leur éducation, les chrétiens gardent présent à l’esprit que ce sont les qualifications spirituelles qui sont essentielles. Ce sont les “choses les plus importantes”, car elles peuvent nous conduire à la vie éternelle – TG1992 1/11 p21 Si la bonne nouvelle du Royaume est voilée pour certains, ce n’est pas la faute des Témoins de Jéhovah, mais la leur. La bonne nouvelle du Royaume n’est pas cachée. L’œuvre mondiale de prédication des Témoins de Jéhovah est bien connue. C’est pourquoi ils peuvent dire comme l’apôtre Paul: “Cela ne s’est pas fait dans un coin.” Effectivement, comme il l’écrivit, la bonne nouvelle est “prêchée dans toute la création qui est sous le ciel”. — Actes 26:26; Colossiens 1:23. – TG1990 15/7 p15§10 L’apôtre Paul était connu pour être un prédicateur persuasif. Le roi Agrippa lui-même lui concéda : “ En peu de temps tu me persuaderais de devenir chrétien. ” (Actes 26:28). Qu’est-ce qui rendait le ministère de Paul si convaincant ? Il était logique, s’appuyait sur les Écritures et adaptait son argumentation à ses auditeurs. À l’exemple de Paul, nous devons être persuasifs dans notre ministère. Comment y parvenir ? Il s’agit de faire preuve de perspicacité quand nous parlons et quand nous écoutons. Cela suppose trois démarches de notre part. Écoutons attentivement : Cherchons dans les paroles de la personne un terrain d’entente sur lequel rebondir. Si elle soulève une objection, essayons d’en discerner la raison. Il sera sans doute utile de savoir exactement ce qu’elle croit, pourquoi elle y croit et ce qui l’a convaincue. On peut essayer avec tact de le lui demander. Posons des questions : Si quelqu’un nous dit ne pas croire en Dieu, nous pourrions simplement lui demander : “ Cela a-t-il toujours été le cas ? ” ” Employons des raisonnements solides : Un frère a un jour demandé à une femme qui croyait que Jésus est Dieu : “ Si vous deviez expliquer que deux personnes sont égales, quel lien de parenté citeriez-vous en exemple ? ” La femme a répondu : “ Je parlerais de deux frères. ” Le proclamateur a poursuivi : “ On pourrait même parler de jumeaux. Mais en nous enseignant que Dieu est le Père et que lui-même est le Fils, que voulait dire Jésus ? ” La femme a compris que l’un est plus âgé et a plus d’autorité que l’autre. Son esprit et son cœur ont été touchés grâce à l’art de la persuasion. – km2001/2 « La reconnaissance de notre œuvre au Québec » La prédication dans la province du Québec était un véritable défi. L’église catholique était présente dans pratiquement tous les aspects de la vie publique. Au début des années 40, la persécution s’est vraiment intensifiée. De nombreux Témoins ont été arrêtés sous toutes sortes de prétextes. Le colportage sans autorisation était le principal prétexte utilisé. Les Témoins de Jéhovah étaient emprisonnés pour simple possession d’ouvrages religieux. La situation était devenue tellement difficile au Québec qu’on a décidé de faire circuler une pétition, pétition qui a d’ailleurs été diffusée dans tout le Canada. C’était une demande faite au gouvernement du Québec de mettre fin à cette persécution. Chose intéressante : 600 000 personnes ont signé la pétition. Les Témoins ont distribué un tract enflammé intitulé : « La haine ardente du Québec ». Ce tract dévoilait ce que subissait vraiment les Témoins, ce que faisait les policiers, les arrestations illégales, les émeutes et dans l’espace de 4 mois, il y a eu 800 nouveaux procès. Donc pour 400 Témoins de Jéhovah, il y a eu 1600 procès. Les affaires portées en justice sont devenues de plus en plus graves car les frères étaient désormais accusés de sédition. S’ils étaient jugés coupables, ils pouvaient être condamnés à 10 voire 12 à15 ans de prison. Il y a un frère, Aimé Boucher, qui a été arrêté et accusé de sédition. Aimé Boucher était un frère très pauvre qui habitait une région rurale du Québec. Il est d’ailleurs venu au Tribunal avec sa charrette tirée par un bœuf. Sur le chemin du Tribunal, il prêchait encore et il a été donc arrêté de nouveau. A l’issue du procès, il a été condamné et déclaré coupable de sédition. Son affaire a été portée devant la Cour d’appel et à cette époque, la Cour d’appel du Québec était très hostile aux Témoins. Il a donc perdu en appel. L’affaire a donc été portée devant la Cour suprême du Canada. A cette époque, plusieurs frères et sœurs avaient été accusés de sédition. Donc si frère Boucher perdait son procès, plusieurs frères et sœurs seraient condamnés à de très longues peines de prison Frère Boucher a perdu son procès devant la Cour suprême à une voix près. Tous les juges catholiques se sont prononcés contre lui et ils ont jugés que le tract « La haine ardente du Québec» était de nature séditieuse. Nos avocats ont examiné la situation, ils ont prié à ce sujet et ils se sont dit : « Que va-t-on faire ? On ne peut pas perdre cette bataille». Puis ils ont appris qu’au Canada, il existait une clause très rarement exploitée consistant à demander à la Cour suprême la révision d’un procès. Au cours de la nouvelle audience, l’un des juges catholiques voulait encore débattre de la question de la sédition. Pour être déclaré coupable de sédition, il fallait une incitation à la violence. Notre avocat a donc demandé ; « Regardez le dossier s’il vous plaît. Montrez à la Cour, là où les Témoins de Jéhovah ont incité à la violence ». Ils ont finalement réussi à convaincre la Cour qu’ils avaient tort. Le jugement initial a donc été renversé et frère Boucher a été acquitté. Cette victoire a mis fin à toutes les accusations de sédition ainsi qu’aux persécutions brutales car le gouvernement pensait bien gagner cette affaire-là. Une autre affaire importante a eu lieu au Québec. C’est le cas d’un prêtre qui a téléphoné à la police fédérale pour lui demander d’interrompre une réunion des Témoins de Jéhovah et d’expulser l’orateur hors de la province du Québec. Les policiers ont obéi au prêtre. Ils sont arrivés sur les lieux de la réunion, ont pris le frère et l’ont escorté jusqu’en Ontario, la province voisine. Interrompre un office religieux était un acte criminel. Pour la première fois, au niveau de la Cour suprême, les 3 policiers qui avaient interrompu l’office, ont été condamnés à indemniser le préjudice moral causé au frère. Cela n’était jamais arrivé auparavant. Quand l’affaire a été portée à la Cour suprême, il a été jugé à l’unanimité que la province du Québec était coupable. Les textes actuels sur la liberté de religion résultent de ces procès. Chaque avocat canadien, que ce soit au Québec ou au Canada anglophone, doit revoir au cours de ses études en droit, ces affaires juridiques. Ces textes sont à la base de la liberté de religion. Qu’ils traitent de différents domaines, des interventions de la police, de celles du gouvernement, et des actions criminelles. Ces cas ont posé un bon fondement pour les libertés dont nous jouissons aujourd’hui. Notre objectif est de pouvoir prêcher la bonne nouvelle et d’attirer l’attention des personnes sur la Bible. Mais nos affaires en justice ont aidé des gouvernements, des Tribunaux, des juges et des fonctionnaires à avoir le bon point de vue sur la liberté de religion. Questions du Cahier Vie chrétienne et Ministère : Quelles difficultés nos frères ont-ils connues au Québec ? Quel tract spécial ont-ils diffusé, et quel en a été le résultat ? Qu’est-ce qui est arrivé à frère Aimé Boucher ? Quelle a été la décision de la Cour suprême du Canada concernant l’affaire de frère Boucher ? À quelle disposition légale très rarement exploitée les frères ont-ils eu recours, et qu’en est-il résulté ? Que s’est-il passé quand, sous les ordres d’un prêtre, des policiers ont interrompu un office des Témoins de Jéhovah ?
  5. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 21 Janvier 2018 - ACTES 25-26.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 21 Janvier 2018 - ACTES 25-26.pdf Vidéo par écrit « La reconnaissance de notre oeuvre au Québec »-Semaine du 21 janvier.docx Vidéo par écrit « La reconnaissance de notre oeuvre au Québec »-Semaine du 21 janvier.pdf https://download-a.akamaihd.net/files/media_periodical/ab/jwbiv_F_201611_01_r720P.mp4 JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 25-26 Actes 26:14 : Qu’est-ce qu’un aiguillon ? (nwtsty, note d’étude ; nwt, lexique à « aiguillon » « Alors que nous étions tous tombés par terre, j’ai entendu une voix qui me disait en langue hébraïque : “Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? Tu te fais du mal à toujours lancer des ruades contre les aiguillons.” lancer des ruades contre les aiguillons : Un aiguillon est un bâton pouvant mesurer 2,50 mètres muni d’une pointe servant à faire avancer un animal (Juges 3:31 - L’aiguillon pouvait servir d’arme. Shamgar, un juge et guerrier israélite, a massacré 600 Philistins “ avec un aiguillon à bovins ”). L’expression « lancer des ruades contre les aiguillons » est un proverbe que l’on rencontre dans la littérature grecque. C’est une allusion à la réaction d’un taureau têtu qui résiste aux piqûres des aiguillons en donnant des coups avec ses pattes de derrière, et qui se blesse tout seul. Saul s’est comporté un peu de cette manière avant de devenir chrétien. En combattant les disciples de Jésus, qui avaient le soutien de Jéhovah, il risquait de se causer beaucoup de tort (cf. Ac 5: 38, 39 ; 1Tm 1:13, 14). Ec 12:11 parle d’« aiguillons » dans un sens figuré, pour désigner les paroles d’une personne sage qui encouragent quelqu’un à suivre un conseil, à prendre de bonnes décisions. aiguillon. Long bâton muni d’une pointe en métal, que les fermiers utilisent pour faire avancer les animaux. Dans la Bible, les paroles d’une personne sage qui encouragent quelqu’un à mettre en pratique de bons conseils sont comparées à un aiguillon. L’expression « lancer des ruades contre les aiguillons » est une allusion à la réaction d’un taureau têtu qui résiste aux piqûres des aiguillons en donnant des coups avec ses pattes de derrière, et qui se blesse tout seul (Ac 26:14 ; Jg 3:31). L’expression imagée “ ruer contre les aiguillons ” vient de la réaction d’un taureau têtu qui résiste aux piqûres de l’aiguillon par des ruades, ce qui le blesse. Par conséquent, cette expression dénote une opposition ou une rébellion contre une autorité légitime ou une situation à laquelle on ne peut rien changer, opposition qui occasionne des blessures. C’est exactement ainsi que Saul agissait avant de devenir chrétien, en combattant les disciples de Jésus Christ, qui bénéficiaient du soutien de Dieu it-1 Aiguillon Se pourrait-il que nous aussi nous soyons en train de “ ruer contre les aiguillons ” sans en avoir conscience ? La Bible compare “ les paroles des sages ” à des aiguillons qui nous poussent dans la bonne direction. Les conseils divinement inspirés de la Parole de Dieu peuvent nous stimuler et nous guider comme il faut, à condition de le leur permettre. Résister à cette stimulation ne peut que nous être préjudiciable. Saul a tenu compte des paroles de Jésus ; il a corrigé sa voie. Il est devenu un chrétien très aimé : l’apôtre Paul. De la même façon, notre soumission aux instructions divines nous procurera des bénédictions éternelles – TG2003 1/10 p32 “Ruer contre les aiguillons” - Avant de se convertir au christianisme, Paul (Saul) persécutait cruellement les vrais serviteurs de Dieu. Quand il se manifesta à Paul, Jésus lui dit: “Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu? Il est dur pour toi de continuer à ruer contre les aiguillons.” (Actes 26:14). Que voulait dire Jésus? Jésus Christ considère que ce qu’on fait à ses disciples, c’est à lui-même qu’on le fait. Par conséquent, en persécutant les chrétiens, Paul persécutait en réalité Jésus Christ. Il combattait ce que Dieu défendait, et ce à son propre détriment. On pouvait dire que Paul ‘ruait contre les aiguillons’. Un aiguillon est un bâton pointu, parfois ferré, dont on se sert pour conduire le bétail ou les animaux de labour. L’animal rétif qui regimbe contre les coups d’aiguillon n’obtient aucun soulagement, mais se fait plutôt du tort. De même, Paul n’avait aucun intérêt à persécuter ceux que Dieu approuvait. Les efforts qu’il faisait dans ce sens étaient aussi vains que ceux d’une bête de trait qui regimbe contre les coups d’aiguillon. Actes 26:27 : Devant quel dilemme le roi Agrippa se trouve-t-il quand Paul lui demande s’il croit les Prophètes ? w03 15/11 16-17§ 14 « Crois-tu les Prophètes, roi Agrippa ? Je sais que tu crois. » Paul sait qu’Agrippa professe le judaïsme. S’appuyant sur les connaissances religieuses du roi, il lui explique qu’il prêche “ sans dire rien d’autre que les choses dont les Prophètes ainsi que Moïse ont déclaré qu’elles allaient arriver ” concernant la mort et la résurrection du Messie (Actes 26:22, 23). Puis il l’interpelle : “ Roi Agrippa, crois-tu les Prophètes ? ” Voilà Agrippa devant un dilemme. S’il répond non, c’en est fini de sa réputation de Juif. Mais s’il va dans le sens de Paul, il manifeste publiquement son accord avec lui et risque alors d’être taxé de chrétien. Avec sagesse, Paul répond lui-même : “ Je sais que tu crois. ” La réaction d’Agrippa est spontanée : “ En peu de temps tu me persuaderais de devenir chrétien. ” (Actes 26:27, 28). Agrippa n’est pas devenu chrétien. Reste que le message de Paul a éveillé un certain écho en son cœur. TG2003 15/11 Agrippa était une personne juif circoncis, ne Mais jamais DeViNT chrétien. Le continue à faire de la politique dans le Païen du solde Empire romain. Le témoignage de Paul sur lui fait un grand gâteau. Grâce à la qualité de sa défense, Paul a fait ressentir le pouvoir pénétrant de la Parole de Dieu à un haut personnage (Hébreux 4:12). En quoi résidait l’efficacité de Paul ? Quand on analyse sa défense, deux points essentiels se révèlent : 1) Paul était persuasif. 2) Il utilisait sa connaissance de la Parole de Dieu avec l’habileté d’un bon artisan.
  6. Vidéo par écrit « La reconnaissance de notre oeuvre au Québec »-Semaine du 21 janvier.docx Vidéo par écrit « La reconnaissance de notre oeuvre au Québec »-Semaine du 21 janvier.pdf https://download-a.akamaihd.net/files/media_periodical/ab/jwbiv_F_201611_01_r720P.mp4 « La reconnaissance de notre œuvre au Québec » La prédication dans la province du Québec était un véritable défi. L’église catholique était présente dans pratiquement tous les aspects de la vie publique. Au début des années 40, la persécution s’est vraiment intensifiée. De nombreux Témoins ont été arrêtés sous toutes sortes de prétextes. Le colportage sans autorisation était le principal prétexte utilisé. Les Témoins de Jéhovah étaient emprisonnés pour simple possession d’ouvrages religieux. La situation était devenue tellement difficile au Québec qu’on a décidé de faire circuler une pétition, pétition qui a d’ailleurs été diffusée dans tout le Canada. C’était une demande faite au gouvernement du Québec de mettre fin à cette persécution. Chose intéressante : 600 000 personnes ont signé la pétition. Les Témoins ont distribué un tract enflammé intitulé : « La haine ardente du Québec ». Ce tract dévoilait ce que subissait vraiment les Témoins, ce que faisait les policiers, les arrestations illégales, les émeutes et dans l’espace de 4 mois, il y a eu 800 nouveaux procès. Donc pour 400 Témoins de Jéhovah, il y a eu 1600 procès. Les affaires portées en justice sont devenues de plus en plus graves car les frères étaient désormais accusés de sédition. S’ils étaient jugés coupables, ils pouvaient être condamnés à 10 voire 12 à15 ans de prison. Il y a un frère, Aimé Boucher, qui a été arrêté et accusé de sédition. Aimé Boucher était un frère très pauvre qui habitait une région rurale du Québec. Il est d’ailleurs venu au Tribunal avec sa charrette tirée par un bœuf. Sur le chemin du Tribunal, il prêchait encore et il a été donc arrêté de nouveau. A l’issue du procès, il a été condamné et déclaré coupable de sédition. Son affaire a été portée devant la Cour d’appel et à cette époque, la Cour d’appel du Québec était très hostile aux Témoins. Il a donc perdu en appel. L’affaire a donc été portée devant la Cour suprême du Canada. A cette époque, plusieurs frères et sœurs avaient été accusés de sédition. Donc si frère Boucher perdait son procès, plusieurs frères et sœurs seraient condamnés à de très longues peines de prison Frère Boucher a perdu son procès devant la Cour suprême à une voix près. Tous les juges catholiques se sont prononcés contre lui et ils ont jugés que le tract « La haine ardente du Québec» était de nature séditieuse. Nos avocats ont examiné la situation, ils ont prié à ce sujet et ils se sont dit : « Que va-t-on faire ? On ne peut pas perdre cette bataille». Puis ils ont appris qu’au Canada, il existait une clause très rarement exploitée consistant à demander à la Cour suprême la révision d’un procès. Au cours de la nouvelle audience, l’un des juges catholiques voulait encore débattre de la question de la sédition. Pour être déclaré coupable de sédition, il fallait une incitation à la violence. Notre avocat a donc demandé ; « Regardez le dossier s’il vous plaît. Montrez à la Cour, là où les Témoins de Jéhovah ont incité à la violence ». Ils ont finalement réussi à convaincre la Cour qu’ils avaient tort. Le jugement initial a donc été renversé et frère Boucher a été acquitté. Cette victoire a mis fin à toutes les accusations de sédition ainsi qu’aux persécutions brutales car le gouvernement pensait bien gagner cette affaire-là. Une autre affaire importante a eu lieu au Québec. C’est le cas d’un prêtre qui a téléphoné à la police fédérale pour lui demander d’interrompre une réunion des Témoins de Jéhovah et d’expulser l’orateur hors de la province du Québec. Les policiers ont obéi au prêtre. Ils sont arrivés sur les lieux de la réunion, ont pris le frère et l’ont escorté jusqu’en Ontario, la province voisine. Interrompre un office religieux était un acte criminel. Pour la première fois, au niveau de la Cour suprême, les 3 policiers qui avaient interrompu l’office, ont été condamnés à indemniser le préjudice moral causé au frère. Cela n’était jamais arrivé auparavant. Quand l’affaire a été portée à la Cour suprême, il a été jugé à l’unanimité que la province du Québec était coupable. Les textes actuels sur la liberté de religion résultent de ces procès. Chaque avocat canadien, que ce soit au Québec ou au Canada anglophone, doit revoir au cours de ses études en droit, ces affaires juridiques. Ces textes sont à la base de la liberté de religion. Qu’ils traitent de différents domaines, des interventions de la police, de celles du gouvernement, et des actions criminelles. Ces cas ont posé un bon fondement pour les libertés dont nous jouissons aujourd’hui. Notre objectif est de pouvoir prêcher la bonne nouvelle et d’attirer l’attention des personnes sur la Bible. Mais nos affaires en justice ont aidé des gouvernements, des Tribunaux, des juges et des fonctionnaires à avoir le bon point de vue sur la liberté de religion. Questions du Cahier Vie chrétienne et Ministère : Quelles difficultés nos frères ont-ils connues au Québec ? Quel tract spécial ont-ils diffusé, et quel en a été le résultat ? Qu’est-ce qui est arrivé à frère Aimé Boucher ? Quelle a été la décision de la Cour suprême du Canada concernant l’affaire de frère Boucher ? À quelle disposition légale très rarement exploitée les frères ont-ils eu recours, et qu’en est-il résulté ? Que s’est-il passé quand, sous les ordres d’un prêtre, des policiers ont interrompu un office des Témoins de Jéhovah ?
  7. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 14 JANVIER 2019 - ACTES 23-24.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 14 JANVIER 2019 - ACTES 23-24.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 23-24 Actes 23:6 : Pourquoi Paul a-t-il dit : « Je suis pharisien » ? (nwtsty, note d’étude) « Paul savait qu’une partie du sanhédrin était composée de sadducéens et l’autre de pharisiens. Il cria donc : « Hommes, frères, je suis pharisien, fils de pharisiens. C’est à propos de l’espérance en la résurrection des morts qu’on me juge ! » je suis pharisien : Parmi ceux qui écoutaient Paul, certains le connaissaient (Actes 22:5). Lorsqu’il s’est présenté comme fils de pharisiens, les pharisiens du sanhédrin ont sûrement compris que Paul reconnaissait qu’il avait avec eux un héritage commun, même s’il était devenu un chrétien zélé. Il ne se présentait pas sous un faux jour. Cependant, dans ce contexte, la déclaration de Paul « je suis pharisien » peut être comprise dans un sens relatif ; par ces mots, Paul s’identifiait aux pharisiens plutôt qu’aux sadducéens parce que, comme les pharisiens, il croyait en la résurrection. Il créait ainsi un terrain d’entente avec les pharisiens présents. En soulevant ce sujet polémique, Paul espérait certainement amener des membres du sanhédrin à prendre parti pour lui, et sa stratégie a fonctionné (Actes 23:7-9). Cette déclaration de Paul en Actes 23:6 s’accorde aussi avec la description qu’il a faite plus tard de lui-même quand il a présenté sa défense devant le roi Agrippa (Actes 26:5). Et lorsqu’il a écrit depuis Rome aux chrétiens de Philippes, Paul a de nouveau parlé de son passé de pharisien (Php 3:5). Il est également intéressant de noter comment Actes 15:5 parle de certains chrétiens qui, auparavant, étaient pharisiens. - nwtsty, note d’étude Pourquoi Paul s’est-il dit Pharisien ? Parce qu’il était “ fils de Pharisiens ”, d’une famille qui appartenait à cette secte. Pharisien ”, nom qui signifie “ séparé ”. Par conséquent, beaucoup le considéraient encore comme tel. Toutefois, comment a-t-il pu cautionner la croyance pharisienne en la résurrection ? Les Pharisiens pensaient qu’une âme consciente survivait à la mort et que les âmes des justes revivaient dans des corps humains. Paul ne croyait pas à ces choses, mais en la résurrection qu’avait enseignée Jésus. N’empêche qu’il était d’accord avec les Pharisiens sur l’espoir d’une vie après la mort, contrairement aux Sadducéens, qui ne croyaient pas en une vie future. En matière de croyances, les Sadducéens étaient conservateurs et s’appuyaient surtout sur leurs propres interprétations des écrits de Moïse, ce qui les oppose à la puissante secte des Pharisiens. Le Sanhédrin était divisé entre les Pharisiens et les Sadducéens. En plus de ces deux sectes, il y avait aussi les Hérodiens, les “partisans d’Hérode” Mais quand Paul apprit que l’ensemble des traditions religieuses que suivaient les Pharisiens n’avait pas l’approbation de Dieu, il n’hésita pas à changer de religion pour devenir chrétien, même si cela causait un grand chagrin à ses parents juifs. Nous pourrions raisonner de la même façon quand nous discutons avec des catholiques ou des protestants. Nous pourrions leur dire que nous croyons en Dieu comme eux. Évidemment, pour eux c’est la Trinité et pour nous c’est le Dieu de la Bible. N’empêche que nous avons en commun la croyance en l’existence de Dieu. – bt p187 §18 Actes 24:24, 27 : Qui était Drusille ? (nwtsty, note d’étude sur Actes 24:24). Verset 24 « Quelques jours plus tard, Félix arriva avec Drusille, sa femme, qui était Juive. Il fit amener Paul et l’écouta parler de la foi en Christ Jésus » Verset 27 « Au bout de deux ans, Félix fut remplacé par Porcius Festus ; mais voulant gagner la faveur des Juifs, Félix laissa Paul en prison » Drusille : La troisième et la plus jeune des filles de l’Hérode dont il est question en Actes 12:1, c’est-à-dire Hérode Agrippa Ier. Elle est née vers 38 de n. ère ; c’était la soeur d’Agrippa II et de Bérénice (voir lexique à « Hérode »). Le gouverneur Félix était son second mari. Elle a d’abord été mariée au roi syrien Aziz d’Émèse, mais a divorcé d’avec lui pour épouser Félix, vers 54 de n. ère ; elle avait environ 16 ans. Elle était peut-être présente quand Paul a parlé devant Félix « de justice, de maîtrise de soi et du jugement à venir » (Actes 24:25). Lorsque Félix a cédé sa place de gouverneur à Festus, il a laissé Paul en prison, voulant gagner la faveur des Juifs; certains pensent qu’il a agi ainsi pour faire plaisir à sa femme, qui était Juive (Actes 24:27). Drusille n’avait pas encore six ans qu’on arrangea son mariage avec le prince Épiphane de Commagène, mais il n’eut jamais lieu parce que le futur mari refusa de se convertir au judaïsme. Azizus d’Émèse, un roi de Syrie, accepta la clause de la circoncision et Drusille devint sa femme à l’âge de 14 ans. Exaspérée par la cruauté de son mari et irritée par la jalousie de sa sœur Bérénice, moins séduisante qu’elle, Drusille se laissa facilement persuader de divorcer d’avec Azizus, contrairement à la loi juive, et d’épouser le gouverneur Félix, vers 54 de n. è. Elle était peut-être présente quand Paul, prisonnier, “ se mit à parler de justice, de maîtrise de soi et du jugement à venir ”, sujets qui s’avérèrent des plus troublants pour le gouverneur Félix. Deux ans plus tard, quand Félix céda la place de gouverneur à Festus, il laissa Paul dans les chaînes, afin de “ se concilier la faveur des Juifs ” ; certains pensent qu’il voulut plaire à sa jeune femme, “ qui était Juive ”. (Ac 24:24-27.) Le fils que Drusille eut de Félix fut un autre Agrippa ; il aurait péri dans la grande éruption du Vésuve, en 79 de n. è. – it-1 Drusille Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Jéhovah, par le Seigneur Jésus Christ, a soutenu Paul durant tous ses procès. On se souvient que Jésus avait dit : “ Bon courage ! ” à l’apôtre dans une vision (Actes 23:11). Aujourd’hui aussi, les serviteurs de Dieu rencontrent des obstacles et des menaces. Jéhovah ne nous soustrait pas à toutes les difficultés, mais il nous donne la sagesse et la force qu’il faut pour endurer. Nous pouvons toujours compter sur la “ puissance qui passe la normale ” que fournit notre Dieu d’amour – bt chap25 Au moment de sa libération, dont les Actes ne parlent pas, Paul avait passé environ quatre ans en détention : deux à Césarée et deux à Rome (Actes 23:35 ; 24:27). Mais il est resté positif, en faisant tout son possible dans le service de Dieu. De même, à notre époque, beaucoup de serviteurs de Dieu détenus injustement en raison de leur foi restent joyeux et continuent de prêcher.- bt chap 27 §23 Qu’en est-il des milliards d’humains qui sont morts sans avoir pu connaître Jéhovah ni le servir ? La rançon rend possible la résurrection des morts. Notre Père céleste aimant les ramènera à la vie et leur offrira la possibilité de découvrir son dessein et d’obtenir la vie éternelle (Actes 24:15). Jéhovah veut que les humains vivent, et non qu’ils meurent. Étant la Source de la vie, il devient le Père de tout humain qui ressuscite. Il est donc tout à fait approprié que Jésus nous ait enseigné à prier ainsi : « Notre Père dans les cieux » (Mat. 6:9). Jéhovah a confié à Jésus un rôle important dans la résurrection des morts. Dans le Paradis, Jésus se révélera être « la résurrection et la vie » (Jean 11:25). Imagine les joyeuses retrouvailles quand les morts reviendront à la vie sur terre ! Cette merveilleuse espérance de la résurrection nous remplit d’amour pour notre Père céleste.– TG2017 Février p10 §10 Une bonne conscience - Quand Paul écrivit : “ Je m’exerce sans cesse à avoir une conscience qui me dit que je n’offense ni Dieu ni les hommes ” (Actes 24:16), il entendait qu’il dirigeait et redressait constamment sa vie pour qu’elle soit en conformité avec la Parole de Dieu et les enseignements de Christ, car il savait qu’en fin de compte c’est Dieu et non sa propre conscience qui serait son juge. Il faut s’approcher de Jéhovah avec une conscience purifiée. Le chrétien doit s’efforcer constamment de garder une conscience droite en toutes choses - it-1 p514 Garder une bonne conscience exige des efforts constants. L’apôtre Paul a déclaré un jour : “ Je m’exerce sans cesse à avoir une conscience qui me dit que je n’offense ni Dieu ni les hommes. ” (Actes 24:16). Étant chrétien, Paul s’analysait et se corrigeait constamment pour être sûr de ne pas offenser Dieu. C’est Dieu, il le savait, qui détermine finalement si notre conduite est juste ou non.Aussi, gardez une bonne conscience, sans jamais cesser de l’éduquer. Quand vous avez des décisions à prendre, recherchez la direction de Dieu. Étudiez la Bible et laissez ses principes modeler votre esprit et votre cœur. Si vous avez des questions graves à résoudre, vérifiez auprès de chrétiens mûrs que vous avez bien compris les principes bibliques en jeu. Réfléchissez à l’effet que votre décision aura sur votre conscience, sur les autres et, surtout, sur vos relations avec Jéhovah. En nous dotant d’une conscience, notre bon Père céleste, Jéhovah Dieu, nous a fait un don extraordinaire. Utilisons-la en harmonie avec la volonté de son Créateur, et elle nous rapprochera de lui. Efforçons-nous d’‘ avoir une bonne conscience ’ en toutes circonstances, et nous montrerons que nous sommes faits à l’image de Dieu – TG2005 1/10 p14-15 Avec courage, Paul a parlé des rappels de Dieu à des dirigeants de son époque. Il a par exemple donné le témoignage au gouverneur romain Félix, qui “ l’écouta sur la foi en Christ Jésus ”. (Actes 24:24, 25.) Avec le soutien de Jéhovah, nous pouvons nous aussi être des témoins courageux, qui n’ont jamais “ honte de la bonne nouvelle ”Si nous chérissons “ la parole de vérité ” et que nous ‘ gardions la loi de Dieu constamment ’, nous aurons le courage nécessaire pour donner le témoignage sans craindre la honte. Grâce à une étude assidue de la Parole écrite de Dieu, nous serons à même de ‘ parler de ses rappels devant des rois ’. (Psaume 119:46.) La prière et l’esprit de Jéhovah également nous aideront à dire ce qu’il faut, comme il le faut – TG2005 15/4 §14 Paul a parlé “de justice, de maîtrise de soi et du jugement à venir”. (Actes 24:25.) Il est possible que ces paroles aient rendu manifeste le contraste entre les principes de justice établis par Dieu, et la cruauté et l’injustice qui régnaient dans le monde auquel appartenaient Félix et Drusille. Paul espérait peut-être pousser Félix à faire preuve de justice dans l’affaire qui se présentait. Mais pourquoi parler “de maîtrise de soi et du jugement à venir”? Ce couple immoral se renseignait sur ce qu’impliquait “la foi en Christ Jésus”. Il lui fallait donc savoir que suivre Jésus nécessite de dominer ses pensées, ses paroles et ses actes, autrement dit d’exercer la maîtrise de soi. Tous les humains devront rendre des comptes à Dieu de leurs pensées, de leurs paroles et de leurs actions. Ainsi, il existait un jugement plus important que celui de Félix dans l’affaire de Paul, c’était le jugement divin qui attendait le gouverneur et sa femme. Il est donc compréhensible qu’en entendant le message de Paul, ‘Félix ait pris peur’. – TG1993 15/8 p17-19 §3 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Paul savait quand demander pardon. Une fois, il a dû se défendre devant le Sanhédrin, la cour suprême juive, ce qu’il a fait en des termes très francs. Vexé, le grand prêtre Ananias a ordonné à ceux qui se tenaient près de l’apôtre de le frapper sur la bouche. Et Paul de répondre : “ Dieu va te frapper, mur blanchi ! Est-ce que tout à la fois tu sièges là pour me juger selon la Loi et, transgressant la Loi, tu ordonnes de me frapper ? ” Quand les autres personnes présentes ont accusé Paul d’avoir insulté le grand prêtre, il a immédiatement reconnu sa faute, disant : “ Frères, je ne savais pas que c’était le grand prêtre. Car il est écrit : ‘ Tu ne dois pas parler en mal d’un chef de ton peuple. ’ ” — Actes 23:1-5. Paul avait raison de dire qu’un homme établi juge ne devait pas recourir à la violence. Cependant, il s’est excusé pour avoir — sans le savoir — parlé au grand prêtre d’une façon qui pouvait être considérée comme irrespectueuse. Du coup, le Sanhédrin a écouté ce qu’il avait à dire. Connaissant la controverse qui divisait les membres de la cour, l’apôtre leur a expliqué qu’il était jugé pour sa croyance en la résurrection. Pour finir, une grande dissension a suivi, les Pharisiens prenant parti pour Paul. — Actes 23:6-10. Quelle leçon tirer de ces deux exemples bibliques ? Dans les deux cas, l’expression de regrets sincères a préservé la communication. Une telle démarche peut donc nous aider à faire la paix. Si, reconnaissant nos fautes, nous nous excusons pour le mal commis, des discussions constructives s’offriront à nous. – TG2002 1/11 Mur blanchi - Les Juifs enduisaient souvent de chaux les murs de leurs maisons : un îlot de constructions blanches au sommet d’une colline était donc facilement repérable à des kilomètres à la ronde (Actes 23:3). Sous le soleil éclatant de la Palestine, ces villes brillaient tel un phare, tout comme certaines villes méditerranéennes encore aujourd’hui – it-2 Mur L’apôtre Paul fut ‘ traîné devant des rois et des gouverneurs ’. Guidé par le Seigneur Jésus Christ, c’est avec l’objectif de rendre témoignage devant le plus puissant dirigeant de l’époque qu’il s’est exclamé : “ J’en appelle à César ! ” (Actes 23:11). Aujourd’hui de même, des situations difficiles ont souvent abouti à ce qu’un excellent témoignage soit donné tant à des autorités qu’à la population. Les Témoins de Jéhovah usent des dispositions susceptibles de servir “la défense et l’affermissement légal de la bonne nouvelle”. – TG2003 1/10 §17 La nuit qui a suivi les incidents du Sanhédrin, Paul a reçu un encouragement précieux. Le récit inspiré précise : “ Le Seigneur se tint près de lui et dit : ‘ Bon courage ! Car, de même que dans Jérusalem tu as pleinement rendu témoignage sur les choses qui me concernent, ainsi il faut également que tu témoignes à Rome. ’ ” (Actes 23:11). Fort de cet encouragement de Jésus, Paul était certain d’être libéré. Il savait qu’il continuerait à vivre pour aller à Rome et avoir l’honneur d’y rendre témoignage à Jésus. L’encouragement à Paul est arrivé au bon moment. Dès le lendemain, plus de 40 Juifs “ formèrent une conspiration et s’engagèrent par une imprécation, disant qu’ils ne mangeraient ni ne boiraient jusqu’à ce qu’ils aient tué Paul ”. Cette “ conspiration par serment ” montrait à quel point ils étaient déterminés à supprimer l’apôtre. En effet, ils disaient en quelque sorte : ‘ Qu’il nous arrive malheur si notre complot échoue ! ’ (Actes 23:12-15). Leur plan, approuvé par les prêtres en chef et les anciens, consistait à faire ramener Paul au Sanhédrin pour prolonger l’interrogatoire, prétendument pour vérifier des détails le concernant. Mais, en fait, ils lui tendraient un guet-apens et le tueraient. Or le neveu de Paul a eu vent du complot et lui en a parlé. Aussitôt, Paul lui a demandé d’aller en informer le commandant romain Claude Lysias (Actes 23:16-22). Qu’apprenons-nous de ce récit, où apparaît le neveu de Paul ? — Qu’il faut du courage pour parler quand c’est nécessaire, mais qu’ainsi on peut sauver des vies. Assurément, Jéhovah aime les jeunes qui, comme ce neveu de Paul resté anonyme, font courageusement passer le bien du peuple de Dieu avant le leur et se démènent fidèlement pour servir les intérêts du Royaume. – bt chap24 L’apôtre Paul a été taxé de “ peste ” et l’on a vu en lui le chef d’une secte qui suscitait des séditions “ dans toute la terre habitée ”. Actes 24:2-5. Nous ne sommes pas surpris que les vrais chrétiens soient aujourd’hui victimes de déformations des faits, de calomnies et de campagnes de diffamation. Il n’est pas rare qu’on accable les serviteurs de Jéhovah de propos calomnieux et de fausses accusations. – TG2007 15/12 § 5,6 Paul nous a laissé un bon exemple à suivre si jamais nous comparaissions devant des autorités profanes à cause de notre religion et qu’on nous accuse faussement d’être des agitateurs, des séditieux ou des membres d’une “ secte dangereuse ”. Paul n’a pas usé de flatteries serviles envers le gouverneur comme l’avait fait Tertullus. Il est resté calme et respectueux. Avec tact, il a donné un témoignage clair et véridique. Il a signalé que les “ Juifs du district d’Asie ” qui l’avaient accusé de souiller le temple n’étaient pas présents et que, légalement, il aurait dû pouvoir se confronter à eux et entendre leurs accusations. — Actes 24:18, 19.- bt p192 §13 Le cas de l’apôtre Paul illustre bien quelle attitude les chrétiens doivent avoir quand on veut leur extorquer des pots-de-vin. Le gouverneur romain Félix chercha à extorquer de l’argent à Paul en prolongeant sa détention pendant deux ans. Paul s’en rendit compte, mais il ne fit aucune offre à Félix pour obtenir sa libération. Par la suite, Félix fut remplacé par Festus. Quand Paul en appela à César, le procurateur romain Festus l’envoya à Rome- Actes 24:26, 27. - it-1 p853-854
  8. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 7 JANVIER 2019 - ACTES 21-22.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 7 JANVIER 2019 - ACTES 21-22.pdf Vidéo par écrit « Jéhovah nous a appris comment élever nos enfants » -Semaine du 7 janvier.docx Vidéo par écrit « Jéhovah nous a appris comment élever nos enfants » -Semaine du 7 janvier.pdf https://download-a.akamaihd.net/files/media_broadcasting/0c/jwb_F_201711_03_r720P.mp4 JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 21-22 Actes 21:23, 24 : Pourquoi les anciens de Jérusalem ont-ils donné cette instruction à Paul alors que les chrétiens n’étaient plus sous la Loi mosaïque ? (bt 184-185 § 10-12). « Fais donc ce que nous te disons : Il y a avec nous quatre hommes qui ont fait un vœu. 24 Emmène-les, purifie-toi rituellement avec eux et charge-toi de leurs dépenses, pour qu’ils puissent se faire raser la tête. Alors tout le monde saura qu’il n’y a rien de vrai dans les rumeurs qui courent à ton sujet, mais que tu te conduis bien, obéissant toi aussi à la Loi » 10 Néanmoins, Paul se montrait compréhensif envers ceux qui ressentaient le besoin d’observer certaines coutumes juives, comme celles de ne pas travailler le sabbat ou de ne pas consommer certains aliments (Rom. 14:1-6). Il n’imposait pas non plus de règles relativement à la circoncision. D’ailleurs, il avait fait circoncire Timothée, né d’un père grec, pour qu’il n’inspire pas de méfiance aux Juifs (Actes 16:3). La circoncision relevait de la décision personnelle. “ Ni la circoncision n’a de valeur ni l’incirconcision, mais la foi opérant par l’amour ”, a dit Paul aux Galates (Gal. 5:6). Toutefois, ç’aurait été manquer de foi que de se faire circoncire pour obéir à la Loi ou de prétendre qu’il le fallait pour obtenir l’approbation de Jéhovah. 11 Ainsi, quoique tout à fait aberrantes, les rumeurs perturbaient quand même les croyants juifs. C’est pourquoi les anciens ont donné cette instruction à Paul : “ Nous avons quatre hommes ayant sur eux un vœu. Emmène ces hommes, purifie-toi rituellement avec eux et charge-toi de leurs dépenses, pour qu’ils puissent se faire raser la tête. Ainsi tout le monde saura qu’il n’y a rien de vrai dans les choses qu’ils ont entendu raconter à ton sujet, mais que tu marches de manière ordonnée, gardant, toi aussi, la Loi. ” — Actes 21:23, 24. 12 Paul aurait pu rétorquer que le problème réel n’était pas les rumeurs à son sujet, mais le zèle des croyants juifs pour la Loi mosaïque. Toutefois, il voulait être souple, tant qu’il n’avait pas à transiger avec les principes divins. N’avait-il pas écrit précédemment : “ Pour ceux qui sont sous la loi, je suis devenu comme si j’étais sous la loi, bien que moi-même je ne sois pas sous la loi, afin de gagner ceux qui sont sous la loi. ” (1 Cor. 9:20). Il a donc coopéré avec les anciens de Jérusalem en devenant ‘ comme s’il était sous la loi ’. Ce faisant, il nous a magnifiquement montré comment coopérer avec les anciens sans insister pour que l’on fasse les choses à notre façon. — Héb. 13:17. - bt 184-185 § 10-12 S’il nous arrive un jour d’avoir du mal à accepter un bon conseil, rappelons-nous que Paul en accepta un en la circonstance. Pour prouver qu’il n’enseignait pas “l’apostasie envers Moïse” aux Juifs qui résidaient parmi les Gentils, il suivit le conseil des anciens de se purifier selon les rites et de se charger des dépenses que cela lui occasionnerait, à lui et à quatre autres hommes. Bien que la mort de Jésus ait ôté la Loi du chemin, Paul ne fit rien de mal en appliquant ce qu’elle prescrivait à ceux qui faisaient des vœux. – TG1990 15/6 p22 §8 En une certaine occasion, bien que dégagé de la Loi, l’apôtre Paul observa les exigences de la Loi en se purifiant selon les rites au temple. S’agissait-il d’une inconséquence de sa part ? Paul ne combattait pas la Loi ou ses dispositions ; il montrait simplement que les chrétiens n’étaient pas tenus par Dieu de s’y conformer. Dans la mesure où les dispositions de la Loi ne violaient pas les nouvelles vérités chrétiennes, il n’y avait pas d’objection formelle à faire ce que Dieu avait prescrit sous la Loi. En la circonstance, Paul agit pour ne pas décourager inutilement les Juifs d’écouter la bonne nouvelle au sujet de Jésus Christ it-2 p701 Paul surmonte humblement une épreuve En 56 de notre ère, après un voyage missionnaire réussi, Paul arrive à Jérusalem. Une épreuve l’y attend. On a su dans la congrégation qu’il enseigne l’annulation de la Loi. Les anciens craignent que les Juifs nouvellement convertis au christianisme ne trébuchent à cause de son franc-parler au sujet de la Loi, qu’ils n’en déduisent que les chrétiens manquent de respect envers les dispositions de Jéhovah. Dans la congrégation se trouvent quatre chrétiens d’origine juive qui ont fait un vœu, peut-être un vœu de naziréat, et qui doivent aller au temple remplir les exigences liées à ce vœu. Les anciens demandent à Paul d’accompagner ces hommes au temple et de se charger de leurs dépenses. Or, Paul a écrit au moins deux lettres inspirées dans lesquelles il a démontré qu’il n’est pas nécessaire d’observer la Loi pour obtenir le salut. Toutefois, il respecte la conscience des autres. Il a déjà écrit : “ Pour ceux qui sont sous la loi, je suis devenu comme si j’étais sous la loi, [...] afin de gagner ceux qui sont sous la loi. ” (1 Corinthiens 9:20-23). Paul pense qu’il peut suivre la suggestion des anciens sans transiger avec aucun des principes essentiels des Écritures qui sont en jeu (Actes 21:15-26). Il n’est pas mal d’agir ainsi. Rien, dans les Écritures, ne s’oppose à ce qu’on fasse des vœux, et le temple est consacré au culte pur, non à l’idolâtrie. Afin de ne donner à personne une occasion de trébucher, Paul fait ce qu’on lui demande (1 Corinthiens 8:13). Cela exige sans aucun doute de lui une bonne dose d’humilité, mais nous n’en avons que plus d’admiration pour lui. TG2003 15/3 p24 Actes 22:16 : Comment Paul pouvait-il se laver de ses péchés ? (nwtsty, note d’étude). « Et maintenant, pourquoi tardes-tu ? Lève-toi, fais-toi baptiser et lave-toi de tes péchés en faisant appel à son nom.” » Lave-toi de tes péchés en faisant appel à son nom : ou « lave-toi de tes péchés et fais appel à son nom ». Une personne sera lavée de ses péchés, non par l’eau du baptême elle-même, mais parce qu’elle aura fait appel au nom de Jésus. Cela signifie qu’elle doit avoir foi en Jésus et le montrer par des oeuvres, des actes chrétiens. - nwtsty, note d’étude Accepter le Christ et exercer la foi dans son sang versé, qui permet le pardon des péchés, sont également une façon d’‘invoquer le nom de notre Seigneur Jésus Christ’. (Comparer Actes 10:43 avec 22:16.) De plus, nous prononçons bel et bien le nom de Jésus chaque fois que nous prions Dieu par son intermédiaire. Ainsi, tout en montrant que nous pouvons invoquer le nom de Jésus, la Bible n’indique pas que nous devons le prier – TG1994 15/12 Le baptême chrétien par immersion dans l’eau ne lave pas les péchés. Ce n’est pas le baptême, mais le sang versé par Jésus et ‘l’invocation de son nom’ qui permettent d’obtenir le pardon – TG1989 15/1 §15 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? “ Comme il ne se laissait pas dissuader, nous avons acquiescé en disant : ‘ Que la volonté de Jéhovah se fasse. ’ ” (Actes 21:14). Ceux qui essayaient de détourner Paul de son intention de se rendre à Jérusalem, n’ont pas insisté pour qu’il se range à leur avis. Ils l’ont écouté et ont cédé, reconnaissant et acceptant la volonté de Jéhovah, même si c’était difficile pour eux. Il n’était ni trop sûr de lui ni paralysé par la peur. Il faisait totalement confiance à Jéhovah et était prêt à accomplir sa mission, peu importe l’issue qu’Il permettrait. Paul avait pris une voie qui le mènerait à la mort. Cela lui serait plus facile si ceux qui l’aimaient ne tentaient pas de le dissuader. Ce récit nous enseigne une leçon très utile : Ne tentons jamais de dissuader les autres de mener une vie d’abnégation au service de Dieu. On peut appliquer cette leçon à bien des situations, et pas seulement à celles qui mettent en danger la vie de quelqu’un. Par exemple, même s’ils ont du mal à voir leurs enfants partir pour servir Jéhovah loin de chez eux, beaucoup de parents chrétiens sont déterminés à ne pas les en décourager. – bt p178 §18,19 Si nous voulons être personnellement approuvés et bénis par Jéhovah, nous devons soutenir son organisation et accepter les nouvelles compréhensions des Écritures. Considèrons ceci : Après la mort de Jésus, des milliers de chrétiens juifs zélés pour la Loi avaient du mal à s’affranchir de cette Loi (Actes 21:17-20). Toutefois, grâce à la lettre de Paul aux Hébreux, ils ont reconnu qu’ils avaient été sanctifiés non par le moyen de sacrifices « offerts selon la Loi », mais « grâce à l’offrande du corps de Jésus Christ une fois pour toutes » (Héb. 10:5-10). La plupart de ces chrétiens d’origine juive ont sans aucun doute révisé leur point de vue, puis progressé spirituellement. Nous devons, nous aussi, étudier assidûment et être ouverts aux nouvelles compréhensions de la Parole de Dieu ou aux nouvelles façons de prêcher. – TG2014 15/5 p29 §15 Après la mort de Jésus, de nombreux chrétiens d’origine juive ont eu du mal à renoncer à la Loi mosaïque (Actes 21:20). Bien que Paul ait démontré avec une grande habileté que les chrétiens ne se trouvaient plus sous cette Loi, certains ont rejeté son argumentation, pourtant inspirée par Dieu. Peut-être pensaient-ils qu’en continuant à observer quelques parties de la Loi, ils échapperaient à la persécution. Quoi qu’il en soit, Paul a écrit aux chrétiens hébreux et leur a affirmé qu’ils ne pourraient entrer dans le repos de Dieu tant qu’ils iraient à l’encontre de son dessein. Pour obtenir l’approbation divine, il leur fallait admettre que Jéhovah faisait prendre à son peuple une nouvelle direction. À notre époque, notre compréhension de certains enseignements bibliques s’affine. Cela ne devrait pas nous perturber. Au contraire, notre confiance dans l’esclave fidèle et avisé devrait s’en trouver renforcée. Quand ils l’estiment nécessaire, les représentants de cet esclave n’hésitent pas à clarifier ou à rectifier l’explication de certaines vérités. Ils se soucient davantage d’apporter leur concours à la réalisation du dessein de Dieu que de se protéger des critiques que peut leur valoir la publication d’une explication nouvelle. Comment réagissez-vous personnellement quand paraissent des éclaircissements sur un enseignement biblique ? – TG2010 1/3 §8 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Philippe a offert l’hospitalité à Paul et à Luc, des chrétiens zélés qui se dépensaient dans le service de Jéhovah Actes 21:8, 10. Comment pouvons-nous aujourd’hui témoigner notre gratitude et apporter notre soutien à nos compagnons zélés ? Peut-être pourrions-nous proposer aux pionniers de les accompagner dans le ministère une matinée ou un après-midi, le jour où peu de proclamateurs sont disponibles. Nous pouvons aussi les inviter chez nous pour passer un moment agréable en leur compagnie – km2004/8 §6 Philippe n’avait rien perdu de son zèle pour le ministère. À présent installé à Césarée, il était toujours actif dans la prédication, ce que Luc montre en l’appelant “ l’évangélisateur ”. On apprend aussi qu’il avait quatre filles qui prophétisaient, ce qui laisse supposer qu’elles suivaient les traces de leur père (Actes 21:9). L’état d’esprit et l’exemple de Philippe ont très certainement eu un effet positif sur ses filles. Il avait donc dû faire beaucoup pour bâtir la spiritualité de sa maisonnée. Aujourd’hui, les pères chrétiens ont tout intérêt à suivre son exemple, en étant pour leurs enfants des modèles dans le ministère et en leur apprenant à aimer l’évangélisation. Les parents chrétiens qui axent leur vie sur les intérêts du Royaume encouragent leurs enfants à faire comme eux. Un parent qui prêche avec zèle malgré la fatigue d’une semaine bien chargée peut laisser une empreinte indélébile sur son enfant– btp174 §13 Pendant le séjour de Paul chez Philippe est arrivé un autre visiteur estimé : Agabus. Les hôtes de Philippe savaient qu’Agabus était prophète ; il avait prédit une grande famine sous le règne de Claude (Actes 11:27, 28). ‘ Pourquoi est-il venu ? Quel message apporte-t-il ? ’ se demandaient-ils peut-être. Sous leurs yeux attentifs, Agabus a pris la ceinture de Paul — une longue bande de tissu portée autour de la taille et pouvant contenir de l’argent ou d’autres menus objets — et il s’en est lié les pieds et les mains. Puis il a pris la parole. Son message était grave. “ Ainsi dit l’esprit saint : ‘ L’homme à qui appartient cette ceinture, les Juifs le lieront de cette manière à Jérusalem et le livreront aux mains des gens des nations. ’ ” — Actes 21:11. Sa prophétie a confirmé que Paul irait à Jérusalem. Elle indiquait aussi que ses rapports avec les Juifs là-bas seraient tels qu’ils finiraient par le livrer “ aux mains des gens des nations ”- bt p177 §14,15 Quand Paul, en route pour Jérusalem, rencontra des frères, l’esprit de Dieu lui fit savoir, soit directement, soit par d’autres prophètes chrétiens, que les liens et la prison l’attendaient dans cette ville (Actes 21:11). Néanmoins, cela ne fit pas reculer l’apôtre et ne l’empêcha pas de faire tout ce qu’il pouvait en faveur de ses frères nécessiteux de Jérusalem. Courageusement, il dit à ses compagnons éplorés: “Que faites-vous là à pleurer et à m’amollir le cœur? N’en doutez pas: je suis prêt, non seulement à être lié, mais encore à mourir à Jérusalem pour le nom du Seigneur Jésus.” (Actes 21:13). Paul considérait le fait d’apporter une aide matérielle aux frères dans le besoin comme quelque chose de tellement important qu’il était disposé à y participer, non seulement au risque de sa liberté, mais même de sa vie. Vraiment, procurer à autrui une aide matérielle et spirituelle est un aspect fondamental de la vie d’un chrétien. Mais de tels dons n’ont de valeur aux yeux de Dieu que s’ils sont faits spontanément et de tout cœur, par amour et non par contrainte. Aussi, puissent nos dons spirituels et matériels être motivés par un amour sincère pour Dieu et pour nos semblables! Notre bien-être éternel en dépend.- TG1978 1/8 Quand, dans le temple, l’apôtre Paul a été arrêté par les soldats romains, il n’a pas jugé qu’il était en droit de prendre la parole. Avec respect, il a demandé au commandant : “ M’est-il permis de te dire quelque chose ? ” Il a ainsi eu la possibilité de s’expliquer. Actes 21:37-40. – TG2011 15/2 p5 Lorsque Saul de Tarse fut aveuglé par une lumière surnaturelle, les hommes qui l’accompagnaient entendirent-ils la voix que Saul entendit ? Le récit de la conversion de Saul de Tarse, et ce qu’il en dit lui-même plus tard, illustre la différence entre entendre un son et comprendre ce qu’on entend (Actes 9:3-8 ; 22:6-11). On lit en Actes 9:7 que les hommes qui accompagnaient Saul entendirent “ la voix ” ou “ le son d’une voix ”. Pourtant, selon Actes 22:9, Paul dit que ceux qui étaient avec lui n’entendirent pas la voix. Une bonne compréhension des deux versets élimine toute contradiction. Le mot grec traduit par “ voix ” en Actes 9:7 a, dans ce verset, le sens d’entendre ‘ d’une voix ’, c’est-à-dire d’entendre le son mais sans comprendre. Les hommes n’entendirent que le son de la voix, mais ne comprirent rien. En Actes 22:9, les hommes “ n’ont pas entendu la voix ” ; ils ont entendu le son d’une voix, mais n’ont pas saisi les mots, le sens ; contrairement à Paul, ils n’ont pas compris ce que Jésus lui disait. Par conséquent, Jésus lui parla d’une voix que Saul comprit, mais que les hommes qui l’accompagnaient ne comprirent pas - it-2 p453 “ Que dois-je faire, Seigneur ? ” (Actes 22:10). C’est ainsi que Paul, connu alors sous le nom de Saul, a répondu aux sollicitations du Seigneur Jésus glorifié, qui lui était apparu dans une vision pour l’empêcher de persécuter ses disciples. À la suite de cette rencontre, Saul s’est humblement repenti de sa conduite passée, s’est fait baptiser et a accepté la mission particulière dont Jésus le chargeait : rendre témoignage à son sujet auprès des nations. À partir de là, Paul a continué d’appeler Jésus son “ Seigneur ” et de le servir comme tel jusqu’à la fin de sa vie terrestre (Actes 22:6-16). L’apôtre n’était pas comme ceux à qui Jésus avait dit : “ Pourquoi donc m’appelez-vous ‘ Seigneur ! Seigneur ! ’ mais ne faites-vous pas les choses que je dis ? ” (Luc 6:46). En effet, Jésus attend de quiconque l’accepte comme Seigneur qu’il soit fidèle à sa parole, comme l’était l’apôtre Paul. – TG2012 15/10 p28 §5 L’extase. Apparemment, il arrivait que l’esprit de Dieu superpose à la pensée une représentation du dessein divin ou une vision pendant que la personne était en extase, c’est-à-dire dans un état de profonde concentration ou une condition comparable au sommeil. Le mot grec traduit par “ extase ” dans les Écritures chrétiennes est ékstasis. Défini littéralement comme l’action de mettre à l’écart ou un déplacement, il emporte au sens figuré l’idée de mettre l’esprit hors de son état ordinaire. Un individu en extase n’avait plus conscience de son entourage réel et était prêt à recevoir une vision. - Actes 22:17, 18. it-2 p1163 UN APPEL À CÉSAR: Citoyen romain de naissance, Paul avait le droit de faire appel à César et d’être jugé à Rome. Un citoyen romain ne pouvait être lié, fouetté ou puni sans avoir été jugé. —Actes 22:22-29 - TG1990 15/5 « Jéhovah nous a appris comment élever nos enfants » La mère : « Déjà, toute petite, les questions spirituelles m’intéressaient. Mon rêve, c’était de me marier avec un homme croyant, avec qui je pourrais servir Dieu et mener une vie paisible. Je n’ai pas connu ça avec mes parents. Souvent, on s’entendait mieux avec la domestique qu’avec ma mère ». Le père : « Mon père était un homme très distant. Il était toujours très pris par son travail et il passait beaucoup de temps avec ses amis. On s’est mariés en 1971 à Paris ». La mère : « On s’est fait baptiser en 1974 ». Le père : « Je me suis rendu compte que je ne savais pas vraiment comment élever des enfants, alors j’ai commencé à appliquer ce que disait la Bible. Pour enseigner les enfants comme Dieu le veut, il fallait d’abord que moi-même je comprenne bien les enseignements bibliques » La mère : « En 1976, on a déménagé au Portugal pour servir où il y avait besoin de renfort. Notre fils aîné avait 4 ans 1/ 2, Maria avait 3 ans 1/ 2 et Benjamin 1 an 1/ 2 ». Le fils aîné : « Je me souviens quand on est arrivés. On habitait à la campagne. Maria : « C’était une toute petite congrégation et donc tout petits, il fallait qu’on participe aux réunions ». Benjamin : « Nos parents voulaient mettre les intérêts spirituels à la 1ère place dans leur vie. Ils ne voulaient pas se contenter de nous dire qu’il fallait mettre les intérêts du Royaume en 1er, ce qu’ils voulaient, c’était nous montrer comment le faire ». Maria : »Ils n’attendaient pas le culte familial pour nous parler de Jéhovah et de choses spirituelles. Je me souviens que parfois en rentrant à pied des réunions, nos parents nous aidaient à chercher les constellations ; c’était l’occasion de parler de Jéhovah ». Le père : « En Deutéronome chapitre 6, il est dit qu’on doit constamment parler à nos enfants. C’est bien de leur parler de Dieu et de les aider à le voir comme une personne réelle qui a un lien avec tout ce qui nous entoure. J’avais vraiment envie de leur montrer qu’apprendre à connaître Dieu n’a rien de triste ni d’ennuyeux ; au contraire, ça nous procure beaucoup de joie ». Benjamin : « Bien sûr, on n’était pas parfaits. J’ai fait beaucoup de bêtises. Mais mes parents ne m’ont jamais dit : « Fais ce qu’on te dit, un point c’est tout. Ils ont toujours essayé de nous expliquer les raisons bibliques » Le père : « Mes parents m’ont élevé en me donnant des ordres : « Tu dois faire ça. Tu dois. C’est comme ça qu’il faut faire ». Mais j’ai compris que dans la Bible, Dieu ne se contente pas de donner des lois : il les explique. Il donne des tas d’explications, il donne des raisons pour tout. En enseignant mes enfants, je dois dire que j’ai beaucoup appris moi aussi » Maria : « On ne s’est jamais sentis obligés d’aller aux réunions ou d’aller prêcher. On le faisait parce qu’on en avait envie. Le fils aîné : « Un jour, mon père m’a donné une Bible neuve. Il avait écrit à l’intérieur : « Puisse ce livre être toujours la force qui te pousse à agir dans ta vie ». Plusieurs fois, il m’a dit : « Je t’en supplie, ne renonce jamais, jamais à ton service. Jéhovah est ton Père et tu dois le servir toute ta vie » Le père : « Comme tous les parents, le Tout-Puissant a des enfants qui lui ont désobéi. Dieu ne force personne. Il respecte beaucoup notre libre arbitre. On voulait que nos enfants construisent leur propre avenir. Je me suis toujours dit que mes enfants ne m’appartenaient pas mais que c’est Jéhovah qui nous les a gentiment confiés pour que nous puissions en prendre soin. Une fois qu’on a fait notre part, on les laisse prendre leur envol ». Le fils aîné : « Mes parents nous ont toujours encouragés à être dans le service à plein temps même si il fallait déménager loin de la maison. Maria : « Mon mari et moi, nous sommes missionnaires à Klaipèda en Lituanie. Je serai toujours reconnaissante d’avoir pu utiliser ma jeunesse au service de Jéhovah, et de ne pas avoir gaspillé mon temps à travailler pour ce monde ». Benjamin : « Ma femme et moi, nous servons au Béthel du Portugal. Si Jéhovah est heureux, si mes parents sont heureux, alors moi aussi je suis heureux. Je suis certain qu’ils aiment ce que nous faisons. Ça les rend heureux ». Le père : « Nous nous réjouissons parce ce que nos enfants donnent le meilleur d’eux-mêmes à leur Créateur et ils le réjouissent. Jéhovah le mérite bien » La mère : « Bien sûr que nos enfants nous manquent. On aimerait les avoir avec nous mais on est très heureux qu’ils aient le privilège de servir Jéhovah comme ils le font ». Questions du Cahier Vie chrétienne et Ministère : Comment leur enfance a-t-elle influencé la façon dont ils ont élevé leurs enfants ? Quels beaux souvenirs d’enfance leurs enfants ont-ils ? Comment Abilio et Ulla se sont-ils efforcés d’appliquer Deutéronome 6:6, 7 ? Pourquoi n’ont-ils pas simplement imposé des règles à leurs enfants ? Comment ont-ils aidé leurs enfants à prendre de bonnes décisions ? Pourquoi peut-on dire qu’ils ont manifesté l’esprit de sacrifice en encourageant leurs enfants à être dans le service à plein temps ? bt 178 § 19
  9. Vidéo par écrit « Jéhovah nous a appris comment élever nos enfants » -Semaine du 7 janvier.pdf Vidéo par écrit « Jéhovah nous a appris comment élever nos enfants » -Semaine du 7 janvier.docx https://download-a.akamaihd.net/files/media_broadcasting/0c/jwb_F_201711_03_r720P.mp4 « Jéhovah nous a appris comment élever nos enfants » La mère : « Déjà, toute petite, les questions spirituelles m’intéressaient. Mon rêve, c’était de me marier avec un homme croyant, avec qui je pourrais servir Dieu et mener une vie paisible. Je n’ai pas connu ça avec mes parents. Souvent, on s’entendait mieux avec la domestique qu’avec ma mère ». Le père : « Mon père était un homme très distant. Il était toujours très pris par son travail et il passait beaucoup de temps avec ses amis. On s’est mariés en 1971 à Paris ». La mère : « On s’est fait baptiser en 1974 ». Le père : « Je me suis rendu compte que je ne savais pas vraiment comment élever des enfants, alors j’ai commencé à appliquer ce que disait la Bible. Pour enseigner les enfants comme Dieu le veut, il fallait d’abord que moi-même je comprenne bien les enseignements bibliques » La mère : « En 1976, on a déménagé au Portugal pour servir où il y avait besoin de renfort. Notre fils aîné avait 4 ans 1/ 2, Maria avait 3 ans 1/ 2 et Benjamin 1 an 1/ 2 ». Le fils aîné : « Je me souviens quand on est arrivés. On habitait à la campagne. Maria : « C’était une toute petite congrégation et donc tout petits, il fallait qu’on participe aux réunions ». Benjamin : « Nos parents voulaient mettre les intérêts spirituels à la 1ère place dans leur vie. Ils ne voulaient pas se contenter de nous dire qu’il fallait mettre les intérêts du Royaume en 1er, ce qu’ils voulaient, c’était nous montrer comment le faire ». Maria : »Ils n’attendaient pas le culte familial pour nous parler de Jéhovah et de choses spirituelles. Je me souviens que parfois en rentrant à pied des réunions, nos parents nous aidaient à chercher les constellations ; c’était l’occasion de parler de Jéhovah ». Le père : « En Deutéronome chapitre 6, il est dit qu’on doit constamment parler à nos enfants. C’est bien de leur parler de Dieu et de les aider à le voir comme une personne réelle qui a un lien avec tout ce qui nous entoure. J’avais vraiment envie de leur montrer qu’apprendre à connaître Dieu n’a rien de triste ni d’ennuyeux ; au contraire, ça nous procure beaucoup de joie ». Benjamin : « Bien sûr, on n’était pas parfaits. J’ai fait beaucoup de bêtises. Mais mes parents ne m’ont jamais dit : « Fais ce qu’on te dit, un point c’est tout. Ils ont toujours essayé de nous expliquer les raisons bibliques » Le père : « Mes parents m’ont élevé en me donnant des ordres : « Tu dois faire ça. Tu dois. C’est comme ça qu’il faut faire ». Mais j’ai compris que dans la Bible, Dieu ne se contente pas de donner des lois : il les explique. Il donne des tas d’explications, il donne des raisons pour tout. En enseignant mes enfants, je dois dire que j’ai beaucoup appris moi aussi » Maria : « On ne s’est jamais sentis obligés d’aller aux réunions ou d’aller prêcher. On le faisait parce qu’on en avait envie. Le fils aîné : « Un jour, mon père m’a donné une Bible neuve. Il avait écrit à l’intérieur : « Puisse ce livre être toujours la force qui te pousse à agir dans ta vie ». Plusieurs fois, il m’a dit : « Je t’en supplie, ne renonce jamais, jamais à ton service. Jéhovah est ton Père et tu dois le servir toute ta vie » Le père : « Comme tous les parents, le Tout-Puissant a des enfants qui lui ont désobéi. Dieu ne force personne. Il respecte beaucoup notre libre arbitre. On voulait que nos enfants construisent leur propre avenir. Je me suis toujours dit que mes enfants ne m’appartenaient pas mais que c’est Jéhovah qui nous les a gentiment confiés pour que nous puissions en prendre soin. Une fois qu’on a fait notre part, on les laisse prendre leur envol ». Le fils aîné : « Mes parents nous ont toujours encouragés à être dans le service à plein temps même si il fallait déménager loin de la maison. Maria : « Mon mari et moi, nous sommes missionnaires à Klaipèda en Lituanie. Je serai toujours reconnaissante d’avoir pu utiliser ma jeunesse au service de Jéhovah, et de ne pas avoir gaspillé mon temps à travailler pour ce monde ». Benjamin : « Ma femme et moi, nous servons au Béthel du Portugal. Si Jéhovah est heureux, si mes parents sont heureux, alors moi aussi je suis heureux. Je suis certain qu’ils aiment ce que nous faisons. Ça les rend heureux ». Le père : « Nous nous réjouissons parce ce que nos enfants donnent le meilleur d’eux-mêmes à leur Créateur et ils le réjouissent. Jéhovah le mérite bien » La mère : « Bien sûr que nos enfants nous manquent. On aimerait les avoir avec nous mais on est très heureux qu’ils aient le privilège de servir Jéhovah comme ils le font ». Questions du Cahier Vie chrétienne et Ministère : Comment leur enfance a-t-elle influencé la façon dont ils ont élevé leurs enfants ? Quels beaux souvenirs d’enfance leurs enfants ont-ils ? Comment Abilio et Ulla se sont-ils efforcés d’appliquer Deutéronome 6:6, 7 ? Pourquoi n’ont-ils pas simplement imposé des règles à leurs enfants ? Comment ont-ils aidé leurs enfants à prendre de bonnes décisions ? Pourquoi peut-on dire qu’ils ont manifesté l’esprit de sacrifice en encourageant leurs enfants à être dans le service à plein temps ? bt 178 § 19
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  11. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 31 DECEMBRE 2018 - ACTES 19-20.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 31 DECEMBRE 2018 - ACTES 19-20.pdf Vidéo par écrit Formons les jeunes frères qui veulent faire plus au service de Jéhovah -Semaine du 31 décembre.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 19-20 Actes 19:9 : Quel exemple de zèle et de flexibilité l’apôtre Paul a-t-il donné ? (bt 161 § 11) « Mais comme quelques-uns refusaient obstinément de croire et parlaient en mal du Chemin devant la foule, il se sépara d’eux et emmena les disciples avec lui. Et chaque jour, il fit des discours dans la salle de l’école de Tyrannus » La parole « continuait à croître et à être la plus forte » 11 Paul a peut-être donné des discours dans cette salle chaque jour entre 11 heures et 16 heures (Actes 19:9, note). C’étaient sans doute les heures les plus calmes mais les plus chaudes de la journée, où beaucoup cessaient leur activité pour manger et se reposer. S’il a gardé ce rythme rigoureux pendant deux années entières, on peut estimer qu’il a passé plus de 3 000 heures à enseigner. Voilà une autre raison pour laquelle la parole de Jéhovah continuait à croître et à être la plus forte. Paul était diligent et flexible. Il a modifié son programme pour que son ministère réponde aux besoins de la population locale. En conséquence, “ tous ceux qui habitaient dans le district d’Asie entendirent la parole du Seigneur, tant Juifs que Grecs ”. (Actes 19:10.) Paul a bel et bien rendu pleinement témoignage – bt p161 §11 À l’occasion de son troisième voyage missionnaire, Paul revint à Éphèse où il parla du Royaume de Dieu avec grande hardiesse dans la synagogue. Toutefois, au bout de trois mois, l’opposition des Juifs s’intensifia, et Paul décida de prononcer ses discours quotidiens dans la salle de l’école de Tyrannus (Actes 19:1, 8, 9). Il poursuivit son activité de prédicateur pendant deux ans dans la ville, accomplissant d’extraordinaires œuvres de puissance, telles que des guérisons miraculeuses et des expulsions de démons (Actes 19:10-17). Comme on pouvait s’y attendre, beaucoup d’Éphésiens devinrent croyants. Oui, la parole de Jéhovah était la plus forte, et bon nombre de ceux qui avaient pratiqué les arts magiques décidèrent de leur plein gré de brûler leurs livres, bien que coûteux – TG2004 15/12 p26 Actes 19:19 : Quel bel exemple les Éphésiens nous laissent-ils ? (bt 162-163 § 15). « Oui, bon nombre de ceux qui avaient pratiqué la magie rassemblèrent leurs livres et les brûlèrent devant tout le monde. On en estima la valeur : 50 000 pièces d’argent ». 50 000 pièces d’argent = 37 200 dollars 33 000 euros La parole « continuait à croître et à être la plus forte » 15 L’humiliation des fils de Scéva a répandu la crainte de Dieu, si bien que beaucoup sont devenus croyants et ont abandonné leurs pratiques spirites. La culture éphésienne baignait dans les arts magiques. On employait couramment les charmes et les amulettes, ainsi que les incantations, souvent sous forme écrite. Or quantité d’Éphésiens ont décidé de rassembler et de brûler en public leurs livres de magie, qui pourtant valaient des dizaines de milliers d’euros selon le cours actuel. Luc commente : “ C’est ainsi que, d’une manière puissante, la parole de Jéhovah continuait à croître et à être la plus forte. ” (Actes 19:17-20). Quelle magnifique victoire de la vérité sur le mensonge et le démonisme ! Ces Éphésiens pleins de foi sont un exemple pour nous. Nous vivons aussi dans un monde imprégné de spiritisme. Si nous étions en possession d’un objet lié au spiritisme, nous ferions comme eux : nous nous en débarrasserions aussitôt ! Tenons-nous loin de ces pratiques répugnantes, quoi qu’il en coûte. – bt p162-163 §15 Avant de brûler leurs livres, ils ont “ confessé et déclaré ouvertement leurs pratiques ”. (Actes 19:18.) Leur cœur ayant été touché par l’enseignement de Paul au sujet du Christ, ils ont non seulement détruit leurs ouvrages de spiritisme, mais ils ont aussi révisé leur point de vue sur leurs pratiques traditionnelles. Ces chrétiens, ‘qui aimaient Jéhovah’, haïrent ce qui était mauvais et n’hésitèrent pas à la pensée de subir une perte matérielle. Bien au contraire, pour leur plus grand profit spirituel, ils détruisirent leurs objets ayant un rapport avec le démonisme – TG2009 1/5 Puisque la magie, comme de nombreuses autres formes de démonisme, était si répandue à Éphèse, il convenait vraiment que Paul conseille aux chrétiens de cette ville de combattre contre les forces spirituelles méchantes en revêtant “ l’armure complète de Dieu ”. Certains de ceux qui renoncèrent à la magie furent probablement harcelés par les démons ; aussi les conseils de Paul durent-ils les aider à leur résister. Il faut remarquer qu’une des premières actions de ces nouveaux chrétiens fut de détruire les livres qui avaient un rapport avec le démonisme, montrant ainsi l’exemple à ceux qui aujourd’hui désirent se libérer de l’influence ou du harcèlement des démons – it-1 p787 Ces chrétiens ont détruit tous leurs objets qui avaient un lien avec le spiritisme, peu importe leur valeur. Quelle magnifique victoire de la vérité sur le mensonge et le démonisme. Cet exemple nous est bien utile aujourd’hui. Le monde baigne dans le spiritisme et l’occultisme. Même des pratiques et des objets spirites en apparence inoffensifs peuvent ouvrir la porte aux influences démoniaques. Il est vital de rejeter ces choses, quoi qu’il en coûte - TG2014 1/11 p6-7 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Qu’est-ce qui a rendu des guérisons possibles ? La ‘ puissance de Dieu ’ Dans Actes 19:11,12, on y lit: “Dieu opérait, par les mains de [l’apôtre] Paul, d’extraordinaires œuvres de puissance, si bien qu’on portait aux malades — de dessus son corps — même des linges et des tabliers, et les maladies les quittaient, et les esprits méchants sortaient.” Remarquons que c’était Dieu qui accomplissait ces œuvres extraordinaires en se servant de Paul. L’apôtre ne faisait pas ces œuvres de puissance de son propre chef, et il n’a jamais accepté que des hommes le vénèrent. C’est donc l’esprit saint émanant de Dieu causait ces guérisons, et pas simplement la foi des malades – TG1991 15/11 p5 Paul se laissait guider par l’esprit saint de Dieu de façon exemplaire (Actes 20:22-30). “Lié dans l’esprit”, c’est-à-dire se sentant obligé de suivre la direction de l’esprit, l’apôtre allait se rendre à Jérusalem, alors que des liens et des tribulations l’y attendaient. Il tenait à la vie, mais le plus important à ses yeux était de rester fidèle à Dieu. Nous devrions voir les choses comme lui. – TG1990 15/6 §5 L’apôtre Paul a reconnu sa responsabilité de guetteur lorsqu’il a dit aux anciens d’Éphèse: “C’est pourquoi je vous prends en ce jour même à témoin que je suis pur du sang de tous les hommes.” Pourquoi pouvait-il tenir ce langage? Il poursuit: “Car je ne me suis pas retenu de vous annoncer tout le conseil de Dieu.” (Actes 20:26, 27). Ainsi en est-il aujourd’hui de la classe du guetteur, le reste des disciples de Jésus qui sont oints de l’esprit saint. En compagnie des plus de huit millions 300 mille de personnes qui ont l’espérance de survivre à la destruction de l’actuel système de choses et de vivre éternellement sur la terre, ils doivent prêcher sans relâche la bonne nouvelle du Royaume de Dieu et dire aux humains que le jugement divin approche. De cette façon, ils ne se chargent d’aucune dette de sang. – TG1988 1/1 §14 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Une utilisation efficace de la Bible ne se résume pas à la citation de versets. Comme Paul, nous devrions parler avec “ persuasion ”. (Actes 19:8, 9) “ Persuader ” signifie “ convaincre ”. Celui qui est persuadé est “ si convaincu qu’il place sa confiance en quelque chose ”. Quand nous persuadons notre interlocuteur d’accepter un enseignement biblique, nous l’amenons à y accorder du crédit. Pour y parvenir, nous devons le convaincre de la véracité de nos dires. Dirigeons l’attention vers la Parole de Dieu d’une manière qui suscite le respect pour elle. Ne nous contentons pas de lire les versets ; expliquons-les. Raisonnons à partir des Écritures de manière convaincante – TG2010 15/2 §14-17 A Éphèse Paul a organisé des réunions presque aussitôt après que son message a suscité de l’intérêt (Actes 19:9, 10). En effet, comme il l’a expliqué à la congrégation de Corinthe, quand “un non-croyant ou un homme ordinaire” se rend à une réunion chrétienne ordonnée “les secrets de son cœur deviennent manifestes, de sorte qu’il tombera sur sa face et adorera Dieu, en déclarant: ‘Dieu est vraiment parmi vous.’” (I Corinthiens 14:24, 25). De même aujourd’hui, plus vite un étudiant de la Bible se mettra à fréquenter une congrégation, plus vite il saura discerner où se trouve la vérité. C’est pourquoi les bons enseignants invitent leurs élèves à assister aux réunions et aux assemblées le plus tôt possible. Si cela s’avère nécessaire, ils feront un détour pour les accompagner personnellement jusqu’à la salle. – TG1985 1/3 §16 Des “ Juifs itinérants, qui faisaient métier de chasser les démons ”, ont cherché à reproduire les miracles de Paul, pour certains en invoquant les noms de Jésus et de Paul. Luc mentionne les sept fils de Scéva, membres d’une famille sacerdotale, qui s’y sont essayés ainsi. Mais le démon leur a répondu : “ Je connais Jésus et je sais qui est Paul ; mais vous, qui êtes-vous ? ” Puis le possédé s’est jeté telle une bête sauvage sur les sept charlatans, qui ont détalé sans demander leur reste, blessés et nus (Actes 19:13-16). Ce fut une victoire retentissante pour “ la parole de Jéhovah ”, car la différence entre la puissance donnée à Paul et l’impuissance des pratiquants d’une fausse religion était plus que visible. Aujourd’hui, des millions de gens pensent à tort qu’on peut se contenter d’invoquer le nom de Jésus ou de se dire “ chrétien ”. Or, comme Jésus l’a indiqué, seuls ceux qui font réellement la volonté de son Père ont une véritable espérance – bt p160 §14 La dernière résurrection rapportée dans la Bible se produit à Troas. Paul, dont c’est le troisième voyage missionnaire, y prononce un discours qu’il prolonge jusqu’à minuit. Sous l’effet de la fatigue, et peut-être aussi de la chaleur que dégagent les lampes et un auditoire nombreux, le jeune Eutyche s’endort et se défenestre du troisième étage. ‘ On le relève mort. ’ Paul se jette sur lui et le prend dans ses bras. “ Cessez de pousser des cris, car son âme est en lui. ” Paul ne veut pas dire qu’il s’agit d’un simple évanouissement, mais que la vie vient d’être rendue au jeune homme. Les personnes présentes ‘ sont consolées sans mesure ’. (Actes 20:7-12) Nous puisons nous-mêmes beaucoup de réconfort dans l’idée que ceux qui ont servi Dieu à nos côtés seront ressuscités - TG2000 15/7 §11 Vers l’an 96 de notre ère, Jésus a adressé à des membres de la congrégation d’Éphèse le reproche suivant : “ J’ai ceci contre toi : c’est que tu as laissé l’amour que tu avais au début. ” (Révélation 2:4). Ces chrétiens de longue date avaient fait preuve d’endurance dans beaucoup de difficultés (Révélation 2:2, 3). Ils avaient été enseignés par des anciens fidèles, dont l’apôtre Paul (Actes 20:17-21, 27). Pourtant, avec le temps, leur amour pour Jéhovah s’était refroidi, et ils avaient perdu leur dynamisme spirituel. Il est probable que l’esprit commercial et la prospérité de la ville exerçaient une influence sur certains Éphésiens. Pareillement, de nos jours, des chrétiens se sont laissé emporter par le courant matérialiste de la société moderne. À rechercher résolument une vie confortable, on se détourne inévitablement des objectifs spirituels – TG1997 1/10 L’apôtre Paul a donné un bel exemple pour pouvoir communiquer les vérités du Royaume le plus efficacement possible, car, comme il l’a dit aux anciens d’Éphèse, depuis le premier jour où il les avait rencontrés, il avait servi le Seigneur “avec la plus grande humilité d’esprit”. Actes 20:19. Si nous sommes en permanence modestes et humbles d’esprit, nous serons, nous aussi, d’une compagnie réconfortante pour les autres, et il nous sera plus facile de communiquer avec eux. Toute autre attitude créerait probablement une barrière entre nous et ceux avec qui nous essayons de communiquer. Véritablement, “la sagesse est avec les modestes”.Proverbes 11:2. – TG1991 1/9 §11,12 Paul était un homme courageux et attentionné avec les autres ; c’est pour cette raison que beaucoup parmi les premiers chrétiens en sont venus à l’aimer profondément. Souvenez-vous de cette réunion que Paul a tenue avec les anciens d’Éphèse, ville dans laquelle il avait passé trois ans et subi une forte opposition (Actes 20:17-31). Après avoir encouragé ces frères à prendre soin du troupeau que Dieu leur avait confié, Paul s’est mis à genoux avec eux et a prié. Alors, “ bien des larmes coulèrent parmi eux tous, et ils se jetèrent au cou de Paul et l’embrassèrent tendrement, parce qu’ils étaient peinés surtout de la parole qu’il avait dite, qu’ils n’allaient plus voir son visage ”. Ces frères aimaient profondément Paul ! C’est si vrai qu’au moment du départ Paul et ses compagnons de voyage durent ‘ s’arracher à eux ’, tant les anciens de cette congrégation avaient du mal à les laisser partir. — Actes 20:36–21:1. Manifestement, Paul et ses frères n’étaient pas simplement unis par la même croyance. Ils éprouvaient une tendre affection les uns pour les autres. De nos jours, les responsables itinérants, les responsables d’assemblées et bien d’autres frères et sœurs sont profondément aimés en raison du courage qu’ils manifestent en faveur des brebis de Jéhovah. – TG2006 1/10 §9,10 Les apostats représentent une autre menace pour notre spiritualité. Conformément à la prédiction de Paul, une grande apostasie est apparue parmi les chrétiens après la mort des apôtres (Actes 20:29, 30). Elle a donné naissance à la chrétienté. De nos jours, aucune apostasie de grande ampleur chez les serviteurs de Jéhovah : seulement des défections isolées. Certains anciens Témoins, cependant, bien décidés à nous diffamer, n’hésitent pas à manier le mensonge et la désinformation ; quelques-uns rejoignent des groupes pour s’opposer de façon organisée au culte pur. En agissant ainsi, ils font cause commune avec le premier apostat : Satan. – TG2000 1/5 §8 “ Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir ”, a déclaré Jésus (Actes 20:35). Pour les chrétiens, les occasions de donner ne manquent pas. Parfois, un sourire chaleureux, une poignée de main ou des remerciements sincères à quelqu’un qui s’est acquitté consciencieusement d’une tâche théocratique seront une source de joie de part et d’autre.- TG2009 15/12 Formons les jeunes frères qui veulent faire plus au service de Jéhovah On est très heureux pour Daniel. Il va faire beaucoup de bien dans sa nouvelle affectation. Mais il va nous manquer, il faisait beaucoup pour l’assemblée. Son départ va changer pas mal de choses pour nous. Nous voulons vraiment être disponibles pour nos frères et sœurs. Mais c’est vrai, c’est bien d’avoir beaucoup à faire dans l’œuvre du Seigneur. Mais où trouver de l’aide ? Nous avons de bons assistants ministériels comme Richie. Mais depuis que Daniel est parti, on a un responsable de moins dans le collège. Du coup, je me suis demandé : « Faisons tout notre possible pour former nos frères ? » « Richie, tu aurais un moment de libre, tu pourrais m’aider pour mes nouvelles visites « ? Richie : « Oui, avec plaisir ! » J’ai réalisé que ça faisait longtemps qu’on lui avait pas parlé de se qualifier pour faire plus dans l’assemblée. Il m’a expliqué qu’il voulait aider mais qu’il voulait pas paraître présomptueux. Il avait prié à ce sujet et il voulait savoir ce qu’il pouvait faire pour se rendre plus disponible. Ma conversation avec Richie m’a fait penser à l’exemple de Jésus. Ses disciples se sont offerts volontairement et les a formé. Ils étaient plein de bonne volonté mais ils avaient besoin que Jésus les guide. Grâce à la formation qui leur a donné, ils ont acquis l’assurance nécessaire pour assumer leur mission. Ils étaient heureux, pas seulement de suivre Jésus, mais aussi de travailler à ses côtés. Et Jésus était heureux de collaborer avec eux. Jusqu’au dernier soir, il a continué de les préparer en vue de leurs futures responsabilités. « Oui, je vous le dis, c’est la vérité : celui qui exerce la foi en moi fera aussi les œuvres que je fais ; et il fera des œuvres plus grandes que celles-ci, parce que je m’en vais vers le Père » Jean 14 :12 Je me suis rappelé comment, moi-même, j’avais été formé par les frères. J’avais oublié qu’au début, je ne fais pas toujours les choses correctement. Peu de temps après, Richie a reçu plus de responsabilités. Il m’a fait part d’un sentiment que j’avais moi aussi éprouvé. Il ne s’était pas rendu compte que, prendre soin des petites brebis de Jéhovah, demandait autant de travail. Mais quand il l’a compris, il était heureux de s’être offert volontairement. Questions du Cahier Vie chrétienne et Ministère : Quel rôle essentiel les anciens jouent-ils dans l’assemblée ? (Actes 20:28). Pourquoi les anciens doivent-ils continuer à former d’autres frères ? Comment les anciens peuvent-ils imiter Jésus dans ce domaine ? De quelle façon les frères devraient-ils considérer la formation donnée par les anciens ? (Actes 20:35 ; 1Tm 3:1). Quelle formation pratique les anciens peuvent-ils leur donner ? Quel point de vue équilibré les anciens doivent-ils avoir sur ceux qu’ils forment ? Vidéo par écrit Formons les jeunes frères qui veulent faire plus au service de Jéhovah -Semaine du 31 décembre.docx
  12. https://tv.jw.org/#fr/mediaitems/pub-jwb_201707_5_VIDEO Formons les jeunes frères qui veulent faire plus au service de Jéhovah On est très heureux pour Daniel. Il va faire beaucoup de bien dans sa nouvelle affectation. Mais il va nous manquer, il faisait beaucoup pour l’assemblée. Son départ va changer pas mal de choses pour nous. Nous voulons vraiment être disponibles pour nos frères et sœurs. Mais c’est vrai, c’est bien d’avoir beaucoup à faire dans l’œuvre du Seigneur. Mais où trouver de l’aide ? Nous avons de bons assistants ministériels comme Richie. Mais depuis que Daniel est parti, on a un responsable de moins dans le collège. Du coup, je me suis demandé : « Faisons tout notre possible pour former nos frères ? » « Richie, tu aurais un moment de libre, tu pourrais m’aider pour mes nouvelles visites « ? Richie : « Oui, avec plaisir ! » J’ai réalisé que ça faisait longtemps qu’on lui avait pas parlé de se qualifier pour faire plus dans l’assemblée. Il m’a expliqué qu’il voulait aider mais qu’il voulait pas paraître présomptueux. Il avait prié à ce sujet et il voulait savoir ce qu’il pouvait faire pour se rendre plus disponible. Ma conversation avec Richie m’a fait penser à l’exemple de Jésus. Ses disciples se sont offerts volontairement et les a formé. Ils étaient plein de bonne volonté mais ils avaient besoin que Jésus les guide. Grâce à la formation qui leur a donné, ils ont acquis l’assurance nécessaire pour assumer leur mission. Ils étaient heureux, pas seulement de suivre Jésus, mais aussi de travailler à ses côtés. Et Jésus était heureux de collaborer avec eux. Jusqu’au dernier soir, il a continué de les préparer en vue de leurs futures responsabilités. « Oui, je vous le dis, c’est la vérité : celui qui exerce la foi en moi fera aussi les œuvres que je fais ; et il fera des œuvres plus grandes que celles-ci, parce que je m’en vais vers le Père » Jean 14 :12 Je me suis rappelé comment, moi-même, j’avais été formé par les frères. J’avais oublié qu’au début, je ne fais pas toujours les choses correctement. Peu de temps après, Richie a reçu plus de responsabilités. Il m’a fait part d’un sentiment que j’avais moi aussi éprouvé. Il ne s’était pas rendu compte que, prendre soin des petites brebis de Jéhovah, demandait autant de travail. Mais quand il l’a compris, il était heureux de s’être offert volontairement. Questions du Cahier Vie chrétienne et Ministère : Quel rôle essentiel les anciens jouent-ils dans l’assemblée ? (Actes 20:28). Pourquoi les anciens doivent-ils continuer à former d’autres frères ? Comment les anciens peuvent-ils imiter Jésus dans ce domaine ? De quelle façon les frères devraient-ils considérer la formation donnée par les anciens ? (Actes 20:35 ; 1Tm 3:1). Quelle formation pratique les anciens peuvent-ils leur donner ? Quel point de vue équilibré les anciens doivent-ils avoir sur ceux qu’ils forment ?
  13. Je te remercie pour ton message, c'est encourageant. Nous avons besoin de cette nourriture spirituelle à la fin de ce système de choses pour avoir une foi solide
  14. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 24 DECEMBRE 2018 - ACTES 17-18.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 24 DECEMBRE 2018 - ACTES 17-18.pdf Vidéo par écrit Le culte familial Paul a prêché pleinement la bonne nouvelle -Semaine du 24 décembre.docx Vidéo par écrit Le culte familial Paul a prêché pleinement la bonne nouvelle -Semaine du 24 décembre.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 17-18 Actes 18:18 : Que peut-on dire à propos du vœu que Paul a fait ? (w08 15/5 32 § 5). « Paul resta là encore de nombreux jours, puis il fit ses adieux aux frères et embarqua pour la Syrie, accompagné de Priscille et Aquilas. Il s’était fait tondre la tête à Cenchrées » Quel vœu Paul a-t-il fait ? Certains spécialistes avancent l’idée que Paul avait fait vœu de naziréat (Nombres. 6:1-21). Pourtant, la Bible ne donne aucune précision à ce sujet. Par ailleurs, les Écritures ne disent pas si Paul avait fait ce vœu avant ou après sa conversion ni s’il venait de le faire ou s’il était sur le point de s’en libérer. Quoi qu’il en soit, l’engagement que Paul avait pris n’était en rien un péché. - w08 15/5 32 § 5 L’apôtre Paul fit un vœu, dont on ignore s’il s’agissait d’un vœu de naziréat ou non ; il n’est pas non plus précisé s’il avait fait ce vœu avant de devenir chrétien. Son vœu arriva peut-être à son terme au moment où il se fit tondre la tête à Cenchrées – it-2 p1166 Un ouvrage de référence suppose qu’en se faisant couper les cheveux court Paul a voulu “ exprimer sa reconnaissance à Dieu pour sa protection, qui lui avait permis d’achever son ministère à Corinthe ”. – bt p152 Actes 18:21 : Quand nous poursuivons des objectifs spirituels, comment imiter Paul ? (nwtsty, note d’étude) « Et leur fit ses adieux, disant : « Je reviendrai vous voir, si Jéhovah le veut. » Quittant Éphèse en bateau » Si Jéhovah le veut : Expression qui souligne la nécessité de tenir compte de la volonté de Dieu quand on fait ou qu’on prévoit de faire quelque chose. L’apôtre Paul gardait ce principe bien présent à l’esprit (1Co 4:19 ; 16:7 ; Hé 6:3). Le disciple Jacques, quant à lui, a encouragé ses lecteurs à dire : « Si Jéhovah le veut, nous vivrons et ferons ceci ou cela » (Jacques 4:15). De telles expressions ne devraient pas être prises à la légère ; une personne qui dit sincèrement « si Jéhovah le veut » doit s’efforcer d’agir en accord avec la volonté de Jéhovah. On ne doit pas nécessairement dire cette expression à voix haute ; on se contente souvent de la dire intérieurement (voir aussi Actes 21:14 « Comme il n’y avait pas moyen de le dissuader, nous n’avons plus insisté, et nous avons dit : « Que la volonté de Jéhovah se fasse. » Ceux qui essayaient de détourner Paul de son intention n’ont pas insisté pour qu’il se range à leur avis. Ils l’ont écouté et ont cédé, reconnaissant et acceptant la volonté de Jéhovah, même si c’était difficile pour eux. Paul avait pris une voie qui le mènerait à la mort. Cela lui serait plus facile si ceux qui l’aimaient ne tentaient pas de le dissuader. Ce récit nous enseigne une leçon très utile : Ne tentons jamais de dissuader les autres de mener une vie d’abnégation au service de Dieu. On peut appliquer cette leçon à bien des situations, et pas seulement à celles qui mettent en danger la vie de quelqu’un. - bt p178 Alors que l’apôtre Paul séjournait à Césarée, le prophète Agabus lui a dit que s’il poursuivait sa route jusqu’à Jérusalem, il finirait par être arrêté. Il pourrait même être tué. Craignant le pire, les frères ont supplié Paul de ne pas y aller. Mais l’apôtre ne s’est pas laissé dissuader. Il n’était ni trop sûr de lui ni paralysé par la peur. Il faisait totalement confiance à Jéhovah et était prêt à accomplir sa mission, peu importe l’issue qu’Il permettrait. Devant cette réponse, les frères ont modestement cessé de s’opposer à la décision de Paul d’aller à Jérusalem – TG2017/1 §13 et app. A5) - nwtsty, note d’étude Paul admettait certainement qu’il y avait beaucoup de prédication à effectuer à Éphèse. Il envisageait de revenir, mais il préférait laisser Jéhovah en décider. N’est-ce pas un bon exemple à retenir ? Lorsque nous poursuivons des objectifs spirituels, nous devons agir. Cependant, nous devons toujours nous fier à la direction de Jéhovah et chercher à nous conformer à sa volonté. – bt p154 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Que notre moindre souffle, notre existence même, nous les devons à notre Créateur (Actes 17:28). La vie, la beauté de la nature, les joies de l’amour et de l’amitié, le plaisir de goûter, de toucher, d’entendre et de sentir : ce sont des cadeaux de Dieu ! Tout ce bien que Dieu nous fait nous pousse à le considérer comme un véritable ami, digne de notre confiance. – TG2013 1/5 Qu’est-ce que le Jour du Jugement ? La Bible dit que Dieu “ a fixé un jour où il va juger la terre habitée ”. (Actes 17:31) Le Jour du Jugement sera une période de mille ans durant laquelle les hommes auront la possibilité de retrouver ce qu’Adam et Ève ont perdu. Remarquez que, selon Actes 17:31, cité plus haut, ce “ jour ” concerne les personnes qui vivent sur “ la terre habitée ”. Celles qui recevront un jugement favorable vivront sur la terre, éternellement et dans des conditions parfaites. Le Jour du Jugement contribue donc à l’accomplissement du dessein originel de Dieu pour l’homme et pour la planète. - RV2010/1 p10 Jéhovah sait que nous n’avons pas tous les mêmes capacités ni la même situation, et il apprécie beaucoup les sacrifices que nous lui offrons. Quand nous donnons un commentaire, il n’attend pas de nous que nous parlions tous aussi bien qu’Apollos ou que nous soyons tous aussi convaincants que Paul (Actes 18:24). Ce qu’il souhaite, c’est que nous fassions de notre mieux. – TG2018/1 §5 Qu’était l’autel dédié à “ un Dieu inconnu ” que l’apôtre Paul a vu à Athènes ? — Actes 17:23. ▪ Plusieurs auteurs grecs de l’Antiquité évoquent de tels autels. Pausanias, historien et géographe du IIe siècle de notre ère, affirme par exemple qu’il se trouvait à Olympie “ un autel des Dieux inconnus ”. L’orateur et philosophe Philostrate signale quant à lui que l’on trouvait à Athènes des “ autels élevés même aux Dieux inconnus ”.Diogène Laërce, auteur du IIIe siècle de notre ère, rapporte une légende remontant au VIe ou au VIIe siècle avant notre ère qui expliquerait l’origine des “ autels anonymes ”, ou comment un certain Épiménide aurait réussi à enrayer la peste sévissant à Athènes : “ Ayant pris des brebis [...], il les conduisit sur l’Aréopage. Et là il les laissa aller où elles voulaient, après avoir ordonné à ses assistants d’offrir, là où chacune d’elles se coucherait, un sacrifice au dieu du voisinage. Et c’est ainsi que le mal cessa. C’est pourquoi encore aujourd’hui il est possible de découvrir dans les dèmes d’Athènes des autels anonymes, en souvenir de la propitiation qui fut alors célébrée. ” Selon un dictionnaire biblique, Athènes “ comptait une telle multitude de divinités les plus diverses [...] que les Grecs pouvaient toujours redouter le ressentiment de celle qu’on aurait oubliée par mégarde ”. Ce serait là une autre explication possible de cette coutume – TG2012 1/3 Dieu n’habite pas dans des temples faits à la main - Paul avait certainement l’habitude des temples d’Athéna, car il y en avait dans de nombreuses villes où il était passé durant ses voyages missionnaires. Athéna était renommée pour être la déesse de la guerre et de la sagesse, mais aussi “ la déesse pacifique des arts et des savoirs techniques ”. Le temple d’Athéna le plus célèbre était le Parthénon, construit à Athènes, ville qui doit son nom à la déesse. Ce temple, que l’on donne pour un des plus grands du monde antique, abritait une statue d’Athéna haute de 12 mètres, en or et en ivoire. Quand Paul s’est rendu à Athènes, cet édifice de marbre blanc dominait déjà la ville depuis quelque 500 ans. Avec le Parthénon en arrière-plan, Paul a prêché à un groupe d’Athéniens au sujet du ‘ Dieu qui n’habite pas dans des temples faits à la main ’. (Actes 17:23, 24.) La majesté des temples qui lui étaient dédiés et la splendeur de ses représentations rendaient peut-être Athéna plus impressionnante aux yeux des auditeurs de Paul qu’un Dieu invisible qu’ils ne connaissaient pas. Pourtant, comme Paul l’a souligné, on ne devrait pas penser que le Créateur des humains soit “ semblable à de l’or ou à de l’argent ou à de la pierre, semblable à quelque chose qui a été sculpté par [...] l’homme ”. — Actes 17:29. – TG2004 15/1 La capacité d’adaptation de Paul a été fortement mise à l’épreuve quand il a prêché aux Athéniens. L’introduction de dieux étrangers ou de nouvelles coutumes religieuses était interdite par les lois grecques et romaines. L’amour que Paul éprouvait pour les gens l’a poussé à examiner soigneusement leurs pratiques religieuses. À Athènes, il avait remarqué un autel gravé des mots “ À un Dieu inconnu ”. Il a mentionné ce détail dans son témoignage (Actes 17:22, 23). Quelle excellente façon d’introduire son message avec amabilité et respect – TG2002 ¼ “ Le Dieu qui a fait le monde et toutes les choses qui s’y trouvent, étant — comme l’est Celui-ci — Seigneur du ciel et de la terre, n’habite pas dans des temples faits à la main ; il n’est pas non plus servi par des mains humaines, comme s’il avait besoin de quelque chose, parce que c’est lui qui donne à tous la vie et le souffle et toutes choses. ” — Actes 17:24, 25. Paul attire ici l’attention sur Jéhovah, à qui nous devons la vie. Il le fait avec tact, l’appelant le “ Seigneur du ciel et de la terre ”. Nous avons un privilège immense, celui d’aider les personnes sincères de diverses origines culturelles et religieuses à comprendre que toute forme de vie provient de Jéhovah Dieu. Ps. 36:9. – TG2010 15/7 p30 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Ne nous contentons pas de lire les versets ; expliquons-les. Paul avait l’habitude d’‘ expliquer et de prouver ’ ce qu’il enseignait “ en citant des passages ”. (Actes 17:3.) Un texte biblique contient souvent plus d’une idée, d’où parfois la nécessité d’isoler les expressions qui se rapportent à la discussion. Un moyen consiste à répéter les mots-clés ou à poser des questions qui amèneront votre interlocuteur à les identifier. Expliquez-lui ensuite le sens de cette partie du verset. Ceci fait, aidez-le à voir comment le texte s’applique à lui. Raisonnons à partir des Écritures de manière convaincante. Recourant à des exhortations sincères et à la logique, Paul ‘ raisonnait avec ses auditeurs à partir des Écritures ’ de manière convaincante (Actes 17:2, 4). Comme lui, efforcez-vous de toucher votre interlocuteur. ‘ Puisez ’ dans son cœur grâce à des questions aimables qui traduisent l’intérêt que vous lui portez – TG2010 15/2 p14 §16,17 LA PAROLE DE DIEU OFFRE UNE PROTECTION SÛRE - Des Juifs de la ville macédonienne de Bérée avaient l’habitude d’« examiner soigneusement les Écritures chaque jour ». Lorsque Paul leur a prêché la bonne nouvelle, ils ont comparé son enseignement avec leur connaissance des Écritures. Résultat, beaucoup furent convaincus qu’il disait la vérité et « devinrent croyants » (Actes 17:10-12). Ce fait montre que la lecture quotidienne de la Bible favorise une foi forte en Jéhovah. Si nous voulons entrer dans le monde nouveau de Dieu, une telle foi, « l’attente assurée de choses qu’on espère », est indispensable - TG2013 15/4 §16 Au départ, comment avons-nous bâti une foi forte ? “ La foi naît de ce qu’on a entendu ”, a écrit l’apôtre Paul (Romains 10:17). Il voulait dire que nous bâtissons tout d’abord notre foi et notre confiance en Jéhovah, dans ses promesses et dans son organisation en nous nourrissant de Sa Parole. Évidemment, nous n’avons pas pris pour argent comptant tout ce que nous avons entendu. Nous avons imité les habitants de Bérée, “ examinant soigneusement les Écritures chaque jour pour voir si ces choses étaient ainsi ”. (Actes 17:11.) Nous avons ‘ éprouvé personnellement ce qu’est la volonté de Dieu, bonne, agréable et parfaite ’, et avons vérifié la véracité de ce qui nous était dit. Depuis, discernant toujours plus clairement que la Parole de Dieu et ses promesses sont infaillibles, nous avons vraisemblablement affermi notre foi. – TG2001 1/7 Quel est le moyen le plus efficace pour répandre le message du Royaume ? Jésus, qui savait comment rencontrer le plus de personnes, a envoyé ses disciples dans les villes, les villages et les maisons des gens. Après sa mort et sa résurrection, ils ont continué à prêcher “ de maison en maison ”. (Actes 5:42.) Comme Jésus, ils prêchaient aussi dans n’importe quel endroit où se trouvaient des gens, y compris dans des lieux publics (Actes 17:17). Aujourd’hui, les Témoins de Jéhovah emploient les mêmes méthodes. – TG2012 1/6 À l’arrivée de l’apôtre à Corinthe, Aquila et Priscille lui proposèrent volontiers l’hospitalité, mais aussi du travail, car ils avaient en commun le métier de fabricants de tentes. — Actes 18:2, 3. La fabrication de tentes était un travail pénible. Il fallait couper des pièces raides et rugueuses, de cuir ou d’une autre matière, puis les coudre. Selon l’historien Fernando Bea, “ le travail exigeait dextérité et soin ”, car on employait “ des matériaux grossiers et résistants destinés à protéger du soleil et de la pluie le voyageur qui campait, ou à bâcher les marchandises dans les cales des navires ”. L’apôtre Paul ne dépendait pas de l’hospitalité. Il avait appris un métier qui nécessitait de longues heures d’un dur travail, mais qui ne procurait qu’un petit salaire. Aquila et Priscille étaient manifestement heureux de faire le maximum pour faciliter le service missionnaire de Paul. Combien de fois les trois amis ont dû faire une pause pour donner un témoignage informel à des clients ou à des passants ! Bien que la fabrication de tentes fût une activité humble et épuisante, ils étaient heureux de l’effectuer, et travaillaient même “ nuit et jour ” afin de promouvoir les intérêts divins. Dans le même esprit, de nombreux chrétiens de notre époque subviennent à leurs besoins grâce à un travail à temps partiel ou saisonnier, et consacrent la plupart du temps qui leur reste à aider autrui à entendre la bonne nouvelle. – TG1996 15/12 p22 Comment Aquila et Priscille étaient-ils devenus des enseignants de la Parole de Dieu aussi compétents ? Outre leur assiduité dans l’étude individuelle et l’assistance aux réunions, la fréquentation étroite de l’apôtre Paul a dû beaucoup les aider. À Corinthe, Paul avait habité chez eux pendant 18 mois. Ils travaillaient ensemble à fabriquer et à réparer des tentes - Actes 18:2, 3). On imagine les conversations profondes qu’ils devaient avoir sur les Écritures. Quel coup de fouet la compagnie de Paul a dû donner à leur spiritualité ! “ Qui marche avec les sages deviendra sage ”, dit Proverbes 13:20. Cette bonne compagnie leur a permis d’améliorer leurs habitudes spirituelles Que retirons-nous de cet examen d’Actes 18 :2,3 ? Tout comme Aquila et Priscille ont appris de Paul, nous pouvons améliorer notre capacité à faire des disciples en suivant l’exemple de bons enseignants de la Parole de Dieu. Observons comment ils s’y prennent pour toucher le cœur de leurs interlocuteurs en enseignant avec habileté et persuasion. Ces qualités nous aideront à faire des disciples – TG2003 15/11 p19 §7,10 L’apôtre Paul appliquait ce principe dans son enseignement. Quand il était à Corinthe, “ il faisait un discours dans la synagogue chaque sabbat et persuadait Juifs et Grecs ”. (Actes 18:4.) Selon un linguiste, le mot grec rendu ici par ‘ persuader ’ signifie “ provoquer un changement de pensées en invoquant la raison ou des considérations d’ordre moral ”. Par la force de ses arguments, Paul amenait certains de ses auditeurs à modifier jusqu’à leur façon de penser. Son pouvoir de persuasion était tel qu’il faisait peur à ses ennemis. Tout cela n’avait cependant rien à voir avec un étalage de facultés personnelles tout humaines. Puisque tous les chrétiens reçoivent l’aide de l’esprit de Jéhovah Dieu, tous peuvent devenir des enseignants persuasifs. Savoir écouter pour connaître ce qu’il y a dans le cœur de ceux que nous enseignons. Etre simple quand nous examinons des sujets profonds, s’efforcer d’être clair. Mettre l’accent sur les versets-clés. Se servir de questions pertinentes, judicieuses. Utiliser des exemples bien choisis qui touchent le cœur. Quel privilège nous avons d’être utilisés par Jéhovah pour enseigner - TG1999 15/3 p15 Si Paul a un tant soit peu hésité à poursuivre son ministère à Corinthe, ses doutes se sont dissipés la nuit où le Seigneur Jésus lui est apparu en vision et lui a dit : “ N’aie pas peur, mais continue à parler et ne te tais pas, parce que moi je suis avec toi, et personne ne t’attaquera pour te faire du mal ; car j’ai beaucoup de gens dans cette ville. ” (Actes 18:9, 10). Quel encouragement ! Le Seigneur en personne lui assurait qu’il le protégerait du mal et qu’il y avait dans la ville beaucoup de personnes dignes de la bonne nouvelle. Qu’a fait Paul alors ? On lit : “ Il demeura là un an et six mois, enseignant parmi eux la parole de Dieu. ” — Actes 18:11. Il est bon de garder en mémoire cette parole, surtout quand on rejette notre message. N’oublions jamais que Jéhovah lit dans les cœurs et attire à lui les gens sincères. C’est là pour nous un bel encouragement à rester actifs dans le ministère. – bt p152 Corinthe abritait une communauté juive relativement importante ; c’est donc à la synagogue que Paul y a d’abord prêché. Mais quand il s’est avéré que les Juifs s’opposaient à son message, il s’est tourné vers la population gentile (Actes 18:1-6). Et quelle population ! Ville de commerce cosmopolite et bourdonnante d’activité, Corinthe était connue dans tout le monde gréco-romain pour ses mœurs relâchées. L’expression “ vivre à la corinthienne ” signifiait d’ailleurs vivre dans la débauche. C’est pourtant après que les Juifs eurent rejeté la prédication de Paul que Christ est apparu à l’apôtre pour lui dire : “ N’aie pas peur, mais continue à parler [...] ; car j’ai beaucoup de gens dans cette ville. ” (Actes 18:9, 10). Et en effet. Paul a fondé une congrégation à Corinthe, congrégation dont certains membres avaient pourtant vécu auparavant “ à la corinthienne ”. — 1 Corinthiens 6:9-11. Aujourd’hui comme au 1er siècle, la prédication de la bonne nouvelle s’étend désormais à tous les continents et à la plupart des îles, et, comme Paul, nous avons affaire à “ toutes sortes d’hommes ”. Quand nous prêchons, il n’est pas rare que nous rencontrions des personnes déçues par les religions. Il y en a cependant parmi elles qui craignent Dieu ; certaines, en effet, croient à son existence et s’efforcent de mener une vie droite. À l’image des Juifs du Ier siècle, les membres de ces Églises sont parfois très attachés à leurs traditions religieuses. Nous sommes cependant heureux de rechercher ceux qui ont une bonne condition de cœur et de bâtir sur la connaissance plus ou moins grande qu’ils ont déjà de la Bible. Même si leur clergé s’oppose parfois à nous et nous persécute, nous n’éprouvons envers eux ni condescendance ni mépris. Nous sommes conscients que, même s’ils n’ont pas la connaissance exacte, certains peuvent avoir “ du zèle pour Dieu ”. Imitant Jésus et Paul, nous manifestons un amour sincère envers nos semblables, et nous désirons ardemment qu’ils soient sauvés – TG1997 1/11 p11 Aquila et sa femme Priscille, deux chrétiens qui avaient entendu Apollos s’exprimer avec hardiesse dans la synagogue, l’ont pris avec eux et ont complété sa connaissance de la vérité. (Actes 18:24-26.) Apollos, juif d’Alexandrie (Égypte), remarquable d’éloquence et très versé dans les Écritures hébraïques. Il dut recevoir le témoignage soit de disciples de Jean le baptiseur, soit de témoins chrétiens avant la Pentecôte, car il “ ne connaissait que le baptême de Jean ”. (Ac 18:24, 25.) Néanmoins, l’ardeur de ses convictions était telle qu’en arrivant à Éphèse, vers l’an 52 de n. ère, il se mit à prêcher dans la synagogue. C’est là qu’il rencontra Aquila et Priscille, qui comblèrent quelques lacunes dans sa compréhension des enseignements chrétiens. C’était une belle preuve d’amour de leur part. Sans doute ont-ils abordé le sujet avec tact et bienveillance pour ne pas lui donner l’impression qu’ils le critiquaient. En effet, Apollos n’avait rien à se reprocher ; simplement, il n’avait pas entendu parler des débuts de la congrégation chrétienne. Il a certainement été reconnaissant à ses nouveaux compagnons de lui avoir fait part de ces détails précieux. Grâce à cette connaissance affinée, il a été d’une grande aide pour ses frères et sœurs d’Achaïe, et sa prédication a eu d’excellents résultats. Actes 18:27, 28. Aujourd’hui, beaucoup de chrétiens restent très reconnaissants à ceux qui les ont aidés à comprendre la Bible. De nombreuses amitiés inébranlables se sont nouées entre des étudiants et leurs enseignants. En général, pour enseigner la vérité à quelqu’un, il faut lui accorder régulièrement du temps, et cela pendant des mois. Pourtant, les proclamateurs consentent ces sacrifices parce qu’ils savent qu’il en va de la vie des gens. Et puis, quelle joie de voir quelqu’un comprendre la vérité, s’y conformer et consacrer sa vie au service de Jéhovah - TG2010 15/6 p11 §4,5 Les premiers résultats du ministère d’Apollos à Corinthe furent excellents. Le livre des Actes rapporte que, “ lorsqu’il fut arrivé là, il aida beaucoup ceux qui avaient cru à cause de la faveur imméritée de Dieu ; car, avec force et en public, il prouvait pleinement que les Juifs avaient tort, tandis qu’il démontrait par les Écritures que Jésus était le Christ ”. — Actes 18:27, 28. Apollos se mit au service de la congrégation et encouragea les frères par sa préparation et son zèle. Quel était le secret de son succès ? Apollos avait certainement des aptitudes naturelles et le courage nécessaire pour affronter les Juifs dans un débat public. Mais, chose plus importante, il raisonnait en se servant des Écritures. Apollos est un excellent exemple pour tous ceux qui prêchent la bonne nouvelle aujourd’hui, et, d’une manière générale, pour tous ceux qui veulent progresser spirituellement. Nous n’avons peut-être pas son éloquence, mais nous pouvons certainement nous efforcer de l’imiter dans un autre domaine : la connaissance et la bonne utilisation des Écritures, afin de pouvoir aider les personnes qui cherchent sincèrement la vérité. Par son exemple de zèle dans l’activité, Apollos “ aida beaucoup ceux qui avaient cru ”. (Actes 18:27.) Il se distinguait par son humilité, son esprit de sacrifice et sa volonté de servir les autres. Il comprenait parfaitement qu’il n’y a aucune place dans la congrégation chrétienne pour les rivalités et l’ambition ; nous sommes tous des “ compagnons de travail de Dieu ”. – TG1996 1/10 p21-22 Le culte familial : Paul a prêché pleinement la bonne nouvelle Frère Sanderson : « Nous sommes très peu à avoir participé à la traduction de la Bible mais nous pouvons tous communiquer son message et aider les autres à acquérir la connaissance exacte de Jéhovah. Dans la vidéo suivante, vous allez voir l’importance qu’une famille a donné à certaines activités théocratiques et les efforts que chacun de ses membres a dû faire pour devenir aussi zélé. « D’accord, on sait déjà comment cette histoire va se terminer. Ce n’est pas vraiment une surprise ». « Mais voulez-vous savoir comment nous en sommes arrivé à ce résultat ? Jamais je n’aurai pensé que notre famille aurait besoin d’améliorer son ministère ». Ma femme et ma fille étaient toutes d’eux pionnières permanentes, mon fils était un proclamateur qui s’épanouissait dans la vérité et de mon côté, mon emploi ne me permettait pas de devenir pionnier pour l’instant mais je faisais de mon mieux pour soutenir ma famille. J’ai toujours pensé que la meilleure façon de les soutenir était simplement de prêcher avec eux le plus souvent possible mais je me suis vite rendu compte que ça ne suffisait pas. Le responsable de notre groupe de prédication s’est efforcé de prêcher avec nous régulièrement ces dernières semaines et il m’a gentiment fait part de quelques observations. Il avait remarqué que nous prêchions beaucoup mais que nous faisions de moins en moins de nouvelles visites et en dehors de l’étude que j’avais avec chacun de mes enfants, personne dans la famille ne donnait de cours biblique. Je lui ai demandé ce que nous pouvions faire pour essayer d’améliorer la qualité de notre ministère. Il m’a montré les paroles de Paul en Romains 15 :19 « J’ai prêché pleinement la bonne nouvelle concernant le Christ » Il nous a suggéré de nous intéresser au ministère de Paul au cours de notre prochain culte familial et de voir ce que son exemple pouvait nous apprendre. En examinant le ministère de Paul, on s’est rendu compte que pour être plus efficace, il nous fallait de la hardiesse Ephésiens 6 :19 dit « Priez aussi pour moi, afin que les mots me soient donnés quand j’ouvre la bouche, pour que je puisse parler courageusement lorsque je fais connaître le saint secret de la bonne nouvelle ». Rina a remarqué que Paul raisonnait de manière convaincante avec les personnes et Keiko a aimé la façon dont Paul cherchait à établir un terrain d’entente avec ses interlocuteurs. Un jour, il a même utilisé un autel à un dieu inconnu pour diriger la discussion vers Jéhovah. Et enfin, Haruto a cité un verset de 2 Timothée qui dit que Paul était « un ouvrier qui n’avait à rougir de rien et qui exposait correctement la Parole de la vérité ». Et il utilisait donc les Ecritures habilement quand il rendait témoignage. Je vous l’avais dit. Vous connaissez la fin de l’histoire. Je suis devenu pionnier auxiliaire. Nous avons maintenant à présent plusieurs nouvelles visites et quelques études qui progressent bien. Mais comment sommes-nous arrivé à ce résultat ? Nous avons beaucoup appris de l’exemple de Paul qui prêchait pleinement la bonne nouvelle. Questions du Cahier Vie chrétienne et Ministère : Dans quels domaines du ministère cette famille devait-elle s’améliorer ? Quels points forts du ministère de l’apôtre Paul a-t-elle imités ? Quels bienfaits en a-t-elle retirés ? Quelles idées pourrais-tu utiliser pour ton culte familial ? jwb_F_201701_05_r240P.mp4
  15. Vidéo par écrit : Le culte familial : Paul a prêché pleinement la bonne nouvelle Vidéo par écrit Le culte familial Paul a prêché pleinement la bonne nouvelle -Semaine du 24 décembre.docx Vidéo par écrit Le culte familial Paul a prêché pleinement la bonne nouvelle -Semaine du 24 décembre.pdf Le culte familial : Paul a prêché pleinement la bonne nouvelle Frère Sanderson : « Nous sommes très peu à avoir participé à la traduction de la Bible mais nous pouvons tous communiquer son message et aider les autres à acquérir la connaissance exacte de Jéhovah. Dans la vidéo suivante, vous allez voir l’importance qu’une famille a donné à certaines activités théocratiques et les efforts que chacun de ses membres a dû faire pour devenir aussi zélé. « D’accord, on sait déjà comment cette histoire va se terminer. Ce n’est pas vraiment une surprise ». « Mais voulez-vous savoir comment nous en sommes arrivé à ce résultat ? Jamais je n’aurai pensé que notre famille aurait besoin d’améliorer son ministère ». Ma femme et ma fille étaient toutes d’eux pionnières permanentes, mon fils était un proclamateur qui s’épanouissait dans la vérité et de mon côté, mon emploi ne me permettait pas de devenir pionnier pour l’instant mais je faisais de mon mieux pour soutenir ma famille. J’ai toujours pensé que la meilleure façon de les soutenir était simplement de prêcher avec eux le plus souvent possible mais je me suis vite rendu compte que ça ne suffisait pas. Le responsable de notre groupe de prédication s’est efforcé de prêcher avec nous régulièrement ces dernières semaines et il m’a gentiment fait part de quelques observations. Il avait remarqué que nous prêchions beaucoup mais que nous faisions de moins en moins de nouvelles visites et en dehors de l’étude que j’avais avec chacun de mes enfants, personne dans la famille ne donnait de cours biblique. Je lui ai demandé ce que nous pouvions faire pour essayer d’améliorer la qualité de notre ministère. Il m’a montré les paroles de Paul en Romains 15 :19 « J’ai prêché pleinement la bonne nouvelle concernant le Christ » Il nous a suggéré de nous intéresser au ministère de Paul au cours de notre prochain culte familial et de voir ce que son exemple pouvait nous apprendre. En examinant le ministère de Paul, on s’est rendu compte que pour être plus efficace, il nous fallait de la hardiesse Ephésiens 6 :19 dit « Priez aussi pour moi, afin que les mots me soient donnés quand j’ouvre la bouche, pour que je puisse parler courageusement lorsque je fais connaître le saint secret de la bonne nouvelle ». Rina a remarqué que Paul raisonnait de manière convaincante avec les personnes et Keiko a aimé la façon dont Paul cherchait à établir un terrain d’entente avec ses interlocuteurs. Un jour, il a même utilisé un autel à un dieu inconnu pour diriger la discussion vers Jéhovah. Et enfin, Haruto a cité un verset de 2 Timothée qui dit que Paul était « un ouvrier qui n’avait à rougir de rien et qui exposait correctement la Parole de la vérité ». Et il utilisait donc les Ecritures habilement quand il rendait témoignage. Je vous l’avais dit. Vous connaissez la fin de l’histoire. Je suis devenu pionnier auxiliaire. Nous avons maintenant à présent plusieurs nouvelles visites et quelques études qui progressent bien. Mais comment sommes-nous arrivé à ce résultat ? Nous avons beaucoup appris de l’exemple de Paul qui prêchait pleinement la bonne nouvelle. Questions du Cahier Vie chrétienne et Ministère : Dans quels domaines du ministère cette famille devait-elle s’améliorer ? Quels points forts du ministère de l’apôtre Paul a-t-elle imités ? Quels bienfaits en a-t-elle retirés ? Quelles idées pourrais-tu utiliser pour ton culte familial ? jwb_F_201701_05_r240P.mp4
  16. Dans le journal La Dépêche Actualités Santé Publié le 13/12/2018 à 19:31 Encore trop de transfusions sanguines, jugent des médecins Santé AFP) - On effectue encore trop de transfusions sanguines lors des opérations en France, estiment des professionnels de santé, qui ont présenté jeudi des recommandations pour limiter ce geste médical coûteux et parfois risqué aux cas où il est vraiment inévitable. "La transfusion a déjà beaucoup diminué au cours des 20 dernières années", a expliqué à l'AFP le Pr Xavier Capdevila, président de la Société française d'anesthésie et de réanimation (SFAR), qui intervenait à un colloque à l'Académie de médecine. D'environ 45% de patients transfusés dans des chirurgies programmées avec un risque hémorragique important, on est passé à "des chiffres de transfusion qui sont plus autour de 10-13%, ce qui est encore beaucoup", a-t-il ajouté. Dans plus de la moitié des cas (59%), la décision de transfuser est "probablement inappropriée", et dans près d'un tiers (29%), sa pertinence pour le patient est "incertaine", selon une analyse réalisée en 2011 par des experts internationaux du sujet. Or la transfusion entraîne des risques de complications non négligeables pour le patient. Selon plusieurs études, les patients transfusés au cours d'une opération ont ensuite un risque plus élevé de mortalité, d'infection, d'AVC ou encore de thrombose veineuse, rappellent les intervenants au colloque. De plus, l'usage de ces produits sanguins coûte cher aux hôpitaux - environ 250 euros la poche de sang, sans compter les coûts liés à la prolongation de la durée d'hospitalisation. Selon Pascal Paubet, chercheur en économie de la santé et chef du service santé publique à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil, l'assurance maladie pourrait économiser près de 200 millions d'euros par an pour la seule chirurgie orthopédique en appliquant une stratégie désignée au niveau international sous le terme de "patient blood management" (gestion personnalisée du capital sanguin). Cette stratégie consiste notamment à traiter en amont de l'opération les patients anémiés, par des injections de fer ou l'administration d'érythropoïétine (EPO). Lorsque le taux d'hémoglobine dans le sang est trop faible, la probabilité de devoir transfuser en cas de saignement est en effet beaucoup plus élevée. Les professionnels de santé formulent aussi plusieurs recommandations pour limiter les saignements pendant l'opération (utilisation de produits antihémorragiques, chirurgie mini-invasive qui limite les incisions, etc.). Enfin, après l'opération, le suivi du patient doit "l'aider à optimiser son hémoglobine ou l'aider à supporter son anémie en cas d'hémoglobine un peu basse", a ajouté le Pr Capdevila. Ces recommandations sont reprises dans un livre blanc, élaboré par sept sociétés savantes, notamment de médecins anesthésistes et de chirurgiens orthopédiques et thoraciques. Si des initiatives en ce sens existent en France, notamment au CHU d'Angers, les auteurs du livre blanc espèrent la mise en place d'expérimentations officielles, avant un éventuel programme au niveau national. https://www.google.com/url?rct=j&sa=t&url=https://www.ladepeche.fr/article/2018/12/13/2924242-encore-trop-de-transfusions-sanguines-jugent-des-medecins.html&ct=ga&cd=CAEYACoTMzM3MTUyNzgxNzE4NjQ3NTA0NzIZOGZhNWFiN2UzNWViNzRmODpmcjpmcjpGUg&usg=AFQjCNGTrF2757gdLblpwmz4HXM3VKL2Lw
  17. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 17 DECEMBRE 2018 - ACTES 15-16.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 17 DECEMBRE 2018 - ACTES 15-16.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 15-16. Actes 16:6-9 : Quelle leçon pouvons-nous retirer de ce récit si nous voulons étendre notre ministère ? (w12 15/1 10 § 8). Ils traversèrent aussi la Phrygie et la Galatie, parce que l’esprit saint leur avait interdit de dire la parole dans la province d’Asie. Et quand ils arrivèrent en Mysie, ils essayèrent d’entrer en Bithynie, mais l’esprit de Jésus ne le leur permit pas. Ils passèrent donc à côté de la Mysie et descendirent à Troas. Et pendant la nuit, une vision apparut à Paul : un Macédonien se tenait là, debout, et le suppliait : « Passe en Macédoine et aide-nous ! » Que retenir de ce récit ? L’esprit de Dieu est intervenu après le départ de Paul pour l’Asie. Jésus est intervenu après que Paul a approché de la Bithynie. Enfin, Jésus a dirigé Paul vers la Macédoine après son arrivée à Troas. Jésus, le Chef de la congrégation, peut agir envers nous d’une façon similaire (Col. 1:18). Par exemple, envisagez-vous depuis quelque temps de devenir pionnier ou de vous déplacer là où il y a besoin de plus de proclamateurs ? Il se pourrait que Jésus vous guide par le moyen de l’esprit de Dieu seulement après que vous aurez pris des mesures précises pour atteindre votre objectif. Le conducteur d’une voiture ne peut lui faire prendre un virage que si elle roule. De même, si nous voulons étendre notre ministère, Jésus ne peut nous diriger qu’à condition que nous avancions, que nous fassions de réels efforts pour réaliser notre objectif. - w12 15/1 10 § 8 “ Passe en Macédoine et aide-nous. ” (Actes 16:9). Ces paroles de l’homme qui était apparu en vision à l’apôtre Paul indiquaient que la bonne nouvelle du Royaume de Dieu devait être annoncée dans un nouveau territoire, dans des villes qui se situent maintenant en Grèce. – TG2005 15/4 La capacité d’adaptation de Paul a été fortement mise à l’épreuve quand il a prêché aux Athéniens. L’introduction de dieux étrangers ou de nouvelles coutumes religieuses était interdite par les lois grecques et romaines. L’amour que Paul éprouvait pour les gens l’a poussé à examiner soigneusement leurs pratiques religieuses. À Athènes, il avait remarqué un autel gravé des mots “ À un Dieu inconnu ”. Il a mentionné ce détail dans son témoignage. Quelle excellente façon d’introduire son message avec amabilité et respect. Quelle joie Paul a dû ressentir en repensant aux résultats de son activité en tant qu’apôtre des nations – TG2002 1/4 Paul a montré son amour pour le ministère en saisissant toutes les occasions de parler aux gens. Nous aussi, comme les apôtres et les premiers chrétiens, nous prêchons de façon informelle, en public et de maison en maison. Si notre situation le permet, nous cherchons des moyens d’augmenter notre ministère, en étant par exemple pionniers auxiliaires ou permanents. Nous pouvons aussi apprendre une autre langue, ou déménager dans une autre région soit dans notre pays, soit à l’étranger TG2017/6 Chaque année, des assemblées soutiennent avec joie des campagnes de prédication menées dans des territoires isolés (Actes 16:9). Un nombre toujours plus grand de pionniers, jeunes et zélés, sont le fer de lance de cette activité. Ils se rendent dans des régions éloignées – TG2006 15/6 Actes 16:37 : Comment l’apôtre Paul s’est-il servi de sa citoyenneté romaine pour faire connaître la bonne nouvelle ? (nwtsty ; it-1 554 § 3). Mais Paul leur dit : « Ils nous ont flagellés en public sans que nous ayons été condamnés, nous, des Romains, et ils nous ont jetés en prison. Et maintenant ils veulent nous mettre dehors en secret ? Il n’en est pas question ! Qu’ils viennent eux-mêmes nous faire sortir. » nous, des Romains : C’est-à-dire des citoyens romains. Paul était citoyen romain, et il semble que c’était aussi le cas de Silas. La loi romaine déclarait qu’un citoyen avait toujours droit à un procès en règle et ne devait jamais être puni publiquement sans avoir été condamné. La citoyenneté romaine accordait à une personne certains droits et privilèges dans tout l’empire. Un citoyen romain était soumis à la loi romaine, non aux lois des villes de province. S’il était accusé, il pouvait accepter d’être jugé selon les lois locales, mais il avait toujours le droit d’être entendu par un tribunal romain. Si l’acte dont on l’accusait méritait la mort, il pouvait en appeler à l’empereur. L’apôtre Paul a beaucoup prêché dans l’Empire romain. La Bible rapporte trois épisodes au cours desquels il a fait jouer ses droits de citoyen romain. Il s’agit là du premier épisode : à Philippes, Paul signale aux magistrats qu’en le battant ils ont transgressé ses droits. Les deux autres épisodes sont rapportés en Actes 22:25 et 25:11. Coups - Paul fut flagellé avec des verges à Philippes. Il retourna la situation contre ses persécuteurs, profitant de l’occasion pour défendre la bonne nouvelle qu’il prêchait et la faire reconnaître en justice. Il avait été battu en public et jeté en prison, mais quand les magistrats se rendirent compte qu’il était citoyen romain, ils eurent très peur, car, non contents d’avoir flagellé un citoyen romain, ils l’avaient fait sans procès ni condamnation. En la circonstance également, Paul et Silas avaient été traités publiquement en malfaiteurs. C’est pourquoi, lorsque les magistrats ordonnèrent au geôlier de relâcher Paul et Silas, Paul répondit : « Ils nous ont flagellés en public sans que nous ayons été condamnés : des hommes qui sont des Romains, et ils nous ont jetés en prison ; et maintenant ils nous mettent dehors en secret ? Eh bien, non ! Qu’ils viennent eux-mêmes nous faire sortir.» Il fallait que les magistrats reconnaissent personnellement leur faute. « Les officiers de police rapportèrent ces paroles aux magistrats civils. Ceux-ci prirent peur quand ils apprirent que ces hommes étaient Romains. Ils vinrent donc les supplier et, après les avoir fait sortir, ils les prièrent de quitter la ville » (Actes 16:22-40). Il apparut ainsi que la prédication de la bonne nouvelle ne violait pas la loi, puisque par leur action les magistrats eux-mêmes reconnaissaient publiquement que Paul et Silas n’avaient rien fait de mal. Paul agit de la sorte parce qu’il désirait « faire reconnaître la bonne nouvelle en justice » (Ph 1:7). Né dans une famille juive au cœur d’une ville hellénistique et romaine, Saul appartenait à trois mondes. Cette origine cosmopolite et multilingue l’aida certainement à devenir “ toutes choses pour des gens de toutes sortes ”. Son droit de cité romaine lui permit plus tard de défendre son ministère en justice et de porter la bonne nouvelle devant la plus haute autorité de l’Empire romain. Quand il fut canalisé dans la bonne direction, le zèle de Saul fut des plus utile dans la diffusion du message du Royaume vers des territoires lointains. Quand Saul eut compris ce que Jésus attendait de lui, il ne recula pas. Il fit tout son possible pour promouvoir les intérêts du Royaume. – TG1999 15/5 p29 Les lois gouvernementales ont souvent facilité la prédication des chrétiens. Au Ier siècle, l’Empire romain dominait le monde, et ses lois écrites exerçaient une grande influence sur la vie quotidienne des gens. Ces lois offraient des protections qui ont servi aux premiers chrétiens. Cela a été le cas de Paul qui, en en ayant appelé à la loi romaine, a été libéré de prison et a échappé à la flagellation. Il en va de même aujourd’hui dans de nombreux pays. Même s’il existe des individus qui cherchent à ‘ façonner le malheur par décret ’, les lois écrites de la plupart des États considèrent la liberté de religion comme un droit fondamental. Conscients que les Témoins de Jéhovah ne représentent aucune menace pour l’ordre social, de nombreux gouvernements ont accordé à notre œuvre une reconnaissance légale. Aux États-Unis, où s’effectue une grande partie de nos activités d’impression, les lois en place ont permis à La Tour de Garde d’être imprimée sans discontinuer depuis 130 ans et d’être lue dans le monde entier. TG1999 15/8 p19 §12,13 Paul possédait un autre atout. Il était citoyen romain et il a également utilisé cette qualité pour favoriser l’expansion de la bonne nouvelle. À Philippes, ses compagnons et lui ont été frappés et jetés en prison sans procès. Il était illégal de traiter ainsi un citoyen romain, et quand Paul a porté ce fait à l’attention des autorités, elles lui ont permis de rester et d’accomplir son ministère dans la congrégation avant de partir pour sa destination suivante. Plus tard, lors de sa comparution devant le gouverneur Festus, Paul a profité de sa citoyenneté romaine pour en appeler à César. Il a ainsi pu défendre la bonne nouvelle devant la plus haute autorité de l’Empire romain. – TG1992 1/11 p21 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Jéhovah Dieu rejeta finalement l’Israël selon la chair, nation infidèle. Mais son nom devait subsister au sein de la nouvelle nation de l’Israël spirituel, la congrégation chrétienne, même quand cette nouvelle nation commencerait à compter comme membres des non-Juifs. C’est pourquoi, alors qu’il présidait une assemblée chrétienne à Jérusalem, le disciple Jacques déclara que Dieu s’était “ occupé des nations [non juives] pour tirer d’entre elles un peuple pour son nom ”. Pour prouver que cela avait été prédit, Jacques cita ensuite une prophétie du livre d’Amos dans laquelle figure le nom de Jéhovah. Actes 15:2, 12-14 ; Amos 9:11, 12. – it1 Jéhovah Ce nom est important pour ceux qui connaissent Dieu. Dans le passé, le peuple de Dieu avait compris que sa protection et son salut étaient liés au nom de Dieu. « Le nom de Jéhovah est une tour fortifiée. Le juste y court et obtient protection » (Proverbes 18:10). « Tous ceux qui feront appel au nom de Jéhovah seront sauvés » (Joël 2:32). La Bible montre que le nom de Dieu serait un moyen de reconnaître ceux qui le servent. « Simon a raconté minutieusement comment, pour la première fois, Dieu s’est occupé des nations pour tirer d’entre elles un peuple pour son nom » Actes 15:14. – wp2019/1 p4 Le collège central du 1er siècle a un jour envoyé une lettre importante aux assemblées. Après avoir cité des choses dont les chrétiens doivent s’abstenir, la lettre se terminait ainsi : « Si vous vous gardez soigneusement de ces choses, vous prospérerez. Portez-vous bien ! » (Actes 15:29). Ces derniers mots, une formule de politesse, peuvent aussi être rendus par « soyez forts ». C’est sûr, nous souhaitons « prospérer », bien nous porter, être forts pour servir notre grand Dieu. – TG201515/12 p23 §17 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Treize ans après que Corneille, un Gentil incirconcis, est devenu chrétien, des frères d’origine juive continuaient à dire que la circoncision était obligatoire (Actes 15:1, 2). À Antioche, des frères ont eu un grave désaccord à ce sujet. Il a donc été décidé que Paul irait à Jérusalem pour présenter cette question au collège central. Mais qui était à l’origine de cette décision ? Paul explique : « J’y suis monté à la suite d’une révélation. » Manifestement, c’était Christ qui dirigeait les choses pour que la question soit réglée par le collège central (Gal. 2:1-3). Guidé par Christ, le collège central a clairement établi que les chrétiens d’origine non juive n’étaient pas obligés de se faire circoncire (Actes 15:19, 20). Pourtant, des années après cette décision, de nombreux chrétiens d’origine juive continuaient à faire circoncire leurs fils. Il faut parfois du temps pour s’adapter à un changement. Certains chrétiens d’origine juive avaient du mal à accepter l’idée qu’ils n’étaient plus soumis à la Loi. Pour eux, la circoncision avait toujours été le signe qu’ils avaient une relation privilégiée avec Dieu. D’autres avaient peur d’être persécutés par les Juifs s’ils se montraient différents d’eux. Mais au moyen des lettres de Paul, Christ a fourni des directives qui aideraient ces chrétiens à s’adapter au changement.Aujourd’hui encore, Christ est le Chef de l’assemblée. C’est pourquoi, si nous ne comprenons pas certains changements que fait l’organisation, pensons à la façon dont Christ a guidé le peuple de Dieu dans le passé. Que ce soit à l’époque de Josué ou à celle des apôtres, la façon de diriger de Jésus a toujours protégé le peuple de Dieu, et fortifié sa foi et son unité TG2018/10p22 Un joug sur le cou évoquait la servitude, la soumission ou l’esclavage Actes 15 :10 « Alors pourquoi maintenant mettez-vous Dieu à l’épreuve en imposant aux disciples de porter un joug que ni nos ancêtres ni nous n’avons été capables de porter ? » Les expressions “ au cou raide ” ou ‘ cou durci ’, qui reviennent fréquemment, évoquent un esprit rebelle et obstiné. En guise d’avertissement, les Écritures disent qu’“ un homme qui a été repris maintes fois, mais qui durcit son cou, sera brisé soudain, et cela sans guérison ”. – it1 p550 La Loi donnée à la nation d’Israël était un joug, car elle lui imposait des obligations et des responsabilités envers Jéhovah Dieu. La Loi étant sainte, juste et bonne, ce qu’elle prescrivait ne nuisait pas aux Israélites. Néanmoins, en raison de leur état de pécheurs et de leur imperfection, ils furent incapables de la garder parfaitement, et elle se révéla donc un joug que ‘ ni eux ni leurs ancêtres n’ont été capables de porter ’ (puisqu’ils furent condamnés pour avoir rompu la Loi). C’est ce que Pierre expliqua quand il montra qu’il n’était pas nécessaire d’imposer aux chrétiens d’origine non juive d’observer “ la loi de Moïse ”. (Actes 15:4-11.) Ce ne fut pas la Loi en elle-même qui fit venir l’esclavage, mais le péché. Par conséquent, si une personne essayait d’obtenir la vie en gardant parfaitement la Loi mosaïque, non seulement cela serait impossible, mais encore cela signifierait qu’elle se laisserait “ mettre de nouveau sous le joug de l’esclavage ”. En effet, étant pécheresse et esclave du péché, elle serait condamnée par la Loi, qui n’offrait pas de sacrifice vraiment efficace pour les péchés, ce que fit la rançon payée par Christ - it-2 p60 En disant : “ Ma décision est donc ”, Jacques imposait-il aux autres frères son autorité, peut-être de président de séance, et décidait-il arbitrairement de ce qu’il fallait faire ? Pas du tout ! L’expression grecque rendue par “ ma décision est ” pourrait aussi signifier “ je juge ” ou “ je suis d’avis ”. Loin de régenter le groupe, Jacques proposait à sa réflexion une ligne de conduite fondée sur les témoignages entendus et sur les indications des Écritures relatives au sujet. La proposition de Jacques était-elle bonne ? Oui, à l’évidence, puisque les apôtres et les anciens l’ont ensuite adoptée. Quels en seraient les avantages ? D’un côté, la conduite préconisée aurait l’effet de “ ne pas inquiéter ” les chrétiens gentils, autrement dit de “ ne pas leur créer de difficultés ”, en ne leur imposant pas les exigences de la Loi mosaïque Actes 15:19 « Ma décision est donc de ne pas créer de problèmes aux gens des nations qui se tournent vers Dieu » - Cette décision respecterait la conscience des chrétiens juifs qui, pendant des années, avaient entendu “ Moïse lut à haute voix dans les synagogues chaque sabbat ”. (Actes 15:21.) La conduite préconisée renforcerait sûrement le lien entre les chrétiens juifs et les chrétiens gentils. Mais surtout, elle plairait à Jéhovah Dieu, car elle cadrerait avec la progression de son dessein. Quelle belle manière de régler un problème qui menaçait l’unité et la sérénité de la congrégation entière du peuple de Dieu ! Et quel excellent exemple pour la congrégation chrétienne actuelle – bt p111 Ils envoyèrent des hommes choisis ’ (Actes 15:22-29) Le collège central de Jérusalem venait de prendre une décision unanime relativement à la circoncision. Toutefois, pour que les frères des congrégations agissent à l’unisson, il fallait leur communiquer cette décision de façon claire, positive et encourageante. Quel était le meilleur moyen de le faire ? Le récit explique : “ Alors les apôtres et les anciens, ainsi que toute l’assemblée, décidèrent d’envoyer à Antioche, avec Paul et Barnabé, des hommes choisis parmi eux. Ils envoyèrent Judas, qu’on appelait Barsabas, et Silas, qui exerçaient tous les deux des responsabilités parmi les frères ” En outre, ils ont préparé une lettre qu’ils ont confiée à ces hommes pour qu’elle soit lue dans toutes les congrégations d’Antioche, de la Syrie et de la Cilicie. — Actes 15:22-26. Étant “ des hommes en vue parmi les frères ”, Judas et Silas étaient pleinement aptes à servir de représentants du collège central. En voyant arriver une délégation de quatre frères, les congrégations comprendraient bien que le message apporté n’était pas qu’une réponse à l’interrogation de départ, mais des instructions expresses du collège central. La présence de Judas et de Silas, les “ hommes choisis ”, rapprocherait les chrétiens juifs de Jérusalem des chrétiens gentils des congrégations. Quelle mesure sage et bienveillante ! Elle a certainement favorisé la paix et l’harmonie dans le peuple de Dieu La lettre donnait des instructions claires pour les chrétiens gentils, non seulement au sujet de la circoncision, mais aussi de ce qu’ils devaient faire pour avoir la faveur et la bénédiction de Jéhovah. Aujourd’hui, l’unité de croyance et d’action règne parmi les Témoins de Jéhovah. Comment cette unité est-elle possible, surtout compte tenu du désordre et de l’esprit de division qui sévissent dans le monde actuel ? Elle résulte principalement des instructions claires et fermes que Jésus Christ, le Chef de l’assemblée, nous fournit par l’intermédiaire de “ l’esclave fidèle et avisé ”. Elle résulte aussi de la coopération sans réserve de l’ensemble des frères dans le monde avec le Collège central. – bt p111 La Bible rapporte qu’à un certain moment, il y a eu « une violente explosion de colère » entre eux. Pourquoi ? Le récit ne laisse pas entendre que c’était à cause d’un conflit de personnalité. En fait, les deux hommes ont eu un désaccord : Barnabé pensait que Jean Marc avait les qualités pour être missionnaire, et Paul pensait le contraire (Actes 15:36-40). Malgré leurs personnalités différentes, Paul et Barnabé avaient collaboré ensemble avant cet évènement. Et tout porte à croire qu’ils ont réglé leur désaccord puisque, d’après le récit, Jean Marc a plus tard servi aux côtés de Paul. Les différences de personnalité ne sont donc pas forcément source de conflit. C’était vrai à l’époque de Paul et ça l’est toujours aujourd’hui – TG2017/6 p16 Rappelons ce qui s’est passé un jour entre Paul et Barnabé. Depuis des années, ces hommes collaboraient pour faire connaître la bonne nouvelle. Ils avaient tous deux de grandes qualités. Pourtant, ce jour-là, il se produisit entre eux “ une violente explosion de colère, si bien qu’ils se séparèrent l’un de l’autre ”. (Actes 15:36-39.) Cet incident souligne que même des adorateurs fidèles de Dieu peuvent avoir un différend. Que faire pour éviter qu’un malentendu ne dégénère en altercation et que nous restions en froid avec notre frère ou notre sœur ? Comme l’indique l’expression “ une violente explosion de colère ”, la dispute entre Paul et Barnabé a été brusque et grave. Si, au cours d’une conversation, un chrétien sent la colère monter, il a tout intérêt à écouter ce conseil de Jacques : “ Tout homme doit être prompt à entendre, lent à parler, lent à la colère ; car la colère de l’homme n’accomplit pas la justice de Dieu. ” (Jacq. 1:19, 20). En fonction des circonstances, il s’efforcera de changer de sujet, de remettre la conversation à plus tard ou de prendre congé, avant que les esprits ne s’échauffent – TG2011 15/4 p23-24 Paul et ses compagnons donnèrent un excellent exemple pour ce qui est d’accepter la direction de l’esprit saint (16:6-10). Peut-être au moyen de révélations audibles, de rêves ou de visions, l’esprit les empêcha de prêcher dans le district d’Asie et dans la province de Bithynie, régions où la bonne nouvelle allait pénétrer par la suite. Pourquoi l’esprit interdit-il aux missionnaires d’y entrer plus tôt? Les ouvriers étaient peu nombreux, et l’esprit les guidait vers des territoires plus productifs, en Europe. Si donc, de nos jours, l’accès à un territoire est fermé, les Témoins de Jéhovah prêchent ailleurs, convaincus que l’esprit de Dieu les guide vers les “brebis”. – TG1990 15/6 p15 Paul et Silas alors qu’ils étaient en prison à Philippes, on lit en Actes 16:25 : “ Vers le milieu de la nuit Paul et Silas priaient et louaient Dieu par des chants ; oui, les prisonniers les entendaient. ” Détail intéressant, ils ne faisaient pas que prier : ils chantaient ! Et ils chantaient assez fort pour être entendus des autres prisonniers ! La plupart d’entre nous n’ont pas des voix exercées, mais cela ne devrait pas nous empêcher de chanter, surtout quand nous traversons des moments difficiles. Cet épisode nous apprend autre chose encore sur la personnalité de Silas. Il était joyeux d’avoir souffert avec Paul à cause du nom de Christ - TG2012 1/8 p29 LE GEÔLIER DEVIENT CROYANT: Quand un tremblement de terre a ouvert la porte de la prison et défait les liens des détenus, le geôlier philippien était prêt à se supprimer (Actes 16:25-27). Pourquoi? Parce que la loi romaine stipulait qu’un geôlier qui laissait des prisonniers s’échapper subissait la sentence à leur place. Cet homme préférait apparemment se suicider plutôt que de mourir sous la torture, le sort réservé probablement à certains prisonniers. Cependant, il a accepté la bonne nouvelle du Royaume, et “sur-le-champ ils furent tous baptisés, lui et les siens”. Actes 16:28-34.- TG1990 5/5 p. 25, encadré] Elle a son propre présentoir
  18. Il ne faut pas se sous-estimer cela peut être un piège du Diable pour nous éviter d'atteindre un objectif Il faut être positif et nous enrichir spirituellement pour faire face à toute épreuve et difficulté et placer notre confiance en Jéhovah qui voit si nous allons le servir entièrement,en étant pas tiède spirituellement car notre fidélité envers Lui ne sera pas solide
  19. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 10 DECEMBRE 2018 - ACTES 12-14.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 10 DECEMBRE 2018 - ACTES 12-14.pdf Vidéo par écrit Jéhovah t'aidera -Semaine du 10 décembre.docx Vidéo par écrit Jéhovah t'aidera -Semaine du 10 décembre.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 12-14 Actes 12:21-23 : Qu’apprenons-nous de ce qui est arrivé à Hérode ? (w08 15/5 32 § 7) « Au jour fixé, Hérode se revêtit de vêtements royaux, s’assit au tribunal et prononça un discours. Alors l’assistance se mit à crier : « Voix d’un dieu, non d’un homme ! » À l’instant même, l’ange de Jéhovah* le frappa, parce qu’il n’avait pas attribué la gloire à Dieu ; il fut dévoré par les vers et mourut » Hérode a volontiers accepté la gloire qui n’aurait dû être attribuée qu’à Dieu seul. Quel contraste avec la réaction immédiate de Paul et de Barnabé qui ont refusé énergiquement un honneur et des louanges qui ne leur étaient pas dus ! Nous ne devrions pas désirer la gloire, quoi que nous fassions au service de Jéhovah. Lors d’un évènement diplomatique, Hérode s’est revêtu « de vêtements royaux ». La foule en adoration s’est écriée : « Voix d’un dieu, et non d’un homme ! » Hérode a manifestement savouré ces éloges. Que s’est-il passé ensuite ? « À l’instant même, l’ange de Jéhovah le frappa, parce qu’il n’avait pas donné la gloire à Dieu ; et il fut dévoré par les vers et expira » (Actes 12:21-23). Aucun observateur objectif ne pouvait parvenir à la conclusion qu’Hérode avait été choisi par Jéhovah. Jésus, en revanche, a donné des preuves convaincantes qu’il avait été établi par Dieu, et il a constamment honoré Jéhovah, reconnaissant en lui le Conducteur suprême de Son peuple. – TG2017/2 p18 §20 L’historien Josèphe a lui aussi narré l’épisode, mais de façon plus détaillée. Il décrit l’homme donnant son discours dans “ une robe toute faite d’argent ”. Il ajoute que le roi “ fut saisi d’une subite douleur d’intestins qui, dès le début, fut extrêmement vive ”, et qu’il expira cinq jours plus tard. – g2011/4 p10 Avons-nous quelque habileté à prononcer des discours ou à enseigner les vérités bibliques ? Alors, attribuons à Dieu le mérite de ce qu’il nous permet de faire. — 1 Cor. 4:6, 7 ; Jacq. 4:6. – TG2008 15/2 p7 Sa maladie et sa mort. Très vraisemblablement à cause de sa vie licencieuse, Hérode finit par être atteint d’une maladie répugnante accompagnée de fièvre et, pour citer Josèphe, “ il éprouvait une insupportable démangeaison de toute la peau, de continuelles tranchées, un œdème des pieds pareil à celui des hydropiques ; en outre la tuméfaction du bas-ventre et une gangrène des parties sexuelles qui engendrait des vers, enfin l’asthme, la suffocation, des crampes de tous les membres ”. — Guerre des Juifs, I, 656 (XXXIII, 5). Les chronologistes situent la mort du roi Hérode Agrippa Ier en 44 de n. è., alors qu’il avait 54 ans et qu’il avait régné trois ans sur toute la Judée. – it1 Hérode Actes 13:9 : Pourquoi Saul était-il « aussi appelé Paul » ? (nwtsty). « Alors Saul, aussi appelé Paul, fut rempli d’esprit saint et, le fixant du regard » Saul aussi appelé Paul : À partir de ce verset, Saul est appelé Paul. De par sa naissance, l’apôtre était Hébreu et citoyen romain. Il est donc probable que, dès l’enfance, il a porté à la fois le nom hébreu Saul et le nom romain Paul. Il était courant chez les Juifs de l’époque, en particulier chez ceux qui ne vivaient pas en Israël, de porter deux noms (Ac 12:12 ; 13:1). Des membres de la famille de Paul avaient eux aussi un nom romain ou un nom grec (Rm 16:7, 21). En tant qu’« apôtre des nations », Paul était chargé de proclamer la bonne nouvelle aux non-Juifs (Rm 11:13). Il a apparemment décidé d’utiliser son nom romain, peut-être parce que cela lui paraissait plus adapté (Ac 9:15 ; Ga 2:7, 8). Certains ont émis l’idée qu’il aurait adopté ce nom romain en l’honneur de Sergius Paulus ; mais c’est peu probable, car Paul a continué de porter ce nom même après avoir quitté Chypre. Pour d’autres, Paul aurait évité d’utiliser son nom hébreu parce que, prononcé à la grecque, il ressemblait à un mot grec désignant une personne (ou un animal) qui se pavane. Paul : Dans les Écritures grecques chrétiennes, le nom Paulos, qui est dérivé du latin Paulus et qui signifie « petit », est employé 157 fois pour désigner l’apôtre Paul et une fois pour désigner le proconsul de Chypre nommé Sergius Paulus (Actes 13:7). Quand Saul de Tarse reçut-il le nom de Paul, et pourquoi ? il semble raisonnable de penser que les deux noms, Saul et Paul, ont été donnés dès son enfance à celui qui devint plus tard l’apôtre Paul. Certains ont même émis l’idée que les parents du futur apôtre Paul avaient choisi ce nom de Saul à cause de sa signification : “demandé” ou “désiré” Quelle que soit la raison qui motiva le choix de ce nom juif, Paul, avant de devenir apôtre, avait l’habitude de se faire appeler par son nom hébreu, Saul, quand il se trouvait au milieu de ses compagnons juifs, et plus particulièrement à l’époque où il faisait ses études de Pharisien et vivait comme tel. Etant donné que ses parents juifs habitaient Tarse, une ville romaine libre, on comprend qu’ils aient pu donner à leur fils un nom romain, Paulus ou Paul, qui signifie “Petit”. Certains parents de Paul avaient aussi des noms romains et grecs. pour les Juifs de ce temps-là, et notamment pour ceux qui habitaient en dehors d’Israël, il n’était pas rare d’avoir deux noms. La Bible nous parle du disciple Siméon, qui était appelé Niger, et de Jean, qui était surnommé Marc. Dans le cas de Saul, un nom romain était particulièrement approprié du fait qu’il était né citoyen romain. – TG1968 15/11 p702 Dans les années qui ont suivi sa conversion au christianisme, cet apôtre semble avoir été connu principalement sous son nom hébreu, Saul. Toutefois, plus de dix ans après, lors de son premier voyage missionnaire, vers 47/48 de notre ère, il a semble-t-il préféré utiliser son nom romain, Paul. Comme il avait été chargé de proclamer la bonne nouvelle aux non-Juifs, il a peut-être pensé que son nom romain passerait mieux. Il est aussi possible qu’il ait opté pour le nom Paul parce que la prononciation grecque de son nom hébreu, Saul, ressemblait fortement à celle d’un mot grec qui avait un sens péjoratif. Quoi qu’il en soit, Paul a montré qu’il était prêt à “ devenir toutes choses pour des gens de toutes sortes, afin d’en sauver de toute manière quelques-uns ”. – TG2008 1/3 p12 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Tandis qu’il passe sa dernière nuit en prison, Pierre dort profondément entre ses deux gardiens. Il va alors vivre quelque chose d’extraordinaire. (Actes 12:7-11.) Une vive lumière inonde sa cellule : un ange, de toute évidence invisible pour les gardes, se tient là. Il secoue l’apôtre afin de le réveiller. Et voilà que tombent les chaînes qui entravent ses mains ! L’ange le mène hors de sa cellule, en passant tout près des gardes postés dehors, et lui fait franchir une imposante porte en fer, qui s’ouvre “ d’elle-même ”. Une fois qu’ils sont dehors, l’ange disparaît. Pierre est libre ! Notre foi n’est-elle pas fortifiée quand nous voyons ce dont Jéhovah est capable pour secourir ses serviteurs ? Bien sûr, à notre époque, nous ne nous attendons pas à ce qu’il nous délivre miraculeusement. Cependant, nous ne doutons pas qu’il emploie sa puissance en faveur de ses serviteurs. Grâce à son esprit, nous pouvons être de taille à lutter contre n’importe quelle difficulté. D’autre part, Jéhovah donnera bientôt à son Fils le pouvoir de libérer des millions de personnes de la plus impitoyable des prisons : la mort. Notre foi dans les promesses de Jéhovah nous insuffle un courage hors du commun face aux épreuves. – TG2012 15/1 p12 §15,16 D’après Actes 13:38-41, à Antioche l’apôtre Paul a montré à des Juifs ce que signifiait le rejet de Jésus et de son sacrifice rédempteur. Citant Habacuc 1:5 dans les termes de la Septante, Paul a lancé cet avertissement : “ Prenez [...] garde que ne vienne sur vous ce qui est dit dans les Prophètes : ‘ Regardez, gens pleins de mépris, et étonnez-vous de cela, et disparaissez, parce que je fais une œuvre en vos jours, une œuvre que vous ne croirez absolument pas, même si quelqu’un vous la raconte en détail. ’ ” Conformément à la citation de Paul, un deuxième accomplissement de Habacuc 1:5 a eu lieu quand les armées romaines ont détruit Jérusalem et son temple en 70 de notre ère. Pour les Juifs du temps de Habacuc, l’“ œuvre ” de Dieu qui consistait à faire détruire Jérusalem par les Babyloniens était impensable ; en effet, la ville était le siège du culte de Jéhovah et l’endroit où son roi oint était intronisé. Pour ces raisons, Jérusalem n’avait jamais été détruite. Son temple n’avait jamais été incendié. La maison royale de David n’avait jamais été renversée. Il était inconcevable que Jéhovah permette de telles choses. Pourtant, par l’intermédiaire de Habacuc, Dieu a annoncé on ne peut plus clairement que ces événements stupéfiants se produiraient. Et l’Histoire atteste qu’ils sont survenus comme cela était prédit Jéhovah va-t-il faire une “ œuvre ” incroyable à notre époque ? Soyez-en certain, même si cela semble inconcevable à ceux qui en doutent. Cette fois, l’œuvre incroyable de Jéhovah sera la destruction de la chrétienté. Comme Juda dans l’Antiquité, elle prétend adorer Dieu, mais elle est devenue foncièrement corrompue. Jéhovah veillera à ce que tout vestige du système religieux de la chrétienté disparaisse prochainement, de même que l’ensemble de “ Babylone la Grande ”- TG2000 1/ 2 Jéhovah attire en douceur le cœur d’une personne qui est « dans la disposition qu’il faut » (Actes 13:48). Il le fait de deux manières : au moyen de la prédication de la bonne nouvelle, qui touche chacun personnellement, et au moyen de son esprit saint. Quand il voit un cœur réceptif aux vérités bibliques, il utilise son esprit pour aider la personne à les comprendre et à les appliquer dans sa vie. Sans cette aide, nous ne pourrions pas devenir de véritables disciples de Jésus ni de fidèles adorateurs de Jéhovah. – TG2013 1/5 p14 Quand nous regardons tout ce que Dieu a créé sur terre, nous comprenons ce qu’il ressent pour nous. Comme l’a dit l’apôtre Paul, Dieu ‘n’a pas manqué de donner des témoignages de ce qu’il est en faisant du bien : il nous a donné pluies du ciel et saisons fertiles, nous a rassasiés de nourriture et a rempli nos cœurs de joie de vivre’ (Actes 14:17). Dieu ne nous a pas donné juste ce dont nous avons besoin pour rester en vie. Il nous a donné généreusement tant en quantité qu’en diversité pour que nous profitions pleinement de la vie. Et tout cela n’est qu’un aperçu de ce qu’il avait prévu pour nous à l’origine. WP19 n°1 p10 Le monde approchant de sa fin, les serviteurs de Jéhovah peuvent s’attendre à une intensification des épreuves et des dangers (Actes 14:22). Mais si nous cultivons dès maintenant une confiance totale en Jéhovah, nous aurons l’espérance de vivre dans le monde nouveau promis, que ce soit en franchissant la grande tribulation ou en bénéficiant de la résurrection. Ne laissons jamais le manque de confiance compromettre nos précieuses relations avec Jéhovah. –TG2001 1/6 Comment, en ces derniers jours, Jéhovah attire-t-il les gens et leur ouvre-t-il la “ porte de la foi ” ? (Actes 14:27) Essentiellement en faisant annoncer par ses Témoins ses messages de salut et de jugement contre le système de choses méchant. Cette proclamation mondiale provoque actuellement parmi les nations une secousse, présage de la destruction qui se produira bientôt lorsque le jugement sera exécuté. Simultanément, les humains qui sont ‘ précieux ’ aux yeux de Dieu sont attirés hors de ce système et ils trouvent protection à l’intérieur de sa “ maison ”, le vrai culte. Comme au 1er siècle, il charge parfois ses anges de diriger ses Témoins vers les humains sincères qui l’ont appelé à l’aide. En découvrant les dispositions merveilleuses que Dieu a prises en leur faveur par l’intermédiaire de son Fils, Jésus Christ, certains se sentent attirés vers lui en raison de son amour. En effet, Dieu attire donc les gens vers lui et vers son Fils par sa “ bonté de cœur ”, son “ amour fidèle ” – TG1999 15/7 §6,7 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Quand on leur a dit que Pierre, qu’ils croyaient en prison, était à la porte, pourquoi les disciples ont-ils répondu : “ C’est son ange ” ? — Actes 12:15. Les disciples ont sans doute supposé, à tort, qu’un messager angélique représentant Pierre se tenait au portail. Examinons le contexte de ce passage. Pierre a été arrêté par Hérode, lequel a déjà fait mettre à mort Jacques. Les disciples sont donc fondés à croire que Pierre est promis au même sort. Dans sa prison, l’apôtre est enchaîné et gardé par quatre escouades de quatre soldats chacune. Une nuit, il est libéré miraculeusement par un ange, qui le conduit hors de la prison. Lorsqu’il finit par comprendre ce qui s’est passé, Pierre dit : “ Maintenant je sais vraiment que Jéhovah a envoyé son ange et qu’il m’a délivré de la main d’Hérode. ” — Actes 12:1-11. Il se rend aussitôt à la maison de Marie la mère de Jean Marc, où de nombreux disciples se trouvent réunis. Quand il frappe au battant du portail, une servante nommée Rhode vient répondre. Reconnaissant la voix de l’apôtre, la servante court annoncer la nouvelle aux autres, laissant Pierre sur le pas de la porte ! Tout d’abord, les disciples, incrédules, concluent à tort : “ C’est son ange. ” — Actes 12:12-15. Ils savaient qu’au cours de l’Histoire des anges avaient secouru personnellement des serviteurs de Dieu. Toujours est-il que, lorsque les disciples ont dit : “ C’est son ange ”, ils supposaient probablement qu’un messager angélique représentant Pierre se tenait au portail. – TG2005 1/6 p31 Quand l’apôtre Paul prêchait à Antioche, il a rencontré un groupe de Juifs qui n’aimaient pas la vérité. Ils ont essayé de l’entraîner dans un débat en le contredisant par des blasphèmes, mais Paul leur a simplement rétorqué : “ Puisque vous [...] rejetez [la parole de Dieu] et ne vous jugez pas dignes de la vie éternelle, voyez, nous nous tournons vers les nations. ” — Actes 13:45, 46. Dans nos efforts pour que la bonne nouvelle du Royaume touche les personnes sincères, prenons garde de ne pas nous lancer dans des débats ou des controverses avec les moqueurs. Jésus Christ a fait cette recommandation à ses disciples : “ Quand vous entrerez dans la maison, saluez la maisonnée ; et si la maison en est digne, que la paix que vous lui souhaitez vienne sur elle ; mais si elle n’en est pas digne, que votre paix retourne sur vous. Partout où quelqu’un ne vous recevra pas ou n’écoutera pas vos paroles, en sortant de cette maison ou de cette ville secouez la poussière de vos pieds. ” — Matthieu 10:12-14. – TG2005 15/5 Les Écritures évoquent des individus qui, tout en étant encore incroyants, “ étaient dans la disposition qu’il faut pour la vie éternelle ”. Ils devinrent par la suite croyants (Actes 13:48). Nous ne pouvons absolument pas savoir si une personne est dans la disposition qu’il faut à moins de lui avoir exposé le témoignage, peut-être bien des fois. Conscients de cela, nous traitons “ avec douceur et profond respect ” ceux qui n’ont pas encore accepté le message de salut en espérant qu’il s’en trouvera encore parmi eux qui réagiront au message de vie. – TG2000 1/7 p12 §15 Vous êtes-vous déjà senti découragé parce que les personnes de votre territoire ne veulent pas écouter le message du Royaume ? Si c’est le cas, vous pouvez comprendre ce que l’apôtre Paul a ressenti. Pendant la trentaine d’années où il a prêché, il en a aidé beaucoup à devenir chrétiens (Actes 14:21). Toutefois, il n’a pas fait beaucoup de disciples parmi les Juifs. La plupart d’entre eux ont refusé de l’écouter et certains l’ont même persécuté (Actes 14:19). Quel effet cela a-t-il eu sur lui ? Il a admis : « J’ai une grande tristesse et une douleur incessante dans mon cœur » (Rom. 9:1-3). Pourquoi de tels sentiments ? Parce qu’il aimait vraiment prêcher et qu’il se souciait sincèrement des Juifs. Il était donc triste de les voir rejeter la miséricorde de Dieu. Comme Paul, nous prêchons aux gens parce que nous nous soucions sincèrement d’eux et que nous voulons les aider – W18 P Mai p12 §4,5 Les chrétiens apprenaient à connaître les autres membres de la congrégation et à les aimer. Loin de trouver cette association pesante, ils constataient qu’elle les bâtissait et les fortifiait. — Actes 14:27 – TG2000 1/1 Au 1er siècle, les anciens qui se déplaçaient de lieu en lieu jouaient un grand rôle pour affermir les congrégations. Ils donnaient les conseils qui s’avéraient nécessaires. Ils apportaient les instructions provenant du collège central. Ils racontaient également des faits qui s’étaient produits dans différents territoires, montrant ainsi comment d’autres personnes avaient pu connaître la bonne nouvelle (Actes 14:27, 28). Les visites régulières que font les responsables itinérants aujourd’hui favorisent également la croissance spirituelle de tous. Cependant, pour en retirer un maximum de bienfaits, nous devons personnellement avoir un bon état d’esprit et soutenir pleinement les activités organisées durant chacune de ces visites. km86/8 Jéhovah t’aidera Au baptême de son fils aîné Son fils cadet lui pose la question « C’est quand, ton tour, papa ? » Notre famille a reçu la visite des Témoins de Jéhovah pour la première fois, il y a quelques années. Rachel a été la première à étudier et puis très vite, on s’est tous mis à étudier. Pour la première fois, nous apprenions ce que la Bible enseigne réellement. On a rapidement commencé à prêcher, enfin presque toute la famille. Je savais que c’était la vérité, mais je ne savais pas si je pouvais être à la hauteur de tout ce que Jéhovah demande. En prédication, réflexion d’une personne : « Ah non, partez ! » Et si je décevais tout le monde, et si je décevais Jéhovah ? Un ancien, qui très gentil, qui s’appelle, Ben, a vu que c’était difficile pour moi. Il a pris l’initiative de m’aider. Il m’a demandé : « Qu’est-ce qui au tout début, t’a attiré vers Jéhovah ? » C’est de découvrir que Jéhovah n’est pas un Dieu dur ou exigeant mais que c’est un Dieu plein d’amour. Ben était d’accord avec moi. Il m’a dit : « Quand on fait de son mieux pour servir Jéhovah, il fait le reste » Il m’a expliqué que Jéhovah connaît bien nos limites et qu’il n’attend pas de nous la perfection, il est toujours là pour nous aider parce qu’il veut nous voir réussir. Ensuite, il m’a lu Isaïe 41 :10 « N’aie pas peur, car je suis avec toi. Ne t’inquiète pas, car je suis ton Dieu. Je te rendrai fort. Oui, je t’aiderai ; vraiment, je te soutiendrai avec ma main droite, main qui fait justice.” Je n’ai pas besoin d’être parfait pour servir Jéhovah. Je dois juste l’aimer et lui faire confiance et c’est Lui qui fera le reste. Questions : ˙ Quelles craintes peuvent retenir un étudiant de se vouer à Jéhovah et de se faire baptiser ? ˙ Comment les anciens peuvent-ils aider les étudiants à faire des progrès spirituels ? ˙ Qu’est-ce qu’Isaïe 41:10 nous apprend sur Jéhovah ? ˙ Quelles qualités nous permettront de servir Jéhovah d’une manière qu’il approuve, même si nous sommes imparfaits ?
  20. Vidéo par écrit Jéhovah t'aidera -Semaine du 10 décembre.docx Vidéo par écrit Jéhovah t'aidera -Semaine du 10 décembre.pdf Jéhovah t’aidera Au baptême de son fils aîné Son fils cadet lui pose la question « C’est quand, ton tour, papa ? » Notre famille a reçu la visite des Témoins de Jéhovah pour la première fois, il y a quelques années. Rachel a été la première à étudier et puis très vite, on s’est tous mis à étudier. Pour la première fois, nous apprenions ce que la Bible enseigne réellement. On a rapidement commencé à prêcher, enfin presque toute la famille. Je savais que c’était la vérité, mais je ne savais pas si je pouvais être à la hauteur de tout ce que Jéhovah demande. En prédication, réflexion d’une personne : « Ah non, partez ! » Et si je décevais tout le monde, et si je décevais Jéhovah ? Un ancien, qui très gentil, qui s’appelle, Ben, a vu que c’était difficile pour moi. Il a pris l’initiative de m’aider. Il m’a demandé : « Qu’est-ce qui au tout début, t’a attiré vers Jéhovah ? » C’est de découvrir que Jéhovah n’est pas un Dieu dur ou exigeant mais que c’est un Dieu plein d’amour. Ben était d’accord avec moi. Il m’a dit : « Quand on fait de son mieux pour servir Jéhovah, il fait le reste » Il m’a expliqué que Jéhovah connaît bien nos limites et qu’il n’attend pas de nous la perfection, il est toujours là pour nous aider parce qu’il veut nous voir réussir. Ensuite, il m’a lu Isaïe 41 :10 « N’aie pas peur, car je suis avec toi. Ne t’inquiète pas, car je suis ton Dieu. Je te rendrai fort. Oui, je t’aiderai ; vraiment, je te soutiendrai avec ma main droite, main qui fait justice.” Je n’ai pas besoin d’être parfait pour servir Jéhovah. Je dois juste l’aimer et lui faire confiance et c’est Lui qui fera le reste. Questions : ˙ Quelles craintes peuvent retenir un étudiant de se vouer à Jéhovah et de se faire baptiser ? ˙ Comment les anciens peuvent-ils aider les étudiants à faire des progrès spirituels ? ˙ Qu’est-ce qu’Isaïe 41:10 nous apprend sur Jéhovah ? ˙ Quelles qualités nous permettront de servir Jéhovah d’une manière qu’il approuve, même si nous sommes imparfaits ?
  21. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 3 DECEMBRE 2018 - ACTES 9-11.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 3 DECEMBRE 2018 - ACTES 9-11.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 9-11 Actes 9:4 : Pourquoi Jésus a-t-il demandé à Saul : « Pourquoi me persécutes-tu ? » (bt 60-61 § 5-6). « Il tomba par terre et entendit une voix lui dire : « Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? » « La congrégation [...] entra dans une période de paix » 5 En arrêtant Saul sur la route de Damas, Jésus n’a pas demandé : « Pourquoi persécutes-tu mes disciples ? » mais, comme on l’a dit : « Pourquoi me persécutes-tu ? » (Actes 9:4). En effet, Jésus est personnellement affecté par les épreuves que subissent ses disciples (Mat.25:34-40, 45). 6 Si tu es opprimé à cause de ta foi en Christ, sois sûr que Jéhovah et Jésus savent tous les deux ce qui t’arrive (Mat. 10:22, 28-31). Peut-être ne supprimeront-ils pas l’épreuve pour l’instant. Rappelle-toi : Jésus a vu Saul participer à la mort d’Étienne ; il l’a vu traîner les disciples fidèles hors de chez eux jusqu’à Jérusalem (Actes 8:3). Pourtant, il n’est pas intervenu alors. N’empêche que, par son intermédiaire, Jéhovah a donné à Étienne et aux autres disciples la force nécessaire pour rester fidèles. Lorsque, après sa résurrection, Jésus est apparu à Saul sur le chemin de Damas, il lui a laissé entendre que la persécution cruelle qu’il infligeait aux disciples le touchait personnellement. “ Je suis Jésus, que tu persécutes ”, lui a-t-il dit (Actes 9:3-5). Jésus souffrait pour ses disciples, comme une mère souffre pour son enfant malade. Il ressentait la persécution de ses disciples comme une souffrance personnelle. De la même façon, étant notre Grand Prêtre céleste, il ‘ compatit à nos faiblesses ’ il ‘ comprend nos faiblesses et sympathise avec nous ’. – TG2002 15/4 Actes 10:6 : L’apôtre Pierre a logé chez un tanneur. Pourquoi cette précision est-elle intéressante ? (nwtsty). « Cet homme loge chez un tanneur du nom de Simon, qui a sa maison près de la mer. » Un tanneur du nom de Simon : Un tanneur travaillait les peaux d’animaux. Il utilisait une solution à base de chaux pour les débarrasser de leurs poils et éliminer toute trace de chair et de graisse. Puis il traitait la peau en la plongeant dans un bain de substances puissantes ; ce cuir pouvait ensuite être utilisé pour fabriquer des objets. L’opération de tannage dégageait une odeur nauséabonde et elle nécessitait un grand volume d’eau, ce qui peut expliquer pourquoi Simon vivait près de la mer, probablement aux abords de Joppé. Selon la Loi mosaïque, une personne qui touchait des cadavres d’animaux était impure du point de vue rituel (Lv 5:2 ; 11:39). C’est pourquoi de nombreux Juifs méprisaient les tanneurs et n’auraient pas voulu loger chez l’un d’eux. D’ailleurs, le Talmud a plus tard jugé le métier de tanneur comme inférieur à celui de ramasseur de crottin. Mais Pierre n’a pas laissé les préjugés l’empêcher de séjourner chez Simon. L’ouverture d’esprit dont il a fait preuve en la circonstance a été une préparation très intéressante à sa mission suivante : se rendre chez un Gentil, c’est-à-dire un non-Juif. Certains biblistes pensent que le mot grec traduit par « tanneur » (burséus) était un surnom qu’on avait donné à Simon. À l’époque, un Gentil incirconcis était tout aussi indésirable chez les Juifs que peut l’être une personne que l’on a excommuniée de la congrégation. Aussi Pierre, en tant que chrétien juif, n’était-il encore jamais entré de son propre chef dans la maison d’un non-Juif incirconcis. De ce fait, quand les chrétiens juifs et circoncis de Jérusalem apprirent plus tard que Pierre était finalement entré chez des Gentils, ils le critiquèrent, “disant qu’il avait pénétré dans une maison d’hommes incirconcis et avait mangé avec eux”. — Actes 11:3. Les races non juives passaient pour être souillées et impures. Pour se justifier, Pierre dut exposer les faits devant les apôtres et d’autres chrétiens juifs circoncis de Jérusalem. Pendant que Pierre séjournait à Joppé, chez Simon le tanneur, Dieu lui envoya une vision dans le but de lui faire comprendre qu’il ne devait pas continuer d’appeler impur ce que Dieu avait à présent purifié. Pierre allait apprendre une leçon capitale sur l’impartialité de Jéhovah – TG1980 1/1 De nos jours, il peut être difficile de maintenir l’unité parmi les pratiquants du vrai culte qui viennent “ de toutes nations et tribus et peuples et langues ”. (Rév. 7:9.) Ainsi, dans beaucoup de congrégations se mêlent diverses races, cultures et éducations. Demandons-nous : ‘ Ai-je extirpé de mon cœur toute trace de préjugé ? Suis-je décidé à ne jamais traiter mes frères et sœurs chrétiens d’une façon influencée par les mentalités diviseuses du monde — nationalisme, tribalisme, orgueil culturel et racisme ? ’ Rappelons ce qui est arrivé à Pierre (Céphas) quelques années après les premières conversions de Gentils. Cédant aux préjugés des autres, “ il a entrepris de se retirer et de se séparer ” des chrétiens gentils, si bien que Paul a dû le reprendre. Méfions-nous constamment du piège des préjugés. – bt chap9 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Dieu encouragea Paul à la reconnaissance pour la faveur imméritée qu’il lui avait déjà accordée par l’intermédiaire de Christ. Paul avait effectivement été comblé de bénédictions. Jéhovah lui permit avec amour de devenir disciple de Jésus alors qu’il s’était opposé fanatiquement aux chrétiens (Actes 9:1-4). Ensuite, il lui donna nombre de missions et de privilèges passionnants. La leçon est claire. Même dans les pires moments, nous recevons de nombreux bienfaits qui constituent autant de raisons d’être reconnaissants. Nos épreuves ne devraient jamais nous faire oublier l’abondante bonté de Jéhovah – TG2002 15/2 p18 §4 Le ministère de Paul est un exemple remarquable de la façon dont Jéhovah prépare progressivement ses serviteurs à aimer et à aider toutes sortes de gens. Au moment de la conversion de Paul, Jésus a déclaré que cet homme servirait de vase choisi pour porter Son nom aux nations (Actes 9:15). Paul est alors parti pour l’Arabie, peut-être pour méditer sur le dessein de Dieu de l’utiliser pour déclarer la bonne nouvelle aux nations. – TG2002 1/ 4 p21 Nous pouvons être absolument certains que Jéhovah veut nous aider. Alors, n’hésitons pas à le prier pour lui exprimer tout notre chagrin. Comme c’est réconfortant de savoir qu’il comprend nos sentiments et qu’il donne la consolation dont nous avons tant besoin ! Mais comment le fait-il ? Un des moyens que Jéhovah utilise est « la consolation de l’esprit saint » (Actes 9:31). En effet, sa force agissante est une source très puissante de consolation. Jésus a promis que le Père donnerait volontiers « de l’esprit saint à ceux qui le lui demanderaient » (Luc 11:13). – TG2017 Juillet p13 §5,6 Tout au long de l’histoire biblique, Jéhovah a employé divers moyens pour guider des humains. Il s’est parfois servi d’anges, de visions ou de rêves pour leur révéler des évènements à venir ou leur confier des missions particulières. Il s’est aussi servi de représentants humains, appartenant à la partie terrestre de son organisation. Quelle qu’ait été sa méthode, ceux qui ont suivi ses instructions ont été bénis.Aujourd’hui, Jéhovah guide ses serviteurs au moyen de la Bible, de son esprit saint et de l’assemblée (Actes 9:31). Sa direction est si claire que c’est comme si nos « oreilles entendaient une parole derrière nous, disant : “Voici le chemin. Marchez-y” » (Is. 30:21). Jésus, qui dirige l’assemblée par l’intermédiaire de « l’esclave fidèle et avisé », se fait lui aussi l’écho de la voix de Jéhovah. Il nous faut prendre au sérieux cette direction, car notre avenir éternel dépend de notre obéissance – TG2014 15/8 p21 §1,2 Au 1er siècle de n. ère, certains chefs juifs enseignaient que seul un Juif, ou un ami intime, méritait d’être appelé “ prochain ”. Jésus, pour sa part, a reflété à la perfection la personnalité et la pensée de son Père. Fait intéressant, par son attitude, Jésus a montré à ses disciples que Dieu ne tient pas une race, ou une nationalité, pour supérieure aux autres. L’esprit saint a plus tard révélé à l’apôtre Pierre que “ Dieu n’est pas partial, mais qu’en toute nation l’homme qui le craint et pratique la justice est agréé de lui ”. (Actes 10:28, 34, 35.) Par conséquent, nous devrions considérer tout humain comme étant notre prochain, et faire preuve d’amour même envers celui qui se comporte en ennemi à notre égard – TG2009 15/6 p16 §4 L’apôtre Pierre a déclaré : « Dieu n’est pas partial, mais [...] il approuve toute personne qui le craint et fait ce qui est juste, quelle que soit sa nation » (Actes 10:34, 35). Comme Dieu est juste, il n’est pas partial et ne fait pas de favoritisme. Nous pouvons donc tous être approuvés par lui et devenir ses adorateurs peu importe notre couleur de peau, notre nationalité, notre instruction ou notre rang social. -TG 1998 15/4 p21 Si nous voulons conformer notre façon de penser à celle de Jéhovah, c’est aussi parce qu’elle est supérieure à celle du monde. Le monde donne des conseils dans des domaines comme la moralité, la vie de famille et la réussite professionnelle. Mais beaucoup de ses conseils s’opposent totalement à la pensée de Jéhovah. Par exemple, le monde encourage souvent à réaliser des ambitions personnelles. Il présente l’immoralité sexuelle comme acceptable. Et il conseille parfois aux conjoints de se séparer ou de divorcer, même sans raisons valables, s’ils pensent qu’ils seront plus heureux ainsi. Cela s’oppose à ce que la Bible enseigne. Mais se pourrait-il que les conseils du monde soient plus adaptés à notre époque ? Ceux qui mettent en pratique les conseils de Jéhovah ont une vie de famille plus heureuse, sont en meilleure santé et sont en paix avec leurs compagnons chrétiens du monde entier (Actes 10:34, 35). Cela prouve clairement que la façon de penser de Jéhovah est supérieure à celle du monde. – TG2018 Novembre p20 §9,10 Jéhovah regarde notre cœur. Pierre a en effet ajouté : « En toute nation l’homme qui le craint et pratique la justice est agréé de lui » (Actes 10:35). Craindre Dieu signifie le respecter, l’honorer, avoir confiance en lui et faire tout son possible pour ne pas lui déplaire. Pour pratiquer la justice, il faut faire de bon gré ce qui plaît à Dieu. Jéhovah aime celui dont le cœur, rempli de crainte respectueuse, le pousse à faire ce qui est juste. – TG2013 1/6 L’esprit saint a rendu Jésus capable. Au baptême de Jésus, Jean le baptiseur a vu « les cieux s’ouvrir et l’esprit, comme une colombe, descendre sur lui ». Après quoi « l’esprit le fit aller dans le désert » (Marc 1:10-12). Pendant le reste du ministère terrestre de Jésus, l’esprit saint de Dieu l’a rendu capable d’effectuer des miracles et de parler avec pouvoir (Actes 10:38). Il a aussi produit en lui un fruit parfait, qui comprenait l’amour, la joie et une foi à toute épreuve. Aucun autre conducteur n’a donné de preuves aussi convaincantes : c’est Jéhovah qui l’avait choisi. – TG2017 Février p21 §16 Jéhovah a fait quelque chose que beaucoup n’auraient jamais imaginé et que Paul qualifie même de “ contre nature ”. (Rom. 11:24.) En quel sens ? Eh bien, il pourrait sembler étrange, voire pas naturel, de greffer une branche d’olivier sauvage sur un olivier cultivé. Cette technique était pourtant connue de certains cultivateurs au 1er siècle. Jéhovah a agi de façon quelque peu similaire. Du point de vue des Juifs, les Gentils ne pouvaient en aucune façon produire de bons fruits. Jéhovah a néanmoins fait de ces derniers des éléments de la “ nation ” qui a produit le fruit du Royaume. À partir de 36 de n. è. — année où Corneille, le premier Gentil incirconcis à s’être converti au christianisme, a été oint de l’esprit —, l’occasion a été offerte aux non-Juifs incirconcis d’être greffés sur l’olivier symbolique. — Actes 10:44-48 – TG2011 15/5 p25 §17 “ Or, quand ils [les apôtres et les autres frères] entendirent ces choses, ils acquiescèrent, et ils glorifièrent Dieu, en disant : ‘ Ainsi donc, Dieu a accordé aussi aux gens des nations la repentance pour la vie. ’ ” (Actes 11:18). Cette attitude a préservé et même favorisé l’unité des disciples de Jésus. En peu de temps, Jéhovah accordant sa bénédiction, l’œuvre de prédication s’est propagée parmi les Gentils, les gens des nations. Nous devrions nous aussi accepter quand notre coopération est sollicitée relativement à la formation d’une nouvelle congrégation ou quand une mise au point théocratique est décidée sous la direction de l’esprit saint de Dieu. Notre coopération pleine et entière plaira à Jéhovah et nous aidera à rester unis en ces derniers jours. – TG1996 15/7 p16 §5 Au Ier siècle, malgré les tribulations, la persécution et d’autres épreuves de la foi, le christianisme a progressé (Actes 11:19-21) Les chrétiens de ce temps ont prospéré spirituellement parce que Jéhovah les bénissait. Pour prospérer spirituellement, chaque chrétien devait personnellement fournir des efforts. Il fallait étudier les Écritures assidûment, adorer Dieu régulièrement aux réunions et prêcher la bonne nouvelle du Royaume avec zèle. Ces habitudes favorisaient la santé spirituelle et l’unité des serviteurs de Jéhovah, et c’est toujours le cas aujourd’hui. La ressemblance entre notre culte et celui des chrétiens du Ier siècle est évidente. Comme nous sommes reconnaissants à Jéhovah d’avoir organisé, à l’époque et aujourd’hui, l’activité de ses adorateurs – TG2014 15/5 p21 §15,16 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? On disait de ceux qui étaient devenus disciples de Jésus Christ qu’ils étaient membres de “ La Voie ”, c’est-à-dire qu’ils adhéraient à une voie, ou manière de vivre, axée sur la foi en Jésus Christ, en suivant son exemple. - Actes 9:2 – iT2 Voie Au 1er siècle de notre ère, des milliers de personnes de différentes nations ont embrassé la vérité et ont fourni la preuve de leur attachement à Dieu en se faisant baptiser. On disait alors de ces disciples qu’ils appartenaient à “ La Voie ”. (Actes 9:2) Cette expression était appropriée, car ceux qui devenaient disciples de Christ adoptaient une manière de vivre axée sur la foi en Jésus Christ et inspirée de son exemple. Ils marchaient sur le chemin que leur Maître avait tracé. Aujourd’hui, les chrétiens fidèles font de même.– TG2010 15/2 p24 §2 9:28-30. Si prêcher dans certains quartiers ou à certaines personnes devient dangereux d’un point de vue physique, moral ou spirituel, il nous faut être prudents et choisir où et quand nous allons prêcher. – TG2008 15/5 p31 9:31. En période de “ paix ”, nous devrions chercher à fortifier notre foi grâce à l’étude et à la méditation. Cela nous aidera à marcher dans la crainte de Jéhovah en appliquant ce que nous apprenons et à faire preuve de zèle dans le ministère - TG2008 15/5 p31 “ Relevez les morts ”, avait dit Jésus en envoyant les apôtres prêcher le Royaume (Matthieu 10:5-8). Pour ce faire, ils devraient évidemment compter sur la puissance de Dieu. En 36, à Joppé, la mort de la bonne et fidèle Dorcas (Tabitha) plonge dans le chagrin les veuves indigentes pour qui elle faisait des vêtements. Les disciples préparent le corps pour l’enterrement et envoient chercher Pierre, escomptant peut-être des paroles de consolation (Actes 9:32-38). Mais l’apôtre fait sortir tout le monde de la chambre haute. Puis il prie. “ Tabitha, dit-il, lève-toi ! ” À ces mots, la morte ouvre les yeux, se redresse, prend la main de Pierre et se lève. Cette résurrection, la première attribuée à un apôtre, en incitera beaucoup à devenir croyants (Actes 9:39-42). À nous, elle donne une raison supplémentaire de croire à la résurrection. TG2000 15/7 p12 §10 L’amour chrétien est un autre don béni de Jéhovah, un don que nous chérissons à juste titre. Il est gouverné par des principes, mais il implique tant d’affection qu’il rapproche les croyants davantage que les liens du sang. Intéressons-nous par exemple à Tabitha, une chrétienne admirable du 1er siècle. “ Elle était riche des bonnes actions et des dons de miséricorde qu’elle faisait ”, particulièrement pour les veuves de la congrégation (Actes 9:36). Elle avait peut-être de la famille, mais Tabitha voulait les aider et les encourager de son mieux. Quel exemple !. Les chrétiens qui lui ressemblent de nos jours ‘ ont de l’amour entre eux ’, un don béni de Dieu qui les identifie aux vrais disciples de Jésus – TG2001 15/9 p18 §12 En 36 de notre ère, l’apôtre Pierre a reçu une vision surprenante. Une voix venue du ciel lui a ordonné de tuer et de manger des oiseaux et d’autres animaux considérés comme impurs sous la Loi. Pierre était choqué. Jamais il n’avait “ rien mangé de souillé et d’impur ”. Mais la voix lui a dit : “ Toi, cesse d’appeler souillées les choses que Dieu a purifiées. ” (Actes 10:9-15). Au lieu de s’accrocher obstinément à la Loi, Pierre a corrigé sa façon de voir les choses, ce qui l’a amené à faire une découverte stupéfiante sur les desseins de Dieu.Voici ce qui s’est passé. Trois hommes se sont présentés à la maison où Pierre était hébergé pour lui demander de venir chez un Gentil incirconcis, un homme fervent du nom de Corneille. Pierre les a fait entrer et les a logés. Ayant saisi la signification de sa vision, il les a accompagnés le lendemain chez Corneille, où il a rendu pleinement témoignage concernant Jésus Christ. Après quoi il a déclaré : “ Vraiment, je me rends compte que Dieu n’est pas partial, mais qu’en toute nation l’homme qui le craint et pratique la justice est agréé de lui. ” Non seulement Corneille, mais encore les membres de sa parenté et ses amis proches ont exercé la foi en Jésus, si bien que “ l’esprit saint tomba sur tous ceux qui entendaient la parole ”. Y voyant la main de Jéhovah, Pierre “ ordonna qu’ils soient baptisés au nom de Jésus Christ ”. — Actes 10:17-48.Grâce à quoi Pierre a-t-il saisi que des Gentils qui n’étaient pas soumis à la Loi mosaïque pouvaient désormais devenir des disciples de Jésus Christ ? Grâce au discernement spirituel. Comme Dieu avait montré qu’il approuvait les Gentils incirconcis en répandant son esprit sur eux, Pierre a compris qu’on pouvait les baptiser. Apparemment, il a également discerné que Dieu ne demandait pas aux chrétiens d’origine gentile d’observer la Loi de Moïse pour être baptisés. Si vous aviez vécu à l’époque, auriez-vous accepté, comme Pierre, de modifier votre point de vue ? – TG200315/3 p21 §5 En outre, ceux qui devenaient disciples de Jésus laissaient ses enseignements influer sur leur vie. Pour beaucoup d’entre eux, cela impliquait d’importants changements sous le rapport de la conduite et de la personnalité. Certains en effet avaient été homosexuels, adultères, ivrognes ou voleurs. D’autres devaient se débarrasser de préjugés raciaux (Actes 10:25-28). Pourtant, tous ont obéi à Jésus. Ils se sont défaits de la vieille personnalité pour revêtir la nouvelle. Ils ont acquis la “ pensée de Christ ” à mesure qu’ils comprenaient et imitaient sa façon de penser et d’agir – TG2009 15/10 p15 §13 En 36, les disciples de Jésus se sont mis à prêcher à des gens de toutes les nations. Avant cela, l’apôtre Pierre ne fréquentait généralement que les Juifs. Puis Dieu a clairement indiqué que les chrétiens ne devaient pas être partiaux, et Pierre a prêché à Corneille, un soldat romain (Actes 10:28, 34, 35). À partir de ce moment-là, Pierre a passé du temps et pris des repas avec des chrétiens qui n’étaient pas d’origine juive. Mais quelques années plus tard, à Antioche, il a soudain cessé de le faire (Gal. 2:11-14). Paul a donc repris Pierre, et celui-ci a accepté la réprimande. Comment le savons-nous ? Dans sa première lettre aux chrétiens d’Asie Mineure, qui étaient d’origines juive et non juive, il a parlé de l’importance d’aimer tous les frères.Nous aussi, nous aurons peut-être besoin de temps pour nous débarrasser de préjugés. Rappelons-nous qu’à une époque, nous étions tous des « étrangers » par rapport à Dieu, en ce sens que nous étions éloignés de lui. Mais Jéhovah nous a attirés à lui « avec les cordons de l’amour ». Et Christ nous a accueillis : par son moyen, nous avons pu entrer dans la famille de Dieu. Puisque Jésus nous a acceptés malgré notre imperfection, ce devrait être impensable pour nous de rejeter qui que ce soit. – TG2018/6 §15,18 Quand l’apôtre Pierre a accueilli dans la congrégation chrétienne Corneille, le premier non-Juif, il a dit : « Dieu n’est pas partial » (Actes 10:34). Plus tard, il a écrit que Dieu « veut que tous parviennent à la repentance » (2 Pierre 3:9). Nous pourrions penser que ces versets concernent surtout ceux qui découvrent la vérité. Mais Pierre a aussi dit aux chrétiens : « Honorez des hommes de toutes sortes, aimez toute la communauté des frères » (1 Pierre 2:17). Nous devons donc saluer nos semblables quelle que soit leur race, leur culture ou leur origine sociale. Ainsi, nous leur montrons de l’honneur et de l’amour.- TG2018/6 Les disciples de Jésus l’ont vu accomplir des miracles, l’ont entendu enseigner des foules, et ont observé sa manière de traiter des gens de toutes sortes et d’appliquer les principes de Jéhovah. Ils ont dit : « Nous sommes témoins de toutes les choses qu’il a faites » (Actes 10:39). Mais aujourd’hui, nous ne pouvons pas observer Jésus. Heureusement, nous avons les récits des Évangiles, qui nous aident à bien le connaître. Quand nous lisons et méditons les livres de Matthieu, de Marc, de Luc et de Jean, nous laissons « la pensée de Christ » nous influencer. Cela nous aide à « suivre fidèlement ses traces » et à nous « armer du même état d’esprit » que lui – TG2018/2 §16 C’est un ange qui a dit à Corneille d’aller chercher l’apôtre Pierre. Cela nous prouve que les anges soutenaient beaucoup l’activité de prédication que le collège central dirigeait. Corneille a été le premier Gentil (non-Juif) incirconcis à devenir chrétien. Quand les apôtres et d’autres frères ont appris cela, ils se sont soumis à la volonté de Jéhovah : ils ont accepté les Gentils incirconcis dans la congrégation chrétienne (Actes 11:13-18). A notre époque, le Collège central est aidé par les anges. Il a la grande responsabilité de diriger la prédication des plus de huit millions de proclamateurs du monde entier. Pourquoi cette activité a-t-elle de si bons résultats ? Une des raisons, c’est que les anges la soutiennent – TG2017/2 p20 Le mot “ chrétien ” a été utilisé pour la première fois une dizaine d’années après la mort de Jésus. L’historien biblique Luc rapporte : “ Ce fut d’abord à Antioche que les disciples furent par une providence divine appelés chrétiens. ” (Actes 11:26). On remarque que ceux qui sont appelés chrétiens sont les disciples de Christ. La Bible montre que le nom de “ chrétiens ” était d’origine divine. Puisqu’il n’existait qu’une seule foi chrétienne, il n’était pas nécessaire d’employer d’autres noms pour les identifier. Les chrétiens étaient unis et suivaient les enseignements et les instructions du Fondateur du christianisme, Jésus Christ. – TG2012 1/3 Selon la Bible, les serviteurs de Jéhovah du passé faisaient des offrandes. Dans certains cas, ils donnaient pour financer des projets. Dans d’autres cas, les serviteurs de Jéhovah ont soutenu financièrement ceux qui organisaient l’œuvre. Au Ier siècle, quand des chrétiens ont appris que leurs frères de Judée avaient besoin d’aide à cause d’une famine, ils ont décidé « d’envoyer, chacun selon ses moyens, des secours [à leur] service » (Actes 11:27-30). Nous pourrions nous aussi être encouragés à soutenir un projet. Les offrandes permettent également de soutenir les missionnaires, les pionniers spéciaux, les responsables itinérants, ainsi que ceux qui servent au siège mondial et dans les Béthels du monde entier. Enfin, notre assemblée envoie peut-être régulièrement de l’argent pour soutenir le programme mondial de construction de Salles d’assemblées et de Salles du Royaume en faveur des frères d’autres régions du monde. – TG2018/1 p17 §7,10 L’Histoire atteste qu’une famine épouvantable a ravagé la Judée (Actes 11:28). L’historien juif Josèphe signale un tremblement de terre dans la région de Jérusalem peu avant la destruction de la ville. À l’approche de la fin de Jérusalem se sont succédé soulèvements, guerres intestines entre factions politiques juives et massacres dans plusieurs villes où cohabitaient Juifs et Gentils. Néanmoins, la bonne nouvelle du Royaume était prêchée ‘ dans toute la création qui était sous le ciel ’. À notre époque, une destruction encore plus dévastatrice va se produire, une destruction qui mettra fin à l’ensemble du système de choses. Six ans avant la destruction de Jérusalem, l’apôtre Pierre avait donné un conseil pressant et opportun qui s’applique particulièrement aux chrétiens d’aujourd’hui : demeurez vigilants ! Comme les chrétiens du Ier siècle, nous avons besoin de ‘ garder constamment à l’esprit la présence du jour de Jéhovah ’. Oui, plus que jamais, nous devons demeurer éveillés. – TG2003 1/1 p8-17 §4,21
  22. Bonjour, C'est possible de traduire avec Google Traduction en choisissant la langue
  23. Vidéo par écrit Un don pour Jéhovah.docx Vidéo par écrit Un don pour Jéhovah.pdf Vidéo par écrit : « Un don pour Jéhovah » Dans l’antiquité, quand un israélite faisait une offrande de tout son cœur pour le temple, cette offrande était considérée comme un don pour Jéhovah. Aujourd’hui, partout dans le monde, dans les Salles du Royaume des Témoins de Jéhovah, des boîtes sont prévues pour les offrandes volontaires. Quand nous faisons un don, comment est-il utilisé ? Chaque année des centaines de milliers de personnes deviennent nos frères et sœurs. Pour s’adapter à cet accroissement, les fonds sont mis à disposition pour permettre la construction de nouveaux lieux de culte et de nouvelles filiales dans le monde entier. Volontaire pour la construction, une sœur déclare : « Ce que j’aime le plus ici, c’est de voir les chefs de famille, des pères et des maris qui choisissent d’utiliser leurs vacances pour venir sur le chantier. Alors, merci aux familles et aux congrégations qui apportent leur soutien et qui nous permettent d’être ici ». Volontaire pour la construction, un frère déclare : « C’est vraiment impressionnant de savoir que des millions de frères et sœurs donnent volontairement de leurs ressources pour qu’on puisse continuer les constructions. Rien que ça, c’est une preuve de l’action extraordinaire de l’esprit de Jéhovah ». De grandes portes qui donnent accès à l’activité ont été ouvertes grâce aux écoles théocratiques. Elles permettent à ceux qui y sont inscrits, de développer des qualités spirituelles et de donner l’exemple en participant avec zèle à l’œuvre d’évangélisation. Quand on pense à l’instruction que l’Organisation offre, instruction qui vient Dieu, on se dit aujourd’hui qu’il n’y a aucun gouvernement humain qui forme ses citoyens comme le fait le Royaume de Dieu. Une sœur, qui est inscrite à ces écoles, déclare : « ça m’a rapproché de Jéhovah comme jamais auparavant ; La formation qu’on reçoit est formidable, elle donne envie de progresser spirituellement ». Les offrandes volontaires soutiennent les milliers de serviteurs spéciaux à plein temps à travers le monde parmi lesquels les béthélites. Un béthélite déclare : « Quand on travaille à l’imprimerie, on se rend compte que rien ne serait possible sans le soutien de Jéhovah qu’on voit à travers les dons de nos frères et sœurs. J’aime la mission qui m’est confiée et je l’accomplis en me souvenant que je ne serais pas là sans les sacrifices que font mes compagnons ». En plus des béthélites, les serviteurs spéciaux comprennent les missionnaires, les surveillants itinérants, les serviteurs internationaux et les pionniers spéciaux. Une sœur déclare : « Ce sont les dons qui rendent tout cela possible. Ils font de notre affectation, une source de joie et un privilège que nous attendons avec impatience, chaque semaine, chaque mois, chaque année et ça nous donne vraiment envie de nous dépenser à plein temps pour prêcher la Bonne nouvelle. Ça nous permet d’être sur le terrain pour aider le maximum de personnes qui veulent connaître Jéhovah ». Chaque année, nous nous réjouissons de recevoir des trésors spirituels lors de nos rassemblements. Grâce aux dons, nous pouvons fournir le matériel et le nécessaire pour que tout se déroule aussi bien que possible. Un responsable déclare : « Cette année, c’était formidable de voir comment la technologie a été utilisée pour favoriser l’unité. Les discours-clés prononcés par les membres du Collège central et leurs assistants, ont été retransmis par liaison vidéo dans plusieurs villes. Ça été un grand succès. On a vu davantage d’assistants restés à leur place pendant le programme parce qu’ils avaient peur de manquer quelque chose de spécial en quittant leur siège, même un instant ». Après une catastrophe, les contributions nous aident à apporter rapidement du secours à nos frères et sœurs sinistrés : nourriture, vêtements, matériaux de construction et bien d’autres choses encore sont envoyées le plus vite possible. Un jeune frère déclare : « Je réalise à quel point j’aime l’Organisation de Jéhovah. Aucune autre organisation ne lui est comparable vu le soutien qu’elle apporte avec tant d’amour ». Une sœur : « Je sais maintenant que Jéhovah prend soin de son peuple et j’en suis très reconnaissante. Je le prie pour le remercier ». En effet, nos dons contribuent grandement à soutenir les intérêts du Royaume dans le monde entier. Chacun d’eux est comme un don pour notre Père céleste Jéhovah. Quand nous donnons de tout notre cœur, nous lui exprimons notre amour et c’est le plus beau cadeau que nous puissions lui offrir.
  24. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 26 NOVEMBRE 2018 - ACTES 6-8.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 26 NOVEMBRE 2018 - ACTES 6-8.pdf Vidéo par écrit Un don pour Jéhovah.docx Vidéo par écrit Un don pour Jéhovah.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 6-8 Actes 6:15 : En quel sens le visage d’Étienne était-il « comme un visage d’ange » ? (bt 45 § 2). « Et tandis que tous ceux qui siégeaient au sanhédrin avaient les regards fixés sur Étienne, ils virent que son visage était comme un visage d’ange » « Étienne, plein de charme et de puissance » Sa physionomie en cet instant a quelque chose d’extraordinaire. Les yeux fixés sur lui, ses juges voient que son visage est « comme un visage d’ange » (Actes 6:15). Les anges, porteurs des messages de Jéhovah Dieu, ont des raisons d’être tranquilles, sereins et paisibles. C’est le cas d’Étienne ; même ses juges haineux le constatent. Comment peut-il être si calme ? L’humilité d’Étienne, de même que sa spiritualité et son intégrité, n’ont pas échappé à Jéhovah. Lorsque, dans le Sanhédrin, ce chrétien donna un témoignage à la foule hostile composée de chefs religieux, ses opposants “ virent que son visage était comme un visage d’ange ”. (Actes 6:15.) Il avait le visage d’un messager de Dieu ; on y lisait la paix qui vient du Dieu glorieux, Jéhovah. Après avoir donné un témoignage hardi aux membres du Sanhédrin, Étienne bénéficia d’une manifestation extraordinaire de la faveur imméritée de Dieu. “ Lui, plein d’esprit saint, fixa le ciel et aperçut la gloire de Dieu et Jésus debout à la droite de Dieu. ” (Actes 7:55). Pour Étienne, cette vision spectaculaire réaffirmait la position de Jésus, Fils de Dieu et Messie. Elle fortifia cet homme humble et l’assura de la faveur divine La vision que reçut Étienne indique que Jéhovah révèle sa gloire et son dessein aux humains qui le craignent, qui sont humbles et qui attachent du prix à leurs relations avec lui. “ Le résultat de l’humilité et de la crainte de Jéhovah, c’est la richesse et la gloire et la vie ”, dit la Bible (Proverbes 22:4). Il est donc indispensable que nous comprenions ce qu’est l’humilité véritable, comment cultiver cette qualité importante et quels bienfaits nous retirons à la manifester dans tous les aspects de notre vie – TG2004 1/8 p8 §3,4 Les adversaires d’Étienne pouvaient constater qu’il n’était pas un malfaiteur, mais qu’il avait la sérénité d’un ange, d’un messager de Dieu sûr d’être soutenu par Lui. Quelle différence avec leurs visages, qui reflétaient la méchanceté parce qu’ils se faisaient les suppôts de Satan. – TG1990 1/6 p16 §4 Il n’avait pas le visage abattu d’un malfaiteur, mais l’expression d’un ange, d’un messager de Dieu, sûr de bénéficier du soutien de Jéhovah. Il était courageux et serein. Après qu’Étienne eut dénoncé leur culpabilité pour le meurtre de Jésus Christ, les juges “se sentirent piqués au vif dans leurs cœurs et se mirent à grincer des dents contre lui”. Mais Étienne, “plein d’esprit saint, fixa le ciel et aperçut la gloire de Dieu et Jésus debout à la droite de Dieu”. Affermi par cette vision, il put affronter ces juges iniques avec courage, certain d’avoir fait la volonté de Jéhovah (Actes 7:52-56). Les chrétiens d’aujourd’hui ne s’attendent pas à recevoir une vision de ce genre, mais ils peuvent néanmoins endurer la persécution avec la même sérénité venant de Dieu. – TG1983 1/8 p20 §10 Quand on lit dans la Bible la description des anges qui apparurent parfois aux serviteurs de Jéhovah, on voit qu’ils avaient souvent un aspect impressionnant. Étienne, rempli de l’esprit saint, avait donc l’aspect d’un représentant de Dieu ; l’expression de son visage, à ce moment-là, semblait en imposer aux juges hostiles. Comme tous ceux qui étaient assis dans le Sanhédrin le regardaient fixement, ils virent que son visage était comme le visage d’un ange Il ne faut pas nécessairement entendre par là que le visage d’Étienne fut transfiguré, comme Jésus l’avait été sur la montagne de la transfiguration. Cependant, il a dû revêtir une certaine expression qui a fasciné les membres du Sanhédrin. Bien entendu, les juges avaient l’habitude d’observer la contenance du prisonnier qui comparaissait devant eux ; ils y découvraient parfois un indice de culpabilité ou d’innocence. Or, Étienne comparut devant le tribunal, non pas avec le visage abattu d’un homme coupable d’un crime, mais avec la contenance qu’aurait un ange, un messager envoyé par Dieu, un homme sûr d’avoir l’appui de Dieu. Sur son visage on ne pouvait lire aucun sentiment de culpabilité pour avoir fait le mal. Étienne se montrait courageux. Sa sérénité et son impassibilité, qu’il faut attribuer à sa confiance en Dieu, se peignaient sur son visage. Quelque temps auparavant Jésus avait dit : “Je vous donne ma paix (...). Que votre cœur ne se trouble ni ne se resserre de crainte.” Jean 14:27 – TG1965 15/6 p382-384 Comment Étienne a-t-il pu rester si calme face à la persécution ? Étienne est entouré de 71 juges haineux. Ils sont tous membres du sanhédrin, la cour suprême juive, et font partie des hommes les plus puissants de la nation. Ils se sont réunis sur l’ordre de Caïphe, le grand prêtre qui présidait le sanhédrin quelques mois plus tôt, quand Jésus a été condamné à mort. Alors qu’ils font venir les faux témoins les uns après les autres, ils remarquent quelque chose de très surprenant : le visage d’Étienne est « comme un visage d’ange » Avant d’être amené devant le sanhédrin, le puissant esprit de Dieu avait agi sur lui pour l’aider à accomplir une tâche dans la congrégation. Pendant le procès, ce même esprit a de nouveau agi sur lui, aussi bien pour le consoler que pour lui rappeler des choses qu’il avait apprises. Alors qu’Étienne présentait courageusement sa défense, l’esprit saint lui a rappelé au moins 20 passages des Écritures hébraïques. Mais sa foi a été encore plus fortifiée quand il a reçu une vision lui montrant Jésus « debout à la droite de Dieu » - TG2018/10 Actes 8:26-30 : Quels points communs y a-t-il entre l’activité accomplie par les chrétiens d’aujourd’hui et celle de Philippe ? (bt 58-59 § 16). « Cependant, l’ange de Jéhovah dit à Philippe : « Pars et va vers le sud, sur la route qui descend de Jérusalem à Gaza. » (C’est une route du désert.) 27 Il partit donc, et voici qu’il y avait là un eunuque éthiopien, un personnage important au service de Candace, reine des Éthiopiens ; c’était l’administrateur de tout son trésor. Il était allé à Jérusalem pour adorer 28 et il retournait chez lui. Assis sur son char, il lisait à voix haute le prophète Isaïe. 29 Alors l’esprit dit à Philippe : « Rattrape ce char et reste à côté de lui. » 30 En courant à côté du char, Philippe entendit l’Éthiopien qui lisait à voix haute le prophète Isaïe. Il lui demanda : « Comprends-tu vraiment ce que tu lis ? » « Il lui annonça la bonne nouvelle concernant Jésus » 16 Les chrétiens du XXIe siècle ont le privilège de participer à une activité semblable à celle de Philippe. Il leur est souvent possible de présenter le message du Royaume aux gens qu’ils croisent dans des situations informelles, comme en voyage. Il s’avère plus d’une fois que leur rencontre avec des personnes sincères n’est pas fortuite. Elle est plutôt prévisible, car la Bible montre bien que les anges dirigent la prédication pour que le message atteigne « toute nation, et tribu, et langue, et peuple » (Rév.14:6). Que les anges dirigent la prédication, c’est exactement ce que Jésus a prédit. Dans son exemple du blé et de la mauvaise herbe, il a expliqué que, pendant la moisson, l’achèvement du système de choses, « les moissonneurs, ce [seraient] des anges ». Ceux-ci « ramasseraient hors de son royaume toutes les choses qui font trébucher et ceux qui commettent l’illégalité » (Mat. 13:37-41). En parallèle, ils rassembleraient les futurs héritiers célestes du Royaume, et plus tard « une grande foule » d’« autres brebis », que Jéhovah veut attirer vers son organisation (Rév. 7:9 ; Jean 6:44, 65 ; 10:16). Prêcher à des hommes “ haut placés ” peut donner des résultats inespérés (1 Tim. 2:1, 2). Par exemple, l’ange de Jéhovah a dit à Philippe de parler à un “ homme au pouvoir ”, le responsable du trésor de la reine des Éthiopiens. Philippe, entendant que l’homme “ lisait à haute voix le prophète Isaïe ”, lui a exposé la bonne nouvelle à propos de Jésus. Cet Éthiopien est devenu un disciple et a certainement parlé de la bonne nouvelle sur la route du retour. Il a aussi pu donner le témoignage à la reine et à la cour, autant de personnes qui, sinon, auraient eu peu de chances d’entendre la bonne nouvelle – km2009/8 p3 Que nous apprend le ministère que Philippe a accompli en faveur des Samaritains et du fonctionnaire éthiopien ? Nous ne devrions jamais présumer que la bonne nouvelle n’intéressera pas une personne de telle nationalité, de telle race ou de tel rang social. Communiquons au contraire le message du Royaume à “ des gens de toutes sortes ”. Si nous nous mettons à la disposition de Jéhovah en prêchant à tous, il nous utilisera dans l’œuvre consistant à ‘ faire des disciples de gens d’entre toutes les nations ’ avant la fin du système méchant – TG1999 15/7 p25 Nous qui servons aujourd’hui Jéhovah, nous avons l’obligation d’aider les personnes sincères à connaître la vérité contenue dans la Parole de Dieu. Beaucoup ont obtenu de bons résultats en présentant la bonne nouvelle de façon informelle en voyage ou dans d’autres circonstances. Grâce à la prédication du Royaume, des centaines de milliers de personnes chaque année montrent qu’elles se sont vouées à Jéhovah Dieu en se faisant baptiser. – TG1996 15/7 p8 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Au Ier siècle, les apôtres ont demandé à certains de distribuer de la nourriture à ceux qui en avaient besoin. Les apôtres pouvaient ainsi se concentrer sur d’autres choses importantes. Ils savaient que le travail serait bien fait. Pourquoi ? Parce que les frères choisis avaient une bonne réputation : ils étaient dignes de confiance et fidèles (Actes 6:1-4). Jéhovah aime la fidélité, elle est une preuve de maturité – km2013/7 Abraham et Sara font partie de « ceux qui, grâce à la foi et à la patience, hériteront des promesses divines ». En effet, « après avoir fait preuve de patience », Abraham a obtenu la promesse que Jéhovah le bénirait et multiplierait sa descendance. Pourquoi Abraham a-t-il eu besoin de patienter ? Parce que la promesse a mis du temps à se réaliser. L’alliance que Jéhovah a faite avec lui a pris effet le 14 Nisan 1943 avant notre ère. C’est ce jour-là qu’il a traversé l’Euphrate avec Sara et leur maisonnée pour entrer en Terre promise. Puis Abraham a dû attendre 25 ans avant que son fils Isaac naisse (en 1918 av. n. è.), et 60 ans de plus avant que ses petits-fils Ésaü et Jacob naissent (en 1858 av. n. è.). Quelle part de la Terre promise Abraham a-t-il reçue ? La Bible raconte : « Jéhovah ne lui a donné dans ce pays aucune propriété dont on puisse hériter, pas même la largeur d’un pied ; mais il a promis de le lui donner en possession, et après lui à sa semence, alors qu’il n’avait pas encore d’enfant » (Actes 7:5). C’est 430 ans après qu’Abraham a traversé l’Euphrate que ses descendants ont été organisés en nation, la nation qui prendrait possession du pays promis Abraham a patienté volontiers parce qu’il avait foi en Jéhovah. Il a été heureux de patienter, même s’il n’a pas vu la promesse se réaliser complètement de son vivant. Mais imagine sa joie quand il ressuscitera dans le Paradis sur terre. Il sera étonné d’apprendre que son histoire et celle de ses descendants occupent une partie importante de la Bible. Imagine aussi son émotion le jour où il comprendra qu’il a joué un rôle essentiel dans la réalisation du projet de Jéhovah concernant le Messie promis. Il se dira certainement que cela avait valu la peine d’attendre longtemps.Si nous méditons sur les conséquences heureuses de sa patience, cela nous encouragera à patienter nous aussi. Si nous subissons des épreuves, soyons déterminés à « rester dans l’attente ». Peut-être que parfois nous crierons : « Jusqu’à quand, ô Jéhovah ? » (Is. 6:11). Mais grâce à l’énergie que l’esprit de Dieu donne, nous sommes tous déterminés à dire comme Jérémie : « Je resterai dans l’attente de Jéhovah - TG2017 Aout p5-6 §9-10, 19,20 Alors qu’il était en prison, Joseph a sans doute gardé son esprit fixé sur les preuves que Jéhovah le bénissait. Peut-être aussi qu’il a réfléchi aux rêves prophétiques qu’il avait eus plus jeune, et que cela lui a donné l’assurance qu’il était aimé de Jéhovah. De plus, il a sûrement prié Dieu de nombreuses fois pour lui dire tout ce qu’il avait sur le cœur. En réponse, Jéhovah lui a donné la conviction qu’il serait « avec lui » dans toutes ses épreuves (Actes 7:9, 10).Quelles que soient les difficultés que nous subissons, nous pouvons nous aussi ressentir la « paix de Dieu » qui protège notre esprit et nous aide à rester calmes. Par conséquent, si nous prions Jéhovah quand nous sommes envahis par l’inquiétude, la paix qu’il donne peut renforcer notre désir d’atteindre des objectifs spirituels sans renoncer. – TG2018 Octobre p28 §4,5 Des frères et sœurs sont victimes de tribulations soudaines. Si cela nous arrive, ne cédons pas à la peur. Pensons à Joseph. Il a été vendu en esclavage, mais Jéhovah « l’a délivré de toutes ses tribulations » (Actes 7:9, 10). Il peut en faire autant pour nous. N’oublions jamais que « Jéhovah sait délivrer de l’épreuve les hommes qui sont attachés à Dieu » (2 Pierre 2:9). Continuerons-nous à lui faire confiance, sachant qu’il peut nous délivrer de ce système de choses mauvais et nous permettre de vivre éternellement sous la domination de son Royaume ? Nous avons de bonnes raisons de lui faire confiance et d’affronter courageusement la persécution – TG2014 15/9 p13 §10 Comment rester humble quand on a une certaine autorité sur les autres - Quelqu’un qui a une certaine autorité peut avoir du mal à rester humble, surtout si on lui manque de respect ou que l’on conteste ses décisions. Cela nous est-il déjà arrivé ? Comment réagiriez-vous si un membre de votre famille vous manquait de respect ? Voyons comment Moïse a géré une situation de ce genre. Moïse s’était laissé former par Jéhovah. Une quarantaine d’années plus tôt, quand il était membre de la famille royale égyptienne, il n’était pas humble. Il manquait tellement de maîtrise qu’il a même tué un homme qui, d’après lui, agissait injustement. Il s’était dit que Jéhovah serait d’accord avec cette initiative. Jéhovah a alors passé 40 ans à l’aider à comprendre qu’il ne devait pas seulement être courageux pour guider les Israélites ; il devait aussi être humble. Et pour être humble, il devait également être obéissant et doux. Il a su accepter cette discipline et il est devenu un excellent guide - Actes 7:21-30, 36. Chefs de famille et anciens, imitez Moïse. Quand on vous manque de respect, ne vous vexez pas trop facilement. Reconnaissez humblement vos erreurs. Avec obéissance, suivez les instructions de Jéhovah sur la façon de régler les problèmes. Et parlez toujours avec douceur. Ainsi, vous plairez à Jéhovah, vous favoriserez la paix et vous donnerez un bel exemple d’humilité. – TG2019 Février p10 §9,10 Moïse s’était laissé former par Jéhovah. Une quarantaine d’années plus tôt, quand il était membre de la famille royale égyptienne, il n’était pas humble. Il manquait tellement de maîtrise qu’il a même tué un homme qui, d’après lui, agissait injustement. Il s’était dit que Jéhovah serait d’accord avec cette initiative. Jéhovah a alors passé 40 ans à l’aider à comprendre qu’il ne devait pas seulement être courageux pour guider les Israélites ; il devait aussi être humble. Et pour être humble, il devait également être obéissant et doux. Il a su accepter cette discipline et il est devenu un excellent guide - Actes 7:21-30, 36. Quelqu’un qui a une certaine autorité peut avoir du mal à rester humble, surtout si on lui manque de respect ou que l’on conteste ses décisions. Quand on vous manque de respect, ne vous vexez pas trop facilement. Reconnaissez humblement vos erreurs. Avec obéissance, suivez les instructions de Jéhovah sur la façon de régler les problèmes. Et parlez toujours avec douceur. Ainsi, vous plairez à Jéhovah, vous favoriserez la paix et vous donnerez un bel exemple d’humilité. TG2019/2§7,9,10 Les fidèles d’autrefois savaient que la pensée de Jéhovah est supérieure. Par exemple, même si Moïse avait été instruit « dans toute la sagesse des Égyptiens », il recherchait la vraie sagesse auprès de Jéhovah (Actes 7:22) Comme il laissait Jéhovah modeler sa façon de penser, celui-ci l’a utilisé de façon remarquable pour accomplir sa volonté et l’a honoré en parlant de lui comme d’un homme de grande foi. De toute évidence, la façon de penser de Jéhovah est de loin supérieure à celle de ce monde. Nous ne pouvons être heureux et réussir notre vie que si nous suivons les normes de Dieu. Mais il ne nous force pas à le faire. De plus, ni « l’esclave fidèle et avisé » ni les anciens n’ont autorité sur nos pensées. C’est à chacun de nous de conformer sa façon de penser à celle de Jéhovah – TG2018 Novembre p18 §11,13 Quand Jéhovah avait donné la Loi à Israël, il y avait eu des tonnerres, des éclairs, un épais nuage et un son de cor très fort. Le mont Sinaï tremblait et fumait. Réunis au pied de la montagne, les Israélites avaient même entendu “ les Dix Paroles ” du milieu du feu et du nuage lorsque Jéhovah leur avait parlé par l’intermédiaire d’un ange. Actes 7:38, 53 Quelles manifestations de la grandeur de Jéhovah ! Ceux qui aiment la Parole de Dieu et qui méditent sur ces récits ne peuvent qu’être éblouis par ‘ la glorieuse splendeur de la dignité de Jéhovah ’. Aujourd’hui, bien sûr, nous disposons de la Bible dans son entier, laquelle renferme plusieurs visions glorieuses qui nous pénètrent de la grandeur de Jéhovah – TG2004 15/1 p14 §17,18 Parfois, dans certaines situations, il peut sembler difficile d’appliquer ce que nous avons appris dans les Écritures. Arrêtons-nous sur le cas des Israélites. Peu après que Jéhovah les a libérés du joug égyptien, ils ‘ se sont pris de querelle avec Moïse ’ et ont mis “ Jéhovah à l’épreuve ”. Pour quelle raison ? Parce qu’ils manquaient d’eau. Moins de deux mois après s’être engagés à obéir à “ toutes les paroles qu’a dites Jéhovah ”, dans le cadre de l’alliance de la Loi, les Israélites ont violé le commandement relatif à l’idolâtrie. L’absence prolongée de Moïse, qui était alors sur le mont Horeb, les avait-elle rendus craintifs ? Redoutaient-ils une nouvelle attaque des Amaléqites ? Se sentaient-ils perdus sans Moïse, qui leur avait offert la victoire quelque temps auparavant en gardant ses mains levées ? Peut-être bien ; toujours est-il que les Israélites “ ont refusé de devenir obéissants ”. (Actes 7:39-41) De même, parce qu’ils ont pris peur, les Israélites n’ont pas voulu entrer en Terre promise. Si nous voulons nous porter vers la maturité, nous devons faire tout notre possible pour obéir à Jéhovah. Sommes-nous déterminés à obéir à Jéhovah, même lorsque surviennent des situations oppressantes ? – TG2009 15/5 p11 §11,13 Rappelez-vous les Israélites du temps de Moïse. “ Dieu, lisons-nous, s’est [...] retourné et les a livrés pour offrir un service sacré à l’armée du ciel. ” (Actes 7:42). Le fait d’avoir vu Jéhovah accomplir des actes de puissance en leur faveur ne les a pas dissuadés de se tourner vers d’autres dieux quand ils ont estimé que cela servait leurs intérêts. Ils n’ont pas été fidèles ; or Dieu ne peut accepter un service sacré si celui qui l’offre n’est pas fidèle. Évidemment, il est douteux que l’on puisse aujourd’hui encore se détourner de Jéhovah pour adorer les étoiles ou des veaux d’or. Mais l’idolâtrie peut prendre d’autres visages : Jésus nous a mis en garde contre la tentation de servir “ la Richesse ” (Matthieu 6:24) ; Paul a qualifié la convoitise d’idolâtrie (Colossiens 3:5) ; Satan se fait passer pour un dieu. Ces formes d’idolâtrie, très courantes, sont dangereuses. Que penser, par exemple, de quelqu’un qui, tout en se prétendant disciple de Jésus, n’aspire en fait qu’à devenir riche ou ne se fie qu’à lui-même et à ses idées ? Qui sert-il en réalité ? Est-il différent des Juifs contemporains d’Isaïe qui juraient par le nom de Jéhovah mais attribuaient ses actes grandioses à des idoles impures ? – TG2000 15/11 p14 §17 Les Juifs manifestaient généralement peu de respect envers les Samaritains. Philippe, quant à lui, n’a pas condamné ces gens à l’avance, et son impartialité a été récompensée, car de nombreux Samaritains se sont fait baptiser, parmi lesquels un ancien magicien du nom de Simon. — Actes 8:6-13. Que nous apprend le ministère que Philippe a accompli en faveur des Samaritains ? Nous ne devrions jamais présumer que la bonne nouvelle n’intéressera pas une personne de telle nationalité, de telle race ou de tel rang social. Communiquons au contraire le message du Royaume à “ des gens de toutes sortes ”. Si nous nous mettons à la disposition de Jéhovah en prêchant à tous, il nous utilisera dans l’œuvre consistant à ‘ faire des disciples de gens d’entre toutes les nations ’ avant la fin du système méchant – TG1999 15/7 p25 §2 Jéhovah est un Dieu généreux. Sa générosité est si grande qu’il a sacrifié son propre Fils pour nous. Quand il voit que quelqu’un cherche la vérité, il l’aide à la trouver. Et il ne demanderait jamais d’argent en échange ! Un jour, un homme qui s’appelait Simon a proposé de l’argent à l’apôtre Pierre pour obtenir le pouvoir de transmettre de l’esprit saint. Mais Pierre l’a réprimandé en disant : « Que ton argent disparaisse avec toi, parce que tu t’es imaginé pouvoir obtenir le don gratuit de Dieu contre de l’argent ! » (Actes 8:18-20). Mais alors que signifie « acheter » la vérité ? Le mot hébreu traduit par « acheter » peut signifier « acquérir ». Ces deux mots impliquent généralement de renoncer à quelque chose ou de faire un effort afin d’obtenir une chose qu’on considère comme précieuse. Il nous faut fournir des efforts pour apprendre à connaître la vérité contenue dans la Bible. Nous devons être prêts à tous les sacrifices pour elle. Et une fois que nous l’avons « achetée », que nous la connaissons, il nous faut veiller à ne jamais la « vendre », ou l’abandonner. - TG2018 Novembre p3 §3,4 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Les croyants du 1er siècle étaient imparfaits, et il surgissait des situations qui mettaient leur unité à l’épreuve. Par exemple, Actes 6:1-6 rapporte un différend survenu entre les chrétiens juifs qui parlaient hébreu et ceux qui parlaient grec. Ces derniers avaient le sentiment d’être l’objet d’une certaine discrimination. Cependant, une fois informés de l’affaire, les apôtres s’en sont occupés promptement et équitablement. Une décision fondée sur les principes bibliques a été prise, décision qui a été acceptée uniformément. Cet exemple montre que, dans la congrégation chrétienne du 1er siècle, les désaccords n’entraînaient pas de divisions ethniques, parce que les facteurs qui unissaient les premiers chrétiens, à savoir leur amour pour Jéhovah, leur foi en Jésus Christ, leur amour mutuel plein d’abnégation étaient suffisamment puissants pour maintenir l’unité et la paix dans la congrégation. – TG2005 1/1 p4 Dans la distribution quotidienne ” de nourriture, les veuves de langue grecque “ étaient négligées ”. (Actes 6:1) Celles de langue hébraïque, elles, ne l’étaient pas. Apparemment, on avait affaire à un problème de discrimination. Peu de problèmes ont autant la faculté de semer la zizanie que celui-là. Les apôtres, servant de collège central pour la congrégation en expansion, ont reconnu qu’il n’était pas judicieux qu’eux-mêmes “ délaissent la parole de Dieu pour distribuer la nourriture ”. (Actes 6:2.) Comme solution, ils ont proposé que l’on cherche sept hommes “ pleins d’esprit et de sagesse ” qu’ils puissent préposer à cette “ tâche nécessaire ”. (Actes 6:3.) Il fallait des hommes compétents, la tâche ne consistant sans doute pas qu’à servir la nourriture, mais aussi à manipuler de l’argent, à acheter des vivres et à tenir des comptes minutieux. Les sept disciples qui ont été choisis avaient tous des noms grecs, ce qui les ferait mieux accepter par les veuves lésées. Après avoir considéré leur recommandation avec force prières, les apôtres les ont donc préposés à cette “ tâche nécessaire ”. Les serviteurs de Jéhovah des temps modernes suivent le modèle apostolique. Tout homme recommandé pour des responsabilités dans la congrégation doit manifester la sagesse divine, et sa conduite doit attester que l’esprit saint opère sur lui. Les hommes qui remplissent les conditions requises dans la Bible sont établis, sous la direction du Collège central, anciens ou assistants ministériels dans les congrégations. On peut donc dire que ceux qui ont les aptitudes requises sont établis par l’esprit saint. Ces frères travailleurs assument beaucoup de ‘ tâches nécessaires ’. Ainsi, les anciens coordonnent l’aide pratique apportée aux fidèles âgés qui en ont réellement besoin – bt chap5 §17-20 Au 1er siècle, les chrétiens ont appris à surmonter les préjugés tenaces qui avaient cours parmi les Juifs. À la Pentecôte 33, ceux de Jérusalem ont offert l’hospitalité aux nouveaux convertis venus de différents pays (Actes 2:5, 44-47). Le souci affectueux des chrétiens juifs pour leurs frères étrangers montrait qu’ils comprenaient ce que signifiait l’« hospitalité », autrement dit la « bonté envers les étrangers ». Mais à mesure que la congrégation primitive grandissait, une situation apparemment due à un problème de discrimination s’est présentée. Des Juifs de langue grecque se sont plaints que leurs veuves étaient traitées injustement (Actes 6:1). Afin d’y remédier, les apôtres ont choisi sept hommes pour veiller à ce que personne ne soit oublié. Ces hommes avaient tous des noms grecs, ce qui semble indiquer que les apôtres voulaient apaiser toute tension liée aux origines (Actes 6:2-6).Si nous décelons chez nous le moindre indice de préjugé ou d’orgueil racial, faisons un effort conscient pour le déraciner de notre cœur. Réfléchissons au fait qu’aucun de nous ne mérite le salut ; nous sommes tous imparfaits, quelle que soit notre nationalité. Alors pourquoi nous sentir supérieurs à un autre ? Un effort sincère pour surmonter nos a priori sur les personnes d’une autre origine nous aidera sans nul doute à nous revêtir de la personnalité nouvelle – TG2016 Octobre p9 §6-9 7:59 — Étienne a-t-il prié Jésus ? Non. Le culte — et par conséquent les prières — ne doit être rendu qu’à Jéhovah. En temps normal, Étienne en aurait appelé à Jéhovah au nom de Jésus (Jean 15:16). Mais en cette circonstance particulière, Étienne a eu une vision du “ Fils de l’homme debout à la droite de Dieu ”. (Actes 7:56.) Sachant pertinemment que Jésus avait reçu le pouvoir de ressusciter les morts, Étienne a parlé directement à Jésus et lui a demandé de préserver son esprit, mais il ne l’a pas prié – TG2008 15/5 p31 § 2 Les premiers chrétiens prenaient leur ministère très au sérieux. Luc rapporte : “ Chaque jour, dans le temple et de maison en maison, ils continuaient sans arrêt à enseigner et à annoncer la bonne nouvelle concernant le Christ, Jésus. ” (Actes 5:42). Rien n’aurait pu les retenir, pas même la persécution (Actes 8:4) Ils faisaient connaître la vérité tous les jours.Qu’en est-il de nous ? Demandons-nous : ‘ Suis-je conscient de l’urgence des temps ? Suis-je disposé à continuer d’annoncer sans arrêt la bonne nouvelle ? ’ – km1996/8 Le mot “ simonie ” vient de l’événement rapporté en Actes 8:9-24 et désigne la pratique des arts magiques. Philippe l’évangélisateur se rendit à Samarie pour “prêcher le Christ”. (8:5-25.) Une grande joie régna dans cette ville lorsque la bonne nouvelle y fut proclamée, les esprits impurs expulsés et les gens guéris. De Jérusalem, les apôtres envoyèrent Pierre et Jean à Samarie, et quand ceux-ci priaient et posaient les mains sur les nouveaux disciples baptisés, ces derniers recevaient de l’esprit saint. Simon, ancien magicien qui venait d’être baptisé, tenta d’acheter ce pouvoir, mais Pierre lui dit: ‘Que ton argent périsse avec toi! Ton cœur n’est pas droit devant Dieu.’ Ayant été exhorté à se repentir et à supplier Jéhovah de lui pardonner, il demanda aux apôtres de prier pour lui. Voilà qui devrait inciter tous ceux qui craignent Jéhovah de nos jours à le prier pour qu’il les aide à sauvegarder leur cœur. (De cet événement vient le mot “simonie”, qui désigne “l’achat ou la vente d’une fonction religieuse ou d’une promotion ecclésiastique”.) – TG1990 1/6 p17 8 Les chrétiens qui occupent des fonctions de responsabilité, notamment les représentants itinérants doivent veiller à ne pas se rendre coupables, consciemment ou non, de ce qu’on appelle la simonie. Ce terme vient d’un certain Simon qui, selon Actes 8:9-24, a offert de l’argent aux apôtres pour que ceux-ci lui donnent le pouvoir de transmettre l’esprit saint par imposition des mains. Comment un surveillant itinérant pourrait-il se rendre coupable de simonie? S’il n’y prend pas garde, il pourrait être tenté de recommander un ancien pour qu’il participe au programme d’une assemblée parce que ce frère se montre très hospitalier ou généreux envers lui. En fait, dans de rares cas des anciens ont fait des dons généreux, tout en sollicitant un privilège spécial. Ils ne désiraient pas, semble-t-il, se comporter en ‘petits’ et laisser l’esprit saint guider les frères chargés de procéder à des nominations théocratiques (Luc 9:48). Dans de tels cas, les représentants itinérants ont refusé ce genre de dons, montrant ainsi le bon exemple pour ce qui est de ne pas abuser de son pouvoir. Il ressort de tout cela que les anciens qui occupent une position en vue doivent être vigilants pour ne pas se rendre coupables de simonie - TG15/8/1986 p15 §9 Au 1er siècle, les anges dirigeaient, dans une certaine mesure, les disciples de Jésus vers ceux qui étaient dignes d’entendre le message (Actes 8:26). Aujourd’hui encore, les serviteurs de Dieu constatent que les anges dirigent les choses. Il n’est pas rare que la personne qui ouvre la porte leur déclare qu’elle était en train de demander de l’aide à Dieu juste avant qu’ils arrivent ! Quelle joie pour nous, ainsi que pour les anges, lorsque de telles personnes écoutent le message du Royaume ! km2004/6 Pour susciter la conversation - De nombreux Témoins entament des discussions constructives en demandant simplement : “ Vous êtes-vous jamais demandé pourquoi... ? ” En choisissant une question qui préoccupe vraiment beaucoup de personnes, ils sont presque assurés d’avoir d’excellentes conversations en prédication. Et même si la question n’avait jamais effleuré l’esprit de l’interlocuteur, elle est toujours susceptible d’éveiller sa curiosité. Un grand choix de sujets peuvent être introduits par des tournures comme “ À votre avis... ? ” “ Que pensez-vous de;;; ? ” et “ Croyez-vous que.... ? ” S’approchant du fonctionnaire de la cour d’Éthiopie qui lisait à haute voix la prophétie d’Isaïe, l’évangélisateur Philippe a simplement demandé : “ Est-ce que tu comprends vraiment ce que tu lis ? ” (Actes 8:30). Cette question a permis à Philippe d’expliquer des vérités se rapportant à Jésus Christ. Par des questions semblables, des Témoins de notre époque ont découvert des personnes qui désiraient ardemment comprendre les vérités bibliques. – km2005/4 Le baptême : comment ? Il ne sert à rien de baptiser en les aspergeant, en leur versant de l’eau sur la tête ou même en les immergeant des personnes à qui l’on n’a pas enseigné la vérité biblique. L’eunuque éthiopien, un homme fervent, a été baptisé dans “ un point d’eau ”. Il fallait des points d’eau, car le baptême de Jésus et celui de ses disciples ont demandé une immersion totale. — Actes 8:36 Les mots grecs traduits par “ baptiser ”, “ baptême ”, etc., se rapportent à l’acte d’immerger, de tremper ou de plonger dans l’eau. Voilà pourquoi, à notre époque, le baptême des Témoins de Jéhovah est un acte volontaire accompli par immersion totale dans l’eau. – TG2002 1/ 4 p10 §3,5 Vidéo par écrit : « Un don pour Jéhovah » Dans l’antiquité, quand un israélite faisait une offrande de tout son cœur pour le temple, cette offrande était considérée comme un don pour Jéhovah. Aujourd’hui, partout dans le monde, dans les Salles du Royaume des Témoins de Jéhovah, des boîtes sont prévues pour les offrandes volontaires. Quand nous faisons un don, comment est-il utilisé ? Chaque année des centaines de milliers de personnes deviennent nos frères et sœurs. Pour s’adapter à cet accroissement, les fonds sont mis à disposition pour permettre la construction de nouveaux lieux de culte et de nouvelles filiales dans le monde entier. Volontaire pour la construction, une sœur déclare : « Ce que j’aime le plus ici, c’est de voir les chefs de famille, des pères et des maris qui choisissent d’utiliser leurs vacances pour venir sur le chantier. Alors, merci aux familles et aux congrégations qui apportent leur soutien et qui nous permettent d’être ici ». Volontaire pour la construction, un frère déclare : « C’est vraiment impressionnant de savoir que des millions de frères et sœurs donnent volontairement de leurs ressources pour qu’on puisse continuer les constructions. Rien que ça, c’est une preuve de l’action extraordinaire de l’esprit de Jéhovah ». De grandes portes qui donnent accès à l’activité ont été ouvertes grâce aux écoles théocratiques. Elles permettent à ceux qui y sont inscrits, de développer des qualités spirituelles et de donner l’exemple en participant avec zèle à l’œuvre d’évangélisation. Quand on pense à l’instruction que l’Organisation offre, instruction qui vient Dieu, on se dit aujourd’hui qu’il n’y a aucun gouvernement humain qui forme ses citoyens comme le fait le Royaume de Dieu. Une sœur, qui est inscrite à ces écoles, déclare : « ça m’a rapproché de Jéhovah comme jamais auparavant ; La formation qu’on reçoit est formidable, elle donne envie de progresser spirituellement ». Les offrandes volontaires soutiennent les milliers de serviteurs spéciaux à plein temps à travers le monde parmi lesquels les béthélites. Un béthélite déclare : « Quand on travaille à l’imprimerie, on se rend compte que rien ne serait possible sans le soutien de Jéhovah qu’on voit à travers les dons de nos frères et sœurs. J’aime la mission qui m’est confiée et je l’accomplis en me souvenant que je ne serais pas là sans les sacrifices que font mes compagnons ». En plus des béthélites, les serviteurs spéciaux comprennent les missionnaires, les surveillants itinérants, les serviteurs internationaux et les pionniers spéciaux. Une sœur déclare : « Ce sont les dons qui rendent tout cela possible. Ils font de notre affectation, une source de joie et un privilège que nous attendons avec impatience, chaque semaine, chaque mois, chaque année et ça nous donne vraiment envie de nous dépenser à plein temps pour prêcher la Bonne nouvelle. Ça nous permet d’être sur le terrain pour aider le maximum de personnes qui veulent connaître Jéhovah ». Chaque année, nous nous réjouissons de recevoir des trésors spirituels lors de nos rassemblements. Grâce aux dons, nous pouvons fournir le matériel et le nécessaire pour que tout se déroule aussi bien que possible. Un responsable déclare : « Cette année, c’était formidable de voir comment la technologie a été utilisée pour favoriser l’unité. Les discours-clés prononcés par les membres du Collège central et leurs assistants, ont été retransmis par liaison vidéo dans plusieurs villes. Ça été un grand succès. On a vu davantage d’assistants restés à leur place pendant le programme parce qu’ils avaient peur de manquer quelque chose de spécial en quittant leur siège, même un instant ». Après une catastrophe, les contributions nous aident à apporter rapidement du secours à nos frères et sœurs sinistrés : nourriture, vêtements, matériaux de construction et bien d’autres choses encore sont envoyées le plus vite possible. Un jeune frère déclare : « Je réalise à quel point j’aime l’Organisation de Jéhovah. Aucune autre organisation ne lui est comparable vu le soutien qu’elle apporte avec tant d’amour ». Une sœur : « Je sais maintenant que Jéhovah prend soin de son peuple et j’en suis très reconnaissante. Je le prie pour le remercier ». En effet, nos dons contribuent grandement à soutenir les intérêts du Royaume dans le monde entier. Chacun d’eux est comme un don pour notre Père céleste Jéhovah. Quand nous donnons de tout notre cœur, nous lui exprimons notre amour et c’est le plus beau cadeau que nous puissions lui offrir.
  25. Vidéo par écrit Le présentoire mobile.docx Vidéo par écrit Le présentoire mobile.pdf « Le présentoir mobile : ses bienfaits à l’échelle mondiale » En 2001, avec l’accord du Collège central, les frères de France ont expérimenté plusieurs méthodes de témoignage public notamment à l’aide de présentoirs mobiles et il y a eu d’excellents résultats. C’est ainsi qu’en 2011, un projet pilote de témoignage avec des présentoirs mobiles, a été approuvé pour la ville de New York aux Etats-Unis. Dans le quartier de Manhattan à New York, il y avait 1 Témoin de Jéhovah pour 657 habitants. Ce quartier était donc idéal. Une nouvelle forme de témoignage a commencé à être testée à Manhattan. Pendant un an, des élèves de ce qu’était alors l’Ecole biblique pour couples chrétiens y ont participé. On utilisait à ce moment-là, différentes tables de présentation, mais il était évident, qu’un présentoir mobile présentait beaucoup d’avantages. Aujourd’hui, Les Témoins de Jéhovah sont connus pour leur témoignage public effectué à l’aide de présentoirs mobiles où ils exposent leurs publications. Cette méthode permet de diffuser la Bible dans de nombreux endroits et de la rendre facilement accessible à d’innombrables personnes. Ces présentoirs ont différentes affiches qui ont pour but d’attirer l’attention vers nos publications les plus connues, d’inviter les personnes à accepter un cours biblique gratuit à domicile et de diriger l’attention des passants sur notre site Internet. Voici quelques exemples des bons résultats obtenus avec cette méthode. « Je m’appelle Mi Jung You. J’ai rencontré Les Témoins de Jéhovah pour la première fois il y a plus de vingt ans. J’ai commencé à étudier le livre Vous pouvez vivre éternellement mais environ un mois plus tard, j’ai dû arrêter l’étude. Après ça, je prenais les revues mais je n’ai jamais repris mon étude de la Bible. En juin 2014, j’ai vu un présentoir mobile. J’ai compris qu’il appartenait aux Témoins de Jéhovah. Il y avait beaucoup de publications qui m’intéressaient. J’ai demandé si je pouvais en prendre un exemplaire de chaque. Nous avons échangé nos numéros et quelques semaines plus tard, le frère m’a contacté. J’ai recommencé à étudier la Bible avec le couple et un mois plus tard, j’ai commencé à assister régulièrement aux réunions. Je me suis fait baptiser en octobre 2015 et je suis devenue pionnière auxiliaire juste après pendant dix mois. Je suis maintenant pionnière permanente. Le témoignage public m’a aidé à trouver la vérité et il me permet de rencontrer des personnes qui comme moi s’intéressent à la Bible. J’aime beaucoup cette forme de témoignage. Autre témoignage : Je m’appelle Jacob Salomé. Je suis routier. J’ai passé une grande partie de ma vie à voyager dans tout le Pérou. Du coup ça se passait mal avec la femme avec qui je vivais. J’étais jamais à la maison et je vivais pour ainsi dire dans mon camion. Je voyais les Témoins de Jéhovah prêcher près des bus et comme j’étais toujours en train de conduire, je ne pouvais pas me garer ni même leur parler. Un jour j’ai vu des Témoins qui prêchaient sur une place publique. Je suis allé leur demander ce que la Bible dit sur la vie de famille. Ça été un tournant pour ma vie. Avec ma compagne, on a commencé à assister aux réunions, on s’est marié et on s’est fait baptisé. Maintenant, on est Témoins de Jéhovah. Autre exemple : Un jour, au présentoir mobile, Annies et moi, on a rencontré le jeune Sudharshan. Annies lui a montré le dépliant « Les morts revivront-ils un jour ? » Surpris, il a dit « Comment s’est possible ? ». Quand Annies lui a expliqué Actes 24 :15, il s’est exclamé « Je suis chrétien et je ne le savais même pas ». Je lui ai demandé : « Vous voudriez en savoir plus sur les magnifiques promesses de la Bible » Il a répondu « Là maintenant, c’est possible ? ». Alors on a examiné le 1er chapitre du livre « Qu’enseigne la Bible ». C’est comme ça que ça à commencer. Sudharshan est venu avec son ami Sagar. Puis Sagar avec Shiva et Srikanth. Tous les trois assistent régulièrement à nos réunions. Sagar a même refusé une offre d’emploi incompatible avec les principes bibliques. Un seul dépliant a permis de commencer plusieurs cours bibliques. C’est évident, Jéhovah bénit cette forme de témoignage public. Il n’y a pas de doute. Le présentoir mobile est un outil qui nous aide à prêcher la Bonne nouvelle du Royaume de Dieu dans toute la terre habitée en témoignage pour toutes les nations.
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