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misette

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  1. Perles spirituelles - Semaine du 12 Juin 2023 - 2 Chroniques 32-33.docx Perles spirituelles - Semaine du 12 Juin 2023 - 2 Chroniques 32-33.pdf Perles spirituelles (10 min) : 2 Chroniques 32-33 2 Chroniques 33:15, 16 : Que nous enseigne l’histoire de Manassé ? (w21.10 4 § 11-12) « Ensuite il fit disparaître les dieux étrangers et l’idole qui étaient dans le temple de Jéhovah, ainsi que tous les autels qu’il avait construits dans la montagne du temple de Jéhovah et dans Jérusalem, et il les fit jeter hors de la ville. 16 Il répara aussi l’autel de Jéhovah et se mit à offrir dessus des sacrifices de paix et des sacrifices de reconnaissance, et il demanda à Juda de servir Jéhovah le Dieu d’Israël.» Jéhovah a constaté que Manassé changeait ; ses prières le montraient clairement. Touché par ses supplications, Jéhovah a finalement décidé de lui pardonner et de lui redonner la royauté. Manassé s’est alors efforcé de démontrer par ses actions qu’il était sincèrement repentant. Il a fait ce qu’Achab n’avait jamais fait : il a changé de conduite. Il a combattu énergiquement le faux culte. Et il a encouragé le peuple à pratiquer de nouveau le vrai culte (lire 2 Chroniques 33:15, 16). Il lui a certainement fallu du courage et de la foi pour cela, car il avait eu une mauvaise influence sur sa famille, sur les nobles et sur le peuple pendant des dizaines d’années. Mais dans les dernières années de sa vie, il a cherché à réparer, au moins en partie, le mal qu’il avait commis. Manifestement, il a eu une bonne influence sur le jeune Josias, son petit-fils, qui est devenu plus tard un très bon roi (2 Rois 22:1, 2). Que nous apprend l’exemple de Manassé ? Manassé s’est humilié, mais il a fait plus encore. Il a supplié Jéhovah de lui accorder sa miséricorde. Et il a changé de conduite. Il a fait de son mieux pour réparer le mal qu’il avait commis. Il s’est efforcé d’adorer Jéhovah et d’encourager les autres à en faire autant. Son histoire peut donner espoir même à ceux qui ont commis des péchés très graves. Elle montre à quel point notre Dieu est « bon et prêt à pardonner » (Ps. 86:5). Jéhovah nous pardonnera à condition que nous nous repentions sincèrement. - w21.10 4 § 11-12 Cet exemple montre que la vraie repentance signifie à la fois renoncer à sa mauvaise conduite et faire de grands efforts pour pratiquer le bien. Manassé a démontré qu’il avait réellement changé grâce à la discipline reçue. Il combattit l’idolâtrie, prépara l’autel de Jéhovah et sacrifia sur lui. Manassé encouragea également ses sujets à servir Jéhovah. Cet exemple montre clairement que Jéhovah agira avec miséricorde envers ceux qui se repentent et qui se mettent à lui vouer une crainte légitime. Quelles que soient les fautes qu’elle a pu commettre, une personne peut retrouver la faveur de Dieu si elle se repent sincèrement. Reconnaissant que le transgresseur repentant est faible et bien éphémère, Jéhovah Dieu le traitera avec compassion Nous apprenons que si nous trahissons Jéhovah, nous pouvons nous repentir, tant que nous sommes disposés à le faire de tout notre cœur et à nous détourner de nos mauvaises voies. Non seulement Manassé s'est humilié, mais il a prié, imploré la miséricorde de Jéhovah et changé sa façon d'agir. De plus, il a fait de son mieux pour réparer le mal qu'il avait fait, et il s'est efforcé d'adorer Jéhovah et d'aider les autres à faire de même. Son exemple donne de l'espoir même au pire des pécheurs. Cet exemple est une preuve claire que Dieu est bon et disposé à pardonner, mais seuls ceux qui se repentent vraiment peuvent obtenir le pardon de Jéhovah. Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Pour déjouer les projets de l’ennemi envahisseur, le roi Ézéchias et son peuple couvrirent les sources qui étaient hors de Jérusalem et firent venir cette eau dans la ville par un tunnel (II Chron. 32:1-4). De la même façon, l’“esclave fidèle et avisé” a protégé les eaux spirituelles de la vérité. Grâce à la construction d’imprimeries en divers endroits de la terre et à l’activité qui y est déployée, au grand jour ou clandestinement, il a veillé à ce que la nourriture spirituelle soit mise à la disposition du peuple de Dieu, en dépit d’une violente opposition. De plus, Ézéchias alla dans le temple pour prier et pour consulter le prophète Ésaïe (II Rois 19:1, 2). De nos jours également, le peuple de Dieu puise la force et le courage dont il a besoin en cas de difficultés dans la fréquentation des autres adorateurs au temple spirituel de Jéhovah. Il recherche des conseils auprès de la classe de l’“esclave fidèle et avisé”, afin de suivre la bonne voie – TG1970 15/2 2 Chroniques 32:1 « Après ces évènements et ces actes de fidélité, le roi Sennachérib d’Assyrie vint envahir Juda. Il assiégea les villes fortifiées, bien décidé à forcer les murailles pour prendre les villes ». Cela montre que ce roi maléfique Sennachérib avait un objectif et était déterminé à le réaliser. Nous avons un ennemi invisible qui a pour objectif d'entrer par la force et de nous conquérir, cela nous fait voir l'importance de prendre soin des préoccupations de la vie et du pouvoir trompeur de richesses. Quelle leçon peut-on tirer des efforts que fit Ezéchias pour assurer et améliorer l’approvisionnement en eau de Jérusalem 2 Chroniques 32:3, 4 « il (Ézéchias) décida, après avoir consulté ses princes et ses guerriers, de boucher les sources qui étaient en dehors de la ville, et ils acceptèrent de l’aider. 4 Beaucoup de gens furent rassemblés ; ils bouchèrent toutes les sources, ainsi que le cours d’eau qui coulait dans le pays, car, disaient-ils, « il ne faut pas que les rois d’Assyrie trouvent de l’eau en abondance à leur arrivée ». Par ce qui a été considéré comme l’une des plus grandes réalisations techniques de l’Antiquité, Ézéchias fit creuser un tunnel entre la source de Guihôn et la piscine de Siloam. D’une hauteur moyenne de 1,80 mètre, ce tunnel faisait 533 mètres de long. Imaginez un souterrain d’une telle longueur taillé dans le roc ! Aujourd’hui, plus de 2 700 ans plus tard, le touriste peut encore traverser ce chef-d’œuvre technique connu communément sous le nom de canal d’Ézéchias. — 2 Chroniques 32:30 « C’est Ézéchias qui boucha la source supérieure de Guihôn et qui détourna l’eau pour l’amener directement en bas, à l’ouest de la Cité de David. Et Ézéchias réussissait tout ce qu’il entreprenait ». On peut tirer une leçon des efforts de Ezéchias pour assurer et même améliorer l’approvisionnement en eau de Jérusalem. Jéhovah est “ la source d’eau vive ”. Ses pensées, renfermées dans la Bible, entretiennent la vie. D’où le caractère essentiel de l’étude individuelle. Mais les occasions d’étudier et d’emmagasiner ainsi de la connaissance ne coulent pas forcément de source ! Il faudra peut-être ‘ creuser ’ dans un emploi du temps serré pour trouver le temps nécessaire. Quand vous vous serez fixé un programme, tenez-le. Faites de votre étude individuelle une priorité et ne permettez à rien ni à personne de vous voler cette précieuse réserve d’eau. — km2001/4 Satan le Diable continuera de faire tout ce qu’il peut pour persécuter les fidèles serviteurs de Jéhovah. Satan et ceux qui sont de son côté essaieront d’interdire le culte que nous rendons à Dieu. Mais nous n’avons aucune raison d’être paralysés par la peur !. Jéhovah est avec nous, et il continuera de nous soutenir, même si nos activités sont interdites (2 Chron. 32:7, 8 « Soyez courageux et forts. N’ayez pas peur et ne soyez pas terrifiés à cause du roi d’Assyrie et de toute la foule qui est avec lui, car ceux qui sont avec nous sont plus nombreux que ceux qui sont avec lui. Avec lui, il y a un bras de chair, mais avec nous, il y a Jéhovah notre Dieu, pour nous secourir et pour combattre nos ennemis. » Ces paroles du roi Ézéchias de Juda fortifièrent le peuple. Nous voulons avoir la même détermination que nos frères du Ier siècle, qui ont dit à des dirigeants de leur époque : « À vous de juger si, aux yeux de Dieu, il est juste de vous écouter, vous, plutôt que Dieu. Mais nous, nous ne pouvons pas cesser de parler des choses que nous avons vues et entendues » - Examinons 2021/4 Nous cherchons à défendre la bonne nouvelle et à la faire reconnaître par des moyens légaux Qui plus est, nous ne ferons pas de compromis ni ne relâcherons notre attachement aux normes de la justice divine. Jéhovah, dans sa sainte Parole, nous a fait connaître clairement la voie à suivre. Pas question pour nous de nous reposer sur le fragile “ bras de chair ” ni de chercher “ refuge à l’ombre de l’Égypte ”, autrement dit le monde (2 Chroniques 32:8 « Avec lui, il y a un bras de chair, mais avec nous, il y a Jéhovah notre Dieu, pour nous secourir et pour combattre nos ennemis. » Ces paroles du roi Ézéchias de Juda fortifièrent le peuple). Dans la guerre spirituelle que nous menons, nous devons continuer de mettre notre confiance en Jéhovah de tout notre cœur, de le laisser diriger nos pas et de ne pas nous appuyer sur notre intelligence. Si nous n’avons pas le soutien de Jéhovah et si lui-même ne nous garde pas, c’est “ pour rien ” que nous travaillerons. — TG2000 1/ 4 §12 2 Chroniques 32:8. Il est parlé du bras de chair, qui représente la puissance humaine, il est peu fiable et insuffisant pour celui qui s'y appuie. Jéhovah avertit son peuple à quel point la confiance dans le bras humain peut être trompeuse et désastreuse. 2 Chroniques 32:8. Ce texte nous aide aussi à comprendre que Jéhovah ne nous libère pas de la douleur, mais qu'il nous aide et mène nos combats. Cela nous encourage beaucoup, à nous rappeler que quoi qu'il arrive autour de nous, Jéhovah est conscient, et il nous aidera d'une manière que nous n'imaginons pas, car ce qu'il dit, il le fait sans faute. 2 Chroniques 32:8. Ce texte mentionne aussi à la fin que les paroles du roi Ezéchias ont fortifié le peuple, il n'a pas fait un long discours, c'était peu de paroles, mais ça marche. Nous pouvons utiliser nos paroles pour encourager et fortifier nos frères. Par exemple, lorsqu'ils traversent un certain type de deuil, il vaut mieux ne pas parler beaucoup mais utiliser peu de mots pour apporter un soutien. Jéhovah a tenu sa promesse tout au long de l’histoire tumultueuse d’Israël. Par exemple, quand le roi assyrien Sennachérib a envahi Juda et menacé de renverser le roi Ezéchias, Jéhovah est intervenu en envoyant un ange. En une nuit, l’ange a abattu « tous les hommes forts et vaillants » de l’armée assyrienne. Sennachérib est retourné dans son pays humilié (2 Chron. 32:21). Pourquoi Dieu a-t-il combattu pour Ezéchias ? Parce que celui-ci « demeura attaché à Jéhovah. Il ne s’écarta pas de derrière lui, mais il continua de garder ses commandements » Les serviteurs de Dieu d’aujourd’hui sont aux portes d’un monde nouveau. Sommes-nous convaincus que Jéhovah nous fournira le nécessaire pour survivre à la « grande tribulation » imminente ? . Bien sûr, Jéhovah ne nous guide pas vers le monde nouveau par une colonne de nuage ou de feu. Il se sert plutôt de son organisation pour entretenir notre vigilance. Par exemple, nous sommes encouragés avec de plus en plus d’insistance à fortifier notre spiritualité par une lecture individuelle de la Bible, le culte familial et la régularité aux réunions comme dans le ministère. Avons-nous fait les changements nécessaires afin de suivre ces instructions ? Cela nous aidera à acquérir le genre de foi qui nous maintiendra en vie pour entrer dans le monde nouveau. En plus de nous maintenir spirituellement éveillés, les instructions que nous recevons nous guident dans notre vie quotidienne. Nous sommes notamment encouragés à conserver un point de vue équilibré sur les choses matérielles et à garder l’œil simple afin de réduire les sources d’inquiétude. – TG2013 15/11- La leçon que nous pouvons apprendre de l’exemple d’Ezéchias concerne notre cœur. En une occasion, Celui qui examine les cœurs a fait apparaître ce que Ezéchias avait dans le sien 2 Chroniques 32:31 « Toutefois, quand les princes de Babylone envoyèrent leurs porte-parole chez lui pour s’informer sur le signe qui s’était produit dans le pays, le vrai Dieu le laissa agir seul pour le mettre à l’épreuve, pour savoir tout ce qu’il avait dans le cœur ». Lorsque Ezéchias est tombé très malade, Dieu lui a donné un signe indiquant qu’il guérirait : une ombre qui a reculé. Manifestement, les princes de Babylone ont envoyé des messagers pour s’informer sur ce signe (2 Chron. 32:24 « À cette époque-là, Ézéchias tomba malade et il était sur le point de mourir. Alors il pria Jéhovah, qui lui répondit en lui donnant un signe ». Révélant ce qu’il avait dans le cœur quand « Dieu le quitta », Ezéchias leur a montré « toute sa maison du trésor ». Cet acte insensé a fait apparaître « tout ce qui était dans son cœur ». La Bible ne précise pas pourquoi le cœur d’Ezéchias s’est enorgueilli. Était-ce en raison de sa victoire contre les Assyriens, ou de sa guérison miraculeuse par Dieu ? Ou encore parce qu’il avait « richesse et gloire en très grande abondance » ? Toujours est-il que son orgueil l’a empêché de se montrer reconnaissant pour « le bienfait dont il avait été l’objet ». Quelle tristesse ! Même s’il a pu implorer Jéhovah en disant l’avoir servi d’un cœur complet, il lui a déplu pendant un temps. Plus tard, cependant, « Ezéchias s’humilia », ce qui a épargné à lui et à son peuple l’indignation de Dieu 2 Chron. 32:25-27 « Mais Ézéchias ne manifesta aucune reconnaissance pour le bien qui lui était fait, car son cœur devint orgueilleux, ce qui provoqua l’indignation de Dieu contre lui, contre Juda et contre Jérusalem. Cependant Ézéchias regretta d’avoir laissé son cœur devenir orgueilleux, et les habitants de Jérusalem s’humilièrent comme lui ; et Jéhovah ne manifesta pas son indignation contre eux durant le règne d’Ézéchias. Ézéchias eut beaucoup de richesse et de gloire ; et il se construisit des entrepôts pour y déposer de l’argent et de l’or, des pierres précieuses, de l’huile de baumier, des boucliers et tous les objets précieux ». Quel profit pouvons-nous tirer à lire et à méditer l’histoire de Ezéchias ? Souviens-toi que son orgueil s’est manifesté peu après que Jéhovah a vaincu Sennachérib et a guéri Ezéchias de sa maladie mortelle. Et nous ? Si nous avons fait quelque chose de louable, se pourrait-il que Jéhovah nous « quitte pour nous mettre à l’épreuve » et faire ainsi apparaître ce que nous avons dans le cœur ? – TG2017/3 p26 2 Chroniques 33:6 « Il fit brûler ses propres fils dans la vallée du Fils de Hinnom. Il pratiqua la magie, consulta des devins, pratiqua la sorcellerie et établit des médiums et des diseurs de bonne aventure. Il fit dans une très grande mesure ce qui est mal aux yeux de Jéhovah, pour l’offenser. Il nous enseigne que le péché est mauvais, mais il y a aussi des échelles ou des degrés de péché, comme les marches d'une échelle. Manassé a fait à grande échelle ce qui est mauvais aux yeux de Dieu, quand on voit ces textes on comprendre que c'était terriblement mal. On peut penser qu'on ne ferait pas quelque chose comme ça, mais la vérité est que si on ne prend pas soin de soi dans notre inclination vers le mal, on pourrait finir comme cela. Reconnaissez vos erreurs. Priez Jéhovah et demandez-lui de vous pardonner. Vous pouvez être sûr que Dieu vous écoutera, si vous êtes repentant, si vous regrettez sincèrement ce que vous avez fait et si vous faites tout pour ne pas refaire la même erreur (2 Chroniques 33:13 « Il le priait, et Dieu fut touché par sa supplication, il entendit sa demande ; alors il le ramena à Jérusalem et le rétablit dans sa royauté. C’est ainsi que Manassé sut que Jéhovah est le vrai Dieu ». Contrairement aux humains, Dieu voit qui nous sommes au plus profond de nous-mêmes. Quand nous essayons de corriger une mauvaise conduite, Dieu le voit, et « il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés ». Bien sûr, si vous avez fait du mal à quelqu’un, vous aurez peut-être besoin de le reconnaître et de demander sincèrement pardon. Ce n’est pas toujours facile ! Ça peut demander du courage et de l’humilité. Mais si vos excuses viennent du cœur, elles auront un double effet : vous vous sentirez mieux et vous rétablirez la paix – Questions bibliques ijwbq Le cœur physique doit être complet pour fonctionner, mais le cœur symbolique peut être partagé. Le récit biblique rapporte ce que firent les habitants de Juda après être partiellement revenus à Jéhovah: “Toutefois le peuple sacrifiait encore sur les hauts lieux; seulement c’était à Jéhovah, leur Dieu.” (II Chroniques 33:17). Le cœur partagé, ils prétendaient adorer Jéhovah, mais ils le faisaient d’une façon contraire à sa volonté et en des lieux où ils avaient auparavant adoré Baal. Tout humain n’a qu’un seul cœur physique mais, figurément parlant, certains en possèdent deux. Nous ne devons adorer Jéhovah ni d’un cœur irrésolu ni d’un cœur double, mais d’un cœur complet. Il nous faut faire de diligents efforts pour cela. Pour quelle raison? Parce que notre cœur est traître et peut être excessivement trompeur. Il est effrayant de constater son habileté à justifier les choses mauvaises qui attirent notre chair déchue. Bien qu’il puisse nous tromper et nous cacher nos véritables mobiles, Jéhovah le voit tel qu’il est. - TG1986 1/6
  2. Perles spirituelles - Semaine du 5 Juin - 2 Chroniques 30-31.docx Perles spirituelles - Semaine du 5 Juin - 2 Chroniques 30-31.pdf Perles spirituelles (10 min) : 2 Chroniques 30-31 2 Chroniques 30:20 : Que pouvons-nous apprendre de la manière dont Jéhovah a écouté Ézéchias ? (w18.09 6 § 14-15) « Jéhovah écouta Ézéchias et il pardonna au peuple.» Une autre façon encore de nous montrer humbles est d’écouter patiemment les autres. Jacques 1:19 dit que nous devrions être « toujours prêt[s] à écouter ». Jéhovah nous donne le meilleur exemple qui soit dans ce domaine. Lis par exemple la conversation rapportée en Exode 32:11-14 « Alors Moïse supplia Jéhovah son Dieu en disant : « Pourquoi, ô Jéhovah, t’enflammerais-tu de colère contre ton peuple après les avoir fait sortir d’Égypte par ta grande puissance et ta main forte ? Pourquoi les Égyptiens diraient-ils : “C’est avec de mauvaises intentions qu’il les a fait sortir. Il voulait les tuer dans les montagnes et les faire disparaître de la surface de la terre” ? Abandonne ta colère ardente et reviens sur ta décision d’infliger ce malheur à ton peuple. Souviens-toi de tes serviteurs Abraham, Isaac et Israël, à qui tu as juré par toi-même : “Je rendrai vos descendants aussi nombreux que les étoiles du ciel, et je donnerai à vos descendants tout ce pays dont j’ai parlé, pour qu’ils en prennent possession de façon permanente.” » Alors Jéhovah renonça à faire venir sur son peuple le malheur dont il l’avait menacé Même si Jéhovah n’avait pas besoin de l’analyse de Moïse sur la situation, il l’a laissé s’exprimer. Écouterais-tu jusqu’au bout le raisonnement de quelqu’un qui a parfois eu tort, et suivrais-tu ensuite son avis ? Jéhovah, lui, écoute patiemment tous les humains qui le prient avec foi. Demande-toi : « Si Jéhovah est humble au point d’écouter des humains comme il l’a fait avec Abraham, Rachel, Moïse, Josué, Manoa, Élie et Ézéchias, est-ce que je ne devrais pas m’efforcer de l’imiter ? Puis-je honorer davantage mes frères en écoutant leurs suggestions et en les suivant quand c’est possible ? Y a-t-il quelqu’un dans ma congrégation ou dans ma famille à qui je pourrais accorder plus d’attention ? Que devrais-je faire pour lui ? Que vais-je faire pour lui ? » w18.09 6 § 14-15 Alors que son père avait été un des pires rois de Juda, Ézéchias est devenu un des meilleurs. Il a choisi de ne pas suivre le mauvais exemple de son père. Il a préféré écouter les prophètes de Jéhovah, par exemple Isaïe, Michée et Osée. Il a bien réfléchi à leurs conseils et à leur discipline. Cela l’a poussé à régler beaucoup de problèmes que son père avait créés. Il a purifié le temple, il a demandé à Jéhovah de pardonner les péchés du peuple, et il a détruit les idoles dans tout le pays. Plus tard, quand Sennachérib le roi d’Assyrie a menacé d’attaquer Jérusalem, Ézéchias a montré beaucoup de courage et de foi. Il a fait confiance à la protection de Jéhovah et il a fortifié son peuple. À un moment de sa vie, il est devenu orgueilleux. Mais quand Jéhovah l’a corrigé, il a eu une réaction humble. Vraiment, Ézéchias est un excellent exemple à imiter. Il n’a pas permis que sa situation familiale gâche sa vie. Au contraire, il a prouvé qu’il était l’ami de Jéhovah. – TG2016/2 §11 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Comme l’impureté du peuple l’empêchait d’observer la Pâque à la date normale, Ézéchias profita de la loi qui autorisait ceux qui étaient impurs à la célébrer un mois plus tard. 2Ch 30:2,3 « Cependant le roi, ses princes et toute l’assemblée à Jérusalem avaient décidé de célébrer la Pâque au deuxième mois, parce qu’ils n’avaient pas pu la célébrer à la date habituelle. En effet, les prêtres ne s’étaient pas sanctifiés en nombre suffisant et le peuple ne s’était pas rassemblé à Jérusalem ». Il convia non seulement Juda, mais aussi Israël, envoyant des lettres, des invitations par des coureurs dans tout le pays, où la vitesse avec laquelle les coureurs s’acquittaient de leur mission était d’une importance capitale. Beaucoup se moquèrent de ces coureurs, mais des membres d’Asher, de Manassé et de Zabulon en particulier s’humilièrent et vinrent, ainsi que quelques-uns d’Éphraïm et d’Issakar. En outre, beaucoup d’adorateurs de Jéhovah non israélites étaient présents. Ce n’était certainement pas chose facile pour ces habitants du royaume du Nord qui avaient pris parti pour le vrai culte d’assister à la fête. Comme les messagers, ils durent rencontrer de l’opposition et être tournés en dérision, car le royaume des dix tribus était en pleine décadence ; il avait sombré dans le faux culte et vivait sous la menace de l’Assyrie. Pareillement, nous menons une campagne quelque peu similaire à l’approche du Mémorial ou des assemblées régionales. Nous nous servons d’invitations attrayantes pour convier les habitants de nos territoires à se joindre à nous pour le Mémorial ou les assemblées. Nous avons appliqué avec zèle les instructions que nous avions reçues lors des réunions de service en vue de cette activité. — 2Ch 30:1-20 – it-1 p1132 Sous la Loi que Dieu avait donnée à Israël ceux qui n’étaient pas en mesure de prendre part à la Pâque pouvaient célébrer cette fête un mois (30 jours) plus tard (Nombres 9:10, 11; II Chroniques 30:1-3, 15). Si un chrétien qui prend chaque année les emblèmes se trouve alité, que ce soit chez lui ou à l’hôpital, les anciens d’assemblée prendront des dispositions pour que l’un d’entre eux apporte le pain et le vin au malade, examine les textes bibliques appropriés au sujet et lui présente les emblèmes. Si un chrétien oint est éloigné de son assemblée, il doit prendre des dispositions pour assister au Mémorial dans une assemblée proche du lieu où il se trouvera à ce moment-là. Ceux qui appartiennent à la classe des autres brebis de Jésus et qui ont l’espérance de vivre éternellement dans le paradis terrestre n’ont pas reçu l’ordre de prendre du pain et du vin. Il est, certes, important pour eux d’assister à cette célébration annuelle, mais ils n’ont pas part aux emblèmes. Par conséquent, si l’un d’entre eux est malade ou en voyage, et donc éloigné de toute assemblée ce soir-là, il peut, pour lui-même, lire les parties de la Bible appropriées (y compris le récit où Jésus institue la célébration) et prier pour que Jéhovah bénisse cet événement dans le monde entier. Toutefois, dans ce cas il est inutile de prendre d’autres dispositions en vue d’une réunion ou d’un examen particulier de la Bible un mois plus tard.— TG1993 1/ 2 p31 On ne peut se purifier des pratiques profondément enracinées de la fausse religion en un instant. C’est pourquoi lorsque ces Judéens et ces Israélites ont voulu célébrer la Pâque et la fête de sept jours des Pains sans levain qui la suivait, il leur a fallu veiller à débarrasser Jérusalem de tous les vestiges du culte des démons. “Ils se levèrent, et ils firent disparaître les autels sur lesquels on sacrifiait dans Jérusalem et tous ceux sur lesquels on offrait des parfums, et ils les jetèrent dans le torrent de Cédron.” (II Chron. 30:14). Ils ont donc jeté toutes ces immondices. C’est seulement lorsqu’ils eurent achevé cette œuvre de purification qu’ils se trouvèrent dans des conditions convenables pour célébrer la Pâque. Cela doit bien faire comprendre qu’aujourd’hui les vrais adorateurs de Jéhovah doivent se débarrasser de toute trace du paganisme. Les statues, les emblèmes religieux, les autels, les images de la fausse religion sont autant de choses qui ne doivent plus faire l’objet de nos pensées et qu’on ne doit plus trouver dans nos foyers ou dans le monde nouveau TG1968 1/7 Lors des trois fêtes annuelles, les Israélites se rendaient à Jérusalem pour adorer Jéhovah au temple (Ex. 34:23). Cela signifiait souvent délaisser leurs champs et marcher plusieurs jours sur des routes poussiéreuses. Cependant, quand ils arrivaient au temple, leurs efforts étaient récompensés, car ils ressentaient une “ grande joie ” en voyant ceux qui y “ louaient Jéhovah ”. (2 Chron. 30:21.) C’était un rassemblement joyeux et édifiant, rappelant à la nation tout entière sa délivrance d’Égypte et son obligation de demeurer pure et loyale dans le service et le culte de Jéhovah. Tout le peuple était fortifié et chacun était édifié spirituellement. Ces Israélites ont laissé un bel exemple aux serviteurs de Dieu de notre époque, dont beaucoup affrontent l’opposition ou parcourent de longues distances pour se rendre aux assemblées.– TG2010 15/5 §6 La fête annuelle, la Pâque fut un événement si joyeux et il en résulta un tel renouveau religieux que les festivités qui duraient sept jours se révélèrent trop courtes et furent prolongées de sept autres jours (2Ch 30:23). Le roi Ezéchias et ses princes firent preuve de générosité en la circonstance en donnant 2 000 taureaux et 17 000 moutons pour nourrir la foule présente. It-1 p885 Il s’agissait véritablement d’un rétablissement et d’une renaissance du vrai culte, pas simplement d’une assemblée mue par une émotion passagère : c’est ce qui ressort de ce qui s’ensuivit. Avant de rentrer chez eux, les participants sortirent détruire les colonnes sacrées, démolir les hauts lieux et les autels, et abattre les poteaux sacrés dans tout Juda et Benjamin, et même en Éphraïm et en Manassé (2Ch 31:1). Ezéchias donna l’exemple en mettant en pièces le serpent de cuivre que Moïse avait fabriqué, parce que le peuple en avait fait une idole et faisait de la fumée sacrificielle pour lui (2R 18:4). Après la grande fête, Ezéchias fit en sorte que le vrai culte continue d’être pratiqué : il organisa les divisions des prêtres et assura le soutien des services du temple ; il encouragea l’obéissance à la Loi relative aux dîmes et aux contributions sur les prémices qui revenaient aux Lévites et aux prêtres, ce à quoi le peuple collabora de tout cœur. — 2Ch 31:2-12. – it-1 p1132 Ezéchias a invité tout Juda et tout Israël à une grande Pâque, suivie de la fête des Gâteaux sans levain qui durait sept jours. Ces festivités ont tellement plu au peuple qu’elles ont été prolongées de sept jours. La Bible raconte : « Il y eut une grande joie à Jérusalem, car depuis les jours de Salomon le fils de David le roi d’Israël, il n’y avait rien eu de pareil à Jérusalem » (2 Chron. 30:25, 26). Quel formidable élan cette fête spirituelle a donné à tout le peuple ! « Dès qu’on eut achevé tout cela [...], lit-on en 2 Chroniques 31:1, ils se mirent à briser les colonnes sacrées, à abattre les poteaux sacrés, à démolir les hauts lieux et les autels. » C’est ainsi que les Juifs ont opéré un retour spectaculaire vers Jéhovah. Compte tenu de ce qui les attendait, cette purification spirituelle se révélerait extrêmement importante – TG2013 15/11 §8 Pourquoi les offrandes de miel étaient-elles inacceptables? La Loi que Dieu donna à Israël stipulait ceci: “Vous ne devrez faire fumer aucune pâte aigrie ni aucun miel comme offrande faite par le feu à Jéhovah.” (Lév. 2:11). Le miel dont il est parlé ici est classé parmi les prémices et semble donc être, non pas du miel d’abeilles, mais du jus de fruit (Lév. 2:12; II Chron. 31:5). Le sirop de fruit pouvant fermenter, il était normal de l’exclure des offrandes qui étaient faites sur l’autel. – TG1979 15/5 Ézéchias est un exemple de donner le meilleur de soi-même. C’est ainsi que nous lisons « Et tout ce qu’il entreprit pour rechercher son Dieu, que ce soit en rapport avec le service du temple du vrai Dieu, ou avec la Loi et les commandements, il le fit sans réserve, et tout lui réussissait ». 2 Chroniques 31 :21. Ce qui encourage le plus le ministre chrétien à donner le meilleur de lui-même est peut-être bien le fait qu’il sait que cela plaît à Jéhovah Dieu et qu’il en sera récompensé. – TG1968 15/2
  3. Perles spirituelles - Semaine du 29 Mai - 2 Chroniques 28-29.docx Perles spirituelles - Semaine du 29 Mai - 2 Chroniques 28-29.pdf Perles spirituelles (10 min) : 2 Chroniques 28-29 2 Chroniques 29:25 : Que nous enseigne l’exemple de Nathan sur les bienfaits qu’il y a à accepter la correction de Jéhovah ? (w12 15/2 24-25) « Entre-temps, il fit mettre en place les Lévites dans le temple de Jéhovah, avec des cymbales, des instruments à cordes et des harpes, selon la règle établie par David, Gad le visionnaire du roi et le prophète Nathan, car c’est par l’intermédiaire de ses prophètes que Jéhovah avait donné cette règle.» Fidèle adorateur de Jéhovah, Nathan adhère avec enthousiasme au projet de David, à savoir construire le premier centre permanent du culte pur. Toutefois, en la circonstance, il semble que Nathan ne parle pas au nom de Jéhovah, mais exprime son opinion personnelle. Cette nuit-là, Dieu demande au prophète de transmettre au roi un message différent : ce ne sera pas lui mais l’un de ses fils qui bâtira le temple. Nathân annonce aussi à David que Dieu conclut avec lui une alliance de sorte que son trône sera établi “ solidement pour des temps indéfinis ”. — 2 Sam. 7:4-16. L’avis de Nathan sur la construction du temple ne s’harmonisait pas avec la volonté de Dieu. Sans protester, cet humble prophète s’est rallié au dessein divin et y a collaboré. Voilà un bel exemple à imiter si Dieu venait à nous corriger. Les interventions ultérieures de Nathân attestent que le prophète n’a pas perdu l’approbation de Dieu. Jéhovah l’a manifestement utilisé, de même que Gad le visionnaire, pour conseiller David sur l’organisation des 4 000 musiciens qui serviraient au temple. — w12 15/2 24-25 Nathan était non seulement un homme humble, mais aussi un ardent défenseur des dispositions divines. Jéhovah lui a confié de grandes responsabilités. Méditez sur les qualités de ce prophète, comme sa fidélité à Dieu ou son profond attachement aux exigences divines, et efforcez-vous de les imiter. À un moment chargé d'émotion dans sa vie, il a exprimé son approbation de David concernant la construction du temple. Cependant, Dieu avait une opinion différente. Néanmoins, cet humble prophète s'est volontairement soumis au dessein de Jéhovah et l'a soutenu sans se plaindre. Si Dieu devait nous corriger de quelque manière que ce soit, nous ferions bien de suivre l'exemple de Nathan. Le fait qu'il ait continué à exercer les fonctions de prophète indique qu'il n'a pas perdu la faveur divine. En effet, il semble que Jéhovah l'a inspiré, avec Gad l'homme de visions, pour diriger David dans l'organisation de 4 000 musiciens du temple. Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? 2 Chroniques 28:1 « Achaz avait 20 ans lorsqu’il devint roi, et il régna 16 ans à Jérusalem. Il ne faisait pas ce qui est bien aux yeux de Jéhovah, contrairement à son ancêtre David ». L'exemple d'Achaz nous enseigne qu'avoir de bons exemples dans notre famille ne signifie pas que l'on sera automatiquement un bon exemple. Nous pouvons tous décider si nous allons faire la bonne chose ou faire la mauvaise chose, si nous allons imiter les bons et les mauvais exemples, c'est une décision personnelle. Quand les Israélites désobéissaient à Jéhovah et choisissaient d’adorer des idoles, ils perdaient en dignité et faisaient souffrir leur famille (2 Chron. 28:1-4). Il arrivait aussi que ceux qui avaient autorité sur le peuple rejettent les normes de justice de Jéhovah. Ils profitaient de leur pouvoir pour persécuter ceux qui étaient faibles et vulnérables. Jéhovah a averti les Israélites qu’il punirait ceux qui traitaient mal les femmes et les enfants sans défense. À l’inverse, quand ils lui étaient fidèles et se traitaient les uns les autres avec justice, Jéhovah les bénissait. Leçon : Ce n’est pas la faute de Jéhovah si certains prétendent l’adorer, mais rejettent ses normes et causent du tort à ses serviteurs. Toutefois, il nous aime et sait quand nous subissons des injustices. Il ressent notre peine plus vivement qu’une maman ressent celle de son bébé (Is. 49:15). Même s’il n’intervient pas immédiatement, en temps voulu il jugera sévèrement ceux qui continuent à maltraiter les autres et ne se repentent pas.- TG2019/4 §14 Les nations qui résidaient en Canaan brûlaient bel et bien leurs enfants dans le feu en offrande à leurs faux dieux. Bien que Jéhovah leur ait explicitement ordonné de ne pas le faire, la violation de ce commandement entraînant la peine de mort, les Israélites apostats sacrifièrent leurs enfants dans la vallée de Hinnom 2 Ch 28:1-3. Toutefois, le fidèle roi Josias mit fin à cette pratique horrible en rendant Topheth, dans la vallée de Hinnom, impropre au culte. Pourquoi ce nom de Topheth? On appelait ce lieu Topheth parce que, disait-on, la cérémonie comprenait des danses au son des tambourins, qui couvrait les cris de l’enfant passé par le feu, afin que son père ne les entende pas et que, bouleversé, il n’aille pas reprendre son enfant. Topheth était une vallée qui appartenait à un certain Hinnom, et on l’appelait ‘Vallée de Hinnom’ ou ‘Vallée des fils de Hinnom’. (...) Josias profana ce lieu et en fit un lieu impur où l’on jetait les cadavres et toutes sortes de déchets, afin qu’il ne revienne jamais dans le cœur d’un homme de faire passer son fils et sa fille par le feu pour Molech.” Jéhovah a qualifié d’abomination l’offrande d’enfants par le feu à Molech — it-1 p888 « Achaz se mit à brûler ses fils dans le feu » 2 Chroniques 28 :3 En grandissant, le fils d’Achaz, Ezéchias aurait facilement pu devenir amer, se laisser gagner par la colère et s’en prendre à Dieu. Certains, qui sont pourtant loin d’avoir connu autant d’épreuves, sont « entrés en fureur contre Jéhovah » ou se sont aigris contre son organisation. D’autres sont convaincus que le contexte familial dans lequel ils ont grandi les condamne à gâcher leur vie ou à répéter les erreurs de leurs parent. De tels points de vue sont-ils exacts ? La vie de Ezéchias prouve avec force qu’ils ne le sont pas ! Il n’y a jamais de bonnes raisons de s’aigrir contre Jéhovah, car il n’est pas à l’origine des souffrances que nous connaissons dans ce monde méchant. Il est vrai que les parents peuvent exercer une forte influence sur leurs enfants, en bien ou en mal. Mais cela ne veut pas dire que le contexte familial dans lequel nous avons grandi détermine la vie que nous mènerons. Jéhovah nous a fait un don précieux : la capacité de choisir ce que nous ferons et qui nous serons TG2016/2 2 Chroniques 28:3 « De plus, il fit s’élever la fumée de sacrifices dans la vallée du Fils de Hinnom et il fit brûler ses fils, imitant ainsi les pratiques détestables des nations que Jéhovah avait chassées du pays pour le donner aux Israélites ». Cela nous enseigne que s'éloigner de Jéhovah est l'une des pires décisions que nous puissions prendre, cela nous fait du mal individuellement et aussi à notre famille, Jéhovah veut nous voir bien et nous enseigne pour notre propre bénéfice, et notre famille en bénéficiera aussi. 2 Chroniques 28:9, 10 « Mais il y avait là un prophète de Jéhovah qui s’appelait Oded. Il alla à la rencontre des soldats qui arrivaient à Samarie et leur dit : « Écoutez ! C’est parce que Jéhovah le Dieu de vos ancêtres était en colère contre Juda qu’il vous les a livrés, et vous les avez tués avec une fureur qui a même atteint le ciel. 10 Et maintenant vous voulez faire des habitants de Juda et de Jérusalem vos serviteurs et vos servantes. Pourtant, n’êtes-vous pas coupables, vous aussi, aux yeux de Jéhovah votre Dieu ? » Le prophète Oded a dit à l'armée du roi d'Israël Pekah qu'ils avaient massacré le peuple de Juda avec fureur et que l'armée était coupable. Oded a déclaré que Jéhovah était en colère contre Juda. La colère de Jéhovah n’a rien à voir avec la colère des humains imparfaits. Quand un humain furieux laisse éclater sa colère, il ne contrôle plus la situation, et il en ressort rarement du bien. Quand un humain est en colère, on ne comprend pas toujours pourquoi il s’est mis dans cet état ; de plus, il s’en prend à n’importe qui. Il en est tout autrement de Jéhovah. Même très en colère, il agit toujours avec justice. Quand il punit ses ennemis, il ne fait jamais mourir « le juste avec le méchant » Jéhovah a toujours de bonnes raisons de se mettre en colère – rr p190 §4,5 Ezéchias se trouve à un carrefour de sa vie. À 25 ans à peine, le voici roi de Juda. Quel genre de monarque sera-t-il ? Va-t-il suivre le mauvais exemple de son défunt père, le roi Achaz, un apostat endurci ? Celui-ci a favorisé le faux culte et a même brûlé au moins un des frères de Ezéchias sur un autel païen (2 Chroniques 28:1-4). Malgré la conduite hypocrite qu’a eue son père, le jeune roi ne s’aigrit pas contre le culte de Jéhovah ni ne s’estime condamné à reproduire les mêmes fautes. Non, Ezéchias demeure “ attaché à Jéhovah ”. — 2 Rois 18:6. L’un de vos parents tourne-t-il en dérision le culte de Jéhovah ? Est-il brutal ? Est-il esclave d’habitudes mauvaises ? Si oui, vous n’êtes pas obligé de reproduire ses erreurs ! Ezéchias ne permit pas à un contexte familial déplorable de gâcher sa vie. En fait, il fut un si bon roi qu’“ après lui il n’y en eut pas comme lui parmi tous les rois de Juda ”. (2 Rois 18:5.) Vous pouvez, vous aussi, réussir votre vie malgré un environnement familial difficile. Comment ? En demeurant “ attaché à Jéhovah ”. – yp2 p193 2 Chroniques 28:15 « Puis les hommes qui avaient été désignés par leur nom prirent en charge les prisonniers ; ils donnèrent des habits prélevés sur le butin à tous ceux qui étaient nus. Ils les habillèrent donc et leur donnèrent des sandales, de quoi manger et boire, ainsi que de l’huile pour leur peau. De plus, ils transportèrent ceux qui étaient faibles sur des ânes et les amenèrent à leurs frères à Jéricho, la ville des palmiers. Ensuite ils revinrent à Samarie ». L'onction d'huile sur la tête était une marque de faveur. Les chefs d'Éphraïm ont favorisé les soldats captifs de Juda en les rassemblant avec de l'huile et en les renvoyant à Jéricho, comme le prophète Oded le leur avait conseillé. Cela nous enseigne à quel point il est important d'aimer avec des actes, plutôt qu'avec des mots. Jéhovah veut que nous soyons généreux avec ceux qui sont dans le besoin dans notre congrégation, frères aînés, veuves, orphelins, et que nous leur donnions une aide pratique, il promet de bénir tous ceux qui le font en secret. 2 Chroniques 28:21 « En effet, Achaz avait dépouillé le temple de Jéhovah, le palais du roi et les maisons des princes pour faire un cadeau au roi d’Assyrie ; mais cela ne lui fut d’aucun secours ». Il dit qu'Achaz a apporté un cadeau très cher au roi de Syrie, mais c'était inutile, cela nous enseigne le soin que nous devons avoir lorsque nous donnons et recevons des cadeaux, surtout si nous avons une position d'autorité dans l’assemblée, il y a ceux qui tentent d'en acheter d'autres en échange de faveurs, de cadeaux, d'invitations. Ceci est connu dans la Bible sous le nom de simonie. 2 Chroniques 28:23 « Il se mit à offrir des sacrifices aux dieux de Damas qui l’avaient vaincu, et il disait : « Comme les dieux des rois de Syrie viennent à leur secours, je vais leur offrir des sacrifices pour qu’ils viennent à mon secours aussi. » Mais ils causèrent sa chute et celle de tout Israël ». Il nous enseigne que la vie n'est pas un jeu, nous ne jouons pas, c'est réel, ici et maintenant, les décisions que nous prenons ont des conséquences, et il y a des gens qui, même s'ils touchent le fond, ne se repentent pas ou ne rendent pas gloire à Dieu, comme l'a fait Achaz, qui malgré sa défaite, il a fini par se ruiner en cherchant les dieux païens au lieu de chercher Jéhovah, nous voyons comment ses mauvaises décisions l'ont affecté lui et le peuple. La construction du temple d’Israël représentait beaucoup de travail et de dépenses. Cependant, les Israélites ont soutenu le projet avec zèle (1Ch 29:2-9 ; 2Ch 6:7, 8). Une fois le temple achevé, la façon dont les Israélites l’entretenaient était le reflet de leur spiritualité, ou de leur manque de spiritualité - 2Ch 28:24 ; 29:3. Aujourd’hui, les chrétiens consacrent beaucoup de temps et d’efforts à la construction, au nettoyage et à la maintenance des Salles du Royaume et des Salles d’assemblées. Mais travailler aux côtés de Jéhovah de cette façon est un immense honneur et fait partie du service sacré - Chaque fois que nous voyons les bienfaits qu’il y a à appliquer ce que Jéhovah nous enseigne, notre foi devient plus forte. Chaque épreuve devient une occasion de prouver que nous ne le servons pas d’un « cœur partagé ». Au contraire, nous aimons Jéhovah d’un cœur entier ; autrement dit, nous sommes pleinement résolus à obéir à ses commandements et à faire sa volonté. Ferons-nous des erreurs ? Oui, puisque nous sommes imparfaits. Rappelons-nous alors l’exemple du roi Ézéchias. Il a commis des erreurs, mais il s’est repenti et a continué de servir Jéhovah « d’un cœur entier » (2 Chron. 29:1, 2). Repoussons donc toutes les tentatives de Satan pour nous faire adopter sa façon de penser. Prions pour avoir « un cœur obéissant » Nous pouvons rester fidèles à Jéhovah si, plus que toute autre chose, nous protégeons notre cœur. – TG2019/1 §17 ,18 2 Chroniques 29:2 « Ézéchias faisait ce qui est bien aux yeux de Jéhovah, comme son ancêtre David l’avait fait avant lui ». L'exemple d'Ézéchias nous enseigne que nous pouvons être fidèles à Jéhovah même si, dans notre propre famille charnelle, nous n'avons pas de bons exemples de foi. Nous pouvons choisir d'être différents et de faire ce qui est juste, cela demande du courage, de la détermination et l'aide de Jéhovah. Bien qu’étant le fils d’un des pires rois de Juda, Ezéchias est devenu un des meilleurs rois de Juda. C’est vrai, son père lui a donné un très mauvais exemple, mais Ezéchias pouvait choisir d’imiter d’autres personnes. À cette époque, Isaïe, Michée et Osée étaient prophètes. Nous pouvons penser que Ezéchias a médité profondément sur les déclarations inspirées de ces hommes fidèles, permettant ainsi aux conseils et à la discipline de Jéhovah de pénétrer dans son cœur. Il a alors entrepris de réparer les terribles fautes commises par son père. En effet, il a purifié le temple, a fait offrir des sacrifices pour les péchés du peuple et a organisé sur une grande échelle une campagne énergique de destruction des idoles (2 Chron. 29:1-11, 18-24 ; 31:1). Face à de graves difficultés, Ezéchias a fait preuve d’une foi et d’un courage remarquables. Devant la menace de l’attaque de Jérusalem par le roi assyrien Sennachérib, il a compté sur la protection de Dieu et il a fortifié son peuple par ses paroles et son exemple. Plus tard, quand il a été discipliné pour s’être comporté avec orgueil, il s’est humilié et s’est repenti. Ezéchias n’a manifestement pas permis à son passé de gâcher sa vie ou de le priver d’un avenir heureux. Il a plutôt montré qu’il était l’ami de Jéhovah et il a laissé un bel exemple à imiter. – TG2016/2 §11 Lorsqu’en 746 av. n. è. Achaz est mort, son fils Ezéchias a hérité d’un royaume dévasté matériellement et spirituellement. Une fois monté sur le trône, quelle a été sa priorité ? Redresser l’économie chancelante du pays ? Non. Ezéchias était un homme spirituel, un digne berger de son troupeau. Sa première action a été de rétablir le culte pur et de consolider les liens qui s’étaient distendus entre la nation infidèle et Jéhovah. Comprenant ce que Dieu attendait de lui, il a agi énergiquement. Quel bel exemple ! (2 Chron. 29:1-19). Les Lévites joueraient un rôle-clé dans le travail colossal de restauration du culte pur. Ezéchias s’est donc réuni avec eux pour les assurer de son soutien. Vois-tu les larmes ruisseler sur les visages de ces hommes de foi tandis que leur roi déclare : « C’est vous que Jéhovah a choisis pour vous tenir devant lui, pour le servir » ? (2 Chron. 29:11). Le devoir des Lévites était clair : promouvoir le culte pur – TG2013 15/11 17 §6-7 2 Chroniques 29:5 « Il leur dit alors : « Écoutez-moi, Lévites ! Maintenant, sanctifiez-vous et sanctifiez la maison de Jéhovah le Dieu de vos ancêtres, et enlevez du lieu saint ce qui est impur ». Se sanctifier signifie être séparé de Dieu, être pur dans un sens moral, spirituel, physique et enlever tous les saints des impurs, Jéhovah est saint et il attend de nous que nous soyons saints, non pas que nous semblions être des saints, mais que nous soyons vraiment des saints La tente de réunion et, plus tard, le temple. Toute l’enceinte, y compris la cour du tabernacle et les cours du temple, constituait un lieu saint (2 Chroniques 29:5). L’autel du sacrifice et le bassin de cuivre étaient les principaux objets qui se trouvaient dans la cour. Ils étaient saints. À quelque moment que ce soit, seules des personnes pures du point de vue rituel étaient autorisées à entrer dans la cour du tabernacle ; pareillement, personne ne pouvait pénétrer dans les cours du temple s’il était impur. Par exemple, une femme qui était dans un état d’impureté ne pouvait toucher à aucune chose sainte ni entrer dans le lieu saint. Même un état d’impureté permanente de la part des Israélites était, semble-t-il, considéré comme quelque chose qui souillait le tabernacle. Ceux qui présentaient des offrandes pour la purification de la lèpre n’apportaient leur sacrifice que jusqu’à la porte de la cour. Aucune personne impure ne pouvait donc participer à un sacrifice de communion au tabernacle ou au temple, sous peine de mort. Pour être saint, il faut se garder pur sur les plans physique, mental, moral et spirituel. Nous préparons-nous pour “ le jour de Jéhovah ” en restant des personnes saintes qui portent le nom de Jéhovah ? La dégradation continuelle des normes morales du monde ne nous y aide pas. Voyons-nous se creuser le fossé entre les normes morales du monde et les nôtres ? Dans le cas contraire, il y a lieu de s’inquiéter. Se pourrait-il que nos principes, tout en restant plus élevés que ceux du monde, s’effritent peu à peu ? Si oui, ressaisissons-nous énergiquement afin de plaire à Dieu. – it-1 p241 Lieu saint 2 Chroniques 29:6 « Car nos pères ont été infidèles et ils ont fait ce qui est mal aux yeux de Jéhovah notre Dieu. Ils l’ont abandonné, ils ont détourné leur visage du tabernacle de Jéhovah et ils lui ont tourné le dos ». Ce texte parle de détourner le regard et de se détourner, ce qui peut être une manifestation d'indifférence ou de mépris. Sans aucun doute, nous ne voulons jamais mépriser ou être indifférents à Jéhovah et à ses principes. Cela nous motive à prendre notre culte au sérieux et à participer à l’assemblée 2 Chroniques 29:10 « Maintenant, je désire faire une alliance avec Jéhovah le Dieu d’Israël, pour que sa colère ardente contre nous se calme ». Un signe de maturité spirituelle est de tenir compte de ce que Jéhovah pense et ressent de nos actions, beaucoup s'inquiètent de ce que les autres pensent d'eux, mais le plus important est que Jéhovah pense à nous à ce moment-là, c'est ce qui importe la vérité, nous peut le rendre heureux ou même triste. 2 Chroniques 29:11 « Mes fils, ce n’est pas le moment de vous montrer négligents, car Jéhovah vous a choisis pour vous tenir devant lui, pour effectuer le service et pour faire fumer ses sacrifices. » Il nous encourage à être diligents, travailleurs au sens spirituel. Si nous cédons à la paresse et espérons que tout nous sera servi, nous aurons de plus gros problèmes lorsque nous traverserons des épreuves et des difficultés, Jéhovah veut que nous soyons des travailleurs aussi dans l’assemblée, il nous aide à choisir de servir et d'aider nos frères. Dès le premier mois de son règne, Ezéchias a manifesté son zèle pour le culte de Jéhovah en rouvrant le temple et en le réparant. Il a chargé les prêtres et les Lévites de purifier la maison de Dieu, ce qu’ils ont fait en 16 jours. (2 Chroniques 29:16-18) Cela fait penser au travail d’entretien et de réparation qui, aujourd’hui, garantit la dignité de nos lieux de réunion et reflète notre zèle pour le culte de Jéhovah. N’avez-vous jamais entendu dire que des personnes avaient été impressionnées par l’ardeur que manifestaient certains de nos frères et sœurs dans ce domaine ? Sans conteste, de tels efforts louent Jéhovah. -TG2009 15/6 §13 Pourquoi a-t-on accordé autant d’importance à la musique sous le règne de David ? Parce que le roi était musicien ? Pas seulement. Il existait une autre raison, qui a été révélée des siècles plus tard, quand le roi Ezéchias a rétabli les services devant être effectués au temple. On lit en 2 Chroniques 29:25 : “ Il fit mettre en place les Lévites dans la maison de Jéhovah, avec des cymbales, des instruments à cordes et des harpes, selon le commandement de David et de Gad le visionnaire du roi et de Nathân le prophète, car c’était par la main de Jéhovah que venait ce commandement, par le moyen de ses prophètes. ” C’est donc Jéhovah qui, par l’intermédiaire de ses prophètes, a invité ses adorateurs à le louer par le chant. Les chanteurs de la tribu sacerdotale étaient même exemptés des tâches imposées aux autres Lévites. Ainsi, ils disposaient d’assez de temps pour composer et, très certainement, pour répéter. — En ce qui me concerne, direz-vous peut-être, je n’aurais jamais fait partie des experts qui chantaient au tabernacle ! ’ Mais les Lévites musiciens n’étaient pas tous des ‘ experts ’. Selon 1 Chroniques 25:8, il y avait aussi des ‘ élèves ’. Par ailleurs, les autres tribus d’Israël comptaient sans doute des musiciens et des chanteurs très doués. Cependant, c’était aux Lévites que Jéhovah avait confié le service musical. Une chose est sûre : élèves ou experts, tous les Lévites fidèles prenaient à cœur leur responsabilité. David aimait beaucoup la musique et il excellait dans ce domaine. Mais n’y a-t-il que le talent qui compte pour Dieu ? En Psaume 33:3, David a écrit : “ Pincez les cordes de votre mieux avec des cris de joie. ” À l’évidence, ce qui compte le plus, c’est que nous fassions ‘ de notre mieux ’ lorsque nous louons Jéhovah. – TG2010 15/12 §5-8 2 Chroniques 29:28 « Et toute l’assemblée se prosterna, tandis qu’on chantait le chant et qu’on jouait de la trompette. Tout cela se poursuivit jusqu’à la fin de l’holocauste ». Il nous enseigne l'attitude respectueuse que nous devons avoir lorsque nous adorons et servons Jéhovah “Tous ceux dont le cœur était bien disposé” se mirent à apporter des sacrifices et des offrandes au lieu de culte de Jéhovah. Cela se passait en Juda, au temps du bon roi Ézéchias. Avec quelle spontanéité le peuple s’offrit, lui et ses biens ! Les Israélites avaient certainement des raisons de se réjouir d’avoir un Dieu capable de susciter un tel don de soi et une telle libéralité (2 Chron. 29:31-36). Ils avaient tout lieu d’être reconnaissants ! Ce même Dieu dirige aujourd’hui la congrégation formée de ses adorateurs sur la terre. Il a mis ces derniers à part, pour lui, et il les a protégés. Il leur a confié un service honorable, en tant que ses représentants terrestres. Il a pourvu continuellement à leur nourriture spirituelle. Il ne les a laissés manquer de rien. De leur côté, ils ont assurément de bonnes raisons d’être reconnaissants et heureux, de lui faire l’offrande de leurs personnes et de leurs biens, en se mettant à sa disposition pour le servir – TG1971 1/3 Son zèle pour le vrai culte. Ezéchias démontra son zèle pour le culte de Jéhovah dès qu’il monta sur le trône, à l’âge de 25 ans. Son premier geste fut de rouvrir et de réparer le temple. Puis il rassembla les prêtres et les Lévites et leur dit : “ J’ai à cœur de conclure une alliance avec Jéhovah le Dieu d’Israël. ” C’était une alliance de fidélité, comme si l’alliance de la Loi, qui était toujours en vigueur mais négligée, était renouvelée en Juda. Avec une grande énergie, il se mit à organiser les Lévites dans leurs services, et il rétablit les dispositions relatives aux instruments de musique et aux chants de louange. C’était le mois de Nisan, celui où la Pâque devait être célébrée, mais le temple, les prêtres et les Lévites étaient impurs. Le 16 Nisan, le temple était purifié et ses ustensiles remis en état. Il fallut alors faire une propitiation spéciale pour tout Israël. Les princes d’abord amenèrent des sacrifices, des sacrifices pour le péché en faveur du royaume, du sanctuaire et du peuple. Ces sacrifices furent suivis de milliers d’holocaustes offerts par le peuple. — 2Ch 29:1-36. – it-1 Ezéchias Lorsqu’il a succédé à Ahaz, Ezéchias a rapidement montré qu’il n’était pas la victime impuissante d’un mauvais exemple paternel. Il “ faisait ce qui est droit aux yeux de Jéhovah ”. Il avait confiance en Jéhovah et “ il n’y en eut pas comme lui parmi tous les rois de Juda ”. Dans la première année de son règne, le jeune roi a mis en œuvre une réforme spirituelle qui a conduit à la suppression des hauts lieux, où on adorait des idoles païennes. Le temple a été rouvert et le culte pur restauré. 2 Chroniques 29:1-3, 27-31 - Ezéchias “ demeura attaché à Jéhovah [...]. Et Jéhovah était avec lui ” Qu’est-ce qui a permis à Ezéchias de ne pas suivre le mauvais exemple de son père ? Est-il possible que sa mère Abiya — à propos de qui nous savons peu de chose — ait exercé une influence positive sur lui ? Le bon exemple d’Isaïe, qui a commencé son service prophétique avant la naissance de Ezéchias, a-t-il modelé le jeune prince ? La Bible ne le révèle pas. En tout cas, une chose est certaine : Ezéchias a choisi de mener une vie tout à l’opposé de celle de son père. Le cas d'Ezéchias est encourageant pour tous ceux qui ont eu une enfance difficile en raison du mauvais exemple de leurs parents. Personne ne peut changer le passé ; on ne peut pas effacer les événements douloureux. Mais ces événements ne nous condamnent pas à l’échec. Nous pouvons faire aujourd’hui des choix qui mènent à un avenir heureux. Comme Ezéchias, nous pouvons choisir d’aimer et d’adorer le vrai Dieu, Jéhovah. Faire ce choix procure une vie satisfaisante dès à présent et peut mener à la vie éternelle dans le monde nouveau de Dieu – TG2010 1/9 Dans ses rapports avec la nation d’Israël, Jéhovah Dieu pourvut à une prêtrise. Les fonctions des prêtres étaient doubles. En premier lieu, ils offraient divers sacrifices pour eux et pour le peuple ; en second lieu, ils enseignaient au peuple la loi de Dieu Cette prêtrise de la nation d’Israël n’était pas un sacerdoce universel ; c’était une prêtrise spéciale, c’est-à-dire que tous les Israélites n’étaient pas des prêtres. La fonction de prêtre était réservée aux Israélites mâles, d’un âge déterminé, sans infirmité et descendants d’Aaron, leur premier grand prêtre. C’est seulement quand il y avait trop peu de prêtres ou que ceux-ci négligeaient leurs privilèges, comme à l’époque du roi Ézéchias, que les Lévites aidaient leurs frères et offraient les sacrifices. — II Chron. 29:34. Toutefois, Jéhovah Dieu destinait la prêtrise de l’Israël spirituel au sacerdoce universel. Aujourd’hui, le principe du sacerdoce universel trouve son application parmi les témoins chrétiens de Jéhovah. Chez eux, il n’y a pas de classe mise à part pour offrir les sacrifices et enseigner, même si quelques-uns d’entre eux seulement appartiennent au “reste” de la prêtrise et que la grande majorité est composée des “autres brebis” qui n’en font pas partie. Tous participent à l’œuvre consistant à faire “des disciples de gens de toutes les nations” – TG1964 15/12
  4. Rectifier 2 Chroniques 26:4, 5 : Que nous apprend l’histoire d’Ozias sur les bienfaits d’avoir un mentor spirituel ? (w07 15/12 10 § 1-2 Avoir un mentor spirituel ou conseiller nous aide à grandir dans la foi, dans la crainte de Jéhovah, dans ce contexte nous voyons que le mentor d’Ozias qui était Zacharie a exercé une grande influence positive sur le jeune monarque, puisqu'il est indiqué qu'il l'a instruit dans la peur du vrai Dieu.
  5. Rajout 2 Chroniques 26:4, 5 : Que nous apprend l’histoire d’Ozias sur les bienfaits d’avoir un mentor spirituel ? (w07 15/12 10 § 1-2 2 Chroniques 25:5 « Alors Amazia rassembla les hommes de Juda, et il les fit se placer selon leurs groupes de familles, d’après les chefs de mille et d’après les chefs de cent. Il fit cela pour tout Juda et Benjamin. Il recensa les hommes de 20 ans et plus ; il en compta 300 000, des guerriers entraînés pour servir dans l’armée, capables de manier la lance et le grand bouclier. ». Avoir une lance et un bouclier ne fait de personne un bon guerrier, il faut savoir utiliser chaque pièce. De la même manière, le fait que quelqu'un possède une Bible ne signifie pas qu'il la comprenne, encore moins qu'il soit chrétien, cela nous rappelle l'importance d'étudier, de méditer et de pratiquer ce que nous apprenons Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? 2 Chroniques 25:5 « Alors Amazia rassembla les hommes de Juda, et il les fit se placer selon leurs groupes de familles, d’après les chefs de mille et d’après les chefs de cent. Il fit cela pour tout Juda et Benjamin. Il recensa les hommes de 20 ans et plus ; il en compta 300 000, des guerriers entraînés pour servir dans l’armée, capables de manier la lance et le grand bouclier ». Avoir une lance et un bouclier ne fait de personne un bon guerrier, il faut savoir utiliser chaque pièce. De la même manière, le fait que quelqu'un possède une Bible ne signifie pas qu'il la comprenne, encore moins qu'il soit chrétien, cela nous rappelle l'importance d'étudier, de méditer et de pratiquer ce que nous apprenons.
  6. Perles spirituelles - Semaine du 22 Mai.docx Perles spirituelles - Semaine du 22 Mai.pdf Perles spirituelles (10 min) : 2 Chroniques 25-27 2 Chroniques 26:4, 5 : Que nous apprend l’histoire d’Ozias sur les bienfaits d’avoir un mentor spirituel ? (w07 15/12 10 § 1-2) « Ozias faisait ce qui est bien aux yeux de Jéhovah, comme son père, Amazia, l’avait fait avant lui. 5 Et il rechercha Dieu tant que vécut Zacharie, qui lui enseigna la crainte du vrai Dieu. Pendant le temps où il rechercha Jéhovah, le vrai Dieu le fit prospérer.» Alors qu’il n’avait que 16 ans, Ozias monta sur le trône de Juda, le royaume du Sud. Il régna plus de 50 ans, de la fin du IXe au début du VIIIe siècle avant notre ère. Tout jeune déjà, il “ faisait ce qui est droit aux yeux de Jéhovah ”. Qu’est-ce qui le poussa à suivre la voie de la droiture ? D’après le récit historique, “ sans cesse [Ozias] s’efforça de rechercher Dieu aux jours de Zacharie, l’instructeur en la crainte du vrai Dieu ; et, aux jours où il rechercha Jéhovah, le vrai Dieu le fit prospérer ”. — Mis à part ce que révèlent ces quelques versets de la Bible sur Zacharie, on ne sait pas grand-chose de ce conseiller du roi. Cela dit, en tant qu’“ instructeur en la crainte du vrai Dieu ”, il exerça une excellente influence sur le jeune dirigeant, l’incitant à faire ce qui est droit. On lit dans un commentaire biblique (The Expositor’s Bible) que Zacharie était manifestement “ un homme versé dans les textes sacrés, plein de discernement spirituel et capable de transmettre sa connaissance ”. Selon un bibliste, on peut penser en toute logique que Zacharie “ avait une bonne connaissance des prophéties et [...] était un homme intelligent, pieux et bon ; il eut vraisemblablement une influence considérable sur Ozias ”. - w07 15/12 10 § 1-2 Un mentor spirituel : un instructeur, un conseiller Ozias fit “ ce qui est droit aux yeux de Jéhovah ”, et cela dans une large mesure parce qu’il suivit les bons conseils d’un certain Zacharie (à ne pas confondre avec le prophète du même nom qui vécut plus tard). Cependant, ses sujets continuèrent à offrir des sacrifices indignes sur les hauts lieux Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Comparons la vie d’Asa et celle d’Amatsia. Ces deux rois de Juda ont fait ce qui est droit aux yeux de Jéhovah, mais Asa, lui, avait un cœur complet (2 Chron. 15:16, 17 ; 25:1, 2). Les deux étaient imparfaits et ont commis des erreurs. Pourtant, fondamentalement, Asa n’a pas dévié des voies de Jéhovah, car son cœur lui était entièrement attaché. Ce n’était pas le cas d’Amatsia. Après avoir obtenu une victoire sur les ennemis de Jéhovah, il a rapporté leurs dieux et s’est mis à les servir (2 Chron. 25:11-16). Servir Dieu d’un « cœur complet » implique un attachement entier et éternel. Dans la Bible, le mot « cœur » désigne généralement la personne intérieure. Il englobe les désirs, les pensées, la nature, l’état d’esprit, les capacités, les mobiles et les objectifs de quelqu’un. Dès lors, celui qui sert Jéhovah de tout son cœur ne lui offre pas un service hypocrite, ne lui rend pas un culte machinal. Et nous ? Si, malgré notre imperfection, nous continuons d’être entièrement attachés à Dieu, sans hypocrisie, nous le servirons d’un cœur complet – TG2017/3 p18 2,3 Il est louable que nous prenions régulièrement part à de saines activités, qu’il s’agisse d’assister aux réunions chrétiennes ou de prêcher. Mais cela ne signifie pas forcément que nous servons Jéhovah d’un cœur complet (2 Chron. 25:1, 2, 27). Si, dans le secret de notre cœur, nous continuons d’aimer “ les choses qui sont derrière ”, c’est-à-dire des choses que propose le monde, nous risquons de perdre nos bonnes relations avec Jéhovah. Ce n’est qu’à la condition d’avoir “ en aversion ce qui est mauvais ” et de ‘ nous attacher à ce qui est bon ’ que nous serons “ faits pour le royaume de Dieu ”. Par conséquent, nous devons tous veiller à ce qu’aucune chose du monde de Satan, aussi utile ou agréable qu’elle puisse paraître, ne nous retienne de soutenir de tout cœur les intérêts du Royaume. — TG2012 15/4 Dans l’Antiquité, au Proche-Orient, les citernes constituaient une autre source d’eau. Ces cavités souterraines recueillaient les pluies qui tombaient d’octobre à avril. On faisait des rigoles sur le versant des collines pour amener les eaux de ruissellement dans les citernes. Les Israélites creusaient de grandes citernes pour mettre de l’eau en réserve.2 Chroniques 26:10. TG2008 1/6 Même quelqu’un qui sert Dieu avec un cœur humble peut devenir orgueilleux lorsqu’il acquiert la richesse ou le pouvoir, en raison de sa beauté, de sa réussite, de sa sagesse, ou encore parce que les autres l’adulent. Celui qui ne se débarrasse pas de son orgueil en souffrira. Ce fut le cas du roi Ozias de Juda. Il régna correctement et fut béni par Jéhovah pendant de nombreuses années (2Ch 26:3-5). Toutefois, le récit biblique déclare : “ Mais dès qu’il fut devenu fort, son cœur s’enorgueillit, oui jusqu’à causer la ruine, de sorte qu’il se montra infidèle envers Jéhovah son Dieu et entra dans le temple de Jéhovah pour brûler de l’encens sur l’autel de l’encens. ” (2Ch 26:16). Ozias s’éleva au point d’accomplir des tâches réservées aux prêtres, privilèges que Jéhovah avait expressément interdits aux rois d’Israël, afin de séparer la royauté de la prêtrise – it-2 Orgueil Il en est qui consacrent leur vie à aider autrui. C’est un état d’esprit que Jésus a encouragé. Toutefois, ce noble zèle n’est pas exempt de pièges. Prenons pour exemple le roi judéen Ozias. Il entreprit de gigantesques travaux publics en taillant des citernes dans le désert. Ozias avait certainement à cœur l’intérêt de son peuple, car à cette époque-là il ‘recherchait Jéhovah’ et respectait, semble-t-il, le commandement divin exigeant des rois qu’ils fassent preuve de désintéressement (2 Chroniques 26:5, 10). . Cela rehaussa ses victoires militaires, et ‘sa renommée s’étendit au loin’. Cependant, dès qu’il devint fort, il se montra arrogant, et cette attitude causa sa perte (2 Chroniques 26:15-20). Quiconque se consacre à aider autrui, mais le fait pour sa satisfaction et sa fierté personnelles, risque lui aussi d’aller à la catastrophe. Dans ce cas, pourquoi vouloir travailler dur? – TG1989 15/7 p4 Par orgueil, Ozias, un roi de Juda, a rejeté une réprimande qui lui était adressée, et il s’est permis de faire quelque chose qu’il n’avait pas le droit de faire. Cet homme avait de grandes capacités : il a gagné de nombreuses guerres, construit des villes et fait beaucoup pour l’agriculture dans son pays. La Bible dit que « le vrai Dieu le fit prospérer » (2 Chron. 26:3-7, 10). Mais elle ajoute : « Dès qu’Ozias fut devenu puissant, son cœur devint orgueilleux, ce qui provoqua sa perte. » Jéhovah avait précisé que seuls les prêtres étaient autorisés à offrir de l’encens dans le Temple. Mais le roi Ozias a eu la présomption de désobéir aux instructions de Dieu. Jéhovah a alors frappé de la lèpre cet homme orgueilleux. Et Ozias est resté lépreux jusqu’à sa mort (2 Chron. 26:16-21). Pourrions-nous, comme Ozias, tomber dans le piège de l’orgueil ? Voyons ce qui est arrivé à José. C’était un homme d’affaires qui gagnait bien sa vie et un ancien très respecté. Il prononçait des discours aux assemblées, et des responsables de circonscription lui demandaient parfois conseil. « Le problème, c’est que je ne comptais pas sur Jéhovah, mais uniquement sur mes propres capacités et mon expérience, reconnaît-il. Je me disais que j’étais assez fort spirituellement, et je n’ai pas écouté les conseils et les avertissements de Jéhovah. » José a commis un péché grave, et il a été excommunié. Il y a quelques années, il a été réintégré. Il dit : « Jéhovah m’a appris que le plus important, ce n’est pas d’avoir un titre, mais de faire ce qu’il nous demande. » Rappelons-nous que les capacités que nous avons et les responsabilités qu’on nous confie dans l’assemblée viennent uniquement de Jéhovah. Si nous sommes orgueilleux, Jéhovah ne voudra pas nous utiliser.-TG2021/6 p14 §7,8 Qu’est-ce qui pourrait nous induire en erreur? Certains prennent part, à tort, aux emblèmes du Mémorial parce qu’à vrai dire ils ne saisissent pas que l’onction “dépend, non pas de celui qui souhaite ni de celui qui court, mais de Dieu”. Il ne revient pas aux humains de décider s’ils doivent ou non être admis dans la nouvelle alliance et devenir cohéritiers de Christ dans le Royaume céleste. C’est Jéhovah qui choisit. Dans l’Israël antique, Jéhovah avait décidé quels seraient ceux qui le serviraient comme prêtres. 2 Chroniques 26 :18 « Ils s’opposèrent au roi Ozias et lui dirent : « Ozias, tu n’as pas le droit de brûler de l’encens pour Jéhovah ! Seuls les prêtres sont autorisés à brûler de l’encens, car ce sont les descendants d’Aaron, ceux qui ont été sanctifiés. Sors du sanctuaire, car tu t’es montré infidèle, et Jéhovah Dieu ne t’accordera aucune gloire pour ce geste. » - De même, Jéhovah n’apprécierait pas de voir une personne se présenter de son propre chef comme appelée à figurer parmi les rois et prêtres célestes, alors que lui-même ne lui a pas accordé cet appel – TG1991 15/3 p19
  7. Perles spirituelles - Semaine du 15 Mai.docx Perles spirituelles - Semaine du 15 Mai.pdf Perles spirituelles (10 min) : 2 Chroniques 22-24 2 Chroniques 24:22 : Comment la requête prophétique de Zacharie s’est-elle réalisée ? (it-2 1231 § 10) « Ainsi le roi Joas ne se souvint pas de l’amour fidèle que lui avait témoigné son père, Joad ; il tua son fils, qui dit en mourant : « Que Jéhovah s’occupe de toi et te demande des comptes. » Fils du grand prêtre Jéhoïada. Après la mort de Jéhoïada, le roi Joas se détourna du vrai culte, écoutant les mauvais conseils plutôt que les prophètes de Jéhovah. Zacharie, cousin de Joas (2Ch 22:11), adressa au peuple un avertissement sévère à ce sujet, mais, au lieu de se repentir, le peuple le lapida dans la cour du temple. En mourant, Zacharie déclara : “ Que Jéhovah s’occupe de cela et le redemande ! ” Cette requête prophétique fut écoutée, car non seulement la Syrie infligea de graves dommages à Juda, mais encore Joas fut tué par deux de ses serviteurs “ à cause du sang des fils de Jéhoïada le prêtre ”. La Septante et la Vulgate disent que Joas fut tué pour venger le sang “ du ” fils de Jehoïada. Cependant, le texte massorétique et la Peshitta mettent “ des ” fils ; ces versions utilisent peut-être le pluriel pour montrer l’excellence et la valeur du prêtre-prophète Zacharie, fils de Jéhoïada. — it-2 1231 § 10 Sur le point de mourir, Zacharie déclara : “ Que Jéhovah s’occupe de cela et le redemande ! ” Ses paroles prophétiques ne tardèrent pas à se réaliser. Une petite troupe de Syriens montèrent contre le pays. Jéhovah livra en leur main de grandes forces militaires de Juda ; ils supprimèrent les princes de Juda et leur prirent un grand butin. Les Syriens exécutèrent des actes de jugement sur Joas et le laissèrent en proie à de nombreuses maladies, après quoi il fut assassiné par ses serviteurs it-1 p269 L’obéissance de Joas ne dura pas. Pourquoi ? La Parole de Dieu nous l’explique : “ Après la mort de Jehoïada, les princes de Juda vinrent se prosterner devant le roi. À cette époque le roi les écouta. Finalement ils délaissèrent la maison de Jéhovah le Dieu de leurs ancêtres, et ils se mirent à servir les poteaux sacrés et les idoles, de sorte qu’il y eut de l’indignation contre Juda et contre Jérusalem, à cause de leur culpabilité. ” La mauvaise influence des princes de Juda incita également le roi à faire la sourde oreille aux messages des prophètes envoyés par Dieu, dont l’un n’était autre que Zacharie, le fils de Jehoïada, qui reprit courageusement Joas et le peuple à cause de leur désobéissance. Au lieu de se repentir, Joas fit lapider Zacharie. Oui, Joas était devenu un homme insensible, désobéissant, tout cela parce qu’il avait succombé à l’influence d’amis peu fréquentables ! — 2 Chroniques 24:17-22. Maintenant qu’ils avaient abandonné Jéhovah, quel sort Joas et les méchants princes qui le côtoyaient allaient-ils connaître ? Des forces militaires syriennes, à peine “ un petit nombre d’hommes ”, envahirent Juda et “ supprimèrent parmi le peuple tous les princes du peuple ”. Les envahisseurs forcèrent aussi le roi à leur remettre ses richesses personnelles ainsi que l’or et l’argent du sanctuaire. Joas survécut à cet épisode, mais ce n’était plus qu’un homme brisé et malade. Peu après, certains de ses propres serviteurs conspirèrent contre lui et l’assassinèrent (2 Chroniques 24:23-25). L’avertissement de Jéhovah à Israël s’était vérifié : “ Si tu n’écoutes pas la voix de Jéhovah ton Dieu en ayant soin de pratiquer tous ses commandements et ses ordonnances [...] les malédictions [...] devront venir sur toi et t’atteindre. ” — Deutéronome 28:15. TG20002 1/10 §8,9 Dieu avait ordonné que chaque roi qui s’assiérait sur le trône écrive pour lui sur un livre une copie de la Loi, afin de l’étudier et de la mettre en pratique toute sa vie durant (Deutéronome 17:18-20). L’usage de mettre “le Témoignage” sur le nouveau roi avait sans doute pour but de lui rappeler par ce court geste symbolique que, bien que roi, il n’était pas au-dessus de la Loi de Jéhovah. Après la mort de Jéhoïada, Joas a malheureusement oublié ce précepte capital et a peu à peu abandonné le culte de Jéhovah. Pour finir, il mourut assassiné. — 2 Chroniques 24:17-25. – TG1991 1/ 2 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? C’est vrai, la violence nous rebute, mais il faut bien comprendre qu’à l’époque Jéhovah utilisait ses serviteurs pour appliquer ses châtiments. On lit d’ailleurs dans la Bible : “ C’est de Dieu que vint la chute d’Ahazia, quand il arriva chez Joram ; en effet, lorsqu’il fut arrivé, il sortit avec Joram vers Jéhu le petit-fils de Nimshi, que Jéhovah avait oint pour retrancher la maison d’Ahab. ” (2 Chron. 22:7). Lorsqu’il fait jeter le corps de Joram dans le champ de Naboth, Jéhu est conscient d’accomplir la promesse divine de punir la maison d’Ahab pour le meurtre de Naboth. N’oublions pas non plus qu’il avait reçu l’ordre de “ venger le sang ” des fidèles versé par Jézabel. De nos jours, aucun adorateur de Jéhovah ne s’en prend physiquement aux adversaires du culte pur. “ C’est à moi qu’appartient la vengeance ”, déclare Dieu (Héb. 10:30). Cependant, les anciens doivent parfois agir avec le même courage que Jéhu pour protéger l’assemblée d’influences potentiellement corruptrices. Et tous les membres de l’assemblée doivent être déterminés à ne pas fréquenter des personnes excommuniées. — TG2011 15/11 Athalie était si ivre de pouvoir qu’elle tua ses propres petits-fils. Cependant, le jeune Joas échappa, sauvé par sa tante, Jéhoschabéath. Environ six ans plus tard, le mari de cette femme, le grand prêtre Jéhoïada, fit proclamer roi Joas. Voyant cela, “Athalie déchira ses vêtements et dit: ‘Conspiration! Conspiration!”’ Mais cela ne lui servit à rien. Jéhoïada ordonna son exécution, et la dernière survivante de la maison d’Achab connut une fin ignominieuse. — II Chron. 22:10-12; 23:11-15. Comment expliquer cette soif de pouvoir chez Athalie? Par le fait qu’elle était tout entière imprégnée du culte des idoles. Sous son influence, ses fils étaient entrés de force dans le temple de Jéhovah, sans doute pour le piller, et l’on avait consacré à Baal, dieu de la fertilité, des ustensiles du sanctuaire (II Chron. 24:7). Comme la Bible l’indique, pareille idolâtrie mène à toutes sortes de péchés graves. Le fait qu’Athalie assassina ses propres petits-fils révèle jusqu’à quel stade de cette mentalité désapprouvée l’idolâtrie peut conduire Le cas d’Athalie souligne donc le danger de l’idolâtrie. Le faux culte pouvant ouvrir la voie à toutes sortes de pratiques mauvaises, nous ferons preuve de sagesse et continuerons de suivre ce conseil divinement inspiré: “Gardez-vous des idoles.” — I Jean 5:21. – TG1980 1/3 L’amour “ ne cherche pas ses propres intérêts ”. Celui qui aime ne manipule pas les autres pour parvenir à ses fins. C’est ce que montre la Bible à travers Athalie qui a manipulé certains à des fins égoïstes (2 Chroniques 22:10-12).L’intention d’Athalie d’essayer d'anéantir la lignée de David et son échec, montre qu'aucun simple humain ne peut s’opposer au dessein de Jéhovah ou à sa promesse. C’est là un avertissement pour les chrétiens de notre époque. Que nous soyons un homme ou une femme, peut-être sommes-nous dotés naturellement d’un fort pouvoir de persuasion, grâce auquel nous pourrions facilement arriver à nos fins en dominant une conversation ou en faisant abdiquer ceux qui ne partagent pas notre opinion. Cependant, si nous aimons réellement, nous ‘ aurons l’œil ’ sur les intérêts des autres. Nous ne profiterons pas d’eux ni n’essaierons d’imposer des idées discutables en faisant valoir notre expérience ou notre position dans l’organisation de Dieu, comme si notre point de vue était le seul valable – TG1999 15/2 §10,11 Comment pouvez-vous rester vigoureux sur le plan spirituel malgré le poids des ans ? Le secret d’un palmier dont la beauté ne flétrit pas est un approvisionnement en eau qui ne tarit jamais. Pareillement, vous vous désaltérerez aux eaux de la vérité biblique au moyen de l’étude de la Parole de Dieu et en restant attaché à son organisation (Psaume 1:1-3 ; Jérémie 17:7, 8). Votre vitalité spirituelle fait de vous un atout de grande valeur pour les autres chrétiens. Voyez à quel point c’était vrai dans le cas du grand prêtre âgé Joad. Joad avait probablement plus de 100 ans quand l’ambitieuse reine Athalie prit le pouvoir en Juda en assassinant ses propres petits-enfants. Que pouvait faire le vieux Joad ? Pendant six ans, sa femme et lui cachèrent dans le temple le seul héritier royal qui avait survécu, Joad. Puis Joad provoqua un revirement spectaculaire : il proclama roi Joas, âgé de sept ans, et fit exécuter Athalie. — 2 Chroniques 22:10-12 ; 23:1-3, 15, 21. En qualité de tuteur du roi, Joad usa de son influence pour défendre le vrai culte. Il “ conclut une alliance entre lui, tout le peuple et le roi, aux termes de laquelle ils continueraient d’être le peuple de Jéhovah ”. Sur ses ordres, le peuple détruisit la maison du faux dieu Baal, brisa ses autels et ses images, et supprima son prêtre. Également sous la direction de Joad, Joad rétablit les services au temple et entreprit sa réparation, qui était plus que nécessaire. “ Joad fit ce qui est droit aux yeux de Jéhovah durant tous ceux de ses jours où Joad le prêtre l’instruisit. ” (2 Chroniques 23:11, 16-19 ; 24:11-14). À sa mort, à l’âge de 130 ans, Joad reçut l’honneur exceptionnel d’être enterré avec les rois, “ car il avait fait du bien en Israël et envers le vrai Dieu et Sa maison ”. — 2 Chroniques 24:15, 16. Une mauvaise santé ou d’autres entraves restreignent peut-être votre participation à la défense du vrai culte. Même si c’est le cas, il est en votre pouvoir de ‘ faire du bien envers le vrai Dieu et Sa maison ’. – TG2004 15/5 §10-13 Sous l’influence de Joad, Joas prospéra. L’une des grandes réalisations entreprises sous son règne fut la restauration du temple de Jéhovah. L’édifice, vieux de plus de 150 ans, avait été mal entretenu sous les règnes d’Athalie, de Joram, son mari, et d’Achaziah, son fils. De toute évidence, l’impiété de cette femme avait influé sur ses fils au point qu’ils étaient entrés de force dans le temple, probablement pour le piller. — II Chron. 24:7. L’état lamentable du temple nécessitait une somme d’argent considérable pour les travaux de réparation. Au début, les efforts pour collecter des fonds ne furent pas couronnés de succès. Les Lévites, qui avaient été chargés de la collecte, ne montrèrent aucun empressement dans la conduite de cette affaire. Toutefois, quand on changea de méthode pour recueillir et administrer les fonds, le peuple apporta son soutien, et le travail alla bon train. — II Chron. 24:5, 6, 8-14. – TG1980 1/6 Aux jours du roi Joas, on plaça à la porte de la maison de Jéhovah un coffre destiné à recevoir les contributions pour les importants travaux de réfection à effectuer au temple. Les princes et le peuple apportèrent alors avec joie “ l’impôt sacré ”, qui permit de consolider la maison de Dieu et de fabriquer des ustensiles pour le temple. — 2 Chroniques 24:4-14. Ils furent heureux de participer à l’édification ainsi qu’à l’entretien de la maison de Jéhovah, et de promouvoir le vrai culte Des non-Israélites donnèrent aussi des contributions. Pareillement, les vrais chrétiens ont aujourd’hui encore le privilège de faire des offrandes pour soutenir le culte de Jéhovah Dieu. Ils le font volontairement - TG2000 1/11 Celui qui se tourne vers de mauvais conseillers peut mettre en danger sa propre vie et même provoquer la ruine d’une nation. Joas, roi de Juda, a bien régné tant qu’il a écouté le sage et fidèle grand prêtre Jéhoïada. Mais, après la mort de celui-ci, au lieu de suivre ses conseils, il se tourna vers les princes de Juda qui étaient idolâtres. Parce qu’il les écouta plutôt que la parole de Dieu, Joas se rendit coupable de meurtre et fut responsable de la défaite honteuse du royaume de Juda. Finalement, il tomba malade et fut assassiné. — 2 Chron. 24:17-25. – TG1977 1/5 NE SOIS PAS COMME LE ROI JOAS - Au début de son règne, Joas a bénéficié de la bonne influence de Joad qui était son conseiller. Malheureusement, après sa mort, il a commencé à écouter les princes apostats. Qu’en est-il résulté ? Lui et ses sujets se sont mis à «servir les poteaux sacrés et les idoles » (2 Chron. 24:4, 17, 18). Alors que Joas devait tant `a la famille de Zacharie, Jéhovah l’a fait tuer ! (2 Chron. 22:11 ; 24:19-22). Joas n’a pas cultiv ́e la crainte de Jéhovah, et les choses ont mal tourné pour lui. Ces paroles de Jéhovah se sont appliquées à lui : « Ceux qui me méprisent, je les traiterai avec mépris » (1 Sam. 2:30). Quelle leçon pouvons-nous tirer de l’histoire de Joas ? Joas ressemblait à un arbre aux racines peu profondes et dont la stabilité dépend d’un tuteur. Quand le « tuteur », Joad, a disparu et que les vents de l’apostasie ont soufflé, Joas n’a pas tenu bon. Voilà qui montre avec force que notre crainte de Dieu ne doit pas dépendre seulement de la bonne influence de compagnons chrétiens, comme par exemple de membres de notre famille. Pour rester stables spirituellement, nous devons renforcer notre attachement à Dieu et notre crainte de lui déplaire en étudiant, en méditant et en priant régulièrement – TG2023/6 p19 §16-18 Après la mort de Joad, Joas cessa de servir fidèlement Jéhovah Dieu. Il se laissa aller sous l’emprise des princes idolâtres. En conséquence de quoi, le culte idolâtrique de Baal reprit, après avoir cessé sous l’influence de Joad. Jéhovah se mit à envoyer au peuple des prophètes pour le ramener à la raison et l’encourager à se repentir; mais pas plus le roi que ses princes ne prêtèrent l’oreille. — 2 Chron. 24:17-19. Zacharie, fils de Joad, fit sous inspiration la proclamation suivante: “Voici ce qu’a dit le vrai Dieu: ‘Pourquoi passez-vous outre aux commandements de Jéhovah, de sorte que vous ne pouvez avoir du succès? Parce que vous avez quitté Jéhovah, il vous quittera à son tour.’” — 2 Chron. 24:20. Joas accueillit-il favorablement la parole de Jéhovah que lui communiquait son cousin? Certainement pas; il n’eut même aucun égard pour la bonté que Joad, le père de son cousin, avait exercée envers lui. Joas donna l’ordre de lapider Zacharie dans la cour du temple. Celui-ci dit en mourant: “Que Jéhovah y veille et le redemande!” — 2 Chron. 24:21, 22. L’heure du châtiment a bel et bien sonné pour Joas. Jéhovah retira sa bénédiction et sa protection à ce roi ingrat. Des forces militaires syriennes placées sous le commandement de Hazaël pénétrèrent en Juda et forcèrent Joas à leur remettre les trésors du temple. Quand les troupes syriennes se retirèrent, le roi n’était plus qu’un homme malade et brisé. Finalement, deux de ses serviteurs l’assassinèrent. — II Rois 12:17-21; 2 Chron. 24:23-27. Comme la vie de Joas aurait été différente s’il avait continué à servir fidèlement Jéhovah et à jouir de sa faveur et de sa protection! La vie peut également être différente pour nous, à la condition que nous continuions à apprécier les justes exigences divines. L’ingratitude n’engendre que la ruine, comme ce fut le cas pour Joas. Puissions-nous toujours considérer avec gratitude la direction divine ! – TG1980 1/6 A maintes reprises, les Israélites ont été infidèles à Jéhovah. Ils n’ont pas eu les œuvres qui convenaient, autrement dit ils ‘ n’ont pas exercé la foi envers lui et ils n’ont pas écouté sa voix ’. (Deutéronome 9:23 ; 2 Chroniques 24:18, 19) Ne faisons donc surtout pas cette erreur de penser que l’on peut adorer Dieu avec la tête remplie de connaissance, mais le cœur vide de foi. En d’autres termes, l’étude de la Bible doit être pour nous plus qu’un exercice intellectuel. La connaissance exacte doit pénétrer jusqu’à notre cœur pour influer en bien sur notre façon de vivre. À quoi cela servirait-il d’étudier le jardinage si l’on ne semait jamais une graine ? On deviendrait peut-être savant en la matière, mais on ne récolterait jamais rien ! De même, quiconque apprend les exigences de Dieu en étudiant la Bible doit faire en sorte que les graines de vérité atteignent son cœur et y germent, pour que son cœur l’incite à l’action. — TG2005 15/4 p23-29 Au temps des juges, les Israélites ont maintes fois succombé à l’idolâtrie. Jéhovah les abandonnait alors à leurs ennemis. Mais quand ils se repentaient et l’appelaient à l’aide, il exerçait sa patience et suscitait des juges pour les délivrer. Au cours de la longue période qu’a duré la monarchie, peu de rois ont témoigné d’un attachement exclusif à Jéhovah. Et même sous le règne des rois fidèles, le peuple a souvent mélangé le faux culte au vrai. Lorsque Jéhovah suscitait des prophètes pour les mettre en garde contre l’infidélité, les Israélites préféraient généralement écouter les prêtres corrompus et les faux prophètes. Ils n’ont pas hésité à persécuter les fidèles prophètes de Dieu et en ont même tué plusieurs (2 Chroniques 24:20, 21). Pourtant, Jéhovah a continué de déployer sa patience. Pourquoi Jéhovah exerce-t-il la patience ? En premier lieu, pour magnifier son saint nom et justifier sa souveraineté. Grâce à sa patience, Jéhovah a pu tirer d’entre les nations “ un peuple pour son nom ”. – TG2001 1/11
  8. Perles spirituelles - Semaine du 8 Mai - 2 Chroniques 20-21.docx Perles spirituelles - Semaine du 8 Mai - 2 Chroniques 20-21.pdf Perles spirituelles (10 min) : 2 Chroniques 20-21 2 Chroniques 21:14, 15 : Comment la prophétie d’Élie concernant Joram s’est-elle réalisée ? (it-2 1190 § 5-6) « Voilà pourquoi Jéhovah porte un grand coup à ton peuple, à tes fils, à tes femmes et à tous tes biens. 15 Et toi, tu souffriras de nombreuses maladies, dont une maladie des intestins, jusqu’à ce que tes intestins sortent à cause de la maladie, jour après jour.” » En partie à cause de la mauvaise influence de sa femme Athalie, Joram ne suivit pas les voies justes de son père Josaphat (2R 8:18). Non seulement Joram assassina ses six frères et quelques-uns des princes de Juda, mais encore il détourna ses sujets de Jéhovah et les entraîna vers de faux dieux (2Ch 21:1-6, 11-14). Tout son règne fut troublé par des difficultés internes et des conflits extérieurs. D’abord, Édom se rebella ; puis Libna se révolta contre Juda (2R 8:20-22). Dans une lettre, le prophète Élie adressa cet avertissement à Joram : “ Vois ! Jéhovah porte un grand coup à ton peuple, à tes fils, à tes femmes et à tous tes biens. ” De plus, toi, roi Joram, “ tu seras en proie à de nombreuses maladies, à une maladie de tes intestins, jusqu’à ce que tes intestins soient sortis par suite de la maladie jour après jour ”. — 2Ch 21:12-15. C’est exactement ce qui se passa. Jéhovah laissa les Arabes et les Philistins envahir le pays et faire captifs les femmes et les fils de Joram. Dieu permit que réchappe uniquement Joachaz (appelé aussi Ahazia), le plus jeune fils de Joram, mais cette concession ne fut faite qu’en raison de l’alliance du Royaume conclue avec David. “ Après tout cela, Jéhovah le frappa [Joram] dans ses intestins d’une maladie pour laquelle il n’y avait pas de guérison. ” Deux années plus tard, “ ses intestins sortirent ” et il finit par mourir. Ainsi prit fin la vie de cet homme méchant, qui “ s’en alla sans être désiré ”. On l’enterra dans la Cité de David, “ mais non dans les tombes des rois ”. Ahazia, son fils, devint roi à sa place. — it-2 1190 § 5-6 La maladie intestinale fit souffrir sévèrement Joram pendant "deux années complètes", et il mourut. Il n'avait régné que 8 ans avant que Jéhovah ne l'enlève au moyen de cette maladie. Josèphe, l’historien dit "qu’il est mort misérablement et a vu ses propres entrailles tomber". Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Aux jours du roi Josaphat, les serviteurs de Dieu ont été menacés par un ennemi redoutable, « une foule nombreuse » venant de régions voisines (2 Chron. 20:1, 2). Chose louable, ils n’ont pas essayé de vaincre par leur propre force. Ils se sont plutôt tournés vers Jéhovah (2 Chroniques 20:3, 4). Et ils ne l’ont pas fait chacun de leur côté, comme bon leur semblait ou comme ils le sentaient. Le récit biblique dit : « Tous ceux de Juda se tenaient debout devant Jéhovah, même leurs petits, leurs femmes et leurs fils » (2 Chron. 20:13). Jeunes ou âgés, ils se sont efforcés de suivre avec foi la direction de Jéhovah, et Jéhovah les a protégés de leur ennemi (2 Chron. 20:20-27). N’est-ce pas un excellent exemple de la façon dont le peuple de Dieu peut faire face aux difficultés ? – TG2014 15/12 §8 Comme son père, Asa, Josaphat est resté attaché à Dieu même sous la menace d’une immense armée ennemie (2 Chroniques 20:2-4). Josaphat a bel et bien eu peur ! Toutefois, il « tourna sa face pour rechercher Jéhovah ». Dans une prière, il a humblement reconnu que son peuple n’avait « pas de force devant cette foule nombreuse », et que lui et le peuple ne savaient pas quoi faire. Il s’est entièrement reposé sur Jéhovah, disant : « Nos yeux sont tournés vers toi » (2 Chron. 20:12). Parfois, comme Josaphat, nous pourrions ne pas savoir quoi faire et même avoir peur. Mais souviens-toi que le roi a reconnu dans une prière publique combien lui et le peuple se sentaient faibles (2 Chron. 20:5). Ceux qui assument la direction spirituelle de leur famille peuvent l’imiter en demandant à Jéhovah de les guider et de leur donner de la force pour affronter le problème qu’ils rencontrent. Ne sois pas gêné que ta famille entende de telles supplications. Elle percevra ta confiance en Jéhovah. Dieu a aidé Josaphat, et il t’aidera aussi. – TG2017/3 p18 En une certaine occasion, le roi Josaphat eut à résoudre un grave problème ; il le présenta à Jéhovah par la prière. Après avoir rappelé ce que Jéhovah avait fait pour les descendants d’Abraham, il ajouta : “Maintenant voici, les fils d’Ammon et de Moab et ceux de la montagne de Séir, chez lesquels tu n’as pas permis à Israël d’entrer quand il venait du pays d’Égypte, — car il s’est détourné d’eux et ne les a pas détruits, — les voici qui nous récompensent en venant nous chasser de ton héritage, dont tu nous as mis en possession. Ô notre Dieu, n’exerceras-tu pas tes jugements sur eux ? Car nous sommes sans force devant cette multitude nombreuse qui s’avance contre nous, et nous ne savons que faire, mais nos yeux sont sur toi.” — II Chron. 20:10-12. Remarquez bien que Josaphat ne chercha pas à obliger Dieu à intervenir en sa faveur, mais qu’il lui laissa le soin de décider. C’est là la bonne attitude à adopter, et si Dieu juge de ne pas faire ce que nous lui demandons, nous ne devons pas nous plaindre. Il n’est pas à notre service. Ce sont plutôt les chrétiens qui sont ses serviteurs. Nous devons être disposés à nous soumettre à sa volonté. C’est ce que fit Jésus-Christ. – TG1970 15/12 Comment le Souverain Seigneur Jéhovah allait-il répondre à la prière de Josaphat? Pour ce faire, il pourvut à un canal de communication en la personne de Jaaziel, un homme de la tribu de Lévi. Jaaziel n’était pas prêtre, mais cela n’empêcha pas Jéhovah d’arrêter son choix sur lui pour qu’il transmette un des messages d’encouragement les plus émouvants de l’Écriture. Effectivement, “l’esprit de Jéhovah vint sur lui au milieu de la congrégation”. (II Chroniques 20:14.) De nos jours, Jéhovah a-t-il établi un tel canal pour communiquer avec son peuple? En effet. Jésus en a d’ailleurs parlé dans sa prophétie relative à la “conclusion du système de choses”, quand il a décrit la classe ointe de “l’esclave fidèle et avisé” à qui le Maître confie tout son “avoir” terrestre. — Matthieu 24:3, 45-47. – TG1984 1/10 p13 §8 Le nom Jaaziel signifie “Dieu voit”. Indubitablement, Dieu était en mesure de voir tous les tenants et les aboutissants du problème. Il pouvait également prévoir l’attitude que ses serviteurs devaient adopter, ainsi que l’issue finale de l’affrontement. Alors, quelles directives leur communiqua-t-il par l’entremise de Jaaziel? Écoutons son porte-parole: “Prêtez attention, vous, tout Juda, et vous, habitants de Jérusalem, et toi, roi Josaphat! Voici ce que Jéhovah vous a dit: ‘N’ayez pas peur et ne soyez pas terrifiés à cause de cette grande multitude, car la bataille n’est pas la vôtre, mais celle de Dieu.’” (II Chroniques 20:15). Imaginez l’allégresse qui a dû s’emparer de la foule! En ce qui nous concerne, peu importent les attaques que Satan et ses armées lanceront contre nous et les épreuves que notre foi et notre intégrité auront encore à soutenir, nous sommes heureux de savoir que nous pouvons placer ensemble toute notre confiance en Jéhovah, convaincus qu’il combattra pour nous. — TG1984 1/10 p13 §9 Alors que “ tous ceux de Juda se tenaient debout devant Jéhovah, même leurs petits, leurs femmes et leurs fils ”, Jéhovah, Celui qui entend la prière, a donné sa réponse (2 Chroniques 20:13). Il s’est servi pour cela du prophète Jaaziël, un Lévite, comme il se sert aujourd’hui de son “ esclave fidèle et avisé ”. (Matthieu 24:45.) Nous lisons : “ Voici ce que Jéhovah vous a dit : ‘ Vous, n’ayez pas peur et ne soyez pas terrifiés à cause de cette foule nombreuse, car la bataille n’est pas la vôtre, mais celle de Dieu. [...] Vous n’aurez pas à combattre en cette circonstance. Placez-vous là, restez immobiles et voyez le salut de Jéhovah en votre faveur. [...] N’ayez pas peur et ne soyez pas terrifiés. Demain, sortez contre eux, et Jéhovah sera avec vous. 2 Chroniques 20:15-17. Jéhovah ne demandait pas simplement au roi Josaphat et au peuple d’attendre les bras croisés une délivrance miraculeuse. Ils devaient prendre l’initiative et faire face à l’ennemi. Le roi et ‘ tous ceux de Juda, même leurs petits, leurs femmes et leurs fils ’, ont montré qu’ils avaient une foi forte en obéissant : ils se sont levés de bonne heure et sont partis à la rencontre de l’envahisseur. En chemin, le roi a continué à donner des instructions théocratiques et à encourager le peuple. “ Ayez foi en Jéhovah votre Dieu pour que vous soyez de longue durée, leur a-t-il recommandé. Ayez foi en ses prophètes et ainsi ayez du succès. ” (2 Chroniques 20:20). La foi en Jéhovah ! La foi en ses prophètes ! Telle est la clé du succès. Pareillement, de nos jours, restons actifs dans le service de Jéhovah et ne doutons pas que Jéhovah rendra notre foi victorieuse - TG1998 1/5 Cette œuvre offre certaines similitudes avec les ordres que Jaaziel transmit aux Judéens. Au sujet de leurs adversaires il leur dit: “Demain, descendez contre eux (...). Vous n’aurez pas à combattre dans cette circonstance. Prenez position, arrêtez-vous, et voyez le salut de Jéhovah en votre faveur. Ô Juda et Jérusalem, n’ayez pas peur et ne soyez pas terrifiés! Demain, sortez contre eux, et Jéhovah sera avec vous.” (II Chroniques 20:16, 17). Rendez-vous compte: Cette foule sans défense composée d’hommes, de femmes et d’enfants devait sortir contre les armées coalisées des ennemis – Josaphat et les Judéens éprouvaient néanmoins une vive reconnaissance pour les directives que Jéhovah leur avait fournies par l’entremise de Jaaziel. “Aussitôt Josaphat s’inclina profondément, la face contre terre, et tout Juda et les habitants de Jérusalem tombèrent devant Jéhovah pour rendre hommage à Jéhovah.” (II Chroniques 20:18). Jésus Christ, le Grand Josaphat, a démontré une confiance et une soumission analogues lorsqu’il était sur terre. Dès lors, nous pouvons être sûrs qu’il sera attentif aux ordres que Jéhovah lui donnera quand, ‘à sa droite, celui-ci brisera des rois au jour de sa colère’. (Psaume 110:5, 6.) À son exemple, les Témoins de Jéhovah sont heureux de “rendre hommage” au Dieu en qui ils ont mis leur confiance, tout en le servant dans ses cours - TG1984 1/10 p13 §11,12 Dieu avait dit aux Israélites: “Vous n’aurez pas à combattre dans cette circonstance.” Cette prédiction ne devait pas rester lettre morte. “Au moment où ils commençaient par le cri de joie et par la louange”, Jéhovah fit tomber les envahisseurs dans une embuscade, de sorte que “les fils d’Ammon et Moab se dressèrent contre les habitants de la région montagneuse de Séir pour les vouer à la destruction et les anéantir”. (II Chroniques 20:17, 22, 23.) Ce coup de théâtre illustre fort bien ce qui est sur le point de se produire dans le monde de Satan. Ainsi que le montre Révélation 17:16, 17, Jéhovah a conçu une “pensée” au sujet de Babylone la Grande, dont la chrétienté constitue la partie la plus répréhensible. Or il amènera des nations militarisées représentées à l’ONU à partager cette “pensée” et à se retourner contre les fausses religions pour les détruire. C’est de cette façon que l’immense entité apostate qui porte le nom de chrétienté sera anéantie. - TG1984 1/10 p13 §17 Lorsque les événements qui nous intéressent se déroulaient à Jérusalem, ce n’était pas le moment de dormir. En conséquence, les Judéens obéissants “se levèrent de bon matin et sortirent vers le désert de Técoa”. (II Chroniques 20:20.) Ils tenaient à prouver leur foi par des œuvres. Pareillement, de nos jours les ministres de Dieu doivent souvent se mettre au travail de bonne heure. Certaines ménagères qui entreprennent le service de pionnier, par exemple, se lèvent très tôt pour vaquer aux soins du ménage, afin de pouvoir consacrer le reste de leur matinée au service de Jéhovah. Il y a encore des gens qui “soupirent et gémissent” dans le monde de Satan, et il faudra que ceux-là soient ‘marqués’ pour survivre à la “grande tribulation”. Les Témoins de Jéhovah sont résolus à les trouver. — TG1984 1/10 p13 §14 Le récit couché en II Chroniques 20:20 se poursuit ainsi: “Et comme ils sortaient, Josaphat se mit debout et dit: ‘Entendez-moi, ô Juda, et vous, habitants de Jérusalem! Ayez foi en Jéhovah, votre Dieu, pour que vous soyez de longue durée. Ayez foi en ses prophètes et, dès lors, ayez du succès!’” De façon similaire, le chef de la congrégation chrétienne qui est maintenant notre Roi a encouragé bien des fois ses disciples à la fidélité. Nous qui ‘sortons’ aujourd’hui pour servir Dieu, il est nécessaire que nous exercions la foi en Jéhovah et en ceux dont il a fait ses porte-parole, en un mot dans son organisation. C’est là la voie qui mène au succès. De fait, connaîtront ce “succès” tous les Témoins qui se sont voués à Dieu, qui se sont fait baptiser et qui exercent la foi en Jéhovah et dans tout ce qu’il a prévu à notre intention, notamment dans le don merveilleux de la vie éternelle, qu’il a rendu possible par le sacrifice de son Fils - TG1984 1/10 p13 §15 Jéhovah ne demandait pas simplement au roi Josaphat et au peuple d’attendre les bras croisés une délivrance miraculeuse. Ils devaient prendre l’initiative et faire face à l’ennemi. Le roi et ‘ tous ceux de Juda, même leurs petits, leurs femmes et leurs fils ’, ont montré qu’ils avaient une foi forte en obéissant : ils se sont levés de bonne heure et sont partis à la rencontre de l’envahisseur. En chemin, le roi a continué à donner des instructions théocratiques et à encourager le peuple. “ Ayez foi en Jéhovah votre Dieu pour que vous soyez de longue durée, leur a-t-il recommandé. Ayez foi en ses prophètes et ainsi ayez du succès. ” (2 Chroniques 20:20). La foi en Jéhovah ! La foi en ses prophètes ! Telle est la clé du succès. Pareillement, de nos jours, restons actifs dans le service de Jéhovah et ne doutons pas que Jéhovah rendra notre foi victorieuse - TG1998 1/5 §4 De plus, Josaphat “tint conseil avec le peuple et mit en place des chanteurs pour Jéhovah et ceux qui, vêtus de saints ornements, faisaient monter des louanges en sortant en avant des hommes armés, et qui disaient: ‘Louez Jéhovah, car sa bonté de cœur est jusqu’à des temps indéfinis.’” (II Chroniques 20:21). Ainsi donc, ce sont les chantres du temple qui formaient l’avant-garde pour se rendre à la bataille. De la même manière, sous la direction du reste des chrétiens oints ce sont souvent les pionniers et les missionnaires, les responsables itinérants et leurs femmes, les membres de la famille du Béthel, les anciens et les assistants ministériels qui prennent la tête dans le service sacré et qui incitent à l’action les autres membres de la congrégation. Quel privilège de faire partie de ce mouvement international qui magnifie le nom et la bonté de cœur de Jéhovah - TG1984 1/10 p13 §16 Comme les habitants de Juda à l’époque de Josaphat, nous devons ‘ louer Jéhovah, car sa bonté de cœur est pour des temps indéfinis ’. Mais comment le louer ? En prêchant le Royaume avec zèle ! Comme les habitants de Juda qui “ commençaient par le cri de joie et par la louange ”, nous ajoutons des œuvres à notre foi (2 Chroniques 20:21, 22). Oui, alors que Jéhovah se prépare à entrer en action contre ses ennemis, montrons que nous avons une foi authentique ! Même si la route peut sembler longue, soyons déterminés à endurer, à manifester une foi active, à l’exemple de ses serviteurs victorieux dans les endroits agités du monde.TG1998 1/5 §5
  9. Perles spirituelles - Semaine du 1er Mai - 2 Chroniques 17-19.docx Perles spirituelles - Semaine du 1er Mai - 2 Chroniques 17-19.pdf Perles spirituelles (10 min) : 2 Chroniques 17-19 2 Chroniques 17:9 : Quelle leçon pouvons-nous dégager de la campagne d’enseignement organisée par Josaphat?w17.03 20 § 10-11 « Ayant pris avec eux le livre de la Loi de Jéhovah, ils se mirent à enseigner en Juda. Ainsi, ils firent le tour de toutes les villes de Juda pour enseigner le peuple.» Le fils d’Asa, Josaphat, « marchait dans la voie de son père Asa » (2 Chron. 20:31, 32). En quel sens ? Comme son père, Josaphat a encouragé le peuple à rechercher Jéhovah. Il a organisé une campagne d’enseignement sur la base du « livre de la loi de Jéhovah » (2 Chron. 17:7-10). Il s’est même rendu dans le territoire du royaume du Nord (Israël), dans la région montagneuse d’Éphraïm, « pour [...] ramener [le peuple] à Jéhovah » (2 Chron. 19:4). Josaphat est un roi « qui a recherché Jéhovah de tout son cœur » (2 Chron. 22:9). Nous pouvons tous participer à la grande campagne d’enseignement que Jéhovah dirige aujourd’hui. As-tu pour objectif d’enseigner chaque mois la Bible à tes semblables, afin de les motiver à servir Dieu ? En t’appliquant, et avec la bénédiction de Dieu, tu pourras peut-être commencer un cours biblique. Pries-tu à ce sujet ? Es-tu prêt à accepter cette responsabilité, quitte à renoncer à une partie de ton temps libre ? Tout comme Josaphat est allé jusqu’au territoire d’Éphraïm pour aider les habitants à revenir au vrai culte, nous pouvons aller vers ceux qui sont devenus inactifs. De plus, les anciens s’organisent pour rendre visite et proposer de l’aide aux excommuniés habitant le territoire de l’assemblée qui ont peut-être cessé de pratiquer le péché. - w17.03 20 § 10-11 Au temps de Josaphat, les Lévites s’acquittèrent de leur devoir d’étudier la Parole de Dieu et de l’enseigner au peuple. Le roi Josaphat prit des dispositions dans ce sens. Il leur ordonna de parcourir le pays régulièrement pour instruire le peuple. Cette activité édifiante affermit les Israélites et les aida à suivre la voie de l’obéissance à Dieu. “ Ils enseignèrent dans Juda, ayant avec eux le livre de la loi de Jéhovah ; ils parcoururent toutes les villes de Juda, et ils enseignèrent parmi le peuple. ” (II Chron. 17:9, AC). Si ces efforts constructifs pour instruire le peuple dans la Parole de Dieu s’étaient poursuivis pendant le règne des rois qui se succédèrent, l’histoire de cette nation eût été bien différente. Il y eut vingt-trois rois dans la dynastie de Juda, mais trop peu d’entre eux ressemblèrent à Josaphat. De même que la Parole de Dieu était indispensable au bonheur des Israélites, de même notre bien-être en dépend. À notre époque, où la folie collective pousse les nations vers une catastrophe nucléaire, vous avez besoin de la tranquillité que donne la Bible. Il vous faut sa sagesse pour pouvoir raisonner juste. Ses prophéties vous sont nécessaires pour vous donner une espérance et le sentiment d’être en sécurité. L’étude de la Bible doit donc faire partie de votre existence – TG1963 p746 Au début de son règne, Josaphat avait en effet ordonné que des princes, des Lévites et des prêtres se rendent dans toutes les villes de Juda pour enseigner la Loi de Jéhovah à ses sujets. Cette campagne avait été tellement efficace que les gens des nations qui entouraient Juda ont eu peur de Jéhovah (2 Chron. 17:3-10). C’est vrai, Josaphat a commis un acte insensé, mais Jéhovah n’a pas été insensible aux bonnes choses qu’il avait faites. Ce récit biblique nous rappelle que, malgré notre imperfection, Jéhovah ne cessera pas de nous aimer si nous cherchons à lui plaire sans réserve – TG2015 15/8 Quand nous prêchons de maison en maison, parcourons-nous notre territoire à fond ? Notons que, dans la troisième année de son règne, Josaphat commanda à cinq princes, neuf Lévites et deux prêtres de passer dans toutes les villes pour enseigner au peuple les lois de Jéhovah. Ils s’acquittèrent de leur mission avec une telle efficacité que les populations voisines commencèrent à redouter Jéhovah. Nous gagnerons sans doute en efficacité si nous rendons visite aux gens à des jours et horaires différents — un bon moyen de rencontrer plusieurs membres d’une même famille. – TG2009 15/6 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Pourquoi Jéhovah demandait-il aux Israélites de payer les dîmes? D’abord, afin qu’ils puissent démontrer de façon tangible leur reconnaissance à Jéhovah pour sa bonté. Ensuite, afin qu’ils contribuent au soutien matériel des Lévites, qui pouvaient ainsi se consacrer à leurs obligations, dont celle d’enseigner la Loi (2 Chroniques 17:7-9). De cette manière, le culte pur était soutenu financièrement, et chacun en bénéficiait. Si les Lévites bénéficiaient ultérieurement des dîmes et des offrandes, en réalité c’était à Jéhovah que ces dons étaient faits; ils devaient donc être de bonne qualité, être dignes de lui. Qu’arrivait-il lorsque les Israélites négligeaient de payer les dîmes ou qu’ils apportaient des offrandes de peu de valeur? Aucune punition n’était prévue par la Loi, mais ce manquement avait des conséquences. Jéhovah retirait sa bénédiction, et les Lévites, privés de soutien matériel, abandonnaient leurs fonctions au temple pour gagner leur vie. Ainsi, tout Israël en pâtissait. Mais qu’en est-il des dîmes? Les chrétiens sont-ils dans l’obligation de mettre de côté le dixième de leurs revenus et de le verser à l’organisation de Jéhovah, comme cela se pratique dans certaines Églises de la chrétienté? Non, ce n’est pas le cas. Aucun passage des Écritures n’énonce une telle obligation faite aux chrétiens. Il est clair que pour les chrétiens la dîme symbolise, ou représente, quelque chose, une dîme spirituelle? D’abord, nous donnons à Jéhovah de notre temps et de notre énergie. Dans notre dîme, il y a aussi nos offrandes financières en donnant ce que nous pouvons pour la construction de nouvelles Salles du Royaume, ainsi que de nouveaux bâtiments pour les filiales et de nouvelles Salles d’assemblées. – TG1992 1/12 Un vrai ami doit encourager le chrétien à rester fidèle au Dieu Très-Haut. Seuls nos amis qui aiment Jéhovah feront cela. Tirons enseignement de l’erreur commise par Josaphat, roi de Juda. Jéhovah avait accordé son amitié à ce roi mais celui-ci eut le tort d’entretenir des rapports avec quelqu’un qui n’était pas l’ami de Dieu : Achab, roi d’Israël. Ce roi inique demanda à Josaphat de se joindre à lui dans une expédition militaire ayant pour but de recouvrer Ramoth en Galaad. Josaphat accepta sa proposition. Les prophètes de Baal prédirent que l’expédition réussirait mais le seul prophète de Jéhovah disponible, Michée, fils de Jimla, prédit la mort d’Achab. Au moment de la bataille, Achab se déguisa, mais il avait suggéré au roi de Juda de se revêtir de ses habits royaux. Les Syriens, prenant Josaphat pour le roi d’Israël, l’entourèrent pour l’attaquer. “ Josaphat poussa un cri, et Jéhovah le secourut, et Dieu écarta de lui les Syriens. ” (II Chron. 18:31). Les paroles du prophète de Jéhovah s’accomplirent. Un homme tira de son arc au hasard. La flèche atteignit Achab qui mourut de sa blessure. Quand Josaphat rentra à Jérusalem, Jéhu, fils de Hanani le voyant, lui déclara : “ Doit-on secourir le méchant, et aimes-tu ceux qui haïssent Jéhovah ? À cause de cela, Jéhovah est irrité contre toi. ” — II Chron. 19:2. Josaphat commit une grande erreur en cultivant l’amitié d’un ennemi de Jéhovah et en le secourant. Quand il choisit ses amis, le chrétien ferait bien de garder présentes à l’esprit les paroles du prophète : “ Aimes-tu ceux qui haïssent Jéhovah ? ” Le serviteur de Dieu doit faire très attention à ne pas cultiver des amitiés malsaines. L’approbation de Dieu ou son irritation contre nous dépend dans une large mesure du genre d’amis que nous nous choisissons. Il n’y a rien d’étonnant que le Dieu Très-Haut considère comme coupables ses serviteurs qui fréquentent des gens qu’il n’approuve pas. Ce n’est pas en fréquentant de telles personnes que nous gagnerons l’amitié de Dieu. – TG1962 15/6 p184 §7,8 Nous avons tous besoin de fréquentations. Cependant, nous devons nous rappeler que les personnes que nous fréquentons peuvent avoir sur nous une influence, bonne ou mauvaise. Cela s’est vérifié dans le cas de Josaphat, bon roi de Juda, jouissait de la faveur et de la bénédiction de Jéhovah. Mais, ayant permis à son fils d’épouser la fille d’Achab, roi d’Israël, Josaphat s’est mis à fréquenter Achab. Cette mauvaise fréquentation a failli lui coûter la vie (2 Chroniques 18:1-3, 29-31). Si nous manquons de sagesse dans le choix de nos fréquentations, nous courons le même danger. – TG1993 1/8 p15§21 Après la mort d’Achab, Jéhovah a révélé ce qu’il pensait de lui. Une fois Josaphat revenu chez lui sain et sauf, Jéhovah lui a envoyé le prophète Jéhu pour lui reprocher de s’être allié avec Achab. Jéhu lui a dit : « Est-ce le méchant que tu devais secourir ? Est-ce ceux qui haïssent Jéhovah que tu dois aimer ? » (2 Chron. 19:1, 2). Réfléchissons : si Achab s’était repenti sincèrement, Jéhu ne l’aurait pas qualifié d’homme méchant qui haïssait Jéhovah. Achab avait exprimé des regrets, c’est vrai, mais il ne s’était jamais repenti sincèrement de ses péchés. Que nous apprend l’exemple d’Achab ? Se repentir, ce n’est donc pas simplement dire qu’on regrette ce qu’on a fait. Intéressons-nous à l’exemple d’un autre roi pour comprendre ce qu’implique un repentir sincère. – TG2021/10 p2 §7,8 Quand quelqu’un ne répond pas à nos attentes, il est facile de réagir avec amertume et ressentiment. Mais ce n’est pas ce que fait Jéhovah. Le fidèle roi Josaphat a fait l’erreur de contracter une alliance avec les ennemis de Dieu. Le prophète de Jéhovah lui a signalé : “ C’est pour cela qu’il y a contre toi de l’indignation venant de la personne de Jéhovah. Toutefois, il s’est trouvé de bonnes choses chez toi. ” (2 Chroniques 19:2, 3). Jéhovah a discerné qu’une seule erreur de la part de Josaphat ne faisait pas de lui un traître. Pareillement, nous préserverons nos liens d’amitié en n’ayant pas de réaction excessive lorsque nos amis commettent une faute. Ceux qui nous déçoivent n’en manifestent pas moins de belles qualités. — TG2008 1/3 p13 Qu’est-ce qui allait aider les juges hébreux à se garder de l’injustice ? La crainte respectueuse de Dieu. Ils reçurent ce conseil : “Ce n’est pas pour l’homme que vous jugez, mais c’est pour Jéhovah ; et il est avec vous en ce qui concerne le jugement. Et maintenant, que l’effroi de Jéhovah vienne sur vous ! Faites attention et agissez, car il n’y a chez Jéhovah, notre Dieu, ni injustice, ni partialité, ni acceptation de présent.” — II Chron. 19:6, 7. L’expression biblique “ l’effroi de Jéhovah ” ne désigne nullement une sorte de terreur ou d’épouvante, mais bien plutôt un vif désir de faire ce qui est droit, un respect si profond et si sincère qu’il peut provoquer un tremblement nerveux. “Le roi Josaphat leur rappelait que si leurs décisions étaient influencées par des préjugés ou par l’avidité, Dieu les tiendrait pour responsables de tout le mal qui en résulterait. Nous pouvons être sûrs que, lorsqu’ils déterminent si une personne doit être excommuniée, les anciens prennent leur responsabilité au sérieux. Ils comprennent que, comme les juges de l’ancien Israël, ‘ils ne jugent pas pour l’homme, mais pour Jéhovah’ Les anciens doivent parfois juger des cas de péché grave et déterminer s’il y a repentir ou non. Toutefois, ils restent humbles et se souviennent non seulement qu’ils ne peuvent pas lire dans les cœurs, mais aussi qu’ils jugent pour Jéhovah. Ils veillent à suivre ses normes de justice en se montrant raisonnables, miséricordieux et justes.– TG2022/1 §14 Jéhovah veut que nous sachions qu’il nous aime et qu’il regarde au-delà de notre imperfection. Il cherche ce qu’il y a de bon chez nous (2 Chron. 16:9). Il a agi ainsi envers le roi de Juda Josaphat. Un jour, ce roi a manqué de sagesse : Il a accepté d’accompagner Ahab, roi d’Israël, dans une opération militaire visant à reprendre aux Syriens la ville de Ramoth-Guiléad. Bien que 400 faux prophètes aient garanti à Ahab qu’il vaincrait, Mikaïa, prophète de Jéhovah, a prédit aux deux rois qu’ils perdraient à coup sûr. Ahab est même mort au combat. Quant à Josaphat, il a échappé de justesse à la mort. À son retour à Jérusalem, il a été réprimandé pour s’être allié au roi Ahab. Malgré tout, Jéhu, le fils de Hanani le visionnaire, lui a dit : « Il s’est trouvé de bonnes choses chez toi » (2 Chron. 18:4, 5, 18-22, 33, 34 ; 19:1-3). Au début de son règne, Josaphat avait en effet ordonné que des princes, des Lévites et des prêtres se rendent dans toutes les villes de Juda pour enseigner la Loi de Jéhovah à ses sujets. Cette campagne avait été tellement efficace que les gens des nations qui entouraient Juda ont eu peur de Jéhovah (2 Chron. 17:3-10). C’est vrai, Josaphat a commis un acte insensé, mais Jéhovah n’a pas été insensible aux bonnes choses qu’il avait faites. Ce récit biblique nous rappelle que, malgré notre imperfection, Jéhovah ne cessera pas de nous aimer si nous cherchons à lui plaire sans réserve.- TG2015 15/8 p11 §8-9
  10. Perles spirituelles - Semaine du 24 Avril 2023 - 2 Chroniques 13-16.docx Perles spirituelles - Semaine du 24 Avril 2023 - 2 Chroniques 13-16.pdf Perles spirituelles (10 min) : 2 Chroniques 13-16 2 Chroniques 15:16 : Comment pouvons-nous manifester le même courage qu’Asa ? (w17.03 19 § 7) « Le roi Asa retira même à sa grand-mère Maaka le titre de reine mère, parce qu’elle avait fait une idole obscène pour le culte du poteau sacré. Asa abattit cette idole obscène, la pulvérisa et la brûla dans la vallée du Cédron.» Chacun de nous peut examiner son cœur pour voir s’il est entièrement attaché à Dieu. Demande-toi : « Suis-je déterminé à plaire à Jéhovah, à défendre le vrai culte et à protéger son peuple de toute influence corruptrice ? » Songe au courage qu’il a fallu à Asa pour affronter Maaka, qui était « grande dame », c’est-à-dire reine mère ! Tu ne connais sans doute personne qui agisse comme elle, mais il y a peut-être des situations où tu peux imiter le zèle d’Asa. Par exemple, que ferais-tu si un membre de ta famille ou un ami proche commettait un péché, ne se repentait pas et devait être excommunié ? Agirais-tu résolument en cessant de le fréquenter ? Qu’est-ce que ton cœur t’inciterait à faire ? - w17.03 19 § 7 Asa n’hésita même pas à s’en prendre à Maaka, sa grand-mère idolâtre, que l’on considérait un peu comme la ‘première dame’ du royaume. “Parce qu’elle avait fait une idole horrible pour le poteau sacré”, c’est-à-dire pour la déesse Astarté, Asa ne lui permit pas de conserver sa position. — I Rois 15:13; II Chron. 15:16. Quiconque a décidé de ne pas ressembler, sous tel ou tel rapport, à des parents impies, se rendra compte qu’il lui faut faire des efforts suivis pour cultiver une personnalité chrétienne. Un tel homme peut parvenir à se montrer différent pendant un certain temps, mais dévier ensuite et retomber, avec les années ou sous l’influence de pressions particulières, dans la même impiété que ses parents. On remarque ce danger dans le cas d’Asa – TG1981 1/3 p29 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? La Bible emploie l’expression “ alliance de sel ” pour indiquer le caractère permanent et immuable d’une alliance (2Ch 13:5) En raison de ses propriétés conservatrices, le sel est devenu un symbole de permanence, d’immuabilité. Par conséquent, “ une alliance de sel ” désigne un engagement sérieux Il est arrivé que des tribus israélites se combattent l’une l’autre, mais ces guerres internes déplaisaient à Jéhovah Cependant, il a approuvé quelques conflits de ce genre parce que certaines tribus s’étaient rebellées contre lui ou avaient commis d’autres péchés graves (2 Chron. 13:3-18) – TG2022/10 Asa, Josaphat, Ezéchias et Josias ont tous mené campagne pour éradiquer l’idolâtrie en Juda. Asa “ enleva [...] les autels étrangers et les hauts lieux, il brisa les colonnes sacrées et abattit les poteaux sacrés ”. (2 Chron. 14:3.). Aujourd’hui, nous sommes engagés dans une campagne quelque peu similaire pour aider nos semblables à se libérer des faux enseignements religieux, et notamment de l’idolâtrie. Notre ministère de maison en maison nous amène à rencontrer toutes sortes de personnes. – TG2009 15/6 p12 §4 Quand faut-il le plus de détermination pour adorer Jéhovah : quand on se bat contre des problèmes complexes ou au contraire quand notre vie est relativement paisible ? En cas de difficultés, nous avons le réflexe de rechercher l’aide de Jéhovah. Mais que faisons-nous quand tout va bien ? Nous laissons-nous distraire de notre service pour Dieu ? C’est précisément contre ce risque que Jéhovah a mis en garde les Israélites. Asa est un bel exemple pour nous : il a agi avec sagesse en s’appuyant sur Jéhovah. Il l’a servi durant des périodes difficiles, mais aussi en temps de paix. Pendant toute sa vie, il « eut un cœur entièrement attaché à Jéhovah » (1 Rois 15:14, note). Il a montré son attachement à Jéhovah en débarrassant son royaume du faux culte. La Bible dit : « Il fit disparaître du pays les autels étrangers et les hauts lieux, fracassa les colonnes sacrées et coupa les poteaux sacrés » (2 Chron. 14:3, 5). Il a même retiré à sa grand-mère la position de « première dame » du royaume parce qu’elle encourageait le peuple à adorer une idole (1 Rois 15:11-13). Asa n’a pas seulement fait disparaître le faux culte. Il a aussi encouragé le peuple à revenir à Jéhovah et à pratiquer de nouveau le vrai culte. Jéhovah a béni Asa et le peuple en leur accordant un temps de paix. Sous le règne d’Asa, « le pays vécut dans le calme pendant dix ans » (2 Chron. 14:1, 4, 6). 2 Chroniques 14:2, 6, 7. Asa a dit au peuple que c’était Jéhovah qui lui avait « procuré le repos de tous les côtés ». Il n’a toutefois pas estimé que ce temps de paix était l’occasion de profiter tranquillement de la vie. Au contraire, il s’est mis à construire des villes, des murailles, des tours, et des portes à l’entrée des villes. Il a expliqué au peuple : « Le pays est encore en notre possession. » Il voulait dire par là que le peuple pouvait se déplacer en toute liberté dans le pays et entreprendre des constructions sans en être empêché par des ennemis. Il l’encourageait donc à utiliser sagement ce temps de paix. Asa a aussi utilisé cette période de calme pour renforcer son armée (2 Chron. 14:8). Cela signifiait-il qu’il n’avait pas confiance en Jéhovah ? Non, au contraire. Il savait que, s’il voulait être un bon roi, il devait préparer le peuple aux conflits qui pourraient éclater plus tard. Il se doutait que ce temps de paix ne durerait pas indéfiniment. Et il avait raison. – TG2020/9 À l’époque d’Asa, le temps de paix a un jour pris fin. En effet, l’armée éthiopienne est arrivée ! Zéra, son commandant, était persuadé qu’avec un million de soldats, il allait l’emporter sur Juda. Asa, lui, ne pensait pas que c’était le nombre de ses soldats qui lui permettrait de vaincre. Il comptait sur son Dieu, Jéhovah. Il a fait cette prière : « Secours-nous, ô Jéhovah notre Dieu, car nous te faisons confiance, et c’est en ton nom que nous sommes venus contre cette foule » (2 Chron. 14:11). Les soldats éthiopiens étaient presque deux fois plus nombreux que les siens. Mais il savait que Jéhovah était assez puissant pour secourir son peuple. Et Jéhovah ne l’a pas déçu : l’armée éthiopienne a subi une défaite humiliante (2 Chron. 14:8-13). Nous ne savons pas comment évoluera la situation de chacun d’entre nous. Mais nous savons que, si nous bénéficions d’un temps de paix, il ne sera que temporaire. En effet, Jésus avait annoncé que, durant les derniers jours, « toutes les nations » haïraient ses disciples (Mat. 24:9). Paul, lui, avait écrit : « Tous ceux qui veulent vivre dans l’attachement à Dieu et unis à Christ Jésus seront eux aussi persécutés » (2 Tim. 3:12). Satan est « en grande fureur » (Rév. 12:12). Ne nous faisons pas d’illusions : personne n’échappera à sa colère. Bientôt, nous vivrons tous des situations qui mettront notre intégrité à l’épreuve. En effet, le monde va connaître une « grande tribulation comme il n’y en a jamais eu depuis le commencement du monde » Peut-être que, durant cette période, des membres de notre famille s’opposeront à nous et que nos activités seront interdites. Feras-tu alors confiance à Jéhovah, comme Asa ? Seras-tu persuadé qu’il t’aidera et te protégera ? Jéhovah nous prépare aux évènements qui nous attendent. Il agit sur l’« esclave fidèle et avisé » pour qu’il nous fournisse « au bon moment » une nourriture spirituelle qui nous donne la force de continuer à pratiquer le vrai culte avec courage. Mais de notre côté, nous devons renforcer notre foi en Jéhovah. Comme Asa, nous devons « rechercher Jéhovah » (2 Chron. 14:4 ; 15:1, 2). Pour cela, il nous faut tout d’abord apprendre à le connaître et nous faire baptiser. Ensuite, il nous faut saisir toutes les occasions de fortifier notre amour pour lui. Pour savoir où nous en sommes dans ce domaine, nous pourrions nous demander : « Est-ce que j’assiste régulièrement aux réunions de l’assemblée ? » Ces réunions prévues par l’organisation de Jéhovah nous réconfortent spirituellement et nous permettent de profiter de la compagnie encourageante de nos frères et sœurs (Mat. 11:28). Posons-nous aussi cette question : « Est-ce que j’ai l’habitude d’étudier individuellement la Bible ? » Est-ce que ta famille et toi prévoyez chaque semaine un moment pour le culte familial ? Ou, si tu vis seul, est-ce que tu te réserves du temps pour étudier, comme si tu faisais partie d’une famille ? Enfin, demandons-nous : « Est-ce que je consacre le plus de temps possible à prêcher et à faire des disciples ? » - TG2020/6 Quand il était jeune, Asa était humble et courageux. Par exemple, lorsqu’il est devenu roi à la place d’Abia, son père, il s’est mis à débarrasser le pays de l’idolâtrie. Il a aussi ordonné « aux habitants de Juda de rechercher Jéhovah le Dieu de leurs ancêtres et de respecter la Loi et les commandements » (2 Chron. 14:1-7). Et quand Zéra l’Éthiopien a envahi Juda avec un million de soldats, Asa a eu la sagesse de demander l’aide de Jéhovah. Il lui a dit : « Ô Jéhovah, il t’importe peu que ceux que tu sauves soient forts ou faibles. Secours-nous, ô Jéhovah notre Dieu, car nous te faisons confiance. » Ces belles paroles d’Asa montrent qu’il était convaincu que Jéhovah pouvait le sauver, lui et son peuple. Il a fait confiance à son Père céleste, qui lui a donné la victoire sur les Éthiopiens (2 Chron. 14:8-12). Asa a dû avoir très peur face à une armée d’un million de soldats, et c’est normal. Pourtant, il a géré la situation avec sagesse. Plus tard, malheureusement, quand une situation moins difficile s’est présentée, il n’a pas recherché l’aide de Jéhovah. Lorsqu’il a été attaqué par le roi Baasa d’Israël, il fait appel au roi de Syrie. Cette décision a été catastrophique ! En effet, à partir de ce jour-là, il y a eu des guerres contre Asa jusqu’à la fin de son règne. Jéhovah a envoyé son prophète Hanani lui expliquer pourquoi : « C’est parce que tu as fait confiance au roi de Syrie au lieu de faire confiance à Jéhovah ton Dieu » (2 Chron. 16:7, 9). La leçon ? Jeunes frères, restez humbles et continuez de faire confiance à Jéhovah. En vous faisant baptiser, vous avez manifesté une grande foi et une grande confiance en lui. Et Jéhovah a été heureux de vous accorder l’honneur de devenir des membres de sa famille. Mais maintenant, vous devez continuer à lui faire confiance. Quand on doit prendre une décision qui peut changer notre vie, on a souvent le bon réflexe de demander conseil à Jéhovah. Mais qu’en est-il dans d’autres situations ? Il est très important que vous fassiez confiance à Jéhovah quelles que soient les décisions que vous prenez, qu’elles concernent les divertissements, le travail ou vos objectifs. Ne comptez pas sur votre sagesse. Recherchez plutôt les principes bibliques qui s’appliquent à votre situation. Puis agissez en accord avec ces principes. Alors, vous réjouirez Jéhovah et vous gagnerez le respect des membres de votre assemblée - TG2021/3 §12-14 Quel dessein le Diable poursuit-il en s’attaquant sournoisement à nous? Son but immédiat n’est pas de nous faire mourir. Les attaques de Satan ont pour but véritable de détruire nos bonnes relations avec Dieu. Réussira-t-il? Il ne le peut qu’à une seule condition, que la Bible révèle par ces mots: “Jéhovah sera avec vous aussi longtemps que vous resterez avec lui ; si vous le recherchez, il se laissera trouver par vous, mais si vous l’abandonnez, il vous abandonnera.” — II Chroniques 15:2. Malheureusement, chaque année, certains cèdent aux manœuvres de Satan. Ils abandonnent Jéhovah. En fait, bon nombre d’entre eux doivent être excommuniés de l’assemblée chrétienne à cause de leur conduite impie. D’autres deviennent en quelque sorte des ‘prisonniers de guerre’ en se laissant prendre par le système du Diable. Résisterez-vous à tous les efforts de Satan pour vous faire abandonner Jéhovah ? Pour cela, il vous faut constamment être au courant des ruses du Diable. - TG1983 15/3 Nous pouvons tirer leçon de ce qui est arrivé à ceux qui n’ont pas su rester calmes et n’ont pas fait confiance à Jéhovah. Cela nous aidera à ne pas faire les mêmes erreurs qu’eux. Parlons d’Asa, un roi de Juda. Un jour, une immense armée est venue attaquer son pays. Il a alors recherché l’aide de Jéhovah et celui-ci lui a accordé la victoire (2 Chron. 14:9-12). Mais plus tard, quand le roi d’Israël Baasa est venu l’attaquer avec une armée beaucoup plus petite, il n’a pas recherché le secours de Dieu. Il a donné de l’argent et de l’or aux Syriens pour qu’ils lui viennent en aide (2 Chron. 16:1-3). Et vers la fin de sa vie, alors qu’il était atteint d’une maladie grave, il ne s’est pas tourné vers Jéhovah (2 Chron. 16:12). Au début, Asa recherchait l’aide de Jéhovah pour affronter les situations difficiles qu’il rencontrait, mais par la suite, il a préféré les gérer lui-même. Faire appel aux Syriens pouvait sembler être une bonne stratégie. Toutefois, le succès de cette stratégie a été de courte durée. Par l’intermédiaire d’un prophète, Jéhovah a dit à Asa : « C’est parce que tu as fait confiance au roi de Syrie au lieu de faire confiance à Jéhovah ton Dieu que l’armée du roi de Syrie a échappé à ta main » (2 Chron. 16:7). Il est dangereux d’être trop sûrs de nous et de penser que nous pouvons régler nos problèmes sans rechercher la direction de Dieu dans sa Parole. Même quand nous sommes obligés de prendre une décision rapidement, si nous restons calmes et comptons sur Jéhovah, il nous aidera à faire preuve de sagesse – TG2021/1 §13,14 La foi d’Asa en Jéhovah fut largement récompensée quand Zéra, l’Éthiopien, vint contre le royaume de Juda avec un million d’hommes. Le roi appela alors vers le Très-Haut et dit: “Ô Jéhovah, quand il s’agit de secourir, peu t’importe qu’il y en ait beaucoup ou qu’il y ait ceux qui sont sans force. Secours-nous, ô Jéhovah, notre Dieu, car sur toi nous nous appuyons, et c’est en ton nom que nous sommes venus contre cette multitude. Ô Jéhovah, tu es notre Dieu.” — II Chron. 14:9-11. Dieu écouta ce roi différent de son père et aida ses sujets à infliger une défaite humiliante aux Éthiopiens. II Chron. 14:12, 13. Après cet événement, le prophète Azarias rencontra Asa et l’encouragea, lui ainsi que ses sujets, à rester fidèles à Jéhovah. Il leur dit: “Jéhovah est avec vous tant que vous êtes avec lui; et si vous le recherchez, il se laissera trouver par vous, mais si vous le quittez, il vous quittera.” Faisant peut-être allusion à l’époque troublée d’avant la monarchie, époque où les Israélites étaient infidèles, Azarias ajouta: “Et ils furent nombreux, les jours où Israël fut sans vrai Dieu; (...) il y avait de nombreux désordres parmi tous les habitants des pays. Et l’on se pulvérisait, nation contre nation, et ville contre ville, car Dieu les maintenait dans le désordre par toute sorte de détresses.” Mais point n’était besoin d’en arriver là. Si le peuple et le roi n’imitaient pas leurs ancêtres infidèles, alors, déclara le prophète, “il y a une récompense pour votre action”. — II Chron. 15:1-7 Asa et ses sujets réagirent bien aux paroles d’Azarias et continuèrent à purifier la nation de l’idolâtrie. Ils remirent en état l’autel du temple de Jéhovah, que l’on avait dû profaner. Au cours d’une assemblée qu’il tint dans la quinzième année du règne d’Asa, le peuple s’engagea par alliance à servir Jéhovah et convint que tout individu qui s’y opposerait volontairement serait mis à mort. Dans la foule, il y avait de nombreux Israélites qui venaient des dix tribus du royaume du nord. Ils avaient déserté et rejoint Asa quand ils avaient vu que “Jéhovah, son Dieu, était avec lui”. — II Chron. 15:8-15. Le Diable rôde sur la terre, à la recherche de quelqu’un à accuser et à dévorer. À l’opposé, Jéhovah cherche à aider ceux qui ont besoin de sa force. Le prophète Hanani a dit au roi Asa : “ En ce qui concerne Jéhovah, ses yeux rôdent par toute la terre, afin de montrer sa force en faveur de ceux dont le cœur est complet à son égard. ” (2 Chroniques 16:9). Quelle différence entre Satan, qui épie les humains avec haine, et Jéhovah, qui se soucie d’eux avec amour ! Jéhovah ne nous espionne pas pour surprendre nos moindres fautes ou nos moindres défauts. Le psalmiste a écrit : “ Si tu épiais les fautes, ô Yah, ô Jéhovah, qui pourrait tenir ? ” (Psaume 130:3). La réponse implicite est : personne. Si nous nous approchons de Jéhovah avec un cœur complet, ses yeux seront sur nous non pour nous condamner, mais pour observer nos efforts et pour répondre à nos prières lorsque nous lui demanderons de l’aide ou le pardon. L’apôtre Pierre a écrit : “ Les yeux de Jéhovah sont sur les justes, et ses oreilles vers leur supplication ; mais la face de Jéhovah est contre ceux qui font des choses mauvaises. ” — 1 Pierre 3:12. – TG2002 15/10 p14 §4 « On l’enterra alors dans la tombe grandiose qu’il s’était creusée dans la Cité de David ; on le coucha sur un lit mortuaire qu’on avait couvert d’huile de baumier et d’un onguent qu’on avait fabriqué spécialement en mélangeant des ingrédients de diverses sortes. De plus, on fit pour lui une combustion funèbre extraordinairement grande » II Chroniques 16:14 signifie-t-il qu’à sa mort le roi Asa a été incinéré ? Non, la “combustion funèbre” dont il est question dans ce texte était une combustion d’aromates. Quand le roi Asa est mort, il a été inhumé avec de grands honneurs. Nous lisons : “On l’ensevelit donc dans sa grandiose sépulture qu’il s’était excavée dans la ville de David ; et on le coucha sur le lit qu’on avait rempli d’huile de baumier et de différentes sortes d’onguents mélangés en un onguent de fabrication spéciale. En outre, on fit pour lui une combustion funèbre extraordinairement grande.” — II Chroniques 16:14. Certains lecteurs ont pensé qu’il était question de la “combustion” de son corps. Toutefois, normalement, les Hébreux n’incinéraient pas leurs morts. Ils les ensevelissaient dans des cavernes, dans des tombeaux ou dans des tombes creusées dans la terre. Les faits indiquent clairement que les Hébreux n’ont incinéré leurs morts lors de funérailles honorables que dans des cas particuliers, comme celui de Saül et de ses fils. — I Sam. 31:8-13. Cependant, lors des funérailles, ils se servaient d’aromates et d’onguents (Jean 19:40). C’est ainsi qu’après avoir mentionné l’utilisation de ces substances au parfum agréable lors de l’ensevelissement d’Asa, le récit dit qu’“on fit pour lui une combustion funèbre extrêmement grande”. Notez bien qu’il est dit “pour” lui. Il n’est pas question de la combustion de son corps. Le texte indique que ce sont les aromates qui furent brûlés, afin de répandre un parfum agréable. – TG1976 p608 Au début, Asa recherchait l’aide de Jéhovah pour affronter les situations difficiles qu’il rencontrait, mais par la suite, il a préféré les gérer lui-même. Faire appel aux Syriens pouvait sembler être une bonne stratégie. Toutefois, le succès de cette stratégie a été de courte durée. Par l’intermédiaire d’un prophète, Jéhovah a dit à Asa : « C’est parce que tu as fait confiance au roi de Syrie au lieu de faire confiance à Jéhovah ton Dieu que l’armée du roi de Syrie a échappé à ta main » (2 Chron. 16:7). Il est dangereux d’être trop sûrs de nous et de penser que nous pouvons régler nos problèmes sans rechercher la direction de Dieu dans sa Parole. Même quand nous sommes obligés de prendre une décision rapidement, si nous restons calmes et comptons sur Jéhovah, il nous aidera à faire preuve de sagesse. – TG2021/1 §14
  11. Perles spirituelles - Semaine du 17 Avril 2023 - 2 Chroniques 10-12.docx Perles spirituelles - Semaine du 17 Avril 2023 - 2 Chroniques 10-12.pdf Perles spirituelles (10 min) : 2 Chroniques 10-12 2 Chroniques 11:15 : Que signifie peut-être le terme « divinités [ou : « démons », note] en forme de boucs » ? (it-1 618-619) « Jéroboam établit alors ses propres prêtres pour servir dans les hauts lieux ainsi que pour le culte des divinités en forme de boucs et des veaux qu’il avait faits.» Les paroles de Josué en Josué 24:14 montrent que, durant leur séjour en Égypte, les Israélites avaient été influencés dans une certaine mesure par le faux culte qui s’y pratiquait, et Ezéchiel révèle que ces pratiques païennes sévissaient encore bien longtemps après (Éz 23:8, 21). C’est pour cette raison que, de l’avis de certains biblistes, si Dieu promulgua dans le désert un décret interdisant aux Israélites de faire des “ sacrifices aux démons en forme de boucs ” (Lv 17:1-7) et si Jéroboam établit des prêtres “ pour les hauts lieux, pour les démons en forme de boucs et pour les veaux qu’il avait faits ” (2Ch 11:15), c’est signe que parmi les Israélites se pratiquait une forme du culte du bouc semblable à celui qui était répandu en Égypte, notamment en Basse-Égypte. Hérodote (II, 46) affirme que ce culte égyptien inspira aux Grecs leur croyance dans le dieu Pan et aussi dans les satyres, dieux lubriques des forêts qu’on finit par décrire avec des cornes, une queue et des pattes de bouc. Selon certains, la forme mi-animale de ces dieux païens est ce qui a donné l’usage de représenter Satan avec une queue, des cornes et des pieds fendus, coutume répandue chez les prétendus chrétiens du Moyen Âge. Toutefois, il n’est pas précisé ce qu’étaient vraiment ces “ velus [seʽirim] ”. Certains pensent qu’il s’agissait de véritables boucs ou d’idoles en forme de boucs, mais ce ne semble pas être forcément indiqué ; aucun autre texte biblique ne confirme non plus cette hypothèse. Le terme utilisé peut simplement signifier que mentalement ceux qui adoraient ces faux dieux les concevaient avec une forme de boucs ou un aspect velu. L’emploi de “ boucs ” dans ces passages peut autrement n’être qu’un moyen d’exprimer du mépris pour tout ce qui est objet d’idolâtrie en général, de la même façon que le mot rendu par idoles dans de nombreux textes est tiré d’un mot qui signifiait à l’origine “ boulettes d’excrément ”, mais ne veut pas dire que ces idoles étaient vraiment faites d’excrément. — it-1 618-619 La Bible ne nous dit pas exactement ce qu’étaient réellement ces créatures “chevelues ou velues”. Ce mot ne désigne pas nécessairement des idoles en forme de boucs, car l’emploi du mot “boucs” peut être simplement une expression de mépris, tout comme le mot traduit par “idole” vient d’un terme qui signifiait à l’origine “excréments”. Les expressions “velus” ou “boucs” laissent peut-être tout simplement entendre que dans l’esprit de ceux qui adoraient ces dieux, ceux-ci prenaient la forme d’un bouc ou paraissaient être velus. La signification du mot seʽirim que l’on rencontre dans Ésaïe 13:21 et 34:14 n’est pas aussi claire, car le faux culte n’y est pas directement condamné. Décrivant l’état de ruines et de désolation que connaîtrait Babylone, Ésaïe écrivit : “Et là se coucheront assurément les hôtes des régions arides, et, sans faute, leur maisons seront remplies de hiboux grands ducs. Et là résideront sans faute les autruches, et là sauteront les démons en forme de boucs.” (Is. 13:21, NW). Il est intéressant de noter que la Septante emploie ici le mot “démons” et que, parlant de Babylone la Grande, le texte de Révélation 18:2 dit qu’elle est une demeure d’oiseaux impurs et de “démons”. Par conséquent, si, dans Ésaïe 13:21 et 34:14, le terme seʽirim prend une signification qui va au-delà de celle du mot “boucs”, l’emploi de l’expression “démons en forme de boucs” est tout à fait approprié, étant fidèle à la traduction de Lévitique 17:7 et de II Chroniques 11:15. – TG1970 1/8 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Comme les Israélites se sentaient opprimés, ils ont envoyé des représentants exposer franchement au roi leur problème. Ceux-ci ont expliqué : « Ton père a rendu notre joug dur, mais maintenant allège le dur service de ton père et le joug pesant qu’il a mis sur nous, et nous te servirons » (2 Chron. 10:3, 4). Roboam s’est peut-être senti piégé ! S’il acceptait, sa famille et lui, ainsi que son entourage à la cour, devraient mener une vie moins luxueuse, car ils ne pourraient plus exiger autant du peuple. Mais s’il refusait, le peuple risquait de se rebeller. Qu’allait-il faire ? Le jeune roi a demandé l’avis des hommes d’âge mûr qui avaient été les conseillers de Salomon. Cependant, il a ensuite interrogé des hommes de son âge et a préféré suivre leur avis. Il a donc décidé de traiter le peuple plus durement et a répondu : « Je rendrai votre joug plus pesant, et moi j’y ajouterai. Mon père vous a châtiés avec des fouets, mais moi, ce sera avec des lanières » (2 Chron. 10:6-14). Quelle leçon nous pouvons en tirer ? Aujourd’hui, il y a beaucoup de frères et sœurs âgés parmi nous qui servent Jéhovah depuis de nombreuses années et qui peuvent nous aider à prendre de bonnes décisions. C’est faire preuve de sagesse que de les écouter – TG2018/6 Après la mort de Salomon, son fils Rehabam est monté sur le trône. Lorsqu’il a eu besoin de conseils sur la façon de s’acquitter de ses responsabilités, il a d’abord consulté les anciens. Mais il a rejeté leur avis ! Il a préféré celui des jeunes hommes avec qui il avait grandi et qui étaient maintenant à son service. Les conséquences ont été désastreuses (2 Chron. 10:6-11, 19). La leçon pour nous ? Il est sage de rechercher et de prendre en compte les conseils des plus expérimentés. Même si les jeunes frères ne doivent pas se sentir tenus par d’anciennes méthodes, ils ne devraient pas non plus être prompts à écarter les conseils des plus expérimentés – TG2017/1 §12 Yarobam discerna qu’un culte unique est un facteur d’unité pour un peuple. Aussi, afin que les tribus dissidentes n’aillent pas adorer au temple de Jérusalem, il dressa deux veaux d’or non dans la capitale, mais aux deux extrémités du territoire d’Israël : l’un à Béthel au S. et l’autre à Dân au N. Il installa également une prêtrise non lévitique pour diriger et instruire Israël dans le culte des veaux d’or et des démons en forme de boucs. — 1R 12:28-33 ; 2Ch 11:13-15. Yarobam commit ainsi un péché très grave aux yeux de Jéhovah. S’il était resté fidèle à Dieu au lieu de s’adonner à l’idolâtrie la plus éhontée, Jéhovah aurait laissé subsister sa dynastie. Mais en fin de compte, sa maison perdit le trône moins de deux ans après la mort de Yarobam quand Nadab, son fils, fut assassiné. — it-1 Israel Nous sommes au Xe siècle av. n. è. ; beaucoup d’adorateurs de Jéhovah sont placés devant un choix. La guerre civile a été évitée de justesse en Israël, mais il a fallu pour cela accorder une certaine indépendance aux dix tribus du Nord, mécontentes. À peine intronisé, le roi de ces dix tribus, Yarobam, entreprend de renforcer son pouvoir en établissant une nouvelle religion d’État. Il exige de ses sujets une allégeance totale. Comment vont réagir les fidèles serviteurs de Jéhovah ? Resteront-ils attachés au Dieu qu’ils adorent ? Ils seront des milliers à adopter cette belle attitude et à demeurer intègres, et Jéhovah veillera sur eux. — 1 Rois 12:1-33 ; 2 Chron. 11:13, 14. De nos jours aussi, la fidélité des adorateurs de Jéhovah est mise à l’épreuve. La Bible nous met en garde : “ Restez dans votre bon sens, soyez vigilants. Votre adversaire, le Diable, circule comme un lion rugissant, cherchant à dévorer quelqu’un. ” Sommes-nous en mesure de ‘ nous opposer à lui, solides dans la foi ’ ? (1 Pierre 5:8, 9.). Pendant cette période critique, de fidèles serviteurs de Jéhovah ont été opprimés. Ils ont également été soumis à l’influence d’apostats. De plus, certains ont dû s’acquitter de missions difficiles. Cependant, dans aucune de ces situations Jéhovah n’a quitté ses fidèles, et il agira de même à notre époque. — TG2008 15/8 p3-7 §1,2 En réaction à la décision de Roboam, le peuple s’est révolté et a formé une nation à part, le royaume du Nord. Roboam a donc rassemblé son armée. Mais par l’intermédiaire du prophète Shemaya, Jéhovah a ordonné : « Vous ne devez pas monter combattre contre vos frères les fils d’Israël. Retournez chacun à sa maison, car c’est de par moi que cette chose est arrivée » (1 Rois 12:21-24). Roboam devait laisser faire les rebelles ?! Tu peux imaginer comme cela a dû le troubler ! Que penserait le peuple d’un roi qui menace de punir sévèrement ses sujets, mais qui cède face à une révolte que tout le monde peut constater ? (2 Chroniques 13:7). Malgré tout, le roi et son armée « obéirent à la parole de Jéhovah et retournèrent chez eux ». Quelle est la leçon pour nous ? Qu’il est sage d’obéir à Jéhovah même si cela nous vaut des moqueries. Nous aurons ainsi son approbation et sa bénédiction. Cela a-t-il été vrai dans le cas de Roboam ? Au lieu de combattre les rebelles, il s’est mis à construire des villes dans le territoire des tribus de Juda et de Benjamin, sur lesquelles il régnait encore. Et il a renforcé « très puissamment » différentes villes fortifiées (2 Chron. 11:5-12). Plus important, il a obéi aux lois de Jéhovah pendant un certain temps. Et comme les dix tribus du royaume du Nord se sont mises à adorer des idoles, il a obtenu le soutien de beaucoup d’habitants de ce royaume, qui venaient adorer Jéhovah à Jérusalem (2 Chron. 11:16, 17). Ainsi, en obéissant à Jéhovah, Roboam a renforcé son pouvoir royal. - TG2018/6 p14,15 Malgré de bonnes actions, Roboam n’a pas obtenu l’approbation de Dieu. La Bible résume son règne en ces termes : « Il fit ce qui est mauvais. » Pourquoi ? Parce qu’« il n’avait pas solidement établi son cœur pour rechercher Jéhovah » (2 Chron. 12:14). Qu’est-ce que cela signifie ? Roboam a obéi à Dieu certaines fois. Et il a accompli de bonnes choses pour la nation. Mais il n’a pas développé de relation forte avec Jéhovah, ni le profond désir de lui plaire. Il s’est donc mis à pratiquer le faux culte. On pourrait se demander : « Lorsque Roboam s’est laissé discipliner par Jéhovah, était-il vraiment repentant et désireux de lui plaire, ou agissait-il principalement sous l’influence d’autres personnes ? » (2 Chron. 11:3, 4 ; 12:6). Plus tard, il a recommencé à pratiquer le mal. Il était très différent de son grand-père, le roi David ! C’est vrai que David a commis des fautes, mais il s’est toujours repenti sincèrement. Et tout au long de sa vie, il a montré un amour profond pour Jéhovah et pour le vrai Nous pouvons certainement tirer leçon du cas de Roboam. Les personnes qui s’efforcent de combler les besoins de leur famille et d’accomplir de bonnes choses sont à féliciter. Mais pour avoir l’approbation de Dieu, nous devons d’abord et avant tout soutenir le vrai culte et ne pas nous en écarter. Pour cela, efforçons-nous de garder un amour profond pour Jéhovah. Tout comme nous alimentons un feu pour qu’il ne meure pas, nous devons régulièrement étudier la Bible, méditer sur ce que nous lisons et prier avec persévérance pour garder brûlant notre amour pour Dieu. Cet amour nous donnera envie de lui plaire dans toutes nos actions. Et si nous péchons, il nous poussera à nous repentir sincèrement. Contrairement à Roboam, nous resterons fidèles au vrai culte - TG2018/6 p14,15 Certains ont une intelligence aiguë de la nature humaine, parce qu’ils sont observateurs et capables de faire le rapport entre les choses. Rehabam fut guidé par son intelligence de la nature humaine déchue, encline à l’envie et à la jalousie, lorsqu’il donna à ses fils leur héritage. — 2Ch 11:21-23. Les Écritures recommandent avant tout une intelligence supérieure, spirituelle, qui a Dieu pour fondement. Quel que soit le point auquel les hommes exploitent les ressources de la terre, explorent ses profondeurs et les profondeurs de la mer ou étudient le ciel, ils ne peuvent jamais, par leurs seuls efforts, trouver “ le lieu de l’intelligence ” et de la sagesse qui permet de réussir sa vie dans la justice et le bonheur. Cette intelligence-là ‘ vaut mieux que l’argent ’ et elle peut procurer l’avenir qu’on espère, ce que ne procurent pas les richesses et l’honneur éphémères du monde – it-1 Intelligence Le repentir implique un ‘changement de sentiment’ ou ‘changement de volonté’. Pour être sincère, il doit inclure le rejet positif de la mauvaise conduite comme quelque chose de répugnant et d’exécrable. Parallèlement, c’est l’amour de la justice qui incitera le chrétien repentant à prendre la ferme résolution de suivre désormais une ligne de conduite droite. Sans cette haine du mal et cet amour de la justice, le repentir n’aurait guère de force ; il ne serait pas suivi de ce que l’apôtre Paul appela des “œuvres qui conviennent à la repentance”. (Actes 26:20.) Le cas du roi Roboam illustre ce fait. Après s’être humilié sous la colère de Dieu, il se détourna pour faire le mal. Pourquoi ? Parce qu’il “n’appliqua pas son cœur à chercher Jéhovah”. — II Chron. 12:12-14 – TG1972 1/11 p662
  12. Perles spirituelles - Semaine du 10 Avril 2023 - 2 Cheoniques 8-9.docx Perles spirituelles - Semaine du 10 Avril 2023 - 2 Cheoniques 8-9.pdf Perles spirituelles (10 min) : 2 Chroniques 8-9 2 Chroniques 9:19 : Que représentaient peut-être les 12 statues de lions disposées sur les marches qui menaient au trône de Salomon ? (it-2 1110 § 1) « Et il y avait 12 lions sur les six marches, un à chaque extrémité de chaque marche. Dans aucun autre royaume on n’avait fait de trône comme celui-là.» Parmi les trônes des chefs d’Israël, seul celui de Salomon est décrit en détail. Il se trouvait sans doute dans le “ Porche du Trône ”, un des édifices bâtis sur le mont Moria, à Jérusalem. C’était ‘ un grand trône d’ivoire recouvert d’or affiné, avec un dais rond derrière lui et des accoudoirs ’. Ce siège royal fut peut-être réalisé en ivoire massif, mais la technique généralement employée pour la construction du temple laisse penser qu’il était plutôt en bois recouvert d’or affiné et richement décoré de panneaux d’ivoire incrustés. Pour l’observateur, ce trône paraissait sans doute entièrement fait d’ivoire et d’or. Après avoir mentionné les six marches qui menaient au trône, le récit poursuit : “ Deux lions se tenaient à côté des accoudoirs. Et il y avait douze lions qui se tenaient là sur les six marches, de ce côté-ci et de ce côté-là. ” (2Ch 9:17-19). La présence de ces lions symbolisant le pouvoir de régner était appropriée. Il semble que les 12 lions correspondaient aux 12 tribus d’Israël, représentant peut-être leur soumission et leur soutien au roi assis sur ce trône. Un marchepied d’or était, d’une manière ou d’une autre, fixé au trône. Tel qu’il est décrit, ce trône d’ivoire et d’or, élevé, protégé par son dais, précédé de lions majestueux, dépasse en magnificence tous les trônes connus de la même époque, qu’ils aient été découverts par des archéologues, représentés sur des monuments ou décrits par des inscriptions. Le chroniste dit très justement : “ Aucun autre royaume n’avait un trône fait de la sorte. ” — 2Ch 9:19 - it-2 1110 § 1 Toutes les images ne sont pas des idoles. La loi de Dieu qui interdisait de faire des images ne visait pas la fabrication de toutes les représentations et statues. En effet, Jéhovah ordonna plus tard de faire deux chérubins en or sur le couvercle de l’Arche et de broder des représentations de chérubins sur les dix toiles constituant la couverture intérieure du tabernacle et sur le rideau qui séparait le Saint du Très-Saint. De même, l’intérieur du temple de Salomon, dont David avait reçu les plans architecturaux sous l’inspiration divine, était richement orné de sculptures gravées : chérubins, représentations de palmiers et de fleurs. Deux chérubins en bois d’arbre à huile recouverts d’or se tenaient dans le Très-Saint de ce temple. La mer en métal fondu reposait sur 12 taureaux de cuivre, et les parois des chariots de cuivre réservés à l’usage du temple étaient décorées d’images de lions, de taureaux et de chérubins. Douze lions se tenaient de chaque côté des marches par lesquelles on accédait au trône de Salomon. — 2Ch 9:17-19. Ces représentations n’étaient pas des idoles faisant l’objet d’un culte – it-1 p1163 Idôles Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Salomon a poursuivi son programme de construction après l’achèvement des travaux du temple (2 Chroniques 8:1-6). Nous ne savons pas dans quelle mesure l’œuvre de témoignage accomplie de nos jours s’accroîtra encore, ce qui rend nécessaire la construction de salles et d’autres locaux. Mais ce que nous savons, en revanche, c’est que lorsque la bonne nouvelle du Royaume sera prêchée dans la mesure voulue par Jéhovah, alors viendra la fin, la “grande tribulation” La planète n’étant plus saccagée par des hommes avides, ‘les nouveaux cieux et la nouvelle terre’ prévus par Jéhovah procureront alors des bienfaits ineffables à l’humanité. Puissions-nous donc ‘exulter et être joyeux à jamais dans ce que Dieu crée’, donnant toute louange à notre Créateur grandiose — TG1993 1/1 §20 II Chroniques 8:16 « Ainsi tous les travaux de Salomon furent organisés avec soin, depuis le jour où les fondations du temple de Jéhovah furent posées jusqu’à ce que le Temple soit achevé. C’est ainsi que le temple de Jéhovah fut achevé » Ce texte nous enseigne l'importance de l'organisation, puisque Jéhovah est un Dieu d'ordre, il veut que toutes les choses que nous faisons soient faites décemment et par arrangement. Donc, si nous le faisons comme ça, nous réussirons dans tous les domaines que nous entreprenons. Salomon, après avoir mené à bonne fin son programme de construction de vingt ans, se mit en devoir d’en exécuter un autre s’étendant sur tout le pays (II Chroniques 8:1-10). Ce fut alors que la reine de Saba vint ‘des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon’ II Chroniques 9:1-12. Ces faits suggèrent une question: Qu’apportera au peuple de Jéhovah l’avenir immédiat ? Nous voulons attendre avec confiance — et nous verrons.” Grâce à une organisation théocratique, un vaste programme de construction spirituelle mené dans le monde entier a rassemblé plus de huit millions de personnes appartenant à la grande foule. Comme la reine de Schéba, ces personnes viennent des parties les plus lointaines de la terre pour entendre la sagesse du Grand Salomon, Christ Jésus, sagesse qui leur est transmise par l’intermédiaire de “l’esclave fidèle et avisé”. — TG1992 1/3 encadré La Pâque faisait partie des « fêtes fixées » que les Hébreux devaient célébrer chaque année (2 Chron. 8:13). Étant juifs et sous la Loi mosaïque, Jésus et ses apôtres célébraient la Pâque. Lors de sa dernière Pâque, Jésus a institué un nouvel évènement que ses disciples devaient continuer d’observer chaque année : le Repas du Seigneur ou Mémorial – TG2013 15/12 p17 §6 Sa richesse et sa gloire. Salomon fit beaucoup de commerce. Sa flotte apportait, en collaboration avec celle de Hiram, de grandes quantités d’or de la région d’Ophir, ainsi que des bois d’“ algoummim ” et des pierres précieuses - 2Ch 8:17, 18 ; 9:10, 11. Il faisait venir des chevaux et des chars d’Égypte, tandis que des commerçants venus de tous les coins du monde d’alors apportaient leurs marchandises en abondance. Le revenu annuel en or de Salomon s’élevait à 666 talents (env. 237 000 000 euros), sans compter l’argent, l’or et les autres articles apportés par les marchands (2Ch 9:13, 14). En outre, “ tous les rois de la terre ” venaient chaque année avec des cadeaux de leurs pays : objets d’or et d’argent, huile de baumier, armes, chevaux, mulets et autres richesses (2Ch 9:23-28). Les navires de Tarsis importaient même des singes et des paons (2Ch 9:21). Salomon eut 4 000 écuries de chevaux, des chars (1R 10:26 parle de 1 400 chars) et 12 000 coursiers (ou peut-être cavaliers). — 2Ch 9:25 . Aucun roi, dans toute la terre, ne posséda autant de richesses que Salomon (2Ch 9:22). Les abords de son trône dépassaient en magnificence tout ce qu’on pouvait voir dans les autres royaumes. Le trône lui-même était en ivoire recouvert d’or affiné. Un dais rond était placé à l’arrière ; six marches y conduisaient, avec six lions de chaque côté, et deux lions se tenaient à côté des accoudoirs (2Ch 9:17-19). Pour les récipients à boire, seul de l’or était utilisé ; il est précisé que “ rien n’était en argent ; on considérait l’argent comme rien aux jours de Salomon ”. (2Ch 9:20.) Il y avait dans la maison de Salomon et dans le temple des harpes et des instruments à cordes en bois d’algoummim, des instruments comme on n’en avait jamais vu auparavant en Juda. — 2Ch 9:11. – it-2 Salomon Songez à la reine de Saba qui, au départ, doutait que le règne de Salomon fût aussi exceptionnel et sa sagesse aussi grande qu’on le disait. Qu’est-ce qui l’a convaincue du contraire ? “ Je n’ai pas ajouté foi à leurs paroles, a-t-elle reconnu, jusqu’à ce que je sois venue pour que mes propres yeux puissent voir. ” (2 Chron. 9:6). Effectivement, ce que nous voyons de nos “ propres yeux ” peut avoir un puissant effet sur nous – TG2011 15/3 Venue à Jérusalem pour y rencontrer le roi Salomon, la reine de Saba, dont nous ignorons le nom, fut vivement impressionnée par la sagesse que Dieu avait accordée au roi, si bien qu’elle déclara heureux ses serviteurs parce qu’ils pouvaient écouter pour leur profit l’homme le plus sage qui soit. Elle en fut si stupéfaite qu’elle offrit à Salomon quelque 120 talents d’or, des pierres précieuses et une huile de baumier de grande valeur. Il se peut qu’elle ait largement puisé dans les coffres de son minuscule royaume pour y prélever cette somme importante, mais, sans aucun doute, elle goûta au bonheur de donner. Salomon goûta, lui aussi, au bonheur de donner, puisqu’il lui remit à son tour des présents dont la valeur excédait, semble-t-il, celle des trésors qu’elle lui avait donnés. — 2 Chroniques 9:12, De toute évidence, les cadeaux nous permettent toujours de nouer et d’entretenir des liens d’affection ou d’amitié avec les autres en leur faisant savoir que nous nous soucions d’eux – RV1987 22/11 La Bible rapporte que, lorsque la reine de Saba a rendu visite à Salomon, « elle donna au roi cent vingt talents d’or, de l’huile de baumier en très grande quantité et des pierres précieuses ; il n’avait jamais paru d’huile de baumier semblable à celle que la reine de Saba donna au roi Salomon » (2 Chroniques 9:9). Des rois ont également envoyé à Salomon de l’huile de baumier en témoignage d’amitié (2 Chroniques 9:23, 24). Pourquoi les aromates et leurs dérivés étaient-ils si précieux et si chers aux temps bibliques ? Parce qu’ils jouaient plusieurs rôles importants. Ils étaient par exemple utilisés en cosmétique, lors de services religieux ou pour des funérailles Les aromates étaient chers en raison non seulement de la demande élevée, mais aussi des coûts de transport. TG2015 1/3 p13-15 SALOMON A-T-IL RÉUSSI SA VIE ? Sous bien des rapports, Salomon a brillamment réussi. Pourquoi ? Parce que, pendant des années, il a craint Jéhovah et lui a obéi. En retour, il a été abondamment béni. Il recevait tous les ans environ 22 tonnes d’or (2 Chron. 9:13). Il excellait en diplomatie, dans la construction et dans le commerce. Pour tout dire, tant qu’il a eu l’approbation de Dieu, Salomon a réussi ce qu’il entreprenait. — 2 Chron. 9:22-24. Salomon était loin de croire que la réussite et le bonheur étaient réservés à ceux qui étaient riches ou en vue. Rester fidèle n’est pas toujours facile. Mais nous savons que cela nous vaut la bénédiction et l’approbation de Jéhovah, les clés de la vraie réussite. Notre fidélité nous apporte des bienfaits dès à présent et nous en apportera bien d’autres à l’avenir. Nous avons donc d’excellentes raisons de mettre notre espérance, non pas “ dans des richesses incertaines, mais en Dieu, qui nous procure richement toutes choses pour que nous en jouissions ”. Ce faisant, nous amassons en lieu sûr “ un beau fondement pour l’avenir ”, afin de saisir fermement “ la vie véritable – TG2012 15/12 p4-8 §4 Jéhovah a inclut dans le récit inspiré la déclaration selon laquelle Salomon, à sa mort, “se coucha [s’endormit] avec ses pères”. (I Rois 11:43 ; II Chron. 9:31.) Ainsi, en nous servant du parallélisme biblique, nous pouvons raisonnablement conclure que Salomon, de même que ses pères Abraham, Moïse et David, se trouve dans le shéol ou Hadès d’où il sera ressuscité. Bien que certains puissent croire que, vu sa grande sagesse, Salomon était pleinement responsable quand il se tourna vers le faux culte, Jéhovah, qui est un Dieu de justice et de miséricorde parfaites, connaît tous les facteurs en jeu, et il semble que ce soit là sa décision sur la question. – TG1966 15/7
  13. Perles spirituelles - Semaine du 27 Mars 2023 - 2 Chroniques 5 -7.docx Perles spirituelles - Semaine du 27 Mars 2023 - 2 Chroniques 5 -7.pdf Perles spirituelles (10 min) : 2 Chroniques 5-7 2 Chroniques 6:29, 30 : Quel réconfort ces paroles de la prière de Salomon peuvent-elles nous apporter ? (w10 1/12 11 § 7). « Alors quelle que soit la prière, quelle que soit la supplication que fera n’importe quel homme ou tout ton peuple Israël (car chacun connaît sa détresse et sa douleur), quand ils lèveront les mains vers cette maison, 30 s’il te plaît, entends depuis le ciel, le lieu où tu habites, et pardonne. Traite chacun selon toutes ses façons d’agir — car tu connais le cœur de chacun (toi seul connais réellement le cœur des humains —.» La prière de Salomon est d’un grand réconfort. Les hommes ne comprennent peut-être pas pleinement nos sentiments intimes notre “ plaie ” et notre “ douleur ”. (Proverbes 14:10.) Mais Jéhovah connaît notre cœur et se soucie profondément de nous. Si nous épanchons notre cœur en le priant, nos fardeaux seront plus faciles à porter. “ Rejetez sur lui toute votre inquiétude, dit la Bible, parce qu’il se soucie de vous. ” — 1 Pierre 5:7 - w10 1/12 11 § 7 Salomon implora Jéhovah d’écouter la prière de toute personne au cœur sincère qui s’adresserait à lui au sujet de “ sa plaie et sa douleur ”. Comment Dieu réagirait-il à la prière de l’homme ou de la femme en proie à la détresse ? Salomon exprima sa conviction que non seulement Dieu écouterait leurs prières, mais qu’il agirait également en leur faveur. Pourquoi ? Parce qu’il sait exactement ce qu’il y a dans “ le cœur des fils des humains ”. Nous pouvons nous aussi nous adresser à Jéhovah par la prière et lui faire part de ‘ notre plaie et de notre douleur ’, de notre détresse personnelle. Nous devrions être réconfortés de savoir qu’il comprend nos angoisses et qu’il se soucie de nous. Soyons-en sûrs : Jéhovah est tout disposé à nous aider si nous sommes affligés par une situation difficile – TG2008 15/3 p12-13 Jéhovah connaît notre cœur. Il connaît aussi nos combats : il sait que nous luttons contre l’esprit du monde et contre nos imperfections. Il comprend toutes nos pensées, tous nos sentiments et aussi nos limites. Et quand il voit tous les efforts que nous déployons, son amour pour nous grandit ; – TG2021/7 La prière que le roi Salomon a prononcée lors de l’inauguration du temple souligne l’importance de faire connaître ses besoins : “ S’il y a une famine dans le pays, s’il y a une peste, s’il y a dessèchement des céréales et rouille, sauterelles et blattes ; si leurs ennemis les assiègent dans le pays de leurs portes — n’importe quelle sorte de plaie et n’importe quelle sorte de maladie —, quelle que soit la prière, quelle que soit la demande de faveur qu’il y aura chez n’importe quel homme ou chez tout ton peuple Israël, parce qu’ils connaîtront chacun sa plaie et sa douleur ; [...] alors toi, puisses-tu entendre depuis les cieux [...] et tu devras pardonner et rendre à chacun selon toutes ses voies. ” (2 Chroniques 6:28-30). En effet, vous seul ‘ connaissez votre plaie et votre douleur ’. Par conséquent, il est indispensable que vous fassiez connaître vos besoins réels et vos désirs – TG2003 15/4 Qui d’entre nous ne s’est jamais senti écrasé par les difficultés de la vie ? Nous avons parfois l’impression que personne ne peut vraiment comprendre nos luttes ou nos souffrances. Pourtant, il existe quelqu’un qui comprend pleinement nos sentiments : Jéhovah Dieu. Les paroles de Salomon rapportées en 2 Chroniques 6:29, 30 nous offrent du réconfort. Salomon prononce une prière à l’occasion de l’inauguration du temple de Jérusalem, en 1026 avant notre ère. Dans cette prière, qui dure peut-être dix minutes, il exalte en Jéhovah le Dieu fidèle, Celui qui tient ses promesses et qui entend la prière. Salomon implore Dieu d’écouter la supplication de ses adorateurs (verset 29). Après avoir mentionné divers maux (verset 28), il fait observer que chaque adorateur connaît “ sa plaie ” et “ sa douleur ”. Les causes de chagrin peuvent être très différentes d’une personne à l’autre. Toujours est-il que ceux qui craignent Dieu n’ont pas à porter leurs fardeaux seuls. Dans sa prière, Salomon pense à l’adorateur qui se sent poussé à ‘ étendre ses paumes ’ et à prier Jéhovah avec ferveur. Comment Jéhovah répond-il aux appels à l’aide ? Salomon l’implore en ces termes : “ Puisses-tu entendre depuis les cieux, le lieu où tu habites, et tu devras pardonner et rendre à chacun selon toutes ses voies. ” (Verset 30). Il sait que Celui “ qui entend la prière ” se soucie de ses adorateurs non seulement collectivement, mais aussi individuellement. Jéhovah accorde l’aide nécessaire, y compris le pardon au pécheur qui revient vers lui de tout son cœur. Pourquoi Salomon est-il sûr que Jéhovah répondra aux supplications du pécheur repentant ? Il poursuit : “ Parce que tu [Jéhovah] connais son cœur (car toi seul tu connais bien le cœur de tous les fils des humains). ” Jéhovah sait quelle plaie ou quelle douleur chacun de ses adorateurs fidèles porte dans son cœur, et il est sensible à sa détresse. — La prière de Salomon est d’un grand réconfort. Les hommes ne comprennent peut-être pas pleinement nos sentiments intimes — notre “ plaie ” et notre “ douleur ”. Mais Jéhovah connaît notre cœur et se soucie profondément de nous. Si nous épanchons notre cœur en le priant, nos fardeaux seront plus faciles à porter. “ Rejetez sur lui toute votre inquiétude, dit la Bible, parce qu’il se soucie de vous. ” — 1 Pierre 5:7. – TG2010 1/12 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Jéhovah a été loué par des chants avec accompagnement instrumental quand le roi Salomon a inauguré le temple de Jérusalem. Voici ce qu’on lit en 2 Chroniques 5:13, 14: “Il advint, dès que les sonneurs de trompettes et les chanteurs furent comme un seul pour faire entendre un seul son en louant et en remerciant Jéhovah, et dès qu’ils firent s’enfler le son avec les trompettes, et avec les cymbales, et avec les instruments accompagnant le chant, et aussi en louant Jéhovah, ‘car il est bon, car sa bonté de cœur est pour des temps indéfinis’, que la maison fut remplie d’une nuée, la maison même de Jéhovah, et les prêtres ne purent se tenir là pour faire le service, à cause de la nuée; car la gloire de Jéhovah remplissait la maison du vrai Dieu.” Que montre ce récit? Que Jéhovah écoutait, mais aussi appréciait, cette louange mélodieuse, ce qu’indiqua la nuée surnaturelle TG1994 1/5 p10 La manifestation de la gloire de Dieu était si impressionnante que “nul ne pouvait entrer dans le sanctuaire”. Il en était ainsi lors de l’inauguration du temple de Salomon, car lorsque la nuée remplit la maison de Jéhovah, “les sacrificateurs ne purent pas y rester pour faire le service, à cause de la nuée ; car la gloire de l’Éternel remplissait la maison de Dieu”. (II Chron. 5:13, 14.) Cela nous donne la certitude que Jéhovah est présent dans son temple céleste, en puissance et en gloire, et qu’en sa qualité de juge – TG1967 1/9 p138 Jéhovah, en Père aimant et en Protecteur de son peuple, rendait sa présence manifeste en Israël. Il utilisait pour cela, entre autres moyens, un nuage resplendissant, qui était indissociable de son lieu de culte. Cette lumière saisissante, qui brillait miraculeusement dans le Très-Saint du tabernacle, puis du temple construit par Salomon, symbolisait la présence invisible de Jéhovah. Elle ne signifiait pas que Jéhovah était là en personne ; aucune construction humaine ne peut le contenir (2 Chroniques 6:18 « Mais toi, ô Dieu, habiteras-tu vraiment avec les humains sur la terre ? En effet, le ciel dans toute son immensité ne peut pas te contenir ; encore moins cette maison que j’ai construite ». Cette lumière surnaturelle dans le sanctuaire, symbole de la présence protectrice de Jéhovah, donnait au grand prêtre, et par son intermédiaire à tous les Israélites, l’assurance qu’Il prenait soin de son peuple. – TG2005 15/8 La prière fervente prononcée par le roi Salomon lors de l’inauguration du temple en est un exemple. Jéhovah a montré qu’il agréait cette prière en remplissant le temple de sa gloire et en déclarant : “ Mes oreilles [seront] attentives à la prière faite en ce lieu. ” — 2 Chroniques 6:12–7:3, 15. Les Israélites ne pouvaient-ils s’approcher de Dieu que par l’intermédiaire de représentants désignés ? Non. Les Écritures attestent que Jéhovah prenait plaisir à écouter les prières personnelles. Dans sa prière d’inauguration du temple, Salomon a dit à Jéhovah : “ Quelle que soit la prière, quelle que soit la demande de faveur qu’il y aura chez n’importe quel homme ou chez tout ton peuple Israël, [...] lorsqu’il étendra réellement ses paumes vers cette maison, alors toi, puisses-tu entendre depuis les cieux. ” (2 Chroniques 6:29, 30). Ainsi, quand on s’approchait de lui de la manière voulue, Jéhovah était heureux d’écouter aussi bien les requêtes formulées en faveur de toute la nation par des représentants de celle-ci que les prières personnelles. Même si l’alliance de la Loi n’est plus en vigueur aujourd’hui, il y a de précieuses leçons à dégager de la façon dont on s’approchait de Dieu en Israël. Dans le système chrétien, il n’existe pas de temple matériel dans lequel des prêtres représentent l’ensemble du peuple de Dieu et vers lequel on se tourne pour prier. Cela ne veut pas dire que Jéhovah n’a rien prévu pour que nous nous approchions de lui. Quand, en 29 de notre ère, Christ a été oint et établi Grand Prêtre, un temple spirituel est entré en fonction. Ce temple spirituel était le nouveau moyen qui permettrait d’avoir accès auprès de Jéhovah pour l’adorer grâce au sacrifice propitiatoire de Jésus Christ. C’est par Jésus, et par lui seul, que nous avons libre accès auprès du Père. Tous les serviteurs de Dieu peuvent aujourd’hui s’approcher de Jéhovah librement avec l’assurance d’être entendus. – TG2006 1/9 Les fidèles du passé savaient que le Créateur de la terre et de l’univers immense ne réside pas dans des bâtiments faits à la main. “ Est-ce que vraiment Dieu habitera avec les humains sur la terre ? ” a demandé le roi Salomon. “ Vois ! Le ciel lui-même, oui le ciel des cieux, ne peut te contenir ! ” s’est-il exclamé à juste raison (2 Chroniques 6:18). Jadis, il est vrai, les Israélites avaient un tabernacle, puis un temple où, comme l’exigeait la loi divine, ils se réunissaient à l’occasion de fêtes religieuses annuelles. Toutefois, ils pouvaient parler à Dieu à tout moment : quand ils gardaient leurs troupeaux, travaillaient dans les champs, ou se retrouvaient seuls ou en famille. De même, nous pouvons prier n’importe où et n’importe quand. Jésus Christ, notre modèle, allait souvent prier dans des endroits calmes et isolés – RV2012/6 Lors de l’inauguration du temple à Jérusalem, le roi Salomon eut accès auprès de Jéhovah au nom de la nation. Il le pria d’avoir les yeux ouverts et tournés jour et nuit vers cette maison, sur laquelle Il avait placé Son nom ; il le pria aussi d’écouter les requêtes du roi, de la nation ainsi que des étrangers qui se joindraient à Israël, de quiconque ‘ prierait vers cette maison ’. De cette façon, Dieu était accessible à tous, du roi au plus petit membre de la nation. — 2Ch 6:19-42. – it-1 p36 §5 Où est Dieu ? Plusieurs versets bibliques qualifient “ les cieux ” de ‘ lieu fixe où Dieu habite ’.(1 Rois 8:39, 43, 49 ; 2 Chroniques 6:33, 39.) Cependant, la Bible fait aussi cette observation au sujet de la grandeur de Jéhovah Dieu : “ Est-ce que vraiment Dieu habitera avec les humains sur la terre ? Vois ! Le ciel lui-même, oui le ciel des cieux, ne peut te contenir. ” — 2 Chroniques 6:18. “ Dieu est un Esprit ”, déclarent les Écritures (Jean 4:24). Par conséquent, il réside dans un domaine spirituel qui n’a rien à voir avec l’univers physique. Lorsque la Bible parle ‘ des cieux ’ comme du lieu où Dieu habite, c’est pour souligner à quel point ce lieu est élevé par rapport au monde physique qui est le nôtre. Ainsi, les Écritures établissent que la demeure de Dieu, tout en étant bien distincte de l’univers physique, correspond à un endroit très précis. — RV2005 8/3 Dieu n’a jamais réservé ses bénédictions au seul peuple d’Israël. Dans son impartialité, il a permis à des gens d’autres nations de l’adorer aux côtés de son peuple choisi (2 Chroniques 6:32, 33). Nombre d’entre eux ont accepté son invitation, ce qui leur a valu d’être bénis. Jéhovah était accessible à tous, du roi à l’Israélite le plus humble, même à l’étranger qui s’approchait de lui avec sincérité. - RV2005 8/12 Le fait que Jéhovah ait une habitation montre qu’il n’est pas présent en tout lieu à tout moment. Comment peut-il donc savoir ce qui s’y passe (2 Chroniques 6:39) ? Entre autres choses grâce à son esprit saint, ou force agissante. - RV2011/4 Salomon proclama la fidélité de Jéhovah et bénit tout le peuple présent au temple. Se tenant près du grand autel où étaient déposés les sacrifices d’animaux offerts à Dieu, Salomon fit une longue prière ; il priait en faveur du peuple élu de Jéhovah et aussi en faveur des futurs adorateurs qui viendraient de pays étrangers. Jéhovah donna une preuve qu’il avait entendu la prière de Salomon. “ Lorsque Salomon eut achevé de prier, le feu descendit du ciel et consuma l’holocauste et les sacrifices, et la gloire de l’Éternel remplit la maison. Les sacrificateurs ne pouvaient entrer dans la maison de l’Éternel, car la gloire de l’Éternel remplissait la maison de l’Éternel. Tous les enfants d’Israël virent descendre le feu et la gloire de l’Éternel sur la maison ; ils s’inclinèrent le visage contre terre sur le pavé, se prosternèrent, et louèrent l’Éternel en disant : Car il est bon, car sa miséricorde dure à toujours ! ” (II Chron. 7:1-3). Le feu du ciel qui alluma le bois dans le nouvel autel et consuma les victimes animales qui s’y trouvaient témoignait que Jéhovah avait accepté le temple et son autel. Il était montré par là que Dieu consentait au transfert de son culte, de l’ancien tabernacle au palais sacré sur le mont Morija. Il était désormais présent en ce temple, comme il l’avait été au tabernacle. Ce n’est pas à dire que Jéhovah était présent au sens propre du terme dans ce temple de pierres, pas plus qu’il n’avait été présent en personne dans le tabernacle plus modeste construit par Moïse. Ni ce temple ni le tabernacle ne pouvait contenir le grand Dieu de l’univers. Salomon lui-même reconnut ce fait lors de l’inauguration du temple, disant dans sa prière : “ Mais quoi ! Dieu habiterait-il véritablement avec l’homme sur la terre ? Voici les cieux et les cieux des cieux ne peuvent te contenir : combien moins cette maison que j’ai bâtie ! ” (II Chron. 6:18). Jéhovah était présent dans ce saint temple sur le mont Morija à Jérusalem en ce sens qu’il avait envoyé sa puissance de son trône céleste et qu’il l’avait rendue visible au temple par la nuée glorieuse et par le feu du ciel. Il était aussi présent au temple en ce sens qu’il gardait son attention fixée sur cet édifice et qu’il exauçait les prières qui y étaient offertes ou qui y étaient dirigées par des croyants faisant des requêtes la face tournée en direction du temple. Voici ce que Salomon a dit dans sa prière d’inauguration : “ Toutefois, Éternel, mon Dieu, sois attentif à la prière de ton serviteur et à sa supplication ; écoute le cri et la prière que t’adresse ton serviteur. Que tes yeux soient jour et nuit ouverts sur cette maison, sur le lieu dont tu as dit que là serait ton nom ! Écoute la prière que ton serviteur fait en ce lieu. ” (II Chron. 6:19, 20). – TG1956 15/5 p149 Dans l’Israël antique, pour obtenir le pardon des péchés, il fallait faire des sacrifices. Les sacrifices étaient indispensables pour jouir de la faveur de Jéhovah. Certains étaient obligatoires, d’autres volontaires, ou facultatifs. Aux jours de Salomon, lors de l’inauguration du temple, des sacrifices particulièrement généreux ont été offerts à Dieu (2 Chron. 7:4-6). Dans son amour, Jéhovah comprenait bien que tous ne pouvaient pas lui offrir des sacrifices de même valeur. Il n’exigeait des Israélites que ce qu’ils pouvaient donner. Toutefois, Jéhovah n’était pas rigide. Par exemple, de la part de celui qui n’avait pas les moyens d’offrir un animal pris parmi le petit ou le gros bétail, il acceptait des tourterelles. Ainsi, même le pauvre avait la joie d’offrir des sacrifices à Jéhovah. Mais quel que soit l’animal offert, deux choses étaient requises de celui qui faisait un sacrifice volontaire. 6 Premièrement, le donneur devait offrir ce qu’il avait de meilleur. Jéhovah l’avait dit aux Israélites : s’ils voulaient s’« attirer l’approbation », toutes leurs offrandes devaient être sans défaut. Si l’animal avait une tare, il ne serait pas considéré comme acceptable pour Jéhovah. Deuxièmement, le donneur devait lui-même être pur et sans souillure. Celui qui voulait offrir un sacrifice volontaire mais se trouvait dans un état d’impureté devait d’abord retrouver l’approbation divine en offrant un sacrifice pour le péché ou un sacrifice de culpabilité. C’était une question sérieuse. Jéhovah avait bien précisé que toute personne qui, dans un état d’impureté, avait part à un sacrifice de communion (qui pouvait être une offrande volontaire) serait retranchée de son peuple. Par contre, quand il avait l’approbation de Jéhovah et que son offrande était sans tare, le donneur pouvait se réjouir « d’une grande joie ». Aujourd’hui aussi, beaucoup ont envie de se dépenser au service de Jéhovah, et Jéhovah s’en réjouit. Jéhovah nous encourage à donner le meilleur et sans retenue. Cela dit, attention ! Comme les Israélites de l’Antiquité, nous devons veiller à ce que nos sacrifices volontaires conviennent à Dieu. Nous devons rester équilibrés, nous acquitter d’abord de nos responsabilités relatives à notre famille et au culte pour Jéhovah. Nous ne devrions pas sacrifier du temps et des ressources pour d’autres au point de négliger le bien-être spirituel ou physique de notre famille. Nous offririons en quelque sorte ce que nous n’avons pas. De plus, il nous faut entretenir notre propre spiritualité. Soyons certains, cependant, que si nous nous conformons aux normes bibliques, nos sacrifices nous apporteront beaucoup de joie et de satisfaction et seront particulièrement « agréé[s] » de Jéhovah. – TG2013 15/12 Lors de la dédicace du saint temple à Jérusalem (1027 av. J.-C.), le roi Salomon adressa à Jéhovah Dieu une prière spéciale. Il implora Jéhovah de reconnaître officiellement les prières qui seraient dites dans ce nouveau temple, aussi bien par les Israélites que par les non-Juifs. “Jéhovah lui apparut [à Salomon] pendant la nuit et lui dit : ‘J’ai exaucé ta prière et j’ai choisi ce lieu comme la maison où l’on m’offrira des sacrifices. (...) Mes yeux seront désormais ouverts et mes oreilles attentives à la prière faite en ce lieu.’” (II Chron. 7:12, 15). Ainsi, Jéhovah Dieu confirma officiellement qu’il écouterait les prières dites en ce lieu ; voilà pourquoi le temple de Jérusalem fut appelé “une maison de prière”. – TG2008 1/7 En 2 Chroniques 7:14, Dieu a déclaré que si des pécheurs ‘s’humiliaient, et priaient, et cherchaient sa face, et revenaient de leurs mauvaises voies, alors, lui, il entendrait des cieux et il pardonnerait leur péché’. ‘Chercher la face de Dieu’ signifie l’approcher dans la prière pour confesser sa faute et implorer son pardon. Peut-être ce pas vous coûtera-t-il, mais il vous procurera certainement un grand soulagement L’humilité transparaît aussi dans le contenu de la prière. Si nous prions avec humilité nous ne donnerons pas l’impression d’exiger de Dieu qu’il fasse certaines choses de la manière dont nous le concevons. Nous le prierons plutôt d’agir conformément à sa volonté sacrée. - RV1994 22/1 p19
  14. Perles spirituelles - Semaine du 20 Mars 2023 - 2 Chroniques 1-4.docx Perles spirituelles - Semaine du 20 Mars 2023 - 2 Chroniques 1-4.pdf Perles spirituelles (10 min) : 2 Chroniques 1-4 2 Chroniques 1:11, 12 : Que nous enseigne ce récit au sujet des prières individuelles ? (w05 1/12 19 § 5) « Alors Dieu dit à Salomon : « Parce que c’est là le désir de ton cœur et que tu n’as pas demandé richesse, biens et honneur, ni la mort de ceux qui te haïssent, et que tu n’as pas non plus demandé une longue vie, mais que tu as demandé sagesse et connaissance afin de juger mon peuple, sur lequel je t’ai fait roi, 12 sagesse et connaissance te seront données. Mais je te donnerai aussi richesse, biens et honneur comme aucun roi avant toi n’en a jamais eu, et comme aucun roi après toi n’en aura jamais. » Par la requête qu’il a formulée, le roi Salomon a montré à Jéhovah que la sagesse et la connaissance lui tenaient à cœur. Nos prières révèlent en effet ce qui nous tient à cœur. Nous avons donc tout intérêt à analyser leur contenu - w05 1/12 19 § 5 En fonction de ce que Salomon a demandé et n’a pas demandé, Jéhovah a su ce qui lui tenait à cœur. Que révèlent nos prières sur notre cœur ? Indiquent-elles que nous avons soif de connaissance, de sagesse et de discernement. Les intérêts du Royaume nous tiennent-ils à cœur. Si nos prières sont devenues machinales, superficielles, il est peut-être nécessaire que nous méditions sur les actions de Jéhovah. Tous les chrétiens doivent chercher à discerner ce que leurs prières révèlent – TG2001 15/12 Salomon reçut une sagesse particulière en qualité de roi du peuple élu de Dieu (2 Chroniques 1:12, 13). Sous son règne, Israël prospéra comme jamais auparavant, et les bonnes conditions qu’il connut devinrent une image des bénédictions que le peuple de Dieu recevra sous le Règne millénaire de Jésus Christ, le Grand Salomon. — TG1992 1/ 2 p8-13 §12 Nous préserverons notre cœur également en veillant à la façon dont nous le nourrissons. Il nous faut régulièrement fournir à notre esprit et à notre cœur une alimentation spirituelle de qualité et garder l’esprit fixé sur la bonne nouvelle du Royaume de Dieu. Le roi Salomon était renommé pour sa sagesse. Selon les Écritures, sa connaissance portait sur une infinité de sujets, dont les végétaux, les animaux, la nature humaine et la Parole de Dieu. D’où lui venait son grand savoir ? Il avait prié Jéhovah de lui donner “ sagesse et connaissance ” et la faculté de “ discerner entre le bon et le mauvais ” ; Jéhovah l’avait exaucé. Nous aussi, nous devrions prier Jéhovah de nous aider dans notre étude assidue de sa Parole pour mieux la comprendre. Soyons sûrs qu’il ne laissera pas sans réponse les prières ardentes et fréquentes par lesquelles nous lui demandons de nous aider à trouver des trésors spirituels dans la Bible. – TG1999 15/11 La sagesse et la connaissance. La sagesse et la connaissance véritables sont des dons de Dieu. Jéhovah invite ses serviteurs à prier pour acquérir la sagesse et la connaissance, comme le fit Salomon. Néanmoins, pour obtenir la connaissance, il est nécessaire de faire l’effort d’étudier ce que Dieu a mis à la disposition des humains en faisant don de sa Parole. Mais l’étude de la Parole de Dieu en elle-même ne garantit pas l’obtention des dons que sont la connaissance et la sagesse. La connaissance et la sagesse véritables ne sont accessibles que par l’intermédiaire de Jésus Christ et avec l’aide de l’esprit de Dieu. — it-1 Dons de Dieu Jéhovah n'empêche personne de suivre le désir de son cœur. Nous sommes libres de choisir ce qui plaît à notre cœur et ce qui ravit nos yeux. Jéhovah ne protégera personne contre les déceptions, les frustrations et les blessures si les désirs de son cœur entravent ou limitent grandement les activités directement associées au vrai culte. Par conséquent, nous sommes vraiment sages si nous poursuivons des désirs qui tiennent compte de notre précieuse relation avec Jéhovah. Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Le cas de Betsalel, contemporain de Moïse, est révélateur de l’effet que peut avoir l’esprit de Dieu. Betsalel a été chargé de la fabrication du mobilier destiné au tabernacle. Il a été “ rempli de l’esprit de Dieu en sagesse, en intelligence, en connaissance et en tout genre de savoir-faire, et pour élaborer des projets, [...] afin de faire toutes sortes d’ouvrages d’inventeur ”. Quelles qu’aient été ses aptitudes naturelles, l’esprit saint les a décuplées. Il a agi de la même façon sur Oholiab. Les deux hommes ont dû bien assimiler leurs nouvelles connaissances, car non seulement ils ont mené à bonne fin leur tâche, mais encore ils ont transmis leur savoir à d’autres. Dieu a “ mis dans [leur] cœur d’enseigner ”. Que Betsalel et Oholiab aient été guidés par l’esprit de Dieu, cela est confirmé par la remarquable durabilité de ce qu’ils ont réalisé. Cinq cents ans plus tard, le tabernacle et son mobilier étaient toujours en service (2 Chron. 1:2-6). Contrairement aux fabricants modernes, les deux artisans ne se sont pas souciés d’apposer leur marque sur leurs ouvrages ou d’y associer leur nom. Tout le mérite revenait à Jéhovah. — Aujourd’hui, il est possible qu’on nous demande d’effectuer des tâches impressionnantes à nos yeux et réclamant des compétences spécifiques. Citons la construction de lieux de culte, l’impression de publications, l’organisation d’assemblées ou d’opérations de secours, ou encore la défense de notre position sur l’utilisation du sang auprès de médecins et de membres du personnel hospitalier. Il arrive que ces tâches soient remplies par des personnes qualifiées ; le plus souvent toutefois, ce sont des volontaires sans grande expérience qui doivent s’en charger. Mais grâce à l’esprit de Dieu, leurs efforts sont couronnés de succès. Avez-vous déjà décliné une attribution de service, pensant que d’autres seraient plus compétents que vous ? Ne perdez pas de vue que Jéhovah peut aiguiser votre connaissance et vos capacités, et vous aider à vous acquitter de toute mission qu’il vous confie – TG2011 15/12 p19 §7 Comme le montre le cas du roi Salomon, la prospérité d’Israël incita effectivement d’autres personnes à glorifier Jéhovah. Au début de son règne, alors que Jéhovah lui offrait la possibilité de solliciter ce qu’il désirait, Salomon ne demanda pas de grandes richesses, mais sagesse et connaissance pour juger la nation. Jéhovah accéda à la requête de Salomon et lui donna aussi “ richesses, biens et honneur ”. (2Ch 1:7-12) En conséquence, la rumeur au sujet de la sagesse et de la richesse de Salomon fut associée au nom de Jéhovah. Par exemple, ayant entendu parler de Salomon à propos de Jéhovah, la reine de Sheba vint d’un pays lointain pour savoir si ce qu’on racontait au sujet de sa sagesse et de sa prospérité était vrai. Ce qu’elle vit la poussa à reconnaître l’amour de Jéhovah pour Israël. – it-2 p799 §6 Richesses Depuis presque toujours, les humains adorent de nombreux dieux et déesses. Mais la Bible parle d’un Dieu qui est « plus grand que tous les autres dieux » (2 Chroniques 2:5 « La maison que je construis sera grande, car notre Dieu est plus grand que tous les autres dieux » . – lff leçon 4 Domaines où s’exerce l’intelligence humaine. L’intelligence peut se rattacher à la connaissance et à l’habileté nécessaires dans des activités qui demandent des aptitudes, telles que la construction et la conception de bâtiments, la fabrication d’objets en bois, en métal, en pierre ou en tissu. Ainsi, l’ouvrier tyrien Hiram était “ un homme habile, s’y connaissant en intelligence ”, un artisan qui travaillait une grande variété de matériaux (2Ch 2:13, 14). Une telle intelligence contribue à un travail efficace, qui donne des produits durables Aujourd’hui, il est possible qu’on nous demande d’effectuer des tâches impressionnantes à nos yeux et réclamant des compétences spécifiques. Citons la construction de lieux de culte, l’impression de publications, l’organisation d’assemblées ou d’opérations de secours. Il arrive que ces tâches soient remplies par des personnes qualifiées ; le plus souvent toutefois, ce sont des volontaires sans grande expérience qui doivent s’en charger. Mais grâce à l’esprit de Dieu, leurs efforts sont couronnés de succès. Avez-vous déjà décliné une attribution de service, pensant que d’autres seraient plus compétents que vous ? Ne perdez pas de vue que Jéhovah peut aiguiser votre connaissance et vos capacités, et vous aider à vous acquitter de toute mission qu’il vous confie – it-1 Intelligence Plus de 400 ans après qu’Israël s’est installé en Terre promise, le roi Salomon a construit un temple bien plus impressionnant que le tabernacle. Ce temple serait le centre du culte pur (2 Chron. 3:1, 6, 7). Au départ, Jéhovah était le seul destinataire des sacrifices qui étaient offerts dans ce temple. Salomon et ses sujets ont offert d’innombrables sacrifices de grande qualité en respectant la façon de procéder imposée par la Loi. Toutefois, ce n’était pas en raison du coût de ce bâtiment ou du nombre de sacrifices qui y étaient offerts que Jéhovah approuvait le culte pratiqué en ce lieu. Ce qui comptait, c’étaient les mobiles de ceux qui offraient les dons. Salomon a insisté sur cette idée lors de l’inauguration du Temple – rr chap2 §26 Bien avant l’époque d’Isaïe, le roi David a apporté l’arche de l’alliance sur le mont Sion à Jérusalem, mont qui s’élevait à 760 mètres au-dessus du niveau de la mer. L’Arche y resta jusqu’à ce qu’on la transfère dans le temple terminé, sur le mont Moria (2 Chroniques 3:1 «Alors Salomon commença à construire le temple de Jéhovah à Jérusalem, sur le mont Moria, où Jéhovah était apparu à son père, David, à l’emplacement que David avait préparé sur l’aire de battage d’Ornân le Jébuséen ). Ainsi, aux jours d’Isaïe, l’arche sacrée a déjà été élevée physiquement et placée dans le temple, à une position plus élevée que celle des nombreuses collines d’alentour sur lesquelles on pratique le faux culte. Au sens spirituel le culte de Jéhovah a toujours été supérieur aux pratiques religieuses de ceux qui servent de faux dieux. Cependant, à notre époque, Jéhovah a élevé son culte jusqu’au ciel, au-dessus de toutes les formes de culte impur, oui, bien au-dessus de toutes les “ collines ” et du “ sommet des montagnes ”. Comment s’y est-il pris ? En grande partie en rassemblant ceux qui veulent l’adorer “ avec l’esprit et la vérité ”. — ip-1 chap4 p37§10;11 Le culte pratiqué au Temple - Plus de 400 ans après qu’Israël s’est installé en Terre promise, le roi Salomon a construit un temple bien plus impressionnant que le tabernacle. Ce temple serait le centre du culte pur (2 Chron. 3:1, 6, 7). Au départ, Jéhovah était le seul destinataire des sacrifices qui étaient offerts dans ce temple. Salomon et ses sujets ont offert d’innombrables sacrifices de grande qualité en respectant la façon de procéder imposée par la Loi. Toutefois, ce n’était pas en raison du coût de ce bâtiment ou du nombre de sacrifices qui y étaient offerts que Jéhovah approuvait le culte pratiqué en ce lieu. Ce qui comptait, c’étaient les mobiles de ceux qui offraient les dons. Salomon a insisté sur cette idée lors de l’inauguration du Temple. Il a dit aux Israélites : « Que votre cœur soit entier pour Jéhovah notre Dieu comme il l’a été aujourd’hui : continuez d’obéir à ses lois et de respecter ses commandements » (1 Rois 8:57-61). – rr chap7 §26 2 Chroniques 4:2-4 — Pourquoi a-t-on fait reposer la mer en métal fondu sur des représentations de taureaux ? Dans les Écritures, le taureau symbolise la force. La représentation en cuivre de 12 taureaux était un choix judicieux, car ils soutenaient l’imposante “ mer ” ou bassin, qui pesait près de 30 tonnes. Ce choix ne violait en rien le deuxième commandement, qui interdisait la fabrication d’objets à des fins d’adoration. — TG2005 1/12 p19 Une raison pour laquelle nous devons rester purs, c’est que Jéhovah exige que ses adorateurs soient purs. Sous la Loi que Jéhovah avait donnée à Israël, le culte était indissociable de la pureté et de la propreté. La Loi précisait que le jour des Propitiations, le grand prêtre devait se baigner, non pas une fois, mais deux fois Les prêtres qui officiaient devaient se laver les mains et les pieds avant d’offrir les sacrifices à Jéhovah (2 Chroniques 4:6). La Loi définissait quelque 70 causes d’impureté physique et de souillure rituelle. Un Israélite en état d’impureté n’avait pas le droit de participer au culte — dans certains cas, ne pas respecter cet interdit faisait même encourir la mort. Toute personne qui refusait de se conformer aux rites de purification prescrits — et cela incluait le fait de se baigner et de laver ses vêtements — devait “ être retranchée du milieu de la congrégation ”. — Nombres 19:17-20. Même si la Loi mosaïque ne s’applique plus à nous, elle nous permet de discerner quelle est la pensée de Dieu sur certaines questions. Incontestablement, la Loi faisait ressortir que la pureté était exigée des adorateurs de Dieu. Jéhovah n’a pas changé. Si notre culte n’est pas “ pur et sans souillure ”, Jéhovah ne peut pas l’accepter. – lv chap8 §6
  15. Perles spirituelles - Semaine du 13 ma rs 2023 - 1 Chroniques 27-29.docx Perles spirituelles - Semaine du 13 ma rs 2023 - 1 Chroniques 27-29.pdf Perles spirituelles (10 min) : 1 Chroniques 27-29 1 Chroniques 27:33 : Quel bel exemple d’amitié fidèle Houshaï nous laisse-t-il ? (w17.03 29 § 6-7) « Ahitofel était conseiller du roi. Houshaï l’Arkite était l’ami du roi.» David avait d’autres amis qui l’ont fidèlement soutenu en période difficile. L’un d’eux était Houshaï, que la Bible appelle le « compagnon de David » (1 Chron. 27:33). C’était peut-être un fonctionnaire de cour qui était un ami personnel du roi et qui a parfois exécuté des ordres confidentiels. Quand Absalom, fils de David, a usurpé le trône, de nombreux Israélites se sont ralliés à lui, mais pas Houshaï. Tandis que David fuyait, Houshaï est allé à sa rencontre. David était profondément blessé d’avoir été trahi par son propre fils et par certains de ceux à qui il faisait confiance. Houshaï, lui, est resté fidèle ; il a accepté de risquer sa vie pour accomplir une mission qui ferait échouer la conspiration. Il ne l’a pas fait que par sens du devoir. Il s’est montré un ami fidèle w17.03 29 § 6-7 Houshaï ,c’était peut-être un fonctionnaire de cour qui était un ami personnel du roi et qui a parfois exécuté des ordres confidentiels. Houshaï a eu besoin de courage pour rester fidèle à Dieu. C’était un ami fidèle du roi David. Mais sa fidélité a été mise à l’épreuve quand Absalom, le fils de David, a gagné le cœur de nombreux Israélites et a cherché à s’emparer de Jérusalem et du trône. David a dû fuir de la ville. Qu’allait faire Houshaï ? Allait-il soutenir Absalom, ou bien allait-il suivre un roi vieillissant qui devait fuir pour sauver sa vie ? Bien décidé à être fidèle au roi choisi par Dieu, Houshaï est allé à la rencontre de David, qui traversait alors le mont des Oliviers. David lui a demandé de retourner à Jérusalem, de faire semblant d’être l’ami d’Absalom et de faire échouer le conseil d’Ahithophel. Houshaï a risqué sa vie pour se montrer fidèle à Jéhovah et obéir aux instructions de David. Comme celui-ci l’avait demandé dans ses prières, le conseil de Houshaï a fait échouer celui d’Ahithophel Nous avons besoin de courage pour être fidèles à Jéhovah. Par fidélité à Dieu, beaucoup parmi nous restent fermes face aux pressions de membres de leur famille, de collègues de travail ou des autorités. Nous pouvons montrer que la fidélité à Jéhovah occupe la première place dans notre cœur. – TG2016/2 p30 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Si les Écritures hébraïques emploient le mot « marchepied » pour parler de la terre, elles l’appliquent également au temple de l’Antiquité où les Israélites adoraient Dieu (1 Chron. 28:2 « Puis le roi David se mit debout et dit :« Entendez-moi, mes frères et mon peuple. J’ai souhaité construire une résidence permanente pour l’arche de l’Alliance de Jéhovah et qui serait le marchepied de notre Dieu. Et j’ai fait des préparatifs en vue de sa construction » Ce temple, situé sur terre, était le centre du vrai culte. C’est la raison pour laquelle il était d’une grande beauté aux yeux de Jéhovah et l’existence même de ce temple glorifiait « le lieu de ses pieds ». De nos jours, le centre du vrai culte n’est plus un temple littéral sur terre. Il existe cependant un temple spirituel, qui glorifie Jéhovah bien plus que n’importe quel édifice terrestre. Il s’agit d’un moyen qui rend possible la réconciliation avec Dieu, par la prêtrise et le sacrifice de Jésus Christ. Ce moyen est venu à l’existence en 29 de n. è. quand, au moment de son baptême, Jésus a été oint Grand Prêtre du grand temple spirituel de Jéhovah – TG2015/7 §2,3 Ce que David a conseillé à son fils Salomon nous indique comment plaire à Dieu. « Toi, Salomon mon fils, connais le Dieu de ton père et sers-le d’un cœur complet » (1 Chroniques 28:9). Qu’entend-on par « cœur complet » ? Celui qui a un cœur complet aime Dieu. Il est aussi déterminé à tenir compte de sa volonté et de ses exigences. Avoir un cœur complet ne veut pas dire être parfait ; c’est avoir le vif désir d’obéir à Dieu et être prêt à accepter la réprimande. Quiconque désire plaire à Dieu ne doit pas avoir le cœur partagé ni un cœur double, mais le servir d’un cœur complet. Cela requiert des efforts diligents, car le cœur est extrêmement mauvais et enclin au mal. Pour garder un cœur complet, il est utile de prier sincèrement, d’étudier régulièrement la Parole de Dieu, de participer avec zèle à la prédication de la bonne nouvelle – TG20151/7 p14 Connaissez-vous Dieu ? Répondre à cette question n’est pas aussi facile qu’il n’y paraît. Pour connaître vraiment Dieu, il faut acquérir une bonne connaissance de sa volonté et de ses manières d’agir. De cette façon, nous nouons avec lui des liens étroits qui influencent profondément tout notre mode de vie. Une telle intimité est-elle vraiment possible ? Si oui, comment la trouver ? On découvre les réponses dans le conseil contenu en 1 Chroniques 28:9, que le roi David a donné à son fils Salomon. Imaginez la situation. David règne sur Israël depuis près de 40 ans, et la nation prospère sous sa domination. Salomon, qui va bientôt lui succéder, est très jeune (1 Chroniques 29:1). Quel dernier conseil David donne-t-il à son fils ? Fort de sa riche expérience au service de Dieu, David commence par ces mots : “ Salomon mon fils, connais le Dieu de ton père. ” David doit parler d’autre chose que d’une connaissance intellectuelle. Salomon est déjà un adorateur du Dieu de David, Jéhovah. Environ un tiers des Écritures hébraïques ont été achevées et Salomon sait sans aucun doute ce que ces écrits inspirés disent sur Dieu. Un bibliste déclare que le mot hébreu rendu par “ connais ” peut se rapporter à “ la connaissance la plus intime ”. Oui, David veut que son fils cultive ce qu’il a lui-même chéri : une relation personnelle, intime avec Dieu. – km2015/12 Qu’est-ce qui faisait du temple de Salomon un édifice si remarquable ? Non seulement sa beauté matérielle et sa somptuosité, mais avant tout le fait que son architecte était Jéhovah Dieu lui-même. Il nous est dit que le roi David reçut “ le plan architectural de tout (...) par inspiration ”, et il le remit à son fils Salomon. En deuxième lieu, ce temple était si remarquable parce qu’il était voué à l’adoration du seul vrai Dieu, Jéhovah ; et en troisième lieu, à cause de sa signification prophétique. Il préfigurait un temple spirituel bien plus glorieux, s’élevant sur la montagne de Sion céleste, temple qui se compose de Jésus-Christ et de son assemblée de 144 000 membres “ qui ont été rachetés de la terre ”. I Chron. 28:11-19 TG1960 p188 L’esprit peut doter des hommes de certaines qualités, les pourvoir des capacités voulues pour effectuer une œuvre ou pour remplir une fonction. David reçut les plans architecturaux du temple par inspiration, c’est-à-dire par l’opération de l’esprit de Dieu, grâce à quoi il put entreprendre de grands préparatifs en vue de la construction. 1Ch 28:12. Aujourd’hui, Les plans d'architecture moderne consistent en des plans très détaillés de plusieurs pages comprenant des plans de fondation, des plans de murs, des plans d'étage, des plans électriques, des plans de plomberie, des plans de finition intérieure et extérieure. Quelle grande tâche en soi que de mettre les plans par écrit grâce à l'inspiration de Jéhovah – it-1 p805 David était bien placé pour conseiller à Salomon d’être courageux pour construire le temple ! (1 Chroniques 28:20). Si Salomon n’avait pas eu de courage, il aurait pu se laisser paralyser par la peur. Dans ce cas, il n’aurait rien fait, ce qui aurait été pire que de ne pas réussir. Comme Salomon, nous avons besoin de l’aide de Jéhovah pour avoir le courage de faire tout ce qu’il nous demande. – TG2017/9 p28-29,32 Nathan est rapidement revenu voir David avec une mauvaise nouvelle. « Cette nuit-là », Jéhovah avait révélé au prophète que ce ne serait pas David qui construirait le Temple, mais l’un de ses fils (1 Chron. 17:3, 4, 11, 12). Comment David a-t-il réagi à ce message ? Il a modifié ses objectifs. À partir de ce moment-là, il a rassemblé l’argent et les matériaux dont son fils Salomon aurait besoin pour le projet (1 Chron. 29:1-5). Immédiatement après avoir fait savoir à David que ce ne serait pas lui qui construirait le Temple, Jéhovah a conclu avec lui une alliance. Il lui a promis qu’un de ses descendants régnerait pour toujours. Imagine la joie que ressentira David dans le monde nouveau quand il apprendra qu’il vit sous le règne de mille ans de Jésus, l’un de ses descendants ! L’exemple de David nous enseigne que si nous ne pouvons pas faire tout ce que nous aurions aimé faire pour Jéhovah, il nous réserve peut-être d’autres bénédictions que nous n’imaginons même pas. – TG2023/4 p16 §9 Mon fils Salomon est celui que Dieu a choisi (1 Chron. 29:1). En raison de notre âge, de notre état de santé ou d’autres facteurs, nous ne sommes peut-être pas en mesure de recevoir certaines responsabilités dans l’organisation de Jéhovah. Dans ce cas, nous pouvons en apprendre beaucoup de David. Il avait espéré de tout son cœur construire un temple pour Jéhovah. Mais quand il a appris que ce n’était pas lui qui allait le faire, comment a-t-il réagi ? Il a soutenu pleinement celui qui avait été choisi par Dieu pour accomplir ce projet. Il a même contribué à sa réalisation en faisant des offrandes généreuses. Quel bel exemple pour nous ! (1 Chron. 29:3-5). – TG2020/12 p25 §14-15 Les dons se limitent-ils au domaine spirituel? Non. Quand le roi David, dans ses vieux jours, a préparé la construction du temple, il a demandé: “Qui s’offre volontairement à remplir aujourd’hui sa main d’un don pour Jéhovah?” (1 Chroniques 29:5). Chacun le peut. De la même façon aujourd’hui, qu’ils soient jeunes ou moins jeunes, en bonne santé ou non, beaucoup désirent apporter leur contribution sur le plan matériel pour promouvoir les intérêts du Royaume. On peut le faire par l’intermédiaire soit de la filiale du pays dans lequel on réside, soit de l’assemblée. Ainsi, il est possible à chacun, en fonction de ses moyens, de participer aux frais qu’entraîne la prédication de la bonne nouvelle sur la terre habitée tout entière. C’est un privilège. — TG1990 1/7 p31 David a reçu sous inspiration les plans architecturaux et les a remis à Salomon. « Le travail est grand, dit David, car ce temple n’est pas pour un homme, mais pour Jéhovah Dieu » (1 Chron. 28:1, 2, 6, 11, 12 ; 29:1, note). David demande ensuite : « Qui s’offre volontairement à remplir sa main aujourd’hui d’un don pour Jéhovah ? » (1 Chron. 29:5). Si tu avais été là, comment aurais-tu réagi ? Te serais-tu senti poussé à soutenir cette grande œuvre ? Les Israélites sont passés à l’action. Le peuple « se réjouit de ce qu’ils faisaient des offrandes volontaires, car c’est d’un cœur complet qu’ils faisaient des offrandes volontaires à Jéhovah » (1 Chron. 29:9). Des siècles plus tard, Jéhovah a mis en place quelque chose de bien plus extraordinaire que le temple : le grand temple spirituel, c’est-à-dire la disposition permettant aux humains de l’adorer en vertu du sacrifice de Jésus. Comment Jéhovah aide-t-il aujourd’hui les humains à se réconcilier avec lui ? Grâce à notre œuvre consistant à faire des disciples. En conséquence, chaque année, des millions de personnes étudient la Bible, des milliers se font baptiser et des centaines d »assemblées sont formées. – TG2016/11 Une chose est sûre : le Diable ne laissera jamais retomber ses mains pour ce qui est de tenter de mettre fin à nos activités chrétiennes. Il se sert de mensonges et de menaces venant de gouvernements, de chefs religieux et d’apostats. Quel est son but ? Faire retomber nos mains dans l’œuvre de prédication de la bonne nouvelle du Royaume. Mais Jéhovah veut et peut nous donner de la force par le moyen de son esprit saint (1 Chron. 29:12 « La richesse et la gloire viennent de toi, et tu règnes sur tout. Dans ta main, il y a force et puissance, et ta main a le pouvoir de rendre grand et de donner de la force à tous ».. Il est essentiel de demander cet esprit pour faire face à toute difficulté que Satan et son système méchant nous infligent. Nous apprécions aussi d’avoir la Parole de Dieu, qui est le produit de l’esprit saint. Et songe à la nourriture spirituelle basée sur la Bible que nous recevons chaque mois. Les paroles contenues en Zacharie 8:9, 13 « Voici ce que dit Jéhovah des armées : “Prenez courage, vous qui entendez aujourd’hui ces paroles de la bouche des prophètes, paroles qui ont déjà été prononcées le jour où les fondations de la maison de Jéhovah des armées ont été posées pour la construction du temple » prononcées lors de la reconstruction du temple de Jérusalem, s’appliquent tout à fait à nous aujourd’hui. – TG2016/9 §10 POURQUOI DONNER À JÉHOVAH - Nous donnons à Jéhovah parce que nous l’aimons et que nous voulons le remercier. Quand nous pensons à tout ce qu’il a fait pour nous, nous sommes profondément touchés. Nous sommes d’accord avec ce que le roi David a admis quand il a parlé des matériaux offerts pour construire le temple : tout ce que nous recevons vient de Jéhovah et quoi que ce soit que nous lui donnions, nous lui offrons ce qu’il nous a lui-même donné (1 Chroniques 29:11-14). Si nous donnons à Jéhovah, c’est aussi parce que cela fait partie de notre culte – TG2018/1 p18 §4 Quand il a financé la construction du Temple, le roi David a manifesté un bel état d’esprit. Il a dit à Dieu : « Qui suis-je, et mon peuple, qui est-il, pour que nous puissions faire des offrandes volontaires comme celles-ci ? Car tout vient de toi, et ce que nous t’avons donné, c’est ce qui vient de ta main » (1 Chron. 29:14). Nous aussi, quand nous faisons des offrandes, nous donnons à Jéhovah ce qu’il nous a lui-même donné. Et pourtant, il apprécie le temps, l’énergie et les ressources que nous consacrons à son service – TG2020/11 p22-23 §14-16 Si vous allez voir un médecin pour un bilan de santé, il examinera probablement votre cœur. Votre santé en général (et votre cœur en particulier) indique-t-elle que vous vous nourrissez suffisamment ? Si notre cœur proprement dit a besoin de bilans réguliers, qu’en est-il de notre cœur symbolique ? Jéhovah l’examine (1 Chroniques 29:17). Nous le devrions aussi. De quelle façon ? En nous posant ce genre de questions : Mon cœur est-il assez nourri spirituellement au moyen d’une étude individuelle régulière ? Le message de Jéhovah me tient-il à cœur comme “ un feu brûlant, enfermé dans mes os ”, qui me pousse à prêcher le Royaume et à faire des disciples ? Soyons attentifs à la moindre défaillance et prenons immédiatement les mesures qui s’imposent. – TG2001 15/10 Prie Dieu de t’aider à discerner les intentions de ton cœur. Jéhovah « examine le cœur » (1 Chron. 29:17). Comme il « examine le cœur », Jéhovah sait si notre conduite est sainte et si nous lui sommes exclusivement attachés. Il « est plus grand que notre cœur et il connaît toutes choses » (1 Jean 3:20). Personne ne peut le tromper. Si tu lui exprimes tes inquiétudes, tes sentiments et tes désirs en toute franchise, il t’aidera à discerner les intentions de ton cœur. Tu peux même lui demander de créer en toi un cœur pur. Alors, tandis que tu cherches à discerner les inclinations de ton cœur, ne sous-estime pas le pouvoir de la prière. – TG2013 15/2
  16. Perles spirituelles - Semaine du 6 Mars - 1 Chroniques 23-26.docx Perles spirituelles - Semaine du 6 Mars - 1 Chroniques 23-26.pdf Perles spirituelles (10 min) : 1 Chroniques 23-26 1 Chroniques 25:7, 8 : Qu’indiquent ces versets sur l’importance de chanter à Jéhovah des chants de louanges ? (w22.03 22 § 10) « Eux et leurs frères étaient tous des chanteurs expérimentés, exercés à chanter pour Jéhovah. Ils étaient 288. 8 Ils procédèrent donc à un tirage au sort pour distribuer les rôles, aussi bien pour le petit que pour le grand, pour le chanteur expérimenté comme pour le débutant.» Chanter pour Jéhovah avec nos frères et sœurs (Ps. 28:7). Pour les Israélites, le chant était un aspect important du culte. Le roi David a d’ailleurs choisi 288 Lévites comme chanteurs au Temple (1 Chron. 25:1, 6-8). Aujourd’hui aussi, chanter des louanges à Dieu est une manière de lui exprimer notre amour. Et si nous ne chantons pas très bien, ce n’est pas grave. Quand nous parlons, « nous trébuchons souvent », mais cela ne nous empêche pas de nous exprimer, que ce soit dans l’assemblée ou dans le ministère. De la même manière, si nous pensons que nous n’avons pas une belle voix, cela ne devrait pas nous empêcher de louer Jéhovah par nos chants. - w22.03 22 § 10 Chanter de tout cœur est salutaire. Quand notre cœur est rempli de pensées spirituelles, nous trouvons le moyen de les exprimer puissamment à travers les cantiques. Le secret pour mieux chanter réside donc dans une bonne condition de cœur. La joie découle de bonnes relations avec Jéhovah et elle nous incite à dire, à chanter. Partant du principe qu’on chante de tout cœur les choses qu’on apprécie, si nous aimons un cantique ou les sentiments qu’il exprime, nous le chanterons très certainement avec émotion. L’une des difficultés du chant en groupe consiste à se fondre dans l’ensemble. Que vous chantiez à l’unisson ou en harmonie, le résultat sera plus agréable et harmonieux si vous ajustez le volume de votre voix avec celui des autres chanteurs. La modestie chrétienne alliée à une oreille attentive vous aidera à trouver l’équilibre qui consiste à chanter de tout cœur, avec expression, sans pour autant dominer les autres de toute votre voix. Reste qu’on ne devrait pas décourager ceux qui possèdent un bel organe ou une bonne technique vocale de chanter à pleine voix. Une belle voix peut avoir un effet entraînant sur toute une assemblée en train de chanter des louanges à Jéhovah. Certains diront : ‘ Je chante faux ’ ou ‘ J’ai une voix horrible ; elle se casse dans les aigus. ’ De ce fait, ils n’osent pour ainsi dire pas chanter, même à la Salle du Royaume. Or, Jéhovah ne trouve jamais “ horrible ” une voix qui le loue. Par ailleurs, de même que, dans le domaine oratoire, on peut améliorer sa voix en faisant des exercices et en suivant les conseils donnés à l’École du ministère théocratique, de même on peut perfectionner sa manière de chanter. Certains l’ont fait simplement en fredonnant tout en effectuant leurs tâches ménagères. Fredonner contribue à adoucir le timbre de la voix. Profitons également de ce que nous sommes seuls ou que nous travaillons quelque part où nous ne dérangeons personne pour chanter des mélodies du Royaume. C’est un excellent exercice pour la voix doublé d’un bon moyen de se mettre de bonne humeur. – TG1999 1/11 p20-24 PRIÈRES ET CANTIQUES: Parmi les plus belles parures de notre piété figurent les chants de louange que nous adressons à Jéhovah Dieu. Il semble que les vrais chrétiens chantaient régulièrement des cantiques au Ier siècle (1 Cor. 14:15). Jéhovah apprécie aussi que ses serviteurs s’adressent à lui en le priant sincèrement. Les assemblées nous offrent l’occasion unique d’être unis à des milliers de nos frères et de nos sœurs pour louer Jéhovah au moyen de cantiques et de prières. Certains manquent toutefois de respect pour ces facettes importantes de notre culte. Comment cela? En arrivant sans raison à l’assemblée durant ou après le cantique et la prière d’ouverture. À la fin de la session, ils quittent leur place pendant le cantique et avant la prière. Pour quel motif? En de rares occasions, on peut avoir de bonnes raisons de le faire. Mais certains délaissent le privilège de chanter et de prier avec les autres assistants, afin d’arriver plus vite à leur véhicule. D’autres quittent leur siège pour être parmi les premiers servis en nouvelles publications ou en nourriture. Il nous faut veiller à ne pas rechercher notre propre confort au point de laisser le “moi d’abord” ou d’autres traits du monde impie, comme l’égoïsme et l’avidité, entraver nos progrès spirituels. Avec piété, efforçons-nous de manifester le respect qui convient aux aspects importants de notre culte que sont les prières et les cantiques que nous faisons monter vers Jéhovah. – TG1989/5 Quelle était l’importance du groupe des musiciens au temple de Jérusalem ? Parallèlement aux préparatifs pour le temple de Jéhovah, David mit 4 000 Lévites à part pour le service musical (1Ch 23:4, 5). Parmi eux, 288 étaient “ exercés au chant pour Jéhovah, tous gens experts ”. (1Ch 25:7.) L’ensemble de l’organisation fut dirigé par trois musiciens accomplis, Asaph, Hémân et Yedouthoun (apparemment aussi appelé Éthân). Comme chacun de ces trois hommes descendait d’un des trois fils de Lévi, respectivement de Guershom, de Qehath et de Merari, les trois grandes familles lévites étaient représentées dans l’organisation de la musique au temple. Le total des fils de ces trois hommes était de 24 ; tous faisaient partie des 288 musiciens capables déjà mentionnés. Chaque fils fut établi, par le sort, chef d’une division de musiciens. Chacun avait sous sa direction 11 autres “ experts ” choisis parmi ses fils et les autres Lévites. Ainsi, les 288 ([1 + 11] × 24 = 288) musiciens lévites experts étaient, comme les prêtres, répartis en 24 classes. Si les 3 712 autres, les ‘ élèves ’, étaient divisés de la même façon, chacune des 24 divisions comptait en moyenne 155 hommes supplémentaires ; dans ce cas, chaque expert avait avec lui environ 13 Lévites arrivés à différents stades de leur formation musicale (1Ch 25:1-31). Puisque les trompettistes étaient des prêtres, ils s’ajoutaient aux musiciens lévites. — it-2 p358 Le chant et la musique au temple - C’est à David que l’on doit l’organisation du chant et de la musique dans la maison de Jéhovah. Au temple, seuls les hommes chantaient. L’expression “ sur ‘ Les jeunes filles ’ ” dans la suscription du Psaume 46 indique uniquement un ton aigu. On chantait à l’unisson. “ Les chanteurs furent comme un seul ”, lit-on en 2 Chroniques 5:13. Les chants pouvaient être des mélodies comme le Psaume 3 et bien d’autres Psaumes de David. Ils comprenaient parfois des refrains, tel celui qui revient en Psaume 42:5, 11 et 43:5. Les chants antiphoniques, dans lesquels des chœurs ou des soli se répondaient, étaient très appréciés. C’est le cas du Psaume 24, qui a sans doute été composé à l’époque où David a fait monter l’arche de l’alliance à Sion. — 2 Samuel 6:11-17. Le chant, cependant, n’était pas le privilège de ceux qui servaient au temple. Le peuple chantait lorsqu’il montait à Jérusalem pour les fêtes annuelles. C’est, peut-être, ce que l’on appelait les “ chants des montées ”. (Psaumes 120 à 134.) Dans le Psaume 133, David exalte la fraternité que les Israélites goûtaient dans ces moments-là. Ce psaume s’ouvre par ces mots : “ Voyez ! Qu’il est bon et qu’il est agréable pour des frères d’habiter unis ensemble ! ” On ne peut que tenter d’imaginer la musique qui l’accompagnait... La musique a le pouvoir de faire oublier les soucis de la vie, et chanter peut agir comme un baume sur les cœurs blessés. Mais la Bible recommande aussi de chanter des Psaumes lorsqu’on est de bonne humeur. Chanter est un acte par lequel on exprime sa foi et son amour pour Dieu. Ce n’est pas l’homme qui a inventé la musique. D’après la Bible, il y a de la musique et des chants dans les cieux mêmes, où des créatures célestes jouent, figurément parlant, de la harpe et chantent des louanges autour du trône de Jéhovah (Révélation 5:9 ; 14:3 ; 15:2, 3). C’est Jéhovah Dieu qui a fait don de la musique aux hommes, implantant dans leur cœur le sens musical et le besoin irrépressible d’exprimer leurs sentiments en jouant d’un instrument ou en chantant. Pour l’homme de foi, la musique est avant tout un “ don de Dieu ”. – TG2009 1/12 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? David a, toute sa vie, recherché l’approbation de Jéhovah. Dans un chant, il s’est exclamé : “ Témoigne de la faveur à mon égard, ô Dieu, témoigne de la faveur à mon égard, car en toi s’est réfugiée mon âme. ” (Psaume 57:1). Sa confiance était bien placée. Il a eu une longue vie, a été “ rassasié de jours ”. (1 Chroniques 23:1.) Malgré les erreurs graves qu’il a commises, il fait partie des nombreux témoins de Dieu dont on se rappelle sa foi extraordinaire Quand des changements surviennent dans votre vie, souvenez-vous que Jéhovah peut très bien vous soutenir, vous fortifier et vous corriger, comme il l’a fait pour David. Reposons-nous sur Jéhovah, et il nous aidera à réussir. Il veut que nous réussissions. Si nous l’écoutons et si nous nous approchons de lui, il nous donnera la force de faire sa volonté. Et si nous comptons sans cesse sur son esprit, nous pourrons ‘ nous présenter à Dieu comme des hommes approuvés ’, aujourd’hui et pour l’éternité. — TG2004 1/ 4 p19 §18 Les nombreux prêtres et Lévites de la division qui était de service devaient rester éveillés la nuit entière pour assurer la garde et empêcher toute personne impure de pénétrer dans les cours du temple. Étant donné que l’“ officier du mont du Temple ”, encore appelé “ le capitaine du temple ”, faisait le tour des 24 postes pendant les veilles, chaque guetteur devait rester éveillé à son poste s’il ne voulait pas être surpris à manquer à son devoir. — Les chrétiens oints et ceux qui servent Dieu à leurs côtés doivent rester spirituellement éveillés et garder leurs vêtements de dessus symboliques. Ces “ vêtements ” sont les signes extérieurs que nous sommes établis ministres du temple spirituel de Jéhovah. À ce titre, Dieu nous donne son esprit saint, ou force agissante, pour nous aider à accomplir nos tâches et à assumer nos privilèges de prédicateurs du Royaume. Celui qui s’endormirait à son poste de ministre de Dieu risquerait d’être surpris par Jésus Christ, le Capitaine du grand temple spirituel. S’il nous trouvait spirituellement endormis, nous serions figurément parlant dépouillés de nos vêtements symboliques, et ceux-ci seraient brûlés. D’où rester éveillé spirituellement – TG1997 1/3 §7,8 Le peuple d’Israël était un modèle d’organisation. Les déplacements du camp et du tabernacle s’effectuaient avec ordre. Plus tard, le roi David a réparti les Lévites et les prêtres en divisions (1 Chron. 23:1-6 ; 24:1-3). Lorsqu’ils obéissaient à Jéhovah, les Israélites vivaient dans l’ordre, la paix et l’unité De nos jours, comment devraient réagir les membres des comités de filiale ou de pays, les surveillants de circonscription et les anciens quand ils reçoivent des directives de l’organisation de Dieu ? La Parole de Jéhovah nous demande à tous d’être obéissants et soumis – TG2016/11 p9-13 §8,11 C’est par tirage au sort que fut déterminé l’ordre dans lequel les 24 classes de la prêtrise effectueraient leur service au temple (1Ch 24:5-18). Les noms des chefs de maisons paternelles furent inscrits par le secrétaire des Lévites, puis vraisemblablement choisis l’un après l’autre. Les Lévites furent affectés de la même façon au service du temple comme chanteurs, portiers, trésoriers, etc. (1Ch 24:31 ; chap. 25, 26) Après le retour d’exil, on se servit des sorts pour organiser la fourniture du bois destiné au service du temple et pour désigner ceux qui devaient s’installer à Jérusalem. — Il n’est plus question d’utilisation de sorts après la Pentecôte 33 de n. è. pour choisir les anciens et les assistants ou régler des questions importantes. Le choix des anciens et des assistants devait être fondé sur la façon dont ils manifestaient le fruit de l’esprit saint dans leur vie, tandis que d’autres décisions s’appuyaient sur l’accomplissement des prophéties, l’aide des anges, les principes de la Parole de Dieu et des enseignements de Jésus et, la direction de l’esprit saint – it-2 p1004 Sort Accès à l’instruction. Puisque les femmes faisaient partie de l’alliance de la Loi, elles étaient invitées à écouter la lecture de la Loi, ce qui leur offrait la possibilité de s’instruire (Deutéronome 31:12 ; Nehéme 8:2, 8). Elles pouvaient aussi recevoir une formation pour participer à certains aspects du culte public. Par exemple, il semble que des femmes accomplissaient un “ service organisé ” au tabernacle et que d’autres chantaient dans une chorale mixte. — 1 Chroniques 25:5, 6. De nombreuses femmes avaient les compétences pour tenir un commerce (Proverbes 31:24). Dans la culture des autres nations de l’époque, seul le père enseignait ses fils alors que la mère israélite participait à leur éducation jusqu’à ce qu’ils soient adultes. À l’évidence, dans l’ancien Israël, les femmes étaient loin de manquer d’instruction - TG2012 1/9 Pour les Israélites, le chant était un aspect important du culte. Le roi David a d’ailleurs choisi 288 Lévites comme chanteurs au Temple (1 Chron. 25:1, 6-8). Aujourd’hui aussi, chanter des louanges à Dieu est une manière de lui exprimer notre amour. Et si nous ne chantons pas très bien, ce n’est pas grave. Quand nous parlons, « nous trébuchons souvent », mais cela ne nous empêche pas de nous exprimer, que ce soit dans l’assemblée ou dans le ministère. De la même manière, si nous pensons que nous n’avons pas une belle voix, cela ne devrait pas nous empêcher de louer Jéhovah par nos chants. – TG2022/3 p20§10 Aux jours du roi David, les chanteurs pour la maison de Dieu étaient « exercés (formés) au chant pour Jéhovah » et ils ont loué Dieu (1 Chron. 25:7). Comme les serviteurs de Dieu d’autrefois, pour être efficaces, nous avons besoin d’être formés. Dans l’assemblée, Jéhovah confie la responsabilité de former les frères aux anciens – TG2015 15/4 p8 §1
  17. https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=&cad=rja&uact=8&ved=2ahUKEwj295ig3rL9AhU6XqQEHaYFCHkQFnoECA0QAQ&url=https%3A%2F%2Fwww.europeantimes.news%2Ffr%2F2023%2F02%2Fecthr-echr-russie-paiera-environ-350000-XNUMX-euros-aux-t%C3%A9moins-de-j%C3%A9hovah-pour-avoir-perturb%C3%A9-leurs-r%C3%A9unions-religieuses%2F&usg=AOvVaw1perE3sWLSOPS_1bB5yM15
  18. Perles spirituelles - Semaine du 27 Février 2023 - 1 Chroniques 27-22.docx Perles spirituelles - Semaine du 27 Février 2023 - 1 Chroniques 27-22.pdf Perles spirituelles (10 min) : 1 Chroniques 20-22 1 Chroniques 21:15 : Que nous enseigne ce verset au sujet de Jéhovah ? (w05 1/10 11 § 6) « De plus, le vrai Dieu envoya un ange ravager Jérusalem ; mais quand Jéhovah vit que l’ange allait passer à l’action, il regretta ce malheur. Alors il dit à l’ange chargé de l’exécution : « Ça suffit ! Baisse ton bras, maintenant. » L’ange de Jéhovah se tenait près de l’aire de battage d’Ornân le Jébuséen.» Jéhovah a ordonné à son ange d’arrêter le fléau parce qu’il est sensible aux souffrances de son peuple. Vraiment, “ ses miséricordes sont très nombreuses ”. - w05 1/10 11 § 6 À plusieurs reprises, la Bible précise que Jéhovah a eu du regret. L’action de Dieu étant parfaite, le regret qu’il éprouve n’est jamais dû à une erreur de sa part. Le mot hébreu traduit par « avoir du regret » peut signifier changer d’avis ou d’intention, renoncer. Jéhovah étant raisonnable, souple et miséricordieux, il est par exemple disposé à renoncer à infliger la punition qu’il avait prévue s’il constate que les transgresseurs se repentent et changent – TG2013 15/6 Jéhovah éprouve des sentiments et nos actes peuvent avoir une incidence sur ses sentiments. Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? L’enregistrement désastreux décrété par David. Les Écritures mentionnent un enregistrement effectué vers la fin du règne de David et qui eut des conséquences désastreuses. On lit en 2 Samuel 24:1 le récit suivant : “ La colère de Jéhovah s’enflamma de nouveau contre Israël, quand on excita David contre eux, en disant : ‘ Va, dénombre Israël et Juda. ’ ” Le “ on ” qui excita David n’est pas identifié dans ce récit. S’agissait-il de quelque conseiller humain ? Était-ce Satan ? Ou même Dieu ? 1 Chroniques 21:1 aide à répondre : “ Satan se leva contre Israël et incita David à dénombrer Israël. Il se peut qu’il ait cédé à un mauvais mobile, par orgueil ou parce qu’il se confiait dans la puissance de son armée, manquant ainsi de s’en remettre entièrement à Jéhovah. Quoi qu’il en soit, il est manifeste qu’en la circonstance David n’avait pas pour souci premier de glorifier Dieu – it-1 Enregistrement Nous ignorons pourquoi le recensement ordonné par David fut un péché. Son action était mauvaise, car ce fut Satan qui “se leva contre Israël, et (...) excita David à faire le dénombrement”. (I Chron. 21:1.) Même Joab, qui faisait parfois passer ses passions et ses ambitions avant ce qui était bien, désapprouva ce recensement. Nous lisons : “L’ordre du roi lui paraissait une abomination.” (I Chron. 21:6). Aujourd’hui, ces événements sont loin de nous, mais si les contemporains de David jugeaient son acte répréhensible, c’est qu’ils avaient sans doute de bonnes raisons de le faire. Souvenez-vous de l’aveu de David lui-même : “J’ai beaucoup péché en ce que j’ai fait.” — II Sam. 24:10 Même si nous ignorons certains détails concernant le péché commis par David quand il ordonna le recensement, nous avons de bonnes raisons d’admettre que Dieu a agi avec justice et droiture, comme il l’a toujours fait dans ses rapports avec les humains imparfaits. – TG1969 1/12 1 Chroniques 21:5 « Et David dit : « Mon fils Salomon est jeune et sans expérience, et la maison qui sera construite pour Jéhovah doit être splendide, pour qu’elle soit célèbre et qu’on parle de sa beauté dans tous les pays. Je vais donc faire des préparatifs pour lui. » Ainsi, avant de mourir, David prépara des matériaux en grande quantité. » Pour la construction du temple, David a peut-être trouvé que Salomon n’était pas qualifié pour diriger un aussi grand chantier. En effet, le temple devait être « d’une magnificence incomparable », et Salomon était à l’époque « jeune et délicat ». Mais David savait que Jéhovah rendrait Salomon compétent pour l’œuvre qu’il lui avait confiée. Il s’est donc concentré sur ce qu’il pouvait faire pour aider, et a préparé des matériaux en grande quantité. À notre époque, beaucoup de frères qui ont travaillé dur pendant des dizaines d’années en ont préparé d’autres à assumer davantage de responsabilités. Les frères plus âgés ne devraient pas se décourager quand il s’avère nécessaire de céder à de plus jeunes des tâches qu’ils effectuaient. C’est dans l’intérêt de l’œuvre que les plus jeunes soient formés à des responsabilités. Les frères nommés devraient éprouver une grande satisfaction quand ceux qu’ils ont formés deviennent aptes à assumer le travail – TG2017/1 p29 David savait par expérience que la miséricorde de Jéhovah est plus grande que celle des humains. Assuré qu’il s’agissait de voies supérieures, David désirait être enseigné dans les sentiers de Dieu et marcher dans Sa vérité (1 Chroniques 21:13 « Alors David dit à Gad : « Je me sens très angoissé. Je préfère tomber entre les mains de Jéhovah, car sa miséricorde est très grande. Mais que je ne tombe pas entre les mains de l’homme. »). Sommes-nous dans la même disposition d’esprit que David TG1991 15/4 §1 Malgré toutes ses fautes et ses péchés graves, David manifesta toujours la bonne attitude de cœur en se repentant et en implorant le pardon de Jéhovah. David confessa humblement ses péchés lorsque Satan l’incita à dénombrer les hommes valides pour ses forces militaires. — I Chron. 21:1-17 – ad David Jéhovah ne bénira pas celui qui cache un péché grave et qui essaie de rester dans l’assemblée chrétienne. Si nous avons péché et que nous souhaitons agir avec justice, n’hésitons pas à nous confesser ouvertement. Sinon, nous aurons mauvaise conscience, notamment quand nous lirons ou entendrons des conseils ayant trait à la nature de notre faute. Et si Jéhovah nous retirait son esprit ? Privé de l’esprit de Dieu, nous risquerions de tomber dans des péchés plus graves. Dans l’Israël antique, des prosélytes aidèrent à la construction du temple de Salomon et participèrent aux actions de rétablissement du vrai culte (1 Chroniques 22:2 ‘David ordonna alors de réunir les résidents étrangers qui étaient dans le pays d’Israël, et il les établit comme tailleurs de pierre pour extraire et tailler des pierres en vue de la construction du temple du vrai Dieu ». Aujourd’hui, la Grande Foule participe de même à des activités de construction au sens propre et au figuré. Par exemple, elle a contribué à la formation d’assemblées et de districts, sans parler des constructions proprement dites, entre autres de Salles du Royaume, de Salles d’assemblées et de Béthels. – TG1995 1/7 §6 Le nom de Salomon (d’une racine qui signifie “ paix ”) s’employait sans aucun doute en rapport avec l’alliance que Jéhovah avait faite avec David, dans laquelle Il avait dit que David, quoiqu’ayant eu à cœur de le faire, ne bâtirait pas la maison pour Lui, Jéhovah, parce qu’il avait versé beaucoup de sang à la guerre (1Ch 22:6-10). Cela ne voulait pas dire que les guerres de David étaient condamnables. Mais, dans sa nature et ses finalités, le royaume typique de Jéhovah était essentiellement pacifique ; ses guerres avaient pour but d’éliminer la méchanceté et ceux qui s’opposaient à la souveraineté de Jéhovah, d’étendre la domination d’Israël jusqu’aux limites définies par Dieu, et d’établir la justice et la paix. Les guerres de David permirent à Israël d’atteindre ces objectifs. Le règne de Salomon fut essentiellement un règne de paix. – it-2 p870 Le temple de Salomon. Le roi David nourrissait le vif désir de construire une maison pour Jéhovah, afin d’y abriter l’arche de l’alliance qui ‘ habitait au milieu de toiles de tente ’. Jéhovah agréa la proposition de David, mais lui dit que, comme il avait versé beaucoup de sang à la guerre, le privilège de construire ce bâtiment reviendrait à son fils (Salomon). Cela ne voulait pas dire que Jéhovah n’approuvait pas les guerres que David avait menées en faveur du nom de Jéhovah et de Son peuple. Mais le temple devait être bâti dans la paix, par un homme de paix. — 1Ch 22:6-10. – it-2 p1047 David avait toujours à cœur de construire ce temple, et quoique Dieu ne le lui permît pas, il l’autorisa à prévoir un grand nombre d’ouvriers pour tailler les pierres et rassembler les matériaux, dont 100 000 talents d’or (plus de 35 millions d’euros), 1 000 000 de talents d’argent (plus de 6 millions d’euros) ainsi que du cuivre et du fer en quantité incalculable (1Ch 22:2-16). Les chérubins dans le Très-Saint, l’autel de l’encens et même tout l’intérieur de la maison étaient recouverts d’or. David préleva sur sa fortune personnelle de l’or d’Ophir et de l’argent affiné, pour une valeur de plus de 1 milliard d’euros. Il fournit aussi les plans architecturaux qu’il avait reçus par inspiration et il organisa les dizaines de milliers de Lévites en de nombreuses divisions de service, parmi lesquelles un important chœur de chanteurs et de musiciens. – it-1 p601 Le roi David « a eu à cœur » de construire une maison pour le nom de Jéhovah (1 Chron. 22:7). Tout ce qu’il voulait, c’était participer à la construction d’un temple qui vaudrait des louanges à Dieu et lui rendrait gloire. S’il était vivant aujourd’hui, que penserait-il de la formidable œuvre de construction qui a lieu à notre époque ? Plus le nombre de proclamateurs du Royaume augmente et plus la fin de ce système de choses approche, plus il nous faut des bâtiments et ce, rapidement. De nombreux pays ont en effet besoin d’un Béthel, de Salles d’assemblées, de Salles du Royaume et de locaux pour antennes de traduction et écoles bibliques. Pour mener à bien cette grande œuvre de construction, beaucoup de volontaires qualifiés sont nécessaires. – TG2015 15/1 p3-7 Le roi David a fait de grosses offrandes, prélevées sur sa fortune personnelle, pour financer la construction du Temple (1 Chron. 22:11-16). David s’est montré généreux. Pourquoi ? Parce qu’il reconnaissait que tout ce qu’il possédait, il l’avait obtenu grâce à la bonté de Jéhovah. Pourtant, il savait que ce serait à son fils Salomon qu’on attribuerait le mérite du travail accompli. Ce même sentiment de gratitude devrait nous pousser à la générosité. Si nous n’avons plus la force de participer à des projets de construction, nous pouvons continuer de les soutenir en faisant des dons en fonction de nos moyens – TG2021/9 p12 §14-15 David a rassemblé des matériaux en vue de ce projet grandiose. Il a dit à Salomon : “ J’ai préparé pour la maison de Jéhovah cent mille talents d’or et un million de talents d’argent ; le cuivre et le fer, on ne peut les peser, car il y en a en quantité ; j’ai préparé des bois et des pierres, mais tu y ajouteras encore. ” À cela, il a joint 3 000 talents d’or et 7 000 talents d’argent pris sur sa fortune personnelle (1 Chroniques 22:14 ; 29:3, 4). Ce n’était pas une manifestation extérieure de générosité ; ce don était un geste de foi et d’attachement à Jéhovah Dieu. David savait qu’il devait sa richesse à Jéhovah. Sa générosité incitait David à faire tout ce qu’il pouvait en faveur du culte pur. Comme lui, utilisons ce que nous possédons pour faire le bien. Au lieu d’axer notre vie sur ce qui est matériel, recherchons l’approbation de Dieu, ce qui est la voie de la vraie sagesse et du bonheur. Quelle que soit notre situation financière, comptons sur l’esprit de Dieu et menons une vie qui nous rendra ‘ riches à l’égard de Dieu. Rien n’est plus important que d’avoir l’approbation de notre bon Père céleste. – TG2004 1/ 4 §16,17
  19. Perles spirituelles - Semaine du 20 Février 2023 - 1 Chroniques 17-19.docx Perles spirituelles - Semaine du 20 Février 2023 - 1 Chroniques 17-19.pdf Perles spirituelles (10 min) : 1 Chroniques 17-19 1 Chroniques 17:16-18 : Comme David, de quoi pouvons-nous être sûrs ? (w20.02 12, encadré . « Alors le roi David alla s’asseoir par terre devant Jéhovah et lui dit : « Ô Jéhovah Dieu, qui suis-je, et qui est ma famille, pour mériter tout ce que tu as fait pour moi jusque-là ? 17 Et comme si tu n’en avais pas fait assez pour moi, ô Dieu, tu m’annonces en plus que ma famille est promise à un long avenir ; et tu m’as regardé comme si j’étais un homme digne des plus grands honneurs, ô Jéhovah Dieu ! 18 Et, au sujet de l’honneur qui m’est accordé, que puis-je ajouter, moi ton serviteur David, alors que tu me connais si bien ?» Jéhovah me remarque-t-il ? T’es-tu déjà demandé : « Sur les milliards d’humains qu’il y a sur la terre, pourquoi Jéhovah me remarquerait-il ? » Si oui, tu n’es pas le seul. Le roi David a écrit : « Ô Jéhovah, qu’est-ce que l’homme pour que tu le remarques, le fils du mortel pour que tu fasses attention à lui ? » (Ps. 144:3). David était certain que Dieu le connaissait très bien (1 Chron. 17:16-18). Au moyen de sa Parole et de son organisation, Jéhovah te fait comprendre à toi aussi qu’il remarque l’amour que tu as pour lui. Voici quelques enseignements de la Bible qui peuvent t’en convaincre : • Jéhovah t’a remarqué avant même ta naissance (Ps. 139:16). • Jéhovah sait ce que tu penses et ce que tu ressens (1 Chron. 28:9). • Jéhovah lui-même écoute chacune de tes prières (Ps. 65:2). • Tes belles actions réjouissent Jéhovah (Prov. 27:11). • Jéhovah t’a attiré à lui personnellement (Jean 6:44). • Si tu meurs, Jéhovah te connaît tellement bien qu’il pourra te ressusciter. Il recréera ton corps et te redonnera les souvenirs et la personnalité que tu as aujourd’hui (Jean 11:21-26, 39-44 ; Actes 24:15). - w20.02 12, encadré Psaume 139 :16 « Tes yeux m’ont vu alors que je n’étais qu’un embryon ; toutes ses parties étaient inscrites dans ton livre en rapport avec les jours de leur formation, avant qu’une seule d’entre elles existe » - Rien n’est caché aux yeux de Jéhovah. Il sait donc tout de nous. Jéhovah voit tout, y compris ce qui se passe dans les profondeurs de l’utérus. Dieu connaissait l’apparence de David avant même que les parties de son corps soient devenues distinctes dans l’utérus de sa mère. Pourquoi? Parce que le développement de l’embryon suivait un schéma précis, comme s’il obéissait à des instructions réunies dans un livre. Quelle belle preuve de la sagesse de Jéhovah et de sa capacité de voir même les choses cachées 1 Chron. 28:9 « Et toi, mon fils Salomon, apprends à connaître le Dieu de ton père et sers-le d’un cœur entier et d’une âme bien disposée, car Jéhovah examine ce qu’il y a au fond de tous les cœurs et il discerne toutes les intentions et les pensées. Si tu le recherches, il se laissera trouver par toi, mais si tu le quittes, il te rejettera pour toujours. » - Jéhovah est conscient de nos sentiments les plus secrets et discerne même « toutes [nos] intentions. Même si nous ne mettons pas des mots sur toutes nos pensées et tous nos sentiments quand nous le prions, notre Créateur est attentif à ce que nous faisons, mais il comprend aussi pourquoi nous le faisons. De plus, il sait le bien que nous voudrions sincèrement faire, même si nos limites nous empêchent de le faire. Puisque Dieu est à l’origine de l’amour qui est en nous, nous pouvons être sûrs qu’il désire vivement connaître et comprendre nos pensées et nos intentions motivées par l’amour Ps. 65:2 « Ô toi qui écoutes la prière, des gens de toute sorte viendront jusqu’à toi » - Jéhovah est Celui qui entend la prière de toute personne sincère. Nous pouvons prier Jéhovah à tout moment. Étant celui « qui entend la prière », Jéhovah aime écouter toutes les prières sincères. Même si quelqu’un prie des heures à propos d’un sujet qui le préoccupe beaucoup, Jéhovah ne compte pas son temps. Prov. 27:11 « Mon fils, agis avec sagesse, et réjouis mon cœur, pour que je puisse répondre à celui qui me provoque. » Si nous faisons le maximum pour que nos paroles et nos actions plaisent à Jéhovah, nous pouvons être sûrs qu’il ne laissera pas Satan nous causer un tort durable. Quand nous aidons avec désintéressement ceux qui rencontrent des difficultés, Jéhovah considère nos belles actions comme un prêt en sa faveur. Et il promet de récompenser ces marques de bonté. . Parfois, nous avons peut-être l’impression que personne ne remarque nos belles actions. Mais notre Père céleste y est attentif. Il remarque toute bonne action et il nous récompensera. Dans toutes nos actions, laissons-nous diriger par la volonté de Jéhovah Dieu et par notre conviction d’être au “ temps de la fin. Bien que la vie éternelle soit un don de Dieu, nos actions mettent en évidence la sincérité de notre foi et de notre amour pour la lumière. Ainsi donc, le jugement que nous recevrons dépendra dans une large mesure de notre aptitude à produire de belles œuvres et à fuir les pratiques mauvaises Jéhovah attire les gens à lui au moyen des « belles actions » des membres de l’assemblée chrétienne Jean 6:44 « Personne ne peut venir vers moi, si le Père, qui m’a envoyé, ne l’attire ; et je le ressusciterai au dernier jour. » - Nous avons tous goûté à sa bonté d’au moins une façon : Jéhovah a invité chacun de nous à s’approcher de lui et de son Fils. Avons-nous le sentiment que ces paroles de Jean 6 :44 s’appliquent à nous ? Ou ne nous disons pas : « Jéhovah a attiré mes parents ; moi, je les ai simplement suivis. » Rappelons-nous que, par notre baptême, nous avons montré que nous avions notre propre relation privilégiée avec Jéhovah. C’est pourquoi on peut dire qu’il nous connaît personnellement. D’ailleurs, la Bible dit : « Si quelqu’un aime Dieu, celui-là est connu de lui » (1 Cor. 8:3). Jéhovah nous attire individuellement, personnellement à son Fils et à l’espérance de la vie éternelle. Comment ? Par l’œuvre de prédication, qui touche chacun personnellement, et par son esprit saint, qui nous aide à comprendre et à mettre en pratique les vérités spirituelles malgré nos limites et nos imperfections En quel sens Jéhovah nous attire-t-il ? Le verbe grec rendu par « attire » s’emploie aussi pour parler de l’action de tirer un filet à poissons (Jean 21:6, 11). Jéhovah nous « tire-t-il » à lui contre notre gré, nous forçant à le servir ? Non. Il nous a donné le libre arbitre, ou liberté de choix. Il ne nous force pas à lui ouvrir notre cœur. Un bibliste explique : « La porte de notre cœur n’a pas de poignée à l’extérieur. Elle ne s’ouvre que de l’intérieur. » Jéhovah examine les milliards de cœurs qui existent dans le monde pour trouver les personnes qui le recherchent (1 Chroniques 28:9). Quand il en trouve une, il agit envers elle de façon touchante. Comment cela ? Jéhovah attire en douceur le cœur d’une personne qui est « dans la disposition qu’il faut » (Actes 13:48). Il le fait de deux manières : au moyen de la prédication de la bonne nouvelle, qui touche chacun personnellement, et au moyen de son esprit saint. Quand il voit un cœur réceptif aux vérités bibliques, il utilise son esprit pour aider la personne à les comprendre et à les appliquer dans sa vie. Sans cette aide, nous ne pourrions pas devenir de véritables disciples de Jésus ni de fidèles adorateurs de Jéhovah. Alors, que nous enseignent les paroles de Jésus rapportées en Jean 6:44 au sujet de Jéhovah ? Qu’il nous attire parce qu’il voit quelque chose de bon dans notre cœur et s’intéresse à nous individuellement. Le fait de savoir que Jéhovah s’intéresse individuellement à ses adorateurs vous pousse-t-il à lui ouvrir la porte de votre cœur ? Jean 11:21-26, 39-44 ; Actes 24:15 - Si nous sommes fidèles, nous pouvons être sûrs que Dieu nous ressuscitera au temps fixé. Quand Jéhovah ressuscitera quelqu’un, il lui redonnera les souvenirs et les traits de personnalité qui le caractérisaient. Mais réfléchissons un instant à ce que cela signifie. Jéhovah nous aime tellement qu’il remarque et retient tout ce que nous pensons, tout ce que nous ressentons, tout ce que nous disons et tout ce que nous faisons. Le roi David avait compris que Jéhovah s’intéresse de très près à chacun de nous. Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Le roi David n’a pas pu accomplir tout ce qu’il espérait au service de Jéhovah. Par exemple, il avait très envie de construire un temple pour son Dieu. Quand il en a parlé au prophète Nathan, celui-ci lui a répondu : « Tout ce que tu souhaites faire, fais-le, car le vrai Dieu est avec toi » (1 Chron. 17:1, 2). Imagine comme ces paroles ont dû encourager David ! Il s’est peut-être immédiatement mis à réfléchir à la façon de réaliser ce projet extraordinaire. Toutefois, Nathan est rapidement revenu voir David avec une mauvaise nouvelle. « Cette nuit-là », Jéhovah avait révélé au prophète que ce ne serait pas David qui construirait le Temple, mais l’un de ses fils (1 Chron. 17:3, 4, 11, 12). Comment David a-t-il réagi à ce message ? Il a modifié ses objectifs. À partir de ce moment-là, il a rassemblé l’argent et les matériaux dont son fils Salomon aurait besoin pour le projet (1 Chron. 29:1-5). Immédiatement après avoir fait savoir à David que ce ne serait pas lui qui construirait le Temple, Jéhovah a conclu avec lui une alliance. Il lui a promis qu’un de ses descendants régnerait pour toujours. Imagine la joie que ressentira David dans le monde nouveau quand il apprendra qu’il vit sous le règne de mille ans de Jésus, l’un de ses descendants ! L’exemple de David nous enseigne que si nous ne pouvons pas faire tout ce que nous aurions aimé faire pour Jéhovah, il nous réserve peut-être d’autres bénédictions que nous n’imaginons même pas. – TG2023/4 §8-10 David n’a pas été autorisé à superviser la construction de la maison de Jéhovah. Cet honneur est revenu à son fils Salomon. David n’a pas murmuré à l’idée que quelqu’un d’autre que lui se verrait accorder le privilège auquel il aspirait tant. Ce qui lui importait avant tout, c’était que le temple soit construit. Il a soutenu de tout son cœur ce projet en transmettant à Salomon les plans architecturaux que Jéhovah lui avait confiés. En outre, il a organisé des milliers de Lévites en divisions et fait don d’une grande quantité d’or et d’argent pour la construction du temple. — 1 Chroniques 17:1, 4, 11, 12.Les Israélites fidèles ont apporté leur soutien aux dispositions prévues pour le vrai culte à la maison de Dieu. Nous qui servons Jéhovah aujourd’hui, nous soutenons nous aussi les dispositions cultuelles en vigueur au sein de la partie terrestre de son organisation. Nous montrons ainsi que nous sommes animés du même esprit que David. Nous ne sommes pas de ceux qui se plaignent. Au contraire, nous fixons nos regards sur l’excellence de l’organisation de Dieu. Avez-vous réfléchi aux nombreuses choses pour lesquelles nous pouvons être reconnaissants ? – TG2006 15/7 §2,3 Le roi David avait très envie de construire une maison pour son Dieu. Mais quand Jéhovah l’a informé que cet honneur serait accordé à Salomon, il a accepté cette décision et a pleinement soutenu le projet (1 Chron. 17:4 ; 22:5). Il ne s’est pas dit qu’il était mieux placé pour bâtir le Temple que Salomon, qui était « jeune et sans expérience » (1 Chron. 29:1). Il savait que la réussite du projet dépendrait de la bénédiction de Jéhovah, et non de l’âge ou de l’expérience de ceux à qui il serait confié. Comme David, les frères et sœurs âgés restent actifs, même s’ils ont dû changer d’affectation. Et ils savent que Jéhovah bénira leurs compagnons plus jeunes qui les ont remplacés Les chrétiens humbles reconnaissent aussi qu’avec l’âge, ils ne peuvent plus en faire autant qu’avant. Parlons par exemple des responsables de circonscription. Quand ils ont 70 ans, on leur demande de changer de forme de service. Cela peut être difficile à vivre. Ils aiment cette activité qui leur permet de servir leurs frères et sœurs, et ils souhaiteraient continuer de l’effectuer. Mais ils comprennent qu’il est nécessaire que des frères plus jeunes prennent la relève. Ils manifestent ainsi le même état d’esprit que celui des Lévites, dont le service obligatoire au tabernacle cessait quand ils avaient 50 ans. La joie de ces Lévites ne dépendait pas de l’activité qu’ils effectuaient. Une fois à la retraite, ils saisissaient toutes les occasions qui s’offraient à eux d’aider les plus jeunes à effectuer leur service. – TG2021/9 p9 Le premier souverain de la lignée de Juda, le roi David, reçut de Dieu la promesse suivante: “Ta maison et ta royauté sont à jamais assurées devant toi; ton trône sera stable pour toujours.” (2 Samuel 7:16). Dieu lui promit également: “J’élèverai à ta place ta progéniture (...) et j’affermirai son empire. C’est lui qui m’édifiera un temple, et moi, j’assurerai à jamais son trône.” (1 Chroniques 17:11, 12). Le roi Salomon, fils et successeur de David, construisit effectivement le temple de Jéhovah, mais à l’évidence il ne régna pas indéfiniment. Toutefois, quelqu’un de la postérité de David serait le “Chilo”, ou Messie, annoncé en Genèse 49:10. Le roi David parla du Messie en termes prophétiques: “Que, sous son règne, le juste soit florissant, et la paix abondante jusqu’à extinction de la lune! Que sa domination s’étende d’une mer à l’autre, du Fleuve jusqu’aux extrémités de la terre!” — Psaume 72:7, 8. – Brochure Un monde sans guerre p12 §9 Devons-nous avoir une position particulière pour prier ? Non. Jéhovah ne nous demande pas d’être à genoux, assis ou debout quand nous prions. La Bible nous enseigne que nous pouvons prier dans n’importe quelle position respectueuse (1 Chroniques 17:16). Ce qui est important pour Jéhovah, ce n’est pas notre position, mais notre état d’esprit. Nous pouvons prier à voix haute ou en silence, quel que soit l’endroit où nous sommes et à n’importe quel moment du jour ou de la nuit. Nous pouvons être sûrs que Jéhovah nous écoutera, même si personne d’autre ne nous entend – bhs chap17 Les soupçons injustifiés sont à ranger parmi les pensées malveillantes dont nous devons nous garder. Pourquoi ? Prenons un exemple. La Bible nous parle des soupçons des princes ammonites. Bien qu’ayant fréquemment combattu les Israélites, ce peuple n’avait jamais été attaqué par eux, car Israël avait reçu de Jéhovah Dieu des instructions précises le lui interdisant (Deut. 2:19). Cependant, quand le roi David envoya des messagers à ces princes pour leur transmettre ses condoléances à l’occasion de la mort de leur roi, ils accusèrent les messagers d’être des espions et ils les humilièrent. Leurs soupçons les incitèrent même à offrir des présents à une nation voisine, afin qu’elle se joigne à eux pour combattre Israël. Finalement, leurs soupçons injustifiés furent durement payés puisqu’ils ont été vaincus par les Israélites et assujettis. Nous pouvons tirer une leçon de ce récit. — I Chron. 19:1 à 20:3. – TG1973 15/11 p702
  20. Jéhovah vous recueillera.docx Jéhovah vous recueillera.pdf jwb_F_202004_05_r360P.mp4
  21. Perles spirituelles - Semaine du 13 Février 2023 - 1 Chroniques 13-16.docx Perles spirituelles - Semaine du 13 Février 2023 - 1 Chroniques 13-16.pdf Perles spirituelles (10 min) : 1 Chroniques 13-16 1 Chroniques 16:31 : Pourquoi les Lévites pouvaient-ils chanter « Jéhovah est devenu Roi ! » ? (w14 15/1 10 § 14). « Que le ciel se réjouisse, et que la terre soit joyeuse ! Proclamez parmi les nations : “Jéhovah est devenu Roi !”» David a apporté l’arche sacrée de l’alliance à Jérusalem. Lors de cet évènement joyeux, les Lévites ont chanté un chant de louange qui contenait une déclaration digne d’intérêt : « Qu’on dise parmi les nations : “Jéhovah lui-même est devenu roi !” » (1 Chron. 16:31). On pourrait se demander : « Puisque Jéhovah est le Roi d’éternité, en quel sens devient-il Roi à certains moments ? » Jéhovah devient Roi lorsqu’il exprime sa domination ou lorsqu’il établit un instrument qui le représente à un certain moment ou qui gère une situation particulière. Cet aspect de la royauté de Jéhovah est très important. Avant la mort de David, Jéhovah lui a promis que sa royauté durerait indéfiniment : « Je susciterai ta semence après toi, celui qui sera issu de toi-même ; et, vraiment, j’établirai solidement son royaume » (2 Sam. 7:12, 13). Il s’est avéré que cette « semence » de David est apparue plus de 1 000 ans après. Qui était-ce, et quand deviendrait-il Roi ? – TG2014 15/1 10 § 14 Le roi David nomma certains Lévites “ pour la direction du chant ” au tabernacle, avant que le temple construit par Salomon, son fils, soit inauguré (1 Chroniques 6:31, 32). Lorsque l’arche de l’alliance, représentant la présence de Jéhovah, arriva à Jérusalem, David plaça quelques-uns des Lévites “ pour rappeler, mais aussi pour remercier et louer Jéhovah ”. Ils accompagnèrent leurs louanges ‘ avec des instruments de la catégorie des instruments à cordes et aussi avec des harpes, avec les cymbales et avec les trompettes ’. Ces hommes furent “ désignés par leurs noms, pour remercier Jéhovah, car ‘ sa bonté de cœur est pour des temps indéfinis ’ ”. — 1 Chroniques 16:4-6, 41 ; 25:1 – TG2000 1/6 En 1 Chroniques 16:1, 4-36, nous lisons que l’on a loué Jéhovah par le chant et les instruments de musique lorsque David a amené l’Arche à Jérusalem. Ce fut un moment de joie intense. Jéhovah a également été loué par des chants avec accompagnement instrumental quand le roi Salomon a inauguré le temple de Jérusalem. Voici ce qu’on lit en 2 Chroniques 5:13, 14: “Il advint, dès que les sonneurs de trompettes et les chanteurs furent comme un seul pour faire entendre un seul son en louant et en remerciant Jéhovah, et dès qu’ils firent s’enfler le son avec les trompettes, et avec les cymbales, et avec les instruments accompagnant le chant, et aussi en louant Jéhovah, ‘car il est bon, car sa bonté de cœur est pour des temps indéfinis’, que la maison fut remplie d’une nuée, la maison même de Jéhovah, et les prêtres ne purent se tenir là pour faire le service, à cause de la nuée; car la gloire de Jéhovah remplissait la maison du vrai Dieu.” Que montre ce récit? Que Jéhovah écoutait, mais aussi appréciait, cette louange mélodieuse, ce qu’indiqua la nuée surnaturelle. Plus tard, aux jours de Néhémie, deux chœurs ont assuré les chants lors de l’inauguration de la muraille de Jérusalem. Le chant occupait au temple une telle place dans le culte que 4 000 Lévites avaient été mis à part comme musiciens (1 Chroniques 23:4, 5). Ils accompagnaient les chanteurs. La musique — et spécialement le chant — tenait une place importante dans le culte, pas forcément pour transmettre les notions profondes de la Loi, mais pour inspirer des dispositions favorables pour le culte. Elle aidait les Israélites à adorer Jéhovah avec ferveur. On notera la préparation et le souci du détail qui entouraient cette facette du culte: “Leur nombre, avec leurs frères exercés au chant pour Jéhovah, tous étant experts, se trouva être de deux cent quatre-vingt-huit.” (1 Chroniques 25:7). Il est manifeste que le chant de louanges à Jéhovah était considéré avec beaucoup de sérieux. Ces hommes étaient exercés au chant et experts – TG1994 1/5 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? À l’époque de Moïse, c’est à 30 ans qu’un Lévite assumait toutes ses responsabilités, par exemple celle consistant à porter le tabernacle et ses ustensiles lorsqu’on le déplaçait (Nb 4:46-49). Il pouvait effectuer certaines tâches à partir de l’âge de 25 ans, mais apparemment pas le service pénible, comme le transport du tabernacle (Nb 8:24). Au temps du roi David, cet âge fut abaissé à 20 ans. La raison donnée par David fut qu’il n’y aurait plus à transporter le tabernacle (qui allait désormais être remplacé par le temple). Le service obligatoire cessait à l’âge de 50 ans (Nb 8:25, 26). Les Lévites devaient être versés dans la Loi, car ils étaient souvent amenés à la lire en public et à l’enseigner au peuple. — 1Ch 15:27 – it-2 Lévites Si un jeune homme fait preuve de maturité chrétienne, est humble et remplit les autres conditions bibliques requises, les anciens peuvent le recommander pour qu’il soit nommé assistant ministériel, même s’il n’a pas encore 20 ans 1 Tim. 3:8-10, 12Dans ces versets, aucun âge minimum n’est précisé pour la nomination d’un assistant ministériel. Par conséquent, lorsque les anciens se réunissent pour examiner si des éléments masculins de l’assemblée remplissent les conditions requises, ils peuvent se rappeler qu’aucune instruction biblique ne stipule qu’un chrétien doit avoir 20, 25 ou 30 ans avant de pouvoir être recommandé et servir. La Bible parle des hommes qui remplissent cette fonction comme de “ceux qui servent”. Il pourrait difficilement s’agir de garçons ou de jeunes adolescents. C’est ce que la Bible confirme en précisant que les assistants ministériels pourraient être mariés et avoir des enfants. – TG1989 1er juillet p29 La Bible nous offre maints autres exemples historiques de la bonté de cœur de Dieu. S’il manifesta cette qualité, c’était souvent pour favoriser le vrai culte. On peut citer un cas qui concernait le coffre sacré appelé Arche de l’alliance, qui symbolisait la présence de Jéhovah en Israël. Après l’entrée des Israélites en Terre promise, l’Arche était restée pendant des années, non pas dans sa tente à Siloh, mais à Kiriath-Jéarim. David voulut la faire transporter à Jérusalem où il s’était assis sur le trône de Jéhovah. Sa première tentative échoua (I Chron. 13:1-14). Finalement, il réalisa son dessein en la faisant transporter par les Lévites, conformément aux instructions divines (I Chron. 15:1-28). Cet événement extrêmement important suscita ces louanges : “Rendez grâce à Jéhovah, car il est bon, car sa bonté de cœur est jusqu’à des temps indéfinis.” — I Chron. 16:1, 8, 34-36. Réagissez-vous de la même manière quand des progrès sont réalisés en faveur du vrai culte? De nouvelles dispositions peuvent être prises pour permettre à davantage de personnes de connaître Jéhovah. Un nouveau livre peut être utilisé pour enseigner les vérités bibliques, à moins qu’il ne s’agisse d’un numéro spécial de La Tour de Garde ou de Réveillez-vous ! dont le but est de convaincre une certaine catégorie de gens de la nécessité de servir Dieu. Il peut s’agir encore de l’adoption de meilleures dispositions concernant les anciens de l’assemblée. Réagissez-vous alors comme David en remerciant Jéhovah pour sa bonté de cœur qui se manifeste par de tels progrès dans la pratique du vrai culte ? Il y a certainement de bonnes raisons d’agir ainsi. – TG1977 1/6 §19,20 1 Chroniques 13:11 David fut contrarié parce que la colère de Jéhovah s’était abattue sur Ouza. Et depuis, ce lieu s’appelle Pérez-Ouza. » Au lieu d’être portée sur les épaules des Lévites comme l’exigeait la loi divine, l’Arche fut placée sur un chariot neuf. Quand, pendant le voyage, ‘les taureaux faillirent la renverser’, Ouza saisit l’Arche pour éviter qu’elle ne s’écrase par terre. Or il était interdit à quiconque de toucher l’Arche, et Jéhovah fit mourir Ouza pour son acte irrévérencieux. Leçon - Au lieu de nous mettre en colère contre Jéhovah et de lui reprocher la faillite de nos projets, nous devrions analyser la situation pour chercher à comprendre la raison de notre échec. C’est à coup sûr ce que David a fait. Ayant tiré leçon de son erreur, il a plus tard réussi à transférer l’Arche à Jérusalem en employant la bonne méthode. – TG2005 1/10 p11 Peu après l’intronisation de David à Jérusalem, les Philistins, voisins des Israélites, les ont attaqués, ce qui a déclenché l’action étrange de Jéhovah. Au début, les Philistins ont fait des incursions dans la basse plaine de Réphaïm. Ayant demandé à Dieu ce qu’il devait faire, David s’est entendu répondre de passer à l’offensive. Il a donc obéi à la parole de Jéhovah. David, en ce jour, a écrasé la puissante armée philistine à Baal-Pérazim. Mais les Philistins ne se sont pas avoués vaincus. Ils sont bientôt revenus dévaster et piller la basse plaine de Réphaïm. De nouveau, David a recherché la direction de Jéhovah. Cette fois, il s’est entendu dire d’aller avec ses troupes vers les arrières des Philistins. Jéhovah a déclaré: “Quand tu entendras dans les cimes des bacas un bruit de gens qui marchent, alors tu agiras avec décision, car alors Jéhovah sera sorti en avant de toi pour abattre le camp des Philistins.” Et c’est ce qui est arrivé. David a attendu que Jéhovah, peut-être à l’aide d’un vent violent, produise dans les cimes des bacas un bruit de gens qui marchent. Immédiatement, David et ses troupes ont bondi hors de leur cachette et ont attaqué les Philistins dont l’attention avait été détournée; ils les ont vaincus et massacrés. Les idoles que les Philistins ont abandonnées sur le champ de bataille ont été rassemblées et détruites - 1 Chroniques 14:8-17. C’était une œuvre insolite, une action étrange, que Jéhovah avait accomplie à l’encontre des Philistins et en faveur de son roi oint. Cet acte remarquable présente un intérêt particulier, car le prophète Ésaïe avertit que Jéhovah ferait quelque chose d’aussi étrange et d’aussi puissant contre les ivrognes spirituels de Juda. Aussi, les chefs religieux infidèles de l’époque d’Ésaïe devaient prêter attention à ses paroles. De même, aujourd’hui, la chrétienté ne doit pas négliger ce qui est arrivé à Juda, car ces événements constituent un modèle prophétique du sort qui l’attend. – TG1991 1/6 p21 Après avoir été restituée à Israël, l’arche de l’alliance avait séjourné pendant de nombreuses années à Qiriath-Yéarim ; le roi David souhaitait la faire transférer à Jérusalem. Il tint conseil avec les chefs du peuple et leur affirma que l’Arche serait déplacée ‘ si cela leur paraissait bon et si cela était agréé de Jéhovah ’. Seulement, il ne procéda pas à des recherches approfondies pour s’assurer de la volonté de Jéhovah en la circonstance. S’il l’avait fait, l’Arche n’aurait jamais été chargée sur un chariot. Des Lévites qehathites l’auraient transportée sur leurs épaules, ainsi que Dieu l’avait expressément demandé. Alors que David interrogeait souvent Jéhovah, dans ce cas il omit de le faire ainsi qu’il convenait. Les conséquences furent catastrophiques. David le reconnut plus tard : “ Jéhovah notre Dieu a fait brèche contre nous, car nous ne l’avons pas recherché selon la coutume. ” — 1 Chroniques 13:1-3 ; 15:11-13 Finalement, les Lévites transportèrent l’Arche de la maison d’Obed-Édom à Jérusalem ; ce jour-là on chanta un chant composé par David. Ce chant comportait ce rappel fervent : “ Recherchez Jéhovah et sa force, cherchez sa face constamment. Souvenez-vous de ses actes prodigieux qu’il a accomplis, de ses miracles et des décisions judiciaires de sa bouche. ” — 1 Chroniques 16:11, 12. Au début de son règne, Asa avait fait disparaître de son territoire les autels et les colonnes utilisés pour le faux culte. Il avait engagé le peuple à “ rechercher Jéhovah ”. Asa n’avait pas attendu le malheur pour agir de la sorte. C’est donc avec foi qu’il put prier Jéhovah d’intervenir en faveur de la nation. Quelle fut l’issue de la situation ? Jéhovah accorda effectivement une victoire retentissante à Juda. — 2 Chroniques 14:2-12. Pourtant, alors que le roi Asa revenait victorieux de la bataille, Jéhovah envoya Azaria à sa rencontre, et ce dernier lui dit : “ Entendez-moi, ô Asa ainsi que tout Juda et Benjamin ! Jéhovah est avec vous aussi longtemps que vous êtes avec lui ; si vous le recherchez, il se laissera trouver par vous, mais si vous le quittez, il vous quittera. ” (2 Chroniques 15:2). C’est avec un zèle encore plus fervent qu’Asa défendit le vrai culte. Mais quelques années plus tard, face à une nouvelle menace de guerre, il omit de rechercher Jéhovah. Il ne consulta pas sa Parole, et ne se souvint pas de ce que Jéhovah avait accompli quand l’armée éthiopienne avait envahi Juda. Il commit l’erreur de contracter une alliance avec la Syrie. — 2 Chroniques 16:1-6. Jéhovah envoya donc Hanani le voyant pour qu’il le reprenne. À ce moment-là, Asa avait encore l’occasion de réagir sainement. Cependant, il s’offensa et mit Hanani dans la maison des ceps (2 Chroniques 16:7-10). Quelle réaction navrante ! Et nous ? Recherchons-nous Dieu pour ensuite rejeter les conseils ? Quand un ancien s’inquiète de nous parce que nous nous laissons entraîner par le monde, et qu’il vient avec bienveillance nous donner un conseil tiré de la Bible, nous rappeler “ ce qui est agréable au Seigneur ”, nous montrons-nous reconnaissants pour l’aide pleine d’amour qui nous est apportée ? TG2003 1/5 p10 Une leçon sur l’orgueil et l’humilité – Un incident dans la vie du roi David met en contraste l’humilité et l’orgueil. David avait conquis Jérusalem et en avait fait sa capitale. Considérant Jéhovah comme le véritable Roi d’Israël, il fit apporter l’arche, qui symbolisait la présence de Dieu, dans la ville. Cet événement avait une importance telle pour David qu’il manifesta sa joie aux yeux de tous pendant qu’il suivait les prêtres porteurs de l’arche. Les habitants de Jérusalem virent donc leur roi qui “ bondissait ” et qui “ dansait [...] de toute sa force ”. — 1 Chroniques 15:15, 16, 29. Mikal, la femme de David, ne se joignit pas à la procession. Elle regardait par la fenêtre. Au lieu d’éprouver de l’admiration pour la façon dont David louait Jéhovah, elle “ le méprisa dans son cœur ”. (2 Samuel 6:16.) Pour quelle raison ? De toute évidence, elle attachait beaucoup trop d’importance au fait qu’elle était la fille du premier roi d’Israël, Saül, ainsi que la femme du second, David. Elle s’est peut-être dit que son mari, souverain de la nation, n’aurait pas dû s’abaisser au niveau du commun peuple en adoptant sa façon de fêter l’événement. Elle dévoila ses sentiments hautains à la façon dont elle accueillit David, quand il revint chez lui. Elle lui dit, sarcastique : “ Comme il s’est rendu glorieux aujourd’hui, le roi d’Israël, lorsqu’il s’est découvert aujourd’hui aux yeux des esclaves de ses serviteurs, comme se découvre complètement un de ces hommes sans cervelle ! ” — 2 Samuel 6:20. Comment David réagit-il ? Il la réprimanda en lui rappelant que Jéhovah avait rejeté son père, Saül, et qu’il avait porté son choix sur lui, David. Puis il ajouta : “ Je veux me rendre encore plus méprisable que cela, et je veux devenir bas à mes yeux ; mais auprès des esclaves que tu as mentionnées, c’est auprès d’elles que je suis résolu à me glorifier. ” — 2 Samuel 6:21, 22. David était déterminé à continuer de servir Jéhovah avec humilité. Quand on songe à ce bel état d’esprit, on comprend mieux pourquoi Jéhovah a parlé de David comme d’“ un homme selon son cœur ”. (1 Samuel 13:14.) David suivait en fait le plus bel exemple d’humilité qui soit, celui de Jéhovah Dieu lui-même. Fait intéressant, quand il dit à Mikal : “ Je veux devenir bas ”, il emploie une expression tirée d’une racine verbale qui est aussi utilisée pour décrire le regard que Dieu porte sur l’humanité. Puisque Jéhovah est humble, il n’est pas surprenant qu’il déteste les “ yeux hautains ” des orgueilleux. En raison de son orgueil et de son manque de respect pour celui que Dieu avait choisi comme roi, Mikal a perdu le privilège de donner un fils à David. Elle est morte sans enfant. Quelle leçon digne d’intérêt pour nous ! Tous ceux qui veulent conserver la faveur de Dieu doivent obéir à ces mots : “ Ceignez-vous d’humilité les uns envers les autres, parce que Dieu s’oppose aux orgueilleux, mais aux humbles il donne la faveur imméritée. ” — TG2006 15/6 p31 Le roi David a écrit : “ Jéhovah est grand et on doit le louer infiniment, et on doit le craindre plus que tous les autres dieux. Car tous les dieux des peuples sont des dieux sans valeur. Quant à Jéhovah, il a fait les cieux. ” — 1 Chron. 16:25, 26. Comme David l’a indiqué, les preuves de la grandeur de Jéhovah sont tout autour de nous Les Israélites avaient l’honneur d’être dans des relations d’alliance avec Jéhovah. N’était-ce pas une folie de leur part de se détourner de lui et de se prosterner devant des images sculptées et des colonnes sacrées ? En période de crise, il est apparu nettement que ces faux dieux étaient sans valeur. Du reste, étant incapables de se sauver eux-mêmes, comment auraient-ils pu sauver leurs adorateurs ? Aujourd’hui encore, dans de nombreux pays, des gens se prosternent devant des images faites par l’homme ; ces dieux n’ont pas plus de valeur que n’en avaient ceux du passé. Cela dit, d’après la Bible, il n’y a pas que des images qui sont des dieux. Remarquez, par exemple, cette observation de Jésus : “ Personne ne peut travailler comme un esclave pour deux maîtres ; car ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez travailler comme des esclaves pour Dieu et pour la Richesse. ” — Mat. 6:24. – TG2008 15/4 p3-4 §5-7 Des prières publiques qui viennent d’un cœur humble - C’était un jour joyeux dans l’histoire des Israélites: le roi David venait de faire monter l’arche de Jéhovah à Jérusalem, la nouvelle capitale du pays. Plein d’allégresse, il loua Jéhovah devant tout le peuple et conclut une prière venant du cœur par ces mots: “Que Jéhovah, le Dieu d’Israël, soit loué pour toute l’éternité.” » Tout le peuple dit alors : « Amen ! », et tous louèrent Jéhovah.”. — I Chroniques 16:36. Dans l’Antiquité, il n’était pas rare parmi le peuple de Dieu qu’une personne ayant les qualités requises prie au nom de tous. Il en va de même parmi les serviteurs de Jéhovah à notre époque. Qu’en résulte-t-il? Comme du temps de David, ceux qui écoutent et disent “Amen” sont édifiés et sentent que leurs relations avec Jéhovah ont été affermies. C’est une lourde responsabilité que de prier au nom d’autres personnes. Celui qui le fait doit exprimer convenablement les sentiments de ceux qui écoutent. Sa prière a une influence sur leur spiritualité. Ceux qui ont ce privilège ont donc tout lieu de faire écho à cette requête que David adressa à Dieu: “Que ma prière soit préparée comme un encens devant toi.” Psaume 141:2. Comment pouvons-nous préparer nos prières de telle sorte qu’elles soient pour Jéhovah d’une odeur aussi agréable que l’encens? En réfléchissant par avance à ce que nous allons dire à la lumière des instructions fournies par Jéhovah. – TG1986 15/5 p21. Pourquoi les assistants aux réunions et assemblées chrétiennes sont-ils parfois invités à se lever pour le chant des cantiques et la prière ? Le vrai culte comprend depuis très longtemps le chant de cantiques et la prière (I Chroniques 16:7-9 « C’est ce jour-là que pour la première fois David composa un chant pour remercier Jéhovah par le moyen d’Assaf et des hommes de sa famille : 8 « Remerciez Jéhovah, louez son nom ; parmi les peuples, faites connaître ses actions grandioses ! 9 Chantez pour lui, chantez-lui des louanges, méditez sur tous ses actes prodigieux.). L’un et l’autre constituent donc une partie régulière et importante du culte pratiqué lors des réunions et des assemblées. De nombreux cantiques se présentent sous la forme de prières et de louanges adressées à Dieu. Lorsqu’une assemblée importante et unie se lève pour chanter ou prier, on peut considérer qu’il s’agit d’une marque de respect pour Dieu à qui l’on adresse des actions de grâce. Il convient cependant de reconnaître que, selon la Bible, on peut prier Dieu ou chanter ses louanges dans n’importe quelle position (voir Luc 22:39-41; Actes 16:24, 25).Il n’y a aucune règle à cet égard. Si, à cause de sa santé ou pour d’autres raisons, quelqu’un préfère rester assis lorsque l’assemblée chante ou prie, il n’y a aucun mal à cela. Bien souvent les chrétiens restent assis pour prier lorsqu’ils sont réunis en plus petit nombre, par exemple lors d’une étude biblique dans un foyer ou d’un repas. – TG1983 1/ 2 p31
  22. Perles spirituelles - Semaine du 6 Février 2023 - 1 Chroniques 10-12.docx Perles spirituelles - Semaine du 6 Février 2023 - 1 Chroniques 10-12.pdf Perles spirituelles (10 min) : 1 Chroniques 10-12 1 Chroniques 12:33, note : Quel bel exemple les 50000 hommes de Zabulon nous donnent-t-ils ? (it-1 492 § 2-3). « De la tribu de Zabulon, il y avait 50 000 hommes capables de servir dans l’armée, entraînés à se ranger en formation de combat avec toutes sortes d’armes de guerre ; tous ceux-là se joignirent à David avec une loyauté totale.» Comment servir d’“ un cœur complet ”. Le cœur proprement dit doit être complet pour fonctionner normalement, mais le cœur symbolique peut être divisé. David pria en ces termes : “ Unifie mon cœur pour craindre ton nom ”, ce qui laisse entendre qu’on peut avoir le cœur divisé quant à ses sentiments et à ses craintes. Une telle personne peut avoir ‘ le cœur partagé ’, c’est-à-dire adorer Dieu avec tiédeur. Quelqu’un peut aussi avoir “ un cœur double ” (littéralement : “ un cœur et un cœur ”), essayant de servir deux maîtres ou déclarant faussement une chose tout en pensant autre chose (1Ch 12:33 ; Ps 12:2, note). Jésus condamna fermement l’hypocrisie de ceux qui ont le cœur double. — Quiconque désire plaire à Dieu ne doit pas avoir le cœur partagé ni un cœur double, mais le servir d’un cœur complet . Cela requiert des efforts diligents, car le cœur est extrêmement mauvais et enclin au mal. Pour garder un cœur complet, il est utile de prier sincèrement, d’étudier régulièrement la Parole de Dieu, de participer avec zèle à la prédication de la bonne nouvelle et de fréquenter d’autres personnes dont le cœur est complet à l’égard de Jéhovah. — it-1 492 § 2-3 Posez-vous ces questions : Quel genre de personne suis-je dans la ‘personnalité secrète de mon cœur’ ? Est-ce que je sers Jéhovah d’un “cœur complet”, de ‘tout mon cœur’ ? Cela veut dire le servir d’un cœur dont les mobiles poussent dans une seule direction et qui n’est ni partagé ni double. Si nous servons Dieu de tout notre cœur, notre plus grand désir et notre plus grande joie seront alors de lui plaire. À l’exemple du psalmiste, prions ainsi : “Éternel [Jéhovah] ! enseigne-moi ton chemin ; je marcherai dans ta vérité ; unis mon cœur à la crainte de ton nom.” (Ps. 86:11, Da). Ainsi, notre cœur est uni et n’a qu’un seul désir. Un tel cœur nous pousse fermement dans une direction, la voie de Jéhovah. – TG1971 1/7 §4 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Le prophète Samuel lui ayant annoncé que Dieu l’avait rejeté en raison de sa désobéissance, le roi Saül se prosterna devant Jéhovah (1 Samuel 15:30, 31). Mais son geste n’était qu’un simulacre. Ce que Saül souhaitait, ce n’était pas obéir à Dieu, mais être honoré devant le peuple. Plus tard, alors que les Philistins faisaient la guerre à Israël, Saül interrogea Jéhovah par pure formalité. Mais en l’absence de réponse, il consulta un médium, tout en sachant pertinemment que cela était condamné par Jéhovah. Pour résumer l’affaire, 1 Chroniques 10:14 dit de Saül : “ Il n’interrogea pas Jéhovah. ” Pourquoi cette conclusion ? Parce que les prières de Saül n’étaient pas motivées par la foi. C’était donc comme s’il n’avait pas prié du tout. Si, de nos jours, une personne prie Dieu, mais est méchante ou prie pour des choses mauvaises, Dieu n’exauce pas cette prière. - TG1983 1/5 p8-13 Lorsque les hommes se détournent de Jéhovah et s’éloignent de Celui-là seul qui connaît la fin dès le commencement, ils tombent facilement sous l’influence des démons par le spiritisme. On en a un exemple frappant en la personne de Saül, qui se tourna d’abord vers Jéhovah pour connaître les événements à venir, mais qui, après avoir été privé de tout contact avec Dieu cause de son infidélité, eut recours aux démons pour suppléer à la direction divine. — 1Ch 10:13, 14. – Assurez-vous de ne jamais commettre la même erreur - it-1 p656 Face à la persécution, il peut arriver que nous ayons besoin de “ prendre courage ” et de mettre davantage notre confiance en Dieu. Arrêtons-nous sur un épisode qui s’est produit à un endroit appelé Pas-Dammim. Alors qu’Israël battait en retraite devant l’armée philistine, Éléazar, l’un des trois hommes particulièrement forts de David, ne s’est pas laissé paralyser par la peur. Il s’est posté dans un champ d’orge et, seul, il a abattu les Philistins avec son épée. En cette circonstance, ‘ Jéhovah sauva Israël d’un grand salut ’. (1 Chroniques 11:12-14) Personne n’attend de nous que nous mettions une armée en fuite par nos seules forces. Par contre, il pourrait arriver que nous nous retrouvions tout seuls face à des ennemis faisant pression sur nous. Nous appuierons-nous alors dans la prière sur Jéhovah, le Dieu aux actes sauveurs ? Rechercherons-nous son aide afin de ne pas trahir nos compagnons chrétiens ? – TG1998 15/12 p10-15 §12 DAVID DISCERNAIT LES PRINCIPES QUE RENFERMAIT LA LOI - David discernait les principes que renfermait la Loi et souhaitait les mettre en pratique. Un jour, il exprime l’envie de boire “ de l’eau de la citerne de Bethléhem ”. Trois de ses hommes pénètrent alors de force dans la ville, occupée par les Philistins, et rapportent de l’eau. Or ‘ David ne consent pas à la boire, mais il la verse pour Jéhovah ’. Pourquoi ? “ Il est impensable pour moi, en ce qui concerne mon Dieu, de faire cela, explique-t-il. Le sang de ces hommes, est-ce que je le boirais au péril de leur âme ? Car c’est au péril de leur âme qu’ils l’ont apportée.1 Chron. 11:15-19. David sait que, d’après la Loi, il ne faut pas manger de sang, mais le verser pour Jéhovah. Il comprend en outre pourquoi. Il sait que “ l’âme de la chair est dans le sang ”. Cela dit, on lui offre ici de l’eau, pas du sang. Pourquoi refuse-t-il de la boire ? Parce qu’il discerne le principe sur lequel repose cette exigence légale. À ses yeux, l’eau est aussi précieuse que le sang des trois hommes. Par conséquent, il est impensable pour lui d’en boire. Aussi estime-t-il qu’il doit la verser à terre. — Si un non-Témoin nous fait des avances, notre réaction reflète-t-elle un point de vue semblable à celui de David, ou à celui de Salomon ? Les vrais chrétiens ont l’ordre de se marier “ seulement dans le Seigneur ”. (1 Cor. 7:39.) Un chrétien qui souhaite se marier devrait donc épouser un adorateur de Jéhovah. Et s’il comprend l’esprit de cette exigence biblique, il s’abstiendra non seulement d’épouser un non-Témoin, mais aussi d’encourager le moindre comportement amoureux de la part d’une telle personne. – TG2012 15/11 p6 §12,13,16 1 Chron. 12 :8 «Certains des Gadites prirent parti pour David et le rejoignirent à son refuge dans le désert. C’étaient de puissants guerriers, des soldats entraînés pour faire la guerre ; ils maniaient avec habileté le grand bouclier et la lance ; leurs têtes étaient comme des têtes de lions et ils étaient aussi rapides que les gazelles sur les montagnes ». En quel sens les faces des guerriers gadites étaient-elles comme “ des faces de lions ” ? Ces hommes vaillants étaient aux côtés de David dans le désert. Leurs cheveux, qui avaient poussé, faisaient penser à une crinière et leur donnaient un air féroce, comme celui d’un lion – TG2005 1/10 p10 Pendant le règne de David, l’armée d’Israël devint beaucoup plus importante et plus efficace. Plus de 300 000 hommes équipés pour la guerre vinrent à Hébrôn donner la royauté de Saül à David (1Ch 12:23-38). Des non-Israélites servaient aussi dans l’armée de David. Cela amena les tribus qui jusque-là soutenaient le fils de Saül à se joindre à Juda et, finalement, une armée de 340 822 hommes se rallia et fit David roi sur tout Israël. Jéhovah regarde aujourd’hui ses Témoins fidèles comme les combattants d’une guerre spirituelle qui s’approche rapidement de son point culminant. D’ailleurs, lorsque c’est nécessaire, Jéhovah lui-même devient “un viril personnage de guerre” dont la droite peut mettre en pièces et renverser les ennemis. Tous ceux qui se rangent dans le camp des membres oints et qui les soutiennent deviennent à leur tour la cible de cette guerre sans merci. – TG1983 1/6 p16 Au temps du roi David même des habitants étrangers en Israël lui étaient loyaux parce qu’il était le roi oint de Jéhovah, celui avec qui l’alliance avait été faite pour une dynastie éternelle et un trône fermement établi. Parmi ces étrangers loyaux il y avait les propres frères du roi Saül, les membres de sa tribu de Benjamin, mirent le choix de Jéhovah avant les choses personnelles et prirent position pour l’oint, l’élu de Dieu, David. 1 Chron. 12:1, 2, 19, 29. Aujourd’hui nous voyons de fidèles imitateurs de ces anciens défenseurs de la cause de David, l’oint de Jéhovah. Une grande foule d’hommes et de femmes qui sont arrivés à une connaissance de l’alliance du royaume de Jéhovah avec Jésus-Christ et ses cohéritiers apportent maintenant leur appui fidèle à l’Héritier permanent de l’alliance éternelle. Ne sont-ils pas de nations, de tribus et de langues différentes ? En effet, mais cela ne les empêche pas de rester fidèles au gouvernement céleste de Dieu. Ils s’adressent à Celui qui est sur le trône et à son Fils Jésus-Christ semblable à un agneau et l’acclament. À voix forte ils font cette déclaration publique : “ Le salut est à notre Dieu qui est assis sur le trône, et à l’agneau. ” Jour et nuit ils rendent un service sacré à Jéhovah et ils se laissent guider par son Fils, leur Roi-Berger. — TG1959 15/5 p151 §20,21 Tirez le meilleur parti de votre situation - Les années où il a vécu en fugitif, David a su, lui aussi, tirer le meilleur parti de sa situation. Tandis qu’il demeurait dans le désert de Parân, lui et ses hommes ont protégé les troupeaux de Nabal contre des bandes de maraudeurs. “ Ils ont été une muraille autour de nous, tant la nuit que le jour ”, a déclaré un des bergers de Nabal (1 Samuel 25:16). Établi par la suite à Tsiqlag, David a fait des incursions dans des villes tenues par les ennemis d’Israël au sud, ce qui a permis de consolider les frontières de Juda. — 1 Chroniques 12:20-22. « Voici les hommes de la tribu de Manassé qui désertèrent et rejoignirent David quand il alla à Ziklag : Adna, Jozabad, Jediael, Michel, Jozabad, Élihou et Ziletaï, des chefs de mille de la tribu de Manassé. 21 Ils aidèrent David à poursuivre la bande de pillards, car c’étaient tous des hommes forts et courageux. Ils devinrent chefs dans l’armée. 22 Jour après jour, des gens rejoignaient David pour l’aider, si bien que son camp fut aussi grand que le camp de Dieu » En ce qui nous concerne, il ne faut pas se laisser paralyser par les événements. Obnubilés par ce que nous ne pouvons pas faire, nous risquons de perdre de vue ce que nous pouvons faire. C’est alors que, en quelque sorte, notre épreuve prend le dessus. Devons-nous fournir davantage d’efforts pour tirer le meilleur parti de notre situation ? Même si cela semble difficile, nous pouvons y parvenir en comptant sur Jéhovah, il nous soutiendra. – TG2004 1/6 p20-23
  23. En complément des perles spirituelles 1 Chroniques 7:2. « Fils de Tola : Ouzi, Refaya, Jeriel, Jamaï, Ibsam et Samuel, les chefs des groupes de familles. Tola fut l’ancêtre de guerriers puissants. À l’époque de David, leur nombre était de 22 600 ». Aux temps bibliques il y avait de puissants guerriers pour le peuple, de nos jours il y a aussi des frères et sœurs qui sont des guerriers au sens spirituel, ils le montrent par leur fidélité, leur intégrité, leur soutien dans la prédication, et dans les réunions, malgré les difficultés ils Ils sont toujours là et ils nous ont encouragés par leur simple présence, rien qu'en les voyant, sans aucun doute, ils nous enseignent sans un seul mot, nous aussi individuellement devons continuer à nous efforcer de mûrir spirituellement. 1 Chroniques 7:40. « Tous ceux-là étaient les fils d’Aser, les chefs de leurs groupes de familles, des hommes choisis, des guerriers puissants. Ils commandaient les autres chefs de l’armée. Selon l’enregistrement généalogique, ils avaient 26 000 hommes dans leur armée, disponibles pour la guerre ». Ce texte se concentre sur 26 000 puissants guerriers aptes à la guerre. Si nous méditons, un puissant guerrier ne se forme pas du jour au lendemain, effort, discipline, persévérance, pression de l'enseignant et autres sont nécessaires. De même, un chrétien mûr ne se forme pas d'une année sur l'autre, il requiert des qualités similaires à celles de ces guerriers. Cela nous enseigne que notre objectif doit être d'avancer vers la maturité spirituelle et non de stagner ou d'arrêter de progresser. 1 Chroniques 9:1 « Tous les Israélites étaient inscrits sur les registres généalogiques et ils figurent dans le Livre des rois d’Israël. Or la population de Juda fut emmenée en exil à Babylone à cause de son infidélité. » Ce verset nous enseigne que la discipline de Jéhovah fait mal quelquefois, mais si nous l'acceptons et si nous nous laissons modeler, elle nous apportera de grands bienfaits, ce qui signifierait ne pas retomber dans notre péché 1 Chroniques 9:19 « Shaloum fils de Koré, lui-même fils d’Ébiassaf, fils de Coré, et ses frères appartenant au même groupe de familles que lui, les Coréites, étaient responsables des portiers de la tente. Leurs pères avaient été des responsables du camp de Jéhovah comme gardiens de l’entrée. » Ce verset nous enseigne que les Coreites étaient des portiers, bien que dans le passé ils aient eu d'autres privilèges. Cela nous apprend à ne pas convoiter ou revendiquer aucun privilège, mais à profiter de n'importe quel travail qui nous est assigné, en nous rappelant toujours que notre valeur en tant que personne ne dépend pas de la responsabilité que nous avons dans l'organisation, mais pour Jéhovah l'obéissance est plus importante que n'importe quelle tâche
  24. Perles spirituelles - Semaine du 30 Janvier 2023 -1 Chroniques 7-9.docx Perles spirituelles - Semaine du 30 Janvier 2023 -1 Chroniques 7-9.pdf Perles spirituelles (10 min) : 1 Chroniques 7-9 1 Chroniques 9:33 : Comment ce verset nous aide-t-il à mesurer l’importance de la musique dans le vrai culte ? (w10 15/12 21 § 6). « Ceux-ci furent les chanteurs, les chefs des groupes de familles des Lévites. Ils étaient dans les locaux. Ils étaient libérés de toute autre tâche, car de jour comme de nuit, ils devaient être de service.» C’est Jéhovah qui, par l’intermédiaire de ses prophètes, a invité ses adorateurs à le louer par le chant. Les chanteurs de la tribu sacerdotale étaient même exemptés des tâches imposées aux autres Lévites. Ainsi, ils disposaient d’assez de temps pour composer et, très certainement, pour répéter. — w10 15/12 21 § 6 Quelle était l’importance du groupe des musiciens au temple de Jérusalem ? Pour le temple de Jéhovah, David mit 4 000 Lévites à part pour le service musical (1Ch 23:4, 5). Parmi eux, 288 étaient “ exercés au chant pour Jéhovah, tous gens experts ”. (1Ch 25:7.) L’ensemble de l’organisation fut dirigé par trois musiciens accomplis, Asaph, Hémân et Yedouthoun Comme chacun de ces trois hommes descendait d’un des trois fils de Lévi, respectivement de Guershom, de Qehath et de Merari, les trois grandes familles lévites étaient représentées dans l’organisation de la musique au temple. Le total des fils de ces trois hommes était de 24 ; tous faisaient partie des 288 musiciens capables. Le chant. Les chanteurs du temple étaient des hommes, des Lévites. Les Écritures ne parlent nulle part de la présence de chanteuses au temple. Les femmes n’avaient pas le droit ne serait-ce que d’entrer dans certaines parties du temple, ce qui laisse entendre qu’elles n’y exerçaient aucune fonction officielle – it-1 Chant Les mots éveillent des pensées. La musique éveille des sentiments. Mais le chant fait ressentir des pensées. Nos cantiques nous permettent de « ressentir » les meilleures pensées qui soient : des expressions de louange et d’amour pour notre Père céleste, Jéhovah. Ils nous aident à nous rapprocher de lui. Ce n’est donc pas surprenant que le chant soit un aspect important du culte pur, que l’on chante seul ou avec l’assemblée. Quel effet cela te fait-il de chanter avec l’assemblée ? Te sens-tu gêné ? Dans certaines cultures, les hommes n’aiment pas chanter en public. Cela peut influencer toute l’assemblée, surtout si les anciens trouvent des prétextes pour ne pas chanter ou s’ils font autre chose pendant le chant des cantiques. – Si nous pensons vraiment que les cantiques font partie de notre culte, nous ne voudrons certainement pas quitter notre place ou être absents au moment où ils sont chantés. Chacun devrait donc se demander : « Comment est-ce que je considère le chant lors de nos réunions ? Si une crainte me retient de chanter à pleine voix, comment la surmonter ? Que puis-je faire pour exprimer pleinement les sentiments contenus dans les cantiques ? » - TG2017/11 p3 Au temple, on accordait une place considérable au chant. On en a pour preuve les nombreux passages des Écritures où il est question des chanteurs, et le fait qu’ils étaient “ libérés de tout service ” commun aux autres Lévites, afin qu’ils se consacrent entièrement à leur tâche (1Ch 9:33). Ils demeurèrent un groupe spécial de Lévites, puisqu’ils furent énumérés séparément parmi ceux qui revinrent de Babylone. Même le roi de Perse Artaxerxès (Longue-Main) fut amené à agir en leur faveur : il les exempta, ainsi que d’autres groupes particuliers, ‘ d’impôt, de tribut et de droit de passage ’. (Ezr 7:24.) Plus tard, le roi ordonna qu’il y ait “ un salaire fixe pour les chanteurs, selon les besoins de chaque jour ”. Bien que cet ordre soit attribué à Artaxerxès, il est très probable que ce fut Ezra qui le donna, en vertu du pouvoir que lui avait conféré le souverain (Ne 11:23 ; Ezr 7:18-26). On comprend dès lors pourquoi la Bible parle des “ chanteurs, et [des] Lévites ”, faisant des chanteurs un groupe à part, alors qu’ils étaient tous Lévites. — it-2 p359 §8 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? D’un point de vue humain, il était absolument impossible que les Juifs exilés soient un jour libérés et qu’ils retrouvent leur unité. « Mais pour Dieu tout est possible » (Mat. 19:26). Jéhovah a accompli sa prophétie. La captivité des Juifs en Babylonie a pris fin en 537 avant notre ère ; des Juifs qui appartenaient aux deux anciens royaumes se sont alors rendus à Jérusalem pour rétablir le culte pur. C’est ce que confirme le récit biblique : « Quelques-uns des descendants de Juda, de Benjamin, d’Éphraïm et de Manassé s’installèrent à Jérusalem » (1 Chron. 9:2, 3 ; Esd. 6:17). Ainsi, comme Jéhovah l’avait annoncé, des Juifs dont les ancêtres avaient appartenu aux deux royaumes ont été réunis. L’unité remarquable qui caractérise aujourd’hui les Témoins de Jéhovah par la terre entière prouve que Jéhovah a répondu à cette requête de Jésus : ‘Veille sur eux à cause du méchant’ (Jean 17:14, 15). Satan n’a pas réussi à saboter notre unité ; cela ne fait que renforcer notre certitude que Jéhovah veille sur nous – rr chap10 §20 Dans la nation d’Israël, les diverses tribus avaient des tâches particulières à accomplir. Par exemple, les fonctions sacerdotales avaient été confiées aux hommes de la famille d’Aaron, les autres membres de la tribu de Lévi leur servant d’assistants. Les Lévites qui n’étaient pas des prêtres étaient chargés de monter, de démonter ou de porter le tabernacle. Leur travail fut minutieusement organisé par le roi David qui nomma des surveillants, des officiers, des juges, des gardiens et des trésoriers. Plus tard, après la construction du temple de Salomon, un grand nombre d’hommes aidaient les prêtres dans les différentes cours et les salles à manger dans des tâches qui concernaient les offrandes, les sacrifices, les œuvres de purification, le pesage, les mesures, et diverses tâches de surveillance. La plupart de ces travaux étaient durs et fastidieux. En une certaine occasion, le nombre total des prêtres s’élevait à 1 760, tous “des hommes puissants et capables pour l’œuvre du service de la maison du vrai Dieu”. (I Chron. 9:10-13) Ces prêtres avaient des capacités variées. On ne peut penser que tous avaient les mêmes qualités ou les mêmes dons naturels ni qu’il leur était exceptionnellement facile d’effectuer avec compétence toutes les tâches qui leur étaient confiées. Non, mais en se familiarisant promptement avec leurs tâches et en leur accordant toute leur attention, ces prêtres ont acquis a un moment donné la réputation d’hommes capables pour l’œuvre de Jéhovah. Cela souligne le fait que les hommes peuvent accomplir des tâches, qu’elles leur plaisent ou non. Aucun travail n’est trop obscur, trop ennuyeux ou trop rebutant ; si l’homme s’y applique et fait preuve d’imagination, il peut lui donner de l’importance ou de la vie et le rendre attrayant. – TG1972 1/12 p709 Finéas avait l’honneur d’exercer des fonctions sacerdotales pour le peuple que Dieu s’était choisi. Il a assumé de lourdes responsabilités au sein de la congrégation d’Israël, mais son courage, sa perspicacité et sa confiance en Dieu lui ont permis de triompher des difficultés. Son dévouement lui a valu l’approbation de Jéhovah. Quelque 1 000 ans plus tard, Ezra a écrit sous l’inspiration divine : “ C’est Finéas le fils d’Éléazar qui autrefois fut guide sur eux. Jéhovah était avec lui. ” (1 Chron. 9:20). A notre époque, Jéhovah est avec tous ceux qui exercent des fonctions dans l’assemblée chrétienne et avec tous ses autres serviteurs fidèles - TG2011 15/9 p30-32 1 Chroniques 9:26, 27. « Il y avait quatre portiers en chef aux postes de confiance. C’étaient des Lévites, et ils étaient responsables des locaux et des salles du trésor de la maison du vrai Dieu. 27 Ils passaient la nuit à leurs postes autour de la maison du vrai Dieu, car ils effectuaient le service de la garde et étaient responsables de la clé ; ce sont eux qui ouvraient la maison chaque matin. » Dans la Bible, ceux à qui on donnait des clés, au sens littéral ou symbolique, recevaient une certaine autorité. Le terme « clé » en est donc venu à symboliser l’autorité ou les responsabilités. Les Lévites qui assumaient la fonction de portiers occupaient un poste de haute responsabilité. On leur confiait la clé qui donnait accès aux parties saintes du temple. Chaque jour, ils procédaient fidèlement à l’ouverture des portes. En ce qui nous concerne, nous avons reçu la mission d’aller vers les habitants de notre territoire pour les aider à adorer Jéhovah. Ne devrions-nous pas nous montrer aussi dignes de confiance que les portiers lévites ? – TG2005 1/10 p9 Le titre d’un discours présenté par frère Dean Songer, membre du Comité de l’imprimerie, a suscité la curiosité: “Un dépôt unique et une clé spéciale.” Frère Songer a tiré ses explications de ce qu’on lit en 1 Chroniques 9:26, 27 à propos des portiers lévites. ‘Leur service constituait un dépôt unique’, a-t-il expliqué. Ces portiers détenaient la clé — objet qui représentait le pouvoir de surveiller l’accès aux zones saintes du temple. Ces hommes dignes de confiance ouvraient les portes matin après matin. En conclusion, frère Songer s’est adressé à des missionnaires (y compris des proclamateurs) en ces termes: ‘Vous avez figurément parlant reçu un dépôt unique et une clé spéciale qui vous permet, matin après matin, d’ouvrir les cours du vrai culte à ceux qui cherchent à y entrer. Gardez bien ce dépôt et montrez-vous dignes de confiance dans la façon dont vous utiliserez cette clé.’ – TG1988 1/12 p21-22 Étant donné l’action sédative des boissons alcooliques, Jéhovah interdisait sous peine de mort aux prêtres et aux Lévites, de service au tabernacle ou au temple, d’en boire, même en petite quantité (Lév. 10:9). En dehors du service, ils étaient libres d’en consommer modérément (I Chron. 9:29). De même, les assistants ministériels au sein de l’assemblée “doivent également être sérieux, (...) ni adonnés à beaucoup de vin”. — I Tim. 3:8, 9. – TG1970 15/6 On peut noter une certaine similitude entre le service au Béthel et le travail qui a été accompli par les Lévites qui ont eu le privilège de servir autrefois au temple de Jéhovah. Une grande partie de leur tâche était dure et ne semblait guère fascinante; elle pouvait même être ce que d’aucuns appelleraient monotone. Cependant, elle était vitale pour le culte de Jéhovah. Il fallait effectuer certaines permanences, servir la nourriture, sacrifier des animaux et les découper, etc. — diverses activités similaires à ce que certains doivent faire ici au Béthel (I Chron. 9:26-32). Au Béthel, des frères préparent la nourriture, et d’autres sont serveurs. Mais quel privilège d’accomplir ces tâches dans la maison de Dieu, dans son organisation terrestre – Cependant, la plus grande bénédiction est de vivre et de travailler tout au long de la journée uniquement avec des personnes qui aiment vraiment Jéhovah. C’est là ce que beaucoup au Béthel considèrent comme un trésor.-.km1974/6 p3-6
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