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misette

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    Perles spirituelles (10 min) : Nombres 17-19


    Nombres 18:19 : Que signifie l’expression « une alliance de sel, une alliance permanente » ? (g02 8/6 14 § 2)

    « Toutes les saintes contributions que les Israélites prélèveront pour Jéhovah, je te les ai données comme part permanente, à toi, ainsi qu’à tes fils et à tes filles. C’est une alliance de sel, une alliance permanente, devant Jéhovah pour toi et pour tes descendants. »

    Le sel est aussi devenu un symbole de stabilité et de permanence. Voilà pourquoi dans la Bible un engagement sérieux était appelé “ une alliance de sel ”. Souvent, les parties contractantes partageaient un repas, avec du sel, pour sceller leur accord. Sous la Loi mosaïque, il fallait ajouter du sel aux sacrifices offerts sur l’autel, sans doute parce qu’il représentait le fait de ne pas être corrompu ni décomposé. - g02 8/6 14 § 2


    La Bible emploie l’expression “ alliance de sel ” pour indiquer le caractère permanent et immuable d’une alliance. Chez les anciens, manger le sel ensemble était un signe d’amitié et sous-entendait une fidélité durable ; manger du sel avec les sacrifices de communion était symbole de fidélité perpétuelle - it-1 p77


    Le sel protégeant de la décomposition, il devint un symbole de stabilité et de permanence. Souvent, lorsque des alliances étaient faites, les parties contractantes mangeaient ensemble — mangeant du sel ensemble — ce qui dénotait la fidélité perpétuelle de l’une envers l’autre dans cette relation d’alliance. “ Une alliance de sel ” était pour cette raison considérée comme un engagement sérieux. – it-2 p921


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Dieu ordonna ensuite que 12 bâtons, chacun représentant une des 12 tribus, soient placés dans le tabernacle, et on écrivit le nom d’Aaron sur celui pour la tribu de Lévi (Nb 17:1-4). Le lendemain, Moïse pénétra dans la tente du Témoignage et constata que le bâton d’Aaron avait bourgeonné, fait fleurir des fleurs et produit des amandes mûres (Nb 17:8). Cela démontra sans conteste que Jéhovah avait choisi les fils d’Aaron, des Lévites, pour exercer la prêtrise et qu’il avait conféré à Aaron l’autorité de grand prêtre. Dès lors, le droit de la maison d’Aaron à la prêtrise ne fut plus jamais sérieusement remis en cause. Le bâton d’Aaron, qui avait bourgeonné, fut placé dans l’arche de l’alliance “ en signe pour les fils à l’esprit de rébellion ” ; toutefois, il semble qu’après la mort des rebelles et l’entrée de la nation dans la Terre de la promesse, le bâton fut ôté de l’Arche, car il avait servi son dessein. — Nb 17:10 – it-1 Aaron


    Si les coupes sur les branches du porte-lampes du tabernacle avaient la forme de fleurs d’amandier, c’est sans aucun doute à cause de la beauté raffinée de ces fleurs. Le bâton d’Aaron était également une branche d’amandier ; il bourgeonna miraculeusement au cours d’une nuit et produisit des amandes mûres, preuve que Dieu approuvait l’onction d’Aaron comme grand prêtre.  Nb 17:8.- it-1 p86 Amandier


    L’amandier est un des premiers arbres à fleurir à la fin de l’hiver ; c’est pourquoi son nom hébreu signifie “ celui qui se réveille ”.


    La Loi ordonnait aux Israélites de donner la dîme pour soutenir les activités religieuses de l’époque. La dîme permettait de subvenir aux besoins de ceux qui se consacraient à plein temps aux activités religieuses et qui ne possédaient pas de terres à cultiver. Il s’agissait des Lévites. Certains d’entre eux étaient prêtres (Nombres 18:20, 21). Les Lévites qui n’étaient pas prêtres recevaient des dîmes de la part du peuple, et ils devaient prélever le meilleur « dixième de ce dixième » pour le donner aux prêtres (Nombres 18:26-29). Comment on calculait la dîme. Les Israélites mettaient de côté le dixième de la production annuelle de leurs terres. Ils pouvaient choisir de payer la dîme sous forme d’argent plutôt que sous forme de produits de la terre, mais ils devaient alors prélever non pas 10% mais 12% de leur revenu annuel.

    Que se passait-il si un Israélite ne payait pas la dîme ? La Loi ne prévoyait pas de sanction pour quelqu’un qui ne donnait pas la dîme. On payait la dîme par obligation morale, et non par peur d’une sanction. Les Israélites devaient déclarer devant Dieu qu’ils avaient donné la dîme et lui demander de les bénir pour avoir rempli cette obligation. Pour Dieu, si un Israélite ne payait pas la dîme, c’était comme s’il le volait

    Une fois que Jésus est mort, payer la dîme n’a plus été une obligation. Le sacrifice de Jésus a mis fin à la Loi de Moïse, y compris à l’« ordre de percevoir des dîmes » -Lexique Dîme


    Jéhovah a dit aux Lévites : “ C’est moi qui suis ta part. ” Quel sens revêtaient ces paroles ?

    Hormis celle de Lévi, chaque tribu d’Israël a reçu un territoire. En ce qui concerne les Lévites, Jéhovah était leur “ part ”. (Nomb. 18:20) À la place d’un territoire, ils se sont vu attribuer des fonctions particulières au service de Dieu. Jéhovah a néanmoins pourvu à leurs besoins matériels élémentaires. Les Lévites n’étaient donc pas abandonnés. De nos jours, ceux qui ont le privilège de favoriser les intérêts du Royaume peuvent être convaincus que Dieu les aidera à se procurer les nécessités de la vie – TG2011  15/12 p31


    La Loi mosaïque interdisait que les Lévites reçoivent un héritage, contrairement aux autres tribus. C’est pourquoi les Israélites apportaient régulièrement des dons aux Lévites, ce qui leur permettait de se consacrer à leur travail au tabernacle (Nomb. 18:21). Les Israélites pouvaient  faire des offrandes volontaires  aussi généreuses ou aussi modestes qu’ils le désiraient. Les offrandes aujourd’hui - Nous pouvons tous donner quelque chose pour soutenir les activités de l’Organisation de Jéhovah en ces derniers jours. Nous pourrions  être encouragés à soutenir un projet. Mais que dire si tu as le sentiment que tes offrandes sont tellement petites qu’elles n’ont pas d’importance ? En fait, l’argent utilisé par l’organisation vient en majorité de nombreux petits dons, et non de quelques grosses offrandes. Nous ne sont donc pas dans l’obligation de verser des sommes déterminées pour le culte – TG2018/1 p17 §10,11


    Les Lévites bénéficiaient des dons faits à Jéhovah, mais eux aussi étaient tenus de faire des offrandes. Ce qu’ils donnaient devait être pris parmi ‘le meilleur de tout ce qui leur était offert en don’ (Nomb. 18:29). Pour ce qui est de la façon de pratiquer le culte, les Israélites ont reçu des instructions précises concernant les sacrifices à Jéhovah ; ils savaient quoi offrir, où l’offrir et comment l’offrir. Les plus de 600 lois qui réglementaient leur vie étaient assorties de cet ordre : « Veillez à faire exactement ce que Jéhovah votre Dieu vous a ordonné. Vous ne devez vous en écarter ni à droite ni à gauche » (Deut. 5:32).Pour ce qui nous concerne, par l’intermédiaire du prophète Isaïe, Jéhovah a révélé qu’il ne se laisse pas tromper par des actes d’adoration creux, qui ne sont pas accomplis avec les bons mobiles : « [Ces gens] m’honorent des lèvres, mais leur cœur est très éloigné de moi » (Is. 29:13). – rr chap2 p15 §23


    Hygiène en cas de contact avec un cadavre - Jusqu’à la fin du XIXe siècle, les médecins touchaient souvent des cadavres, puis des patients, sans se laver les mains entre-temps. Cette pratique a causé beaucoup de morts. Toutefois, la Loi mosaïque déclarait impur quiconque touchait un cadavre. Dans de tels cas, elle exigeait même qu’on utilise de l’eau pour la purification rituelle. Cette prescription religieuse a de toute évidence été bénéfique en matière de santé (Nombres 19:11) – wp2018/1 p6


    Le bain rituel était exigé de l’ensemble des Israélites pour différentes raisons. Celui qui était dans une tente où se trouvait un cadavre humain ou qui en touchait un était « impur » et devait se purifier avec de l’eau de purification. Si quelqu’un refusait de se soumettre à cette prescription, il ‘devait être retranché du milieu de la congrégation, car c’était le sanctuaire de Jéhovah qu’il avait souillé’ (Nb 19:20). Il est dès lors approprié de parler de se laver au sens figuré pour évoquer un état de pureté devant Jéhovah. Se baigner avec la parole véridique de Jéhovah, symbolisée par l’eau, a le pouvoir de purifier – it-2 p753

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    Perles spirituelles (10 min) : Nombres 11-12


    Nombres 11:7, 8 : Pourquoi peut-on dire que l’aspect et le goût de la manne témoignaient de la bonté de Jéhovah ? (it-2 207).

    « La manne était comme de la graine de coriandre et ressemblait au bdellium. 8 Le peuple se dispersait et la ramassait ; on la broyait dans des moulins à bras ou on la pilait dans un mortier ; puis on la cuisait dans des marmites ou on en faisait des pains ronds. Elle avait le goût d’un gâteau sucré à l’huile.»

    Description. La manne était ‘ blanche comme de la graine de coriandre ’ et son “ aspect ” celui du bdellium, substance transparente semblable à de la cire et qui prend une forme de perle. Son goût était comparable à celui des “ gâteaux plats au miel ” ou d’“ un gâteau sucré à l’huile ”. Après avoir broyé la manne dans un moulin à bras ou l’avoir pilée dans un mortier, on la faisait cuire à l’eau, ou au four sous forme de gâteaux. — it-2 p207


    Le bdellium était certainement précieux, car il est mentionné en même temps que l’or et la pierre d’onyx. Les Israélites ont dû le connaître puisque Moïse dit que la manne avait l’apparence du bdellium. Cette substance aromatique était très appréciée dans les temps anciens, à la fois des Juifs et des Gentils. Cette résine venait d’un arbre, et selon Pline, elle était transparente, cireuse et onctueuse. Son parfum se répandait à une distance considérable, son arôme et sa saveur, pareils à ceux de la myrrhe, étaient toutefois plus légers. Brûlé, le bdellium répand une odeur balsamique. Les anciens l’utilisaient de la même manière que la myrrhe, dans les parfums, l’encens et les médicaments. – TG1965  1/12 p716


    L’apparition de la manne ne relevait pas d’un phénomène naturel. Elle dépendait d’une force surnaturelle. C’est ce qui explique, par exemple, qu’elle pouvait se produire en tous lieux et en toutes saisons. Quand on voulait garder de la manne pour le lendemain, il s’y engendrait des vers et elle commençait à sentir ; toutefois, la double portion que chaque famille ramassait la veille du sabbat hebdomadaire ne s’abîmait pas pendant la nuit, si bien qu’elle pouvait être consommée le sabbat, jour où la manne n’apparaissait pas. Il est clair que la manne était une nourriture miraculeuse. – TG1999  15/8 p25


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Un incident survenu à l’époque du prophète Moïse nous aide à prendre conscience des soins pleins d’amour avec lesquels Jéhovah vient au secours de Ses serviteurs. Cela s’est passé à Tabérah, qui signifie “combustion [c.-à-d. incendie, embrasement]”. En cet endroit du désert du Sinaï, Dieu a fait s’embraser un feu contre des Israélites insatisfaits. La “multitude mélangée” qui était sortie d’Égypte avec le peuple d’Israël s’était associée à eux pour se plaindre de la nourriture fournie par Dieu. Sachant Dieu en colère et ne se sentant pas capable d’assumer ses responsabilités envers le peuple et de pourvoir à ses besoins, Moïse s’est mis à crier: “Je ne puis, à moi seul, porter tout ce peuple, car il est trop lourd pour moi. Si donc c’est de cette façon que tu agis avec moi, tue-moi tout à fait, je te prie, si j’ai trouvé faveur à tes yeux, et que je ne voie pas mon malheur!” (Nombres 11:1-15). À la suite de cela, qu’a fait Jéhovah? Il a nommé “soixante-dix hommes d’entre les anciens d’Israël” et il a mis son esprit sur eux afin qu’ils puissent participer aux tâches administratives confiées à Moïse (Nombres 11:16, 17, 24, 25). Ces hommes qualifiés ayant été désignés, il a été plus facile aux Israélites et au vaste mélange de gens de recevoir de l’aide ; À notre époque, les anciens œuvrent en qualité de responsables dans les quelque 120 400 assemblées de Témoins de Jéhovah dans le monde. – TG1993 15/5 p13 §6


    Personne ne peut se croire à l’abri de l’avidité et de la convoitise. Dans le désert, les Israélites ont fait preuve d’une avidité révoltante en une certaine occasion. Lorsque Jéhovah leur a fourni des cailles en abondance parce qu’ils se plaignaient de ne manger que de la manne, ils se sont comportés en gloutons, ce qui leur a valu un châtiment sévère. Nombres 11:4-6, 31-33. Tous ces individus avides ont été punis. Dès lors, quelle que soient notre fortune, nos privilèges de service ou notre expérience, nous pouvons tous tomber dans ce piège. Ce n’est pas pour rien que Jésus a déclaré: “Gardez-vous de toute espèce de convoitise.” — Luc 12:15. Si nous voulons suivre ce conseil, il nous faudra pratiquer la maîtrise de soi et procéder régulièrement à un examen de conscience rigoureux. L’avidité prend naissance dans le cœur. Par conséquent, il importe que nous scrutions continuellement notre cœur pour voir si d’une manière ou d’une autre ce travers n’est pas en train d’y prendre racine. La Bible nous y aidera. Comment cela? Tout d’abord parce qu’elle nous rappelle ce que Jésus et ses disciples ont dit sur l’avidité. – TG1985  1/ 4 p16 §3


    Les Israélites avaient quantité de choses spirituelles sur lesquelles fixer leurs pensées dans le désert. Ils étaient entrés en alliance avec Jéhovah et formaient une nation qui lui était vouée. Ils avaient reçu une prêtrise, un tabernacle pour centre de culte et un système d’offrandes de sacrifices à Jéhovah. Or, au lieu de se réjouir de ces dons spirituels, ils ont trouvé à redire aux dispositions d’ordre matériel prévues par Dieu. — Nombres 11:4-6.

    De nos jours, contrairement aux Israélites dans le désert, le peuple de Jéhovah a son approbation. Individuellement, cependant, chacun doit continuer à penser à Dieu s’il veut être capable de repousser les envies égoïstes susceptibles d’obscurcir sa vision spirituelle. Il nous faut être déterminé “ à rejeter l’impiété et les désirs de ce monde, et à vivre avec bon sens et justice et attachement à Dieu dans le présent système de choses ”. (Tite 2:12.) Que ceux d’entre nous qui font partie de la congrégation chrétienne depuis leur petite enfance ne pensent pas qu’ils manquent quelque chose de bon. Si de telles idées devaient un jour nous traverser l’esprit, souvenons-nous de Jéhovah et des merveilleuses bénédictions qu’il nous réserve. – TG2001  15/6 p13


    Bien des circonstances de la vie peuvent être vues sous deux angles différents : positif ou négatif ; c’est une question d’attitude d’esprit. Dans le désert, les Israélites ont été nourris miraculeusement de la manne. S’ils avaient regardé autour d’eux, ils auraient été profondément reconnaissants à Jéhovah de pourvoir à leur subsistance dans cette contrée désolée. Cela aurait été le signe d’une attitude d’esprit positive. Tout au contraire, ils se sont souvenus de la grande variété de nourriture que l’on trouvait en Égypte et se sont plaints de cette manne qu’ils jugeaient rebutante. Quelle attitude négative ! — Nombres 11:4-6.

    De nos jours, pareillement, le chrétien peut, selon son attitude d’esprit, voir les choses sous un jour soit radieux, soit désespérant. Sans une bonne attitude, il pourrait facilement perdre sa joie, ce qui serait grave, car, dit Néhémie, “ la joie de Jéhovah est notre forteresse ”. (Néhémie 8:10.) Outre qu’ils nous aident à demeurer forts, l’optimisme et la joie favorisent la paix et l’unité de l’assemblée. — TG2000  1/9 p11 §1,2

    Pourquoi n’est-il pas sage de nous dire sans arrêt que notre vie était plus agréable avant ? La nostalgie peut nous amener à nous rappeler uniquement les bonnes choses du passé et à minimiser les difficultés que nous rencontrions. Prenons le cas des Israélites. Après avoir quitté l’Égypte, ils ont vite oublié à quel point leur vie avait été difficile là-bas. De quoi se souvenaient-ils surtout ? Ils disaient : « Quels bons souvenirs nous avons du poisson que nous mangions gratuitement en Égypte, sans parler des concombres, des pastèques, des poireaux, des oignons et de l’ail ! » (Nomb. 11:5). Mais était-ce vraiment « gratuitement » qu’ils mangeaient tout cela ? Non. Ils payaient le prix fort : ils étaient esclaves, et les Égyptiens les maltraitaient ! (Ex. 1:13, 14 ; 3:6-9). Mais par la suite, ils ont oublié ces difficultés et ils se sont mis à regretter le passé. Ils rêvaient du « bon vieux temps » au lieu de se concentrer sur ce que Jéhovah venait de faire pour eux. Cela ne lui a pas du tout plu (Nomb. 11:10). – TG2020/11  p24 §6


    En aspirant à retourner en Égypte, la nation désobéissante a montré qu’elle n’accordait que peu de valeur aux bénédictions spirituelles qu’elle avait reçues ; elle leur préférait les poireaux, les oignons et l’ail du pays qu’elle avait fui (Nomb. 11:5). Aussi ingrate qu’Ésaü, elle était prête à renoncer à son précieux héritage spirituel en échange d’une nourriture savoureuse. – TG2011 15/7 p24


    Quand nous rencontrons des difficultés, il est facile de regretter le « bon vieux temps », peut-être l’époque où nous n’avions pas encore pris position pour la vérité. Quand cela nous arrive, nous avons souvent tendance à exagérer les joies et à minimiser les problèmes du passé. C’est ce qu’ont fait les Israélites après avoir quitté l’Égypte (Nb 11:5, 6). Si nous nous attardons sur de telles pensées, nous pourrions être tentés de retourner à notre ancien mode de vie. Il est de loin préférable de compter nos bénédictions actuelles et de nous concentrer sur les joies que nous apportera le Royaume. Pour tracer des sillons droits, le laboureur ne devait pas se laisser distraire par ce qui était derrière lui. Pareillement, un chrétien ne peut pas se permettre de se laisser distraire par les choses qu’il a laissées derrière lui dans le monde – mwb2018/7 p3


    Le découragement peut saper notre endurance et nuire à notre attachement à Dieu. Plus d’un serviteur de Jéhovah a connu le découragement (Nombres 11:11-15). Le découragement est particulièrement dévastateur s’il s’accompagne de ressentiment, parce qu’on nous a offensés ou encore repris ou disciplinés sévèrement. Mais la réprimande et la discipline prouvent que Dieu s’intéresse à nous et nous aime. Nous ne devrions pas considérer la discipline comme une punition, mais comme un moyen de nous former dans la voie de la justice. Si nous sommes humbles, nous apprécierons les conseils qu’on nous donne et nous les accepterons, convaincus que “ les blâmes de la discipline sont le chemin de la vie ”. (Proverbes 6:23.) De cette façon, nous serons de plus en plus attachés à Dieu. – TG2002  15/7 p13 §17


    Appuyons-nous sur l’esprit saint - Si nous gardons constamment Jéhovah devant nous, il nous conduira par son esprit saint. L’esprit de Dieu reposait sur les 70 hommes qui furent choisis pour aider Moïse à “ porter la charge du peuple ” d’Israël. Seuls Eldad et Médad sont nommés, mais l’esprit a permis à chacun d’eux de s’acquitter de ses responsabilités (Nomb. 11:13-29). Assurément, ces hommes craignaient Dieu, étaient capables, dignes de confiance et honnêtes, comme ceux qui furent choisis auparavant (Ex. 18:21). Ce sont ces mêmes qualités que l’on retrouve chez les anciens aujourd’hui. – TG2008  15/2 p6 §16


    Moïse exerçait une grande autorité sur le peuple de Dieu, mais il ne s’est pas accroché jalousement à cette autorité. Par exemple, un jour, Jéhovah lui a enlevé une partie de son esprit saint pour la donner à un groupe d’anciens qui se tenaient près de la tente de la rencontre. Peu après, Moïse a entendu dire que deux anciens qui ne s’étaient pas tenus près de la tente de la rencontre avaient eux aussi reçu de l’esprit saint et s’étaient mis à se conduire en prophètes. Comment a-t-il réagi quand Josué lui a demandé de les en empêcher ? Il n’a pas envié l’attention que Jéhovah accordait à ces deux hommes. Au contraire, il s’est réjoui avec eux de l’honneur qui leur était fait (Nomb. 11:24-29).

    Quelle leçon pouvons-nous tirer de son exemple ? Si tu es ancien, est-ce qu’on t’a déjà demandé de former quelqu’un afin qu’il exerce dans l’assemblée une responsabilité qui te plaît beaucoup ? Parlons d’une autre situation, à laquelle beaucoup de frères âgés sont confrontés. Pendant plusieurs dizaines d’années, certains ont exercé la fonction de coordinateur dans un collège d’anciens. Mais arrivés à l’âge de 80 ans, ils ont volontiers accepté que cette responsabilité soit confiée à quelqu’un d’autre. Les responsables de circonscription qui ont 70 ans acceptent humblement de cesser d’effectuer cette activité pour accomplir une autre forme de service. De plus, on a récemment demandé à des béthélites du monde entier de devenir pionniers. Ces frères et sœurs fidèles n’éprouvent pas de ressentiment envers ceux qui exercent les responsabilités qu’ils assumaient autrefois. Si nous sommes humbles et que nous nous satisfaisons de ce que nous avons, nous respecterons, l’autorité que Jéhovah a confiée à d’autres – TG2020/2 p14 §10-12


    Lorsque les Israélites ont désiré manger de la viande dans le désert, Jéhovah leur a donné des cailles en abondance. Cependant, leur avidité les a conduits à abuser égoïstement de ce don, ce qui a fait entrer Dieu dans une grande colère (Nombres 11:31-33). Depuis, Dieu n’a pas changé. Voilà pourquoi les chrétiens évitent le gaspillage, qui pourrait être un signe d’avidité. Certains peuvent penser qu’ils ont le droit de faire une consommation illimitée. Mais ces richesses ne doivent pas être gaspillées sous prétexte que nous pouvons nous les payer ou qu’elles sont abondantes. Après avoir nourri miraculeusement une foule nombreuse, Jésus a ordonné que l’on rassemble les morceaux de poisson et de pain qui restaient (Jean 6:12). Il a veillé à ne pas gaspiller ce que son Père avait offert. – RV2012/7 p10


    L’esprit de Dieu a donné de la force à Moïse - Moïse était “ de beaucoup le plus humble ” de tous les humains de son époque (Nomb. 12:3). Cet homme doux de caractère s’est vu confier d’immenses responsabilités au sein du peuple d’Israël. L’esprit saint lui a donné la capacité de prophétiser, de juger, de rédiger une portion des Écritures, de conduire la nation et d’accomplir des miracles. Cependant, à un moment donné, Moïse a trouvé sa tâche trop lourde (Nomb. 11:14, 15). Jéhovah a alors enlevé “ une partie de l’esprit ” qui était sur lui et l’a mise sur 70 anciens afin qu’ils l’épaulent (Nomb. 11:16, 17). Même si la charge lui paraissait excessivement pesante, en réalité Moïse n’était pas livré à lui-même. Les 70 désignés pour l’aider ne le seraient pas non plus. Moïse avait reçu assez d’esprit saint pour s’acquitter de ses fonctions. Après la réorganisation, il en a reçu en quantité suffisante, tout comme les 70 anciens.

    Jéhovah nous accorde autant d’esprit saint que nous en avons besoin, compte tenu de notre situation. “ Il ne donne pas l’esprit avec mesure ”, mais pleinement. Jean 1:16 ; 3:34.

    Êtes-vous en butte à des épreuves ? Vous sollicite-t-on de plus en plus ? Vous démenez-vous pour combler les besoins physiques et spirituels de votre famille tandis que le coût de la vie augmente ou malgré des soucis de santé ? Assumez-vous d’importantes responsabilités dans l’assemblée ? Soyez convaincu que, par le moyen de son esprit, Dieu peut vous communiquer la force nécessaire pour surmonter n’importe quelle difficulté. — TG2011  15/12 p18 §3-5


    À Moïse, son gendre modeste et humble qui s’épuisait à s’occuper des problèmes des autres, Jéthro donna un conseil pratique: celui de se décharger de certaines responsabilités sur d’autres hommes qualifiés (Exode 18:17-26; Nombres 12:3). “La sagesse est avec les modestes”, dit Proverbes 11:2. Être modeste, c’est connaître et accepter ses limites. Un homme modeste n’a pas de réticence à déléguer et il ne craint pas non plus de perdre son autorité en confiant des responsabilités appropriées à d’autres hommes capables (Nombres 11:16, 17, 26-29). Au contraire, il souhaite vivement les aider à progresser. — TG1995  1/12 p13 §16


    Comme Miriam était prophétesse, elle a transmis des messages de Dieu. Elle occupait une position importante en Israël et elle a chanté, avec les hommes, un chant de victoire après que Dieu a détruit l’armée égyptienne dans la mer Rouge. Miriam et Aaron ont critiqué Moïse. Ils étaient de toute évidence motivés par l’orgueil et la jalousie. Mécontents de la manière dont Jéhovah se sert de Moïse, ils veulent avoir plus d’autorité et être plus influents. Est-ce parce que Moïse est autoritaire, un homme orgueilleux qui court après la gloire ? Il a certainement des défauts, mais l’ambition et l’orgueil n’en font pas partie. Dieu « écoutait », et il a sévèrement réprimandé Miriam et Aaron (Nombres 12:1-9). Il a ensuite frappé Miriam de la lèpre, apparemment parce qu’elle avait été à l’origine des critiques. Quand Moïse a supplié Dieu d’avoir pitié d’elle, Dieu l’a guérie. Après avoir été mise en quarantaine pendant sept jours, elle a été autorisée à rejoindre le camp d’Israël (Nombres 12:10-15).

    La Bible indique que Miriam a accepté la réprimande. Des siècles plus tard, Dieu a fait allusion à l’honneur exceptionnel qu’elle avait reçu quand il a rappelé au peuple d’Israël : « J’ai envoyé devant toi Moïse, Aaron et Miriam » (Michée 6:4).

    Qu’apprenons-nous de Miriam ? L’histoire de Miriam révèle que Dieu prête attention à ce que ses adorateurs disent les uns sur les autres. Elle nous apprend aussi que, pour plaire à Dieu, nous devons rejeter l’orgueil et la jalousie, des défauts qui pourraient nous amener à salir la réputation des autres - ijwbq article 161 - Questions bibliques


    Concernant la faiblesse humaine, comment régler notre point de vue sur celui de Jéhovah ? En examinant comment il a traité diverses affaires impliquant certains de ses serviteurs. Comment aurais-tu considéré l’attitude d’Aaron lorsqu’influencé par sa sœur, Miriam, il a critiqué Moïse qui avait épousé une femme étrangère ? (Nomb. 12:1, 2). Jéhovah aurait pu punir Aaron sur-le-champ. Mais il a discerné que cet homme n’était ni foncièrement mauvais ni le plus coupable. Il semble qu’Aaron a laissé les circonstances ou certaines influences le détourner du droit chemin. Mais quand on lui a fait prendre conscience de ses erreurs, il les a reconnues volontiers et a soutenu les jugements divins. (Nomb. 12:11). Jéhovah a choisi de se concentrer sur sa foi et son attitude repentante. Des siècles plus tard, on se souvenait toujours de lui et de ses descendants comme d’hommes craignant Jéhovah.

    Afin de régler notre pensée sur celle de Jéhovah, analysons la façon dont nous considérons ceux qui semblent faibles. Par exemple, comment réagissons-nous quand un adolescent manque de bon sens dans le choix d’un divertissement ou qu’il se montre désinvolte ? Au lieu d’être excessivement critiques, réfléchissons à ce que nous pourrions faire pour l’aider à mûrir. Prendre l’initiative d’apporter notre aide à celui qui en a besoin nous rendra plus compréhensifs et nous fera grandir en amour. TG2014  15/6 p23 §11-13


    Non seulement Moïse écoutait ceux qu’il affectionnait, mais encore il priait pour eux. Il a même prié pour des personnes qui lui avaient causé du tort. Un jour, Miriam, sa sœur, a murmuré contre lui. Jéhovah l’a alors frappée de lèpre. Loin de se réjouir de cette punition, Moïse est rapidement intervenu en faveur de sa sœur. « Ô Dieu, s’il te plaît ! Guéris-la, s’il te plaît ! » a-t-il supplié (Nombres 12:13). Quel sentiment autre que l’amour aurait pu pousser Moïse à prononcer une prière aussi désintéressée ? Imitons Moïse en cultivant de l’amour pour les autres, même si cela réclame des sacrifices. – TG2013  1/ 2 p6

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    Perles spirituelles (10 min) : Nombres 7-8


    Nombres 8:17 : Comment Jéhovah considérait-il les fils premiers-nés des Israélites ? (it-2 p637).

    « Car tout premier-né chez les Israélites est à moi, aussi bien l’homme que l’animal. Je les ai sanctifiés pour moi le jour où j’ai tué tous les premiers-nés en Égypte »

    Comme les fils premiers-nés des Israélites étaient appelés à devenir les chefs des différentes maisonnées, ils représentaient toute la nation. D’ailleurs, Jéhovah parla de la nation entière comme de son “ premier-né ” ; elle était effectivement sa nation première-née en vertu de l’alliance abrahamique (Ex 4:22). Étant donné qu’il avait gardé les premiers-nés en vie, Jéhovah ordonna que “ tout premier-né mâle qui ouvre toute matrice parmi les fils d’Israël, parmi hommes et bêtes ”, soit sanctifié pour lui (Ex 13:2). Les fils premiers-nés furent donc voués à Dieu. - it-2 p637

    Même si Israël était saint en tant que nation, à titre individuel certains de ses membres étaient considérés comme saints dans un sens particulier. Les prêtres, et surtout le grand prêtre, étaient mis à part pour le service au sanctuaire et représentaient le peuple devant Dieu. En cette qualité, ils étaient saints, et ils devaient préserver leur sanctification pour être à même d’effectuer leur service et pour que Dieu continue de les considérer comme saints. Tous les premiers-nés mâles d’Israël étaient saints pour Jéhovah puisque, au moment de la Pâque célébrée en Égypte, Jéhovah avait sauvé de la mort les premiers-nés ; en conséquence, ils lui appartenaient.  – it-2 p859


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Ce que l’organisation du camp d’Israël nous enseigne - Une fois le tabernacle installé, le camp fut organisé conformément aux directives divines données. Nb 7:3-9. Des hommes étaient nommés pour diriger les activités liées au service sacré Nb 7:10. Ainsi, ce sont “ les chefs des tribus ” qui présentèrent des offrandes après que le tabernacle eut été érigé. Les serviteurs de Dieu doivent être bien organisés et fonctionner de manière ordonnée Nb 7:11.

    Jéhovah tient compte des limites de chacun. Tout comme il a organisé le peuple d’Israël, aujourd’hui Jéhovah organise ses serviteurs. Toutefois, il voit chacun de nous individuellement et remarque les efforts que chacun de nous fournit à son service. Mwb2021/3 p2


    Associée à la présence de Dieu. Tout au long de son histoire, l’Arche fut associée à la présence de Dieu. « Quand Moïse entrait dans la tente de réunion pour parler avec [Jéhovah], alors il entendait la voix qui s’entretenait avec lui d’au-dessus du couvercle qui était sur l’arche du témoignage, d’entre les deux chérubins ; et il lui parlait » (Nb 7:89).

    Aujourd’hui, Jéhovah guide ses serviteurs au moyen de la Bible, de son esprit saint et de l’assemblée. Sa direction est si claire que c’est comme si nos « oreilles entendaient une parole derrière nous, disant : “Voici le chemin. Marchez-y” » (Is. 30:21). Jésus, qui dirige l’assemblée par l’intermédiaire de « l’esclave fidèle et avisé », se fait lui aussi l’écho de la voix de Jéhovah. Il nous faut prendre au sérieux cette direction, car notre avenir éternel dépend de notre obéissance  - it-1 p159 § 5


    Nombres 8:25, 26. Pour s’assurer que les attributions de service des Lévites seraient correctement assumées, et par égard pour ceux d’entre eux qui étaient âgés, une limite d’âge était fixée à leur service obligatoire. Ils pouvaient cependant continuer d’aider d’autres Lévites s’ils le désiraient. Bien que de nos jours aucune retraite ne soit prévue pour les proclamateurs du Royaume, le principe que l’on tire de cette loi nous enseigne une leçon précieuse. Si, en raison de son grand âge, un chrétien n’est plus en mesure d’assumer certaines obligations, il pourra participer à une forme de service que ses forces lui permettent d’accomplir. – TG2004 1/8


    Nombres 8:25, 26 - Le principe qui motivait la loi sur la retraite des Lévites s’applique-t-il de nos jours aux serviteurs de Jéhovah ?

    Les prêtres étaient aidés dans leurs tâches par tous les hommes appartenant aux trois grandes familles de la tribu de Lévi et remplissant les conditions requises. Avec le temps, les Lévites allaient se multiplier, alors que le nombre des postes de service resterait limité. Dès lors, c’est sans doute à la fois par égard pour les personnes âgées et pour éviter de surcharger les effectifs que Jéhovah a décidé de faire cesser le service obligatoire des Lévites à cinquante ans, ce qui n’empêchait d’ailleurs pas ces derniers de continuer à travailler comme volontaires au-delà de cette limite. Ils servaient probablement en qualité de conseillers et participaient à certaines tâches légères faisant partie de l’obligation des Lévites, mais ils étaient dispensés des travaux pénibles. En outre, ils enseignaient toujours la Loi au peuple. Toutefois, cette disposition ne constitue pas une règle applicable aux Israélites spirituels ou à leurs compagnons, car ceux-ci ne sont pas sous la Loi

    Si, en raison de son grand âge, un chrétien n’est plus en mesure d’assumer telle ou telle responsabilité, on jugera peut-être bon de lui confier une autre forme de service qu’il sera capable d’accomplir. En tout cas, il n’y a pas de retraite prévue pour les Témoins de Jéhovah en ce qui concerne la prédication de la bonne nouvelle du Royaume. – TG1984  15/7 p27


    Les prêtres d’Israël étaient habillés de vêtements officiels pour marquer leur nomination sacrée au service. En ce qui concerne les lévites, ils devaient laver leurs habits avant d’être présentés aux prêtres comme leurs auxiliaires au temple ( Nomb. 8:5-22). C’est un honneur de porter les vêtements figurés du vrai ministère chrétien au temple spirituel de Dieu. Jésus était ainsi vêtu d’une manière figurée quand il était sur la terre annonçant la bonne nouvelle du royaume de Dieu parmi les Juifs circoncis, les brebis perdues de la maison d’Israël. Jésus-Christ glorifié est le plus grand ministre, le principal ministre du Dieu très-haut, le Créateur de l’univers. C’est le plus grand honneur que puisse connaître une créature que d’être dans le ministère avec Jésus-Christ, le Grand Prêtre du seul vrai Dieu vivant. Les vêtements révélant que le porteur est honoré par ce ministère sont une chose à estimer et à garder. – TG1959 1/ 2 p36


    Les Israélites offraient des taureaux en sacrifice Nomb.7, et la Loi ordonnait expressément que des taureaux soient sacrifiés en certaines circonstances. Si le grand prêtre commettait un péché qui faisait venir la culpabilité sur le peuple, il devait offrir un taureau, la plus imposante et la plus onéreuse des bêtes de sacrifice. C’était sans doute parce que cela correspondait à la position prépondérante que le grand prêtre occupait en qualité de guide d’Israël dans le vrai culte. Il fallait également offrir un taureau lorsque toute l’assemblée d’Israël avait commis une erreur.

    Dans le symbolisme biblique, le taureau représente la puissance et la force. Le taureau est une image très appropriée d’un des attributs fondamentaux de Jéhovah, à savoir la puissance ou la force illimitée – it-2 Taureau

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    misette got a reaction from Claud's Lst in Perles spirituelles - Semaine du 22 Février 2021 - Nombres 5-6   
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    Perles spirituelles (10 min) : Nombres 5-6

    Nombres 6:6, 7 : Comment Samson a-t-il pu rester naziréen après avoir touché les cadavres d’hommes qu’il avait tués?w05 15/1 30§2

    « Il ne s’approchera pas d’un mort durant tous les jours où il restera séparé pour Jéhovah. 7 Même si son père, sa mère, son frère ou sa sœur meurent, il ne pourra pas se souiller, car il a sur la tête le signe de son naziréat pour son Dieu.»

    Samson, pour sa part, fut un naziréen dans un sens différent. Avant même sa naissance, l’ange de Jéhovah avait dit à sa mère : “ Voici que tu vas être enceinte et, à coup sûr, tu mettras au monde un fils ; il ne faudra pas que le rasoir vienne sur sa tête, car l’enfant deviendra naziréen de Dieu dès qu’il sortira du ventre ; et c’est lui qui entreprendra de sauver Israël de la main des Philistins. ” (Juges 13:5). Samson ne fit pas le vœu de naziréat. C’est Dieu lui-même qui le fit naziréen et il s’agissait d’un naziréat à vie. L’interdiction de toucher un corps mort ne pouvait donc pas s’appliquer dans son cas. En effet, s’il avait touché accidentellement un cadavre, comment aurait-il pu reprendre à zéro un naziréat qui avait commencé à sa naissance et qui devait durer toute sa vie ? Manifestement, ce qu’on exigeait des naziréens désignés à vie différait sous certains aspects de ce qui était imposé aux naziréens volontaires.- w05 15/1 30 §2


    En qualité de futur chef dans le combat contre les Philistins, Samson serait amené à s’approcher des cadavres de personnes tuées à la bataille. La nature même de sa mission montrait donc qu’il n’était pas soumis à la loi prescrivant aux naziréens de ne pas toucher de corps morts. Il faut également noter que cette loi s’appliquait aux personnes qui volontairement faisaient vœu de naziréat ; mais dans le cas de Samson, les exigences qui s’appliquaient étaient celles que l’ange de Jéhovah avait précisées à sa mère. – it-2 p880


    Naziréen : On distinguait deux sortes de naziréens : ceux qui l’étaient devenus volontairement et ceux qui avaient été désignés par Dieu. Les prescriptions régissant la vie des naziréens volontaires sont consignées dans le chapitre 6 du livre des Nombres. Tant les hommes que les femmes pouvaient faire à Jéhovah le vœu particulier de vivre en naziréens pendant un temps. Toutefois, lorsqu’un homme apprenait que sa fille ou sa femme avait fait ce vœu, il pouvait l’annuler s’il ne l’approuvait pas.

    Ceux qui faisaient le vœu de naziréat devaient respecter trois restrictions principales :

    1) ne pas consommer de boissons enivrantes ; ne manger aucun produit de la vigne, que ce soit du raisin vert, mûr ou sec, ni en boire le jus, qu’il soit au stade de moût, de vin ou de vinaigre ;

    2) ne pas se couper les cheveux ;

    3) ne pas toucher un corps mort, pas même celui d’un très proche parent : père, mère, frère ou sœur. — Nb 6:1-7.

    Ceux que Jéhovah désignait lui-même pour être naziréens le restaient toute leur vie, et Jéhovah précisait quelles règles particulières ils devaient respecter – it-2 p381


    Selon la Loi mosaïque, un Israélite pouvait faire vœu de naziréat et vivre séparé des autres pendant un certain temps. Pendant toute la durée de son naziréat, il était censé ne pas toucher de cadavres. Si par hasard il touchait un corps mort, il devait se soumettre à une cérémonie de purification et faire certaines offrandes. Les jours précédents étaient nuls, et le temps de son naziréat comptait à partir de ce jour-là. C’est pourquoi celui qui servait Dieu de cette manière pendant un certain temps veillait à ne pas se souiller en touchant un corps mort. – TG1970  1/1 p30


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Lorsqu’un époux soupçonnait sa femme d’infidélité, elle devait, conformément à la loi mosaïque sur la jalousie, boire des eaux amères. Si elle était coupable d’adultère, sa cuisse se desséchait et son ventre s’enflait.

    La loi sur la jalousie est contenue Nombres 5:12-31. Lorsqu’un homme soupçonnait sa femme d’infidélité, il devait l’amener au sacrificateur. Celui-ci la plaçait devant Jéhovah, il prenait de l’eau sainte ou de l’eau pure, fraîche, y ajoutait de la poussière du sol du tabernacle et effaçait les imprécations dans les eaux. Nous ne savons pas exactement ce que signifie le fait que le ventre enflait et la cuisse se desséchait. – TG1956  1/1 p15


    « Amen » signifie « qu’il en soit ainsi » ou « certainement ». Il vient d’un mot hébreu qui veut dire « être fidèle, digne de confiance ». Il était parfois utilisé dans un cadre juridique. Après s’être engagée par un serment, une personne disait « amen » pour confirmer qu’elle avait dit la vérité et qu’elle acceptait d’être punie dans le cas où elle aurait menti (Nomb. 5:22 ‘Cette eau qui apporte la malédiction entrera dans tes intestins pour faire gonfler ton ventre et dépérir ta cuisse.’ Et la femme dira : ‘Amen ! Amen). Et lorsqu’un serment contenait une promesse, dire « amen » publiquement était une motivation de plus à tenir parole – TG2019/3 p29


    En quel sens la ‘ cuisse ’ d’une femme adultère ‘ dépérissait ’-elle ?

    Le mot “ cuisse ” est apparemment employé dans ce passage par euphémisme pour désigner les organes sexuels. Logiquement, la punition affectait les organes qui étaient impliqués dans la faute. Le terme “ dépérir ” est compris dans le sens de “ flétrir ” ou “ maigrir ”, et peut donner à penser que les organes génitaux s’atrophiaient et que la femme perdait la faculté de concevoir. Le ‘ dépérissement ’ de ces organes suggère leur dégénérescence, ce qui rendrait la conception impossible. Puisque la femme innocente devait être fécondée par son mari, il semble que la femme adultère ne devait plus pouvoir être enceinte (Nb 5:28). De plus, le ventre de la femme coupable devait gonfler en raison de la malédiction et non en conséquence de la bénédiction qu’est la grossesse - it-1 p573


    Voici quelques dispositions de la Loi concernant la femme mariée : le mari comme la femme pouvaient être mis à mort en cas d’adultère. Si un mari soupçonnait sa femme de s’être rendue coupable d’infidélité en secret, il devait l’amener au prêtre, afin que Jéhovah Dieu juge l’affaire. Si la femme était coupable, ses organes reproducteurs s’atrophiaient ; en revanche, si elle n’était pas coupable, le mari se devait de la rendre enceinte, ce qui était un aveu public de son innocence (Nb 5:12-31). Un mari pouvait divorcer d’avec sa femme s’il trouvait chez elle quelque chose d’inconvenant. Tel était probablement le cas lorsque la femme faisait preuve d’un grave manque de respect envers lui et si elle jetait l’opprobre sur leur maisonnée ou sur celle du père de son mari. Cependant, la femme était protégée par l’exigence qui, dans ce cas, obligeait le mari à rédiger pour elle un acte de divorce. Elle était dès lors libre de se remarier avec un autre homme (Dt 24:1, 2). Si une femme avait fait un vœu qui, de l’avis de son mari, était peu sage ou risquait de nuire au bonheur de la famille, il pouvait l’annuler. En fait, cette loi protégeait la femme, car elle lui épargnait les difficultés pouvant résulter d’une décision hâtive. – it-1 p872 Femme

    Sous la Loi de Moïse, l’adultère entraînait un châtiment très sévère : la mort pour les deux coupables. Nb 5:11-31

    Les chrétiens ne sont pas sous la Loi de Moïse, mais ils doivent eux aussi s’interdire l’adultère. Commettre l’adultère revient à “ pécher vraiment contre Dieu ” Jéhovah jugera les adultères, et aucun de ceux qui persistent dans cette voie ‘ n’héritera du royaume de Dieu ’.

    Comment pourrait-on se rendre coupable d’adultère spirituel ? Au sens spirituel est “ adultère ” celui qui est lié à Jéhovah par une alliance et qui se montre infidèle. Ainsi, la nation d’Israël, qui était liée à Dieu par l’alliance de la Loi, se rendit coupable d’adultère spirituel en se livrant à des pratiques de la fausse religion, notamment en participant à des rites rattachés au culte du sexe et en méprisant le septième commandement. De même aujourd’hui, si des chrétiens voués à Jéhovah et admis dans la nouvelle alliance se souillent avec le système de choses actuel, ils commettent un adultère spirituel. – it-1 p51 Adultère


    Adultère secret. Un homme qui soupçonnait sa femme de le tromper en secret, mais qui ne disposait ni d’aveux ni de témoins oculaires, pouvait amener sa femme devant le prêtre pour être jugée par Jéhovah, qui voyait et qui connaissait tous les faits. Elle n’était pas torturée pour avouer. Il n’y avait rien dans la procédure elle-même qui fasse souffrir la femme ou apparaître son innocence ou sa culpabilité ; c’était Jéhovah qui jugeait la femme et qui faisait connaître son verdict. Si elle était innocente, il ne lui arrivait rien et son mari était tenu de la féconder. Si elle était coupable, ses organes reproducteurs étaient touchés, de sorte qu’elle perdait sa faculté de concevoir. Si on avait les deux témoins nécessaires, on ne portait pas l’affaire devant Jéhovah de cette manière, mais la femme était déclarée coupable par les juges et lapidée. — Nb 5:11-31. – it-2 p665 Procès


    Nombres 6:1-7. Les naziréens devaient s’abstenir de tout produit de la vigne et de toute boisson enivrante, ce qui exigeait de l’abnégation. Ils devaient laisser pousser leurs cheveux en signe de soumission à Jéhovah, de même que les femmes devaient être soumises à leurs maris ou à leurs pères. Les naziréens devaient demeurer purs en n’ayant pas le moindre contact avec un cadavre, pas même celui d’un proche parent. À notre époque, les serviteurs à plein temps manifestent l’esprit de sacrifice par des actes d’abnégation ainsi que par leur soumission à Dieu et à la structure qu’il a mise en place. Pour s’acquitter de certaines tâches, ils doivent parfois se rendre dans un pays éloigné, ce qui peut rendre difficile, voire impossible, leur retour dans leur pays d’origine pour assister aux funérailles d’un des leurs. – TG2004  1/8 p24


    En plus du culte normalement exigé par la Loi, les Israélites pouvaient volontairement se séparer “par un vœu, un vœu de nazaréen, pour se consacrer à Jéhovah”. Pendant ce temps-là, ils devaient cesser certaines activités normales de la vie, afin de se tenir spécialement ‘séparés en l’honneur de Jéhovah’. (Nomb. 6:2-8)

    De nos jours, il ne nous est pas possible de faire un vœu de nazaréen; toutefois, en qualité de proclamateur, nous pouvons accomplir quelque chose de semblable en devenant pionnier auxiliaire ou permanent – km1971/3


    L’âme meurt-elle ? Aujourd’hui encore, beaucoup croient que l’âme est une partie immatérielle, spirituelle, de l’individu et qu’elle survit à la mort du corps. Ce n’est toutefois pas ce qu’enseigne la Bible. Par exemple, en Nombres 6:6 il est question d’“âme morte”. L’être humain est lui-même une âme, quand il meurt il est une “âme morte”. Il n’est plus en vie, mais inconscient. Cependant, le Dieu Tout-Puissant a le pouvoir de le ressusciter et de lui rendre la vie. L’âme n’est donc pas une partie immatérielle de notre personne. Nous sommes une âme. L’âme peut bel et bien mourir. – RV1991  22/4

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    misette got a reaction from Claud's Lst in Perles spirituelles - Semaine du 8 Février 2021 - Nombres 1-2   
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    Perles spirituelles (10 min) : Nombres 1-2

    Nombres 1:2, 3 : Quel était le but des enregistrements nationaux en Israël ? (it-1 767).

    « Faites le recensement de toute la communauté des Israélites individuellement, selon leurs familles, selon leurs groupes de familles, en comptant les noms de tous les hommes. 3 Aaron et toi enregistrerez selon leurs troupes tous ceux qui ont 20 ans et plus, et qui peuvent servir dans l’armée d’Israël.»

    Relevé de population, habituellement effectué par nom et par ligne généalogique, selon la tribu et la maisonnée. C’était plus qu’un simple recensement ou dénombrement. Les enregistrements nationaux dont parle la Bible servaient plusieurs desseins, comme l’imposition, la conscription ou (pour les Lévites concernés à l’époque) les attributions de service au sanctuaire. It-1p767


    Environ un an après l’Exode, on enregistra les hommes âgés de 20 ans et au-dessus, aptes à servir dans l’armée. On en dénombra au total 603 550. Les Lévites, qui étaient exemptés du service militaire, ne furent pas inclus dans ces recensements, mais comptés séparément. Les Lévites étaient dispensés du service militaire, parce qu’ils servaient au sanctuaire. Cette loi faisait nettement passer le culte de Jéhovah avant les besoins militaires – TG1970  1/10


    Êtes-vous horrifié de savoir que dans certains pays on forme des enfants à la guerre ? Dans l’ancien Israël, aucun garçon de moins de 20 ans n’était incorporable (Nombres 1:2, 3). L’homme trop craintif pouvait être exempté. Le jeune marié était dispensé de ce service dangereux pendant un an pour qu’il puisse engendrer un héritier et le voir. – cf chap13 §18


    À cause de leur rébellion, Jéhovah condamna les Israélites à errer dans le désert pendant 40 ans jusqu’à ce que soient morts tous les mâles enregistrés (sauf les Lévites, qui n’étaient pas enregistrés pour le service militaire comme les autres Israélites ; Nb 1:2, 3, 47) depuis l’âge de 20 ans et au-dessus. Parmi les enregistrés, seuls Josué et Caleb entreraient en Terre promise ; quant aux dix espions infidèles, ils mourraient d’un fléau venant de Jéhovah. – it-2 Josué


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Événements au mont Sinaï (1:1–10:10). Les Israélites se trouvent dans la région montagneuse du Sinaï depuis environ un an déjà. Là, ils ont été formés en une organisation fortement structurée. Sur l’ordre de Jéhovah un recensement de tous les hommes est effectué, depuis l’âge de 20 ans et au-dessus. L’importance numérique des tribus varie de 32 200 hommes robustes en Manassé à 74 600 en Juda, soit un total de 603 550 hommes aptes au service dans l’armée d’Israël, sans compter les Lévites, les femmes et les enfants — la population du camp s’élevant probablement à trois millions ou plus. La tente de réunion est située au centre du camp, avec les Lévites. Les autres Israélites campent aux places qui leur sont assignées de chaque côté, par division de trois tribus, chaque tribu ayant reçu des instructions quant à son ordre de marche lors des déplacements. Jéhovah donne les directives, et le récit dit : “ Les fils d’Israël se mirent à faire selon tout ce que Jéhovah avait ordonné à Moïse. ” (2:34). Ils obéissent à Jéhovah et se montrent respectueux vis-à-vis de Moïse, le représentant visible de Dieu. - Toute Écriture p32 §12


    Nous montrons que nous accordons de la valeur à notre relation avec Jéhovah par notre façon de traiter nos compagnons chrétiens. Eux aussi appartiennent à Jéhovah. Si nous gardons cela à l’esprit, nous les traiterons toujours avec amour et bonté. Pour comprendre comment nous devons traiter nos compagnons chrétiens, réfléchissons à ce qui suit. Dans le Temple, il y avait des ustensiles qui ne devaient servir qu’au culte de Jéhovah. La Loi mosaïque donnait des instructions précises sur leur utilisation, et ceux qui désobéissaient à ces instructions devaient être mis à mort (Nomb. 1:50, 51). Si la façon dont on utilisait des objets pour le culte était aussi importante pour Jéhovah, combien plus la façon dont on traite ses serviteurs fidèles, qui lui ont offert leur vie ! Il a indiqué à quel point ils ont de la valeur pour lui en disant : « Celui qui vous touche, touche à la prunelle de mes yeux » (Zach. 2:8). Jéhovah prête attention à la façon dont ses serviteurs se comportent les uns envers les autres – TG2018/7 §15-17


    Quelle vue d’ensemble le camp des Israélites dans le désert offrait-il? Celle d’un impressionnant déploiement de tentes bien agencé, abritant peut-être trois millions de personnes ou plus, regroupées selon les sections de trois tribus, au nord, au sud, à l’est et à l’ouest. En y regardant d’un peu plus près, l’on remarquait également un autre ensemble situé plus au milieu du camp. Ces quatre groupes de tentes plus petits abritaient les familles de la tribu de Lévi. Au centre du campement, dans un secteur délimité par une cloison de tissu, se trouvait un édifice hors du commun. Il s’agissait de la “tente de réunion” que des Israélites “sages de cœur” avaient dressée selon le plan indiqué par Jéhovah. Nombres 1:52, 53; 2:3, 10, 17, 18, 25 – TG1994 1/12


    Quand les tribus commençaient à partir, certains trouvaient peut-être difficile d’attendre leur tour. Tous avaient entendu la sonnerie de trompette, mais tous ne pouvaient pas partir en même temps. La première sonnerie de trompette modulée signalait que les tribus qui campaient à l’est (Juda, Issachar et Zabulon) devaient se mettre en route (Nomb. 2:3-7). Après leur départ, les prêtres faisaient retentir une deuxième sonnerie modulée pour indiquer aux trois tribus qui campaient au sud qu’il leur fallait partir à leur tour. Ils continuaient ainsi jusqu’à ce que tout le camp se soit mis en marche.

    À l’époque de Moïse, Jéhovah a guidé des millions d’hommes, de femmes et d’enfants dans le désert. Sans ses directives pleines d’amour, ils n’auraient pas survécu. Aujourd’hui, les conseils de Jéhovah nous permettent non seulement de survivre spirituellement en ces derniers jours, mais aussi de nous épanouir spirituellement, c’est-à-dire d’avoir une amitié étroite avec lui. Par conséquent, soyons tous déterminés à imiter les Israélites, qui, quand ils entendaient les prêtres sonner de la trompette, passaient à l’action ! – TG2020/6 p31


    La structure tribale. L’organisation des Israélites était en grande partie centrée sur la structure tribale. Dans le désert, tant l’ordre de marche que le plan de campement furent établis d’après les tribus (Nb 2:1-31). Les héritages territoriaux furent proportionnels aux tribus, et des lois spéciales furent données pour éviter que la terre passe d’une tribu à l’autre. It-2 p1101


    Les prêtres et les Lévites consacrés étaient exemptés de la conscription pour le service militaire en Israël. (Nomb. 1:45-54 ; 2:32, 33) Puisque les Témoins de Jéhovah sont consacrés à Dieu comme disciples de Jésus-Christ, ils doivent être exemptés de la même façon des devoirs militaires avec des armes charnelles. Dieu les exempte aujourd’hui, ne leur demandant pas de combattre comme le firent dans les temps anciens Josué, Gédéon, Samson, Jephthé, Barak et David. Jéhovah Dieu a fait de ces témoins chrétiens ses ministres de l’évangile du Royaume. – TG1951 15/5


    Jéhovah Dieu s’est servi de Moïse afin d’organiser les Israélites pour le vrai culte. Considérez ne serait-ce que les dispositions prises pour leur campement pendant leur séjour dans le désert du Sinaï. Le désordre aurait sûrement régné si chaque famille avait été autorisée à planter sa tente où bon lui semblait.

    Jéhovah a donné à la nation des instructions détaillées sur l’endroit où chaque tribu devait s’installer (Nombres 2:1-34). La Loi de Moïse comprenait aussi des règles sanitaires précises, relatives par exemple à l’élimination des déchets humains. Même si Jéhovah se servait d’humains, c’est lui qui organisait et dirigeait son peuple. Quand un changement en matière d’organisation s’avérait nécessaire, Jéhovah l’opérait. Qu’en est-il aujourd’hui ? Jéhovah Dieu continue de diriger son peuple comme par le passé. Pour vivre dans l’unité, il faut de l’ordre, et l’ordre nécessite de l’organisation. À l’heure actuelle, Jéhovah se sert de son organisation pour accomplir son dessein concernant les humains. — TG2011/6


    La nation d’Israël était organisée en tribus, en familles et en maisonnées. Quand les tribus se déplaçaient dans le désert, chacune d’elles avait sa place assignée par Jéhovah. Lorsque les Israélites campaient autour du tabernacle, chaque tribu devait s’installer en un endroit bien déterminé (Nombres 2:1-34). Jéhovah guidait leurs déplacements au moyen d’une nuée. TG1986 1/6 §6


    Lv 2:1, 2 — Qu’étaient, dans le désert, les “ signes ” autour desquels les divisions de trois tribus devaient camper ? La Bible ne précise pas ce qu’étaient ces signes. Cependant, ils n’étaient pas considérés comme sacrés et leur utilisation n’avait aucune signification religieuse. Ils n’avaient qu’un rôle pratique : aider chacun à trouver sa place dans le camp. – TG2004 1/8


    Le fait de saluer un drapeau représentant l’État ou de s’agenouiller devant lui est-il réellement incompatible avec l’attachement exclusif dû à Jéhovah Dieu ? Autrefois, les Israélites dans le désert avaient des “ signes ”, ou étendards, autour desquels ils se rassemblaient par divisions de trois tribus (Nombres 2:1, 2). À propos des mots hébreux correspondant à ces enseignes, la Cyclopedia de McClintock et Strong déclare : “ Aucun d’eux n’exprime l’idée que le mot ‘ étendard ’ évoque à notre esprit, c’est-à-dire un drapeau. ” En outre, les étendards d’Israël n’étaient pas considérés comme sacrés et leur utilisation n’avait aucun caractère cérémoniel. Ils n’avaient qu’un rôle pratique : indiquer le point de ralliement. – TG2002 15/9

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    Lévitique 14:14, 17, 25, 28 : Que pouvons-nous apprendre de la méthode de purification d’un lépreux qui était déclaré pur ? it-2 453 §5

    Verset 14 « Le prêtre prendra ensuite un peu du sang du sacrifice de réparation et le mettra sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce de la main droite et sur le gros orteil du pied droit de celui qui se purifie. »

    Verset 17 « Le prêtre mettra un peu du reste de l’huile qui est dans sa paume sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce de la main droite et sur le gros orteil du pied droit de celui qui se purifie, par-dessus le sang du sacrifice de réparation. »

    Verset 25 « Puis le prêtre tuera le jeune bélier du sacrifice de réparation, et il prendra un peu du sang du sacrifice de réparation et le mettra sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce de la main droite et sur le gros orteil du pied droit de celui qui se purifie. »

    Verset 28 « Et le prêtre mettra un peu de l’huile qui est dans sa paume sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce de la main droite et sur le gros orteil du pied droit de celui qui se purifie, aux endroits où il a mis le sang du sacrifice de réparation. »

    Lors de l’installation de la prêtrise en Israël, Moïse reçut l’ordre de prendre du sang du bélier de l’installation et d’en mettre sur le lobe de l’oreille droite d’Aaron et de chacun de ses fils, ainsi que sur leur main droite et leur pied droit, pour montrer que les paroles qu’ils écouteraient, le travail qu’ils feraient et la façon dont ils marcheraient devaient être directement influencés par ce qui se déroulait alors (Lv 8:22-24). De même, dans le cas d’un lépreux qui se purifiait, la Loi prévoyait que le prêtre lui mette sur le lobe de l’oreille droite un peu du sang du bélier présenté en sacrifice de culpabilité, ainsi qu’un peu de l’huile offerte. Des dispositions similaires étaient prises lorsqu’un homme désirait rester l’esclave de son maître pour des temps indéfinis. Dans ce cas, l’esclave était amené près du montant de la porte et son maître lui perçait l’oreille avec un poinçon. Cette marque bien visible faite à l’organe de l’ouïe montrait sans doute que l’esclave désirait continuer de prêter attention à son maître avec obéissance - it-2 p453 §5


    À l’origine, les prescriptions de la Loi exigeaient qu’avant de reprendre une vie normale un lépreux guéri se plie à une cérémonie complexe en deux parties ; lors de la première phase, il fallait de l’eau, du bois de cèdre, du tissu teint en écarlate de cochenille, de l’hysope et deux oiseaux. Ces choses étaient fournies par le lépreux guéri au moment où il se présentait au prêtre à l’extérieur du camp d’Israël. Un des oiseaux était alors tué au-dessus d’une eau courante, et son sang était recueilli dans un récipient de terre. Le cèdre, le tissu écarlate, l’hysope et l’oiseau vivant étaient trempés dans le sang ; le prêtre aspergeait sept fois le lépreux guéri avec le sang, et l’oiseau vivant était relâché. Après avoir été déclaré pur, l’homme se rasait, se baignait, lavait ses vêtements et entrait au camp, mais il lui fallait demeurer sept jours hors de sa tente. Le septième jour, il rasait de nouveau tout son poil, y compris ses sourcils. Le lendemain, il apportait deux béliers et une agnelle de moins d’un an avec un peu de farine et d’huile, cela constituant un sacrifice de culpabilité, un sacrifice pour le péché, un holocauste et une offrande de grain. Le sacrifice de culpabilité comportant un bélier et de l’huile était d’abord présenté en offrande balancée devant Jéhovah par le prêtre, qui tuait ensuite le bélier ; il mettait un peu du sang du bélier sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce droit et sur le gros orteil droit de celui qui se purifiait. De façon similaire, une partie de l’huile était ensuite appliquée par-dessus le sang aux trois endroits précités ; une partie de l’huile était aussi répandue par aspersion sept fois devant Jéhovah, et le reste était mis sur la tête de celui qui se purifiait. Le prêtre offrait alors le sacrifice pour le péché, l’holocauste et l’offrande de grain, faisant propitiation et déclarant pur le lépreux guéri. Si en raison de sa situation l’homme était très pauvre, il pouvait apporter deux tourterelles ou deux jeunes pigeons à la place de l’agnelle et d’un des béliers sacrifiés pour le péché et en holocauste. - it-2 Pur
    Lévitique 14:43-45 : Qu’enseignait au sujet de Jéhovah la loi sur la contamination d’une maison par la lèpre maligne ? g 1/06 14, encadré

    « Si, malgré cela, la contamination réapparaît et fait éruption dans la maison après qu’on aura arraché les pierres, et raclé et réenduit la maison, 44 le prêtre ira l’inspecter : si la contamination s’est étendue dans la maison, c’est une lèpre maligne. La maison est impure. 45 Il fera alors abattre la maison et transporter ses pierres, son bois, et tout le plâtre et le mortier hors de la ville, dans un lieu impur. »

    La Bible évoque “ la plaie de la lèpre dans une maison ”, c’est-à-dire dans l’édifice lui-même (Lévitique 14:34-48). Pour expliquer ce phénomène, également appelé “ lèpre maligne ”, on a émis l’idée qu’il s’agissait d’une sorte de moisissure ; mais cela ne reste qu’une hypothèse. Toujours est-il que la Loi de Dieu obligeait le propriétaire à ôter les pierres contaminées et à racler tout l’intérieur de la maison ; ce qui était suspect devait être emmené en dehors de la ville, “ dans un lieu impur ”. Si la plaie revenait, il fallait déclarer la maison impure et la détruire ; on en rejetait les matériaux. Les instructions très précises de Jéhovah reflétaient le profond amour qu’il éprouve pour ses serviteurs et son souci de leur bien-être. - g 1/06 14, encadré

    Un lieu propice à l’instruction spirituelle. Depuis des temps reculés, le foyer fonctionnait comme un centre où se transmettait l’instruction relative au culte pur. La loi que Dieu donna à Israël ordonnait explicitement aux pères d’enseigner leurs fils lorsqu’ils étaient assis dans la maison, ainsi qu’à d’autres moments. Étant donné que la maison avait cet usage sacré, celles qui étaient souillées par une “ lèpre maligne ” devaient être démolies. La loi concernant les maisons lépreuses rappelait aux Israélites qu’ils ne pouvaient vivre que dans des maisons qui étaient pures du point de vue de Dieu. Si des dépressions vert-jaune ou rougeâtres apparaissaient dans le mur d’une maison, le prêtre imposait une quarantaine. Il pouvait s’avérer nécessaire d’arracher les pierres contaminées et de racler l’intérieur de la maison ; on se débarrassait des pierres et du mortier raclé dans un lieu impur hors de la ville. Si la plaie revenait, la maison était déclarée impure et détruite, et on se défaisait des matériaux dans un lieu impur. Quant à la maison déclarée pure, des dispositions étaient prévues pour sa purification. – it-2 Maison

    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    En Lv 14:5, l’expression hébraïque traduite par « eau courante » signifie littéralement « eau vive ». Jéhovah est présenté comme « la source d’eau vive », c’est-à-dire la source de l’eau symbolique qui donne la vie éternelle. L’eau de la vie représente l’ensemble des dispositions prises par Dieu pour guérir les hommes obéissants du péché et de la mort, et leur donner une vie parfaite et sans fin dans un paradis terrestre. Le sacrifice rédempteur de Jésus Christ est à la base même de ces dispositions. Quand il a parlé avec la Samaritaine, Jésus a utilisé l’expression « eau vive » dans un sens figuré, mais il semble que cette femme a d’abord pris cette expression au sens propre (Jean 4:11). – mwbr2018/9 p1-8

    Si le lépreux guérissait, il existait des dispositions lui permettant de se purifier rituellement, qui comprenaient un sacrifice offert par le prêtre en sa faveur (Lv 14:1-32). Par contre, quand le prêtre déclarait impur le lépreux dont le mal persistait, il fallait que les vêtements de ce dernier soient déchirés, que sa tête soit échevelée, qu’il se couvre la moustache ou la lèvre supérieure et qu’il crie : “ Impur, impur ! ” Il devait demeurer à l’écart en dehors du camp. Cette mesure était prise afin que le lépreux ne contamine pas ceux au milieu desquels Jéhovah résidait. Il semble qu’aux temps bibliques les lépreux se fréquentaient ou vivaient en groupes, ce qui leur permettait de s’entraider – it-2 Lèpre

    La lèpre aujourd’hui est-elle la même qu’aux temps bibliques ? La lèpre produisait des symptômes observables non seulement chez les humains, mais aussi dans les vêtements et les maisons, chose qu’une bactérie ne fait pas. — Lévitique  14:34. Les symptômes permettant d’identifier la lèpre chez les humains de nos jours ne correspondent pas exactement à la description de la lèpre aux temps bibliques. De l’avis de certains, cela tient au fait que la nature des maladies change au fil du temps. D’autres pensent que la lèpre dont il est question dans la Bible évoque plusieurs maladies du même genre. – TG1998 1/ 4 p22

    La maladie appelée aujourd’hui lèpre, ou maladie de Hansen, qui n’est que peu contagieuse, se présente sous trois formes principales. La première, nodulaire, provoque un épaississement de la peau et la formation de nodules, d’abord sur le visage, puis sur d’autres parties du corps. Elle entraîne aussi une dégénérescence des muqueuses du nez et de la gorge. C’est ce qu’on appelle la lèpre noire. Une autre forme est la lèpre anesthésique, appelée parfois lèpre blanche. Moins grave que la précédente, elle attaque essentiellement les nerfs périphériques. Elle rend parfois la peau douloureuse au toucher, mais elle peut aussi provoquer l’insensibilité. Le troisième type de lèpre est mixte, associant les symptômes des deux formes précédentes.

    Au fur et à mesure que la lèpre progresse vers sa phase finale, les enflures qui se sont formées suppurent ; il peut y avoir chute de la barbe et des sourcils et décollement des ongles, qui pourrissent et tombent. Ensuite les doigts, les membres, le nez ou les yeux du malade peuvent être rongés lentement. Enfin, dans les cas les plus graves, la mort s’ensuit. Le terme “ lèpre ” dans la Bible incluait certainement cette grave maladie, car Aaron dit qu’à cause d’elle la chair est “ à demi rongée ”.

    Dans la Loi mosaïque, Jéhovah fournit à Israël des renseignements qui permettaient au prêtre de diagnostiquer la lèpre et de la différencier d’autres affections cutanées moins graves. La lèpre pouvait commencer par une éruption, une dartre, une tache, un furoncle ou une cicatrice due au feu. Parfois, les symptômes étaient très évidents. Le poil, dans la partie atteinte, était devenu blanc et le mal paraissait plus profond que la peau. Par exemple, une éruption blanche dans la peau pouvait faire virer le poil au blanc et la chair à vif apparaître dans l’éruption. Cela signifiait que la personne avait la lèpre, et elle devait être déclarée impure. Dans d’autres cas, toutefois, le mal n’était pas plus profond que la peau. La personne était alors mise en quarantaine, puis le prêtre l’examinait et prenait une décision définitive à son sujet.

    Il était reconnu que la lèpre pouvait atteindre un stade où elle n’était pas contagieuse. Quand elle recouvrait tout le corps, que celui-ci était devenu tout blanc, sans qu’on voie de chair vive, c’était la preuve que la maladie n’agissait plus et que seules restaient les marques des ravages qu’elle avait causés. Le prêtre déclarait alors la personne pure, car le mal ne constituait plus un danger pour quiconque – it-2 Lèpre


    Sous la Loi, quiconque touchait une selle sur laquelle était montée une personne ayant un écoulement devenait impur, tout comme celui qui touchait un objet sur lequel s’était assise une femme ayant ses règles. — Lv 15:9 – it-2 Selle


    En Israël, des lois limitaient l’usage des facultés sexuelles, même entre conjoints. Un mari devait s’abstenir de relations avec sa femme lorsqu’elle avait ses règles (Lévitique 15:24). Dans l’antique Israël, les hommes devaient donc faire preuve de maîtrise de soi et d’une considération empreinte d’amour. – TG1989 1/6 p14 §18


    Les Écritures associent les règles à la souillure et à l’impureté (Lv 12:2 ; Éz 22:10 ; 36:17), et une forme du mot hébreu qui les désigne (niddah) est parfois rendue par ‘ souillure des règles ’. (Lv 15:25, 26.) Une forme d’un autre terme hébreu, dawèh, qui peut évoquer la maladie (Lm 5:17), est traduite par “ femme qui a ses règles ”. (Lv 15:33 ; Is 30:22.) Ce sont également les règles que sous-entend la locution : “ Ce que les femmes ont coutume d’avoir. ” — Gn 31:35. – it-2 Règles


    Une femme était également regardée comme impure pendant la période où elle avait un écoulement de sang anormal ou ‘ un flux qui se prolongeait au-delà du temps de la souillure de ses règles ’ ; dans cet intervalle, elle rendait impurs les objets sur lesquels elle se couchait ou s’asseyait et les personnes qui touchaient ces objets. Une fois que l’écoulement anormal avait cessé, elle devait compter sept jours, et alors elle devenait pure. Le huitième jour, elle apportait deux tourterelles ou deux jeunes pigeons au prêtre, qui faisait propitiation pour elle en présentant l’une de ces créatures à Jéhovah comme sacrifice pour le péché et l’autre comme holocauste. — Lv 15:19-30 - it-2 Règles


    L’homme et la femme qui, délibérément, avaient des rapports sexuels alors que la femme était dans la souillure de ses règles étaient retranchés (Lv 18:19 ; 20:18). L’interdiction de s’unir sexuellement pendant les règles était probablement bénéfique pour la santé ; par exemple, cela protégeait peut-être de l’urétrite simple, une inflammation de la région génitale. On peut supposer également que les prescriptions de la Loi concernant les règles ou le flux de sang rappelaient le caractère sacré du sang. Ces prescriptions n’étaient pas discriminatoires à l’égard des femmes, car les hommes aussi étaient sujets à l’impureté par des écoulements auxquels ils étaient prédisposés (Lv 15:1-17). Les prescriptions concernant les règles montraient justement que Jéhovah est plein d’égards pour les femmes. Quoique le mari chrétien ne soit pas sous la Loi, il est bien que lui aussi tienne compte des cycles et des vicissitudes de sa femme, demeurant avec elle “ selon la connaissance ” et lui assignant de l’honneur “ comme à un vase plus faible, le vase féminin ”. — 1P 3:7. - it-2 Règles


    La Loi favorisait aussi la pureté mentale des Israélites. Par exemple, ses prescriptions concernant la vie intime du couple contribuaient à élever les pensées de l’homme (Lévitique 15:16-33). Les Israélites apprirent à se dominer dans le domaine sexuel, à ne pas céder à la passion débridée comme le faisaient les Cananéens. La Loi apprenait même à ceux qui l’observaient à maîtriser leurs sentiments et leurs désirs, car elle condamnait la convoitise. – TG1987  1/11 §13


    Même un état d’impureté permanente de la part des Israélites était, semble-t-il, considéré comme quelque chose qui souillait le tabernacle (Lv 15:31). Ceux qui présentaient des offrandes pour la purification de la lèpre n’apportaient leur sacrifice que jusqu’à la porte de la cour (Lv 14:11). Aucune personne impure ne pouvait donc participer à un sacrifice de communion au tabernacle ou au temple, sous peine de mort. – it-2 p142 Lieu saint


    La Loi que Jéhovah a donnée à Moïse pour les Israélites nous montre aussi que la propreté était très importante. Par exemple, pour que Jéhovah accepte leur culte, les Israélites devaient être propres. Dans certaines situations, si quelqu’un désobéissait aux lois sur la pureté, il était puni de mort (Lévitique 15:31). Les normes de Jéhovah n’ont pas changé. Aujourd’hui, il veut toujours qu’ils soient purs. Pour Jéhovah, être pur, ce n’est pas simplement être propre et avoir des vêtements et une maison propres. La pureté concerne toute notre vie. Elle concerne notre culte, notre conduite et nos pensées. Pour être purs aux yeux de Jéhovah, nous devons être purs dans tous les domaines de notre vie. – lvs chap8 §8

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    Lévitique 5:1 : Comment ce verset s’applique-t-il aux chrétiens ? (w16.02 30 § 14).

    « “Si quelqu’un est témoin de quelque chose ou l’a vu ou l’a appris, et qu’il entende un appel à témoin mais ne révèle pas ce qu’il sait, il commet un péché et il portera la responsabilité de sa faute. »

    14 La bonté peut t’aider à te montrer d’abord fidèle à Jéhovah tout en te montrant fidèle aux autres. Illustrons : Tu sais peut-être de source sûre qu’un compagnon chrétien a commis une faute grave. Et tu te sens peut-être tenu de lui rester fidèle, particulièrement s’il s’agit d’un proche, comme un ami ou un membre de ta famille. Mais si tu cherchais à couvrir sa faute, tu serais infidèle à Dieu. Ta fidélité à Jéhovah doit bien entendu avoir la première place. Alors, comme Nathân, sois bon mais ferme. Encourage ce proche à rechercher l’aide des anciens. S’il ne l’a pas fait dans un délai raisonnable, ta fidélité à Jéhovah devrait te pousser à signaler sa faute aux anciens de la congrégation. En agissant ainsi, tu te montres fidèle à Jéhovah et bon envers ton proche. En quel sens ? Tu donnes ainsi aux anciens la possibilité d’essayer de le redresser avec douceur w16.02 30


    Pour certaines offenses graves, telles que les actes sexuels immoraux, l’adultère, l’homosexualité, le blasphème, l’apostasie, l’idolâtrie, etc., le pardon de la personne offensée n’est pas suffisant. La pureté spirituelle et morale de l’assemblée étant menacée, de tels péchés graves doivent être révélés aux anciens et traités par eux. Des anciens peuvent apprendre qu’un péché a été commis soit parce que le chrétien concerné vient se confesser, soit parce qu’un autre chrétien leur fait part de ce qu’il sait (Lév. 5:1). Quelle que soit la manière dont ils sont informés d’une faute grave commise par un Témoin de Jéhovah, deux anciens doivent en premier lieu vérifier les faits. S’il s’avère que l’information qui leur a été communiquée est fondée et qu’il y a des preuves qu’un péché grave a été commis, le collège des anciens désigne un comité de discipline religieuse composé d’au moins trois d’entre eux pour traiter l’affaire. – Livre Organisés (od) chap14 p141 §21


    Si quelqu’un est témoin de quelque chose ou l’a vu ou l’a appris, et qu’il entende un appel à témoin mais ne révèle pas ce qu’il sait, il commet un péché et il portera la responsabilité de sa faute  - od p193


    Jéhovah a donné aux anciens la responsabilité d’aider les membres de l’assemblée. C’est plus facile pour les anciens de nous aider quand nous sommes honnêtes avec eux. Imagine une autre situation : Tu découvres qu’un de tes amis a commis une faute grave. Vas-tu te dire : « Si je suis vraiment son ami, je ne vais pas en parler » ? Ou bien te souviendras-tu que les anciens sont là pour lui donner l’aide dont il a besoin pour reconstruire et fortifier sa relation avec Jéhovah ? lvs chap14 p187§11


    Lévitique 5:15, 16 : Comment pourrait-on se montrer « infidèle en péchant involontairement contre les choses saintes de Jéhovah » ? (it-2 861 § 8).

    « Si quelqu’un se montre infidèle en péchant involontairement contre les choses saintes de Jéhovah, il amènera à Jéhovah, comme sacrifice de réparation, un bélier sans défaut pris dans le petit bétail ; sa valeur en sicles d’argent est fixée d’après le sicle de référence du lieu saint. 16 Il donnera aussi la compensation pour le péché qu’il a commis contre le lieu saint, et il y ajoutera un cinquième de la valeur. Il donnera cela au prêtre, pour que le prêtre fasse le rite de réconciliation pour lui avec le bélier du sacrifice de réparation, et il lui sera pardonné. »

    Animaux et productions. Les mâles premiers-nés d’entre les bovins, les moutons et les chèvres étaient considérés comme saints pour Jéhovah et ne devaient pas être rachetés. Ils devaient être sacrifiés, et une portion allait aux prêtres sanctifiés (Nb 18:17-19). Les prémices et la dîme étaient sacrées, de même que tous les sacrifices et tous les dons sanctifiés pour le service du sanctuaire (Ex 28:38). Toutes les choses saintes pour Jéhovah étaient sacrées, et ne devaient ni être considérées à la légère ni prises pour un usage ordinaire, profane. C’est ce qu’illustre la loi sur la dîme. Si un homme avait mis à part la portion qui devait être offerte en dîme, par exemple sur sa récolte de blé, et que lui ou un membre de sa maisonnée en ait prélevé involontairement une partie pour un usage domestique, comme la cuisine, l’homme était coupable d’une transgression de la loi de Dieu sur les choses saintes. Il était tenu par la Loi de faire au sanctuaire une compensation de même quantité, augmentée de 20 %, en plus d’offrir en sacrifice un bélier sans défaut pris dans son petit bétail. Voilà qui engendrait un grand respect envers les choses saintes appartenant à Jéhovah. — it-2 861 § 8


    En Israël, toutes les choses saintes aux yeux de Jéhovah étaient sacrées, et les serviteurs de Dieu n’avaient pas le droit de les prendre à la légère ni d’en faire un usage indigne et profane. Citons à titre d’exemple la loi relative à la dîme. Si un homme mettait de côté la dîme de sa récolte de blé, et que lui ou un membre quelconque de sa famille en prélevât involontairement une partie pour l’usage domestique, par exemple la cuisine, cette personne transgressait la loi divine touchant les choses saintes. Était-ce une affaire de peu d’importance, sur laquelle il suffisait de fermer les yeux ?

    Certainement pas. La Loi de Dieu exigeait que le coupable restitue, avec vingt pour cent en plus, la valeur de la chose dont il avait frustré le sanctuaire, et qu’il offre en outre en sacrifice un bélier sans défaut de son troupeau. Ainsi la Loi engendrait un profond respect pour les choses saintes appartenant à Jéhovah (Lév. 5:14-16). Cela ne devrait-il pas nous montrer qu’il est important pour nous de traiter aujourd’hui les choses utilisées dans le service de Jéhovah avec tout le respect qui convient ? – TG1971  15/3 p166


    Quelqu’un qui péchait involontairement contre les choses saintes de Jéhovah (par exemple, s’appropriait involontairement du grain mis à part comme dîme pour le sanctuaire, et s’en servait pour son usage personnel ou pour celui de sa maisonnée [un usage ordinaire, ce qui profanait la chose sanctifiée]) (Lv 5:15a) : il fallait donner au sanctuaire la compensation plus un cinquième (Lv 5:16). Un bélier était présenté en sacrifice de culpabilité. — it-2 Sacrifices


    Les chapitres 5 et 6 du Lévitique nous éclairent sur la signification et le but des sacrifices de culpabilité. Même si c’était involontairement, peut-être un transgresseur avait-il violé les droits de son semblable ou de Jéhovah Dieu, ce qui demandait réparation. Plusieurs sortes de péchés sont mentionnées. Certains étaient d’ordre privé (5:2-6), d’autres étaient des péchés “ contre les choses saintes de Jéhovah ” (5:14-16), d’autres encore, sans être dus entièrement à l’ignorance, résultaient de mauvais désirs ou de faiblesses de la chair (6:1-3). Non seulement le transgresseur devait confesser ces péchés, mais il lui fallait aussi, quand les circonstances l’exigeaient, compenser le préjudice, puis présenter un sacrifice de culpabilité à Jéhovah. -TG2000  15/8 §11


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Les chefs devaient être respectés, mais ils n’étaient pas dispensés d’obéir à la loi de Dieu. Quand ils péchaient contre la Loi, ils devaient se soumettre à ses ordonnances concernant de tels péchés. En raison de leur position de responsabilité et des conséquences que leur conduite, leur exemple et leur influence avaient sur les autres, quand ils transgressaient involontairement un commandement divin, les sacrifices pour le péché qu’ils offraient étaient différents. Le grand prêtre devait offrir un jeune taureau, un chef était tenu de présenter un chevreau, et toute autre personne du peuple soit une chevrette, soit une agnelle. — Lv 4:3, 22, 23, 27, 28, 32. – it-1 p435


    Selon la Loi, aucun sacrifice pour le péché, dont le sang était apporté dans le sanctuaire pour faire propitiation, ne devait être mangé par le prêtre. Sa carcasse et ses excréments devaient être brûlés dans un lieu pur hors du camp (Lv 4:11, 12), afin que rien de l’animal ne serve à un autre usage ou ne soit laissé se décomposer. L’animal était “ pur ”, c’est-à-dire sanctifié pour Jéhovah, et donc devait être brûlé dans un lieu pur – it-1 p831


    La culpabilité rendait toujours passible d’une sanction ; il n’y avait pas d’exception. On ne pouvait pas fermer les yeux sur une faute. Chaque fois que la Loi l’exigeait, la punition devait être infligée ou, dans certains cas, la compensation fournie. Puis, pour faire la paix avec Dieu, le coupable devait présenter un sacrifice au sanctuaire. Il fallait un sacrifice pour la propitiation dans tous les cas de culpabilité (Lv 5:1-19). Même un péché involontaire entraînait la culpabilité, et il fallait faire des sacrifices pour la propitiation (Lv 4:1-35). Dans le cas de certains délits comme la tromperie, la spoliation ou l’extorsion, si le pécheur se repentait et se confessait volontairement, il devait donner la compensation et présenter aussi un sacrifice de culpabilité. it-2 p665 Procès


    Dans la Loi que Dieu a donnée à la nation d’Israël, nous trouvons des instructions précises sur la marche à suivre lorsqu’une personne péchait. Par exemple, si un individu péchait contre son semblable ou enfreignait une loi de Dieu, il devait se confesser à un prêtre nommé de la tribu de Lévi, qui faisait alors propitiation pour lui en offrant à Dieu un sacrifice pour le pardon du péché. — Lévitique 5:1-6.

    La confession des péchés est restée une exigence de Dieu dans la congrégation chrétienne du 1er siècle de notre ère. Puisque le pardon ne peut venir que de Dieu, c’est à lui que l’on doit se confesser. Pour obtenir le pardon il faut non seulement reconnaître et confesser son péché, mais aussi être disposé à abandonner sa mauvaise conduite.  TG2010  1/9 p22


    Sous la Loi, quiconque formulait un tel vœu irréfléchi était coupable devant Dieu et devait présenter une offrande de culpabilité pour son péché (Lv 5:4-6). Un vœu n’a aucune valeur aux yeux de Dieu s’il n’est pas conforme à ses lois justes et ne vient pas du genre de cœur et d’esprit qui conviennent. – it-2 p1164 Vœu


    La Bible explique qu’en raison de notre imperfection “ tous, nous trébuchons souvent ”, notamment en faisant un mauvais usage de notre langue. Que faire si nous nous apercevons que nous avons manqué à notre parole ? La Loi que Dieu avait donnée à Israël comprenait une disposition miséricordieuse pour celui qui était coupable d’avoir ‘ parlé inconsidérément ’. (Lév. 5:4-7, 11) Les chrétiens qui commettent ce genre de péché bénéficient eux aussi d’une disposition pleine d’amour. Si nous confessons notre péché à Jéhovah, nous obtiendrons son pardon grâce au service accompli par notre Grand Prêtre Jésus Christ. Mais pour conserver la faveur de Dieu, nous devons produire des fruits qui conviennent à la repentance, en ne faisant pas de ce péché une pratique et en nous efforçant de réparer les torts causés par nos propos inconsidérés. Bien entendu, il est de loin préférable de réfléchir attentivement avant de faire des promesses que nous ne sommes pas en mesure de tenir – TG2012  15/10 p27 §16


    Jéhovah sait que nous n’avons pas tous les mêmes capacités ni la même situation, et il apprécie beaucoup les sacrifices que nous lui offrons. Pense aux types de sacrifices qu’il acceptait de la part des Israélites. Certains avaient les moyens d’offrir un agneau ou une chèvre. Mais quelqu’un qui était pauvre était autorisé à offrir « deux tourterelles ou deux jeunes pigeons ». Et si c’était encore trop cher pour lui, Jéhovah acceptait « un dixième d’épha de farine fine » (Lév. 5:7, 11). La farine coûtait moins cher, mais Jéhovah appréciait ce sacrifice, du moment qu’il s’agissait de « farine fine », c’est-à-dire d’excellente qualité.

    À notre époque, notre Dieu bienveillant voit les choses de la même façon. Souviens-toi de la veuve qui a offert les deux petites pièces de monnaie. Elle était précieuse aux yeux de Jéhovah parce qu’elle donnait tout ce qu’elle pouvait – TG2019/1 p8 §4,5


    Voyons comment la nature raisonnable de Jéhovah transparaissait dans la Loi mosaïque. Si un Israélite était trop pauvre pour offrir un agneau ou une chèvre en sacrifice, il pouvait offrir deux tourterelles ou deux pigeons. Et s’il était pauvre au point de ne même pas pouvoir se procurer deux pigeons ? Jéhovah lui permettait alors d’offrir un peu de farine. Toutefois, note bien cette précision : il ne devait pas amener n’importe quelle farine, mais de la « fleur de farine », celle qu’on utilisait pour les invités de marque (Gen. 18:6). Pourquoi n’est-ce pas un détail ? (Lévitique 5:7, 11).

    Imagine que tu sois un Israélite ayant peu de moyens. Tu arrives au tabernacle avec la petite quantité de farine que tu comptes offrir et tu remarques des Israélites plus riches qui apportent du bétail. Avec ton offrande de farine apparemment de peu de valeur, tu es peut-être mal à l’aise. Puis tu te rappelles qu’aux yeux de Jéhovah ton offrande a une grande valeur. Pourquoi ? Notamment parce qu’il a exigé que la farine soit de haute qualité. C’est comme s’il avait dit au pauvre : « Je sais que tu ne peux pas offrir autant que d’autres, mais je sais que tu m’offres ce que tu as de meilleur. » Jéhovah se montre assurément raisonnable en tenant compte des limites et de la situation de ses serviteurs. Voilà qui nous réconforte : Jéhovah, le Dieu raisonnable, accepte notre service pourvu que nous l’offrions de toute notre âme TG2013 15/6 p15-16


    Nous savons aussi que les reins sont entourés d’une couche de graisse d’un centimètre ou plus, selon la corpulence de la personne. Cela montre davantage encore à quel point ces organes sont situés profondément dans le corps humain, hors de la vue des hommes. Du fait que les reins sont recouverts d’une épaisse couche de graisse, ils constituaient une partie précieuse des sacrifices d’animaux que le peuple offrait à Jéhovah dans l’Antiquité. Les reins étaient au nombre de ces morceaux gras. De même, à propos des sacrifices que les Israélites offraient à Jéhovah, nous lisons à diverses reprises que “les deux rognons [les reins chez les animaux] et la graisse qui est sur eux” étaient réservés à Jéhovah (Lév. 4 :9) La graisse des reins brûlait très bien et dégageait une odeur agréable. Les reins n’étaient donc pas une partie insignifiante des sacrifices offerts à Dieu.

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    Lévitique 5:1 : Comment ce verset s’applique-t-il aux chrétiens ? (w16.02 30 § 14).

    « “Si quelqu’un est témoin de quelque chose ou l’a vu ou l’a appris, et qu’il entende un appel à témoin mais ne révèle pas ce qu’il sait, il commet un péché et il portera la responsabilité de sa faute. »

    14 La bonté peut t’aider à te montrer d’abord fidèle à Jéhovah tout en te montrant fidèle aux autres. Illustrons : Tu sais peut-être de source sûre qu’un compagnon chrétien a commis une faute grave. Et tu te sens peut-être tenu de lui rester fidèle, particulièrement s’il s’agit d’un proche, comme un ami ou un membre de ta famille. Mais si tu cherchais à couvrir sa faute, tu serais infidèle à Dieu. Ta fidélité à Jéhovah doit bien entendu avoir la première place. Alors, comme Nathân, sois bon mais ferme. Encourage ce proche à rechercher l’aide des anciens. S’il ne l’a pas fait dans un délai raisonnable, ta fidélité à Jéhovah devrait te pousser à signaler sa faute aux anciens de la congrégation. En agissant ainsi, tu te montres fidèle à Jéhovah et bon envers ton proche. En quel sens ? Tu donnes ainsi aux anciens la possibilité d’essayer de le redresser avec douceur w16.02 30


    Pour certaines offenses graves, telles que les actes sexuels immoraux, l’adultère, l’homosexualité, le blasphème, l’apostasie, l’idolâtrie, etc., le pardon de la personne offensée n’est pas suffisant. La pureté spirituelle et morale de l’assemblée étant menacée, de tels péchés graves doivent être révélés aux anciens et traités par eux. Des anciens peuvent apprendre qu’un péché a été commis soit parce que le chrétien concerné vient se confesser, soit parce qu’un autre chrétien leur fait part de ce qu’il sait (Lév. 5:1). Quelle que soit la manière dont ils sont informés d’une faute grave commise par un Témoin de Jéhovah, deux anciens doivent en premier lieu vérifier les faits. S’il s’avère que l’information qui leur a été communiquée est fondée et qu’il y a des preuves qu’un péché grave a été commis, le collège des anciens désigne un comité de discipline religieuse composé d’au moins trois d’entre eux pour traiter l’affaire. – Livre Organisés (od) chap14 p141 §21


    Si quelqu’un est témoin de quelque chose ou l’a vu ou l’a appris, et qu’il entende un appel à témoin mais ne révèle pas ce qu’il sait, il commet un péché et il portera la responsabilité de sa faute  - od p193


    Jéhovah a donné aux anciens la responsabilité d’aider les membres de l’assemblée. C’est plus facile pour les anciens de nous aider quand nous sommes honnêtes avec eux. Imagine une autre situation : Tu découvres qu’un de tes amis a commis une faute grave. Vas-tu te dire : « Si je suis vraiment son ami, je ne vais pas en parler » ? Ou bien te souviendras-tu que les anciens sont là pour lui donner l’aide dont il a besoin pour reconstruire et fortifier sa relation avec Jéhovah ? lvs chap14 p187§11


    Lévitique 5:15, 16 : Comment pourrait-on se montrer « infidèle en péchant involontairement contre les choses saintes de Jéhovah » ? (it-2 861 § 8).

    « Si quelqu’un se montre infidèle en péchant involontairement contre les choses saintes de Jéhovah, il amènera à Jéhovah, comme sacrifice de réparation, un bélier sans défaut pris dans le petit bétail ; sa valeur en sicles d’argent est fixée d’après le sicle de référence du lieu saint. 16 Il donnera aussi la compensation pour le péché qu’il a commis contre le lieu saint, et il y ajoutera un cinquième de la valeur. Il donnera cela au prêtre, pour que le prêtre fasse le rite de réconciliation pour lui avec le bélier du sacrifice de réparation, et il lui sera pardonné. »

    Animaux et productions. Les mâles premiers-nés d’entre les bovins, les moutons et les chèvres étaient considérés comme saints pour Jéhovah et ne devaient pas être rachetés. Ils devaient être sacrifiés, et une portion allait aux prêtres sanctifiés (Nb 18:17-19). Les prémices et la dîme étaient sacrées, de même que tous les sacrifices et tous les dons sanctifiés pour le service du sanctuaire (Ex 28:38). Toutes les choses saintes pour Jéhovah étaient sacrées, et ne devaient ni être considérées à la légère ni prises pour un usage ordinaire, profane. C’est ce qu’illustre la loi sur la dîme. Si un homme avait mis à part la portion qui devait être offerte en dîme, par exemple sur sa récolte de blé, et que lui ou un membre de sa maisonnée en ait prélevé involontairement une partie pour un usage domestique, comme la cuisine, l’homme était coupable d’une transgression de la loi de Dieu sur les choses saintes. Il était tenu par la Loi de faire au sanctuaire une compensation de même quantité, augmentée de 20 %, en plus d’offrir en sacrifice un bélier sans défaut pris dans son petit bétail. Voilà qui engendrait un grand respect envers les choses saintes appartenant à Jéhovah. — it-2 861 § 8


    En Israël, toutes les choses saintes aux yeux de Jéhovah étaient sacrées, et les serviteurs de Dieu n’avaient pas le droit de les prendre à la légère ni d’en faire un usage indigne et profane. Citons à titre d’exemple la loi relative à la dîme. Si un homme mettait de côté la dîme de sa récolte de blé, et que lui ou un membre quelconque de sa famille en prélevât involontairement une partie pour l’usage domestique, par exemple la cuisine, cette personne transgressait la loi divine touchant les choses saintes. Était-ce une affaire de peu d’importance, sur laquelle il suffisait de fermer les yeux ?

    Certainement pas. La Loi de Dieu exigeait que le coupable restitue, avec vingt pour cent en plus, la valeur de la chose dont il avait frustré le sanctuaire, et qu’il offre en outre en sacrifice un bélier sans défaut de son troupeau. Ainsi la Loi engendrait un profond respect pour les choses saintes appartenant à Jéhovah (Lév. 5:14-16). Cela ne devrait-il pas nous montrer qu’il est important pour nous de traiter aujourd’hui les choses utilisées dans le service de Jéhovah avec tout le respect qui convient ? – TG1971  15/3 p166


    Quelqu’un qui péchait involontairement contre les choses saintes de Jéhovah (par exemple, s’appropriait involontairement du grain mis à part comme dîme pour le sanctuaire, et s’en servait pour son usage personnel ou pour celui de sa maisonnée [un usage ordinaire, ce qui profanait la chose sanctifiée]) (Lv 5:15a) : il fallait donner au sanctuaire la compensation plus un cinquième (Lv 5:16). Un bélier était présenté en sacrifice de culpabilité. — it-2 Sacrifices


    Les chapitres 5 et 6 du Lévitique nous éclairent sur la signification et le but des sacrifices de culpabilité. Même si c’était involontairement, peut-être un transgresseur avait-il violé les droits de son semblable ou de Jéhovah Dieu, ce qui demandait réparation. Plusieurs sortes de péchés sont mentionnées. Certains étaient d’ordre privé (5:2-6), d’autres étaient des péchés “ contre les choses saintes de Jéhovah ” (5:14-16), d’autres encore, sans être dus entièrement à l’ignorance, résultaient de mauvais désirs ou de faiblesses de la chair (6:1-3). Non seulement le transgresseur devait confesser ces péchés, mais il lui fallait aussi, quand les circonstances l’exigeaient, compenser le préjudice, puis présenter un sacrifice de culpabilité à Jéhovah. -TG2000  15/8 §11


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Les chefs devaient être respectés, mais ils n’étaient pas dispensés d’obéir à la loi de Dieu. Quand ils péchaient contre la Loi, ils devaient se soumettre à ses ordonnances concernant de tels péchés. En raison de leur position de responsabilité et des conséquences que leur conduite, leur exemple et leur influence avaient sur les autres, quand ils transgressaient involontairement un commandement divin, les sacrifices pour le péché qu’ils offraient étaient différents. Le grand prêtre devait offrir un jeune taureau, un chef était tenu de présenter un chevreau, et toute autre personne du peuple soit une chevrette, soit une agnelle. — Lv 4:3, 22, 23, 27, 28, 32. – it-1 p435


    Selon la Loi, aucun sacrifice pour le péché, dont le sang était apporté dans le sanctuaire pour faire propitiation, ne devait être mangé par le prêtre. Sa carcasse et ses excréments devaient être brûlés dans un lieu pur hors du camp (Lv 4:11, 12), afin que rien de l’animal ne serve à un autre usage ou ne soit laissé se décomposer. L’animal était “ pur ”, c’est-à-dire sanctifié pour Jéhovah, et donc devait être brûlé dans un lieu pur – it-1 p831


    La culpabilité rendait toujours passible d’une sanction ; il n’y avait pas d’exception. On ne pouvait pas fermer les yeux sur une faute. Chaque fois que la Loi l’exigeait, la punition devait être infligée ou, dans certains cas, la compensation fournie. Puis, pour faire la paix avec Dieu, le coupable devait présenter un sacrifice au sanctuaire. Il fallait un sacrifice pour la propitiation dans tous les cas de culpabilité (Lv 5:1-19). Même un péché involontaire entraînait la culpabilité, et il fallait faire des sacrifices pour la propitiation (Lv 4:1-35). Dans le cas de certains délits comme la tromperie, la spoliation ou l’extorsion, si le pécheur se repentait et se confessait volontairement, il devait donner la compensation et présenter aussi un sacrifice de culpabilité. it-2 p665 Procès


    Dans la Loi que Dieu a donnée à la nation d’Israël, nous trouvons des instructions précises sur la marche à suivre lorsqu’une personne péchait. Par exemple, si un individu péchait contre son semblable ou enfreignait une loi de Dieu, il devait se confesser à un prêtre nommé de la tribu de Lévi, qui faisait alors propitiation pour lui en offrant à Dieu un sacrifice pour le pardon du péché. — Lévitique 5:1-6.

    La confession des péchés est restée une exigence de Dieu dans la congrégation chrétienne du 1er siècle de notre ère. Puisque le pardon ne peut venir que de Dieu, c’est à lui que l’on doit se confesser. Pour obtenir le pardon il faut non seulement reconnaître et confesser son péché, mais aussi être disposé à abandonner sa mauvaise conduite.  TG2010  1/9 p22


    Sous la Loi, quiconque formulait un tel vœu irréfléchi était coupable devant Dieu et devait présenter une offrande de culpabilité pour son péché (Lv 5:4-6). Un vœu n’a aucune valeur aux yeux de Dieu s’il n’est pas conforme à ses lois justes et ne vient pas du genre de cœur et d’esprit qui conviennent. – it-2 p1164 Vœu


    La Bible explique qu’en raison de notre imperfection “ tous, nous trébuchons souvent ”, notamment en faisant un mauvais usage de notre langue. Que faire si nous nous apercevons que nous avons manqué à notre parole ? La Loi que Dieu avait donnée à Israël comprenait une disposition miséricordieuse pour celui qui était coupable d’avoir ‘ parlé inconsidérément ’. (Lév. 5:4-7, 11) Les chrétiens qui commettent ce genre de péché bénéficient eux aussi d’une disposition pleine d’amour. Si nous confessons notre péché à Jéhovah, nous obtiendrons son pardon grâce au service accompli par notre Grand Prêtre Jésus Christ. Mais pour conserver la faveur de Dieu, nous devons produire des fruits qui conviennent à la repentance, en ne faisant pas de ce péché une pratique et en nous efforçant de réparer les torts causés par nos propos inconsidérés. Bien entendu, il est de loin préférable de réfléchir attentivement avant de faire des promesses que nous ne sommes pas en mesure de tenir – TG2012  15/10 p27 §16


    Jéhovah sait que nous n’avons pas tous les mêmes capacités ni la même situation, et il apprécie beaucoup les sacrifices que nous lui offrons. Pense aux types de sacrifices qu’il acceptait de la part des Israélites. Certains avaient les moyens d’offrir un agneau ou une chèvre. Mais quelqu’un qui était pauvre était autorisé à offrir « deux tourterelles ou deux jeunes pigeons ». Et si c’était encore trop cher pour lui, Jéhovah acceptait « un dixième d’épha de farine fine » (Lév. 5:7, 11). La farine coûtait moins cher, mais Jéhovah appréciait ce sacrifice, du moment qu’il s’agissait de « farine fine », c’est-à-dire d’excellente qualité.

    À notre époque, notre Dieu bienveillant voit les choses de la même façon. Souviens-toi de la veuve qui a offert les deux petites pièces de monnaie. Elle était précieuse aux yeux de Jéhovah parce qu’elle donnait tout ce qu’elle pouvait – TG2019/1 p8 §4,5


    Voyons comment la nature raisonnable de Jéhovah transparaissait dans la Loi mosaïque. Si un Israélite était trop pauvre pour offrir un agneau ou une chèvre en sacrifice, il pouvait offrir deux tourterelles ou deux pigeons. Et s’il était pauvre au point de ne même pas pouvoir se procurer deux pigeons ? Jéhovah lui permettait alors d’offrir un peu de farine. Toutefois, note bien cette précision : il ne devait pas amener n’importe quelle farine, mais de la « fleur de farine », celle qu’on utilisait pour les invités de marque (Gen. 18:6). Pourquoi n’est-ce pas un détail ? (Lévitique 5:7, 11).

    Imagine que tu sois un Israélite ayant peu de moyens. Tu arrives au tabernacle avec la petite quantité de farine que tu comptes offrir et tu remarques des Israélites plus riches qui apportent du bétail. Avec ton offrande de farine apparemment de peu de valeur, tu es peut-être mal à l’aise. Puis tu te rappelles qu’aux yeux de Jéhovah ton offrande a une grande valeur. Pourquoi ? Notamment parce qu’il a exigé que la farine soit de haute qualité. C’est comme s’il avait dit au pauvre : « Je sais que tu ne peux pas offrir autant que d’autres, mais je sais que tu m’offres ce que tu as de meilleur. » Jéhovah se montre assurément raisonnable en tenant compte des limites et de la situation de ses serviteurs. Voilà qui nous réconforte : Jéhovah, le Dieu raisonnable, accepte notre service pourvu que nous l’offrions de toute notre âme TG2013 15/6 p15-16


    Nous savons aussi que les reins sont entourés d’une couche de graisse d’un centimètre ou plus, selon la corpulence de la personne. Cela montre davantage encore à quel point ces organes sont situés profondément dans le corps humain, hors de la vue des hommes. Du fait que les reins sont recouverts d’une épaisse couche de graisse, ils constituaient une partie précieuse des sacrifices d’animaux que le peuple offrait à Jéhovah dans l’Antiquité. Les reins étaient au nombre de ces morceaux gras. De même, à propos des sacrifices que les Israélites offraient à Jéhovah, nous lisons à diverses reprises que “les deux rognons [les reins chez les animaux] et la graisse qui est sur eux” étaient réservés à Jéhovah (Lév. 4 :9) La graisse des reins brûlait très bien et dégageait une odeur agréable. Les reins n’étaient donc pas une partie insignifiante des sacrifices offerts à Dieu.

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    Exode 39:34 : Qu’est-ce qui peut expliquer que les Israélites aient pu se procurer des peaux de phoque pour le tabernacle (it-2 510).

    «  sa couverture en peaux de béliers teintes en rouge, sa couverture en peaux de phoques, le rideau de séparation »

    Comment les Israélites purent s’en procurer. Si le taḥash de la Bible désigne bien une espèce de phoque, on peut se demander comment les Israélites purent se procurer des peaux de phoques. Bien qu’on associe généralement les phoques à l’Arctique et à l’Antarctique, il faut savoir que certaines espèces préfèrent des climats plus tempérés. Aujourd’hui encore, quelques phoques moines peuplent certaines parties de la Méditerranée ainsi que d’autres mers chaudes. Au cours des siècles, l’homme a considérablement réduit le nombre des phoques ; il se peut donc que dans les temps bibliques ces animaux aient abondé en Méditerranée et dans la mer Rouge. Encore en 1832, une édition du Dictionnaire de la Bible d’Augustin Calmet (p. 139) faisait cette remarque : “ On trouve des phoques sur un grand nombre des petites îles de la mer Rouge, autour de la péninsule du Sinaï. ” —

    Les Égyptiens de l’Antiquité faisaient du commerce sur la mer Rouge et recevaient évidemment des produits provenant de nombreuses régions de la Méditerranée. Il leur était donc possible de se procurer des peaux de phoques. Par conséquent, lorsque les Israélites quittèrent l’Égypte, il se peut qu’ils aient emporté les peaux de phoques qu’ils possédaient déjà, ainsi que d’autres qu’ils reçurent quand les Égyptiens leur remirent de nombreuses choses de valeur. — it-2 p510

    Des phoques en mers chaudes ? Les phoques sont souvent présentés évoluant dans les mers glacées de l’Arctique ou de l’Antarctique. Mais savez-vous que certains phoques peuvent s’épanouir sous des climats tempérés, allongés au soleil sur le sable de plages désertes?

    Faisons connaissance avec le phoque moine de la Méditerranée. Ce phoque des mers chaudes, dont la taille peut atteindre 3,50 mètres, est couvert d’un pelage ras et dru à taches brunes; sa face ventrale est d’un blanc jaunâtre. Ces couleurs caractéristiques rappellent l’habit de certains moines, ce qui expliquerait son nom.

    Plusieurs passages bibliques parlent d’une peau (taḥash en hébreu) qui couvrait le tabernacle et les ustensiles du sanctuaire (Exode 25:5; 26:14; Nombres 4:8). Certains biblistes pensent que taḥash désigne la peau de phoque. S’agit-il de la peau du phoque moine? La présence de cet animal, jadis, dans les eaux de la mer Méditerranée appuie cette hypothèse - RV 1994 22/10 p31


    Exode 40:34 : Lorsque le nuage s’est mis à couvrir la tente de la rencontre, qu’est-ce que cela a indiqué ? (w15 15/7 21 § 1).

    « Et le nuage se mit à couvrir la tente de la rencontre, et la gloire de Jéhovah remplit le tabernacle »

    Le tabernacle achevé, un nuage « se mit à couvrir la tente de réunion, et la gloire de Jéhovah remplit le tabernacle » (Ex. 40:34). Quelle preuve manifeste de l’approbation divine ! À ton avis, qu’ont éprouvé Betsalel et Oholiab à ce moment-là ? Bien que leur nom n’ait pas été gravé sur leurs œuvres, ils ont dû éprouver une grande satisfaction en constatant que Jéhovah bénissait leur dur travail. Leurs ouvrages ont continué de servir au culte pour Jéhovah pendant des années, ce qui les a sûrement réjouis. Dans le monde nouveau, quand ils ressusciteront, ils seront sans aucun doute ravis d’apprendre que le tabernacle a servi au vrai culte pendant quelque 500 ans - w15 15/7 21 § 1

    Cette manifestation divine prouvait que Bézalel et Oholiab s’étaient bien acquittés de leur tâche et que Jéhovah l’agréait. Son esprit avait agi par leur entremise. Nous pouvons être certains d’une chose: l’esprit saint soutient le culte pur de Jéhovah. Il déploie tout particulièrement son activité en faveur de ceux qui pratiquent le culte du seul vrai Dieu et qui lui accordent leur soutien. Nous en avons pour preuve les événements qui se sont produits à l’époque où des juges spécialement choisis gouvernaient le peuple d’Israël. – hs p68

    Le nuage demeura au-dessus du Très-Saint, dans lequel se trouvait l’arche de l’alliance, et il devenait une colonne de feu la nuit. Ce nuage était sans aucun doute visible de n’importe quel endroit du camp, dont il marquait le centre. Lorsqu’il s’élevait, les Israélites se préparaient à lever le camp. Quand il se déplaçait, ils le suivaient jusqu’au campement suivant, dont l’emplacement précis, néanmoins, était peut-être choisi avec l’aide de Hobab, qui connaissait bien le pays, y compris les points d’eau et d’autres caractéristiques nécessaires à un camp aux proportions aussi énormes.

    À l’intérieur du Très-Saint, au-dessus de l’arche de l’alliance, il y avait un nuage très brillant, la seule lumière à éclairer ce compartiment. En hébreu postbiblique, on l’appela la Shekina. Le jour des Propitiations, lorsqu’il entrait dans le Très-Saint avec le sang des animaux, le grand prêtre se tenait symboliquement en présence de Jéhovah. Le reste du temps, quand, sans entrer dans le Très-Saint, il se plaçait devant le rideau pour interroger Jéhovah sur une affaire importante, on considérait qu’il se tenait devant Dieu – it-2 p423 Nuage


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    Vêtements officiels. S’il portait des vêtements de lin semblables à ceux des sous-prêtres quand il vaquait à ses activités courantes, le grand prêtre revêtait des vêtements spéciaux, de gloire et de beauté, à certaines occasions. Les chapitres Exode 28 et 39  les décrivent ainsi que leur confection sous la direction de Moïse, selon ce que Dieu avait ordonné. Le vêtement de dessous était la robe de fin lin (probablement blanc), en tissu quadrillé. Cette robe avait apparemment des manches longues et descendait jusqu’aux chevilles. Elle était vraisemblablement tissée d’une seule pièce. Une écharpe de fin lin retors, tissée avec du fil teint bleu, pourpre rougeâtre et écarlate de cochenille, entourait le corps, probablement au-dessus de la taille. — Exode 28:39 ; 39:29.

    L’éphod, sorte de tablier formé d’un devant et d’un dos, et qui descendait un peu au-dessous de la taille, était porté par tous les prêtres et parfois par des gens qui n’appartenaient pas à la prêtrise. L’éphod qui faisait partie des vêtements du grand prêtre pour la beauté était un ouvrage de broderie spéciale. Il se composait de fin lin retors, de laine teinte en pourpre rougeâtre, de tissu teint en écarlate de cochenille et de fils d’or qu’on préparait en martelant de l’or en feuilles minces, puis en les découpant en fils (Ex 39:2, 3). – it-1 p1005 grand prêtre

    Le grand prêtre d’Israël. En Israël, le turban du grand prêtre avait sur le devant, au-dessus du front du prêtre, une plaque d’or, “ le signe saint de consécration ”, sur laquelle étaient écrits “ en gravures de sceau ” les mots : “ La sainteté appartient à Jéhovah. ” (Ex 39:30). En sa qualité de principal représentant du culte de Jéhovah en Israël, il convenait que le grand prêtre fasse que sa fonction reste sainte ; de plus, cette inscription rappelait à tout Israël la nécessité de demeurer saint constamment au service de Jéhovah. En outre, ce signe préfigurait très bien le Grand Prêtre souverain, Jésus Christ, et le fait que Jéhovah le consacrerait au service sacerdotal qui soutient Sa sainteté -  it-1 p931

    Le lieu où les Israélites offraient leurs sacrifices avait-il de l’importance ? Oui. Jéhovah a demandé à son peuple de construire un tabernacle qui est devenu le centre du culte pur (Ex. 40:1-3, 29, 34). À l’époque, si les Israélites voulaient que Dieu approuve leurs offrandes, ils devaient les apporter au tabernacle (Deut. 12:17, 18) Mais il y avait plus important encore : leurs mobiles ! Les Israélites devaient avoir un amour sincère pour Jéhovah et pour ses normes – rr chap2 p15 §24

    La pureté physique est requise de ceux qui adorent Jéhovah dans la sainteté et la pureté. C’est ce que montrent les activités au tabernacle et le service au temple. Lors de leur installation, le grand prêtre Aaron et ses fils se baignèrent avant de revêtir leurs vêtements officiels (Exode 40:12-15). Pour se laver les mains et les pieds, les prêtres se servaient de l’eau que contenait le bassin de cuivre dans la cour du tabernacle et, par la suite, l’immense mer en métal fondu dans le temple de Salomon (Exode 40:30-32). Le jour des Propitiations, le grand prêtre se baignait deux fois – it-1 p257

    Lorsqu’en 29 de notre ère Jésus s’est fait baptiser et a été oint de l’esprit saint, il a été offert sur l’autel de la volonté divine (Luc 3:21, 22). Cet événement a été le point de départ d’une vie sacrificielle qui a duré trois ans et demi (Hébreux 10:5-10). Pendant cette période, Jésus a eu avec Dieu des relations de personne qui a été engendrée de l’esprit. Les autres humains ne pouvaient comprendre pleinement cette position unique qu’il occupait vis-à-vis de son Père céleste. Leur discernement se trouvait borné comme par un voile, comparable à celui qui empêchait de voir à l’intérieur du Saint depuis la cour du tabernacle. — Exode 40:28. – TG2000  15/1 p15

    Combien de temps les colonnes de nuage et de feu miraculeuses restèrent-elles avec le camp d’Israël ?

    Jéhovah guida miraculeusement les Israélites hors d’Égypte et dans le désert en ‘ marchant en avant d’eux, le jour dans une colonne de nuage [...], et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer ’. (Ex 13:21.) Il ne s’agissait pas de deux colonnes, mais d’une seule “ colonne de feu et de nuage ” qui apparaissait normalement comme un nuage le jour et comme un feu la nuit (Ex 14:24). Quand les Égyptiens se lancèrent à la poursuite des Israélites, la colonne se plaça sur les arrières de ces derniers, peut-être en se déployant comme une muraille. Elle provoquait des ténèbres du côté des Égyptiens, mais répandait de la lumière du côté des Israélites. Après la construction du tabernacle, la présence de la colonne au-dessus servait à signaler que Jéhovah résidait dans son lieu saint (Ex 40:35). La colonne représentait Jéhovah, et c’est depuis la colonne qu’il parlait aux Israélites. La dernière mention de cette colonne dans l’Histoire fut faite juste avant l’entrée d’Israël en Terre promise. Une fois installé dans son pays, le peuple n’eut plus besoin de la colonne pour le guider comme lors de ses pérégrinations – it-1 Colonne

    Pendant les 40 années où les Israélites avaient dû errer dans le désert, Dieu s’était montré fidèle en assurant leur subsistance Il les avait également guidés, se servant notamment d’un nuage le jour et d’un feu la nuit pour les mener jusqu’à “ un pays ruisselant de lait et de miel ”. (Exode 3:8 ; 40:36-38.) Quand le moment de pénétrer en Terre promise était arrivé, Jéhovah avait désigné Josué comme successeur de Moïse. On pouvait s’attendre à ce que les occupants du pays opposent de la résistance. Mais il n’y avait pas lieu de craindre ; Jéhovah n’avait-il pas marché avec son peuple pendant des dizaines d’années ? Les Israélites avaient toutes les raisons de voir en Jéhovah un Dieu en qui ils pouvaient placer leur confiance.

    Dans leur marche vers le monde nouveau promis par Dieu, les chrétiens de notre temps cheminent dans le désert qu’est le monde méchant, certains depuis plus de 40 ans. Aujourd’hui, ils sont aux portes du monde nouveau. Cependant, la voie n’est pas dégagée ; il y a encore des ennemis bien décidés à empêcher quiconque de pénétrer dans ce qui deviendra comme une Terre promise, plus glorieuse que celle d’autrefois qui ruisselait de lait et de miel. Combien sont donc appropriées pour les chrétiens de notre époque ces paroles de Moïse reprises par Paul : “ Je ne te quitterai en aucune façon ni ne t’abandonnerai en aucune façon. ” Tous ceux qui restent forts, courageux, pleins de foi, et qui mettent leur confiance en Jéhovah, sont assurés d’être récompensés. – TG1998  15/8 p10 §4,5

    Que Dieu soit ordonné, cela ressort clairement des dispositions qu’il prit en rapport avec le tabernacle, ou la tente, qui servait à la nation d’Israël pour que celle-ci lui rende un culte. Seuls les membres des familles sacerdotales (les Lévites) étaient autorisés à pénétrer dans le tabernacle. En outre, Jéhovah indiqua à Moïse quelle devait être la place exacte de chaque objet dans le tabernacle, et il donna des instructions détaillées sur l’usage que devaient en faire les prêtres et les Lévites (Exode 40). De cette manière, les non-Lévites pouvaient au moins se représenter mentalement ce qui se passait dans le tabernacle en rapport avec le culte rendu à Jéhovah. Cela leur permettait sans aucun doute de se sentir concernés par ces dispositions et leur donnait le sentiment de n’être pas étrangers au tabernacle. Ne pensez-vous pas qu’ils ont dû être très reconnaissants que Jéhovah soit un Dieu d’ordre ? – RV1987  22/8 p23

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    Exode 21:5, 6 : Comment ces versets illustrent-ils les bienfaits qu’on retire à se vouer à Jéhovah ? (w10 15/1 4 § 4-5).

    « Mais si l’esclave dit avec insistance : “J’aime mon maître, ma femme et mes enfants, je ne veux pas être libéré”, 6 son maître devra l’amener devant le vrai Dieu. Puis son maître l’amènera près de la porte ou du montant de la porte, et il lui percera l’oreille avec un poinçon, et il sera son esclave à vie. »

    4 Pour le chrétien, l’offrande de soi est un pas essentiel. Ce n’est pas simplement un engagement moral. Pourquoi cette précision est-elle importante ? Pour le comprendre, arrêtons-nous sur la notion d’engagement moral entre humains. Prenons l’exemple de l’amitié. Pour avoir un ami, il faut accepter les obligations qu’entraîne l’amitié. Cela suppose donc un engagement : on se sent tenu de témoigner de l’intérêt à son ami. Une des plus belles amitiés relatées dans la Bible est celle de David et de Yonathân. Les deux hommes avaient même conclu entre eux une alliance d’amitié. (Lire 1 Samuel 17:57 ; 18:1, 3.) Il est rare que des amis poussent l’engagement réciproque à ce point ; mais, de façon générale, l’amitié s’épanouit quand on est prêt à assumer les obligations qui en découlent. — Prov. 17:17 ; 18:24.

    5 La Loi que Dieu avait donnée à Israël aborde un autre domaine dans lequel l’engagement était synonyme de bienfaits. Si un esclave avait un bon maître, il pouvait souhaiter rester à son service définitivement pour bénéficier de la sécurité que cela procurait. D’ailleurs, la Loi prévoyait un rituel scellant cet accord : “ Si l’esclave dit avec insistance : ‘ J’aime vraiment mon maître, ma femme et mes fils, je ne veux pas sortir libre ’, alors son maître devra le faire approcher du vrai Dieu et devra l’amener près de la porte ou du montant de la porte ; et son maître devra lui percer l’oreille avec un poinçon, et il devra être son esclave pour des temps indéfinis. ” — Ex. 21:5, 6. - w10 15/1 4 § 4-5


    La loi que Jéhovah avait donnée aux Israélites révèle à quel genre d’esclavage il veut que nous nous soumettions. Elle exigeait que, la septième année de sa servitude, un esclave hébreu soit affranchi (Ex. 21:2). Cependant, elle comportait une clause étonnante : L’esclave qui aimait vraiment son maître pouvait, s’il le souhaitait, rester à son service. Le maître devait alors l’amener près de la porte, ou du montant de la porte, et lui percer l’oreille avec un poinçon (Ex. 21:5, 6). Cela signifiait qu’il était esclave pour toujours.  Si l’oreille était concernée par ce rituel, ce n’est pas par hasard. En hébreu, la notion d’obéissance s’exprime par un terme qui signifie fondamentalement entendre ou écouter. Ainsi, l’esclave volontaire désirait continuer à servir son maître avec obéissance. Cet exemple nous éclaire sur ce que suppose l’offrande de soi : une obéissance volontaire motivée par l’amour pour Jéhovah.

    Quand nous nous sommes présentés au baptême chrétien, nous avions au préalable décidé de servir Jéhovah, d’être ses esclaves. Notre désir de lui obéir et de faire sa volonté nous a poussés à lui vouer notre vie. Personne ne nous y a forcés. Même un jeune qui se fait baptiser ne le fait qu’après s’être personnellement voué à Jéhovah, pas juste pour plaire à ses parents. Le fondement de l’offrande de soi chrétienne est l’amour pour le Maître céleste, Jéhovah – TG2013  15/10 p12 §2,3


    Les ayant rachetés d’Égypte, Jéhovah était le légitime propriétaire des Israélites; pourtant, Dieu bon et miséricordieux, il leur permit d’exprimer de plein gré leur désir de le servir. Il exposa aussi les clauses de l’alliance entre lui et les Israélites. . Lorsque Moïse leur eut transmis ces conditions, ils déclarèrent: “Tout ce qu’a prononcé Jéhovah, nous voulons bien l’exécuter et nous voulons bien obéir.” De plein gré, ils devinrent une nation vouée au Souverain Seigneur Jéhovah. Jéhovah, le Créateur, mérite toujours autant qu’on lui soit dévoué de toute son âme. Mais l’offrande de soi ne doit pas être motivée par la crédulité, un mouvement passager du cœur ou la pression de l’entourage, — pas même des parents. Elle doit être motivée par une connaissance exacte de la vérité concernant Jéhovah et par la reconnaissance pour ce qu’il a fait en notre faveur. Tout comme il a donné aux Israélites l’occasion d’exprimer de leur plein gré l’offrande de leur personne, il nous accorde la possibilité de nous vouer de notre plein gré à lui et de le montrer publiquement. – TG1995  1/3 p9 §9,10


    En Israël, il arrivait qu’un Hébreu dût se vendre comme esclave, un homme réduit en esclavage, qui est entièrement dévoué à son maître et qui dit même : “ J’aime mon maître. ” Le chrétien devrait, lui aussi, avoir cet état d’esprit. Il devrait toujours se voir dans cette position d’esclave et être désireux de servir son Maître, Jéhovah, qui lui a donné la vie et toutes ses bénédictions. Personne ne devrait jamais vouloir s’affranchir de Jéhovah et suivre son propre chemin. C’est à juste titre que Jéhovah réclame un dévouement exclusif. Mais celui qui apporte un tel dévouement au Maître souverain de l’univers doit l’apporter de son plein gré. On ne le forcera pas à apporter pareil dévouement. Il doit avoir le désir d’être ainsi dévoué. Personne ne le poussera de force dans cette position ou dans le service de Jéhovah. Mais parce qu’il a étudié la Parole de Dieu et qu’il veut faire la volonté divine, il est enclin à être en plein accord avec Dieu et ses desseins, il préfère être son esclave, à l’exemple de Jésus-Christ qui prit plaisir à faire la volonté de son Père. Celui qui s’est voué à Jéhovah pour le servir est semblable à l’esclave hébreu qui veut rester esclave pour un temps indéterminé.

    Toutes les personnes qui ont voué leur vie au service de Jéhovah doivent bien comprendre qu’être chrétien est chose sérieuse ; et, comme le dit Moïse : “ Tu ne prendras pas le nom de Jéhovah, ton Dieu, d’une manière vaine, car Jéhovah ne laissera pas impuni celui qui prend son nom d’une manière vaine. ”. On ne devrait pas croire que parce qu’on s’est voué à Jéhovah et qu’on s’est fait baptiser, Dieu est obligé de tout faire pour nous. Dieu exécutera certainement les termes de l’accord en accordant des bénédictions et sa protection ; mais l’esclave qui veut apporter un dévouement exclusif à Jéhovah doit aussi exécuter les clauses de l’accord le concernant. Il doit aussi montrer qu’il est esclave et faire preuve d’obéissance au Maître souverain. Notre vie dépend de la pure adoration et le Père aime ceux qui lui rendent un tel culte, car c’est un Dieu exigeant un dévouement exclusif.- TG1956  15/3 p88 §17-21


    Exode 21:14 : Quelle est l’explication plausible de ce verset ? (it-1 545 § 4).

    « Si un homme se met très en colère contre son semblable et le tue volontairement, il devra mourir même s’il s’est réfugié près de mon autel. »

    La déclaration renfermée en Exode 21:14 peut vouloir dire que, s’il était coupable de meurtre, même un prêtre devait être exécuté, ou que le geste de saisir les cornes de l’autel ne protégeait pas le meurtrier volontaire - it-1 545 § 4


    En Israël, aucun asile n’était accordé aux meurtriers volontaires. Même un prêtre lévitique servant à l’autel de Dieu devait, s’il avait tué par ruse, être emmené et exécuté. Par ailleurs, plaider la négligence pour obtenir miséricorde était irrecevable selon la Loi s’il y avait mort d’homme. Par exemple, un homme qui construisait une habitation devait installer un parapet sur son toit en terrasse sous peine de charger la maison d’un meurtre si quelqu’un venait à faire une chute mortelle.

    Autre cas de figure: si le propriétaire d’un taureau ayant l’habitude d’encorner en avait été averti, qu’il n’avait pas mis l’animal sous garde et que celui-ci tuait quelqu’un, le propriétaire était coupable d’un meurtre et donc passible de mort. Que Dieu tient la vie pour précieuse, c’est ce que montre encore le fait que quiconque frappait mortellement un voleur se rendait coupable de meurtre si cela se passait en plein jour, cas où le malfaiteur pouvait être vu et reconnu. Il est donc clair que les prescriptions parfaitement équilibrées de Dieu ne permettaient pas aux meurtriers volontaires d’échapper à la peine capitale.

    Quand un meurtre était commis en Israël, le sang de la victime devait être vengé. La loi ‘vie pour vie’ était exécutée quand le meurtrier était mis à mort par “le vengeur du sang”, le parent masculin le plus proche de la victime. – TG1995  15/11 p10 §5,6


    Si un homme était un prêtre servant à l’autel de Dieu, il ne devait pas être traité comme un innocent, mais emmené pour être exécuté parce qu’il avait commis un meurtre prémédité. Ou si un meurtrier volontaire se réfugiait près de l’autel comme lieu d’asile et saisissait une de ses cornes dans l’espoir d’être protégé par la sainteté de l’autel, il devait en être arraché et mis à mort comme il le méritait. Dieu ne protège pas les criminels volontaires ni par sa loi ni par les choses saintes de son organisation. – TG1956  1/6 p166 §4


    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    L’esclavage, une bénédiction – L’esclavage était utile à l’homme pauvre, car elle lui procurait la nourriture, le vêtement et l’abri, à lui et à sa famille, et en même temps il faisait un travail honorable pour subvenir à ses besoins. Un esclave israélite pouvait être racheté par un parent et affranchi. Sinon, la septième année, il était automatiquement libéré, mais pas dans le dénuement. Il recevait du grain, de l’huile et du vin, selon les moyens de son maître (Ex. 21:2). Ainsi, l’esclave pouvait prendre un bon départ jusqu’à ce qu’il soit en mesure de subvenir à ses besoins par son travail ou ses affaires. Les esclaves avaient diverses possibilités. Quelques-uns sont devenus riches, car ils avaient le droit de faire fructifier leur argent (Lév. 25:49). Grâce à leur zèle et à leur honnêteté, de nombreux esclaves ont été élevés à des positions très honorables ; certains se sont vus confier toutes les affaires de leur maître. - TG1970  1/10 p597 §9

    Les femmes étaient protégées par les lois sur le mariage. Dieu n’étant pas encore intervenu pour restaurer la monogamie originelle, la polygamie était pratiquée, mais elle était réglementée. La nourriture, le vêtement et les droits conjugaux étaient garantis à la jeune esclave juive qui avait été prise pour femme par un homme, même si celui-ci accordait ensuite ses faveurs à une autre femme (Ex. 21:7-11). Le soldat qui épousait une jeune vierge captive ne pouvait pas la vendre plus tard comme esclave. - TG1970  1/10 p597 §16

    Toute personne était considérée comme sacrée. Les femmes étaient protégées contre le viol (Deut. 22:25-27). Le kidnapping était un crime puni de la peine capitale. L’homme entre les mains de qui on retrouvait la personne enlevée ou celui qui l’avait vendue comme esclave devait être mis à mort sans faute. — Ex. 21:16 - TG1970  1/10 p597 §19

    Le cercle familial servait de base à l’union de la nation. On y enseignait un profond respect des chefs et des parents (Ex. 22:28). Par exemple, quiconque frappait son père ou sa mère, ou prononçait une malédiction sur eux, était mis à mort (Ex. 21:15, 17). Le respect du foyer et de la famille favorisait le respect des chefs de la nation et plus particulièrement de Jéhovah Dieu, le Chef suprême. - TG1970  1/10 p597 §20


    La Loi de Dieu autorisait-elle la vengeance ?

    L’expression biblique « œil pour œil, dent pour dent » a provoqué bien des débats (Exode 21:24). Pour certains, cela veut dire que Dieu approuve la vengeance. Mais cette idée s’oppose à ce commandement de Dieu : « Tu ne dois pas te venger, ni garder rancune aux fils de ton peuple » (Lévitique 19:18). Alors comment comprendre les paroles d’Exode ?

    Exode 21:22 prend le cas où deux hommes sont en train de se battre et où l’un d’eux bouscule une femme enceinte, provoquant un accouchement prématuré. Le mari de cette femme n’était pas autorisé à se venger. Si la mère et le bébé restaient en vie, l’homme qui avait bousculé la femme devait payer « une indemnité, selon ce que le propriétaire de la femme lui imposait ; et il devait la donner par l’intermédiaire des juges ». En d’autres termes, les juges condamnaient le fautif à payer des dommages-intérêts au mari. Et si la femme ou le bébé mourait, le coupable était condamné à mort.

    Dans ce cas, c’était le tribunal, et non la victime, qui appliquait le principe de « vie pour vie, œil pour œil, dent pour dent »... (Exode 21:23, 24, note). Ce principe rappelait aux juges que leur punition ne devait être ni excessive ni trop légère. Le bibliste Richard Friedman a écrit : « Le principe de base qui s’en dégage, c’est que la punition devait correspondre au délit et ne jamais aller au-delà. »

    Mais alors, d’où vient l’idée que la Loi de Dieu autorisait la vengeance personnelle ? La réponse ressort de Matthieu 5:38, 39, où Jésus déclare : « Vous avez entendu qu’il a été dit : “Œil pour œil et dent pour dent.” » Apparemment, à l’époque de Jésus, certains chefs religieux avaient introduit la loi du talion dans leur tradition orale pour justifier la vengeance personnelle. Cependant, Jésus a clairement expliqué que la Loi de Dieu n’appuyait pas cet enseignement, disant : « Ne vous opposez pas à celui qui est méchant ; mais qui te gifle sur la joue droite, tourne aussi vers lui l’autre joue. » - TG2014 9/1 p8-9


    La restitution et la compensation étaient incluses dans la Loi que Dieu avait donnée à Israël. Si, par exemple, un homme avait volé un taureau, il devait compenser au double, ou même plus dans certains cas. Sinon, il devait se louer comme travailleur à gages jusqu’à ce qu’il ait payé tout son dû à la victime (Ex. 22:1-9). Des compensations étaient aussi prévues en cas de calomnie, de blessures ou de déprédations (Ex. 21:35, 36). On constate que ces lois justes protégeaient la victime, lui permettaient d’être indemnisée, donnaient une sérieuse leçon au malfaiteur et ne faisaient pas supporter à la collectivité le fardeau d’un système pénitentiaire.

    Tout en reconnaissant la sagesse du système judiciaire que Dieu avait donné à Israël, on pourrait se dire qu’il appartient au passé et se demander qui pourrait bien rétablir une telle justice pour tous à une époque aussi difficile que la nôtre.

    La justice viendra d’en haut. Nous avons l’assurance que Jéhovah l’établira. Il y aura donc bien une justice pour tous – TG1977  1/6 p325


    Si un Israélite tuait quelqu’un, il n’était pas exécuté automatiquement. Les anciens de la ville devaient d’abord vérifier les faits pour pouvoir décider si la peine de mort était méritée ou non. Ils jugeaient aussi des affaires du quotidien, comme des conflits entre conjoints et des querelles concernant des biens (Ex. 21:35). Quand les anciens se montraient justes et que les Israélites obéissaient à la Loi, toute la nation en tirait profit. De plus, cela honorait Jéhovah

    Leçons : Jéhovah s’intéresse à chaque aspect de notre vie. Il veut que nous traitions les autres avec justice et amour. Et il remarque ce que nous faisons et disons même dans notre vie privée – TG2019/2 p13 §17,18


    Les lois sur le crime - La Loi ne prévoyait pas de prison. Ce n’est que plus tard, au temps des rois, que les prisons furent indûment introduites en Israël (Jér. 37:15, 16 ; 38:6, 28). Le fait qu’aucune peine de prison n’était infligée pour quelque crime que ce soit signifiait que les criminels n’étaient pas nourris ni logés aux frais des Israélites laborieux qui obéissaient à la Loi. Lorsqu’un homme avait volé quelque chose à un de ses frères, il n’était pas mis en prison, car il aurait été ainsi incapable de rendre ce qu’il avait dérobé, et sa victime aurait souffert une perte. Il devait plutôt rendre le double de ce qu’il avait volé ou même davantage, selon la nature des objets dérobés et l’usage qu’il en avait fait (Ex. 22:1, 4, 7). S’il ne payait pas, il était alors vendu comme esclave ; il devait ainsi travailler jusqu’à ce qu’il fût en mesure de payer la somme prévue par les juges et correspondant à la valeur de ce qu’il avait dérobé (Ex. 22:3). Non seulement cette loi venait en aide à la victime du voleur, mais elle était une vigoureuse mise en garde contre le vol. - TG1970  1/10 p597 §17


    Condamné par Dieu.- La Bible parle du vol, il s’agit dans la plupart des cas de l’action illégale qui consiste à prendre ce qui appartient à autrui. La loi que Jéhovah donna à Israël déclarait explicitement : “ Tu ne dois pas voler. ”. Le voleur devait compenser au double, au quadruple et parfois même jusqu’au quintuple, selon ce que stipulait la Loi. S’il ne le pouvait pas, il était vendu en esclavage et ne retrouvait sa liberté sans doute qu’après avoir donné toute la compensation exigée (Ex 22:1-12). Le voleur déshonoré (Jr 2:26) devait non seulement donner la compensation, mais aussi apporter un sacrifice de culpabilité et demander au prêtre de faire propitiation pour ses péchés – it-2 p1169 Voleur


    Que se passait-il si le malfaiteur n’était pas en mesure de dédommager sa victime ? Il était vendu comme esclave et le prix était employé comme compensation. Il servait son maître jusqu’à ce qu’il eût acquitté sa dette. Cependant, en tant qu’esclave, il devait, selon la loi, être bien traité, comme un salarié. Ainsi la victime était dédommagée, de même que celui qui avait acheté l’esclave puisqu’en retour il bénéficiait du travail de ce dernier. — Ex. 22:3.

    Aujourd’hui, celui qui a attaqué quelqu’un est puni d’une peine d’emprisonnement ou condamné avec sursis sous surveillance, mais la victime perdra peut-être des semaines ou des mois de travail. Qui la dédommagera ? Pas le malfaiteur. Peut-être n’a-t-elle aucun revenu, et dans ce cas elle est à la charge de la société. – RV1972  8/5 p13


    Témoignages et éléments de preuve. Si quelqu’un était témoin, de sédition ou d’un meurtre (crimes qui souillaient le pays) ou de certains autres délits graves, il avait l’obligation de révéler et d’attester ce qu’il savait, sans quoi il tombait sous le coup d’une imprécation divine, proclamée publiquement. Toutefois, un seul témoin ne suffisait pas pour établir un fait. Il en fallait au moins deux. Les témoins étaient tenus par la Loi de dire la vérité (Ex 23:7) et parfois on les faisait jurer (Mt 26:63), en particulier lorsque celui vers qui convergeaient les soupçons était le seul témoin de l’affaire (Ex 22:10, 11). Comparaître en procès devant les juges ou se présenter au sanctuaire pour le jugement d’une affaire équivalait à se tenir devant Jéhovah ; ainsi, les témoins devaient reconnaître qu’ils avaient des comptes à rendre à Dieu (Ex 22:8). Même le lien familial le plus étroit ne devait pas empêcher de témoigner contre quelqu’un qui transgressait la Loi par méchanceté, un apostat ou un rebelle par exemple ----– it-2 p665 Procès


    Le gouvernement d’Israël était unique en ce sens que Jéhovah était son Souverain suprême et absolu. Non seulement il en était le Roi, mais aussi le Dieu et le Chef religieux. L’État d’Israël était tout à fait différent des autres gouvernements, qui séparent généralement les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire. Jéhovah lui-même élaborait les lois, tout en étant aussi le Juge suprême qui les interprétait et les appliquait. L’idolâtrie était un crime de lèse-majesté. De même, celui qui s’opposait aux lois du pays se dressait contre le Chef religieux, ce qui revenait à apostasier ou à blasphémer. C’est pourquoi Dieu déclara à Israël : “Celui qui offre des sacrifices aux dieux sera voué à l’anathème ; on n’en offrira qu’à Jéhovah, à lui seul.” “Si, oubliant Jéhovah, ton Dieu, il t’arrive d’aller après d’autres dieux, de les servir et de te prosterner devant eux, j’atteste aujourd’hui contre vous que vous périrez certainement.” (Ex. 22:20). L’obéissance aux lois faisait donc partie du vrai culte. – TG1970  1/10 p597 §4


    “ PÈRE des orphelins de père [...], tel est Dieu dans sa demeure sainte. ” (Psaume 68:5). Ces paroles inspirées révèlent un aspect touchant de la personnalité de Jéhovah Dieu : il est sensible à la condition des défavorisés. Son souci pour les enfants qui perdent un parent apparaît clairement dans la Loi qu’il donna à Israël.

    Dieu fait cette mise en garde : “ Vous ne devez affliger [...] aucun orphelin de père. ” (Exode 22 :22). Il ne s’agissait pas là d’un simple appel aux sentiments humanitaires ; c’était un ordre divin. Un enfant qui perdait son père, donc celui qui assurait sa protection et sa subsistance, était vulnérable. Personne ne devait en aucune manière “ affliger ” un tel enfant

    La Loi poursuit : “ Si tu l’affliges de quelque manière, alors si jamais il vient à crier vers moi, je ne manquerai pas d’entendre sa clameur. ” (Verset 23). Remarquons le passage du “ vous ” au “ tu ” entre les versets 22 et 23. L’individu comme la nation dans son ensemble étaient tenus d’obéir à ce précepte divin. Jéhovah observait ; il prêtait l’oreille aux orphelins de père, toujours disposé à répondre à leurs appels au secours

    Que se passait-il, donc, si quelqu’un faisait du tort à un orphelin de père, lui donnant un motif de crier vers Dieu ? “ Ma colère s’enflammera, dit Jéhovah aux éventuels coupables, et, à coup sûr, je vous tuerai par l’épée. ” (Verset 24). Jéhovah ne laissait pas aux juges d’Israël le soin de faire respecter ce commandement. Il se chargeait lui-même d’exécuter la sentence envers quiconque profitait d’un enfant sans défense*

    Jéhovah n’a pas changé. Il a profondément pitié de l’enfant privé d’un de ses parents ou des deux. Quand un enfant, innocent, subit de mauvais traitements, le Père des orphelins de père entre dans une juste colère. Ceux qui cherchent à exploiter un enfant vulnérable n’échapperont pas à “ la colère ardente de Jéhovah ”. Ces individus mauvais apprendront que “ c’est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant ” – TG2009 1/ 4 p31


    Non seulement Jéhovah est compatissant, mais il enseigne à ses serviteurs à l’être aussi. Prenons l’exemple de sa loi qui autorisait un prêteur d’argent à prendre le vêtement de son emprunteur comme garantie de remboursement (Exode 22:26, 27 « Si tu prends en gage le vêtement de ton semblable, tu le lui rendras avant le coucher du soleil. 27 Car c’est sa seule couverture, le vêtement qui lui couvre le corps. Dans quoi dormira-t-il ? Quand sa plainte montera vers moi, j’entendrai vraiment, car je suis compatissant ». Pour que l’emprunteur n’ait pas froid pendant la nuit, le prêteur devait lui rendre son vêtement avant le coucher du soleil. Un prêteur sans pitié risquait de ne pas vouloir rendre le vêtement. Mais par cette loi, Jéhovah enseignait aux Israélites à ne pas être insensibles. Ils devaient être compatissants.

    Le principe contenu dans cette loi nous pousse à l’action. En effet, laisserions-nous notre frère ou notre sœur « avoir froid » si nous pouvions faire quelque chose pour soulager sa souffrance ? – TG2017/9 p9

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    misette got a reaction from folens in Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Exode 21-22 - Semaine du 31 Aout 2020   
    Oui, pas de problème  Merci
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    misette got a reaction from souflette in Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Exode 4-5 - Semaine du 29 Juin 2020   
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    Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Exode 4-5


    Exode 4:24-26 : Pour quelle raison possible Séphora a-t-elle appelé Jéhovah « un mari de sang » ? (w04 15/3 28 § 4).

    « En cours de route, à l’endroit où ils logeaient, Jéhovah le rencontra et il cherchait à le faire mourir. Finalement, Séphora prit un silex, circoncit son fils et fit en sorte que le prépuce touche ses pieds. Puis elle dit : « C’est parce que tu es pour moi un mari de sang. » Alors Dieu le laissa tranquille. C’est à cause de la circoncision qu’à cette époque Séphora a dit « un mari de sang »

    L’expression employée par Tsippora, “ tu es pour moi un époux de sang ”, est inhabituelle. Que révèle-t-elle au sujet de celle qui l’a prononcée ? En satisfaisant aux exigences de l’alliance de la circoncision, Tsippora reconnaissait l’existence d’une relation d’alliance avec Jéhovah. Plus tard, l’alliance de la Loi contractée avec les Israélites a montré que, dans une relation d’alliance, Jéhovah pouvait être considéré comme un mari, et l’autre partie contractante comme une femme (Jérémie 31:32). Ainsi, en s’adressant à Jéhovah (par l’intermédiaire de Son représentant angélique) comme à “ un époux de sang ”, Tsippora semble avoir manifesté sa soumission aux termes de l’alliance. C’était comme si elle avait accepté la position de femme dans l’alliance de la circoncision, Jéhovah Dieu étant le mari. Quoi qu’il en soit, en s’empressant d’obéir au commandement de Dieu, elle a sauvé la vie de son fils - w04 15/3 28 § 4


    Si Séphora a prononcé ces paroles inhabituelles : “Tu es pour moi un époux de sang” c’est manifestement parce que la circoncision impliquait une alliance. L’auteur de cette alliance était Jéhovah Dieu, représenté ici par son ange. En s’adressant à Jéhovah, par l’intermédiaire de son ange, comme à “un époux de sang”, Séphora ne le critiquait pas, mais reconnaissait s’être alors soumise aux termes de cette alliance. C’était comme si elle avait accepté une position comparable à celle d’une femme dans l’alliance de la circoncision, Jéhovah étant son époux. Séphora ayant obéi à cette juste exigence de Dieu, la vie de son fils n’était plus en danger. – TG1975  1/10 p607


    Dans Exode 4:24-26 il est question d’un incident qui s’est passé pendant ce voyage de retour : “ Et il arriva, en chemin, à la couchée, que l’Éternel rencontra Moïse, et chercha à le faire mourir. Et Séphora prit une pierre tranchante, et coupa le prépuce de son fils, et le jeta à ses pieds en disant : Certes tu m’es un époux de sang ! Et l’Éternel se désista de lui. Alors elle dit : Époux de sang ! à cause de la circoncision. ” (La). Il semble que Moïse s’était rendu coupable sous un certain rapport. Pour le moins il n’avait pas circoncis son fils et avait ainsi omis d’observer l’alliance de la circoncision que Dieu avait faite avec son ancêtre Abraham (Gen. 17:9-14). Jéhovah rencontra Moïse pendant qu’il était en route, par l’intermédiaire de l’ange qui le remplaçait, et était sur le point de tuer l’enfant incirconcis. Séphora, la femme de Moïse, reconnut ce qu’il fallait faire pour rectifier la chose. Elle prit une pierre aiguë, instrument en usage à cette époque, coupa le prépuce de son fils et ne le jeta pas aux pieds de Moïse, mais aux pieds de l’ange qui remplaçait Jéhovah. Après qu’elle eut satisfait à cette exigence, la colère de Jéhovah s’apaisa, et l’enfant conserva la vie.

    Puis Séphora dit à Jéhovah, par l’intermédiaire de l’ange qui le remplaçait : “ Certainement, tu m’es un époux de sang ! ” (Ostervald). En satisfaisant aux exigences de l’alliance de la circoncision, Séphora reconnut une relation d’alliance avec Jéhovah et y entra et Jéhovah fut pour elle comme un époux et elle fut pour lui comme une épouse. Le fait qu’une telle relation d’alliance avec Jéhovah peut lui donner le caractère d’un époux qui a épousé l’autre partie de l’alliance ressort de l’alliance de la loi faite avec Israël. En raison de cette alliance, Jéhovah déclara à propos des Israélites : “ Et toutefois, je leur avais été pour époux. ” (Jér. 31:32). Ainsi, du fait de ce rite de la circoncision, Séphora dit à l’ange remplaçant Jéhovah : “ Tu m’es un époux de sang ! ” Donc, grâce à l’action rapide de Séphora, “ il le laissa ”, c’est-à-dire l’ange de Jéhovah laissa l’enfant et ne le tua pas, comme il l’eût fait sans cela (Gen. 17:14). Toutefois, d’après la tradition juive, la vie de Moïse était menacée à cause de sa négligence. Moïse était responsable de ce qu’il faisait de son fils. – TG1953 p335-336


    Exode 5:2 : En quel sens Pharaon ne connaissait-il pas Jéhovah ? (it-1 1257 § 3).

    « Pharaon répondit : « Qui est Jéhovah, à qui je devrais obéir en laissant partir Israël ? Je ne connais pas du tout Jéhovah. Et je ne laisserai pas partir Israël. »

    “ Connaître ” ne signifie donc pas forcément seulement se faire une idée ou être conscient de l’existence de quelque chose ou de quelqu’un. Le sot Nabal connaissait le nom de David, pourtant il demanda “ Qui est David ? ” une manière de dire “ Qu’est-ce que David ? ” (1S 25:9-11 ; voir aussi 2S 8:13). De même, Pharaon avait dit à Moïse : “ Qui est Jéhovah pour que j’obéisse à sa voix en renvoyant Israël ? Je ne connais pas du tout Jéhovah ; d’ailleurs je ne renverrai pas Israël. ” (Ex 5:1, 2). Par ces paroles, Pharaon entendait manifestement qu’à ses yeux Jéhovah n’était pas le vrai Dieu ou qu’il n’avait aucune autorité sur le roi d’Égypte et ses affaires, qu’il n’avait pas la puissance d’accomplir Sa volonté, exposée par Moïse et Aaron. Mais à présent, Pharaon et toute l’Égypte, de même que les Israélites, allaient connaître la signification réelle de ce nom, la personne qu’il désignait. Comme Jéhovah l’expliqua à Moïse, ils allaient apprendre cela en voyant Dieu mener à bien Son dessein envers les Israélites : il les libérerait, leur donnerait la Terre promise, accomplissant de la sorte l’alliance qu’il avait conclue avec leurs ancêtres. Par ce moyen, comme l’annonçait Dieu, ‘ vraiment ils sauraient qu’il était Jéhovah leur Dieu ’. — Ex 6:4-8 ; voir TOUT-PUISSANT. - it-1 1257 § 3


    Pharaon s’opposait au dessein de Jéhovah, car il ne voulait pas perdre cette grande nation d’esclaves. En outre, quand Moïse vint lui demander, au nom de Jéhovah, de renvoyer les Israélites afin qu’ils célèbrent à Dieu une fête dans le désert, Pharaon demanda : “ Qui est Jéhovah pour que j’obéisse à sa voix en renvoyant Israël ? Je ne connais pas du tout Jéhovah. ” (Ex 5:2). Pharaon se considérait comme un dieu et ne reconnaissait pas l’autorité de Jéhovah, bien qu’il eût sans doute entendu plusieurs fois les Hébreux utiliser ce nom. Depuis le début, le peuple de Jéhovah connaissait son nom ; Abraham s’était même adressé à Dieu en l’appelant Jéhovah.- it-1 p842

    Le monarque égyptien ne voulait pas entendre parler de Jéhovah ; il n’avait que mépris pour le Dieu d’Israël, qu’il considérait comme quantité négligeable. Pharaon était un homme arrogant et irrespectueux. Pareille attitude, si courante de nos jours, fait méconnaître une vérité fondamentale : Jéhovah est le Souverain Seigneur. Bientôt, tous ceux qui méprisent ou défient Jéhovah seront obligés d’admettre qu’il est le vrai Dieu, Ceux-là ressemblent à Pharaon– cl chap1 p6 §12

    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    • Quel exemple Jéhovah nous a-il laissé quant aux bonnes manières ?

    Malgré sa position élevée, Jéhovah traite les humains avec prévenance et respect. Il s’est adressé à Moïse en employant un terme hébreu souvent traduit par “ s’il te plaît ”. ( Ex. 4:6.) Il écoute les humains. Par nos paroles et notre conduite, nous nous distinguerons toujours de ceux qui préfèrent l’impolitesse. Nous rendrons honneur au nom de Jéhovah et nous inciterons les gens sincères à s’associer à nous dans le vrai culte.– TG2009  15/12 p3


    Par son ange, Jéhovah donna des pouvoirs à Moïse, qui put ainsi établir sa qualité d’envoyé de Dieu devant les anciens d’Israël. Il s’agissait de trois miracles devant servir de signes. Ex 4:1-9. C’est la première fois dans les Écritures qu’on voit un humain recevoir le pouvoir d’opérer des miracles. – it-2 p307 Moïse


    Moïse a toujours cherché à mieux connaître les qualités de Jéhovah et à faire sa volonté. Par exemple, quand il a reçu la mission de libérer la nation d’Israël de l’esclavage, il manquait de confiance en lui. À plusieurs reprises, il a dit à Jéhovah qu’il ne se sentait pas capable de l’accomplir. Mais Jéhovah lui a manifesté une réelle compassion : il a compris ce qu’il ressentait et il l’a aidé (Ex. 4:10-16). Grâce à son soutien, Moïse a pu transmettre de terribles messages de jugement à Pharaon. Puis Jéhovah a sauvé les Israélites et a fait disparaître Pharaon et ses armées dans la mer Rouge. Moïse a ainsi été témoin de sa puissance.

    Quelle est la leçon ? Pour bien connaître Jéhovah, nous ne devons pas seulement savoir quelles sont ses qualités. Il nous faut aussi faire sa volonté. Une façon de faire la volonté de Jéhovah est donc d’enseigner aux autres qui il est. TG2019/12 p16 §10


    Moïse a cherché à échapper à sa mission en disant qu’il ne s’exprimait pas bien. Alors Dieu lui a dit : « Je serai avec toi quand tu parleras et je t’enseignerai ce que tu devras dire. » Moïse s’est-il enfin laissé convaincre ? Manifestement non, puisqu’il a demandé à Dieu d’envoyer quelqu’un d’autre ! À ce moment-là, Jéhovah s’est mis en colère. Cependant, par égard pour les sentiments de Moïse, il a décidé qu’Aaron parlerait à sa place (Ex. 4:10-16).

    Que nous enseigne ce récit à propos de Jéhovah ? Étant le Tout-Puissant, il aurait pu chercher à impressionner Moïse pour le forcer à obéir. Au lieu de cela, il s’est montré patient et bon ; il a tout fait pour rassurer son serviteur humble et modeste. Cette façon de faire a-t-elle fonctionné ? Absolument ! Moïse est devenu un guide remarquable. Il s’est efforcé de traiter les autres avec douceur et égards, comme Jéhovah l’avait fait pour lui

    La leçon pour nous ? Si tu es un mari, un parent ou un ancien, tu as une certaine autorité sur ta femme, tes enfants ou les membres de ton assemblée. C’est donc très important que tu imites Jéhovah en leur manifestant des égards, de la bonté et de la patience. Si tu imites Jéhovah et Jésus Christ, le Grand Moïse, tu seras quelqu’un d’encourageant et les autres viendront plus facilement te parler. De plus, tu seras un bel exemple à imiter – TG2018/8 p23 §8-10


    Notre capacité de parler est un vrai miracle. La faculté de parler est un don de Jéhovah. Pense un instant au mécanisme qui se met en route quand tu parles. Pour chaque mot que tu prononces, ton cerveau doit coordonner les mouvements d’une centaine de muscles se trouvant dans ta langue, ta gorge, tes lèvres, ta mâchoire et ta cage thoracique. Chacun de ces muscles doit intervenir à un moment précis pour que les mots soient compréhensibles. À propos de la capacité de parler une langue, une étude publiée en 2019 montre que les nouveau-nés sont capables d’isoler et de reconnaître les mots. Cette découverte confirme ce que beaucoup de chercheurs pensaient jusque-là : nous naissons avec la capacité d’apprendre une langue et de comprendre son fonctionnement. C’est sûr, notre capacité de parler est un beau cadeau de Dieu (Ex.4:11). – TG2020/5 p20 §9


    4:11 — En quel sens Jéhovah ‘ établit-il le muet, le sourd et l’aveugle ’ ? S’il est arrivé que Jéhovah rende aveugles ou muets certains individus, il n’est pas responsable de l’ensemble de ces infirmités. Celles-ci sont dues au péché héréditaire. Ce sont nos premiers parents, Adam et Ève, qui, délibérément, se sont rebellés contre Dieu et ont perdu leur perfection, et par conséquent la faculté d’engendrer des enfants parfaits. À mesure que leurs descendants se sont mariés et ont eu des enfants, de plus en plus d’imperfections, dont des tares physiques, ont surgi chez les humains. Ce n’est pas Jéhovah Dieu qui les a provoquées, mais il les a laissées apparaître. En ce sens il put dire qu’il ‘ établissait ’ le muet, le sourd ou l’aveugle. Toutefois, étant donné que Dieu tolère cette situation, il peut se présenter comme celui qui “ établit ” le muet, le sourd et l’aveugle. Jéhovah peut faire qu’une personne devienne littéralement sourde, muette ou aveugle. Le père de Jean le baptiseur fut rendu temporairement muet pour ne pas avoir cru. Dieu peut aussi ‘ établir ’ que certaines personnes soient sourdes spirituellement en les laissant demeurer dans cet état si tel est leur choix – TG2004  15/3 p24


    Puisque Jéhovah n’empêche pas les individus de s’obstiner dans leur conduite, il est dit de lui qu’il ‘ les laisse s’obstiner ’ ou qu’il ‘ endurcit leur cœur ’. Quand finalement il exécute la vengeance sur les obstinés, cela a comme conséquences de manifester son grand pouvoir et de faire proclamer son nom. Jéhovah prévient bien à l’avance du jugement qu’il fera venir sur les obstinés ; c’est pourquoi l’exécution de ce jugement ne peut être attribuée à d’autres causes ou à une autre source. On en tient un exemple notoire dans ce que Dieu fit à l’égard du pharaon qui refusa de laisser les Israélites quitter l’Égypte. Jéhovah avait prédit que le cœur de Pharaon s’obstinerait. Aussi Moïse et Aaron ne sont-ils pas surpris d’entendre cette réponse pleine de morgue : “ Qui est Jéhovah pour que j’obéisse à sa voix en renvoyant Israël ? Je ne connais pas du tout Jéhovah ; d’ailleurs je ne renverrai pas Israël. ” (Exode 4:21 ; 5:2). Dès lors, une terrible confrontation est inéluctable. Au cours d’une autre audience, Moïse et Aaron donnent à Pharaon la preuve éclatante qu’ils sont des représentants du vrai Dieu, du Tout-Puissant Jéhovah fit venir dix plaies dévastatrices sur le pays d’Égypte. Chaque fois que Pharaon endurcissait son cœur après qu’une plaie avait pris fin, Jéhovah se servait de l’occasion pour manifester davantage encore sa grande puissance par d’autres miracles C’est pourquoi certains Égyptiens en vinrent à comprendre que Jéhovah est un Dieu à qui il faut obéir. — it-2 p431


    “ Israël est mon fils. ” S’adressant à Pharaon, qui se prenait pour un dieu et un fils du dieu égyptien Râ, Jéhovah appela Israël “ mon fils, mon premier-né ”, et intima cet ordre au monarque : “ Renvoie mon fils pour qu’il me serve. ” (Ex 4:22, 23). Par conséquent, Dieu considérait toute la nation d’Israël comme son “ fils ”, parce qu’elle était son peuple choisi, un “ bien particulier, parmi tous les peuples ”.Jéhovah considérait Israël comme son fils premier-né. Il avait le droit légal de la libérer d’Égypte sans payer de prix. Exode 4 :22 – it-1 p842 Exode – it-1 p898

    Pharaon et ses serviteurs ont aussi reçu des avertissements avant la dixième plaie. Toutefois, ils ont agi stupidement en les rejetant (Ex. 4:22, 23). À cause de cela, leurs fils premiers-nés sont morts. Quel malheur !. Auraient-ils eu le temps de tenir compte des avertissements qu’ils avaient reçus ? Oui ! Moïse avait immédiatement prévenu les Israélites : il leur avait dit que cette dixième plaie était sur le point de frapper le pays et il leur avait expliqué ce qu’ils devaient faire pour sauver leur famille. Parce qu’elles ont obéi à Jéhovah, au moins trois millions de personnes — des Israélites et « une foule de non-Israélites, dont des Égyptiens » — ont pu quitter l’Égypte.

    Ces exemples le montrent, Jéhovah a toujours veillé à ce que les gens aient assez de temps pour réagir à ses avertissements. Pour quelle raison ? Dieu s’est toujours soucié des humains : il voulait qu’ils se repentent et qu’ils tiennent compte de ses avertissements avant qu’il exécute ses jugements – TG2019/10 p7


    Les hommes d’Israël changèrent également de façon sensible. Au début, ils avaient accepté Moïse comme l’envoyé de Jéhovah, mais, après que Pharaon avait imposé au peuple des conditions de travail plus pénibles, ils s’étaient plaints de Moïse à tel point que celui-ci, en proie au découragement, avait imploré Jéhovah (Ex 4:29-31 ; 5:19-23). À ce moment-là, le Très-Haut l’avait fortifié en lui révélant qu’Il était sur le point d’accomplir ce qu’Abraham, Isaac et Jacob avaient attendu, c’est-à-dire révéler pleinement la signification de son nom Jéhovah en délivrant Israël et en en faisant une grande nation dans la terre de la promesse (Ex 6:1-8). Même alors, les hommes d’Israël n’avaient pas écouté Moïse. Mais après la neuvième plaie, ils se rallièrent unanimement à lui, coopérant si bien qu’après la dixième plaie Moïse put les organiser et les faire sortir de façon ordonnée, “ en formation de combat ”. – it-2 Moïse


    Projetez-vous mentalement la scène : Moïse, 80 ans, et Aaron son frère se trouvent devant l’homme le plus puissant du monde, le pharaon d’Égypte. Aux yeux des Égyptiens, cet homme est plus qu’un représentant des dieux : il est un dieu. Ils le considèrent comme l’incarnation même d’Horus, le dieu à tête de faucon qui, avec Isis et Osiris, forme la principale trinité du panthéon égyptien.

    Impossible d’approcher Pharaon sans remarquer sur le devant de sa couronne, sinistre présage, une tête de cobra redressée. Ce serpent était censé cracher un feu destructeur sur tout ennemi de Pharaon. Pourtant, Moïse et Aaron se présentent devant ce roi-dieu pour formuler une requête exceptionnelle : qu’il renvoie les esclaves israélites afin qu’ils puissent célébrer une fête pour leur Dieu, Jéhovah. — Exode 5:1 « Après cela, Moïse et Aaron se présentèrent devant Pharaon et lui dirent : « Voici ce que dit Jéhovah le Dieu d’Israël : “Laisse partir mon peuple pour qu’il célèbre une fête pour moi dans le désert.” »

    Leçons pour nous - Comment Moïse et Aaron ont-ils pu approcher le puissant pharaon d’Égypte ? Au début, Moïse ne se croyait pas à la hauteur, disant qu’il avait “ la bouche pesante et la langue pesante ”. Bien que Jéhovah se soit engagé à le soutenir, Moïse lui a demandé : “ Envoie, s’il te plaît, par la main de qui tu enverras ”, autrement dit Moïse prie Dieu d’utiliser quelqu’un d’autre (Exode 4:10, 13). Mais Jéhovah se servira de l’humble Moïse et lui donnera la sagesse et la force nécessaires pour s’acquitter de sa mission. De nos jours, les serviteurs de Jéhovah Dieu et de Jésus Christ s’acquittent de la mission consistant à ‘ faire des disciples de gens d’entre toutes les nations. Pour accomplir notre part dans ce domaine, nous devons utiliser au mieux notre connaissance des Écritures et nos aptitudes éventuelles. Au lieu de nous arrêter sur notre incompétence, acceptons avec foi les tâches que Dieu nous confie. Il peut nous qualifier, nous fortifier pour accomplir sa volonté TG1996  15/1 p24


    Jésus-Christ -Pourquoi est-il appelé “ la Parole ” ? Le nom (ou, peut-être, le titre) “ la Parole ” (Jn 1:1) semble indiquer la fonction que le Fils premier-né de Dieu remplit après que d’autres créatures intelligentes eurent été formées. On trouve une expression analogue en Exode 4:16 où Jéhovah dit à Moïse au sujet de son frère Aaron : “ Il faudra qu’il parle pour toi au peuple ; et voici ce qui devra arriver : il te servira de bouche, et toi tu lui serviras de Dieu. ” En sa qualité de porte-parole du principal représentant de Dieu sur terre, Aaron servait de “ bouche ” à Moïse. Ainsi en était-il de la Parole, ou Logos, qui devint Jésus Christ. Jéhovah employait sans doute son Fils pour transmettre des renseignements et des directives aux autres membres de sa famille de fils spirituels, tout comme il utilisa ce Fils sur la terre pour communiquer son message aux hommes. Montrant qu’il était la Parole, ou le Porte-parole, de Dieu, Jésus déclara aux Juifs qui l’écoutaient : “ Ce que j’enseigne n’est pas de moi, mais de celui qui m’a envoyé. Si quelqu’un désire faire Sa volonté, il saura, en ce qui concerne l’enseignement, s’il vient de Dieu ou si je parle en tirant ce que j’enseigne de mon propre fonds. ”- it-2 Jésus-Christ

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    misette got a reaction from jpl in Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Genèse 36-37 - Semaine du 4 Mai 2020   
    Astuce pour glisser un dépliant dans une feuille sans avoir besoin d'une enveloppe
     

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    misette got a reaction from Claud's Lst in Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Genèse 29-30 - Semaine du 30 Mars 2020   
    Patience pour le confinement et dans la vérité on ne s'ennuie pas
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    misette got a reaction from Atsu SMITH in Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Révélation 17-19 - Semaine du 23 Décembre 2019   
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    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Révélation 17-19

    Rév. 17:8 : Explique en quel sens « la bête sauvage était, mais n’est pas, et pourtant sera présente » (re 247-248 § 5-6).

    « La bête sauvage que tu as vue était, mais n’est pas, et pourtant elle est sur le point de monter de l’abîme, et elle va s’en aller à la destruction. Et les habitants de la terre (ceux dont les noms n’ont pas été écrits dans le rouleau de vie depuis la fondation du monde) s’étonneront quand ils verront que la bête sauvage était, mais n’est pas, et pourtant sera présente. »

    5 “ La bête sauvage [...] était. ” Effectivement, elle avait existé, à partir du 10 janvier 1920, sous la forme de la Société des Nations, et 63 nations en ont fait partie à un moment ou à un autre. Mais, tour à tour, le Japon, l’Allemagne et l’Italie la quittèrent, et l’ex-Union soviétique en fut exclue.

    Puis, en septembre 1939, le dictateur nazi de l’Allemagne déclencha la Seconde Guerre mondiale. N’ayant pas réussi à maintenir la paix sur la terre, la Société des Nations tomba en fait dans l’inactivité, l’abîme. En 1942, c’en était fini de cette organisation. C’est précisément à ce moment crucial — ni avant ni après — que Jéhovah fit comprendre à son peuple la signification de la vision dans toute sa profondeur. À l’Assemblée théocratique du monde nouveau, Nathan Knorr pouvait déclarer, conformément à la prophétie, que “ la bête sauvage [...] n’est pas ”. Ensuite, il posa cette question : “ La Société des Nations restera-t-elle dans l’abîme ? ” Citant Révélation 17:8, il répondit : “ Les nations s’uniront de nouveau. ” Cela s’est effectivement passé ainsi, ce qui justifiait la parole prophétique de Jéhovah.

    Alors qu’elle se trouvait dans l’abîme, elle ‘ n’était pas ’. Autrement dit, elle était inopérante, inerte, quasiment morte.

    Dans les Écritures, le mot “ abîme ” désigne un lieu d’inactivité, parfois même la mort. C’était la Société des Nations, la bête sauvage de couleur écarlate qui est allée dans l’abîme, autrement dit a cessé d’exister en tant qu’organisation pour la paix mondiale, quand a éclaté la Deuxième Guerre mondiale

    Elle monte de l’abîme

    6 La bête sauvage de couleur écarlate est effectivement remontée de l’abîme. Le 26 juin 1945, à San Francisco, au son de fanfares bruyantes, 50 nations ratifièrent la charte de l’Organisation des Nations unies, laquelle avait pour objectif le “ maintien de la paix et de la sécurité internationales ”. Il y avait de nombreuses similitudes entre la Société des Nations et l’ONU. Une encyclopédie (The World Book Encyclopedia) fait cette remarque : “ À certains égards, l’ONU ressemble à la Société des Nations, qui fut organisée après la Première Guerre mondiale [...]. Bon nombre des nations qui ont fondé l’ONU avaient aussi fondé la SDN. Comme la SDN, l’ONU a été créée pour contribuer au maintien de la paix entre les nations. Les principaux organismes de l’ONU ressemblent dans une grande mesure à ceux de la SDN. ” L’ONU est donc en réalité une renaissance de la bête sauvage de couleur écarlate. Elle compte davantage de membres (plus de 190 – aujourd’hui 197) que n’en comptait la SDN (63) ; elle s’est également attribué des responsabilités plus étendues que celle-ci. - re 247-248 § 5-6

    La Société des Nations a essayé d’agir comme une puissance mondiale sur la scène terrestre. Cependant, elle n’a pas pu empêcher la Seconde Guerre mondiale, qui a éclaté en 1939. C’est alors que la bête a disparu, comme dans un abîme. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la Puissance anglo-américaine s’est évertuée à faire renaître cette organisation internationale. En 1941, le premier ministre de Grande-Bretagne, Winston Churchill, et le président des États-Unis, Franklin Roosevelt, ont tenu des conversations secrètes à bord d’un navire sur l’Atlantique. Les deux hommes ont fait une déclaration commune concernant “leurs espoirs d’un avenir meilleur pour le monde” et “l’établissement d’un système général de sécurité plus étendu et permanent”. L’année suivante à Washington, 26 pays ont souscrit à la proposition anglo-américaine de ce que l’on a appelé la “Déclaration des Nations unies”. Cela a débouché sur la création de l’Organisation des Nations unies, le 24 octobre 1945. La bête écarlate était remontée de l’abîme, sous un nouveau nom. Aujourd’hui, 197 pays adhèrent à cette organisation qui, selon leurs espérances, doit perpétuer le système actuel de la domination politique humaine. – TG1986 1/2 p7

    La Bible ne dit pas combien de temps la destruction de Babylone la Grande prendra, mais nous savons qu’elle durera relativement peu de temps – TG2019/10


    Rév. 17:16, 17 : Comment savons-nous que la fausse religion ne va pas disparaître après un long déclin ? (w12 15/6 18 § 17).

    « Quant aux dix cornes que tu as vues et à la bête sauvage, elles haïront la prostituée et la dévasteront et la laisseront nue ; elles mangeront ses chairs et la brûleront complètement. 17 Car Dieu leur a mis dans le cœur d’exécuter son intention, oui, d’exécuter leur seule et même intention en donnant leur pouvoir royal à la bête sauvage, jusqu’à ce que les paroles de Dieu se soient accomplies »

    17 La fausse religion ne va pas pour autant décliner lentement, puis disparaître. Elle continuera d’exercer une forte influence, essayant de plier à sa volonté les rois, ou dirigeants, jusqu’à ce que Dieu implante son idée dans leur cœur. Sous peu, Jéhovah va amener les éléments politiques du monde de Satan, représentés par les Nations unies, à attaquer la fausse religion. Ils vont enrayer son influence et piller ses richesses. Une telle fin semblait des plus improbables il y a quelques décennies. Mais aujourd’hui, la prostituée est en équilibre instable sur le dos de la bête de couleur écarlate. Et elle ne va pas glisser en douceur de sa monture. Sa chute sera brusque et violente. - w12 15/6 18 § 17

    Quelle est la “ pensée ” de Dieu ? De faire en sorte que les bourreaux de Babylone la Grande se liguent pour la détruire complètement. Bien sûr, en l’attaquant, les dirigeants auront pour but d’exécuter “ leur seule pensée ”. Ils penseront servir leurs intérêts nationalistes en se retournant contre la grande prostituée. Ils en viendront peut-être à voir en l’existence prolongée de la religion sur leur territoire une menace pour leur souveraineté. Mais, en fait, c’est Jéhovah qui dirigera les événements ; c’est sa pensée qu’ils exécuteront en détruisant d’un seul coup son ennemie séculaire et adultère.  Au moment fixé, les nations verront, semble-t-il, la nécessité de consolider les Nations unies. Elles renforceront l’influence de cette organisation en lui remettant tout le pouvoir et la puissance dont elles disposent pour qu’elle puisse se retourner contre la fausse religion et lutter victorieusement contre elle “ jusqu’à ce que les paroles de Dieu se soient accomplies ”. C’est ainsi que la vieille prostituée disparaîtra complètement – re p258 §17

    La destruction de Babylone la Grande entraînera-t-elle la mort de tous les membres des fausses religions ? Il semble que non. Zacharie 13:4-6 laisse supposer que même certains chefs religieux abandonneront leur culte et nieront avoir appartenu à une fausse religion. Il a écrit au sujet d’un individu qui aura appartenu à une fausse religion : « Il dira : “Je ne suis pas prophète. Je suis un homme qui cultive le sol, car un homme tiré du sol m’a acquis depuis ma jeunesse.” Et l’on ne manquera pas de lui dire : “Qu’est-ce que ces blessures sur ta personne entre tes mains ?” Et il devra dire : “Celles dont j’ai été frappé dans la maison de ceux qui m’aiment intensément” ». – TG2015  15/7 p15


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Dieu laisse les nations Rév. 17:13, 14, 17 devenir  puissantes et même s’unir contre lui, afin de pouvoir à bon droit les détruire d’un coup. It-2 p43

    Les évènements qui se produisent sur la scène mondiale indiquent clairement que les prophéties bibliques sont en train de s’accomplir et que la fin de ce système de choses est imminente. Par conséquent, ne pensons pas qu’il faudra beaucoup de temps pour que l’état du monde évolue au point d’amener « les dix cornes » et « la bête sauvage », dont parle Révélation 17:16, à attaquer Babylone la Grande, l’empire mondial de la fausse religion. Souvenons-nous que Dieu « leur [mettra] au cœur d’exécuter sa pensée » pour qu’elles passent à l’action, ce qui peut arriver n’importe quand (Rév. 17:17). La fin de l’ensemble de ce système de choses n’est pas loin. Nous avons tout lieu de suivre cet avertissement de Jésus : « Faites attention à vous-mêmes, de peur que vos cœurs ne s’alourdissent dans les excès de table et les excès de boisson et les inquiétudes de la vie, et que soudain ce jour-là ne soit sur vous à l’instant même, comme un piège ». Soyons résolus à servir Jéhovah avec un sentiment d’urgence, convaincus qu’il « agit pour celui qui continue de l’attendre » (Is. 64:4). TG2015 15/8 §17

    Nous vivons dans un monde rempli d’immoralité et où le faux culte est très présent. Beaucoup sont influencés par Babylone la Grande, l’empire mondial de la fausse religion, que la Bible appelle « une demeure de démons » (Rév. 18:2). Nous sommes donc comme des étrangers dans ce monde. Remarquant que nous sommes très différents, certains se moquent de nous. Alors, rapprochons-nous de notre Dieu, Jéhovah. Si nous lui faisons humblement confiance et si nous lui obéissons, il nous considérera nous aussi comme « désirables », ou précieux – TG2018/2 p3 §14

    Dieu ne permettra pas aux nations de détruire son peuple. Ses serviteurs portent son nom avec fierté, et ils obéissent à son ordre de sortir de Babylone la Grande (Rév. 18:4). De plus, ils font tout pour aider les gens à sortir d’elle eux aussi. Ils ne subiront donc pas « avec elle les fléaux qui vont la frapper ». Mais leur foi sera quand même mise à l’épreuve. TG2019/9 p8§12

    Aujourd’hui, Jéhovah utilise ses anges pour protéger et fortifier son peuple. Les serviteurs oints de Jéhovah étaient symboliquement prisonniers de Babylone la Grande, la fausse religion. Mais depuis que Jéhovah les a délivrés en 1919, le vrai culte continue de progresser malgré une forte opposition (Rév. 18:4). Puisque les anges protègent l’organisation de Jéhovah, nous n’avons pas à craindre qu’elle redevienne esclave de la fausse religion. Au contraire, nous pouvons être sûrs que tous les serviteurs de Jéhovah resteront heureux et actifs à son service. – TG2017/10 p26 §10

    Pourquoi Jéhovah détruira-t-il Babylone la Grande ? Révélation 17:1 - Babylone la Grande a sali la réputation de Dieu. Elle a enseigné de nombreux mensonges sur Dieu. Elle s’est prostituée sur le plan spirituel en faisant des alliances avec les dirigeants de la terre. Elle a utilisé son pouvoir et son influence pour exploiter les gens. Et elle a versé beaucoup de sang, y compris le sang de serviteurs de Dieu (Rév. 19:2). – TG2019/9 p8 §10

    Devons-nous prier les anges pour obtenir leur aide ? Non. La prière est un acte d’adoration qui revient uniquement à Dieu (Révélation 19:10). Étant au service de Dieu, les anges reçoivent leurs ordres de lui, et non des humains. Voilà pourquoi nous devons toujours adresser nos prières à Dieu, et à lui seul, par l’intermédiaire de Jésus – TG2014  1/9 p16

    A Armaguédon, les ennemis de Dieu vont mourir, alors que ceux qui l’aiment seront sauvés. Mais il y a une grande différence entre ces deux conflits. À Armaguédon, les serviteurs de Dieu ne combattront pas. Ils ne seront même pas armés. Leur « force sera de rester calmes et d’avoir confiance » en Jéhovah et dans ses armées célestes (Rév. 19:11-15). Comment Dieu vaincra-t-il ses ennemis à Armaguédon ? Il dispose de nombreux moyens. Il peut, par exemple, se servir de tremblements de terre, de la grêle ou de la foudre. Il peut aussi pousser ses ennemis à s’attaquer les uns aux autres. Et il peut envoyer ses anges détruire les méchants. Quels que soient les moyens qu’il utilisera, sa victoire sera complète. Tous ses ennemis seront détruits. Et tous les justes seront sauvés – TG2019/9 p8 §6

    Très bientôt, les puissances politiques du monde de Satan vont s’unir pour essayer de détruire le peuple de Dieu. Rév.19 :19 Devons-nous en avoir peur ? Pas du tout ! Nous avons l’armée de Jéhovah à nos côtés. Pendant la grande tribulation, ses anges protégeront son peuple et détruiront tous les opposants à sa souveraineté. Quel grand jour ce sera ! -TG2017/10 p26 §11


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Le mot “ antichrist ” doit comprendre les persécuteurs de ces disciples, y compris la symbolique “ Babylone la Grande ”et les apostats. Rév. 17:5, 6. Font également partie de l’antichrist des royaumes, des nations et des organisations, ainsi que l’indique la description symbolique dans Révélation 17:8-15 ; 19:19-21. Ceux qui composent l’antichrist vont droit à la destruction, le salaire de leur opposition. – it-1 p129

    Antichrist : ce nom signifie “ contre (ou : à la place de) Christ ”. Il apparaît cinq fois dans les Écritures, au singulier ou au pluriel, et uniquement dans deux des lettres de Jean.

    Lors d’un discours, prononcé par Anthony Morris, qui avait pour thème “ Qu’attendons-nous ? ” Frère Morris a rappelé à l’auditoire les événements qui, selon les prophéties, doivent encore se produire et que tous les fidèles attendent impatiemment. Citons le cri “ Paix et sécurité ! ” et la destruction de la fausse religion (1 Thess. 5:2, 3 ; Rév. 17:15-17). L’orateur a recommandé de ne pas s’écrier trop vite : “ C’est Armaguédon ! ” face à des événements qui ne réalisent pas les prophéties. La bonne attitude consiste plutôt à rester dans l’attente, avec joie et patience, conformément à Michée 7:7. Frère Morris a de plus incité tous les assistants à faire corps avec le Collège central, comme des soldats sur le point d’affronter le moment le plus crucial de la bataille. “ Que votre cœur soit fort, vous tous qui attendez Jéhovah ”, a-t-il conclu. – TG2011  15/8 p18

    L’exécution du jugement de Dieu sur « la grande prostituée » (Révélation 17:1, 6 ; 18:24). Babylone la Grande a sali la réputation de Dieu. Elle a enseigné de nombreux mensonges sur Dieu. Elle s’est prostituée sur le plan spirituel en faisant des alliances avec les dirigeants de la terre. Elle a utilisé son pouvoir et son influence pour exploiter les gens. Et elle a versé beaucoup de sang, y compris le sang de serviteurs de Dieu – Rév. 19 :2 – TG2019/9 p8 §10

    Un jour, le Mémorial sera célébré pour la dernière fois. Comment le savons-nous ? L’apôtre Paul a expliqué qu’en célébrant le Mémorial, les chrétiens oints « continuent à proclamer la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il arrive » (1 Cor. 11:26). Ici, le mot « arrive » fait référence au même évènement que la « venue » dont Jésus a parlé dans sa prophétie sur le temps de la fin.

     À propos de la grande tribulation maintenant toute proche, il a déclaré : « Le signe du Fils de l’homme apparaîtra dans le ciel, et alors toutes les tribus de la terre se frapperont la poitrine en se lamentant, et elles verront le Fils de l’homme venir sur les nuages du ciel avec puissance et grande gloire. Et [Jésus] enverra ses anges au son d’une grande trompette, et ils rassembleront ceux qu’il a choisis, depuis les quatre vents, depuis l’une des extrémités des cieux jusqu’à leur autre extrémité » (Mat. 24:29-31). Le rassemblement de « ceux qu’il a choisis » se fera quand les chrétiens oints encore sur terre recevront leur récompense au ciel. Cela se produira entre le début de la grande tribulation et la guerre d’Armaguédon. De cette façon, l’ensemble des 144 000 sera aux côtés de Jésus pour vaincre les rois de la terre (Rév. 17:12-14). Le Mémorial qui sera célébré avant que Jésus rassemble les oints dans le ciel sera donc le dernier de tous, puisque Jésus sera « arrivé ». ws2018/1 p14 §15

    Babylone la Grande est vêtue de “ pourpre et d’écarlate ”, les couleurs royales ; et elle est “ parée d’or et de pierres précieuses et de perles ”. Voilà qui est approprié ! Pensez seulement aux magnifiques édifices, aux statues et aux peintures rares, aux icônes sans prix et à tout l’attirail religieux ainsi qu’aux propriétés et à l’argent que les religions du présent monde ont accumulés. Que ce soit au Vatican, dans les monastères et les temples exotiques de l’Orient, Babylone la Grande a amassé — et parfois perdu — de fabuleuses richesses. Voyez maintenant ce que la prostituée a dans sa main. Jean a dû avoir le souffle coupé à cette vue : une coupe d’or “ pleine de choses immondes et des impuretés de sa fornication ”. C’est la coupe qui contient le “ vin de la fureur de sa fornication ”, vin avec lequel elle a enivré toutes les nations (Révélation 17:4). Elle paraît précieuse à l’extérieur, mais son contenu est répugnant et impur. Cette coupe renferme toutes les pratiques et tous les mensonges répugnants dont la grande prostituée s’est servie pour séduire les nations et leur imposer son influence. Plus révoltant encore, Jean voit que la prostituée elle-même est ivre, ivre du sang des serviteurs de Dieu. En fait, nous lisons un peu plus loin que “ chez elle on a trouvé le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qu’on a tués sur la terre ”. (Révélation 18:24.) Que de meurtres – re chap33 p244 §24,25

    Pour « sortir » de Babylone la Grande, nous devons montrer clairement que nous ne faisons plus partie d’aucune fausse religion. Par exemple, nous devrons peut-être demander que notre nom soit enlevé de la liste des membres de notre ancienne religion. Mais ce n’est pas tout. Nous devons aussi rejeter et détester toutes les choses mauvaises que pratiquent les fausses religions. Les fausses religions permettent et encouragent l’avidité, les actes sexuels immoraux et l’immixtion dans la politique Révélation 18:7, 9, 11-17. À cause de toutes ces choses, des millions de personnes sont mortes au cours des siècles. – lvs chap7 p89 §23

    Le rassemblement de « ceux qu’il (Jésus) a choisis » se fera quand les chrétiens oints encore sur terre recevront leur récompense au ciel. Cela se produira entre le début de la grande tribulation et la guerre d’Armaguédon. De cette façon, l’ensemble des 144 000 sera aux côtés de Jésus pour vaincre les rois de la terre (Rév. 17:12-14). – TG2018/1 p12 §15

    Babylone la Grande, l’empire mondial de la fausse religion, connaîtra une fin méritée. « Peuples, [...] foules, [...] nations, et [...] langues » seront incapables de lui apporter un soutien efficace. Les indices de sa mort prochaine sont déjà visibles (Rév. 16:12 ; 17:15-18 ; 18:7, 8, 21). En effet, on observe déjà un manque de soutien dans les médias, qui de plus en plus durcissent le ton contre la religion et les chefs religieux. Pourtant, les chefs de Babylone la Grande ne se sentent pas en danger. Comme ils se trompent ! À la suite de la proclamation « Paix et sécurité ! », les éléments politiques du système de Satan s’en prendront subitement à la fausse religion et l’extermineront. Jamais plus on ne verra Babylone la Grande ! Il vaut vraiment la peine d’attendre patiemment ces évènements décisifs (Rév. 18:8, 10). – TG2013  15/11 p10 §14

    Usage figuré. Babylone la Grande est décrite revêtue de fin lin et de pourpre et d’écarlate, symboles de luxe (Rév.18:16). En revanche, dans le cas de l’épouse de Christ il est dit clairement que le fin lin de ses vêtements représente “ les actes de justice des saints ”. Pareillement, il est dit des armées célestes qu’elles sont vêtues de fin lin, blanc et pur, ce qui indique qu’elles font la guerre avec justice. — Rév. 19:8, 11, 14 – it-2 p144

    Jésus est aussi « la vérité ». Il parlait et vivait en accord avec la vérité ; c’était comme si la vérité s’était manifestée en sa personne. De plus, il a accompli de nombreuses prophéties, qui sont devenues « “oui” par son moyen » (2 Corinthiens 1:20. Ces prophéties nous aident à comprendre le rôle essentiel qu’il joue dans la réalisation du projet de Dieu - (Révélation 19:10). -jy p6

    Nous savons que chaque session d’assemblée débute à une heure précise. Par contre, nous avons beau essayer, nous ne pouvons pas déterminer l’année, et encore moins le jour et l’heure, où débutera la grande tribulation. Lorsqu’il était sur terre, Jésus a dit : « Quant à ce jour-là et à cette heure-là, personne ne les connaît, ni les anges des cieux ni le Fils, mais seulement le Père » (Mat. 24:36). Toutefois, Christ a reçu au ciel les pleins pouvoirs pour faire la guerre au monde de Satan (Rév. 19:11-16). Il est donc raisonnable d’en conclure qu’il sait à présent quand aura lieu Armaguedon. Mais nous, nous l’ignorons. Il est impératif de rester vigilants jusqu’à cette tribulation. Jéhovah, lui, a toujours su quand elle arrivera. Il a fixé le moment précis où la fin viendra. Il compte le temps qui reste avant le début de la grande tribulation. Elle « ne sera pas en retard » - w2016/7 p13 §4

    Comment devrions-nous nous imaginer Jésus aujourd’hui ? Plus de 60 ans après la mort de Jésus, l’apôtre Jean l’a vu en visions. Il a vu le « Roi des rois et Seigneur des seigneurs », le Roi du Royaume de Dieu ; ce Roi vaincra bientôt les ennemis de Dieu, démons et humains, et apportera des bienfaits éternels à l’humanité (Révélation 19:16 ) – wp2017/6 p8

    Jésus Christ, le “ Roi des rois ”, assurera ensuite la pleine maîtrise des éléments naturels (Révélation 19:16). Il veillera à ce que les sujets de son Royaume ne soient plus les victimes de calamités quelconques. Il emploiera sa puissance pour réguler les influences climatiques afin que le cycle des saisons assure le bien-être des humains. On verra ainsi se réaliser une promesse que Jéhovah a faite jadis à son peuple : “ À coup sûr, je vous donnerai vos averses en leur temps, et la terre donnera vraiment sa production, et l’arbre des champs donnera son fruit. ” (Lévitique 26:4). Les hommes pourront alors construire des maisons sans craindre de les voir rasées par un cataclysme  - TG2011  12/1 p8

     
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    Révélation 16:13, 14 : Comment les nations seront-elles rassemblées pour « la guerre du grand jour de Dieu le Tout-Puissant » ? (w09 15/2 4 § 5).

    « Et j’ai vu trois paroles inspirées impures qui ressemblaient à des grenouilles sortir de la gueule du dragon et de la gueule de la bête sauvage et de la bouche du faux prophète. 14 Ce sont en effet des paroles inspirées par des démons, et elles produisent des signes, et elles sortent vers les rois de toute la terre habitée, afin de les rassembler pour la guerre du grand jour de Dieu le Tout-Puissant. »

    Les “ paroles inspirées impures ” symbolisent la propagande démoniaque qui a pour but d’empêcher que les rois de la terre ne se laissent ébranler par le déversement des sept bols de la fureur de Dieu, mais aussi de manœuvrer ces rois pour qu’ils s’opposent à Jéhovah. - w09 15/2 4 § 5


    Satan sera très en colère. Il exprimera sa colère en se servant d’une propagande démoniaque — des « paroles inspirées impures » — pour pousser une coalition de nations à s’attaquer aux serviteurs de Jéhovah. Cette coalition de nations est appelée « Gog du pays de Magog ». Comme un marionnettiste, Satan va manipuler les puissances politiques et les forces armées pour qu’elles lancent un assaut sur tous ceux qui adorent Jéhovah Dieu. Quand ces nations se mettront à attaquer les serviteurs de Dieu, elles seront arrivées au lieu symbolique appelé Armaguédon – TG2019/9 §13


    En Révélation 16:13, des “ paroles inspirées impures ” sont comparées à des grenouilles, ce qui est approprié puisque, sous la Loi mosaïque, les grenouilles étaient impures, impropres à la consommation.- it-1 p1029


    Révélation 16:21 : Quel message allons-nous sûrement proclamer juste avant la fin du monde de Satan ? (w15 15/7 16 § 9).

    « Puis d’énormes grêlons, d’environ un talent chacun, sont tombés du ciel sur les humains, et les humains ont blasphémé contre Dieu à cause du fléau de la grêle, car ce fléau était d’une ampleur exceptionnelle. »

    9 Ce ne sera pas le moment de prêcher la « bonne nouvelle du royaume ». Ce temps-là sera révolu. L’époque de « la fin » sera arrivée ! (Mat. 24:14). Les serviteurs de Dieu proclameront sans aucun doute un message de jugement percutant. Celui-ci pourrait bien comporter une déclaration annonçant que la fin complète du monde de Satan est imminente. La Bible compare ce message à une grêle. On lit : « Une grande grêle, dont chaque grêlon pesait environ un talent, est descendue du ciel sur les hommes, et les hommes ont blasphémé Dieu à cause de la plaie de la grêle, parce que grande était sa plaie, extraordinairement » (Rév. 16:21). - w15 15/7 16 § 9


    Les grêlons symboliques mentionnés en Révélation 16:21, d’un poids d’environ un talent (20,4 kg selon le système grec), seraient une plaie dévastatrice.

    La fin de ce monde approchant, la proclamation des jugements de Jéhovah à l’encontre du système mauvais de Satan comprendra probablement des messages verbaux très virulents représentés, selon toute vraisemblance, par de la grêle. Cela dit, la majorité des humains continuera à blasphémer Dieu. – TG2009  15/2 p4


    Le moment viendra peut-être où notre message sera comme “ un grand cri de guerre ”. Dans le livre de la Révélation, de puissants messages de jugement sont décrits comme “ une grande grêle, dont chaque grêlon pesait environ un talent ”. Quel rôle le ministère de maison en maison jouera-t-il dans la proclamation de ces ultimes messages de jugement ? Nous ne le savons pas encore. Mais ce dont nous pouvons être sûrs, c’est qu’avant la fin de “ la grande tribulation ”, le nom de Jéhovah aura été rendu public comme jamais dans toute l’histoire humaine – TG2008  15/7 p7 §16


    Pendant la grande tribulation, notre message sera sans doute différent de celui que nous prêchons maintenant. Aujourd’hui, nous annonçons la bonne nouvelle du Royaume et nous nous efforçons de faire des disciples. Mais pendant la grande tribulation, nous prêcherons certainement un message percutant comparable à d’énormes grêlons (Rév. 16:21). Nous proclamerons peut-être la destruction très prochaine du monde de Satan. Le moment venu, nous saurons exactement quel message proclamer et comment le faire. Utiliserons-nous les mêmes méthodes que celles que nous utilisons depuis plus de 100 ans pour accomplir notre ministère ? Ou en utiliserons-nous d’autres ? Nous verrons bien. En tout cas, il semble que nous aurons l’honneur de proclamer courageusement le message de jugement de Jéhovah

    Notre message poussera très probablement les nations à essayer de mettre définitivement fin à notre prédication. Tout comme nous avons besoin du soutien de Jéhovah quand nous prêchons aujourd’hui, nous aurons besoin de compter sur lui à ce moment-là. Nous pouvons être sûrs que notre Dieu nous ‘remplira de force’ pour que nous puissions faire sa volonté  - TG2019/10  §8,9


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    La Bible parle d’un ange qui dit aux habitants de toute la terre d’adorer Dieu (Révélation 14:6, 7). Comment fait-il ? Est-ce qu’il crie du haut du ciel pour être entendu par tout le monde ? — Non. Ce sont les disciples de Jésus sur la terre qui parlent de Dieu autour d’eux, et les anges les aident dans cette tâche. Ils veillent à ce que tous les humains qui veulent vraiment connaître Dieu aient l’occasion d’entendre parler de lui. Nous aussi, nous pouvons participer à cette prédication et recevoir l’aide des anges. – Enseignant p65


    ‘ Une bonne nouvelle éternelle à annoncer ’ et qu’il dit d’une voix forte : “ Craignez Dieu et rendez-lui gloire, parce que l’heure de son jugement est venue. ” (Révélation 14:6, 7). Cette “ heure ” de jugement est une période courte qui englobe à la fois le moment où les jugements divins décrits dans la prophétie sont prononcés et celui où ils sont exécutés. Nous vivons actuellement cette période. Aujourd’hui, avant que l’heure du jugement ne s’achève, l’exhortation retentit : “ Craignez Dieu et rendez-lui gloire. ” Qu’implique-t-elle ? Craindre Dieu comme il convient, c’est se détourner du mal – TG2005  1/5 p23


    Révélation 15:3 dit : « Grandes et prodigieuses sont tes œuvres, Jéhovah Dieu, le Tout-Puissant. Justes et vraies sont tes manières d’agir, Roi d’éternité. » Que veut dire le titre « Tout-Puissant » ? Que Jéhovah est la personne la plus puissante de l’univers. Et que veut dire le titre « Roi d’éternité » ? Qu’il est éternel, c’est-à-dire qu’il a toujours existé – Enseigne p13


    La Bible dit de Jéhovah : “ Toi seul tu es fidèle. ” (Révélation 15:4). Comment est-ce possible ? Des humains et des anges n’ont-ils pas, eux aussi, manifesté une fidélité remarquable. Et Jésus Christ ? N’est-il pas le “ fidèle ” de Dieu ? Alors pourquoi affirmer que Jéhovah seul est fidèle ? C’est d’abord parce que la fidélité relève de l’amour. Puisque “ Dieu est amour ”, qu’il en est la personnification, qui donc pourrait manifester la fidélité plus complètement que lui. Les anges et les humains ont bien la faculté de refléter ses attributs, mais lui seul est fidèle au sens absolu. Et puis, étant “ l’Ancien des jours ”, il exerce la bonté de cœur depuis plus longtemps que n’importe laquelle de ses créatures, céleste ou terrestre. Jéhovah est donc le modèle suprême de fidélité ; aucune de ses créatures ne soutient la comparaison. - Approchez-vous de Jéhovah  p282 §7,8


    Que se passera-t-il après la destruction des fausses religions ? Ce sera le moment de révéler ce que nous avons vraiment dans le cœur. Il ne faut pas s’attendre à ce que l’interruption, le répit, qui se produira durant la grande tribulation donne lieu à un afflux de nouveaux croyants. Par contre, elle offrira à tous les vrais croyants la possibilité de prouver leur amour pour Jéhovah et de soutenir les frères du Christ. Bien que nous ne connaissions pas dans le détail tout ce qui se produira durant cette période d’épreuve, attendons-nous à devoir faire des sacrifices. Pour rester en vie, les chrétiens du Ier siècle ont dû abandonner leurs biens et endurer des privations. Serons-nous disposés à subir des pertes matérielles pour rester fidèles ? Serons-nous prêts à faire tout ce qu’il faudra pour prouver notre fidélité à Jéhovah ? Songe un peu : Comme le prophète Daniel en son temps, nous serons les seuls, en ces jours-là, à continuer d’adorer Dieu, coûte que coûte. Ce ne sera pas le moment de prêcher la « bonne nouvelle du royaume ». Ce temps-là sera révolu. L’époque de « la fin » sera arrivée.

    Les serviteurs de Dieu proclameront sans aucun doute un message de jugement percutant. Celui-ci pourrait bien comporter une déclaration annonçant que la fin complète du monde de Satan est imminente. La Bible compare ce message à une grêle. On lit : « Une grande grêle, dont chaque grêlon pesait environ un talent, est descendue du ciel sur les hommes, et les hommes ont blasphémé Dieu à cause de la plaie de la grêle, parce que grande était sa plaie, extraordinairement » (Rév. 16:21).  TG2015 15/7 p16


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Rév.13:1-4, 18. “ Une bête sauvage ” symbolisant les gouvernements humains monte “ de la mer ”, c’est-à-dire des masses agitées de l’humanité. Cette bête, que Satan a créée et dotée de pouvoir, porte le nombre 666, ce qui souligne son degré élevé d’imperfection. Sachant ce que représente cette bête, nous ne la suivons pas avec admiration ni ne l’adorons, contrairement à ce que font les humains en général. – TG2009  15/2 p4

    Rév.13:8 — Qu’est-ce que “ le rouleau de vie de l’Agneau ” ? Il s’agit d’un rouleau symbolique où ne sont inscrits que les noms de ceux qui sont appelés à régner avec Jésus Christ dans son Royaume céleste, y compris les noms des chrétiens oints qui sont encore sur la terre. Les premiers noms qui y ont été inscrits l’ont été à la Pentecôte de l’an 33. Par la suite, un nombre sans cesse croissant de noms y a été ajouté. Depuis 1918, l’œuvre consistant à sceller le reste des 144 000 héritiers du Royaume est entrée dans sa phase finale. Bientôt, tous auront leur nom écrit de façon indélébile dans le rouleau de vie de l’Agneau.– TG2009  15/2 p3

    Adorer la “ bête sauvage ” et son “ image ”, leur rendre hommage ou s’incliner devant elles revient à les servir, car leurs adorateurs s’identifient à des partisans de “ la bête sauvage ” et de son “ image ” par une marque sur la main (avec laquelle on sert) ou sur le front (visible de tous). Puisque c’est le Diable qui donne à la bête sauvage son pouvoir, adorer la bête sauvage signifie en réalité adorer ou servir le Diable. — Ré 13:4, 15-17 - it-1 p574

    13:11-13 — En quel sens la bête sauvage à deux cornes agit-elle comme un dragon et fait-elle descendre du feu du ciel ? Le fait que la bête sauvage à deux cornes, identifiée à la Puissance mondiale anglo-américaine, parle comme un dragon signifie qu’elle recourt aux menaces, aux pressions et à la violence pour forcer les gens à accepter son type de domination. Elle fait descendre du feu du ciel en ce sens qu’elle s’attribue le rôle d’un prophète en prétendant qu’elle a vaincu les forces du mal au cours des deux guerres mondiales du XXe siècle et qu’elle l’a emporté sur le communisme. – TG2009  15/2

    La virginité spirituelle. Tout comme le grand prêtre en Israël ne pouvait épouser qu’une vierge, de même le Grand Prêtre souverain, Jésus Christ, ne peut avoir au ciel qu’une “ vierge ” pour “ épouse ” spirituelle. L’épouse de Christ se compose de 144 000 personnes ointes de l’esprit, qui, individuellement, préservent leur ‘ virginité ’ en se tenant séparées du monde et en se gardant pures sur les plans moral et doctrinal. — Ré 14:1, 4 – it-1 p1153

    En raison de toute la propagande satanique faite dans le monde, les paroles que Jean met maintenant par écrit sont vraiment appropriées : “ Écoute ! Je viens comme un voleur. Heureux celui qui reste éveillé et garde ses vêtements de dessus, pour qu’il ne marche pas nu et qu’on regarde sa honte. ” (Révélation 16:15). Qui vient “ comme un voleur ” ? Jésus lui-même, qui arrive à une heure non précisée en qualité d’Exécuteur au service de Jéhovah. Lorsqu’il était encore sur la terre, Jésus a également comparé sa venue à celle d’un voleur, en disant : “ Veillez donc, parce que vous ne savez pas quel jour votre Seigneur vient. Voilà pourquoi, vous aussi, montrez-vous prêts, car c’est à une heure que vous ne pensez pas que le Fils de l’homme vient. ” (Matthieu 24:42, 44 ; Luc 12:37, 40). Faisant écho à cet avertissement, l’apôtre Paul a dit : “ Le jour de Jéhovah vient exactement comme un voleur dans la nuit. Quand ils diront : ‘ Paix et sécurité ! ’ alors une destruction subite sera sur eux à l’instant même. ” “ Paix et sécurité ! ” : toute proclamation de ce genre est trompeuse ; elle émane de Satan. – re chap32 §27

    En Révélation 16:15, Jésus nous avertit qu’une chose similaire peut arriver de nos jours. Les prêtres et les Lévites préfiguraient les frères oints de Jésus. Mais, par extension, la mise en garde de Jésus concerne aussi la grande foule. Les vêtements de dessus en question identifient ceux qui les portent à des chrétiens Témoins de Jéhovah. S’ils laissaient les pressions que le monde de Satan exerce sur eux les faire sombrer dans le sommeil, ou l’inactivité, ils perdraient probablement ces vêtements de dessus ; en d’autres termes, ils cesseraient d’être identifiés à des chrétiens purs. Cette situation les couvrirait de honte. Ils risqueraient d’aller à un échec complet. - re chap32 §30

    “ Et elles [les paroles inspirées par les démons] les ont rassemblés [les rois ou dirigeants humains] au lieu qu’on appelle en hébreu Armaguédon. ” (Révélation 16:16). Ce nom n’apparaît qu’une seule fois dans la Bible, mais il a enflammé l’imagination des hommes. Les dirigeants du monde mettent les hommes en garde contre l’éventualité d’un Armaguédon nucléaire. Le terme Armaguédon étant également associé à la ville antique de Meguiddo, qui fut le théâtre de nombreuses batailles décisives aux temps bibliques, des chefs religieux en ont déduit que la guerre ultime qui sera livrée sur la terre aura lieu dans cette petite région du globe. Ils sont en cela fort éloignés de la vérité.

    Ce nom ne désigne toutefois pas un lieu réel, mais représente la situation dans laquelle toutes les nations en opposition avec Jéhovah Dieu sont rassemblées et seront finalement détruites par lui. Il s’agit d’une situation mondiale - re chap32 §31,32

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    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : 2 JEAN 1 - JUDE
    Jude 4, 12 : Pourquoi les hommes sans respect pour Dieu qui s’étaient glissés dans l’assemblée ont-ils été comparés à « des rochers cachés sous l’eau lors de [...] festins d’amour » ? (it-1 879 ; it-2 805 § 3).

    verset 4 ‘ « Ce qui m’y a poussé, c’est que certains hommes, qui ont été désignés il y a longtemps par les Écritures pour être condamnés, se sont glissés parmi vous. Ce sont des hommes sans respect pour Dieu, qui prennent la faveur imméritée de notre Dieu comme prétexte pour avoir une conduite indigne et effrontée, et qui trahissent notre seul propriétaire et Seigneur, Jésus Christ. »

    verset 12  « Ceux-là sont des rochers cachés sous l’eau lors de vos festins d’amour, lorsqu’ils mangent avec vous ; des bergers qui se nourrissent eux-mêmes sans crainte ; des nuages sans eau emportés ici et là par le vent ; des arbres sans fruits à la fin de l’automne, qui sont morts deux fois et ont été déracinés »


    La Bible ne décrit pas ces festins d’amour et ne précise pas à quelle fréquence ils avaient lieu (Jude 12). Comme ils ne furent ordonnés ni par le Seigneur Jésus Christ ni par ses apôtres, il est clair qu’il ne faut pas les considérer comme obligatoires ou permanents. Certains pensent qu’il s’agissait de festins auxquels les chrétiens riches invitaient leurs coreligionnaires indigents. Tous, ensemble, les orphelins de père, les veuves, les riches et les moins fortunés partageaient une table bien garnie dans un esprit fraternel. – it-1 p879


    Un autre mot grec, spilas, s’applique sans doute à un rocher ou à un récif caché sous l’eau. Jude s’en sert dans une image pour désigner des hommes qui s’étaient glissés dans la congrégation chrétienne avec des mobiles malhonnêtes. De même que des rochers cachés étaient dangereux pour les bateaux, de même ces hommes constituaient un réel danger pour les autres membres de la congrégation. Jude déclare à leur sujet : “ Ceux-là sont dans vos festins d’amour les rochers cachés sous l’eau, tandis qu’ils font bonne chère avec vous. ” — Jude 12. – it-2 p805 §3


    Certains de ceux qui pratiquent le dérèglement cherchent à séduire et à tromper d’autres membres de la congrégation chrétienne en soutenant que la faveur imméritée de Dieu est grande et qu’il passera sur leurs péchés parce qu’il est conscient de leurs imperfections et de la faiblesse de leur chair. Mais Jude, demi-frère de Jésus, qualifia ceux qui raisonnent ainsi d’“ impies qui transforment la faveur imméritée de notre Dieu et en font un prétexte pour se livrer au dérèglement, et qui trahissent notre seul Propriétaire et Seigneur, Jésus Christ ”. (Jude 4.) Il ne sert à rien que ces hommes se réclament du christianisme. Leur service ne peut être agréé de Dieu, pensée qu’un sage écrivain d’Israël formula ainsi : “ Le sacrifice des méchants est chose détestable. Combien plus lorsqu’on l’apporte avec une conduite déréglée Pr 21:27. Ils manifestent souvent un esprit d’indépendance et de rébellion qui les empêche de reconnaître que Jéhovah dirige son organisation. it-1 p622


    La faveur imméritée de Jéhovah nous procure de nombreux bienfaits, mais nous ne devons pas avoir la présomption de penser qu’il accepte n’importe quelle conduite. Certains premiers chrétiens cherchaient à « transforme[r] la faveur imméritée de [...] Dieu » en « prétexte pour se livrer au dérèglement » (Jude 4). Ces chrétiens infidèles pensaient apparemment qu’ils pouvaient pécher et ensuite compter sur Jéhovah pour leur pardonner. Pire, ils essayaient d’entraîner leurs frères dans leur conduite méprisante. Tout en fréquentant la congrégation, ces individus exerçaient une influence corruptrice. Aujourd’hui encore, celui qui agit ainsi a « outragé avec mépris l’esprit de la faveur imméritée » Satan fait croire à certains chrétiens qu’ils peuvent présumer de la miséricorde de Dieu et commettre des péchés impunément. Mais si Jéhovah est désireux de pardonner aux pécheurs repentants, il attend toutefois de nous que nous livrions un dur combat contre nos tendances pécheresses – TG2016/7 p25 §16,17

    En Jude 12, les personnes immorales qui s’introduisent dans l’assemblée sont comparées à des arbres d’automne sans fruits, morts deux fois. S’il est dit d’eux qu’ils sont “ morts deux fois ”, c’est peut-être pour souligner qu’ils sont bel et bien morts. Cela peut aussi vouloir dire qu’ils sont morts sous deux rapports : 1) ils sont stériles, autrement dit ne portent pas de fruits et 2) ils sont littéralement morts et n’ont aucune vitalité. Ceux qui se réclament du christianisme, mais qui pratiquent l’immoralité, se livrant à la corruption et contaminant l’assemblée, sont comparés dans leur abandon avide aux désirs charnels à des nuages sans eau poussés par les vents - it-1 p155


    Les apostats qui feignent d’aimer sont aussi dangereux pour notre foi que les rochers cachés sous l’eau le sont pour les bateaux ou les nageurs. Les faux enseignants peuvent paraître généreux mais, sur le plan spirituel, ils sont aussi vides que des nuages sans eau. Ils sont sans fruits, à l’instar des arbres morts à la fin de l’automne. Ils sont voués à la destruction, comme le sont les arbres déracinés. La sagesse nous dicte de fuir les apostats – TG2008  15/12 p29


    Comme un rocher déchiqueté qui se cache juste sous la surface d’eaux calmes, L’individu hypocrite peut causer le naufrage spirituel de ceux qui sont sans méfiance. Une telle personne fait peut-être miroiter de grands moments de rafraîchissement spirituel, mais il est en réalité un ‘ nuage sans eau ’ qui n’a rien à offrir. Comme un arbre sans fruits, le trompeur ne produit aucun des fruits du christianisme. Incontestablement, nous devons nous en méfier, mais sans soupçonner tout le monde. – TG2001  15/11 p22


    Jude 14, 15 : Pourquoi Hénoch a-t-il parlé au passé d’un évènement futur et quelle est la réalisation de cette prophétie ? wp17.1 12 § 1, 3

    « Oui, Hénoch, le septième depuis Adam, a lui aussi prophétisé à leur sujet, quand il a dit : « Voici que Jéhovah est venu avec ses saintes myriades, 15 pour prononcer un jugement contre tous, et pour déclarer coupables toutes les personnes sans respect pour Dieu à propos de toutes leurs actions injustes qu’elles ont commises d’une manière injuste, et à propos de toutes les choses scandaleuses que des pécheurs sans respect pour Dieu ont proférées contre lui. »


    Qu’a prophétisé Hénoch ? Jude rapporte : « Voyez ! Jéhovah est venu avec ses saintes myriades, pour exécuter le jugement contre tous, et pour déclarer coupables tous les impies à propos de toutes leurs actions impies qu’ils ont commises d’une manière impie, et à propos de toutes les choses scandaleuses que des pécheurs impies ont proférées contre lui » (Jude 14, 15). La première chose que vous pouvez remarquer, c’est que Hénoch parle au passé, comme si Dieu avait déjà fait ce que la prophétie annonce. C’est un modèle que de nombreuses prophéties ont ensuite suivi : le prophète parle d’une chose dont la réalisation est si certaine qu’elle est présentée comme si elle avait déjà eu lieu ! (Isaïe 46:10). - wp17 1


    La foi de Hénoch peut nous inciter à nous demander si nous voyons le monde dans lequel nous vivons comme Dieu le voit. Le jugement que Hénoch a proclamé avec hardiesse est encore valable aujourd’hui ; il s’applique à notre monde tout comme il s’appliquait à celui de Hénoch. Conformément à la déclaration de Hénoch, aux jours de Noé, Jéhovah a amené le Déluge sur un monde impie. Mais cette destruction établit un modèle pour une destruction plus grande qui est encore à venir (Matthieu 24:38, 39 ; 2 Pierre 2:4-6). Aujourd’hui, comme à l’époque, Jéhovah se tient prêt avec ses saintes myriades pour exécuter un jugement juste contre un monde impie. Chacun de nous doit prendre à cœur l’avertissement de Hénoch et l’annoncer à d’autres.

    Notre famille et nos amis s’éloigneront peut-être de nous. Par moments, nous nous sentirons peut-être seuls. Mais Jéhovah n’a pas abandonné Hénoch, et aujourd’hui, il n’abandonnera pas ses fidèles serviteurs ! – wp17 3


    Hénoch avait annoncé une époque où Jéhovah jugerait tous les impies et leurs actes d’impiété. On notera que Hénoch s’exprimait au passé, car les jugements de Dieu étaient irrévocables, de sorte que l’on pouvait considérer qu’ils avaient déjà eu lieu. Les humains se sont peut-être moqués de Hénoch, comme plus tard de Noé, mais tous ces moqueurs ont bel et bien péri lors du déluge. Ces paroles trouveront leur accomplissement final à Armaguédon. Cela dit, il est fort probable que, du temps de Hénoch, de nombreux “ pécheurs impies ” se sont irrités de sa prophétie. Jéhovah a vraiment fait preuve d’amour en mettant son prophète hors de leur portée. – TG1998  1/6


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Certains prétendus chrétiens du 1er siècle niaient que Jésus soit venu dans la chair (2 Jean 7-11). Parce qu’ils avaient adopté ce point de vue erroné, quelques-uns ont rejeté la vérité au sujet de Jésus, le Messie. L’apôtre Jean a qualifié d’antichrists ceux qui ne croyaient pas que Jésus était venu dans la chair. Ils pouvaient bien croire en Dieu, aux Écritures hébraïques, accepter Jésus comme le Fils de Dieu, etc. Mais ils n’étaient pas d’accord sur le fait que Jésus était réellement venu dans la chair: c’est pourquoi ils ont été appelés l’“antichrist”. Jean ajoute à propos de ceux qui avaient ce genre d’opinions différentes: “Si quelqu’un vient à vous sans apporter cet enseignement, ne le recevez pas chez vous et ne lui dites pas de salut. Car celui qui lui dit un salut s’associe à ses œuvres méchantes.” — II Jean 7. Marcher par l’esprit saint nous empêchera de tomber dans une telle apostasie. Ce n’est qu’en restant spirituellement éveillés que nous conserverons la faveur imméritée de Jéhovah et que nous “ continuerons à marcher dans la vérité ”. (3 Jean 3, 4.) Soyons donc déterminés à rejeter toute apostasie, afin de conserver des relations étroites avec notre Père céleste. – TG2007  15/7 §7

    Jude 7 déclare : “ Sodome et Gomorrhe et les villes d’alentour, après qu’elles eurent commis [...] la fornication avec excès et furent allées après la chair pour un usage contre nature, sont placées devant nous comme un exemple qui est un avertissement. ” Les habitants de Sodome et de Gomorrhe n’ont jamais reçu de lois concernant la moralité de la part de Dieu ; cependant, comme chaque être humain, ils possédaient une conscience donnée par Dieu. Par conséquent, Dieu pouvait en toute justice les tenir pour responsables de leurs actes. Pareillement, Dieu tient aujourd’hui les humains pour responsables de leurs actes, qu’ils acceptent sa Parole, la Sainte Bible, ou non – RV2001  8/3 p9

    Nous ‘ continuons à glorifier Dieu ’ en marchant dans ses voies droites au lieu d’agir à notre guise. Caïn a commis un meurtre parce qu’il a agi à sa guise et n’a pas écouté Jéhovah qui l’avait averti que le péché s’apprêtait à fondre sur lui. Balaam a accepté de l’argent du roi de Moab, mais il a essayé vainement de maudire Israël (Nombres 24:10). Enfin, Dieu a mis à mort le Lévite Coré et d’autres parce qu’ils s’étaient rebellés contre l’autorité de Moïse et d’Aaron (Nombres 16:1-3, 31-33). Nous ne voulons certainement pas aller dans le “ chemin de Caïn ” l’assassin, ni nous jeter dans “ l’égarement de Balaam ”, ni périr dans “ les propos séditieux de Coré ”. (Jude 11) – TG2005  15/11 p30 §18


    “ En vous bâtissant sur votre très sainte foi, [...] gardez-vous dans l’amour de Dieu. ” — Jude 20, 21. Dans ce passage où il a exhorté les chrétiens à ‘ se garder dans l’amour de Dieu ’, il a aussi révélé le moyen d’y parvenir : “ En vous bâtissant sur votre très sainte foi. ” De quelle façon pouvez-vous vous bâtir, rendre votre foi plus solide, afin de demeurer dans l’amour de Dieu ? En premier lieu, il vous faut affermir votre foi dans la loi divine. Le meilleur moyen de bâtir notre foi dans le Législateur suprême et dans la sagesse de ses lois, c’est de mettre en pratique les commandements de Dieu dans notre vie. Egalement, atteindre la maturité. Un chrétien mûr est un homme spirituel. Il porte sur les choses le même regard que Jéhovah. – Livre « Amour de Dieu », p196-205


    Jude 20, 21 — Comment pouvons-nous ‘ nous garder dans l’amour de Dieu ’ ? Il y a trois conditions à remplir :

    1) nous bâtir sur notre “ très sainte foi ”, en étudiant avec sérieux la Parole de Dieu et en participant avec zèle à l’œuvre de prédication ;

    2) prier “ avec de l’esprit saint ”, ou conformément à son influence ;

    3) exercer la foi dans ce qui rend la vie éternelle possible : le sacrifice rédempteur de Jésus Christ – TG2008  15/12 p29
     


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Les démons sont dangereux, mais nous n’avons pas à être terrifiés. Leur pouvoir est limité. Quand ces anges désobéissants sont retournés au ciel, ils n’ont pas pu réintégrer la famille des anges fidèles. Ils ont été privés de toute lumière spirituelle venant de Dieu, ce qui ne leur laisse que de sombres perspectives pour l’avenir. Ils ont en effet été enfermés dans une condition d’obscurité spirituelle que la Bible nomme le Tartare (2 Pierre 2:4). Jéhovah les a entourés de “ liens éternels ” qui les tiennent dans cette obscurité spirituelle. Qui plus est, ils sont à présent dans l’incapacité de se matérialiser. — Jude 6. TG2006  15/1 p7


    Au 1er siècle, certains se sont dressés contre ceux qui avaient été établis à la tête de la congrégation. Ce faisant, ils ‘ repoussaient la seigneurie ’. (Jude 8.) Ils n’étaient sans doute pas satisfaits de ce qu’on leur avait confié et cherchaient à monter les autres contre des frères qui assumaient pourtant consciencieusement leurs fonctions théocratiques – TG2012  15/10 p13 §6


    Jude a rapporté un épisode de l’existence préhumaine de Jésus qui montre son humilité (Jude 9). L’archange Michel, c’est-à-dire Jésus, « eut un différend avec le Diable » et « discutait » avec lui. Le débat tournait autour du « corps de Moïse ». Souvenons-nous qu’après la mort de Moïse, Jéhovah a enterré son corps dans un lieu inconnu (Deut. 34:5, 6). Peut-être le Diable voulait-il l’utiliser comme relique pour instaurer un culte idolâtrique. Quoi qu’il en soit, Michel a pris une position courageuse. Cependant, reconnaissant qu’il ne lui appartenait pas de porter un jugement, le Chef des anges a préféré porter l’affaire devant le Juge suprême, Jéhovah. Ainsi, même provoqué par le Diable, Michel a refusé d’abuser de son autorité. Quelle humilité ! – TG2015  15/2 p6 §6


    Nous ne devons rien enlever à la Parole de Dieu, car l’ensemble des enseignements chrétiens qu’elle renferme constitue “ la vérité ”, ou encore “ la vérité de la bonne nouvelle ”. Pour être sauvé, il est capital de ‘ marcher ’ dans cette vérité, c’est-à-dire d’y adhérer. 2 Jean 4 Cette vérité est la somme des enseignements chrétiens contenus dans la Bible Le christianisme étant “ la voie de la vérité ”, en aidant les autres à en servir la cause, nous devenons “ des compagnons de travail dans la vérité ”.. La Bible est la seule et unique source de vérité – TG1996  15/5 §18

     

    « Beaucoup de trompeurs sont sortis dans le monde, des gens qui ne confessent pas Jésus Christ comme venant dans la chair. Voilà le trompeur et l’antichrist » (2 Jean 7). Jean avait compris que l’antichrist englobe tous ceux qui propagent délibérément des mensonges religieux sur Jésus Christ et ses enseignements. Au 1er siècle, des faux prophètes et des apostats étaient déjà actifs et s’efforçaient d’affaiblir la congrégation chrétienne. Qu’en est-il de nos jours ? Les individus et les organisations qui constituent l’antichrist s’opposent toujours au Christ et à ses enseignements. Ils propagent volontairement des mensonges et des idées trompeuses dans le but de rendre obscures l’identité du Père, Jéhovah, et celle de son Fils, Jésus Christ. Nous avons de bonnes raisons de nous méfier de ces mensonges religieux. – TG2015  1/6 p14


    Après la mort des apôtres, de faux enseignants ont fait entrer dans l’assemblée des idées fausses et des fêtes et des coutumes païennes. Ils ont même donné un nouveau nom à des fêtes païennes pour donner l’impression qu’elles étaient chrétiennes. 2 Jean 6, 7. Beaucoup de ces fêtes sont toujours populaires aujourd’hui. Et elles favorisent de fausses croyances, et même le spiritisme. Aujourd’hui, partout dans le monde, les fêtes ont une grande importance dans la vie des gens. LVS ch13


    Quand l’hospitalité n’est pas souhaitable. La Bible enjoint aux chrétiens de ne pas offrir l’hospitalité à certaines personnes. “ Tout homme qui va de l’avant et ne demeure pas dans l’enseignement du Christ n’a pas Dieu. [...] Si quelqu’un vient vers vous et n’apporte pas cet enseignement, ne le recevez jamais chez vous et ne lui adressez pas non plus de salutation. Car celui qui lui adresse une salutation participe à ses œuvres mauvaises. ” (2Jn 9-11). Garder une telle personne chez soi ou fraterniser avec elle est spirituellement dangereux pour soi et, en quelque sorte, excuse la conduite de la personne. Cela peut égarer d’autres chrétiens et jeter l’opprobre sur l’assemblée. Les chrétiens ne devraient pas recevoir chez eux des enseignants apostats, ni même leur adresser de salutation – it-1 Hospitalité

     
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    2 Pierre 1:19 : Qui est l’« étoile du matin », quand s’est-elle levée et comment savons-nous que cela a eu lieu ? (w08 15/11 22 § 2).

    « Ainsi la parole prophétique est devenue pour nous plus certaine, et vous faites bien d’y prêter attention comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur (jusqu’à ce que le jour commence à paraître et qu’une étoile du matin se lève), dans vos cœurs. »

    L’“ étoile du matin ” est Jésus Christ investi du pouvoir royal (Rév. 22:16). En 1914, Jésus s’est levé devant toute la création en tant que Roi messianique, annonçant l’aube d’un jour nouveau. La transfiguration avait offert une vision anticipée de la gloire et du pouvoir royal de Jésus, soulignant la fiabilité de la parole prophétique de Dieu. Quand nous prêtons attention à cette parole, nos cœurs sont éclairés et nous prenons alors conscience que l’Étoile du matin s’est levée - w08 15/11 22 §2

    Pierre a utilisé cette image de l’“ étoile du matin ” en pensant au moment où Jésus recevrait le pouvoir royal. De fait, en cette circonstance, Jésus s’est levé dans tout l’univers, ce qui inclut la terre. Étant l’Étoile du matin messianique, il annonce un jour nouveau, une ère nouvelle, pour tous les humains obéissants

    Comment savons-nous que l’Étoile du matin s’est déjà levée ? Parce que nous prêtons attention à la grande prophétie de Jésus relative à sa présence. Nous la voyons aujourd’hui se réaliser à travers des événements tels que des guerres, des famines et des tremblements de terre sans précédent, ainsi que la prédication mondiale de la bonne nouvelle.

    L’Étoile du matin de Jéhovah est entrée en scène, prête à passer à la phase suivante du dessein divin annoncé par la transfiguration : “ la guerre du grand jour de Dieu le Tout-Puissant ”. (Révélation 16:14, 16.) - TG2000  1/ 4 p12


    2 Pierre 2:4 : Qu’est-ce que « le Tartare », et quand les anges rebelles y ont-ils été jetés ? (w08 15/11 22 § 3).

    « En effet, Dieu ne s’est pas retenu de punir les anges qui avaient péché, mais il les a jetés dans le Tartare, les a enchaînés dans une obscurité profonde où ils sont gardés en vue de l’exécution de leur jugement »

    Le Tartare est une condition comparable à un emprisonnement dans laquelle seules des créatures spirituelles, et non des humains, sont confinées. C’est un état d’obscurité mentale profonde concernant les glorieux desseins de Dieu. Ceux qui se trouvent dans le Tartare n’ont aucun espoir d’avenir. Dieu a jeté les anges désobéissants dans le Tartare aux jours de Noé et ils resteront dans cette condition d’abaissement jusqu’à leur destruction.- w08 15/11 22 § 3

    La Bible déclare que les anges désobéissants sont maintenant des “ esprits en prison ”, qu’ils ont été ‘ jetés dans le Tartare ’ et qu’ils sont “ réservés avec des liens éternels, sous l’obscurité profonde, pour le jugement du grand jour ”. Cela semble indiquer qu’ils sont soumis à de nombreuses restrictions et qu’ils ne peuvent plus se matérialiser comme ils le faisaient avant le déluge – it-2 p395


    TARTARE - État d’abaissement comparable à un emprisonnement dans lequel Dieu jeta les anges désobéissants à l’époque de Noé. Ce mot n’apparaît qu’une seule fois dans les Écritures inspirées, en 2 Pierre 2:4.

    Le mot Tartare désigne une condition plutôt qu’un lieu bien déterminé, car, d’une part, Pierre dit que ces esprits désobéissants sont dans des “ fosses d’obscurité profonde ” et, d’autre part, Paul les situe dans des “ lieux célestes ”, d’où ils exercent un règne de ténèbres en tant que forces spirituelles méchantes (2P 2:4 ; Ép 6:10-12). De la même façon, l’obscurité profonde n’est pas littéralement une absence de lumière ; elle résulte plutôt de ce que ces anges sont coupés de la lumière de Dieu en tant que renégats et bannis de sa famille, leur avenir éternel s’annonçant irrémédiablement sombre. – it-2 p1041
    Quand ces anges désobéissants sont retournés au ciel, ils n’ont pas pu réintégrer la famille des anges fidèles. Ils ont été privés de toute lumière spirituelle venant de Dieu, ce qui ne leur laisse que de sombres perspectives pour l’avenir. Ils ont en effet été enfermés dans une condition d’obscurité spirituelle que la Bible nomme le Tartare (2 Pierre 2:4). Jéhovah les a entourés de “ liens éternels ” qui les tiennent dans cette obscurité spirituelle. Qui plus est, ils sont à présent dans l’incapacité de se matérialiser. Ces esprits rebelles seront détruits après le Règne millénaire de Jésus. — Jude 6. – TG2006  15/1 p7


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Si la Bible a été écrite par des hommes, comment peut-elle être « inspirée de Dieu » ? L’expression « inspirée de Dieu » signifie que Dieu est la Source des informations qu’elle contient. Comme le dit la Bible, « des hommes ont parlé de la part de Dieu, comme ils étaient portés par l’esprit saint » (2 Pierre 1:21). Dieu a utilisé sa force agissante invisible, l’esprit saint, pour transmettre son message aux rédacteurs des livres de la Bible. C’est comme si un homme d’affaires dictait une lettre à sa secrétaire. L’auteur de la lettre n’est pas celui qui écrit la lettre, mais bien celui qui la dicte. – RV2017/3 p3

    Lorsque l’apôtre Pierre a condamné ceux qui “ parlaient en mal ” des serviteurs oints de Jéhovah, il a attiré l’attention sur le bel exemple des anges. Bien que très puissants, ils s’abstiennent humblement de juger et d’accuser “ par respect pour Jéhovah ”. (2 Pierre 2:9-11) De même, ne nous érigeons pas en juges, respectons ceux à qui la surveillance de l’assemblée a été confiée et laissons toute affaire entre les mains de Jéhovah, le Juge suprême. Les anciens sont établis par l’esprit saint, mais ils n’en sont pas moins imparfaits et sujets à l’erreur – TG2009  15/5 p23 §13

    Les anges de Dieu sont un bel exemple pour nous. Ils voient tout le mal que font les humains. Pourtant, bien qu’ils soient plus grands en force et en puissance, ils ne portent pas contre les hommes d’accusation en termes injurieux, “ ne le faisant pas par respect pour Jéhovah ”. (2 Pierre 2:11) Les anges retiennent leurs lèvres, car ils savent que Jéhovah est pleinement conscient des fautes de chacun et qu’il est tout à fait capable de rectifier les choses. Michel, le chef des anges, s’est retenu d’employer des termes injurieux même envers le Diable – RV2003  8/6 p20

    Certaines personnes prennent la Bible au sens littéral quand elle dit que les cieux et la terre sont « amassés pour le feu ». Elles en concluent que Dieu détruira notre planète (2 Pierre 3:7). Mais Dieu promet qu’il ne permettra jamais que la terre proprement dite soit détruite. Dieu « a fondé la terre sur ses lieux fixes ; elle ne chancellera pas pour des temps indéfinis, oui pour toujours » (Psaume 104:5 ; Isaïe 45:18). C’est le présent système de choses corrompu, et non la planète, qui disparaîtra définitivement, comme détruit par le feu. Pour ce qui est des cieux, quand ce mot est à prendre au sens littéral, il peut désigner l’univers étoilé ou encore le lieu où Dieu habite. Ni l’un ni l’autre ne sera détruit. – TG2017/1 p14
    Attendre Dieu — Qu’est-ce que cela implique ? Nous autres chrétiens, nous ‘ attendons et gardons constamment à l’esprit la présence du jour de Jéhovah ’. Nous avons hâte de goûter au soulagement que Dieu apportera lorsqu’il causera la “ destruction des hommes impies ”. (2 Pierre 3:7, 12.) Jéhovah est lui-même impatient de mettre un terme au mal sous toutes ses formes, mais il se contient afin de sauver les chrétiens d’une manière qui glorifiera son nom. Aujourd’hui, tout comme aux jours de Noé, Jéhovah sait parfaitement à quel moment il conviendra de sauver son peuple (1 Pierre 3:20). Attendre Dieu signifie donc attendre le moment qu’il a choisi pour intervenir. – TG2007  1/3 p17

    Dieu n’est pas un juge sévère qui ne cherche qu’à punir. Il accorde son pardon quand c’est justifié. La Bible enseigne que « Jéhovah est miséricordieux et compatissant », même envers les méchants qui se repentent sincèrement. 2 Pierre 3 :9 – wp2019/1 p6

    Nous avons hâte de vivre dans le monde nouveau. Mais pour attendre patiemment la réalisation des promesses de Jéhovah, nous pouvons méditer sur la patience que lui-même nous manifeste. La Bible nous donne cette garantie : « Jéhovah n’est pas lent à réaliser sa promesse, comme certains le pensent, mais il est patient avec vous, car il ne veut pas que même un seul soit détruit, mais il veut que tous parviennent au repentir » (2 Pierre 3:9). Quand nous réfléchissons à la patience que Jéhovah nous manifeste, cela nous encourage à être plus patients avec les autres – TG2018/8 p28

    3:11-14. Tandis que nous “ attendons et gardons constamment à l’esprit la présence du jour de Jéhovah ”, nous devons

    1) ‘ être saints dans notre conduite ’, autrement dit rester purs sur les plans physique, mental, moral et spirituel ;

    2) abonder en actions marquées par “ l’attachement à Dieu ”, comme celles qui sont liées à la prédication du Royaume et à la formation de futurs disciples ;

    3) garder “ sans tache ” notre conduite et notre personnalité — qu’elles ne soient pas souillées par le monde ;

    4) être “ sans défaut ”, faisant toutes choses avec des mobiles purs ;

    5) être “ dans la paix ”, c’est-à-dire en paix avec Dieu, nos frères et notre prochain. – TG2008  15§11 p22


    Après avoir parlé de la fin du monde de Satan ainsi que du monde nouveau à venir, l’apôtre Pierre a donné ce conseil : « Bien-aimés, puisque vous attendez ces choses, faites tout votre possible pour que finalement il vous trouve sans tache, sans défaut et dans la paix » (2 Pierre 3:14). En suivant ce conseil et en faisant de notre mieux pour vivre et adorer Jéhovah de la manière qui lui plaît, nous lui manifesterons un attachement sans partage. – TG2019/10 p26 §18


    Le cri “ Paix et sécurité ! ” ne sera qu’un mensonge de plus inspiré par les démons. Mais il ne trompera pas les serviteurs de Dieu. Restons donc dans la lumière, loin des ténèbres du monde de Satan. “ Bien-aimés, qui savez cela à l’avance, tenez-vous sur vos gardes, exhorte Pierre, de peur que vous ne soyez entraînés avec eux [de faux enseignants à l’intérieur de la congrégation chrétienne] par l’erreur des gens qui bravent la loi et que vous ne veniez à déchoir de votre propre fermeté. ” — 2 Pierre 3:17. Notons que Jéhovah ne nous demande pas seulement de nous ‘ tenir sur nos gardes ’. Il nous honore en nous permettant de ‘ savoir à l’avance ’, et dans les grandes lignes, ce qui arrivera dans un avenir proche. Qu’entendait Pierre par ‘ savoir à l’avance ’ ? Pierre parlait de la connaissance anticipée d’événements futurs qui lui avait été accordée par inspiration, ainsi qu’à d’autres rédacteurs bibliques. Il ne s’agissait pas d’une prescience absolue ; les premiers chrétiens ne connaissaient pas tous les détails relatifs aux événements à venir. Ils n’avaient qu’une idée générale de ce à quoi il fallait s’attendre.– TG2010  15/7 p6§13,14


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Après ses salutations, Pierre écrit : “ Que la faveur imméritée et la paix vous soient multipliées. ” Comment la faveur imméritée et la paix nous sont-elles multipliées ? “ Par une connaissance exacte de Dieu et de Jésus notre Seigneur ”, répond Pierre. Puis il ajoute que la “ divine puissance nous a donné volontiers toutes les choses qui concernent la vie et l’attachement à Dieu ”. Mais comment recevons-nous ces choses essentielles ? “ Grâce à la connaissance exacte de celui qui nous a appelés par la gloire et la vertu. ” Ainsi, à deux reprises Pierre souligne l’importance d’avoir une connaissance exacte de Dieu et de Son Fils. — 2 Pierre 1:2, 3

    Les “ faux enseignants ” que Pierre dénonce dans le chapitre 2 usent de “ paroles trompeuses ” pour abuser les chrétiens. Ils espèrent les débaucher pour qu’ils retombent dans l’immoralité dont ils ont été délivrés. Pour celui qui a été sauvé par “ une connaissance exacte du Seigneur et Sauveur Jésus Christ ”, et qui, ensuite, succombe à pareille tromperie, les conséquences sont catastrophiques (2 Pierre 2:1-3, 20). C’est sans doute en pensant à ce problème abordé plus loin que, dès les premières lignes de sa lettre, Pierre insiste sur l’importance de la connaissance exacte pour rester pur aux yeux de Dieu. Dieu, fait-il remarquer, “ nous a donné volontiers les précieuses et très grandes promesses, afin que grâce à celles-ci vous puissiez devenir participants à la nature divine ”. Mais pour goûter à ces promesses, qui font partie intégrante de notre foi, nous devons d’abord, précise-t-il, avoir “ échappé à la corruption qui est dans le monde du fait des passions ”. — 2 Pierre 1:4. – TG1997  9/1 p10 §11,12

    Les adorateurs de Dieu des temps modernes sont conseillés et disciplinés (2 Pierre 1:12). À chaque fois que nous la lisons, la Parole inspirée de Dieu peut nous servir de rappel. Étant moralement libres, nous pouvons décider soit d’obéir aux instructions de Jéhovah, soit de poursuivre ce qui nous paraît droit – TG2013 15/9 p7 §8

    Comment les faux enseignants opèrent-ils ? Leurs méthodes sont empreintes de fourberie. Les apostats ‘ introduisent furtivement ’ dans l’assemblée des idées corruptrices. Comme des contrebandiers, ils agissent de manière clandestine pour distiller subtilement leurs opinions. Et comme des faussaires habiles, qui mettent en circulation des documents contrefaits, ils recourent à des “ paroles trompeuses ”, à de faux raisonnements, afin de répandre leurs conceptions auxquelles ils donnent une apparence de vérité. Ils diffusent des “ enseignements trompeurs ” en ‘ déformant les Écritures ’ pour les adapter à leurs idées (2 Pierre 2:1, 3, 13 ; 3:16). Les apostats n’ont pas nos intérêts à cœur. Les suivre, ce serait nous écarter de la route de la vie. Comment nous protéger des faux enseignants ? La Bible définit clairement la ligne de conduite à adopter. “ Évitez-les ”, ordonne-t-elle. Jéhovah nous demande d’éviter tout contact avec eux. Nous comprenons ce qu’il veut dire. Mais sommes-nous résolus à tenir compte de son avertissement – TG2011  15/7 p15 §5,6

    Ce que Noé pouvait faire : Au lieu de baisser les bras en raison de ce qu’il ne pouvait pas faire, Noé s’est concentré sur ce qu’il pouvait faire. « Prédicateur de justice », il a proclamé avec foi le message d’avertissement qu’il avait reçu (2 Pierre 2:5). Cela l’a sûrement aidé à garder sa foi forte. Noé n’a pas seulement prêché, il a aussi utilisé ses facultés physiques et intellectuelles pour construire une arche sur l’ordre de Dieu. Comme Noé, nous nous efforçons d’avoir « beaucoup à faire dans l’œuvre du Seigneur » (1 Cor. 15:58). Cette œuvre peut consister à bâtir et à entretenir des lieux de culte, à se porter volontaire pour les assemblées ou à effectuer des tâches dans un Béthel ou une antenne de traduction. Avant tout, nous restons bien occupés dans la prédication, sachant que cette activité renforce notre espérance. – TG2017/1 p9

     
     
    Qu’il serait triste de voir une personne qui a découvert les vérités bibliques retourner au faux culte ! La Bible décrit en ces termes les conséquences désastreuses d’une telle attitude : “ En effet, si, après avoir échappé aux souillures du monde par une connaissance exacte du Seigneur et Sauveur Jésus Christ, ils se laissent entraîner de nouveau dans ces choses et sont vaincus, la situation finale est devenue pire pour eux que la première. [...] Il leur est arrivé ce que dit le proverbe véridique : ‘ Le chien est retourné à son propre vomissement, et la truie qui a été lavée est retournée se vautrer dans la boue. ’ ” — 2 Pierre 2:20-22  Nous devons avoir conscience de tout ce qui pourrait menacer notre spiritualité. Et les dangers ne manquent pas. TG2006 15/3

    Les gens qui se soumettent à l’emprise de l’esprit du monde donnent libre cours à leurs désirs charnels, ce qui leur procure sans doute le sentiment d’être libres. (2 Pierre 2:18, 19) Or la réalité est tout autre. Quantité de règles et de lois sont édictées pour contenir leurs appétits et leurs comportements égoïstes. “ La loi est promulguée, non pas pour le juste, mais pour les sans-loi et les indisciplinés ”, dit Paul (1 Tim. 1:9, 10). Ces gens sont en outre esclaves du péché, portés à faire ‘ les choses que veut la chair ’, laquelle est un maître cruel (Éph. 2:1-3). Ils ressemblent en quelque sorte à des insectes qui se laissent attirer par un pot de miel et tombent dedans. Pour avoir voulu satisfaire leurs appétits, ils se retrouvent bientôt pris au piège. TG2012  15/7 p7 §14

    Une personne qui n’éprouve pas une reconnaissance sincère pour les vérités de la Bible peut en arriver à rejeter des preuves convaincantes si elle s’accroche obstinément à des idées préconçues ou si elle se cherche des excuses pour faire ce qui lui plaît (2 Pierre 3:3, 4). C’est pour cela qu’aux temps bibliques, ceux qui ont été témoins de miracles n’ont pas tous eu foi pour autant (Nomb. 14:11 ; Jean 12:37). L’esprit de Dieu produit la foi seulement chez ceux qui préfèrent la vérité au mensonge – TG2019/8 p26

    Nous devons absolument rester conscients que nous vivons « les derniers jours » et que fréquenter ceux qui ne veulent pas le reconnaître peut être très dangereux. Pierre a écrit au sujet des derniers jours : « Il viendra des moqueurs avec leur moquerie, allant selon leurs propres désirs et disant : “Où est sa présence promise ? Oui, depuis le jour où nos ancêtres se sont endormis dans la mort, toutes choses demeurent exactement comme depuis le commencement de la création” » (2 Pierre 3:3, 4). La lecture quotidienne et l’étude régulière de la Bible nous rappelleront où nous en sommes dans le cours du temps ; elles entretiendront notre conviction que nous vivons « les derniers jours ».– ws2013  15/12 p6 §13

    Si le signe montrant que la fin approche est tellement évident, direz-vous peut-être, pourquoi tant de gens ne le discernent-ils pas ? » La Bible explique qu’à l’approche de la fin, de nombreuses personnes minimiseraient les faits. Au lieu de reconnaître que des changements majeurs se produisent, elles se moqueraient en disant : « Depuis le jour où nos ancêtres se sont endormis dans la mort, toutes choses demeurent exactement comme depuis le commencement de la création » (2 Pierre 3:3, 4). En d’autres termes, le signe des derniers jours serait clair, mais beaucoup n’y prêteraient pas attention – TG2013  1/1 p8

    Comme le monde de Satan est sur le point de disparaître, nous pouvons nous attendre à rencontrer des difficultés encore plus grandes qui mettront à l’épreuve notre fidélité à Dieu et à son royaume. Nous continuerons sans doute de subir des moqueries (2 Pierre 3:3, 4). Et nous risquons d’en subir toujours plus, car notre neutralité sera de plus en plus éprouvée. Nous devons fortifier notre fidélité dès maintenant pour pouvoir rester fidèles durant la grande tribulation. – TG2019/10 p14 §13

     
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    REVEILLEZ-VOUS  2017 n°5   • Prévoyez des produits de première nécessité. Les réseaux d’électricité, d’eau, de téléphonie et de transports peuvent ne plus fonctionner. Si vous avez une voiture, essayez de toujours avoir un réservoir à moitié plein. Ayez aussi en permanence chez vous de la nourriture, de l’eau et un sac de survie (voir l’encadré « Avez-vous ce qu’il vous faut ? »).   *** g17 n° 5 p. 4 Catastrophes : des mesures qui sauvent des vies *** [Encadré, page 6]
    AVEZ-VOUS CE QU’IL VOUS FAUT ?
    Les organismes de gestion des catastrophes recommandent aux familles de stocker des produits de première nécessité et de les renouveler tous les ans. Bien sûr, les besoins dépendent du lieu où vous vivez et de votre situation. Renseignez-vous donc auprès des organismes locaux.
      En général, il est recommandé de conserver au moins dix litres d’eau par personne ainsi que trois jours de denrées non périssables et prêtes à consommer.
      Des familles ont préparé des sacs de survie contenant ces articles :
    ■ Couvertures, tenue complète de vêtements chauds, chaussures solides.
    ■ Lampe électrique, radio (à piles ou à dynamo), piles de rechange.
    ■ Trousse de secours, sifflet pour appeler à l’aide.
    ■ Vaisselle, couverts, ouvre-boîte, couteau suisse, allumettes étanches.
    ■ Masques anti-poussière, ruban adhésif résistant à l’eau, couvertures de survie.
    ■ Brosses à dents, savon, serviettes, papier-toilette.
    ■ Articles pour bébés et pour personnes âgées ou handicapées.
    ■ Trousse étanche contenant les médicaments nécessaires, une copie des ordonnances, et des documents importants.
    ■ Liste des numéros d’urgence et des lieux de rassemblement, carte de la région.
    ■ Cartes de crédit, argent liquide.
    ■ Double des clés de la maison et de la voiture.
    ■ Papier, crayons, livres, jouets pour enfants.
    ■ Bible.
    [Note]
    Certains articles peuvent ne pas être adaptés à votre situation ou à votre région. Il vous faudra peut-être en inclure d’autres.  
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    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Hébreux 9-10


    Hébreux 9:16, 17 : Que signifient ces versets ? (w92 1/3 31 § 4-6).

    « Car là où il y a alliance, il faut que la mort de l’homme faisant l’alliance soit établie, 17 car une alliance est validée par la mort, puisqu’elle n’est pas en vigueur tant que l’homme faisant l’alliance est en vie »

    Paul a précisé qu’une mort était requise pour valider les alliances entre Dieu et des humains. L’alliance de la Loi en est un exemple. Moïse en était le médiateur, celui qui a mis en place ce pacte entre Dieu et l’Israël selon la chair. Moïse a donc joué un rôle capital; il a été l’homme qui a traité avec les Israélites lorsqu’ils entrèrent dans l’alliance. Moïse pouvait ainsi être considéré comme l’homme qui contractait l’alliance de la Loi, laquelle provenait de Jéhovah. Mais Moïse a-t-il dû verser son sang pour que l’alliance de la Loi entre en vigueur? Non. À la place ont été offerts des animaux dont le sang remplaçait celui de Moïse. — Hébreux 9:18-22.

    Qu’en est-il de la nouvelle alliance entre Jéhovah et la nation de l’Israël spirituel? Jésus Christ a rempli le rôle glorieux d’intermédiaire, de Médiateur entre Jéhovah et l’Israël spirituel. Bien que Jéhovah soit à l’origine de cette alliance, elle repose sur Jésus Christ. Non seulement Jésus en est le Médiateur, mais, alors qu’il était dans la chair, il a également eu des rapports directs avec les premiers humains appelés à être admis dans cette alliance (Luc 22:20, 28, 29). En outre, il remplissait les conditions requises pour fournir le sacrifice nécessaire à la validation de l’alliance. Il ne s’agissait pas de sacrifier de simples animaux, mais une vie humaine parfaite. Paul pouvait donc parler du Christ comme de l’homme qui contracte la nouvelle alliance. Après que “Christ est entré (...) dans le ciel même, afin de paraître maintenant pour nous devant la personne de Dieu”, la nouvelle alliance est devenue valide. — Hébreux 9:12-14, 24.

    En parlant de Moïse et de Jésus comme d’hommes ayant contracté des alliances, Paul ne laissait pas entendre que ces hommes étaient à l’origine de ces alliances, qui étaient bel et bien le fait de Dieu. En revanche, ces deux hommes ont été intimement liés en tant que médiateurs à la mise en place de ces alliances respectives. Et dans chaque cas, une mort a été nécessaire: celle d’animaux à la place de Moïse, et celle de Jésus qui a donné son propre sang en faveur de ceux qui sont dans la nouvelle alliance. - w92 1/3 31 § 4-6

    9:16 — En ce qui concerne la nouvelle alliance, qui est “ l’homme faisant l’alliance ” ? Jéhovah est l’Auteur de la nouvelle alliance, alors que Jésus est “ l’homme faisant l’alliance ”, c’est-à-dire qu’il en est le médiateur. Par sa mort, Jésus a fourni le sacrifice nécessaire à la validation de cette alliance. – TG2008  15/10 §32

    En Hébreux 9:16, l’apôtre Paul parlait manifestement d’alliances entre Dieu et l’homme (et non entre homme et homme), qui exigeaient des sacrifices. Et il est à noter que, particulièrement chez les Hébreux, l’accès auprès de Dieu et les alliances avec lui se faisaient habituellement grâce à des sacrifices, les victimes étant parfois coupées en morceaux quand il s’agissait d’entrer dans une alliance. Il est tout à fait clair que l’alliance de la Loi et l’alliance nouvelle exigeaient une effusion de sang pour entrer en vigueur et être valides devant Dieu. Autrement, Dieu ne les aurait pas considérées comme valides ni n’aurait traité les individus concernés en personnes liées à lui par une alliance (Hé 9:17). Pour que l’alliance de la Loi soit validée, des animaux (des taureaux et des boucs) furent sacrifiés, prenant la place de Moïse, le médiateur (Hé 9:19). Pour valider la nouvelle alliance, c’est la vie humaine de Jésus Christ qui fut sacrifiée – it-2 p244


    Hébreux 10:5-7 : Quand Jésus a-t-il prononcé ces paroles, et que signifient-elles ? (it-1 263-264).

    « C’est pourquoi, quand il entre dans le monde, il dit : « “Tu n’as voulu ni sacrifice ni offrande, mais tu m’as préparé un corps.  Tu n’as accepté ni holocaustes ni sacrifices pour le péché.”  Alors j’ai dit : “Vois ! Je viens (dans le rouleau, il est écrit à mon sujet) pour faire ta volonté, ô Dieu !” »

    Luc rapporte que Jésus priait au moment de son baptême (Luc 3:21). Selon le rédacteur de la lettre aux Hébreux, lorsque Jésus Christ entra “ dans le monde ” (non pas à sa naissance, car il était incapable de lire et de prononcer les paroles ci-dessous, mais quand il se présenta pour être baptisé et qu’il commença son ministère), il dit, selon Psaume 40:6-8  : “ Sacrifice et offrande, tu n’en as pas voulu, mais tu m’as préparé un corps. [...] Vois ! Je suis venu (dans le rouleau du livre il est écrit à mon sujet) pour faire ta volonté, ô Dieu ! ” (Hé 10:5-9). De par sa naissance, Jésus était membre de la nation juive, laquelle se trouvait dans une alliance nationale avec Dieu, savoir l’alliance de la Loi (Ex 19:5-8 ; Ga 4:4). C’est pourquoi Jésus était déjà dans des relations d’alliance avec Jéhovah Dieu quand il se présenta à Jean pour être baptisé. Il allait donc au-delà de ce que la Loi exigeait de lui. Il se présentait lui-même à son Père Jéhovah pour faire Sa “ volonté ” : offrir son propre corps “ préparé ” et faire cesser les sacrifices d’animaux qui étaient offerts conformément à la Loi. L’apôtre Paul fait ce commentaire : “ Par cette ‘ volonté ’-là, nous avons été sanctifiés grâce à l’offrande du corps de Jésus Christ une fois pour toutes. ” (Hé 10:10). Dans le cas de Jésus, la volonté du Père incluait aussi son activité relative au Royaume ; c’est également en vue de ce service que Jésus se présenta (Luc 4:43 ; 17:20, 21). Jéhovah accepta et reconnut la présentation de son Fils en l’oignant d’esprit saint et en disant : “ Tu es mon Fils, le bien-aimé ; je t’ai agréé. ”- it-1 263-264


    « TU M’AS PRÉPARÉ UN CORPS » - Hébreux 10 :5 Ces mots ont été prononcés par Jésus dans une prière au moment sans doute de son baptême. À quoi ressemblait ce corps ? Environ 30 ans plus tôt, l’ange Gabriel avait révélé à Marie : « Tu concevras dans ta matrice et tu mettras au monde un fils, [...] le Fils de Dieu » (Luc 1:31, 35). Jésus était donc un homme parfait, tout comme Adam à sa création. Il devait être un homme bien bâti et avoir les traits de sa mère, Marie, qui était d’origine juive. – TG2017/6 p8

    Paul cite Psaume 40:6-8 pour expliquer que Jésus n’est pas venu perpétuer “ sacrifice et offrande ”, “ holocaustes et sacrifice pour le péché ”. Au moment où l’apôtre écrit ces lignes, ces rites n’ont plus l’approbation divine. Jésus est venu avec un corps préparé par son Père céleste, un corps équivalent à celui que Dieu avait préparé pour Adam. – TG2000  15/8 p18


    Au moment de son baptême, Jésus priait (Luc 3:21). Tout porte à croire qu’à cet instant de son existence il a réalisé les paroles de Psaume 40:6-8. C’est ce que l’apôtre Paul a indiqué plus tard en lui attribuant ces propos : “ Sacrifice et offrande, tu n’en as pas voulu, mais tu m’as préparé un corps. ” (Hébreux 10:5). Ainsi, Jésus montrait qu’il savait que Dieu ‘ ne voulait pas ’ que l’on continue à offrir des sacrifices d’animaux au temple de Jérusalem. Il comprenait qu’en revanche Dieu lui avait préparé un corps humain parfait que lui-même offrirait en sacrifice, et que ce geste supprimerait ensuite la nécessité des sacrifices d’animaux. Désirant ardemment se soumettre à la volonté de Dieu, Jésus a dit encore dans sa prière : “ Vois ! Je suis venu (dans le rouleau du livre il est écrit à mon sujet) pour faire ta volonté, ô Dieu ! ” (Hébreux 10:7). Quel magnifique exemple de courage et d’attachement désintéressé Jésus a laissé ce jour-là pour tous ceux qui deviendraient plus tard ses disciples – TG1996  1/7 p14 §5


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Jéhovah a mis en place quelque chose de bien plus extraordinaire que le temple : le grand temple spirituel, c’est-à-dire la disposition permettant aux humains de l’adorer en vertu du sacrifice de Jésus (Héb. 9:11, 12). Ce n’est pas un bâtiment comme le temple. C’est un temple symbolique, qui glorifie Jéhovah beaucoup plus qu’un bâtiment. On l’appelle le temple spirituel. C’est le moyen qui permet aux humains de devenir les amis de Jéhovah et de l’adorer. Ce moyen existe seulement grâce au sacrifice de Jésus. Ce moyen a commencé à exister en l’année 29, quand Jésus a été baptisé et a été oint Grand Prêtre du temple spirituel de Jéhovah. Comment Jéhovah aide-t-il aujourd’hui les humains à se réconcilier avec lui ? Grâce à notre œuvre consistant à faire des disciples. En conséquence, chaque année, des millions de personnes étudient la Bible, des milliers se font baptiser et des centaines d’assemblées sont formées. – TG2016/11

    La foi en la rançon nous donne accès à un pardon total. La Parole de Dieu nous garantit que nos péchés peuvent être « effacés » Jéhovah adopte ses serviteurs oints de l’esprit, qui deviennent alors ses enfants. Quant à ceux d’entre nous qui faisons partie des « autres brebis », c’est comme si Jéhovah avait établi un certificat d’adoption à notre nom. Une fois que nous aurons atteint la perfection et passé avec succès l’épreuve finale, Jéhovah sera heureux de signer le certificat, pour ainsi dire, faisant de nous ses enfants terrestres bien-aimés. L’amour de Jéhovah pour ses enfants est éternel. Les bienfaits de la rançon le seront également (Hébreux 9:12). Ce don ne perdra jamais de sa valeur. Aucun individu ni aucun pouvoir ne peut nous le retirer.

    Il n’y a rien que le Diable puisse faire pour empêcher tous ceux qui se repentent sincèrement d’entrer un jour dans la famille de Jéhovah. Jésus est mort « une fois pour toutes ». Ainsi, la rançon a été payée de façon définitive (Hébreux 9:24-26). Elle annule complètement la condamnation héritée d’Adam. Grâce au sacrifice de Christ, nous ne sommes plus esclaves de ce monde dirigé par Satan et nous ne vivons plus dans la crainte de la mort – TG2017/2 §15,16

    Après sa résurrection, Jésus “ est entré [...] dans le ciel même, pour paraître maintenant pour nous devant la personne de Dieu. ” (Hébreux 9:24). Deux vérités importantes se dégagent. Premièrement, Dieu a un lieu de résidence. Deuxièmement, il est une personne, et non pas une force omniprésente qu’on ne peut définir. – TG2009  1/ 2

    Une bonne conscience. Il faut s’approcher de Jéhovah avec une conscience purifiée (Hé 10:22). Le chrétien doit s’efforcer constamment de garder une conscience droite en toutes choses – it-1 p513

    La faveur imméritée de Jéhovah nous procure de nombreux bienfaits, mais nous ne devons pas avoir la présomption de penser qu’il accepte n’importe quelle conduite. Certains premiers chrétiens cherchaient à « transforme[r] la faveur imméritée de [...] Dieu » en « prétexte pour se livrer au dérèglement » (Jude 4). Ces chrétiens infidèles pensaient apparemment qu’ils pouvaient pécher et ensuite compter sur Jéhovah pour leur pardonner. Pire, ils essayaient d’entraîner leurs frères dans leur conduite méprisante. Aujourd’hui encore, celui qui agit ainsi a « outragé avec mépris l’esprit de la faveur imméritée » (Héb. 10:29). Satan fait croire à certains chrétiens qu’ils peuvent présumer de la miséricorde de Dieu et commettre des péchés impunément. Mais si Jéhovah est désireux de pardonner aux pécheurs repentants, il attend toutefois de nous que nous livrions un dur combat contre nos tendances pécheresses. – TG2016/7 §16

    De nos jours, aucun adorateur de Jéhovah ne s’en prend physiquement aux adversaires du culte pur. “ C’est à moi qu’appartient la vengeance ”, déclare Dieu (Héb. 10:30).  Le mieux et le plus judicieux est de laisser à Dieu le soin de décider quand et contre qui il faut faire venir la vengeance. Dieu, lui, a une connaissance complète des faits, et, quand il sévit contre quelqu’un, c’est dans une justice parfaite. Même lorsque des ennemis de la vérité nous injurient ou nous persécutent, ayons confiance en Jéhovah – TG2011  15/11

    Depuis le premier fidèle, Abel, tous les serviteurs de Jéhovah ont à lutter. L’apôtre Paul a dit aux chrétiens hébreux qu’ils ont « enduré (supporté) un grand combat dans les souffrances » en essayant de gagner l’approbation et la bénédiction de Jéhovah (Hébreux 10:32-34). Aujourd’hui, nous sommes dans la course pour la vie éternelle, et des ennemis veulent détourner notre attention pour nous faire perdre notre joie et nos récompenses futures. Notre « lutte » la plus dure est contre Satan et son monde. Pour continuer de lutter et pour gagner, nous devons nous rappeler pourquoi nous luttons : c’est pour avoir l’approbation et la bénédiction de Jéhovah. – ws2016/9  p9 §5


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    L’Arche servait d’archives où on mettait en sûreté les saints rappels ou témoignage ; son contenu principal était les deux tablettes du témoignage ou Dix Commandements (Ex 25:16). On y avait ajouté une “ jarre d’or contenant la manne, et le bâton d’Aaron qui avait bourgeonné ”, mais ils furent ôtés de l’Arche avant la construction du temple de Salomon (Hé 9:4) - it-1 p159

    Les sacrifices requis par la Loi donnée à Israël préfiguraient le sacrifice du Fils de Dieu et la prêtrise prévue par la Loi représente sa prêtrise royale au ciel (avec des prêtres adjoints) pendant son Règne millénaire (Hé 9:23, 24 – 10 :1 ) Par conséquent, la Loi devint un “ précepteur menant à Christ ”. – it-2 p674

    Paul a associé la mort de Jésus à une autre fête juive annuelle, le jour des Propitiations. On lit en Hébreux 9:25, 26 : “ Ce n’est pas non plus afin [que Jésus] s’offre lui-même souvent, comme le grand prêtre en effet entre dans le lieu saint d’année en année [le jour des Propitiations] avec du sang qui n’est pas le sien. [...] Mais maintenant il s’est manifesté une fois pour toutes à l’achèvement des systèmes de choses pour abolir le péché grâce au sacrifice de sa personne. ” Puisque le sacrifice de Jésus a remplacé le sacrifice offert chaque année le jour des Propitiations, il est logique de commémorer sa mort une fois par an. Il n’existe aucune raison biblique de le faire plus souvent. – TG2003  1/1


    Jésus a prouvé son amour pour les humains en acceptant de sacrifier sa vie humaine pour faire la volonté de Dieu. Paul a écrit : « Jésus dit : “Vois ! Je suis venu pour faire ta volonté.” [...] Par cette “volonté”-là, nous avons été sanctifiés grâce à l’offrande du corps de Jésus Christ une fois pour toutes » (Héb. 10:9, 10). Aucun humain ne peut faire preuve d’un plus grand amour. – TG2017/8  p27


    Jésus a patienté. En l’an 33, après être resté intègre sur la terre jusqu’à sa mort, il a présenté la valeur de son sacrifice à Jéhovah au ciel. Pourtant, il a dû attendre 1914 avant de commencer à régner (Hébreux 10:12, 13). Et il devra attendre la fin de son Règne de mille ans pour que tous ses ennemis soient totalement détruits. L’attente aura été longue, mais nous pouvons être sûrs qu’elle en aura valu la peine – TG2017/8 §17

     
     

    Jésus est le premier à avoir mentionné une vie au ciel après la mort. Il a dit à ses apôtres qu’il leur préparerait une place dans le ciel. C’était une idée nouvelle pour les serviteurs de Dieu. L’apôtre Paul a expliqué plus tard que Jésus, après sa mort et sa résurrection au ciel, a “ ouvert ” (ou inauguré) pour ses disciples “ un chemin nouveau et vivant ”, un chemin qu’aucun autre humain n’avait emprunté jusque-là. — Hébreux 10:19, 20. Est-ce à dire que dès lors tous les fidèles iraient au ciel ? Non, car la résurrection au ciel avait un lien étroit avec une mission confiée à certains humains seulement – TG2011  1/6


    L’apôtre Paul a invité les membres des assemblées à ‘se soucier les uns des autres’ (Hébreux 10:24). Par cette expression, il nous encourage à apprendre à nous connaître. En apprenant à connaître d’autres membres de l’assemblée, nous nous rendons compte qu’ils ont réussi à surmonter des difficultés semblables à celles que nous avons. Ils peuvent donc nous aider à venir à bout des nôtres. – Livre Volonté de Jéhovah, p9


    Au 1er siècle, ceux qui acceptèrent le christianisme, mais qui adoptèrent ensuite un mode de vie immoral, se révélèrent des “ ennemis du poteau de supplice ”. (Ph 3:18, 19.) Leurs actions prouvaient qu’ils n’avaient aucune reconnaissance pour les bienfaits qui découlaient de la mort de Jésus sur le poteau de supplice. Ils ‘ piétinaient le Fils de Dieu et considéraient comme une chose ordinaire le sang de l’alliance par lequel ils avaient été sanctifiés ’. — Hé 10:29. – it-2 p622


    Paul a parlé des frères qui étaient en prison pour leur foi. Il a félicité la congrégation parce qu’elle avait montré « de la compassion pour ceux qui étaient en prison » (Hébreux 10:34). Paul était en prison depuis 4 ans, et certains frères et sœurs l’aidaient. Mais d’autres habitaient loin. Comment pouvaient-ils l’aider eux aussi ? Ils pouvaient continuer de prier pour lui avec beaucoup de force. Aujourd’hui, beaucoup de Témoins sont en prison parce qu’ils ont foi en Jéhovah. Les frères et sœurs qui habitent près des prisons peuvent faire des choses pratiques pour les aider. Mais beaucoup d’entre nous habitent loin des chrétiens emprisonnés. Comment pouvons-nous les aider, et ne pas les oublier ? L’amour fraternel nous poussera à prier avec force pour eux. – TG2016 1/10 §13,14


    Pour être endurant, il ne suffit pas de supporter les difficultés avec détermination. L’endurance implique d’être patient, courageux et ferme, de ne pas perdre espoir dans les épreuves, devant les obstacles, face à la tentation ou sous la persécution. Puisque nous vivons ‘ dans l’attachement à Dieu par notre relation avec Christ Jésus ’, nous nous attendons à être persécutés. Nous devons être endurants si nous voulons prouver notre amour envers Jéhovah et acquérir les qualités nécessaires au salut. Sans endurance, nous n’obtiendrons pas la vie éternelle. — Hébreux 10:36. Nous devons donc endurer jusqu’à la fin, que ce soit la fin de notre vie ou la fin du système de choses méchant. Dans les deux cas, nous devons rester fidèles à Dieu. Cependant, si nous n’ajoutons pas l’attachement à Dieu à notre endurance, nous ne pourrons pas plaire à Dieu et nous n’aurons pas la vie éternelle – TG2002  15/7 §5,6


    Puisque la grande tribulation est très proche, nous voulons faire partie « de ceux qui ont foi » pour être sauvés. (Hébreux 10:39) Nous devons donc faire des efforts pour renforcer notre foi. Nous voulons être parmi ceux qui seront récompensés quand Jésus Christ, notre Roi, sera révélé. – TG2015  15/10 §2

     
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    1 Timothée 4:2 : Comment une personne peut-elle ‘marquer sa conscience au fer rouge’ et pourquoi est-ce dangereux ? lvs 23-24 § 17

    « entraînés par l’hypocrisie d’hommes qui disent des mensonges, dont la conscience est comme marquée au fer rouge. »

    17 L’apôtre Pierre a écrit : « Gardez une bonne conscience » (1 Pierre 3:16). Que se passera-t-il si quelqu’un continue de ne pas tenir compte des principes de Jéhovah ? Malheureusement, sa conscience finira par ne plus l’avertir. Elle sera « comme marquée au fer rouge », pour reprendre l’expression de Paul (1 Timothée 4:2). Est-ce qu’il t’est déjà arrivé de te brûler gravement ? À l’endroit où tu t’es brûlé, la peau devient tellement dure que tu ne sens plus rien. Si quelqu’un continue de faire des choses mauvaises, sa conscience va devenir insensible, et finalement, elle arrêtera de fonctionner. - lvs 23-24 § 17

    Quand Paul parle d’une conscience comme marquée au fer rouge, il veut dire qu’elle est comme de la chair brûlée, couverte de tissu cicatriciel et dépourvue de terminaisons nerveuses, qui ne ressent plus rien. Ceux qui ont une telle conscience ne peuvent avoir le sens du bien et du mal. Ils ne respectent pas la liberté que Dieu leur accorde, et, en se rebellant, ils deviennent esclaves d’une conscience corrompue. Il est facile de pervertir sa conscience. Elle ne nous mettrait plus en garde contre les apostats et contre d’autres situations qui nous feraient abandonner la foi. – it-1 p515

    Paul a parlé d’hommes qui sont “ marqués au fer rouge dans leur conscience ”. Un fer rouge brûle la chair, qui reste marquée et insensible. Beaucoup ont une conscience qui est en quelque sorte morte. Elle est tellement marquée et est devenue si insensible qu’elle a cessé de mettre en garde, de protester, de susciter de la honte ou de la culpabilité. Bon nombre de nos contemporains ont définitivement tiré un trait sur le sentiment de culpabilité. Le sentiment de culpabilité peut justement être le moyen qu’utilise notre conscience pour nous dire que nous avons fait quelque chose de mal. – lv 22

    1 Timothée 4:13 : Pourquoi Paul a-t-il encouragé Timothée à continuer de s’appliquer à la lecture publique ? (it-2 122 § 1-2).

    « En attendant que je vienne, continue à t’appliquer à la lecture publique, à l’exhortation, à l’enseignement. »

    Dans la congrégation chrétienne. Au 1er siècle, peu de gens possédaient des copies des nombreux rouleaux de la Bible, ce qui rendait la lecture publique indispensable. L’apôtre Paul ordonna qu’on lise publiquement ses lettres lors des réunions des congrégations chrétiennes et qu’on les échange avec celles qu’il avait adressées à d’autres congrégations, afin qu’elles soient lues également. Paul conseilla au jeune surveillant chrétien Timothée de s’appliquer “ à la lecture publique, à l’exhortation, à l’enseignement ”.

    Celui qui fait une lecture publique doit lire couramment (Hab 2:2). Cette lecture étant destinée à fournir un enseignement, il faut qu’il comprenne bien ce qu’il lit, qu’il ait une bonne intelligence de l’intention du rédacteur et qu’il veille soigneusement à ne pas donner une idée ou une impression fausse aux auditeurs. Selon Révélation 1:3, ceux qui lisent à haute voix cette prophétie, ainsi que ceux qui en entendent les paroles et les observent, ceux-là seront heureux - it-2 122 § 1-2

    Une partie des réunions chrétiennes était consacrée à la lecture publique, dont le peuple de Dieu avait l’habitude depuis Moïse. Timothée, qui était ancien, devait s’appliquer à lire à haute voix, pour le bien de ceux qui n’avaient pas de copies des Écritures. Il est fort probable que, durant la lecture publique de la Parole de Dieu, tous écoutaient attentivement afin de ne rien en perdre, et que, de retour à la maison, parents et enfants discutaient de ce qui avait été lu. – TG2011  15/6 §19

    Quand l’apôtre Paul a conseillé à Timothée de continuer à s’appliquer à la lecture, il parlait précisément d’une lecture faite au profit d’auditeurs. Pour faire une lecture publique efficace, il ne suffit pas de prononcer des mots inscrits sur une feuille. Le lecteur doit comprendre le sens des mots et saisir les idées qu’ils expriment. Ce n’est qu’à cette condition qu’il pourra transmettre correctement les idées et reproduire exactement les sentiments. Cela demande, il va sans dire, une préparation soigneuse et des répétitions. – be 26

    Étant donné que la Bible est le fondement de notre enseignement, il est utile de pouvoir la lire correctement. Les Lévites avaient le privilège de lire la Loi mosaïque au peuple de Dieu. Trébuchaient-ils sur les mots ou lisaient-ils d’une manière monotone ? Non. La Bible dit en Néhémie 8:8 : “ Ils lisaient à haute voix dans le livre, dans la loi du vrai Dieu ; elle était expliquée, et on en donnait le sens ; et ils faisaient comprendre la lecture. ”

    Il arrive que des orateurs à la parole facile se révèlent de piètres lecteurs. Comment peuvent-ils s’améliorer ? En s’exerçant. En lisant et en relisant à voix haute jusqu’à le faire d’une manière fluide. Si la Bible est disponible sur cassettes audio dans votre langue, notez l’accent oratoire et la modulation du lecteur, ainsi que la prononciation des noms propres et autres mots peu courants. En outre, dans certaines langues, la Traduction du monde nouveau possède une aide à la prononciation. Moyennant de la pratique, même des noms comme Maher-Shalal-Hash-Baz peuvent être lus sans accrocher TG1999 15/3 p20

    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Si nous voulons servir Jéhovah éternellement, nous ne devons pas être motivés uniquement par le sens du devoir. À Timothée, qui servait Jéhovah depuis de nombreuses années, l’apôtre Paul fit cette exhortation : “ Exerce-toi en ayant pour but l’attachement à Dieu. ” (1 Timothée 4:7). L’attachement naît dans un cœur rempli de reconnaissance envers quelqu’un. “ L’attachement à Dieu ” est l’expression d’une profonde déférence pour Jéhovah, d’une grande affection inspirée par une estime illimitée pour sa personne et ses voies. Ce sentiment nous fait désirer que tous tiennent son nom en haute estime. Tel est l’attachement que nous devons cultiver si nous voulons marcher à toujours au nom de Jéhovah, le seul vrai Dieu – wt chap2

    Si nous remarquons que le désir de devenir plus riche grandit dans notre cœur, agissons rapidement pour corriger notre façon de penser (1 Tim. 6:7, 8). Si nous ne le faisons pas, notre cœur sera partagé, et Jéhovah n’acceptera pas notre culte. En effet, il « exige un attachement sans partage » - TG2019/10 §6

    Jéhovah récompense ses serviteurs fidèles en leur accordant la vie ; mais quelle sorte de vie ? Voyons... Ce que vous vivez actuellement, est-ce cela, la vraie vie ? La plupart d’entre nous répondrions que la réponse est évidente. Il est certain que nous respirons, mangeons et buvons. Par conséquent, nous vivons. Et dans les moments les plus heureux de notre existence, il nous arrive peut-être de dire : “ Ça, c’est la vraie vie ! ” Toutefois, la Bible indique que, dans un sens important, aucun humain ne vit vraiment aujourd’hui.

    La Parole de Dieu nous encourage à ‘ saisir fermement la vie véritable ’. (1 Timothée 6:19.) Ces paroles montrent que “ la vie véritable ” est quelque chose que nous espérons connaître dans l’avenir. Quand nous serons parfaits, nous serons vivants au plein sens du terme, car nous vivrons comme Dieu voulait à l’origine que nous vivions. Lorsque nous vivrons sur la terre transformée en paradis, et que nous serons en parfaite santé, dans la paix et le bonheur, enfin nous connaîtrons “ la vie véritable ”, la vie éternelle (1 Timothée 6:12). Comment pouvons-nous ‘ saisir fermement la vie véritable ’ ?

    Dans le même contexte, Paul a invité les chrétiens à “ travailler au bien ” et à “ être riches en belles œuvres ”. (1 Timothée 6:18.) Il est donc capital que nous appliquions les vérités que nous avons apprises dans la Bible - Qu’enseigne la Bible ? p192-193

    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Il y a quelque 2 000 ans, l’apôtre Paul a écrit sous inspiration divine : “ L’exercice corporel est utile à peu de chose, mais l’attachement à Dieu est utile à toutes choses puisqu’il a la promesse de la vie présente et de celle qui est à venir. ” (1 Timothée 4:8). Les propos de Paul montrent que l’utilité de l’exercice, quoique réelle, est loin d’être aussi grande que l’utilité à long terme de bonnes relations avec Dieu. Par conséquent, les vrais chrétiens s’efforcent d’être équilibrés dans leur désir de rester en bonne santé, en ne permettant jamais à “ l’exercice corporel ” de prendre le pas sur le culte qu’ils rendent à Dieu.

    Les chrétiens ont conscience que plus ils sont en bonne santé, plus ils peuvent manifester avec zèle leur amour pour Dieu et pour leur prochain. L’exercice, associé à une alimentation équilibrée et à suffisamment de repos, est essentiel pour jouir d’une bonne santé. Étant donné qu’ils considèrent leur corps comme un don de Dieu, les vrais chrétiens en prennent soin et s’efforcent de conserver de bonnes habitudes dans ces domaines. – RV2005 22/5 p11

    Paul encouragea Timothée à ‘ ne laisser personne mépriser sa jeunesse ’. Cela peut indiquer que Timothée était quelque peu timide et qu’il hésitait à affirmer son autorité (1 Timothée 4:12). Néanmoins il était capable d’être autonome, et c’est en toute confiance que Paul a pu l’envoyer accomplir des missions lourdes de responsabilités. Quand Paul reconnut la nécessité d’une surveillance théocratique ferme dans la congrégation d’Éphèse, il recommanda vivement à Timothée d’y rester pour qu’il ‘ ordonne à certains de ne pas enseigner une autre doctrine ’. Bien qu’il se soit vu confier de nombreuses responsabilités, Timothée était modeste. Et en dépit de la timidité qui l’habitait, il était courageux. Par exemple, il se rendit à Rome pour aider Paul qui passait devant les tribunaux à cause de sa foi. De fait, Timothée subit lui-même une période d’emprisonnement, de toute évidence pour la même raison – TG1999 15/9 p31

    L’apôtre Paul a exhorté Timothée à devenir un exemple en parole et en conduite (1 Tim. 4:12). Nous aussi, nous devrions avoir des paroles et une conduite exemplaires, particulièrement lorsque nous accomplissons notre ministère, car elles peuvent déterminer si nous toucherons ou non le cœur des personnes que nous rencontrons - km 9/1996 p1

    Timothée, jeune homme, avait reçu une lourde responsabilité : il était surveillant de la congrégation d’Éphèse. Paul lui fit cette exhortation : “ Ne néglige pas le [ou : ne sois pas insouciant du] don en toi qui t’a été donné par suite d’une prédiction et lorsque le collège des anciens a posé les mains sur toi. ” Timothée devait faire de vigoureux efforts pour ne pas être négligent. Il lui fallait s’absorber dans la lecture, l’enseignement correct, la conduite convenable, l’exhortation, en donnant l’exemple et en manifestant de l’intérêt par une attention constante. Sinon, il risquait de tout perdre par négligence, par manque d’intérêt véritable envers la faveur que Dieu lui accordait. Paul dit à Timothée de réfléchir à sa conduite, à son ministère et à son enseignement, autrement dit de méditer dessus. Étant surveillant, Timothée devait particulièrement veiller à enseigner une doctrine exacte et à avoir un mode de vie exemplaire— 1Tm 4:11-16 – it-2 p387

    À peu près à l’époque où Paul a écrit aux Philippiens, il a également envoyé une lettre à Timothée, à qui il avait confié une lourde responsabilité, celle de nommer des anciens et des assistants ministériels. À l’évidence, Timothée était devenu un surveillant digne de confiance. Pourtant, dans sa lettre, Paul lui a rappelé comment il pouvait rendre ‘ ses progrès manifestes pour tous ’. (1 Tim. 4:15.) Or, Timothée avait déjà fait des progrès remarquables ! Que voulait donc dire Paul ? Et comment appliquer aujourd’hui son conseil ?

    Paul s’était rendu en Macédoine, mais il avait demandé à Timothée de rester à Éphèse. Pour quelle raison ? Certains chrétiens étaient devenus des ferments de discorde ; ils introduisaient dans la congrégation des enseignements mensongers. Timothée avait pour mission de préserver la congrégation de la corruption spirituelle. Comment y parviendrait-il ? Notamment en donnant l’exemple. 6 “ Deviens un exemple pour les fidèles, en parole, en conduite, en amour, en foi, en pureté, lui a conseillé Paul. Réfléchis à ces choses ; absorbe-toi en elles, pour que tes progrès soient manifestes pour tous. ” (1 Tim. 4:12, 15). Les progrès dont parlait Paul portaient donc sur des qualités spirituelles. En réalité, chaque chrétien devrait avoir le souci de progresser dans ces cinq domaines. Nos progrès spirituels ne constituent pas une montée en grade, mais traduisent notre détermination à faire la volonté de Dieu avec abnégation. Prendre cette orientation montre que nous laissons Dieu guider nos pas dans tous les domaines de la vie, ce qu’il fait infiniment mieux que nous– TG2009  15/12 p12

    Le conseil de l’apôtre Paul à Timothée de ‘ faire constamment attention à lui et à son enseignement ’ vaut pour chaque chrétien (1 Timothée 4:16). Difficile, en effet, d’aider les autres à obtenir le salut si l’on ne fait pas d’abord attention à soi. Pour cela, il s’agit avant tout de ne pas perdre de vue l’époque à laquelle nous vivons. Les anciens doivent eux aussi chérir leurs attributions de service. Comme le fait remarquer Paul, une des façons de le montrer consiste pour eux à ‘ faire attention à leur enseignement ’. À la différence des dirigeants charismatiques de ce monde, ils attirent l’attention sur Dieu, et non sur leur personne – TG1999  15/3 p10

    Aujourd’hui, les chrétiens ne sont plus soumis aux décrets de la loi mosaïque (Romains 7:6). Toutefois, ils ne sont pas pour autant dispensés de montrer des égards aux personnes âgées. Cela ressort des instructions que l’apôtre Paul a données au surveillant chrétien Timothée: “Ne critique pas un aîné avec dureté. Au contraire, supplie-le comme un père, (...) les femmes âgées comme des mères.” (I Timothée 5:1, 2). Le jeune Timothée, Paul le lui avait certifié, avait autorité pour donner des ordres (I Timothée 1:3). Néanmoins, si quelqu’un de plus âgé que lui, et en particulier un surveillant chrétien, commettait une erreur de jugement ou prononçait une déclaration inexacte, Timothée ne devait pas le ‘critiquer avec dureté’, comme un inférieur. Il devait plutôt le ‘supplier comme un père’, avec respect. Timothée était tenu d’avoir les mêmes égards envers les femmes âgées de la congrégation. Oui, il devait toujours, en quelque sorte, ‘se lever devant les cheveux gris’. – TG1987 1/6 p5

    Ceux qui mettent en pratique ces principes bibliques ‘ honorent vraiment les veuves ’. (1 Timothée 5:3) Honorer quelqu’un, c’est lui témoigner du respect. Les personnes que l’on honore se sentent appréciées, aimées et respectées. Elles n’ont pas l’impression que les autres les aident simplement par sens du devoir. Les veuves âgées étaient particulièrement l’objet de l’honneur qui consistait à recevoir une aide pécuniaire régulière. Ces femmes ne disposaient d’aucunes ressources et ne pouvaient que ‘mettre leur espoir en Dieu et persévérer nuit et jour dans les supplications et les prières’. (Verset 5.) Comment leurs prières étaient-elles exaucées? Par l’intermédiaire de la congrégation. Les choses étant ainsi organisées, les veuves qui en étaient dignes recevaient de quoi vivre modestement. Bien sûr, si une veuve avait des moyens financiers ou des parents susceptibles de la prendre en charge, ces dispositions n’étaient pas nécessaires– TG2001 1/5 p6

    “Mais celle [la veuve] qui recherche les plaisirs des sens, avertit Paul, est [spirituellement] morte, quoique vivante.” (Verset 6). Paul n’explique pas en quel sens certaines veuves, selon l’expression littérale utilisée dans la Traduction interlinéaire du Royaume (angl.), ‘se comportaient voluptueusement’. Peut-être certaines devaient-elles lutter contre leurs “impulsions sexuelles”. (Verset 11.) Toutefois, d’après le Lexique grec-anglais de Liddell et Scott, ‘se comporter voluptueusement’ pouvait également signifier ‘vivre dans la mollesse, dans un confort ou une facilité excessive’. Il se peut donc que certaines de ces veuves aient voulu s’enrichir grâce à la congrégation, qui aurait alors financé leur vie extravagante et immodérée. Quoi qu’il en soit, Paul indique que ces personnes-là ne méritaient pas de recevoir le soutien de la congrégation. - TG2001 1/5 p6

    Paul dit ensuite: “Qu’on inscrive sur la liste [de celles qui recevront un soutien financier] une veuve qui n’ait pas moins de soixante ans.” Il semble bien qu’à l’époque de Paul une femme âgée de plus de soixante ans ait été considérée comme incapable de subvenir à ses besoins et peu susceptible de se remarier. “Par contre, déclare Paul, les jeunes veuves, refuse-les [sur la liste], car lorsque leurs impulsions sexuelles viennent se mettre entre elles et le Christ, elles veulent se marier, encourant un jugement pour avoir fait peu de cas de leur première déclaration de foi.” — Versets 9, 11, 12.

    Si les jeunes veuves avaient pu être inscrites sur “la liste”, certaines auraient peut-être hâtivement annoncé leur intention de demeurer célibataires. Toutefois, avec le temps, elles auraient eu du mal à maîtriser leurs “impulsions sexuelles” et auraient désiré se remarier, ‘encourant un jugement parce qu’elles auraient fait peu de cas de leur première déclaration de foi’ par laquelle elles se seraient engagées à rester célibataires. Paul pare à cette éventualité en déclarant: “Je veux donc que les jeunes veuves se marient, qu’elles aient des enfants.” — Verset 14. - TG2001 1/5 p6

    Que faire maintenant si un membre âgé de la congrégation se trouve dans une situation difficile, qu’il ait besoin d’argent, par exemple ? En premier lieu, il faudrait savoir si des enfants ou des proches pourraient intervenir. Cette démarche serait conforme au principe énoncé en 1 Timothée 5:4 : “ Si une veuve a des enfants ou des petits-enfants, que ceux-ci apprennent d’abord à pratiquer l’attachement à Dieu dans leur propre maisonnée et à s’acquitter fidèlement envers leurs parents et grands-parents de ce qu’ils leur doivent en compensation, car cela est agréable aux yeux de Dieu. ” Dans nombre de cas, il n’est pas nécessaire d’apporter un soutien financier, une “ compensation ” matérielle. Certaines veuves ont assez d’argent pour vivre ; d’autres bénéficient des prestations sociales qui sont versées dans leur pays. Cependant, quand une veuve est dans le besoin, les membres de sa famille se doivent d’intervenir. Et si elle n’a pas de parents proches ou si ceux-ci sont dans l’impossibilité de l’aider, les Écritures encouragent les autres chrétiens à lui porter secours 

    De la patience, des visites et plusieurs discussions peuvent leur être nécessaires pour définir précisément les besoins d’un compagnon âgé : ménage, courses, transport aux réunions, lecture de la Bible ou des publications chrétiennes, etc. Les anciens s’efforcent ensuite de prendre des mesures pratiques et de faire en sorte qu’elles soient efficaces – TG2006  1/6 p6

    Paul a demandé à Timothée de rappeler à ses compagnons chrétiens “ de travailler au bien, d’être riches en belles œuvres, d’être généreux, prêts à partager, amassant en lieu sûr pour eux-mêmes un beau fondement pour l’avenir, afin qu’ils saisissent fermement la vie véritable ”. (1 Tim. 6:17-19.) L’apôtre recommandait ainsi à ses frères de cultiver la générosité. Même en période de difficultés économiques, nous pouvons favoriser un esprit généreux. Comment ? Par exemple, en proposant à ceux qui n’ont pas de moyen de locomotion de les emmener prêcher, de les conduire aux réunions ou de les reconduire chez eux. Quant à ceux qui bénéficient de ces actes de bonté, ils contribueront au bel esprit de leur assemblée en se montrant reconnaissants. Ils pourront peut-être participer aux frais de carburant, qui ne cessent d’augmenter. En outre, si nous nous organisons pour passer davantage de temps avec nos frères et sœurs, ne se sentiront-ils pas appréciés et utiles ? Quand nous sommes riches de bonnes actions “ envers ceux qui nous sont apparentés dans la foi ” et que nous sommes disposés à leur offrir de notre temps et de nos ressources, non seulement nous renforçons l’amour que nous éprouvons pour eux, mais nous créons dans l’assemblée un esprit chaleureux – TG2012 15/2 p19-20 §6

    6:15, 16 — Ces paroles s’appliquent-elles à Jéhovah Dieu ou à Jésus Christ ? Ces paroles s’appliquent à celui dont elles décrivent la manifestation, à savoir Jésus Christ (1 Tim. 6:14). En comparaison des humains qui règnent ou de ceux qui dominent, Jésus est l’“ unique Souverain ”, et lui seul a l’immortalité. Depuis son ascension vers les cieux invisibles, personne sur la terre “ ne peut voir ” Jésus avec ses yeux physiques. – TG2008  15/9 p31

    En quel sens Jésus est-il “ celui qui seul a l’immortalité ” ?

    Le premier dont la Bible dit qu’il a reçu le don de l’immortalité est Jésus Christ. Les paroles inspirées de l’apôtre Paul en Romains 6:9 révèlent que Jésus ne possédait pas l’immortalité avant d’être ressuscité par Dieu. On lit : “ Christ, maintenant qu’il a été relevé d’entre les morts, ne meurt plus ; la mort ne domine plus sur lui. ”. C’est pourquoi, lorsque 1 Timothée 6:15, 16 présente Jésus comme “ le Roi de ceux qui règnent et le Seigneur de ceux qui dominent ”, cela signifie qu’il se distingue de tous les autres rois et seigneurs en ce qu’il est “ celui qui seul a l’immortalité ”. En effet, les autres rois et seigneurs meurent puisqu’ils sont mortels, comme moururent aussi les grands prêtres d’Israël. En revanche, Jésus glorifié, établi par Dieu Grand Prêtre a “ une vie indestructible ”.

    Ici, le mot “ indestructible ” traduit le terme grec akatalutos, qui signifie littéralement “ indissoluble ”. Il est formé du préfixe privatif a suivi d’autres mots évoquant une “ dissolution » Ainsi donc, la vie immortelle que Jésus reçut à sa résurrection n’est pas seulement une vie sans fin : elle est à l’abri de toute détérioration ou dissolution, à l’abri de toute destruction. – it-1 p1175

     

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    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : 1 Thessaloniciens 1-5


    1Thessaloniciens 4:3-6 : En quoi celui qui commet un acte sexuel immoral ‘profite-t-il de son frère’ ? (it-1 921 § 2).

    « Car voici ce que Dieu veut : que vous soyez saints et que vous vous absteniez de tout acte sexuel immoral. 4 Chacun de vous doit savoir maîtriser son corps dans la sainteté et l’honneur, 5 et ne pas céder à des désirs sexuels avides et non maîtrisés comme ceux qu’ont les nations qui ne connaissent pas Dieu. 6 Dans ce domaine, personne ne doit dépasser les limites et profiter de son frère, car Jéhovah inflige la punition pour toutes ces choses, comme nous vous l’avons dit précédemment et vous en avons avertis. »

    La fornication est une offense pour laquelle on peut être expulsé (ou exclu) de la congrégation chrétienne (1Co 5:9-13 ; Hé 12:15, 16). L’apôtre expliqua que le chrétien qui commet la fornication pèche contre son propre corps, car il utilise ses organes reproducteurs à des fins perverties. Il se fait un tort considérable sur le plan spirituel, il amène une souillure dans la congrégation de Dieu et s’expose au danger des maladies sexuellement transmissibles qui sont mortelles (1Co 6:18, 19).

    De plus, il lèse les droits de ses frères chrétiens (1Th 4:3-7) :

    1) en introduisant dans la congrégation l’impureté et une sottise déshonorante, avec l’opprobre (Hé 12:15, 16) ;

    2) en privant son partenaire de sa pureté morale et, s’il s’agit d’un(e) célibataire, de la possibilité d’être pur(e) quand il (elle) se mariera ;

    3) en privant sa propre famille d’une réputation de bonne moralité ;

    4) en faisant du tort à parents, mari ou fiancé(e) de son (sa) partenaire. Enfin, il repousse, non pas un homme, dont les lois excusent parfois la fornication, mais Dieu qui, lui, réclamera la punition pour son péché - it-1 921 § 2

    Le culte idolâtrique favorisait le relâchement des mœurs. Cabirus, un des protecteurs de la ville, Dyonisos et Aphrodite, Isis, la déesse égyptienne ; toutes ces divinités avaient pour point commun un culte fortement érotisé, qui mêlait festivités débridées et rites orgiaques. Le concubinage et la prostitution étaient monnaie courante. Les relations sexuelles entre personnes non mariées n’étaient pas perçues comme un péché. La population s’était imprégnée de la culture romaine, dans laquelle, précise un livre d’histoire, “ les citoyens pouvaient recourir aux services de toute une armée d’hommes et de femmes pour assouvir leurs plus bas instincts. D’ailleurs, même les médecins conseillaient à leurs patients de ne pas réprimer leurs pulsions ”. On comprend donc pourquoi Paul a exhorté les chrétiens à ‘ s’abstenir de la fornication ’ et à rejeter les “ désirs sexuels avides ” et “ l’impureté ”. — 1 Thessaloniciens 4:3-8. – TG2012  1/6 p21

    Pour le chrétien, la fornication constitue par ailleurs une atteinte aux droits de son frère ou de sa sœur spirituel(le). Ainsi, celui qui se dit serviteur de Dieu et qui a des relations sexuelles hors mariage introduit l’impureté dans la congrégation (Hébreux 12:15, 16). En outre, il prive de sa pureté morale la personne avec laquelle il commet la fornication et, si elle est célibataire, de la possibilité de contracter un jour un mariage moralement pur. Il ternit également la réputation de sa famille, et porte préjudice à celle de son ou de sa partenaire. Enfin, il fait preuve de mépris envers Dieu, qu’il offense en violant ses lois et ses principes justes. Jéhovah, lui, ‘ infligera la punition ’ à celui qui commet un tel acte mauvais et ne s’en repent pas. Y a-t-il donc lieu de s’étonner que la Bible nous recommande de ‘ fuir la fornication ’ ? – RV2006/11  p29

    “ S’abstenir de la fornication ” ? Voilà qui en fera certainement rire plus d’un. Après tout, jeunesse et désirs ne vont-ils pas de pair ? Cependant, remarquez que la fornication ‘ nuit et lèse les droits ’ des autres. Ne nuit-elle pas à une jeune fille qui est abandonnée avec un bébé, sans le soutien d’un mari ? Sans parler des risques de la contaminer par une maladie sexuellement transmissible, telle que l’herpès génital, la syphilis, la blennorragie ou le sida. Certes, il est parfois possible d’éviter de telles conséquences, mais les relations sexuelles préconjugales lèsent tout de même les droits des jeunes filles en ce qu’elles les empêchent de conserver une bonne réputation et leur virginité jusqu’au mariage. S’abstenir de la fornication est donc une preuve de sagesse et de maturité. Il est vrai que “ se rendre maître de son propre vase ” et s’abstenir d’avoir des relations sexuelles avant le mariage demandent de la maîtrise de soi et de la détermination. Mais, comme le dit Isaïe 48:17, 18, par ses lois Dieu ‘ nous enseigne pour notre profit ’. – RV2000  22/4 p14

    Notre morale a aussi un effet sur nos semblables. L’immoralité sexuelle est incompatible avec la morale chrétienne. Néanmoins, vous pouvez approfondir votre réflexion. Certains textes contiennent de quoi étudier et méditer intensément ; ils permettent donc de devenir plus perspicace. Par exemple, vous pouvez vous demander ce que Paul voulait dire en affirmant que, par la fornication, quelqu’un risque ‘ d’en venir à nuire à son frère et à léser ses droits en cette affaire ’. Un fornicateur pèche contre Dieu et s’expose à des maladies. Un homme qui commet la fornication lèse plusieurs droits de la femme avec qui il pèche. Il lui dérobe sa pureté et sa bonne conscience. Si elle est célibataire, il lèse son droit de se marier vierge et le droit de son futur mari de s’attendre à ce qu’elle le soit. Il blesse les parents de cette femme et, si elle est mariée, il blesse son mari. L’homme immoral gâche le droit de sa propre famille d’avoir une réputation de bonne moralité. S’il est membre d’une congrégation chrétienne, il jette l’opprobre sur elle. - TG2002 15/6 p20

    La méditation consiste également à envisager les conséquences d’une action. Paul exhorte les chrétiens à s’abstenir de la fornication et à exercer la maîtrise de soi de façon à ce que “ personne n’en vienne à nuire à son frère et à léser ses droits ”. (1 Thessaloniciens 4:3-7.) Voici quelques questions qui méritent réflexion : “ Quel tort ferais-je à ma famille, aux autres et à moi-même en agissant ainsi ? À quelles conséquences sur les plans spirituel, affectif et physique est-ce que je m’expose ? Qu’ont récolté certaines personnes pour avoir autrefois transgressé la loi de Dieu ?  - TG2001  15/1 p7

    Celui qui séduit une personne non mariée la prive de son droit à contracter ultérieurement un mariage chrétien en toute virginité. Il prive aussi le futur conjoint éventuel de cette personne du droit qu’il a d’épouser un chrétien chaste. Par-dessus tout, il faut se garder de la fornication parce qu’aux yeux de Dieu, c’est une mauvaise action, c’est un péché. L’apôtre écrit justement: “Ce que Dieu veut, c’est votre sanctification, que vous vous absteniez de la fornication.” – TG1989  15/11 p31

    1Thessaloniciens 4:15-17 : Qui sera emporté « dans des nuages à la rencontre du Seigneur dans les airs », et comment cela se passera-t-il ? (w15 15/7 18-19 § 14-15)

    « Car voici ce que nous vous disons par la parole de Jéhovah : que nous les vivants qui survivons jusqu’à la présence du Seigneur, nous ne précéderons en rien ceux qui se sont endormis dans la mort ; 16 parce que le Seigneur lui-même descendra du ciel avec un cri de commandement, avec une voix d’archange et avec la trompette de Dieu, et ceux qui sont morts en union avec Christ ressusciteront d’abord. 17 Ensuite nous les vivants qui survivons, nous serons, ensemble avec eux, emportés dans des nuages à la rencontre du Seigneur dans les airs ; et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. »

    14 Que se produira-t-il après le début de l’attaque de Gog de Magog contre le peuple de Dieu ? Cet évènement, qu’annoncent les Évangiles de Matthieu et de Marc : « [Le Fils de l’homme] enverra les anges et rassemblera ceux qu’il a choisis depuis les quatre vents, depuis l’extrémité de la terre jusqu’à l’extrémité du ciel ». Ici, il n’est question ni de la sélection des oints, ni du scellement définitif du reste oint (Mat. 13:37, 38). En effet, ce scellement a lieu avant le déclenchement de la grande tribulation. Alors de quelle œuvre de rassemblement s’agit-il ? Jésus parlait du moment où le reste des 144 000 recevra sa récompense céleste. Cet évènement se situera après le début de l’attaque de Gog de Magog (Ézéch. 38:11). Les paroles suivantes de Jésus se réaliseront alors : « En ce temps-là, les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père » (Mat. 13:43).

    15 De nombreux membres de la chrétienté croient au dogme de l’enlèvement de l’Église. Selon ce dogme, ils seront pris de la terre avec leur corps de chair. De plus, ils s’attendent à ce que Jésus revienne de façon visible pour gouverner la terre. Cependant, la Bible montre clairement que « le signe du Fils de l’homme » apparaîtra dans le ciel et que Jésus viendra « sur les nuages du ciel » (Mat. 24:30). Ces deux expressions suggèrent l’invisibilité. De plus, « la chair et le sang ne peuvent hériter du royaume de Dieu ». Par conséquent, ceux qui seront emportés au ciel devront d’abord être « changés, en un instant, en un clin d’œil, durant la dernière trompette » (1 Corinthiens 15:50-53). Ainsi, bien que nous n’utilisions pas dans cet article le terme « enlèvement » en raison de sa connotation, les oints fidèles encore sur terre seront rassemblés en un instant.

    Voir notre édition du 15 juillet 2013, pages 13-14.

    Les corps de chair des oints encore sur terre à cette époque ne seront pas emportés au ciel (1 Cor. 15:48, 49). Jéhovah les fera probablement disparaître de la même manière qu’il a fait disparaître le corps de Jésus.

    Les chrétiens oints qui sont morts avant la présence du Christ ont été relevés pour la vie céleste avant ceux qui étaient toujours en vie durant la présence du Christ. Cela signifie que la première résurrection a dû commencer au début de la présence du Christ, et qu’elle continue “ durant sa présence ”. (1 Corinthiens 15:23.) La première résurrection ne s’opère pas en une fois, mais se déroule sur une certaine période de temps. -  TG2007 1/1 p28 §13

    4:15-17 — À qui l’expression “ emportés dans des nuages à la rencontre du Seigneur dans les airs ” se rapporte-t-elle, et comment cela se passe-t-il ? Cette expression se rapporte aux chrétiens oints qui sont vivants durant la présence du Christ alors qu’il est investi du pouvoir royal. Ils partent “ à la rencontre du Seigneur ” Jésus dans le domaine céleste invisible. Pour que cela ait lieu, ils doivent d’abord mourir, puis être ressuscités en tant que créatures spirituelles (Rom. 6:3-5 ; 1 Cor. 15:35, 44). La présence de Christ ayant déjà commencé, les chrétiens oints qui meurent actuellement ne demeurent pas dans la mort. Ils sont “ emportés ”, c’est-à-dire relevés instantanément.1 Cor. 15:51, 52. – TG2008  15/9 p29

    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Paul a fait remarquer que les chrétiens de Thessalonique avaient accepté la vérité “ au milieu de beaucoup de tribulations ”, mais “ avec la joie de l’esprit saint ”. (1 Thess. 1:6.) Quantité de chrétiens d’hier et d’aujourd’hui, qui sont restés fidèles malgré la persécution, ont connu un sentiment similaire. Ils ont expliqué qu’au plus fort de l’épreuve ils ont ressenti une profonde paix intérieure — paix qui constitue une facette du fruit de l’esprit de Dieu. Cette paix a alors gardé leurs cœurs et leurs facultés mentales. Sans conteste, par sa force agissante, Jéhovah rend ses serviteurs puissants pour endurer et agir sagement quand ils sont éprouvés. – TG2011 15/1 §6

    Peut-être avez-vous parfois du mal à participer à la prédication, à moins que vous n’appréhendiez certains aspects du ministère. Si c’est le cas, sachez que ces sentiments sont communs à de nombreux témoins fidèles. Par exemple, l’apôtre Paul, qui était un prédicateur hardi et courageux, et qui avait une très bonne compréhension de la vérité, a eu lui aussi parfois du mal à prêcher. Il a écrit aux chrétiens de Thessalonique : “ Après avoir d’abord souffert et avoir été traités avec insolence à Philippes (comme vous le savez), nous avons pris de la hardiesse par le moyen de notre Dieu pour vous dire la bonne nouvelle de Dieu au milieu de bien des combats. ” (1 Thess. 2:2). À Philippes, sur l’ordre des autorités, Paul et son compagnon Silas avaient été flagellés. Ils avaient été jetés en prison et mis aux ceps (Actes 16:16-24). Pourtant, ils ont “ pris de la hardiesse ” pour continuer à prêcher. Nous pouvons en faire autant. Comment ? La prière est l’un des moyens dont nous disposons pour prendre de la hardiesse. Une pionnière a dit : “ Je prie pour pouvoir parler avec conviction, je prie pour arriver à toucher les cœurs, et je prie pour trouver de la joie dans le ministère. Car au fond, c’est l’œuvre de Jéhovah, non la nôtre : nous ne pouvons donc rien faire sans son aide. ” (1 Thess. 5:17). Nous avons tous besoin de prier constamment pour que l’esprit saint de Dieu nous aide à prêcher avec hardiesse – TG2009  15/7 p20 §4

    Paul a indiqué un moyen de garder fort notre amour pour Jéhovah. Il a dit : « Priez constamment. » Et aussi : « Persévérez dans la prière » (1 Thessaloniciens 5:17). Pourquoi la prière nous rapproche-t-elle de Jéhovah ? Parce qu’elle est un moyen essentiel pour communiquer avec lui et avoir une bonne relation avec lui. Quand nous exprimons nos pensées et nos sentiments les plus profonds à notre Père qui est au ciel, nous nous rapprochons de lui. De plus, quand nous voyons qu’il répond à nos prières, notre amour pour lui grandit. Nous sommes convaincus qu’il « est près de tous ceux qui l’invoquent (l’appellent) » (Psaume 145:18). Notre confiance en son amour et en son soutien nous aidera à gérer tout problème présent ou à venir. – TG2017/5 p10

    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Paul a écrit : “ Nous nous rappelons constamment votre œuvre de fidélité et votre labeur d’amour et votre endurance grâce à votre espérance en notre Seigneur Jésus Christ devant notre Dieu et Père. ” (1 Thessaloniciens 1:3). Paul associait le bon travail et l’endurance à l’espérance en Jésus Christ. Cette espérance implique la foi dans la venue de Christ et dans le rétablissement dont cette venue est le prélude. Une telle espérance peut soutenir les chrétiens sincères, et leur permettre d’endurer, en dépit de situations très difficiles. Notre espérance de voir le Christ purifier la terre de la méchanceté et établir une domination juste, synonyme de bénédictions pour l’humanité, est encourageant – TG2007  15/3 p6

    Paul poursuit en encourageant les Thessaloniciens à tenir ferme malgré la persécution (2:13 à 3:13). Ils ont été persécutés par leurs compatriotes, mais Timothée a pu faire à Paul un compte rendu rassurant sur leur condition spirituelle. L’apôtre a prié pour que les Thessaloniciens abondent dans la foi et que leurs cœurs soient affermis. À notre époque, les Témoins de Jéhovah prient de même pour leurs compagnons persécutés; ils les encouragent dans toute la mesure du possible et se réjouissent en entendant parler de leur fidélité. – TG1991 15/1

    Quand Paul a rédigé les conseils qu’il destinait à Timothée, entre 61 et 64 de n. ère, ce dernier était un surveillant expérimenté. Paul ne voulait donc pas dire que Timothée n’avait pas fait de progrès. D’ailleurs, déjà en 49 ou 50, alors que Timothée avait probablement une vingtaine d’années, “ les frères de Lystres et d’Iconium ”, qui avaient observé ses progrès, “ rendaient de lui un bon témoignage ”. (Actes 16:1-5.) En conséquence, Paul avait proposé à Timothée de l’accompagner dans son activité missionnaire. Durant les quelques mois passés ensemble, l’apôtre avait constaté par lui-même que Timothée continuait à progresser ; il avait donc décidé de l’envoyer à Thessalonique pour consoler et affermir les frères. (1 Thessaloniciens 3:1-3, 6) Indiscutablement, les progrès de Timothée ont été manifestes dès sa jeunesse.

    Jeunes chrétiens, c’est maintenant qu’il vous faut cultiver les qualités qui vous aideront à mener une vie exemplaire et à devenir des enseignants capables. Sans doute les autres membres de l’assemblée remarqueront-ils vos progrès – TG2009  15/5 p14 §5,6

    Parfois, c’est la fidélité de nos frères et sœurs spirituels qui nous encourage (1 Thessaloniciens 3:7, 8) ; d’autres fois, leur amour (Philémon 7) ; d’autres fois encore, le simple fait d’avancer coude à coude dans l’œuvre consistant à parler du Royaume de Dieu. Si vous vous sentez faible, découragé pour ce qui est du ministère, pourquoi ne pas prévoir d’accompagner un prédicateur du Royaume plus âgé ou plus expérimenté ? Vous en retirerez probablement un grand réconfort. – TG1996  15/1

    Comme au 1er siècle, un amour plus qu’ordinaire se voit aujourd’hui parmi les disciples authentiques du Christ. L’apôtre Paul a déclaré aux premiers chrétiens : “ Pour ce qui est de l’amour fraternel, vous n’avez pas besoin qu’on vous en écrive, car vous êtes vous-mêmes enseignés par Dieu à vous aimer les uns les autres ; et c’est bien ce que vous faites envers tous les frères. ” Ce qui ne l’a pas empêché d’ajouter : ‘ Faites-le toujours plus pleinement. ’ (1 Thessaloniciens 3:12 ; 4:9, 10). Nous aussi, il nous faut prendre à cœur la recommandation de Paul, nous efforcer de nous témoigner mutuellement de l’amour “ plus pleinement ”. – TG2003  1/ 2 p13 §3

    D’un bout à l’autre, la Bible enseigne que les actes sexuels sont réservés à un homme et une femme mariés l’un à l’autre. Par ailleurs, elle condamne les « désirs sexuels avides » (1 Thessaloniciens 4:5). Qu’est-ce que cela signifie ? Prenons un exemple (qui vaudrait aussi pour un garçon) : Une fille est résolue à ne pas coucher avec son petit ami, mais cela ne l’empêche pas de se livrer avec lui à d’autres types d’actes sexuels. En faisant cela, ils désirent intensément quelque chose qui ne leur revient pas. Ils sont donc coupables de « désirs sexuels avides ». La Bible condamne une telle avidité. L’immoralité sexuelle est incompatible avec la morale chrétienne – RV2013/9 p5

    Paul et Pierre ont tous deux annoncé que le jour de Jéhovah viendra “ comme un voleur ”, qui agit furtivement et par surprise. (1 Thessaloniciens 5:1, 2) Même les vrais chrétiens, qui demeurent pourtant dans l’attente de ce jour, seront surpris par sa soudaineté (Mat. 24:44). Cependant, le monde éprouvera bien plus que de la surprise. Paul déclare : “ Quand [les humains éloignés de Dieu] diront : ‘ Paix et sécurité ! ’ alors une destruction subite sera sur eux à l’instant même, comme les douleurs sur une femme enceinte ; et ils n’échapperont en aucune façon. ” — 1 Thess. 5:3.

    Le cri “ Paix et sécurité ! ” ne sera qu’un mensonge de plus inspiré par les démons. Mais il ne trompera pas les serviteurs de Dieu. “ Vous n’êtes pas dans les ténèbres, pour que ce jour vous surprenne comme il surprendrait des voleurs, écrit Paul, car vous êtes tous fils de la lumière et fils du jour. ” (1 Thess. 5:4, 5). Restons donc dans la lumière, loin des ténèbres du monde de Satan – TG2010  15/7 p5 /12,13

    Proclamation de paix. Paul a décrit le premier des évènements que nous attendons (1 Thessaloniciens 5:2, 3). Paul mentionne le « jour de Jéhovah », jour qui débutera par l’attaque contre « Babylone la Grande ». Cependant, juste avant, les nations diront : « Paix et sécurité ! » Il pourrait s’agir d’une seule annonce solennelle ou d’une série de déclarations marquantes. Les chefs religieux seront-ils impliqués ? Puisqu’ils font partie du monde, il est possible en effet qu’ils se joignent aux nations pour affirmer : « Il y a la paix ! » (Jér. 6:14). Cette proclamation indiquera l’imminence du jour de Jéhovah. Les ennemis du Royaume de Dieu « n’échapperont en aucune façon ».

    Pourquoi chercher à comprendre cette prophétie ? Paul écrit : « Vous n’êtes pas dans les ténèbres, pour que ce jour vous surprenne comme il surprendrait des voleurs » (1 Thess. 5:3, 4). Contrairement à la majorité des gens, nous savons à quoi les évènements actuels vont aboutir. Comment cette prophétie concernant la paix et la sécurité s’accomplira-t-elle dans les détails ? L’évolution de la situation mondiale nous le dira. En attendant, « demeurons éveillés et restons dans notre bon sens » (1 Thess. 5:6) – Livre Le Royaume en action p222 §3,4

    1 Thessaloniciens 5:4-8. Dans ce passage, Paul recommande à ses compagnons de ‘ ne pas dormir comme les autres ’. Nous serions de ceux qui dorment spirituellement si nous ne respections pas les normes divines, ou si nous ne tenions pas compte du fait que Jéhovah est sur le point de détruire les impies. Prenons bien garde de ne pas nous laisser influencer par les raisonnements et les façons d’agir de ces individus méchant. Les adorateurs de Jéhovah vivent dans un monde souvent indifférent aux questions spirituelles, ce qui risque de déteindre sur eux. C’est pourquoi Paul déclare : “ Restons dans notre bon sens et portons la cuirasse de la foi et de l’amour, et pour casque l’espérance du salut. ” (1 Thessaloniciens 5:8). L’étude régulière de la Parole de Dieu nous permettra de développer l’espérance en la capacité qu’a Jéhovah de nous sauver. Une espérance solide nous permet de résister aux apostats et à la véritable gangrène que sont leurs « discours vides ». Elle nous donne également la force de dire non aux incitations à faire ce que Jéhovah condamne. Et l’assistance aux réunions nous aidera à suivre la recommandation de Paul et à ne pas relâcher notre vigilance. – TG2012  15/3 p10 §4

    La Bible énumère les différentes parties de l’armure spirituelle dont nous avons besoin pour combattre Satan et le monde. Une pièce essentielle de cette armure est le casque, “ l’espérance du salut ”. (1 Thessaloniciens 5:8.) Aux temps bibliques, le soldat savait qu’il ne survivrait pas bien longtemps au combat sans son casque. Souvent en métal et ajusté sur une coiffe de feutre ou de cuir, le casque déviait la plupart des projectiles et atténuait les chocs. Avec un bon casque, il pouvait recevoir des coups sans être gravement blessé. De la même façon qu’un casque protège la tête, l’espérance peut protéger vos pensées, votre façon de raisonner. – Livre « Amour de Dieu » p203 §17

    L’apôtre Paul a adressé aux Thessaloniciens l’exhortation suivante : “ N’éteignez pas le feu de l’esprit. ” (1 Thessaloniciens 5:19). En effet, des actions ou des attitudes qui vont à l’encontre des principes divins pourraient entraver l’activité de l’esprit saint en notre faveur. Les chrétiens ont aujourd’hui pour mission de prêcher la bonne nouvelle, privilège auquel nous accordons un profond respect. Il n’est pas surprenant que des gens qui ne connaissent pas Dieu considèrent notre œuvre avec mépris. Mais si un chrétien négligeait délibérément son ministère, cela pourrait entraîner l’extinction du feu de l’esprit de Dieu et le priver de ce soutien. – TG2000 1/7 p10 §9

    Celui qui se dit chrétien, serviteur voué du Dieu Tout-Puissant, et qui continue de suivre le monde dans sa voie corrompue et impie, participe non seulement à cette corruption, mais il ajoute à ses péchés en traitant les prophéties avec mépris (I Thess. 5:20). Il ne tient aucun compte de toutes les paroles que Dieu a prononcées par la bouche de ses prophètes et porte-parole. Ce soi-disant chrétien possède les paroles du Dieu qu’il prétend servir ; il a la Bible, mais il lui préfère les idées des hommes qui flattent ses désirs égoïstes. Agir de la sorte, c’est insulter Dieu, être hypocrite et se révéler plus répréhensible que les incroyants ; c’est aller au suicide et encourir doublement l’ardente colère de Dieu. – TG1969 p438

    À l’opposé des prophéties ou prévisions humaines qui sont tout au plus de bonnes conjectures, les prophéties de Jéhovah ont pour point de départ l’esprit de Celui qui créa l’univers, de Celui qui est assez puissant pour diriger le cours des événements en vue d’accomplir sa Parole. Les prophéties de Jéhovah, consignées dans sa Parole, la Bible, sont à la disposition de tous les hommes. Tous ont l’occasion, s’ils le désirent, d’en tenir compte et d’en chercher sincèrement la compréhension. Ceux qui ne lisent pas peuvent entendre, car de nos jours, comme à l’époque de la congrégation chrétienne primitive, Dieu a sur la terre une organisation jouant le rôle de prophète Cette classe de l’“esclave” a reçu l’ordre suivant : “Ne traitez pas les prophéties avec mépris.” (I Thess. 5:20). Les Témoins oints de Jéhovah sur la terre ont observé ce commandement. Ils s’attachent à la prophétie avec le plus profond respect. Ils se sont corrigés quand elle révélait leurs défaillances. Ils ne se sont pas retenus de parler quand elle a condamné les coutumes observées même au sein de la chrétienté. Ils ont proclamé les prophéties consignées dans la Parole de Dieu même si cela leur a valu la haine du monde – TG1965 p133

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    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Colossiens 1-4

     
    Colossiens 1:13, 14 : Qu’est-ce que « le royaume de son Fils bien-aimé » ? (it-2 833 § 4-6).

    « Il nous a délivrés du pouvoir des ténèbres et nous a transférés dans le royaume de son Fils bien-aimé, 14 par le moyen de qui nous avons la libération par rançon, le pardon de nos péchés. »

    “ Le royaume du Fils de son amour. ” À la Pentecôte 33 de n. ère, dix jours après l’ascension de Jésus, ses disciples eurent la preuve qu’il avait été “ élevé à la droite de Dieu ” lorsque Jésus répandit l’esprit saint sur eux. L’“ alliance nouvelle ” entra alors en vigueur en leur faveur et ils devinrent le noyau d’une nouvelle “ nation sainte ”, l’Israël spirituel.

    Christ était à présent assis à la droite de son Père et il était le Chef de cette congrégation. Les Écritures montrent qu’à partir de la Pentecôte 33 de n. è. un royaume spirituel fut établi sur ses disciples. Lorsqu’il écrivit aux chrétiens de Colosses au 1er siècle, l’apôtre Paul déclara que Jésus Christ avait déjà un royaume : “ Dieu nous a délivrés du pouvoir des ténèbres et nous a transférés dans le royaume du Fils de son amour. ”

    Le royaume du Christ à partir de la Pentecôte 33 de n. è. a été un royaume spirituel dominant sur l’Israël spirituel, les chrétiens qui ont été engendrés de l’esprit de Dieu pour devenir les enfants spirituels de Dieu. Lorsque ces chrétiens engendrés de l’esprit recevront leur récompense céleste, ils ne seront plus des sujets terrestres du royaume spirituel du Christ, mais ils seront rois avec le Christ au ciel. - it-2 833 § 4-6

    Pendant une période indéterminée, Dieu a joui dans les cieux de la compagnie de son Fils unique, le “Fils de son amour”. (Colossiens 1:13.) Durant tout ce temps, l’amour et l’affection qui existaient entre le Père et le Fils n’ont fait que croître, si bien qu’il n’y a jamais eu d’amour semblable au leur. Dieu a également aimé les autres créatures auxquelles il a donné naissance par l’intermédiaire de son Fils unique, créatures qui appartiennent à la famille divine. Ainsi, l’amour régnait sur toute la famille de Dieu. – TG1992 15/1 p9-10

    En appelant son Fils “ le bien-aimé ”, Jéhovah a exprimé ouvertement son amour pour Jésus, il a exprimé ses sentiments pour Jésus. C’était comme s’il lui disait : ‘ Je t’aime. ’ Un bon père dit à ses enfants qu’il les aime tendrement. Des paroles de ce genre, accompagnées de saines marques d’affection, aident les enfants à s’épanouir. Combien Jésus a dû être touché d’entendre son Père lui exprimer son amour – TG2008 1/1 p25

    « Tu es mon Fils. » Par ces paroles, Jéhovah indiquait qu’une nouvelle relation venait de s’établir entre lui et son Fils bien-aimé. Avant de venir sur terre, Jésus était déjà son Fils, puisqu’il faisait partie des créatures spirituelles que Dieu avait créées. Toutefois, lors de son baptême, il a été oint d’esprit saint et il est donc devenu Fils de Dieu d’une nouvelle façon. Il avait maintenant l’espérance de retourner au ciel pour devenir le Roi et Grand Prêtre établi par Dieu. Lors du baptême de Jésus, son Père avait donc de bonnes raisons de dire : « Tu es mon Fils »

    « Tu es [...] le bien-aimé. » Jéhovah a exprimé à Jésus son amour et son estime. Ces mots ont sûrement fortifié Jésus tout au long de son ministère et cela a dû grandement fortifier Jésus en vue des nombreuses épreuves qu’il était sur le point de subir.. Son exemple nous incite à rechercher des occasions d’encourager les autres. - TG2019/3 §3,4


    Colossiens 2:8 : Que sont « les choses élémentaires du monde » ? (w08 15/8 28 § 😎.

    « Prenez garde que personne ne vous fasse prisonniers au moyen de la philosophie et d’une vaine tromperie fondées sur la tradition humaine et sur les choses élémentaires du monde, et non sur Christ » 

    Que sont “ les choses élémentaires du monde ” contre lesquelles Paul nous met en garde ? Ce sont les éléments du monde de Satan : les choses et les principes de base qui le composent, le guident et le régissent (1 Jean 2:16). Y figurent la philosophie, le matérialisme et les fausses religions.- w08 15/8 28 § 8

    Paul a expliqué qu’on ne trouve pas la vérité dans les philosophies et les traditions des hommes. Ces enseignements sont même trompeurs. De nos jours, “ la fourberie des hommes ” est alimentée par la propagande des opposants à la vérité divine. D’après le Grand Dictionnaire encyclopédique Larousse, la “ propagande ” est l’“ action systématique exercée sur l’opinion pour lui faire accepter certaines idées ou doctrines politiques, sociales, pour l’amener à soutenir telle ou telle position ”. La propagande des opposants transforme habilement la vérité en erreur et fait passer des mensonges pour la vérité. Pour trouver la vérité en dépit de ces pressions insidieuses, il faut creuser assidûment les Écritures. – TG2003  1/3 §3

    Paul n’a pas employé par hasard les termes “ philosophie ” et “ vaine tromperie ”. Le mot “ philosophie ” signifie littéralement “ amour et recherche de la sagesse ”. En soi, elle peut être utile. La Bible elle-même, particulièrement dans le livre des Proverbes, encourage la recherche de la vraie connaissance et de la vraie sagesse. Mais Paul a associé la “ philosophie ” à une “ vaine tromperie ”. En d’autres termes, Paul affirmait que la sagesse proposée par le monde était vaine et trompeuse. Elle ressemble à un ballon gonflable, solide en apparence, mais creux en réalité. Il serait inutile, voire catastrophique, de choisir ce qui est bien ou mal en se fondant sur la “ philosophie ” et la “ vaine tromperie ” du monde. Prôner des points de vue humains, des idées, qui ne sont pas fermement étayés par la Parole de Dieu peut menacer la stabilité chrétienne. Nous devons aujourd’hui prendre garde à de tels dangers – TG2001  1/8 §7

    Paul a écrit ces mots aux chrétiens de Colosses. Il leur a expliqué qu’il menait un combat pour eux afin que “ leur cœur soit consolé et qu’ils soient harmonieusement unis ensemble dans l’amour ”. (Colossiens 2:1, 2.) Pourquoi Paul se faisait-il du souci ? Manifestement, il savait que la congrégation de Colosses était influencée par certains qui prônaient des philosophies grecques ou qui militaient pour un retour aux rites de la Loi mosaïque. D’où cet avertissement énergique : “ Soyez sur vos gardes : il se peut qu’il y ait quelqu’un qui vous entraînera comme sa proie au moyen de la philosophie et d’une vaine tromperie selon la tradition des hommes, selon les choses élémentaires du monde et non selon Christ. ” — Col. 2:8.

    Aujourd’hui, Satan et son système corrompu nous soumettent à ce même genre d’influences. La philosophie du monde, englobant l’humanisme athée et la théorie de l’évolution, modèle les pensées, la moralité, les objectifs et le mode de vie de nos contemporains. Quantité de fêtes très populaires sont étroitement liées à la fausse religion. L’industrie du spectacle flatte les penchants les plus vils de la chair déchue. De nombreux sites Internet représentent un réel danger pour les jeunes et les moins jeunes. Si nous nous exposons constamment à ces influences et aux autres courants de ce monde, ils affecteront nos sentiments et la façon dont nous réagissons aux directives divines. Au final, c’est “ la vie véritable ” que nous perdrons de vue. En clair, si nous ne voulons pas être pris dans les filets du Diable, nous avons tout intérêt à bien saisir le sens du conseil de Paul et à y adhérer. – TG2009  15/7 p3-4 §5,6

     
     

    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Si nous nous concentrons sur ce qui est important pour Jéhovah, nous pourrons endurer avec joie et patience (Col. 1:9-11). Nous pouvons le faire en lisant et en méditant la Bible, ce qui nous aidera à nous rappeler que notre service pour Dieu n’est jamais inutile – TG2019/8

    Paul a appuyé l’idée quand il a encouragé les chrétiens de Colosses à “ marcher d’une manière digne de Jéhovah pour lui plaire entièrement ” en ‘ portant du fruit en toute œuvre bonne et en croissant dans la connaissance exacte de Dieu ’. (Colossiens 1:10.) Paul établit ici un lien entre être digne de Jéhovah et “ porter du fruit en toute œuvre bonne ” ainsi que “ croître dans la connaissance exacte de Dieu ”. Autrement dit, ce qui compte aux yeux de Jéhovah, ce n’est pas seulement le prix que nous attachons à la connaissance, mais aussi à quel point nous adhérons à sa Parole dans nos actions et nos paroles. Cela signifie que notre étude individuelle devrait avoir une incidence sur nos pensées et sur notre conduite si nous voulons plaire à Dieu.TG2002 1/12p16

    Avant la création du ciel et de la terre, Jéhovah et Jésus ont travaillé ensemble pendant des milliards d’années. Un amour très fort s’est développé entre eux pendant tout ce temps. Jésus a si bien imité les qualités de son Père que la Bible l’appelle « l’image du Dieu invisible » (Colossiens 1:15). De même qu’un fils humain peut ressembler fortement à son père dans différents domaines, ce Fils céleste reflétait les qualités et la personnalité de son Père.– Livre Enseigne p45 §13

    Il existe aussi un rapport entre la puissance créatrice de Jéhovah et sa souveraineté. Le titre “ Créateur ” distingue Jéhovah de tout ce qui existe dans l’univers et qui est immanquablement “ création ”. Même son Fils unique-engendré, qui fut “ un habile ouvrier ” pendant la création, n’est jamais appelé Créateur ni cocréateur dans la Bible. Il n’est que “ le premier-né de toute création ”. (Colossiens 1:15.) Cela signifie qu’il existait avant  l’univers physique. Sa position de Créateur confère donc à Jéhovah le droit naturel d’exercer un pouvoir souverain exclusif sur l’ensemble de l’univers – Livre Approchez-vous de Jéhovah p55-56, 232

    Colossiens 1:16 dit au sujet du Fils de Dieu que “ toutes les autres choses ont été créées par son intermédiaire et pour lui ”. En quel sens toutes choses ont-elles été créées “ pour ” le Fils de Dieu, Jésus ? Le Fils unique-engendré de Jéhovah a été son habile ouvrier dans la création de toutes les autres choses, c’est-à-dire toutes les choses en dehors de Jésus. Ces œuvres ont procuré du plaisir au Fils, à bon droit ; en ce sens, elles sont “ pour ” lui. Il était donc juste que Dieu fasse en sorte que son collaborateur, Jésus, trouve du plaisir dans ses réalisations. En fait, Proverbes 8:31 déclare que le Fils ‘ se réjouissait au sujet du sol productif de sa terre, et les choses auxquelles il était attaché étaient avec les fils des hommes ’. C’est en ce sens que Colossiens 1:16 déclare : “ Toutes les autres choses ont été créées par son intermédiaire et pour lui. ”- TG2001 1/9 p31

    Colossiens 1:19, 20 dit au sujet du Christ : “ Dieu a jugé bon de faire habiter en lui toute plénitude. ” Dieu a en effet confié à Christ un rôle-clé dans l’accomplissement de son dessein, qui consiste à “ réconcilier de nouveau avec lui-même toutes les autres choses en faisant la paix grâce au sang que Jésus Christ a versé ”. Que sont “ toutes les autres choses ” que Dieu réconcilie avec lui ? Ce sont “ les choses dans les cieux ” et “ les choses sur la terre ”. Que désignent ces deux expressions ? Grâce à la rançon, les chrétiens oints, qui ont “ été déclarés justes ” en tant que fils de Dieu, ‘ jouissent de la paix avec Dieu ’. Ce sont eux “ les choses dans les cieux ” parce qu’ils ont l’espérance de vivre au ciel et qu’ils “ doivent régner sur la terre ” et être des prêtres pour Dieu. Quant aux “ choses sur la terre ”, ce sont les humains à qui s’offre une vie parfaite dans le Paradis terrestre où ils vivront éternellement TG2011  15/8 p24 §6,7

    Satan veut que nous arrêtions de servir Jéhovah. Pour atteindre son objectif, il cherche à influencer notre façon de penser, à capturer en quelque sorte notre esprit pour l’amener à lui obéir. Il essaie de nous tromper, ou de nous persuader, afin de nous amener à le suivre, et pour cela, il se sert de nos désirs (Colossiens 2:4, 8). Satan pourrait-il vraiment nous tromper ? Sommes-nous réellement en danger ? Absolument ! Rappelle-toi que Paul n’a pas adressé l’avertissement contenu en Colossiens 2:8 à des non-croyants. Il l’a adressé à des chrétiens oints d’esprit saint (Col. 1:2, 5). Ces chrétiens étaient en danger à l’époque, et le danger est encore plus grand pour nous aujourd’hui. Pourquoi ? Parce que Satan a été jeté sur la terre et que son objectif est d’égarer, ou de tromper, les serviteurs de Dieu. De plus, nous vivons une époque où ‘les méchants et les imposteurs avancent vers le pire’  - TG2019/6  §1,2


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Pourquoi l’étude individuelle des Écritures est-elle importante ? On trouve la réponse dans les paroles de Paul à ses compagnons de Colosses : « Nous ne cessons pas de prier pour vous et de demander que vous soyez remplis de la connaissance exacte de [l]a volonté [de Dieu] en toute sagesse et compréhension spirituelle, afin de marcher d’une manière digne de Jéhovah pour lui plaire entièrement, tandis que vous continuez à porter du fruit en toute œuvre bonne et à croître dans la connaissance exacte de Dieu » (Col. 1:9, 10). Cette connaissance exacte permettrait aux chrétiens de Colosses de « marcher d’une manière digne de Jéhovah pour lui plaire entièrement ». Ils continueraient ainsi à « porter du fruit en toute œuvre bonne », en particulier dans la prédication de la bonne nouvelle. Pour être efficace dans son service, un adorateur de Jéhovah doit suivre un programme d’étude de la Bible. Il convient d’aider nos étudiants à en prendre conscience. TG2016/8 p26


    LA BONNE NOUVELLE EST “ PRÊCHÉE DANS TOUTE LA CRÉATION ” Vers 61 de n. ère l’apôtre Paul, prisonnier à Rome, a écrit que la “ bonne nouvelle ” avait été “ prêchée dans toute la création qui est sous le ciel ”. (Col. 1:23.) Comment comprendre cette déclaration ? Paul donnait apparemment une idée approximative de l’ampleur atteinte par la “ bonne nouvelle ”. La bonne nouvelle avait-elle été prêchée en Grande-Bretagne, en Chine et en Extrême-Orient ? Il semble que non. En effet, quand Paul a écrit aux Colossiens, il n’avait pas encore atteint son but, exprimé vers 56, de prêcher en Espagne, “ territoire vierge ”. (Rom. 15:20, 23, 24.) Néanmoins, en 61, le message du Royaume était largement connu. À tout le moins, il avait atteint les pays où vivaient les Juifs et les prosélytes baptisés à la Pentecôte 33, ainsi que les régions où étaient passés les apôtres de Jésus – Livre Rends témoignage p217

    Afin d’aider ses compagnons oints à rester fidèles et à obtenir le prix, autrement dit la récompense, Paul leur a conseillé : « Pensez toujours aux choses d’en haut » (Col. 3:2). Les oints devaient rester concentrés sur leur précieuse espérance de vivre au ciel (Col. 1:4, 5). En fait, penser constamment aux bénédictions promises nous aide tous à garder les yeux fixés sur le prix, que notre espérance soit de vivre au ciel ou sur la terre.- TG2017/11  p25 §2

    Paul a aussi prévenu ses compagnons chrétiens contre certains dangers qui risquaient de leur « enlever » le prix, c’est-à-dire de les empêcher de l’obtenir. Par exemple, dans sa lettre aux frères de Colosses, il a parlé de faux chrétiens qui essayaient d’obtenir la faveur de Dieu en appliquant la Loi de Moïse plutôt qu’en ayant foi en Christ (Col. 2:16-18). Paul a aussi parlé de dangers qui existent encore aujourd’hui et qui pourraient nous enlever le prix. Il a expliqué comment résister aux désirs sexuels immoraux, comment régler les désaccords entre chrétiens, et comment résoudre les problèmes familiaux. Ces conseils sont utiles pour nous aussi - TG2017/11  p25 §3


    2:18, 23. Celui qui manifeste “ une fausse humilité ” — une humilité feinte pour impressionner les autres, peut-être en renonçant à des choses matérielles ou en traitant son corps sévèrement — montre en réalité qu’il est “ gonflé d’orgueil [...] par sa mentalité charnelle ”- TG2008  15/8 p28


    Comme l’apôtre Paul, les chrétiens oints ont l’espérance de recevoir « le prix de l’appel de Dieu » (Phil. 3:14). Ils ont hâte de régner avec Jésus dans son Royaume céleste et de travailler avec lui pour aider les humains à devenir parfaits. Quel magnifique objectif Jéhovah leur propose ! Les autres brebis ont une espérance différente. Le prix qu’elles attendent est la vie éternelle sur la terre. Quelle belle espérance !.Afin d’aider ses compagnons oints à rester fidèles et à obtenir le prix, autrement dit la récompense, Paul leur a conseillé : « Pensez toujours aux choses d’en haut » (Col. 3:2). Les oints devaient rester concentrés sur leur précieuse espérance de vivre au ciel (Col. 1:4, 5). En fait, penser constamment aux bénédictions promises nous aide tous à garder les yeux fixés sur le prix, que notre espérance soit de vivre au ciel ou sur la terre.  – TG2017/11 §1,2


    Paul a prévenu ses compagnons chrétiens contre certains dangers qui risquaient de leur « enlever » le prix, c’est-à-dire de les empêcher de l’obtenir. Par exemple, dans sa lettre aux frères de Colosses, il a parlé de faux chrétiens qui essayaient d’obtenir la faveur de Dieu en appliquant la Loi de Moïse plutôt qu’en ayant foi en Christ (Col. 2:16-18). Paul a aussi parlé de dangers qui existent encore aujourd’hui et qui pourraient nous enlever le prix. Il a expliqué comment résister aux désirs sexuels immoraux, comment régler les désaccords entre chrétiens, et comment résoudre les problèmes familiaux. Ces conseils sont utiles pour nous aussi - TG2017/11 §3

    Colossiens 3:5 « C’est pourquoi faites mourir les membres de votre corps pour ce qui est des actes sexuels immoraux, de l’impureté, des désirs sexuels non maîtrisés, des envies nuisibles et de l’avidité, qui est de l’idolâtrie » donne aux chrétiens un conseil vigoureux concernant ce qui pourrait rompre leur relation exclusive avec Jéhovah. Notez que la convoitise est associée à l’idolâtrie. Convoiter, c’est désirer ce qui est interdit ; c’est par exemple vouloir posséder ce qui appartient à autrui En effet, l’objet d’un désir, comme des richesses ou des articles de luxe, peut en venir à avoir une telle emprise sur notre vie qu’il tiendrait le rôle d’un dieu puissant. Mais en considérant le verset dans son ensemble, on comprend aisément que toutes les autres pratiques pécheresses citées ont un lien avec la convoitise, et donc avec l’idolâtrie. La soif de telles choses peut facilement remplacer notre amour pour Dieu. Pouvons-nous prendre le risque de laisser l’une de ces choses nous dominer, si bien que Jéhovah ne serait plus pour nous « un seul Jéhovah » ? Certainement pas. TG2016/6 p20§13

    “ Que votre parole soit toujours accompagnée de charme, assaisonnée de sel, pour savoir comment vous devez répondre à chacun. ” (Col. 4:6). Assaisonner nos paroles de sel signifie choisir les bons mots et parler d’une manière qui soit agréable à celui qui nous écoute. Cela est particulièrement important lorsque nous participons au ministère. Avant de répondre, il nous faut réfléchir à ce que nous allons dire, mais aussi à la manière dont nous allons le dire. Lorsque nous prêchons, gardons à l’esprit notre objectif : “ annonce[r] des bonnes nouvelles de choses bonnes ”. (Rom. 10:15.) Notre désir est de communiquer à notre interlocuteur des pensées bibliques attrayantes et encourageantes, et non de lui donner l’impression que nous nous attaquons à ses croyances. – km2008/1 p8

    Quand nous sommes menacés par Satan et ses démons, il nous faut rester ensemble, épaule contre épaule, avec nos frères qui sont solides dans la foi. Paul a expliqué que, durant sa détention à Rome, certains chrétiens étaient pour lui “ une aide qui fortifie ”. (Colossiens 4:10, 11.) Le mot grec rendu par “ aide qui fortifie ” n’apparaît qu’une fois dans les Écritures grecques chrétiennes. Comme une onction apaisante, le soutien d’adorateurs mûrs de Jéhovah peut soulager la douleur que provoque une souffrance affective ou physique. Les encouragements d’autres chrétiens peuvent renforcer notre détermination à servir Dieu fidèlement. Nous gardons notre fidélité grâce à notre étude régulière de la Bible, à notre présence aux réunions et aux assemblées, ainsi qu’à nos relations intimes avec Dieu. – TG2004  15/9 p13 §16,17

    Depuis Rome, son compagnon priait lui aussi en faveur des autres. “ Épaphras, qui est de chez vous, écrit Paul, [...] vous envoie ses salutations ; il lutte toujours pour vous dans ses prières. ” (Colossiens 4:12). Le mot traduit par “ lutte ” peut évoquer un combat, comme ceux auxquels se livraient les athlètes pendant les jeux. Épaphras se limitait-il à prier intensément pour tous les croyants du monde ou pour l’ensemble des chrétiens d’Asie Mineure ? Paul indique qu’Épaphras priait spécifiquement pour ses frères de Colosses. La Bible ne révèle pas comment les prières d’Épaphras ont été exaucées, mais il n’a pas arrêté de prier pour ses compagnons. Paul a été fortifié par les supplications de ses compagnons, et nos prières également peuvent faire beaucoup de bien. Nous non plus, nous ne devrions pas cesser de le faire. Nous sommes exhortés à ‘ prier les uns pour les autres ’, même quand nous n’avons pas toujours la preuve immédiate que Jéhovah répond à ces prières – TG2000  15/12 p16

    « Luc le médecin bien-aimé », rédacteur du livre des Actes, a lui aussi voyagé aux côtés de Paul (Col. 4:14). Il est logique de supposer que Luc a donné des avis et des soins médicaux à Paul et à ses compagnons missionnaires. Pourquoi ? Par exemple, parce qu’au cours d’un voyage, Paul est tombé malade (Gal. 4:13). Luc a pu lui apporter une aide médicale. Jéhovah n’accordant plus de « dons de guérisons » aujourd’hui, aucun de nos compagnons chrétiens ne peut faire de miracles pour nous guérir. Il arrive cependant que des frères bien intentionnés offrent, sans avoir été sollicités, des conseils médicaux. Bien entendu, il n’est pas interdit de faire des suggestions pratiques, d’ordre général. Paul l’a fait quand Timothée souffrait de maux d’estomac, peut-être parce que l’eau de la région était de mauvaise qualité. - TG2015  15/12 p25 §11,13

    L’apôtre Paul attachait beaucoup d’importance à son ministère, et il a incité ses compagnons à l’imiter. Il a tout particulièrement encouragé un chrétien du 1er siècle nommé Archippe. Dans sa lettre aux Colossiens, Paul a écrit : “ Dites à Archippe : ‘ Prends toujours garde au ministère que tu as accepté dans le Seigneur, pour que tu l’accomplisses. ’ ” (Col. 4:17). Nous avons peu de renseignements sur Archippe, si ce n’est que, de toute évidence, il avait accepté un ministère. Si vous êtes un chrétien voué à Dieu, vous avez vous aussi accepté un ministère. Continuez-vous à prendre garde au ministère afin de l’accomplir ? – TG2008  15/1 p7 §14


     
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Philippiens 1-4


    Philippiens 2:17 : En quel sens l’apôtre Paul était-il « versé comme une offrande de vin » ? (it-2 850 § 1).

    « Cependant, même si je suis versé comme une offrande de vin sur le sacrifice et le saint service auxquels votre foi vous a conduits, je suis joyeux et je me réjouis avec vous tous. »

    Libations. Des libations accompagnaient la plupart des autres sacrifices, surtout après que les Israélites furent devenus sédentaires en Terre promise. Elles consistaient en vin (“ boisson enivrante ”) qu’on versait sur l’autel (Nb 28:7, 14). L’apôtre Paul écrivit aux chrétiens de Philippes : “ Si je suis répandu comme une libation sur le sacrifice et service public à quoi la foi vous a conduits, je suis joyeux et je me réjouis avec vous tous. ” En prenant ici l’image d’une libation, Paul exprimait sa disposition à se dépenser pour ses frères chrétiens (Ph 2:17). Peu avant sa mort, il écrivit à Timothée : “ Je suis déjà en train d’être répandu comme une libation, et le moment de ma libération est imminent. ” 2Tm 4:6. - it-2 850 § 1


    Paul a fait allusion à un autre service public. Les efforts qu’il avait déployés en faveur des Philippiens constituaient un service public accompli avec amour et diligence. C’est parce que Paul aimait ses frères qu’il s’est « dépensé » pour renforcer leur foi, c’est-à-dire qu’il a utilisé toute son énergie pour aider ses frères. Paul dit qu’il a été répandu comme une libation, c’est-à-dire qu’il était prêt à s’offrir lui-même en sacrifice vivant. Il a parlé de la prédication comme d’une offrande Un service public du même ordre est effectué aujourd’hui, principalement par les chrétiens oints, qui, en qualité d’“ esclave fidèle et avisé ”, fournissent la nourriture spirituelle en temps voulu. Comme Paul, ils sont heureux de ‘ se répandre ’ pour s’acquitter de leurs responsabilités – TG2000 15/11 p12 §10


    Nombre de nos frères et sœurs se « répandent comme une libation » par le soutien qu’ils apportent à des tâches essentielles liées au Royaume Ils donnent de leur temps, de leurs forces et de leur argent pour participer aux activités du Royaume. Il faut beaucoup d’efforts pour participer aux activités du Royaume. Il est important de nous intéresser activement au bonheur spirituel et physique des autres et d’être disposés à leur consacrer de notre temps, de nos forces et de nos moyens. Nous manifestons un tel intérêt lorsque nous faisons connaître le message de Dieu à nos semblables – TG2013 15/12 §17,18


    Philippiens 3:11 : Qu’est-ce que la résurrection « qui aura lieu de bonne heure » ? (w07 1/1 26-27 § 5).

    « pour voir si je peux d’une manière ou d’une autre parvenir à la résurrection d’entre les morts qui aura lieu de bonne heure »

    Puis, les membres oints de “ l’Israël de Dieu ” doivent rejoindre le Seigneur Jésus Christ dans la gloire céleste, où ils “ seront toujours avec le Seigneur ”. (Galates 6:16) Cet événement est appelé la ‘ résurrection qui aura lieu de bonne heure ’ ou “ la première résurrection ”. (Philippiens 3:10, 11 ; Révélation 20:6.) Lorsque cette résurrection sera accomplie, le temps sera venu pour des millions de morts d’être ressuscité sur la terre avec la perspective d’obtenir la vie éternelle dans le Paradis. Ainsi donc, que notre espérance soit céleste ou terrestre, “ la première résurrection ” nous intéresse de près. De quel genre de résurrection s’agit-il ? Quand a-t-elle lieu ? - w07 1/1 26-27 § 5

    La résurrection du Christ a été suivie de celle des 144 000. Ils ont part à “la première résurrection”, “à celle qui doit avoir lieu plus tôt”. (Philippiens 3:11.) Quand a-t-elle lieu? “Durant sa présence”, dit la Bible. La présence du Christ commença en 1914. Donc, le “jour” de “la première résurrection” céleste des fidèles est déjà venu. Il est hors de doute que les apôtres et les autres premiers chrétiens ont déjà été relevés pour la vie céleste. Mais aujourd’hui que Jésus est “présent”, il y a encore des chrétiens qui ont cette espérance céleste. Ce sont les derniers membres des 144 000. Quand seront-ils ressuscités? Ils n’auront pas à dormir dans la mort; aussitôt décédés, ils seront relevés. Cette résurrection est réservée aux chrétiens qui régneront au ciel avec Jésus durant les mille ans. Comme la résurrection de ce petit groupe de 144 000 personnes précède celle du grand nombre qui sera ressuscité sur la terre, elle est qualifiée de ‘ résurrection qui a lieu de bonne heure ’ et de “ première résurrection ”.

    L’expression “première résurrection” suggère qu’il doit y en avoir une autre. Il s’agit de la résurrection des justes et des injustes pour la vie sur la terre, après Armaguédon. Ce sera une “meilleure” résurrection que celle des garçons ramenés à la vie par Élie et Élisée, et que celle des autres personnes qui ont été rappelées à la vie. Pourquoi? Parce que les ressuscités d’après Armaguédon qui choisiront de servir Dieu n’auront plus à connaître la mort – Livre pe p172


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Jéhovah a donné aux humains des capacités remarquables. Par exemple, la capacité de réfléchir, ce qui nous permet de régler des problèmes et de faire des projets. Il nous a aussi donné de la force, pour que nous puissions réaliser nos projets et atteindre nos objectifs (Philippiens 2:13). Et il nous a doté une conscience, qui nous retient de mal agir et nous incite à réparer nos fautes – TG2017/1 p7 §1

    N’oublions pas les bénédictions qui découlent de nos efforts pour nous acquitter de cette tâche confiée par Dieu, qu’est la prédication. Rien ne peut rivaliser avec le privilège que Dieu nous offre de “ briller comme des foyers de lumière dans le monde ”. En reflétant la lumière de la Parole de Dieu tant en paroles qu’en actions, nous dispensons une aide réelle aux personnes sincères (Philippiens 2:15). Pour remplir notre mission de porteurs de lumière, il nous faut cultiver l’esprit de sacrifice. De plus, notre service zélé a tout lieu de nous réjouir, ‘ car Dieu n’est pas injuste pour oublier notre œuvre et l’amour que nous avons montré pour son nom ’. – TG2007 15/3 p14


    “ Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur. Encore une fois je dirai : Réjouissez-vous ! ” (Phil. 4:4). Pourquoi est-il important que nous servions Jéhovah avec joie, comme Paul nous y invite ? En raison de l’accusation que Satan a portée concernant la souveraineté divine ; il prétend que personne ne sert Dieu de bon gré. Si nous le servions par devoir et non avec joie, notre sacrifice de louange serait incomplet. C’est pour cela que nous veillons à tenir compte de l’exhortation du psalmiste : “ Servez Jéhovah dans la joie. Entrez devant lui avec un cri de joie. ” (Ps. 100:2). Un service sacré accompli avec joie et de bon gré glorifie Dieu. – TG2011  15/4 p20 §11
     
    L’apôtre Paul nous livre une des clefs pour rester joyeux dans notre service : “ Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur. Encore une fois je dirai : Réjouissez-vous ! Que votre nature raisonnable soit connue de tous les hommes. ” (Phil. 4:4, 5). Oui, cultiver des attentes raisonnables, selon ses possibilités et sa situation, aide à trouver joie et contentement au service de Dieu. Car, à se fixer des objectifs trop élevés, on s’impose une tension inutile. À l’inverse, il ne s’agit pas non plus de s’écouter ni de prétexter de soi-disant limites pour ralentir son ministère plus qu’il n’est nécessaire de le faire. Quelle que soit notre situation, Jéhovah nous demande de lui offrir le meilleur de nous-mêmes – TG2007  15/7 p29
    Jéhovah ‘ entend la prière ’. (Psaume 65:2.) Aussi, ouvrons-lui notre cœur quand nous avons l’impression de crouler sous les difficultés. Nous en retirerons un grand soulagement (Philippiens 4:6, 7). Jéhovah ne fera peut-être pas disparaître miraculeusement nos problèmes, mais, en réponse à nos prières, il nous communiquera la sagesse dont nous avons besoin pour y faire face. Jéhovah veut que nous lui parlions dans la prière. Il s’intéresse beaucoup à nous et il veut que nous lui parlions de nos sentiments et de nos problèmes. Par ailleurs, Jéhovah donne son esprit saint à qui le lui demande. Cet esprit puissant nous fera venir à bout de n’importe quelle épreuve ou difficulté. Il nous insufflera la “ puissance qui passe la normale ”, et nous tiendrons bon jusqu’à ce que Jéhovah élimine toute situation douloureuse, dans le monde nouveau désormais très proche. – Livre cl chap7 p18
    Dans ce monde agité, rares sont les jours qui n’apportent pas leur lot de problèmes. Accidents, échecs, déceptions : ces revers peuvent nous priver du bonheur. À ceux qui servent Jéhovah Dieu, cependant, la Bible promet un contentement intérieur : “ la paix de Dieu ”. La paix de Dieu est un calmant incomparable, même dans les circonstances les plus éprouvantes. Grâce à elle, notre cœur demeure calme, ce qui nous est bénéfique sur le plan spirituel, affectif et physique Elle nous aide également à garder notre équilibre mental, car nous savons que rien de ce que Dieu permet ne peut nous causer de préjudice durable Comment acquérir cette paix ? L’apôtre Paul a écrit : “ Ne vous inquiétez de rien, mais en tout, par la prière et la supplication avec action de grâces, faites connaître vos requêtes à Dieu ; et la paix de Dieu, qui surpasse toute pensée, gardera vos cœurs et vos facultés mentales par le moyen de Christ Jésus. ” (Philippiens 4:6, 7). Au lieu d’essayer de porter seuls nos problèmes, il s’agit de prier avec ferveur et de jeter sur Dieu nos fardeaux quotidiens. En grandissant spirituellement, nous discernons mieux comment Dieu nous aide et nous acquérons la conviction qu’il répondra à nos supplications par l’intermédiaire de son Fils, Jésus Christ. Forts de cette confiance en Jéhovah Dieu, ‘ lui qui entend la prière ’, nous pourrons plus facilement faire face aux difficultés – TG2000  15/7 p6


    Quelle devrait être l’étendue de nos œuvres de foi ? Paul répond : “ Les choses que vous avez apprises ainsi qu’acceptées et entendues et vues en ce qui me concerne, celles-ci pratiquez-les ; et le Dieu de paix sera avec vous. ” (Philippiens 4:9). Nous révélons ce que nous sommes en pratiquant ce que nous avons appris, accepté, entendu et vu, bref tout ce que suppose le fait de se vouer à Dieu et de devenir disciple du Christ. “ Voici le chemin. Marchez-y ”, ordonne Jéhovah par l’intermédiaire du prophète Isaïe. — Isaïe 30:21. Lorsque la loi de Dieu est tout au fond de nous, nous n’avons aucune hésitation quant à la voie que nous devons suivre. Nous prenons plaisir à faire la volonté divine – TG2005  15/7 p25 §19,22


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    1:23 — Quelles étaient les “ deux choses ” par lesquelles Paul se trouvait pressé, et quelle “ libération ” désirait-il ?

    En raison de sa situation, Paul se trouvait pressé par deux possibilités : la vie ou la mort (Phil. 1:21). Bien qu’il n’ait pas dévoilé son choix, il a révélé ce qu’il désirait : “ la libération et être avec Christ ”. (Phil. 3:20, 21) Cette “ libération ” durant la présence du Christ permettrait à Paul de recevoir la récompense que Jéhovah lui réservait. - TG2008  15/8 p28
     
    “ Conduisez-vous d’une manière digne de la bonne nouvelle. ” Tel est l’encouragement que l’apôtre Paul a adressé aux chrétiens de Philippes. (Philippiens 1:27.) L’expression grecque rendue par “ conduisez-vous ” peut aussi être traduite par “ conduisez-vous en citoyens ”. Elle revêtait un sens particulier pour les Philippiens. Il semble en effet que Philippes faisait partie d’un nombre restreint de villes dont les habitants avaient obtenu une forme de citoyenneté romaine. Tout citoyen romain, à Philippes comme dans le reste de l’Empire, était fier de son statut et bénéficiait d’une protection garantie par la loi romaine. Mais les chrétiens de Philippes avaient une raison supérieure d’être fiers. Paul leur a rappelé que, puisqu’ils étaient oints d’esprit, leur droit de cité, ou citoyenneté, se trouvait “ dans les cieux ”. (Phil. 3:20.) Ils étaient citoyens du Royaume de Dieu, et pas seulement d’un empire humain. Ils jouissaient en tant que tels d’une protection et de bienfaits incomparables. —  L’exhortation de Paul, “ conduisez-vous en citoyens ”, vise principalement les chrétiens qui régneront au ciel avec Christ (Phil. 3:20). Toutefois, elle s’adresse aussi, par extension, aux futurs sujets terrestres du Royaume de Dieu, car ils servent le même Roi, Jéhovah, et doivent respecter les mêmes principes. De nos jours, certains font tout ce qu’ils peuvent pour obtenir la citoyenneté d’un pays riche. Nous devrions accorder bien plus de prix à la possibilité d’être citoyens du Royaume ! Pour nous y aider, établissons quelques rapprochements entre les conditions requises pour devenir citoyens d’un pays et celles à remplir pour devenir citoyens du Royaume de Dieu. – TG2012  15/8 p11 §1-3


    À chacun d’entre nous, l’apôtre Paul conseille : “ Gardez en vous cette attitude mentale qui était aussi en Christ Jésus. ” (Philippiens 2:5). Il nous faut, comme Jésus, être humbles de cœur. Comment savoir si c’est le cas ? Paul nous rappelle que nous devrions ‘ ne rien faire par esprit de dispute ni par désir de nous mettre en avant, mais estimer, avec humilité, que les autres sont supérieurs à nous ’. (Philippiens 2:3.) La manière dont nous considérons les autres par rapport à nous est donc révélatrice. Il nous faut les regarder comme supérieurs à nous, comme plus importants que nous. – Livre Suis-moi p33


    Notre mentalité : Une belle conduite va généralement de pair avec une bonne mentalité. L’apôtre Paul a dit : « Gardez en vous cette attitude mentale qui était aussi en Christ Jésus » (Phil. 2:5). Quel état d’esprit Jésus manifestait-il ? Il était humble. L’humilité le poussait à faire preuve d’abnégation dans le ministère. Dans son esprit, prêcher la bonne nouvelle du Royaume de Dieu était la chose la plus importante. Jésus considérait la Parole de Dieu comme l’autorité suprême. Il étudiait assidûment les Saintes Écritures afin de pouvoir les citer, les défendre et les expliquer. Si nous sommes humbles et assidus dans le ministère et dans notre étude biblique individuelle, notre mentalité ressemblera davantage à celle de Christ. TG2014 15/10 p31§17


    Le Fils de Dieu a fait preuve d’humilité en acceptant de venir sur la terre. Réfléchissez à ce qu’il a dû laisser. Il était l’archange. Il était aussi “ la Parole ” — le Porte-parole de Jéhovah. Il résidait au ciel, la “ grandiose demeure de sainteté et de beauté ” de Jéhovah. Néanmoins, il “ s’est vidé lui-même et a pris une forme d’esclave et a paru dans la ressemblance des hommes ”. (Philippiens 2:7.) Songez encore à tout ce qu’a impliqué sa mission sur terre : le transfert de sa vie dans la matrice d’une vierge juive, son développement pendant neuf mois, sa naissance comme bébé humain sans défense dans la famille d’un modeste charpentier ; il a appris à marcher, a été un petit garçon puis un adolescent. Bien que parfait, pendant toute son enfance il est resté soumis à des parents imparfaits. Quelle humilité remarquable ! Pouvons-nous imiter son humilité en acceptant de bon gré des formes de service qui peuvent paraître ingrates ? Prêcher la bonne nouvelle du Royaume de Dieu, par exemple, peut sembler une mission peu valorisante lorsqu’il faut affronter l’indifférence, la moquerie ou l’hostilité. Mais en persévérant dans cette œuvre, nous contribuerons peut-être à sauver des vies. Et, de toute façon, nous gagnerons beaucoup en humilité et nous marcherons sur les traces de notre Maître, Jésus Christ. - Livre Suis-moi p29


    Épaphrodite avait effectué le long et pénible voyage de Philippes à Rome pour rendre visite à Paul, emprisonné en raison de sa foi. Il apportait un don de la part des Philippiens et comptait rester sur place quelque temps pour se mettre au service de l’apôtre. Malheureusement, durant son séjour à Rome, Épaphrodite est “ tombé malade et a été tout près de la mort ”. Convaincu d’avoir failli à sa mission, il a sombré dans la dépression. — Phil. 2:25-27. Comment les Philippiens pouvaient-ils soutenir Épaphrodite ? “ Réservez-lui [...] l’accueil habituel dans le Seigneur en toute joie, leur a demandé Paul ; et continuez à chérir de tels hommes, parce que, à cause de l’œuvre du Seigneur, il s’est trouvé bien près de la mort, risquant son âme pour compenser pleinement le fait que vous n’étiez pas là pour me rendre service vous-mêmes. ” — Phil. 2:29, 30. De nos jours, des problèmes de tous ordres affectent le moral des humains. Nous devrions nous aussi encourager nos compagnons qui sont découragés ou déprimés. Ils ont sans aucun doute accompli des choses qui méritent d’être soulignées – TG2010 15/6 p12 §10-12


    Paul parlait couramment certaines des principales langues de son époque. Il avait reçu une instruction comparable aux études universitaires d’aujourd’hui. Il jouissait de tous les avantages et droits que lui procurait sa citoyenneté romaine. Avec de telles références, il aurait pu devenir riche et célèbre. Pourtant, il a écrit : “ Les choses qui étaient pour moi des gains, celles-ci je les ai considérées comme une perte à cause du Christ [...] et je les considère comme un tas de déchets, afin de gagner Christ. ” (Philippiens 3:7, 8). Pourquoi Paul a-t-il fait une telle déclaration ? Connu auparavant sous le nom de Saul de Tarse et comme persécuteur des “ membres de La Voie ”, Paul est devenu croyant après avoir eu une vision de Jésus ressuscité et glorifié. Cet incident sur le chemin de Damas lui a prouvé sans l’ombre d’un doute que Jésus était le Messie, ou Christ, le futur Chef du Royaume promis. De plus, cette apparition a bouleversé sa vie de façon spectaculaire, témoin ses paroles vigoureuses citées plus haut. Autrement dit, sa sincérité et ses bons mobiles l’ont amené à se repentir. Paul a vraiment pris conscience de la futilité de son ancien mode de vie, avant de connaître Christ. Il a également compris que, s’il désirait que la connaissance du Christ nouvellement acquise lui soit profitable, il devait apporter un changement dans sa vie – TG2001   1/ 4 p5


    Avant d’être chrétien, l’apôtre Paul recevait une formation pour réussir dans le système de choses juif. Il n’avait probablement pas plus de 13 ans quand il a quitté Tarse, sa ville natale, et s’est rendu à Jérusalem pour suivre les cours de Gamaliel, enseignant de la Loi très respecté. Il s’est peu à peu distingué parmi ses contemporains et, s’il avait continué dans cette voie, il serait sans doute devenu une sommité du judaïsme. Lorsqu’il a accepté la bonne nouvelle et s’est engagé dans l’œuvre de prédication, il a abandonné tout cela. Paul a renoncé à beaucoup pour devenir disciple du Christ (Phil. 3:4-6). A-t-il éprouvé des regrets par la suite ? “ Les choses qui étaient pour moi des gains, affirme-t-il, celles-ci je les ai considérées comme une perte à cause du Christ. ” Et de préciser : “ Je considère même que toutes choses sont une perte à cause de la valeur éminente de la connaissance de Christ Jésus mon Seigneur. À cause de lui, j’ai accepté la perte de toutes choses et je les considère comme un tas de déchets, afin de gagner Christ. ” (Phil. 3:7, 8). De même qu’une personne qui se débarrasse de détritus ne va pas déplorer leur perte, de même Paul ne regrettait aucune des perspectives de carrière profane qu’il avait repoussées. Il ne leur attribuait plus aucune valeur. Vous surprenez-vous à rêver à ce que vous seriez devenu si vous aviez saisi telle ou telle occasion ? L’exemple de Paul vous aidera à changer d’optique. Apprenez à apprécier ce que vous avez aujourd’hui. Vous avez tissé des relations précieuses avec Jéhovah et vous vous êtes forgé une réputation de fidélité auprès de lui. De quelle valeur sont les avantages matériels que le monde offre comparés aux bénédictions spirituelles dont vous jouissez d’ores et déjà et dont vous jouirez à l’avenir ? – TG2012  15/3 p27 §12,13


    Paul indique ensuite un moyen de continuer à se montrer fidèle. Il commence sa phrase ainsi : “ Oubliant les choses qui sont derrière et tendu vers celles qui sont devant... ” (Phil. 3:13). Notez que l’apôtre mentionne deux étapes, nécessaires l’une comme l’autre. Premièrement, il faut oublier les choses qui sont derrière et ne pas gaspiller une énergie et un temps précieux en s’en souciant à l’excès. Deuxièmement, à l’image d’un coureur qui approche de la ligne d’arrivée, il faut tendre vers l’avant, se concentrer sur ce qui est à venir. Méditer sur la fidélité de serviteurs de Dieu — du passé et d’aujourd’hui — renforcera notre volonté de continuer à avancer et nous dissuadera de regarder les choses qui sont derrière – TG2012  15/3 p28 §14,15


    3:13. “ Les choses qui sont derrière ” peuvent désigner une carrière lucrative, la sécurité d’appartenir à une famille aisée, ou encore des péchés graves commis par le passé et dont nous nous sommes repentis et “ avons été lavés ”. Nous devrions oublier ces choses, c’est-à-dire cesser de nous en préoccuper, et ‘ tendre vers les choses qui sont devant ’. - TG2008  15/8 p28


    L’apôtre Paul a fait cette exhortation : “ Dans la mesure où nous avons fait des progrès, continuons à marcher de manière ordonnée dans la même direction. ” (Philippiens 3:16). Un programme peut donner l’impulsion nécessaire pour continuer d’aller de l’avant. Avant votre baptême, sans doute étudiiez-vous la Bible avec un enseignant qualifié selon un programme hebdomadaire. Puis, prenant conscience de l’importance de cette étude, vous avez étoffé votre programme notamment en vous préparant et en lisant à l’avance les textes bibliques cités dans la leçon de la semaine. Maintenant que vous voilà baptisé, continuez-vous à ‘ marcher dans la même direction ’ ? Si ce n’est pas le cas, peut-être avez-vous besoin de revoir vos priorités, de “ vérifier les choses les plus importantes ”. (Philippiens 1:10.) Quand on a beaucoup à faire, il faut de la maîtrise de soi pour réserver du temps à la lecture de la Bible et à l’étude individuelle. Mais les bienfaits qu’on en retire en valent la peine. – TG1998 1/10 p29


    Progresser exige de la discipline et le maintien d’une même ligne : Paul poursuit en exhortant ses frères à ‘continuer toujours à marcher avec discipline dans la même ligne’. (Phil. 3:16.) Être disciplinés exige que nous mettions les personnes et les choses à la place qui leur revient les unes par rapport aux autres et que nous ayons un bon comportement. Les chrétiens de Philippes gardaient leur place, restant proches de l’organisation de Jéhovah et de leurs frères. Leur vie était dirigée par la loi de l’amour (Phil. 2:1, 2). Paul les encouragea à ‘se conduire d’une manière digne de la bonne nouvelle’. (Phil. 1:27.) L’ordre et un comportement convenable sont tout aussi importants pour les chrétiens aujourd’hui. Marcher dans la même ligne’ signifie agir toujours dans le même sens, selon une ligne de conduite bien établie. Marcher de façon théocratique avec discipline dans la même ligne consiste à nous soumettre à des habitudes qui sont saines, bénéfiques, conformes à la volonté de Dieu — avec l’objectif de nous édifier, d’aider les autres et, si possible, de faire davantage dans le service de Jéhovah. Pour réussir à atteindre ces buts, il est nécessaire d’établir et de maintenir cette même ligne qui comprend l’étude individuelle, la présence régulière aux réunions et la participation à l’œuvre de prédication. km 1994/8


    Dans sa lettre aux Philippiens, l’apôtre Paul cite une autre chose susceptible de devenir un dieu. Au sujet de certains qui, pendant un temps, avaient été chrétiens, il a déclaré : “ Il y en a beaucoup — je les mentionnais souvent, mais maintenant je les mentionne aussi en pleurant — qui marchent en ennemis du poteau de supplice du Christ, et leur fin c’est la destruction, et leur dieu c’est leur ventre, [...] et ils ne pensent qu’aux choses de la terre. ” (Phil. 3:18, 19). Comment le ventre, l’estomac, d’une personne peut-il être un dieu ? En fait, pour les individus dont parlait Paul, il était devenu plus important d’assouvir leurs désirs charnels que de servir Jéhovah. Peut-être certains ont-ils même mangé ou bu à l’excès, au point d’en arriver à la gloutonnerie ou d’être ivres. D’autres ont pu choisir de profiter de tout ce que le monde offrait au 1er siècle, ce qui les a empêchés de servir Jéhovah. Puissions-nous ne jamais laisser l’envie de mener la “ belle vie ” nous conduire à ralentir notre zèle dans le service de Jéhovah – TG2008 15/4 p4 §11,12


    Paul a parlé de certains qui se préoccupaient plus du matériel que du spirituel. De ceux qui “ marchent en ennemis du poteau de supplice du Christ ”, il a écrit que “ leur fin c’est la destruction, et leur dieu c’est leur ventre ”. (Philippiens 3:18, 19.) L’objet de leur idolâtrie n’était pas une image sculptée ; c’étaient leurs envies d’ordre matériel. Toute envie, bien sûr, n’est pas mauvaise. Jéhovah nous a créés avec des besoins humains et la capacité de goûter à divers plaisirs. Mais qui fait passer la recherche du plaisir avant ses relations avec Dieu n’est pas moins qu’un idolâtre – TG2001  15/6 p15 §12


    Les serviteurs de Jéhovah attachent une grande valeur à sa Parole, la Bible. Étant imparfaits, nous recevons tous des conseils bibliques par moments. Comment y réagissons-nous ? Pense à Évodie et Syntyche, des chrétiennes du 1er siècle. Un problème grave est apparu entre ces femmes ointes. Lequel ? La Bible ne le précise pas. Mais à titre d’exemple, réfléchis à la possibilité suivante. Imagine qu’Évodie ait invité des frères et sœurs pour partager un repas et profiter d’une compagnie agréable. Syntyche n’a pas été invitée, mais elle a su que tout le monde avait passé un bon moment. Elle a pu se dire : « Je n’en reviens pas qu’Évodie ne m’ait pas invitée ! Je croyais qu’on était amies. » Se sentant trahie, elle s’est mise à regarder Évodie d’un œil perplexe, voire soupçonneux. Elle a donc organisé sa propre soirée, en invitant les mêmes frères et sœurs — mais pas Évodie ! Le problème entre Évodie et Syntyche aurait pu nuire à la paix de toute la congrégation. La Bible ne nous révèle pas l’issue de l’affaire, mais on peut penser que ces sœurs ont bien réagi au conseil plein d’amour de l’apôtre Paul (Phil. 4:2, 3). Aujourd’hui, des situations semblables causent parfois des difficultés dans les assemblées. Cependant, elles peuvent être résolues, et même évitées, si nous appliquons les conseils de la Parole de Dieu. Et nous les appliquerons si nous attachons une grande valeur à ce livre. – TG2016/11 p14 §1,2


    Paul a écrit : “ Oui, je sais être à court de vivres, oui je sais être dans l’abondance. En toutes choses et en toutes circonstances, j’ai appris le secret et d’être rassasié et d’avoir faim, et d’être dans l’abondance et d’être dans le besoin. ” (Philippiens 4:12). Quelle confiance, quel optimisme ! On pourrait facilement en conclure que lorsqu’il a écrit ces mots la vie devait lui être agréable. Pourtant, c’était loin d’être le cas puisqu’il était alors emprisonné à Rome. — Philippiens 1:12-14. Ce détail non négligeable donne du poids à ce que Paul dit sur le contentement, qu’il s’agisse de biens matériels ou de situations enviables. Passer d’un extrême à l’autre en matière de richesse ou de difficultés peut mettre à l’épreuve notre sens des priorités. Paul attribuait à des ressources spirituelles sa capacité à éprouver le contentement quelle que soit sa situation matérielle : “ Pour toutes choses j’ai cette force grâce à [Dieu] qui me donne de la puissance. ” (Philippiens 4:13). Au lieu de se fier à ses biens, nombreux ou restreints, ou à sa situation, favorable ou non, Paul comptait sur Dieu pour voir ses besoins satisfaits. Et c’est ce qui lui procurait le contentement. – TG2001  15/6 p7


    Les chrétiens de Philippes avaient beau être pauvres, ils ne s’en montraient pas moins généreux et témoignaient à leurs frères et sœurs un amour exemplaire (Phil. 1:3-5, 9 ; 4:15, 16). L’apôtre Paul a donc pu conclure ainsi la lettre qu’il leur a adressée : “ Que la faveur imméritée du Seigneur Jésus Christ soit avec l’esprit que vous manifestez. ” (Phil. 4:23). De nos jours, chaque assemblée manifeste un certain esprit, une certaine mentalité. Il existe des assemblées connues pour leur chaleur, d’autres pour leur zèle dans la prédication et l’importance qu’elles attachent au ministère à plein temps. Lorsque, individuellement, nous cultivons un état d’esprit constructif, nous contribuons à l’unité de l’assemblée et à ses progrès spirituels. À l’inverse, si nous entretenons un état d’esprit négatif, nous risquons de favoriser la somnolence spirituelle et la tiédeur. Peut-être même des transgresseurs seront-ils tolérés dans l’assemblée – TG2012  15/2 p18 §1,2

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    misette got a reaction from Coco in Vidéo par écrit : « Comment bien choisir nos divertissements ? » - SEMAINE DU 24 JUIN 2019   
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    Vidéo par écrit : « Comment bien choisir nos divertissements ? »


    (Danny joue à un jeu vidéo de guerre)

    Quelqu’un frappe à la porte.

    Danny : « J’avais promis à Akil que j’irais prêcher avec lui après l’école »

    Salut Danny

    Comment ça va ?

    On t’attend dans la voiture.

    «  J’ai tenu parole, mais j’avais la tête ailleurs ».

    « Akil s’en est rendu compte, et il m’a demandé si tout allait bien. En fait, j’aurais préféré être en train de jouer aux jeux vidéo, mais je ne pouvais pas lui dire ça. Comme il est pionnier et assistant, il n’aurait pas compris.

    Sms reçu : « Salut ! Désolé, mais je ne pourrai pas faire du vtt la semaine prochaine. J’ai un imprévu. Est-ce que tu peux demander à quelqu’un de me remplacer ? »

    Plus tard, cette semaine-là, Akil m’a invité à faire du vtt avec des amis. On s’est vraiment bien amusé.

    Lucas a sauté par-dessus…… (dans une cafétéria) et votre croissant.

    « Super, merci. »

    « Faites-moi signe si vous avez besoin d’autres choses »

    « Eh Danny, tu te débrouilles vraiment bien en vtt. Et pour t’amuser, qu’est-ce que tu aimes faire d’autre ? »

    « En fait, j’aime bien ce jeu qui s’appelle… Et je lui ai montré mon jeu vidéo.

    « ça m’a surpris, il aimait les jeux vidéo lui aussi. Mais il m’a dit qu’il tenait à bien les choisir. Et puis, il m’a parlé des gladiateurs dans la Rome antique.

    [Danny imagine une scène dans le Colisée] Les gens venaient de partout pour les voir se battre jusqu’à la mort. Et même si les spectateurs n’étaient pas en danger physiquement, ils étaient quand même en danger : à force de voir du sang couler et des gens tuer, ils devenaient insensibles et ils voulaient toujours plus de violence. C’était une vraie épreuve pour les chrétiens de cette époque.

    Akil m’a fait réfléchir sur Romains 12 :9 « Ayez en horreur ce qui est mauvais, attachez-vous à ce qui est bon ».

    « Tu vois, Danny, les jeux ont changé avec le temps, mais la violence, elle, n’a pas changé. J’aimes les jeux vidéo, mais je refuse de jouer à des jeux qui encouragent ce que Jéhovah déteste. »

    « Bien sûr, on peut servir Jéhovah et aimer s’amuser. On peut même jouer aux jeux vidéo. Je veux simplement les choisir avec sagesse. Je veux montrer à Jéhovah que je déteste la méchanceté. Et je veux réjouir son cœur ».

    [Danny a supprimé le jeu vidéo de guerre qu'il jouait auparavant]
     


     
    ˙ Quels points communs y a-t-il entre les combats de gladiateurs de la Rome antique et certains divertissements d’aujourd’hui ?

     
     

    ˙ Comment les frères et soeurs peuvent-ils aider les jeunes de leur assemblée à bien choisir leurs divertissements ?

     
     

    ˙ Comment Romains 12:9 devrait-il guider nos choix de divertissements ?

     
     




     

    ˙ Quels divertissements convenables existent-ils là où tu vis ?
     
     
    Vidéo par écrit : « Comment bien choisir nos divertissements ? »   https://tv.jw.org/#fr/mediaitems/pub-jwb_201809_3_VIDEO  
     


     
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