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misette

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    misette got a reaction from Eric Ouellet in RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 9 JUILLET 2018 - LUC 8-9   
    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : LUC 8-9
    Luc 8:3 : Comment ces chrétiennes servaient-elles Jésus et les apôtres ? (nwtsty, note d’étude).
    « et Jeanne la femme de Chouza le préposé d’Hérode, et Suzanne et beaucoup d’autres femmes, qui les servaient de leurs biens »
    Les servir : ou « pourvoir à leurs besoins ». Le mot grec diakonéô peut signifier combler les besoins physiques de quelqu’un, entre autres, en se procurant des aliments, en les cuisinant et en les servant. Il a un sens similaire en Luc 10:40 (« accomplir le travail »), en Luc 12:37 (« servir ») et en Actes 6:2 (« distribuer la nourriture »), mais il peut aussi se rapporter à tout autre service de même nature rendu à quelqu’un. Ici, il est employé pour parler de la façon dont les femmes mentionnées aux versets 2 et 3 pourvoyaient aux besoins de Jésus et de ses disciples, ce qui les aidait à s’acquitter de leur mission divine. En agissant ainsi, ces femmes glorifiaient Dieu qui, en retour, a montré qu’il accordait du prix à leurs actions en conservant dans la Bible un récit de leur belle générosité afin que les générations futures en prennent connaissance (Pr 19:17 ; Hébreux 6:10). Le même terme grec est utilisé concernant des femmes en Mt 27:55 ; Marc 15:41.- nwtsty, note d’étude
    Jeanne était « la femme de Chouza le préposé d’Hérode ». Chouza a probablement été l’intendant d’Hérode Antipas. Jeanne faisait partie des quelques femmes que Jésus avait guéries. Comme d’autres femmes, elle suivait Jésus et ses apôtres dans leurs déplacements
    En se joignant à Jésus et à ses apôtres, Jeanne s’exposait aux critiques de son entourage. En réalité, tous ceux qui suivaient le Christ devaient être disposés à opérer des changements dans leur vie quotidienne. Jésus a cependant dit à leur sujet : « Ma mère et mes frères, ce sont ceux qui entendent la parole de Dieu et la mettent en pratique » (Luc 8:19-21)
    Jeanne et beaucoup d’autres femmes servaient « de leurs biens » Jésus et les douze (Luc 8:3). Un auteur observe : « Luc n’est pas en train de dire à ses lecteurs que les femmes faisaient la cuisine, la vaisselle et le raccommodage. Peut-être qu’elles effectuaient ce genre de tâches [...], mais Luc ne parle pas de cela. » Apparemment, ces femmes se servaient de leur argent ou de leurs biens pour subvenir aux besoins de leurs compagnons.
    Durant leurs campagnes de prédication, ni Jésus ni ses apôtres ne se livraient à une activité professionnelle. Ils n’avaient donc probablement pas les moyens d’acheter toute la nourriture et les autres nécessités pour leur groupe, qui devait compter une vingtaine de personnes. Bien qu’ils aient sans doute été reçus avec hospitalité, ils possédaient une « caisse », ce qui suggère qu’ils ne dépendaient pas en permanence de l’hospitalité des gens – TG2015 15/8 p29-30
    Marie la Magdalène, Jeanne, Suzanne et d’autres utilisaient “ leurs biens ” pour servir modestement Jésus et ses apôtres. Sans être indigents, ces hommes avaient abandonné leurs moyens de subsistance pour se consacrer exclusivement à leur ministère. En les aidant à accomplir la mission que Dieu leur avait confiée, ces femmes ont glorifié Dieu qui, en retour, a montré son approbation en conservant dans la Bible un témoignage de leur générosité miséricordieuse, afin que les générations futures en prennent connaissance – TG2003 1/6 p4-5
    Les rabbins enseignaient que les femmes ne devaient pas fréquenter les hommes ne faisant pas partie de leur famille, et encore moins voyager avec eux. Les hommes juifs n’adressaient donc la parole aux femmes que rarement. Rejetant ces traditions, Jésus a permis à des croyantes d’accompagner son groupe.
    Luc 9:49, 50 : Pourquoi Jésus n’a-t-il pas empêché un homme d’expulser des démons, alors que cet homme ne le suivait pas ?                      (w08 15/3 31 § 2).
    « Alors Jean dit : “ Instructeur, nous avons vu un certain homme expulser des démons en se servant de ton nom et nous avons essayé de l’en empêcher, parce qu’il ne [te] suit pas avec nous. ” 50 Mais Jésus lui dit : “ N’essayez pas de [l’]en empêcher, car qui n’est pas contre vous est pour vous. ”
    Jésus n’a pas empêché cet homme d’agir ainsi, car la congrégation chrétienne n’avait pas encore été établie. Par conséquent, cet homme n’avait pas besoin de suivre, au sens littéral, Jésus pour exercer la foi en son nom et expulser des démons. TG2008
    Il n’était pas nécessaire, pour être aux côtés de Jésus, que cet homme le suive en personne. La congrégation chrétienne n’étant pas encore fondée, ce n’était pas parce que l’homme ne faisait pas partie de leur groupe qu’il appartenait à une autre congrégation. Il avait vraiment foi dans le nom de Jésus, d’où son succès à expulser des démons. Son action était assimilable à celles qui, selon Jésus, étaient dignes d’une récompense. Comme le montre Jésus, pour ce geste il ne perdra pas sa récompense – TG1988 15/2 p8
    Jésus conféra le pouvoir sur les démons à ses 12 apôtres et par la suite aux 70 disciples qu’il envoya, afin qu’en son nom ils arrivent, eux aussi, à guérir les possédés. Même quelqu’un qui n’était pas un proche compagnon de Jésus ou de ses apôtres fut capable d’exorciser un démon en se servant du nom de Jésus – it1 Démon
    Certains qui n’accompagnaient pas Jésus Christ lorsqu’il était sur la terre montrèrent par leurs actions qu’ils étaient ‘ de son côté ’ et qu’ils ne s’empresseraient pas de se joindre à ses adversaires pour l’injurier. Tel était le cas d’un homme qui expulsait les démons à cause du nom de Jésus. Il avait sans doute reçu ce pouvoir de Dieu. Jean et d’autres estimaient qu’il fallait l’empêcher de continuer puisqu’il ne les accompagnait pas. Mais Jésus dit : “ N’essayez pas de l’en empêcher, car il n’y a personne qui fasse une œuvre de puissance à cause de mon nom et puisse vite m’injurier [littéralement : “ parler en mal de moi ”]. . Quand Jésus prononça ces paroles, la congrégation juive était toujours reconnue par Dieu et la fondation de la congrégation chrétienne était encore à venir. De plus, Jésus n’exigeait pas que tous les croyants le suivent en personne. Par conséquent, les œuvres de puissance qu’accomplissait un Juif, appartenant au peuple de l’alliance de Dieu, à cause du nom de Jésus, étaient une preuve qu’il avait la faveur divine. Cependant, dès que la congrégation chrétienne fut fondée, quiconque désirait obtenir la faveur de Dieu devait se joindre à elle en devenant un disciple fidèle de Jésus Christ - it-1 p1193
    Pourquoi empêcher cet homme de continuer à expulser les démons en faisant usage du nom de Jésus ? Cherchait-il à insulter Jésus en agissant ainsi ? Avait-il traîné le nom du Messie dans la boue, le rendant méprisable et l’associant à des choses mauvaises ? Il n’utilisait pas le nom de Jésus comme une formule d’exorcisme, tel un nom magique, comme le firent plus tard les sept fils de Scéva, un grand prêtre juif (Actes 19:13-16). Le démon n’a pas dit à cet homme : ‘Jésus, je le connais ; mais toi, qui es-tu ?’ tout en refusant de quitter sa victime. Non, cet homme avait réellement foi dans le nom de Jésus et il réussissait à expulser les démons. Il glorifiait vraiment le nom de Jésus, dont il démontrait la puissance.
    Par conséquent, bien qu’il n’accompagnât pas Jésus et ses apôtres, l’homme en question n’était pas contre eux et il ne détournait pas l’attention des gens de leur œuvre de témoignage. S’il n’était pas contre eux, il est logique de penser qu’il devait être pour eux, même s’il ne les accompagnait pas. On ne pouvait guère s’attendre qu’après avoir accompli des miracles qui glorifiaient et louaient le nom de Jésus, il allait l’insulter l’instant d’après. Il serait illogique, voir déraisonnable, de penser que cet homme pouvait témoigner de l’honneur et du respect pour le nom de Jésus en opérant de grands miracles puis, aussitôt après, en privé, parler en mal du nom et de l’œuvre de la même personne et de ses apôtres. Ceux-ci ne devaient donc rien faire pour empêcher cet homme d’agir ainsi.
    L’homme en question n’allait pas perdre sa récompense. Il était probablement en passe de devenir disciple de Jésus Christ. Ce qu’il faisait était comparable à une autre action que Jésus jugea favorablement et qui, selon lui, méritait une récompense : donner à boire une coupe d’eau à quelqu’un qui a soif, pour ce motif qu’il est son disciple, donc qu’il lui appartient. Un tel geste pouvait paraître bien peu de chose pour réconforter quelqu’un, mais cela révélait que son auteur était bien disposé envers le Messie et qu’il faisait tout ce qu’il pouvait pour soutenir sa cause, ce qui avait beaucoup d’importance aux yeux de Jésus Christ. Ici s’applique la règle que Jésus énonça plus tard, savoir : “Dans la mesure où vous l’avez fait à l’un des plus petits d’entre mes frères que voici, c’est à moi que vous l’avez fait.” (Mat. 25:40). Jésus Christ, le Roi, ne manquerait pas de récompenser un tel geste. – TG1977 1/12
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Les chrétiens désireux d’être fidèles à Dieu s’interdisent, par conséquent, les péchés cachés qui corrompent l’esprit et le cœur, comme le fait de regarder de la pornographie ou des spectacles violents. Si certains péchés peuvent rester cachés aux humains, nous n’ignorons pas que “ toutes choses sont nues et mises à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte ”. (Luc 8:17.) En nous appliquant à rejeter tout ce qui déplaît à Jéhovah, nous conservons une conscience pure et avons la satisfaction de savoir que nous sommes agréables à Dieu. Il est absolument certain que Jéhovah accorde du prix à la personne “ qui marche de façon intègre et qui pratique la justice, et qui exprime la vérité dans son cœur ”.  Psaume 15:1, 2.
    Mais comment, au juste, pouvons-nous préserver notre esprit et notre cœur dans un monde où règne le mal ? En premier lieu, il nous faut tirer profit de tout ce que Jéhovah nous donne pour affermir notre foi. Puis nous devons fournir tous les efforts possibles pour rejeter le mal et faire le bien, et agir vite avant que les désirs mauvais ne soient fécondés et n’enfantent le péché. Songez comme vous seriez heureux si Jésus disait de vous ce qu’il a dit de Nathanaël : “ Voyez : un homme en qui il n’y a pas de tromperie. ” (Jean 1:47). Nathanaël, également appelé Barthélemy, a plus tard eu le privilège d’être l’un des 12 apôtres de Jésus – TG2007  1/ 2 p20 §12,13
    Bien que ses conseils soient faciles à trouver, Jéhovah ne force personne à les suivre. Il faut lui demander son esprit saint, qu’il nous donnera généreusement. Mais il est indispensable, comme le dit Jésus, de faire attention à la manière dont nous écoutons (Luc 8:18). Par exemple, il serait hypocrite de demander à Jéhovah de nous aider à surmonter un penchant pour l’immoralité sexuelle tout en continuant à regarder de la pornographie ou des films comprenant des scènes érotiques. Nous devons plutôt nous placer dans des lieux et des situations où se trouve l’esprit de Jéhovah. Comme nous le savons, c’est le cas aux réunions de la congrégation. Bien des chrétiens ont échappé au désastre en écoutant la voix de Jéhovah aux réunions. C’est ainsi qu’ils ont pris conscience que de mauvais désirs germaient en eux et qu’ils se sont ressaisis – TG2014  15/8 p25 §16
    Ce que dit la Bible sur la prière est une preuve supplémentaire que Jéhovah remarque et estime les manifestations de notre attachement à sa personne. “ La prière des hommes droits est pour [Dieu] un plaisir ”, a fait observer le roi Salomon (Proverbes 15:8). Du temps de Jésus, de nombreux chefs religieux priaient en public, non parce qu’ils étaient sincèrement attachés à Dieu, mais parce qu’ils voulaient impressionner les hommes. Il va de soi que Jésus ne condamnait pas les prières publiques ; lui-même en a d’ailleurs prononcé en certaines circonstances (Luc 9:16). Le fait est que Jéhovah prend vraiment plaisir aux prières qui viennent de cœurs sincères, sans la moindre volonté d’impressionner autrui. À vrai dire, les prières que nous lui adressons en privé sont assez révélatrices de la profondeur de notre amour pour lui et de la confiance que nous lui accordons. Rien d’étonnant, donc, que Jésus ait souvent recherché des endroits retirés pour prier. – TG2007  1/ 2 p19 §8,9
    Jésus a mis en évidence que, pour pratiquer le vrai culte, il est nécessaire de faire preuve d’abnégation, ce qui exige de la foi (Luc 9:23, 24). Parce qu’ils avaient la foi, certains chrétiens ont consenti des sacrifices considérables, ont supporté la pauvreté, les préjugés, l’oppression, voire la persécution. Seule une foi forte leur a permis d’y parvenir tout en conservant leur joie. Une telle foi nous rend absolument convaincus que suivre la direction de Jéhovah est toujours ce qu’il y a de mieux à faire. C’est toujours pour notre bien à long terme. Nous n’avons pas le moindre doute que la récompense offerte à ceux qui endurent fidèlement surpassera largement toute souffrance qu’ils auront pu connaître à un moment ou à un autre - TG2008  15/4 p10§12,13
    Au ciel, le Fils unique-engendré de Dieu était un être spirituel puissant. Sur la terre, il fut “ le représentant du Père ”. Lors de la transfiguration, Jéhovah confirma la qualité de Messie de Jésus et formula cet ordre : “ Écoutez-le. ” (Luc 9:35). Il fallait écouter celui que Dieu avait choisi, autrement dit lui obéir. Cela exigeait de la foi et de belles œuvres, deux éléments absolument indispensables pour plaire à Dieu et obtenir la vie éternelle – TG2009 15/12 p22 §10
    Qu’apprenons-nous de la façon dont Jésus a traité ses disciples ? Ces derniers ne cessaient de se disputer pour savoir lequel était le plus grand (Luc 9:46). Pour avoir longtemps vécu à ses côtés, Jésus savait ce que Jéhovah pensait de la tendance à l’orgueil. Qui plus est, il avait observé cette tendance chez Satan le Diable. Cet égoïste se souciait plus que tout d’occuper la première place. On imagine donc à quel point Jésus a dû s’attrister de remarquer de sérieux restes d’ambition chez les disciples qu’il avait formés, et même chez ceux qu’il s’était choisis pour apôtres ! Leur soif d’honneurs s’est fait sentir jusqu’au dernier jour de la vie de leur Maître. Jésus a néanmoins continué de les reprendre avec bonté, sans jamais désespérer de les voir cultiver l’humilité et manifester la même attitude mentale que lui.
    Discernez-vous l’empreinte du Père dans la patience de Jésus ? À travers les paroles et les actions du Fils, reconnaissez-vous le Père, qui ne se désintéresse pas de ses serviteurs malgré leurs manquements répétés ? Cette connaissance des qualités de Dieu nous pousse à nous approcher de lui et à lui exprimer notre repentir quand nous commettons des fautes. – TG2012 15/4 p6 §12,13
     
    Même si nous participons activement à la vie de la congrégation, nous ne devons pas oublier que notre cœur court un danger, danger contre lequel Jésus a mis en garde le dernier de ses interlocuteurs : “ Aucun homme qui a mis la main à la charrue et regarde les choses qui sont derrière n’est fait pour le royaume de Dieu. ” (Luc 9:62). Quelle leçon pouvons-nous tirer de cet exemple ? Pour bien faire ressortir la leçon qui se dégage de l’exemple de Jésus, étoffons-le de quelques détails. Un cultivateur est en train de labourer un champ. Mais il ne cesse de penser à sa maison où, à l’ombre, il pourrait manger, écouter de la musique et s’amuser avec sa famille et ses amis. Il rêve de tout cela. Après avoir labouré une longue bande de terre, il finit par éprouver un tel désir de profiter des plaisirs de la vie qu’il se retourne pour regarder “ les choses qui sont derrière ”. Bien qu’il reste encore beaucoup à faire avant les semailles, le cultivateur est distrait et son travail en pâtit. Naturellement, son maître est déçu de son manque de persévérance.
    On pourrait établir un parallèle entre ce cultivateur et tout chrétien qui semble robuste sur le plan spirituel, mais dont le cœur est en réalité en danger. Imaginons un frère qui assiste aux réunions et prend part à la prédication, mais qui n’arrête pas de penser à des choses qui l’attirent dans le monde actuel. Au fond de son cœur, il y aspire. Après s’être acquitté de son ministère pendant plusieurs années, il finit par être tellement obnubilé par ses désirs qu’il se retourne pour regarder “ les choses qui sont derrière ”. Alors qu’il reste beaucoup à accomplir dans l’œuvre de prédication, ce chrétien cesse de ‘ tenir fermement la parole de vie ’, et ses activités théocratiques en pâtissent. La leçon est claire. Il est louable que nous prenions régulièrement part à de saines activités, qu’il s’agisse d’assister aux réunions chrétiennes ou de prêcher. Mais cela ne signifie pas forcément que nous servons Jéhovah d’un cœur complet. Si, dans le secret de notre cœur, nous continuons d’aimer “ les choses qui sont derrière ”, c’est-à-dire des choses que propose  le monde, nous risquons de perdre nos bonnes relations avec Jéhovah – TG2012 15/4 p15-16 §11-13
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    ‘ Entendons la parole ’ - Le récit de Luc 8:12-15 spécifie que, dans les quatre cas, les gens ‘ entendent la parole ’. Toutefois, ceux qui ont “ un cœur beau et bon ” ne se contentent pas de l’‘ entendre ’. Ils “ la retiennent et portent du fruit avec endurance ”. La terre belle et bonne étant meuble et profonde, les racines de la semence peuvent s’enfoncer, ce qui permet au grain de germer et de produire du fruit (Luc 8:8). De la même manière, ceux qui ont un cœur beau comprennent, apprécient et absorbent la parole de Dieu. Celle-ci demeure en eux. En conséquence, ils portent du fruit avec endurance. Ainsi, il est nécessaire d’apprécier profondément et sincèrement la Parole de Dieu pour être un disciple du Christ endurant – TG2003 1/2 p8 §6
    “ Le long de la route ” : ceux qui sont trop occupés - La première sorte de terre sur laquelle le grain tombe se trouve “ le long de la route ”, où il est ‘ piétiné ’. (Luc 8:5.) Le long d’une route passagère qui traverse un champ de céréales, la terre est forcément tassée (Marc 2:23). Pareillement, ceux qui permettent aux activités incessantes du monde d’engloutir leur temps et leur énergie peuvent être trop occupés pour parvenir à attacher du prix à la parole de Dieu. Ils l’entendent, mais comme ils ne méditent pas sur elle, leur cœur reste insensible. Avant qu’ils ne parviennent à l’aimer, “ le Diable vient et enlève la parole de leur cœur, afin qu’ils ne croient pas et ne soient pas sauvés ”. (Luc 8:12.) Peut-on éviter ce piège ?
    Il existe bien des moyens d’empêcher un cœur de ressembler à la terre stérile qui borde une route. Une terre piétinée et dure devient meuble et productive si on la laboure et si on fait circuler les gens ailleurs. Pareillement, en prenant le temps d’étudier et de méditer la Parole de Dieu, nous rendons notre cœur semblable à une terre belle et fertile. Le tout est de ne pas nous occuper outre mesure des questions profanes (Luc 12:13-15). Réservons-nous au contraire du temps pour réfléchir aux “ choses les plus importantes ”- TG2003 1/ 2 p10 §10,11
    “ Sur le roc ” : ceux qui ont peur - Lorsqu’elle tombe sur la deuxième sorte de terre, la semence ne reste pas à la surface, comme dans le premier cas. Elle prend racine et germe. Seulement, quand le soleil se lève, la pousse est brûlée par la chaleur et se dessèche. Toutefois, considérez un détail significatif. La raison véritable pour laquelle la pousse se dessèche n’est pas la chaleur. En effet, la plante qui grandit dans la bonne terre est également exposée au soleil, et pourtant elle prospère. D’où vient la différence ? La pousse se dessèche, explique Jésus, ‘ parce qu’elle n’a pas de profondeur de terre ’ et ‘ parce qu’elle n’a pas d’humidité ’. (Luc 8:6.) Un “ roc ” juste au-dessous de la couche de terre empêche les grains de plonger leurs racines suffisamment loin pour trouver humidité et stabilité. La pousse se dessèche parce que le sol n’est pas profond.
    Cette partie de l’exemple se rapporte à ceux qui “ reçoivent la parole avec joie ” et qui suivent Jésus avec zèle “ pour un moment ”. (Luc 8:13.) Il suffit qu’ils subissent le feu ‘ d’une tribulation ou d’une persécution ’ pour qu’ils prennent peur au point de perdre leur joie, leur force, et de ne plus suivre le Christ (Matthieu 13:21). Mais la cause réelle de leur peur n’est pas l’opposition. Des millions de disciples du Christ ne subissent-ils pas diverses tribulations et pourtant demeurent fidèles  ? La raison véritable pour laquelle certains ont peur et chutent est que leur cœur ressemble à un roc et les empêche de méditer suffisamment en profondeur sur les choses constructives et spirituelles. En conséquence, leur reconnaissance envers Jéhovah et envers sa parole est trop superficielle et trop faible pour qu’ils résistent à l’opposition. Comment éviter d’en arriver là ?
    Individuellement, il est important de vérifier qu’aucun obstacle comparable à un roc ne se cache dans notre cœur : une amertume ancrée, un égoïsme sous-jacent, ou d’autres sentiments durs mais dissimulés. Si une telle barrière existe chez quelqu’un, la puissance de la parole de Dieu peut la briser. Ensuite, la méditation dans la prière provoquera “ l’implantation de la parole ” au fond de son cœur. Il aura alors la force de traverser les périodes de découragement ainsi que le courage de demeurer fidèle malgré les épreuves - TG2003 1/ 2 p10 §12-14
    Portons du fruit en répandant la semence du Royaume - L’exemple du semeur et des différentes sortes de terre relaté par Jésus fournit la réponse, une réponse réconfortante pour ceux qui prêchent dans des territoires peu productifs. Jésus a expliqué que la semence est le message du Royaume contenu dans la Parole de Dieu, et que la terre représente le cœur symbolique de l’homme. Une partie de la semence “ est tombée sur la bonne terre et, après avoir germé, elle a produit du fruit ”. (Luc 8:8.) Quel fruit ? Réfléchissons : une fois que le grain a germé et mûri, la tige de blé produit, non pas de petites tiges, mais de nouveaux grains. Pareillement, un chrétien produit, non pas nécessairement de nouveaux disciples, mais de nouvelles graines du Royaume. Ainsi, en l’occurrence, le fruit ne consiste ni en nouveaux disciples ni en qualités chrétiennes. Puisque la semence qui est semée est la parole du Royaume, le fruit doit être la multiplication de cette semence. Porter du fruit, dans ce cas, c’est parler du Royaume. Nous est-il possible de porter le fruit du Royaume, de proclamer la bonne nouvelle du Royaume, quelle que soit notre situation ? Absolument ! – TG2003 1/2 p20-21 §10,11
    “ Parmi les épines ” : ceux qui sont partagés- La troisième sorte de terre, celle que les épines envahissent, mérite particulièrement notre attention, car sous certains aspects elle ressemble à la belle terre : les grains y prennent racine et germent ; au départ, les jeunes plantes s’y développent aussi bien. Celles-ci finissent pourtant par y être étouffées à cause ‘ des épines qui poussent avec elles ’ et avec qui elles doivent rivaliser. Pendant un temps, les unes et les autres se disputent nourriture, lumière et espace, mais les épines finissent par recouvrir les jeunes pousses et par les ‘ étouffer ’. — Luc 8:7.
    Quelles personnes ressemblent à la terre couverte d’épines ? Jésus explique : “ Ce sont ceux qui ont entendu, mais, en se laissant entraîner par les inquiétudes, la richesse et les plaisirs de cette vie, ils sont complètement étouffés et ne portent rien à la perfection. ” (Luc 8:14). De même que la semence du semeur et les épines poussent dans la terre simultanément, de même certains essaient de concilier la parole de Dieu et “ les plaisirs de cette vie ”. La vérité de la parole de Dieu est semée dans leur cœur, mais elle rivalise avec d’autres objectifs qui réclament leur attention. Leur cœur symbolique est partagé (Luc 9:57-62). Cela les empêche de consacrer suffisamment de temps à une réflexion profonde, et dans la prière, sur la parole de Dieu. Ils n’absorbent pas cette parole complètement, et donc n’y attachent pas assez de prix pour se montrer endurants. Petit à petit, leur intérêt pour les choses spirituelles est dépassé par des activités charnelles au point qu’ils sont “ complètement étouffés ”. Une triste fin pour les personnes qui n’aiment pas Jéhovah de tout leur cœur !
    En plaçant les questions spirituelles avant les considérations d’ordre matériel, nous évitons d’être étouffés par les soucis et les plaisirs du monde. Ne négligeons jamais de lire la Bible et de réfléchir à ce que nous lisons. Nous trouverons le temps de méditer sérieusement et dans la prière si nous simplifions notre vie au maximum. Les serviteurs de Dieu qui le font (qui en somme arrachent les épines de la terre afin de laisser nourriture, lumière et espace à la plante fructifère) sont bénis par Jéhovah. Ainsi, que nous soyons jeunes ou âgés, tous nous demeurerons dans la parole de Dieu et serons des disciples du Christ endurants aussi longtemps que la parole de Dieu demeurera en nous. Veillons donc à ce que la terre qu’est notre cœur figuré ne devienne jamais dure, peu profonde ou couverte d’épines, mais à ce qu’elle reste meuble et profonde. De cette façon, nous absorberons pleinement la parole de Dieu et nous ‘ porterons du fruit avec endurance  - TG2003 1/ 2 p10 §15-18
    L’inquiétude nuit au bien-être. Elle peut conduire quelqu’un à la dépression, le priver de ses forces et de toute initiative. Beaucoup plus grave est le danger que peut représenter pour la spiritualité une inquiétude excessive. Jésus Christ montra que la reconnaissance pour “ la parole de Dieu ” peut être complètement étouffée par l’inquiétude excessive à propos des difficultés qui accompagnent souvent la vie dans le système de choses actuel. Tout comme les épines peuvent empêcher les jeunes plants d’atteindre la maturité et de porter du fruit, de même ce genre d’inquiétude peut empêcher quelqu’un de grandir spirituellement et de porter du fruit à la louange de Dieu (Luc 8:7, 11, 14). Pour avoir permis à ces soucis de dominer leur vie et de prendre le pas sur les intérêts spirituels, beaucoup encourront la désapprobation du Fils de Dieu lors de son retour glorieux, pour leur perte éternelle - it-1 p1182-1183
    À l’inverse, nous courons un réel danger si nous perdons de vue le but réel de notre existence et si nous desserrons notre prise sur “ la vie véritable ”. Nous risquons de nous “ laisser entraîner par les inquiétudes, la richesse et les plaisirs de cette vie ”. (Luc 8:14.) Les désirs non maîtrisés et les “ inquiétudes à propos des moyens d’existence ” peuvent nous amener à trop nous investir dans le système de choses. Hélas, certains ont été gagnés par la frénésie de l’enrichissement, et ainsi se sont “ égarés loin de la foi et se sont transpercés partout de bien des douleurs ”, perdant même leur belle amitié avec Jéhovah. Comme ils paient cher de n’avoir pas tenu “ fermement la vie éternelle  - TG2007 1/10 p19 §14
    Les personnes qui acceptent rapidement “ la parole de Dieu ”, mais seulement à un niveau superficiel, manquent d’endurance. Soumises à la tribulation ou à la persécution, elles renoncent rapidement, perdant ainsi l’approbation et la bénédiction de Dieu. Mais celles qui cultivent un profond intérêt pour “ la parole de Dieu ” endurent et demeurent fermes. Elles “ portent du fruit avec endurance ”, continuant fidèlement à proclamer le message divin malgré les difficultés, la souffrance et le découragement. — Luc 8:11, 13,15. Jésus a comparé le sol rocailleux aux personnes qui “ reçoivent la parole de Dieu avec joie ” mais font défection lorsque leur foi rencontre des épreuves. Toutefois, il a comparé ses fidèles disciples à la belle terre en ce qu’ils “ retiennent ” la parole de Dieu et “ portent du fruit avec endurance ”- it-1 p759
    Jésus Christ, le grand Enseignant et le Modèle dans l’œuvre qui consiste à faire des disciples, a exhorté ses auditeurs en ces termes : “ Faites [...] attention à la manière dont vous écoutez. ” (Luc 8:16-18). Ce principe est valable pour le ministère chrétien. Si vous prêtez attention à l’instruction spirituelle et que vous l’appliquiez, vous deviendrez un proclamateur du Royaume efficace. Évidemment, vous ne pouvez entendre la voix de Jésus aujourd’hui, mais en lisant les Écritures vous pouvez savoir ce qu’il a dit et fait. Que révèle la Bible quant à la manière dont Jésus traitait ceux qu’il rencontrait dans son ministère ?
    Jésus était un excellent prédicateur de la bonne nouvelle et un remarquable enseignant de la vérité biblique (Luc 8:1). Pour faire des disciples, il faut à la fois prêcher et enseigner ; or, il arrive que de bons prédicateurs trouvent difficile d’enseigner efficacement. Si prêcher signifie proclamer un message, enseigner la vérité sur Jéhovah et sur ses desseins signifie en général bâtir une relation avec le futur disciple. Nous y parviendrons en imitant Jésus Christ, le grand Enseignant et le Modèle par excellence dans l’œuvre qui consiste à faire des disciples – TG2007  15/11 p27 §1,2
    Grâce à Jésus, les humains obéissants seront délivrés de l’esclavage du péché. Et cette délivrance est une “ délivrance éternelle ”. Le nom Jésus signifie “ Jéhovah est salut ”. En tant que Libérateur ou Sauveur, Jésus nous sauve de nos péchés passés. De surcroît, il nous ouvre la perspective d’un avenir meilleur. En effet, en délivrant les humains de l’esclavage du péché, Jésus épargne à ses disciples la colère divine et il les introduit dans des relations d’amour avec Jéhovah.
    En temps voulu, cette délivrance nous soulagera aussi des tristes conséquences du péché : la maladie et même la mort. Pour nous représenter mentalement ce que cela signifiera, réfléchissons à ce qui s’est passé quand Jésus est entré dans la maison de Jaïrus, un homme dont la fille de 12 ans venait de mourir. Juste avant, Jésus avait rassuré Jaïrus, en disant : “ N’aie pas peur, fais montre de foi seulement, et elle sera sauvée. ” (Luc 8:41, 42, 49, 50). Conformément aux paroles du Christ, la fillette s’est relevée, vivante ! Vous imaginez-vous le bonheur des parents ? Dans ce cas, vous avez une idée de la joie extraordinaire que nous ressentirons quand, à la résurrection, tous “ ceux qui sont dans les tombes de souvenir entendront sa voix [celle du Christ] et sortiront ”. (Jean 5:28, 29.) Oui, Jésus est un Sauveur ; il est notre Libérateur – TG2009  15/4 p28 §17,18
    Dès le début de son ministère sur la terre, Jésus a apporté la preuve qu’il était bien “ Messie le Guide ”. En quelques jours seulement, il rassemblait des disciples et accomplissait son premier miracle (Jean 1:35–2:11). Par la suite, accompagné de ses disciples, il a prêché la bonne nouvelle du Royaume dans tout le pays (Luc 8:1). Il les a formés et a pris la tête de l’œuvre de prédication et d’enseignement, laissant ainsi un bel exemple (Luc 9:1-6) – TG2010 15/9 p22 §5
    Jésus ne s’est pas contenté de trouver une foule et d’encourager ses apôtres à se mettre à prêcher. Il a commencé par leur montrer l’importance de cette œuvre, puis il les a exhortés à faire de celle-ci l’objet de leurs prières. Enfin, il leur a fourni trois éléments de base : un compagnon de service, un territoire à parcourir et un message (Luc 9:2, 6). Inspirons-nous de son exemple. Que nous nous occupions de notre enfant, d’un nouveau ou d’un chrétien qui n’a pas prêché depuis un moment, efforçons-nous de le former de cette manière. – TG2005  1/12 p31 §17
    “ Si quelqu’un veut venir à ma suite, qu’il [...] me suive continuellement. ” (Luc 9:23). En d’autres termes, n’importe qui peut suivre le Christ s’il le “ veut ” vraiment, d’autant que Dieu attire les personnes sincères vers son Fils. En disant : “ quelqu’un ”, Jésus laissait entendre que tous ceux qui le veulent vraiment peuvent le suivre. Les paroles de Jésus : “ Viens, suis-moi ” ne s’adressent donc pas uniquement aux riches, ou uniquement aux pauvres, ou aux gens d’une certaine race ou d’une certaine nation, ou aux humains de cette époque-là, mais à tous. – cf p7 §7
    Nous avons reçu l’ordre d’écouter le Christ - Pierre, Jean et Jacques ont été témoins de la transfiguration. Au cours de cet événement, ils ont entendu une voix venant du ciel, qui a dit : “ Celui-ci est mon Fils, celui qui a été choisi. Écoutez-le. ” (Luc 9:28, 29, 35). Il est capital que nous obéissions à l’ordre d’écouter le Messie.
    Écouter Jésus signifie avoir “ les yeux fixés sur ” lui, c’est-à-dire “ considérer attentivement ” son exemple. Voilà pourquoi il nous faut “ prêter une attention plus qu’ordinaire aux choses ” que nous lisons à son sujet dans la Bible et dans les publications de “ l’esclave fidèle et avisé ”, et à ce que nous entendons sur lui lors des réunions. Soyons donc prompts à écouter la voix de notre berger Jésus et à le suivre. – TG2009 15/5 p32 §17,18
    Que les priorités d’un homme reflètent sa condition de cœur, on en trouve la confirmation dans ce qui s’est passé quelque temps après que Jésus a exhorté ses disciples à ‘ continuer à chercher d’abord le royaume ’. L’évangéliste Luc rapporte que Jésus “ tourna résolument sa face pour se rendre à Jérusalem ”, tout en sachant ce qui l’attendait. En chemin, il a rencontré des hommes, qu’il a invités à le suivre. Ceux-ci y étaient disposés, mais à certaines conditions. L’un d’eux lui a répondu : “ Permets-moi d’abord de m’en aller et d’enterrer mon père. ” Un autre lui a promis : “ Je te suivrai, Seigneur ; mais permets-moi d’abord de faire mes adieux à ceux de ma maisonnée. ” (Luc 9:51, 57-61). Quel contraste avec Jésus, qui était résolu dans son cœur à accomplir la volonté de Dieu sans réserve ! Les préoccupations de ces hommes passaient avant les intérêts du Royaume. Leur cœur n’était pas complet à l’égard de Dieu.
    À la différence de ces hommes irrésolus, nous avons jugé sage d’accepter l’invitation de Jésus et nous servons désormais Jéhovah jour après jour. Nous montrons de cette manière quels sentiments nous éprouvons pour Dieu. Cela étant, même si nous participons activement à la vie de la congrégation, nous ne devons pas oublier que notre cœur court un danger, danger contre lequel Jésus a mis en garde le dernier de ses interlocuteurs : “ Aucun homme qui a mis la main à la charrue et regarde les choses qui sont derrière n’est fait pour le royaume de Dieu. ” (Luc 9:62). Nous devons tous veiller à ce qu’aucune chose du monde de Satan, aussi utile ou agréable qu’elle puisse paraître, ne nous retienne de soutenir de tout cœur les intérêts du Royaume – TG2012 15/4 p15 §9,10
    Jésus a encouragé la tolérance ethnique - Du temps où Jésus était sur la terre, les Juifs et les Samaritains avaient tendance à se mépriser. Une fois, les habitants d’un village samaritain ont éconduit Jésus parce qu’il était Juif et qu’il se rendait à Jérusalem. Comment auriez-vous réagi à un tel rejet ? Peut-être imprégnés des préjugés de l’époque, des disciples de Jésus lui ont demandé : “ Seigneur, veux-tu que nous disions au feu de descendre du ciel et de les anéantir ? ” (Luc 9:51-56). Jésus s’est-il laissé influencer par l’état d’esprit de ses disciples ? Au contraire, il les a repris et a cherché la paix en logeant dans un autre village. Peu après, dans la parabole du bon Samaritain, il a illustré de façon percutante que les origines ethniques d’une personne ne font pas d’elle une ennemie. À vrai dire, elle peut se révéler un très bon prochain. Les chrétiens font bien de résister à la tendance à juger les autres en raison de leur origine ethnique. La justice et l’amour leur dictent de les considérer en tant qu’individus, comme Jéhovah le fait, et non en tant que groupe. N’est-ce pas ainsi que vous aimeriez qu’on vous traite ? Sans haine ethnique, la vie est plus agréable ; on est en paix avec soi-même et avec les autres. Plus important encore, on est en harmonie avec Jéhovah Dieu, le Créateur impartial. Voilà une raison impérieuse de rejeter toute haine ethnique – RV2003 8/8 p27
    L’expression “ groupe ethnique ” désigne les personnes ayant des origines raciales, nationales, tribales ou culturelles communes
    Les oiseaux ont des abris. ’ Certaines traductions rendent le mot grec kataskênôsis par “ nid ” ; il désigne en réalité un ‘ lieu de repos ou abri ’ où les oiseaux passent la nuit, et non un nid où ils couvent des œufs et élèvent des petits. Quand un certain scribe dit à Jésus : “ Enseignant, je te suivrai partout où tu iras ”, Jésus répondit : “ Les renards ont des tanières et les oiseaux du ciel ont des abris, mais le Fils de l’homme n’a pas où poser la tête. ” (Luc 9:57, 58). Prévenant un homme qui désirait le suivre, Jésus Christ fit remarquer que les renards avaient des tanières alors que le Fils de l’homme n’avait pas d’endroit où poser la tête. À moins de se servir d’une cavité naturelle, ou bien de récupérer ou d’occuper le terrier d’un autre animal, souvent le renard se fait une tanière en creusant un trou dans le sol. Jésus faisait remarquer ici que, pour être son disciple, cet homme devait renoncer à l’idée d’avoir le confort et les commodités dont on jouit généralement, et mettre entièrement sa confiance en Jéhovah. Jésus montre ainsi à ce scribe les difficultés qui l’attendent s’il devient son disciple. Il semble donc que cet homme soit trop orgueilleux pour accepter ce mode de vie - it-2 p399-400
    Jésus a indiqué que dans certains cas le service pour Dieu pouvait passer avant les questions familiales. Par exemple, quand Jésus invita un homme à le suivre et que celui-ci refusa, disant: “Permets-moi de m’en aller d’abord enterrer mon père”, il répondit: “Laisse les morts [au sens spirituel] enterrer leurs morts, mais toi, va-t’en proclamer le royaume de Dieu.” (Luc 9:59, 60). Étant donné que les Juifs enterraient leurs morts le jour même, il est peu probable que le père de cet homme ait été mort; il devait être âgé, et son fils voulait rester avec lui jusqu’à la fin de sa vie. Toutefois, cet homme âgé avait probablement une famille pour s’occuper de lui, aussi Jésus a-t-il encouragé son interlocuteur à “proclamer le royaume de Dieu TG1987 1/6 p16§11
    Jésus Christ parla du labour pour souligner l’importance d’être disciple d’un cœur entier. À un homme qui exprima le désir de devenir disciple en posant la condition de pouvoir d’abord faire ses adieux à sa maisonnée, Jésus répondit : “ Aucun homme qui a mis la main à la charrue et regarde les choses qui sont derrière n’est fait pour le royaume de Dieu. ” (Luc 9:61, 62). Un laboureur qui se laisserait distraire de son travail ne ferait pas des sillons droits. Pareillement, celui qui est invité à être un disciple chrétien, mais qui se laisse détourner des responsabilités qui en découlent, n’est plus fait pour le Royaume de Dieu. Comme le Fils de Dieu le démontra dans son propre cas, même les liens familiaux les plus étroits passent après l’accomplissement fidèle de la volonté divine - it-2 p101
    À notre époque, il est capital de ne pas regarder en arrière, figurément parlant. Jésus a souligné cette idée quand il a répondu à un homme qui voulait retourner chez lui pour faire ses adieux à sa famille avant de devenir son disciple : “ Aucun homme qui a mis la main à la charrue et regarde les choses qui sont derrière n’est fait pour le royaume de Dieu. ” (Luc 9:62). Jésus était-il dur, déraisonnable ? Pas du tout. Il était conscient que la requête de son interlocuteur n’était qu’une excuse pour se soustraire à sa responsabilité. Et il a associé le fait de remettre une décision à plus tard à celui de “ regarder les choses qui sont derrière ”. Que le laboureur regarde momentanément derrière lui ou qu’il abandonne carrément sa charrue et fasse demi-tour, cela change-t-il quelque chose ? Non. Dans un cas comme dans l’autre, il détourne son attention de sa tâche, qui en pâtit.
    Plutôt que d’être tournés vers le passé, nous devons diriger résolument notre regard vers l’avenir. Cette pensée est clairement exprimée en Proverbes 4:25 : “ Quant à tes yeux, ils doivent regarder en face, oui tes yeux rayonnants doivent porter leurs regards droit devant toi. ” Nous avons une bonne raison de ne pas regarder les choses qui sont derrière : nous vivons “ les derniers jours ”. – TG2012  15/3 p27 §3
    RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 9 JUILLET 2018 - LUC 8-9.docx
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : LUC 4-5
    Luc 4:17 : Qu’est-ce qui montre que Jésus connaissait très bien la Parole de Dieu ? (nwtsty, note d’étude).
    « On lui remit alors le rouleau du prophète Isaïe, et il ouvrit le rouleau et trouva l’endroit où il était écrit »
    Le rouleau du prophète Isaïe : Le Rouleau d’Isaïe de la mer Morte est constitué de 17 bandes de parchemin fixées les unes aux autres. Le tout forme un rouleau de 7,3 m de long contenant 54 colonnes. Le rouleau utilisé dans la synagogue de Nazareth avait peut-être une longueur semblable. Comme au Ier siècle le texte biblique n’était pas découpé en chapitres et en versets, Jésus devait retrouver où se situait le passage qu’il voulait lire. Mais le fait qu’il trouva l’endroit où les paroles prophétiques étaient écrites prouve qu’il avait une excellente connaissance de la Parole de Dieu. - nwtsty, note d’étude
    Le rouleau qui a été remis à Jésus lors de cette réunion n’était pas un livre divisé en chapitres et en versets, comme le sont nos bibles aujourd’hui. On peut s’imaginer Jésus dérouler le rouleau de la main gauche tout en l’enroulant de la droite jusqu’à ce qu’il trouve le passage qu’il cherchait. Une fois la lecture terminée, le rouleau était ré-enroulé jusqu’au début - TG2010 1/ 4
    À l’époque, le livre d’Isaïe n’était pas divisé en chapitres et en versets, comme il l’est aujourd’hui. Lorsque Jésus s’est vu remettre le rouleau d’Isaïe dans la synagogue de Nazareth, il lui a fallu repérer le passage qui correspond à Isaïe 61:1, 2 dans nos bibles. Il “ trouva l’endroit ” facilement, ce qui montre qu’il connaissait bien la Parole de Dieu. – TG2008 1/ 4 p30
    Comment les rouleaux étaient-ils fabriqués ? On collait ensemble des morceaux de cuir, de parchemin ou de papyrus pour former une longue bande. On enroulait cette bande autour d’un bâtonnet, la face écrite vers l’intérieur. Le texte était rédigé en colonnes étroites sur toute la largeur du rouleau. Quand le rouleau était long, il y avait des bâtonnets aux deux extrémités pour que le lecteur puisse dérouler le texte d’une main et l’enrouler de l’autre jusqu’à ce qu’il trouve le passage recherché. TG2016/1
    Luc 4:25 : Combien de temps la sécheresse a-t-elle duré aux jours d’Élie ? (nwtsty, note d’étude).
    « Par exemple, je vous le dis en vérité : Il y avait beaucoup de veuves en Israël, aux jours d’Éliya, quand le ciel a été fermé trois ans et six mois, de sorte qu’est survenue une grande famine sur tout le pays »
    Pendant trois ans et six mois : Selon 1Rois 18:1, Élie a annoncé la fin de la sécheresse « dans la troisième année ». C’est pourquoi certains prétendent que Jésus contredit le récit de 1 Rois. Cependant, le récit des Écritures hébraïques ne laisse pas entendre que la sécheresse a duré moins de trois ans. La phrase « dans la troisième année » s’applique de toute évidence à la période qui commence au moment où Élie a, pour la première fois, annoncé la sécheresse à Achab (1Rois 17:1). Cette annonce a vraisemblablement été faite alors que la saison sèche était déjà en cours ; cette saison dure généralement jusqu’à six mois, mais cette fois-ci elle a peut-être duré plus longtemps que d’habitude. De plus, la sécheresse ne s’est pas arrêtée immédiatement après qu’Élie s’est de nouveau présenté devant Achab, « dans la troisième année », mais seulement après l’épreuve par le feu au mont Carmel, épreuve qui s’est déroulée plus tard (1Rois 18:18-45). C’est pourquoi les paroles de Jésus rapportées ici, tout comme celles du demi-frère de Christ, rapportées en Jacques 5:17, sont en accord avec la chronologie des évènements de 1Rois 18:1. - nwtsty, note d’étude
    C’est probablement parce que Baal, censément le propriétaire du ciel, était considéré par ses adorateurs comme celui qui donnait les pluies et la fertilité qu’Élie ordonna une sécheresse au nom de Jéhovah (1R 17:1). Après trois années et six mois, Baal s’étant révélé incapable de mettre un terme à la sécheresse en réponse aux nombreuses suppliques que ne manquèrent pas de lui adresser ses prêtres et ses adorateurs, Élie  convoqua tout le peuple au mont Carmel afin qu’il soit témoin d’une grande épreuve qui déterminerait qui est le vrai Dieu. À l’issue de cette épreuve, les adorateurs de Baal furent humiliés et 450 prophètes de Baal tués. Jéhovah, et non Baal, fit ensuite pleuvoir pour mettre fin à la sécheresse 1R 18:18-46 – it1 p246
    Une sécheresse
    L’avertissement. Avant que Jéhovah ne frappe Israël d’une grave sécheresse, son prophète Éliya a annoncé : “ Il n’y aura durant ces années-ci ni rosée ni pluie, sauf sur l’ordre de [la] parole [de Dieu] ! ”  1 Rois 17:1.
    La raison. C’est le culte qu’Israël vouait au faux dieu Baal qui a motivé l’action de Jéhovah. “ Vous avez abandonné les commandements de Jéhovah, a déclaré Éliya, et [...] tu es allé à la suite des Baals. ”  1 Rois 18:18.
    La protection des adorateurs obéissants. Durant la sécheresse, Jéhovah a procuré de la nourriture à ses adorateurs obéissants. — 1 Rois 17:6, 14 ; 18:4 ; 19:18. – RV2012/12 p10
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Les paroles de Jéhovah se sont réalisées. L’évangéliste Luc rapporte ce qui s’est produit aussitôt après le baptême de Jésus : “ Jésus, plein d’esprit saint, revint du Jourdain, et il fut conduit par l’esprit çà et là dans le désert. ” (Luc 4:1). Là, tandis que son Fils jeûnait, priait et méditait, Jéhovah lui a vraisemblablement fourni des instructions et des éclaircissements sur la mission qui lui était confiée. La force agissante de Dieu s’est exercée sur l’esprit et le cœur de Jésus pour guider ses pensées et ses décisions. Par conséquent, Jésus a su comment agir en toutes circonstances, et il a fait exactement ce que son Père attendait de lui. Ayant constaté le puissant effet que l’esprit saint avait sur lui, Jésus a inculqué à ses disciples l’importance de demander cet esprit et de se laisser guider par lui. C’est également pour nous une nécessité, car l’esprit saint est en mesure de transformer notre façon de penser, de sorte qu’elle s’harmonise avec celle de Christ. En permettant à l’esprit de Dieu de nous guider, nous réussirons à penser comme Christ et à imiter son exemple. – TG2011 15/12 p15 §11
    Quand Satan l’a tenté dans le désert, Jésus l’a contré en citant la Parole de Dieu avec exactitude (Luc 4:1-13). En fondant sa défense sur les Écritures, Jésus parlait avec son cœur, et c’est pour cette raison que la stratégie du Diable a échoué, alors qu’elle avait si bien fonctionné en Éden. Les manœuvres de Satan seront tout aussi inopérantes sur nous si nous remplissons notre cœur des paroles de Jéhovah. Rien ne saurait être plus important, car “ du cœur viennent les sources de la vie ”. — Proverbes 4:23. Cela étant, il nous faut continuer à garder notre cœur, sans jamais nous relâcher. Malgré son échec dans le désert, Satan n’a pas renoncé à éprouver Jésus (Luc 4:13). Il agira de même avec nous : il essaiera toutes sortes de stratégies pour briser notre intégrité. Aussi, imitons Jésus en cultivant un amour profond pour la Parole de Dieu tout en priant constamment pour recevoir de l’esprit saint et de la sagesse. Pour sa part, Jéhovah promet à tous ceux qui se réfugient en lui qu’ils ne subiront aucun dommage spirituel. – TG2005  1/9 p28
     
    Nous accroîtrons notre courage en méditant sur l’exemple de Jésus qui a agi courageusement. Quand on examine le ministère de Jésus, on peut être impressionné par sa hardiesse devant les tentations de Satan et devant l’opposition acharnée des chefs juifs (Luc 4:1-13). Grâce à la force de Jéhovah, Jésus était inébranlable ; peu avant sa mort, il a dit à ses disciples : “ Dans le monde, vous avez de la tribulation, mais prenez courage ! J’ai vaincu le monde. ” (Jean 16:33 ; 17:16). En suivant son exemple, ils vaincraient à leur tour. Mais il leur faudrait pour cela ‘ prendre courage ’. Si quelqu’un tient ferme pour la vérité et pour la justice, c’est courageux. Si quelqu’un tient ferme alors qu’il a peur, c’est encore plus courageux. En réalité, n’importe quel chrétien peut se montrer courageux du moment qu’il veut sincèrement accomplir la volonté de Jéhovah, qu’il est déterminé à rester fidèle, qu’il compte constamment sur Dieu et qu’il se rappelle que Jéhovah a déjà fortifié un nombre incalculable d’hommes et de femmes. En outre, la pensée que notre courage plaît à Jéhovah et l’honore renforce notre détermination à ne pas faiblir. Nous sommes prêts à supporter des moqueries, ou pire encore, parce que nous l’aimons profondément. – TG2003  1/3 p11 §12,16
    CONSIDÈREZ LES GOUVERNEMENTS HUMAINS COMME JÉHOVAH LES CONSIDÈRE - Dieu laisse subsister la structure politique du monde parce qu’elle offre une certaine stabilité, qui nous permet de prêcher la bonne nouvelle du Royaume. Dieu nous demande même de prier pour ceux qui gouvernent, surtout quand leurs décisions pourraient avoir une incidence sur notre culte. En cas d’injustice, nous en appelons aux autorités gouvernementales, comme l’apôtre Paul l’a fait (Actes 25:11). Bien que la Bible enseigne que l’adversaire de Dieu, Satan, a pouvoir sur les systèmes politiques, elle ne dit pas qu’il tient chaque dirigeant ou responsable dans sa main (Luc 4:5, 6). Gardons-nous donc de laisser entendre qu’un dirigeant en particulier est manipulé par le Diable. Quand nous avons affaire « aux gouvernements et aux autorités », nous « ne parlons en mal de personne » (Tite 3:1, 2). Nous obéissons à Dieu en n’ayant pas de préférence pour un candidat, un parti ou une idéologie, qu’ils semblent soutenir nos intérêts ou pas. Comment notre neutralité pourrait-elle être éprouvée sous ce rapport ? Imagine qu’un soulèvement populaire tente de renverser un régime oppressif, qui fait souffrir aussi les serviteurs de Dieu. Même sans défiler avec les contestataires, se pourrait-il que nous soyons avec eux en pensée ? Nous devons rester neutres non seulement en paroles et en actions, mais aussi dans notre cœur. – TG2016  Avril p28 §6
    De nombreux anges ont rejoint Satan dans sa rébellion. Lorsque ces anges ont abandonné la famille de Dieu, ils se sont placés sous l’autorité de Satan. Mais ces rebelles ne sont pas une simple bande de perturbateurs ! Dans le monde invisible des esprits, Satan a mis en place une imitation du Royaume de Dieu. Lui-même en est le roi, et il a organisé les démons en « gouvernements », leur a donné une certaine autorité et a fait d’eux des « maîtres mondiaux »
    Au moyen de son organisation, Satan contrôle tous les gouvernements humains. Nous le savons parce que, lorsqu’il a montré à Jésus « tous les royaumes de la terre », il lui a dit : « Je te donnerai tout ce pouvoir et la gloire de ces royaumes, parce qu’il m’a été livré, et je le donne à qui je veux » (Luc 4:5, 6). Cela dit, de nombreux gouvernements accomplissent de bonnes choses pour leurs citoyens, et certains dirigeants ont de bonnes intentions. Mais aucun dirigeant humain n’est capable d’apporter les changements dont nous avons le plus besoin – TG2018 Mai p23 §5,6
    Satan a calomnié Jéhovah tout au long de l’Histoire. Il a influencé une bonne partie de l’humanité. “ Le monde entier se trouve au pouvoir du méchant ”, lit-on en 1 Jean 5:19. Voilà pourquoi le Diable a pu tenter Jésus en lui proposant le pouvoir et la gloire de “ tous les royaumes de la terre habitée ”. (Luc 4:5-7.) Au sujet de Satan, l’apôtre Paul déclare : “ Si donc la bonne nouvelle que nous annonçons est vraiment voilée, elle est voilée chez ceux qui périssent, chez qui le dieu de ce système de choses a aveuglé l’intelligence des incrédules, pour que la lumière de la glorieuse bonne nouvelle concernant le Christ, qui est l’image de Dieu, ne puisse percer. ” (2 Corinthiens 4:3, 4). Satan est “ un menteur et le père du mensonge ”, mais il se présente comme “ un ange de lumière ”. Il possède à la fois le pouvoir et les méthodes nécessaires pour aveugler l’esprit des dirigeants et celui de leurs peuples. Propagande, mythes et mensonges religieux lui ont permis d’égarer les humains. Aujourd’hui encore, des forces démoniaques sous la direction de Satan le Diable agissent en coulisse pour exercer une influence sur des dirigeants humains et sur les humains en général, les incitant à commettre d’inqualifiables actes de barbarie tels que le génocide, le terrorisme et le meurtre. Notre protection contre l’influence de Satan et de ses démons, c’est la parole, ou message, de Dieu contenue dans la Bible – TG2007 15/3 p27 § 7,9,17
    La Parole de Dieu permet d’identifier des formes insidieuses d’idolâtrie. Elle qualifie par exemple la convoitise d’“ idolâtrie ”. Convoiter, c’est désirer ce qui est interdit ; c’est par exemple vouloir posséder ce qui appartient à autrui. Satan le Diable a laissé croître en lui un désir empreint de convoitise : il voulait être comme le Très-Haut et être adoré (Luc 4:5-7). Il en est donc venu à se rebeller contre Jéhovah et à amener Ève à convoiter une chose que Dieu avait interdite. En un sens, Adam a aussi commis un acte d’idolâtrie en laissant son désir égoïste pour la compagnie de sa femme l’emporter sur l’obéissance à son Père céleste bienveillant. À l’opposé, quiconque veut fuir le jour de la colère de Dieu doit vouer à ce dernier un attachement exclusif et rejeter toute forme de convoitise. – TG2008  15/10 p9 §10
    Le récit de la pêche extraordinaire montre aussi l’importance d’avoir la bonne motivation pour obéir au Christ : l’amour. Quand Pierre lui a dit : “ Éloigne-toi de moi, Seigneur, parce que je suis un homme pécheur ”, Jésus ne s’est pas éloigné ni ne l’a condamné pour un péché quelconque (Luc 5:8). Jésus ne l’a pas non plus critiqué parce qu’il lui demandait de partir. Au lieu de tout cela, il a répondu gentiment : “ Cesse d’avoir peur. ” Si quelqu’un avait obéi au Christ parce qu’il aurait ressenti une crainte morbide à son égard, sa motivation n’aurait pas été bonne. Jésus a dit à Pierre que ses compagnons et lui se rendraient utiles en devenant pêcheurs d’hommes. De la même façon aujourd’hui, nous ne faisons pas appel à la peur ni à d’autres sentiments négatifs, comme la culpabilité et la honte, pour obliger autrui à obéir au Christ. Seule l’obéissance, consentie de toute son âme et fondée sur l’amour pour Dieu et pour Christ, réjouit le cœur de Jéhovah – TG2004  1/7 p10 §9
    Le profond amour de Jésus pour les gens transparaissait toujours dans son enseignement. Celui-ci ne rabaissait jamais personne, contrairement à l’enseignement des humains vaniteux. Après avoir assisté à un de ses miracles, de stupéfaction, Pierre est tombé aux genoux de Jésus. Mais Jésus ne voulait pas que ses disciples éprouvent une crainte morbide de lui. Il a dit à Pierre avec gentillesse : “ Cesse d’avoir peur ”, puis lui a parlé de l’œuvre passionnante consistant à faire des disciples à laquelle il prendrait part (Luc 5:8-10). Jésus voulait que ses disciples soient motivés par leur amour des vérités précieuses concernant Dieu, et non par la crainte de leur instructeur. Pour aimer les vérités que nous enseignons, nous devons d’abord aimer les apprendre. Si nous voulons suivre l’exemple de Jésus, nous fondons notre prédication et notre enseignement essentiellement sur la Bible. Quand on nous pose des questions sur nos croyances, nous avons une occasion idéale de montrer que nous aimons la Parole de Dieu. À l’exemple de Jésus, nous ne répondons pas en nous appuyant sur nos idées personnelles. Nous préférons répondre avec la Bible. – TG2002  15/8 p12 §3,9,12,
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    Pour se préparer à la tâche qui l’attendait, “ Jésus, plein d’esprit saint, revint du Jourdain, et il fut conduit par l’esprit çà et là dans le désert ”. (Luc 4:1) Pendant les 40 jours qu’il a passés dans le désert, Jésus a eu le temps de méditer profondément sur la question de la souveraineté soulevée par Satan et sur ce que lui, Jésus, devait faire pour défendre la souveraineté de Jéhovah. Cette question concerne toutes les créatures intelligentes, au ciel et sur la terre. Nous devrions donc nous intéresser à la fidélité de Jésus et voir ce qu’il nous faut faire pour montrer à notre tour que nous souhaitons défendre la souveraineté de Jéhovah. – TG2007 1/12 p26 §3
    Jésus s’est laissé guider par l’esprit de Dieu - Dieu a guidé son propre Fils au moyen de l’esprit saint. Jésus désirait sans doute ardemment recevoir l’aide de l’esprit de Dieu pour affronter la vie sur la terre. Luc rapporte ce qui s’est produit aussitôt après le baptême de Jésus : “ Jésus, plein d’esprit saint, revint du Jourdain, et il fut conduit par l’esprit çà et là dans le désert. ” (Luc 4:1). Là, tandis que son Fils jeûnait, priait et méditait, Jéhovah lui a vraisemblablement fourni des instructions et des éclaircissements sur la mission qui lui était confiée. La force agissante de Dieu s’est exercée sur l’esprit et le cœur de Jésus pour guider ses pensées et ses décisions. Par conséquent, Jésus a su comment agir en toutes circonstances, et il a fait exactement ce que son Père attendait de lui. Ayant constaté le puissant effet que l’esprit saint avait sur lui, Jésus a inculqué à ses disciples l’importance de demander cet esprit et de se laisser guider par lui. C’est également pour nous une nécessité, car l’esprit saint est en mesure de transformer notre façon de penser, de sorte qu’elle s’harmonise avec celle de Christ. En permettant à l’esprit de Dieu de nous guider, nous réussirons à penser comme Christ et à imiter son exemple. – TG2011  15/12 p15 §10-12
    Jésus a résisté à la tentation non seulement parce qu’il connaissait les Écritures, mais aussi parce qu’il était “ plein d’esprit saint ”. (Luc 4:1.) Afin d’avoir comme lui la force de résister, nous devons nous approcher de Jéhovah et tirer pleinement profit de toutes les dispositions qu’il a prises dans le but de nous remplir de son esprit. Citons l’étude de la Bible, la prière et la fréquentation de nos compagnons chrétiens. Bon nombre d’entre nous ont d’ailleurs pris conscience qu’il est bénéfique d’avoir une vie remplie d’activités chrétiennes, car cela leur permet de rester concentrés sur des pensées constructives et spirituelles TG2011 15/1 p23 §8
    Alors que Jésus jeûnait depuis 40 jours et 40 nuits, Satan a fait appel à son désir de manger en ces termes : « Si tu es un fils de Dieu, dis à cette pierre qu’elle devienne un pain » (Luc 4:1-3). Deux possibilités s’offraient à Jésus : soit se servir de ses pouvoirs pour satisfaire son besoin de nourriture, soit ne pas s’en servir. Il savait qu’il ne devait pas s’en servir à des fins égoïstes. Bien qu’ayant faim, il n’a pas laissé ce besoin primer sur ses relations avec Jéhovah et a répondu : « Il est écrit : “L’homme ne doit pas vivre de pain seul mais de tout ce qui sort de la bouche de Jéhovah” » (Luc 4:4) – TG2013  15/8 p23
    N’oublions jamais que le Diable exploitera la moindre de nos épreuves pour essayer de nous éloigner de Jéhovah. Quand Jésus a-t-il été tenté par Satan ? À l’issue d’un jeûne de plusieurs semaines, alors qu’il avait faim (Luc 4:1-3). Cependant, Jésus a eu suffisamment de force spirituelle pour rejeter fermement ces tentations. Il est donc de la plus haute importance de compenser notre faiblesse physique, qu’elle soit due à la maladie, à l’âge ou à toute autre cause, en étant fort spirituellement. “ Même si l’homme que nous sommes extérieurement dépérit ”, nous ne baissons pas les bras parce que “ l’homme que nous sommes intérieurement se renouvelle de jour en jour ”. — 2 Corinthiens 4:16. N’oublions pas non plus que les pensées négatives rongent notre spiritualité. Une des meilleures parades contre les attaques de Satan est d’adopter le “ même état d’esprit ” que Jésus. Ne considérons jamais nos difficultés comme une preuve indéniable de la défaveur divine. Bien au contraire, Jéhovah nous promet de nous aider à porter tous nos fardeaux et de ménager une issue à toute tentation pouvant survenir. En nous approchant de Dieu lorsque nous sommes dans la détresse, nous pouvons relativiser notre situation et nous opposer au Diable avec succès – TG2006  15/8 p25 §7-9
    Tout comme le fait parfois un grand criminel, le Diable s’est vanté avec orgueil de son pouvoir lorsqu’il a tenté Jésus, le Fils de Dieu. Après lui avoir montré “ tous les royaumes ” du monde, Satan lui a fait cette proposition : “ Je te donnerai tout ce pouvoir et la gloire de ces royaumes, parce qu’il m’a été livré, et je le donne à qui je veux. Toi donc, si tu fais un acte d’adoration devant moi, cela sera tout à toi. ” — Luc 4:5-7. Si le Diable n’était qu’un principe du mal, comme certains l’ont suggéré, comment expliquer cette tentation ? Jésus était-il tenté par une pensée mauvaise ou en proie à un conflit intérieur à la suite de son baptême ? Si c’est le cas, comment a-t-on pu dire : “ Il n’y a pas de péché en lui ” ? (1 Jean 3:5.) Au lieu de nier le pouvoir du Diable sur les humains, Jésus l’a plutôt confirmé. Il l’a appelé “ le chef du monde ”, le décrivant comme “ un meurtrier ” et “ un menteur ”. – TG2011  1/9 p7
    Satan « lui montra en un instant tous les royaumes de la terre habitée ; et [...] lui dit : “Je te donnerai tout ce pouvoir et la gloire de ces royaumes” » (Luc 4:5, 6). Jésus n’a sans doute pas vu littéralement tous les royaumes en un instant, mais Satan a dû penser qu’une vision de leur gloire exercerait une certaine séduction sur lui. Sans le moindre scrupule, il lui a dit : « Si tu fais un acte d’adoration devant moi, cela sera tout à toi » (Luc 4:7). En aucun cas Jésus ne voulait devenir le genre de personne que Satan espérait. Sa réponse ne s’est pas fait attendre : « Il est écrit : “C’est Jéhovah ton Dieu que tu dois adorer, et c’est à lui seul que tu dois offrir un service sacré” » (Luc 4:8). - TG2013  15/8 p23
    Jésus se montrait vigilant parce qu’il savait aussi que Satan était résolu à le tenter, à le persécuter et à briser son intégrité. Cet ennemi implacable était en permanence à l’affût d’un “ moment opportun ” pour le mettre à l’épreuve (Luc 4:13). Jésus n’a jamais baissé sa garde. Il voulait être prêt à parer toute attaque, qu’elle revête la forme d’une tentation, de l’opposition ou de la persécution. Pour notre part, pouvons-nous céder à l’insouciance ? Nous savons que le Diable se comporte toujours “ comme un lion rugissant, cherchant à dévorer quelqu’un ”. Voilà pourquoi la Parole de Dieu nous invite à rester dans notre bon sens et à être vigilants – TG2012  15/2p3 §6
    Souvenons-nous d’un détail important concernant les tentations du Diable : il est venu vers Jésus alors que celui-ci avait jeûné 40 jours dans le désert. À l’évidence, il a estimé que c’était vraiment un “ moment opportun ” pour éprouver l’intégrité du Fils de Dieu (Luc 4:13). Le Diable est à l’affût de moments opportuns pour éprouver la nôtre également. Voilà pourquoi il est vital que nous restions spirituellement forts. Satan attaque souvent au moment où sa proie lui semble très affaiblie. Par conséquent, lorsque nous nous sentons fatigués ou découragés, nous devrions être plus résolus que jamais à supplier Jéhovah qu’il nous accorde sa protection et son esprit saint. – TG2011  15/1 p24 §10
    Jésus a été un modèle pour ses disciples dans sa façon d’accomplir sa mission en libérant les Juifs opprimés, mais fidèles, des fardeaux que constituaient les pratiques de la fausse religion (Luc 4:18). Obéissant à l’ordre de Jésus leur enjoignant de faire des disciples et de les baptiser, les premiers chrétiens ont proclamé hardiment la volonté de Dieu en rapport avec leur Seigneur ressuscité. Jéhovah se réjouissait de les voir tenir son culte pour une priorité. Rappelons-nous que si nous accordons la priorité au culte de Jéhovah, nous sommes assurés qu’il veillera sur nous. Nous n’avons pas à nous inquiéter de savoir comment nous seront assurés nos moyens de subsistance. Ne devrions-nous donc pas nous poser certaines questions pertinentes? Quelle place le culte de Jéhovah tient-il dans ma vie ? Est-ce que je m’acquitte du vœu que j’ai fait d’accomplir la volonté de Dieu au mieux de mes possibilités ? – TG1994  1/12 p8 §12-20
    Jésus avait coutume d’aller à la synagogue chaque semaine. Il y entendait la lecture et le commentaire des Écritures. Il lui arrivait même de lire en public des extraits de la Parole de Dieu et d’en indiquer l’application (Luc 4:16-21). Il est facile de se rendre compte à quel point il connaissait les Écritures. Il suffit de lire les Évangiles et de compter le nombre de fois où Jésus a dit “ il est écrit ” ou bien s’est référé d’autres manières à des passages précis de l’Écriture. Par exemple, dans le Sermon sur la montagne rapporté par Matthieu, Jésus a cité les Écritures hébraïques 21 fois. Nous n’insisterons jamais assez sur l’idée que tout vrai chrétien doit examiner la Bible personnellement. Ceux qui prennent le temps d’approfondir la Bible en retirent un immense profit. Ils y trouvent des joyaux spirituels. Leurs relations avec Dieu s’affermissent, se renforcent. – TG2002  15/6 p12
    Imaginez à quel point il a dû être exaltant d’entendre Jésus enseigner ! La Bible révèle l’impression qu’il a laissée à ceux qui l’ont rencontré. Luc rapporte que les habitants de la ville où Jésus avait grandi “ s’étonnaient des paroles pleines de charme qui sortaient de sa bouche ”. Luc 4:22. Jésus aimait ce qu’il enseignait. Il était convaincu d’avoir quelque chose de précieux à transmettre — la vérité concernant son Père céleste. Telle une vive lumière, les vérités qu’il enseignait révélaient ce qui était mauvais et permettaient de distinguer ce qui était bon. Elles apportaient espérance et réconfort aux humbles qui étaient abusés par des chefs religieux mal intentionnés ou qui étaient “ opprimés par le Diable ”. L’amour de Jésus pour la vérité se voyait non seulement dans ce qu’il enseignait, mais également dans tout ce qu’il faisait.
    Qu’en est-il de nous ? Nous devons aimer ce que nous enseignons. On reconnaît un bon enseignant au fait qu’il aime ce qu’il enseigne. Il est convaincu que ce qu’il enseigne est vrai, important et utile. Si ce qu’il enseigne a pour lui de la valeur, son enthousiasme sera manifeste et communicatif. À l’inverse, s’il n’a que peu d’estime pour ce qu’il enseigne, il ne peut guère attendre de ses élèves qu’ils se passionnent pour le sujet. Ne sous-estimez jamais l’impact que votre exemple peut avoir sur ceux qui vous écoutent. Jésus a d’ailleurs déclaré : “ Tout élève complètement instruit sera comme son maître. ” — Luc 6:40 – TG2009  15/7 p15 §1,10,11
    Avant de monter au ciel, Jésus a dit à ses disciples de prêcher dans « toute la Judée et la Samarie, et jusque dans la région la plus lointaine de la terre » Ils allaient devoir surmonter leur orgueil et leurs préjugés pour accomplir cette mission. Jésus les y a préparés en parlant souvent en bien des étrangers. Jésus a dit toute l’admiration qu’il avait pour un officier étranger qui avait une foi extraordinaire (Mat. 8:5-10). Et à Nazareth, la ville où il avait grandi, il a rappelé comment Jéhovah avait aidé des étrangers, comme la veuve de Sarepta, une Phénicienne, et Naamân le lépreux, un Syrien (Luc 4:25-27). Nous aussi, nous aurons peut-être besoin de temps pour nous débarrasser de préjugés. À mesure que nous approcherons de la fin de ce monde méchant, les divisions, la haine et les préjugés seront de plus en plus courants. – TG2018 Juin p8
    “ Écoute ! dit le Christ. Je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai dans sa maison et je prendrai le repas du soir avec lui et lui avec moi. ” Jésus a souvent dispensé un enseignement spirituel à l’occasion de repas (Luc 5:29-39 ; 7:36-50 ; 14:1-24). Les “ autres brebis ” de notre époque laissent figurément Jésus entrer, ce qui les mène à la vie éternelle. Nous vivons les derniers jours. Ce n’est pas le moment d’être insouciants, matérialistes ou quoi que ce soit d’autre qui nous amènerait à n’offrir à Dieu qu’un service symbolique. Que toutes les congrégations continuent donc de briller avec éclat comme autant de porte-lampes que Jésus garde à leur place ! Soyons des chrétiens fidèles, toujours déterminés à prêter attention quand le Christ parle et à écouter ce que l’esprit dit. Nous connaîtrons alors la joie sans fin d’être des porteurs de lumière à la gloire de Jéhovah. – TG2003  15/5 p15
    « Luc le médecin bien-aimé », rédacteur du livre des Actes, a lui aussi voyagé aux côtés de Paul. Il est logique de supposer que Luc a donné des avis et des soins médicaux à Paul et à ses compagnons missionnaires. Pourquoi ? Par exemple, parce qu’au cours d’un voyage, Paul est tombé malade (Gal. 4:13). Luc a pu lui apporter une aide médicale, conformément à ces paroles de Jésus : « Ce ne sont pas ceux qui sont en bonne santé qui ont besoin de médecin, mais ceux qui vont mal » (Luc 5:31).
    La Bible n’indique pas où et quand Luc a reçu sa formation médicale. Mais elle indique que Paul a transmis les salutations de Luc aux chrétiens de Colosses. Luc était donc visiblement connu dans cette ville. Et comme il existait une école de médecine à Laodicée, ville voisine, il est possible que ce soit l’endroit où il a été formé. Quoi qu’il en soit, Luc n’était pas un apprenti docteur, qui se plaisait à offrir des conseils médicaux sans être qualifié pour le faire. Il était médecin. C’est ce que prouvent les termes médicaux précis qu’il a employés dans son Évangile et dans le livre des Actes, ainsi que la place qu’il a accordée aux guérisons opérées par Jésus. – TG2015  15/12 p25 §11,12
    “Le vieux est bon” - Un jour, on demanda à Jésus Christ pourquoi ses disciples ne jeûnaient pas comme les disciples de Jean le Baptiste et ceux des Pharisiens. Il leur répondit entre autres choses : “Personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres ; autrement, le vin nouveau fera éclater les outres, et il se répandra, et les outres seront abîmées. Mais il faut mettre le vin nouveau dans des outres neuves. Et personne, après avoir bu du vin vieux, ne veut du nouveau ; car il dit : ‘Le vieux est bon.’” — Luc 5:37-39. Par cette réponse, Jésus soulignait que son enseignement était trop puissant et trop énergique pour se confiner dans le vieux système juif qui, comme les vieilles outres, avait perdu ses propriétés et sa souplesse. Ceux qui aimaient le vin de la tradition, l’enseignement du judaïsme, trouvaient à redire à l’enseignement de Jésus Christ. Ils le rejetaient comme le vin nouveau, car ils préféraient leurs traditions. À leur avis, ‘le vieux était bon’. – RV1977 8/6 p26
    L’opposition de Jésus-Christ à une fusion de différentes croyances est clairement montrée par l’illustration dont il se servit un jour. Certains avaient dit : “ Les disciples de Jean, comme ceux des pharisiens, jeûnent fréquemment et font des prières, tandis que les tiens mangent et boivent. Il leur répondit : Pouvez-vous faire jeûner les amis de l’époux pendant que l’époux est avec eux ? Les jours viendront où l’époux leur sera enlevé, alors ils jeûneront en ces jours-là. Il leur dit aussi une parabole : Personne ne déchire d’un habit neuf un morceau pour le mettre à un vieil habit ; autrement, il déchire l’habit neuf, et le morceau qu’il en a pris n’assortit au vieux. Et personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres ; autrement, le vin nouveau fait rompre les outres, il se répand, et les outres sont perdues ; mais il faut mettre le vin nouveau dans des outres neuves. Et personne, après avoir bu du vin vieux, ne veut du nouveau, car il dit : Le vieux est bon. ” — Luc 5:33-39.
    Par cette illustration, Jésus attirait l’attention sur le fait qu’il était en train d’introduire un système de choses entièrement nouveau et que celui-ci ne devait pas être lié au groupe des disciples de Jean-Baptiste ou à ceux des pharisiens. Les disciples de Jésus ne devaient pas s’associer à de tels groupes ou se conformer à leurs coutumes ou cérémonies. Jésus n’introduisait pas ce nouveau système de choses pour rapiécer et perpétuer d’anciens systèmes d’adoration sur le point d’être rejetés. Les systèmes religieux précédents étaient incapables de contenir le nouveau, ne lui convenaient pas et ne pouvaient exister à ses côtés, au contraire c’est le nouveau qui mettrait un terme à leur existence. Même la loi de Moïse devait être clouée au bois de torture comme étant accomplie et annulée. De même qu’un nouvel habit n’est pas découpé pour raccommoder des vêtements irréparables tellement qu’ils sont vieux, mais demeure intact et entièrement neuf, et de même qu’un vin nouveau n’est pas mis dans de vieilles outres desséchées, sans élasticité et susceptibles d’éclater, mais reçoit sa propre outre, ainsi en était-il de la nouvelle organisation chrétienne. Elle devait être un système de choses entièrement nouveau, séparée définitivement des anciens systèmes religieux qui avaient soit échoué soit dépassé la période de leur utilité. Néanmoins les partisans de ces vieux systèmes leur restaient attachés. Ils disaient qu’ils étaient accoutumés à l’âge respectable de ces vieux systèmes. Pour eux le vieux était bon ; ils étaient satisfaits de leur religion, elle avait été dans la famille depuis longtemps, et ils ne voulaient pas changer pour adopter quelque chose de nouveau. Il existe donc une séparation qui interdit l’inclusion de la vraie foi dans un mouvement interconfessionnel quelconque. – TG1952 15/6 p183
    RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 25 JUIN 2018 - LUC 4-5.docx
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : LUC 2-3
    Luc 2:14 : Que signifie ce verset ? (nwtsty, notes d’étude).
    “ Gloire à Dieu là-haut dans les hauteurs, et sur terre paix parmi les hommes de bienveillance ! ”
    Et sur la terre, paix parmi les hommes de bienveillance : Certains manuscrits ont un texte qui pourrait être rendu par « et paix sur la terre, bienveillance envers les hommes » ; on retrouve d’ailleurs cette tournure dans certaines traductions de la Bible. Mais le choix fait par la Traduction du monde nouveau s’appuie sur des manuscrits plus anciens et plus fiables. Cette déclaration angélique ne se rapporte pas à une manifestation de la bienveillance de Dieu envers tous les humains, quels que soient leurs comportements et leurs actions. Elle se rapporte plutôt à ceux qui seront l’objet de sa bienveillance parce qu’ils manifestent une foi authentique en lui et qu’ils deviennent disciples de son Fils (voir note d’étude hommes de bienveillance de ce verset). nwtsty, notes d’étude
    Hommes de bienveillance : La « bienveillance » dont parle la déclaration angélique est de toute évidence celle manifestée par Dieu, non par les humains. Le mot grec eudokia peut aussi être rendu par « faveur », « bon plaisir », « approbation ». Le verbe qui lui est apparenté, eudokéô, est utilisé en Mc 1:11, où Dieu s’adresse à son Fils juste après son baptême. Il signifie fondamentalement « approuver », « être content de », « juger bon », « prendre plaisir ». Conformément à cet emploi, l’expression « hommes de bienveillance » (anthrôpoïs eudokias) désigne les personnes qui bénéficient de l’approbation et de la bienveillance de Dieu, et elle peut aussi être rendue par « personnes qu’il approuve », « personnes en qui il prend plaisir ». Donc, cette déclaration angélique se rapportait à la bienveillance de Dieu, non envers les humains en général, mais envers ceux qui lui plairaient en manifestant une foi authentique en lui et en devenant disciples de son Fils. Même si le mot grec eudokia peut, dans certains contextes, désigner la bienveillance des humains, il est souvent employé pour parler de la bienveillance de Dieu, ou de son bon plaisir, ou de la façon d’agir qu’il trouve bonne. Dans la Septante, en Ps 51:18, le mot désigne la bienveillance  de Dieu. nwtsty, notes d’étude
    “ Les hommes de bienveillance. ” Quand un ange annonça la naissance de Jésus, il n’apparut pas devant les chefs religieux juifs, mais devant d’humbles bergers. Après qu’il leur eut appris la naissance du Messie, une armée d’anges proclamèrent : “ Gloire à Dieu là-haut dans les hauteurs, et sur terre paix parmi les hommes de bienveillance ! ” (Lc 2:14). Les anges ne proclamaient pas la paix pour les ennemis de Dieu, qui n’étaient pas en paix avec lui. “ Il n’y a pas de paix, a dit mon Dieu, pour les méchants. ” (Is 57:21). La Bible Synodale, par exemple, rend ainsi Luc 2:14 : “ Gloire à Dieu au plus haut des cieux, paix sur la terre, bienveillance envers les hommes ! ” Mais Dieu ne manifestait pas ici sa bienveillance à l’égard des hommes en général ; il ne voulait pas dire non plus qu’il accordait sa paix à ceux qui étaient bien disposés envers lui simplement par sentimentalité, par complaisance. Non, Dieu parlait de ceux qui lui plairaient en raison de leur foi sincère en lui et qui deviendraient disciples de son Fils – it1 p346
    Quand Jésus est né, des anges sont apparus à des bergers près de Bethléhem. Ils ont loué Dieu en ces termes : “ Gloire à Dieu là-haut dans les hauteurs, et sur terre paix parmi les hommes de bienveillance ! ” (Luc 2:8, 13, 14). Autrement dit, il y aurait la paix pour ceux à qui Dieu témoignerait de la bienveillance parce qu’ils exerceraient la foi dans les dispositions qu’il prenait par l’intermédiaire de son Fils. Cela signifiait que des humains, bien que nés dans le péché, pourraient devenir purs aux yeux de Dieu et être approuvés par lui. Ils connaîtraient ainsi le calme intérieur, la paix, qu’il est impossible d’avoir autrement. Au temps fixé par Dieu, ces humains seraient libérés de tous les effets du péché adamique, en particulier de la maladie et de la mort. Il n’y aurait plus alors d’aveugles, de sourds ni d’estropiés. Plus jamais on ne serait démoralisé à cause de sa faiblesse ou accablé du fait de troubles mentaux, car tout cela aurait définitivement disparu. Il serait possible de vivre éternellement dans la perfection. À qui cette paix divine est-elle offerte ? À tous ceux qui exercent la foi en Jésus Christ
    Cette paix avec Dieu est essentielle. Sans elle, en effet, il ne peut y avoir de paix durable ou réelle dans aucune autre relation. La paix avec Jéhovah est le fondement de la paix véritable sur la terre. Logiquement, Jésus Christ est le Prince de paix TG1997 15/1
    La bienveillance de Dieu. Dans la Bible, les termes ci-dessus sont employés à propos du plaisir, de l’approbation ou de la bienveillance de Dieu. Dieu énonce clairement ce qui est requis pour lui plaire et il décide qui il acceptera parmi ses amis, qui sera l’objet de sa bienveillance. Ceux qui rejettent sa Parole ou se rebellent contre lui ne bénéficieront pas de sa bienveillance, mais subiront son courroux – it1 p346
    Luc 3:23 : Qui était le père de Joseph ? (wp16.3 9 § 1-3).
    « D’autre part, Jésus lui-même, lorsqu’il commença [son œuvre], avait environ trente ans, étant, à ce qu’on croyait, le fils de Joseph, [fils] de Héli »
    Qui était le père de Joseph ? Joseph, un charpentier de Nazareth, était le père adoptif de Jésus. Mais qui était le père de Joseph ? La généalogie de Jésus dans l’Évangile de Matthieu parle d’un certain Jacob, alors que celle dans Luc dit que Joseph était le « fils de Héli ». Comment expliquer cette différence ? (Luc 3:23 ; Matthieu 1:16).
    On lit dans l’Évangile de Matthieu : « Jacob devint père de Joseph. » Le terme grec employé ici indique clairement que Jacob était le père de Joseph. Matthieu établit donc la généalogie de Joseph, la lignée royale de David, par laquelle Jésus a hérité du droit légal au trône. Mais l’Évangile de Luc dit que Joseph était le « fils de Héli ». Cette expression, « fils de », peut aussi vouloir dire « gendre de ».
    On trouve un cas identique en Luc 3:27, où Shéaltiel, dont le père était Yekonia, est présenté comme le « fils de Néri » Shéaltiel était probablement marié avec une fille de Néri ; il était donc son gendre. De la même manière, Joseph était le « fils » de Héli, puisqu’il était marié avec sa fille, Marie. Luc établit donc la généalogie de Jésus en passant par sa mère biologique, sa généalogie « selon la chair » (Romains 1:3). Ainsi, la Bible contient deux généalogies de Jésus, toutes deux utiles.
    Emploi du nom du père dans les généalogies. Habituellement, on remontait l’ascendance d’un homme par son père, et non par sa mère. C’est pourquoi, même s’il y a, semble-t-il, de bonnes raisons de penser que Luc (faisant exception à la règle générale) présente la généalogie de Jésus en passant par sa mère, il ne mentionne pas celle-ci. Apparemment, il qualifie son mari, Joseph, de fils de Héli, alors que Héli était manifestement le père de Marie. Cela n’était pas du tout abusif, puisque Joseph était le gendre de Héli – it2 père
    Pourquoi Luc ne présente-t-il pas Marie comme la fille de Héli, qui était pourtant son père ? Parce qu’en général, les généalogies officielles ne donnaient que les noms des hommes. En voyant Joseph présenté comme le fils de Héli dans la généalogie faite par Luc, à l’époque on comprenait qu’il était en fait le gendre de Héli – TG2017/8
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    L’ange de Jéhovah, radieux, apparut à des bergers qui, en cette nuit, gardaient leurs troupeaux dans les champs en dehors de Bethléhem, et “la gloire de Jéhovah rayonna autour d’eux”. Il annonça alors la naissance qui accomplissait la prophétie divine: “Aujourd’hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est Christ le Seigneur.” Comme pour donner plus d’éclat encore à l’événement, une multitude d’anges se montra dans le ciel, louant le Père du nouveau-né et disant d’une seule voix: “Gloire à Dieu là-haut dans les hauteurs, et sur terre paix parmi les hommes de la bienveillance!” Ne convenait-il pas, en effet, qu’à la naissance du futur “Prince de paix” les anges annoncent la paix divine pour tous les hommes faisant l’objet de la bienveillance de Dieu? — Luc 2:8-14. Bien avant la naissance du futur “Prince de paix”, les anges avaient loué Dieu en une certaine occasion. C’était au temps de la création, lorsqu’il avait fondé la terre (Job 38:4). En conséquence, n’est-il pas normal que les fils de Dieu aient uni leurs voix mélodieuses en un chant de louange lors de la plus illustre naissance devant jamais honorer la terre? De même qu’un père humain est félicité à la naissance de son fils premier-né, pareillement le Père céleste et Auteur de cette naissance illustre entre toutes est digne d’être exalté par les membres de sa famille dans les cieux. Comme ce chœur extrêmement harmonieux a dû réjouir l’Être divin qui, pour la première fois, devenait père dans des circonstances tout à fait nouvelles! Jamais auparavant dans toute l’histoire universelle, il n’y avait eu de naissance comparable à celle du futur “Prince de paix”. – TG1987 1/4 p13-14 §13-15
    Les hommes de bienveillance. ” Quand un ange annonça la naissance de Jésus, il n’apparut pas devant les chefs religieux juifs, mais devant d’humbles bergers. Après qu’il leur eut appris la naissance du Messie, une armée d’anges proclamèrent : “ Gloire à Dieu là-haut dans les hauteurs, et sur terre paix parmi les hommes de bienveillance ! ” (Lc 2:14). Les anges ne proclamaient pas la paix pour les ennemis de Dieu, qui n’étaient pas en paix avec lui. Mais Dieu ne manifestait pas ici sa bienveillance à l’égard des hommes en général ; il ne voulait pas dire non plus qu’il accordait sa paix à ceux qui étaient bien disposés envers lui simplement par sentimentalité, par complaisance. Non, Dieu parlait de ceux qui lui plairaient en raison de leur foi sincère en lui et qui deviendraient disciples de son Fils. - it-1 p346-347
    Quand Jésus est né, des anges sont apparus à des bergers près de Bethléhem. Ils ont loué Dieu en ces termes : “ Gloire à Dieu là-haut dans les hauteurs, et sur terre paix parmi les hommes de bienveillance ! ” (Luc 2:8, 13, 14). Autrement dit, il y aurait la paix pour ceux à qui Dieu témoignerait de la bienveillance parce qu’ils exerceraient la foi dans les dispositions qu’il prenait par l’intermédiaire de son Fils. Cela signifiait que des humains, bien que nés dans le péché, pourraient devenir purs aux yeux de Dieu et être approuvés par lui. Ils connaîtraient ainsi le calme intérieur, la paix, qu’il est impossible d’avoir autrement. Au temps fixé par Dieu, ces humains seraient libérés de tous les effets du péché adamique, en particulier de la maladie et de la mort. Il n’y aurait plus alors d’aveugles, de sourds ni d’estropiés. Plus jamais on ne serait démoralisé à cause de sa faiblesse ou accablé du fait de troubles mentaux, car tout cela aurait définitivement disparu. Il serait possible de vivre éternellement dans la perfection – TG1997 15/1 p11 §7
    Marie est certainement épuisée par l’accouchement. Pourtant, elle écoute attentivement. Mieux encore, elle « conserve toutes ces paroles, tirant des conclusions dans son cœur » (Luc 2:19). C’est vraiment une jeune femme réfléchie. Elle sait que le message transmis par les anges est très important. Son Dieu, Jéhovah, veut qu’elle comprenne bien qui est le fils qu’elle vient d’avoir et le grand rôle qu’il aura à jouer. Or, effectivement, elle ne fait pas qu’écouter. Elle essaie de retenir ce qu’elle a entendu pour méditer sur ces pensées encore et encore au fil des mois et des années à venir. Cela explique pourquoi Marie sera une femme de foi tout au long de sa vie.
    Imiteras-tu Marie ? Jéhovah a rempli les pages de sa Parole de précieuses vérités. Mais celles-ci te seront profitables seulement si tu y prêtes attention. Alors, lis la Bible régulièrement, pas simplement comme une œuvre littéraire, mais comme la Parole inspirée de Dieu. Puis, à l’exemple de Marie, conserve ses vérités dans ton cœur et tires-en des conclusions. Si tu médites sur ce que tu lis dans la Bible et si tu réfléchis à la façon dont tu peux appliquer encore mieux les conseils de Jéhovah, tu donneras à ta foi les éléments dont elle a besoin pour grandir. – ia p158 §16,17
    Marie est certainement épuisée par l’accouchement. Pourtant, elle écoute attentivement. Mieux encore, elle « conserv[e] toutes ces paroles, tirant des conclusions dans son cœur » (Luc 2:19). C’est vraiment une jeune femme réfléchie. Elle sait que le message transmis par les anges est très important. Son Dieu, Jéhovah, veut qu’elle comprenne bien qui est le fils qu’elle vient d’avoir et le grand rôle qu’il aura à jouer. Or, effectivement, elle ne fait pas qu’écouter. Elle essaie de retenir ce qu’elle a entendu pour méditer sur ces pensées encore et encore au fil des mois et des années à venir. Cela explique pourquoi Marie sera une femme de foi tout au long de sa vie.
    Imiterons-nous Marie ? Jéhovah a rempli les pages de sa Parole de précieuses vérités. Mais celles-ci nous seront profitables seulement si nous y prêtons attention. Alors, lisons la Bible régulièrement, pas simplement comme une œuvre littéraire, mais comme la Parole inspirée de Dieu. Puis, à l’exemple de Marie, conservons ses vérités dans notre cœur et tirons-en des conclusions. Si nous méditons sur ce que nous lisons dans la Bible et si nous réfléchissons à la façon dont nous pouvons appliquer encore mieux les conseils de Jéhovah, nous donnerons à notre foi les éléments dont elle a besoin pour grandir.  –
    ia chap18 §16,17
    Des bergers se présentent, impatients de voir le nouveau-né. Ils racontent que des anges en ont parlé comme d’“ un Sauveur, qui est Christ le Seigneur ”. Le récit ajoute : “ Marie conservait toutes ces paroles, tirant des conclusions dans son cœur. ” Elle méditait sur ces paroles et y puisait de la force. — Luc 2:11, 16-19.
    Et nous ? Chacun est tôt ou tard amené à souffrir. La Bible montre par ailleurs que “ temps et événement imprévu ” peuvent nous arriver à tous, et nous valoir diverses épreuves et difficultés. Quand c’est le cas, nous aigrissons-nous, au point d’accuser Dieu ? N’est-il pas préférable d’imiter Marie et de nous approcher davantage de Jéhovah en nous instruisant de sa Parole, la Bible, puis en méditant sur ce que nous avons appris ? Une telle réaction nous aidera à coup sûr à endurer l’adversité. – TG2009 1/1 p4-5
     
     
    Au fur et à mesure que Jésus a grandi, Marie s’est efforcée de retenir mentalement ce qui lui arrivait, “ tirant des conclusions dans son cœur ”. (Luc 2:19, 51.) Elle était, comme Joseph, une personne spirituelle, et elle gardait précieusement en mémoire les événements et les paroles qui accomplissaient des prophéties. Les propos de l’ange Gabriel ont dû rester gravés dans son esprit, à savoir : “ Celui-ci sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut ; et Jéhovah Dieu lui donnera le trône de David son père, et il régnera sur la maison de Jacob pour toujours, et il n’y aura pas de fin à son royaume. ” (Luc 1:32, 33). Elle a, sans conteste, pris au sérieux le privilège de devenir la mère du Messie.
    Que peut vous apporter cet aperçu de la vie de Marie ? Acceptez-vous le privilège de servir Dieu, quels que soient les sacrifices exigés ? Êtes-vous conscient de l’importance de ce privilège aujourd’hui ? Gardez-vous présent à l’esprit ce que Jésus a annoncé et le mettez-vous en parallèle avec ce qui se produit aujourd’hui, ‘ tirant des conclusions dans votre cœur ’ ? Garderez-vous foi en Jésus même si vous devez vivre des moments pénibles parce que vous êtes son disciple ? TG03 15/12 7
    Même un chrétien qui ressent un grand vide dans sa vie (parce qu’il n’a pas d’enfants ou qu’il a perdu son conjoint) peut être consolé. La prophétesse Anne, qui vivait à l’époque de Jésus, avait perdu son mari après seulement sept ans de mariage. Dans la Bible, rien n’indique que cette veuve avait des enfants. Or que continuait-elle de faire à l’âge de 84 ans ? Luc 2:37 répond : « Elle n’était jamais absente du temple, offrant un service sacré nuit et jour, avec jeûnes et supplications. » C’est en adorant Jéhovah qu’Anne trouvait de la consolation et de la joie – TG2017 Juin p6 §12
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    L’annonce de la naissance d’“ un Sauveur, qui est Christ le Seigneur ” constituait sans conteste une “ bonne nouvelle d’une grande joie ” pour l’humanité (Luc 2:10, 11). Cet enfant serait le Messie, le grand Prophète et le Chef que le peuple de Dieu attendait depuis si longtemps. Sa vie et sa mort sur la terre joueraient un rôle essentiel dans la justification de la souveraineté universelle de Jéhovah. Voilà pourquoi les anges se sont exclamés : “ Gloire à Dieu là-haut dans les hauteurs. ” — Luc 2:14.
    Jésus, que la Bible appelle “ le dernier Adam ”, a prouvé que même soumis à la plus cruelle des épreuves il est possible à un humain de rester fidèle à Jéhovah. Il a ainsi démontré que Satan est un ignoble menteur. Cela a constitué un sujet de joie parmi les anges fidèles dans les cieux. – TG2006 15/12 p6
    Les promesses qui consolaient le peuple de Dieu comportaient souvent des renseignements sur le Messie (Isaïe 53:1-12). De génération en génération, ces renseignements ont soutenu les fidèles accablés d’épreuves en leur donnant une espérance. On lit en Luc 2:25 : “ Voyez, il y avait à Jérusalem un homme nommé Siméon ; cet homme était juste et il craignait Dieu ; il attendait la consolation [c’est-à-dire la venue du Messie] d’Israël, et de l’esprit saint était sur lui. ” Siméon connaissait l’espérance messianique exposée dans les Écritures, et l’attente de son accomplissement était au centre de sa vie. Il ne comprenait pas exactement comment cet accomplissement se produirait, et il n’a pas vécu assez longtemps pour voir le salut annoncé devenir réalité, mais il s’est réjoui le jour où il a vu Celui qui serait le “ moyen de salut ” de Dieu. — Luc 2:30.  – TG2003  1/5p14 § 7
    Le 40e jour, la petite famille va à Jérusalem, à une dizaine de kilomètres de Bethléhem. Ils apportent au temple les offrandes de purification prévues par la Loi. Comme ils sont pauvres, ils viennent avec deux tourterelles ou deux pigeons. Ont-ils honte de ne pouvoir offrir, comme les autres parents, un bélier avec une tourterelle ? Si oui, ils mettent ces sentiments de côté. En tout cas, sur place, ils reçoivent beaucoup d’encouragements (Luc 2:21-24).
    Un homme âgé, du nom de Siméon, s’approche d’eux et adresse à Marie des paroles qu’elle va, de nouveau, conserver précieusement dans son cœur. Il a reçu la promesse qu’il verrait le Messie avant de mourir, et l’esprit saint de Jéhovah lui a indiqué que Jésus était le Sauveur annoncé. De plus, Siméon prévient Marie de la douleur qu’elle subira un jour. Ce sera comme si une longue épée la traversait (Luc 2:25-35). Bien que peu rassurantes, ces paroles aideront Marie à tenir ferme quand ce terrible moment arrivera, une trentaine d’années plus tard. Après Siméon, Anne, une prophétesse, voit le petit enfant et se met à parler de lui à tous ceux qui attendent la délivrance de Jérusalem (Luc 2:36-38).
    Joseph et Marie ont vraiment pris une bonne décision en emmenant leur fils au temple ! Ils lui ont ainsi donné une excellente habitude : celle d’aller régulièrement au temple de Jéhovah. En ce lieu, ils ont offert à Dieu le meilleur de ce qu’ils avaient et ils ont reçu des instructions et des encouragements. Marie a dû repartir avec une foi plus forte, le cœur rempli de pensées à méditer et à transmettre à d’autres.
    Aujourd’hui, il est beau de voir des parents suivre cet exemple. Avec fidélité, ils emmènent leurs enfants aux réunions chrétiennes. Ils donnent le meilleur d’eux-mêmes, notamment en encourageant leurs compagnons. Et ils repartent plus forts, plus heureux et remplis de bonnes choses à communiquer à d’autres – ia p161 §18-21
    Le service sacré concerne des actes d’adoration. Ainsi est-il dit de la prophétesse Anne, une veuve de 84 ans, qu’elle “ n’était jamais absente du temple, offrant un service sacré [d’un mot grec apparenté à latréïa] nuit et jour, avec jeûnes et supplications ”. (Luc 2:36, 37.) Elle adorait Jéhovah avec constance. Bel exemple pour chacun de nous, quel que soit notre âge ! Ses prières ferventes à Jéhovah et sa présence régulière au temple pour l’adorer nous rappellent que la prière et l’assistance aux réunions font partie de notre service sacré. – TG2000 15/11 p12 §11
    Marie était attachée aux valeurs spirituelles. Alors que la Loi ne l’exigeait pas des femmes, elle avait l’habitude d’accompagner Joseph à Jérusalem pour la célébration annuelle de la Pâque (Luc 2:41). Cela signifiait effectuer un aller-retour de 300 kilomètres avec une famille qui s’agrandissait au fil des années ! Mais ces déplacements étaient sans aucun doute de joyeuses expéditions.
    Beaucoup de femmes de notre époque imitent ce bel exemple. Elles s’acquittent de leurs obligations bibliques avec zèle et abnégation. Que de fois ces femmes dévouées font-elles preuve de patience, d’endurance et d’humilité ! Songer à l’attitude de Marie les aidera à continuer de placer les questions spirituelles avant leur plaisir et leur confort. Comme Marie, elles savent qu’adorer Dieu aux côtés de leur conjoint et de leurs enfants fortifie la famille et resserre les liens. – TG2009 1/1 p6
    Quand Jésus était plus jeune, il restait sans aucun doute près de ses parents pendant ces voyages annuels à la grande ville de Jérusalem. Cependant, il est possible que ses parents lui aient accordé plus de liberté à mesure qu’il grandissait. À douze ans, il atteignait l’âge que les Juifs considèrent comme une étape importante dans la marche vers l’état adulte. Peut-être à cause de ce changement naturel, un oubli fut commis quand le temps vint pour la famille de Joseph de quitter Jérusalem et de rentrer chez elle. Le récit rapporte: “Mais lorsqu’ils s’en retournèrent, le garçon Jésus resta à Jérusalem, sans que ses parents s’en fussent aperçus. Pensant qu’il était dans le groupe des voyageurs, ils firent une journée de chemin et se mirent à le chercher parmi les parents et les connaissances.” — Luc 2:43, 44.
    Les parents et les jeunes se reconnaîtront dans certains aspects de cet incident. Celui-ci, néanmoins, comporte une différence: Jésus était parfait. Puisqu’il était soumis à Joseph et à Marie, il est inconcevable qu’il ait manqué d’obéir à quelque disposition dont ils seraient convenus avec lui (Luc 2:52). Il est bien plus probable qu’il y ait eu un manque de communication. Le père et la mère de Jésus présumaient qu’il était dans le groupe des parents et des connaissances (Luc 2:44). On imagine facilement que, dans l’affairement du départ de Jérusalem, ils surveillèrent avant tout leurs plus jeunes enfants et supposèrent que leur fils aîné, Jésus, les suivait.
    À l’évidence, Jésus pensait que ses parents sauraient où il se trouvait. C’est ce que laisse entendre la réponse qu’il leur fit par la suite: “Pourquoi aviez-vous à me chercher? Ne saviez-vous pas que je dois être dans la maison de mon Père?” Ses paroles n’étaient pas irrespectueuses; elles révèlent simplement qu’il était surpris que ses parents n’aient pas su où le trouver. C’est un cas typique de malentendu que bien des parents d’adolescents peuvent comprendre. — Luc 2:49.
    Pensez à l’inquiétude de Joseph et de Marie à la fin du premier jour, quand ils se rendirent compte que Jésus n’était pas là. Et imaginez le souci croissant qui les accabla durant les deux jours où ils parcoururent Jérusalem à sa recherche. Il s’avéra que leur éducation payait de retour en cette circonstance difficile. Jésus n’était pas en mauvaise compagnie. Il ne faisait pas honte à ses parents. Quand ceux-ci trouvèrent Jésus, il était “dans le temple, assis au milieu des enseignants, les écoutant et les interrogeant. Et tous ceux qui l’écoutaient restaient stupéfaits de son intelligence et de ses réponses”. Luc 2:46, 47.
    Les leçons : Les adolescents ont tendance à présumer que leurs parents savent ce qu’ils pensent. On les entend souvent dire: “Mais je croyais que tu savais.” Si votre enfant vous a déjà dit cela lorsqu’un malentendu a surgi, vous n’êtes pas les premiers à rencontrer ce problème
    Quand les enfants approchent de l’adolescence, ils deviennent moins dépendants de leurs parents. Ce changement est naturel, et les parents doivent procéder à des mises au point pour lui permettre de se produire. Mais, même avec la meilleure éducation, des malentendus surgiront et les parents auront leur lot de soucis. Cependant, s’ils suivent l’excellent exemple de Joseph et de Marie, l’éducation qu’ils auront donnée à leurs enfants rendra grand service à ceux-ci dans les moments difficiles. Les parents qui imitent Joseph et Marie, qui aident leurs enfants à grandir en sagesse divine, qui font en sorte qu’ils se sentent bien à la maison et qui les soumettent à la saine influence de fréquentations pieuses, augmentent les probabilités de voir leur descendance suivre la même voie que Jésus. Ces enfants ont plus de chances de mener une vie heureuse quand ils deviendront des adultes chrétiens dignes de confiance – TG1987 15/2 p6
    À 12 ans déjà, Jésus défendait courageusement ce qui est droit. Intéressons-nous à ce qui s’est passé lorsqu’il était « dans le temple, assis au milieu des enseignants » (Luc 2:41-47). Ces hommes étaient des spécialistes tant de la Loi mosaïque que des traditions humaines qui l’étouffaient. Pour autant, Jésus n’était pas intimidé au point de ne rien dire : il les interrogeait. Il ne leur posait certainement pas les questions d’un petit garçon curieux, mais des questions qui demandaient de la réflexion et qui ont incité les enseignants à redoubler d’attention. Et s’ils ont essayé de piéger Jésus par des questions qui faisaient débat, ils ont échoué. Pas étonnant que tous ceux qui l’écoutaient, y compris les enseignants, aient été « stupéfaits de son intelligence et de ses réponses », des réponses qui mettaient sans aucun doute en valeur la vérité de la Parole de Dieu ! Jésus a fait preuve de courage. Soyons déterminés à marcher dans ses pas. – TG2015 15/2 p11 §4
    Le baptême de feu. Quand il vit de nombreux Pharisiens et Sadducéens venir à lui, Jean le baptiseur les appela “ progéniture de vipères ”. Il ajouta à propos de Celui qui venait : “ Celui-là vous baptisera avec de l’esprit saint et avec du feu. ” (Luc 3:16). Le baptême de feu est différent du baptême d’esprit saint. Contrairement à ce que disent certains, le baptême de feu ne peut pas correspondre aux langues de feu de la Pentecôte, car les disciples ne furent pas immergés dans le feu (Ac 2:3). Jean expliqua à ses auditeurs qu’il y aurait une sélection : le blé serait ramassé, après quoi la bale serait brûlée par un feu qu’il serait impossible d’éteindre (Mt 3:12). Il montra que le feu ne serait pas une bénédiction ni une récompense, mais serait dû à ce que ‘ l’arbre n’aurait pas produit de beau fruit ’. Luc 3:9.
    Se servant du feu comme d’un symbole de destruction, Jésus annonça que l’exécution des méchants aurait lieu durant sa présence ; il dit : “ Le jour où Lot est sorti de Sodome, il est tombé du ciel une pluie de feu et de soufre et elle les a tous détruits. De même en sera-t-il le jour où le Fils de l’homme doit être révélé. ” (Luc 17:29, 30). On trouve d’autres exemples où le feu représente une force non pas salvatrice, mais destructrice, en 2 Th. 1:8, en Jude 7 et en 2 Pierre 3:7, 10. – it1 p268
    La repentance et le baptême étaient des pas que devaient absolument franchir ceux qui entreraient dans le Royaume. C’est la raison pour laquelle Jean rétorqua: ‘Les pécheurs repentants, je les baptise d’eau, mais après moi, quelqu’un de plus fort vous baptisera d’esprit saint et de feu. Non, je ne mérite même pas de défaire les lanières de ses sandales. Mais attention! Il tient une pelle à vanner et il ramassera le blé dans son magasin, mais la bale, il la brûlera et il la détruira.’ (Luc 3:15-17). En effet, l’esprit saint serait accordé aux disciples du Messie, mais ses ennemis subiraient le feu de la destruction. - TG1995 15/5 p30
    Souvent on rassemblait la bale inutile et on la brûlait, afin d’éviter que le vent la ramène et qu’elle souille les tas de grain. Dans cet ordre d’idées, Jean le baptiseur prophétisa qu’une destruction brûlante s’abattrait sur les pratiquants méchants de la fausse religion : le Vanneur, Jésus Christ, recueillera le blé, “ mais la bale, il la brûlera par un feu qu’il est impossible d’éteindre ”. Luc 3:17  - it1 p261
    3:16 — En quel sens ‘ les cieux se sont-ils ouverts ’ lors du baptême de Jésus ? Cette expression semble indiquer que les souvenirs de l’existence préhumaine et céleste de Jésus lui sont revenus. – TG2008 15/1 p29
    Le premier proclamateur du Royaume mentionné dans les Évangiles est Jean le baptiseur (Luc 3:18). Son but principal était de “ témoigner ”, ce qu’il a fait avec une foi totale et avec l’espoir que “ des gens de toutes sortes croient ”. Effectivement, des personnes à qui il a parlé sont devenues des disciples du Christ. Jean a donc à la fois prêché et fait des disciples. Jésus aussi était un prédicateur et un enseignant. Il n’est pas surprenant qu’il ait ordonné à ses disciples non seulement de prêcher, mais encore d’aider les gens qui acceptaient le message du Royaume à devenir ses disciples. Notre œuvre aujourd’hui est dès lors une combinaison de prédication et d’enseignement. – TG2003 1/ 2 p22 §14
    Environ 30 ans après sa naissance en tant qu’humain, lorsque Jésus fut baptisé par Jean le baptiseur, l’esprit de Dieu vint sur lui et Dieu lui dit : “ Tu es mon Fils, le bien-aimé ; je t’ai agréé. ” (Luc 3:21-23). C’est sans doute à ce moment-là que l’homme Jésus ‘ naquit de nouveau ’ pour être un Fils spirituel ayant l’espérance de retourner vivre au ciel, et il fut oint par l’esprit afin d’être le roi et le grand prêtre établi par Dieu. Jéhovah s’est exprimé de façon semblable lors de la transfiguration sur la montagne, vision dans laquelle Jésus apparut dans une gloire royale – it1 p903
    RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 18 JUIN 2018 - LUC 2-3.docx
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MARC 15-16
    MARC 15:25 : Comment peut-on expliquer la contradiction apparente concernant le moment où Jésus a été cloué au poteau ?
    (nwtsty, note d’étude).
    « C’était la troisième heure, et ils l’attachèrent sur un poteau »
    Environ neuf heures du matin : Litt. « la troisième heure ». Certains attirent l’attention sur ce qui paraît être une contradiction entre ce récit et Jean 19:14-16, qui dit qu’« il était environ midi » (litt. « il était environ la sixième heure ») quand Pilate a livré Jésus pour qu’il soit exécuté. Même si la Bible ne fournit pas une explication complète de cette différence, voici quelques éléments à prendre en compte : Les Évangiles s’accordent généralement sur la chronologie des évènements du dernier jour de la vie terrestre de Jésus. Les quatre récits disent que les prêtres et les anciens se sont réunis après l’aube et qu’ils ont ensuite conduit Jésus au gouverneur romain Ponce Pilate. Matthieu, Marc et Luc signalent tous trois qu’à partir de « midi », alors que Jésus était déjà sur le poteau, des ténèbres ont couvert le pays « jusqu’à trois heures de l’après-midi environ ».
    Un facteur qui a pu avoir une incidence sur le moment retenu pour l’exécution de Jésus est celui-ci : la flagellation était considérée par certains comme faisant partie intégrante du processus d’exécution. Parfois, elle était d’une telle violence que la victime mourait. - nwtsty
    Dans le cas de Jésus, la flagellation a été si violente qu’après qu’il a commencé à porter seul son poteau de supplice, il a fallu réquisitionner un homme pour le porter à sa place. Si on considère que la flagellation est le début du processus d’exécution, du temps a dû s’écouler avant que Jésus ne soit effectivement cloué au poteau. Appuyant cette idée, Mt 27:26 et Mc 15:15 mentionnent la mise au poteau après la flagellation. Par conséquent, différentes personnes ont pu situer l’exécution à des moments différents, en fonction de ce qui constituait pour elles le début du processus d’exécution. Cela peut expliquer l’étonnement de Pilate quand il a appris que Jésus était mort si rapidement après avoir été cloué au poteau (Marc 15:44). De plus, les écrits bibliques reflètent souvent la pratique de l’époque qui consistait à diviser la journée en quatre périodes de trois heures chacune (la nuit était divisée de la même façon). Cette division de la journée explique pourquoi les rédacteurs de la Bible mentionnent fréquemment neuf heures du matin, midi et trois heures de l’après-midi, heures comptées à partir du lever du soleil, vers six heures du matin. D’autre part, comme les gens n’avaient généralement pas d’instruments précis de mesure du temps, la mention de l’heure était souvent accompagnée de termes signifiant « vers » ou « environ », ce qui est le cas en Jean 19:14. En résumé : Marc parle peut-être à la fois de la flagellation et de la mise au poteau, alors que Jean fait uniquement référence à la mise au poteau. Les deux rédacteurs ont peut-être arrondi l’heure à la période de trois heures la plus proche, et Jean utilise le mot « environ » quand il parle de l’heure dite. Ces éléments peuvent expliquer la différence des heures mentionnées dans les récits. Au final, le fait que Jean, qui a rédigé son Évangile des dizaines d’années plus tard, mentionne une heure qui diffère de celle de Marc montre qu’il ne s’est pas contenté de copier le récit de Marc. - nwtsty
    Pourquoi cette contradiction apparente ? Diverses hypothèses ont été émises. Aucune ne satisfait à toutes les objections. On ne dispose tout simplement pas d’informations suffisantes pour expliquer avec certitude la raison de la différence entre les récits. Peut-être l’heure indiquée par Marc ou par Jean n’était-elle qu’une parenthèse, non chronologique. Quoi qu’il en soit, une chose est sûre : les deux écrivains étaient inspirés par l’esprit saint – it1 heure
    Les Évangiles montrent clairement qu’à la sixième heure, ou à midi, Jésus était déjà pendu au poteau depuis assez longtemps pour que les soldats aient jeté les sorts pour ses vêtements et pour que les prêtres en chef, les scribes, les soldats et les passants aient parlé de lui en mal. Ils précisent également que Jésus expira vers 15 heures - it1 heure
    Comme le lever et le coucher du soleil varient en fonction de l’époque de l’année, on se contentait généralement de donner une heure approximative pour situer un événement. Ainsi, il est fréquent de lire que les événements se déroulaient à la troisième, à la sixième ou à la neuvième heure — ce qui veut souvent dire qu’ils avaient lieu approximativement à ces heures-là (Marc 15:25, 33, 34; Jean 19:14) – TG1991  1/8
    MARC 16:8 : Pourquoi, dans La Bible. Traduction du monde nouveau, le texte principal de l’Évangile de Marc ne contient-il pas les conclusions longue et courte ? (nwtsty, note d’étude).
    « Et quand elles sortirent, elles s’enfuirent de la tombe de souvenir, car un tremblement et une forte émotion les saisissaient. Et elles ne dirent rien à personne, car elles avaient peur. Mais toutes les choses qui [leur] avaient été ordonnées, elles les racontèrent brièvement à ceux qui étaient dans l’entourage de Pierre. D’autre part, après ces choses, Jésus lui-même envoya par leur intermédiaire de l’est à l’ouest la proclamation sacrée et incorruptible du salut éternel »
    Car elles avaient peur : D’après les plus anciens manuscrits disponibles de la dernière partie du livre de Marc, l’Évangile se termine par les mots que l’on trouve au verset 8. Certains affirment qu’une telle conclusion est trop abrupte pour être la conclusion d’origine. Toutefois, si on considère le style habituellement concis de Marc, cette affirmation n’est pas forcément valable. De plus, Jérôme et Eusèbe, biblistes du IVe siècle de notre ère indiquent que le récit d’origine se conclut par les mots
    « car elles avaient peur ». - nwtsty
    Un certain nombre de manuscrits grecs et de traductions dans d’autres langues ajoutent une conclusion longue ou courte après le verset 8. La conclusion longue (composée de 12 versets supplémentaires) figure dans le Codex Alexandrinus, le Codex Ephræmi Syri rescriptus et le Codex Bezae Cantabrigiensis, tous datant du Ve siècle. On la trouve également dans la Vulgate latine, dans la version syriaque Cureton et dans la Peshitta syriaque. Toutefois, elle est absente de deux manuscrits grecs plus anciens datant du IVe siècle, le Codex Sinaiticus et le Codex Vaticanus, ainsi que du Codex Sinaiticus Syriacus datant du IVe ou Ve siècle et du plus ancien manuscrit copte sahidique de Marc datant du Ve siècle. De même, les plus anciens manuscrits de Marc en arménien et en géorgien se terminent avec le verset 8. - nwtsty
    Quelques manuscrits grecs et traductions dans d’autres langues, plus récents, contiennent une conclusion courte (composée de seulement deux phrases). Le Codex Regius du VIIIe siècle contient les deux conclusions et cite d’abord la plus courte. Il fait précéder chaque conclusion d’une note indiquant que ces passages sont couramment acceptés par certains spécialistes, mais il n’en reconnaît manifestement aucune comme faisant autorité. - nwtsty
    CONCLUSION COURTE
    La conclusion courte après Mc 16:8 ne fait pas partie des Écritures inspirées. Voici ce qu’elle dit : Mais toutes les choses qui [leur] avaient été ordonnées, elles les racontèrent brièvement à ceux qui étaient dans l’entourage de Pierre. D’autre part, après ces choses, Jésus lui-même envoya par leur intermédiaire de l’est à l’ouest la proclamation sacrée et incorruptible du salut éternel. nwtsty
    CONCLUSION LONGUE
    La conclusion longue après Mc 16:8 ne fait pas partie des Écritures inspirées. Voici ce qu’elle dit : verset 9 Après qu’il fut ressuscité tôt le premier jour de la semaine, il apparut d’abord à Marie la Magdaléenne, de qui il avait expulsé sept démons. 10 Elle alla porter la nouvelle à ceux qui avaient été avec lui, car ils étaient dans le deuil et pleuraient. 11 Mais eux, lorsqu’ils entendirent qu’il avait pris vie et qu’il avait été vu par elle, ne crurent pas. 12 De plus, après ces choses, il apparut sous une autre forme à deux d’entre eux qui marchaient : ils se rendaient à la campagne ; 13 et ils revinrent et portèrent la nouvelle aux autres. On ne crut pas non plus ceux-ci. 14 Mais plus tard il apparut aux onze eux-mêmes pendant qu’ils étaient étendus à table, et il leur reprocha leur manque de foi et leur dureté de coeur, parce qu’ils n’avaient pas cru ceux qui l’avaient vu relevé d’entre les morts. 15 Et il leur dit : « Allez dans le monde entier et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. 16 Celui qui croit et est baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croit pas sera condamné. 17 De plus, les signes que voici accompagneront ceux qui croiront : En se servant de mon nom, ils expulseront des démons, ils parleront en langues, 18 et avec leurs mains ils prendront des serpents, et s’ils boivent quelque chose de mortel, cela ne leur fera aucun mal. Ils poseront les mains sur les malades, et ceux-ci se rétabliront. » 19 Ainsi donc, le Seigneur Jésus, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel et s’assit à la droite de Dieu. 20 Eux donc sortirent et prêchèrent partout, tandis que le Seigneur travaillait avec eux et confirmait le message par les signes qui l’accompagnaient.- nwtsty
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Pour rester intègre devant Jéhovah, Jésus a subi l’exécution la plus déshonorante qui soit. “ Il a enduré un poteau de supplice, méprisant la honte. ” (Héb. 12:2). Ses ennemis l’ont giflé, lui ont craché dessus, l’ont dévêtu, flagellé, attaché sur un poteau et insulté (Marc 15:29-32). Mais il a méprisé la honte dont ils essayaient de l’accabler. Comment ? En ne se dérobant pas à leurs brimades. Il savait qu’il ne perdait pas sa dignité aux yeux de Jéhovah, et il ne recherchait absolument pas la gloire venant des hommes. Même s’il est mort comme un esclave, Jéhovah l’a glorifié en le ressuscitant et en lui donnant la place la plus honorable qui soit, auprès de lui. Et nous aujourd’hui ? Les choses que le monde juge sottes, faibles et sans distinction, Dieu les juge sages, puissantes et honorables. Quiconque cherche les honneurs doit accorder de l’importance à ce que le monde pense de lui. Mais nous, comme Jésus et ses disciples au Ier siècle, c’est l’amitié de Jéhovah que nous cherchons TG201015/8
    Alors que Jésus était pendu au poteau de supplice, les passants “parlaient de lui en mal, hochant la tête et disant: ‘Peuh! Toi qui voulais renverser le temple et le bâtir en trois jours, sauve-toi toi-même en descendant du poteau de supplice!’ Pareillement les prêtres en chef aussi se moquaient de lui entre eux, ainsi que les scribes, et disaient: ‘Il en a sauvé d’autres; il ne peut pas se sauver lui-même! Que le Christ, le roi d’Israël, descende maintenant du poteau de supplice, pour que nous voyions et que nous croyions!’” (Marc 15:29-32). Pour quelle raison le peuple avait-il cette attitude hostile? Les gens avaient laissé les chefs religieux influencer l’opinion qu’ils se faisaient de Jésus; or ceux-ci détestaient Jésus, car il avait révélé qu’ils étaient de faux enseignants et que leurs actions n’étaient pas en harmonie avec leur prétention de représenter le vrai Dieu. Les chefs religieux haïssaient si profondément Jésus et les vérités qu’il enseignait qu’ils conspirèrent sa mort et firent tout ce qu’ils purent pour dresser le peuple contre lui. De nos jours, de nombreux chefs religieux s’opposent aux Témoins de Jéhovah avec un acharnement identique. Et tout comme c’est arrivé aux premiers chrétiens, partout “on parle contre” les Témoins. Mais est-il sage de vous laisser influencer par cette opposition répandue ?
    Les Témoins de Jéhovah proclament aujourd’hui les mêmes vérités bibliques sur le Royaume de Dieu que celles que Jésus et ses apôtres prêchaient. Dans le monde entier, des centaines de milliers de gens acceptent cette bonne nouvelle malgré l’opposition très vive d’amis, de parents et de chefs religieux. Ceux qui acceptent le message du Royaume ont acquis la conviction qu’il est véridique, et ils sont résolus à s’y cramponner. – TG1987  15/3 p29
    15:34 — Les paroles de Jésus “ mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ” sont-elles l’indice d’un manque de foi de sa part ? Non. Bien que nous ne puissions pas nous prononcer de façon catégorique sur ce qui a poussé Jésus à dire cela, ces paroles peuvent indiquer qu’il reconnaissait que Jéhovah lui avait retiré sa protection pour que son intégrité soit pleinement mise à l’épreuve. Il se peut aussi que Jésus ait dit cela parce qu’il voulait accomplir ce que Psaume 22:1 annonçait à son sujet TG2008 15/2
    LA MANIPULATION DE SERPENTS DANS LE CULTE - Les manipulateurs de serpents se basent sur Marc 16: 18, qui contient cette phrase : “ Avec leurs mains ils prendront des serpents. ”Des Églises charismatiques pratiquent la manipulation de serpents venimeux. Les enseignements de la Bible n’appuient pas l’idée selon laquelle l’utilisation de serpents est une facette acceptable du vrai culte. La Bible dit : “ Dieu est amour. ”Notre Créateur aimant ne demanderait pas à ses véritables adorateurs d’accomplir des rituels dangereux pour lui plaire. Assurément, Jéhovah ne souhaite pas que ses serviteurs manipulent des serpents, risquant ainsi de souffrir, d’être malades et même de mourir  - RV 3/2010 p23
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    À cause de la jalousie - Beaucoup se sont opposés à Jésus par jalousie. Le gouverneur romain Ponce Pilate s’est bien rendu compte que “ c’était par envie que les prêtres en chef ” avaient livré Jésus pour qu’il soit mis à mort (Marc 15:9, 10). Pourquoi les chefs religieux juifs jalousaient-ils le Christ ? Notamment en raison de sa popularité auprès du peuple, qu’ils méprisaient. “ Le monde s’en est allé derrière lui ”, se sont plaint les Pharisiens. De même, des opposants religieux “ remplis de jalousie ” par le succès de l’évangélisation s’en sont pris violemment aux disciples du Christ. — Actes 13:45, 50. Egalement aujourd’hui dans certains pays opposés à la vérité – RV2011/5
    Par jalousie, les chefs religieux juifs conspirèrent avec succès pour faire mettre à mort Jésus, pensant ainsi s’en débarrasser pour toujours. Marc 15:10. Parallèlement, au sein de la chrétienté, de nombreuses personnes sont jalouses de la faveur que Jéhovah accorde à ses serviteurs oints et fidèles, et elles se concertent pour faire disparaître ces derniers. Quand, en 1918, ces ennemis religieux remportèrent une victoire en faisant mettre en prison les vrais disciples du Christ les plus en vue et en faisant cesser leur activité, ils pensaient être pour toujours débarrassés des vrais serviteurs de Jéhovah et ne plus jamais en entendre parler. – TG1971  1/8 p457
    Ce qui s’est passé au 1er siècle, à la mort de Jésus Christ, montre bien qu’en suivant la foule on peut être amené à commettre le mal. Les chefs religieux avaient persuadé nombre de Juifs d’exiger, eux aussi, l’exécution de Jésus (Marc 15:11). Aussi, à la Pentecôte, après la résurrection et l’ascension de Jésus, quand Pierre a mis en évidence cette grave erreur, beaucoup “eurent le coeur transpercé”; ils se sont rendu compte de ce qu’ils avaient fait en se laissant influencer. Actes 2:36, 37. - TG1993 1/10
     
    Avant de clouer Jésus au poteau, les Romains “lui donnèrent à boire du vin mêlé de fiel [vraisemblablement aussi avec de la myrrhe]; mais, l’ayant goûté, il refusa de boire”. (Marc 15:23.) Pourquoi Jésus refusa-t-il cette liqueur? Parce que le breuvage était drogué. Jésus voulait conserver toutes ses facultés mentales pour accomplir jusqu’au bout la volonté de son Père.” Par contre, le vin qu’il accepta juste avant de mourir n’était pas drogué (Jean 19:28-30). Si Jésus refusa le vin drogué, c’est bien qu’il désirait être en pleine possession de tous ses moyens à l’heure de l’épreuve suprême de sa foi. À l’instar de Jésus, le chrétien s’efforcera de rester maître de ses facultés intellectuelles, afin de ne pas se laisser entraîner dans la débauche ou dans d’autres actes qui réduiraient à néant ses bonnes relations avec Jéhovah Dieu. Le chrétien doit également aimer Dieu de tout son esprit, ce qui exclut l’usage d’hallucinogènes ou d’autres stupéfiants qui provoquent des aberrations mentales que l’on rechercherait pour le seul plaisir de connaître une certaine euphorie. – RV1979 8/5
    La promesse de Jésus à un malfaiteur - Deux malfaiteurs avaient été mis au poteau à côté de Jésus. L’un d’eux avait cessé de lui parler injurieusement, tandis que celui qui était pendu à un poteau de l’autre côté de Jésus continuait à l’outrager. Se tournant vers Jésus, le malfaiteur compatissant lui dit: “Jésus, souviens-toi de moi quand tu entreras dans ton royaume.” Par ces paroles, il montra qu’il avait foi que Jésus, bien qu’attaché sur un poteau à côté de lui, aurait plus tard un royaume (Luc 23:42; Marc 15:32). Ces paroles durent profondément toucher le Seigneur Jésus. Ce criminel compatissant était convaincu que Jésus Christ était innocent et qu’il ne méritait pas une peine aussi sévère que la mise au poteau dans le déshonneur public. Sa requête montrait qu’il croyait que Jésus serait ressuscité d’entre les morts et entrerait en possession d’un royaume. Elle indiquait aussi qu’il croyait que lui-même pourrait être ressuscité et que c’est Jésus qui le relèverait d’entre les morts et lui rendrait la vie sur la terre. – TG1989 15/8 §3
    Marc 15:33 déclare : “ Quand vint la sixième heure, il y eut des ténèbres sur tout le pays jusqu’à la neuvième heure. ” Ces ténèbres de trois heures, survenues à peu près entre midi et 15 heures, relevaient du miracle. Il ne pouvait s’agir d’une éclipse. D’une part, quel que soit l’endroit du globe où l’on se place, l’éclipse solaire la plus longue est d’environ sept minutes et demie – RV2008/3
    La Loi donnée à Moïse interdisait aux Juifs d’organiser des funérailles le jour du sabbat. Étant donné que Jésus est mort trois heures avant le début du sabbat, Joseph d’Arimathée, accompagné d’autres personnes, l’a enterré sans avoir pu achever la préparation du corps. C’est pourquoi quelques amis de Jésus sont retournés à sa tombe après le sabbat, espérant pouvoir finir la préparation (Marc 16:1) – TG2013  1/3 p8
    RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 4 JUIN 2018 - MARC 15-16.docx
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MARC 15-16
    MARC 15:25 : Comment peut-on expliquer la contradiction apparente concernant le moment où Jésus a été cloué au poteau ?
    (nwtsty, note d’étude).
    « C’était la troisième heure, et ils l’attachèrent sur un poteau »
    Environ neuf heures du matin : Litt. « la troisième heure ». Certains attirent l’attention sur ce qui paraît être une contradiction entre ce récit et Jean 19:14-16, qui dit qu’« il était environ midi » (litt. « il était environ la sixième heure ») quand Pilate a livré Jésus pour qu’il soit exécuté. Même si la Bible ne fournit pas une explication complète de cette différence, voici quelques éléments à prendre en compte : Les Évangiles s’accordent généralement sur la chronologie des évènements du dernier jour de la vie terrestre de Jésus. Les quatre récits disent que les prêtres et les anciens se sont réunis après l’aube et qu’ils ont ensuite conduit Jésus au gouverneur romain Ponce Pilate. Matthieu, Marc et Luc signalent tous trois qu’à partir de « midi », alors que Jésus était déjà sur le poteau, des ténèbres ont couvert le pays « jusqu’à trois heures de l’après-midi environ ».
    Un facteur qui a pu avoir une incidence sur le moment retenu pour l’exécution de Jésus est celui-ci : la flagellation était considérée par certains comme faisant partie intégrante du processus d’exécution. Parfois, elle était d’une telle violence que la victime mourait. - nwtsty
    Dans le cas de Jésus, la flagellation a été si violente qu’après qu’il a commencé à porter seul son poteau de supplice, il a fallu réquisitionner un homme pour le porter à sa place. Si on considère que la flagellation est le début du processus d’exécution, du temps a dû s’écouler avant que Jésus ne soit effectivement cloué au poteau. Appuyant cette idée, Mt 27:26 et Mc 15:15 mentionnent la mise au poteau après la flagellation. Par conséquent, différentes personnes ont pu situer l’exécution à des moments différents, en fonction de ce qui constituait pour elles le début du processus d’exécution. Cela peut expliquer l’étonnement de Pilate quand il a appris que Jésus était mort si rapidement après avoir été cloué au poteau (Marc 15:44). De plus, les écrits bibliques reflètent souvent la pratique de l’époque qui consistait à diviser la journée en quatre périodes de trois heures chacune (la nuit était divisée de la même façon). Cette division de la journée explique pourquoi les rédacteurs de la Bible mentionnent fréquemment neuf heures du matin, midi et trois heures de l’après-midi, heures comptées à partir du lever du soleil, vers six heures du matin. D’autre part, comme les gens n’avaient généralement pas d’instruments précis de mesure du temps, la mention de l’heure était souvent accompagnée de termes signifiant « vers » ou « environ », ce qui est le cas en Jean 19:14. En résumé : Marc parle peut-être à la fois de la flagellation et de la mise au poteau, alors que Jean fait uniquement référence à la mise au poteau. Les deux rédacteurs ont peut-être arrondi l’heure à la période de trois heures la plus proche, et Jean utilise le mot « environ » quand il parle de l’heure dite. Ces éléments peuvent expliquer la différence des heures mentionnées dans les récits. Au final, le fait que Jean, qui a rédigé son Évangile des dizaines d’années plus tard, mentionne une heure qui diffère de celle de Marc montre qu’il ne s’est pas contenté de copier le récit de Marc. - nwtsty
    Pourquoi cette contradiction apparente ? Diverses hypothèses ont été émises. Aucune ne satisfait à toutes les objections. On ne dispose tout simplement pas d’informations suffisantes pour expliquer avec certitude la raison de la différence entre les récits. Peut-être l’heure indiquée par Marc ou par Jean n’était-elle qu’une parenthèse, non chronologique. Quoi qu’il en soit, une chose est sûre : les deux écrivains étaient inspirés par l’esprit saint – it1 heure
    Les Évangiles montrent clairement qu’à la sixième heure, ou à midi, Jésus était déjà pendu au poteau depuis assez longtemps pour que les soldats aient jeté les sorts pour ses vêtements et pour que les prêtres en chef, les scribes, les soldats et les passants aient parlé de lui en mal. Ils précisent également que Jésus expira vers 15 heures - it1 heure
    Comme le lever et le coucher du soleil varient en fonction de l’époque de l’année, on se contentait généralement de donner une heure approximative pour situer un événement. Ainsi, il est fréquent de lire que les événements se déroulaient à la troisième, à la sixième ou à la neuvième heure — ce qui veut souvent dire qu’ils avaient lieu approximativement à ces heures-là (Marc 15:25, 33, 34; Jean 19:14) – TG1991  1/8
    MARC 16:8 : Pourquoi, dans La Bible. Traduction du monde nouveau, le texte principal de l’Évangile de Marc ne contient-il pas les conclusions longue et courte ? (nwtsty, note d’étude).
    « Et quand elles sortirent, elles s’enfuirent de la tombe de souvenir, car un tremblement et une forte émotion les saisissaient. Et elles ne dirent rien à personne, car elles avaient peur. Mais toutes les choses qui [leur] avaient été ordonnées, elles les racontèrent brièvement à ceux qui étaient dans l’entourage de Pierre. D’autre part, après ces choses, Jésus lui-même envoya par leur intermédiaire de l’est à l’ouest la proclamation sacrée et incorruptible du salut éternel »
    Car elles avaient peur : D’après les plus anciens manuscrits disponibles de la dernière partie du livre de Marc, l’Évangile se termine par les mots que l’on trouve au verset 8. Certains affirment qu’une telle conclusion est trop abrupte pour être la conclusion d’origine. Toutefois, si on considère le style habituellement concis de Marc, cette affirmation n’est pas forcément valable. De plus, Jérôme et Eusèbe, biblistes du IVe siècle de notre ère indiquent que le récit d’origine se conclut par les mots
    « car elles avaient peur ». - nwtsty
    Un certain nombre de manuscrits grecs et de traductions dans d’autres langues ajoutent une conclusion longue ou courte après le verset 8. La conclusion longue (composée de 12 versets supplémentaires) figure dans le Codex Alexandrinus, le Codex Ephræmi Syri rescriptus et le Codex Bezae Cantabrigiensis, tous datant du Ve siècle. On la trouve également dans la Vulgate latine, dans la version syriaque Cureton et dans la Peshitta syriaque. Toutefois, elle est absente de deux manuscrits grecs plus anciens datant du IVe siècle, le Codex Sinaiticus et le Codex Vaticanus, ainsi que du Codex Sinaiticus Syriacus datant du IVe ou Ve siècle et du plus ancien manuscrit copte sahidique de Marc datant du Ve siècle. De même, les plus anciens manuscrits de Marc en arménien et en géorgien se terminent avec le verset 8. - nwtsty
    Quelques manuscrits grecs et traductions dans d’autres langues, plus récents, contiennent une conclusion courte (composée de seulement deux phrases). Le Codex Regius du VIIIe siècle contient les deux conclusions et cite d’abord la plus courte. Il fait précéder chaque conclusion d’une note indiquant que ces passages sont couramment acceptés par certains spécialistes, mais il n’en reconnaît manifestement aucune comme faisant autorité. - nwtsty
    CONCLUSION COURTE
    La conclusion courte après Mc 16:8 ne fait pas partie des Écritures inspirées. Voici ce qu’elle dit : Mais toutes les choses qui [leur] avaient été ordonnées, elles les racontèrent brièvement à ceux qui étaient dans l’entourage de Pierre. D’autre part, après ces choses, Jésus lui-même envoya par leur intermédiaire de l’est à l’ouest la proclamation sacrée et incorruptible du salut éternel. nwtsty
    CONCLUSION LONGUE
    La conclusion longue après Mc 16:8 ne fait pas partie des Écritures inspirées. Voici ce qu’elle dit : verset 9 Après qu’il fut ressuscité tôt le premier jour de la semaine, il apparut d’abord à Marie la Magdaléenne, de qui il avait expulsé sept démons. 10 Elle alla porter la nouvelle à ceux qui avaient été avec lui, car ils étaient dans le deuil et pleuraient. 11 Mais eux, lorsqu’ils entendirent qu’il avait pris vie et qu’il avait été vu par elle, ne crurent pas. 12 De plus, après ces choses, il apparut sous une autre forme à deux d’entre eux qui marchaient : ils se rendaient à la campagne ; 13 et ils revinrent et portèrent la nouvelle aux autres. On ne crut pas non plus ceux-ci. 14 Mais plus tard il apparut aux onze eux-mêmes pendant qu’ils étaient étendus à table, et il leur reprocha leur manque de foi et leur dureté de coeur, parce qu’ils n’avaient pas cru ceux qui l’avaient vu relevé d’entre les morts. 15 Et il leur dit : « Allez dans le monde entier et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. 16 Celui qui croit et est baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croit pas sera condamné. 17 De plus, les signes que voici accompagneront ceux qui croiront : En se servant de mon nom, ils expulseront des démons, ils parleront en langues, 18 et avec leurs mains ils prendront des serpents, et s’ils boivent quelque chose de mortel, cela ne leur fera aucun mal. Ils poseront les mains sur les malades, et ceux-ci se rétabliront. » 19 Ainsi donc, le Seigneur Jésus, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel et s’assit à la droite de Dieu. 20 Eux donc sortirent et prêchèrent partout, tandis que le Seigneur travaillait avec eux et confirmait le message par les signes qui l’accompagnaient.- nwtsty
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Pour rester intègre devant Jéhovah, Jésus a subi l’exécution la plus déshonorante qui soit. “ Il a enduré un poteau de supplice, méprisant la honte. ” (Héb. 12:2). Ses ennemis l’ont giflé, lui ont craché dessus, l’ont dévêtu, flagellé, attaché sur un poteau et insulté (Marc 15:29-32). Mais il a méprisé la honte dont ils essayaient de l’accabler. Comment ? En ne se dérobant pas à leurs brimades. Il savait qu’il ne perdait pas sa dignité aux yeux de Jéhovah, et il ne recherchait absolument pas la gloire venant des hommes. Même s’il est mort comme un esclave, Jéhovah l’a glorifié en le ressuscitant et en lui donnant la place la plus honorable qui soit, auprès de lui. Et nous aujourd’hui ? Les choses que le monde juge sottes, faibles et sans distinction, Dieu les juge sages, puissantes et honorables. Quiconque cherche les honneurs doit accorder de l’importance à ce que le monde pense de lui. Mais nous, comme Jésus et ses disciples au Ier siècle, c’est l’amitié de Jéhovah que nous cherchons TG201015/8
    Alors que Jésus était pendu au poteau de supplice, les passants “parlaient de lui en mal, hochant la tête et disant: ‘Peuh! Toi qui voulais renverser le temple et le bâtir en trois jours, sauve-toi toi-même en descendant du poteau de supplice!’ Pareillement les prêtres en chef aussi se moquaient de lui entre eux, ainsi que les scribes, et disaient: ‘Il en a sauvé d’autres; il ne peut pas se sauver lui-même! Que le Christ, le roi d’Israël, descende maintenant du poteau de supplice, pour que nous voyions et que nous croyions!’” (Marc 15:29-32). Pour quelle raison le peuple avait-il cette attitude hostile? Les gens avaient laissé les chefs religieux influencer l’opinion qu’ils se faisaient de Jésus; or ceux-ci détestaient Jésus, car il avait révélé qu’ils étaient de faux enseignants et que leurs actions n’étaient pas en harmonie avec leur prétention de représenter le vrai Dieu. Les chefs religieux haïssaient si profondément Jésus et les vérités qu’il enseignait qu’ils conspirèrent sa mort et firent tout ce qu’ils purent pour dresser le peuple contre lui. De nos jours, de nombreux chefs religieux s’opposent aux Témoins de Jéhovah avec un acharnement identique. Et tout comme c’est arrivé aux premiers chrétiens, partout “on parle contre” les Témoins. Mais est-il sage de vous laisser influencer par cette opposition répandue ?
    Les Témoins de Jéhovah proclament aujourd’hui les mêmes vérités bibliques sur le Royaume de Dieu que celles que Jésus et ses apôtres prêchaient. Dans le monde entier, des centaines de milliers de gens acceptent cette bonne nouvelle malgré l’opposition très vive d’amis, de parents et de chefs religieux. Ceux qui acceptent le message du Royaume ont acquis la conviction qu’il est véridique, et ils sont résolus à s’y cramponner. – TG1987  15/3 p29
    15:34 — Les paroles de Jésus “ mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ” sont-elles l’indice d’un manque de foi de sa part ? Non. Bien que nous ne puissions pas nous prononcer de façon catégorique sur ce qui a poussé Jésus à dire cela, ces paroles peuvent indiquer qu’il reconnaissait que Jéhovah lui avait retiré sa protection pour que son intégrité soit pleinement mise à l’épreuve. Il se peut aussi que Jésus ait dit cela parce qu’il voulait accomplir ce que Psaume 22:1 annonçait à son sujet TG2008 15/2
    LA MANIPULATION DE SERPENTS DANS LE CULTE - Les manipulateurs de serpents se basent sur Marc 16: 18, qui contient cette phrase : “ Avec leurs mains ils prendront des serpents. ”Des Églises charismatiques pratiquent la manipulation de serpents venimeux. Les enseignements de la Bible n’appuient pas l’idée selon laquelle l’utilisation de serpents est une facette acceptable du vrai culte. La Bible dit : “ Dieu est amour. ”Notre Créateur aimant ne demanderait pas à ses véritables adorateurs d’accomplir des rituels dangereux pour lui plaire. Assurément, Jéhovah ne souhaite pas que ses serviteurs manipulent des serpents, risquant ainsi de souffrir, d’être malades et même de mourir  - RV 3/2010 p23
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    À cause de la jalousie - Beaucoup se sont opposés à Jésus par jalousie. Le gouverneur romain Ponce Pilate s’est bien rendu compte que “ c’était par envie que les prêtres en chef ” avaient livré Jésus pour qu’il soit mis à mort (Marc 15:9, 10). Pourquoi les chefs religieux juifs jalousaient-ils le Christ ? Notamment en raison de sa popularité auprès du peuple, qu’ils méprisaient. “ Le monde s’en est allé derrière lui ”, se sont plaint les Pharisiens. De même, des opposants religieux “ remplis de jalousie ” par le succès de l’évangélisation s’en sont pris violemment aux disciples du Christ. — Actes 13:45, 50. Egalement aujourd’hui dans certains pays opposés à la vérité – RV2011/5
    Par jalousie, les chefs religieux juifs conspirèrent avec succès pour faire mettre à mort Jésus, pensant ainsi s’en débarrasser pour toujours. Marc 15:10. Parallèlement, au sein de la chrétienté, de nombreuses personnes sont jalouses de la faveur que Jéhovah accorde à ses serviteurs oints et fidèles, et elles se concertent pour faire disparaître ces derniers. Quand, en 1918, ces ennemis religieux remportèrent une victoire en faisant mettre en prison les vrais disciples du Christ les plus en vue et en faisant cesser leur activité, ils pensaient être pour toujours débarrassés des vrais serviteurs de Jéhovah et ne plus jamais en entendre parler. – TG1971  1/8 p457
    Ce qui s’est passé au 1er siècle, à la mort de Jésus Christ, montre bien qu’en suivant la foule on peut être amené à commettre le mal. Les chefs religieux avaient persuadé nombre de Juifs d’exiger, eux aussi, l’exécution de Jésus (Marc 15:11). Aussi, à la Pentecôte, après la résurrection et l’ascension de Jésus, quand Pierre a mis en évidence cette grave erreur, beaucoup “eurent le coeur transpercé”; ils se sont rendu compte de ce qu’ils avaient fait en se laissant influencer. Actes 2:36, 37. - TG1993 1/10
     
    Avant de clouer Jésus au poteau, les Romains “lui donnèrent à boire du vin mêlé de fiel [vraisemblablement aussi avec de la myrrhe]; mais, l’ayant goûté, il refusa de boire”. (Marc 15:23.) Pourquoi Jésus refusa-t-il cette liqueur? Parce que le breuvage était drogué. Jésus voulait conserver toutes ses facultés mentales pour accomplir jusqu’au bout la volonté de son Père.” Par contre, le vin qu’il accepta juste avant de mourir n’était pas drogué (Jean 19:28-30). Si Jésus refusa le vin drogué, c’est bien qu’il désirait être en pleine possession de tous ses moyens à l’heure de l’épreuve suprême de sa foi. À l’instar de Jésus, le chrétien s’efforcera de rester maître de ses facultés intellectuelles, afin de ne pas se laisser entraîner dans la débauche ou dans d’autres actes qui réduiraient à néant ses bonnes relations avec Jéhovah Dieu. Le chrétien doit également aimer Dieu de tout son esprit, ce qui exclut l’usage d’hallucinogènes ou d’autres stupéfiants qui provoquent des aberrations mentales que l’on rechercherait pour le seul plaisir de connaître une certaine euphorie. – RV1979 8/5
    La promesse de Jésus à un malfaiteur - Deux malfaiteurs avaient été mis au poteau à côté de Jésus. L’un d’eux avait cessé de lui parler injurieusement, tandis que celui qui était pendu à un poteau de l’autre côté de Jésus continuait à l’outrager. Se tournant vers Jésus, le malfaiteur compatissant lui dit: “Jésus, souviens-toi de moi quand tu entreras dans ton royaume.” Par ces paroles, il montra qu’il avait foi que Jésus, bien qu’attaché sur un poteau à côté de lui, aurait plus tard un royaume (Luc 23:42; Marc 15:32). Ces paroles durent profondément toucher le Seigneur Jésus. Ce criminel compatissant était convaincu que Jésus Christ était innocent et qu’il ne méritait pas une peine aussi sévère que la mise au poteau dans le déshonneur public. Sa requête montrait qu’il croyait que Jésus serait ressuscité d’entre les morts et entrerait en possession d’un royaume. Elle indiquait aussi qu’il croyait que lui-même pourrait être ressuscité et que c’est Jésus qui le relèverait d’entre les morts et lui rendrait la vie sur la terre. – TG1989 15/8 §3
    Marc 15:33 déclare : “ Quand vint la sixième heure, il y eut des ténèbres sur tout le pays jusqu’à la neuvième heure. ” Ces ténèbres de trois heures, survenues à peu près entre midi et 15 heures, relevaient du miracle. Il ne pouvait s’agir d’une éclipse. D’une part, quel que soit l’endroit du globe où l’on se place, l’éclipse solaire la plus longue est d’environ sept minutes et demie – RV2008/3
    La Loi donnée à Moïse interdisait aux Juifs d’organiser des funérailles le jour du sabbat. Étant donné que Jésus est mort trois heures avant le début du sabbat, Joseph d’Arimathée, accompagné d’autres personnes, l’a enterré sans avoir pu achever la préparation du corps. C’est pourquoi quelques amis de Jésus sont retournés à sa tombe après le sabbat, espérant pouvoir finir la préparation (Marc 16:1) – TG2013  1/3 p8
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MARC 15-16
    MARC 15:25 : Comment peut-on expliquer la contradiction apparente concernant le moment où Jésus a été cloué au poteau ?
    (nwtsty, note d’étude).
    « C’était la troisième heure, et ils l’attachèrent sur un poteau »
    Environ neuf heures du matin : Litt. « la troisième heure ». Certains attirent l’attention sur ce qui paraît être une contradiction entre ce récit et Jean 19:14-16, qui dit qu’« il était environ midi » (litt. « il était environ la sixième heure ») quand Pilate a livré Jésus pour qu’il soit exécuté. Même si la Bible ne fournit pas une explication complète de cette différence, voici quelques éléments à prendre en compte : Les Évangiles s’accordent généralement sur la chronologie des évènements du dernier jour de la vie terrestre de Jésus. Les quatre récits disent que les prêtres et les anciens se sont réunis après l’aube et qu’ils ont ensuite conduit Jésus au gouverneur romain Ponce Pilate. Matthieu, Marc et Luc signalent tous trois qu’à partir de « midi », alors que Jésus était déjà sur le poteau, des ténèbres ont couvert le pays « jusqu’à trois heures de l’après-midi environ ».
    Un facteur qui a pu avoir une incidence sur le moment retenu pour l’exécution de Jésus est celui-ci : la flagellation était considérée par certains comme faisant partie intégrante du processus d’exécution. Parfois, elle était d’une telle violence que la victime mourait. - nwtsty
    Dans le cas de Jésus, la flagellation a été si violente qu’après qu’il a commencé à porter seul son poteau de supplice, il a fallu réquisitionner un homme pour le porter à sa place. Si on considère que la flagellation est le début du processus d’exécution, du temps a dû s’écouler avant que Jésus ne soit effectivement cloué au poteau. Appuyant cette idée, Mt 27:26 et Mc 15:15 mentionnent la mise au poteau après la flagellation. Par conséquent, différentes personnes ont pu situer l’exécution à des moments différents, en fonction de ce qui constituait pour elles le début du processus d’exécution. Cela peut expliquer l’étonnement de Pilate quand il a appris que Jésus était mort si rapidement après avoir été cloué au poteau (Marc 15:44). De plus, les écrits bibliques reflètent souvent la pratique de l’époque qui consistait à diviser la journée en quatre périodes de trois heures chacune (la nuit était divisée de la même façon). Cette division de la journée explique pourquoi les rédacteurs de la Bible mentionnent fréquemment neuf heures du matin, midi et trois heures de l’après-midi, heures comptées à partir du lever du soleil, vers six heures du matin. D’autre part, comme les gens n’avaient généralement pas d’instruments précis de mesure du temps, la mention de l’heure était souvent accompagnée de termes signifiant « vers » ou « environ », ce qui est le cas en Jean 19:14. En résumé : Marc parle peut-être à la fois de la flagellation et de la mise au poteau, alors que Jean fait uniquement référence à la mise au poteau. Les deux rédacteurs ont peut-être arrondi l’heure à la période de trois heures la plus proche, et Jean utilise le mot « environ » quand il parle de l’heure dite. Ces éléments peuvent expliquer la différence des heures mentionnées dans les récits. Au final, le fait que Jean, qui a rédigé son Évangile des dizaines d’années plus tard, mentionne une heure qui diffère de celle de Marc montre qu’il ne s’est pas contenté de copier le récit de Marc. - nwtsty
    Pourquoi cette contradiction apparente ? Diverses hypothèses ont été émises. Aucune ne satisfait à toutes les objections. On ne dispose tout simplement pas d’informations suffisantes pour expliquer avec certitude la raison de la différence entre les récits. Peut-être l’heure indiquée par Marc ou par Jean n’était-elle qu’une parenthèse, non chronologique. Quoi qu’il en soit, une chose est sûre : les deux écrivains étaient inspirés par l’esprit saint – it1 heure
    Les Évangiles montrent clairement qu’à la sixième heure, ou à midi, Jésus était déjà pendu au poteau depuis assez longtemps pour que les soldats aient jeté les sorts pour ses vêtements et pour que les prêtres en chef, les scribes, les soldats et les passants aient parlé de lui en mal. Ils précisent également que Jésus expira vers 15 heures - it1 heure
    Comme le lever et le coucher du soleil varient en fonction de l’époque de l’année, on se contentait généralement de donner une heure approximative pour situer un événement. Ainsi, il est fréquent de lire que les événements se déroulaient à la troisième, à la sixième ou à la neuvième heure — ce qui veut souvent dire qu’ils avaient lieu approximativement à ces heures-là (Marc 15:25, 33, 34; Jean 19:14) – TG1991  1/8
    MARC 16:8 : Pourquoi, dans La Bible. Traduction du monde nouveau, le texte principal de l’Évangile de Marc ne contient-il pas les conclusions longue et courte ? (nwtsty, note d’étude).
    « Et quand elles sortirent, elles s’enfuirent de la tombe de souvenir, car un tremblement et une forte émotion les saisissaient. Et elles ne dirent rien à personne, car elles avaient peur. Mais toutes les choses qui [leur] avaient été ordonnées, elles les racontèrent brièvement à ceux qui étaient dans l’entourage de Pierre. D’autre part, après ces choses, Jésus lui-même envoya par leur intermédiaire de l’est à l’ouest la proclamation sacrée et incorruptible du salut éternel »
    Car elles avaient peur : D’après les plus anciens manuscrits disponibles de la dernière partie du livre de Marc, l’Évangile se termine par les mots que l’on trouve au verset 8. Certains affirment qu’une telle conclusion est trop abrupte pour être la conclusion d’origine. Toutefois, si on considère le style habituellement concis de Marc, cette affirmation n’est pas forcément valable. De plus, Jérôme et Eusèbe, biblistes du IVe siècle de notre ère indiquent que le récit d’origine se conclut par les mots
    « car elles avaient peur ». - nwtsty
    Un certain nombre de manuscrits grecs et de traductions dans d’autres langues ajoutent une conclusion longue ou courte après le verset 8. La conclusion longue (composée de 12 versets supplémentaires) figure dans le Codex Alexandrinus, le Codex Ephræmi Syri rescriptus et le Codex Bezae Cantabrigiensis, tous datant du Ve siècle. On la trouve également dans la Vulgate latine, dans la version syriaque Cureton et dans la Peshitta syriaque. Toutefois, elle est absente de deux manuscrits grecs plus anciens datant du IVe siècle, le Codex Sinaiticus et le Codex Vaticanus, ainsi que du Codex Sinaiticus Syriacus datant du IVe ou Ve siècle et du plus ancien manuscrit copte sahidique de Marc datant du Ve siècle. De même, les plus anciens manuscrits de Marc en arménien et en géorgien se terminent avec le verset 8. - nwtsty
    Quelques manuscrits grecs et traductions dans d’autres langues, plus récents, contiennent une conclusion courte (composée de seulement deux phrases). Le Codex Regius du VIIIe siècle contient les deux conclusions et cite d’abord la plus courte. Il fait précéder chaque conclusion d’une note indiquant que ces passages sont couramment acceptés par certains spécialistes, mais il n’en reconnaît manifestement aucune comme faisant autorité. - nwtsty
    CONCLUSION COURTE
    La conclusion courte après Mc 16:8 ne fait pas partie des Écritures inspirées. Voici ce qu’elle dit : Mais toutes les choses qui [leur] avaient été ordonnées, elles les racontèrent brièvement à ceux qui étaient dans l’entourage de Pierre. D’autre part, après ces choses, Jésus lui-même envoya par leur intermédiaire de l’est à l’ouest la proclamation sacrée et incorruptible du salut éternel. nwtsty
    CONCLUSION LONGUE
    La conclusion longue après Mc 16:8 ne fait pas partie des Écritures inspirées. Voici ce qu’elle dit : verset 9 Après qu’il fut ressuscité tôt le premier jour de la semaine, il apparut d’abord à Marie la Magdaléenne, de qui il avait expulsé sept démons. 10 Elle alla porter la nouvelle à ceux qui avaient été avec lui, car ils étaient dans le deuil et pleuraient. 11 Mais eux, lorsqu’ils entendirent qu’il avait pris vie et qu’il avait été vu par elle, ne crurent pas. 12 De plus, après ces choses, il apparut sous une autre forme à deux d’entre eux qui marchaient : ils se rendaient à la campagne ; 13 et ils revinrent et portèrent la nouvelle aux autres. On ne crut pas non plus ceux-ci. 14 Mais plus tard il apparut aux onze eux-mêmes pendant qu’ils étaient étendus à table, et il leur reprocha leur manque de foi et leur dureté de coeur, parce qu’ils n’avaient pas cru ceux qui l’avaient vu relevé d’entre les morts. 15 Et il leur dit : « Allez dans le monde entier et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. 16 Celui qui croit et est baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croit pas sera condamné. 17 De plus, les signes que voici accompagneront ceux qui croiront : En se servant de mon nom, ils expulseront des démons, ils parleront en langues, 18 et avec leurs mains ils prendront des serpents, et s’ils boivent quelque chose de mortel, cela ne leur fera aucun mal. Ils poseront les mains sur les malades, et ceux-ci se rétabliront. » 19 Ainsi donc, le Seigneur Jésus, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel et s’assit à la droite de Dieu. 20 Eux donc sortirent et prêchèrent partout, tandis que le Seigneur travaillait avec eux et confirmait le message par les signes qui l’accompagnaient.- nwtsty
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Pour rester intègre devant Jéhovah, Jésus a subi l’exécution la plus déshonorante qui soit. “ Il a enduré un poteau de supplice, méprisant la honte. ” (Héb. 12:2). Ses ennemis l’ont giflé, lui ont craché dessus, l’ont dévêtu, flagellé, attaché sur un poteau et insulté (Marc 15:29-32). Mais il a méprisé la honte dont ils essayaient de l’accabler. Comment ? En ne se dérobant pas à leurs brimades. Il savait qu’il ne perdait pas sa dignité aux yeux de Jéhovah, et il ne recherchait absolument pas la gloire venant des hommes. Même s’il est mort comme un esclave, Jéhovah l’a glorifié en le ressuscitant et en lui donnant la place la plus honorable qui soit, auprès de lui. Et nous aujourd’hui ? Les choses que le monde juge sottes, faibles et sans distinction, Dieu les juge sages, puissantes et honorables. Quiconque cherche les honneurs doit accorder de l’importance à ce que le monde pense de lui. Mais nous, comme Jésus et ses disciples au Ier siècle, c’est l’amitié de Jéhovah que nous cherchons TG201015/8
    Alors que Jésus était pendu au poteau de supplice, les passants “parlaient de lui en mal, hochant la tête et disant: ‘Peuh! Toi qui voulais renverser le temple et le bâtir en trois jours, sauve-toi toi-même en descendant du poteau de supplice!’ Pareillement les prêtres en chef aussi se moquaient de lui entre eux, ainsi que les scribes, et disaient: ‘Il en a sauvé d’autres; il ne peut pas se sauver lui-même! Que le Christ, le roi d’Israël, descende maintenant du poteau de supplice, pour que nous voyions et que nous croyions!’” (Marc 15:29-32). Pour quelle raison le peuple avait-il cette attitude hostile? Les gens avaient laissé les chefs religieux influencer l’opinion qu’ils se faisaient de Jésus; or ceux-ci détestaient Jésus, car il avait révélé qu’ils étaient de faux enseignants et que leurs actions n’étaient pas en harmonie avec leur prétention de représenter le vrai Dieu. Les chefs religieux haïssaient si profondément Jésus et les vérités qu’il enseignait qu’ils conspirèrent sa mort et firent tout ce qu’ils purent pour dresser le peuple contre lui. De nos jours, de nombreux chefs religieux s’opposent aux Témoins de Jéhovah avec un acharnement identique. Et tout comme c’est arrivé aux premiers chrétiens, partout “on parle contre” les Témoins. Mais est-il sage de vous laisser influencer par cette opposition répandue ?
    Les Témoins de Jéhovah proclament aujourd’hui les mêmes vérités bibliques sur le Royaume de Dieu que celles que Jésus et ses apôtres prêchaient. Dans le monde entier, des centaines de milliers de gens acceptent cette bonne nouvelle malgré l’opposition très vive d’amis, de parents et de chefs religieux. Ceux qui acceptent le message du Royaume ont acquis la conviction qu’il est véridique, et ils sont résolus à s’y cramponner. – TG1987  15/3 p29
    15:34 — Les paroles de Jésus “ mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ” sont-elles l’indice d’un manque de foi de sa part ? Non. Bien que nous ne puissions pas nous prononcer de façon catégorique sur ce qui a poussé Jésus à dire cela, ces paroles peuvent indiquer qu’il reconnaissait que Jéhovah lui avait retiré sa protection pour que son intégrité soit pleinement mise à l’épreuve. Il se peut aussi que Jésus ait dit cela parce qu’il voulait accomplir ce que Psaume 22:1 annonçait à son sujet TG2008 15/2
    LA MANIPULATION DE SERPENTS DANS LE CULTE - Les manipulateurs de serpents se basent sur Marc 16: 18, qui contient cette phrase : “ Avec leurs mains ils prendront des serpents. ”Des Églises charismatiques pratiquent la manipulation de serpents venimeux. Les enseignements de la Bible n’appuient pas l’idée selon laquelle l’utilisation de serpents est une facette acceptable du vrai culte. La Bible dit : “ Dieu est amour. ”Notre Créateur aimant ne demanderait pas à ses véritables adorateurs d’accomplir des rituels dangereux pour lui plaire. Assurément, Jéhovah ne souhaite pas que ses serviteurs manipulent des serpents, risquant ainsi de souffrir, d’être malades et même de mourir  - RV 3/2010 p23
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    À cause de la jalousie - Beaucoup se sont opposés à Jésus par jalousie. Le gouverneur romain Ponce Pilate s’est bien rendu compte que “ c’était par envie que les prêtres en chef ” avaient livré Jésus pour qu’il soit mis à mort (Marc 15:9, 10). Pourquoi les chefs religieux juifs jalousaient-ils le Christ ? Notamment en raison de sa popularité auprès du peuple, qu’ils méprisaient. “ Le monde s’en est allé derrière lui ”, se sont plaint les Pharisiens. De même, des opposants religieux “ remplis de jalousie ” par le succès de l’évangélisation s’en sont pris violemment aux disciples du Christ. — Actes 13:45, 50. Egalement aujourd’hui dans certains pays opposés à la vérité – RV2011/5
    Par jalousie, les chefs religieux juifs conspirèrent avec succès pour faire mettre à mort Jésus, pensant ainsi s’en débarrasser pour toujours. Marc 15:10. Parallèlement, au sein de la chrétienté, de nombreuses personnes sont jalouses de la faveur que Jéhovah accorde à ses serviteurs oints et fidèles, et elles se concertent pour faire disparaître ces derniers. Quand, en 1918, ces ennemis religieux remportèrent une victoire en faisant mettre en prison les vrais disciples du Christ les plus en vue et en faisant cesser leur activité, ils pensaient être pour toujours débarrassés des vrais serviteurs de Jéhovah et ne plus jamais en entendre parler. – TG1971  1/8 p457
    Ce qui s’est passé au 1er siècle, à la mort de Jésus Christ, montre bien qu’en suivant la foule on peut être amené à commettre le mal. Les chefs religieux avaient persuadé nombre de Juifs d’exiger, eux aussi, l’exécution de Jésus (Marc 15:11). Aussi, à la Pentecôte, après la résurrection et l’ascension de Jésus, quand Pierre a mis en évidence cette grave erreur, beaucoup “eurent le coeur transpercé”; ils se sont rendu compte de ce qu’ils avaient fait en se laissant influencer. Actes 2:36, 37. - TG1993 1/10
     
    Avant de clouer Jésus au poteau, les Romains “lui donnèrent à boire du vin mêlé de fiel [vraisemblablement aussi avec de la myrrhe]; mais, l’ayant goûté, il refusa de boire”. (Marc 15:23.) Pourquoi Jésus refusa-t-il cette liqueur? Parce que le breuvage était drogué. Jésus voulait conserver toutes ses facultés mentales pour accomplir jusqu’au bout la volonté de son Père.” Par contre, le vin qu’il accepta juste avant de mourir n’était pas drogué (Jean 19:28-30). Si Jésus refusa le vin drogué, c’est bien qu’il désirait être en pleine possession de tous ses moyens à l’heure de l’épreuve suprême de sa foi. À l’instar de Jésus, le chrétien s’efforcera de rester maître de ses facultés intellectuelles, afin de ne pas se laisser entraîner dans la débauche ou dans d’autres actes qui réduiraient à néant ses bonnes relations avec Jéhovah Dieu. Le chrétien doit également aimer Dieu de tout son esprit, ce qui exclut l’usage d’hallucinogènes ou d’autres stupéfiants qui provoquent des aberrations mentales que l’on rechercherait pour le seul plaisir de connaître une certaine euphorie. – RV1979 8/5
    La promesse de Jésus à un malfaiteur - Deux malfaiteurs avaient été mis au poteau à côté de Jésus. L’un d’eux avait cessé de lui parler injurieusement, tandis que celui qui était pendu à un poteau de l’autre côté de Jésus continuait à l’outrager. Se tournant vers Jésus, le malfaiteur compatissant lui dit: “Jésus, souviens-toi de moi quand tu entreras dans ton royaume.” Par ces paroles, il montra qu’il avait foi que Jésus, bien qu’attaché sur un poteau à côté de lui, aurait plus tard un royaume (Luc 23:42; Marc 15:32). Ces paroles durent profondément toucher le Seigneur Jésus. Ce criminel compatissant était convaincu que Jésus Christ était innocent et qu’il ne méritait pas une peine aussi sévère que la mise au poteau dans le déshonneur public. Sa requête montrait qu’il croyait que Jésus serait ressuscité d’entre les morts et entrerait en possession d’un royaume. Elle indiquait aussi qu’il croyait que lui-même pourrait être ressuscité et que c’est Jésus qui le relèverait d’entre les morts et lui rendrait la vie sur la terre. – TG1989 15/8 §3
    Marc 15:33 déclare : “ Quand vint la sixième heure, il y eut des ténèbres sur tout le pays jusqu’à la neuvième heure. ” Ces ténèbres de trois heures, survenues à peu près entre midi et 15 heures, relevaient du miracle. Il ne pouvait s’agir d’une éclipse. D’une part, quel que soit l’endroit du globe où l’on se place, l’éclipse solaire la plus longue est d’environ sept minutes et demie – RV2008/3
    La Loi donnée à Moïse interdisait aux Juifs d’organiser des funérailles le jour du sabbat. Étant donné que Jésus est mort trois heures avant le début du sabbat, Joseph d’Arimathée, accompagné d’autres personnes, l’a enterré sans avoir pu achever la préparation du corps. C’est pourquoi quelques amis de Jésus sont retournés à sa tombe après le sabbat, espérant pouvoir finir la préparation (Marc 16:1) – TG2013  1/3 p8
    RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 4 JUIN 2018 - MARC 15-16.docx
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    misette got a reaction from Elisabeth Dolewka in RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 28 MAI 2018 - MARC 13-14   
    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MARC 13-14
    MARC 14:51, 52 : Qui était probablement le jeune homme qui s’est enfui, nu ? (w08 15/2 30 § 6).
    « Mais un certain jeune homme, portant un vêtement de fin lin sur son [corps] nu, le suivait de près ; et on essaya de le saisir, 52 mais il abandonna son vêtement de lin et s’enfuit, nu »
    Marc est le seul à rapporter cet incident ; nous pouvons raisonnablement en conclure qu’il parlait de lui-même. TG2008
    Un jeune homme, il est probable que ce soit le disciple Marc, reste avec la foule. Peut-être était-il dans la maison où Jésus a célébré la Pâque et a-t-il ensuite suivi la foule quand elle en est partie. Voilà qu’on le reconnaît, et certains tentent de se saisir de lui. Abandonnant ses vêtements de lin, il s’enfuit, à peine vêtu – TG1990 15/10 p9
    MARC 14:60-62 : Pourquoi Jésus a-t-il sûrement choisi de répondre à la question du grand prêtre ? ( jy 287 § 5).
    « Finalement le grand prêtre se leva au milieu d’eux et interrogea Jésus, en disant : “ Tu ne réponds rien ? Qu’est-ce que ceux-ci déposent contre toi ? ” 61 Mais il se taisait et ne répondit rien. De nouveau le grand prêtre se mit à l’interroger et lui dit : “ Es-tu le Christ le Fils du Béni ? ” 62 Alors Jésus dit : “ Je le suis ; et vous verrez le Fils de l’homme assis à la droite de la puissance et venant avec les nuages du ciel. ”
    Jésus est emmené chez Anne, puis chez Caïphe - Il sait que les Juifs ont tendance à réagir vivement quand quelqu’un prétend être le Fils de Dieu. Auparavant, quand Jésus a parlé de Dieu comme de son Père, les Juifs ont voulu le tuer sous prétexte qu’il se faisait « égal à Dieu ». Avec ruse, Caïphe ordonne donc à Jésus : « Jure-nous par le Dieu vivant de nous dire si tu es le Christ, le Fils de Dieu ! » (Matthieu 26:63). Bien sûr, Jésus a déjà dit qu’il est le Fils de Dieu. S’il ne le fait pas maintenant, on pourrait penser qu’il nie être le Fils de Dieu et le Christ. Il répond donc : « Je le suis. Vous verrez le Fils de l’homme assis à la droite du Puissant et venant avec les nuages du ciel » (Marc 14:62) – jy p287
    Le grand prêtre a donc tenté de pousser Jésus à se compromettre. “ Tu ne réponds rien ? a-t-il demandé. Qu’est-ce que ceux-ci déposent contre toi ? ” (Marc 14:60). Cette tactique était parfaitement incorrecte. “ Poser la question à l’accusé et baser une condamnation sur sa réponse était [une] violation de la justice. L’assemblée a fini par s’emparer d’une déclaration de Jésus. En réponse à la question : “ Es-tu le Christ le Fils du Béni ? ” il a dit : “ Je le suis ; et vous verrez le Fils de l’homme assis à la droite de la puissance et venant avec les nuages du ciel. ” Les prêtres ont conclu à un blasphème et “ tous le condamnèrent : il était passible de mort ”. — Marc 14:61-64.
    D’après la Loi mosaïque, un procès devait se tenir en public (Deutéronome 16:18 ; Ruth 4:1). Mais celui-ci était secret. Nul n’a cherché à parler en faveur de Jésus, ni n’a été autorisé à le faire. La validité de sa déclaration selon laquelle il était le Messie n’a pas été examinée. Jésus n’a pas eu la possibilité d’appeler des témoins pour sa défense. Les juges n’ont pas procédé à un vote en règle pour le déclarer coupable ou innocent. – TG2011 1/4 p21
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Si nous cherchons toujours à plaire à Jéhovah en premier, nous aurons envie de parler de lui. D’ailleurs, la prédication est urgente et devrait être une de nos priorités. En effet, Jésus a dit qu’« il faut d’abord que la bonne nouvelle soit prêchée » (Marc 13:10). – TG2018 Avril p27 §10
    La Bible contient de nombreux passages qui encouragent, corrigent ou fortifient ses lecteurs. Mais nous nous demandons peut-être : « Comment penser au bon verset au bon moment ? » Lisons la Bible et méditons sur les pensées de Dieu chaque jour. Nous nous constituerons ainsi une réserve d’expressions divines que l’esprit de Jéhovah pourra nous aider à nous rappeler en temps utile (Marc 13:11) – TG2013 15/4 p10 §14
    Nous imitons la patience de Jéhovah en prêchant “ sans arrêt ” dans des territoires où nous n’avons pas encore rencontré d’intérêt (Actes 5:42). Nous endurons patiemment l’indifférence, les moqueries et l’opposition (Marc 13:12, 13). Il faut aussi de la patience pour continuer à arroser les graines de vérité, même lorsqu’il est difficile de retrouver les gens chez eux. km2011/6
    Pourquoi faut-il accepter volontiers de devoir attendre que Jéhovah agisse ? La réponse nous est donnée dans la comparaison de Jacques : Un agriculteur sème, mais il ne maîtrise pas le climat ni la croissance des plantes. Il ne peut pas faire que le temps passe plus vite. Il accepte de devoir attendre patiemment « le précieux fruit de la terre ». De même, tandis que nous attendons la réalisation des promesses de Jéhovah, il y a beaucoup de circonstances que nous ne pouvons pas maîtriser (Marc 13:32, 33). Comme l’agriculteur, nous devons patienter. Nous attendons volontiers Jéhovah parce que nous savons qu’il réalisera sa promesse de nous donner la vie éternelle au bon moment, au meilleur moment. Si au contraire nous attendions en maugréant et en nous plaignant que Jéhovah n’agisse pas assez vite, cela ne lui plairait pas - TG2017 Aout p3 §5,7
    Les Écritures indiquent clairement que la “génération” qui a vu le signe de la présence du Christ verra aussi le “grand jour de Jéhovah”, celui où il exécutera son jugement contre tous ceux qui pratiquent l’injustice. Toutefois, la Bible ne révèle pas la date à laquelle Jésus Christ anéantira au nom de Jéhovah le système de choses terrestre de Satan. “Quant à ce jour-là, ou à l’heure, déclara Jésus, personne ne les connaît, ni les anges dans le ciel, ni le Fils, personne que le Père.” (Marc 13:32). Le silence des Écritures sur ce point s’est d’ailleurs avéré très utile. Pourquoi? Parce qu’il a contribué à faire ressortir ce que les gens avaient dans le cœur. En effet, ceux qui n’aiment pas vraiment Jéhovah ont tendance à remettre mentalement son “jour” à plus tard pour se consacrer sans entraves aux activités profanes qu’ils affectionnent. Or, Jéhovah n’agrée pour serviteurs que ceux qui l’aiment sincèrement et qui le montrent en le servant de toute leur âme, sans se soucier de la date à laquelle le présent système méchant prendra fin. Jéhovah et son Fils ne sauraient approuver les tièdes ni ceux qui jouent double jeu. – uw chap23 p176 §2
    La Bible dit et redit la nécessité de rester éveillé et de demeurer dans son bon sens. Les Évangiles rappellent par exemple : “ Veillez ” (Matthieu 24:42 ; 25:13 ; Marc 13:35, 37) ; “ montrez-vous prêts ” (Matthieu 24:44) ; “ Faites attention, tenez-vous éveillés ” (Marc 13:33) ; “ tenez-vous prêts ”. (Luc 12:40.) L’apôtre Paul, après avoir prédit que le jour de Jéhovah s’abattra subitement sur le monde, lance cette exhortation : “ Ne dormons pas comme les autres, mais demeurons éveillés et restons dans notre bon sens. ” (1 Thessaloniciens 5:6). Le Christ glorifié souligne, dans le dernier livre de la Bible, la soudaineté de sa venue en disant : “ Je viens vite. ” (Révélation 3:11 ; 22:7, 12, 20). Par ailleurs, beaucoup de prophètes hébreux ont annoncé le grand jour du jugement de Jéhovah (Isaïe 2:12, 17 ; Jérémie 30:7 ; Yoël 2:11 ; Tsephania 3:8). Lire et méditer la Parole de Dieu chaque jour est donc un excellent moyen de rester vigilant – TG2003  15/12 p21 §10
    À notre époque, par amour, Jéhovah a suscité un groupe de chrétiens oints qui, tels des guetteurs, avertissent les humains de son jugement contre le monde. Voilà des dizaines d’années que ces chrétiens exhortent leurs contemporains à prêter attention aux événements dont ils sont témoins. La Bible dit clairement que Jéhovah, le Maître du temps, n’est pas lent. Son jour viendra au temps fixé, à un moment où les humains ne l’attendront pas. Marc 13:33. Sachant que Jéhovah est éveillé et qu’il établira un monde de justice au moment prévu, tous les chrétiens, qu’ils soient oints de l’esprit ou non, doivent se tenir éveillés et ne pas perdre de vue le caractère toujours plus urgent de leur message. – TG2011  15/3 p29 §5,6
    “ Faites attention, tenez-vous éveillés, car vous ne savez pas quand ce sera le temps fixé. ” (Marc 13:33). Jésus a émis cet avertissement tandis qu’il expliquait à ses disciples quel serait le signe de l’achèvement du présent système de choses. Voyez en quels termes il conclut sa remarquable prophétie selon ce que rapporte Marc : “ Veillez donc, car vous ne savez pas quand le maître de la maison vient : ou tard dans la journée, ou à minuit, ou au chant du coq, ou tôt le matin ; afin que, lorsqu’il arrivera soudain, il ne vous trouve pas endormis. Mais ce que je vous dis, je le dis à tous : Veillez. ” — Marc 13:35-37.
    Cette exhortation mérite qu’on s’y arrête. Jésus mentionne les quatre veilles de la nuit. La dernière était la plus difficile, car elle courait de trois heures du matin au lever du soleil. Les stratèges estiment que c’est le moment le plus propice pour attaquer, celui où l’on a le plus de chances de surprendre l’ennemi ‘ endormi ’.
    De manière similaire, c’est peut-être maintenant, alors que le monde dort profondément sur le plan spirituel, qu’il nous est le plus difficile de rester éveillés. Avons-nous le moindre doute sur la nécessité de ‘ nous tenir éveillés ’ et de ‘ faire attention ’ en attendant la fin et notre délivrance ? TG2011  15/3 p27 §16,17
    Du temps de Jésus, il y avait aussi beaucoup de pauvres et de défavorisés, et peut-être pensaient-ils qu’ils seraient plus heureux et plus en sécurité s’ils avaient davantage d’argent (Marc 14:7). Mais Jésus voulait que les gens placent leur espérance ailleurs, dans la Source de richesses durables, c’est-à-dire Jéhovah. Dans le Sermon sur la montagne, il a expliqué que le bonheur et la sécurité véritables dépendent, non pas de biens matériels ni de nos propres efforts, mais de notre amitié avec notre Père céleste.
    Dans le Notre Père, Jésus ne nous invite pas à prier pour obtenir la sécurité financière, mais pour nos besoins quotidiens, « notre pain pour ce jour ». À ceux qui l’écoutaient, il a dit expressément : « Cessez de vous amasser des trésors sur la terre [...]. Amassez-vous plutôt des trésors dans le ciel » (Mat. 6:9, 11, 19, 20). Soyons certains que Jéhovah nous bénira, conformément à sa promesse. Or, quand Dieu nous bénit, il ne se contente pas de hocher la tête en signe d’approbation ; il agit pour nous fournir ce dont nous avons vraiment besoin. Ainsi, la seule façon de connaître le bonheur et la sécurité véritables, ce n’est pas de mettre tous nos espoirs dans l’argent, mais de placer notre confiance en notre Père aimant – TG2014 15/4 p18 §5,6
    Voulons-nous maîtriser notre langue, être patients et garder une foi solide en Dieu ? Il faut alors faire une place importante à la prière dans notre vie (Jacques 5:13-20). C’est surtout quand nous traversons des épreuves que nous devons prier. Si nous sommes joyeux, ‘ chantons des psaumes ’, comme Jésus l’a fait avec ses apôtres quand il a institué le Mémorial de sa mort (Marc 14:26). Il arrive que nous débordions tellement de reconnaissance envers Dieu que nous chantons des louanges dans notre cœur (1 Corinthiens 14:15 ; Éphésiens 5:19). Et quelle joie de louer Jéhovah par des chants lors des réunions chrétiennes ! – TG1997  15/11 p22 §18
    Les vrais chrétiens doivent rester attachés aux voies de Jéhovah lorsque leur vie est en jeu. Ils savent qu’ils risquent d’être persécutés par le monde. Ils sont conscients que les apôtres ont été fouettés et que même Jésus Christ a été frappé et tué par des hommes méchants (Marc 14:65). Mais les serviteurs de Jéhovah sont assurés qu’il peut leur donner la force d’endurer, qu’avec son aide ils peuvent remporter la victoire, que Jéhovah récompensera sans faute ses fidèles, si besoin en les ressuscitant dans son monde nouveau. Leur amour pour Dieu ajouté à la crainte pieuse les pousse puissamment à éviter toute action qui pourrait lui déplaire. – TG1995  15/3 p19 §14
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    Jésus a prédit : « On vous livrera à des tribunaux locaux, et vous serez battus dans des synagogues, et vous serez traduits devant des gouverneurs et des rois » (Marc 13:9). Sa déclaration indique que certaines tribulations seraient des persécutions physiques, peut-être infligées sous l’influence de dirigeants religieux ou politiques. Quelle est la différence avec les attaques frontales de la persécution physique ? Les attaques frontales sont comparables à une tornade qui s’engouffrerait dans ta ville et détruirait ta maison instantanément. Les attaques sournoises sont plutôt comparables à une colonie de termites qui envahiraient discrètement ta maison et la rongeraient jusqu’à ce qu’elle s’effondre. Dans ce deuxième cas, le risque serait de ne se rendre compte du danger que lorsqu’il est trop tard. Satan aimerait détruire nos relations avec Jéhovah, que ce soit en nous attaquant frontalement par la persécution ou sournoisement en rongeant lentement ta foi. Le découragement est une de ses tactiques sournoises les plus efficaces. Comment résister au découragement ? Un des moyens les plus puissants consiste à méditer sur la rançon. Considérer la rançon ainsi : comme un don que Jéhovah nous fait à nous, personnellement — peut nous procurer un immense réconfort. Le découragement ne disparaîtra pas forcément aussitôt. Certains d’entre nous auront peut-être à résister à cette attaque sournoise jusqu’au monde nouveau. Mais souvenons-nous : une récompense attend ceux qui ne renoncent pas. Soyons résolu à ne pas abandonner le combat. Concentrons-nous sur la récompense – TG2014 15/9 §7
    Une belle conduite va généralement de pair avec une bonne mentalité. Quel état d’esprit Jésus manifestait-il ? Il était humble. L’humilité le poussait à faire preuve d’abnégation dans le ministère. Dans son esprit, prêcher la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu était la chose la plus importante (Marc 13:10). Jésus considérait la Parole de Dieu comme l’autorité suprême. Il étudiait assidûment les Saintes Écritures afin de pouvoir les citer, les défendre et les expliquer. Si nous sommes humbles et assidus dans le ministère et dans notre étude biblique individuelle, notre mentalité ressemblera davantage à celle de Christ. – TG2014  15/10 §17
    Jésus a déclaré à ses disciples: “Vous serez les objets de la haine de tous à cause de mon nom.” (Marc 13:13). Le “nom” de Jésus représente ici sa position officielle de Roi-Messie. Si les Témoins de Jéhovah sont persécutés, c’est parce qu’ils font passer les ordres du Christ avant ceux de n’importe quel dirigeant terrestre. – rs p393
     
    Qu’est-ce qui marquera le début de la Grande Tribulation ? Jésus a prédit : « “ Cependant, quand vous apercevrez la chose immonde qui cause la désolation se tenir là où elle ne doit pas être (que le lecteur exerce son discernement), alors, que ceux qui sont en Judée se mettent à fuir vers les montagnes – Marc 13:14). Dans le premier accomplissement, la fameuse présence « dans un lieu saint » s’est produite en 66, quand l’armée romaine (« la chose immonde ») a attaqué Jérusalem et son temple (un lieu saint aux yeux des Juifs). Dans le deuxième accomplissement, cette présence se produira quand les Nations unies (« la chose immonde » moderne) attaqueront la Chrétienté (sainte aux yeux des chrétiens de nom) et le reste de Babylone la Grande. L’attaque en question est décrite en Révélation 17:16-18. C’est cet évènement qui marquera le début de la Grande Tribulation -  TG2013 15/7 p4-5
    La raison principale pour laquelle nous devons manifester l’amour fraternel, c’est que Jéhovah nous le demande. Nous ne pouvons pas prétendre aimer Dieu et, en même temps, refuser d’aimer nos frères. De plus, nous avons besoin les uns des autres. C’est particulièrement vrai en période de difficultés. Paul savait que certains des chrétiens hébreux à qui il écrivait devraient sous peu abandonner leur maison et leurs biens matériels. Et Jésus avait annoncé que ce serait une période très difficile (Marc 13:14-18). C’est pourquoi ces chrétiens avaient plus que jamais besoin de renforcer leur affection les uns pour les autres. Bientôt, les vents destructeurs de la plus grande tribulation de tous les temps seront lâchés (Marc 13:19). Nous devons développer notre amour fraternel dès maintenant, car nous en aurons besoin durant les épreuves que nous rencontrerons, quelles qu’elles soient. Même si « l’amour du grand nombre se refroidi[t] », démontrons que notre amour fraternel demeure ! (Mat. 24:12). – TG2016 janvier p8
    Bien que nous ne connaissions pas dans le détail tout ce qui se produira durant cette période d’épreuve, attendons-nous à devoir faire des sacrifices. Pour rester en vie, les chrétiens du 1er siècle ont dû abandonner leurs biens et endurer des privations, ils ont dû quitter leurs maisons et supporter des difficultés pour survivre. (Marc 13:15-18) Demandons-nous : « Si c’était nécessaire, est-ce que j’accepterais d’abandonner des choses matérielles ? Est-ce que j’accepterais de faire tout ce qu’il faut pour rester fidèle à Jéhovah ? » Imagine ! À ce moment-là, comme le prophète Daniel, nous serons les seuls à adorer notre Dieu peu importe les difficultés. (Daniel 6:10, 11) – TG2015  15/7 p9 §8
    En Marc chapitre 13, on trouve un récit dans lequel Jésus a exhorté ses disciples à rester éveillés. Dans ce chapitre, Jésus compare leur situation à celle d’un portier qui attendait que son maître rentre d’un voyage à l’étranger. Ce portier ne savait pas à quelle heure son maître reviendrait. Il devait simplement veiller. Jésus a mentionné quatre veilles au cours desquelles le maître pouvait arriver. La quatrième durait d’environ trois heures du matin jusqu’au lever du soleil. Pendant cette dernière veille, la somnolence risquait fort de gagner le portier. D’ailleurs, il semble que les militaires considèrent l’heure qui précède l’aurore comme la plus propice pour surprendre un ennemi. Pareillement aujourd’hui, nous sommes à une heure avancée ; au sens spirituel, le monde dort profondément autour de nous ; peut-être est-ce maintenant plus que jamais qu’il nous faut lutter pour rester éveillés. On comprend que, dans son exemple, Jésus répète à plusieurs reprises : ‘ Faites attention, tenez-vous éveillés... Veillez donc... Ce que je vous dis, je le dis à tous : Veillez. ’ — Marc 13:32-37. – TG2003 1/1 p19
    Comme Moïse, nous n’avons pas encore tous les détails sur les promesses divines. Par exemple, nous « ne savons pas quand [...] sera le temps fixé » de la grande tribulation (Marc 13:32, 33). Pourtant, nous en savons beaucoup plus que Moïse sur le Paradis à venir. Même si nous n’avons pas tous les détails, nous disposons de suffisamment de promesses relatives à la vie sous le Royaume de Dieu pour avoir les yeux « fixés sur » cette espérance. Une image mentale claire du monde nouveau nous poussera à chercher d’abord ce Royaume. Comment ? Réfléchissez à ceci : achèterions-nous une maison sur laquelle nous ne savons presque rien ? Non, bien sûr ! Pareillement, nous n’allons pas consacrer nos vies à poursuivre des choses en lesquelles nous n’espérons que vaguement. Par la foi, nous devons nous représenter très nettement la vie sous la domination du Royaume – TG2014 15/4 p6 §15
    Beaucoup d’entre nous « veillent » depuis des dizaines d’années. Cependant, ne permettons pas au temps qui passe d’affaiblir notre détermination à attendre. Il nous faut être prêts pour le jour où, dans son rôle d’Exécuteur des jugements de Dieu, Jésus viendra mettre fin à ce système de choses. Souvenons-nous de cette exhortation, qu’il a adressée à ses disciples : « Faites attention, tenez-vous éveillés, car vous ne savez pas quand ce sera le temps fixé. C’est comme un homme partant en voyage à l’étranger, qui a quitté sa maison et a donné le pouvoir à ses esclaves, à chacun son ouvrage, et a ordonné au portier de veiller. Veillez donc, car vous ne savez pas quand le maître de la maison vient : ou tard dans la journée, ou à minuit, ou au chant du coq, ou tôt le matin ; afin que, lorsqu’il arrivera soudain, il ne vous trouve pas endormis. Mais ce que je vous dis, je le dis à tous : Veillez » (Marc 13:33-37).
    Quand ils ont compris que sa présence avait commencé en 1914, les disciples de Christ se sont à juste titre préparés à l’éventualité d’une fin imminente. Comment ? En intensifiant leur prédication du Royaume. Mais Jésus a indiqué qu’il pourrait venir plus tard, c’est-à-dire « au chant du coq, ou tôt le matin ». Si c’était le cas, comment ses disciples devraient-ils réagir ? « Veillez », a-t-il insisté. Par conséquent, même si l’attente s’avérait longue, les disciples n’auraient aucune raison de remettre mentalement la fin à plus tard, voire de renoncer à leurs attentes. – TG201515/8 p16 §10,11
    14:25 — Qu’a voulu dire Jésus quand il a dit à ses apôtres fidèles : “ Non, je ne boirai plus du produit de la vigne jusqu’à ce jour-là où je le boirai, nouveau, dans le royaume de Dieu. ” Jésus ne laissait pas entendre qu’il y a réellement du vin au ciel. La notion de réjouissance étant parfois symbolisée par le vin, Jésus faisait allusion à la joie d’être en compagnie de ses disciples oints ressuscités, dans le Royaume. – TG2018  15/2
    Le point de vue équilibré de Jésus sur les choses matérielles - Jésus était reconnaissant pour les bonnes choses qu’on faisait à son intention. Lorsque Judas s’indigna de ce que Marie, sœur de Lazare, utilisait une livre d’huile parfumée (d’une valeur de plus de 180 euros, soit environ l’année de salaire d’un ouvrier) pour oindre les pieds de Jésus et qu’il prétendit se préoccuper des pauvres qui auraient pu bénéficier de la vente de l’huile, Jésus déclara : “ Laisse-la, pour qu’elle garde cette observance en vue du jour de mon enterrement. Les pauvres, en effet, vous les avez toujours avec vous, mais moi, vous ne m’aurez pas toujours. ” (Marc 14:6-9). Le vêtement intérieur “ sans couture, tissé depuis le haut dans toute sa longueur ”, qu’il portait lors de son arrestation était vraisemblablement un habit de qualité (Jn 19:23, 24). Néanmoins, conformément aux conseils qu’il donna, Jésus accorda toujours la première place aux choses spirituelles et il ne se soucia jamais outre mesure des choses matérielles –it2 Jésus Christ
     
    Tous les chrétiens, qu’ils espèrent vivre au ciel ou sur la terre, doivent ‘ se renier eux-mêmes, prendre leur poteau de supplice et suivre Christ continuellement ’. (Mat. 16:24.) C’est la voie qu’ont choisie des millions d’adorateurs de Dieu dont l’espérance est de vivre sur une terre paradisiaque. Ils ne se contentent pas d’en faire peu alors qu’ils savent qu’ils pourraient en faire plus. Beaucoup se sentent poussés à simplifier leur vie et deviennent pionniers. D’autres parviennent à l’être quelques mois tous les ans. D’autres encore, dont la situation ne leur permet pas d’être pionniers, prêchent au maximum de leurs possibilités. En somme, ils ressemblent à Marie, qui a versé de l’huile parfumée sur Jésus. “ Elle a fait une belle action à mon égard ”, a commenté Jésus, avant d’ajouter : “ Elle a fait ce qu’elle a pu. ” (Marc 14:6-8). Étant donné que nous vivons dans un monde dominé par Satan, faire tout ce que nous pouvons ne va pas toujours sans difficulté. Cela exige de vigoureux efforts et une grande confiance en Jéhovah. – TG2011 15/9 p12 §5
    Nous vivons les derniers jours, et la fin de ce système de choses est imminente. En conséquence, encouragez les frères et sœurs inactifs à assister aux réunions. Exhortez-les à le faire sans tarder. Montrez-leur que Satan cherche à rompre leur relation avec Dieu et à les amener à croire que les fardeaux de la vie s’allégeront s’ils délaissent le vrai culte. Raffermissez-les plutôt dans l’idée qu’ils ne trouveront de véritable réconfort qu’en étant de fidèles disciples de Jésus .
    Rappelez aux proclamateurs inactifs que Dieu ne nous demande pas l’impossible. Quand Marie, la sœur de Lazare, a été critiquée pour avoir oint Jésus, peu avant sa mort, avec une huile parfumée coûteuse, celui-ci a répliqué : “ Laissez-la. [...] Elle a fait ce qu’elle a pu. ” (Marc 14:6-8). La plupart d’entre nous peuvent assister aux réunions et participer à la proclamation du Royaume. En s’appuyant sur Jéhovah, nombre de ceux qui sont actuellement inactifs seront à même d’en faire autant.
    Si une brebis égarée redoute d’affronter la réaction des autres membres du troupeau, évoquez avec elle la joie qui a accompagné le retour du fils prodigue. Ceux qui regagnent la congrégation sont une source de joie similaire. Invitez-les à agir sans délai : qu’ils s’opposent au Diable et s’approchent de Dieu – TG2008 15/11 p16 §19-21
    Habituellement, on consommait les boissons dans des coupes individuelles, mais la nourriture était souvent disposée dans un plat commun. On prenait les aliments avec ses doigts ou, pour certains plats, à l’aide d’un morceau de pain qui servait en quelque sorte de cuillère. — Marc 14:20 – it2 Repas
    Lorsqu’il a institué le Mémorial, Jésus ‘ prit un pain, dit une bénédiction, le rompit et le donna aux apôtres ’. (Marc 14:22.) Le pain dont ils disposaient était celui de la Pâque qu’ils venaient de célébrer (Exode 13:6-10). Puisqu’il était sans levain, il était plat et cassant, et il fallait le rompre avant de le distribuer. C’était cette sorte de pain que Jésus avait un jour multiplié miraculeusement pour des milliers de personnes, puisqu’il l’avait rompu afin de le distribuer (Matthieu 14:19 ; 15:36). Il semble donc que le fait de rompre le pain du Mémorial n’avait pas de signification spirituelle. – TG2003  15/2 p14 §13
    Au sujet du pain dont il s’est servi quand il a institué le Mémorial, Jésus a précisé : “ Ceci représente mon corps qui est pour vous. ” (1 Corinthiens 11:24 ; Marc 14:22). Il était approprié que ce pain soit sans levain. En effet, le levain peut figurer la méchanceté, la perversité ou le péché. Le pain représentait le corps humain parfait et sans péché de Jésus, qui allait être offert en sacrifice rédempteur. Les Témoins de Jéhovah ont donc soin de suivre le précédent établi par Jésus en prenant du pain sans levain lorsqu’ils observent le Mémorial. Dans certains cas, ils utilisent du pain azyme juif qui ne contient pas d’autres ingrédients, des oignons ou de l’œuf par exemple. Sinon, le pain sans levain peut être préparé avec une petite quantité de farine complète (de blé de préférence) mélangée à un peu d’eau. La pâte doit être étalée finement et peut être cuite sur une poêle légèrement huilée jusqu’à ce que le pain soit sec et cassant. – TG2003  15/2 p14 §14
    Après avoir fait passer le pain sans levain, Jésus prit une coupe, ‘ rendit grâces et la donna aux apôtres, et ils en burent tous ’. Jésus expliqua : “ Ceci représente mon ‘ sang de l’alliance ’, qui va être répandu en faveur de beaucoup. ” (Marc 14:23, 24). Que contenait la coupe ? Du vin, et non du jus de raisin non fermenté. Quand elles parlent de vin, les Écritures n’évoquent pas du simple jus de raisin. Par exemple, pour reprendre les termes de Jésus, du vin, et non du jus de raisin, ferait éclater de “ vieilles outres ”. Et les ennemis du Christ l’ont accusé d’être un “ buveur de vin ”. Leur accusation n’aurait eu aucun sens s’il avait été question de jus de raisin (Matthieu 9:17 ; 11:19). On buvait du vin lorsqu’on observait la Pâque, et le Christ s’en est servi quand il a institué le Mémorial de sa mort. – TG2003  15/2 p15 §15
    Pierre avait été choisi par Jésus pour être l’un des apôtres ; pourtant, il a parfois dit ou fait des choses qu’il a ensuite regrettées. Par exemple, à un moment critique, les apôtres ont abandonné Jésus. Un peu plus tôt, Pierre avait affirmé que même si les autres le laissaient, lui ne le ferait pas (Marc 14:27-31, 50). Mais quand Jésus a été arrêté, tous les apôtres l’ont abandonné, y compris Pierre. Celui-ci a même nié le connaître à plusieurs reprises (Marc 14:53, 54, 66-72). Cependant, il a manifesté du remords et Jéhovah a continué de l’utiliser. Si tu avais été un disciple à cette époque, les actions de Pierre auraient-elles entamé ta fidélité à Jéhovah ?
    Ce ne sont là que quelques exemples de personnes qui en ont blessé d’autres. Nous pourrions citer bien d’autres cas de serviteurs de Jéhovah du passé ou d’aujourd’hui dont les mauvaises actions ont blessé autrui. La question importante est celle-ci : comment réagiras-tu aux erreurs des autres ? Les laisseras-tu te faire trébucher et abandonner Jéhovah et son peuple, notamment ta congrégation ? Ou garderas-tu à l’esprit que Jéhovah peut laisser aux pécheurs le temps de se repentir, et qu’il redressera finalement les choses d’une manière juste ? D’un autre côté, ceux qui ont commis des péchés graves rejettent parfois la miséricorde de Jéhovah et ne sont pas repentants. Dans une telle situation, seras-tu persuadé qu’en temps voulu Jéhovah jugera les pécheurs, peut-être en les ôtant de la congrégation ? – TG2016 Juin p25 §8,9
    Jésus savait (ce que ses disciples ignoraient alors) qu’il allait être arrêté et condamné à mort. Ses épreuves atteindraient leur paroxysme lorsqu’il agoniserait sur le poteau de supplice. Jésus avait annoncé tout cela à ses apôtres, mais ils ne l’avaient pas compris. C’est pourquoi ils se sont endormis pendant que lui restait éveillé et priait Marc 14:27-31. Il en va de nous comme des apôtres : notre chair est faible et nous ignorons certaines choses à venir. Cependant, si nous perdons de vue la gravité de notre époque, nous risquons de nous endormir au sens spirituel. Ce n’est qu’en étant vigilants que nous resterons éveillés. – TG2003  1/1 p17 §11
     
     
     
    Voyons ce que nous pouvons apprendre de l’exemple de Pilate et de Pierre. Pilate ne savait pas grand-chose sur Christ, mais il avait conscience d’avoir affaire à un homme innocent et peu ordinaire. Malheureusement, il manquait d’humilité et n’éprouvait pas d’amour pour le vrai Dieu. Le Diable n’a eu aucun mal à le prendre vivant. De son côté, Pierre possédait la connaissance exacte et aimait Dieu. Cela ne l’a pas empêché, de temps à autre, de manquer de modestie, de paniquer et de céder aux pressions. Avant que Jésus ne soit arrêté, il a eu la présomption de dire : “ Même si tous les autres trébuchent, moi pourtant je ne trébucherai pas. ” (Marc 14:29). Il aurait été mieux à même d’affronter les épreuves qui l’attendaient s’il avait adopté la même attitude que le psalmiste qui mettait sa confiance en Dieu et chantait : “ Jéhovah est avec moi ; je ne craindrai pas. Que peut me faire l’homme tiré du sol ? ” (Ps. 118:6). Lors de sa dernière nuit sur la terre, Jésus a emmené Pierre et deux autres apôtres à l’écart dans le jardin de Gethsémané. Mais au lieu de rester vigilants, les trois hommes se sont assoupis. Jésus les a réveillés et leur a dit : “ Veillez et priez sans cesse pour ne pas venir en tentation. ” (Marc 14:38). Pourtant, Pierre s’est de nouveau endormi et, plus tard, il a succombé à la crainte et aux pressions.
    Les exemples de Pilate et de Pierre nous enseignent donc une leçon essentielle : pour résister efficacement aux pressions, il faut tout à la fois posséder la connaissance exacte, être humble et modeste, aimer Jéhovah et le craindre lui plutôt que les hommes. Si notre foi repose sur la connaissance exacte, nous parlerons de nos croyances avec courage et conviction. Cela nous aidera à résister aux pressions et à vaincre la crainte. Ne nous surestimons jamais. Au contraire, reconnaissons avec humilité que nous avons besoin de la force que Dieu donne, et demandons-lui son esprit. Cultivons pour lui un amour qui nous poussera à défendre son nom et ses normes de justice. En outre, c’est avant d’être soumis à des pressions qu’il faut nous préparer à y résister. En nous livrant à des séances d’exercices avec nos enfants et en priant avec eux, nous les aiderons à avoir la bonne réaction lorsque leurs camarades les inciteront à faire quelque chose de mal – TG2012  15/8 p22 §12
    Quand il priait, Jésus employait parfois l’expression “ Abba, Père ”. (Marc 14:36) Terme affectueux utilisé dans le cercle familial pour “ père ”, “ Abba ” était parmi les premiers mots qu’un enfant prononçait. Mais c’était aussi un terme respectueux. Cela dénote donc à la fois la façon intime que Jésus avait de s’adresser à son Père bien-aimé et le profond respect que lui inspirait l’autorité paternelle de Jéhovah. Toutes ses prières présentaient ce mélange d’intimité et de respect. - cf chap13 §15
    C’est dans des moments de rudes épreuves que Jésus a invité le plus instamment ses disciples à rester vigilants. (Marc 14:37.) Son exemple est précieux lorsque nous sommes en proie à des difficultés. Quand ils sont éprouvés, beaucoup ont tendance à oublier une vérité capitale, une vérité si importante que le livre des Proverbes l’énonce à deux reprises : “ Il existe une voie qui est droite devant un homme, mais les voies de la mort en sont la fin par la suite. ” (Prov. 14:12 ; 16:25). Si nous nous fions à nos propres raisonnements, notamment pour résoudre des problèmes épineux, nous risquons de nous mettre en danger nous-mêmes et ceux que nous aimons. – TG2012 15/2 p6 § 14
    Les apôtres n’étaient pas des lâches ; il n’empêche qu’ils étaient tous sujets à la crainte de l’homme (Marc 14:50, 66-72). Comment Jésus les a-t-il aidés à progresser ? Il les a préparés à l’opposition à venir. “ Heureux êtes-vous quand les hommes vous haïssent, leur a-t-il dit, et quand ils vous excluent et qu’ils vous outragent et rejettent votre nom comme mauvais, à cause du Fils de l’homme. ” (Luc 6:22). Jésus a prévenu ses disciples qu’ils devaient s’attendre à des outrages, à de l’opposition. Cette opposition viendrait “ à cause du Fils de l’homme ”. Jésus leur a aussi assuré que, tant qu’ils s’appuieraient sur Jéhovah, celui-ci les soutiendrait (Luc 12:4-12). En outre, il a invité les nouveaux à fréquenter ses disciples et à se lier d’amitié avec eux – TG2011 15/11 p24 §11
    Des réunions qui visent à ‘ bâtir, à encourager et à consoler - Selon Paul, les réunions de la congrégation visent notamment à ‘ bâtir, à encourager et à consoler ’ ceux qui y assistent. (1 Cor. 14:3) Arrêtons-nous sur une réunion que Jésus a dirigée peu après sa résurrection. Notez d’abord ce qui s’est passé avant cette réunion. Alors que Jésus vivait ses dernières heures, ses apôtres “ l’abandonnèrent et s’enfuirent ” et, comme cela avait été prédit, ils furent “ dispersés chacun dans sa propre maison ”. (Marc 14:50) Ce sont donc des apôtres démoralisés que Jésus, après sa résurrection, convia à une réunion spéciale. “ Les onze disciples [...] se rendirent en Galilée, à la montagne où Jésus leur avait donné rendez-vous. ” À leur arrivée, “ Jésus s’avança et leur parla ”. (Mat. 28:10, 16, 18.) Quel soulagement pour les apôtres ! Mais de quoi Jésus voulait-il les entretenir ? Jésus a commencé par leur annoncer ceci : “ Tout pouvoir m’a été donné. ” Puis il les a chargés d’une mission : “ Allez donc et faites des disciples. ” Il a chaleureusement conclu par ces mots : “ Je suis avec vous tous les jours. ” (Mat. 28:18-20). Mais avez-vous remarqué ce que Jésus n’a pas fait ? Il n’a pas réprimandé ses apôtres. Il n’a pas non plus profité de cette réunion pour mettre en doute leurs mobiles, ou pour attiser leur sentiment de culpabilité en leur rappelant leur manque de foi passager. Au contraire, Jésus les a assurés de son amour et de celui de son Père en leur confiant une responsabilité importante. Quel effet l’attitude de Jésus a-t-elle eu sur eux ? Ils ont été ‘ bâtis, encouragés et consolés ’, tant et si bien que, quelque temps après cette fameuse réunion, on les voyait de nouveau “ enseigner et [...] annoncer la bonne nouvelle ”. — Actes 5:42. À l’exemple de Jésus, les anciens voient dans les réunions une occasion d’assurer leurs compagnons de l’amour indéfectible de Jéhovah. Dès lors, quand ils s’expriment devant la congrégation, ils s’attardent sur les points forts de leurs frères, et non sur leurs points faibles. Ils ne mettent pas en doute leurs mobiles. Ce qu’ils disent révèle qu’ils sont convaincus que leurs compagnons aiment Jéhovah et désirent faire ce qui est juste. Bien entendu, les anciens doivent parfois adresser à la congrégation des rappels à l’ordre, mais si quelques personnes seulement méritent d’être conseillées, il est généralement préférable qu’elles le soient en privé. . Lorsqu’ils parlent à la congrégation tout entière, ils cherchent à féliciter chaque fois que c’est possible (Is. 32:2). Ils font de leur mieux pour qu’à la fin de la réunion, tous les assistants soient revigorés - TG2010 15/10 p24 §14-16
    Les disciples avaient maintenant grand besoin de s’organiser, et l’apôtre Pierre a pris l’initiative de s’en occuper. N’est-ce pas réconfortant de voir comme il avait progressé au fil des semaines depuis qu’il avait renié son Seigneur par trois fois (Marc 14:72) ? Juste après que Pierre l’eut renié vigoureusement pour la troisième fois, Jésus “ se tourna et regarda Pierre ” Pouvez-vous imaginer ce que Pierre a ressenti quand le regard de Jésus s’est posé sur lui ? Mesurant la gravité de son péché, il “ s’effondra et se mit à pleurer ”. L’apôtre repentant a dû se demander si ses trois reniements ne l’avaient pas placé hors de la portée du pardon divin. Jésus était prêt à pardonner à Pierre. Il le savait accablé par son péché. Nous sommes tous enclins au péché, nous sommes imparfaits. et il est utile qu’on nous rappelle que Jéhovah est “ bon et prêt à pardonner ” à qui se repent sincèrement – bt chap2 § 19
    Jésus était très proche de Pierre, homme chaleureux et parfois impulsif. Connaissant ses qualités, il lui a accordé des privilèges. Par exemple, Jacques, Jean et Pierre ont été les seuls apôtres à assister à certains miracles. Pierre est aussi l’un des trois à avoir accompagné Jésus à l’intérieur du jardin de Gethsémané la nuit de son arrestation. Or, cette même nuit, quand Jésus a été trahi et fait prisonnier, Pierre l’a abandonné et s’est enfui comme les autres apôtres. Plus tard, alors qu’il avait eu le courage de s’approcher de l’endroit où l’on jugeait son Maître illégalement, la peur l’a saisi de nouveau et il a nié trois fois connaître Jésus. Comment Jésus a-t-il réagi à cette grave défaillance ? Que feriez-vous si un ami vous décevait de la sorte ? Jésus était prêt à pardonner à Pierre. Il le savait accablé par son péché. Le récit précise en effet que l’apôtre repentant “ s’effondra et se mit à pleurer ”. (Marc 14:72.) Le jour même de sa résurrection, Jésus lui est apparu, probablement pour le consoler et le rassurer. Moins de deux mois plus tard, à la Pentecôte, il l’honorait en lui permettant d’être le premier à donner un témoignage aux foules présentes à Jérusalem. Rappelons également que Jésus n’a gardé rancune à aucun des apôtres de l’avoir abandonné. Une fois ressuscité, il a continué de les appeler “ mes frères ”.
    En qualité de disciples du Christ, nous devons apprendre à pardonner. Pourquoi ? Contrairement à Jésus, nous sommes imparfaits. Ceux qui pèchent contre nous le sont aussi. Il nous arrive donc à tous de trébucher en paroles ou en actes. En pardonnant aux autres quand la miséricorde est possible, nous nous mettons en position d’être à notre tour pardonnés par Dieu. Comment manifester notre bonne volonté à pardonner ? Dans bien des cas, l’amour permet de passer sur les péchés ou les manquements mineurs. Si, à l’image de Pierre, celui qui nous a fait du tort est sincèrement repentant, nous voudrons assurément imiter Jésus en lui pardonnant volontiers. Il est de notre intérêt de ne pas garder de ressentiment. Ce faisant, nous contribuons à la paix de la congrégation et préservons notre propre sérénité – cf chap16 p167 §12-14
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MARC 11-12
    MARC 11:17 : Pourquoi Jésus a-t-il dit que le Temple était « une maison de prière pour toutes les nations » ? (nwtsty, note d’étude).
    « mais il enseignait et disait : “ N’est-il pas écrit : ‘ Ma maison sera appelée une maison de prière pour toutes les nations ’ ? Mais vous en avez fait une grotte de bandits. ”
    Une maison de prière pour toutes les nations : Sur les trois évangélistes qui citent Esaïe 56:7, Marc est le seul à mentionner l’expression « pour toutes les nations tous les peuples » (Mt 21:13 ; Lc 19:46). Le temple de Jérusalem devait être un lieu où aussi bien les Israélites que les étrangers craignant Dieu pouvaient adorer Jéhovah et le prier. Jésus a condamné à juste titre les Juifs qui utilisaient le Temple pour faire du commerce et qui en faisaient ainsi une caverne de voleurs. Leurs actions décourageaient des gens de toutes nations d’aller prier et adorer Jéhovah dans sa maison de prière, et les privaient ainsi de la possibilité d’apprendre à le connaître. nwtsty, note d’étude
    Quand ses disciples se réunissaient pour le culte, ils priaient ensemble. Ils perpétuaient une pratique qui avait cours depuis des siècles dans les synagogues et au temple de Jérusalem. Dieu voulait que le temple soit “ une maison de prière pour toutes les nations ” – TG2010 1/10
    C’est au temple qu’en deux occasions Jésus Christ renversa les tables des changeurs et les condamna pour avoir fait de ce lieu de culte “ une maison de commerce ” ou “ une grotte de bandits ”. Peut-être Jésus jugeait-il exorbitants les agios prélevés par les changeurs. À ce sujet, il est intéressant de noter qu’à certaines époques ceux-ci réalisaient de grands profits sur la vente d’animaux destinés aux sacrifices - it-1 p425
    A un certain moment deux colombes coûtaient un denier or, soit vingt-cinq deniers en argent. Ce prix exorbitant fut cause que Siméon, fils de Gamaliel, jura par le temple, en ces termes : “Je ne laisserai pas passer la nuit qu’elles ne coûtent un denier en argent.” Il faut sans doute entendre par là que les colombes étaient vendues vingt-cinq fois plus cher qu’elles ne valaient en réalité. Ces marchands étaient vraiment des “brigands”. Jésus considérait manifestement ce genre de commerce comme une forme d’extorsion ou de “vol”. – TG1977 p430
    MARC 11:27, 28 : À quelles « choses » les ennemis de Jésus faisaient-ils référence ? (jy 244 § 7).
    « Et ils vinrent de nouveau à Jérusalem. Et comme il marchait dans le temple, les prêtres en chef, les scribes et les anciens vinrent à lui 28 et se mirent à lui dire : “ Par quel pouvoir fais-tu ces choses ? ou qui t’a donné ce pouvoir pour les faire ? 
    Une leçon sur la foi inspirée d’un figuier - Peu après, Jésus et ses disciples arrivent à Jérusalem. Comme il en a l’habitude, Jésus se rend au Temple pour enseigner. Ayant sans doute à l’esprit ce qu’il a fait la veille avec les changeurs de monnaies, les prêtres en chef et les anciens du peuple lui lancent : « De quel droit fais-tu ces choses ? Qui t’a donné le droit de faire cela ? » (Marc 11:28). Jésus savait qu’il avait affaire à des hommes corrompus et impies ; dès lors, il ne s’est pas senti tenu de répondre à leur question – jy244
    Jésus n’avait rien innové, n’avait inventé aucune doctrine. Il se contentait d’appliquer la Parole de son Père. Ces prêtres et ces scribes faisaient donc vraiment preuve d’un profond mépris envers Jéhovah et sa Parole inspirée. Ils méritaient amplement que Jésus les reprenne comme il l’a fait, en dénonçant la méchanceté de leurs mobiles –
    À l’imitation de Jésus, les vrais chrétiens s’appuient sur la Parole de Dieu dans leur ministère. Les Témoins de Jéhovah sont connus dans le monde entier pour leur empressement à communiquer le message de la Bible. Nos publications citent la Bible ou s’y réfèrent abondamment. Nous en faisons autant dans notre ministère en nous efforçant de mettre systématiquement l’accent sur les Écritures. Quelle satisfaction quand nous pouvons lire un passage biblique à quelqu’un ou que nous pouvons parler de la valeur et de la signification de la Parole de Dieu ! Nous n’avons pas la mémoire parfaite de Jésus, mais nous disposons de nombreux outils inconnus à son époque. En plus de la Bible complète éditée dans de plus en plus de langues, nous possédons quantité d’auxiliaires bibliques pratiques pour retrouver les versets dont nous avons besoin. – cf chap10§11,12
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Conformément à la prophétie, Dieu a attesté que Jésus était son Fils (Psaume 2:7 ; Matthieu 3:17) Tout comme la foule a acclamé Jésus et le Royaume à venir, nous éprouvons beaucoup de joie à parler de lui et des bénédictions liées à son règne (Marc 11:7-10). Christ, qui ‘ avance dans la cause de la vérité, de l’humilité et de la justice ’, éliminera bientôt ses. Son règne apportera une paix et une prospérité universelles. Quel honneur pour nous de proclamer ces vérités et de témoigner en faveur de Jéhovah, dont le Fils bien-aimé exerce d’ores et déjà au ciel ses fonctions de Roi messianique ! – TG2011  15/8 p16 §20
    Selon la Bible, qui a foi dans le Tout-Puissant et prie pour recevoir son esprit, tout en faisant de son mieux pour lui plaire, peut affronter des obstacles apparemment insurmontables. Les paroles de Jésus sont rassurantes : “ Vraiment, je vous dis que quiconque dit à cette montagne : ‘ Sois soulevée et jetée dans la mer ’, et qui ne doute pas dans son cœur, mais a foi que ce qu’il dit va arriver, cela se fera pour lui. ” (Marc 11:23). Aucune situation n’est impossible à supporter si nous laissons la Parole et l’esprit de Dieu influencer notre vie – TG2012  1/6
    Celui ‘ qui entend la prière ’. L’ensemble du récit des Écritures confirme que Jéhovah est Celui à qui les prières doivent être adressées, qu’il est Celui ‘ qui entend la prière  et qu’il a le pouvoir d’agir en faveur de ceux qui lui font requête (Marc 11:24) Prier des faux dieux ou leurs images, des idoles, est taxé d’absurdité, car les idoles n’ont pas la faculté d’entendre ni d’agir, et les dieux qu’elles représentent sont indignes d’être comparés au vrai Dieu. . La confrontation relative à la divinité qui eut lieu entre Baal et Jéhovah sur le mont Carmel démontra que c’est une sottise de prier de faux dieux – it2 p661 Prière
    Si nous voulons que Jéhovah écoute nos prières, nous devons avoir foi en lui (Marc 11:24 « C’est pourquoi je vous le dis : Tout ce que vous demandez en priant, ayez foi que vous l’avez pour ainsi dire reçu, et vous l’aurez »). L’apôtre Paul explique : « Sans la foi il est impossible de lui plaire, car celui qui s’avance vers Dieu doit croire qu’il est, et qu’il devient celui qui récompense ceux qui le cherchent réellement » (Hébreux 11:6). Mais il ne suffit pas de dire que nous avons foi en Dieu. Nous devons le prouver en lui obéissant chaque jour – BHS chap17 §6
    Devons-nous avoir une position particulière pour prier ? Non. Jéhovah ne nous demande pas d’être à genoux, assis ou debout quand nous prions. La Bible nous enseigne que nous pouvons prier dans n’importe quelle position respectueuse (Marc 11:25 « Et lorsque vous êtes debout en prière, pardonnez ce que vous pouvez avoir contre quelqu’un, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos fautes »). Ce qui est important pour Jéhovah, ce n’est pas notre position, mais notre état d’esprit. Nous pouvons prier à voix haute ou en silence, quel que soit l’endroit où nous sommes et à n’importe quel moment du jour ou de la nuit. Nous pouvons être sûrs que Jéhovah nous écoutera, même si personne d’autre ne nous entend - BHS chap17 §10
    Aujourd’hui, nous adorons Jéhovah en le priant, en prêchant, et en allant aux réunions. Mais il n’appréciera pas nos efforts si nous ne faisons pas la paix avec nos frères (Marc 11:25). Pour être les amis de Jéhovah, nous devons pardonner aux autres quand ils font des fautes. Chaque chrétien doit s’examiner honnêtement pour voir s’il est disposé à pardonner et s’il a des relations pacifiques avec autrui. Pardonnes-tu volontiers à tes compagnons ? Aimes-tu les côtoyer ? Jéhovah attend de ses serviteurs qu’ils soient prêts à pardonner. Si ta conscience te dit que tu dois t’améliorer dans ce domaine, prie-le de t’aider ! Notre Père céleste entend de telles prières humbles et y répond – ws2016 mai p3 §6,7
    Que signifie servir Jéhovah de toute son âme ? L’expression grecque rendue par ‘ de toute son âme ’ signifie littéralement “ de l’âme ”. L’“ âme ” désigne la personne tout entière, avec ses capacités physiques et mentales. Servir de toute son âme, c’est donc donner de soi, mettre en œuvre toutes ses facultés et employer ses forces au maximum dans le service de Dieu. En d’autres termes, c’est faire tout ce que notre âme est capable de faire. — Marc 12:29, 30. – km2013 avril
    Nous nous efforçons de suivre de près les enseignements et les manières d’agir de Jésus Christ. Néanmoins, sous plusieurs rapports, nous sommes différents des autres dénominations et religions chrétiennes. Par exemple, nous avons compris que, d’après la Bible, Jésus est le Fils de Dieu ; il ne fait pas partie d’une trinité (Marc 12:29 « Jésus répondit : “ Le premier, c’est : ‘ Entends, ô Israël, Jéhovah notre Dieu est un seul Jéhovah » - RV2016/1 p7.
    L’amour étant l’attribut dominant de Jéhovah, on comprend pourquoi Jésus a défini le premier commandement divin comme suit : « Tu dois aimer Jéhovah ton Dieu de tout ton cœur, et de toute ton âme, et de toute ta pensée, et de toute ta force » (Marc 12:30). Ces paroles nous enseignent que l’amour pour Dieu fait tout d’abord appel à notre cœur. Jéhovah n’aime pas la tiédeur, les cœurs partagés. On note par ailleurs que l’amour pour Dieu fait appel à toute notre âme, à tout notre esprit et à toute notre force. Cela signifie que l’authentique amour pour Dieu est plus qu’un sentiment ou une émotion. Non seulement il doit venir du fond du cœur, mais il doit mettre en œuvre toutes nos facultés spirituelles et physiques. Selon le prophète Mika, c’est ce que Jéhovah veut que nous fassions Mika 6:8. En nous aimant le premier, Jéhovah nous a montré comment nous devons l’aimer. Gardons constamment à l’esprit son exemple incomparable – TG2015  15/9 §3
    Une deuxième raison que nous avons de prêcher est que nous aimons profondément Jéhovah et Jésus (Marc 12:30) Jésus n’a pas simplement dit à ses disciples d’être dans son amour, mais de demeurer dans son amour. Pourquoi ? Parce qu’il faut de l’endurance pour vivre en vrai chrétien année après année. En fait, en Jean 15:4-10, il a utilisé de nombreuses fois le verbe « demeurer » pour aider ses disciples à comprendre qu’ils auraient besoin d’endurer. Comment montrer que nous voulons rester dans l’amour de Christ et continuer à lui plaire ? En lui obéissant. En fait, ce que Jésus nous demande de faire, ce n’est rien de plus que ce que lui-même a fait. Jésus nous donne l’exemple à suivre. Jésus a clairement montré qu’il y a un lien entre l’obéissance et l’amour quand il a dit : « Qui a mes commandements et les observe, c’est celui-là qui m’aime » (Jean 14:21). Rappelons que les commandements de Jésus viennent de son Père. Alors, quand nous obéissons à l’ordre de prêcher, nous montrons aussi notre amour pour Jéhovah. Et quand nous montrons à Jéhovah et à Jésus que nous les aimons, ils nous gardent dans leur amour. – TG2018 Mai p17 §5
    Il peut nous arriver de penser que nous faisons peu dans le service sacré ou de nous demander si Jéhovah est satisfait de nos efforts. Nous pouvons même douter de mériter la moindre récompense. Toutefois, n’oublions jamais que « Dieu est plus grand que notre cœur et qu’il connaît toutes choses ». Il récompense chaque sacrifice motivé par la foi et l’amour, même si celui-ci semble insignifiant aux yeux de celui qui l’offre (Marc 12:41-44 « Une pauvre veuve arriva alors et mit deux petites pièces de monnaie….. »).
    Même en ces derniers jours sombres du système de choses mauvais de Satan, Jéhovah bénit son peuple. Il veille à ce que les vrais adorateurs prospèrent dans le paradis spirituel, qui connaît une abondance sans précédent. Comme Jésus l’a promis, Jéhovah nous récompense dès aujourd’hui en nous permettant d’appartenir à une famille internationale de frères et sœurs aimants. De plus, ceux qui cherchent réellement Dieu jouissent des bienfaits incomparables que sont la paix intérieure, le contentement et le bonheur  - TG2016 Décembre p21 §16,17
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    Jésus s’est servi du figuier pour illustrer la mauvaise condition spirituelle de la nation. Sur le trajet de Béthanie à Jérusalem, quatre jours avant sa mort, il a vu un figuier dont le feuillage était abondant, mais dépourvu de fruits. Étant donné que les figues précoces apparaissent normalement en même temps que les feuilles, parfois même avant, l’absence de fruits indiquait que l’arbre était sans valeur. — Marc 11:13, 14.
    Tout comme le figuier avait l’air sain, la nation juive avait des apparences trompeuses. Mais elle n’avait pas produit de fruit qui plaisait à Dieu et elle a finalement rejeté Son propre Fils. Jésus a maudit le figuier stérile, si bien que le lendemain les disciples ont remarqué qu’il s’était déjà desséché. Cet arbre mort a symbolisé à juste titre le rejet imminent des Juifs par Dieu en tant que peuple choisi. — Marc 11:20, 21. -
    Puisque nous vivons une époque cruciale de l’Histoire, nous voulons certainement tirer leçon du figuier. Si nous le faisons en restant éveillés spirituellement, nous avons l’espoir de connaître l’accomplissement de cette merveilleuse promesse : “ Vraiment, ils seront assis chacun sous sa vigne et sous son figuier, et il n’y aura personne qui les fasse trembler ; car la bouche même de Jéhovah des armées l’a dit. ” — Mika 4:4. – TG2003 15/5 p26
    À propos de la deuxième purification du temple, Marc raconte que Jésus ne “ laissait personne transporter un ustensile à travers le temple ”. (Marc 11:16.) Cela veut dire que Jésus ne permettait à personne de porter atteinte à la sainteté de la cour du temple en l’empruntant comme un simple raccourci pour transporter des objets d’une partie de Jérusalem à une autre. - it-2 p1127
    La foi permet aux chrétiens d’affronter n’importe quelle difficulté. Jésus a dit à ses disciples que s’ils avaient “de la foi gros comme un grain de moutarde”, rien ne leur serait impossible (Matthieu 17:20). Il soulignait ainsi le pouvoir de la foi, ce fruit de l’esprit saint. Ce qu’il faisait ressortir, ce n’est pas le pouvoir des humains, mais celui de l’esprit, ou force active, de Dieu. Les personnes qui se laissent guider par cet esprit ne se font pas une montagne des moindres obstacles. Elles mettent en pratique la sagesse que communique l’esprit de Dieu, ce qui les aide à ne pas accorder aux choses plus d’importance qu’elles n’en méritent. Même de graves difficultés peuvent être ramenées à de moindres proportions par la puissance de la foi. —Marc 11:22-24. Jésus a montré que si nous cultivons la foi dans notre cœur, si nous l’entretenons et l’encourageons à se développer, elle grandira jusqu’à maturité et nous rendra capables de surmonter des obstacles et des difficultés semblables à des montagnes – TG1991 15/9 p15
    Selon la Bible, qui a foi dans le Tout-Puissant et prie pour recevoir son esprit, tout en faisant de son mieux pour lui plaire, peut affronter des obstacles apparemment insurmontables. Les paroles de Jésus sont rassurantes : “ Vraiment, je vous dis que quiconque dit à cette montagne : ‘ Sois soulevée et jetée dans la mer ’, et qui ne doute pas dans son cœur, mais a foi que ce qu’il dit va arriver, cela se fera pour lui. ” (Marc 11:23). Aucune situation n’est impossible à supporter si nous laissons la Parole et l’esprit de Dieu influencer notre vie – TG2012 1/6 p27
    Des questions habiles. Jésus se servait de questions pour amener ses interlocuteurs à tirer des conclusions, à considérer leurs mobiles ou à prendre des décisions. Aux chefs religieux qui contestent l’origine divine de son pouvoir, il pose celle-ci : “ Le baptême de Jean était-il du ciel ou des hommes ? ” Interloqués, ils raisonnent entre eux : “ Si nous disons : ‘ Du ciel ’, il nous dira : ‘ Pourquoi donc ne l’avez-vous pas cru ? ’ Et si nous disons : ‘ Des hommes ’, nous avons à craindre la foule, car tous tiennent Jean pour un prophète. ” Finalement, ils répondent : “ Nous ne savons pas. ” (Marc 11:27-33) Une simple question a suffi à Jésus pour les réduire au silence et révéler la traîtrise de leurs cœurs. – cl chap21 p209 §12
    Quand des chefs religieux hypocrites lui ont demandé d’où lui venait le pouvoir d’accomplir des signes et des miracles ? Jésus leur a répondu  : “ Je vais vous poser une seule question. Vous me répondez, et je vous dirai, moi aussi, par quel pouvoir je fais ces choses. ” Comme les scribes et les anciens refusaient de lui répondre, Jésus a conclu : “ Moi non plus je ne vous dis pas par quel pouvoir je fais ces choses. ” Marc 11:27-33. Jésus savait qu’il avait affaire à des hommes corrompus et impies ; dès lors, il ne s’est pas senti tenu de répondre à leur question. Il en va de même pour nous aujourd’hui : nous devons nous méfier des apostats et d’autres individus malfaisants qui recourent à la fourberie et à la ruse à des fins purement égoïstes TG2009 15/6 p16 6
    De simples tours étaient érigées dans les vignes pour servir de postes d’observation aux gardiens chargés de protéger le raisin contre les voleurs et les bêtes. — Marc 12:1. – it1 p1088 Tour
    Psaume 118:22 révèle que la pierre rejetée par les bâtisseurs deviendrait “ la tête de l’angle ”. Jésus cita cette prophétie et se l’appliqua, s’appelant “ la principale pierre angulaire ” Marc 12:10, 11. La pierre la plus élevée d’un édifice est bien en vue, tout comme l’est Jésus Christ, la pierre de couronnement de la congrégation chrétienne composée des oints, laquelle est comparée à un temple spirituel.  – it2 p590 Pierre angulaire
    La plupart du temps, les scribes sont présentés comme des adversaires religieux de Jésus. Cependant, tous ne se sont pas opposés à lui. Par exemple, un scribe a un jour déclaré à Jésus : “ Je te suivrai partout où tu iras. ” De son côté, Jésus a dit à l’un d’eux : “ Tu n’es pas loin du royaume de Dieu. ” —Marc 12:28-34. – TG2009 1/8 p31
    Jésus était l’enseignant par excellence. Même parmi ses contemporains, il était reconnu comme un enseignant à l’influence et à la popularité exceptionnelle. Ses disciples l’appelaient “ Rabbi ”, ce qui signifie “ Enseignant ” ou “ Instructeur ”. Quelquefois, ses adversaires admiraient eux aussi qu’il parlait merveilleusement. Un jour, des agents que les Pharisiens avaient envoyés arrêter Jésus et qui revinrent bredouilles expliquèrent pourquoi en ces termes : “ Jamais un autre homme n’a parlé de cette façon. ” — Marc 12:32, 34. D’abord, comme il l’expliqua lui-même, Jésus ne parlait pas de sa propre initiative, mais venait au nom de son Père et disait les choses qu’il avait apprises de lui. Il était un intime de Jéhovah Dieu, puisqu’il était son Fils unique-engendré venu des cieux, et, en tant que tel, il était le mieux placé pour enseigner au sujet des qualités, des œuvres et des desseins de son Père  Second élément très important qui faisait de lui un bon enseignant, c’est qu’il aimait ceux qu’il instruisait. Peu d’enseignants ont aimé leurs disciples au point d’être disposés à donner leur vie pour eux, chose que Jésus a faite. Il avait une grande pénétration des pensées de ses auditeurs. Il avait un profond discernement. Il n’enseignait pas avec les mots philosophiques des scribes, mais il utilisait des exemples tirés de la vie quotidienne. C’est pour cette raison que ses enseignements sont toujours compréhensibles aujourd’hui. Son instruction était émaillée d’exemples – it1 p697 Education
    Les chefs religieux de l’époque de Jésus s’arrangeaient pour attirer l’attention sur eux et faire valoir leur position. À l’opposé, Jésus a ordonné à ses apôtres de ne pas « commande[r] en maîtres » les autres (Luc 22:25, 26). D’ailleurs, il a lancé cet avertissement : « Prenez garde aux scribes qui veulent circuler en longues robes, et recevoir des salutations sur les places de marché » (Marc 12:38). Jésus, lui, se mêlait à la foule, passant parfois inaperçu. Même parmi ses 11 apôtres fidèles, il ne se démarquait pas physiquement. D’ailleurs, le traître Judas a dû recourir à un baiser, « un signe convenu », pour faire savoir à la foule qui était Jésus. Même si beaucoup de renseignements sur le physique de Jésus sont inconnus, une chose est sûre : Jésus ne ressemblait pas à la plupart des portraits qui ont été faits de lui. Cependant, plus que son apparence physique, c’est la vision que nous avons de lui aujourd’hui qui importe. – TG2017/6 p8
    Quand Jésus était sur la terre, une partie du temple de Jérusalem était appelée “ le trésor ”. (Jean 8:20.) Celui-ci était apparemment situé dans le secteur appelé la Cour des femmes. Selon des sources rabbiniques, dans ce temple rebâti par Hérode, 13 troncs du trésor étaient disposés autour du mur dans cette cour. Ils étaient en forme de trompettes avec de petites ouvertures sur le dessus, et le peuple y déposait les diverses contributions et offrandes (Marc 12:41). Les prêtres refusèrent de mettre dans ce trésor sacré les pièces d’argent que Judas jeta dans le temple “ parce qu’elles sont, dirent-ils, le prix du sang ”. (Mt 27:6.) On pense que ce temple comportait aussi un grand trésor où on apportait l’argent des troncs. – it21099 Trésor
    Jésus Christ a accordé plus de valeur au don de la veuve qu’aux contributions de tous ceux qui avaient donné “ de leur superflu ”, même s’ils avaient mis davantage. Pourquoi ? Le récit rapporte qu’elle avait “ deux petites pièces de monnaie ” ; elle aurait donc pu en donner une et garder l’autre. Pourtant, elle a mis “ tout ce qu’elle possédait, tout ce qu’elle avait pour vivre ”. — Marc 12:41-44. Chacune de ses pièces était un leptôn, la plus petite des pièces juives en circulation à l’époque. Deux lepta représentaient 1/64e du salaire d’une journée. Ce n’était même pas la valeur d’un moineau, le moins cher des oiseaux consommés par les pauvres – TG2008 1/3 p12
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MARC 9-10
    MARC 10:6-9 : Sur quel principe concernant le mariage Jésus a-t-il mis l’accent ? (w08 15/2 30 § 8).
    « Cependant, dès [le] commencement de [la] création ‘ Il les fit mâle et femelle. 7 À cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère, 8 et les deux seront une seule chair ’ ; si bien qu’ils ne sont plus deux, mais une seule chair. 9 Donc, ce que Dieu a attelé au même joug, que l’homme ne le sépare pas ». 
    Dieu veut que les conjoints restent ensemble. Par conséquent, au lieu de chercher hâtivement à divorcer, maris et femmes doivent s’évertuer à appliquer les principes de la Bible afin de surmonter toute difficulté que pourrait connaître leur union. TG2008
    Jésus Christ montra qu’il approuvait le mariage en assistant au festin de mariage à Cana de Galilée. C’est la monogamie que Dieu institua à l’origine et que Jésus Christ rétablit au sein de la congrégation chrétienne. Puisque l’homme et la femme furent dotés de la faculté d’exprimer amour et affection, cette union devait être heureuse, bénie et paisible. it2 mariage
    Deux chrétiens qui s’unissent par le mariage font un vœu devant Dieu, et cet engagement n’est pas à prendre à la légère. Étant donné que Jéhovah est l’Auteur du mariage, la Bible dit de lui qu’il ‘ attelle au même joug ’ ceux qui se marient. Quand la législation d’un pays en la matière diffère des lois de la Bible, c’est à celles-ci que les serviteurs de Jéhovah obéissent. Ils doivent considérer le mariage comme un lien indissoluble, même s’ils n’étaient pas Témoins de Jéhovah lorsqu’ils se sont mariés. Un homme et une femme qui se marient ne doivent pas se dire que, si leur union ne marche pas, ils pourront toujours divorcer.
    Dieu hait le divorce quand il constitue un acte de trahison. Il demandera personnellement des comptes à celui qui quitte son conjoint pour un motif futile, en particulier s’il le fait dans l’intention de refaire sa vie avec quelqu’un d’autre – TG2011 1/11
    Lorsque Jéhovah unit Adam et Ève par les liens du mariage, le divorce n’était pas censé apparaître. Jésus Christ l’indiqua clairement quand il répondit à cette question des Pharisiens : “ Est-il permis à un homme de divorcer d’avec sa femme pour n’importe quel motif ? ” Christ montra que la volonté de Dieu était que l’homme quitte son père et sa mère, qu’il s’attache à sa femme et que les deux deviennent une seule chair. Puis il ajouta : “ Si bien qu’ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Donc, ce que Dieu a attelé au même joug, que l’homme ne le sépare pas. ” (Mt 19:3-6 ; voir aussi Gn 2:22-24). Les Pharisiens lui demandèrent ensuite : “ Pourquoi donc Moïse a-t-il prescrit de donner un acte de renvoi et de divorcer d’avec elle ? ” En réponse, Jésus leur dit : “ Moïse, à cause de votre dureté de cœur, vous a concédé le droit de divorcer d’avec vos femmes, mais dès le commencement il n’en a pas été ainsi. ”
    En général, au début de leur union, les conjoints chrétiens éprouvent un profond amour mutuel. Étant donné que Jéhovah a institué le mariage dans l’intention qu’il dure, il est capital que maris et femmes veillent à attiser la flamme de leur amour, à entretenir un climat favorisant la croissance de cet amour (Marc 10:6-9). Si tu cherches un conjoint, choisis une personne que tu es capable d’aimer vraiment, puis rends cet amour fort et inextinguible, comme celui que décrit le Chant de Salomon. Que tu cherches un conjoint ou que tu sois marié, puisses-tu connaître le véritable amour, « la flamme de Yah » (Chant de S. 8:6). TG2015  15/1 p32 §17,18
    MARC 10:17, 18 : Pourquoi Jésus a-t-il repris un certain homme pour l’avoir appelé « Bon Enseignant » ? (nwtsty, notes d’étude).
    « Et comme il sortait [pour se mettre] en route, un certain homme accourut et tomba à genoux devant lui et lui posa la question : “ Bon Enseignant, que dois-je faire pour hériter de la vie éternelle ? ” 18 Jésus lui dit : “ Pourquoi m’appelles-tu bon ? Personne n’est bon, si ce n’est un seul : Dieu ».
    Bon Enseignant : L’homme employait de toute évidence l’expression « Bon Enseignant » comme un titre officiel et flatteur, puisqu’un tel honneur était en général exigé par les chefs religieux. Jésus ne voyait aucun inconvénient à être appelé «enseignant » ou « Seigneur », car c’est ce qu’il était (Jean 13:13), mais il attribuait tout l’honneur à son Père. - nwtsty
    Personne n’est bon, sinon un seul : Dieu : Jésus reconnaît ici que Jéhovah est le modèle absolu de ce qui est bon, Celui qui détient le droit souverain de déterminer ce qui est bon et ce qui est mauvais, autrement dit le bien et le mal. En mangeant du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, Adam et Ève ont cherché à s’arroger ce droit. Contrairement à ces rebelles, Jésus laisse humblement à son Père le soin de fixer les normes. Dieu a énoncé et défini ce qui est bien en faisant consigner des commandements dans sa Parole (Mc 10:19). – nwtsty
    En repoussant de la sorte ce titre flatteur, Jésus a rendu gloire à Jéhovah et a indiqué que c’est le vrai Dieu la source de toute bonne chose. De plus, Jésus a attiré l’attention sur une vérité fondamentale : le Créateur de toutes choses, Jéhovah Dieu, est le seul à avoir le droit de fixer les normes du bon et du mauvais – TG2008 15/2
    Du début à la fin, le ministère terrestre de Jésus a été marqué par l’humilité. Jésus dirigeait systématiquement la louange et la gloire vers son Père. Chaque fois qu’on s’extasiait devant la sagesse de ses paroles, la puissance de ses miracles, sa belle personnalité, il refusait cette gloire pour lui-même et faisait en sorte qu’elle revienne à Jéhovah – cf chap3 §12
    Par sa personne même, par ses manières d’agir et par ses déclarations, Jéhovah était et demeure la Norme suprême pour tout l’univers, la définition et la plénitude de la bonté. Son Fils, alors qu’il était sur la terre, put donc dire à un homme : “ Pourquoi m’appelles-tu bon ? Personne n’est bon, si ce n’est un seul : Dieu. ” — Mc 10:17, 18 
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Que voulait dire Jésus quand il déclara à propos d’un démon: “Cette espèce-là ne peut sortir que par la prière.”
    Un homme dont le fils était possédé par un “esprit muet” avait demandé à Jésus de chasser cet esprit mauvais, car les disciples en étaient incapables. Grâce au soutien puissant de Dieu, Jésus expulsa le démon. Par la suite, ses disciples lui demandèrent: “Pourquoi n’avons-nous pas pu l’expulser?” Selon le récit de Marc, Jésus répondit: “Cette espèce-là ne peut sortir que par la prière.” (Marc 9:14-29). Le récit parallèle de Matthieu présente la réponse de Jésus en ces termes: “À cause de votre peu de foi.” Matthieu 17:14-20.Pourquoi Jésus a-t-il insisté sur la foi et la prière? L’expérience nous apprend que tous les démons n’ont pas nécessairement les mêmes objectifs ni les mêmes facultés. Par exemple, certains semblent se préoccuper de hanter des maisons, tandis que d’autres s’emploient à harceler ou à posséder des humains. La réponse de Jésus nous amène aussi à la conclusion que certains démons sont particulièrement puissants
    Pendant que Jésus était sur la terre, Dieu donna à certains de ses serviteurs la possibilité de chasser les esprits méchants dont certaines personnes avaient le malheur d’être possédées.
    Les douze apôtres et les soixante-dix disciples avaient notamment reçu ce pouvoir (Matthieu 10:8). Cependant, les apôtres dont il est question en Matthieu 17:14-20 et en Marc 9:14-29 s’étaient montrés incapables d’expulser un certain démon. Quelle en était la raison? Que leur manquait-il? Ils ne s’étaient sans doute pas préparés comme il l’aurait fallu pour affronter la sorte de démon dont il s’agissait. Cela requérait une foi solide et il aurait fallu prier à l’avance pour demander l’aide puissante de Dieu. Bien qu’aucun des deux récits ne dise que Jésus prononça une prière particulière en cette circonstance, on peut penser qu’il le fit. Le résultat fut qu’il réussit à chasser le démon qui était pourtant puissant. – TG1982 1/9 p31
    « Aide-moi là où j’ai besoin de foi ! » (Marc 9:24). La nécessité d’acquérir davantage de foi soulève plusieurs questions : Comment renforcer la nôtre ? La foi pourrait être comparée à un feu de bois. Au début, ce peut être une belle flambée. Mais si personne ne s’en occupe, il se transformera en braises qui, à leur tour, deviendront des cendres. Par contre, régulièrement alimenté, il peut durer indéfiniment. De même, notre foi peut rester vivante si nous l’alimentons régulièrement de la Parole de Dieu. En étudiant continuellement la Bible, nous pouvons développer un amour intense pour ce livre et pour son Auteur. Cet amour nous permettra d’acquérir davantage de foi.
    Comment la manifester ? La prédication est un excellent moyen de démontrer sa foi. Pourquoi ? Parce que pour accomplir cette œuvre, il faut avoir foi dans le calendrier de Jéhovah. Il faut être convaincu que la fin de ce système est proche, qu’« elle ne sera pas en retard » (Hab. 2:3). Nous pouvons évaluer notre foi en nous demandant dans quelle mesure nous sommes disposés à nous dépenser dans la prédication. Faisons-nous tout ce que nous pouvons, peut-être même en cherchant des moyens d’élargir notre ministère ?. Oui, faire « la déclaration publique pour le salut » est une excellente manière de montrer que nous avons la foi dans le cœur
    Pourquoi pouvons-nous être sûrs que, si nous lui réclamons davantage de foi, Jéhovah nous exaucera ? Quand nous réclamons à Dieu davantage de foi, pouvons-nous espérer être exaucés ? Oui, nous assure la Bible, à condition de le lui « demander selon sa volonté » Nul doute que Jéhovah est content de ceux qui placent leur entière confiance en lui. Si nous lui demandons davantage de foi, il nous exaucera. Alors, notre foi « augmentera beaucoup » - TG2015  15/10 p9
    Jéhovah a établi le mariage pour qu’il soit un lien permanent (Marc 10:6-12). Du reste, “ il a haï le divorce ”, ne l’autorisant que pour motif de “ fornication ”. (Malachie 2:13-16 ; Matthieu 19:9.) Autant dire que le choix d’un conjoint est l’une des décisions les plus graves, les plus lourdes de conséquences qui soit. Peu de décisions dans l’existence peuvent à ce point rendre heureux ou malheureux. Un choix judicieux ouvre la porte à une vie riche et pleine de satisfaction, un mauvais choix à beaucoup de chagrin. Pour que le bonheur dure, il est fondamental de faire un choix sage et d’être prêt à s’engager pour la vie, car Dieu a voulu le mariage comme une union de partenaires, dont le succès repose sur l’harmonie et la coopération. S’il est vrai qu’un attrait mutuel contribue à la solidité d’un mariage, des valeurs communes en assurent encore mieux la pérennité et le bonheur. L’attachement de chacun des conjoints à Jéhovah Dieu tresse un lien résistant et favorise l’unité comme aucun autre facteur. Les couples chrétiens qui axent leur vie sur le vrai culte sont unis sur les plans spirituel, mental et moral. Ils étudient la Parole de Dieu ensemble, prient ensemble — ce qui unifie leurs cœurs —, assistent aux réunions chrétiennes ensemble, prêchent ensemble. Tout cela tisse entre eux un lien spirituel qui les rapproche l’un de l’autre et, surtout, leur vaut la bénédiction de Jéhovah – TG2001  15/5 p16 §5,7,8
    Comment Adam a-t-il pu pécher, alors qu’il était parfait ? Adam a pu pécher parce que Dieu lui a fait don du libre arbitre, c’est-à-dire de la faculté de faire des choix. Ce don n’était nullement incompatible avec la perfection d’Adam. En réalité, seul Dieu est parfait au sens absolu – Marc 10:18 « Jésus lui dit : “ Pourquoi m’appelles-tu bon ? Personne n’est bon, si ce n’est un seul : Dieu ». La perfection de n’importe quelle personne ou chose est limitée. Prenons l’exemple d’un couteau. Bien que l’instrument soit parfait pour couper de la viande, l’utiliseriez-vous pour manger de la soupe ? Une chose n’est parfaite que par rapport au but pour lequel elle est conçue. Comme Adam, Jésus était parfait lorsqu’il était sur terre. Mais, à la différence des descendants d’Adam, il avait été conçu grâce à l’esprit saint et n’avait donc hérité d’aucune faiblesse l’empêchant de résister à la tentation. Jésus, de son plein gré, est resté fidèle à son Père, et ce malgré les pires épreuves. En revanche, Adam, dans l’exercice de son libre arbitre, n’a pas obéi au commandement de Jéhovah. Il en a porté toute la responsabilité. Mais pourquoi Adam a-t-il choisi de désobéir à Dieu ? Pensait-il que sa situation s’en trouverait améliorée d’une façon ou d’une autre ? La réponse est non, Adam a pris la décision d’accéder aux souhaits de sa femme, qui avait déjà choisi de manger du fruit de l’arbre défendu. Son désir de plaire à Ève s’est révélé plus fort que son désir de plaire au Créateur. Alors que le fruit défendu lui était offert, Adam aurait assurément dû prendre le temps de réfléchir aux conséquences de sa désobéissance sur sa relation avec Dieu. N’ayant pas cultivé un amour profond pour Dieu, Adam courait le risque de céder à la tentation, quand bien même elle viendrait de sa femme.
    Adam a péché avant d’engendrer des enfants. Tous ses descendants sont donc nés imparfaits. Cela étant, comme lui, nous bénéficions du libre arbitre. Puissions-nous choisir de méditer avec reconnaissance sur la bonté de Jéhovah et cultiver un amour solide envers lui, qui est digne de notre obéissance et de notre adoration – TG2008 1/10 p27
    Jésus a déclaré ceci: “Il est plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume de Dieu.” (Marc 10:25). Il ne voulait bien sûr pas dire que jamais aucun riche ne deviendrait un de ses disciples; certains riches du Ier siècle figuraient d’ailleurs parmi les chrétiens oints. En usant d’une exagération, Jésus voulait montrer à quel point il serait difficile pour un homme riche de faire passer Dieu avant sa richesse et son bien-être personnel. – TG1988 1/6
    LE ROYAUME DE DIEU, UNE PERLE DE GRANDE VALEUR - Matthieu 13:45, 46 Dans un exemple raconté par Jésus, un marchand recherche des perles. Au cours des années, il en a acheté et vendu des centaines. Mais voilà qu’il vient de trouver la plus belle, si magnifique qu’il a le cœur battant rien qu’en la regardant ! Pour l’acheter, il vend volontiers tout ce qu’il possède. Imagine la valeur de cette perle pour lui ! Quelle est la leçon pour nous ? La vérité sur le Royaume de Dieu est comparable à cette perle de grande valeur. Si nous aimons le Royaume autant que le marchand aime la perle, nous accepterons volontiers de renoncer à tout pour devenir et rester des sujets du Royaume (Marc 10:28-30) Beaucoup d’entre nous ont profondément changé pour devenir des sujets du Royaume de Dieu. Mais nos efforts ne doivent pas s’arrêter là. Nous devons continuer de nous méfier des choses qui s’opposent à notre amour pour le Royaume. Parmi ces choses, il y a les désirs matériels et les désirs sexuels immoraux. Pour nous aider à garder un amour entier pour son Royaume, Jéhovah nous a donné un autre trésor de grande valeur : un ministère qui sauve des vies, prêcher et enseigner la bonne nouvelle du Royaume de Dieu – TG2017 Juin p9 §3,4,8
    Jésus a montré que l’opposition familiale faisait partie des souffrances que ses disciples devaient être prêts à subir (Mat. 10:38). Pour être dignes de lui, c’est-à-dire pour lui plaire, ses disciples ont supporté que leurs proches se moquent d’eux ou même les rejettent. Mais ils ont gagné beaucoup plus qu’ils n’ont perdu (Marc 10:29, 30).
    Si des proches s’opposent à notre choix d’adorer Jéhovah, nous les aimons quand même. Mais nous devons rester conscients que notre amour pour Jéhovah et Jésus passe avant tout (Mat. 10:37). Nous devons aussi rester conscients que Satan pourrait utiliser notre affection pour notre famille pour briser notre fidélité à Jéhovah. – TG2017 Octobre p12 §5,6
    Même en ces derniers jours sombres du système de choses mauvais de Satan, Jéhovah bénit son peuple. Il veille à ce que les vrais adorateurs prospèrent dans le paradis spirituel, qui connaît une abondance sans précédent. Comme Jésus l’a promis, Jéhovah nous récompense dès aujourd’hui en nous permettant d’appartenir à une famille internationale de frères et sœurs aimants (Marc 10:29, 30). De plus, ceux qui cherchent réellement Dieu jouissent des bienfaits incomparables que sont la paix intérieure, le contentement et le bonheur – TG2016 Décembre p28 §17
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    Quelle signification revêt pour nous la transfiguration de Jésus (Marc 9:2-4) ? La transfiguration peut renforcer notre foi dans la parole prophétique de Jéhovah et nous donner la conviction que Jésus Christ est le Fils de Dieu et le Messie promis. Elle peut aussi conforter notre croyance en la résurrection de Jésus à la vie spirituelle et accroître notre foi dans le gouvernement de Dieu – TG1991 15/12
    Ce qui attirait les gens vers Jésus et exerçait sur eux une bonne influence, c’est surtout que sa vie était parfaitement conforme à son enseignement. Il mettait en pratique ce qu’il prêchait. Il supportait patiemment les manquements des autres. Quand ses disciples se disputaient pour savoir lequel d’entre eux était le plus grand, il les corrigeait avec bonté au lieu de les rabrouer. Il subvenait humblement à leurs besoins, et leur a même lavé les pieds (Marc 9:30-37; 10:35-45). Enfin, il a été disposé à subir une mort douloureuse, non seulement en leur faveur à eux, mais encore en faveur de toute l’humanité! Sans aucun doute, Jésus est le plus grand homme de tous les temps – TG199215/2 p13 §24
    Lorsque les disciples posent cette question: “Qui est vraiment le plus grand dans le royaume des cieux ?” Marc 9 :34 Jésus sait ce qui les préoccupe en réalité, puisqu’il n’ignore pas la conversation qu’ils ont eue quand ils marchaient derrière lui en revenant de Césarée de Philippe. Il leur demande donc: “De quoi discutiez-vous en chemin?” Les disciples se taisent, embarrassés, car ils ont discuté entre eux pour savoir qui était le plus grand. Ne semble-t-il pas inconcevable qu’une telle dispute ait éclaté entre les disciples, eux que Jésus enseigne depuis près de trois ans? Comme quoi l’imperfection humaine et les origines religieuses ont une forte influence sur l’homme. Les disciples ont été élevés dans la religion juive, qui mettait en avant la position ou le rang dans toutes les relations. En outre, peut-être Pierre a-t-il un sentiment de supériorité depuis que Jésus lui a promis de lui donner les “clés” du Royaume. Jacques et Jean ont peut-être des idées semblables parce qu’ils ont eu l’honneur d’assister à la transfiguration de Jésus. Quoi qu’il en soit, Jésus fait une démonstration émouvante dans le but de redresser leur point de vue. Il appelle un enfant, qu’il place au milieu d’eux; puis il l’entoure de ses bras et dit: “Si vous ne vous retournez pas et ne devenez pas comme des petits enfants, vous n’entrerez absolument pas dans le royaume des cieux. Celui donc qui s’abaissera comme ce petit enfant, c’est lui qui est le plus grand dans le royaume des cieux; et qui reçoit par égard pour mon nom un petit enfant comme celui-ci, me reçoit, moi aussi.”
    Quelle façon magistrale de reprendre ses disciples! Jésus ne s’irrite pas contre eux et ne les accuse pas d’être arrogants, avides ou ambitieux. Non, mais il leur donne une leçon qu’il illustre en se servant de petits enfants, qui sont naturellement modestes, sans ambition et n’établissent généralement pas de hiérarchie entre eux. Jésus montre ainsi que ses disciples ont besoin de cultiver les qualités propres à d’humbles enfants. Il conclut sur ces mots: “Celui qui parmi vous tous se comporte comme un petit, c’est lui qui est grand.” Marc 9:30-37 – TG1988 1/2 p8-9
    Ne vous contentez pas de présenter à l’étudiant des faits à apprendre par cœur, mais aidez-le à comprendre en tenant compte de son niveau d’instruction, de son expérience de la vie et de son degré de connaissance de la Bible. Demandez-vous s’il saisit le sens des versets cités dans les matières de l’étude. Posez-lui des questions qui n’appellent pas un simple oui ou non, mais une explication. S’il est du genre à ne rien oser dire quand un point lui échappe, encouragez-le à demander des précisions et à vous interrompre s’il ne comprend pas bien quelque chose. — Marc 9:32, 33.
    L’étude biblique a également pour but de former un nouvel enseignant. En guise de révision, vous pourriez donc demander à l’étudiant d’expliquer un point en termes simples, comme s’il devait le faire pour quelqu’un qui n’en a jamais entendu parler. Lorsqu’il remplira les conditions requises pour participer au ministère, invitez-le à vous accompagner. Sans doute tranquillisé d’être avec vous, il prendra peu à peu de l’assurance jusqu’à être capable de prêcher de façon autonome – TG2000 1/6 p17 §12
    Jésus savait que des questions bien choisies permettent non seulement de mieux connaître un étudiant, mais aussi de le faire entrer dans la conversation. Par exemple, pour donner à ses disciples une leçon d’humilité, il a commencé par leur poser une question qui les a fait réfléchir (Marc 9:33). Pour apprendre à Pierre à raisonner à partir de principes, il lui a posé une question à choix multiple (Mat. 17:24-26). Pour rendre manifeste ce que ses disciples avaient dans le cœur, il leur a posé une série de questions d’opinion (Matthieu 16:13-17). Par ses questions et ses affirmations, il faisait plus que transmettre des informations. Il touchait le cœur de ses auditeurs, ce qui les poussait à se conformer à la bonne nouvelle.
    Quand, à l’exemple de Jésus, nous faisons un bon usage des questions, nous atteignons au moins trois buts : découvrir la meilleure façon d’aider les gens, surmonter d’éventuelles objections et enseigner aux humbles comment connaître une vie meilleure – TG2013  15/5 p5 §10,11
    Durant son dernier repas avec les apôtres, Jésus a beaucoup parlé d’unité. Lorsqu’il a prié avec eux, il a demandé à ce que ses disciples soient un, c’est-à-dire unis, tout comme lui et son Père sont unis. L’unité entre les disciples prouverait clairement que Jésus avait bien été envoyé sur terre par Jéhovah. On reconnaîtrait ses vrais disciples à l’amour qu’ils auraient entre eux, et cet amour renforcerait leur unité. On comprend que Jésus ait beaucoup parlé d’unité. En effet, il avait remarqué que ses apôtres n’étaient pas complètement unis. Ce soir-là, ils s’étaient disputés pour savoir « lequel d’entre eux semblait être le plus grand », ce qui leur était déjà arrivé avant (Marc 9:33, 34). Une autre fois, Jacques et Jean avaient demandé à Jésus de leur donner des places en vue dans son Royaume, juste à côté de lui. (Marc 10:35-40). Il n’y avait pas que le désir d’être en vue qui pouvait empêcher les disciples de Christ d’être unis. Les gens autour d’eux étaient divisés par la haine et les préjugés. Les disciples de Jésus allaient donc devoir surmonter ces sentiments négatifs. Aujourd’hui, le monde est rempli de préjugés. Comme aux jours de Jésus, beaucoup de préjugés de notre époque sont forts et difficiles à surmonter.
    Comment Jésus a-t-il réagi face aux préjugés ? Premièrement, il ne s’est jamais autorisé à en avoir. Il est toujours resté impartial. Il prêchait aux riches et aux pauvres, aux pharisiens et aux Samaritains, et même aux collecteurs d’impôts et aux pécheurs. Deuxièmement, par son exemple et son enseignement, il a montré à ses disciples qu’ils ne devaient pas se méfier des autres ou avoir des préjugés contre eux– TG2018 Juin p8 §1,2
    “ Qui n’est pas contre nous est pour nous. ” Un jour, l’apôtre Jean dit à Jésus : “ Enseignant, nous avons vu un certain homme expulser des démons en se servant de ton nom et nous avons essayé de l’en empêcher, parce qu’il ne nous accompagnait pas. ” Cet homme réussissait sans doute à expulser les démons, car Jésus dit : “ Il n’y a personne qui fasse une œuvre de puissance à cause de mon nom et puisse vite m’injurier. ” C’est pourquoi Jésus leur ordonna de ne pas essayer de l’en empêcher, “ car qui n’est pas contre nous est pour nous ”. (Mc 9:38-40.) Tous ceux qui croyaient en Jésus ne les accompagnèrent pas personnellement, lui et ses apôtres, dans leur ministère. À cette époque, l’alliance de la Loi était en vigueur par la volonté de Dieu, et Dieu n’avait pas encore inauguré, par le moyen de Jésus Christ, la nouvelle alliance et le début de la congrégation chrétienne des appelés. C’est seulement à compter de la Pentecôte 33 de n. è., après que Jésus eut amené la suppression de la Loi par son sacrifice, qu’il fut nécessaire pour servir au nom de Christ de faire partie de cette congrégation, dont les membres étaient baptisés en Christ. Alors, au lieu de traiter avec la nation de l’Israël selon la chair comme jusqu’alors, Dieu considéra comme sa “ nation sainte ” la congrégation chrétienne - it-2 p1016
    Veillez à ne faire trébucher personne - Ceux qui disent aimer Dieu et le Christ doivent veiller sur leurs paroles et sur leurs actions, faute de quoi ils peuvent se rendre coupables d’avoir fait trébucher l’un des disciples de Jésus, l’un de ceux qu’il appelle ses “petits”. Jésus lui-même aborda cette question de façon frappante, en disant : “Quiconque fait trébucher un de ces petits qui croient, ce serait beau pour lui qu’on lui mît plutôt autour du cou une de ces meules de moulin que tournent les ânes et qu’on le jetât dans la mer.” Marc 9:42. Les meules de moulin telles que celle de notre image ont de quoi faire réfléchir à la déclaration de Jésus. En effet, vu le diamètre de ces meules (120 à 150 centimètres), seul un animal pouvait les faire tourner. Il est donc évident qu’il n’y avait plus aucun espoir pour celui que l’on jetait à la mer avec une pierre de cette taille attachée au cou. Voilà un puissant encouragement à veiller sur nos actions et sur nos paroles – TG1980  15/4
    Durant les auditions judiciaires comme en toute autre circonstance, les anciens seront bienveillants et ne feront trébucher personne. Bien sûr, tous les chrétiens doivent se montrer vigilants à cet égard, car Jésus a dit: “Quiconque fait trébucher un de ces petits qui croient, ce serait beau pour lui qu’on lui mît plutôt autour du cou une de ces meules de moulin que tournent les ânes et qu’on le jetât dans la mer.” (Marc 9:42). Certaines meules étaient si grosses qu’il fallait habituellement une bête de somme pour les faire tourner. Nul n’aurait pu survivre s’il avait été jeté à la mer avec un tel poids pendu au cou. Sans conteste, un ancien doit donc veiller à ne pas être une cause d’achoppement, ce qui pourrait lui causer un tort durable sur le plan spirituel, à lui ainsi qu’à celui qu’il ferait trébucher – TG1989 15/9 p19-20
    Aux temps bibliques, le moyen de destruction le plus radical était le feu (Jos 6:24 ; Dt 13:16). C’est pourquoi Jésus utilisa parfois le terme “ feu ” pour évoquer de façon imagée la destruction complète des. Un jour, Jésus exhorta ses disciples à ne pas laisser leur main, leur pied ou leur œil les faire trébucher, afin de ne pas être jetés dans la géhenne. Puis il ajouta : “ Tout homme doit être salé par le feu. ” Il voulait sans doute dire que “ tout homme ” qui faisait ce contre quoi il venait juste de les mettre en garde serait salé par le “ feu ” de la géhenne, la destruction éternelle. — Marc 9:43-49 - it-1 p890
    ‘ Coupe-toi le pied. ’ Jésus conseilla de ‘ se couper le pied ’, au sens non littéral, mais figuré, en ces termes : “ Si donc ta main ou ton pied te fait trébucher, coupe-le et jette-le loin de toi. ” Il voulait dire qu’au lieu de laisser un membre de son corps, comme une main ou un pied, l’amener à commettre un péché impardonnable, le disciple devait le faire mourir de façon aussi radicale que s’il s’en amputait. — Marc 9:45 -  it-2 p582
    Jésus donna à ses apôtres ce conseil: “Vivez en paix entre vous.” (Marc 9:50). Jéhovah n’est-il pas le “Dieu de paix” et son Fils le “Prince de paix”? Jésus n’a-t-il pas également prononcé heureux les pacifiques, c’est-à-dire ceux qui procurent la paix ? Tout cela signifie que nous devrions nous soucier activement d’être en paix entre nous. – TG1979  1/ 2
    Lorsque des divergences surviennent aujourd’hui, ne devrions-nous pas les régler en douceur, en recherchant humblement quels principes bibliques s’appliquent et en les mettant en pratique ? En cas de controverse, chacun devra certainement revoir son point de vue, comme les chrétiens de Rome au Ier siècle, afin d’obéir à ces paroles de Jésus : “ Soyez en paix entre vous. ” — Marc 9:50. – TG2011  15/8 p29 §10
    “ Quiconque divorce d’avec sa femme et se marie avec une autre commet l’adultère contre elle. ” (Marc 10:11, 12). Jésus a contredit l’enseignement rabbinique qui autorisait les hommes à divorcer “ pour n’importe quel motif ”. (Matthieu 19:3, 9.) L’idée de commettre l’adultère contre sa femme était inconnue de la plupart des Juifs. Les rabbins leur avaient enseigné qu’un mari ne risque jamais de commettre l’adultère contre sa femme — seule la femme peut être infidèle ! Un commentaire biblique déclare : “ En plaçant le mari sous la même obligation morale que sa femme, Jésus a élevé le statut et la dignité de la femme. ”- TG2012  1/9 p9 
    Quelle note l’Évangile de Marc apporte-t-il dans la description de la vie et du personnage de Jésus? Le récit de Marc donne une impression de rapidité et d’urgence dans l’activité du Christ. Non seulement il nous fait une description très mouvementée de la prédication et de l’œuvre de guérison de Jésus, mais il présente celui-ci comme un homme plein de compassion (Marc 10:13-16) – TG1982  1/8
    Jésus posait des questions pertinentes - Intéressez-vous au point de vue des autres sans les mettre dans l’embarras. Appliquez la méthode de Jésus. Il ne posait pas de questions indiscrètes, mais des questions qui suscitaient la réflexion. C’était également un auditeur bienveillant qui réconfortait les personnes sincères et les mettait à l’aise. Des gens de toutes sortes n’hésitaient pas à lui parler de leurs soucis (Marc 10:13, 17, 46, 47). Si vous souhaitez que vos interlocuteurs vous disent volontiers ce qu’ils pensent de la Bible et de ses enseignements, évitez les interrogatoires. Pour amorcer une conversation, vous pouvez aussi aborder un sujet intéressant et observer la réaction de votre interlocuteur. Cette méthode vous permettra vraisemblablement d’inciter autrui à participer à la conversation – TG2007  15/11 p29 §14,15
    Contrairement aux Pharisiens, qui avaient le cœur dur, le Christ n’abusait jamais de son autorité en alourdissant le fardeau de ses contemporains (Mat. 23:4). Bien plutôt, il leur enseignait avec bonté et patience les voies de Jéhovah. Jésus avait de l’affection pour ses disciples ; il leur témoignait constamment de l’attention et de la bonté. C’était un ami véritable . Même les enfants se sentaient à l’aise avec lui et, à l’évidence, l’inverse était tout aussi vrai.
    Jésus n’était jamais trop occupé pour consacrer du temps aux petits. Un jour, ses disciples, encore influencés par la notion de hiérarchie religieuse, se sont interposés entre Jésus et des parents qui voulaient lui amener leurs enfants pour qu’il les touche. Leur intervention a déplu à Jésus. “ Laissez les petits enfants venir vers moi, leur a-t-il demandé ; n’essayez pas de les en empêcher, car c’est à leurs pareils qu’appartient le royaume de Dieu. ” Puis, il a proposé en exemple l’attitude des enfants : “ Vraiment, je vous le dis : Quiconque ne reçoit pas le royaume de Dieu comme un petit enfant n’y entrera en aucune manière. ” — Marc 10:13-15.
    On imagine sans peine le souvenir attendri que certains de ces enfants, devenus adultes, ont gardé de leur rencontre avec Jésus quand il ‘ les a pris dans ses bras et les a bénis ’. (Marc 10:16.) De même, dans quelques années, nos enfants se souviendront avec émotion de l’intérêt sincère que des anciens et d’autres membres de la congrégation leur auront témoigné. Et plus précieux encore, ils auront découvert dès leur plus jeune âge que l’esprit de Jéhovah agit sur son peuple. TG2009  15/9 p9 §13
    Jésus exerçait un attrait sur les gens. À plusieurs reprises, des personnes d’âges et de milieux différents l’ont abordé sans hésitation. Voyez l’incident relaté en Marc 10:13-16. Il s’est produit vers la fin de son ministère, alors qu’il se rendait pour la dernière fois à Jérusalem, où une mort atroce l’attendait. — Marc 10:32-34.
    Représentez-vous la scène. Des gens commencent à amener leurs enfants à Jésus pour qu’il les bénisse ; il y a même des nourrissons. Les disciples essaient alors de s’interposer. Peut-être pensent-ils que Jésus n’a sûrement pas envie d’être ennuyé par des enfants en ces semaines cruciales. Mais ils se trompent. Quand Jésus se rend compte de ce qu’ils font, il n’est pas content. Il appelle les enfants. “ Laissez les petits enfants venir vers moi, dit-il ; n’essayez pas de les en empêcher. ” (Marc 10:14). Puis il fait quelque chose qui révèle toute sa tendresse et sa bienveillance. Le récit dit : “ Il prit les enfants dans ses bras et se mit à les bénir. ” (Marc 10:16). De toute évidence, les enfants ne ressentent aucune appréhension quand Jésus les prend dans ses bras protecteurs.
    Ce bref récit nous en dit long sur le genre de personne qu’était Jésus. Tout d’abord, il était abordable. Bien qu’il ait occupé une position élevée dans les cieux, il n’intimidait pas les humains imparfaits ni ne les rabaissait. N’est-il pas significatif, également, que même les enfants se soient sentis à l’aise en sa présence ? On les imagine mal aller spontanément vers un homme froid, triste, qui ne sourirait ou ne rirait jamais. Des gens de tout âge s’approchaient de Jésus parce qu’ils sentaient bien qu’ils avaient affaire à quelqu’un de chaleureux et d’attentionné qui ne les rejetterait pas. En réfléchissant à ce récit, posons-nous la question : ‘ Ai-je la pensée de Christ ? Suis-je abordable ?  - TG2000  15/2 p15 §3-6
    Voyons l’exemple de Jésus, qui a aimé les humains dès leur création (Proverbes 8:31). Lorsqu’il était sur la terre, il a tissé des liens étroits avec ses disciples. Une fois, même, il “ éprouva de l’amour ” envers une personne dont les conceptions religieuses étaient erronées (Marc 10:17-22). Cependant, Jésus a aussi fixé des limites précises pour ce qui est du choix de ses amis proches. Il ne se liait pas avec ceux qui ne souhaitaient pas véritablement faire la volonté de son Père. Il a déclaré un jour : “ Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande. ” (Jean 15:14). Certes, vous pouvez être en bons termes avec un de vos collègues. Mais demandez-vous : ‘ Est-il disposé à obéir aux commandements de Jésus ? Veut-il apprendre à connaître Jéhovah, celui que Jésus nous a demandé d’adorer ? A-t-il les mêmes normes morales que moi qui suis chrétien ? ’. Si vous discutez avec vos collègues de l’importance d’appliquer les principes bibliques, vous aurez la réponse à ces questions. – TG2007  1/5 p16 §10
    Vers la fin de son ministère, Jésus prêche en Pérée, une région au nord-est de la Judée, de l’autre côté du Jourdain. Un jeune homme vient lui demander ce qu’il doit faire pour hériter de la vie éternelle. Jésus, ayant compris que le jeune homme respecte fidèlement la Loi mosaïque, lui adresse une invitation exceptionnelle : “ Va, vends tout ce que tu as, et donne aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel, puis viens, suis-moi. ” (Marc 10:21). Rendez-vous compte : suivre Jésus, le Fils unique-engendré du Dieu Très-Haut !
    Ce jeune homme a décliné l’invitation, mais d’autres l’ont acceptée. Précédemment déjà, Jésus avait dit à Philippe : “ Suis-moi. ” (Jean 1:43). Philippe a accepté et il est devenu plus tard un des apôtres. Jésus a également fait cette invitation à Matthieu, qui lui aussi l’a acceptée. En réalité, Jésus a adressé cette même invitation à tous ceux qui aiment la justice, car il a dit : “ Si quelqu’un veut venir à ma suite, qu’il se renie lui-même et prenne son poteau de supplice jour après jour et me suive continuellement. ” (Luc 9:23). En disant : “ quelqu’un ”, Jésus laissait entendre que tous ceux qui le veulent vraiment peuvent le suivre. Et vous, le voulez-vous vraiment ? La plupart d’entre nous avons déjà accepté l’invitation de Jésus et, par notre prédication, nous transmettons cette invitation à d’autres. – TG2009 15/1 p3 §1,2
    Parents, votre exemple est essentiel pour mettre vos enfants sur la voie de la vie éternelle. En vous voyant « chercher d’abord le royaume », ils apprennent à compter sur Jéhovah pour leurs besoins quotidiens. Alors, vivez modestement. Sacrifiez des choses matérielles pour les choses spirituelles, et non l’inverse. Évitez de vous endetter. Cherchez à avoir « un trésor dans le ciel » — l’approbation de Jéhovah —, et non la richesse ou « la gloire des hommes » Marc 10:21, 22.
    Ne soyez jamais occupés au point de manquer de temps pour vos enfants. Faites-leur savoir que vous êtes fiers d’eux quand ils donnent la priorité à Jéhovah au lieu de rechercher le prestige ou la richesse — pour eux-mêmes ou pour vous. Rejetez l’opinion non chrétienne selon laquelle les enfants devraient offrir à leurs parents une vie confortable. Rappelez-vous, « ce ne sont pas les enfants qui doivent amasser pour leurs parents, mais les parents pour leurs enfants » (2 Cor. 12:14). TG2017 Mai p8 §3,4
    Jésus est venu pour “donner son âme comme rançon en échange de beaucoup”. (Marc 10:45) Mais quels humains sont désignés par le terme “beaucoup”? Avec un prix correspondant, Jésus Christ annule la condamnation héréditaire qui pèse sur la famille d’Adam. Jésus utilise la valeur du prix rédempteur qu’il a payé en faveur de “beaucoup”, en l’occurrence des croyants. Parmi les croyants rachetés, il y a et des Juifs et des Gentils, c’est-à-dire des gens des nations. C’est la conduite de chacun qui détermine s’il bénéficiera ou non du sacrifice de Jésus. Comme Adam, ceux qui pratiquent le mal volontairement ne se voient pas imposer la valeur de la rançon ni la vie éternelle. La rançon rend également possible une résurrection des morts dont Dieu conserve le souvenir. S’ils se montrent obéissants et reconnaissants, l’utilisation de la valeur de la rançon en leur faveur leur vaudra la vie éternelle. Quant à ceux qui vivent à notre époque, les “derniers jours”, ils ont la possibilité d’obtenir la vie éternelle sans avoir à mourir – TG1990 15/3
     
    Jésus a montré, par la parole et par l’exemple, que certains des membres de la congrégation dirigeraient celle-ci, et qu’ils le feraient en servant les autres. Christ a dit : “ Vous savez que ceux qui paraissent gouverner les nations les commandent en maîtres et que leurs grands exercent le pouvoir sur elles. Cela ne se passe pas ainsi parmi vous ; mais quiconque veut devenir grand parmi vous doit être votre serviteur, et quiconque veut être premier parmi vous doit être l’esclave de tous. ” (Marc 10:42-44). À l’évidence, “ la congrégation de Dieu ” ne consisterait pas en quelques individus isolés et dispersés, dépourvus de toute organisation. Il devait y avoir une structure, au sein de laquelle les chrétiens collaboreraient les uns avec les autres.
    Celui qui allait être le Chef de la “ congrégation de Dieu ” indiqua clairement que ses apôtres et ceux qu’il avait enseignés auraient des responsabilités particulières à l’égard du reste de la congrégation. Que devraient-ils faire ? Une de leurs principales responsabilités serait d’assurer l’instruction spirituelle des membres de la congrégation. Une fois “ la congrégation de Dieu ” établie, ceux qui la composaient se rassemblèrent régulièrement afin d’être instruits et de s’encourager mutuellement. Jésus avait laissé entendre qu’une telle structure existerait. Aujourd’hui encore, la congrégation chrétienne mondiale est la maisonnée de Dieu, “ colonne et soutien de la vérité  qui est un des moyens les plus sûrs pour nous bâtir, pour renforcer nos relations avec Dieu et nous préparer à faire sa volonté – TG2007 15/4 p25 §3
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MATTHIEU 26
    Matthieu 26:17 : Pourquoi le 13 nisan est-il appelé le « premier jour de la fête des Pains sans levain » ? (nwtsty, note d’étude).
    « Le premier jour des Gâteaux sans levain, les disciples s’avancèrent vers Jésus, en disant : “ Où veux-tu que nous fassions les préparatifs pour que tu manges la Pâque ? ” »
    Le premier jour de la fête des Pains sans levain : La fête des Pains sans levain commençait le 15 nisan, le lendemain de la Pâque (14 nisan), et durait sept jours (voir sgd, partie 19). Toutefois, à l’époque de Jésus, la Pâque avait fini par être étroitement liée à cette fête, si bien que les huit jours de fête, 14 nisan inclus, étaient parfois appelés « la fête des Pains sans levain » (Lc 22:1).
    Dans ce contexte, l’expression « le premier jour de » pourrait être rendue par « le jour avant ». (Comparer avec Jean 1:15, 30, où le mot grec pour « premier » [prôtos] est traduit par « avant » dans une construction semblable, à savoir « il existait avant [prôtos] moi ».) Donc, le grec original, tout comme la coutume juive, laisse penser que les disciples ont posé leur question à Jésus le 13 nisan. Durant la journée du 13 nisan, les disciples ont fait les préparatifs de la Pâque, qui a été célébrée plus tard « après que le soir fut tombé » au début du 14 nisan (Mc 14:16, 17). - nwtsty, note d’étude
    La première fête avait lieu durant le premier mois de l’ancien calendrier biblique, du 15 au 21 Nisan, ce qui correspond aujourd’hui à la fin mars ou au début avril. Elle était appelée fête des Gâteaux sans levain, et parce qu’elle faisait immédiatement suite à la Pâque du 14 Nisan, elle était aussi appelée “ fête de la Pâque ”. Cette fête rappelait aux Israélites qu’ils avaient été délivrés de l’affliction subie en Égypte, et les gâteaux sans levain étaient d’ailleurs appelés “ le pain d’affliction ”. Elle leur rappelait aussi que la fuite d’Égypte avait été si précipitée qu’elle ne leur avait pas laissé le temps d’ajouter du levain à la pâte et d’attendre que celle-ci ait levé. Pendant cette fête, on ne devait trouver de pain au levain dans aucun foyer israélite. Tout participant à la fête, même un résident étranger, qui mangeait du pain levé était mis à mort – TG1998  1/3
    Matthieu 26:39 : Qu’est-ce qui a peut-être incité Jésus à prier : « Que cette coupe passe loin de moi » ? (nwtsty, note d’étude).
    « Et s’avançant un peu, il tomba sur sa face, priant et disant : “ Mon Père, si c’est possible, que cette coupe passe loin de moi. Toutefois, non pas comme je veux, mais comme tu veux. ” »
    Fais que cette coupe passe loin : Dans la Bible, le mot « coupe » est souvent utilisé dans un sens figuré pour parler de la part que Dieu a accordée à une personne, c’est-à-dire sa volonté la concernant. Il ne fait aucun doute que Jésus s’inquiétait vivement à l’idée que son exécution pour blasphème et sédition ne jette le discrédit sur Dieu, ce qui l’a poussé à prier pour que cette « coupe » passe loin de lui. - nwtsty, note d’étude
    La “ coupe ” symbolique que Jéhovah versa à Jésus Christ était Sa volonté le concernant. Quant à Jésus, s’il pria pour que, si possible, cette “ coupe ” passe loin de lui, ce fut sans aucun doute parce qu’il s’inquiétait vivement à l’idée que son Père serait couvert d’opprobre par sa mort en criminel accusé de blasphème et de sédition. Toutefois, il était disposé à se soumettre à la volonté de Jéhovah et à la boire - La part, la “ coupe ”, assignée par Jéhovah à Jésus signifiait non seulement des souffrances, mais aussi le baptême dans la mort dont l’issue serait la résurrection pour la vie immortelle au ciel. Cette coupe était donc également “ la coupe du salut grandiose ” pour le Christ. Cette “ coupe ” que Jésus Christ reçut à boire, il la partage aussi, conformément à la volonté divine, avec le “ petit troupeau ” de ses cohéritiers du Royaume. – it2 p733
    Vers la fin de sa vie terrestre, Jésus s’est trouvé face à une situation des plus délicates. Tout au long de son ministère, il s’était déclaré prêt à donner sa vie en sacrifice. Cependant, il savait qu’il allait être accusé mensongèrement, reconnu coupable par la loi juive et mis à mort comme blasphémateur. Cet aspect des choses l’angoissait terriblement. Aussi a-t-il prié en ces termes : “ Mon Père, si c’est possible, que cette coupe passe loin de moi. ” Mais il a ajouté : “ Toutefois, non pas comme je veux, mais comme tu veux. ” (Mat. 26:39). En restant fidèle jusqu’à la mort, Jésus a révélé sans l’ombre d’un doute que Jéhovah était la personne la plus importante dans sa vie – TG2011  15/5 p18-19 §12
    Jésus avait beau prendre plaisir à faire la volonté de Jéhovah, ce n’était pas toujours facile. Songez à ce qui est arrivé juste avant son arrestation, son procès et son exécution. Dans le jardin de Gethsémané, il était ‘ profondément attristé ’ et a été “ pris d’angoisse ”. Il était en proie à une émotion si forte que, tandis qu’il priait, “ sa sueur devint comme des gouttes de sang qui tombaient à terre ”. — Matthieu 26:38.
    Pourquoi Jésus était-il angoissé ? Certainement pas parce qu’il ne pensait qu’à lui ni parce qu’il rechignait à faire la volonté de Dieu. Il s’attendait à mourir ; témoin sa réaction vive à ces paroles de Pierre : “ Sois bon avec toi, Seigneur ; non, tu n’auras pas un tel sort. ” (Matthieu 16:21-23). Ce qui souciait Jésus, c’était l’incidence que sa mort en criminel méprisé aurait sur Jéhovah et son saint nom. Jésus savait que son Père serait profondément peiné de voir son Fils bien-aimé traité de façon aussi barbare.
    Jésus comprenait également qu’il arrivait à un moment décisif dans l’accomplissement du dessein de Jéhovah. S’il suivait fidèlement les lois de Dieu, il démontrerait sans conteste qu’Adam aurait pu prendre le même parti. Sa fidélité réfuterait complètement Satan, qui a prétendu que dans l’épreuve les humains ne serviraient pas Dieu de bon gré et fidèlement. Grâce à Jésus, Jéhovah écraserait finalement Satan et effacerait les conséquences de sa rébellion.
    Une lourde responsabilité pesait sur les épaules de Jésus. Le nom de son Père, la paix de l’univers et le salut de la famille humaine dépendaient de sa fidélité. Il en était conscient. C’est pourquoi il a prononcé cette prière : “ Mon Père, si c’est possible, que cette coupe passe loin de moi. Toutefois, non pas comme je veux, mais comme tu veux. ” (Mat.26:39). Même sous les tensions les plus fortes, Jésus n’a jamais cessé de se soumettre de bon gré à la volonté de son Père. TG2000 15/11p22
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Dieu ne pardonne pas tout - Il y a des péchés que Dieu ne pardonne pas. Judas Iscariote a laissé son cœur devenir ainsi. “ Il aurait mieux valu pour lui qu’il ne soit pas né, cet homme-là ”, a déclaré Jésus (Matthieu 26:24, 25). Et, à certains chefs religieux de son époque, il a lancé : “ Vous venez, vous, de votre père le Diable. Comme Satan, ces hommes étaient corrompus jusqu’à la moelle. Ils ne regrettaient pas ce qu’ils avaient fait, mais ils s’endurcissaient dans leurs voies mauvaises. Bien sûr, à cause de leur imperfection et de leur faiblesse, même les vrais chrétiens pèchent, parfois gravement. Cependant, leurs défaillances ne reflètent pas une inclination invétérée au mal. – RV2008 Février
    Pierre n’oubliera pas l’épisode du jardin de Gethsémané. Il va comprendre dans la douleur ce que peut coûter un manque de vigilance. Un peu plus tôt, Jésus avait affirmé : « Vous tous, vous trébucherez à mon sujet cette nuit-ci. » Pierre s’était alors exclamé : « Même si tous les autres trébuchent à ton sujet, moi, jamais je ne trébucherai. » Mais, avait répondu Jésus, Pierre le renierait trois fois. Imperturbable, l’apôtre avait déclaré : « Même si je devais mourir avec toi, non je ne te renierai pas » (Mat. 26:31-35). Pourtant, comme prédit, il a trébuché. Anéanti à la suite de son dernier reniement, il « pleura amèrement » Tirant certainement leçon de cet évènement, Pierre a surmonté sa tendance à être trop sûr de lui. La prière l’y a de toute évidence aidé. D’ailleurs, l’exhortation à être « vigilants en vue des prières » vient de lui. Suivons-nous ce conseil divinement inspiré ? De plus, prions-nous Jéhovah « sans cesse », reconnaissant que nous dépendons de lui ?. Retenons également cet avertissement de Paul : « Que celui qui pense être debout prenne garde de ne pas tomber » (1 Cor. 10:12). TG2013 15/11§10,11
    Devons-nous prier souvent ? Oui. Jéhovah nous encourage à lui parler régulièrement. La Bible dit que nous devons « prier sans cesse », « persévérer dans la prière » et « prier constamment » (Matthieu 26:41). Jéhovah est toujours prêt à nous écouter. Nous pouvons le remercier chaque jour pour son amour et pour tout ce qu’il fait pour nous. Nous pouvons aussi lui demander de nous guider, de nous consoler et de nous donner de la force. Si nous considérons la prière comme un honneur, nous prierons Jéhovah à chaque fois que nous en avons l’occasion. – bhs chap17 §14
    Alors qu’il était sur le point de subir une terrible épreuve, Jésus a clairement indiqué que ses disciples ne devaient pas transiger avec leur conscience. Il déclara : “ Tous ceux qui prennent l’épée périront par l’épée. ” (Matthieu 26:52). Pareillement, à notre époque, durant le Jour de Jéhovah, les serviteurs de Dieu doivent rester fermement attachés aux principes bibliques. Il n’y aura pas de salut pour les personnes non repentantes qui adorent la bête sauvage. Il faudra une foi inébranlable, de l’endurance, pour survivre aux persécutions et aux épreuves à venir – re chap28 §24
    Jéhovah enseigne à ceux qui l’adorent à être paisibles Matthieu 26:52. Donc, ils ne prendront pas les armes pour se défendre quand viendra cette attaque. Si Dieu n’intervenait pas pour sauver son peuple, il disparaîtrait. C’est pourquoi le nom de Jéhovah, c’est-à-dire sa réputation, sera en jeu. Si les attaquants parvenaient à éliminer son peuple, Jéhovah passerait pour un Dieu sans amour, injuste et impuissant. Un tel dénouement est impossible. Puisque Dieu ne souhaite la destruction de personne, il avertit avant d’agir. La Bible nous prévient que dans l’avenir, quand Satan et ses alliés humains attaqueront son peuple, Jéhovah interviendra de nouveau et répondra par la force. Elle prédit depuis longtemps que Jéhovah détruira les méchants. À ce moment-là, les attaquants comprendront sans l’ombre d’un doute qu’ils ont provoqué le Tout-Puissant. – TG2012 1/ 2
    Bien qu’il fût le Fils de Dieu, Jésus n’a pas présumé de sa force ni de sa perfection pour endurer. Il s’est tourné vers le ciel, afin de solliciter le soutien de son Père céleste. Jésus n’a pas fait monter vers Dieu seulement des requêtes, mais aussi des supplications. Le mot “ supplication ” désigne une prière particulièrement fervente, un appel au secours. L’utilisation du pluriel indique par ailleurs que Jésus a imploré Jéhovah plusieurs fois, à Gethsémané, par exemple. — Matthieu 26:36-44. Jéhovah étant le Dieu ‘ qui entend la prière ’, Jésus était sûr qu’il ne serait pas insensible à ses supplications (Psaume 65:2). Au ciel, il l’avait vu répondre aux prières de ses adorateurs fidèles, comme lorsqu’un ange s’était présenté devant le prophète Daniel avant même qu’il ait fini de prier (Daniel 9:20, 21). Dès lors, comment le Père aurait-il pu faire la sourde oreille quand son Fils unique-engendré lui ouvrait son cœur avec “ des cris puissants et des larmes ” ? De fait, il a envoyé un ange le fortifier en vue des terribles épreuves qui l’attendaient – cf chap7 §15,16
    Sur le poteau de supplice, Jésus s’est écrié : “ Père, entre tes mains je remets mon esprit. ” (Luc 23:46). Puis il est mort. Quelques heures auparavant, il avait été arrêté et ses amis les plus proches l’avaient abandonné et s’étaient enfuis, parce qu’ils avaient eu peur (Matthieu 26:56). Jésus s’était retrouvé seul. Il n’avait plus qu’une personne auprès de qui puiser de la force : son Père céleste. Et cette confiance n’était pas vaine. Jéhovah a récompensé sa fidélité en le soutenant lui-même avec fidélité. Pour nous également, Jéhovah tient à être Celui de qui nous vient principalement la force. La guerre, la pauvreté, la maladie, la mort ou nos imperfections nous mettent quelquefois à rude épreuve. Quand les tourments de la vie paraissent aussi redoutables qu’un “ puissant ennemi ”, Jéhovah peut être notre force et notre puissance. . Il possède une force extraordinaire qu’il nous propose : son esprit saint. Par le moyen de son esprit, il peut donner “ de la force à celui qui est épuisé ”, au point que celui-ci soit capable de ‘ s’élever avec des ailes, comme les aigles ’.Isaïe 40:29, 31 – TG2004 1/5 p22 §17
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    La pauvreté ne date pas d’hier. Jéhovah avait prévenu les Israélites que les pauvres ne disparaîtraient jamais du pays. Des siècles plus tard, Jésus a affirmé : « Toujours, [...] vous avez les pauvres avec vous » (Mat. 26:11). Qu’entendait-il par-là ? Qu’il y aurait toujours des pauvres sur la terre ? Non, il voulait dire qu’il y aurait des pauvres tant que ce système corrompu existerait. Il savait qu’aucun humain ne serait en mesure de débarrasser le monde de la pauvreté et de l’injustice. Il savait également que ce serait lui qui se chargerait de le faire. Bientôt, il établira un système de choses totalement différent — “ de nouveaux cieux ” et “ une nouvelle terre ” dans laquelle la douleur, la maladie, la pauvreté et la mort auront cessé d’exister. Heureusement, les miracles de Jésus annoncent des jours meilleurs sous la domination du Royaume, quand tous mangeront à satiété – TG2015  15/6 p5 §7
    Le prix de la trahison. Judas fut sans aucun doute piqué au vif par la réprimande de Jésus concernant l’emploi de l’argent. À cet instant, “ Satan entra dans Judas ”, vraisemblablement en ce sens que l’apôtre devenu traître choisit d’exécuter la volonté du Diable, se faisant de son plein gré l’instrument de Satan dont le dessein était de faire obstacle à Christ. Quelques jours plus tard, le 12 Nisan, Judas alla trouver les prêtres en chef ainsi que les capitaines du temple pour savoir combien ils le paieraient s’il livrait Jésus ; ici encore, sa rapacité était flagrante (Mt 26:14-16) - it-2 76-77
    Pourquoi les chefs religieux juifs offrirent-ils seulement 30 pièces d’argent à Judas pour qu’il leur livre Jésus ?
    Trente pièces d’argent, tel fut le prix offert (Mt 26:14, 15). Il semble qu’en fixant cette somme les chefs religieux tinrent à marquer leur mépris à l’égard de Jésus, qu’ils jugeaient de peu de valeur. D’après Exode 21:32, le prix d’un esclave était de 30 sicles. Dans le même esprit, pour son travail de berger du peuple, Zacharie fut payé “ trente pièces d’argent ”. Jéhovah jugea cette somme dédaignable : le salaire de misère versé à Zacharie était proportionnel à l’intérêt que le peuple infidèle portait à Dieu lui-même (Zacharie 11:12, 13). Par conséquent, en offrant seulement 30 pièces d’argent pour Jésus, les chefs religieux le firent passer pour quelqu’un de peu de valeur.
     
    En même temps, toutefois, ils réalisaient Zacharie 11:12, puisqu’en agissant ainsi envers le représentant que Dieu avait envoyé faire œuvre de berger pour Israël, c’est Jéhovah qu’ils traitaient comme quelqu’un de peu de valeur. L’homme corrompu que Judas était devenu “ fut d’accord sur le prix ; et il se mit à chercher une occasion favorable pour le leur livrer Jésus, sans qu’il y ait une foule alentour  - it-2 p77
    Pourquoi, dans la Bible, certains personnages n’ont-ils pas de nom ? Devons-nous en conclure que, dans la Bible, tous ceux dont le nom n’est pas précisé sont méchants ou sans importance ? Non. Prenons un autre exemple : Pour sa dernière Pâque, Jésus a demandé à ses disciples d’« aller à la ville vers un tel » et de faire les préparatifs du repas chez lui (Matthieu 26:18). Si l’homme est appelé « un tel », est-ce parce qu’il était méchant ou sans importance ? Pas du tout. Ce « un tel » était sans doute un disciple de Jésus. Mais comme son nom n’était pas indispensable au récit, il n’a pas été précisé. La Bible n’explique pas à chaque fois pourquoi elle donne le nom de certains et pas d’autres. Mais nous pouvons apprendre beaucoup de ceux qui ont servi fidèlement Jéhovah sans espérer devenir célèbres. – TG2013  1/8
    Dans le récit de Matthieu, Jésus a dit au sujet de la coupe : “ Ceci représente mon ‘ sang de l’alliance ’, qui va être répandu en faveur de beaucoup pour le pardon des péchés. ” (Matthieu 26:28). Jésus se servait du vin dans la coupe comme représentation, ou symbole, de son propre sang. Son sang versé poserait le fondement d’“ une alliance nouvelle ” pour ses disciples oints de l’esprit, qui régneraient en tant que rois et prêtres avec lui dans les cieux. Le vin rappelle également que le sang versé de Jésus serait le fondement nécessaire pour offrir “ le pardon des péchés ” et permettre ainsi aux participants d’être appelés à la vie céleste comme cohéritiers de Christ. On comprend donc que ceux qui reçoivent cet appel céleste, et dont le nombre est limité, sont les seuls à avoir part au pain et au vin lors du Mémorial. Mais qu’en est-il de tous ces disciples de Jésus qui ne font pas partie de la nouvelle alliance ? Ils constituent les “ autres brebis ” du Seigneur qui espèrent, non pas régner avec Christ dans les cieux, mais vivre éternellement sur une terre paradisiaque . – TG2003  1/ 4 p5
    Jésus fit savoir aux disciples que le vin qu’il avait bu (lors de cette Pâque précédant le Mémorial) était le dernier produit de la vigne qu’il boirait ‘ jusqu’à ce jour-là où il le boirait, nouveau, avec eux dans le royaume de son Père ’. (Mt 26:29.) Puisqu’il ne boirait pas au ciel de vin à proprement parler, il faisait de toute évidence allusion à ce que le vin symbolisait parfois dans les Écritures, à savoir la joie. Être ensemble dans le Royaume, c’est ce qu’ils attendaient avec la plus grande impatience. it-2 p762
    Les apôtres se sont une nouvelle fois disputés pour savoir lequel d’entre eux semblait être le plus grand. Sans se départir de sa patience, Jésus, plutôt que de les réprimander, les a fait raisonner. Et c’est alors qu’il leur a parlé de ce qui allait arriver : “ Vous tous, vous trébucherez à mon sujet cette nuit-ci, car il est écrit : ‘ Je frapperai le berger, et les brebis du troupeau seront dispersées. ’ ” (Matthieu 26:31 ; Zacharie 13:7). Il savait en effet que ses compagnons les plus proches l’abandonneraient au moment où il aurait besoin d’eux. Il ne les a pourtant pas condamnés.
    Tout au contraire, il leur a dit : “ Mais après que j’aurai été relevé, je vous précéderai en Galilée. ” (Matthieu 26:32). Par ces paroles, il leur donnait l’assurance que, bien qu’ils l’aient abandonné, lui ne les abandonnerait pas. Une fois cette terrible épreuve passée, il irait de nouveau vers eux. Jésus a tenu parole. Ayant été ressuscité, il est effectivement apparu aux 11 apôtres fidèles, qui s’étaient, semble-t-il, réunis avec de nombreux autres disciples en Galilée – TG2000  15/2 p19
    Il est moins facile de maîtriser sa langue quand on est tendu. Revenons à cet égard sur la nuit qui a précédé la mort de Jésus, un moment où il était “ extrêmement troublé ”. (Matthieu 26:37, 38.) Cela se conçoit aisément, quand on songe que de sa fidélité à Dieu dépendait l’avenir éternel de l’humanité –  TG1996 15/5 p21
    Jésus avait beau prendre plaisir à faire la volonté de Jéhovah, ce n’était pas toujours facile. Songez à ce qui est arrivé juste avant son arrestation, son procès et son exécution. Dans le jardin de Gethsémané, il était ‘ profondément attristé ’ et a été “ pris d’angoisse ”. Il était en proie à une émotion si forte que, tandis qu’il priait, “ sa sueur devint comme des gouttes de sang qui tombaient à terre ”. — Matthieu 26:38 - Pourquoi Jésus était-il angoissé ? Il s’attendait à mourir. Ce qui souciait Jésus, c’était l’incidence que sa mort en criminel méprisé aurait sur Jéhovah et son saint nom. Jésus savait que son Père serait profondément peiné de voir son Fils bien-aimé traité de façon aussi barbare. – TG2000 15/11 p22-23
    Dans le jardin de Gethsémané, la dernière nuit de la vie terrestre de Jésus, Pierre eut avec Jacques et Jean le privilège d’accompagner Jésus jusqu’à l’endroit où celui-ci se mit à prier avec ferveur. Comme les autres apôtres, Pierre s’assoupit, sous l’effet de la fatigue et du chagrin. Sans doute parce que cet apôtre avait clamé si haut et si fort sa détermination de demeurer avec lui, c’est à Pierre surtout que Jésus s’adressa quand il déclara : “ Ainsi, vous n’avez pas pu veiller une heure avec moi ? ” (Mt 26:36-45). Pierre omit de ‘ prier sans cesse ’ et il en subit les conséquences. - it-2 p585
    Trois fois Jésus a prié son Père céleste avec ferveur, et trois fois il est revenu auprès de ses amis, mais les a trouvés en train de dormir. — Matthieu 26:40, 43, 45. Pourquoi ces hommes fidèles ont-ils déçu Jésus cette nuit-là ? En partie parce qu’ils étaient fatigués. Il était tard, probablement après minuit, et “ leurs yeux étaient lourds ” de sommeil (Matthieu 26:43). Néanmoins, Jésus a déclaré : “ Veillez et priez sans cesse, pour que vous n’entriez pas en tentation. L’esprit, en effet, est ardent, mais la chair est faible. ” — Matthieu 26:41. Il ne fait aucun doute que Jésus aussi était fatigué en cette nuit historique. Toutefois, au lieu de s’endormir, il a consacré ses derniers moments de liberté à prier avec ferveur. Si nous écoutons le conseil de Jésus et suivons son excellent exemple dans le domaine de la prière, nos supplications sincères nous aideront à demeurer spirituellement éveillés. Évidemment, Jésus savait (ce que ses disciples ignoraient alors) qu’il allait être arrêté et condamné à mort. Ses épreuves atteindraient leur paroxysme lorsqu’il agoniserait sur le poteau de supplice. Jésus avait annoncé tout cela à ses apôtres, mais ils ne l’avaient pas compris. C’est pourquoi ils se sont endormis pendant que lui restait éveillé et priait. Il en va de nous comme des apôtres : notre chair est faible et nous ignorons certaines choses à venir. Cependant, si nous perdons de vue la gravité de notre époque, nous risquons de nous endormir au sens spirituel. Ce n’est qu’en étant vigilants que nous resterons éveillés – TG2003 1/1 p20
    Puisque Jésus a subi de rudes pressions dans son service pour Jéhovah, nous pouvons nous attendre à ce que Satan s’acharne contre nous. Et comme nous sommes imparfaits, même si nous servons Dieu avec plaisir, ce ne sera pas facile. Jésus a vu le combat que menaient ses apôtres pour faire tout ce qu’il leur demandait. C’est la raison pour laquelle il a déclaré : “ L’esprit, en effet, est ardent, mais la chair est faible. ” (Matthieu 26:41). Dans sa chair humaine parfaite, rien n’était faible par nature. Toutefois, il restait conscient de la faiblesse de la chair de ses disciples, l’imperfection qu’ils avaient héritée d’Adam devenu imparfait. Il savait qu’à cause de cette imperfection et des limites qu’elle leur imposait ils devraient se battre pour faire tout ce qu’ils voudraient au service de Jéhovah. – TG2000 15/11 p23
    Chez les humains qui s’efforcent de servir Dieu, ‘ l’esprit [la force d’impulsion émanant du cœur symbolique] est ardent, mais la chair est faible ’. (Mt 26:41.) Un combat incessant se livre donc au-dedans des serviteurs de Dieu ; l’esprit saint de Dieu constitue une force poussant à la justice, mais la chair pécheresse combat sans relâche l’influence de l’esprit et fait pression sur la personne pour l’inciter à accomplir les œuvres de la chair. - it-1 p419
    Peu après avoir été ainsi affermi, Jésus dit à ses apôtres :  Levez-vous, allons-nous-en ou selon d’autres versions : ‘Allons-y . ” (Matthieu 26:46). Quel courage dans ces paroles ! Il dit cela tout en sachant qu’il va demander à la foule d’épargner ses amis, que ceux-ci vont l’abandonner et s’enfuir, qu’il va se retrouver seul pour affronter la pire épreuve de sa vie. Et c’est seul, effectivement, qu’il va subir un procès illégal et injuste, les moqueries, le supplice et une mort atroce. Mais à aucun moment son courage n’a faibli. Jésus était-il téméraire ? Non. La témérité n’a rien à voir avec le vrai courage. Du reste, il a recommandé à ses disciples d’être prudents, de partir en cas de danger pour être en mesure de continuer à faire la volonté de Dieu (Matthieu 4:12 ; 10:16). Mais, en la circonstance, il savait qu’il n’y avait pas d’échappatoire possible. La volonté de Dieu était en cause. Déterminé à rester intègre, Jésus ne pouvait faire autrement que d’affronter l’épreuve. - cf p43-45
    Un peu plus tard, Judas trouva Jésus et les apôtres fidèles dans le jardin de Gethsémané, lieu que le traître connaissait bien, car ils s’y étaient retrouvés plus d’une fois. Judas précédait une grande foule, qui comptait des soldats romains et un commandant. Ces gens portaient des bâtons et des épées, ainsi que des torches et des lampes, qui leur seraient utiles si des nuages cachaient la pleine lune ou si Jésus était dans l’ombre. Les Romains ne reconnaîtraient probablement pas Jésus ; c’est pourquoi, selon un signe convenu, Judas salua Christ et poussa l’hypocrisie jusqu’à ‘ l’embrasser très tendrement ’, afin qu’on sache que c’était lui (Mt 26:47-49) Après coup, Judas saisit la gravité de sa culpabilité. Au matin, il essaya de rendre les 30 pièces d’argent, mais les prêtres en chef les refusèrent. Finalement, il jeta l’argent dans le temple. it-2 p77
    Les apôtres ont pu constater la haine intense du monde quand Jésus a été arrêté et exécuté ; ils ont vu aussi comment il s’est comporté face à cette haine. Lorsque les ennemis religieux de Jésus sont venus l’arrêter dans le jardin de Gethsémané, Pierre a tenté de s’interposer en se servant d’une épée. Mais Jésus lui a dit : “ Remets ton épée à sa place, car tous ceux qui prennent l’épée périront par l’épée. ” (Matthieu 26:52). Les Israélites d’autrefois combattaient leurs ennemis avec des épées. Mais les circonstances n’étaient plus les mêmes. Ne faisant “ pas partie du monde ”, le Royaume de Dieu n’avait pas de frontières à défendre. Pierre ferait bientôt partie d’une nation spirituelle, dont les membres auraient leur droit de cité dans les cieux. Désormais, les disciples de Jésus affronteraient donc la haine et la persécution de la même façon que leur Maître : avec courage, mais dans la paix. Ils placeraient leur confiance en Jéhovah, lui laissant le soin de régler la question et comptant sur lui pour leur donner la force d’endurer. Sur le plan personnel, soyons déterminés à agir de même quand les circonstances l’exigent – TG2005 1/1 p11
    Tandis que Jésus est conduit ailleurs, ils le suivent, mais « à bonne distance » (Mat. 26:58). Pierre n’est pas un lâche. Il lui faut du courage pour suivre Jésus. Surtout que la foule est armée et que parmi elle se trouve un homme qu’il a blessé. Enfin, Pierre est quand même loin du modèle d’amour fidèle qu’il a prétendu être, lui qui s’est déclaré prêt à mourir avec le Seigneur  Aujourd’hui aussi, beaucoup veulent suivre le Christ « à bonne distance », c’est-à-dire sans que personne ne le remarque. Toutefois, comme Pierre lui-même l’écrira, la seule bonne façon de suivre le Christ, c’est de rester proche de lui, de l’imiter fidèlement, quoi qu’il en coûte - ia p199-200
    En optant parfois pour le silence, Jésus a manifesté une prudence et un discernement admirables. Comprenant que s’exprimer dans le climat hostile suscité par ses ennemis ne servirait à rien, il ‘ s’est tu ’. (Mat. 26:63.) Plus tard, lors de son procès devant Pilate, il “ ne répondit rien ”. Avec prudence, il décida de laisser parler les faits. Nous aurons, nous aussi, la sagesse de retenir nos lèvres, en particulier lorsqu’on nous provoque. Dans une situation éprouvante, répondre hâtivement pourrait nous amener à lâcher des paroles que nous regretterions ensuite. Nos propos risqueraient de sembler stupides, ce qui troublerait notre sérénité – TG2009 15/5 p4
    Si un chrétien est appelé à témoigner devant un tribunal, peut-il jurer de dire toute la vérité en posant la main sur la Bible ?
    Il n’y a aucune objection à cela, bien qu’il appartienne à chacun de décider de faire ce serment ou de demander à en être dispensé. La coutume qui consiste à faire un serment en mettant la main sur un objet considéré comme sacré s’est largement répandue. Par exemple, les Grecs de l’Antiquité prenaient un engagement solennel en levant la main ou en la posant sur un autel. Chez les Romains, le jureur tenait une pierre dans la main et jurait, disant que s’il mentait Jupiter devait le rejeter tout comme lui jetait la pierre. De tels actes révèlent la tendance humaine à reconnaître l’existence d’une divinité puissante à qui les hommes doivent rendre compte de leurs paroles et de leurs actes. Sans aucun doute, les adorateurs du vrai Dieu, Jéhovah, sont de cet avis. D’ailleurs, la Bible montre qu’ils ont fait des serments comme si Jéhovah était présent ou en le prenant à témoin. Les vrais adorateurs de Dieu ont également accepté que d’autres leur imposent un serment. Mat. 26:63.
    Il est évident qu’un chrétien n’est pas tenu de faire un serment pour appuyer chacune de ses déclarations. Son Oui devrait signifier Oui et son Non, Non. Par conséquent, s’il se présente devant un tribunal et qu’on lui demande de jurer de dire la vérité, le chrétien peut décider de faire un tel serment. Il se peut aussi qu’on lui permette simplement de certifier qu’il ne ment pas. Si la coutume veut que celui qui comparaît devant un tribunal lève la main ou la pose sur la Bible en jurant de dire la vérité, un chrétien est libre de se soumettre à cette règle compte tenu des exemples bibliques de serments appuyés par un geste. Mais ce n’est pas tellement le serment accompagné d’un geste qui compte, c’est plutôt le fait que le jureur jure devant Dieu de dire la vérité. Un tel serment est donc une chose grave. Par conséquent, si un chrétien pense qu’il peut et doit répondre à une question dans ces conditions, il est alors tenu de dire la vérité. – TG1976  1/11
    Quel est le sens des paroles de Jésus : “ C’est toi qui l’as dit ” ? Quand Caïphe, le grand prêtre juif, a ordonné à Jésus de déclarer publiquement s’il était le Christ, le Fils de Dieu, Jésus a répondu : “ C’est toi qui l’as dit. ” (Matthieu 26:63, 64). Qu’entendait-il par-là ? Jésus n’essayait pas d’esquiver la question de Caïphe. L’expression “ c’est toi qui l’as dit ” était apparemment une tournure juive courante pour affirmer qu’une déclaration était exacte. Garder le silence aurait pu laisser entendre qu’il niait être le Christ. La réplique de Jésus “ c’est toi qui l’as dit ” était donc une réponse affirmative au grand prêtre km2013/2
    Jésus annonça qu’il serait condamné par les prêtres en chef et attaché sur un poteau par les Gentils, mais que le troisième jour il serait relevé (Mat. 20:17-19). Lorsqu’il affirma devant le Sanhédrin qu’il était “ le Christ le Fils de Dieu ”, on jugea qu’il avait blasphémé (Mat. 26:63-66). Pilate ne trouva en lui ‘ rien qui mérite la mort ’, mais parce que les Juifs l’accusaient aussi de sédition, Pilate “ livra Jésus à leur volonté ”. (Luc 23:13-15, 25.)
    Ainsi, ils ‘ renièrent ’ “ l’Agent principal de la vie ” et tramèrent sa mort, bien qu’il fût incontestable qu’il avait été envoyé par Dieu. Attaché à un poteau le jour de la Pâque de l’an 33 de notre ère, le Messie fut “ retranché ”, comme cela avait été prédit (Dan. 9:26, 27). Par cette mort cruelle, il subit la blessure “ au talon ” prophétisée en Genèse 3:15. Quand vous parlez de la vérité, attirez-vous l’attention des gens sur le rôle que Jésus exerce en tant que Messie ? Ce faisant, vous ressentirez davantage de reconnaissance pour ce que Jésus a fait pour vous par le passé, pour ce qu’il fait actuellement et pour ce qu’il ne manquera pas de faire dans l’avenir. – TG2009 15/12 p22 §13,21
    Le roi Salomon a écrit : “ L’homme a dominé l’homme à son détriment. ” (Ecclésiaste 8:9). Jésus savait que ces paroles étaient vraies. Du ciel, en effet, il avait vu les injustices criantes que des humains infligeaient à d’autres. Sur la terre, il a lui-même essuyé la plus grande injustice imaginable, puisque, sans avoir commis aucun péché, il a été accusé de blasphème et mis à mort comme un criminel (Matthieu 26:63-66). Aujourd’hui, l’injustice est toujours répandue, et les vrais chrétiens en ont souffert plus que leur compte, étant “ les objets de la haine de toutes les nations ”. Pourtant, bien qu’ils aient vécu des horreurs dans les camps de la mort nazis et dans les goulags soviétiques, bien que des foules les aient pris à partie, bien qu’ils aient été victimes de fausses accusations et d’attaques mensongères, la paix du Christ leur a permis de rester fermes. Ils ont imité Jésus, à propos de qui on lit : “ Quand on l’insultait, il ne rendait pas l’insulte. Quand il souffrait, il ne menaçait pas, mais il s’en remettait toujours à celui qui juge avec justice. ” — 1 Pierre 2:23. – TG2001 1/9 p14 §4
    Matthieu 26:74 veut-il  dire que, sous la pression des circonstances, l’apôtre Pierre prononça des jurons ? Non; ce verset décrit la façon dont Pierre réagit quand, après l’arrestation de Jésus, on l’accusa d’être un des disciples du Nazaréen. En Matthieu 26:74, Pierre va renier son Maître pour la troisième fois. Nous lisons: “Alors il commença à faire des imprécations et à jurer: ‘Je ne connais pas cet homme !’”Dans certaines langues, les expressions “faire des imprécations” et “jurer” peuvent faire penser à des jurons. Mais quand Pierre a fait des ‘imprécations’ et a ‘juré’, il ne s’est pas répandu en jurons comme font beaucoup de gens lorsqu’ils sont en colère.
    Dans la Bible, aussi bien dans le texte hébreu que dans le texte grec, “faire une imprécation”, c’était appeler le mal sur quelqu’un ou sur quelque chose. Ce n’était pas blasphémer, et parfois cela n’avait aucun rapport avec la colère. Pour attester la vérité de sa déclaration, il arrivait qu’un homme prononce une imprécation. Il disait en fait: ‘Que je sois maudit si ce que je dis n’est pas vrai; que le mal vienne sur moi !’ Pareillement, quelqu’un pouvait “jurer” pour une chose, affirmant sous serment qu’il disait la vérité et appelant sur lui tel ou tel malheur s’il mentait.
    Ainsi, Pierre n’a pas blasphémé, mais, pris de peur, il a essayé de convaincre ceux qui l’entouraient qu’il leur disait la vérité en niant être un disciple du Christ. Évidemment, il s’agissait là d’un mensonge dont il dut se repentir par la suite. La Bible montre clairement que le chrétien ne doit pas prononcer de juron lorsqu’elle dit: “Qu’aucune parole ordurière ne sorte de votre bouche.” — Éph. 4:29. – TG1982  1/3
     
     
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MATTHIEU 26
    Matthieu 26:17 : Pourquoi le 13 nisan est-il appelé le « premier jour de la fête des Pains sans levain » ? (nwtsty, note d’étude).
    « Le premier jour des Gâteaux sans levain, les disciples s’avancèrent vers Jésus, en disant : “ Où veux-tu que nous fassions les préparatifs pour que tu manges la Pâque ? ” »
    Le premier jour de la fête des Pains sans levain : La fête des Pains sans levain commençait le 15 nisan, le lendemain de la Pâque (14 nisan), et durait sept jours (voir sgd, partie 19). Toutefois, à l’époque de Jésus, la Pâque avait fini par être étroitement liée à cette fête, si bien que les huit jours de fête, 14 nisan inclus, étaient parfois appelés « la fête des Pains sans levain » (Lc 22:1).
    Dans ce contexte, l’expression « le premier jour de » pourrait être rendue par « le jour avant ». (Comparer avec Jean 1:15, 30, où le mot grec pour « premier » [prôtos] est traduit par « avant » dans une construction semblable, à savoir « il existait avant [prôtos] moi ».) Donc, le grec original, tout comme la coutume juive, laisse penser que les disciples ont posé leur question à Jésus le 13 nisan. Durant la journée du 13 nisan, les disciples ont fait les préparatifs de la Pâque, qui a été célébrée plus tard « après que le soir fut tombé » au début du 14 nisan (Mc 14:16, 17). - nwtsty, note d’étude
    La première fête avait lieu durant le premier mois de l’ancien calendrier biblique, du 15 au 21 Nisan, ce qui correspond aujourd’hui à la fin mars ou au début avril. Elle était appelée fête des Gâteaux sans levain, et parce qu’elle faisait immédiatement suite à la Pâque du 14 Nisan, elle était aussi appelée “ fête de la Pâque ”. Cette fête rappelait aux Israélites qu’ils avaient été délivrés de l’affliction subie en Égypte, et les gâteaux sans levain étaient d’ailleurs appelés “ le pain d’affliction ”. Elle leur rappelait aussi que la fuite d’Égypte avait été si précipitée qu’elle ne leur avait pas laissé le temps d’ajouter du levain à la pâte et d’attendre que celle-ci ait levé. Pendant cette fête, on ne devait trouver de pain au levain dans aucun foyer israélite. Tout participant à la fête, même un résident étranger, qui mangeait du pain levé était mis à mort – TG1998  1/3
    Matthieu 26:39 : Qu’est-ce qui a peut-être incité Jésus à prier : « Que cette coupe passe loin de moi » ? (nwtsty, note d’étude).
    « Et s’avançant un peu, il tomba sur sa face, priant et disant : “ Mon Père, si c’est possible, que cette coupe passe loin de moi. Toutefois, non pas comme je veux, mais comme tu veux. ” »
    Fais que cette coupe passe loin : Dans la Bible, le mot « coupe » est souvent utilisé dans un sens figuré pour parler de la part que Dieu a accordée à une personne, c’est-à-dire sa volonté la concernant. Il ne fait aucun doute que Jésus s’inquiétait vivement à l’idée que son exécution pour blasphème et sédition ne jette le discrédit sur Dieu, ce qui l’a poussé à prier pour que cette « coupe » passe loin de lui. - nwtsty, note d’étude
    La “ coupe ” symbolique que Jéhovah versa à Jésus Christ était Sa volonté le concernant. Quant à Jésus, s’il pria pour que, si possible, cette “ coupe ” passe loin de lui, ce fut sans aucun doute parce qu’il s’inquiétait vivement à l’idée que son Père serait couvert d’opprobre par sa mort en criminel accusé de blasphème et de sédition. Toutefois, il était disposé à se soumettre à la volonté de Jéhovah et à la boire - La part, la “ coupe ”, assignée par Jéhovah à Jésus signifiait non seulement des souffrances, mais aussi le baptême dans la mort dont l’issue serait la résurrection pour la vie immortelle au ciel. Cette coupe était donc également “ la coupe du salut grandiose ” pour le Christ. Cette “ coupe ” que Jésus Christ reçut à boire, il la partage aussi, conformément à la volonté divine, avec le “ petit troupeau ” de ses cohéritiers du Royaume. – it2 p733
    Vers la fin de sa vie terrestre, Jésus s’est trouvé face à une situation des plus délicates. Tout au long de son ministère, il s’était déclaré prêt à donner sa vie en sacrifice. Cependant, il savait qu’il allait être accusé mensongèrement, reconnu coupable par la loi juive et mis à mort comme blasphémateur. Cet aspect des choses l’angoissait terriblement. Aussi a-t-il prié en ces termes : “ Mon Père, si c’est possible, que cette coupe passe loin de moi. ” Mais il a ajouté : “ Toutefois, non pas comme je veux, mais comme tu veux. ” (Mat. 26:39). En restant fidèle jusqu’à la mort, Jésus a révélé sans l’ombre d’un doute que Jéhovah était la personne la plus importante dans sa vie – TG2011  15/5 p18-19 §12
    Jésus avait beau prendre plaisir à faire la volonté de Jéhovah, ce n’était pas toujours facile. Songez à ce qui est arrivé juste avant son arrestation, son procès et son exécution. Dans le jardin de Gethsémané, il était ‘ profondément attristé ’ et a été “ pris d’angoisse ”. Il était en proie à une émotion si forte que, tandis qu’il priait, “ sa sueur devint comme des gouttes de sang qui tombaient à terre ”. — Matthieu 26:38.
    Pourquoi Jésus était-il angoissé ? Certainement pas parce qu’il ne pensait qu’à lui ni parce qu’il rechignait à faire la volonté de Dieu. Il s’attendait à mourir ; témoin sa réaction vive à ces paroles de Pierre : “ Sois bon avec toi, Seigneur ; non, tu n’auras pas un tel sort. ” (Matthieu 16:21-23). Ce qui souciait Jésus, c’était l’incidence que sa mort en criminel méprisé aurait sur Jéhovah et son saint nom. Jésus savait que son Père serait profondément peiné de voir son Fils bien-aimé traité de façon aussi barbare.
    Jésus comprenait également qu’il arrivait à un moment décisif dans l’accomplissement du dessein de Jéhovah. S’il suivait fidèlement les lois de Dieu, il démontrerait sans conteste qu’Adam aurait pu prendre le même parti. Sa fidélité réfuterait complètement Satan, qui a prétendu que dans l’épreuve les humains ne serviraient pas Dieu de bon gré et fidèlement. Grâce à Jésus, Jéhovah écraserait finalement Satan et effacerait les conséquences de sa rébellion.
    Une lourde responsabilité pesait sur les épaules de Jésus. Le nom de son Père, la paix de l’univers et le salut de la famille humaine dépendaient de sa fidélité. Il en était conscient. C’est pourquoi il a prononcé cette prière : “ Mon Père, si c’est possible, que cette coupe passe loin de moi. Toutefois, non pas comme je veux, mais comme tu veux. ” (Mat.26:39). Même sous les tensions les plus fortes, Jésus n’a jamais cessé de se soumettre de bon gré à la volonté de son Père. TG2000 15/11p22
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Dieu ne pardonne pas tout - Il y a des péchés que Dieu ne pardonne pas. Judas Iscariote a laissé son cœur devenir ainsi. “ Il aurait mieux valu pour lui qu’il ne soit pas né, cet homme-là ”, a déclaré Jésus (Matthieu 26:24, 25). Et, à certains chefs religieux de son époque, il a lancé : “ Vous venez, vous, de votre père le Diable. Comme Satan, ces hommes étaient corrompus jusqu’à la moelle. Ils ne regrettaient pas ce qu’ils avaient fait, mais ils s’endurcissaient dans leurs voies mauvaises. Bien sûr, à cause de leur imperfection et de leur faiblesse, même les vrais chrétiens pèchent, parfois gravement. Cependant, leurs défaillances ne reflètent pas une inclination invétérée au mal. – RV2008 Février
    Pierre n’oubliera pas l’épisode du jardin de Gethsémané. Il va comprendre dans la douleur ce que peut coûter un manque de vigilance. Un peu plus tôt, Jésus avait affirmé : « Vous tous, vous trébucherez à mon sujet cette nuit-ci. » Pierre s’était alors exclamé : « Même si tous les autres trébuchent à ton sujet, moi, jamais je ne trébucherai. » Mais, avait répondu Jésus, Pierre le renierait trois fois. Imperturbable, l’apôtre avait déclaré : « Même si je devais mourir avec toi, non je ne te renierai pas » (Mat. 26:31-35). Pourtant, comme prédit, il a trébuché. Anéanti à la suite de son dernier reniement, il « pleura amèrement » Tirant certainement leçon de cet évènement, Pierre a surmonté sa tendance à être trop sûr de lui. La prière l’y a de toute évidence aidé. D’ailleurs, l’exhortation à être « vigilants en vue des prières » vient de lui. Suivons-nous ce conseil divinement inspiré ? De plus, prions-nous Jéhovah « sans cesse », reconnaissant que nous dépendons de lui ?. Retenons également cet avertissement de Paul : « Que celui qui pense être debout prenne garde de ne pas tomber » (1 Cor. 10:12). TG2013 15/11§10,11
    Devons-nous prier souvent ? Oui. Jéhovah nous encourage à lui parler régulièrement. La Bible dit que nous devons « prier sans cesse », « persévérer dans la prière » et « prier constamment » (Matthieu 26:41). Jéhovah est toujours prêt à nous écouter. Nous pouvons le remercier chaque jour pour son amour et pour tout ce qu’il fait pour nous. Nous pouvons aussi lui demander de nous guider, de nous consoler et de nous donner de la force. Si nous considérons la prière comme un honneur, nous prierons Jéhovah à chaque fois que nous en avons l’occasion. – bhs chap17 §14
    Alors qu’il était sur le point de subir une terrible épreuve, Jésus a clairement indiqué que ses disciples ne devaient pas transiger avec leur conscience. Il déclara : “ Tous ceux qui prennent l’épée périront par l’épée. ” (Matthieu 26:52). Pareillement, à notre époque, durant le Jour de Jéhovah, les serviteurs de Dieu doivent rester fermement attachés aux principes bibliques. Il n’y aura pas de salut pour les personnes non repentantes qui adorent la bête sauvage. Il faudra une foi inébranlable, de l’endurance, pour survivre aux persécutions et aux épreuves à venir – re chap28 §24
    Jéhovah enseigne à ceux qui l’adorent à être paisibles Matthieu 26:52. Donc, ils ne prendront pas les armes pour se défendre quand viendra cette attaque. Si Dieu n’intervenait pas pour sauver son peuple, il disparaîtrait. C’est pourquoi le nom de Jéhovah, c’est-à-dire sa réputation, sera en jeu. Si les attaquants parvenaient à éliminer son peuple, Jéhovah passerait pour un Dieu sans amour, injuste et impuissant. Un tel dénouement est impossible. Puisque Dieu ne souhaite la destruction de personne, il avertit avant d’agir. La Bible nous prévient que dans l’avenir, quand Satan et ses alliés humains attaqueront son peuple, Jéhovah interviendra de nouveau et répondra par la force. Elle prédit depuis longtemps que Jéhovah détruira les méchants. À ce moment-là, les attaquants comprendront sans l’ombre d’un doute qu’ils ont provoqué le Tout-Puissant. – TG2012 1/ 2
    Bien qu’il fût le Fils de Dieu, Jésus n’a pas présumé de sa force ni de sa perfection pour endurer. Il s’est tourné vers le ciel, afin de solliciter le soutien de son Père céleste. Jésus n’a pas fait monter vers Dieu seulement des requêtes, mais aussi des supplications. Le mot “ supplication ” désigne une prière particulièrement fervente, un appel au secours. L’utilisation du pluriel indique par ailleurs que Jésus a imploré Jéhovah plusieurs fois, à Gethsémané, par exemple. — Matthieu 26:36-44. Jéhovah étant le Dieu ‘ qui entend la prière ’, Jésus était sûr qu’il ne serait pas insensible à ses supplications (Psaume 65:2). Au ciel, il l’avait vu répondre aux prières de ses adorateurs fidèles, comme lorsqu’un ange s’était présenté devant le prophète Daniel avant même qu’il ait fini de prier (Daniel 9:20, 21). Dès lors, comment le Père aurait-il pu faire la sourde oreille quand son Fils unique-engendré lui ouvrait son cœur avec “ des cris puissants et des larmes ” ? De fait, il a envoyé un ange le fortifier en vue des terribles épreuves qui l’attendaient – cf chap7 §15,16
    Sur le poteau de supplice, Jésus s’est écrié : “ Père, entre tes mains je remets mon esprit. ” (Luc 23:46). Puis il est mort. Quelques heures auparavant, il avait été arrêté et ses amis les plus proches l’avaient abandonné et s’étaient enfuis, parce qu’ils avaient eu peur (Matthieu 26:56). Jésus s’était retrouvé seul. Il n’avait plus qu’une personne auprès de qui puiser de la force : son Père céleste. Et cette confiance n’était pas vaine. Jéhovah a récompensé sa fidélité en le soutenant lui-même avec fidélité. Pour nous également, Jéhovah tient à être Celui de qui nous vient principalement la force. La guerre, la pauvreté, la maladie, la mort ou nos imperfections nous mettent quelquefois à rude épreuve. Quand les tourments de la vie paraissent aussi redoutables qu’un “ puissant ennemi ”, Jéhovah peut être notre force et notre puissance. . Il possède une force extraordinaire qu’il nous propose : son esprit saint. Par le moyen de son esprit, il peut donner “ de la force à celui qui est épuisé ”, au point que celui-ci soit capable de ‘ s’élever avec des ailes, comme les aigles ’.Isaïe 40:29, 31 – TG2004 1/5 p22 §17
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    La pauvreté ne date pas d’hier. Jéhovah avait prévenu les Israélites que les pauvres ne disparaîtraient jamais du pays. Des siècles plus tard, Jésus a affirmé : « Toujours, [...] vous avez les pauvres avec vous » (Mat. 26:11). Qu’entendait-il par-là ? Qu’il y aurait toujours des pauvres sur la terre ? Non, il voulait dire qu’il y aurait des pauvres tant que ce système corrompu existerait. Il savait qu’aucun humain ne serait en mesure de débarrasser le monde de la pauvreté et de l’injustice. Il savait également que ce serait lui qui se chargerait de le faire. Bientôt, il établira un système de choses totalement différent — “ de nouveaux cieux ” et “ une nouvelle terre ” dans laquelle la douleur, la maladie, la pauvreté et la mort auront cessé d’exister. Heureusement, les miracles de Jésus annoncent des jours meilleurs sous la domination du Royaume, quand tous mangeront à satiété – TG2015  15/6 p5 §7
    Le prix de la trahison. Judas fut sans aucun doute piqué au vif par la réprimande de Jésus concernant l’emploi de l’argent. À cet instant, “ Satan entra dans Judas ”, vraisemblablement en ce sens que l’apôtre devenu traître choisit d’exécuter la volonté du Diable, se faisant de son plein gré l’instrument de Satan dont le dessein était de faire obstacle à Christ. Quelques jours plus tard, le 12 Nisan, Judas alla trouver les prêtres en chef ainsi que les capitaines du temple pour savoir combien ils le paieraient s’il livrait Jésus ; ici encore, sa rapacité était flagrante (Mt 26:14-16) - it-2 76-77
    Pourquoi les chefs religieux juifs offrirent-ils seulement 30 pièces d’argent à Judas pour qu’il leur livre Jésus ?
    Trente pièces d’argent, tel fut le prix offert (Mt 26:14, 15). Il semble qu’en fixant cette somme les chefs religieux tinrent à marquer leur mépris à l’égard de Jésus, qu’ils jugeaient de peu de valeur. D’après Exode 21:32, le prix d’un esclave était de 30 sicles. Dans le même esprit, pour son travail de berger du peuple, Zacharie fut payé “ trente pièces d’argent ”. Jéhovah jugea cette somme dédaignable : le salaire de misère versé à Zacharie était proportionnel à l’intérêt que le peuple infidèle portait à Dieu lui-même (Zacharie 11:12, 13). Par conséquent, en offrant seulement 30 pièces d’argent pour Jésus, les chefs religieux le firent passer pour quelqu’un de peu de valeur.
     
    En même temps, toutefois, ils réalisaient Zacharie 11:12, puisqu’en agissant ainsi envers le représentant que Dieu avait envoyé faire œuvre de berger pour Israël, c’est Jéhovah qu’ils traitaient comme quelqu’un de peu de valeur. L’homme corrompu que Judas était devenu “ fut d’accord sur le prix ; et il se mit à chercher une occasion favorable pour le leur livrer Jésus, sans qu’il y ait une foule alentour  - it-2 p77
    Pourquoi, dans la Bible, certains personnages n’ont-ils pas de nom ? Devons-nous en conclure que, dans la Bible, tous ceux dont le nom n’est pas précisé sont méchants ou sans importance ? Non. Prenons un autre exemple : Pour sa dernière Pâque, Jésus a demandé à ses disciples d’« aller à la ville vers un tel » et de faire les préparatifs du repas chez lui (Matthieu 26:18). Si l’homme est appelé « un tel », est-ce parce qu’il était méchant ou sans importance ? Pas du tout. Ce « un tel » était sans doute un disciple de Jésus. Mais comme son nom n’était pas indispensable au récit, il n’a pas été précisé. La Bible n’explique pas à chaque fois pourquoi elle donne le nom de certains et pas d’autres. Mais nous pouvons apprendre beaucoup de ceux qui ont servi fidèlement Jéhovah sans espérer devenir célèbres. – TG2013  1/8
    Dans le récit de Matthieu, Jésus a dit au sujet de la coupe : “ Ceci représente mon ‘ sang de l’alliance ’, qui va être répandu en faveur de beaucoup pour le pardon des péchés. ” (Matthieu 26:28). Jésus se servait du vin dans la coupe comme représentation, ou symbole, de son propre sang. Son sang versé poserait le fondement d’“ une alliance nouvelle ” pour ses disciples oints de l’esprit, qui régneraient en tant que rois et prêtres avec lui dans les cieux. Le vin rappelle également que le sang versé de Jésus serait le fondement nécessaire pour offrir “ le pardon des péchés ” et permettre ainsi aux participants d’être appelés à la vie céleste comme cohéritiers de Christ. On comprend donc que ceux qui reçoivent cet appel céleste, et dont le nombre est limité, sont les seuls à avoir part au pain et au vin lors du Mémorial. Mais qu’en est-il de tous ces disciples de Jésus qui ne font pas partie de la nouvelle alliance ? Ils constituent les “ autres brebis ” du Seigneur qui espèrent, non pas régner avec Christ dans les cieux, mais vivre éternellement sur une terre paradisiaque . – TG2003  1/ 4 p5
    Jésus fit savoir aux disciples que le vin qu’il avait bu (lors de cette Pâque précédant le Mémorial) était le dernier produit de la vigne qu’il boirait ‘ jusqu’à ce jour-là où il le boirait, nouveau, avec eux dans le royaume de son Père ’. (Mt 26:29.) Puisqu’il ne boirait pas au ciel de vin à proprement parler, il faisait de toute évidence allusion à ce que le vin symbolisait parfois dans les Écritures, à savoir la joie. Être ensemble dans le Royaume, c’est ce qu’ils attendaient avec la plus grande impatience. it-2 p762
    Les apôtres se sont une nouvelle fois disputés pour savoir lequel d’entre eux semblait être le plus grand. Sans se départir de sa patience, Jésus, plutôt que de les réprimander, les a fait raisonner. Et c’est alors qu’il leur a parlé de ce qui allait arriver : “ Vous tous, vous trébucherez à mon sujet cette nuit-ci, car il est écrit : ‘ Je frapperai le berger, et les brebis du troupeau seront dispersées. ’ ” (Matthieu 26:31 ; Zacharie 13:7). Il savait en effet que ses compagnons les plus proches l’abandonneraient au moment où il aurait besoin d’eux. Il ne les a pourtant pas condamnés.
    Tout au contraire, il leur a dit : “ Mais après que j’aurai été relevé, je vous précéderai en Galilée. ” (Matthieu 26:32). Par ces paroles, il leur donnait l’assurance que, bien qu’ils l’aient abandonné, lui ne les abandonnerait pas. Une fois cette terrible épreuve passée, il irait de nouveau vers eux. Jésus a tenu parole. Ayant été ressuscité, il est effectivement apparu aux 11 apôtres fidèles, qui s’étaient, semble-t-il, réunis avec de nombreux autres disciples en Galilée – TG2000  15/2 p19
    Il est moins facile de maîtriser sa langue quand on est tendu. Revenons à cet égard sur la nuit qui a précédé la mort de Jésus, un moment où il était “ extrêmement troublé ”. (Matthieu 26:37, 38.) Cela se conçoit aisément, quand on songe que de sa fidélité à Dieu dépendait l’avenir éternel de l’humanité –  TG1996 15/5 p21
    Jésus avait beau prendre plaisir à faire la volonté de Jéhovah, ce n’était pas toujours facile. Songez à ce qui est arrivé juste avant son arrestation, son procès et son exécution. Dans le jardin de Gethsémané, il était ‘ profondément attristé ’ et a été “ pris d’angoisse ”. Il était en proie à une émotion si forte que, tandis qu’il priait, “ sa sueur devint comme des gouttes de sang qui tombaient à terre ”. — Matthieu 26:38 - Pourquoi Jésus était-il angoissé ? Il s’attendait à mourir. Ce qui souciait Jésus, c’était l’incidence que sa mort en criminel méprisé aurait sur Jéhovah et son saint nom. Jésus savait que son Père serait profondément peiné de voir son Fils bien-aimé traité de façon aussi barbare. – TG2000 15/11 p22-23
    Dans le jardin de Gethsémané, la dernière nuit de la vie terrestre de Jésus, Pierre eut avec Jacques et Jean le privilège d’accompagner Jésus jusqu’à l’endroit où celui-ci se mit à prier avec ferveur. Comme les autres apôtres, Pierre s’assoupit, sous l’effet de la fatigue et du chagrin. Sans doute parce que cet apôtre avait clamé si haut et si fort sa détermination de demeurer avec lui, c’est à Pierre surtout que Jésus s’adressa quand il déclara : “ Ainsi, vous n’avez pas pu veiller une heure avec moi ? ” (Mt 26:36-45). Pierre omit de ‘ prier sans cesse ’ et il en subit les conséquences. - it-2 p585
    Trois fois Jésus a prié son Père céleste avec ferveur, et trois fois il est revenu auprès de ses amis, mais les a trouvés en train de dormir. — Matthieu 26:40, 43, 45. Pourquoi ces hommes fidèles ont-ils déçu Jésus cette nuit-là ? En partie parce qu’ils étaient fatigués. Il était tard, probablement après minuit, et “ leurs yeux étaient lourds ” de sommeil (Matthieu 26:43). Néanmoins, Jésus a déclaré : “ Veillez et priez sans cesse, pour que vous n’entriez pas en tentation. L’esprit, en effet, est ardent, mais la chair est faible. ” — Matthieu 26:41. Il ne fait aucun doute que Jésus aussi était fatigué en cette nuit historique. Toutefois, au lieu de s’endormir, il a consacré ses derniers moments de liberté à prier avec ferveur. Si nous écoutons le conseil de Jésus et suivons son excellent exemple dans le domaine de la prière, nos supplications sincères nous aideront à demeurer spirituellement éveillés. Évidemment, Jésus savait (ce que ses disciples ignoraient alors) qu’il allait être arrêté et condamné à mort. Ses épreuves atteindraient leur paroxysme lorsqu’il agoniserait sur le poteau de supplice. Jésus avait annoncé tout cela à ses apôtres, mais ils ne l’avaient pas compris. C’est pourquoi ils se sont endormis pendant que lui restait éveillé et priait. Il en va de nous comme des apôtres : notre chair est faible et nous ignorons certaines choses à venir. Cependant, si nous perdons de vue la gravité de notre époque, nous risquons de nous endormir au sens spirituel. Ce n’est qu’en étant vigilants que nous resterons éveillés – TG2003 1/1 p20
    Puisque Jésus a subi de rudes pressions dans son service pour Jéhovah, nous pouvons nous attendre à ce que Satan s’acharne contre nous. Et comme nous sommes imparfaits, même si nous servons Dieu avec plaisir, ce ne sera pas facile. Jésus a vu le combat que menaient ses apôtres pour faire tout ce qu’il leur demandait. C’est la raison pour laquelle il a déclaré : “ L’esprit, en effet, est ardent, mais la chair est faible. ” (Matthieu 26:41). Dans sa chair humaine parfaite, rien n’était faible par nature. Toutefois, il restait conscient de la faiblesse de la chair de ses disciples, l’imperfection qu’ils avaient héritée d’Adam devenu imparfait. Il savait qu’à cause de cette imperfection et des limites qu’elle leur imposait ils devraient se battre pour faire tout ce qu’ils voudraient au service de Jéhovah. – TG2000 15/11 p23
    Chez les humains qui s’efforcent de servir Dieu, ‘ l’esprit [la force d’impulsion émanant du cœur symbolique] est ardent, mais la chair est faible ’. (Mt 26:41.) Un combat incessant se livre donc au-dedans des serviteurs de Dieu ; l’esprit saint de Dieu constitue une force poussant à la justice, mais la chair pécheresse combat sans relâche l’influence de l’esprit et fait pression sur la personne pour l’inciter à accomplir les œuvres de la chair. - it-1 p419
    Peu après avoir été ainsi affermi, Jésus dit à ses apôtres :  Levez-vous, allons-nous-en ou selon d’autres versions : ‘Allons-y . ” (Matthieu 26:46). Quel courage dans ces paroles ! Il dit cela tout en sachant qu’il va demander à la foule d’épargner ses amis, que ceux-ci vont l’abandonner et s’enfuir, qu’il va se retrouver seul pour affronter la pire épreuve de sa vie. Et c’est seul, effectivement, qu’il va subir un procès illégal et injuste, les moqueries, le supplice et une mort atroce. Mais à aucun moment son courage n’a faibli. Jésus était-il téméraire ? Non. La témérité n’a rien à voir avec le vrai courage. Du reste, il a recommandé à ses disciples d’être prudents, de partir en cas de danger pour être en mesure de continuer à faire la volonté de Dieu (Matthieu 4:12 ; 10:16). Mais, en la circonstance, il savait qu’il n’y avait pas d’échappatoire possible. La volonté de Dieu était en cause. Déterminé à rester intègre, Jésus ne pouvait faire autrement que d’affronter l’épreuve. - cf p43-45
    Un peu plus tard, Judas trouva Jésus et les apôtres fidèles dans le jardin de Gethsémané, lieu que le traître connaissait bien, car ils s’y étaient retrouvés plus d’une fois. Judas précédait une grande foule, qui comptait des soldats romains et un commandant. Ces gens portaient des bâtons et des épées, ainsi que des torches et des lampes, qui leur seraient utiles si des nuages cachaient la pleine lune ou si Jésus était dans l’ombre. Les Romains ne reconnaîtraient probablement pas Jésus ; c’est pourquoi, selon un signe convenu, Judas salua Christ et poussa l’hypocrisie jusqu’à ‘ l’embrasser très tendrement ’, afin qu’on sache que c’était lui (Mt 26:47-49) Après coup, Judas saisit la gravité de sa culpabilité. Au matin, il essaya de rendre les 30 pièces d’argent, mais les prêtres en chef les refusèrent. Finalement, il jeta l’argent dans le temple. it-2 p77
    Les apôtres ont pu constater la haine intense du monde quand Jésus a été arrêté et exécuté ; ils ont vu aussi comment il s’est comporté face à cette haine. Lorsque les ennemis religieux de Jésus sont venus l’arrêter dans le jardin de Gethsémané, Pierre a tenté de s’interposer en se servant d’une épée. Mais Jésus lui a dit : “ Remets ton épée à sa place, car tous ceux qui prennent l’épée périront par l’épée. ” (Matthieu 26:52). Les Israélites d’autrefois combattaient leurs ennemis avec des épées. Mais les circonstances n’étaient plus les mêmes. Ne faisant “ pas partie du monde ”, le Royaume de Dieu n’avait pas de frontières à défendre. Pierre ferait bientôt partie d’une nation spirituelle, dont les membres auraient leur droit de cité dans les cieux. Désormais, les disciples de Jésus affronteraient donc la haine et la persécution de la même façon que leur Maître : avec courage, mais dans la paix. Ils placeraient leur confiance en Jéhovah, lui laissant le soin de régler la question et comptant sur lui pour leur donner la force d’endurer. Sur le plan personnel, soyons déterminés à agir de même quand les circonstances l’exigent – TG2005 1/1 p11
    Tandis que Jésus est conduit ailleurs, ils le suivent, mais « à bonne distance » (Mat. 26:58). Pierre n’est pas un lâche. Il lui faut du courage pour suivre Jésus. Surtout que la foule est armée et que parmi elle se trouve un homme qu’il a blessé. Enfin, Pierre est quand même loin du modèle d’amour fidèle qu’il a prétendu être, lui qui s’est déclaré prêt à mourir avec le Seigneur  Aujourd’hui aussi, beaucoup veulent suivre le Christ « à bonne distance », c’est-à-dire sans que personne ne le remarque. Toutefois, comme Pierre lui-même l’écrira, la seule bonne façon de suivre le Christ, c’est de rester proche de lui, de l’imiter fidèlement, quoi qu’il en coûte - ia p199-200
    En optant parfois pour le silence, Jésus a manifesté une prudence et un discernement admirables. Comprenant que s’exprimer dans le climat hostile suscité par ses ennemis ne servirait à rien, il ‘ s’est tu ’. (Mat. 26:63.) Plus tard, lors de son procès devant Pilate, il “ ne répondit rien ”. Avec prudence, il décida de laisser parler les faits. Nous aurons, nous aussi, la sagesse de retenir nos lèvres, en particulier lorsqu’on nous provoque. Dans une situation éprouvante, répondre hâtivement pourrait nous amener à lâcher des paroles que nous regretterions ensuite. Nos propos risqueraient de sembler stupides, ce qui troublerait notre sérénité – TG2009 15/5 p4
    Si un chrétien est appelé à témoigner devant un tribunal, peut-il jurer de dire toute la vérité en posant la main sur la Bible ?
    Il n’y a aucune objection à cela, bien qu’il appartienne à chacun de décider de faire ce serment ou de demander à en être dispensé. La coutume qui consiste à faire un serment en mettant la main sur un objet considéré comme sacré s’est largement répandue. Par exemple, les Grecs de l’Antiquité prenaient un engagement solennel en levant la main ou en la posant sur un autel. Chez les Romains, le jureur tenait une pierre dans la main et jurait, disant que s’il mentait Jupiter devait le rejeter tout comme lui jetait la pierre. De tels actes révèlent la tendance humaine à reconnaître l’existence d’une divinité puissante à qui les hommes doivent rendre compte de leurs paroles et de leurs actes. Sans aucun doute, les adorateurs du vrai Dieu, Jéhovah, sont de cet avis. D’ailleurs, la Bible montre qu’ils ont fait des serments comme si Jéhovah était présent ou en le prenant à témoin. Les vrais adorateurs de Dieu ont également accepté que d’autres leur imposent un serment. Mat. 26:63.
    Il est évident qu’un chrétien n’est pas tenu de faire un serment pour appuyer chacune de ses déclarations. Son Oui devrait signifier Oui et son Non, Non. Par conséquent, s’il se présente devant un tribunal et qu’on lui demande de jurer de dire la vérité, le chrétien peut décider de faire un tel serment. Il se peut aussi qu’on lui permette simplement de certifier qu’il ne ment pas. Si la coutume veut que celui qui comparaît devant un tribunal lève la main ou la pose sur la Bible en jurant de dire la vérité, un chrétien est libre de se soumettre à cette règle compte tenu des exemples bibliques de serments appuyés par un geste. Mais ce n’est pas tellement le serment accompagné d’un geste qui compte, c’est plutôt le fait que le jureur jure devant Dieu de dire la vérité. Un tel serment est donc une chose grave. Par conséquent, si un chrétien pense qu’il peut et doit répondre à une question dans ces conditions, il est alors tenu de dire la vérité. – TG1976  1/11
    Quel est le sens des paroles de Jésus : “ C’est toi qui l’as dit ” ? Quand Caïphe, le grand prêtre juif, a ordonné à Jésus de déclarer publiquement s’il était le Christ, le Fils de Dieu, Jésus a répondu : “ C’est toi qui l’as dit. ” (Matthieu 26:63, 64). Qu’entendait-il par-là ? Jésus n’essayait pas d’esquiver la question de Caïphe. L’expression “ c’est toi qui l’as dit ” était apparemment une tournure juive courante pour affirmer qu’une déclaration était exacte. Garder le silence aurait pu laisser entendre qu’il niait être le Christ. La réplique de Jésus “ c’est toi qui l’as dit ” était donc une réponse affirmative au grand prêtre km2013/2
    Jésus annonça qu’il serait condamné par les prêtres en chef et attaché sur un poteau par les Gentils, mais que le troisième jour il serait relevé (Mat. 20:17-19). Lorsqu’il affirma devant le Sanhédrin qu’il était “ le Christ le Fils de Dieu ”, on jugea qu’il avait blasphémé (Mat. 26:63-66). Pilate ne trouva en lui ‘ rien qui mérite la mort ’, mais parce que les Juifs l’accusaient aussi de sédition, Pilate “ livra Jésus à leur volonté ”. (Luc 23:13-15, 25.)
    Ainsi, ils ‘ renièrent ’ “ l’Agent principal de la vie ” et tramèrent sa mort, bien qu’il fût incontestable qu’il avait été envoyé par Dieu. Attaché à un poteau le jour de la Pâque de l’an 33 de notre ère, le Messie fut “ retranché ”, comme cela avait été prédit (Dan. 9:26, 27). Par cette mort cruelle, il subit la blessure “ au talon ” prophétisée en Genèse 3:15. Quand vous parlez de la vérité, attirez-vous l’attention des gens sur le rôle que Jésus exerce en tant que Messie ? Ce faisant, vous ressentirez davantage de reconnaissance pour ce que Jésus a fait pour vous par le passé, pour ce qu’il fait actuellement et pour ce qu’il ne manquera pas de faire dans l’avenir. – TG2009 15/12 p22 §13,21
    Le roi Salomon a écrit : “ L’homme a dominé l’homme à son détriment. ” (Ecclésiaste 8:9). Jésus savait que ces paroles étaient vraies. Du ciel, en effet, il avait vu les injustices criantes que des humains infligeaient à d’autres. Sur la terre, il a lui-même essuyé la plus grande injustice imaginable, puisque, sans avoir commis aucun péché, il a été accusé de blasphème et mis à mort comme un criminel (Matthieu 26:63-66). Aujourd’hui, l’injustice est toujours répandue, et les vrais chrétiens en ont souffert plus que leur compte, étant “ les objets de la haine de toutes les nations ”. Pourtant, bien qu’ils aient vécu des horreurs dans les camps de la mort nazis et dans les goulags soviétiques, bien que des foules les aient pris à partie, bien qu’ils aient été victimes de fausses accusations et d’attaques mensongères, la paix du Christ leur a permis de rester fermes. Ils ont imité Jésus, à propos de qui on lit : “ Quand on l’insultait, il ne rendait pas l’insulte. Quand il souffrait, il ne menaçait pas, mais il s’en remettait toujours à celui qui juge avec justice. ” — 1 Pierre 2:23. – TG2001 1/9 p14 §4
    Matthieu 26:74 veut-il  dire que, sous la pression des circonstances, l’apôtre Pierre prononça des jurons ? Non; ce verset décrit la façon dont Pierre réagit quand, après l’arrestation de Jésus, on l’accusa d’être un des disciples du Nazaréen. En Matthieu 26:74, Pierre va renier son Maître pour la troisième fois. Nous lisons: “Alors il commença à faire des imprécations et à jurer: ‘Je ne connais pas cet homme !’”Dans certaines langues, les expressions “faire des imprécations” et “jurer” peuvent faire penser à des jurons. Mais quand Pierre a fait des ‘imprécations’ et a ‘juré’, il ne s’est pas répandu en jurons comme font beaucoup de gens lorsqu’ils sont en colère.
    Dans la Bible, aussi bien dans le texte hébreu que dans le texte grec, “faire une imprécation”, c’était appeler le mal sur quelqu’un ou sur quelque chose. Ce n’était pas blasphémer, et parfois cela n’avait aucun rapport avec la colère. Pour attester la vérité de sa déclaration, il arrivait qu’un homme prononce une imprécation. Il disait en fait: ‘Que je sois maudit si ce que je dis n’est pas vrai; que le mal vienne sur moi !’ Pareillement, quelqu’un pouvait “jurer” pour une chose, affirmant sous serment qu’il disait la vérité et appelant sur lui tel ou tel malheur s’il mentait.
    Ainsi, Pierre n’a pas blasphémé, mais, pris de peur, il a essayé de convaincre ceux qui l’entouraient qu’il leur disait la vérité en niant être un disciple du Christ. Évidemment, il s’agissait là d’un mensonge dont il dut se repentir par la suite. La Bible montre clairement que le chrétien ne doit pas prononcer de juron lorsqu’elle dit: “Qu’aucune parole ordurière ne sorte de votre bouche.” — Éph. 4:29. – TG1982  1/3
     
     
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MATTHIEU 25
    Matthieu 25:31-33 : Explique l’exemple des brebis et des chèvres (w15 15/3 27 § 7).
    “ Quand le Fils de l’homme arrivera dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il s’assiéra sur son trône glorieux. 32 Et toutes les nations seront rassemblées devant lui, et il séparera les gens les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des chèvres. 33 Et il mettra les brebis à sa droite, mais les chèvres à sa gauche »
    7 Aujourd’hui, nous comprenons clairement l’exemple des brebis et des chèvres. Voici l’identité des personnages : « le Fils de l’homme », le Roi, est Jésus. Ceux que le Roi appelle « mes frères » sont les hommes et les femmes oints de l’esprit, qui régneront avec lui depuis le ciel (Rom. 8:16, 17). « Les brebis » et « les chèvres » représentent les humains issus de toutes les nations qui, quant à eux, ne sont pas oints de l’esprit saint. Et le moment du jugement ? Ce jugement aura lieu vers la fin de la grande tribulation maintenant proche. Que dire de la raison pour laquelle une personne est déclarée soit brebis soit chèvre ? Son sort dépendra de la façon dont elle aura agi envers les frères oints de Christ encore sur terre. La fin de l’actuel système de choses étant extrêmement proche, nous sommes vivement reconnaissants à Jéhovah d’avoir peu à peu fait la lumière sur cet exemple et les trois autres, consignés en Matthieu chapitres 24 et 25, qui lui sont étroitement liés. TG2015 15/3
    Au milieu des années 1990, La Tour de Garde a réexaminé Matthieu 25:31, qui déclare : « Quand le Fils de l’homme arrivera dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il s’assiéra sur son trône glorieux. » Il est apparu que si, en 1914, Jésus est devenu Roi du Royaume de Dieu, ce n’est pas à ce moment-là qu’il s’est « assis sur son trône glorieux » en qualité de Juge de « toutes les nations » (Mat. 25:32) Or dans la parabole des brebis et des chèvres, Jésus est surtout présenté comme Juge. Étant donné que Jésus n’était pas encore Juge sur toutes les nations en 1914, le jugement des brebis et des chèvres n’a pas pu débuter cette année-là. Alors quand ce jugement commencera-t-il ? Jésus jugera les nations pour la toute première fois après la destruction de la fausse religion. C’est quand il viendra, durant la grande tribulation, que Jésus déterminera qui parmi les gens de toutes les nations est une brebis ou une chèvre. Puis, à HarMaguédon, point culminant de la grande tribulation, les humains comparables à des chèvres seront définitivement « retranchés ». Avant la Grande Tribulation, les humains ont encore le temps de changer et de se mettre à marcher sur la route resserrée « qui mène à la vie »
    Il est vrai qu’aujourd’hui, certains se comportent soit en brebis, soit en chèvres. Mais souvenons-nous que les humains ne seront définitivement rangés parmi les brebis ou les chèvres que durant la Grande Tribulation. C’est pourquoi nous avons de bonnes raisons de continuer à offrir au plus grand nombre de personnes possible l’occasion d’écouter et d’accepter le message du Royaume.  – TG2013  15/7
    Aux temps bibliques, pourquoi les bergers séparaient-ils les brebis des chèvres ? Dans sa description d’une époque future de jugement, Jésus a dit : « Quand le Fils de l’homme arrivera dans sa gloire, [...] il séparera les gens les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des chèvres » (Matthieu 25:31, 32). Quelles raisons les bergers pouvaient-ils avoir de séparer ces animaux ? Généralement, les moutons et les chèvres se déplaçaient et broutaient ensemble durant la journée. La nuit, on les rassemblait dans des enclos pour les protéger des animaux sauvages, des voleurs et du froid. Les deux types d’animaux étaient placés dans des enclos séparés pour protéger les moutons, en particulier les brebis et les agneaux. Les chèvres, plus agressives, risquaient en effet de les blesser. Le berger séparait aussi les moutons des chèvres durant « la traite, la tonte et la période de reproduction ». L’exemple de Jésus s’inspirait de pratiques et d’images bien connues de ses auditeurs de l’antique Israël, où l’élevage était une activité courante.
    Matthieu 25:40 : Comment pouvons-nous montrer notre amitié à l’égard des frères de Christ ? (w09 15/10 16 § 16-18).
    « Et en réponse le roi leur dira : ‘ Vraiment, je vous le dis : Dans la mesure où vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait »
    « Vous êtes mes amis »
    16 Si vous espérez vivre sur terre sous la domination du Royaume de Dieu, comment pouvez-vous montrer votre amitié à l’égard des frères de Christ ? Citons trois façons de le faire. Premièrement, en participant de tout coeur à la prédication. Christ a ordonné à ses frères de prêcher la bonne nouvelle sur toute la terre (Mat. 24:14). Cependant, le reste des frères de Christ encore sur terre aurait bien du mal à assumer cette responsabilité sans le soutien des autres brebis. Autrement dit, chaque fois que les membres de la classe des autres brebis participent à la prédication, ils aident les frères de Christ à s’acquitter de leur mission sacrée. La classe de l’esclave est profondément reconnaissante pour cette marque d’amitié, tout comme l’est Christ.
    17 Une seconde façon d’aider les frères de Christ est de soutenir financièrement l’œuvre de prédication. Jésus a encouragé ses disciples à se faire des amis au moyen « des richesses injustes » (Luc 16:9). Cela ne signifie nullement que nous pouvons acheter l’amitié de Jésus ou de Jéhovah, mais plutôt que, en utilisant nos ressources en faveur des intérêts du Royaume, notre amitié et notre amour s’expriment « en action et vérité », et pas seulement en paroles (1 Jean 3:16-18). Ce soutien financier, nous l’apportons lorsque nous prêchons, que nous faisons des offrandes pour la construction et l’entretien de nos lieux de réunion ou pour l’oeuvre mondiale de prédication. Que notre participation soit petite ou grande, notre disposition à donner avec joie réjouit sans aucun doute Jéhovah et Jésus (2 Cor. 9:7).
    18 Enfin, nous pouvons prouver que nous sommes amis de Christ en coopérant avec les anciens de la congrégation. Ces hommes sont nommés par l’esprit saint, sous la direction de Christ (Éph. 5:23). « Obéissez à ceux qui vous dirigent et soyez soumis », a écrit l’apôtre Paul (Héb. 13:17). Il peut nous arriver d’avoir du mal à obéir aux instructions basées sur la Bible que nous donnent les anciens. Sans doute connaissons-nous leurs défauts, ce qui pourrait fausser la perception que nous avons de leurs conseils. Toujours est-il que Christ, le Chef de la congrégation, prend plaisir à utiliser ces hommes, bien qu’ils soient imparfaits. La manière dont nous réagissons à leur autorité a donc une incidence directe sur notre amitié avec Christ. Lorsque nous passons sur leurs erreurs et que nous suivons de bon gré leurs conseils, nous prouvons notre amour pour Christ TG2009
    En raison du soutien désintéressé qu’ils apportent aux frères oints du Christ, les membres de la grande foule sont considérés comme ayant fait du bien à Jésus lui-même. Cela leur permet d’être en bonnes relations avec Jésus Christ et Jéhovah Dieu. Ils se voient accorder le privilège de se joindre au reste des chrétiens oints en devenant des Témoins de Dieu et en portant son nom – TG1995  15/2
    Ceux qui se montreraient hospitaliers et bons à l’égard des “ frères ” du Christ le feraient justement parce qu’ils les reconnaîtraient comme tels et comme des fils de Dieu. it1 Hospitalité
    Les autres brebis ne devraient jamais oublier que leur salut dépend du soutien actif qu’elles apportent aux “ frères ” du Christ encore sur la terre – TG2012  15/3 p20 §2
    Il est bon de nous demander comment nous réagissons aux conseils opportuns qui nous sont adressés dans les publications chrétiennes. Nous manifestons notre profonde reconnaissance pour la nourriture spirituelle qui nous est fournie en l’absorbant régulièrement. Quelle devrait être notre réaction si certains conseils nous sont rappelés de temps à autre ? Coopérer avec les “ frères du Christ ” consiste à bien accueillir toute nouvelle compréhension des vérités bibliques publiée par “ l’esclave fidèle et avisé ”. – TG2011  15/5 p26
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Depuis que Jéhovah a révélé, en Éden, qu’il avait l’intention d’ôter les conséquences néfastes de la rébellion de Satan, ses serviteurs fidèles sont toujours très curieux de savoir comment se réalisera le dessein divin. De fait, même les anges s’y intéressent. À l’époque de Jésus, beaucoup avaient le vif désir de connaître le moment exact où viendrait le Royaume. Toutefois, Jésus le leur a répété, ce n’était pas la volonté de Jéhovah qu’ils le sachent (Matthieu 25 :13 « Veillez donc, parce que vous ne savez ni le jour ni l’heure ») Toute tentative pour fixer une date particulière aurait été vaine. Au lieu de cela, il les a exhortés à s’occuper de leurs responsabilités chrétiennes, et à être constamment aux aguets. Aujourd’hui, les événements mondiaux prouvent de façon écrasante que la fin est proche, de sorte que l’on est de plus en plus curieux de savoir à quelle date elle va se produire. Il se peut que certains événements aient convaincu quelques-uns d’avoir découvert le jour et l’heure. Cependant, lorsqu’ils ont vu que leurs prévisions ne s’étaient pas réalisées, ils ont connu une profonde angoisse, au point, peut-être, d’abandonner le service de Dieu. Ainsi, il est grandement préférable de s’en remettre à Jéhovah sur cette question, confiant qu’il fera venir la fin exactement au moment voulu. Tout ce dont nous avons besoin pour être prêts nous a été donné. TG1987  1/ 2
    La raison la plus importante pour laquelle nous prêchons est que nous voulons glorifier Jéhovah et sanctifier son nom. Dans l’exemple de la vigne, Jésus a comparé Jéhovah à un cultivateur qui fait pousser du raisin. Puis, il a dit qu’il était lui-même la vigne (ou le pied de vigne) et que ses disciples étaient les branches. Le raisin représente le fruit du Royaume que les disciples de Christ produisent, c’est-à-dire leur prédication. Jésus a dit à ses apôtres : « Mon Père est glorifié en ceci : que vous continuiez à porter beaucoup de fruit. » Quand une vigne produit un bon raisin, cela honore le cultivateur. Pareillement, quand nous faisons le maximum pour prêcher la bonne nouvelle du Royaume, nous honorons, ou glorifions, Jéhovah (Mat. 25:20-23. – TG2018 Mai p17 §3
    Pourquoi la Bonne Nouvelle au sujet du Royaume de Dieu est-elle si importante ? Parce que c’est le Royaume messianique qui défendra avec succès la souveraineté universelle de Jéhovah. Au moyen de ce Royaume, Jéhovah exécutera son jugement sur le système de choses de Satan et réalisera sa promesse de bénir toutes les familles de la terre. En faisant en sorte qu’un témoignage soit donné au sujet de son Royaume, Jéhovah a trouvé ceux qu’il a ensuite oints pour devenir cohéritiers avec son Fils. Également grâce à la prédication du Royaume, une œuvre de séparation s’effectue aujourd’hui (Matthieu 25:31-33). Jéhovah veut que des gens de toutes nations soient avertis de son dessein. Il veut leur donner la possibilité de choisir la vie en devenant des sujets de son Royaume. Participons-nous de notre mieux à la proclamation de ce Royaume ? TG1994  1/5
    Notre prédication est une expression de la miséricorde de Dieu : elle offre aux humains la possibilité de changer et d’obtenir “ la vie éternelle ”. (Mat. 25:32) Si nous ne prêchons pas, comment les gens entendront-ils le message qui apporte le salut ? TG2012 15/3 p10 §8
    Jéhovah a condamné le monde actuel, mais il n’a pas encore jugé individuellement chaque personne qui le compose. Il le fera par l’intermédiaire de Jésus au moment qu’il a fixé (Matthieu 25:31-46). En attendant, il montre un amour immense à l’égard des humains. Il est allé jusqu’à donner son Fils unique-engendré afin que chacun ait la possibilité d’obtenir la vie éternelle. Quant à nous, chrétiens, nous imitons l’amour de Dieu en parlant des dispositions qu’il a prises pour le salut, même si nos efforts sont souvent mal récompensés. – TG2002  1/11  § 12
    En Matthieu 6:33, Jésus donne l’assurance que Dieu répondra aux besoins de ses serviteurs fidèles qui mettent les intérêts du Royaume à la première place dans leur vie. Cependant, il a aussi indiqué qu’en raison de la persécution, ses « frères » pourraient souffrir de la faim (Mat. 25:35, 37, 40) C’est arrivé à l’apôtre Paul. Il a parfois souffert de la faim et de la soif (2 Cor. 11:27) Jéhovah nous dit que nous serons persécutés de diverses manières. Il peut permettre que nous subissions des privations afin que nous contribuions à réfuter les accusations portées par le Diable. Mais Jéhovah promet d’être avec ses serviteurs. – TG2014 15/9 p22
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    Une chose grâce à laquelle les vierges avisées sont prêtes, c’est la vigilance. Serait-il possible que, pris individuellement, certains chrétiens oints s’assoupissent pendant la longue veille ? Oui. Jésus dit bien des dix vierges que, durant l’apparent retard de l’époux, « elles se sont toutes assoupies et se sont endormies ». Jésus savait que même un esprit ardent et plein de bonne volonté peut être entravé par la faiblesse de la chair. Tenant compte de cet avertissement implicite, les oints fidèles ont redoublé d’efforts pour rester vigilants. Toutes les vierges de la parabole ont réagi au cri « Voici l’époux ! » Mais seules les vigilantes ont enduré jusqu’à la fin (Mat. 25:5, 6 ; 26:41). Que dire des oints fidèles d’aujourd’hui ? Depuis le début des derniers jours, ils réagissent aux preuves évidentes qui, en quelque sorte, crient : « Voici l’époux ! », autrement dit, aux preuves annonçant que Jésus s’apprête à venir. De plus, ils endurent, ils se tiennent indéfectiblement prêts pour l’arrivée de l’Époux. – TG2015  15/3 p14 §9
    Quand il a chargé ses disciples de faire à leur tour des disciples, Jésus leur confiait en quelque sorte « ses biens », ses talents (Mat. 25:14). En termes simples, les talents représentent la responsabilité de prêcher et de faire des disciples. -TG2015  15/3 p24 §7
    Au temps de Jésus, un talent équivalait à environ 6 000 deniers. L’ouvrier moyen, qui gagnait un denier par jour, devait travailler 20 ans pour gagner un seul talent.
    À partir du Ier siècle, les disciples oints ont reçu les talents et ils ont des comptes à rendre sur la façon dont ils remplissent leur mission consistant à prêcher. Ceux qui meurent fidèles avant le début de la grande tribulation sont déjà définitivement scellés au moment de leur mort. Toutefois, dans l’exemple des talents, Jésus parle du règlement de comptes final, avec les oints qui seront encore sur terre lors de la Grande Tribulation - TG2015  15/3 p24
    Matthieu 25:14-30 - L’homme, ou le maître, est Jésus et que son voyage à l’étranger représente son ascension au ciel, en 33 de n. è. Dans une parabole énoncée plus tôt, Jésus révèle le but de ce voyage : « se faire investir du pouvoir royal » (Luc 19:12). Mais à son retour au ciel, il ne s’est pas immédiatement fait investir du plein pouvoir royal*. En réalité, il « s’est assis à la droite de Dieu, attendant désormais jusqu’à ce que ses ennemis soient placés comme un escabeau pour ses pieds » (Héb. 10:12, 13).- TG2015  15/3 p24
    Le maître, précise la parabole, a donné à un esclave cinq talents, à un autre deux, à un autre encore un seul (Mat. 25:15). Bien que tous n’aient pas reçu le même nombre de talents, le maître s’attendait à ce que tous les fassent fructifier avec ardeur, c’est-à-dire qu’ils fassent le maximum dans le ministère. Au Ier siècle, à partir de la Pentecôte 33 de n. è., les disciples de Christ ont commencé à faire des affaires avec les talents, Au temps de la fin, et particulièrement depuis 1919, les fidèles esclaves oints de Christ sur terre font des affaires avec les talents du Maître. Comme les deux premiers esclaves, les frères et sœurs oints font le meilleur usage possible de ce qu’ils possèdent. Il n’est pas utile d’émettre des suppositions sur l’identité prophétique de celui qui a reçu cinq talents et de celui qui en a reçu deux. Les deux ont doublé la valeur de ce que le maître leur avait donné ; ils ont donc fait preuve d’une ardeur égale - TG2015  15/3 p24
    La parabole des talents contient deux enseignements. Lesquels ? Premièrement, le Maître, Christ, a confié à ses esclaves oints quelque chose de très précieux à ses yeux : la mission de prêcher et de faire des disciples. Deuxièmement, Christ s’attend à ce que chacun de nous prêche avec ardeur. Si nous manifestons une telle ardeur, soyons sûrs que le Maître récompensera notre foi, notre vigilance et notre fidélité (Mat. 25:21, 23, 34). - TG2015  15/3 p24
      L’époux : C’est Jésus.
      Les vierges avisées : Ce sont les chrétiens oints qui veillent.
      Les vierges sottes : Ce sont les chrétiens oints qui ne sont pas fidèles et qui ne veillent pas. À cause de cela, ils perdent leur récompense, la vie au ciel.
    Jésus a dit : « Longtemps après, le maître de ces esclaves est venu et a réglé ses comptes avec eux. » (Matthieu 25:19) Jésus, le Maître, fera cela vers la fin de la Grande Tribulation. Comment le savons-nous ? Jésus a parlé plusieurs fois de sa venue, ou de son arrivée. Il a dit que les gens « verront le Fils de l’homme venir sur les nuages du ciel ». Ces paroles se réaliseront au moment où Jésus jugera les gens pendant la Grande Tribulation. – ws 2015  15/3 p17 §11
    Quand le maître est revenu de son voyage, il a vu que l’esclave qui avait 5 talents en avait gagné 5 de plus. L’esclave qui avait 2 talents en avait gagné 2 de plus. Le maître a dit à chacun d’eux : « C’est bien, esclave bon et fidèle ! Tu as été fidèle sur peu de choses. Je t’établirai sur beaucoup de choses. » (Matthieu 25:21, 23) Que fera le Maître, Jésus, quand il viendra ? Juste avant la Grande Tribulation, Dieu acceptera d’une façon définitive les oints courageux qui seront encore sur la terre. Cela veut dire qu’ils recevront leur sceau final. (Révélation 7:1-3) Puis, avant HarMaguédon, Jésus les récompensera en les faisant monter au ciel. Mais que se passera-t-il pour les humains qui ont l’espoir de vivre sur la terre et qui ont aidé les oints à prêcher ? Ils seront jugés comme étant des brebis. En récompense, ils auront la vie sur la terre sous la direction du Royaume de Dieu. (Matthieu 25:34) - ws 2015  15/3 p17 §12,13
    En Matthieu 25:34, que signifient ces paroles de Jésus aux “brebis”: “Héritez du Royaume préparé pour vous depuis la fondation du monde.” Jésus ne voulait pas dire que ces “brebis” régneraient avec lui dans les cieux, mais qu’elles hériteraient du domaine terrestre du Royaume préparé pour elles “depuis la fondation du monde” des humains rachetables. De cette façon, elles deviendraient les enfants terrestres de leur “Père éternel”, le Roi Christ Jésus –
    Quand Jésus parle du Royaume préparé “depuis la fondation du monde” (Matthieu 25:34), il se réfère sans aucun doute à un moment qui se situe après le premier péché. Luc 11:50, 51 rattache “la fondation du monde” (ou la fondation d’une humanité susceptible d’être rachetée au moyen d’une rançon) aux jours d’Abel. – TG1995 15/2
    La parabole parle aussi de l’esclave qui avait un seul talent. Il ne s’en est pas servi pour gagner plus d’argent pour son maître. Il ne l’a pas non plus mis dans une banque. Au contraire, il l’a enterré. Le maître a dit que cet esclave était méchant et paresseux. Il lui a repris le talent et l’a donné au premier esclave. Puis il a jeté l’esclave méchant « dans les ténèbres ». Et là, l’esclave a pleuré de colère. (Matthieu 25:24-30) Quand Jésus disait qu’un des 3 esclaves était méchant et paresseux, il ne voulait pas dire qu’un tiers des oints serait comme cet esclave. Nous comprenons cela en comparant cette parabole avec 2 autres. Dans la parabole de l’esclave fidèle et avisé, Jésus a parlé d’un esclave méchant qui maltraitait les autres esclaves. Jésus ne voulait pas dire que ceux qui font partie de l’esclave fidèle et avisé deviendraient méchants. Non, il les avertissait plutôt pour qu’ils ne deviennent pas comme l’esclave méchant. Jésus ne voulait pas dire que beaucoup d’oints deviendraient méchants et paresseux pendant les derniers jours. En fait, il avertissait ses disciples pour qu’ils ne deviennent pas comme l’esclave méchant. Il leur rappelait qu’ils devaient continuer à faire beaucoup d’efforts pour prêcher. (Matthieu 25:16)
    ws 2015  15/3 p17 §14,15
    Quelles sont les 2 leçons que nous apprenons de la parabole des talents ? La première : Jésus a donné à ses disciples oints un trésor précieux, la responsabilité importante de prêcher et de faire des disciples. La deuxième : Jésus veut que nous fassions tous beaucoup d’efforts pour prêcher. Si nous continuons fidèlement à prêcher, et si nous restons obéissants et fidèles à Jésus, nous pouvons être sûrs qu’il nous récompensera. (Matthieu 25:21, 23, 34) - ws 2015  15/3 p17 §16
    Quand nous proclamons le message d’avertissement, pouvons-nous aider les gens en les considérant comme des brebis en puissance plutôt qu’en les regardant d’un œil négatif ? — Matthieu 25:32-34. – jd chap13 § 10
    Ceux qui traitent les oints de la manière qui convient se protègent d’un danger insidieux. Les Écritures nous disent que de « faux frères » peuvent se glisser dans la congrégation (Gal. 2:4, 5 ; 1 Jean 2:19). Ces imposteurs peuvent même se prétendre oints. D’autre part, certains chrétiens oints peuvent abandonner la foi (Mat. 25:10-12).
    Ne commettons donc pas l’erreur d’« admirer les personnes ». Ainsi, dans le cas où un chrétien en vue ou de longue date devient infidèle, notre foi n’en sera pas ébranlée, ou encore, ce chrétien ne nous éloignera pas de la vérité (Jude 16). TG2016 Janvier
    Si nous ne traitons pas les oints comme des personnes plus importantes que les autres, nous nous protégeons aussi nous-mêmes. Qu’est-ce que cela veut dire ? La Bible explique que, dans la congrégation, il y a parfois des « faux frères » qui osent même dire qu’ils sont oints. Quelquefois, il y a aussi des oints qui ne restent pas fidèles. Mat. 25:10-12. Si nous refusons d’« admirer les personnes », nous ne suivrons jamais des humains, même ceux qui sont oints ou très connus, ou qui servent Jéhovah depuis longtemps. Alors, s’ils deviennent infidèles ou quittent la congrégation, nous ne perdrons pas notre foi en Jéhovah et nous n’arrêterons pas de le servir (Jude 16). - TG2016 Janvier facile §11
    La considération: un besoin fondamental - Il est approprié et juste d’accorder de l’honneur à qui le mérite. Jésus a montré ce qu’il fallait faire dans l’illustration des esclaves à qui le maître confie son avoir. Reconnaissant que celui-ci avait bien été géré, il dit à chacun d’eux: “C’est bien, esclave bon et fidèle!” (Matthieu 25:19-23). Pourtant, on néglige souvent de manifester de tels égards à ceux qui le méritent. Le manque de considération étouffe l’enthousiasme et l’esprit d’initiative. Les marques de considération vous donnent le sentiment d’être utile, recherché et apprécié. Si on est négligé, on se sent abattu et abandonné. En fait, nous avons tous besoin de nous savoir appréciés; cela nous sécurise. C’est un besoin fondamental. TG1994  1/12
    Dans la parabole des brebis et des chèvres, Jésus dit que les chèvres iraient “ dans le feu éternel préparé pour le Diable et ses anges ”. (Matthieu 25:41.) L’expression “ feu éternel ” doit désigner le lac de feu et de soufre où Satan va être jeté. Les anges du Diable ont été expulsés du ciel avec lui. Manifestement, ils seront jetés dans l’abîme avec lui au début du Règne millénaire. En toute logique, ils seront également détruits avec lui dans le lac de feu et de soufre. – re p295
    Qu’étaient “ les banquiers ” dont Jésus a parlé dans un exemple, et comment opéraient-ils ? Jésus a parlé d’un maître qui a blâmé un esclave improductif en ces termes : “ Tu aurais donc dû déposer mon argent chez les banquiers, et à mon arrivée je recevais ce qui est à moi avec un intérêt. ” — Matthieu 25:27.
    En ce temps-là, les établissements financiers de grande envergure que nous connaissons n’existaient pas. Depuis longtemps, toutefois, des prêteurs sur gages versaient des intérêts sur les fonds déposés chez eux et prêtaient de l’argent à un taux supérieur. Selon le Dictionnaire de la Bible par F. Vigouroux, les emprunts à intérêt étaient habituels dans la Grèce du IVe siècle avant notre ère. Et durant la période de paix instaurée par les Romains, le taux d’intérêt annuel des crédits variait dans tout l’empire entre 4 et 6 %.
    La Loi mosaïque interdisait de prêter à intérêt aux Israélites indigents (Exode 22:25). Cette règle semble s’être essentiellement appliquée aux prêts accordés aux pauvres. Cependant, il ressort de l’exemple de Jésus qu’il était normal de toucher des intérêts sur des fonds mis en dépôt chez un prêteur sur gages, ou ‘ banquier ’. Ainsi, comme toujours, Jésus faisait allusion à une situation familière à ses auditeurs. – TG2008  1/12
     
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MATTHIEU 24
    Matthieu 24:8 : Que sous-entendent peut-être les paroles de Jésus ? (nwtsty, note d’étude).
    « Toutes ces choses sont un commencement de douleurs »
    Grandes souffrances : Le mot grec désigne littéralement la douleur intense que ressent une femme lors de l’accouchement. Même s’il se rapporte ici aux souffrances, à la douleur et à la détresse en général, il évoque peut-être le fait que les problèmes et les douleurs prédits, comme les douleurs de l’accouchement, augmenteront en fréquence, en intensité et en durée au cours de la période précédant la grande tribulation mentionnée en Mt 24:21. - nwtsty, note d’étude
    Comme les douleurs de l’enfantement, ces “ douleurs ” iront assurément en s’intensifiant jusqu’à ce que Christ ‘ mène à terme sa victoire ’ en détruisant tout vestige de l’organisation visible de Satan.  Dans le grec original, le mot rendu par “ douleurs ” signifie littéralement “ douleurs de l’enfantement ” On en déduit que, comme les douleurs de l’enfantement, les problèmes mondiaux augmenteront en fréquence, en intensité et en durée, pour aboutir à la grande tribulation. – TG2005  15/1 p15-20 §10
    Les « douleurs » du monde méchant vont empirer à mesure qu’il approchera de sa fin. Et elles empireront à coup sûr durant la grande tribulation. Les infrastructures vont s’effondrer, et les humains craindront pour leur vie même. En plein désarroi, ils chercheront refuge en quelque sorte « dans les grottes et dans les rochers des montagnes » (Rév. 6:15-17). Mais ni des grottes littérales ni les « montagnes » que sont les organisations politiques et commerciales n’offriront de protection.
    TG2013 15/3 p19-23 §15
    Avant la fin de ce monde mauvais, la vie deviendra certainement de plus en plus difficile. Et pendant la grande tribulation, ce sera encore pire. Sur toute la terre, ce sera le désordre. Les gens qui n’adorent pas Jéhovah auront très peur . La Bible dit qu’ils auront si peur qu’ils chercheront à se cacher « dans les grottes et dans les rochers des montagnes » Mais aucune grotte ne pourra les protéger, ni aucune grande entreprise, ni aucune organisation politique. TG2013 facile 15/3 p19-23 §15
    Pendant la grande tribulation, Jéhovah nous protégera. Comment Jéhovah nous protégera-t-il durant cette période difficile ? Nous ne le savons pas encore. Mais nous pouvons être sûrs que nous resterons organisés et que Jéhovah nous dira quoi faire. C’est ce qu’il a fait pour les Israélites qui ont fui l’Égypte pendant l’Exode. Jéhovah se servira sans doute de la congrégation pour nous dire quoi faire. Isaïe 26:20 parle de « chambres intérieures » où les adorateurs de Dieu pourront se mettre à l’abri. Peut-être que ces chambres seront les congrégations du monde entier -  TG2013 15/3 p26
    Puisque le présent système de choses approche de sa fin, les “ douleurs ” prédites continueront. Il se peut que le prix de la nourriture augmente considérablement à cause de la demande croissante, des conditions météorologiques ou de l’instabilité économique. Il est possible qu’il devienne de plus en plus difficile de trouver un travail et que les employés soient soumis à une pression grandissante pour travailler davantage. Quoi qu’il arrive, ceux qui maintiennent les intérêts spirituels à la première place et qui gardent un ‘ œil simple ’ n’ont pas à s’inquiéter outre mesure. Ils savent que Dieu les aime et prendra soin d’eux – TG2008  15/10 p7 §17
    Matthieu 24:20 : Pourquoi Jésus a-t-il dit cela ? (nwtsty, note d’étude).
    « Priez sans cesse pour que votre fuite n’arrive pas en hiver ni le jour du sabbat « 
    En hiver : À cause des pluies torrentielles, des inondations et du froid de l’hiver, il était difficile de voyager et de se procurer de la nourriture et un abri (Esd 10:9, 13). - nwtsty, note d’étude
    Un jour de sabbat : Dans les territoires comme la Judée, en raison des restrictions relatives au sabbat, il était difficile de voyager sur de longues distances et de porter de lourdes charges ; de plus, les portes des villes étaient fermées le jour du sabbat (voir Ac 1:12 et sgd, partie 16). - nwtsty, note d’étude
    Si quelqu’un devait fuir une catastrophe en hiver, alors que le mauvais temps rend les déplacements très difficiles, et même dangereux, que risquerait-il de lui arriver ? — Même s’il parvenait à s’enfuir, ce serait avec beaucoup de mal. Mais il pourrait aussi mourir dans une tempête. Imagine que ça lui arrive simplement parce qu’il était trop occupé pour partir plus tôt. Ce serait triste, n’est-ce pas ? — Qu’a voulu enseigner Jésus en parlant de la fuite en hiver ? Il voulait nous faire comprendre que, si nous savons qu’HarMaguédon est proche, nous ne devons pas perdre de temps : nous devons faire le nécessaire pour servir Dieu tout de suite afin de montrer que nous l’aimons. Si nous attendons, il sera peut-être trop tard. Nous serons alors comme les gens d’avant le déluge : ils ont entendu Noé, mais ils ne sont pas entrés dans l’arche. – lr chap47 p249
    Quelle heure est-il donc du point de vue de Dieu? Pour le présent monde c’est l’heure où tout s’achève. Le soleil se couche. La nuit approche rapidement. L’hiver est aux portes. La réalisation des prophéties bibliques et la chronologie établie par Jéhovah indiquent que nous vivons “les derniers jours”, “la conclusion du système de choses” Nous devons donc prendre à cœur cet avertissement donné par Jésus: “Priez sans cesse pour que votre fuite n’arrive pas en hiver.” Quand la nuit, ou l’hiver, arrivera pour ce monde, il sera trop tard pour rechercher la faveur de Jéhovah. – TG1986 15/4 p19
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Jésus a prédit : « L’amour du grand nombre se refroidira » (Matthieu 24: 12). Ces paroles se sont appliquées d’abord aux Juifs du 1er siècle, qui disaient être le peuple de Dieu, mais qui avaient laissé leur amour pour lui se refroidir. Ce que Jésus a dit sur l’amour qui se refroidit concerne aussi notre époque. Les gens ont de moins en moins d’amour pour Dieu. Ne voulant pas compter sur lui pour régler les problèmes du monde, des millions d’entre eux comptent sur des organisations humaines. Ainsi, leur amour continue de se refroidir. Mais l’amour pourrait se refroidir aussi chez les serviteurs de Jéhovah en perdant leur enthousiasme pour la vérité, en étant influencés par le monde et en laissant d’autres choses devenir plus importantes pour eux que leurs relations avec Jéhovah. – ws2017 mai p20
    Ce que Noé ne pouvait pas faire : Même s’il prêchait fidèlement le message d’avertissement de Jéhovah, il ne pouvait pas obliger les impies autour de lui à accepter ce message, ni faire venir le Déluge plus tôt. Il lui fallait être convaincu que Jéhovah tiendrait sa promesse de mettre fin à la méchanceté et qu’il le ferait au bon moment. Nous aussi, nous vivons dans un monde rempli de méchanceté, que Jéhovah a promis de détruire (1 Jean 2:17). En attendant, nous ne pouvons pas obliger les gens à accepter la « bonne nouvelle du royaume ».
    Nous ne pouvons pas non plus faire quoi que ce soit pour accélérer le déclenchement de la « grande tribulation » (Mat. 24:14, 21). Comme Noé, nous devons avoir une foi forte, être certains que Jéhovah interviendra bientôt. Nous sommes convaincus qu’il ne permettra pas que ce monde méchant subsiste un jour de plus que ne l’exige son dessein. – TG2017 Janvier §6,7
    Bientôt, le monde connaîtra la plus grande tribulation de tous les temps (Mat. 24:21, 22). Nous ne savons pas exactement ce qui arrivera à chacun de nous. Mais c’est inutile de nous inquiéter à l’excès. Même si nous ne connaissons pas la façon dont Jéhovah va agir, nous le connaissons Lui. Nous avons vu que, dans toute situation, il réalise toujours ce qu’il a décidé, parfois d’une façon surprenante. Chaque fois qu’il agit pour nous, nous ressentons d’une façon nouvelle sa « paix », « qui surpasse toute pensée ». – TG2017 Août §17
    Comment développer la même foi que Noé. Nous devons étudier soigneusement la Bible, aimer ce que nous apprenons et utiliser cette connaissance pour nous améliorer et faire de bons choix. La foi et la sagesse venant de Dieu nous protégeront alors des pièges de Satan et de l’influence de ce monde. À cause de cette influence, beaucoup aiment la violence et l’immoralité sexuelle, et ils sont esclaves de leurs mauvais désirs. Ils refusent de voir que le jour de Dieu approche. Si notre foi n’est pas forte, nous risquons de commencer à penser comme eux. Quand Jésus a comparé notre époque à celle de Noé, remarquons qu’il n’a pas parlé de la violence ou de l’immoralité sexuelle, mais du danger de ne « pas être attentifs » au message de Dieu (Matthieu 24:36-39). Demandons-nous : « Ma façon de vivre montre-t-elle que je connais bien Jéhovah ? Ma foi me pousse-t-elle à appliquer les principes de Dieu et à les faire connaître ? » Tu sauras ainsi si toi aussi tu « marches avec le vrai Dieu ». – TG2018 Février §9,10
    Jéhovah a amené le Déluge sur un monde impie. Mais cette destruction établit un modèle pour une destruction plus grande qui est encore à venir (Matthieu 24:38, 39). Aujourd’hui, comme à l’époque, Jéhovah se tient prêt avec ses saintes myriades pour exécuter un jugement juste contre un monde impie. Chacun de nous doit prendre à cœur l’avertissement de Hénok et l’annoncer à d’autres. Notre famille et nos amis s’éloigneront peut-être de nous. Par moments, nous nous sentirons peut-être seuls. Mais Jéhovah n’abandonnera pas ses fidèles serviteurs  - TG2017 n°1
    Nous prêchons parce que nous voulons avertir les gens que le jour de Jéhovah est proche. La Bible parle de Noé comme d’un « prédicateur » Le message qu’il prêchait contenait un avertissement concernant la destruction à venir. Qu’est-ce qui nous permet de le dire ? Jésus a déclaré : « De même qu’ils étaient en ces jours d’avant le déluge : ils mangeaient et buvaient, les hommes se mariaient et les femmes étaient données en mariage, jusqu’au jour où Noé est entré dans l’arche ; et ils n’ont pas été attentifs jusqu’à ce que le déluge vienne et les emporte tous, ainsi sera la présence du Fils de l’homme » (Mat. 24:38, 39). Même si les gens n’écoutaient pas Noé, il a fidèlement annoncé le message d’avertissement qu’il avait reçu de Jéhovah.
    Aujourd’hui, nous prêchons la Bonne Nouvelle du Royaume parce que nous voulons faire connaître le projet de Jéhovah pour les humains. Comme lui, nous souhaitons vraiment que les gens écoutent et « restent bel et bien en vie » (Ézéch. 18:23). Quand nous prêchons de maison en maison ou dans les lieux publics, nous avertissons le plus de personnes possible que le Royaume de Dieu va détruire ce monde méchant – TG2018 n°5 §8,9
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    Matthieu 24 :3 « Tandis qu’il était assis sur le mont des Oliviers, les disciples s’avancèrent vers lui en particulier et dirent : “ Dis-nous : Quand ces choses auront-elles lieu, et quel sera le signe de ta présence et de l’achèvement du système de choses ? » indique que « l’achèvement du système de choses » est en cours. Mais Jésus n’a pas révélé combien de temps durerait cette période avant que la fin n’arrive. Il nous faut donc être particulièrement vigilants. Nous nous demandons peut-être : Se pourrait-il que l’expression « achèvement du système de choses » désigne une période à venir, durant laquelle les conditions mondiales empireront encore ? Il est vrai que, selon la Bible, « dans les derniers jours », la méchanceté s’accentuera considérablement. L’expression “ l’achèvement du système de choses ” (sa conclusion) désigne la période qui mène à la fin et qui inclut cette fin. Nous pouvons donc nous attendre à ce que les conditions mondiales, aussi mauvaises soient-elles, continuent de se dégrader. Jésus a dit que la plupart des gens ne seraient « pas attentifs » à sa présence et qu’ils continueraient de vaquer à leurs occupations jusqu’à ce qu’il soit trop tard  -  TG2015 15/8 p15-16
    Les véritables disciples de Christ seraient les objets de la haine de toutes les nations à cause de son nom’ (Mat. 24:9)
    Les disciples ne sont pas persécutés parce qu’ils s’ingèrent dans les affaires politiques, mais ‘à cause du nom de Jésus Christ’, parce qu’ils s’attachent à Jésus en qui ils reconnaissent le Roi messianique de Jéhovah, qu’ils lui obéissent comme à un chef plutôt qu’aux leaders politiques de la terre, et qu’ils soutiennent fidèlement son Royaume au lieu de prendre parti dans les affaires des gouvernements humains. L’histoire moderne est là pour prouver que les Témoins de Jéhovah ont subi ce genre de persécution dans toutes les parties de la terre –rs p93 Derniers jours
    Matthieu 24:17 « Que l’homme qui est sur le toit en terrasse ne descende pas pour emporter les biens qu’il y a dans sa maison »  Que se passera-t-il après la destruction des fausses religions ? Ce sera le moment de révéler ce que nous avons vraiment dans le cœur. La majorité des humains cherchera refuge dans des organisations humaines comparées aux « rochers des montagnes » (Rév. 6:15-17). Pour leur part, les serviteurs de Dieu fuiront, figurément parlant, vers le refuge fourni par Jéhovah. Au 1er siècle, l’intervalle qui a suivi le retrait de l’armée romaine n’a pas été une période de conversion massive des juifs au christianisme. C’était plutôt, pour ceux qui étaient déjà chrétiens, le moment d’agir et d’obéir. Pareillement, il ne faut pas s’attendre à ce que l’interruption, le répit, qui se produira durant la grande tribulation donne lieu à un afflux de nouveaux croyants. Par contre, elle offrira à tous les vrais croyants la possibilité de prouver leur amour pour Jéhovah et de soutenir les frères du Christ. Bien que nous ne connaissions pas dans le détail tout ce qui se produira durant cette période d’épreuve, attendons-nous à devoir faire des sacrifices. Pour rester en vie, les chrétiens du 1er siècle ont dû abandonner leurs biens et endurer des privations. Serons-nous disposés à subir des pertes matérielles pour rester fidèles ? Serons-nous prêts à faire tout ce qu’il faudra pour prouver notre fidélité à Jéhovah ? – TG2015  15/7 §7,8
    Le signe des derniers jours est d’une portée internationale : il concerne “ toute la terre habitée ”. (Mat. 24:7, 14.) Des millions de gens vivent dans des endroits frappés par des épidémies, des famines, des tremblements de terre ou d’autres malheurs annoncés. À l’opposé, beaucoup d’autres connaissent une tranquillité relative. Si vous n’avez jamais été personnellement touché par certains éléments du signe, devriez-vous en conclure que la grande tribulation est encore loin ? Ce serait manquer de sagesse. Souvenez-vous que Jéhovah a déjà fixé le jour et l’heure du début de la Grande Tribulation (Mat. 24:36). Le cours des événements n’y changera rien. “ Montrez-vous prêts. ” (Mat. 24:44).
    Cette exhortation de Jésus s’adresse à tous les chrétiens, où qu’ils soient. Nous devons être prêts en permanence. De plus, aucun de nous ne sait ce qu’il sera en train de faire au moment où la grande tribulation commencera. Certains seront peut-être au travail ou occupés à des tâches ménagères chez eux (Mat. 24:40, 41) – TG2011  15/10
    Les jours sont écourtés. Jésus a révélé ce qui se passera à ce stade de la Grande tribulation : « À cause de ceux qui ont été choisis ces jours-là seront écourtés » Matthieu 24:22. Ces paroles ont eu un accomplissement limité en 66 de n. è., quand Jéhovah a écourté l’attaque de l’armée romaine contre Jérusalem (Marc 13:20). Cette intervention a permis aux chrétiens de Jérusalem et de Judée d’être sauvés. Que se passera-t-il à l’échelle mondiale lors de la Grande Tribulation ? Par l’intermédiaire de notre Roi, Jéhovah écourtera l’attaque de l’ONU, afin que la vraie religion ne soit pas détruite avec la fausse. Les organisations de la fausse religion seront donc toutes éliminées, mais la vraie religion survivra - kr p223, 226
    Est-il nécessaire que les autres brebis connaissent le nom de tous les oints actuellement sur terre ? En un mot, non. Pourquoi ? Parce que quand bien même un chrétien reçoit l’appel céleste, il ne reçoit qu’une invitation, pas une confirmation définitive de sa récompense. C’est la raison pour laquelle Satan suscite de « faux prophètes » pour « égarer, si possible, même ceux qui ont été choisis » (Mat. 24:24). Personne ne peut savoir si un chrétien oint recevra sa récompense céleste tant que Jéhovah n’a pas jugé que ce chrétien en est digne. Jéhovah décide qu’il en est digne et lui donne le sceau final, soit avant qu’il meure fidèle, soit avant le déclenchement de « la Grande Tribulation » (Rév. 2:10 ; 7:3, 14). Il serait donc inutile qu’un humain, quel qu’il soit, cherche à savoir quels serviteurs de Dieu feront à terme partie des 144 000 – TG2016 Janvier  § 3
    Les oints seront présents dans de nombreux endroits de la terre quand Jésus viendra pour les rassembler au ciel. Parlant de cette époque, la Bible dit au sujet de Jésus : « Il enverra ses anges au son d’une grande trompette, et ils rassembleront ceux qu’il a choisis, depuis les quatre vents, depuis l’une des extrémités des cieux jusqu’à leur autre extrémité » (Mat. 24:31). Les Écritures ont clairement annoncé que seul un reste d’oints serait présent sur terre durant les derniers jours (Rév. 12:17). Mais elles ne disent pas combien il en restera quand la grande tribulation commencera - TG2016 Janvier  § 14
    LE DERNIER MÉMORIAL : QUAND ? - Un jour, le Mémorial sera célébré pour la dernière fois. Comment le savons-nous ? L’apôtre Paul a expliqué qu’en célébrant le Mémorial, les chrétiens oints « continuent] à proclamer la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il arrive » (1 Cor. 11:26). Ici, le mot « arrive » fait référence au même évènement que la « venue » dont Jésus a parlé dans sa prophétie sur le temps de la fin. À propos de la grande tribulation maintenant toute proche, il a déclaré : « Le signe du Fils de l’homme apparaîtra dans le ciel, et alors toutes les tribus de la terre se frapperont la poitrine en se lamentant, et elles verront le Fils de l’homme venir sur les nuages du ciel avec puissance et grande gloire. Et [Jésus] enverra ses anges au son d’une grande trompette, et ils rassembleront ceux qu’il a choisis, depuis les quatre vents, depuis l’une des extrémités des cieux jusqu’à leur autre extrémité » (Mat. 24:29-31). Le rassemblement de « ceux qu’il a choisis » se fera quand les chrétiens oints encore sur terre recevront leur récompense au ciel. Cela se produira entre le début de la grande tribulation et la guerre d’Armaguédon. De cette façon, l’ensemble des 144 000 sera aux côtés de Jésus pour vaincre les rois de la terre (Rév. 17:12-14). Le Mémorial qui sera célébré avant que Jésus rassemble les oints dans le ciel sera donc le dernier de tous, puisque Jésus sera « arrivé ». Soyons déterminés à être présents au Mémorial, le 31 mars 2018. Et demandons à Jéhovah de nous aider à contribuer à l’unité de son peuple ! . Souvenons-nous qu’un jour, nous célébrerons le Mémorial pour la dernière fois. D’ici là, faisons le maximum pour y assister et chérissons l’unité agréable qui y règne. – TG2018  Janvier §15,16
    « Cette génération ne passera pas que toutes ces choses n’arrivent » Matthieu 24:34. Nous comprenons que cette génération se compose de deux groupes de chrétiens oints. Le premier a connu 1914 et a facilement discerné le signe de la présence du Christ cette année-là. Ceux qui constituaient ce groupe n’étaient pas seulement vivants en 1914, ils avaient été oints de l’esprit en tant que fils de Dieu cette année-là ou avant.
    Le second groupe est formé des chrétiens oints qui ont été contemporains de ceux du premier groupe. Ils ont non seulement vécu en même temps que des membres du premier groupe, mais ils ont aussi été oints d’esprit saint quand les premiers étaient encore sur la terre. Donc, « cette génération » dont a parlé Jésus ne comprend pas tous les oints actuellement sur la terre. Aujourd’hui, ceux qui composent le second groupe prennent de l’âge. Les paroles de Jésus rapportées en Matthieu 24:34 nous donnent néanmoins l’assurance qu’au moins quelques membres de « cette génération ne passeront pas » avant d’avoir vu le début de la grande tribulation. Cela devrait renforcer notre conviction qu’il reste peu de temps avant que le Roi du Royaume de Dieu élimine les méchants et instaure un monde nouveau juste – TG2014 15/1 p31
    Jésus souhaite que nous restions vigilants en raison et de ce que nous savons et de ce que nous ignorons. Lorsqu’il était sur la terre, Jésus avait-il une connaissance pleine et entière de l’avenir ? Non, car il a humblement reconnu : “ Quant à ce jour-là et à cette heure-là, personne ne les connaît, ni les anges des cieux ni le Fils, mais seulement le Père. ” (Mat. 24:36). À l’époque, lui, “ le Fils ”, ne savait pas précisément quand viendrait la fin de ce système de choses. Et nous, notre connaissance de l’avenir est-elle complète ? À l’évidence, non. Nous ignorons le moment où Jéhovah enverra son Fils anéantir ce monde mauvais. Autrement, quel besoin aurions-nous de veiller ? En outre, comme l’a expliqué Jésus, la fin viendra soudainement. Il est donc impératif que nous restions vigilants – TG2012  15/2 p4 §4
    Malgré leurs facultés mentales et spirituelles élevées, les anges ont des limites ; il y a notamment des choses qu’ils ne connaissent pas Matthieu 24:36 « Quant à ce jour-là et à cette heure-là, personne ne les connaît, ni les anges des cieux ni le Fils, mais seulement le Père » - TG2017 n°5
    Nous ne pouvons pas déterminer l’année, et encore moins le jour et l’heure, où débutera la grande tribulation. Lorsqu’il était sur terre, Jésus a dit : « Quant à ce jour-là et à cette heure-là, personne ne les connaît, ni les anges des cieux ni le Fils, mais seulement le Père » (Mat. 24:36). Toutefois, Christ a reçu au ciel les pleins pouvoirs pour faire la guerre au monde de Satan (Rév. 19:11-16). Il est donc raisonnable d’en conclure qu’il sait à présent quand aura lieu Harmaguédon. Mais nous, nous l’ignorons. Il est impératif de rester vigilants jusqu’à cette tribulation. Jéhovah, lui, a toujours su quand elle arrivera. Il a fixé le moment précis où la fin viendra. Il compte le temps qui reste avant le début de la grande tribulation. Soyons sûrs que la promesse de Jéhovah de nous délivrer lors de la grande tribulation ne faillira pas. Si nous voulons survivre à la destruction de ce système, nous devons veiller pour survivre. En étant spirituellement vigilants, nous serons prêts pour ce jour de jugement, quel que soit le moment où il viendra – TG2016 Juillet p14 §4
     
    Pourquoi devons-nous « veiller » ? - En ces derniers jours, les chrétiens doivent prendre au sérieux l’avertissement de Jésus de « veiller » (Matt. 24:42). Il nous faut pour cela nous protéger des influences négatives qui pourraient nous empêcher d’être vigilants en vue de sa venue. Cet article explique comment ne pas nous laisser distraire. Trois influences négatives qui pourraient affaiblir notre vigilance si nous ne faisions pas attention :
    Le Diable plonge les humains dans l’indifférence spirituelle des personnes en prédication,
    L’esprit du monde provoque le sommeil spirituel (Accaparés par les affaires courantes de la vie, beaucoup ne sont pas « conscients de leur pauvreté spirituelle », Ils se laissent séduire par les attraits matériels du monde, qui flattent « le désir de la chair et le désir des yeux ». À l’approche de la fin de ce système, ce n’est pas le moment d’accumuler pour nous-mêmes des choses matérielles. Nous ne devrions pas nous attendre à ce que nos biens, quelle que soit leur valeur affective ou marchande, survivent avec nous à la grande tribulation
    Notre chair imparfaite peut affaiblir notre détermination à rester vigilants (Jésus savait que les humains imparfaits ont tendance à succomber aux faiblesses de la chair) – TG2016 Juillet
    Jésus a montré l’importance de demeurer éveillé en prenant un exemple où il était question d’un voleur. Après avoir décrit les événements qui l’amèneraient à venir en tant que Juge, il a fait cette mise en garde : “ Veillez donc, parce que vous ne savez pas quel jour votre Seigneur vient. Mais sachez ceci : si le maître de maison avait su à quelle veille venait le voleur, il se serait tenu éveillé et n’aurait pas laissé forcer sa maison. Voilà pourquoi, vous aussi, montrez-vous prêts, car c’est à une heure que vous ne pensez pas que le Fils de l’homme vient. ” (Matthieu 24:42-44). Jésus a donc comparé sa venue à celle, inattendue, d’un voleur. Un voleur n’annonce pas à quelle heure il viendra. Il espère au contraire arriver à un moment où personne ne l’attend. Pareillement, expliquait Jésus, la fin du système actuel aura lieu ‘ à une heure que nous ne pensons pas ’. L’exemple était bien choisi, car la date exacte de la venue de Jésus ne serait pas connue. Dans la même prophétie, il avait précisé en effet : “ Quant à ce jour-là et à cette heure-là, personne ne les connaît, ni les anges des cieux ni le Fils, mais seulement le Père. ” (Matthieu 24:36). D’où sa recommandation : “ Montrez-vous prêts. ” (Matthieu 24:44). Quel que soit le moment où Jésus viendrait pour exécuter le jugement de Jéhovah, ceux qui tiendraient compte de son avertissement seraient prêts ; leur conduite en témoignerait. – TG2003 1/1 p17-18
    Tous ceux qui ont l’espérance céleste ne font pas partie de « l’esclave fidèle et avisé » (Mat. 24:45-47). Comme au 1er siècle, Jéhovah et Jésus nourrissent aujourd’hui beaucoup de monde par l’intermédiaire d’une poignée d’hommes. Au 1er siècle, Jéhovah ne s’est en effet servi que de quelques chrétiens oints pour rédiger les Écritures grecques chrétiennes. De même aujourd’hui, seuls quelques chrétiens oints sont désignés pour fournir la « nourriture [spirituelle] en temps voulu ». - TG2016 Janvier  § 16
    Que voulait dire Jésus quand il a déclaré que son esclave fidèle serait “ avisé ” ? Matthieu 24:45 – Jésus indiquait que les personnes représentées par cet esclave feraient preuve de discernement, de prévoyance et de bon jugement parce qu’elles fonderaient leur foi, leurs actes et leur enseignement sur la Parole de Dieu, la Parole de vérité. - Le mot “ avisé ” désigne la plupart du temps la sagesse pratique et la prudence – TG2007 1/9 p31
    « L’esclave fidèle et avisé » : C’est un petit groupe de frères oints qui s’occupent de préparer et de distribuer la nourriture spirituelle depuis 1919. Aujourd’hui, ce groupe de frères oints s’appelle le Collège central.
    Les frères oints qui composent l’esclave fidèle savent que leur Maître exige qu’ils s’occupent bien de ses domestiques. Ces frères oints veulent sincèrement accomplir leur responsabilité en étant fidèles. Ainsi, quand le Maître arrivera, il leur dira sûrement : « C’est bien. »
    « Ses domestiques » : Ce sont tous ceux qui reçoivent la nourriture spirituelle, les chrétiens oints et les autres brebis.
    « Établi sur ses domestiques » : En 1919, Jésus a choisi des frères oints qui avaient de l’expérience pour être son esclave fidèle et avisé.
    « Il l’établira sur tous ses biens » : Ceux qui font partie de l’esclave fidèle recevront cette mission quand ils auront leur récompense dans le ciel. Avec les autres chrétiens oints qui font partie des 144 000, ils recevront la mission de s’occuper de tous les biens de Jésus. – ws2013  15/7 p25
    Le Collège central prend les décisions importantes de manière collective. Comment ? Il se réunit chaque semaine, ce qui favorise une bonne communication et l’unité entre ses membres. Chaque année, c’est un membre différent qui préside les réunions, car aucun n’est considéré comme supérieur aux autres. De même, les six comités du Collège central changent de président chaque année. Et chaque membre de ce collège se considère, non pas comme le chef de ses frères, mais comme un des « domestiques » nourris par l’esclave fidèle et soumis à sa direction.
    Le Collège central n’est ni inspiré ni infaillible. Il peut donc se tromper sur des questions doctrinales ou d’organisation. D’ailleurs, l’Index des publications des Témoins de Jéhovah contient l’entrée « Compréhensions affinées », qui liste les modifications apportées à notre compréhension biblique depuis 1870. Bien sûr, Jésus ne nous a pas dit que son esclave fidèle produirait une nourriture spirituelle parfaite. Alors comment pouvons-nous répondre à sa question : « Quel est donc l’esclave fidèle et avisé ? » (Mat. 24:45). Quelles preuves avons-nous que c’est le Collège central qui remplit ce rôle ?
    Examinons les mêmes éléments, au nombre de trois, que ceux qui ont guidé le collège central du Ier siècle.
    L’action de l’esprit saint. L’esprit saint permet au Collège central de saisir des vérités bibliques jusque-là incomprises
    L’aide des anges. Le Collège central assume la tâche colossale de diriger une œuvre mondiale de prédication impliquant plus de huit millions d’évangélisateurs. Pourquoi cette œuvre est-elle si fructueuse ? Notamment parce que les anges y participent. Très souvent, des proclamateurs ont rendu visite à des personnes qui venaient de prier Dieu de les aider ! Les progrès de l’œuvre de prédication et d’enseignement malgré une opposition acharnée dans certains pays ne sont possibles que grâce à une aide suprahumaine
    La direction de la Parole de Dieu - le Collège central fonde ses décisions sur la Parole de Dieu, et non sur l’opinion populaire
    Chacun de nous démontre son respect pour notre Conducteur, Jésus, en étant obéissant et soumis aux hommes par lesquels il nous dirige. Quand Jésus est retourné au ciel, il n’a pas abandonné ses disciples. Il savait combien l’esprit saint, les anges et la Parole de Dieu l’avaient aidé dans son rôle de conducteur quand il était sur terre. C’est pourquoi il fournit aujourd’hui la même aide à l’esclave fidèle. Les chrétiens oints qui composent cet esclave « continuent à suivre l’Agneau où qu’il aille » dirigeant humain ne peut faire une telle promesse  - TG2017 Février p23-28 §11-17
    L’amour hypocrite est particulièrement détestable parce que c’est une contrefaçon utilisée pour tromper. Une telle hypocrisie peut tromper des humains, mais pas Jéhovah. D’ailleurs, Jésus a dit que ceux qui agissent comme des hypocrites seront punis « avec la plus grande sévérité » (Mat. 24:51). Bien sûr, un serviteur de Jéhovah ne voudrait jamais manifester un amour hypocrite. Mais demandons-nous : « Mon amour est-il constamment véritable, sans égoïsme ni tromperie ? » Voyons donc neuf façons de manifester un amour « sans hypocrisie ». – TG2017 Octobre §8
     
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MATTHIEU 24
    Matthieu 24:8 : Que sous-entendent peut-être les paroles de Jésus ? (nwtsty, note d’étude).
    « Toutes ces choses sont un commencement de douleurs »
    Grandes souffrances : Le mot grec désigne littéralement la douleur intense que ressent une femme lors de l’accouchement. Même s’il se rapporte ici aux souffrances, à la douleur et à la détresse en général, il évoque peut-être le fait que les problèmes et les douleurs prédits, comme les douleurs de l’accouchement, augmenteront en fréquence, en intensité et en durée au cours de la période précédant la grande tribulation mentionnée en Mt 24:21. - nwtsty, note d’étude
    Comme les douleurs de l’enfantement, ces “ douleurs ” iront assurément en s’intensifiant jusqu’à ce que Christ ‘ mène à terme sa victoire ’ en détruisant tout vestige de l’organisation visible de Satan.  Dans le grec original, le mot rendu par “ douleurs ” signifie littéralement “ douleurs de l’enfantement ” On en déduit que, comme les douleurs de l’enfantement, les problèmes mondiaux augmenteront en fréquence, en intensité et en durée, pour aboutir à la grande tribulation. – TG2005  15/1 p15-20 §10
    Les « douleurs » du monde méchant vont empirer à mesure qu’il approchera de sa fin. Et elles empireront à coup sûr durant la grande tribulation. Les infrastructures vont s’effondrer, et les humains craindront pour leur vie même. En plein désarroi, ils chercheront refuge en quelque sorte « dans les grottes et dans les rochers des montagnes » (Rév. 6:15-17). Mais ni des grottes littérales ni les « montagnes » que sont les organisations politiques et commerciales n’offriront de protection.
    TG2013 15/3 p19-23 §15
    Avant la fin de ce monde mauvais, la vie deviendra certainement de plus en plus difficile. Et pendant la grande tribulation, ce sera encore pire. Sur toute la terre, ce sera le désordre. Les gens qui n’adorent pas Jéhovah auront très peur . La Bible dit qu’ils auront si peur qu’ils chercheront à se cacher « dans les grottes et dans les rochers des montagnes » Mais aucune grotte ne pourra les protéger, ni aucune grande entreprise, ni aucune organisation politique. TG2013 facile 15/3 p19-23 §15
    Pendant la grande tribulation, Jéhovah nous protégera. Comment Jéhovah nous protégera-t-il durant cette période difficile ? Nous ne le savons pas encore. Mais nous pouvons être sûrs que nous resterons organisés et que Jéhovah nous dira quoi faire. C’est ce qu’il a fait pour les Israélites qui ont fui l’Égypte pendant l’Exode. Jéhovah se servira sans doute de la congrégation pour nous dire quoi faire. Isaïe 26:20 parle de « chambres intérieures » où les adorateurs de Dieu pourront se mettre à l’abri. Peut-être que ces chambres seront les congrégations du monde entier -  TG2013 15/3 p26
    Puisque le présent système de choses approche de sa fin, les “ douleurs ” prédites continueront. Il se peut que le prix de la nourriture augmente considérablement à cause de la demande croissante, des conditions météorologiques ou de l’instabilité économique. Il est possible qu’il devienne de plus en plus difficile de trouver un travail et que les employés soient soumis à une pression grandissante pour travailler davantage. Quoi qu’il arrive, ceux qui maintiennent les intérêts spirituels à la première place et qui gardent un ‘ œil simple ’ n’ont pas à s’inquiéter outre mesure. Ils savent que Dieu les aime et prendra soin d’eux – TG2008  15/10 p7 §17
    Matthieu 24:20 : Pourquoi Jésus a-t-il dit cela ? (nwtsty, note d’étude).
    « Priez sans cesse pour que votre fuite n’arrive pas en hiver ni le jour du sabbat « 
    En hiver : À cause des pluies torrentielles, des inondations et du froid de l’hiver, il était difficile de voyager et de se procurer de la nourriture et un abri (Esd 10:9, 13). - nwtsty, note d’étude
    Un jour de sabbat : Dans les territoires comme la Judée, en raison des restrictions relatives au sabbat, il était difficile de voyager sur de longues distances et de porter de lourdes charges ; de plus, les portes des villes étaient fermées le jour du sabbat (voir Ac 1:12 et sgd, partie 16). - nwtsty, note d’étude
    Si quelqu’un devait fuir une catastrophe en hiver, alors que le mauvais temps rend les déplacements très difficiles, et même dangereux, que risquerait-il de lui arriver ? — Même s’il parvenait à s’enfuir, ce serait avec beaucoup de mal. Mais il pourrait aussi mourir dans une tempête. Imagine que ça lui arrive simplement parce qu’il était trop occupé pour partir plus tôt. Ce serait triste, n’est-ce pas ? — Qu’a voulu enseigner Jésus en parlant de la fuite en hiver ? Il voulait nous faire comprendre que, si nous savons qu’HarMaguédon est proche, nous ne devons pas perdre de temps : nous devons faire le nécessaire pour servir Dieu tout de suite afin de montrer que nous l’aimons. Si nous attendons, il sera peut-être trop tard. Nous serons alors comme les gens d’avant le déluge : ils ont entendu Noé, mais ils ne sont pas entrés dans l’arche. – lr chap47 p249
    Quelle heure est-il donc du point de vue de Dieu? Pour le présent monde c’est l’heure où tout s’achève. Le soleil se couche. La nuit approche rapidement. L’hiver est aux portes. La réalisation des prophéties bibliques et la chronologie établie par Jéhovah indiquent que nous vivons “les derniers jours”, “la conclusion du système de choses” Nous devons donc prendre à cœur cet avertissement donné par Jésus: “Priez sans cesse pour que votre fuite n’arrive pas en hiver.” Quand la nuit, ou l’hiver, arrivera pour ce monde, il sera trop tard pour rechercher la faveur de Jéhovah. – TG1986 15/4 p19
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Jésus a prédit : « L’amour du grand nombre se refroidira » (Matthieu 24: 12). Ces paroles se sont appliquées d’abord aux Juifs du 1er siècle, qui disaient être le peuple de Dieu, mais qui avaient laissé leur amour pour lui se refroidir. Ce que Jésus a dit sur l’amour qui se refroidit concerne aussi notre époque. Les gens ont de moins en moins d’amour pour Dieu. Ne voulant pas compter sur lui pour régler les problèmes du monde, des millions d’entre eux comptent sur des organisations humaines. Ainsi, leur amour continue de se refroidir. Mais l’amour pourrait se refroidir aussi chez les serviteurs de Jéhovah en perdant leur enthousiasme pour la vérité, en étant influencés par le monde et en laissant d’autres choses devenir plus importantes pour eux que leurs relations avec Jéhovah. – ws2017 mai p20
    Ce que Noé ne pouvait pas faire : Même s’il prêchait fidèlement le message d’avertissement de Jéhovah, il ne pouvait pas obliger les impies autour de lui à accepter ce message, ni faire venir le Déluge plus tôt. Il lui fallait être convaincu que Jéhovah tiendrait sa promesse de mettre fin à la méchanceté et qu’il le ferait au bon moment. Nous aussi, nous vivons dans un monde rempli de méchanceté, que Jéhovah a promis de détruire (1 Jean 2:17). En attendant, nous ne pouvons pas obliger les gens à accepter la « bonne nouvelle du royaume ».
    Nous ne pouvons pas non plus faire quoi que ce soit pour accélérer le déclenchement de la « grande tribulation » (Mat. 24:14, 21). Comme Noé, nous devons avoir une foi forte, être certains que Jéhovah interviendra bientôt. Nous sommes convaincus qu’il ne permettra pas que ce monde méchant subsiste un jour de plus que ne l’exige son dessein. – TG2017 Janvier §6,7
    Bientôt, le monde connaîtra la plus grande tribulation de tous les temps (Mat. 24:21, 22). Nous ne savons pas exactement ce qui arrivera à chacun de nous. Mais c’est inutile de nous inquiéter à l’excès. Même si nous ne connaissons pas la façon dont Jéhovah va agir, nous le connaissons Lui. Nous avons vu que, dans toute situation, il réalise toujours ce qu’il a décidé, parfois d’une façon surprenante. Chaque fois qu’il agit pour nous, nous ressentons d’une façon nouvelle sa « paix », « qui surpasse toute pensée ». – TG2017 Août §17
    Comment développer la même foi que Noé. Nous devons étudier soigneusement la Bible, aimer ce que nous apprenons et utiliser cette connaissance pour nous améliorer et faire de bons choix. La foi et la sagesse venant de Dieu nous protégeront alors des pièges de Satan et de l’influence de ce monde. À cause de cette influence, beaucoup aiment la violence et l’immoralité sexuelle, et ils sont esclaves de leurs mauvais désirs. Ils refusent de voir que le jour de Dieu approche. Si notre foi n’est pas forte, nous risquons de commencer à penser comme eux. Quand Jésus a comparé notre époque à celle de Noé, remarquons qu’il n’a pas parlé de la violence ou de l’immoralité sexuelle, mais du danger de ne « pas être attentifs » au message de Dieu (Matthieu 24:36-39). Demandons-nous : « Ma façon de vivre montre-t-elle que je connais bien Jéhovah ? Ma foi me pousse-t-elle à appliquer les principes de Dieu et à les faire connaître ? » Tu sauras ainsi si toi aussi tu « marches avec le vrai Dieu ». – TG2018 Février §9,10
    Jéhovah a amené le Déluge sur un monde impie. Mais cette destruction établit un modèle pour une destruction plus grande qui est encore à venir (Matthieu 24:38, 39). Aujourd’hui, comme à l’époque, Jéhovah se tient prêt avec ses saintes myriades pour exécuter un jugement juste contre un monde impie. Chacun de nous doit prendre à cœur l’avertissement de Hénok et l’annoncer à d’autres. Notre famille et nos amis s’éloigneront peut-être de nous. Par moments, nous nous sentirons peut-être seuls. Mais Jéhovah n’abandonnera pas ses fidèles serviteurs  - TG2017 n°1
    Nous prêchons parce que nous voulons avertir les gens que le jour de Jéhovah est proche. La Bible parle de Noé comme d’un « prédicateur » Le message qu’il prêchait contenait un avertissement concernant la destruction à venir. Qu’est-ce qui nous permet de le dire ? Jésus a déclaré : « De même qu’ils étaient en ces jours d’avant le déluge : ils mangeaient et buvaient, les hommes se mariaient et les femmes étaient données en mariage, jusqu’au jour où Noé est entré dans l’arche ; et ils n’ont pas été attentifs jusqu’à ce que le déluge vienne et les emporte tous, ainsi sera la présence du Fils de l’homme » (Mat. 24:38, 39). Même si les gens n’écoutaient pas Noé, il a fidèlement annoncé le message d’avertissement qu’il avait reçu de Jéhovah.
    Aujourd’hui, nous prêchons la Bonne Nouvelle du Royaume parce que nous voulons faire connaître le projet de Jéhovah pour les humains. Comme lui, nous souhaitons vraiment que les gens écoutent et « restent bel et bien en vie » (Ézéch. 18:23). Quand nous prêchons de maison en maison ou dans les lieux publics, nous avertissons le plus de personnes possible que le Royaume de Dieu va détruire ce monde méchant – TG2018 n°5 §8,9
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    Matthieu 24 :3 « Tandis qu’il était assis sur le mont des Oliviers, les disciples s’avancèrent vers lui en particulier et dirent : “ Dis-nous : Quand ces choses auront-elles lieu, et quel sera le signe de ta présence et de l’achèvement du système de choses ? » indique que « l’achèvement du système de choses » est en cours. Mais Jésus n’a pas révélé combien de temps durerait cette période avant que la fin n’arrive. Il nous faut donc être particulièrement vigilants. Nous nous demandons peut-être : Se pourrait-il que l’expression « achèvement du système de choses » désigne une période à venir, durant laquelle les conditions mondiales empireront encore ? Il est vrai que, selon la Bible, « dans les derniers jours », la méchanceté s’accentuera considérablement. L’expression “ l’achèvement du système de choses ” (sa conclusion) désigne la période qui mène à la fin et qui inclut cette fin. Nous pouvons donc nous attendre à ce que les conditions mondiales, aussi mauvaises soient-elles, continuent de se dégrader. Jésus a dit que la plupart des gens ne seraient « pas attentifs » à sa présence et qu’ils continueraient de vaquer à leurs occupations jusqu’à ce qu’il soit trop tard  -  TG2015 15/8 p15-16
    Les véritables disciples de Christ seraient les objets de la haine de toutes les nations à cause de son nom’ (Mat. 24:9)
    Les disciples ne sont pas persécutés parce qu’ils s’ingèrent dans les affaires politiques, mais ‘à cause du nom de Jésus Christ’, parce qu’ils s’attachent à Jésus en qui ils reconnaissent le Roi messianique de Jéhovah, qu’ils lui obéissent comme à un chef plutôt qu’aux leaders politiques de la terre, et qu’ils soutiennent fidèlement son Royaume au lieu de prendre parti dans les affaires des gouvernements humains. L’histoire moderne est là pour prouver que les Témoins de Jéhovah ont subi ce genre de persécution dans toutes les parties de la terre –rs p93 Derniers jours
    Matthieu 24:17 « Que l’homme qui est sur le toit en terrasse ne descende pas pour emporter les biens qu’il y a dans sa maison »  Que se passera-t-il après la destruction des fausses religions ? Ce sera le moment de révéler ce que nous avons vraiment dans le cœur. La majorité des humains cherchera refuge dans des organisations humaines comparées aux « rochers des montagnes » (Rév. 6:15-17). Pour leur part, les serviteurs de Dieu fuiront, figurément parlant, vers le refuge fourni par Jéhovah. Au 1er siècle, l’intervalle qui a suivi le retrait de l’armée romaine n’a pas été une période de conversion massive des juifs au christianisme. C’était plutôt, pour ceux qui étaient déjà chrétiens, le moment d’agir et d’obéir. Pareillement, il ne faut pas s’attendre à ce que l’interruption, le répit, qui se produira durant la grande tribulation donne lieu à un afflux de nouveaux croyants. Par contre, elle offrira à tous les vrais croyants la possibilité de prouver leur amour pour Jéhovah et de soutenir les frères du Christ. Bien que nous ne connaissions pas dans le détail tout ce qui se produira durant cette période d’épreuve, attendons-nous à devoir faire des sacrifices. Pour rester en vie, les chrétiens du 1er siècle ont dû abandonner leurs biens et endurer des privations. Serons-nous disposés à subir des pertes matérielles pour rester fidèles ? Serons-nous prêts à faire tout ce qu’il faudra pour prouver notre fidélité à Jéhovah ? – TG2015  15/7 §7,8
    Le signe des derniers jours est d’une portée internationale : il concerne “ toute la terre habitée ”. (Mat. 24:7, 14.) Des millions de gens vivent dans des endroits frappés par des épidémies, des famines, des tremblements de terre ou d’autres malheurs annoncés. À l’opposé, beaucoup d’autres connaissent une tranquillité relative. Si vous n’avez jamais été personnellement touché par certains éléments du signe, devriez-vous en conclure que la grande tribulation est encore loin ? Ce serait manquer de sagesse. Souvenez-vous que Jéhovah a déjà fixé le jour et l’heure du début de la Grande Tribulation (Mat. 24:36). Le cours des événements n’y changera rien. “ Montrez-vous prêts. ” (Mat. 24:44).
    Cette exhortation de Jésus s’adresse à tous les chrétiens, où qu’ils soient. Nous devons être prêts en permanence. De plus, aucun de nous ne sait ce qu’il sera en train de faire au moment où la grande tribulation commencera. Certains seront peut-être au travail ou occupés à des tâches ménagères chez eux (Mat. 24:40, 41) – TG2011  15/10
    Les jours sont écourtés. Jésus a révélé ce qui se passera à ce stade de la Grande tribulation : « À cause de ceux qui ont été choisis ces jours-là seront écourtés » Matthieu 24:22. Ces paroles ont eu un accomplissement limité en 66 de n. è., quand Jéhovah a écourté l’attaque de l’armée romaine contre Jérusalem (Marc 13:20). Cette intervention a permis aux chrétiens de Jérusalem et de Judée d’être sauvés. Que se passera-t-il à l’échelle mondiale lors de la Grande Tribulation ? Par l’intermédiaire de notre Roi, Jéhovah écourtera l’attaque de l’ONU, afin que la vraie religion ne soit pas détruite avec la fausse. Les organisations de la fausse religion seront donc toutes éliminées, mais la vraie religion survivra - kr p223, 226
    Est-il nécessaire que les autres brebis connaissent le nom de tous les oints actuellement sur terre ? En un mot, non. Pourquoi ? Parce que quand bien même un chrétien reçoit l’appel céleste, il ne reçoit qu’une invitation, pas une confirmation définitive de sa récompense. C’est la raison pour laquelle Satan suscite de « faux prophètes » pour « égarer, si possible, même ceux qui ont été choisis » (Mat. 24:24). Personne ne peut savoir si un chrétien oint recevra sa récompense céleste tant que Jéhovah n’a pas jugé que ce chrétien en est digne. Jéhovah décide qu’il en est digne et lui donne le sceau final, soit avant qu’il meure fidèle, soit avant le déclenchement de « la Grande Tribulation » (Rév. 2:10 ; 7:3, 14). Il serait donc inutile qu’un humain, quel qu’il soit, cherche à savoir quels serviteurs de Dieu feront à terme partie des 144 000 – TG2016 Janvier  § 3
    Les oints seront présents dans de nombreux endroits de la terre quand Jésus viendra pour les rassembler au ciel. Parlant de cette époque, la Bible dit au sujet de Jésus : « Il enverra ses anges au son d’une grande trompette, et ils rassembleront ceux qu’il a choisis, depuis les quatre vents, depuis l’une des extrémités des cieux jusqu’à leur autre extrémité » (Mat. 24:31). Les Écritures ont clairement annoncé que seul un reste d’oints serait présent sur terre durant les derniers jours (Rév. 12:17). Mais elles ne disent pas combien il en restera quand la grande tribulation commencera - TG2016 Janvier  § 14
    LE DERNIER MÉMORIAL : QUAND ? - Un jour, le Mémorial sera célébré pour la dernière fois. Comment le savons-nous ? L’apôtre Paul a expliqué qu’en célébrant le Mémorial, les chrétiens oints « continuent] à proclamer la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il arrive » (1 Cor. 11:26). Ici, le mot « arrive » fait référence au même évènement que la « venue » dont Jésus a parlé dans sa prophétie sur le temps de la fin. À propos de la grande tribulation maintenant toute proche, il a déclaré : « Le signe du Fils de l’homme apparaîtra dans le ciel, et alors toutes les tribus de la terre se frapperont la poitrine en se lamentant, et elles verront le Fils de l’homme venir sur les nuages du ciel avec puissance et grande gloire. Et [Jésus] enverra ses anges au son d’une grande trompette, et ils rassembleront ceux qu’il a choisis, depuis les quatre vents, depuis l’une des extrémités des cieux jusqu’à leur autre extrémité » (Mat. 24:29-31). Le rassemblement de « ceux qu’il a choisis » se fera quand les chrétiens oints encore sur terre recevront leur récompense au ciel. Cela se produira entre le début de la grande tribulation et la guerre d’Armaguédon. De cette façon, l’ensemble des 144 000 sera aux côtés de Jésus pour vaincre les rois de la terre (Rév. 17:12-14). Le Mémorial qui sera célébré avant que Jésus rassemble les oints dans le ciel sera donc le dernier de tous, puisque Jésus sera « arrivé ». Soyons déterminés à être présents au Mémorial, le 31 mars 2018. Et demandons à Jéhovah de nous aider à contribuer à l’unité de son peuple ! . Souvenons-nous qu’un jour, nous célébrerons le Mémorial pour la dernière fois. D’ici là, faisons le maximum pour y assister et chérissons l’unité agréable qui y règne. – TG2018  Janvier §15,16
    « Cette génération ne passera pas que toutes ces choses n’arrivent » Matthieu 24:34. Nous comprenons que cette génération se compose de deux groupes de chrétiens oints. Le premier a connu 1914 et a facilement discerné le signe de la présence du Christ cette année-là. Ceux qui constituaient ce groupe n’étaient pas seulement vivants en 1914, ils avaient été oints de l’esprit en tant que fils de Dieu cette année-là ou avant.
    Le second groupe est formé des chrétiens oints qui ont été contemporains de ceux du premier groupe. Ils ont non seulement vécu en même temps que des membres du premier groupe, mais ils ont aussi été oints d’esprit saint quand les premiers étaient encore sur la terre. Donc, « cette génération » dont a parlé Jésus ne comprend pas tous les oints actuellement sur la terre. Aujourd’hui, ceux qui composent le second groupe prennent de l’âge. Les paroles de Jésus rapportées en Matthieu 24:34 nous donnent néanmoins l’assurance qu’au moins quelques membres de « cette génération ne passeront pas » avant d’avoir vu le début de la grande tribulation. Cela devrait renforcer notre conviction qu’il reste peu de temps avant que le Roi du Royaume de Dieu élimine les méchants et instaure un monde nouveau juste – TG2014 15/1 p31
    Jésus souhaite que nous restions vigilants en raison et de ce que nous savons et de ce que nous ignorons. Lorsqu’il était sur la terre, Jésus avait-il une connaissance pleine et entière de l’avenir ? Non, car il a humblement reconnu : “ Quant à ce jour-là et à cette heure-là, personne ne les connaît, ni les anges des cieux ni le Fils, mais seulement le Père. ” (Mat. 24:36). À l’époque, lui, “ le Fils ”, ne savait pas précisément quand viendrait la fin de ce système de choses. Et nous, notre connaissance de l’avenir est-elle complète ? À l’évidence, non. Nous ignorons le moment où Jéhovah enverra son Fils anéantir ce monde mauvais. Autrement, quel besoin aurions-nous de veiller ? En outre, comme l’a expliqué Jésus, la fin viendra soudainement. Il est donc impératif que nous restions vigilants – TG2012  15/2 p4 §4
    Malgré leurs facultés mentales et spirituelles élevées, les anges ont des limites ; il y a notamment des choses qu’ils ne connaissent pas Matthieu 24:36 « Quant à ce jour-là et à cette heure-là, personne ne les connaît, ni les anges des cieux ni le Fils, mais seulement le Père » - TG2017 n°5
    Nous ne pouvons pas déterminer l’année, et encore moins le jour et l’heure, où débutera la grande tribulation. Lorsqu’il était sur terre, Jésus a dit : « Quant à ce jour-là et à cette heure-là, personne ne les connaît, ni les anges des cieux ni le Fils, mais seulement le Père » (Mat. 24:36). Toutefois, Christ a reçu au ciel les pleins pouvoirs pour faire la guerre au monde de Satan (Rév. 19:11-16). Il est donc raisonnable d’en conclure qu’il sait à présent quand aura lieu Harmaguédon. Mais nous, nous l’ignorons. Il est impératif de rester vigilants jusqu’à cette tribulation. Jéhovah, lui, a toujours su quand elle arrivera. Il a fixé le moment précis où la fin viendra. Il compte le temps qui reste avant le début de la grande tribulation. Soyons sûrs que la promesse de Jéhovah de nous délivrer lors de la grande tribulation ne faillira pas. Si nous voulons survivre à la destruction de ce système, nous devons veiller pour survivre. En étant spirituellement vigilants, nous serons prêts pour ce jour de jugement, quel que soit le moment où il viendra – TG2016 Juillet p14 §4
     
    Pourquoi devons-nous « veiller » ? - En ces derniers jours, les chrétiens doivent prendre au sérieux l’avertissement de Jésus de « veiller » (Matt. 24:42). Il nous faut pour cela nous protéger des influences négatives qui pourraient nous empêcher d’être vigilants en vue de sa venue. Cet article explique comment ne pas nous laisser distraire. Trois influences négatives qui pourraient affaiblir notre vigilance si nous ne faisions pas attention :
    Le Diable plonge les humains dans l’indifférence spirituelle des personnes en prédication,
    L’esprit du monde provoque le sommeil spirituel (Accaparés par les affaires courantes de la vie, beaucoup ne sont pas « conscients de leur pauvreté spirituelle », Ils se laissent séduire par les attraits matériels du monde, qui flattent « le désir de la chair et le désir des yeux ». À l’approche de la fin de ce système, ce n’est pas le moment d’accumuler pour nous-mêmes des choses matérielles. Nous ne devrions pas nous attendre à ce que nos biens, quelle que soit leur valeur affective ou marchande, survivent avec nous à la grande tribulation
    Notre chair imparfaite peut affaiblir notre détermination à rester vigilants (Jésus savait que les humains imparfaits ont tendance à succomber aux faiblesses de la chair) – TG2016 Juillet
    Jésus a montré l’importance de demeurer éveillé en prenant un exemple où il était question d’un voleur. Après avoir décrit les événements qui l’amèneraient à venir en tant que Juge, il a fait cette mise en garde : “ Veillez donc, parce que vous ne savez pas quel jour votre Seigneur vient. Mais sachez ceci : si le maître de maison avait su à quelle veille venait le voleur, il se serait tenu éveillé et n’aurait pas laissé forcer sa maison. Voilà pourquoi, vous aussi, montrez-vous prêts, car c’est à une heure que vous ne pensez pas que le Fils de l’homme vient. ” (Matthieu 24:42-44). Jésus a donc comparé sa venue à celle, inattendue, d’un voleur. Un voleur n’annonce pas à quelle heure il viendra. Il espère au contraire arriver à un moment où personne ne l’attend. Pareillement, expliquait Jésus, la fin du système actuel aura lieu ‘ à une heure que nous ne pensons pas ’. L’exemple était bien choisi, car la date exacte de la venue de Jésus ne serait pas connue. Dans la même prophétie, il avait précisé en effet : “ Quant à ce jour-là et à cette heure-là, personne ne les connaît, ni les anges des cieux ni le Fils, mais seulement le Père. ” (Matthieu 24:36). D’où sa recommandation : “ Montrez-vous prêts. ” (Matthieu 24:44). Quel que soit le moment où Jésus viendrait pour exécuter le jugement de Jéhovah, ceux qui tiendraient compte de son avertissement seraient prêts ; leur conduite en témoignerait. – TG2003 1/1 p17-18
    Tous ceux qui ont l’espérance céleste ne font pas partie de « l’esclave fidèle et avisé » (Mat. 24:45-47). Comme au 1er siècle, Jéhovah et Jésus nourrissent aujourd’hui beaucoup de monde par l’intermédiaire d’une poignée d’hommes. Au 1er siècle, Jéhovah ne s’est en effet servi que de quelques chrétiens oints pour rédiger les Écritures grecques chrétiennes. De même aujourd’hui, seuls quelques chrétiens oints sont désignés pour fournir la « nourriture [spirituelle] en temps voulu ». - TG2016 Janvier  § 16
    Que voulait dire Jésus quand il a déclaré que son esclave fidèle serait “ avisé ” ? Matthieu 24:45 – Jésus indiquait que les personnes représentées par cet esclave feraient preuve de discernement, de prévoyance et de bon jugement parce qu’elles fonderaient leur foi, leurs actes et leur enseignement sur la Parole de Dieu, la Parole de vérité. - Le mot “ avisé ” désigne la plupart du temps la sagesse pratique et la prudence – TG2007 1/9 p31
    « L’esclave fidèle et avisé » : C’est un petit groupe de frères oints qui s’occupent de préparer et de distribuer la nourriture spirituelle depuis 1919. Aujourd’hui, ce groupe de frères oints s’appelle le Collège central.
    Les frères oints qui composent l’esclave fidèle savent que leur Maître exige qu’ils s’occupent bien de ses domestiques. Ces frères oints veulent sincèrement accomplir leur responsabilité en étant fidèles. Ainsi, quand le Maître arrivera, il leur dira sûrement : « C’est bien. »
    « Ses domestiques » : Ce sont tous ceux qui reçoivent la nourriture spirituelle, les chrétiens oints et les autres brebis.
    « Établi sur ses domestiques » : En 1919, Jésus a choisi des frères oints qui avaient de l’expérience pour être son esclave fidèle et avisé.
    « Il l’établira sur tous ses biens » : Ceux qui font partie de l’esclave fidèle recevront cette mission quand ils auront leur récompense dans le ciel. Avec les autres chrétiens oints qui font partie des 144 000, ils recevront la mission de s’occuper de tous les biens de Jésus. – ws2013  15/7 p25
    Le Collège central prend les décisions importantes de manière collective. Comment ? Il se réunit chaque semaine, ce qui favorise une bonne communication et l’unité entre ses membres. Chaque année, c’est un membre différent qui préside les réunions, car aucun n’est considéré comme supérieur aux autres. De même, les six comités du Collège central changent de président chaque année. Et chaque membre de ce collège se considère, non pas comme le chef de ses frères, mais comme un des « domestiques » nourris par l’esclave fidèle et soumis à sa direction.
    Le Collège central n’est ni inspiré ni infaillible. Il peut donc se tromper sur des questions doctrinales ou d’organisation. D’ailleurs, l’Index des publications des Témoins de Jéhovah contient l’entrée « Compréhensions affinées », qui liste les modifications apportées à notre compréhension biblique depuis 1870. Bien sûr, Jésus ne nous a pas dit que son esclave fidèle produirait une nourriture spirituelle parfaite. Alors comment pouvons-nous répondre à sa question : « Quel est donc l’esclave fidèle et avisé ? » (Mat. 24:45). Quelles preuves avons-nous que c’est le Collège central qui remplit ce rôle ?
    Examinons les mêmes éléments, au nombre de trois, que ceux qui ont guidé le collège central du Ier siècle.
    L’action de l’esprit saint. L’esprit saint permet au Collège central de saisir des vérités bibliques jusque-là incomprises
    L’aide des anges. Le Collège central assume la tâche colossale de diriger une œuvre mondiale de prédication impliquant plus de huit millions d’évangélisateurs. Pourquoi cette œuvre est-elle si fructueuse ? Notamment parce que les anges y participent. Très souvent, des proclamateurs ont rendu visite à des personnes qui venaient de prier Dieu de les aider ! Les progrès de l’œuvre de prédication et d’enseignement malgré une opposition acharnée dans certains pays ne sont possibles que grâce à une aide suprahumaine
    La direction de la Parole de Dieu - le Collège central fonde ses décisions sur la Parole de Dieu, et non sur l’opinion populaire
    Chacun de nous démontre son respect pour notre Conducteur, Jésus, en étant obéissant et soumis aux hommes par lesquels il nous dirige. Quand Jésus est retourné au ciel, il n’a pas abandonné ses disciples. Il savait combien l’esprit saint, les anges et la Parole de Dieu l’avaient aidé dans son rôle de conducteur quand il était sur terre. C’est pourquoi il fournit aujourd’hui la même aide à l’esclave fidèle. Les chrétiens oints qui composent cet esclave « continuent à suivre l’Agneau où qu’il aille » dirigeant humain ne peut faire une telle promesse  - TG2017 Février p23-28 §11-17
    L’amour hypocrite est particulièrement détestable parce que c’est une contrefaçon utilisée pour tromper. Une telle hypocrisie peut tromper des humains, mais pas Jéhovah. D’ailleurs, Jésus a dit que ceux qui agissent comme des hypocrites seront punis « avec la plus grande sévérité » (Mat. 24:51). Bien sûr, un serviteur de Jéhovah ne voudrait jamais manifester un amour hypocrite. Mais demandons-nous : « Mon amour est-il constamment véritable, sans égoïsme ni tromperie ? » Voyons donc neuf façons de manifester un amour « sans hypocrisie ». – TG2017 Octobre §8
     
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MATTHIEU 22-23
    Matthieu 22:21 : Que sont « les choses de César », et « les choses de Dieu » ? (nwtsty, note d’étude).
    « Ils dirent : “ De César. ” Alors il leur dit : “ Rendez donc les choses de César à César, mais les choses de Dieu à Dieu ». ”
    Les choses de César à César : La réponse de Jésus ici, et dans les récits parallèles de Mc 12:17 et de Lc 20:25, est la seule fois où Jésus fait référence à l’empereur romain. Les « choses de César » comprennent le paiement pour les services rendus par les autorités civiles, ainsi que l’honneur et la soumission relative qui leur sont dus (Rm 13:1-7). nwtsty, note d’étude
    Les choses de Dieu à Dieu : Ces choses comprennent le culte qu’une personne rend d’un coeur entier, l’amour qu’elle manifeste de toute son âme et l’obéissance complète dont elle fait preuve avec fidélité - nwtsty, note d’étude
    Nous nous soumettons à l’autorité du gouvernement sous lequel nous vivons en obéissant à ses lois, en respectant ses représentants et en payant les impôts qu’il réclame. Mais s’il nous demande de désobéir à Dieu, nous refusons respectueusement. Nous rendons à Dieu ce qui lui revient de droit notamment en restant neutres dans les affaires politiques du monde. Ainsi, nous ne nous opposons pas aux gouvernements humains, auxquels Jéhovah permet d’exister, ni n’encourageons le patriotisme ou le nationalisme. Nous ne faisons pas partie de groupes de pression, nous n’essayons pas de changer les gouvernements et, lors d’élections politiques, nous ne nous présentons pas pour être élus et ne votons pas pour un candidat. – TG2016 Avril p27
    Cela signifie que pour garder une bonne conscience devant Dieu et les hommes, les chrétiens obéissent aux lois du pays où ils vivent, dont celles qui ont trait au paiement des impôts. Mais Jéhovah reste pour nous le Souverain suprême, le seul vrai Dieu, que nous aimons de tout notre cœur. C’est donc à Jéhovah seul que nous acceptons de nous soumettre sans réserve. – TG2009  15/6 p16 §16
    Matthieu 23:24 : Que signifient ces paroles de Jésus ? (nwtsty, note d’étude).
    « Guides aveugles, qui filtrez le moustique mais avalez le chameau » 
    Vous filtrez le moucheron, mais vous avalez le chameau : Le moucheron et le chameau étaient respectivement la plus petite et la plus grosse des créatures impures connues des Israélites (Lv 11:4, 21-24). Jésus utilise une hyperbole, avec une touche d’ironie, quand il dit que les chefs religieux filtrent leurs boissons afin de ne pas être rituellement impurs à cause d’un moucheron, alors qu’ils ne respectent pas du tout les choses les plus importantes de la Loi, ce qui reviendrait à avaler un chameau. nwtsty, note d’étude
    Les scribes et les Pharisiens avaient ajouté à la Loi mosaïque un nombre incalculable de traditions. Jésus les a taxés d’hypocrisie, parce qu’ils avaient perdu de vue les principes justes sur lesquels la Loi reposait. Les vrais chrétiens doivent prendre garde de ne pas laisser les traditions humaines les détourner du culte pur. – TG2005  15/8 p19 §12
    Les chefs religieux juifs étaient rigoristes dans les petites choses, filtrant leur boisson afin de ne pas se souiller rituellement en avalant un moustique. En revanche, ils faisaient peu de cas des points les plus importants de la Loi, ce qui revenait à avaler un chameau, classé lui aussi parmi les animaux impurs du point de vue rituel. it-2  p353-354
    Cette hyperbole était particulièrement percutante. Pourquoi ? Parce que le contraste était frappant entre un minuscule moustique et un chameau, l’un des plus gros animaux connus des auditeurs de Jésus. On estime qu’il faudrait 70 millions de moustiques pour atteindre le poids d’un chameau de taille moyenne. Jésus savait aussi que les Pharisiens filtraient leur vin à travers une passoire en tissu. Ces hommes à cheval sur les règles le filtraient afin de ne pas avaler de moustique, ce qui les aurait rendus impurs du point de vue rituel. Au sens figuré, néanmoins, ils avalaient le chameau, qui était également impur. La pensée de Jésus était claire. Les Pharisiens observaient méticuleusement la moindre des exigences de la Loi, mais ils méprisaient les points les plus importants : “ la justice et la miséricorde et la fidélité ”. TG2002  1/9 p11
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Des siècles plus tard, Jésus a blâmé les Sadducéens parce qu’ils ne croyaient pas à la résurrection. Mettant le doigt sur la raison pour laquelle ces hommes refusaient d’ajouter foi à la promesse de Dieu de ramener les morts à la vie, Jésus leur a dit : “ Vous ne connaissez ni les Écritures ni la puissance de Dieu. ” (Matthieu 22:29). Les Écritures nous enseignent que “ tous ceux qui sont dans les tombes de souvenir entendront sa voix et sortiront ”. (Jean 5:27-29.) À partir du moment où nous savons ce que la Bible dit à propos de la résurrection, notre confiance dans la puissance de Dieu nous convainc que les morts seront relevés. Dieu “ engloutira la mort pour toujours ; [...] car Jéhovah lui-même l’a dit ”. — Isaïe 25:8. – TG2000 1/3 p13§16
    La mort est-elle plus forte que Dieu ? Certainement pas ! Comment la mort, ou tout autre « ennemi », pourrait-elle être plus forte que le « Dieu Tout-Puissant » ?  Dieu a le pouvoir de vaincre la mort par le moyen de la résurrection, et c’est ce qu’il promet de faire dans le Monde Nouveau qu’il établira. Cette promesse est-elle fiable ? Le Fils de Dieu lui-même, Jésus, répond en des termes qui peuvent gonfler notre cœur d’espoir (Matthieu 22:31, 32). Réfléchissons : S’il n’y a pas de résurrection, Abraham, Isaac et Jacob sont à jamais condamnés à rester prisonniers de la mort. Cela implique que la mort est plus forte que Jéhovah, qu’il n’est pas assez puissant pour libérer ses fidèles serviteurs des chaînes de la mort. Dans ce cas, Jéhovah est le Dieu des défunts. Or Jésus affirme : « [Jéhovah] est le Dieu, non pas des morts, mais des vivants. »
    Que pouvons-nous donc en conclure concernant Abraham, Isaac, Jacob et tous les fidèles serviteurs de Jéhovah qui sont morts ? « Ils sont tous vivants pour lui » (Luc 20:38). Jéhovah est tellement certain de les ressusciter qu’il les considère comme vivants (Romains 4:16, 17). Il les gardera dans sa mémoire infinie jusqu’au moment où il a prévu de les ramener à la vie. La perspective de retrouver un être cher vous attire-t-elle ? Dans ce cas, souvenez-vous que Jéhovah est infiniment plus fort que la mort. Rien ne peut l’empêcher de réaliser sa promesse – TG2013  1/ 2 p7
    Matthieu 22 :37 « Tu dois aimer Jéhovah ton Dieu de tout ton cœur, et de toute ton âme, et de toute ta pensée » Notre amour pour Jéhovah doit venir du cœur. Qu’entendait Jésus par aimer Dieu « de tout [son] cœur » ? Que nous devons l’aimer de tout notre cœur symbolique, lequel englobe nos désirs, nos émotions et nos sentiments. Nous devons aussi l’aimer « de toute [notre] âme », c’est-à-dire de tout notre être. Enfin, nous devons l’aimer « de toute [notre] pensée », autrement dit avec toute notre intelligence.
    En résumé, nous devons aimer Jéhovah pleinement, sans réserve. Les termes « cœur », « âme », « pensée » et « force » ne s’excluent pas les uns les autres. Autrement dit, aimer Jéhovah implique notre personne toute entière, toutes nos facultés et nos ressources – TG2014 15/6 p13
    Jésus et ses disciples utilisaient le Nom divin. A l’époque de Jésus et de ses disciples, le Nom divin figurait bel et bien dans les copies des Écritures, tant dans les manuscrits hébreux que dans les manuscrits grecs. Jésus et ses disciples employaient-ils le nom divin à l’oral et à l’écrit. Lorsque Jésus citait les Écritures hébraïques ou en donnait lecture, il utilisait à coup sûr le nom divin, Jéhovah - Matthieu 22 :37, 44 – it1 Jéhovah
    Tous les morts ne bénéficieront pas de la résurrection. “ Si nous pratiquons le péché volontairement après avoir reçu la connaissance exacte de la vérité, avertit la Bible, il ne reste plus pour les péchés aucun sacrifice, mais il y a une certaine attente terrible du jugement. ” (Hébreux 10:26, 27). Certaines personnes ont commis des péchés impardonnables. Elles ne se trouvent pas dans la tombe commune aux humains, aussi appelée Hadès, mais dans la géhenne, un lieu symbolique qui représente la destruction éternelle (Matthieu 23:33). Il nous faut toutefois veiller à ne pas nous livrer à des spéculations sur la perspective pour telle ou telle personne d’être ressuscitée. Cette décision revient à Dieu. Il sait qui est dans l’Hadès et qui est dans la géhenne. Quant à nous, nous agirons avec sagesse en conformant notre vie à la volonté divine. – TG2006  15/3 p4
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    Matthieu 22 :2 “ Le royaume des cieux est devenu semblable à un homme, un roi, qui a fait un festin de mariage pour son fils » Jéhovah Dieu est le Roi qui prépare un festin de mariage pour son Fils, Jésus Christ. L’épouse du Christ, composée de 144 000 disciples oints, sera finalement unie à lui dans le ciel – TG1990 15/1 p8
    22:3, 4, 9 — Quand les trois appels pour le festin de mariage ont-ils été lancés ? Le premier appel pour rassembler la classe de l’épouse a été lancé en 29 de n. è., lorsque Jésus et ses disciples se sont mis à prêcher, et il s’est poursuivi jusqu’en 33. Le deuxième appel a duré de la Pentecôte 33, jour de l’effusion de l’esprit saint, jusqu’en 36. Ces deux appels s’adressaient uniquement aux Juifs, aux prosélytes et aux Samaritains. Toutefois, le troisième appel a été lancé aux gens sur les routes hors de la ville, c’est-à-dire aux Gentils incirconcis, à partir de 36, lorsque l’officier romain Corneille s’est converti, et il retentit toujours à notre époque. – TG2008  15/1 p31
    Matthieu 22 :11-14 « “Quand le roi entra pour examiner les convives, il aperçut là un homme qui n’était pas revêtu d’un vêtement de mariage. Et il lui dit: ‘Compagnon, comment es-tu entré ici sans avoir un vêtement de mariage?’ L’autre devint muet. Alors le roi dit à ses serviteurs: ‘Liez-le pieds et mains, et jetez-le dans les ténèbres du dehors. C’est là que seront ses pleurs et ses grincements de dents.’”
    L’homme sans vêtement de mariage représente les faux chrétiens de la chrétienté, que Dieu n’a jamais reconnus comme de véritables Israélites spirituels. En aucune manière Dieu ne les a oints d’esprit saint pour qu’ils deviennent des héritiers du Royaume. Ils sont donc jetés dehors dans l’obscurité où ils subiront la destruction – TG1990 15/1 p9
    Jésus a dit à la nation d’Israël : « J’envoie vers vous des prophètes, et des sages, et des instructeurs publics » (Mat. 23:34). Il parlait ici de ses disciples, à qui il avait appris à utiliser les Écritures dans leur ministère. Jésus vint dans le but de rendre témoignage à la vérité. Afin que la bonne nouvelle du Royaume soit prêchée, il forma ses disciples pour qu’ils soient des enseignants, des instructeurs publics, en rapport avec le Royaume de Dieu. En les qualifiant d’instructeurs publics, il magnifia leur fonction et montra l’importance d’écouter leur enseignement ; il compara chacun d’eux à un homme instruit ayant en réserve un véritable trésor dans lequel puiser. Jésus les envoya vers Israël, mais les scribes d’Israël ne discernèrent pas quels trésors Dieu leur proposait par l’intermédiaire de ces hommes. Au contraire, ils s’opposèrent à l’instruction publique et participèrent à la flagellation, à la persécution et au meurtre de Jésus et des instructeurs publics qui collaboraient avec lui ; ils se révélèrent ainsi des instructeurs mensongers. Néanmoins, beaucoup en Israël et parmi les nations furent enseignés par ceux que Jésus avait instruits et devinrent à leur tour des instructeurs publics de la Parole de Dieu. - it-1 p1190
    Avec justesse, Jésus Christ traita les scribes et les Pharisiens de “ fous et aveugles ”, autrement dit de personnes sans sagesse et moralement sans valeur. En effet, ils avaient perverti la vérité par des traditions humaines et ils étaient hypocrites. D’ailleurs, Jésus montra qu’ils méritaient ce qualificatif en expliquant en quoi ils manquaient de discernement (Mt 23:15-22) –
    it-2 p1005
    Des pilleurs dans la fausse religion. Christ déclara que les scribes et les Pharisiens étaient, comme les voleurs, “ pleins de pillage ”, sans doute commis en dépouillant des veuves et d’autres personnes sans défense, et aussi parce qu’ils maintenaient les gens dans l’esclavage de la religion en enlevant “ la clé de la connaissance ”. (Mt 23:25) Les chefs religieux des Juifs furent également les principaux instigateurs du pillage des biens des chrétiens - it-1 p375
    Dénonçant l’hypocrisie des scribes et des Pharisiens, Jésus leur a dit : “ Vous ressemblez à des tombes blanchies, qui au-dehors, en effet, paraissent belles, mais qui au-dedans sont pleines d’ossements de morts et d’impuretés de toutes sortes. ” (Matthieu 23:27). Vers la fin de la saison des pluies, un mois avant la Pâque, le 15e jour d’Adar, les Juifs blanchissaient les tombes à la chaux pour qu’elles soient bien visibles. Sous la pluie, en effet, la chaux avait tendance à disparaître. Étant donné qu’ils associaient aux morts une souillure du point de vue rituel, les Juifs avaient coutume de badigeonner de blanc les tombes pour en signaler la présence aux passants, afin qu’ils ne deviennent pas impurs en les touchant accidentellement. On blanchissait ainsi les tombes près de Jérusalem annuellement, un mois avant la Pâque, pour éviter en cette période spéciale de culte que quelqu’un ne se rende impur par un contact malencontreux avec une tombe (Mishna, Chekalim I, 1). Cette coutume donna à Jésus matière à un exemple révélant que les scribes et les Pharisiens, quoique paraissant justes au-dehors, étaient au-dedans “ pleins d’hypocrisie et d’illégalité ”. Jésus voulait souligner que ses adversaires religieux n’étaient pas ce qu’ils semblaient être au-dehors et qu’à leur contact on devenait impur spirituellement.— Mt 23:27, 28. – TG2009  1/11 p15
    Pourquoi les scribes et les Pharisiens portaient-ils des “ boîtes renfermant des passages de l’Écriture ” ?
    Jésus a dénoncé ses adversaires religieux, les scribes et les Pharisiens, parce qu’ils ‘ élargissaient les boîtes renfermant des passages de l’Écriture et les portaient comme des moyens de protection ’. (Matthieu 23:2, 5.) Les membres de ces deux groupes attachaient sur leur front de petites boîtes carrées ou rectangulaires en cuir noir. Ils en attachaient également sur la face interne de leur bras, près du cœur. Ces boîtes, aussi appelées phylactères, renfermaient des passages de l’Écriture. D’où venait l’habitude de porter de telles boîtes ? D’une interprétation littérale de ce commandement que Dieu avait donné aux Israélites : “ Ces paroles que je t’ordonne aujourd’hui devront être sur ton cœur [...]. Tu devras les attacher comme un signe sur ta main, et elles devront servir de fronteau entre tes yeux. ” (Deutéronome 6:6-8). Nous ne savons pas précisément quand cette coutume a vu le jour, mais la plupart des biblistes situent son apparition vers le IIIe ou le IIe siècle avant notre ère.
    Jésus a condamné cette tradition pour deux raisons. Premièrement, les scribes et les Pharisiens élargissaient leurs phylactères pour afficher leur piété. Deuxièmement, ils portaient ces boîtes comme des amulettes, pensant à tort qu’elles les protégeraient. De fait, dans la littérature profane, le mot grec phulaktêrion a le sens d’“ avant-poste ”, de “ fortification ” ou de “ moyen de protection ”.- TG2010 1/5 p13
    Le terme “ Rabbi ” était employé dans le sens concret d’“ enseignant ”. (Jn 1:38.) Mais peu avant la naissance de Jésus, il en vint à être utilisé parmi les Juifs comme appellation et comme titre respectueux et honorifique qui signifiait “ mon grand, mon excellent ”. Ce titre était exigé par des hommes instruits, des scribes, des enseignants de la Loi. Ils aimaient qu’on les appelle “ Rabbi ” au sens du titre honorifique. Jésus Christ condamna cette sollicitation de titres et interdit à ses disciples de se faire appeler “ Rabbi ”, car c’était lui leur enseignant. — Mt 23:6-8. Dans la Bible, le terme “ Rabbi ” n’apparaît que dans les Écritures grecques chrétiennes. Il est employé 12 fois en rapport avec Jésus, dans le sens concret d’“ Enseignant ” – it2 Rabbi
    Que dire du terme “père”? Jésus interdit d’appliquer à des humains le mot “ père ” en tant que titre formaliste ou religieux (Mt 23:9). Ce titre est largement employé chez les catholiques et les anglicans. Pourtant, Jésus a enseigné ceci à ses disciples: “N’appelez personne votre ‘Père’ sur la terre: car vous n’en avez qu’un, le Père céleste.” (Matthieu 23:9, Jérusalem). Par conséquent, Jésus a interdit d’appliquer à des humains le mot “ père ” en tant que titre formaliste ou religieux. La Parole vivante (transcription de Kuen) rend ce texte d’une manière similaire: “Ne donnez pas (...) à quelqu’un, ici-bas, le titre de ‘Père’.” Jésus montre que ses disciples sont tous égaux: ils sont fils de Dieu. Employer tout titre qui suggère le contraire, c’est usurper avec arrogance une position qui appartient à Dieu; aussi Jésus interdit -il l’utilisation du mot “père” comme titre honorifique religieux. Il insiste sur le fait que ses disciples n’ont qu’un seul Père dans la foi, Jéhovah. – RV1992  8/8 p13
    Jésus donna ce conseil à ses disciples : “ Ne vous faites pas non plus appeler ‘ conducteurs ’, car un seul est votre Conducteur le Christ. ” (Mt 23:10). Pour ce qui est de la congrégation chrétienne, seul Jésus Christ est en droit de porter le titre de “ Conducteur ”, car aucun homme imparfait n’est le conducteur des véritables chrétiens ; tous suivent Christ. Certes, il y en a qui “ dirigent ” dans le service de Dieu, mais ils ne portent pas le titre de “ conducteurs ” et on ne s’adresse pas à eux en utilisant ce terme, et leur exemple doit être suivi uniquement en ce qu’ils imitent Christ –it1 p1048
    Jésus a-t-il retiré des bienfaits de son humilité ? Oui. Il avait dit à ses disciples : “ Quiconque s’humilie sera élevé. ” (Mat. 23:12). Parce que Jésus est resté humble et fidèle tout au long de sa vie terrestre, Jéhovah Dieu l’a élevé et lui a donné autorité sur toutes les créatures dans le ciel et sur la terre. – TG2012  15/11 p14
    Comment devrais-tu traiter un chrétien qui prend les emblèmes ? Les chrétiens ne mettent pas sur un piédestal ceux qui prennent les emblèmes. Quelqu’un qui est réellement oint ne voudrait pas être mis en avant, ni faire étalage de sa position vis-à-vis de Dieu (Mat. 23:8-12) – TG2016. Janvier  p23-24.
    Au 1er siècle de notre ère, l’acharnement des rabbins à disséquer et à interpréter la Loi avait complètement faussé leur raisonnement. Jésus résuma la situation ainsi : “ Les scribes et les Pharisiens [...] disent mais n’accomplissent pas. Ils lient de lourdes charges et les posent sur les épaules des hommes, mais eux-mêmes ne veulent pas les bouger du doigt. ” (Matthieu 23:2-4). Les chefs religieux accablaient effectivement le peuple d’innombrables règles et prescriptions, mais eux, hypocritement, créaient des échappatoires qui les exemptaient d’observer ces mêmes lois. En outre, préoccupés seulement d’érudition, ils ‘ laissaient les points les plus importants de la Loi, à savoir la justice et la miséricorde et la fidélité ’. — Matthieu 23:16-24. C’est vraiment un comble qu’en voulant établir leur justice, les scribes et les Pharisiens aient fini par violer la Loi qu’ils prétendaient défendre.
    Ne faisons donc surtout pas cette erreur de penser que l’on peut adorer Dieu avec la tête remplie de connaissance, mais le cœur vide de foi. En d’autres termes, l’étude de la Bible doit être pour nous plus qu’un exercice intellectuel. La connaissance exacte doit pénétrer jusqu’à notre cœur pour influer en bien sur notre façon de vivre. À quoi cela servirait-il d’étudier le jardinage si l’on ne semait jamais une graine ? On deviendrait peut-être savant en la matière, mais on ne récolterait jamais rien ! De même, quiconque apprend les exigences de Dieu en étudiant la Bible doit faire en sorte que les graines de vérité atteignent son cœur et y germent, pour que son cœur l’incite à l’action – TG2005 15/4 p26-27
    Réfléchissez au climat religieux qui régnait à l’époque de Jésus. Les scribes et les Pharisiens se présentaient comme de fidèles enseignants de la Loi de Dieu, alors qu’en réalité ils remplissaient l’esprit des gens d’enseignements humains qui détournaient leur attention de Dieu. Les scribes et les Pharisiens insistaient scrupuleusement sur la lettre de la Loi, mais ils négligeaient les principes élémentaires qui reflétaient l’amour et la compassion. En public, ils se prétendaient attachés à Dieu, mais en privé ils étaient pleins de méchanceté. Leurs actes ne correspondaient jamais à leurs paroles. Tout ce qu’ils faisaient, c’était “ pour être vus des hommes ”. Ils ressemblaient à “ des tombes blanchies, qui au-dehors, en effet, paraissent belles, mais qui au-dedans sont pleines d’ossements de morts et d’impuretés de toutes sortes ”. Stigmatisant leur hypocrisie, Jésus les a plusieurs fois avertis : “ Malheur à vous, scribes et Pharisiens, hypocrites ! ” — Matthieu 23:5, 13-31.- TG2001 15/11 p21
    23:15 — Pourquoi les prosélytes (ou convertis) que faisaient les Pharisiens étaient-ils “ exposé à aller dans la géhenne deux fois plus ” que les Pharisiens eux-mêmes ? Certains prosélytes des Pharisiens avaient peut-être été autrefois de grands pécheurs. Mais en se convertissant aux voies extrémistes du pharisaïsme, ils aggravaient leur situation, devenant peut-être encore plus extrémistes que leurs enseignants, eux-mêmes condamnés. Ils étaient donc ‘ deux fois plus exposés à aller dans la géhenne ’ que les Pharisiens – TG2008 15/1 p31
    Jean le baptiseur traita les Pharisiens et les Sadducéens de “ progéniture de vipères ”. (Mt 3:7 ; Lc 3:7.) Jésus Christ qualifia lui aussi les scribes et les Pharisiens de “ progéniture de vipères ” à cause de leur méchanceté et des blessures spirituelles mortelles qu’ils pouvaient infliger aux gens sans méfiance. Mt 23:33. - it-2 p1162
    Sachant sa mort prochaine, Jésus leur a dit : “ Voyez ! Votre maison vous est abandonnée. ” (Matthieu 23:37,38) Par ces mots, il indiquait que Dieu n’accepterait plus longtemps le culte pratiqué au temple de Jérusalem, que ce temple ne serait plus “ une maison de prière pour toutes les nations ”. La prophétie de Jésus s’est réalisée 37 ans plus tard, en 70 de notre ère, quand les armées romaines ont détruit Jérusalem et son temple. La preuve était faite que Dieu avait bel et bien abandonné sa maison typique, il retira sa protection. Jésus n’a jamais annoncé la construction d’un nouveau temple à Jérusalem – TG1996 1/7 p13
    Jésus a utilisé un exemple : « LA MANIÈRE DONT UNE POULE RASSEMBLE SES POUSSINS »
    Peu avant sa mort, Jésus s’est arrêté pour observer la capitale juive. « Jérusalem, Jérusalem, la ville qui tue les prophètes et qui lapide ceux qui lui sont envoyés, a-t-il soupiré, combien de fois j’ai voulu rassembler tes enfants de la manière dont une poule rassemble ses poussins sous ses ailes ! Mais vous ne l’avez pas voulu » (Matthieu 23:37).
    Chez les oiseaux, un des instincts les plus puissants est celui de protéger leurs petits. Les oiseaux qui nichent au sol, comme les poules domestiques, doivent être attentifs au moindre danger. Si la poule repère un faucon en train de faire des cercles dans le ciel, elle émet un puissant cri d’alarme, auquel ses poussins réagissent aussitôt en courant se mettre à l’abri sous ses ailes. Ses ailes sont aussi un refuge contre la chaleur du soleil ou contre une pluie diluvienne. De même, Jésus voulait offrir aux habitants de Jérusalem un abri, une protection spirituelle. Aujourd’hui, Jésus nous invite à venir à lui pour obtenir du réconfort et une protection contre les fardeaux et les soucis du quotidien – TG2016 n°6 p9
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MATTHIEU 20-21
    Mt 21:9 : Quand elle a crié : « S’il te plaît, sauve le Fils de David ! », que voulait dire la foule ? (nwtsty, note d’étude).
    « Quant aux foules, celles qui marchaient en avant de lui et celles qui suivaient criaient : “ Sauve, nous t’en prions, le Fils de David ! Béni est celui qui vient au nom de Jéhovah ! Sauve-le, nous t’en prions, là-haut dans les hauteurs ! « ”
    S’il te plaît, sauve : Litt. « Hosanna ». Ce terme grec vient d’une expression hébraïque qui signifie  «  sauve, s’il te plaît »  ou    « sauve, nous t’en prions ». Ici, il désigne une supplication faite à Dieu pour qu’il donne le salut ou la victoire ; il pourrait être rendu par « s’il te plaît, accorde le salut à ». nwtsty, note d’étude
    Avec le temps, il est devenu une expression de prière et de louange. L’expression hébraïque se retrouve en Ps 118:25, qui faisait partie des psaumes du Hallel que l’on chantait à l’époque de la Pâque. À cette occasion, ces mots revenaient donc facilement à l’esprit. Dieu a notamment répondu à la prière de sauver le Fils de David en le ressuscitant. En Mt 21:42, Jésus lui-même cite Ps 118:22, 23 et l’applique au Messie. - nwtsty, note d’étude
    Fils de David : Ici, il s’agit d’une expression montrant la reconnaissance de l’ascendance de Jésus et de son rôle en tant que Messie promis - nwtsty, note d’étude
    Jésus fut oint, non pas avec de l’huile, mais avec de l’esprit saint, pour régner sur un trône céleste
    Aux temps bibliques, l’âne servait à des fins nobles. Salomon, par exemple, monta sur “ la mule ” (progéniture hybride d’un âne) de son père pour aller se faire oindre comme roi. . Le fait que Jésus monte sur un âne pour entrer à Jérusalem signifiait donc qu’il se présentait comme roi, ce qui fut accentué par le comportement de la foule. Les gens, sans doute des Galiléens pour la plupart, ont étendu leurs vêtements devant Jésus. Ils ont également appelé Jésus “ Fils de David ” ; cela soulignait son droit légal à la royauté. Et ils ont utilisé des rameaux de palmiers, démontrant par là qu’ils se soumettaient à son autorité royale. Par conséquent, le cortège entré à Jérusalem le 9 Nisan présentait clairement Jésus comme le Messie et Roi choisi par Jéhovah. Bien sûr, tous ne s’en réjouissaient pas. Les Pharisiens en particulier trouvaient tout à fait déplacé cet honneur royal témoigné à Jésus. “ Enseignant ”, ont-ils réclamé, probablement d’une voix tremblante de colère, “ réprimande tes disciples ”. À quoi Jésus a répondu : “ Je vous le dis : Si ceux-ci se taisaient, les pierres crieraient. ” (Luc 19:39, 40). On le voit, le Royaume de Dieu constituait le thème de la prédication de Jésus. Il le proclamait avec hardiesse, que cela plaise ou non. – TG1997 1/3 p30-31
    Durant le règne de David, Jéhovah a formulé deux autres serments pour le bien de tous ceux qui lui obéiraient. Premièrement, il a juré à David que son trône durerait éternellement et que la Semence promise en hériterait. La Semence serait donc appelée “ Fils de David ”. David a parlé humblement de ce futur descendant comme de son “ Seigneur ” parce que le Christ occuperait une position bien supérieure à la sienne – TG2012 15/10 §13
    Certains ont crié : “ Sauve, nous t’en prions, le Fils de David ! ” Pourquoi criaient-ils ces mots ? Sans aucun doute en étaient-ils venus à reconnaître que Jésus était le Messie promis et que Dieu lui donnerait un Royaume éternel, “ le trône de David son père ”. Ils attendaient avec impatience le salut, la paix et la justice que le Royaume apporterait – TG2011  1/3
    Mt 21:18, 19 : Pourquoi Jésus a-t-il fait se dessécher un figuier ? (jy 244 § 4-6).
    « Tandis qu’il revenait à la ville tôt le matin, il eut faim. 19 Il aperçut un figuier près de la route et alla vers lui, mais il n’y trouva rien, que des feuilles seulement, et il lui dit : “ Que de toi ne vienne plus de fruit, pour toujours. ” Et le figuier se dessécha à l’instant même »
    Mais pourquoi Jésus a-t-il fait se dessécher l’arbre ? Il explique : « Vraiment je vous le dis, si vous avez de la foi et ne doutez pas, vous ne ferez pas seulement ce que j’ai fait au figuier. Mais même si vous dites à cette montagne : “Soulève-toi et jette-toi dans la mer”, cela arrivera. Et tout ce que vous demanderez dans la prière avec foi, vous le recevrez » (Matthieu 21:21, 22). Il répète ainsi une idée qu’il a déjà exprimée précédemment sur l’importance d’avoir une foi capable de déplacer des montagnes (Matthieu 17:20). jy 244
    En faisant se dessécher l’arbre, Jésus illustre l’importance d’avoir foi en Dieu. Il déclare : « Tout ce que vous demandez dans la prière, croyez que vous le recevrez, et vous le recevrez » (Marc 11:24). C’est là une leçon importante pour tous les disciples de Jésus ! Les apôtres sont particulièrement concernés, car ils vont bientôt subir de dures épreuves. Mais il y a un autre lien encore entre le figuier desséché et la foi. jy 244
    Comme ce figuier, la nation d’Israël a une apparence trompeuse. Les Israélites ont conclu une alliance avec Dieu et, extérieurement, ils pourraient donner l’impression de respecter sa Loi. Mais dans son ensemble, la nation a montré qu’elle n’a pas foi et qu’elle ne produit pas de bons fruits. Elle rejette même le Fils de Dieu ! En faisant se dessécher le figuier improductif, Jésus montre donc quelle fin attend cette nation sans foi, qui ne porte pas de fruits. jy 244
    Jésus a faim. Aussi, quand il aperçoit un figuier ayant des feuilles, va-t-il droit vers lui pour voir s’il ne porterait pas aussi quelques figues. Les feuilles de cet arbre sont étonnamment précoces, car la saison des figues ne commence pas avant le mois de juin, et nous ne sommes que fin mars. Cependant, Jésus se dit peut-être que, puisque les feuilles sont en avance, les figues pourraient l’être aussi. Mais son attente est déçue: les feuilles ont donné à l’arbre un aspect trompeur. Alors Jésus maudit le figuier: “Que jamais personne ne mange un fruit de toi !”- TG1989  15/11 p8 §1,2
    Lorsqu’on sait qu’à cette époque-là les arbres fruitiers étaient soumis à un impôt en Palestine et qu’on coupait ceux qui n’étaient pas productifs, on comprend mieux pourquoi Jésus fit se dessécher le figuier stérile, en vue de s’en servir ensuite comme exemple – it1p832
    En faisant se dessécher l’arbre, Jésus apporte à ses disciples la démonstration qu’ils ont besoin d’avoir foi en Dieu. ” C’est là une leçon importante qu’il leur faut retenir, notamment en vue des épreuves terribles qui les attendent pour bientôt. Il y a cependant un autre lien entre la mort de l’arbre et cette qualité qu’est la foi.
    Comme le figuier, la nation d’Israël avait une apparence trompeuse. En effet, bien qu’elle ait conclu avec Dieu une alliance dont elle paraît extérieurement observer les ordonnances, il s’est avéré qu’elle n’avait pas de foi et ne produisait pas de bons fruits. À cause de son manque de foi, elle a été même sur le point de rejeter le Fils de Dieu! C’est pourquoi Jésus, en faisant dépérir le figuier, illustra par un exemple frappant quelle fin attendait cette nation infidèle qui ne portait pas de fruit. TG1989 15/12 p8
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Les évènements de la Pentecôte 33 ont prouvé que Jéhovah avait accepté volontiers la valeur du sacrifice de l’homme parfait Jésus, sacrifice qui faisait propitiation pour le péché, c’est-à-dire qui le couvrait. Jésus, comme il l’a lui-même expliqué, est venu « non pas pour être servi, mais pour servir et donner son âme comme rançon en échange de beaucoup » (Mat. 20:28). Ici, le terme « beaucoup », relatif à ceux qui bénéficieraient de la rançon, ne désigne pas seulement les Juifs repentants. Non, Dieu veut que « toutes sortes d’hommes soient sauvés », puisque la rançon « enlève le péché du monde ! » - TG2014 15/7 §7
    Jésus avait beaucoup de respect pour le temple de Jérusalem car il savait ce qu’il représentait. C’était depuis longtemps le centre du vrai culte sur terre. Or le culte rendu au Dieu saint, Jéhovah, doit être pur. Alors imaginez les sentiments de Jésus lorsqu’il arrive au temple ce 10 Nisan 33 et qu’il se rend compte qu’on le profane Matthieu 21:12, 13. Dans la cour des Gentils, des marchands et des changeurs cupides profitent des adorateurs venus présenter des offrandes à Jéhovah. Réaction de Jésus : il jette dehors « tous ceux qui vendaient et achetaient dans le temple, et il renverse les tables des changeurs ». Il accuse ces individus avides de faire de la maison de son père une « grotte de bandits ». Il montre ainsi son respect pour le temple et pour ce que celui-ci représente. Le culte qu’on rendait à son Père devait rester pur. Des siècles plus tard, après son intronisation au ciel, Jésus a de nouveau purifié un temple. Et cette purification concerne tous ceux qui aujourd’hui veulent servir Jéhovah d’une manière qui lui plaît. Le temple spirituel qui sont les dispositions relatives au vrai culte prises par Dieu – kr chap10 §1-3
    Plus nous en savons sur Jéhovah et sa volonté, plus nous avons de foi — autre facteur primordial. Jésus a dit : “ Tout ce que vous demanderez dans la prière, en ayant foi, vous le recevrez. ” (Matthieu 21:22). Avoir foi, ce n’est pas être crédule. C’est plutôt croire en quelque chose qui, bien qu’invisible, est appuyé par de solides preuves (Hébreux 11:1). La Bible regorge de preuves que Jéhovah, que nous ne pouvons voir, est un Être réel, digne de confiance et disposé à répondre aux prières de ceux qui ont foi en lui. De plus, nous pouvons toujours lui demander davantage de foi, car il se fait un plaisir de nous donner ce dont nous avons besoin – TG2010  1/10
    Invitant ses auditeurs à méditer sur son enseignement, Jésus posait souvent cette question : “ Qu’en pensez–vous ? ”Matthieu 21 :28 .  Ce n’est que par une telle analyse sérieuse et approfondie de leurs croyances que les chrétiens peuvent bâtir une foi qui plaît à Dieu et qui permet de surmonter les épreuves de la vie – TG2002  1/ 4 p4
    Jésus a dit à des Pharisiens un autre jour ? — Ceci : ‘ Les prostituées entreront avant vous dans le royaume de Dieu. ’ (Matthieu 21:31). Jésus a dit ça parce que les prostituées croyaient en lui et qu’elles avaient abandonné leur mauvaise conduite, alors que les Pharisiens continuaient à faire du mal à ses disciples.
    Quand nous lisons dans la Bible que ce que nous faisons est mal, nous devons être prêts à changer. Dès que nous apprenons ce que Jéhovah nous demande, nous devons tout de suite avoir envie de le faire. Comme Jéhovah sera content de nous, il nous donnera la vie éternelle. – lr chap25 p132
    Jésus a dit à propos de son Père : « Tout sarment en moi qui ne porte pas de fruit, il l’enlève. » Autrement dit, Jéhovah nous considère comme ses serviteurs à condition que nous produisions du fruit (Mat. 21:43). Dans cet exemple, « porter du fruit » ne peut donc pas signifier faire de nouveaux disciples. Si c’était le cas, les fidèles Témoins qui n’ont encore jamais aidé quelqu’un à devenir un disciple de Jésus seraient comparables à des sarments qui ne produisent pas de fruit. Mais il ne peut pas en être ainsi ! Pourquoi ? Parce que nous ne pouvons forcer personne à devenir un disciple. Et comme Jéhovah est un Dieu aimant, il ne nous demanderait jamais de faire quelque chose d’impossible. Tout ce qu’il nous demande est à notre portée. Quel est donc ce fruit que nous devons produire ? Ce doit être quelque chose que nous pouvons tous faire. Quelle œuvre Jéhovah a-t-il confiée à tous ses serviteurs ? La prédication de la Bonne Nouvelle du Royaume – TG2018 Mai §8,9
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    Aux temps bibliques, les gens qui voulaient commercer ou travailler ensemble jugeaient utile de conclure des contrats (Mat. 20:1, 2, 8). C’est toujours le cas à notre époque. Par exemple, avant de lancer une entreprise ou de se mettre au service de quelqu’un, il est préférable d’établir un accord ou un contrat écrit. En résumé, l’engagement renforce les liens entre amis et entre conjoints ; il stabilise aussi les relations de travail. Combien plus l’offrande inconditionnelle de votre personne à Jéhovah renforcera-t-elle les liens qui vous unissent à lui – TG201015/1 §7
    Exemple d’ouvriers dans une vigne, donné par Jésus. Certains ouvriers se sont dépensés toute la journée ; d’autres n’ont travaillé qu’une heure. Pourtant, ils ont tous reçu le même salaire. Ceux qui avaient travaillé plus longtemps se sont alors mis à murmurer. À l’un des plaignants, le maître de la vigne a dit : “ Je ne te fais pas de tort. Tu t’es mis d’accord avec moi pour un denier, n’est-ce pas ? Prends ce qui est à toi et va-t’en. ” (Matthieu 20:13, 14). La leçon à retenir ? Ne vous comparez pas aux autres. “ Les comparaisons négatives ne feront que nous retirer notre joie. Pire encore, elles pourraient nous amener à abandonner. ”Jésus dirige la moisson spirituelle en cours et il agit envers ses disciples comme il lui plaît. Si Jéhovah et Jésus décident de faire quelque chose de plus pour d’autres personnes, ils ne nous font pas de tort. Concentrons-nous sur ce que nous avons et ne permettons jamais au “ salaire ” des autres de nous détourner de l’activité que Jéhovah nous a confiée – TG2010 1/8 p30
    Matthieu 20:21 «  Il lui dit : “ Que veux-tu ? ” Elle lui dit : “ Ordonne que mes deux fils que voici s’assoient, l’un à ta droite et l’autre à ta gauche, dans ton royaume »
    L’un à ta droite et l’autre à ta gauche : Ici, ces places sont synonymes d’honneur et d’autorité, mais la place d’honneur la plus importante est toujours celle de droite - nwtsty notes d’étude
    Un jour, vers la fin du ministère de Jésus, la mère de ses proches disciples Jacques et Jean s’est avancée vers lui et a dit : “ Ordonne que mes deux fils que voici s’assoient, l’un à ta droite et l’autre à ta gauche, dans ton royaume. ” (Matthieu 20:21). Manifestement, elle ne parlait pas de quelque chose qui se trouverait dans le cœur de ses fils. Elle comprenait que le Royaume était synonyme de domination avec Jésus, et elle voulait que ses fils y prennent part. Jésus a d’ailleurs promis à ses 11 apôtres fidèles qu’ils seraient dans son Royaume et “ s’assiéraient sur des trônes pour juger ” avec lui (Luc 22:30). Ainsi, pour ses disciples, le Royaume de Jésus devait être une administration ou un gouvernement réel – TG2011 1/3
    Les apôtres ont été lents à cultiver l’humilité. Jésus a dû revenir sur le sujet bien des fois. Un jour, par exemple, Jacques et Jean ont envoyé leur mère lui demander de leur réserver à tous deux une position élevée dans le Royaume de Dieu. Jésus a répondu avec modestie : “ De s’asseoir à ma droite et à ma gauche, cela n’est pas mien pour le donner, mais cela appartient à ceux pour qui cela a été préparé par mon Père. ” Les dix autres apôtres se sont ‘ indignés ’ contre les deux frères (Matthieu 20:20-24). Comment Jésus a-t-il réglé ce problème ? Il les a repris tous les douze avec douceur par ces mots : “ Vous savez que les chefs des nations les commandent en maîtres et que les grands exercent le pouvoir sur elles. Cela ne se passe pas ainsi parmi vous ; mais quiconque veut devenir grand parmi vous doit être votre serviteur, et quiconque veut être premier parmi vous doit être votre esclave. ” (Matthieu 20:25-27). Les apôtres n’ignoraient pas combien “ les chefs des nations ” pouvaient être orgueilleux, ambitieux et égoïstes. Jésus voulait leur faire comprendre qu’ils devaient être différents de ces tyrans avides de pouvoir, qu’ils devaient être humbles - cf 31 §15,16
    Quand deux de ses disciples lui ont demandé de leur réserver des places en vue dans le Royaume, Jésus a répondu : “ De s’asseoir à ma droite et à ma gauche, cela n’est pas mien pour le donner, mais cela appartient à ceux pour qui cela a été préparé par mon Père. ” Matthieu 20:23. Jésus a-t-il menti en affirmant qu’il n’avait pas autorité pour accéder à la requête de ses disciples ? Certainement pas ! Il a plutôt reconnu avec humilité que Dieu seul a autorité pour prendre ce genre de décisions. Il a même expliqué que certaines informations sont connues exclusivement de son Père ; ni lui ni les anges ne les connaissent.  Marc 13:32 – TG2009  1/2
    Chez les Juifs, c’était un grand honneur d’être assis à la droite ou à la gauche de quelqu’un (1 Rois 2:19). Jacques et Jean étaient ambitieux : ils ont tenté d’accéder aux places les plus en vue. Ils ont revendiqué ces positions importantes. Jésus savait ce qu’ils tramaient dans leur tête ; il a donc saisi cette occasion pour rectifier leur point de vue erroné sur la grandeur. Jésus savait que, dans l’optique du monde pétri d’orgueil, l’homme qui est considéré comme grand, c’est celui qui domine et commande les autres, celui qui n’a qu’à claquer des doigts pour qu’on fasse ses quatre volontés. Mais parmi les disciples de Jésus, c’est à la disposition à servir humblement qu’on mesure la grandeur. Jésus a dit : “ Quiconque veut devenir grand parmi vous doit être votre serviteur, et quiconque veut être premier parmi vous doit être votre esclave. ” — Matthieu 20:26, 27. Jésus enseignait une leçon importante à ses disciples : quelqu’un n’est pas grand parce qu’il donne des ordres ; quelqu’un est grand parce qu’il sert les autres par amour. Demandez-vous donc : ‘ Comment aurais-je réagi à la place de Jacques ou de Jean ? Aurais-je compris que la vraie grandeur consiste à servir les autres, avec l’amour pour mobile ? – TG2004 1/8 p15 §6-8
    Si Salomé était effectivement la mère des fils de Zébédée, c’est elle qui s’avança vers Jésus pour lui demander que ses fils aient les places à sa droite et à sa gauche dans son Royaume. Selon Matthieu, la requête fut formulée par la mère, tandis que chez Marc on voit Jacques et Jean faire la demande. Apparemment, les fils nourrissaient ce désir et incitèrent leur mère à présenter la requête. À l’appui de cette idée, le récit de Matthieu dit qu’en entendant parler de cette requête les autres disciples s’indignèrent, non contre la mère, mais contre les deux frères – it2 Salomé
    Mère des fils de Zébédée : Il s’agit de la mère des apôtres Jacques et Jean. Le récit de Marc dit que ce sont Jacques et Jean qui vont voir Jésus. Ils sont probablement à l’origine de la demande, mais ils envoient leur mère, Salomé, peut-être la tante de Jésus, la faire à leur place - nwtsty notes d’étude
    Serviteur  ou « ministre ». La Bible utilise souvent le mot grec diakonos pour désigner une personne qui, sans relâche, se dépense humblement au service des autres. Ce mot est utilisé pour parler de Christ, des ministres ou serviteurs de Christ, des assistants ministériels, ainsi que des domestiques, et des fonctionnaires - nwtsty note d’étude
    Le denier, rétribution du travail d’une journée, était une pièce d’argent romaine. Aujourd’hui, elle vaudrait 0,74 $   0,60 euro
    À l’époque, un ouvrier trimait 12 heures par jour, 6 jours par semaine, en général pour un denier seulement par journée complète
    Pourquoi pouvons-nous être certains que les miracles de Jésus étaient réels ? Lorsqu’il accomplissait ses œuvres de puissance, Jésus n’attirait jamais l’attention sur sa personne. Quand il opérait un miracle, il veillait à ce que l’honneur et la gloire en reviennent à Dieu. Notez la modestie avec laquelle il a guéri deux aveugles. “ Pris de pitié, dit le récit, Jésus leur toucha les yeux, et aussitôt ils purent voir, et ils le suivirent. ” (Matthieu 20:29-34). Pas de rituel, pas de cérémonie, pas d’ostentation dans ses miracles. Jésus réalisait ses œuvres miraculeuses au grand jour, souvent en présence de nombreux témoins. Il ne recourait pas à un éclairage spécial, à une mise en scène ni à des accessoires. Les soi-disant miracles d’aujourd’hui, quant à eux, sont souvent indémontrables – TG2004  15/7
    Notons comment Jésus enseignait. Il attirait constamment l’attention de ses auditeurs sur les Écritures. Il introduisait souvent une pensée importante en disant : “ Il est écrit. ” (Mat. 21:13). D’ailleurs, il a cité directement ou indirectement plus de la moitié des livres des Écritures hébraïques. Comme lui, nous nous référons beaucoup aux Écritures dans notre ministère ; dès que nous le pouvons, nous dirigeons l’attention sur la Bible. Les personnes sincères peuvent ainsi se rendre compte que ce ne sont pas nos pensées que nous enseignons, mais celles de Dieu. Quel plaisir nous avons quand une personne accepte de lire un verset biblique et de discuter de la valeur ou de la signification de la Parole de Dieu ! Et notre joie est évidemment sans mesure quand quelqu’un accepte l’invitation de suivre Jésus. – TG2009  15/1 p3 §14
     
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    misette got a reaction from Elisabeth Dolewka in RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 5 FEVRIER 2018 - MATTHIEU 12-13   
    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MATTHIEU 12-13
    Mt 12:20 : Comment pouvons-nous imiter la compassion de Jésus ? (nwtsty, note d’étude)
    « Il ne broiera pas le roseau froissé, et il n’éteindra pas la mèche de lin qui fume, jusqu’à ce qu’il fasse sortir la justice avec succès »
    La mèche qui fume : Les lampes domestiques étaient généralement de petits récipients en terre remplis d’huile d’olive. Une mèche de lin pompait l’huile pour alimenter la flamme. En grec, cette expression peut désigner une mèche qui fume parce qu’il reste un peu de braise, mais dont la flamme s’affaiblit ou est même déjà éteinte. La prophétie d’Isaïe 42:3 annonçait la compassion qui animerait Jésus ; jamais il n’éteindrait la dernière étincelle d’espoir chez les humbles et les opprimés – nwtsty
    La tendresse de Jésus influençait sa façon de parler aux autres, notamment aux opprimés. Matthieu a appliqué à Jésus ces paroles d’Isaïe : « Il ne brisera pas le roseau broyé ; quant à la mèche de lin qui faiblit, il ne l’éteindra pas » Jésus parlait d’une façon qui faisait du bien aux personnes qui ressemblaient à un roseau froissé, ou à une mèche de lampe à huile sur le point de s’éteindre. Il prêchait un message d’espoir « pour panser ceux qui avaient le cœur brisé. Il a invité ceux « qui peinaient et qui étaient chargés » à venir à lui, leur promettant qu’ainsi, ils « trouveraient du réconfort » Il a donné à ses disciples l’assurance que Dieu se soucie tendrement de chacun de Ses adorateurs, y compris des « petits », c’est-à-dire ceux que le monde considère comme sans valeur – TG2015  Février §13
    Les paroles de Jésus pleines de bonté redonnaient de la force à ceux qui se sentaient faibles ou découragés (Mat. 12:20). Même quand sa patience était mise à l’épreuve, il restait bon et aimant. C’était le cas par exemple quand il reprenait ses apôtres qui se disputaient pour savoir lequel d’entre eux était le plus grand. À chaque fois que les anciens sont amenés à discipliner quelqu’un sur la base des principes bibliques, ils doivent imiter Christ. Ils montreront ainsi qu’ils veulent se laisser guider par Dieu et son Fils.  En se soumettant joyeusement à Dieu et à Christ, les anciens en retirent des bienfaits, et les brebis dont ils s’occupent aussi - TG2018 mars p23 §16,17
    Jésus annonçait son message réconfortant à de nombreuses personnes qui, figurément parlant, ressemblaient à des roseaux froissés, courbés en deux, abattus. Ces gens étaient également comparables à des mèches de lin vacillantes, dont la dernière étincelle de vie était presque éteinte. Des personnes ô combien accablées et découragées! Cependant, Jésus n’a pas écrasé ces roseaux froissés, ni soufflé ces mèches de lin symboliques. Ses paroles pleines d’amour, de tendresse et de compassion redonnaient du courage et un meilleur moral aux opprimés. Au lieu d’enfoncer, ses remarques et son attitude avaient un effet stimulant. Aujourd’hui encore, beaucoup ont besoin de compassion et d’encouragements parce qu’ils vivent des situations déprimantes. Les serviteurs de Jéhovah eux-mêmes ne sont pas constamment solides comme le roc. Certains ressemblent parfois à des mèches de lin vacillantes. Les chrétiens doivent donc s’encourager les uns les autres, en quelque sorte ‘attiser la flamme’, pour s’affermir mutuellement – TG1995 15/11 p21-22
    Annonçons la Bonne Nouvelle : Ne gardons pas l’espérance du Royaume pour nous. Notre amour pour Dieu et pour notre prochain nous pousse à imiter Jésus
    Les chefs religieux juifs méprisaient leurs compatriotes du commun peuple. Les gens étaient traités durement ; on pouvait les comparer à des ‘ roseaux broyés ’ ou à des ‘ mèches de lin ’ dont la flamme est en train de s’évanouir. Jésus, quant à lui, a témoigné de la compassion aux pauvres et aux affligés. Il leur a lancé une invitation bienveillante en disant : “ Venez à moi, vous tous qui peinez et qui êtes chargés, et moi je vous réconforterai. ” (Mat. 11:28) – TG2009 15/1 p22-23 §9
    Emploi figuré. Le roseau pousse généralement en terrain marécageux. C’est une plante peu résistante et plutôt frêle. Un “roseau froissé” serait particulièrement fragile; Le “ roseau ” est employé dans la Bible pour représenter l’instabilité et la fragilité. En Matthieu 12:20, le “ roseau froissé ” semble représenter des humains accablés, comme l’homme à la main desséchée que Jésus guérit un sabbat – it2
    Mt 13:25 : Dans l’Antiquité, pouvait-il vraiment arriver qu’un homme sème de la mauvaise herbe dans le champ d’un autre ? (w16.10 p32).
    « Pendant que les hommes dormaient, son ennemi est venu et a semé de la mauvaise herbe par-dessus, au milieu du blé, et s’en est allé »
    Selon un dictionnaire biblique, « semer de l’ivraie dans un champ à des fins de vengeance [...] était un délit sous la législation romaine. Le besoin d’une loi en la matière donne à penser que ce fait n’était pas rare ». Comme l’explique l’Encyclopædia Universalis, en 533 de n. è. l’empereur romain Justinien a publié son Digeste, résumé du droit romain contenant des extraits d’écrits de juristes de la période classique (vers 100-250 de n. è.). Dans cet ouvrage (Digeste, 9.2.27.14), le juriste Ulpien fait mention d’une affaire examinée par Celse, homme d’État romain du IIe siècle. Un homme avait semé de la mauvaise herbe dans le champ d’un autre, et en conséquence la récolte avait été perdue. Le Digeste examinait les recours qui s’offraient au propriétaire, ou au métayer, pour obtenir de l’auteur du délit le dédommagement des pertes subies.
    Le fait qu’un tel acte de malveillance se soit produit dans l’Empire romain indique que la situation décrite par Jésus était réaliste. – TG2016
    Divers auteurs doutent que cet exemple soit réaliste. Pourtant, des textes juridiques romains de l’Antiquité laissent entendre le contraire.
    Emploi figuré : Comme Jésus l’a lui-même expliqué, l’homme de l’exemple qui a semé du blé dans le champ le représente, lui, et la semence, les vrais chrétiens. L’ennemi qui a semé de la mauvaise herbe parmi le blé figure “ le Diable ”. La mauvaise herbe représente des hommes sans loi, apostats, qui prétendent faussement être des serviteurs de Dieu. Jésus n’a pas dit que le blé se transformerait en mauvaise herbe, mais que la mauvaise herbe serait semée au milieu du blé. Ainsi, dans cet exemple, il n’est pas question de chrétiens authentiques qui abandonneraient la vérité. Jésus voulait plutôt mettre en évidence que Satan chercherait à tout prix à corrompre la congrégation chrétienne en y introduisant des éléments malfaisants. L’exemple prophétique de Jésus s’est-il réalisé ? Absolument. Des individus ambitieux se sont emparés de la congrégation que Jésus avait établie et l’ont utilisée à des fins personnelles. Cependant, des hommes avides de pouvoir ont conclu des alliances avec des dirigeants et ont fondé des Églises d’État qui ont acquis une puissance et des richesses considérables. Ces Églises ont enseigné “ des choses perverses. Les Églises qui se disent chrétiennes depuis des siècles n’offrent qu’une façade de christianisme.
    Cela explique leur tendance à se fragmenter en sectes, à s’immiscer dans la politique et à mépriser les lois divines. Ces mauvais fruits ne sont pas le produit du christianisme véritable, mais celui d’un christianisme falsifié, que le Diable a semé. Les vrais chrétiens ont été séparés de la “ mauvaise herbe ”, la chrétienté - RV2/07 p7-9
    Tout comme la mauvaise herbe peut ressembler à des pousses de blé, ceux qui se disent chrétiens peuvent passer pour de vrais adorateurs de Dieu. Les religions qui enseignent de fausses doctrines amènent les gens à lui désobéir. Satan se sert de la fausse religion pour les priver de l’amitié avec Jéhovah
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Une lumière spirituelle accrue nous a permis de discerner que, de la Genèse à la Révélation, la Bible rend témoignage au dessein de Jéhovah, qui est de sanctifier son Nom par le moyen du Royaume placé sous l’autorité de son Fils. Tel est le fondement de la glorieuse espérance offerte à tous les amis de la justice. Matthieu 12:21. – TG200115/1 p17 §8
    Satan est le chef des démons ainsi que du monde des humains éloignés de Dieu. (Matthieu 12:24, 26) Comme il est confiné au voisinage de la terre et qu’il a “ une grande fureur ”, il s’oppose avec virulence aux serviteurs de Jéhovah et il se sert du monde qu’il domine pour essayer de fermer la bouche à tous ceux qui prêchent la Bonne Nouvelle. Comment s’y prend-il ? Il utilise au moins trois moyens.
    Les soucis de la vie constituent l’un des moyens par lesquels Satan essaie de nous accaparer. Préoccupés qu’ils sont par leur quotidien, la plupart ‘ ne sont pas attentifs ’ à la bonne nouvelle que nous leur portons. La vérité biblique ne les intéresse même pas. Leur mentalité peut nous contaminer : elle risque de nous faire plonger dans la léthargie spirituelle. Si nous nous laissons aller à trop aimer les biens matériels et les plaisirs de la vie, notre amour pour Dieu se refroidira.
    Un deuxième moyen par lequel Satan essaie de dissuader tous les chrétiens de refléter la gloire de Dieu est la moquerie. On se moque des serviteurs de Dieu en disant qu’ils ne sont pas réalistes. On considère les normes morales de la Bible comme dépassées. Pour beaucoup, le message que nous prêchons est une sottise. Sans nous décourager, nous continuons de refléter la gloire de Dieu en prêchant, car nous savons, comme Jésus, que la Parole de Dieu est vérité.
    Le Diable utilise une troisième tactique encore dans le but de nous réduire au silence : l’opposition ou la persécution. Aucune persécution ne nous réduira définitivement au silence si nous restons déterminés à refléter la gloire de Dieu. TG200515/8 §7-11
    La Bible annonce la fin de la religion qui déshonore Dieu. Jésus a dit : “ Tout royaume divisé contre lui-même est réduit en désolation, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne subsistera pas. ” (Matthieu 12:25). En son temps, Dieu veillera à ce que ces paroles s’appliquent à toutes les fausses religions. Il y a longtemps, la Bible a prophétisé au sujet de Dieu : “ Oui, il rendra jugement au milieu des nations et remettra les choses en ordre…Isaïe 2:4. Cette prophétie est actuellement en cours d’accomplissement. La vraie religion, telle que les Témoins de Jéhovah la pratiquent, est d’ores et déjà une force pour la paix. – RV2011 janvier p7
    Matthieu 12:25, 26 » Connaissant leurs pensées, il leur dit : “ Tout royaume divisé contre lui-même est réduit en désolation, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne subsistera pas. 26 Pareillement, si Satan expulse Satan, il s’est divisé contre lui-même ; comment donc son royaume subsistera-t-il ? » Par un incroyable coup de théâtre, le royaume de Satan se divisera contre lui-même, une partie en attaquant même une autre, et Satan sera incapable de l’empêcher (Matthieu 12:25, 26). Jéhovah mettra au cœur des rois de la terre “ d’exécuter sa pensée ”, c’est-à-dire d’effacer de la terre ses ennemis religieux. Une fois la fausse religion anéantie, Jésus Christ, à la tête de ses armées célestes, écrasera ce qui restera de l’organisation de Satan, ses éléments politiques et commerciaux. Enfin, Satan lui-même sera mis hors d’état de nuire, et le rideau tombera sur ce long mélodrame – TG2004  1/ 2 §14
    Satan cherche à réduire au silence notre foi, à nous faire cesser de prêcher la bonne nouvelle. A partir du moment où nous cessons de soutenir activement l’œuvre de Jéhovah, nous nous mettons à suivre Satan. — Mat. 12:30. – TG2011  15/7 p15 §15
    Que signifie pécher contre l’esprit saint ? Il est possible de pécher contre l’esprit saint de Jéhovah, péché qui ne sera pas pardonné (Matthieu 12:31). C’est Dieu qui détermine si nous avons commis un péché impardonnable, et lui seul peut nous priver de son esprit. Si nous sommes profondément attristés par un péché, c’est vraisemblablement le signe que nous sommes véritablement repentants et que nous n’avons donc pas péché contre l’esprit. – TG200715/8
    Le “ royaume de Dieu ” est appelé le “ royaume des cieux ”, ce qui souligne que Jésus et les rois qui lui sont adjoints règnent depuis les cieux (Luc 8:10 ; Matthieu 13:11). Ainsi, le “ royaume de Dieu ” est un gouvernement céleste, à la tête duquel se trouvent Jésus Christ et un groupe de dirigeants qui sont choisis parmi les humains. – TG2009 1/ 4 p7
    La fidélité face à la tribulation. La tribulation, lorsqu’elle consiste en persécutions, peut affaiblir la foi d’un individu. Dans son exemple du semeur, Christ Jésus a indiqué que certaines personnes trébucheraient effectivement à cause de la tribulation ou de la persécution Matthieu 13:21. La tribulation elle-même n’est que momentanée et légère en comparaison de la gloire éternelle que recevront ceux qui demeurent fidèles. Le chrétien peut aussi rester confiant que l’amour fidèle de Dieu ne fera jamais défaut, quelle que soit la tribulation qui s’abat sur le croyant fidèle – it2 Tribulations
    Pour avoir une foi forte, il ne suffit pas de lire la Bible. Nous devons « en saisi[r] le sens » (Mat. 13:23). Notre désir est de comprendre le point de vue de Jéhovah. Pour cela, méditons sur ce que nous lisons. De plus, prions régulièrement et sincèrement, surtout quand nous avons des difficultés. Soyons convaincus que si nous prions pour recevoir de la sagesse et de la force, Jéhovah nous en donnera généreusement – TG2018 Février p8 §15
    Ce n’est que dans les cœurs humbles, disposés à changer, que Jéhovah permet à la semence de vérité de croître (Mat. 13:23). Nous ne devrions donc pas mesurer l’efficacité de notre ministère simplement à ses résultats. Ce n’est pas en fonction de la réaction d’un étudiant que Jéhovah juge de la qualité de notre ministère. Il accorde plutôt une grande valeur à nos efforts fidèles, quels qu’en soient les résultats - TG201415/12 §7
    Un trésor spirituel = la réserve de vérités révélées que nous possédons. Jéhovah est le Dieu de vérité. Père généreux, il fait connaître ses vérités à ceux qui le craignent, c’est-à-dire le respectent. Depuis le jour où nous avons découvert Jéhovah, nous avons pu accumuler une grande quantité de vérités puisées dans sa Parole, dans nos publications, à nos assemblées et à nos réunions. Petit à petit, nous nous créons une « réserve » de vérités « neuves et vieilles » (Matthieu 13:52).
    Jéhovah nous aidera à ajouter de nouvelles vérités dans notre « réserve » si nous continuons à les chercher comme des trésors cachés – TG2017 juin§ 13
    L’amour des vérités bibliques : Jésus aimait aussi les vérités bibliques, comme des trésors (Mat. 13:52). Si nous aimons la vérité, l’enthousiasme avec lequel nous parlerons éveillera l’intérêt. De plus, cet amour nous aidera à nous concentrer sur le précieux message que nous avons à transmettre et non sur nos limites personnelles, ce qui nous donnera davantage d’assurance. – km2011 novembre p3
    13:51, 52. Le fait d’avoir saisi le sens des vérités du Royaume nous met dans l’obligation d’enseigner nos semblables et de leur faire connaître ces trésors.- TG2008 15/1 p29
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    Pris à partie par des opposants religieux, Jésus ne s’est pas lancé dans un débat sur des mots, même s’il aurait facilement terrassé ses adversaires. Il a préféré laisser la Parole de Dieu les contrer. Souvenez-vous, par exemple, du jour où les Pharisiens ont accusé ses disciples d’avoir violé le sabbat en arrachant au passage quelques épis dans un champ et en les mangeant. Jésus a rétorqué : “ N’avez-vous pas lu ce qu’a fait David quand lui et les hommes qui étaient avec lui ont eu faim ? ” (Matthieu 12:1-5). Les Pharisiens imbus de leur justice avaient certainement lu le récit divinement inspiré qui est rapporté en 1 Samuel 21:1-6, mais ils n’avaient pas cerné la leçon importante qu’il renfermait. Jésus, pour sa part, ne s’était pas contenté de lire le récit. Il y avait réfléchi et il avait pris son message à cœur. Il aimait les principes que Jéhovah y inculquait. Il s’est donc servi de ce récit, ainsi que d’un exemple tiré de la Loi mosaïque, pour révéler le caractère raisonnable de la Loi. Pareillement, l’amour fidèle de Jésus l’a incité à défendre la Parole de Dieu contre les chefs religieux qui cherchaient à la tordre dans leur intérêt ou à l’ensevelir sous un monceau de traditions humaines. – TG2002  15/8 p10 §9
    Tandis qu’il était sur la terre, Jésus Christ se donna le nom de “ Seigneur du sabbat ”. (Mt 12:8.) De manière appropriée, il profita du sabbat pour accomplir l’œuvre que son Père céleste lui avait confiée. Elle consistait entre autres à guérir les malades. Jésus savait que la Loi mosaïque, avec ses exigences concernant le sabbat, était “ une ombre des bonnes choses à venir ”. (Hé 10:1.) En rapport avec ces “ bonnes choses à venir ”, il existe un sabbat dont Jésus sera le Seigneur – it2 Seigneur
    Jésus nous a appris la compassion. Il avait pitié des foules qu’il rencontrait, « parce qu’elles étaient dépouillées et éparpillées comme des brebis sans berger ». Comment réagissait-il en voyant leur triste état ? Il « leur enseignait beaucoup de choses ». Sa réaction était bien différente de celle des Pharisiens, qui n’avaient pas envie d’aider les gens ordinaires (Mat. 12:9-14). As-tu comme Jésus le grand désir de « nourrir » les personnes qui ont « faim » de connaître Jéhovah ? – TG2017 Septembre § 9
    “ Voyez ! Mon serviteur que j’ai choisi, mon bien-aimé que mon âme a agréé ! Je mettrai mon esprit sur lui, et il fera comprendre aux nations ce qu’est la justice. Il ne fera pas de querelles, il ne poussera pas de cris, et personne n’entendra sa voix dans les grandes rues. Il ne broiera pas le roseau froissé, et il n’éteindra pas la mèche de lin qui fume, jusqu’à ce qu’il fasse sortir la justice avec succès. Oui, les nations espéreront en son nom. ” (Matthieu 12:17-21). Conformément à cette prophétie, Jésus refusait les discussions orageuses. Même lorsqu’il subissait des pressions, il exprimait la vérité d’une manière qui attirait les personnes sincères. 12 Il arrivait, de temps à autre, que des humains sous l’emprise d’esprits impurs crient à la vue de Jésus. Il se contenait alors et recourait même au pouvoir que Dieu lui avait donné pour soulager ces personnes. En prédication, Si certains s’emportent et crient contre nous dans le cadre de notre ministère, il nous faut nous aussi nous contenir et nous efforcer de réagir avec tact et douceur – TG2005  15/5 p25
    La consolation que Jésus a apportée tenait essentiellement dans “ la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu ”. C’est le message qu’il proclamait partout où il allait. Il a montré le rapport qui existait entre ce message et les problèmes de la vie quotidienne en donnant un aperçu de ce qu’il ferait pour les humains une fois établi Chef messianique. Il a redonné une raison de vivre à certains qui souffraient en les guérissant. Au cours de son ministère, Jésus n’a pas seulement consolé ceux qui l’écoutaient avec foi ; il a fourni matière à encourager les humains pendant les siècles suivants. – TG2003  1/5 p14 §9
    Jésus a déclaré : « C’est de l’abondance du cœur que la bouche parle » (Mat. 12:34). Par conséquent, choisir les mots justes commence dans le cœur. Nos paroles révèlent généralement ce que nous pensons des autres. Si notre cœur est rempli d’amour et de compassion, nos paroles seront probablement positives et constructives. – TG2015 Décembre § 11
    Comment pourrait-on se rendre coupable d’adultère spirituel ? Au sens spirituel est “ adultère ” celui qui est lié à Jéhovah par une alliance et qui se montre infidèle. Ainsi, la nation d’Israël, qui était liée à Dieu par l’alliance de la Loi, se rendit coupable d’adultère spirituel en se livrant à des pratiques de la fausse religion, notamment en participant à des rites rattachés au culte du sexe et en méprisant le septième commandement. C’est pour des raisons analogues que Jésus qualifia d’adultère la génération des Juifs de son époque (Mt 12:39 ; Mc 8:38). De même aujourd’hui, si des chrétiens voués à Jéhovah et admis dans la nouvelle alliance se souillent avec le système de choses actuel, ils commettent un adultère spirituel – it1 p52
    Jésus Christ a parlé en termes positifs d’un épisode de la vie de Yona. Il a déclaré : “ De même que Jonas a été dans le ventre de l’énorme poisson trois jours et trois nuits, ainsi le Fils de l’homme sera dans le cœur de la terre trois jours et trois nuits. ” (Matthieu 12:40). À sa résurrection, Jonas apprendra que Jésus a comparé le temps qu’il allait passer dans la tombe à ce moment sombre de sa vie de prophète. Ne sommes-nous pas heureux de servir un Dieu qui ne rejette pas ses serviteurs lorsqu’ils commettent des erreurs ? Le psalmiste a écrit : “ Comme un père fait miséricorde à ses fils, Jéhovah a fait miséricorde à ceux qui le craignent. Car il sait bien de quoi nous sommes formés, il se souvient que nous sommes poussière. ” (Psaume 103:13, 14). Or, cette “ poussière ”, notamment les humains imparfaits d’aujourd’hui, peut accomplir de grandes choses avec le soutien de l’esprit saint de Dieu. – TG2003  3/15 p15 §12
    Jésus Christ a parlé de Salomon en termes élogieux, et ce faisant l’a présenté comme un homme qui peut nous servir d’exemple. Un jour, il a dit à des Juifs incrédules : “ La reine du Sud sera relevée, lors du jugement, avec cette génération et la condamnera ; parce qu’elle est venue des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, mais, voyez, ici il y a quelque chose de plus que Salomon. ” (Mat. 12:42). Salomon était effectivement renommé pour sa sagesse, et il nous a exhortés à acquérir cette qualité. – TG2011  15/12 §3
    Il nous faut imiter l’humilité des disciples de Jésus. Il leur a dit : « Heureux sont vos yeux parce qu’ils regardent, et vos oreilles parce qu’elles entendent » (Mat. 13:16). Pourquoi, contrairement à certains, les disciples étaient-ils en mesure de comprendre ?
    Premièrement, parce qu’ils étaient disposés à poser des questions et à chercher la signification réelle des paroles de Jésus (Mat. 13:36). Deuxièmement, parce qu’ils étaient disposés à compléter l’enseignement qu’ils avaient déjà accepté (Matthieu 13:11, 12). Troisièmement, parce qu’ils étaient disposés à tirer personnellement profit de ce qu’ils avaient entendu et compris, mais aussi à en faire profiter leur prochain (Mat. 13:51,52). – TG201415/12 §3
    Jésus a comparé la « parole du royaume » à des graines semées sur différents types de terres (Mat. 13:18, 19). Un jardinier utilisera peut-être différents outils pour préparer son jardin aux semailles. De la même façon, les années passant, notre Roi nous a donné des outils pour préparer le cœur de millions de personnes à recevoir le message du Royaume. Certains de ces outils n’ont servi qu’une dizaine d’années ; d’autres conservent toute leur efficacité. Mais ils nous ont permis de développer, d’une manière ou d’une autre, nos capacités d’évangélisateur. – TG2015 Novembre § 4
    Il faut s’examiner-  Les chrétiens veillent à ne pas tomber dans le piège du matérialisme, quelle que soit leur situation financière. Le pouvoir de la richesse est trompeur et peut étouffer leur spiritualité (Matthieu 13:22). Leurs centres d’intérêt peuvent, insidieusement, glisser du spirituel au matériel avec de graves conséquences. Les chrétiens devraient donc examiner leurs priorités ou leurs centres d’intérêt. Qu’elles possèdent peu ou beaucoup de biens, les personnes spirituelles s’efforcent de suivre l’exhortation de Paul de ne pas mettre leur espérance ‘ dans des richesses incertaines, mais en Dieu, qui leur procure richement toutes choses pour qu’ils en jouissent « 1 Timothée 6:17-19. – RV2003 8/4 p20
    Matthieu 13:31, 32  Que signifie l’exemple du grain de moutarde ? Le grain représente le message du Royaume et ce que produit la prédication de ce message : la congrégation chrétienne. Comme le grain de moutarde, qui est « la plus petite de toutes les semences », la congrégation chrétienne née en 33 de n. è. a eu des débuts modestes. Mais en quelques décennies, elle s’est énormément développée, au-delà de toute espérance. Cette croissance a été bénéfique puisque Jésus nous dit que « les oiseaux du ciel » pouvaient « loger dans les branches » de l’arbre issu du grain de moutarde. Ces oiseaux représentent les personnes au cœur droit qui trouvent en quelque sorte nourriture, ombre et abri au sein de la congrégation chrétienne – TG2014 15/12 §7
    Matthieu 13:33. Que signifie l’exemple du levain ? Cet exemple se rapporte également au message du Royaume et à ce qu’il produit. « Toute la masse » de farine représente toutes les nations. La fermentation représente la propagation du message du Royaume par le moyen de la prédication. Si la croissance du grain de moutarde est clairement observable, la propagation du levain ne se voit pas tout de suite. Il faut un certain temps avant que ses effets deviennent visibles. - TG2014 15/12 §10
    Durant son ministère, Jésus s’est servi de questions, mais aussi d’exemples (Matthieu 13:34, 35). Ses exemples faisaient ressortir les mobiles de ses auditeurs (Mat. 13:10-15). De plus, ils rendaient son enseignement attrayant et facile à retenir. Comment recourir aux exemples dans notre enseignement ? Les exemples les plus simples sont souvent les meilleurs – TG2014 15/5 §12
    Matthieu 13:44-46.) Que signifient les exemples du marchand itinérant et du trésor caché ? À l’époque de Jésus, certains marchands allaient jusqu’à l’océan Indien pour obtenir les plus belles perles. Dans l’exemple, le marchand représente les humains au cœur droit qui se donnent du mal pour satisfaire leurs besoins spirituels. La « perle de grande valeur » représente la précieuse vérité sur le Royaume. Conscient de la valeur de sa perle, le marchand « s’est empressé » de vendre tout ce qu’il avait pour l’acheter. Jésus a également parlé d’un homme qui, en travaillant dans un champ, a trouvé un trésor « caché ». Contrairement au marchand, cet homme-là ne cherchait pas un trésor. Mais comme lui, il était disposé à vendre « tout ce qu’il avait» pour l’obtenir. - TG2014 15/12 §16
    Matthieu 13:45, 46  Dans un exemple raconté par Jésus, un marchand recherche des perles. Au cours des années, il en a acheté et vendu des centaines. Mais voilà qu’il vient de trouver la plus belle, si magnifique qu’il a le cœur battant rien qu’en la regardant ! Pour l’acheter, il vend volontiers tout ce qu’il possède. Imagine la valeur de cette perle pour lui.
    Quelle est la leçon pour nous ? La vérité sur le Royaume de Dieu est comparable à cette perle de grande valeur. Si nous aimons le Royaume autant que le marchand aime la perle, nous accepterons volontiers de renoncer à tout pour devenir et rester des sujets du Royaume. – TG2017 juin § 4
    Matthieu 13:47-50. Que signifie l’exemple de la senne ? Jésus a établi un parallèle entre la prédication du message du Royaume à tous les humains et le lancer dans la mer d’une grande senne, ou filet. Tout comme un tel filet attrape en grand nombre et sans distinction des poissons « de toutes sortes », notre prédication attire des millions de personnes de toutes sortes (Is. 60:5). C’est ce que prouve le grand nombre de personnes qui assistent chaque année à nos assemblées régionales et au Mémorial. Certains de ces poissons symboliques étant « beaux », ils sont accueillis dans la congrégation chrétienne. Mais d’autres « ne conviennent pas » ; tous les « poissons » rassemblés n’obtiennent pas l’approbation de Jéhovah. Pourquoi Jésus a-t-il pris cet exemple ? Précisons tout d’abord que la séparation des poissons ne symbolise pas le jugement final durant la grande tribulation. Elle annonce ce qui se passe durant les derniers jours de l’actuel système mauvais. Jésus voulait montrer que, parmi les humains attirés par la vérité, tous ne prendraient pas position pour Jéhovah. Beaucoup ont assisté à nos réunions. D’autres ont accepté d’étudier la Bible avec nous mais ne veulent pas s’engager. D’autres encore ne fréquentent plus la congrégation chrétienne. Certains ont été élevés par des parents chrétiens, mais n’ont pas cultivé d’amour pour les normes de Jéhovah. Quoi qu’il en soit, Jésus a souligné que chacun doit décider pour lui-même. Jéhovah considère ceux qui prennent la bonne décision comme les choses « désirables », ou « précieuse », « de toutes les nations » - TG2014 15/12 §9,10
    « La moisson, c’est l’achèvement d’un système de choses », a dit Jésus (Mat. 13:39). Cette moisson a commencé en 1914. Jésus a prédit qu’elle se décomposerait en cinq phases.
    Premièrement, le ramassage de la mauvaise herbe. Jésus déclare : « À l’époque de la moisson je dirai aux moissonneurs : Ramassez d’abord la mauvaise herbe et liez-la en bottes. » Après 1914, les anges ont commencé à « ramasser » les chrétiens comparables à de la mauvaise herbe en les séparant des « fils [oints] du royaume » (Mat. 13:30, 38, 41)
    Le ramassage progressant, la différence entre les deux groupes est devenue de plus en plus nette (Rév. 18:1, 4). En 1919, il est apparu clairement que Babylone la Grande était tombée. Qu’est-ce qui, en particulier, distinguait les vrais chrétiens des faux ? La prédication. Les frères à la tête des Étudiants de la Bible se sont mis à souligner que chacun doit participer à la prédication du Royaume
    Deuxièmement, le ramassage du blé. Jésus ordonne à ses anges : « Mettez-vous à ramasser le blé dans mon magasin » (Mat. 13:30). Depuis 1919, les chrétiens oints sont rassemblés dans la congrégation chrétienne rétablie. Pour ceux qui seront encore sur terre à la fin du système de choses, le ramassage final aura lieu quand ils recevront leur récompense céleste
    Troisièmement, des pleurs et des grincements de dents. Une fois la mauvaise herbe liée en bottes par les anges, que se passe-t-il ? Parlant de la réaction de la mauvaise herbe, Jésus déclare : « C’est là que seront leurs pleurs et leurs grincements de dents » (Mat. 13:42). Cette phase a-t-elle lieu actuellement ? Non. Aujourd’hui, la chrétienté, un élément de la prostituée, dit toujours : « Je suis assise en reine, et je ne suis pas veuve, et je ne verrai jamais le deuil » (Rév. 18:7). En effet, la chrétienté se sent investie d’une grande autorité et se permet même de s’asseoir « en reine » au-dessus des dirigeants politiques. Actuellement, la mauvaise herbe ne pleure pas, elle fanfaronne. Mais plus pour longtemps.
    Quatrièmement, l’envoi au four. Quel sort attend les bottes de mauvaise herbe ? Les anges « les jetteront dans le four de feu » (Mat. 13:42). Cette expression désigne une destruction complète. Par conséquent, ces anciens adeptes des fausses religions seront détruits durant la partie finale de la grande tribulation, Harmaguédon
    Cinquièmement, le resplendissement des justes. La prophétie de Jésus se termine ainsi : « En ce temps-là, les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père » (Mat. 13:43). Quand et où cette phase intervient-elle ? Elle reste à venir. Cet évènement n’est pas en train de se produire. Il aura lieu plus tard et dans les cieux, pas sur terre. – TG2013 15/7
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MATTHIEU 6-7
    Mt 7:12 : Comment pouvons-nous appliquer ce verset quand nous préparons des présentations pour le ministère ? (w14 15/5 14-15 § 14-16).
    “ Donc, tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, de même vous aussi, vous devez le faire pour eux ; c’est là, en effet, ce que signifient la Loi et les Prophètes ».
    14 Imagine que tu reçoives un appel téléphonique mais que tu ne reconnaisses pas la voix. C’est un inconnu et il te pose une question sur tes goûts alimentaires. Alors tu te demandes qui est à l’appareil et où il veut en venir. Par politesse, tu lui répondras peut-être brièvement, mais ensuite tu lui diras sûrement que tu préfères mettre fin à la conversation. Imagine maintenant que la personne se présente, t’explique qu’elle travaille dans le domaine de la nutrition et te dise aimablement qu’elle souhaite te donner certains renseignements utiles. Tu seras probablement plus disposé à l’écouter. N’apprécions-nous pas que les gens qui nous abordent en viennent au but rapidement mais avec tact ? Comment manifester la même considération à ceux que nous rencontrons dans le ministère ?
    15 Dans beaucoup d’endroits, il est nécessaire d’annoncer clairement à notre interlocuteur le but de notre visite. C’est vrai, nous possédons des informations précieuses qu’il n’a pas, mais supposons que, sans nous être vraiment présentés, nous posions de but en blanc une question comme : « Si vous pouviez résoudre un des problèmes du monde, lequel choisiriez-vous ? » En posant cette question, notre but est de découvrir ce qui préoccupe la personne puis d’orienter la conversation vers la Bible. Cependant, elle pourrait se demander : « Mais qui est cet inconnu ? Pourquoi me pose-t-il cette question ? Où veut -il en venir ? » Nous devons donc chercher à mettre notre interlocuteur à l’aise (Phil. 2:3, 4). Comment faire ?
    16 Un surveillant itinérant trouve cette méthode efficace : Après avoir salué son interlocuteur, il lui tend le tract Aimeriez-vous connaître la vérité ?  et  dit : « Aujourd’hui nous remettons ce dépliant à toutes les personnes du quartier. Il aborde six questions que beaucoup se posent. Voici le vôtre. » Le frère explique que la plupart des personnes semblent plus détendues une fois qu’elles connaissent le but de notre visite. Il est alors souvent plus facile de poursuivre la conversation. Le surveillant itinérant demande ensuite à la personne : « Vous êtes-vous déjà posé l’une de ces questions ? » Si elle en désigne une, le frère ouvre le tract et discute avec elle de ce que la Bible en dit. Autrement, il choisit une question et continue la discussion sans mettre la personne dans l’embarras. Bien sûr, il y a de nombreuses façons d’entamer une conversation. Dans certaines régions, les gens s’attendent à des salutations plus longues avant que nous en venions au but de notre visite. Il est essentiel d’adapter notre présentation à la façon dont les gens s’attendent généralement à être abordés dans notre région. - TG2014 15/5
    Qu’est-ce que la Règle d’or ? C’est le conseil suivant, donné par Jésus : « Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, de même vous aussi, vous devez le faire pour eux » (Mat. 7:12). Comment l’appliquer ? D’abord, en nous demandant : « Si j’étais à la place de la personne, comment aimerais-je être traité ? » Ensuite, en agissant en conséquence pour faire plaisir à la personne dans la mesure du possible. En traitant chaque interlocuteur comme une personne à part entière ; en respectant son domicile et ses biens ; en nous efforçant de prêcher à des moments où les gens sont le plus susceptibles d’être chez eux et d’être réceptifs à notre message ; et en présentant notre message de façon à ce qu’il soit bien accueilli là où nous prêchons. – TG2014 15/5
    Jésus est resté simple et a utilisé un minimum de mots. Simplicité, illustrations, questions
    Mt 7:28, 29 : Quel effet l’enseignement de Jésus a - t-il eu sur la foule, et pourquoi ? (nwtsty notes d’étude)
    « Or, quand Jésus eut achevé [de dire] ces paroles, l’effet fut que les foules étaient frappées de sa manière d’enseigner ; 29 car il les enseignait en homme qui a pouvoir, et non pas comme leurs scribes ».
    Etait ébahie : Le verbe grec employé ici peut être défini ainsi : « être frappé d’un grand étonnement au point de ne pouvoir réagir ». Le verbe à la forme continue laisse entendre que ses paroles avaient un effet durable sur la foule.
    Sa manière d’enseigner : Cette expression désigne la façon d’enseigner de Jésus, ses méthodes d’enseignement, y compris ce qu’il enseignait, l’ensemble des enseignements du Sermon sur la montagne.
    Contrairement aux scribes : Au lieu de citer comme autorité des rabbins vénérés, comme les scribes en avaient l’habitude, Jésus parle en tant que représentant de Jéhovah, en homme qui a autorité, fondant ses enseignements sur la Parole de Dieu (Jean 7:16). - nwtsty notes d’étude
    Dans les Évangiles, Jésus est appelé plus de 40 fois l’Enseignant
    Les exemples de Jésus avaient bien d’autres mérites. Ils éveillaient l’intérêt, créaient des images mentales faciles à comprendre et, comme nous l’avons dit, favorisaient la mémorisation. Le Sermon sur la montagne donne un aperçu impressionnant de la fréquence à laquelle il recourait au langage figuré ; on y a relevé plus de 50 images (Matthieu 5:3–7:27) ! Rendez-vous compte : ce discours se lisant à voix haute en une vingtaine de minutes, cela fait en moyenne une expression imagée toutes les 20 secondes ! De toute évidence, Jésus connaissait la valeur du langage figuré. – Livre Suis moi (cf) chap12§6
    Les scribes citaient des hommes décédés pour faire autorité; Jésus parlait par l’autorité du Dieu vivant. Jésus a incité les gens à opérer des changements spectaculaires dans leur vie, sur les plans spirituel et moral. Qu’est-ce qui le distinguait des autres enseignants ? Il aimait les vérités qu’il transmettait, il aimait les gens qu’il enseignait et il utilisait des méthodes d’enseignement variées
    Ce n’était pas le genre d’enseignement auquel les juifs étaient habitués de la part des scribes, qui avaient appris la tradition orale juive. Quand les scribes enseignaient, ils parlaient toujours “au nom de” quelque autorité qui les avait précédés
    Jésus avait l’esprit pratique ; il s’intéressait aux besoins et aux soucis réels des gens. Il enseignait avec simplicité et sincérité en se servant d’exemples tirés de la vie quotidienne et en s’appuyant sur l’autorité de la Parole de Dieu. Son enseignement touchait les cœurs – TG1996 1/9 §10
    Jésus parlait avec une puissance qui était palpable. Il s’exprimait au nom de Dieu et fondait son enseignement sur l’autorité de la Parole de Dieu. Ses propos étaient clairs, ses exhortations persuasives, ses arguments irréfutables. Il allait au fond des choses et parlait au cœur. Il apprenait aux gens comment trouver le bonheur, comment prier, comment chercher le Royaume de Dieu, comment bâtir pour un avenir sûr. Ses mots tiraient de leur torpeur les cœurs affamés de vérité et de justice, et certains de ses auditeurs acceptaient alors de ‘ se renier ’ et de tout abandonner pour le suivre – cl chap9 §11
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Quand nous prions Jéhovah, nous devons être humbles et respectueux. Pourquoi ? Si nous devions parler à un roi ou à un président, nous le ferions avec respect. Jéhovah est le Dieu Tout-Puissant. Nous devons donc lui parler avec encore plus de respect et d’humilité. Nous devons aussi prier Jéhovah du fond du cœur. Si nous sommes sincères, nous ne répéterons pas tout le temps les mêmes mots (Matthieu 6:7, 8). – Livre Que nous enseigne la Bible (bhs) chap17 §7
     Donne-nous aujourd’hui notre pain pour ce jour. ” (Matthieu 6:11) Quand nous faisons cette requête, nous demandons à Dieu de nous procurer la nourriture nécessaire “ pour ce jour ”. Cela indique notre foi dans la capacité de Jéhovah à pourvoir à nos besoins de façon journalière. Ce n’est pas une prière pour avoir plus que le nécessaire. Prier pour nos besoins quotidiens nous rappellera sans doute que Dieu avait ordonné aux Israélites de ramasser de la manne “ chacun sa quantité jour pour jour ”.Exode 16 :4. – TG2009 15/2 p15 §14
    Jésus a ajouté : “ Remets-nous nos dettes, comme nous aussi avons remis à nos débiteurs. ” (Mat. 6:12). L’Évangile de Luc révèle que ces “ dettes ” sont des “ péchés ”. (Luc 11:4.) Ce n’est que si nous avons déjà ‘ pardonné ’ à ceux qui ont péché contre nous que nous pouvons nous attendre à être pardonnés par Jéhovah. (Matthieu 6:14, 15.) Nous devrions donc pardonner volontiers à autrui. - TG2009 15/2 p15 §15
    En pardonnant nos péchés, Dieu nous libère d’une dette énorme. Quel que soit le tort qu’un autre chrétien nous cause, c’est peu en comparaison. Et Jéhovah ne nous pardonne pas qu’une fois, mais des milliers de fois. Ne pouvons-nous pas pardonner plusieurs fois à notre frère, même si nous avons un sujet de plainte contre lui ? Comme Jésus l’a enseigné dans le Sermon sur la montagne, Dieu nous pardonnera nos péchés si « nous aussi nous pardonnons à ceux qui pèchent contre nous » (Matthieu 6:12). – jy chap64
    “ Ne nous fais pas entrer en tentation, mais délivre-nous du méchant. ” Matthieu 6 :13 . Jéhovah ne nous tente pas. C’est Satan, le “ méchant ”, qui est le véritable “ Tentateur ” La Bible dit parfois de Dieu qu’il fait quelque chose, alors qu’en réalité il le permet simplement. En disant : “ Ne nous fais pas entrer en tentation ”, nous supplions donc Jéhovah de ne pas permettre que nous cédions quand nous sommes tentés de lui désobéir. Enfin, la requête “ délivre-nous du méchant ” est une demande pour que Jéhovah ne laisse pas Satan réussir à nous vaincre. Et nous pouvons être certains que ‘ Dieu ne permettra pas que nous soyons tentés au-delà de ce que nous pouvons supporter – TG2009 15/2 p15 §16
    Pour convaincre ses disciples de ne pas s’inquiéter à propos de leurs besoins quotidiens, Jésus a attiré leur attention sur les “ oiseaux du ciel ” et les “ lis des champs ”. Les oiseaux ne sèment ni ne moissonnent, les lis ne filent ni ne tissent. Pourtant, Dieu prend soin d’eux. La leçon est facile à comprendre : si Dieu prend soin des oiseaux et des fleurs, il veillera d’autant plus sur les humains qui ‘ continuent à chercher d’abord le royaume ’. — Matthieu 6:26, 28-33. - Livre Suis moi (cf) chap12§8
    La justice de Dieu : Litt. « sa justice », celle de Dieu, le « Père céleste » mentionné en Mt 6:32. Ceux qui cherchent la justice de Dieu font volontiers sa volonté et se conforment à ses normes du bien et du mal. Cet enseignement est bien différent de celui des pharisiens, qui cherchaient à établir leur propre justice Matthieu 6:32 - nwtsty notes d’étude
    Les Pharisiens avaient une forme de justice en ce qu’ils obéissaient à certaines exigences de la Loi ainsi qu’aux traditions qu’ils y avaient ajoutées. Mais, en réalité, ils avaient annulé la parole de Dieu à cause de leur tradition, et ils rejetèrent Christ, le moyen offert par Dieu grâce auquel ils auraient pu obtenir la véritable justice Matthieu 6:32  – it2 justice
    Jésus dit pour la deuxième fois : « Ne vous inquiétez jamais. » Il veut que nous affrontions les soucis de la vie au jour le jour, pleinement convaincus que Jéhovah nous aidera. Si une personne s’inquiète trop de ce qui peut arriver, elle risque de s’appuyer sur elle-même plutôt que sur Jéhovah, ce qui nuirait à sa relation avec lui – Matthieu 6:34 – TG2016 Juillet §19,20
    Jésus a comparé Dieu à un père plein d’amour qui donne de bonnes choses à son fils. Imaginez que vous ayez été là au moment où Jésus a prononcé le Sermon sur la montagne, et que vous l’ayez entendu déclarer : “ Quel est l’homme d’entre vous à qui son fils demande du pain — il ne lui remettra pas une pierre, n’est-ce pas ? Ou peut-être demandera-t-il un poisson — il ne lui remettra pas un serpent, n’est-ce pas ? Si donc vous, bien que vous soyez méchants, vous savez donner des dons qui sont bons à vos enfants, combien plus votre Père qui est dans les cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui le lui demandent ! ” Matthieu 7 :9-11 Un père humain, même s’il est relativement “ méchant ” à cause du péché héréditaire, éprouve tout naturellement de l’affection pour son enfant. Il ne cherchera pas à le tromper, mais s’efforcera plutôt de lui donner “ des dons qui sont bons ”. Notre Père céleste plein d’amour agira de même envers nous en nous donnant “ de bonnes choses ”, par exemple son esprit saint. Cet esprit peut nous affermir pour que nous offrions à Jéhovah un service qui lui soit agréable, à lui qui nous fournit “ tout beau don et tout présent parfait ”.  TG2009 15/2 p15 §19,20
    Matthieu 7:21-23 - Reconnaître en Jésus Christ le Seigneur est un aspect important du vrai culte. Mais quelque chose manquerait chez beaucoup de ceux qui prétendraient être disciples de Jésus. Celui-ci a dit que certains accompliraient des “ œuvres de puissance ”, par exemple de prétendues guérisons miraculeuses. Cependant, ils ne feraient pas ce qui, d’après lui, est essentiel : “ la volonté de son Père. ” Si nous désirons plaire à Dieu, il nous faut apprendre ce qu’est la volonté du Père et l’accomplir. – kl chap5 § 7
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    Matthieu 6:5, 6. Jésus n’est pas contre les prières publiques puisque lui-même en a fait. Ce qu’il dénonce, ce sont les prières dites pour impressionner ou susciter l’admiration – jy chap35
    « Quand vous priez, ne répétez pas toujours les mêmes choses, comme les gens des nations » (Matthieu 6:7). Jésus ne veut pas dire qu’il est mal de prier de façon répétée à propos du même sujet. Ce qu’il désapprouve, c’est la répétition de phrases apprises par cœur, les prières machinales – jy chap35
    Mat. 6:9, 10: “Vous devez donc prier ainsi: ‘Notre Père qui es dans les cieux, que ton nom soit sanctifié! Que ton royaume vienne!’”  Dans ce passage, la sanctification du nom de Dieu est étroitement associée à la venue de son Royaume. rs Royaume
    ENSEIGNER PAR LA RÉPÉTITION - Jésus a parfois répété ses principaux enseignements. Par exemple, dans le Sermon sur la montagne, il a expliqué à ses auditeurs comment prier et les a aidés à avoir le bon point de vue sur les biens matériels (Matthieu 6:9-13, 25-34). Environ un an et demi plus tard, Jésus a répété ces enseignements (Luc 11:1-4 ; 12:22-31).
    Cette répétition a été utile à ceux qui n’étaient pas présents la première fois, mais elle a aussi aidé les disciples de Jésus à graver les idées principales dans leur esprit. jy chap35
    Au sens figuré, l’œil est une “ lampe ”. Jésus déclara : “ La lampe du corps, c’est l’œil. Si donc ton œil est simple [sincère, sans détour, bien réglé, généreux], tout ton corps sera lumineux ; mais si ton œil est méchant, tout ton corps sera ténébreux. ” (Mt 6:22, 23). L’œil est comme une lampe parce que, grâce à lui, le corps peut se déplacer sans trébucher ou se heurter aux obstacles –it2 lampe
    Travailler comme un esclave : Le verbe grec signifie travailler comme un esclave, c’est-à-dire comme quelqu’un qui n’appartient qu’à un seul maître. Jésus indiquait ici qu’un chrétien ne peut pas vouer à Dieu l’attachement exclusif qu’il mérite et en même temps se consacrer à la recherche de biens matériels. Matthieu 6:24 - nwtsty notes d’étude
    Satan veut que nous utilisions notre énergie pour gagner plus d’argent ou acheter plus d’objets, et pas pour servir Jéhovah (Matthieu 6:24). Il veut que nous travaillions comme des esclaves pour la Richesse plutôt que pour Jéhovah. Ceux qui dépensent le plus clair de leur énergie à accumuler des choses matérielles finissent par avoir, au mieux, une vie futile parce qu’elle satisfait leurs envies égoïstes, au pire, une vie spirituellement vide et pleine de chagrin et de frustrations. Mais si nous nous occupons seulement d’avoir plus de choses, notre vie n’aura pas de sens. Nous risquons d’être déçus ou d’avoir des problèmes d’argent. Ou, pire, de perdre notre foi en Jéhovah et en son Royaume – TG2016 juillet
    En évoquant notre pain quotidien, Jésus pensait probablement à nos besoins immédiats. C’est pourquoi il a enchaîné en expliquant que Dieu habille les fleurs des champs. Puis il a dit : « Ne vous habillera-t-il pas à plus forte raison, gens de peu de foi ? Ne vous inquiétez donc jamais, disant [...] : “Qu’allons-nous mettre ?” » Jésus a conclu en répétant ce conseil important : « Ne vous inquiétez jamais du lendemain » (Matthieu 6:30-34). Ces paroles montrent qu’au lieu de devenir matérialistes, nous devrions nous contenter de voir nos besoins quotidiens élémentaires satisfaits. Il s’agira peut-être d’un logement convenable, d’un emploi pour subvenir aux besoins de notre famille ou de sagesse pour faire face aux problèmes de santé. Mais si nos prières ne portaient que sur ce genre de besoins, d’ordre physique, ce serait l’indice d’un déséquilibre. Nous avons aussi des besoins spirituels, bien plus importants. – TG2015 15/6 p25 §7
    Continuez à chercher : La forme verbale grecque exprime une action continue et peut être traduite par « cherchez continuellement ». Les vrais disciples de Jésus ne cherchent pas le Royaume pendant un temps pour ensuite passer à autre chose. Ils doivent toujours donner la priorité au Royaume. Matthieu 6:33 - nwtsty notes d’étude
    Jésus a indiqué quel genre d’objectifs nous devons nous fixer. Une personne spirituelle met le Royaume en premier dans sa vie. Jéhovah veillera à ce que nous ayons le nécessaire  Matthieu 6:33 - TG2018 Février
    Matthieu 6:34 Ce sage conseil de Jésus, « Ne vous inquiétez jamais », peut sembler difficile à suivre. Que voulait dire Jésus ? Évidemment, il n’a pas pu vouloir dire qu’un serviteur de Dieu ne connaîtrait jamais d’inquiétude. Jésus voulait faire comprendre à ses disciples qu’une inquiétude excessive ne résout pas les problèmes. Chaque jour ayant son lot de difficultés, un chrétien n’a pas besoin d’ajouter aux préoccupations présentes celles d’hier ou de demain. Souvent, un chrétien éprouve une inquiétude injustifiée parce qu’il se tourmente pour d’éventuels problèmes à venir. Mais il est inutile de se laisser dévorer par l’inquiétude à propos d’évènements dont tu ne sais rien. Pourquoi ? Parce que les choses tournent rarement aussi mal qu’on le craignait. De plus, aucune situation n’échappe au contrôle du Dieu sur qui tu peux rejeter toute ton inquiétude. Son nom même se comprend comme « il fait devenir » (Ex. 3:14). La signification profonde du nom divin nous assure donc que Dieu est parfaitement capable de veiller à ce que ses desseins en faveur de ses serviteurs s’accomplissent.- TG2016/12 §13,14
    Jésus nous a recommandé de ne pas trop nous inquiéter (Mat. 6:34). L’inquiétude chronique demande une imagination active. Nous pouvons facilement dépenser beaucoup d’énergie à nous inquiéter de problèmes imaginaires, c’est-à-dire qui ne sont pas encore arrivés ou qui n’arriveront peut-être jamais. Les Écritures montrent qu’une telle inquiétude peut mener au découragement, voire à la dépression (Prov. 12:25). Combien il est important de suivre la recommandation de Jésus en ne nous inquiétant pas à l’excès et en traitant les problèmes au jour le jour – TG2016 avril
    Jésus était tout à fait conscient que les humains imparfaits ont souvent tendance à porter des jugements catégoriques. Il a donc formulé cette prescription : “ Cessez de juger, afin de ne pas être jugés. ” (Mat. 7:1). Remarquez que Jésus n’a pas dit : “ Ne jugez pas ”, mais : “ Cessez de juger. ” Il savait que nombre de ses auditeurs avaient l’habitude de critiquer leurs semblables. Parce qu’ils suivaient des traditions non bibliques, les Pharisiens du Ier siècle jugeaient durement les autres. Les auditeurs de Jésus qui agissaient ainsi étaient exhortés à ‘ cesser de juger ’. Ils devaient plutôt ‘ continuer à libérer ’, autrement dit pardonner les manquements des autres. Est-ce également notre cas ? Si nous avons cette tendance, nous devrions faire tous nos efforts pour changer, afin de ne pas recevoir un jugement défavorable. – TG2008 15/3 p26-27 §5
    En Matthieu 7:9-11, il est question de remettre une pierre au lieu de pain. Ces paroles de Jésus ont une portée encore plus grande quand on sait que dans les pays bibliques de l’Antiquité le pain avait la taille et la forme d’une pierre plate et ronde. Certaines espèces de serpents ressemblent à des poissons, et il existe un petit scorpion blanc qui fait penser à un œuf. Mais si un enfant demande du pain, un poisson ou un œuf, quel père lui donnerait une pierre, un serpent ou un scorpion ? - TG1990 15/5 p10 §10
    Soyez sur vos gardes, avertit Jésus, avec les faux prophètes qui viennent à vous en vêtements de brebis.” (Mat. 7:15). Il savait que Satan essaierait de diviser et de corrompre ses disciples. C’est pourquoi, dès le début de son ministère, il les mit en garde contre les faux enseignants. D’où viendraient ces faux enseignants? “Du milieu de vous”, a dit l’apôtre Paul vers 56 aux surveillants d’Éphèse. De l’intérieur de la congrégation, en effet, ‘se lèveraient des hommes qui proféreraient des choses tortueuses, afin d’entraîner les disciples à leur suite’. (Actes 20:29, 30.) Ces apostats égoïstes ne se contenteraient pas de faire leurs disciples; ils essaieraient “d’entraîner les disciples”, c’est-à-dire les disciples du Christ. L’apôtre Pierre (vers 64) a prédit aussi la corruption interne et a même décrit de quelle façon ces apostats s’y prendraient: “Il y aura (...) parmi vous de faux enseignants. Ceux-ci introduiront discrètement des sectes destructrices. (...) Par convoitise, ils vous exploiteront avec des paroles artificieuses.” (2 Pierre 2:1, 3). Comme des espions ou des traîtres dans un camp ennemi, les faux enseignants, bien que venant de l’intérieur de la congrégation, feraient pénétrer leurs opinions corruptrices d’une manière secrète ou camouflée. – Livre Prédicateurs (jv) chap4
    « Méfiez-vous des faux prophètes, qui viennent à vous en vêtements de brebis, mais qui au-dedans sont des loups rapaces » (Matthieu 7:15) Au Ier siècle, des faux prophètes et des apostats étaient déjà actifs et s’efforçaient d’affaiblir la congrégation chrétienne. Le terme « antichrist » employé par Jean comprenait tous ceux qui répandaient des mensonges et des tromperies religieuses sur Jésus Christ et ses enseignements. Le point de vue de Jéhovah sur ces individus ressort des propos de Paul, qui les qualifie de « fils de destruction ». Qu’en est-il de nos jours ? Les individus et les organisations qui constituent l’antichrist s’opposent toujours au Christ et à ses enseignements. Ils propagent volontairement des mensonges et des idées trompeuses dans le but de rendre obscures l’identité du Père, Jéhovah, et celle de son Fils, Jésus Christ. Nous avons de bonnes raisons de nous méfier de ces mensonges religieux. – TG2015 1/6
    De même, a dit Jésus, tout bon arbre produit de beaux fruits, mais tout arbre pourri produit des fruits sans valeur ; un bon arbre ne peut porter des fruits sans valeur, ni un arbre pourri produire de beaux fruits. Tout arbre qui ne produit pas de beaux fruits est coupé et jeté au feu. Ainsi donc, c’est à leurs fruits que vous reconnaîtrez ces hommes. ” (Matthieu 7:17-20). Aux fruits que produisent les religions du monde on reconnaît qu’elles sont des ‘ arbres ’ pourris, promis à une destruction prochaine par Jéhovah lors de la grande tribulation – Livre Adorez Dieu (wt) chap13 §12
    De nos jours, des centaines de millions de personnes professent le christianisme. Est-ce à dire qu’elles ont adopté le meilleur mode de vie? Certainement pas, car le simple fait de se prétendre chrétien ne prouve rien. D’ailleurs, Jésus a annoncé qu’il dirait à beaucoup de pseudo-chrétiens qui prétendraient le reconnaître comme leur Seigneur: “Je ne vous ai jamais connus! Éloignez-vous de moi, vous qui agissez en hommes qui méprisent la loi.” (Matthieu 7:23). Donc, si nous proclamons que nous sommes chrétiens, il serait bon de nous assurer que notre vie est bien conforme à l’exemple et à l’enseignement que nous a donnés le Fils de Dieu. Cela nous amène à soulever cette question : Que devrait-on observer dans la vie des vrais chrétiens qui puisse apporter la preuve que leur manière de vivre est dès à présent la meilleure qui soit? Il est essentiel de répondre à cette question si l’on veut identifier, parmi tous ceux qui prétendent croire en Jésus Christ, le groupe d’hommes qui représente sa vraie congrégation – Livre bw chap1 § 8
    Jésus termine son discours par ces mots : « Celui qui entend les paroles que je viens de dire et les met en pratique sera comme un homme sage qui a construit sa maison sur le roc. Il a plu très fort, il y a eu une inondation, des vents violents ont soufflé, mais la maison ne s’est pas écroulée, car ses fondations étaient posées sur le roc » (Matthieu 7:24, 25). Pourquoi la maison est-elle restée debout ? Parce que l’homme « a creusé profond et a posé les fondations sur le roc » (Luc 6:48). Il ne suffit donc pas d’entendre les paroles de Jésus ; nous devons les mettre en pratique. Qu’en est-il de « celui qui entend les paroles [...] mais ne les met pas en pratique » ? Il est « comme un homme stupide qui a construit sa maison sur le sable » (Matthieu 7:26). La pluie, une inondation et des vents provoqueraient la chute de cette maison - jy chap35
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    Merci Elisabeth pour lecafé, surtout ça réchauffe quand il fait froid
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    Merci Elisabeth pour lecafé, surtout ça réchauffe quand il fait froid
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    RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 15 JANVIER 2018 - MATTHIEU 6-7.pdf
    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MATTHIEU 6-7
    Mt 7:12 : Comment pouvons-nous appliquer ce verset quand nous préparons des présentations pour le ministère ? (w14 15/5 14-15 § 14-16).
    “ Donc, tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, de même vous aussi, vous devez le faire pour eux ; c’est là, en effet, ce que signifient la Loi et les Prophètes ».
    14 Imagine que tu reçoives un appel téléphonique mais que tu ne reconnaisses pas la voix. C’est un inconnu et il te pose une question sur tes goûts alimentaires. Alors tu te demandes qui est à l’appareil et où il veut en venir. Par politesse, tu lui répondras peut-être brièvement, mais ensuite tu lui diras sûrement que tu préfères mettre fin à la conversation. Imagine maintenant que la personne se présente, t’explique qu’elle travaille dans le domaine de la nutrition et te dise aimablement qu’elle souhaite te donner certains renseignements utiles. Tu seras probablement plus disposé à l’écouter. N’apprécions-nous pas que les gens qui nous abordent en viennent au but rapidement mais avec tact ? Comment manifester la même considération à ceux que nous rencontrons dans le ministère ?
    15 Dans beaucoup d’endroits, il est nécessaire d’annoncer clairement à notre interlocuteur le but de notre visite. C’est vrai, nous possédons des informations précieuses qu’il n’a pas, mais supposons que, sans nous être vraiment présentés, nous posions de but en blanc une question comme : « Si vous pouviez résoudre un des problèmes du monde, lequel choisiriez-vous ? » En posant cette question, notre but est de découvrir ce qui préoccupe la personne puis d’orienter la conversation vers la Bible. Cependant, elle pourrait se demander : « Mais qui est cet inconnu ? Pourquoi me pose-t-il cette question ? Où veut -il en venir ? » Nous devons donc chercher à mettre notre interlocuteur à l’aise (Phil. 2:3, 4). Comment faire ?
    16 Un surveillant itinérant trouve cette méthode efficace : Après avoir salué son interlocuteur, il lui tend le tract Aimeriez-vous connaître la vérité ?  et  dit : « Aujourd’hui nous remettons ce dépliant à toutes les personnes du quartier. Il aborde six questions que beaucoup se posent. Voici le vôtre. » Le frère explique que la plupart des personnes semblent plus détendues une fois qu’elles connaissent le but de notre visite. Il est alors souvent plus facile de poursuivre la conversation. Le surveillant itinérant demande ensuite à la personne : « Vous êtes-vous déjà posé l’une de ces questions ? » Si elle en désigne une, le frère ouvre le tract et discute avec elle de ce que la Bible en dit. Autrement, il choisit une question et continue la discussion sans mettre la personne dans l’embarras. Bien sûr, il y a de nombreuses façons d’entamer une conversation. Dans certaines régions, les gens s’attendent à des salutations plus longues avant que nous en venions au but de notre visite. Il est essentiel d’adapter notre présentation à la façon dont les gens s’attendent généralement à être abordés dans notre région. - TG2014 15/5
    Qu’est-ce que la Règle d’or ? C’est le conseil suivant, donné par Jésus : « Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, de même vous aussi, vous devez le faire pour eux » (Mat. 7:12). Comment l’appliquer ? D’abord, en nous demandant : « Si j’étais à la place de la personne, comment aimerais-je être traité ? » Ensuite, en agissant en conséquence pour faire plaisir à la personne dans la mesure du possible. En traitant chaque interlocuteur comme une personne à part entière ; en respectant son domicile et ses biens ; en nous efforçant de prêcher à des moments où les gens sont le plus susceptibles d’être chez eux et d’être réceptifs à notre message ; et en présentant notre message de façon à ce qu’il soit bien accueilli là où nous prêchons. – TG2014 15/5
    Jésus est resté simple et a utilisé un minimum de mots. Simplicité, illustrations, questions
    Mt 7:28, 29 : Quel effet l’enseignement de Jésus a - t-il eu sur la foule, et pourquoi ? (nwtsty notes d’étude)
    « Or, quand Jésus eut achevé [de dire] ces paroles, l’effet fut que les foules étaient frappées de sa manière d’enseigner ; 29 car il les enseignait en homme qui a pouvoir, et non pas comme leurs scribes ».
    Etait ébahie : Le verbe grec employé ici peut être défini ainsi : « être frappé d’un grand étonnement au point de ne pouvoir réagir ». Le verbe à la forme continue laisse entendre que ses paroles avaient un effet durable sur la foule.
    Sa manière d’enseigner : Cette expression désigne la façon d’enseigner de Jésus, ses méthodes d’enseignement, y compris ce qu’il enseignait, l’ensemble des enseignements du Sermon sur la montagne.
    Contrairement aux scribes : Au lieu de citer comme autorité des rabbins vénérés, comme les scribes en avaient l’habitude, Jésus parle en tant que représentant de Jéhovah, en homme qui a autorité, fondant ses enseignements sur la Parole de Dieu (Jean 7:16). - nwtsty notes d’étude
    Dans les Évangiles, Jésus est appelé plus de 40 fois l’Enseignant
    Les exemples de Jésus avaient bien d’autres mérites. Ils éveillaient l’intérêt, créaient des images mentales faciles à comprendre et, comme nous l’avons dit, favorisaient la mémorisation. Le Sermon sur la montagne donne un aperçu impressionnant de la fréquence à laquelle il recourait au langage figuré ; on y a relevé plus de 50 images (Matthieu 5:3–7:27) ! Rendez-vous compte : ce discours se lisant à voix haute en une vingtaine de minutes, cela fait en moyenne une expression imagée toutes les 20 secondes ! De toute évidence, Jésus connaissait la valeur du langage figuré. – Livre Suis moi (cf) chap12§6
    Les scribes citaient des hommes décédés pour faire autorité; Jésus parlait par l’autorité du Dieu vivant. Jésus a incité les gens à opérer des changements spectaculaires dans leur vie, sur les plans spirituel et moral. Qu’est-ce qui le distinguait des autres enseignants ? Il aimait les vérités qu’il transmettait, il aimait les gens qu’il enseignait et il utilisait des méthodes d’enseignement variées
    Ce n’était pas le genre d’enseignement auquel les juifs étaient habitués de la part des scribes, qui avaient appris la tradition orale juive. Quand les scribes enseignaient, ils parlaient toujours “au nom de” quelque autorité qui les avait précédés
    Jésus avait l’esprit pratique ; il s’intéressait aux besoins et aux soucis réels des gens. Il enseignait avec simplicité et sincérité en se servant d’exemples tirés de la vie quotidienne et en s’appuyant sur l’autorité de la Parole de Dieu. Son enseignement touchait les cœurs – TG1996 1/9 §10
    Jésus parlait avec une puissance qui était palpable. Il s’exprimait au nom de Dieu et fondait son enseignement sur l’autorité de la Parole de Dieu. Ses propos étaient clairs, ses exhortations persuasives, ses arguments irréfutables. Il allait au fond des choses et parlait au cœur. Il apprenait aux gens comment trouver le bonheur, comment prier, comment chercher le Royaume de Dieu, comment bâtir pour un avenir sûr. Ses mots tiraient de leur torpeur les cœurs affamés de vérité et de justice, et certains de ses auditeurs acceptaient alors de ‘ se renier ’ et de tout abandonner pour le suivre – cl chap9 §11
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Quand nous prions Jéhovah, nous devons être humbles et respectueux. Pourquoi ? Si nous devions parler à un roi ou à un président, nous le ferions avec respect. Jéhovah est le Dieu Tout-Puissant. Nous devons donc lui parler avec encore plus de respect et d’humilité. Nous devons aussi prier Jéhovah du fond du cœur. Si nous sommes sincères, nous ne répéterons pas tout le temps les mêmes mots (Matthieu 6:7, 8). – Livre Que nous enseigne la Bible (bhs) chap17 §7
     Donne-nous aujourd’hui notre pain pour ce jour. ” (Matthieu 6:11) Quand nous faisons cette requête, nous demandons à Dieu de nous procurer la nourriture nécessaire “ pour ce jour ”. Cela indique notre foi dans la capacité de Jéhovah à pourvoir à nos besoins de façon journalière. Ce n’est pas une prière pour avoir plus que le nécessaire. Prier pour nos besoins quotidiens nous rappellera sans doute que Dieu avait ordonné aux Israélites de ramasser de la manne “ chacun sa quantité jour pour jour ”.Exode 16 :4. – TG2009 15/2 p15 §14
    Jésus a ajouté : “ Remets-nous nos dettes, comme nous aussi avons remis à nos débiteurs. ” (Mat. 6:12). L’Évangile de Luc révèle que ces “ dettes ” sont des “ péchés ”. (Luc 11:4.) Ce n’est que si nous avons déjà ‘ pardonné ’ à ceux qui ont péché contre nous que nous pouvons nous attendre à être pardonnés par Jéhovah. (Matthieu 6:14, 15.) Nous devrions donc pardonner volontiers à autrui. - TG2009 15/2 p15 §15
    En pardonnant nos péchés, Dieu nous libère d’une dette énorme. Quel que soit le tort qu’un autre chrétien nous cause, c’est peu en comparaison. Et Jéhovah ne nous pardonne pas qu’une fois, mais des milliers de fois. Ne pouvons-nous pas pardonner plusieurs fois à notre frère, même si nous avons un sujet de plainte contre lui ? Comme Jésus l’a enseigné dans le Sermon sur la montagne, Dieu nous pardonnera nos péchés si « nous aussi nous pardonnons à ceux qui pèchent contre nous » (Matthieu 6:12). – jy chap64
    “ Ne nous fais pas entrer en tentation, mais délivre-nous du méchant. ” Matthieu 6 :13 . Jéhovah ne nous tente pas. C’est Satan, le “ méchant ”, qui est le véritable “ Tentateur ” La Bible dit parfois de Dieu qu’il fait quelque chose, alors qu’en réalité il le permet simplement. En disant : “ Ne nous fais pas entrer en tentation ”, nous supplions donc Jéhovah de ne pas permettre que nous cédions quand nous sommes tentés de lui désobéir. Enfin, la requête “ délivre-nous du méchant ” est une demande pour que Jéhovah ne laisse pas Satan réussir à nous vaincre. Et nous pouvons être certains que ‘ Dieu ne permettra pas que nous soyons tentés au-delà de ce que nous pouvons supporter – TG2009 15/2 p15 §16
    Pour convaincre ses disciples de ne pas s’inquiéter à propos de leurs besoins quotidiens, Jésus a attiré leur attention sur les “ oiseaux du ciel ” et les “ lis des champs ”. Les oiseaux ne sèment ni ne moissonnent, les lis ne filent ni ne tissent. Pourtant, Dieu prend soin d’eux. La leçon est facile à comprendre : si Dieu prend soin des oiseaux et des fleurs, il veillera d’autant plus sur les humains qui ‘ continuent à chercher d’abord le royaume ’. — Matthieu 6:26, 28-33. - Livre Suis moi (cf) chap12§8
    La justice de Dieu : Litt. « sa justice », celle de Dieu, le « Père céleste » mentionné en Mt 6:32. Ceux qui cherchent la justice de Dieu font volontiers sa volonté et se conforment à ses normes du bien et du mal. Cet enseignement est bien différent de celui des pharisiens, qui cherchaient à établir leur propre justice Matthieu 6:32 - nwtsty notes d’étude
    Les Pharisiens avaient une forme de justice en ce qu’ils obéissaient à certaines exigences de la Loi ainsi qu’aux traditions qu’ils y avaient ajoutées. Mais, en réalité, ils avaient annulé la parole de Dieu à cause de leur tradition, et ils rejetèrent Christ, le moyen offert par Dieu grâce auquel ils auraient pu obtenir la véritable justice Matthieu 6:32  – it2 justice
    Jésus dit pour la deuxième fois : « Ne vous inquiétez jamais. » Il veut que nous affrontions les soucis de la vie au jour le jour, pleinement convaincus que Jéhovah nous aidera. Si une personne s’inquiète trop de ce qui peut arriver, elle risque de s’appuyer sur elle-même plutôt que sur Jéhovah, ce qui nuirait à sa relation avec lui – Matthieu 6:34 – TG2016 Juillet §19,20
    Jésus a comparé Dieu à un père plein d’amour qui donne de bonnes choses à son fils. Imaginez que vous ayez été là au moment où Jésus a prononcé le Sermon sur la montagne, et que vous l’ayez entendu déclarer : “ Quel est l’homme d’entre vous à qui son fils demande du pain — il ne lui remettra pas une pierre, n’est-ce pas ? Ou peut-être demandera-t-il un poisson — il ne lui remettra pas un serpent, n’est-ce pas ? Si donc vous, bien que vous soyez méchants, vous savez donner des dons qui sont bons à vos enfants, combien plus votre Père qui est dans les cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui le lui demandent ! ” Matthieu 7 :9-11 Un père humain, même s’il est relativement “ méchant ” à cause du péché héréditaire, éprouve tout naturellement de l’affection pour son enfant. Il ne cherchera pas à le tromper, mais s’efforcera plutôt de lui donner “ des dons qui sont bons ”. Notre Père céleste plein d’amour agira de même envers nous en nous donnant “ de bonnes choses ”, par exemple son esprit saint. Cet esprit peut nous affermir pour que nous offrions à Jéhovah un service qui lui soit agréable, à lui qui nous fournit “ tout beau don et tout présent parfait ”.  TG2009 15/2 p15 §19,20
    Matthieu 7:21-23 - Reconnaître en Jésus Christ le Seigneur est un aspect important du vrai culte. Mais quelque chose manquerait chez beaucoup de ceux qui prétendraient être disciples de Jésus. Celui-ci a dit que certains accompliraient des “ œuvres de puissance ”, par exemple de prétendues guérisons miraculeuses. Cependant, ils ne feraient pas ce qui, d’après lui, est essentiel : “ la volonté de son Père. ” Si nous désirons plaire à Dieu, il nous faut apprendre ce qu’est la volonté du Père et l’accomplir. – kl chap5 § 7
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    Matthieu 6:5, 6. Jésus n’est pas contre les prières publiques puisque lui-même en a fait. Ce qu’il dénonce, ce sont les prières dites pour impressionner ou susciter l’admiration – jy chap35
    « Quand vous priez, ne répétez pas toujours les mêmes choses, comme les gens des nations » (Matthieu 6:7). Jésus ne veut pas dire qu’il est mal de prier de façon répétée à propos du même sujet. Ce qu’il désapprouve, c’est la répétition de phrases apprises par cœur, les prières machinales – jy chap35
    Mat. 6:9, 10: “Vous devez donc prier ainsi: ‘Notre Père qui es dans les cieux, que ton nom soit sanctifié! Que ton royaume vienne!’”  Dans ce passage, la sanctification du nom de Dieu est étroitement associée à la venue de son Royaume. rs Royaume
    ENSEIGNER PAR LA RÉPÉTITION - Jésus a parfois répété ses principaux enseignements. Par exemple, dans le Sermon sur la montagne, il a expliqué à ses auditeurs comment prier et les a aidés à avoir le bon point de vue sur les biens matériels (Matthieu 6:9-13, 25-34). Environ un an et demi plus tard, Jésus a répété ces enseignements (Luc 11:1-4 ; 12:22-31).
    Cette répétition a été utile à ceux qui n’étaient pas présents la première fois, mais elle a aussi aidé les disciples de Jésus à graver les idées principales dans leur esprit. jy chap35
    Au sens figuré, l’œil est une “ lampe ”. Jésus déclara : “ La lampe du corps, c’est l’œil. Si donc ton œil est simple [sincère, sans détour, bien réglé, généreux], tout ton corps sera lumineux ; mais si ton œil est méchant, tout ton corps sera ténébreux. ” (Mt 6:22, 23). L’œil est comme une lampe parce que, grâce à lui, le corps peut se déplacer sans trébucher ou se heurter aux obstacles –it2 lampe
    Travailler comme un esclave : Le verbe grec signifie travailler comme un esclave, c’est-à-dire comme quelqu’un qui n’appartient qu’à un seul maître. Jésus indiquait ici qu’un chrétien ne peut pas vouer à Dieu l’attachement exclusif qu’il mérite et en même temps se consacrer à la recherche de biens matériels. Matthieu 6:24 - nwtsty notes d’étude
    Satan veut que nous utilisions notre énergie pour gagner plus d’argent ou acheter plus d’objets, et pas pour servir Jéhovah (Matthieu 6:24). Il veut que nous travaillions comme des esclaves pour la Richesse plutôt que pour Jéhovah. Ceux qui dépensent le plus clair de leur énergie à accumuler des choses matérielles finissent par avoir, au mieux, une vie futile parce qu’elle satisfait leurs envies égoïstes, au pire, une vie spirituellement vide et pleine de chagrin et de frustrations. Mais si nous nous occupons seulement d’avoir plus de choses, notre vie n’aura pas de sens. Nous risquons d’être déçus ou d’avoir des problèmes d’argent. Ou, pire, de perdre notre foi en Jéhovah et en son Royaume – TG2016 juillet
    En évoquant notre pain quotidien, Jésus pensait probablement à nos besoins immédiats. C’est pourquoi il a enchaîné en expliquant que Dieu habille les fleurs des champs. Puis il a dit : « Ne vous habillera-t-il pas à plus forte raison, gens de peu de foi ? Ne vous inquiétez donc jamais, disant [...] : “Qu’allons-nous mettre ?” » Jésus a conclu en répétant ce conseil important : « Ne vous inquiétez jamais du lendemain » (Matthieu 6:30-34). Ces paroles montrent qu’au lieu de devenir matérialistes, nous devrions nous contenter de voir nos besoins quotidiens élémentaires satisfaits. Il s’agira peut-être d’un logement convenable, d’un emploi pour subvenir aux besoins de notre famille ou de sagesse pour faire face aux problèmes de santé. Mais si nos prières ne portaient que sur ce genre de besoins, d’ordre physique, ce serait l’indice d’un déséquilibre. Nous avons aussi des besoins spirituels, bien plus importants. – TG2015 15/6 p25 §7
    Continuez à chercher : La forme verbale grecque exprime une action continue et peut être traduite par « cherchez continuellement ». Les vrais disciples de Jésus ne cherchent pas le Royaume pendant un temps pour ensuite passer à autre chose. Ils doivent toujours donner la priorité au Royaume. Matthieu 6:33 - nwtsty notes d’étude
    Jésus a indiqué quel genre d’objectifs nous devons nous fixer. Une personne spirituelle met le Royaume en premier dans sa vie. Jéhovah veillera à ce que nous ayons le nécessaire  Matthieu 6:33 - TG2018 Février
    Matthieu 6:34 Ce sage conseil de Jésus, « Ne vous inquiétez jamais », peut sembler difficile à suivre. Que voulait dire Jésus ? Évidemment, il n’a pas pu vouloir dire qu’un serviteur de Dieu ne connaîtrait jamais d’inquiétude. Jésus voulait faire comprendre à ses disciples qu’une inquiétude excessive ne résout pas les problèmes. Chaque jour ayant son lot de difficultés, un chrétien n’a pas besoin d’ajouter aux préoccupations présentes celles d’hier ou de demain. Souvent, un chrétien éprouve une inquiétude injustifiée parce qu’il se tourmente pour d’éventuels problèmes à venir. Mais il est inutile de se laisser dévorer par l’inquiétude à propos d’évènements dont tu ne sais rien. Pourquoi ? Parce que les choses tournent rarement aussi mal qu’on le craignait. De plus, aucune situation n’échappe au contrôle du Dieu sur qui tu peux rejeter toute ton inquiétude. Son nom même se comprend comme « il fait devenir » (Ex. 3:14). La signification profonde du nom divin nous assure donc que Dieu est parfaitement capable de veiller à ce que ses desseins en faveur de ses serviteurs s’accomplissent.- TG2016/12 §13,14
    Jésus nous a recommandé de ne pas trop nous inquiéter (Mat. 6:34). L’inquiétude chronique demande une imagination active. Nous pouvons facilement dépenser beaucoup d’énergie à nous inquiéter de problèmes imaginaires, c’est-à-dire qui ne sont pas encore arrivés ou qui n’arriveront peut-être jamais. Les Écritures montrent qu’une telle inquiétude peut mener au découragement, voire à la dépression (Prov. 12:25). Combien il est important de suivre la recommandation de Jésus en ne nous inquiétant pas à l’excès et en traitant les problèmes au jour le jour – TG2016 avril
    Jésus était tout à fait conscient que les humains imparfaits ont souvent tendance à porter des jugements catégoriques. Il a donc formulé cette prescription : “ Cessez de juger, afin de ne pas être jugés. ” (Mat. 7:1). Remarquez que Jésus n’a pas dit : “ Ne jugez pas ”, mais : “ Cessez de juger. ” Il savait que nombre de ses auditeurs avaient l’habitude de critiquer leurs semblables. Parce qu’ils suivaient des traditions non bibliques, les Pharisiens du Ier siècle jugeaient durement les autres. Les auditeurs de Jésus qui agissaient ainsi étaient exhortés à ‘ cesser de juger ’. Ils devaient plutôt ‘ continuer à libérer ’, autrement dit pardonner les manquements des autres. Est-ce également notre cas ? Si nous avons cette tendance, nous devrions faire tous nos efforts pour changer, afin de ne pas recevoir un jugement défavorable. – TG2008 15/3 p26-27 §5
    En Matthieu 7:9-11, il est question de remettre une pierre au lieu de pain. Ces paroles de Jésus ont une portée encore plus grande quand on sait que dans les pays bibliques de l’Antiquité le pain avait la taille et la forme d’une pierre plate et ronde. Certaines espèces de serpents ressemblent à des poissons, et il existe un petit scorpion blanc qui fait penser à un œuf. Mais si un enfant demande du pain, un poisson ou un œuf, quel père lui donnerait une pierre, un serpent ou un scorpion ? - TG1990 15/5 p10 §10
    Soyez sur vos gardes, avertit Jésus, avec les faux prophètes qui viennent à vous en vêtements de brebis.” (Mat. 7:15). Il savait que Satan essaierait de diviser et de corrompre ses disciples. C’est pourquoi, dès le début de son ministère, il les mit en garde contre les faux enseignants. D’où viendraient ces faux enseignants? “Du milieu de vous”, a dit l’apôtre Paul vers 56 aux surveillants d’Éphèse. De l’intérieur de la congrégation, en effet, ‘se lèveraient des hommes qui proféreraient des choses tortueuses, afin d’entraîner les disciples à leur suite’. (Actes 20:29, 30.) Ces apostats égoïstes ne se contenteraient pas de faire leurs disciples; ils essaieraient “d’entraîner les disciples”, c’est-à-dire les disciples du Christ. L’apôtre Pierre (vers 64) a prédit aussi la corruption interne et a même décrit de quelle façon ces apostats s’y prendraient: “Il y aura (...) parmi vous de faux enseignants. Ceux-ci introduiront discrètement des sectes destructrices. (...) Par convoitise, ils vous exploiteront avec des paroles artificieuses.” (2 Pierre 2:1, 3). Comme des espions ou des traîtres dans un camp ennemi, les faux enseignants, bien que venant de l’intérieur de la congrégation, feraient pénétrer leurs opinions corruptrices d’une manière secrète ou camouflée. – Livre Prédicateurs (jv) chap4
    « Méfiez-vous des faux prophètes, qui viennent à vous en vêtements de brebis, mais qui au-dedans sont des loups rapaces » (Matthieu 7:15) Au Ier siècle, des faux prophètes et des apostats étaient déjà actifs et s’efforçaient d’affaiblir la congrégation chrétienne. Le terme « antichrist » employé par Jean comprenait tous ceux qui répandaient des mensonges et des tromperies religieuses sur Jésus Christ et ses enseignements. Le point de vue de Jéhovah sur ces individus ressort des propos de Paul, qui les qualifie de « fils de destruction ». Qu’en est-il de nos jours ? Les individus et les organisations qui constituent l’antichrist s’opposent toujours au Christ et à ses enseignements. Ils propagent volontairement des mensonges et des idées trompeuses dans le but de rendre obscures l’identité du Père, Jéhovah, et celle de son Fils, Jésus Christ. Nous avons de bonnes raisons de nous méfier de ces mensonges religieux. – TG2015 1/6
    De même, a dit Jésus, tout bon arbre produit de beaux fruits, mais tout arbre pourri produit des fruits sans valeur ; un bon arbre ne peut porter des fruits sans valeur, ni un arbre pourri produire de beaux fruits. Tout arbre qui ne produit pas de beaux fruits est coupé et jeté au feu. Ainsi donc, c’est à leurs fruits que vous reconnaîtrez ces hommes. ” (Matthieu 7:17-20). Aux fruits que produisent les religions du monde on reconnaît qu’elles sont des ‘ arbres ’ pourris, promis à une destruction prochaine par Jéhovah lors de la grande tribulation – Livre Adorez Dieu (wt) chap13 §12
    De nos jours, des centaines de millions de personnes professent le christianisme. Est-ce à dire qu’elles ont adopté le meilleur mode de vie? Certainement pas, car le simple fait de se prétendre chrétien ne prouve rien. D’ailleurs, Jésus a annoncé qu’il dirait à beaucoup de pseudo-chrétiens qui prétendraient le reconnaître comme leur Seigneur: “Je ne vous ai jamais connus! Éloignez-vous de moi, vous qui agissez en hommes qui méprisent la loi.” (Matthieu 7:23). Donc, si nous proclamons que nous sommes chrétiens, il serait bon de nous assurer que notre vie est bien conforme à l’exemple et à l’enseignement que nous a donnés le Fils de Dieu. Cela nous amène à soulever cette question : Que devrait-on observer dans la vie des vrais chrétiens qui puisse apporter la preuve que leur manière de vivre est dès à présent la meilleure qui soit? Il est essentiel de répondre à cette question si l’on veut identifier, parmi tous ceux qui prétendent croire en Jésus Christ, le groupe d’hommes qui représente sa vraie congrégation – Livre bw chap1 § 8
    Jésus termine son discours par ces mots : « Celui qui entend les paroles que je viens de dire et les met en pratique sera comme un homme sage qui a construit sa maison sur le roc. Il a plu très fort, il y a eu une inondation, des vents violents ont soufflé, mais la maison ne s’est pas écroulée, car ses fondations étaient posées sur le roc » (Matthieu 7:24, 25). Pourquoi la maison est-elle restée debout ? Parce que l’homme « a creusé profond et a posé les fondations sur le roc » (Luc 6:48). Il ne suffit donc pas d’entendre les paroles de Jésus ; nous devons les mettre en pratique. Qu’en est-il de « celui qui entend les paroles [...] mais ne les met pas en pratique » ? Il est « comme un homme stupide qui a construit sa maison sur le sable » (Matthieu 7:26). La pluie, une inondation et des vents provoqueraient la chute de cette maison - jy chap35
  23. Thanks
    misette got a reaction from Elisabeth Dolewka in RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 8 JANVIER 2018 - MATTHIEU 4-5   
    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MATTHIEU 4-5
    Mt 4:9 :   À quelle tentation Satan a -t-il soumis Jésus ? (nwtsty note d’étude
    « et il lui dit : “ Toutes ces choses, je te les donnerai si tu tombes et fais un acte d’adoration pour moi. ” »
    Le verbe grec qui peut être traduit par « adorer » est ici à l’aoriste, ce qui indique une action momentanée. La traduction « fais [...] un acte d’adoration » souligne que le Diable n’a pas demandé à Jésus de lui rendre un culte constant ou continuel, mais d’accomplir « un [seul] acte d’adoration ». nwtsty note d’étude cahier 2018/01
    Qu’en est-il de la tentation où Jésus a vu « tous les royaumes du monde » ? La domination du monde a été offerte à Jésus — mais aux conditions du Diable. Jésus comprenait bien que se prosterner devant Satan, c’était commettre un acte d’idolâtrie. Évidemment, il n’a pas vu littéralement tous les royaumes ; aucune montagne littérale ne permet une telle vue. Satan s’est peut-être servi d’une sorte de vision pour les montrer à Jésus, tout comme on se sert d’un projecteur et d’un écran pour montrer des photos de différents endroits de la terre. Toutefois, même s’il s’est servi d’une vision, l’« acte d’adoration » devait être réel, et non imaginaire (Mat. 4:8, 9). On pourrait donc penser que l’incitation à se jeter du parapet du temple impliquait une action réelle, avec des conséquences réelles, ce qui rendait la tentation beaucoup plus sérieuse que si elle était une simple vision.- TG2016 mars
    Le Diable cherchait très ouvertement à usurper le culte qui revenait de droit à Jéhovah et à pousser Jésus à un acte d’infidélité ! Parce qu’il avait arrêté ses pensées sur le désir d’être adoré, cet esprit autrefois fidèle était devenu Satan le Diable, le tentateur dominé par le péché, avide et foncièrement méchant. À l’inverse, Jésus était résolu à rester fidèle à son Père céleste. En montrant à Jésus tous les royaumes du monde, le Diable lui proposait un pouvoir que jamais encore un humain n’avait détenu. Satan espérait que cette vue susciterait en lui l’ambition et le persuaderait qu’il pouvait devenir le dirigeant politique le plus puissant de la terre. Aujourd’hui, le Diable ne nous propose pas de royaume, mais il s’acharne à corrompre notre cœur par le biais de nos yeux, de nos oreilles et de nos pensées. – TG2008 15/11
    Mt 4:23 : Quelles sont les deux activités importantes auxquelles Jésus s’est consacré ? (nwtsty note d’étude).
    « Alors il se mit à parcourir toute la Galilée, enseignant dans leurs synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume et guérissant toutes sortes de maladies et toutes sortes d’infirmités parmi le peuple. »
    Enseigner est différent de prêcher en ce que l’enseignant fait davantage que proclamer : il instruit, explique, démontre par des arguments convaincants et apporte des preuves. nwtsty note d’étude cahier 2018/01
    Jésus n’a pas seulement prêché, ou proclamé, le Royaume de Dieu à ses contemporains. Il les a aussi enseignés — ce qui implique instruire, expliquer et convaincre par un raisonnement logique. Le Royaume était le thème de son message.
    Durant tout son ministère, Jésus a enseigné à ses auditeurs ce qu’est le Royaume et ce que celui-ci fera. – TG2011 1/3
    Jésus prêchait et enseignait avant tout par amour pour Dieu. Mais Jésus aimait aussi les vérités qu’il enseignait. Il considérait ces vérités comme des trésors inestimables, et il avait à cœur de les transmettre à autrui. Cet élan nous anime nous aussi, nous qui sommes des enseignants, des ‘ instructeurs publics ’.
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    A l’époque de Jésus et de ses disciples, le nom divin figurait bel et bien dans les copies des Écritures, tant dans les manuscrits hébreux que dans les manuscrits grecs. Lorsque Jésus citait les Écritures hébraïques ou en donnait lecture, il utilisait à coup sûr le nom divin, Jéhovah (Mt 4:4, 7, 10 - Dt 8:3 ; 6:16 ; 6:13) – it1 p1249
    Jéhovah favorise les humbles, et pas les orgueilleux. Il cache la vérité « aux sages et aux intellectuels », à ceux qui sont sages et instruits aux yeux des hommes et qui, par orgueil, pensent ne pas avoir besoin de son aide. Par contre, il révèle la vérité aux « tout-petits », à ceux qui se tournent vers lui d’un cœur sincère et avec l’humilité d’un enfant. Jésus a lui-même observé les réactions de ces deux catégories de personnes. Beaucoup de chefs religieux, très instruits mais orgueilleux, n’ont pas saisi son enseignement, contrairement à d’humbles pêcheurs (Matthieu 4:18-22) Dans le même temps, des personnes riches et instruites, manifestant une humilité sincère, sont devenues ses disciples. – TG2013 1/1 p9
    “ Heureux ceux qui sont conscients de leur pauvreté spirituelle. ” Matthieu 5:3. Jésus a énoncé ici une condition essentielle pour connaître l’accomplissement des promesses de Dieu : admettre notre “ pauvreté spirituelle ” et y remédier. Contrairement aux animaux, nous avons le besoin inné de comprendre le sens et le but de la vie. Seul Jéhovah Dieu peut combler ce besoin, ce qu’il fait par sa Parole. La Bible révèle son dessein pour la terre. Elle nous apprend pourquoi nous existons, pourquoi il y a tant de souffrance et ce que Dieu attend de nous. Pour mener une vie pleine de sens et satisfaisante, il est indispensable de comprendre ces vérités bibliques. Ceux qui prennent le temps d’étudier la Bible et d’appliquer ce qu’ils apprennent sont heureux. Pourquoi ? Parce qu’ils nouent ainsi une relation de confiance avec le Créateur, le “ Dieu heureux ”, Jéhovah - TG2011 1/7 p8
    Jéhovah a pris l’initiative de nous témoigner son amour. Il nous fait profiter d’une demeure merveilleuse, la Terre. Il pourvoit à nos besoins physiques et matériels (Matthieu 5:43-48). Et surtout, il comble nos besoins spirituels ! Il nous donne sa Parole, la Bible. De plus, il nous invite à le prier en nous assurant qu’il nous entendra et qu’il nous donnera son esprit saint pour nous aider. Mais par-dessus tout, il a envoyé son Fils, l’être auquel il tenait le plus, pour qu’il devienne notre Rédempteur, afin que nous soyons délivrés du péché et de la mort. Vraiment, Jéhovah a fait preuve d’un amour immense à notre égard – lv chap1§2
    DIEU PREND SOIN DE NOUS MATÉRIELLEMENT - « il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons et [...] il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes » (Mat. 5:45). Quels sont les effets du soleil et de la pluie ? Entre autres, grâce à eux, Jéhovah « comble » les humains « de nourriture et de gaieté » En effet, il veille à ce que la terre produise de la nourriture en abondance. Mais pourquoi tant d’humains souffrent-ils de la faim ? Parce que bien des dirigeants se préoccupent davantage de leur pouvoir et de leurs profits financiers que de la vie des gens. Bientôt, Jéhovah résoudra le problème de l’avidité en remplaçant le système politique actuel par le Royaume céleste, dont son Fils est le Roi. Plus personne n’aura alors faim TG16/6
    5:48 — Pouvons-nous réellement être “ parfaits, comme notre Père céleste est parfait ” ? Oui, dans un sens relatif. Jésus était en train de parler de l’amour, et il disait à ses disciples d’imiter Dieu et d’être parfaits, ou complets, dans leur amour (Mat. 5:43-47). Comment cela ? En étendant leur amour à leurs ennemis. - TG2008 15/1 p29 
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    On notera que lorsque le Diable a poussé Jésus à transformer des pierres en pains, celui-ci a refusé de se servir de ses pouvoirs pour satisfaire ses désirs (Mat. 4:2-4). Par contre, il s’en est servi pour combler les besoins des autres. Comment pouvons-nous imiter l’altruisme de Jésus ? Il a exhorté les serviteurs de Dieu à avoir « l’habitude de donner » (Luc 6:38). Nous imiterons Jésus en étant généreux, selon nos possibilités, sur les plans matériel et spirituel. – TG2015 15/6 p4§6
    Jésus a parfois nourri les gens sur le plan physique, mais, le plus souvent, il les nourrissait sur le plan spirituel. Il a d’ailleurs dit : “ L’homme doit vivre, non pas de pain seul, mais de toute parole qui sort par la bouche de Jéhovah. ” (Mat. 4:4). Nos publications enseignent des vérités bibliques indispensables pour obtenir la vie éternelle. Elles sont bien trop précieuses pour être gaspillées De même que nous devons nous alimenter pour entretenir nos forces physiques, de même il nous faut nous nourrir de la Parole de Dieu pour rester spirituellement vivants - km2009 05
    Dans ce monde méchant, nous ne pouvons éviter de voir certaines choses sans valeur. De telles choses ont été imposées même à Jésus. Dans sa troisième tentative pour le détourner de la volonté divine, “ le Diable l’emmena [...] sur une montagne extraordinairement haute et lui montra tous les royaumes du monde et leur gloire ”. (Mat. 4:8.) Pourquoi Satan s’y est-il pris ainsi ? Il voulait sans nul doute exploiter l’influence puissante des yeux. En voyant la splendeur de tous les royaumes du monde, Jésus céderait peut-être à un désir d’occuper une position éminente. Comment a-t-il réagi ?
    Jésus ne s’est pas concentré sur cette offre alléchante. Il n’a pas laissé son cœur nourrir de mauvais désirs. Et il n’a pas eu besoin de réfléchir à la proposition du Diable pour la rejeter. Il a réagi immédiatement. “ Va-t’en, Satan ”, a-t-il ordonné (Mat. 4:10). Jésus est resté concentré sur ses relations avec Jéhovah et a répondu conformément à son but dans la vie : faire la volonté de Dieu. En conséquence, il a réussi à déjouer le piège sournois de Satan.
    Il y a beaucoup à apprendre de l’exemple de Jésus. Premièrement, personne n’est immunisé contre les tactiques de Satan (Mat. 24:24). Deuxièmement, ce sur quoi nous fixons nos yeux peut renforcer les désirs de notre cœur, bons ou mauvais. Troisièmement, Satan exploitera “ le désir des yeux ” autant qu’il le pourra pour tenter de nous égarer (1 Pierre 5:8). Quatrièmement, nous aussi, nous pouvons nous opposer à Satan, surtout si nous agissons sans tarder – TG2010 15/4 p20
    Jésus parlait-il seulement des efforts individuels de ses disciples ou pensait-il à une campagne de prédication organisée ? Puisqu’il serait impossible qu’une seule personne aille vers « toutes les nations », cette œuvre nécessiterait les efforts conjugués d’un grand nombre. C’est ce que Jésus a indiqué lorsqu’il a invité ses disciples à devenir des « pêcheurs d’hommes » (Matthieu 4:18-22). La pêche à laquelle il faisait allusion n’était pas celle pratiquée par un homme seul utilisant une ligne et un appât, assis sans rien faire, à attendre que le poisson morde. C’était plutôt une pêche au filet, activité nécessitant une main-d’œuvre importante et parfois des efforts coordonnés – TG2016 mai p9§4
    QUI EST VRAIMENT HEUREUX ? - Tout le monde a envie d’être heureux. Jésus commence donc son discours en expliquant qui est réellement heureux. Voilà qui doit éveiller l’attention de ses auditeurs ! Mais certaines de ses idées doivent les étonner. (Matthieu 5:3-12). Que veut dire Jésus par « heureux » ? Ce n’est pas être jovial ou gai, comme lorsqu’on s’amuse. Le bonheur véritable est plus profond : il implique le vrai contentement, un sentiment de satisfaction et d’épanouissement. jy chap35
    Le Sermon sur la montagne est particulièrement représentatif de l’incomparable sagesse des enseignements de Jésus. Ce discours consigné en Matthieu 5:3–7:27 n’excéderait guère une vingtaine de minutes, il contient plus de 20 citations des Écritures hébraïques et plus de 50 illustrations mais les conseils qu’il renferme sont éternels, aussi valables aujourd’hui qu’au moment où ils ont été donnés. Jésus y a abordé toutes sortes de sujets, depuis les relations avec autrui (5:23-26, 38-42 ; 7:1-5, 12) jusqu’à la pureté morale (5:27-32), en passant par la façon dont on peut donner un sens à sa vie (6:19-24 ; 7:24-27). Mais il ne s’est pas contenté de dire à ses auditeurs ce qu’était une conduite sage ; il le leur a aussi montré en donnant des explications, en les faisant raisonner et en présentant des preuves. - cl chap21 p209 §5
    Des endeuillés “ heureux ”- “ Heureux ceux qui sont dans le deuil, puisqu’ils seront consolés. ” (Mat. 5:4). “ Ceux qui sont dans le deuil ” et “ ceux qui sont conscients de leur pauvreté spirituelle ” correspondent au même genre d’individus. Ils sont dans le deuil non pas en ce sens qu’ils se plaignent de leur sort dans la vie, mais plutôt en ce sens qu’ils sont tristes en raison de leur état de pécheurs et des conditions qui résultent de l’imperfection. Pourquoi ces endeuillés sont-ils “ heureux ” ? Parce qu’ils exercent la foi en Dieu et en Christ, et qu’ils sont consolés par les bonnes relations qu’ils entretiennent avec Jéhovah km2013/02
    Heureux “ ceux qui sont doux de caractère ” - “ Heureux ceux qui sont doux de caractère, puisqu’ils hériteront de la terre. ” (Mat. 5:5). La “ douceur de caractère ”, qui s’apparente à l’humilité, n’est ni de la faiblesse ni une douceur hypocrite (1 Tim. 6:11). Si nous sommes doux de caractère, nous montrerons notre humilité en accomplissant la volonté de Jéhovah et en acceptant sa direction. Notre douceur de caractère se verra aussi dans la façon dont nous traitons nos compagnons chrétiens et notre prochain – km2013/02
    Pourquoi “ ceux qui ont le cœur pur ” sont heureux - “ Heureux ceux qui ont le cœur pur, puisqu’ils verront Dieu. ” (Mat. 5:8). Si nous avons “ le cœur pur ”, notre pureté se verra dans le choix des personnes et des choses auxquelles nous nous attachons, ainsi que dans nos désirs et dans nos mobiles. Nous manifesterons “ l’amour qui vient d’un cœur pur ”. (1 Tim. 1:5.) Étant purs intérieurement, nous ‘ verrons Dieu ’. Cela ne signifie pas forcément que nous le verrons au sens propre, car “ nul homme ne peut [...] voir [Dieu] et pourtant demeurer en vie ”. (Ex. 33:20.) Il est néanmoins possible de ‘ voir Dieu ’ en étudiant la vie de Jésus. En effet, étant donné qu’il reflétait à la perfection la personnalité divine, Jésus a pu dire : “ Qui m’a vu a vu le Père aussi. ” (Jean 14:7-9). D’un autre côté, les adorateurs de Jéhovah sur la terre peuvent ‘ voir Dieu ’ en observant ses actions en leur faveur (Job 42:5). Les chrétiens oints, quant à eux, voient Dieu au plein sens du terme lorsqu’ils sont ressuscités pour la vie spirituelle et qu’ils voient littéralement leur Père céleste. Un cœur pur est moralement et spirituellement saint ; par conséquent, il ne s’attarde pas sur des choses qui sont impures aux yeux de Jéhovah. Si nous avons le cœur pur, nos paroles et nos actes seront marqués par la pureté, et il n’y aura rien d’hypocrite dans notre service pour Jéhovah. – km2013 02
    “ Les pacifiques ” deviennent fils de Dieu - “ Heureux les pacifiques, puisqu’ils seront appelés ‘ fils de Dieu ’. ” (Mat. 5:9). “ Les pacifiques ” se reconnaissent à ce qu’ils font et à ce qu’ils ne font pas. Si nous sommes de ceux à qui Jésus pensait, nous ‘ ne rendons pas le mal pour le mal ’. Au contraire, nous ‘ poursuivons toujours ce qui est bon envers les autres ’. Le terme grec rendu par “ pacifiques ” en Matthieu 5:9 signifie littéralement “ faiseurs de paix ”. Pour être du nombre des pacifiques dont parlait Jésus, nous devons travailler à la paix. Les faiseurs de paix ne font rien qui pourrait ‘ séparer les intimes ’. ) Les pacifiques que nous sommes agissent de manière à “ poursuivre la paix avec tous ” Les pacifiques sont heureux car “ ils seront appelés ‘ fils de Dieu ’ ”.
    Les fidèles chrétiens oints ayant été adoptés par Jéhovah, ils sont “ fils de Dieu ”. À ce titre, ils bénéficient dès maintenant de relations étroites avec Jéhovah parce qu’ils exercent la foi en Christ et adorent d’un cœur complet “ le Dieu d’amour et de paix ” Qu’en est-il des “ autres brebis ” de Jésus, pacifiques elles aussi ? Jésus sera leur “ Père éternel ” pendant son Règne millénaire mais, à la fin de ce règne, il se soumettra à Jéhovah et ces brebis deviendront enfants de Dieu au plein sens du terme – km2013 02
    Persécutés mais heureux - “ Heureux ceux qui ont été persécutés à cause de la justice, puisque le royaume des cieux leur appartient. ” (Mat. 5:10). Développant sa pensée, Jésus poursuit : “ Heureux êtes-vous lorsqu’on vous outrage, qu’on vous persécute et qu’on dit mensongèrement contre vous toutes sortes de choses mauvaises, à cause de moi. Réjouissez-vous et bondissez de joie, puisque votre récompense est grande dans les cieux ; car c’est ainsi qu’on a persécuté les prophètes qui ont vécu avant vous. ” — Mat. 5:11, 12 Comme les prophètes de Dieu du passé, les chrétiens s’attendent à ce qu’on les outrage, qu’on les persécute, et qu’on parle mensongèrement contre eux, tout cela “ à cause de la justice ”. Toutefois, notre endurance et notre fidélité face à de telles épreuves nous procurent la satisfaction de plaire à Jéhovah et de l’honorer. Nos souffrances n’entament en rien le plaisir que nous avons à servir Jéhovah, maintenant ou dans l’avenir. Elles ne peuvent gâter le bonheur de régner avec Christ dans le Royaume céleste ou la joie d’être les sujets terrestres de ce Royaume et d’obtenir la vie éternelle. Ces bénédictions sont la preuve de la faveur, de la bienveillance et de la générosité de Dieu. – km2013 02
    S’adressant à ses disciples, Jésus dit : « Vous êtes le sel de la terre » (Matthieu 5:13). Ce n’est évidemment pas à prendre au sens littéral. En fait, le sel est un agent conservateur. Une grande quantité de sel est stockée près de l’autel du temple de Dieu, car on s’en sert pour saler les offrandes. Le sel symbolise aussi l’absence de corruption ou de décomposition (Lévitique 2:13 ; Ézéchiel 43:23, 24). Les disciples de Jésus sont le « sel de la terre », car tel un agent conservateur, ils aident les personnes à ne pas tomber dans la corruption morale et spirituelle. Leur message peut ainsi préserver la vie de ceux qui y sont sensibles – Livre Jésus le chemin (jy) chap35
     Que votre lumière brille devant les hommes. ” (Mat. 5:16). Par ces mots, Jésus a chargé ses disciples d’étendre les bienfaits de la lumière spirituelle à d’autres : par la prédication (Jésus a consacré temps, énergie et ressources à faire connaître la lumière de la vérité partout où il trouvait des gens),  par de belles œuvres (faire briller notre lumière est aussi une action quotidienne, Lorsque nous sommes en public — au travail, à l’école, etc. —, nous nous distinguons par notre conduite chrétienne, ce qui crée des occasions de faire connaître les vérités bibliques par notre comportement . Étant donné les ténèbres spirituelles qui nous entourent, cette lumière n’a jamais été si nécessaire. – km2011 05
    Chercher la cause du problème. Jésus avait un fin discernement de la nature humaine. Il a montré comment résoudre les problèmes en remontant jusqu’à leur cause. Témoin les deux exemples suivants.
    “ Vous avez entendu, a déclaré le Christ, qu’il a été dit à ceux des temps anciens : ‘ Tu ne dois pas assassiner ; mais celui qui commet un meurtre en répondra devant le tribunal. ’ Cependant moi je vous dis que tout homme qui continue d’être en colère contre son frère en répondra devant le tribunal. ” (Matthieu 5:21, 22). Jésus montrait ici que le problème du meurtre ne résidait pas tant dans l’acte violent que dans sa cause profonde : les inclinations que le meurtrier a cultivées dans son cœur. Si les gens ne laissaient  pas monter en eux le ressentiment ou la colère, la violence préméditée disparaîtrait. Combien d’effusions de sang seraient évitées si cet enseignement était appliqué
    Notez comment Jésus a mis le doigt sur la cause d’un autre problème qui occasionne beaucoup de chagrins. Il s’est adressé ainsi à la foule : “ Vous avez entendu qu’il a été dit : ‘ Tu ne dois pas commettre d’adultère. ’ Mais moi je vous dis que tout homme qui continue à regarder une femme de manière à éprouver une passion pour elle a déjà commis l’adultère avec elle dans son cœur. Si donc ton œil droit te fait trébucher, arrache-le et jette-le loin de toi. ” (Matthieu 5:27-29). Jésus enseignait que la racine du problème, c’est ce qui précède la conduite immorale : les désirs immoraux. Celui qui se refuse à ruminer des désirs inconvenants et qui ‘ les arrache ’ de son esprit ne courra pas le risque d’une conduite immorale. – TG2005 15/3 p6
    Quand il s’agit de péchés, Jésus s’attaque à la racine du problème. Ainsi, il ne se contente pas de dire : abstenez-vous de toute violence. Il nous recommande de ne pas laisser la colère couver dans notre cœur (Matthieu 5:21,22)). Pour l’adultère, pareillement, il ne se contente pas de l’interdire. Il nous met en garde contre la passion qui naît dans le cœur et qui conduit à l’infidélité. Il nous avertit aussi de ne pas laisser ce que nous regardons éveiller en nous un désir déplacé et exciter notre appétit sexuel (Matthieu 5:27-30). Jésus traite des causes, pas seulement des effets visibles. Il attire l’attention sur l’état d’esprit et les désirs qui donnent naissance aux péchés – cf chap5 p46-55 §11
    Jésus donne des conseils sur la façon de réagir quand on nous blesse : « Quand quelqu’un est méchant avec vous, ne vous opposez pas à lui. Mais si on te gifle sur la joue droite, tends aussi l’autre joue » (Matthieu 5:39). Cela ne veut pas dire qu’il est interdit de se défendre ou de protéger sa famille si on nous attaque. Jésus parle d’une gifle. Une gifle n’a pas pour but de blesser gravement ni de tuer, mais d’humilier. Jésus veut dire que si quelqu’un essaie de nous inciter à nous battre ou à la dispute, que ce soit en nous giflant ou en nous insultant, nous ne devons pas riposter. Ce conseil est en accord avec la loi de Dieu sur l’amour du prochain. Jésus recommande donc à ses auditeurs : « Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent. » Il donne ensuite une puissante raison de le faire : « Alors vous serez vraiment les fils de votre Père qui est au ciel, lui qui fait lever le soleil sur les méchants et sur les bons, et qui fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes » (Matthieu 5:44, 45). Jésus résume ainsi cette partie de son discours : « Vous devez donc être parfaits, comme votre Père céleste est parfait » (Matthieu 5:48). Il ne veut évidemment pas dire que nous pouvons être parfaits au sens absolu. Mais en imitant Dieu, nous pouvons nous élargir dans notre amour, au point d’aimer nos ennemis - Livre Jésus le chemin (jy) chap35
     
    RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 8 JANVIER 2018 - MATTHIEU 4-5.docx
    RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 8 JANVIER 2018 - MATTHIEU 4-5.pdf
  24. Thanks
    misette got a reaction from Elisabeth Dolewka in RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 1er JANVIER 2018 - MATTHIEU1-3   
    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MATTHIEU 1-3
    Mt 1:3 : Pourquoi cinq femmes figurent-elles dans une généalogie qui, pour le reste, ne comprend que des hommes ? (nwtsty note d’étude).
    « Juda devint père de Pérets et de Zérah qu’il eut de Tamar ; Pérets devint père de Hetsrôn ; Hetsrôn devint père de Ram »
    Tamar : La première des cinq femmes mentionnées dans la généalogie du Messie dressée par Matthieu. Les quatre autres sont Rahab et Ruth, des non-Israélites (v. 5) ; Bethsabée, « la femme d’Urie » (v. 6) ; et Marie (v. 16). Ces femmes figurent dans une généalogie qui pour le reste ne comprend que des hommes, probablement en raison de la façon remarquable dont chacune est devenue une ancêtre de Jésus.
    Elles sont tenues en haute estime dans la Parole de Dieu
    Mt 3:11 : Comment savons-nous que le baptême est une immersion complète dans l’eau ? (nwtsty note d’étude).
    « Pour moi, je vous baptise avec de l’eau à cause de votre repentance ; mais celui qui vient après moi est plus fort que moi, [celui] dont je ne suis pas digne d’enlever les sandales. Celui-là vous baptisera avec de l’esprit saint et avec du feu ».
    Vous baptise : Ou « vous immerge ». Le mot grec baptizô signifie « immerger, plonger ». D’autres passages bibliques montrent que le baptême est une immersion complète dans l’eau. Un jour, Jean a baptisé des personnes dans la vallée du Jourdain près de Salim « parce qu’il y avait là beaucoup d’eau » (Jean 3:23). Quand Philippe a baptisé l’eunuque éthiopien, tous deux « descendirent dans l’eau » (Ac 8:38). Le même mot grec est employé dans la Septante en 2R 5:14 à propos de Naamân qui « se plongea sept fois » « dans le Jourdain ». Jean choisissait soigneusement l’endroit où il baptisait: là où il y avait beaucoup d’eau
    [Encadré, page 58]
    LE BAPTÊME DANS “ UN POINT D’EAU ”
      Comment procède-t-on au baptême chrétien ? Certains pensent qu’il suffit de verser ou d’asperger de l’eau sur la tête de quelqu’un. Or l’eunuque éthiopien a été baptisé dans “ un point d’eau ”. Le récit précise : “ Ils descendirent tous deux dans l’eau, Philippe et l’eunuque. ” (Actes 8:36, 38). Si verser ou asperger de l’eau avait été la seule chose à faire, l’eunuque n’aurait pas eu besoin d’arrêter son char à un point d’eau. Il aurait eu assez d’une infime quantité d’eau, comme le contenu d’une outre. En fait, il en avait probablement une, puisqu’il voyageait sur “ une route du désert ”. — Actes 8:26. – bt p58
    L’immersion totale dans l’eau est un symbole approprié de l’offrande de soi. En s’immergeant, la personne montre qu’elle meurt quant à son ancienne manière de vivre. La sortie de l’eau symbolise le début d’une vie tournée vers l’accomplissement de la volonté de Dieu – TG2006 15/10
    Au départ, le baptême chrétien était pratiqué par immersion complète. C’est ce qui ressort du récit biblique relatif au fonctionnaire éthiopien baptisé par Philippe. Ayant appris l’identité du Christ, le fonctionnaire demanda, apercevant un point d’eau : “ Qu’est-ce qui m’empêche d’être immergé ? ” (Actes 8:26-39, Bible de Chouraqui). La racine grecque traduite ici par “ immergé ” est baptizô — qui signifie “ plonger ”, “ submerger ” —, d’où dérive le terme “ baptiser ” ”. Il s’agit donc bien d’une immersion complète. Le fait que le baptême soit assimilé dans la Bible à un enterrement renforce cette idée (Romains 6:4 ; Colossiens 2:12). L’immersion complète est d’ailleurs un symbole approprié du changement radical qui s’opère dans la vie du baptisé : figurément parlant, il meurt quant à son ancienne vie et commence une vie nouvelle au service de Dieu. Dans les tout premiers siècles du christianisme, on pratique l’immersion totale partout où l’on trouve suffisamment d’eau : dans les rivières, la mer ou les bains privés. – RV2007 Septembre p12
    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?
    Jéhovah se soucie du bonheur de ses serviteurs pris collectivement. Mais il fait plus encore : il se soucie beaucoup de chacun de ses serviteurs pris individuellement. Par exemple, pendant trois siècles, il s’est occupé de son peuple Israël en le délivrant de ses ennemis au moyen de juges. Dans cette période agitée, il a pourtant remarqué Ruth. C’était une non-Israélite qui avait fait de grands sacrifices pour se convertir au vrai culte. Il l’a récompensée en lui donnant un mari et un enfant. Mais ce n’est pas tout. Quand elle sera ressuscitée, elle découvrira que son fils a fait partie des ancêtres du Messie. Et imagine son émotion en apprenant que le récit de sa vie a été conservé dans un livre de la Bible qui porte son nom ! (Ruth 4:13 ; Mat. 1:5, 16). – TG2017 juin p27 §9
    Doit-on adorer Jésus ? Tout petit, il a reçu la visite d’astrologues qui reconnaissaient en lui “ le roi des Juifs ”. Le récit dit que, “ se prosternant, ils lui rendirent hommage qui désigner le respect et l’honneur que l’on témoigne à une autre personne . Matthieu 2:2, 11 Jésus est-il digne d’un tel hommage ? Assurément  Sous la direction divine, et grâce à son sacrifice rédempteur, il mettra fin à toute forme de douleur et de tristesse pour le bien de ceux qui se soumettront à sa domination juste. Ne mérite-t-il pas que nous l’honorions, le respections et lui obéissions ? Néanmoins, la Bible montre clairement que l’adoration — au sens de vénération et de respect religieux — ne revient qu’à Dieu. – RV2000 Avril p26
    « Voyez ! Il y eut en outre une voix venant des cieux qui disait : ‘ Celui-ci est mon Fils, le bien-aimé, que j’ai agréé. Matthieu 3:16, 17. Ces paroles pleines de tendresse, prononcées par Jéhovah lui-même, nous en apprennent beaucoup sur le genre de Père qu’il est. Relevons trois expressions qu’il a utilisées quand il s’est adressé à son Fils.
    Premièrement, en déclarant : “ Celui-ci est mon Fils ”, Jéhovah disait en quelque sorte : ‘ Je suis fier d’être ton Père. ’ Les enfants ont besoin qu’on leur accorde de la valeur et de l’attention, et un père plein de discernement en tient compte. Ils ont aussi besoin de savoir qu’ils sont des membres à part entière de la famille. Imaginez ce qu’a dû ressentir Jésus — même s’il était déjà adulte — lorsque son Père lui a témoigné ainsi son estime !
    Deuxièmement, en appelant son Fils “ le bien-aimé ”, Jéhovah a exprimé ouvertement son amour pour Jésus. C’était comme s’il lui disait : ‘ Je t’aime. ’ Un bon père dit à ses enfants qu’il les aime tendrement. Des paroles de ce genre, accompagnées de saines marques d’affection, aident les enfants à s’épanouir. Combien Jésus a dû être touché d’entendre son Père lui exprimer son amour !
    Troisièmement, par les mots “ je t’ai agréé ”, Jéhovah manifestait son approbation à son Fils. Il déclarait en somme : ‘ Mon Fils, je suis content de ce que tu as fait. ’ Un père plein d’amour cherche des occasions de faire savoir à ses enfants qu’il apprécie ce qu’ils disent ou font de bien. L’approbation de leurs parents donne de la force et du courage aux enfants. Jésus a assurément dû être encouragé d’entendre qu’il avait l’approbation de son Père 
    Incontestablement, Jéhovah est un Père incomparable – TG2008 1/1 p25
    JÉSUS SE SAVAIT AIMÉ ET APPROUVÉ PAR SON PÈRE - « Celui-ci est mon Fils, le bien-aimé, que j’ai agréé » (Matthieu 3:17).
    Jéhovah a prononcé ces paroles depuis les cieux lors du baptême de Jésus. Par-là, il montrait publiquement qu’il aimait et qu’il approuvait son Fils. Pas étonnant que Jésus ait affirmé : « Le Père m’aime » ! (Jean 10:17). Sachant tout le bien que son Père pensait de lui, Jésus a eu le courage d’affronter l’opposition et les critiques. Il a su rester maître de ses émotions, même face à la mort (Jean 10:18).
    La conviction d’être aimé et approuvé par son Père a certainement donné encore plus de sens à sa vie. Sans aucun doute, Jésus a eu une vie pleine de sens. Son exemple nous montre comment donner un sens véritable à notre vie – TG2013 1/4
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?
    A Joseph, un ange lui est apparu en rêve et lui a dit : “ N’aie pas peur de prendre chez toi Marie ta femme, car ce qui a été engendré en elle est de par l’esprit saint. Elle mettra au monde un fils, et tu devras l’appeler du nom de Jésus, car il sauvera son peuple de ses péchés. ” Joseph a tenu compte de la direction divine et a pris Marie chez lui. — Matthieu 1:20-24.
    En agissant ainsi, cet homme juste et fidèle a joué un rôle dans l’accomplissement de ce dont Jéhovah avait parlé par l’intermédiaire du prophète Isaïe : “ Voyez ! La jeune fille deviendra bel et bien enceinte, et elle met au monde un fils, et, à coup sûr, elle l’appellera du nom d’Emmanuel. ” (Isaïe 7:14). Joseph était incontestablement un homme spirituel qui accordait de la valeur au privilège de devenir le père adoptif du Messie, en dépit du fait que le fils premier-né de Marie ne serait pas de lui. Quelles leçons pouvons-nous en tirer ? Des leçons d’attachement à Dieu, que nous pourrons appliquer comme suit : 1) Soumettons-nous fidèlement à la volonté exprimée par Dieu et affrontons toutes les épreuves qui en découlent. 2) Donnons la priorité aux valeurs spirituelles, même si cela implique des sacrifices. 3) Éduquons nos enfants en harmonie avec les Écritures. 4) Ne perdons pas espoir pour les membres de notre famille qui ne partagent pas notre foi. 5) Ne nous enorgueillissons pas d’éventuels liens de parenté avec des membres en vue de la congrégation. Ainsi, l’étude des renseignements disponibles sur la famille humaine de Jésus nous rapproche de lui et accroît notre reconnaissance pour le fait que Jéhovah a choisi une famille ordinaire pour prendre soin de lui quand il était enfant. – TG2003 15/12 p5
    Qu’est-ce qui montre que Marie était une femme spirituelle ? Marie. Jéhovah l’a choisie pour être la mère de Jésus parce que c’était une jeune femme spirituelle. Sa spiritualité ressort de ce qu’elle a dit quand elle a rendu visite à ses proches, Zacharie et Élisabeth (Luc 1:46-55). Les paroles de Marie prouvent qu’elle aimait profondément la Parole de Dieu et qu’elle connaissait très bien les Écritures hébraïques. Remarquons également que, même après leur mariage, Marie et Joseph n’ont pas eu de relations sexuelles jusqu’à la naissance de Jésus. Cela montre qu’ils accordaient plus d’importance à la mission que Dieu leur avait confiée qu’à leurs désirs personnels (Mat. 1:25). De plus, au cours des années, Marie a observé attentivement ce qui se passait dans la vie de Jésus et elle a gardé « dans son cœur » toutes les paroles de sagesse qu’il prononçait (Luc 2:51). De toute évidence, elle s’intéressait aux prophéties concernant le Messie. Pouvons-nous imiter Marie en mettant la volonté de Dieu en premier dans notre vie ? – TG2018 Février p18-22 §11
    Le récit biblique n’indique pas combien d’astrologues “ venus de l’Est ” apportèrent “ or, oliban et myrrhe ” à Jésus enfant. Rien n’appuie la tradition selon laquelle ils étaient trois (Mt 2:1, 11). Étant des astrologues, ils servaient des faux dieux et se laissèrent guider, sciemment ou non, par ce qui leur parut être une “ étoile ” en mouvement. Ils avertirent Hérode que le “ roi des Juifs ” était né, et Hérode chercha alors à faire mourir Jésus. Mais le complot échoua. Jéhovah intervint et se révéla plus puissant que les dieux démons des astrologues ; par conséquent, au lieu de retourner chez Hérode, les astrologues rentrèrent chez eux par un autre chemin après avoir été “ divinement avertis en rêve ”. — Mt 2:2, 12. – it1 Astrologues
    Les astrologues ont-ils offert des cadeaux à Jésus pour fêter sa naissance ? Non. C’était une coutume courante aux temps bibliques que d’offrir des cadeaux pour présenter ses hommages à un personnage important (1 Rois 10:1, 2, 10, 13 ; Matthieu 2:2, 11). En réalité, les astrologues ne sont pas arrivés la nuit de la naissance de Jésus. Jésus n’était pas un bébé couché dans une crèche ; il était âgé de plusieurs mois et il vivait dans une maison quand ils se sont présentés. Même si la naissance d’un bébé a de tout temps été un événement joyeux, il n’est question dans la Bible d’aucun anniversaire qui ait été célébré en l’honneur d’un serviteur de Dieu – Livre Amour de Dieu (lv) chap13 § 8,9
    Le roi Hérode a appris par les astrologues que le « roi des Juifs » était né. Alors il s’est mis en colère et il a voulu tuer le bébé. (Matthieu 2 :1-3,13). Il a donc ordonné de tuer tous les garçons de 0 à 2 ans à Bethléhem et ses environs. (Matthieu 2 :13-18) Jésus a survécu à ce terrible massacre. Mais qu’est-ce que cela nous apprend sur notre ennemi Satan ? Que la vie humaine ne vaut rien pour lui. Il n’a même pas de compassion pour les enfants. C’est vraiment « un lion rugissant ». N’oublions jamais à quel point Satan est cruel – TG2015 15/5 p3-8 § 13
    L’expression formée du nom individuel Jésus suivi du titre Christ attire peut-être l’attention sur la personne et ensuite sur le fait qu’il est celui qui devint l’Oint de Jéhovah. Il le devint quand, vers l’âge de 30 ans, il fut baptisé dans l’eau et oint de l’esprit de Jéhovah rendu visible sous la forme d’une colombe qui descendit sur lui (Mt 3:13-17). C’est ce que Pierre expliqua à la Pentecôte : “ Dieu l’a fait et Seigneur et Christ, ce Jésus ”, rappelant sans doute ce qu’il avait entendu de la bouche même de Jésus qui, le premier, utilisa l’expression “ Jésus Christ ”. (Ac 2:36-38 ; Jn 17:3.) On la retrouve également dans les premiers mots des Écritures grecques chrétiennes. — Mt 1:1. - En revanche, quand il est question de “ Christ Jésus ” au lieu de “ Jésus Christ ”, le titre précédant le nom individuel, c’est la fonction ou la position de Jésus qui est davantage mise en évidence. L’attention est d’abord attirée sur la fonction, et ensuite seulement sur celui qui l’assume - it-1 p446
    La première fois qu’il est question de baptême dans la Bible, c’est pour parler de celui que Jean le Baptiste accomplissait (Matthieu 3:1-6). Ceux qui recevaient ce baptême montraient qu’ils s’étaient repentis de leurs péchés. Autrement dit, ils admettaient avoir désobéi à la Loi de Moïse et le regrettaient profondément. Mais Jean a aussi eu le privilège exceptionnel de baptiser Jésus, le Fils parfait de Dieu. Ce baptême avait une signification complètement différente (Matthieu 3:13-17). En effet, Jésus n’avait jamais péché. Il n’avait donc pas besoin de se repentir. En fait, son baptême montrait qu’il était prêt à utiliser sa vie pour faire la volonté de Dieu – TG2018 mars p3-7 § 6
    3:16 — En quel sens ‘ les cieux se sont-ils ouverts ’ lors du baptême de Jésus ? Cette expression semble indiquer que les souvenirs de l’existence préhumaine et céleste de Jésus lui sont revenus, à se souvenir de toute sa vie au ciel avec Dieu. Une fois baptisé, Jésus part dans le désert pour réfléchir à ces souvenirs qui lui reviennent
     
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    misette got a reaction from Elisabeth Dolewka in Exposés encourageants d'une Semaine spéciale   
    Je te remercie Corinne. Nourrissons-nous bien spirituellement devant ce qui doit nous arriver comme épreuves.
    J'ajoute d'autres discours et certains à réécouter

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