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Elisabeth Dolewka

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    Elisabeth Dolewka reacted to misette in Recherchons les perles spirituelles - Semaine du 21 Décembre 2020 - Lévitique 14-15   
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    RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 21 Décembre 2020 - Lévitique 14-15.pdf
    Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Lévitique 14-15

    Lévitique 14:14, 17, 25, 28 : Que pouvons-nous apprendre de la méthode de purification d’un lépreux qui était déclaré pur ? it-2 453 §5

    Verset 14 « Le prêtre prendra ensuite un peu du sang du sacrifice de réparation et le mettra sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce de la main droite et sur le gros orteil du pied droit de celui qui se purifie. »

    Verset 17 « Le prêtre mettra un peu du reste de l’huile qui est dans sa paume sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce de la main droite et sur le gros orteil du pied droit de celui qui se purifie, par-dessus le sang du sacrifice de réparation. »

    Verset 25 « Puis le prêtre tuera le jeune bélier du sacrifice de réparation, et il prendra un peu du sang du sacrifice de réparation et le mettra sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce de la main droite et sur le gros orteil du pied droit de celui qui se purifie. »

    Verset 28 « Et le prêtre mettra un peu de l’huile qui est dans sa paume sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce de la main droite et sur le gros orteil du pied droit de celui qui se purifie, aux endroits où il a mis le sang du sacrifice de réparation. »

    Lors de l’installation de la prêtrise en Israël, Moïse reçut l’ordre de prendre du sang du bélier de l’installation et d’en mettre sur le lobe de l’oreille droite d’Aaron et de chacun de ses fils, ainsi que sur leur main droite et leur pied droit, pour montrer que les paroles qu’ils écouteraient, le travail qu’ils feraient et la façon dont ils marcheraient devaient être directement influencés par ce qui se déroulait alors (Lv 8:22-24). De même, dans le cas d’un lépreux qui se purifiait, la Loi prévoyait que le prêtre lui mette sur le lobe de l’oreille droite un peu du sang du bélier présenté en sacrifice de culpabilité, ainsi qu’un peu de l’huile offerte. Des dispositions similaires étaient prises lorsqu’un homme désirait rester l’esclave de son maître pour des temps indéfinis. Dans ce cas, l’esclave était amené près du montant de la porte et son maître lui perçait l’oreille avec un poinçon. Cette marque bien visible faite à l’organe de l’ouïe montrait sans doute que l’esclave désirait continuer de prêter attention à son maître avec obéissance - it-2 p453 §5


    À l’origine, les prescriptions de la Loi exigeaient qu’avant de reprendre une vie normale un lépreux guéri se plie à une cérémonie complexe en deux parties ; lors de la première phase, il fallait de l’eau, du bois de cèdre, du tissu teint en écarlate de cochenille, de l’hysope et deux oiseaux. Ces choses étaient fournies par le lépreux guéri au moment où il se présentait au prêtre à l’extérieur du camp d’Israël. Un des oiseaux était alors tué au-dessus d’une eau courante, et son sang était recueilli dans un récipient de terre. Le cèdre, le tissu écarlate, l’hysope et l’oiseau vivant étaient trempés dans le sang ; le prêtre aspergeait sept fois le lépreux guéri avec le sang, et l’oiseau vivant était relâché. Après avoir été déclaré pur, l’homme se rasait, se baignait, lavait ses vêtements et entrait au camp, mais il lui fallait demeurer sept jours hors de sa tente. Le septième jour, il rasait de nouveau tout son poil, y compris ses sourcils. Le lendemain, il apportait deux béliers et une agnelle de moins d’un an avec un peu de farine et d’huile, cela constituant un sacrifice de culpabilité, un sacrifice pour le péché, un holocauste et une offrande de grain. Le sacrifice de culpabilité comportant un bélier et de l’huile était d’abord présenté en offrande balancée devant Jéhovah par le prêtre, qui tuait ensuite le bélier ; il mettait un peu du sang du bélier sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce droit et sur le gros orteil droit de celui qui se purifiait. De façon similaire, une partie de l’huile était ensuite appliquée par-dessus le sang aux trois endroits précités ; une partie de l’huile était aussi répandue par aspersion sept fois devant Jéhovah, et le reste était mis sur la tête de celui qui se purifiait. Le prêtre offrait alors le sacrifice pour le péché, l’holocauste et l’offrande de grain, faisant propitiation et déclarant pur le lépreux guéri. Si en raison de sa situation l’homme était très pauvre, il pouvait apporter deux tourterelles ou deux jeunes pigeons à la place de l’agnelle et d’un des béliers sacrifiés pour le péché et en holocauste. - it-2 Pur
    Lévitique 14:43-45 : Qu’enseignait au sujet de Jéhovah la loi sur la contamination d’une maison par la lèpre maligne ? g 1/06 14, encadré

    « Si, malgré cela, la contamination réapparaît et fait éruption dans la maison après qu’on aura arraché les pierres, et raclé et réenduit la maison, 44 le prêtre ira l’inspecter : si la contamination s’est étendue dans la maison, c’est une lèpre maligne. La maison est impure. 45 Il fera alors abattre la maison et transporter ses pierres, son bois, et tout le plâtre et le mortier hors de la ville, dans un lieu impur. »

    La Bible évoque “ la plaie de la lèpre dans une maison ”, c’est-à-dire dans l’édifice lui-même (Lévitique 14:34-48). Pour expliquer ce phénomène, également appelé “ lèpre maligne ”, on a émis l’idée qu’il s’agissait d’une sorte de moisissure ; mais cela ne reste qu’une hypothèse. Toujours est-il que la Loi de Dieu obligeait le propriétaire à ôter les pierres contaminées et à racler tout l’intérieur de la maison ; ce qui était suspect devait être emmené en dehors de la ville, “ dans un lieu impur ”. Si la plaie revenait, il fallait déclarer la maison impure et la détruire ; on en rejetait les matériaux. Les instructions très précises de Jéhovah reflétaient le profond amour qu’il éprouve pour ses serviteurs et son souci de leur bien-être. - g 1/06 14, encadré

    Un lieu propice à l’instruction spirituelle. Depuis des temps reculés, le foyer fonctionnait comme un centre où se transmettait l’instruction relative au culte pur. La loi que Dieu donna à Israël ordonnait explicitement aux pères d’enseigner leurs fils lorsqu’ils étaient assis dans la maison, ainsi qu’à d’autres moments. Étant donné que la maison avait cet usage sacré, celles qui étaient souillées par une “ lèpre maligne ” devaient être démolies. La loi concernant les maisons lépreuses rappelait aux Israélites qu’ils ne pouvaient vivre que dans des maisons qui étaient pures du point de vue de Dieu. Si des dépressions vert-jaune ou rougeâtres apparaissaient dans le mur d’une maison, le prêtre imposait une quarantaine. Il pouvait s’avérer nécessaire d’arracher les pierres contaminées et de racler l’intérieur de la maison ; on se débarrassait des pierres et du mortier raclé dans un lieu impur hors de la ville. Si la plaie revenait, la maison était déclarée impure et détruite, et on se défaisait des matériaux dans un lieu impur. Quant à la maison déclarée pure, des dispositions étaient prévues pour sa purification. – it-2 Maison

    Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

    En Lv 14:5, l’expression hébraïque traduite par « eau courante » signifie littéralement « eau vive ». Jéhovah est présenté comme « la source d’eau vive », c’est-à-dire la source de l’eau symbolique qui donne la vie éternelle. L’eau de la vie représente l’ensemble des dispositions prises par Dieu pour guérir les hommes obéissants du péché et de la mort, et leur donner une vie parfaite et sans fin dans un paradis terrestre. Le sacrifice rédempteur de Jésus Christ est à la base même de ces dispositions. Quand il a parlé avec la Samaritaine, Jésus a utilisé l’expression « eau vive » dans un sens figuré, mais il semble que cette femme a d’abord pris cette expression au sens propre (Jean 4:11). – mwbr2018/9 p1-8

    Si le lépreux guérissait, il existait des dispositions lui permettant de se purifier rituellement, qui comprenaient un sacrifice offert par le prêtre en sa faveur (Lv 14:1-32). Par contre, quand le prêtre déclarait impur le lépreux dont le mal persistait, il fallait que les vêtements de ce dernier soient déchirés, que sa tête soit échevelée, qu’il se couvre la moustache ou la lèvre supérieure et qu’il crie : “ Impur, impur ! ” Il devait demeurer à l’écart en dehors du camp. Cette mesure était prise afin que le lépreux ne contamine pas ceux au milieu desquels Jéhovah résidait. Il semble qu’aux temps bibliques les lépreux se fréquentaient ou vivaient en groupes, ce qui leur permettait de s’entraider – it-2 Lèpre

    La lèpre aujourd’hui est-elle la même qu’aux temps bibliques ? La lèpre produisait des symptômes observables non seulement chez les humains, mais aussi dans les vêtements et les maisons, chose qu’une bactérie ne fait pas. — Lévitique  14:34. Les symptômes permettant d’identifier la lèpre chez les humains de nos jours ne correspondent pas exactement à la description de la lèpre aux temps bibliques. De l’avis de certains, cela tient au fait que la nature des maladies change au fil du temps. D’autres pensent que la lèpre dont il est question dans la Bible évoque plusieurs maladies du même genre. – TG1998 1/ 4 p22

    La maladie appelée aujourd’hui lèpre, ou maladie de Hansen, qui n’est que peu contagieuse, se présente sous trois formes principales. La première, nodulaire, provoque un épaississement de la peau et la formation de nodules, d’abord sur le visage, puis sur d’autres parties du corps. Elle entraîne aussi une dégénérescence des muqueuses du nez et de la gorge. C’est ce qu’on appelle la lèpre noire. Une autre forme est la lèpre anesthésique, appelée parfois lèpre blanche. Moins grave que la précédente, elle attaque essentiellement les nerfs périphériques. Elle rend parfois la peau douloureuse au toucher, mais elle peut aussi provoquer l’insensibilité. Le troisième type de lèpre est mixte, associant les symptômes des deux formes précédentes.

    Au fur et à mesure que la lèpre progresse vers sa phase finale, les enflures qui se sont formées suppurent ; il peut y avoir chute de la barbe et des sourcils et décollement des ongles, qui pourrissent et tombent. Ensuite les doigts, les membres, le nez ou les yeux du malade peuvent être rongés lentement. Enfin, dans les cas les plus graves, la mort s’ensuit. Le terme “ lèpre ” dans la Bible incluait certainement cette grave maladie, car Aaron dit qu’à cause d’elle la chair est “ à demi rongée ”.

    Dans la Loi mosaïque, Jéhovah fournit à Israël des renseignements qui permettaient au prêtre de diagnostiquer la lèpre et de la différencier d’autres affections cutanées moins graves. La lèpre pouvait commencer par une éruption, une dartre, une tache, un furoncle ou une cicatrice due au feu. Parfois, les symptômes étaient très évidents. Le poil, dans la partie atteinte, était devenu blanc et le mal paraissait plus profond que la peau. Par exemple, une éruption blanche dans la peau pouvait faire virer le poil au blanc et la chair à vif apparaître dans l’éruption. Cela signifiait que la personne avait la lèpre, et elle devait être déclarée impure. Dans d’autres cas, toutefois, le mal n’était pas plus profond que la peau. La personne était alors mise en quarantaine, puis le prêtre l’examinait et prenait une décision définitive à son sujet.

    Il était reconnu que la lèpre pouvait atteindre un stade où elle n’était pas contagieuse. Quand elle recouvrait tout le corps, que celui-ci était devenu tout blanc, sans qu’on voie de chair vive, c’était la preuve que la maladie n’agissait plus et que seules restaient les marques des ravages qu’elle avait causés. Le prêtre déclarait alors la personne pure, car le mal ne constituait plus un danger pour quiconque – it-2 Lèpre


    Sous la Loi, quiconque touchait une selle sur laquelle était montée une personne ayant un écoulement devenait impur, tout comme celui qui touchait un objet sur lequel s’était assise une femme ayant ses règles. — Lv 15:9 – it-2 Selle


    En Israël, des lois limitaient l’usage des facultés sexuelles, même entre conjoints. Un mari devait s’abstenir de relations avec sa femme lorsqu’elle avait ses règles (Lévitique 15:24). Dans l’antique Israël, les hommes devaient donc faire preuve de maîtrise de soi et d’une considération empreinte d’amour. – TG1989 1/6 p14 §18


    Les Écritures associent les règles à la souillure et à l’impureté (Lv 12:2 ; Éz 22:10 ; 36:17), et une forme du mot hébreu qui les désigne (niddah) est parfois rendue par ‘ souillure des règles ’. (Lv 15:25, 26.) Une forme d’un autre terme hébreu, dawèh, qui peut évoquer la maladie (Lm 5:17), est traduite par “ femme qui a ses règles ”. (Lv 15:33 ; Is 30:22.) Ce sont également les règles que sous-entend la locution : “ Ce que les femmes ont coutume d’avoir. ” — Gn 31:35. – it-2 Règles


    Une femme était également regardée comme impure pendant la période où elle avait un écoulement de sang anormal ou ‘ un flux qui se prolongeait au-delà du temps de la souillure de ses règles ’ ; dans cet intervalle, elle rendait impurs les objets sur lesquels elle se couchait ou s’asseyait et les personnes qui touchaient ces objets. Une fois que l’écoulement anormal avait cessé, elle devait compter sept jours, et alors elle devenait pure. Le huitième jour, elle apportait deux tourterelles ou deux jeunes pigeons au prêtre, qui faisait propitiation pour elle en présentant l’une de ces créatures à Jéhovah comme sacrifice pour le péché et l’autre comme holocauste. — Lv 15:19-30 - it-2 Règles


    L’homme et la femme qui, délibérément, avaient des rapports sexuels alors que la femme était dans la souillure de ses règles étaient retranchés (Lv 18:19 ; 20:18). L’interdiction de s’unir sexuellement pendant les règles était probablement bénéfique pour la santé ; par exemple, cela protégeait peut-être de l’urétrite simple, une inflammation de la région génitale. On peut supposer également que les prescriptions de la Loi concernant les règles ou le flux de sang rappelaient le caractère sacré du sang. Ces prescriptions n’étaient pas discriminatoires à l’égard des femmes, car les hommes aussi étaient sujets à l’impureté par des écoulements auxquels ils étaient prédisposés (Lv 15:1-17). Les prescriptions concernant les règles montraient justement que Jéhovah est plein d’égards pour les femmes. Quoique le mari chrétien ne soit pas sous la Loi, il est bien que lui aussi tienne compte des cycles et des vicissitudes de sa femme, demeurant avec elle “ selon la connaissance ” et lui assignant de l’honneur “ comme à un vase plus faible, le vase féminin ”. — 1P 3:7. - it-2 Règles


    La Loi favorisait aussi la pureté mentale des Israélites. Par exemple, ses prescriptions concernant la vie intime du couple contribuaient à élever les pensées de l’homme (Lévitique 15:16-33). Les Israélites apprirent à se dominer dans le domaine sexuel, à ne pas céder à la passion débridée comme le faisaient les Cananéens. La Loi apprenait même à ceux qui l’observaient à maîtriser leurs sentiments et leurs désirs, car elle condamnait la convoitise. – TG1987  1/11 §13


    Même un état d’impureté permanente de la part des Israélites était, semble-t-il, considéré comme quelque chose qui souillait le tabernacle (Lv 15:31). Ceux qui présentaient des offrandes pour la purification de la lèpre n’apportaient leur sacrifice que jusqu’à la porte de la cour (Lv 14:11). Aucune personne impure ne pouvait donc participer à un sacrifice de communion au tabernacle ou au temple, sous peine de mort. – it-2 p142 Lieu saint


    La Loi que Jéhovah a donnée à Moïse pour les Israélites nous montre aussi que la propreté était très importante. Par exemple, pour que Jéhovah accepte leur culte, les Israélites devaient être propres. Dans certaines situations, si quelqu’un désobéissait aux lois sur la pureté, il était puni de mort (Lévitique 15:31). Les normes de Jéhovah n’ont pas changé. Aujourd’hui, il veut toujours qu’ils soient purs. Pour Jéhovah, être pur, ce n’est pas simplement être propre et avoir des vêtements et une maison propres. La pureté concerne toute notre vie. Elle concerne notre culte, notre conduite et nos pensées. Pour être purs aux yeux de Jéhovah, nous devons être purs dans tous les domaines de notre vie. – lvs chap8 §8

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    Elisabeth Dolewka reacted to folens in Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Genèse 12-14 - Semaine du 3 Février 2020   
    Hello Misette, voici quelques dossiers si ça t'intéresse. Si non au panier ou à la corbeille. Bonne journée et bon partage à tous. Michel
    Recette-pour-le-Service-de-Pionnier.pdf Suite à la vidéo de TV Broadcasting.rtf Vous êtes vous jamais demandé 22.pdf BibleAvecNomDivin.ppt
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    Elisabeth Dolewka reacted to misette in Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Révélation 13-16 - Semaine du 16 Décembre 2019   
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    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Révélation 13-16

    Révélation 16:13, 14 : Comment les nations seront-elles rassemblées pour « la guerre du grand jour de Dieu le Tout-Puissant » ? (w09 15/2 4 § 5).

    « Et j’ai vu trois paroles inspirées impures qui ressemblaient à des grenouilles sortir de la gueule du dragon et de la gueule de la bête sauvage et de la bouche du faux prophète. 14 Ce sont en effet des paroles inspirées par des démons, et elles produisent des signes, et elles sortent vers les rois de toute la terre habitée, afin de les rassembler pour la guerre du grand jour de Dieu le Tout-Puissant. »

    Les “ paroles inspirées impures ” symbolisent la propagande démoniaque qui a pour but d’empêcher que les rois de la terre ne se laissent ébranler par le déversement des sept bols de la fureur de Dieu, mais aussi de manœuvrer ces rois pour qu’ils s’opposent à Jéhovah. - w09 15/2 4 § 5


    Satan sera très en colère. Il exprimera sa colère en se servant d’une propagande démoniaque — des « paroles inspirées impures » — pour pousser une coalition de nations à s’attaquer aux serviteurs de Jéhovah. Cette coalition de nations est appelée « Gog du pays de Magog ». Comme un marionnettiste, Satan va manipuler les puissances politiques et les forces armées pour qu’elles lancent un assaut sur tous ceux qui adorent Jéhovah Dieu. Quand ces nations se mettront à attaquer les serviteurs de Dieu, elles seront arrivées au lieu symbolique appelé Armaguédon – TG2019/9 §13


    En Révélation 16:13, des “ paroles inspirées impures ” sont comparées à des grenouilles, ce qui est approprié puisque, sous la Loi mosaïque, les grenouilles étaient impures, impropres à la consommation.- it-1 p1029


    Révélation 16:21 : Quel message allons-nous sûrement proclamer juste avant la fin du monde de Satan ? (w15 15/7 16 § 9).

    « Puis d’énormes grêlons, d’environ un talent chacun, sont tombés du ciel sur les humains, et les humains ont blasphémé contre Dieu à cause du fléau de la grêle, car ce fléau était d’une ampleur exceptionnelle. »

    9 Ce ne sera pas le moment de prêcher la « bonne nouvelle du royaume ». Ce temps-là sera révolu. L’époque de « la fin » sera arrivée ! (Mat. 24:14). Les serviteurs de Dieu proclameront sans aucun doute un message de jugement percutant. Celui-ci pourrait bien comporter une déclaration annonçant que la fin complète du monde de Satan est imminente. La Bible compare ce message à une grêle. On lit : « Une grande grêle, dont chaque grêlon pesait environ un talent, est descendue du ciel sur les hommes, et les hommes ont blasphémé Dieu à cause de la plaie de la grêle, parce que grande était sa plaie, extraordinairement » (Rév. 16:21). - w15 15/7 16 § 9


    Les grêlons symboliques mentionnés en Révélation 16:21, d’un poids d’environ un talent (20,4 kg selon le système grec), seraient une plaie dévastatrice.

    La fin de ce monde approchant, la proclamation des jugements de Jéhovah à l’encontre du système mauvais de Satan comprendra probablement des messages verbaux très virulents représentés, selon toute vraisemblance, par de la grêle. Cela dit, la majorité des humains continuera à blasphémer Dieu. – TG2009  15/2 p4


    Le moment viendra peut-être où notre message sera comme “ un grand cri de guerre ”. Dans le livre de la Révélation, de puissants messages de jugement sont décrits comme “ une grande grêle, dont chaque grêlon pesait environ un talent ”. Quel rôle le ministère de maison en maison jouera-t-il dans la proclamation de ces ultimes messages de jugement ? Nous ne le savons pas encore. Mais ce dont nous pouvons être sûrs, c’est qu’avant la fin de “ la grande tribulation ”, le nom de Jéhovah aura été rendu public comme jamais dans toute l’histoire humaine – TG2008  15/7 p7 §16


    Pendant la grande tribulation, notre message sera sans doute différent de celui que nous prêchons maintenant. Aujourd’hui, nous annonçons la bonne nouvelle du Royaume et nous nous efforçons de faire des disciples. Mais pendant la grande tribulation, nous prêcherons certainement un message percutant comparable à d’énormes grêlons (Rév. 16:21). Nous proclamerons peut-être la destruction très prochaine du monde de Satan. Le moment venu, nous saurons exactement quel message proclamer et comment le faire. Utiliserons-nous les mêmes méthodes que celles que nous utilisons depuis plus de 100 ans pour accomplir notre ministère ? Ou en utiliserons-nous d’autres ? Nous verrons bien. En tout cas, il semble que nous aurons l’honneur de proclamer courageusement le message de jugement de Jéhovah

    Notre message poussera très probablement les nations à essayer de mettre définitivement fin à notre prédication. Tout comme nous avons besoin du soutien de Jéhovah quand nous prêchons aujourd’hui, nous aurons besoin de compter sur lui à ce moment-là. Nous pouvons être sûrs que notre Dieu nous ‘remplira de force’ pour que nous puissions faire sa volonté  - TG2019/10  §8,9


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    La Bible parle d’un ange qui dit aux habitants de toute la terre d’adorer Dieu (Révélation 14:6, 7). Comment fait-il ? Est-ce qu’il crie du haut du ciel pour être entendu par tout le monde ? — Non. Ce sont les disciples de Jésus sur la terre qui parlent de Dieu autour d’eux, et les anges les aident dans cette tâche. Ils veillent à ce que tous les humains qui veulent vraiment connaître Dieu aient l’occasion d’entendre parler de lui. Nous aussi, nous pouvons participer à cette prédication et recevoir l’aide des anges. – Enseignant p65


    ‘ Une bonne nouvelle éternelle à annoncer ’ et qu’il dit d’une voix forte : “ Craignez Dieu et rendez-lui gloire, parce que l’heure de son jugement est venue. ” (Révélation 14:6, 7). Cette “ heure ” de jugement est une période courte qui englobe à la fois le moment où les jugements divins décrits dans la prophétie sont prononcés et celui où ils sont exécutés. Nous vivons actuellement cette période. Aujourd’hui, avant que l’heure du jugement ne s’achève, l’exhortation retentit : “ Craignez Dieu et rendez-lui gloire. ” Qu’implique-t-elle ? Craindre Dieu comme il convient, c’est se détourner du mal – TG2005  1/5 p23


    Révélation 15:3 dit : « Grandes et prodigieuses sont tes œuvres, Jéhovah Dieu, le Tout-Puissant. Justes et vraies sont tes manières d’agir, Roi d’éternité. » Que veut dire le titre « Tout-Puissant » ? Que Jéhovah est la personne la plus puissante de l’univers. Et que veut dire le titre « Roi d’éternité » ? Qu’il est éternel, c’est-à-dire qu’il a toujours existé – Enseigne p13


    La Bible dit de Jéhovah : “ Toi seul tu es fidèle. ” (Révélation 15:4). Comment est-ce possible ? Des humains et des anges n’ont-ils pas, eux aussi, manifesté une fidélité remarquable. Et Jésus Christ ? N’est-il pas le “ fidèle ” de Dieu ? Alors pourquoi affirmer que Jéhovah seul est fidèle ? C’est d’abord parce que la fidélité relève de l’amour. Puisque “ Dieu est amour ”, qu’il en est la personnification, qui donc pourrait manifester la fidélité plus complètement que lui. Les anges et les humains ont bien la faculté de refléter ses attributs, mais lui seul est fidèle au sens absolu. Et puis, étant “ l’Ancien des jours ”, il exerce la bonté de cœur depuis plus longtemps que n’importe laquelle de ses créatures, céleste ou terrestre. Jéhovah est donc le modèle suprême de fidélité ; aucune de ses créatures ne soutient la comparaison. - Approchez-vous de Jéhovah  p282 §7,8


    Que se passera-t-il après la destruction des fausses religions ? Ce sera le moment de révéler ce que nous avons vraiment dans le cœur. Il ne faut pas s’attendre à ce que l’interruption, le répit, qui se produira durant la grande tribulation donne lieu à un afflux de nouveaux croyants. Par contre, elle offrira à tous les vrais croyants la possibilité de prouver leur amour pour Jéhovah et de soutenir les frères du Christ. Bien que nous ne connaissions pas dans le détail tout ce qui se produira durant cette période d’épreuve, attendons-nous à devoir faire des sacrifices. Pour rester en vie, les chrétiens du Ier siècle ont dû abandonner leurs biens et endurer des privations. Serons-nous disposés à subir des pertes matérielles pour rester fidèles ? Serons-nous prêts à faire tout ce qu’il faudra pour prouver notre fidélité à Jéhovah ? Songe un peu : Comme le prophète Daniel en son temps, nous serons les seuls, en ces jours-là, à continuer d’adorer Dieu, coûte que coûte. Ce ne sera pas le moment de prêcher la « bonne nouvelle du royaume ». Ce temps-là sera révolu. L’époque de « la fin » sera arrivée.

    Les serviteurs de Dieu proclameront sans aucun doute un message de jugement percutant. Celui-ci pourrait bien comporter une déclaration annonçant que la fin complète du monde de Satan est imminente. La Bible compare ce message à une grêle. On lit : « Une grande grêle, dont chaque grêlon pesait environ un talent, est descendue du ciel sur les hommes, et les hommes ont blasphémé Dieu à cause de la plaie de la grêle, parce que grande était sa plaie, extraordinairement » (Rév. 16:21).  TG2015 15/7 p16


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Rév.13:1-4, 18. “ Une bête sauvage ” symbolisant les gouvernements humains monte “ de la mer ”, c’est-à-dire des masses agitées de l’humanité. Cette bête, que Satan a créée et dotée de pouvoir, porte le nombre 666, ce qui souligne son degré élevé d’imperfection. Sachant ce que représente cette bête, nous ne la suivons pas avec admiration ni ne l’adorons, contrairement à ce que font les humains en général. – TG2009  15/2 p4

    Rév.13:8 — Qu’est-ce que “ le rouleau de vie de l’Agneau ” ? Il s’agit d’un rouleau symbolique où ne sont inscrits que les noms de ceux qui sont appelés à régner avec Jésus Christ dans son Royaume céleste, y compris les noms des chrétiens oints qui sont encore sur la terre. Les premiers noms qui y ont été inscrits l’ont été à la Pentecôte de l’an 33. Par la suite, un nombre sans cesse croissant de noms y a été ajouté. Depuis 1918, l’œuvre consistant à sceller le reste des 144 000 héritiers du Royaume est entrée dans sa phase finale. Bientôt, tous auront leur nom écrit de façon indélébile dans le rouleau de vie de l’Agneau.– TG2009  15/2 p3

    Adorer la “ bête sauvage ” et son “ image ”, leur rendre hommage ou s’incliner devant elles revient à les servir, car leurs adorateurs s’identifient à des partisans de “ la bête sauvage ” et de son “ image ” par une marque sur la main (avec laquelle on sert) ou sur le front (visible de tous). Puisque c’est le Diable qui donne à la bête sauvage son pouvoir, adorer la bête sauvage signifie en réalité adorer ou servir le Diable. — Ré 13:4, 15-17 - it-1 p574

    13:11-13 — En quel sens la bête sauvage à deux cornes agit-elle comme un dragon et fait-elle descendre du feu du ciel ? Le fait que la bête sauvage à deux cornes, identifiée à la Puissance mondiale anglo-américaine, parle comme un dragon signifie qu’elle recourt aux menaces, aux pressions et à la violence pour forcer les gens à accepter son type de domination. Elle fait descendre du feu du ciel en ce sens qu’elle s’attribue le rôle d’un prophète en prétendant qu’elle a vaincu les forces du mal au cours des deux guerres mondiales du XXe siècle et qu’elle l’a emporté sur le communisme. – TG2009  15/2

    La virginité spirituelle. Tout comme le grand prêtre en Israël ne pouvait épouser qu’une vierge, de même le Grand Prêtre souverain, Jésus Christ, ne peut avoir au ciel qu’une “ vierge ” pour “ épouse ” spirituelle. L’épouse de Christ se compose de 144 000 personnes ointes de l’esprit, qui, individuellement, préservent leur ‘ virginité ’ en se tenant séparées du monde et en se gardant pures sur les plans moral et doctrinal. — Ré 14:1, 4 – it-1 p1153

    En raison de toute la propagande satanique faite dans le monde, les paroles que Jean met maintenant par écrit sont vraiment appropriées : “ Écoute ! Je viens comme un voleur. Heureux celui qui reste éveillé et garde ses vêtements de dessus, pour qu’il ne marche pas nu et qu’on regarde sa honte. ” (Révélation 16:15). Qui vient “ comme un voleur ” ? Jésus lui-même, qui arrive à une heure non précisée en qualité d’Exécuteur au service de Jéhovah. Lorsqu’il était encore sur la terre, Jésus a également comparé sa venue à celle d’un voleur, en disant : “ Veillez donc, parce que vous ne savez pas quel jour votre Seigneur vient. Voilà pourquoi, vous aussi, montrez-vous prêts, car c’est à une heure que vous ne pensez pas que le Fils de l’homme vient. ” (Matthieu 24:42, 44 ; Luc 12:37, 40). Faisant écho à cet avertissement, l’apôtre Paul a dit : “ Le jour de Jéhovah vient exactement comme un voleur dans la nuit. Quand ils diront : ‘ Paix et sécurité ! ’ alors une destruction subite sera sur eux à l’instant même. ” “ Paix et sécurité ! ” : toute proclamation de ce genre est trompeuse ; elle émane de Satan. – re chap32 §27

    En Révélation 16:15, Jésus nous avertit qu’une chose similaire peut arriver de nos jours. Les prêtres et les Lévites préfiguraient les frères oints de Jésus. Mais, par extension, la mise en garde de Jésus concerne aussi la grande foule. Les vêtements de dessus en question identifient ceux qui les portent à des chrétiens Témoins de Jéhovah. S’ils laissaient les pressions que le monde de Satan exerce sur eux les faire sombrer dans le sommeil, ou l’inactivité, ils perdraient probablement ces vêtements de dessus ; en d’autres termes, ils cesseraient d’être identifiés à des chrétiens purs. Cette situation les couvrirait de honte. Ils risqueraient d’aller à un échec complet. - re chap32 §30

    “ Et elles [les paroles inspirées par les démons] les ont rassemblés [les rois ou dirigeants humains] au lieu qu’on appelle en hébreu Armaguédon. ” (Révélation 16:16). Ce nom n’apparaît qu’une seule fois dans la Bible, mais il a enflammé l’imagination des hommes. Les dirigeants du monde mettent les hommes en garde contre l’éventualité d’un Armaguédon nucléaire. Le terme Armaguédon étant également associé à la ville antique de Meguiddo, qui fut le théâtre de nombreuses batailles décisives aux temps bibliques, des chefs religieux en ont déduit que la guerre ultime qui sera livrée sur la terre aura lieu dans cette petite région du globe. Ils sont en cela fort éloignés de la vérité.

    Ce nom ne désigne toutefois pas un lieu réel, mais représente la situation dans laquelle toutes les nations en opposition avec Jéhovah Dieu sont rassemblées et seront finalement détruites par lui. Il s’agit d’une situation mondiale - re chap32 §31,32

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    Elisabeth Dolewka got a reaction from Avrek in Un guide pour utiliser nos tracts dans le ministère   
    merci

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    Elisabeth Dolewka reacted to The Librarian in Torture of Jehovah’s Witnesses in Surgut   
    @Witness @Srecko Sostar  I am an admin on here. Please don't use my news posts as launching pads for your own topic discussions.
    Be men enough to be able to start your own engaging content.
    Example 1 - 
    Example 2 -
    Learn to start NEW TOPICS! 
    What is this post about???  People being TORTURED in RUSSIA. 
    Have at least a little common decency??
    SMH.
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    Elisabeth Dolewka reacted to misette in RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 18 FEVRIER 2019 - ROMAINS 7-8   
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Romains 7-8

    Romains 8:6 : Quelle différence y a-t-il entre « fixer sa pensée sur la chair » et « fixer sa pensée sur l’esprit » ? (w17.06 3)

    « En effet, fixer sa pensée sur la chair mène à la mort, mais fixer sa pensée sur l’esprit mène à la vie et à la paix »

    Celui qui pense à la chair se concentre sur ses désirs et ses penchants imparfaits ; il parle constamment des choses de la chair et s’en délecte. Celui qui pense à l’esprit donne la priorité aux choses qui sont en accord avec Dieu et ses pensées ; il se laisse diriger par l’esprit saint. « Penser à la chair » conduit à la mort ; « penser à l’esprit » conduit à la vie et à la paix – w17 06

    Avant d’effectuer une action, bonne ou mauvaise, nous y avons forcément pensé. Celui qui fixe constamment son attention sur les choses de la chair ne tarde pas à développer une attitude mentale axée uniquement sur elles. Celles-ci finissent en général par avoir entièrement prise sur ses opinions, ses centres d’intérêt et ce qu’il affectionne.

    “ Penser à la chair [...] signifie la mort ” — spirituelle aujourd’hui et physique dans un proche avenir. Pourquoi ? “ Parce que penser à la chair signifie inimitié contre Dieu, car elle n’est pas soumise à la loi de Dieu, et même, elle ne peut pas l’être. Ceux donc qui vivent selon la chair ne peuvent plaire à Dieu. ”

    “ Penser à l’esprit signifie vie ”, la vie éternelle dans l’avenir, “ et paix ”, la paix intérieure et la paix avec Dieu dès aujourd’hui. Dans la pratique, qu’implique “ penser à l’esprit ” ? Fixer constamment son attention sur les choses de l’esprit de manière à développer une attitude mentale axée sur elles. Notre façon de penser est alors “ soumise à la loi de Dieu ” et s’harmonise avec la sienne. Ainsi, lorsque se présente une tentation, nous n’avons aucun doute quant à la conduite à adopter. Nous sommes poussés vers le bon choix, un choix guidé par l’esprit de Dieu.

    Il est donc essentiel de fixer nos pensées sur les choses de l’esprit. Pour y parvenir, ‘ mobilisons nos facultés mentales pour l’action ’, mettons au centre de notre vie des activités spirituelles régulières, comme la prière, la lecture et l’étude de la Bible, les réunions et la prédication

    Ne permettons pas aux choses de la chair d’être une source de distraction. En pensant aux choses de l’esprit, nous continuerons à marcher selon l’esprit. Cela nous vaudra des bénédictions, car penser à l’esprit signifie vie et paix  - TG2011 15/11 p14 §15-18

    Etre une personne spirituelle n’est pas une simple question de convenance personnelle ou de tendance naturelle. Il s’agit en réalité d’une question de vie ou de mort. En quel sens quelqu’un de spirituel reçoit-il ‘ vie et paix ’ ? D’après la Bible, une telle personne est, dès à présent, en paix avec elle-même ainsi qu’avec Dieu et, dans l’avenir, elle recevra la vie éternelle en récompense. – TG2007  1/8 p4


    Romains 8:26, 27 : Comment Jéhovah peut-il répondre aux « gémissements qui ne sont pas exprimés » ?(w09 15/11 7 § 20).

    « Pareillement, l’esprit aussi vient à notre aide quand nous sommes faibles ; car le problème, c’est que nous ne savons pas toujours ce qu’il nous faut demander dans nos prières, mais lorsque nos gémissements ne sont pas exprimés, l’esprit lui-même intercède en notre faveur. 27 Et celui qui examine les cœurs sait quelle est l’intention de l’esprit, parce que c’est selon la volonté de Dieu qu’il intercède en faveur des saints ».

    20 Il peut nous arriver de ne pas savoir quoi dire dans nos prières personnelles. “ Le problème, explique Paul, le voici : ce pour quoi nous devons prier comme nous en avons besoin, nous ne le savons pas, mais l’esprit [saint] lui-même sollicite pour nous avec des gémissements qui n’ont pas été exprimés. Cependant, celui qui scrute les cœurs [c’est-à-dire Dieu] sait quelle est l’intention de l’esprit. ” (Rom. 8:26, 27). Jéhovah a fait consigner dans les Écritures de nombreuses prières. Il considère que ces requêtes inspirées correspondent à ce que nous aurions souhaité lui demander, et il les exauce. Dieu nous connaît intimement et il comprend les sentiments que les écrivains de la Bible ont décrits sous l’impulsion de l’esprit. Jéhovah répond à nos supplications quand l’esprit “ sollicite ”, autrement dit intercède, pour nous. Mais à mesure que notre connaissance biblique s’affine, nous trouvons plus facilement les mots pour exprimer nos requêtes. – TG2009  15/11 p7§20

    En Romains 8:26, 27, Paul explique que les serviteurs de Dieu ne savent pas toujours exactement quoi demander comme ils en ont besoin quand ils prient. Cependant, Dieu sait qu’ils désirent que sa volonté soit faite. Il sait aussi de quoi ses serviteurs ont besoin. Par le passé, Dieu a fait consigner dans sa Parole de nombreuses prières inspirées, qui expriment sa volonté ou sa pensée à leur égard. Il agrée donc ces prières inspirées comme étant ce que son peuple aimerait dire et ce pour quoi il aimerait prier, et en conséquence il les exauce. Dieu connaît les cœurs sincères et il connaît aussi la “ pensée ” des choses qu’il a fait dire à son esprit par l’intermédiaire des rédacteurs de la Bible. Il sait “ quelle est l’intention [la pensée] de l’esprit ” lorsque celui-ci “ sollicite ”, ou intercède, pour eux. - it-2 p524-525

    Nos gémissements intérieurs demeurent souvent inexprimés parce que nous ne comprenons pas totalement la situation dans laquelle nous nous trouvons ou parce que nous ne savons pas que dire à Jéhovah. C’est dans ces moments-là que l’esprit saint peut intercéder pour nous. Paul a écrit: “Le problème se pose: ce que nous devons demander dans nos prières comme il le faudrait, nous ne le savons pas, mais l’esprit lui-même sollicite pour nous par des gémissements inexprimés.” (Romains 8:26). Comment cela? La Parole de Dieu renferme des prophéties et des prières inspirées qui se rapportent à notre situation. Jéhovah les laisse en quelque sorte intercéder pour nous. Il considère que c’est ce que nous dirions si nous comprenions comment elles s’appliquent à notre cas, et il nous exauce en conséquence. – TG1991 15/12 p18 §18

    Parfois, nous avons du mal à savoir exactement quoi demander dans la prière. Dans ce cas, Dieu peut même voir les sentiments que nous n’avons pas su exprimer ; il fait appel à sa connaissance parfaite de notre situation pour répondre précisément à nos besoins (Romains 8:26, 27). Quand nous nous rendons compte que Dieu est intervenu dans notre vie, même de façon discrète, nous nous sentons attirés par lui. – TG2014  1/ 4 p4


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Nous sommes tous issus d’Adam. Que nous le voulions ou non, nous avons hérité de lui un corps imparfait, soumis au péché et à la mort. Paul décrit bien notre triste condition. « Je suis charnel, écrit-il, vendu sous le péché. Homme misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps voué à cette mort ? » Paul répond lui-même à sa question : « Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur ! » (Romains 7:14, 24, 25). – TG2015  1/3 p4


    Jéhovah est conscient du pouvoir du péché. Sa Parole présente le péché comme une force qui tient l’homme dans son étreinte mortelle. Et quelle étreinte ! Dans sa lettre aux Romains, l’apôtre Paul explique : nous sommes “ sous le péché ”, comme des soldats sont sous les ordres de leur commandant (Romains 3:9) ; le péché “ a régné ” sur les humains comme un roi (Romains 5:21) ; il “ réside ” en nous (Romains 7:17, 20) ; sa “ loi ” est constamment à l’œuvre en nous, cherchant à diriger nos actions (Romains 7:23, 25). Quelle terrible emprise le péché exerce sur notre chair déchue  Romains 7:21, 24. cl chap26 §5

    Satan veut détruire notre amitié avec Jéhovah. Il aimerait détruire notre relation avec Jéhovah, que ce soit en nous attaquant frontalement par la persécution ou sournoisement en rongeant lentement notre foi. Le découragement est une de ses tactiques sournoises les plus efficaces. C’est efficace, car cela détruit peu à peu notre amitié avec Jéhovah. Parfois Paul était découragé. Un jour il a dit qu’il était un « homme misérable ». Il pensait qu’il ne valait rien. (Romains 7:21-24) Pourtant Paul avait une belle amitié avec Jéhovah, et il faisait sans doute partie du collège central. Alors pourquoi était-il découragé ? C’était à cause de ses points faibles. Il voulait faire le bien mais ce n’était pas toujours facile. Si nous sommes découragé à cause de nos points faibles, nous serons rassuré de savoir que Paul a eu les mêmes sentiments. – TG2014  15/9 p12 §12

    L’apôtre Paul a encouragé tous les chrétiens à ne pas banaliser, ou considérer comme ordinaire, la liberté que Jéhovah nous a donnée par le moyen de son Fils, Jésus Christ. Paul était profondément malheureux et avait la conscience troublée parce qu’il était captif du péché et de la mort. Mais il a déclaré avec reconnaissance : « Grâces soient rendues à Dieu [ou : Je remercie Dieu] par Jésus Christ notre Seigneur ! » Pourquoi ? Il a expliqué à ses compagnons chrétiens : « Car la loi de l’esprit qui donne la vie en union avec Christ Jésus vous a libérés de la loi du péché et de la mort » (Rom. 7:24, 25 ; 8:2). À l’exemple de Paul, nous ne devrions jamais oublier que Jéhovah nous a libérés du péché et de la mort. Grâce à la rançon, nous pouvons servir notre Dieu avec une conscience nette et y prendre vraiment plaisir – TG2018 Avril p8 §7

    Paul s’est exclamé : « Homme misérable que je suis ! » (Rom. 7:24). Beaucoup d’entre nous se disent la même chose. Pourquoi ? Parce que même si nous désirons réellement plaire à Jéhovah, nous n’y arrivons pas toujours à cause de notre imperfection, et cela nous décourage. Mais la Bible nous assure que «ceux qui se réfugient en Jéhovah» n’ont pas à se sentir écrasés par la culpabilité – TG2017 Novembre p8 §1,2

    Romains 7:21-25. Paul savait bien comme cela peut être dur de lutter contre de mauvais désirs et des faiblesses. Mais il était sûr qu’il pouvait gagner le combat s’il priait Jéhovah pour lui demander son aide, et s’il manifestait sa foi dans le sacrifice de Jésus. Et nous ? Pouvons-nous gagner le combat contre nos faiblesses ? Oui, si comme Paul nous comptons entièrement sur la force de Jéhovah et pas sur la nôtre, et si nous avons foi en la rançon. – ws2016/9 p8 §14

    Jéhovah n’acceptera notre culte que s’il est saint, ou pur. Notre culte ne peut pas être pur si nous faisons des choses que Jéhovah déteste, comme la violence, les actes sexuels immoraux et tout ce qui a un lien avec le spiritisme (Romains  8:13). Mais si nous nous divertissons avec ces choses, cela ne plaira pas non plus à Jéhovah. Notre culte ne sera pas pur et Jéhovah ne l’acceptera pas. Cela mettra sérieusement en danger notre amitié avec lui. – lvs chap6 p75 §6

    Tous ceux qui sont fidèles à Jéhovah et à son organisation recevront des bienfaits. Les chrétiens oints seront rois avec Jésus dans le ciel. (Romains 8:16, 17) Les autres chrétiens recevront la vie sans fin dans le Paradis. Tous les adorateurs de Jéhovah ont la belle mission de parler aux gens de ces bienfaits. Si nous rendons notre amitié avec Jéhovah plus forte et si nous continuons à progresser spirituellement en avançant au rythme de l’organisation de Jéhovah, en marchant constamment à son allure, nous aussi nous pourrons recevoir des bienfaits extraordinaires. – ws2014  15/5 p21 §16

    Dieu ne manifeste pas son amour uniquement en comblant nos besoins physiques. Il nous a aussi accordé de l’honneur et de la dignité en mettant en nous des besoins spirituels et en nous donnant la capacité de les combler. Grâce à cela, les humains qui obéissent à Dieu peuvent espérer faire un jour partie de sa famille, être ses « enfants » (Romains 8:19-21).- TG2014  1/3 p3

    Romains 8:21 nous garantit que le monde nouveau viendra bel et bien. Ce verset promet que « la création elle aussi sera libérée de l’esclavage de la corruption et aura la liberté glorieuse des enfants de Dieu ». La question est de savoir si nous y serons, si nous obtiendrons la récompense – TG2016/12 p13 §4

    Quand nous rendons témoignage, nous pouvons expliquer que, sous le règne de Christ, l’humanité bénéficiera de l’application complète du sacrifice rédempteur et sera progressivement amenée à la perfection. La Bible déclare : « La création elle aussi sera libérée de l’esclavage de la corruption et aura la liberté glorieuse des enfants de Dieu » (Rom. 8:21). Cela sera possible uniquement grâce à la faveur extraordinaire de Jéhovah. – TG2016/7 p30 §18

    L’amour de Dieu pour les humains est si grand qu’il ne leur refuse pas le bien, quoi qu’il lui en coûte. Son amour est éternel. Nous pourrons toujours compter dessus. Tout humain sensible à l’amour de Jéhovah et qui se soumet avec obéissance à sa domination connaîtra un avenir merveilleux  « Je suis convaincu, a écrit Paul, que ni mort ni vie, ni anges ni gouvernements, ni choses présentes ni choses à venir, ni puissances, ni hauteur ni profondeur, ni aucune autre création ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Christ Jésus notre Seigneur » (Rom. 8:38, 39). – TG2015 15/11 p16 §15


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Satan sait que nous avons des points faibles. Parfois il profite de nos points faibles pour nous pousser à faire des choses mauvaises. Alors cela devient difficile de rester fidèles à Jéhovah. Il y a des signaux qui nous avertissent d’un danger. Par exemple, ne plus prier, ou prêcher moins, ou aller moins souvent aux réunions. C’est dangereux de penser que ce n’est pas grave. Nous risquons peu à peu de ne plus entendre ce que Jéhovah nous dit. Satan va en profiter et il va nous pousser à obéir à nos mauvais désirs. Finalement, nous risquons de faire une action mauvaise que nous ne pensions jamais faire. (Romains 7:15) Mais cela n’arrivera pas si nous faisons des changements dans notre conduite dès que nous voyons le signal d’un danger. Si nous écoutons bien la voix de Jéhovah, nous n’écouterons jamais la voix d’étrangers. – ws2014  15/8 p21 §8

    Tout le monde peut être tenté, même des adultes. En effet, la tentation peut se manifester de différentes façons. L’apôtre Paul n’était pas tout jeune quand il a écrit : « Je prends en effet plaisir à la loi de Dieu [...], mais je vois dans mes membres une autre loi qui fait la guerre contre la loi de mon intelligence et qui m’emmène captif vers la loi du péché » (Romains 7:22, 23).

    Si Paul a résisté à l’envie de céder, nous aussi nous pouvons y arriver ! Et puis, pourquoi devenir esclave de nos désirs ? (1 Corinthiens 9:27). Si nous sommes jeune et si nous apprenons dès maintenant à résister à la tentation, nous allons nous épargner bien des soucis et cela nous sera également utile quand nous serons adulte. – RV2014/10 p8

    La liberté que l’esprit de Jéhovah procure est plus qu’une libération d’un esclavage physique. L’esprit de Jéhovah libère de l’imperfection et de la mort, ainsi que du faux culte et de ses pratiques (Romains 8:2). Quelle liberté extraordinaire ! Même quelqu’un qui est en prison ou esclave peut en ressentir les bienfaits – TG2018 Avril p8 §5

    Les chrétiens oints pensent toujours au Royaume céleste de Dieu et à leur espérance d’être « cohéritiers de Christ » (Rom. 8:14-17). Et ceux qui ont une espérance terrestre ? Comment les paroles de Paul s’appliquent-elles à eux ? Comment les « autres brebis » peuvent-elles penser toujours aux « choses d’en haut » ? Bien qu’elles n’aient pas l’espérance céleste, les autres brebis aussi peuvent penser toujours aux choses d’en haut. Comment ? En accordant la priorité à Jéhovah Dieu et aux intérêts du Royaume. Notre chair imparfaite nous porte à nous adonner à des choses qui flattent nos sens (Romains 7:21-25). Sans l’action de l’esprit saint de Dieu dans notre vie, nous pourrions céder à « des œuvres des ténèbres » Pour rester vigilant spirituellement, il nous faut donc penser toujours aux choses d’en haut. Nous pouvons le faire sous trois rapports. Notre conduite, notre mentalité, notre soutien à la prédication – TG2014  15/10 p28

    Dans le monde d’aujourd’hui, le chagrin, les souffrances et la mort sont partout. Les humains gémissent, souffrent et meurent (Romains 8:22) C’est pour cela que nous avons besoin du monde nouveau de Jéhovah où la guérison physique complète promise par Dieu aura lieu. Dans ce monde-là, tous les humains auront ce que Jéhovah a promis : une santé parfaite. Notre reconnaissance sincère envers Dieu et notre foi profonde dans ses promesses devraient dès maintenant nous pousser à faire tout notre possible pour être dignes de vivre dans le monde nouveau. – TG2015  15/6 p12 §18

    Une image nette de notre récompense invisible nous aide à persévérer, à être joyeux et à prendre des décisions en fonction de notre espoir de vivre éternellement. Paul a écrit à des chrétiens oints : « Si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous continuons à l’attendre avec endurance » (Rom. 8:25). En fait, ces paroles s’appliquent à tous les chrétiens qui espèrent vivre éternellement. Bien que nous n’ayons pas encore reçu notre « récompense », notre foi est si forte que nous continuons à l’attendre patiemment. Comme Moïse, nous ne considérons aucune année passée à servir Jéhovah comme du temps perdu. TG2014  15/4 p3

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    Elisabeth Dolewka reacted to jpl in Petits documents théocratiques   
    Voici une compilation des suggestions de conversation pour 2018 et 2019 (Janvier à Mai 2019)
     
    Suggestions de conversations_5_2019.pdf
    Suggestions de conversations_12_2018.pdf
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    Elisabeth Dolewka reacted to misette in RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 11 FEVRIER 2019 - ROMAINS 4-6   
    RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 11 FEVRIER 2019 - ROMAINS 4-6.docx
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Romains 4-6

    Romains 6:3-5 : Que signifie être baptisé « dans Christ Jésus » et « dans sa mort » ? (w08 15/6 29 § 7).

    « ou bien ne savez-vous pas que nous tous qui avons été baptisés dans Christ Jésus, nous avons été baptisés dans sa mort ? 4 Nous avons donc été enterrés avec lui par notre baptême dans sa mort, afin que, de même que Christ a été ressuscité par la gloire du Père, nous aussi nous menions une vie nouvelle. 5 Si nous nous sommes unis à lui dans la ressemblance de sa mort, à coup sûr nous serons aussi unis à lui dans la ressemblance de sa résurrection »

    Quand Jéhovah oint des disciples de Christ avec l’esprit saint, ceux-ci sont unis à Jésus et deviennent des membres de la congrégation, qui est le corps de Christ, dont lui-même est la Tête (1 Cor. 12:12, 13, 27 ; Col. 1:18). C’est leur baptême dans Christ Jésus. Les chrétiens oints sont aussi “ baptisés dans [l]a mort ” de Christ en ce sens que leur vie constitue un sacrifice et qu’ils renoncent à tout espoir de vie éternelle sur la terre. Leur mort a donc un caractère sacrificiel, comme celle de Jésus, même si elle n’a pas de valeur rédemptrice. Ce baptême dans la mort de Christ s’achève quand ils meurent et qu’ils sont ressuscités pour la vie au ciel. - w08 15/6 29 § 7

    Romains 6:3, qui dit : “ Ne savez-vous pas que nous tous qui avons été baptisés dans Christ Jésus, nous avons été baptisés dans sa mort ? ” Ce verset ne laisse aucun doute : il n’est pas question d’un baptême auquel un chrétien se soumet en faveur de quelqu’un qui est déjà mort, mais plutôt de quelque chose qui a une incidence sur son propre avenir.

    C’est Jéhovah Dieu qui se charge de donner ce baptême dans Christ Jésus ainsi que le baptême dans sa mort. Il oignit Jésus, ce qui fit de lui le Christ ou Oint. Ainsi, Dieu baptisa Jésus avec l’esprit saint afin que, par Jésus, ses disciples puissent être par la suite baptisés avec de l’esprit saint. Par conséquent, ceux qui deviennent ses cohéritiers, qui ont l’espérance céleste, doivent être “ baptisés dans Christ Jésus ”, c’est-à-dire dans Jésus Oint, qui, au moment de son onction, fut aussi engendré pour être un fils spirituel de Dieu. Ils deviennent de cette manière unis à lui, leur Chef, et deviennent membres de la congrégation qui est le corps de Christ. L’objectif des disciples chrétiens qui sont baptisés dans Christ Jésus consiste à rester intègres dans l’épreuve à partir du moment où ils sont baptisés dans Christ ; ils affrontent chaque jour la mort pour finalement mourir intègres. Le baptême de ces chrétiens oints dans la mort de Christ s’achève quand, après être morts fidèles, ils sont ressuscités créatures spirituelles pour régner avec Christ au ciel - it-1 p266-267


    Romains 6:7 : Pourquoi les ressuscités ne seront-ils pas jugés en fonction des péchés qu’ils auront commis avant leur mort ? (w14 1/6 11 § 1).

    « Car celui qui est mort a été acquitté de son péché ».

    Après leur résurrection, les injustes seront-ils jugés sur la base de leurs actions passées ? Non. Une fois morts, les injustes auront payé pour leurs péchés. Ils seront donc jugés sur la base de ce qu’ils feront après leur résurrection, et non de ce qu’ils auront fait quand ils étaient dans l’ignorance, avant de mourir. Comment pourront-ils mettre à profit leur nouvelle vie ? Les injustes ressuscités auront l’occasion de prendre connaissance des lois de Dieu, qui seront révélées à l’ouverture de rouleaux symboliques. Ils seront alors jugés « selon leurs actions », c’est-à-dire selon leur façon de réagir aux lois de Dieu (Révélation 20:12, 13). Pour bon nombre de ces injustes, ce sera, non une seconde chance, mais la première véritable occasion d’obtenir la vie éternelle sur terre en apprenant à connaître la volonté de Dieu et en l’accomplissant - w14 1/6 11 § 1

    Les ressuscités seront jugés en fonction de ce qu’ils feront pendant le jour du jugement, et non sur la base de ce qu’ils auront fait avant leur résurrection. . Des “ rouleaux ” seront ouverts, et ce sont les actions que chacun accomplira après avoir pris connaissance de ces rouleaux qui détermineront si son nom sera écrit ou pas dans “ le rouleau de vie ”.Quand une personne meurt, elle ne continue pas à payer pour ses péchés. – TG2014  1/7

    Les personnes qui sont mortes ont été acquittées — c’est-à-dire pardonnées — de leurs péchés. Après la mort, il n’y a pas d’autre punition pour les péchés. – wp2016/1 p16


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Comme Abraham, nous attendons que les promesses de Jéhovah se réalisent. Nous devons penser aux choses d’en haut. Sinon nous risquons de penser que ses promesses mettent trop de temps à se réaliser et nous prêcherons peut-être moins. Abraham a fait tout ce qu’il a pu pour Jéhovah. Et il pensait aux bienfaits que Jéhovah allait lui apporter. Il a eu foi en Jéhovah. C’est pour cela que Jéhovah a dit qu’il était son ami. (Romains 4:3) – ws2014  15/10 p22 §9

    4:9-12. La foi d’Abraham lui a été comptée comme justice bien avant qu’il n’ait été circoncis, à l’âge de 99 ans. Dieu a ainsi montré de façon magistrale à quelle condition on peut être juste à ses yeux.

    Abraham, Isaac, Jacob et tous les fidèles serviteurs de Jéhovah qui sont morts ? « Ils sont tous vivants pour lui » (Luc 20:38). Jéhovah est le Dieu des vivants. Jéhovah est tellement certain de les ressusciter qu’il les considère comme vivants (Romains 4:16, 17). Il les gardera dans sa mémoire infinie jusqu’au moment où il a prévu de les ramener à la vie. Jéhovah est infiniment plus fort que la mort. La perspective de retrouver un être cher nous attire-t-elle ? Dans ce cas, souvenons-nous que Jéhovah est infiniment plus fort que la mort. Rien ne peut l’empêcher de réaliser sa promesse.  – TG2013  1/ 2 p7

    La foi d’Abraham était étroitement liée à son espérance. “ S’appuyant [...] sur l’espérance, il eut foi, pour qu’il devienne le père de beaucoup de nations. ” (Romains 4:18). C’est là un deuxième élément qui peut nous aider. Nous ne devrions jamais oublier que Jéhovah est “ celui qui récompense ceux qui le cherchent réellement ”. Si nous croyons vraiment à l’espérance chrétienne, toute notre vie sera, comme dans le cas d’Abraham, une démonstration de notre foi. – TG1999  1/1 §9

    Quatre choses ont affermi la foi d’Abraham - Premièrement, il a démontré sa foi en Jéhovah en tenant compte de ce que Dieu lui disait. De nos jours, Jéhovah nous parle à travers la Bible, sa Parole inspirée Deuxièmement, sa foi était étroitement liée à son espérance (Romains 4:18). Nous ne devrions jamais oublier que Jéhovah est “ celui qui récompense ceux qui le cherchent réellement. Troisièmement, Abraham parlait souvent avec Jéhovah. Nous aussi nous pouvons parler avec Jéhovah en utilisant le don qu’est la prière par l’intermédiaire de Jésus Christ. Quatrièmement, Jéhovah soutenait Abraham quand ce dernier se laissait guider par Lui. Ces mêmes choses peuvent fortifier notre foi aujourd’hui. – TG1999  1/1

    Paul a parlé d’Abraham, d’un homme de foi qui a vécu avant que Jéhovah ne donne la Loi à Israël et bien avant que Jésus ne meure pour nos péchés. Jéhovah a pourtant noté la foi remarquable d’Abraham et il l’a considéré comme juste (Romains 4:20-22). Pareillement aujourd’hui, Jéhovah peut considérer comme justes les chrétiens qui manifestent la foi et nourrissent l’espérance de vivre éternellement sur la terre. – TG2016/12 p13 §3

    Les humbles ne peuvent connaître Jéhovah et devenir ses intimes que par l’intermédiaire de Jésus. C’est seulement grâce à Jésus que Jéhovah permet aux gens modestes d’être ses amis. Les humains étaient tous esclaves du péché. Comment les Écritures soulignent-elles cette vérité ? Paul a écrit : « Dieu nous recommande son propre amour en ce que — alors que nous étions encore pécheurs — Christ est mort pour nous » (Rom. 5:6-8). Jéhovah a fourni le sacrifice rédempteur de Jésus, non parce que les humains en sont dignes, mais parce qu’il les aime. – ws2014  15/8 p15 §9

    Dieu nous a « aimés le premier ». Comment ? L’apôtre Paul répond : « Dieu nous recommande son propre amour en ce que — alors que nous étions encore pécheurs — Christ est mort pour nous » (Rom. 5:8). Par ce sacrifice remarquable, le sacrifice de son propre fils comme rançon en faveur des humains croyants, Jéhovah a démontré la véritable nature de l’amour. L’amour s’exprime en donnant et en agissant de manière désintéressée, ou avec abnégation. Grâce à cet acte extrêmement généreux, nous avons la possibilité d’aller vers Dieu pour bénéficier de son amour et, en retour, de lui montrer le nôtre TG2015 15/9 p23§2

    La réconciliation rendue possible. Le péché crée une séparation entre Dieu et l’homme, car Jéhovah condamne le péché. Pour que le fossé entre l’homme et son Créateur puisse être comblé, il fallait donc que le péché soit réellement couvert. Mais Jéhovah Dieu a rendu possible la réconciliation entre lui et les humains pécheurs grâce à l’homme parfait Jésus Christ. Ainsi, l’apôtre Paul écrivit : “ Nous nous glorifions aussi en Dieu par notre Seigneur Jésus Christ, grâce à qui nous avons maintenant reçu la réconciliation. ” (Romains 5:11). Pour obtenir la faveur de Jéhovah, il faut accepter la réconciliation que Dieu offre par l’intermédiaire de Jésus Christ. Ce n’est que par ce moyen qu’il est possible d’accéder à la condition qui fut celle d’Adam avant qu’il ne pèche. Dieu révéla tout son amour en rendant cette réconciliation possible. Romains 5:6-10. - it-2 p679

    Pourquoi Jéhovah peut traiter avec des humains imparfaits. Les normes de justice de Jéhovah lui permirent d’agir différemment avec les enfants d’Adam et Ève qu’avec Adam et Ève eux-mêmes. Pourquoi cela ? Ayant hérité du péché, c’est involontairement qu’ils viennent au monde créatures imparfaites, naturellement enclines au mal (Romains 5:12). Jéhovah avait donc une raison d’être miséricordieux envers eux - it-1 p1263

    Comment pouvons-nous « saisir fermement la vie véritable » ? Nous devons mettre en pratique ce que nous apprenons dans la Bible. Mais ce n’est pas grâce à nos efforts que nous obtiendrons la vie véritable. Nous ne pouvons pas gagner la vie éternelle. C’est un cadeau de Jéhovah, une « faveur imméritée » (Romains 5:15). Notre Père céleste veut vraiment offrir ce cadeau à ses serviteurs. – bhs chap19 §22

    C’est Jéhovah qui nous a donné un corps et la vie. Nous devons donc les utiliser comme il le veut. Nous devons prendre soin de notre corps. Sinon, aux yeux de Dieu, nous serons impurs (Romains 6:19). Nous ne pouvons pas adorer Jéhovah, qui nous a donné la vie, si, pour nous, la vie n’est pas précieuse. Ce sera peut-être très difficile d’abandonner de mauvaises habitudes. Mais si, parce que nous respectons la vie, nous faisons des efforts pour y arriver, Jéhovah nous aidera. – bhs chap13 §7


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Qu’est-ce qui a aidé Abraham et Sara à rester fidèle à Jéhovah et à conserver leur joie ? Dans ses vieux jours, Abraham, qui croyait aux promesses divines, « devint puissant par sa foi » (Rom. 4:19, 20). Nous aussi, nous devons avoir une foi forte. Une telle foi ne dépend pas de notre âge, de nos aptitudes ou de notre situation. Nous renforçons notre foi en priant, en examinant la Parole de Dieu et en assistant aux réunions chrétiennes. – TG2015  15/7  p12

    Quand nous prêchons, nous ressentons une paix durable parce que nous savons que nous faisons plaisir à Jéhovah et à Jésus, et cette paix nous aide à faire preuve d’endurance dans la prédication (Rom. 5:3, 4) – TG2018 P Mai p17 §15

    Pour contrebalancer le péché d’Adam, il fallait que Jésus meure, non en enfant parfait, mais en homme parfait. N’oublions pas en effet qu’Adam avait péché volontairement, totalement conscient de la gravité et des conséquences de son acte. Pour que Jésus devienne “ le dernier Adam ” et couvre ce péché, il était nécessaire que sa fidélité à Jéhovah soit le fruit d’une décision mûre et consciente. L’ensemble de sa vie fidèle, achevée par sa mort sacrificielle, a ainsi constitué “ un seul acte de justification ”. Romains 5:18, 19. – cl p145

    En quel sens Jésus est-il “ celui qui seul a l’immortalité ” ? - Le premier dont la Bible dit qu’il a reçu le don de l’immortalité est Jésus Christ. Les paroles inspirées de l’apôtre Paul en Romains 6:9 révèlent que Jésus ne possédait pas l’immortalité avant d’être ressuscité par Dieu. On lit : “ Christ, maintenant qu’il a été relevé d’entre les morts, ne meurt plus ; la mort ne domine plus sur lui. ”C’est pourquoi, lorsque 1 Timothée 6:15, 16 présente Jésus comme “ le Roi de ceux qui règnent et le Seigneur de ceux qui dominent ”, cela signifie qu’il se distingue de tous les autres rois et seigneurs en ce qu’il est “ celui qui seul a l’immortalité ”. En effet, les autres rois et seigneurs meurent puisqu’ils sont mortels, comme moururent aussi les grands prêtres d’Israël. En revanche, Jésus glorifié, établi par Dieu Grand Prêtre à la manière de Melkisédeck, a “ une vie indestructible ”. Hé 7:15-17, 23-25. Ici, le mot “ indestructible ” traduit le terme grec akatalutos, qui signifie littéralement “ indissoluble ” La vie immortelle que Jésus reçut à sa résurrection n’est pas seulement une vie sans fin : elle est à l’abri de toute détérioration ou dissolution, à l’abri de toute destruction - it-1 p1175

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    Elisabeth Dolewka reacted to misette in RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 4 FEVRIER 2019 - ROMAINS 1-3   
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : Romains 1-3

    Romains 3:4 : De quelles façons Dieu peut-il être « reconnu véridique » ? (w08 15/6 30 § 5).

    « Bien sûr que non ! Mais que Dieu soit reconnu véridique, même si tout homme est reconnu menteur, comme c’est écrit : « Pour que tu te révèles juste dans tes paroles et que tu l’emportes lorsqu’on te juge. »

    Quand la parole de l’homme est en contradiction avec ce que Dieu dit dans sa Parole, nous sommes convaincus “ que Dieu sera trouvé véridique ”. Nous nous fions donc au message de la Bible et nous agissons en harmonie avec la volonté de Dieu. En participant avec zèle à l’œuvre consistant à prêcher le Royaume et à faire des disciples, nous pouvons aider autrui à constater que Dieu est véridique. - w08 15/6 30 § 5

    Jéhovah est fidèle dans toutes ses manières d’agir. Ses promesses sont certaines, car il ne peut mentir. Il juge selon la vérité, c’est-à-dire selon ce que les choses sont réellement, et non en se fiant aux apparences.

    L’honneur de Dieu est lié à sa parole. Il ne peut donc la laisser irréalisée, car cela signifierait alors qu’il n’est pas tout-puissant, qu’il n’est pas véridique et qu’il n’est pas le “Dieu de vérité”. À notre époque, sa parole n’est pas retournée à lui sans résultats quand vint le moment de libérer le reste des Israélites spirituels de la domination de Babylone la Grande et de le rétablir dans sa faveur et à son service sur la terre à partir de 1919. – livre Détresse (sl) chap7 §16

    Jéhovah est “ abondant [...] en vérité ”. (Exode 34:6.). Il ne trompe jamais ses fidèles. Le nom même de Jéhovah atteste de sa véracité. Ce nom signifie “ Il fait devenir ”. Il présente Jéhovah comme le Dieu qui devient Celui qui réalise progressivement toutes ses promesses. Personne d’autre n’a cette capacité. Puisqu’il est le Suprême, rien ne peut contrecarrer l’accomplissement de ses desseins. Non seulement il est véridique, mais lui seul a le pouvoir et la sagesse nécessaires pour faire se réaliser toutes ses paroles. Jéhovah est le Dieu de vérité. Il détient la vérité sur tout. Étant véridique dans toutes ses voies, Jéhovah attend de ses adorateurs qu’ils soient eux aussi véridiques. Quiconque souhaite être l’ami de Jéhovah doit exprimer la vérité “ dans son cœur ”, et pas simplement avec ses lèvres. Les vrais amis de Dieu doivent avoir le cœur sincère et faire preuve d’une “ foi sans hypocrisie ”, car les actes de véracité viennent du cœur. – TG2003  1/8


    Romains 3:24, 25 : Comment « la rançon payée par Christ Jésus » pouvait-elle, avant d’avoir été payée, couvrir « les péchés qui s’étaient produits dans le passé » ? (w08 15/6 29 § 6).

    « et c’est comme don gratuit qu’ils sont déclarés justes par sa faveur imméritée, en raison de la libération par la rançon payée par Christ Jésus.  Dieu l’a présenté comme offrande de réconciliation, réconciliation rendue possible grâce à la foi en son sang. C’était pour manifester sa propre justice, parce que Dieu dans son indulgence pardonnait les péchés qui s’étaient produits dans le passé »

    La première prophétie messianique, consignée en Genèse 3:15, s’est réalisée en 33 de n. è. quand Jésus a été mis à mort sur un poteau de supplice (Gal. 3:13, 16). Toutefois, à l’instant où Jéhovah a prononcé cette prophétie, de son point de vue, le prix de la rançon était pour ainsi dire déjà payé, car rien ne peut empêcher Dieu de réaliser ce qu’il décide de faire. Par conséquent, sur la base du sacrifice à venir de Jésus Christ, Jéhovah a pu pardonner les péchés des descendants d’Adam qui exerçaient la foi dans cette promesse. La rançon rend également possible la résurrection de ces humains des temps préchrétiens - w08 15/6 29 § 6

    Pour compenser la perte de la vie humaine parfaite, il fallait offrir, ou sacrifier, une vie d’égale valeur à celle d’Adam : une vie humaine parfaite. Aucun descendant imparfait d’Adam ne pouvait payer un tel prix. Seul Jésus le pouvait. En donnant sa vie, Jésus a payé la rançon qui permettrait de délivrer l’humanité de l’esclavage du péché. Il a ainsi offert aux descendants du premier couple humain la possibilité de goûter la même vie parfaite que ce couple avait connue. – TG2014  1/3

    Jéhovah a fait en sorte que même les humains, ayant vécu avant Christ, bénéficient de la rançon. À ses yeux, dès l’instant où il a annoncé la venue d’un Sauveur pour l’humanité, la rançon était pour ainsi dire payée, car il sait que son dessein ne peut échouer. Des siècles plus tard, l’apôtre Paul a exprimé sa gratitude envers Dieu pour « la libération par la rançon payée par Christ Jésus ». Il a ajouté que Dieu « pardonnait les péchés qui s’étaient produits dans le passé pendant qu’il usait de patience » (Rom. 3:21-26). Ainsi, sans le sacrifice de Jésus, aucun humain ne pourrait être proche de Dieu. - TG2014  15/8 §8

    Après la rébellion d’Adam et Ève, Jéhovah a révélé son intention de produire une Semence qui serait meurtrie au talon (Genèse 3:15). Cette prophétie s’est réalisée lorsque les ennemis de Dieu ont mis à mort Jésus Christ sur un poteau de supplice. Rien ne peut empêcher le Dieu Tout-Puissant, Jéhovah, de réaliser ce qu’il souhaite. C’est pourquoi, à peine l’homme était-il tombé dans le péché que Dieu, par anticipation, considérait la rançon comme déjà payée ; il pouvait dès lors entretenir des relations avec ceux qui exerçaient la foi dans l’accomplissement de ses promesses. C’est ce qui a permis à des descendants d’Adam, eux aussi pécheurs, tels que Hénok, Noé et Abraham, de marcher avec lui et d’être ses amis, sans pour autant nuire à sa sainteté.

    L’aspect le plus remarquable de la rançon ne réside pas dans ce qu’elle nous apporte, mais dans ce qu’elle révèle sur Jéhovah : elle montre qu’il est un Dieu d’une justice parfaite qui peut entretenir des relations avec des humains pécheurs tout en demeurant pur et saint. S’il ne s’était pas proposé de fournir la rançon, aucun descendant d’Adam, pas même Hénok, Noé ou Abraham, n’aurait pu marcher avec Jéhovah ni être son ami. . N’avons-nous pas toutes les raisons d’être reconnaissants à Jéhovah d’avoir envoyé son Fils bien-aimé sur la terre, et à Jésus d’avoir offert sa vie en rançon pour nous ? – TG2005  1/11


    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    L’apôtre Paul a mentionné un aspect primordial de notre service sacré quand il a écrit : “ Dieu, à qui j’offre un service sacré avec mon esprit pour ce qui est de la bonne nouvelle concernant son Fils, m’est témoin que sans cesse je fais toujours mention de vous dans mes prières. ” (Romains 1:9). La prédication de la bonne nouvelle n’est donc pas seulement un service public accompli en faveur de ceux qui l’entendent, mais aussi un acte d’adoration envers Jéhovah Dieu. Qu’on nous écoute ou pas, cette œuvre est un service sacré offert à Jéhovah. Les efforts que nous faisons pour parler à nos semblables des qualités et des desseins bienveillants de notre cher Père céleste nous procurent assurément beaucoup de joie – TG2000 p15/11  12 §12
    Manifestations et causes de la colère. Dieu manifeste sa colère directement ou indirectement. Pour l’exprimer, il peut se servir de ses lois qui régissent les choses naturelles, ou bien de personnes comme instruments. Ceux qui violent ses lois morales s’exposent à sa colère et reçoivent en eux-mêmes “ le plein salaire que méritait leur égarement ”. Ils connaissent une mentalité désapprouvée, la déchéance, la maladie, la querelle et la mort (Romains 1:18, 24, 27-32). Jésus Christ est le principal exécuteur de la colère de Dieu ; il manifestera complètement la colère divine pour la déverser sur les méchants - it-1 p494

    Le témoignage de la création. Les œuvres de création attestent que Dieu existe. Mais, selon Paul, même certaines personnes qui ont “ connu Dieu ” ont caché cette vérité. Au lieu de servir Dieu conformément à la vérité concernant son dessein éternel et sa Divinité, elles se sont fait des idoles et les ont adorées. N’étant pas des dieux réels, les idoles sont un mensonge (Jr 10:14). Venant des Israélites, le culte de ces “ dieux de la nature ” était de l’apostasie : ils étouffaient la vérité au profit d’un mensonge, comportement opposé à toute raison qui consiste à adorer la création plutôt que Celui qui l’a créée. Par conséquent, ces personnes, bien qu’ayant la vérité de Dieu, l’ont troquée “ contre le mensonge et [...] ont vénéré la création — lui offrant un service sacré — plutôt que Celui qui a créé ”. En se tournant vers le mensonge de l’idolâtrie, elles sont tombées dans toutes sortes de pratiques dépravées. Romains 1:18-31. - it-2 p1135

    Quand nous voyons le monde impur dans lequel nous vivons, nous ne pouvons que nous exclamer: C’est exactement comme aux jours de Noé, ou comme au temps de Sodome et de Gomorrhe! Nos contemporains ressemblent vraiment aux Cananéens dépravés et aux Israélites qui retombaient continuellement dans le péché! Alors que le monde s’enfonce toujours plus dans le bourbier de l’immoralité, nous pouvons nous rappeler l’avertissement suivant de l’apôtre Paul: “Ceux qui pratiquent de telles choses méritent la mort.” (Rom. 1:18, 26-32). Non, le Dieu d’amour ne tolérera pas plus longtemps l’incroyable méchanceté du présent système de choses. Il va bel et bien détruire ceux qui souillent la terre, sa propriété – TG1981  15/4 p8 §12

    Jéhovah ne bénit pas l’actuel système de choses méchant. Paul a déclaré que “ la colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété ”. (Rom. 1:18-20.) Cette future expression de la colère de Dieu, appelée Armaguédon dans la Bible, prouvera sans conteste qu’il existe bel et bien. Il ne permettra pas que ceux qui ont rejeté sa souveraineté dominent indéfiniment la terre. La Bible avertit qu’il va prochainement passer à l’action contre eux. Ceux qui persistent à mener une vie contraire aux principes divins n’échapperont donc pas aux conséquences de leurs actes. De nos jours, la colère de Dieu ressort des messages de condamnation qui s’abattent telles des plaies sur le monde de Satan et dont nombre de nos publication se font l’écho - TG 2010  15/8 p13 §5

    La patience de Jéhovah concourt au salut - Depuis le moment où les humains ont lamentablement péché jusqu’à aujourd’hui, Jéhovah a été un Dieu patient. Avant le déluge, sa patience a permis qu’un avertissement suffisant soit lancé et qu’un moyen de salut soit construit. Mais sa patience a atteint ses limites, et le déluge est venu. Pareillement de nos jours, Jéhovah déploie une grande patience ; elle s’exerce d’ailleurs plus longtemps que certains ne l’imaginaient. Mais ce n’est pas une raison pour abandonner. Cela reviendrait à critiquer la patience divine. Paul a demandé en effet : “ Méprises-tu la richesse de sa bonté, de sa patience et de sa longanimité, parce que tu ne sais pas que la bonté de Dieu veut te conduire à la repentance ? ” — Romains 2:4. Si nous imitons son amour et sa patience, nous continuerons avec longanimité de prêcher la bonne nouvelle du Royaume de Dieu et d’enseigner autrui à se soumettre au Royaume. Arrêter de prêcher reviendrait à vouloir mettre un terme à la patience de Jéhovah et à ne pas admettre son dessein, qui est de conduire les gens à la repentance. Quand nous réfléchissons à la patience que Jéhovah nous manifeste, cela nous encourage à être plus patients avec les autres. Aucun de nous ne peut savoir dans quelle mesure nous avons encore besoin de la patience de Dieu pour obtenir son approbation et le salut. Aussi, ne considérons pas avec impatience la manière dont Jéhovah règle les choses. – TG2001 1/11 p13 §17-19

    Dans la congrégation chrétienne primitive, Juifs et non-Juifs étaient égaux. “ Gloire, honneur et paix pour tout homme qui fait ce qui est bon, a expliqué Paul, pour le Juif d’abord et aussi pour le Grec. Car il n’y a pas de partialité chez Dieu. ” (Romains 2:10, 11). Ce n’était pas leur origine ethnique qui déterminait si des personnes bénéficiaient ou non de la faveur imméritée de Jéhovah, mais leur réaction lorsqu’elles apprenaient à le connaître et découvraient quelles perspectives la rançon offerte par son Fils, Jésus, leur ouvrait. Jéhovah accorde la louange en toute impartialité. Et nous ? – TG2003  15/6  p14 §11

    Dieu veut que nous comprenions ses normes de justice et qu’elles nous soient profitables, c’est pourquoi il nous a dotés d’une conscience. La Bible parle de la conscience comme d’une loi écrite dans notre cœur qui « témoigne » pour dire si ce que nous faisons est bien ou mal (Romains 2:15). Qu’est-ce que cela nous apporte ? Quand notre conscience est éduquée selon les normes de Dieu, elle peut nous retenir de commettre des actions mauvaises ou nuisibles. Et si nous faisons une erreur, elle peut nous pousser à nous repentir et à rectifier notre conduite. Assurément, bien comprendre les normes de justice de Dieu nous est profitable et nous rapproche de lui – TG2019 publique n°1

    PARDONNÉS GRÂCE À LA FAVEUR IMMÉRITÉE - Au chapitre 3, nous lisons : « Tous [...] ont péché [...], et c’est comme don gratuit qu’ils sont déclarés justes par sa faveur imméritée, en raison de la libération par la rançon payée par Christ Jésus » (Rom. 3:23, 24). Qu’entendait Paul par « faveur imméritée » ? Il a utilisé un mot grec qui, selon un ouvrage de référence, désigne « la faveur divine, [...] un bienfait conféré généreusement sans espoir ou attente de retour ». Elle n’est ni gagnée ni méritée. Jéhovah n’était pas obligé d’envoyer son Fils sur la terre pour fournir la rançon. De plus, étant imparfaits et pécheurs, les humains ne méritaient pas ce que Dieu et Jésus ont fait en donnant une rançon permettant le pardon. Recevoir le pardon et la perspective de vivre éternellement est donc véritablement une faveur qui est imméritée. Nous devons attacher une grande valeur au don de la faveur imméritée de Dieu et le laisser influencer notre vie chaque jour. – TG2016/12 §4,7

    L’apôtre Paul écrivit ces mots à la congrégation de Rome qui comptait des chrétiens juifs et non juifs : “Dieu est-il le Dieu des Juifs seulement? Ne l’est-il pas aussi des gens des nations? Oui, aussi des gens des nations, si vraiment Dieu est un seul qui déclarera justes les circoncis par suite de la foi et justes les incirconcis grâce à leur foi.” — Rom. 3:29, 30. Dieu a donc en vue pour notre temps non pas un gouvernement national, mais un gouvernement universel pour des gens de toutes nationalités. L’alliance que Jéhovah avait conclue avec Abraham, quelque 2 000 ans avant l’époque de Paul, avait promis des bénédictions pour les gens de toutes les nations, ce qui montrait que Dieu s’intéresse à toute l’humanité  – TG1978  1/6  p17
    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    La Parole écrite de Dieu est appelée “ les saintes Écritures ”, ou les “ écrits sacrés ”. Elle fut rédigée sous l’influence de l’esprit saint, et elle a le pouvoir de sanctifier, autrement dit de rendre saints, ceux qui obéissent à ses commandements.  -     Romains 1:2 - it-2 p861

    Par amour pour ses frères de Rome, Paul a écrit : “ Je désire ardemment vous voir pour vous communiquer quelque don spirituel, afin que vous soyez affermis ; ou plutôt pour qu’il y ait un échange d’encouragements parmi vous, chacun étant encouragé grâce à la foi de l’autre, la vôtre comme la mienne. ” (Romains 1:11, 12). Paul tenait pour un don spirituel la capacité d’affermir la foi d’autrui par des paroles. Par l’échange de tels dons spirituels, ces chrétiens allaient consolider la foi l’un de l’autre et s’encourageraient mutuellement. Et cela est toujours nécessaire. Dans le système méchant qui nous entoure nous subissons tous d’une manière ou d’une autre des pressions. Un échange régulier d’encouragements peut toutefois nous aider à persévérer. Cette notion d’échange, donner et recevoir, est importante pour garder de la vigueur spirituelle. S’il est vrai que de temps à autre nous avons tous besoin de réconfort, nous avons également tous la possibilité de bâtir spirituellement autrui. – TG1998  15/2  p26-27

    À la Pentecôte, Pierre parla à ceux qui étaient venus de pays lointains, y compris à des prosélytes, en les qualifiant tous de “ frères ”. Parfois, on distinguait les chrétiens en les appelant ‘ frères ,’ des chrétiennes qu’on appelait ‘ sœurs ’, mais il était d’usage d’employer le terme “ frères ” pour saluer des groupes mixtes et de ne pas l’appliquer qu’aux hommes. Ils faisaient désormais partie d’une seule famille spirituelle, et ils étaient unis par l’amour et la foi. C’est pourquoi, dans leurs lettres aux congrégations, les apôtres appelaient souvent les autres disciples « frères »  Romains 1 :13 – TG2018/6 §8

    L’apôtre Paul se sentait personnellement tenu de communiquer la bonne nouvelle aux autres. Il a écrit : “ Je suis débiteur des Grecs et des Barbares, des sages et des insensés : il y a donc chez moi un ardent désir de vous annoncer la bonne nouvelle, à vous aussi qui êtes à Rome. ” (Rom. 1:14, 15). Par gratitude pour la miséricorde qui lui avait été manifestée, Paul se sentait tenu d’essayer d’aider les autres à bénéficier, tout comme lui, de la faveur imméritée (1 Tim. 1:12-16). C’était comme s’il avait une dette envers chaque personne qu’il rencontrait, dette qu’il ne pouvait rembourser qu’en lui annonçant la bonne nouvelle. Avez-vous le sentiment d’avoir une telle dette envers les gens de votre territoire ? – TG2008  15/7 p6 §13

    1:14, 15. L’apôtre Paul se sentait dans l’obligation de prêcher. Il savait que Jéhovah avait fait en sorte que toutes sortes d’hommes puissent être sauvés grâce au sang précieux de son Fils. Inlassablement et avec empressement, il s’est appliqué à s’acquitter de la dette qu’il avait envers ses semblables en leur annonçant la bonne nouvelle. Comme Paul, les chrétiens de notre époque s’efforcent d’annoncer la bonne nouvelle à leurs contemporains en toute occasion. La “ grande tribulation ” approchant à grands pas, il est urgent que nous recherchions les personnes bien disposées. Que l’amour sincère pour notre prochain nous incite à nous activer dans cette œuvre salvatrice. Nous avons de nombreuses raisons d’annoncer la bonne nouvelle avec zèle. L’une d’elles est que nous sommes débiteurs des humains qui ont été achetés avec le sang de Jésus et que nous sommes dans l’obligation de les aider spirituellement. – TG2008  15/6 p30

    L’usage naturel du corps. Il ne convient pas que l’homme et la femme utilisent leur corps de quelque manière qui ne soit pas en harmonie avec les fonctions pour lesquelles Dieu l’a créé. À cet égard, tout ce qui n’est pas naturel est péché. Les Écritures expliquent ce qu’est l’impureté et quelle condamnation encourent ceux qui s’y livrent : “ Voilà pourquoi Dieu les a livrés à des désirs sexuels honteux, car leurs femelles ont changé l’usage naturel de leur corps en celui contre nature ; et pareillement les mâles aussi ont laissé l’usage naturel de la femelle et se sont enflammés dans leur passion les uns pour les autres, mâles avec mâles, faisant ce qui est obscène et recevant en eux-mêmes le plein salaire que méritait leur égarement. ” De telles personnes s’abaissent au niveau de la bête (Romains 1:26, 27). Elles vont après les choses mauvaises de la chair parce que, comme les animaux, elles sont dépourvues de raison, n’ayant aucune spiritualité. – it-2 p378

    Pourquoi une partie de la Bible a-t-elle été rédigée en grec ? Selon l’apôtre Paul, “ les déclarations sacrées de Dieu ” furent confiées aux Juifs (Romains 3:1, 2). Par conséquent, la première partie de la Bible fut presque intégralement rédigée en hébreu, la langue des Juifs. Par contre, les Écritures chrétiennes furent rédigées en grec. Pourquoi ? Au IVe siècle avant notre ère, les soldats d’Alexandre le Grand parlaient différents dialectes du grec classique, qui allaient bientôt fusionner pour former la koinè ou grec commun. Les conquêtes d’Alexandre contribuèrent à faire du grec commun la langue internationale. À l’époque de ces conquêtes, les Juifs étaient très largement dispersés. Beaucoup n’étaient jamais revenus en Palestine après l’exil babylonien, qui avait pris fin des siècles auparavant. Nombre de Juifs finirent donc par ne plus comprendre l’hébreu ancestral et par parler le grec (Actes 6:1). C’est à leur intention que fut réalisée la Septante, une traduction des Écritures hébraïques en koinè.

    Le Dictionnaire de la Bible fait remarquer qu’aucune autre langue ne possédait “ la richesse, la souplesse et le caractère universel et international du grec ”. Son vocabulaire étendu et précis, sa grammaire aux ressources multiples et ses verbes capables de rendre de subtiles nuances de sens en faisaient “ une langue de communication, de circulation, de propagation, précisément la langue qu’il fallait au christianisme ”. On comprend dès lors pourquoi le grec a été choisi pour consigner par écrit le message chrétien – TG2009  1/4

  12. Thanks
    Elisabeth Dolewka reacted to Queen Esther in RUSSIA, BROTHERS & SISTERS CLEANING ONCE A YEAR, ALL THE GARDENS OF THE CITY WHERE THEY LIVE ❤   
    RUSSIA
    IT IS THE CUSTOMS OF THE RUSSIAN BROTHERS AND SISTERS TO CLEAN ONCE A YEAR, ALL THE GARDENS OF THE CITY WHERE THEY LIVE.
    For their help in cleaning up the territory, in previous years the city authorities even thanked the community of Jehovah's Witnesses.   ❤ .•*¨`*•..¸♥☼♥¸.•*¨`*•. ❤

    RUSSIA
    On the eve of his arrest in May 2017,  *Dennis Christensen*  participated in the cleansing of the traditional urban area for Jehovah's Witnesses.  Thank you,  dear Brother  DENNIS CHRISTENSEN  ❤♥☼♥❤
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    Elisabeth Dolewka reacted to Queen Esther in The absolute basics of beekeeping....   
    Enjoy our wonderful sweet animals  🐝
    Hi friends! As some as you may know, I have been beekeeping in Western Australia for the past 4 years. I started out being obsessed with raw honey and totally intrigued by bees, although at first I admit I wasn’t keen on the idea of going into a hive with a million stinging insects!
    I've been wanting to "grow" my own honey for years... 🐝 🐝 🐝
    Technically, I have bees already! They're just not living here yet...
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    http://selfsufficientsarah.com/the-absolute-basics-of-beekeeping/
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    Elisabeth Dolewka reacted to misette in RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 21 JANVIER 2019 - ACTES 25-26   
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 25-26
    Actes 26:14 : Qu’est-ce qu’un aiguillon ? (nwtsty, note d’étude ; nwt, lexique à « aiguillon »
    « Alors que nous étions tous tombés par terre, j’ai entendu une voix qui me disait en langue hébraïque : “Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? Tu te fais du mal à toujours lancer des ruades contre les aiguillons.”
    lancer des ruades contre les aiguillons : Un aiguillon est un bâton pouvant mesurer 2,50 mètres muni d’une pointe servant à faire avancer un animal (Juges 3:31 - L’aiguillon pouvait servir d’arme. Shamgar, un juge et guerrier israélite, a massacré 600 Philistins “ avec un aiguillon à bovins ”).
    L’expression « lancer des ruades contre les aiguillons » est un proverbe que l’on rencontre dans la littérature grecque. C’est une allusion à la réaction d’un taureau têtu qui résiste aux piqûres des aiguillons en donnant des coups avec ses pattes de derrière, et qui se blesse tout seul. Saul s’est comporté un peu de cette manière avant de devenir chrétien.
    En combattant les disciples de Jésus, qui avaient le soutien de Jéhovah, il risquait de se causer beaucoup de tort (cf. Ac 5: 38, 39 ; 1Tm 1:13, 14). Ec 12:11 parle d’« aiguillons » dans un sens figuré, pour désigner les paroles d’une personne sage qui encouragent quelqu’un à suivre un conseil, à prendre de bonnes décisions.
    aiguillon. Long bâton muni d’une pointe en métal, que les fermiers utilisent pour faire avancer les animaux. Dans la Bible, les paroles d’une personne sage qui encouragent quelqu’un à mettre en pratique de bons conseils sont comparées à un aiguillon. L’expression « lancer des ruades contre les aiguillons » est une allusion à la réaction d’un taureau têtu qui résiste aux piqûres des aiguillons en donnant des coups avec ses pattes de derrière, et qui se blesse tout seul (Ac 26:14 ; Jg 3:31).
    L’expression imagée “ ruer contre les aiguillons ” vient de la réaction d’un taureau têtu qui résiste aux piqûres de l’aiguillon par des ruades, ce qui le blesse. Par conséquent, cette expression dénote une opposition ou une rébellion contre une autorité légitime ou une situation à laquelle on ne peut rien changer, opposition qui occasionne des blessures. C’est exactement ainsi que Saul agissait avant de devenir chrétien, en combattant les disciples de Jésus Christ, qui bénéficiaient du soutien de Dieu it-1 Aiguillon
    Se pourrait-il que nous aussi nous soyons en train de “ ruer contre les aiguillons ” sans en avoir conscience ? La Bible compare “ les paroles des sages ” à des aiguillons qui nous poussent dans la bonne direction. Les conseils divinement inspirés de la Parole de Dieu peuvent nous stimuler et nous guider comme il faut, à condition de le leur permettre. Résister à cette stimulation ne peut que nous être préjudiciable.
    Saul a tenu compte des paroles de Jésus ; il a corrigé sa voie. Il est devenu un chrétien très aimé : l’apôtre Paul. De la même façon, notre soumission aux instructions divines nous procurera des bénédictions éternelles – TG2003  1/10 p32
    “Ruer contre les aiguillons” - Avant de se convertir au christianisme, Paul (Saul) persécutait cruellement les vrais serviteurs de Dieu. Quand il se manifesta à Paul, Jésus lui dit: “Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu? Il est dur pour toi de continuer à ruer contre les aiguillons.” (Actes 26:14). Que voulait dire Jésus?
    Jésus Christ considère que ce qu’on fait à ses disciples, c’est à lui-même qu’on le fait. Par conséquent, en persécutant les chrétiens, Paul persécutait en réalité Jésus Christ. Il combattait ce que Dieu défendait, et ce à son propre détriment. On pouvait dire que Paul ‘ruait contre les aiguillons’. Un aiguillon est un bâton pointu, parfois ferré, dont on se sert pour conduire le bétail ou les animaux de labour. L’animal rétif qui regimbe contre les coups d’aiguillon n’obtient aucun soulagement, mais se fait plutôt du tort. De même, Paul n’avait aucun intérêt à persécuter ceux que Dieu approuvait. Les efforts qu’il faisait dans ce sens étaient aussi vains que ceux d’une bête de trait qui regimbe contre les coups d’aiguillon.

    Actes 26:27 : Devant quel dilemme le roi Agrippa se trouve-t-il quand Paul lui demande s’il croit les Prophètes ? w03 15/11 16-17§ 14
    « Crois-tu les Prophètes, roi Agrippa ? Je sais que tu crois. »
    Paul sait qu’Agrippa professe le judaïsme. S’appuyant sur les connaissances religieuses du roi, il lui explique qu’il prêche “ sans dire rien d’autre que les choses dont les Prophètes ainsi que Moïse ont déclaré qu’elles allaient arriver ” concernant la mort et la résurrection du Messie (Actes 26:22, 23). Puis il l’interpelle : “ Roi Agrippa, crois-tu les Prophètes ? ” Voilà Agrippa devant un dilemme. S’il répond non, c’en est fini de sa réputation de Juif. Mais s’il va dans le sens de Paul, il manifeste publiquement son accord avec lui et risque alors d’être taxé de chrétien. Avec sagesse, Paul répond lui-même : “ Je sais que tu crois. ” La réaction d’Agrippa est spontanée : “ En peu de temps tu me persuaderais de devenir chrétien. ” (Actes 26:27, 28). Agrippa n’est pas devenu chrétien. Reste que le message de Paul a éveillé un certain écho en son cœur. TG2003 15/11
    Agrippa était une personne juif circoncis, ne Mais jamais DeViNT chrétien. Le continue à faire de la politique dans le Païen du solde Empire romain. Le témoignage de Paul sur lui fait un grand gâteau.
    Grâce à la qualité de sa défense, Paul a fait ressentir le pouvoir pénétrant de la Parole de Dieu à un haut personnage (Hébreux 4:12). En quoi résidait l’efficacité de Paul ? Quand on analyse sa défense, deux points essentiels se révèlent : 1) Paul était persuasif. 2) Il utilisait sa connaissance de la Parole de Dieu avec l’habileté d’un bon artisan.
     
     
     
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    Elisabeth Dolewka reacted to misette in RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 14 JANVIER 2019 - ACTES 23-24   
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 23-24

    Actes 23:6 : Pourquoi Paul a-t-il dit : « Je suis pharisien » ? (nwtsty, note d’étude)

    « Paul savait qu’une partie du sanhédrin était composée de sadducéens et l’autre de pharisiens. Il cria donc : « Hommes, frères, je suis pharisien, fils de pharisiens. C’est à propos de l’espérance en la résurrection des morts qu’on me juge ! »

    je suis pharisien : Parmi ceux qui écoutaient Paul, certains le connaissaient (Actes 22:5). Lorsqu’il s’est présenté comme fils de pharisiens, les pharisiens du sanhédrin ont sûrement compris que Paul reconnaissait qu’il avait avec eux un héritage commun, même s’il était devenu un chrétien zélé. Il ne se présentait pas sous un faux jour. Cependant, dans ce contexte, la déclaration de Paul « je suis pharisien » peut être comprise dans un sens relatif ; par ces mots, Paul s’identifiait aux pharisiens plutôt qu’aux sadducéens parce que, comme les pharisiens, il croyait en la résurrection. Il créait ainsi un terrain d’entente avec les pharisiens présents.

    En soulevant ce sujet polémique, Paul espérait certainement amener des membres du sanhédrin à prendre parti pour lui, et sa stratégie a fonctionné (Actes 23:7-9). Cette déclaration de Paul en Actes 23:6 s’accorde aussi avec la description qu’il a faite plus tard de lui-même quand il a présenté sa défense devant le roi Agrippa (Actes 26:5). Et lorsqu’il a écrit depuis Rome aux chrétiens de Philippes, Paul a de nouveau parlé de son passé de pharisien (Php 3:5). Il est également intéressant de noter comment Actes 15:5 parle de certains chrétiens qui, auparavant, étaient pharisiens. - nwtsty, note d’étude

    Pourquoi Paul s’est-il dit Pharisien ? Parce qu’il était “ fils de Pharisiens ”, d’une famille qui appartenait à cette secte. Pharisien ”, nom qui signifie “ séparé ”. Par conséquent, beaucoup le considéraient encore comme tel. Toutefois, comment a-t-il pu cautionner la croyance pharisienne en la résurrection ? Les Pharisiens pensaient qu’une âme consciente survivait à la mort et que les âmes des justes revivaient dans des corps humains. Paul ne croyait pas à ces choses, mais en la résurrection qu’avait enseignée Jésus. N’empêche qu’il était d’accord avec les Pharisiens sur l’espoir d’une vie après la mort, contrairement aux Sadducéens, qui ne croyaient pas en une vie future. En matière de croyances, les Sadducéens étaient conservateurs et s’appuyaient surtout sur leurs propres interprétations des écrits de Moïse, ce qui les oppose à la puissante secte des Pharisiens. Le Sanhédrin était divisé entre les Pharisiens et les Sadducéens. En plus de ces deux sectes, il y avait aussi les Hérodiens, les “partisans d’Hérode”

    Mais quand Paul apprit que l’ensemble des traditions religieuses que suivaient les Pharisiens n’avait pas l’approbation de Dieu, il n’hésita pas à changer de religion pour devenir chrétien, même si cela causait un grand chagrin à ses parents juifs.

    Nous pourrions raisonner de la même façon quand nous discutons avec des catholiques ou des protestants. Nous pourrions leur dire que nous croyons en Dieu comme eux. Évidemment, pour eux c’est la Trinité et pour nous c’est le Dieu de la Bible. N’empêche que nous avons en commun la croyance en l’existence de Dieu. – bt p187 §18

    Actes 24:24, 27 : Qui était Drusille ? (nwtsty, note d’étude sur Actes 24:24).

    Verset 24 « Quelques jours plus tard, Félix arriva avec Drusille, sa femme, qui était Juive. Il fit amener Paul et l’écouta parler de la foi en Christ Jésus »

    Verset 27 « Au bout de deux ans, Félix fut remplacé par Porcius Festus ; mais voulant gagner la faveur des Juifs, Félix laissa Paul en prison »

    Drusille : La troisième et la plus jeune des filles de l’Hérode dont il est question en Actes 12:1, c’est-à-dire Hérode Agrippa Ier. Elle est née vers 38 de n. ère ; c’était la soeur d’Agrippa II et de Bérénice (voir lexique à « Hérode »). Le gouverneur Félix était son second mari. Elle a d’abord été mariée au roi syrien Aziz d’Émèse, mais a divorcé d’avec lui pour épouser Félix, vers 54 de n. ère ; elle avait environ 16 ans. Elle était peut-être présente quand Paul a parlé devant Félix « de justice, de maîtrise de soi et du jugement à venir » (Actes 24:25). Lorsque Félix a cédé sa place de gouverneur à Festus, il a laissé Paul en prison, voulant gagner la faveur des Juifs; certains pensent qu’il a agi ainsi pour faire plaisir à sa femme, qui était Juive (Actes 24:27).

    Drusille n’avait pas encore six ans qu’on arrangea son mariage avec le prince Épiphane de Commagène, mais il n’eut jamais lieu parce que le futur mari refusa de se convertir au judaïsme. Azizus d’Émèse, un roi de Syrie, accepta la clause de la circoncision et Drusille devint sa femme à l’âge de 14 ans. Exaspérée par la cruauté de son mari et irritée par la jalousie de sa sœur Bérénice, moins séduisante qu’elle, Drusille se laissa facilement persuader de divorcer d’avec Azizus, contrairement à la loi juive, et d’épouser le gouverneur Félix, vers 54 de n. è. Elle était peut-être présente quand Paul, prisonnier, “ se mit à parler de justice, de maîtrise de soi et du jugement à venir ”, sujets qui s’avérèrent des plus troublants pour le gouverneur Félix. Deux ans plus tard, quand Félix céda la place de gouverneur à Festus, il laissa Paul dans les chaînes, afin de “ se concilier la faveur des Juifs ” ; certains pensent qu’il voulut plaire à sa jeune femme, “ qui était Juive ”. (Ac 24:24-27.) Le fils que Drusille eut de Félix fut un autre Agrippa ; il aurait péri dans la grande éruption du Vésuve, en 79 de n. è. – it-1 Drusille

    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Jéhovah, par le Seigneur Jésus Christ, a soutenu Paul durant tous ses procès. On se souvient que Jésus avait dit : “ Bon courage ! ” à l’apôtre dans une vision (Actes 23:11). Aujourd’hui aussi, les serviteurs de Dieu rencontrent des obstacles et des menaces. Jéhovah ne nous soustrait pas à toutes les difficultés, mais il nous donne la sagesse et la force qu’il faut pour endurer. Nous pouvons toujours compter sur la “ puissance qui passe la normale ” que fournit notre Dieu d’amour – bt chap25

    Au moment de sa libération, dont les Actes ne parlent pas, Paul avait passé environ quatre ans en détention : deux à Césarée et deux à Rome (Actes 23:35 ; 24:27). Mais il est resté positif, en faisant tout son possible dans le service de Dieu. De même, à notre époque, beaucoup de serviteurs de Dieu détenus injustement en raison de leur foi restent joyeux et continuent de prêcher.- bt chap 27 §23

    Qu’en est-il des milliards d’humains qui sont morts sans avoir pu connaître Jéhovah ni le servir ? La rançon rend possible la résurrection des morts. Notre Père céleste aimant les ramènera à la vie et leur offrira la possibilité de découvrir son dessein et d’obtenir la vie éternelle (Actes 24:15). Jéhovah veut que les humains vivent, et non qu’ils meurent. Étant la Source de la vie, il devient le Père de tout humain qui ressuscite. Il est donc tout à fait approprié que Jésus nous ait enseigné à prier ainsi : « Notre Père dans les cieux » (Mat. 6:9). Jéhovah a confié à Jésus un rôle important dans la résurrection des morts. Dans le Paradis, Jésus se révélera être « la résurrection et la vie » (Jean 11:25). Imagine les joyeuses retrouvailles quand les morts reviendront à la vie sur terre ! Cette merveilleuse espérance de la résurrection nous remplit d’amour pour notre Père céleste.– TG2017 Février p10 §10

    Une bonne conscience - Quand Paul écrivit : “ Je m’exerce sans cesse à avoir une conscience qui me dit que je n’offense ni Dieu ni les hommes ” (Actes 24:16), il entendait qu’il dirigeait et redressait constamment sa vie pour qu’elle soit en conformité avec la Parole de Dieu et les enseignements de Christ, car il savait qu’en fin de compte c’est Dieu et non sa propre conscience qui serait son juge. Il faut s’approcher de Jéhovah avec une conscience purifiée. Le chrétien doit s’efforcer constamment de garder une conscience droite en toutes choses - it-1 p514

    Garder une bonne conscience exige des efforts constants. L’apôtre Paul a déclaré un jour : “ Je m’exerce sans cesse à avoir une conscience qui me dit que je n’offense ni Dieu ni les hommes. ” (Actes 24:16). Étant chrétien, Paul s’analysait et se corrigeait constamment pour être sûr de ne pas offenser Dieu. C’est Dieu, il le savait, qui détermine finalement si notre conduite est juste ou non.Aussi, gardez une bonne conscience, sans jamais cesser de l’éduquer. Quand vous avez des décisions à prendre, recherchez la direction de Dieu. Étudiez la Bible et laissez ses principes modeler votre esprit et votre cœur. Si vous avez des questions graves à résoudre, vérifiez auprès de chrétiens mûrs que vous avez bien compris les principes bibliques en jeu. Réfléchissez à l’effet que votre décision aura sur votre conscience, sur les autres et, surtout, sur vos relations avec Jéhovah. En nous dotant d’une conscience, notre bon Père céleste, Jéhovah Dieu, nous a fait un don extraordinaire. Utilisons-la en harmonie avec la volonté de son Créateur, et elle nous rapprochera de lui. Efforçons-nous d’‘ avoir une bonne conscience ’ en toutes circonstances, et nous montrerons que nous sommes faits à l’image de Dieu – TG2005 1/10 p14-15

    Avec courage, Paul a parlé des rappels de Dieu à des dirigeants de son époque. Il a par exemple donné le témoignage au gouverneur romain Félix, qui “ l’écouta sur la foi en Christ Jésus ”. (Actes 24:24, 25.) Avec le soutien de Jéhovah, nous pouvons nous aussi être des témoins courageux, qui n’ont jamais “ honte de la bonne nouvelle ”Si nous chérissons “ la parole de vérité ” et que nous ‘ gardions la loi de Dieu constamment ’, nous aurons le courage nécessaire pour donner le témoignage sans craindre la honte. Grâce à une étude assidue de la Parole écrite de Dieu, nous serons à même de ‘ parler de ses rappels devant des rois ’. (Psaume 119:46.) La prière et l’esprit de Jéhovah également nous aideront à dire ce qu’il faut, comme il le faut – TG2005  15/4 §14

    Paul a parlé “de justice, de maîtrise de soi et du jugement à venir”. (Actes 24:25.) Il est possible que ces paroles aient rendu manifeste le contraste entre les principes de justice établis par Dieu, et la cruauté et l’injustice qui régnaient dans le monde auquel appartenaient Félix et Drusille. Paul espérait peut-être pousser Félix à faire preuve de justice dans l’affaire qui se présentait. Mais pourquoi parler “de maîtrise de soi et du jugement à venir”? Ce couple immoral se renseignait sur ce qu’impliquait “la foi en Christ Jésus”. Il lui fallait donc savoir que suivre Jésus nécessite de dominer ses pensées, ses paroles et ses actes, autrement dit d’exercer la maîtrise de soi. Tous les humains devront rendre des comptes à Dieu de leurs pensées, de leurs paroles et de leurs actions. Ainsi, il existait un jugement plus important que celui de Félix dans l’affaire de Paul, c’était le jugement divin qui attendait le gouverneur et sa femme. Il est donc compréhensible qu’en entendant le message de Paul, ‘Félix ait pris peur’. – TG1993 15/8 p17-19 §3


    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Paul savait quand demander pardon. Une fois, il a dû se défendre devant le Sanhédrin, la cour suprême juive, ce qu’il a fait en des termes très francs. Vexé, le grand prêtre Ananias a ordonné à ceux qui se tenaient près de l’apôtre de le frapper sur la bouche. Et Paul de répondre : “ Dieu va te frapper, mur blanchi ! Est-ce que tout à la fois tu sièges là pour me juger selon la Loi et, transgressant la Loi, tu ordonnes de me frapper ? ” Quand les autres personnes présentes ont accusé Paul d’avoir insulté le grand prêtre, il a immédiatement reconnu sa faute, disant : “ Frères, je ne savais pas que c’était le grand prêtre. Car il est écrit : ‘ Tu ne dois pas parler en mal d’un chef de ton peuple. ’ ” — Actes 23:1-5.

    Paul avait raison de dire qu’un homme établi juge ne devait pas recourir à la violence. Cependant, il s’est excusé pour avoir — sans le savoir — parlé au grand prêtre d’une façon qui pouvait être considérée comme irrespectueuse. Du coup, le Sanhédrin a écouté ce qu’il avait à dire. Connaissant la controverse qui divisait les membres de la cour, l’apôtre leur a expliqué qu’il était jugé pour sa croyance en la résurrection. Pour finir, une grande dissension a suivi, les Pharisiens prenant parti pour Paul. — Actes 23:6-10.

    Quelle leçon tirer de ces deux exemples bibliques ? Dans les deux cas, l’expression de regrets sincères a préservé la communication. Une telle démarche peut donc nous aider à faire la paix. Si, reconnaissant nos fautes, nous nous excusons pour le mal commis, des discussions constructives s’offriront à nous. – TG2002 1/11


    Mur blanchi - Les Juifs enduisaient souvent de chaux les murs de leurs maisons : un îlot de constructions blanches au sommet d’une colline était donc facilement repérable à des kilomètres à la ronde (Actes 23:3). Sous le soleil éclatant de la Palestine, ces villes brillaient tel un phare, tout comme certaines villes méditerranéennes encore aujourd’hui – it-2 Mur


    L’apôtre Paul fut ‘ traîné devant des rois et des gouverneurs ’. Guidé par le Seigneur Jésus Christ, c’est avec l’objectif de rendre témoignage devant le plus puissant dirigeant de l’époque qu’il s’est exclamé : “ J’en appelle à César ! ” (Actes 23:11). Aujourd’hui de même, des situations difficiles ont souvent abouti à ce qu’un excellent témoignage soit donné tant à des autorités qu’à la population. Les Témoins de Jéhovah usent des dispositions susceptibles de servir “la défense et l’affermissement légal de la bonne nouvelle”.  – TG2003  1/10 §17


    La nuit qui a suivi les incidents du Sanhédrin, Paul a reçu un encouragement précieux. Le récit inspiré précise : “ Le Seigneur se tint près de lui et dit : ‘ Bon courage ! Car, de même que dans Jérusalem tu as pleinement rendu témoignage sur les choses qui me concernent, ainsi il faut également que tu témoignes à Rome. ’ ” (Actes 23:11). Fort de cet encouragement de Jésus, Paul était certain d’être libéré. Il savait qu’il continuerait à vivre pour aller à Rome et avoir l’honneur d’y rendre témoignage à Jésus.

    L’encouragement à Paul est arrivé au bon moment. Dès le lendemain, plus de 40 Juifs “ formèrent une conspiration et s’engagèrent par une imprécation, disant qu’ils ne mangeraient ni ne boiraient jusqu’à ce qu’ils aient tué Paul ”. Cette “ conspiration par serment ” montrait à quel point ils étaient déterminés à supprimer l’apôtre. En effet, ils disaient en quelque sorte : ‘ Qu’il nous arrive malheur si notre complot échoue ! ’ (Actes 23:12-15). Leur plan, approuvé par les prêtres en chef et les anciens, consistait à faire ramener Paul au Sanhédrin pour prolonger l’interrogatoire, prétendument pour vérifier des détails le concernant. Mais, en fait, ils lui tendraient un guet-apens et le tueraient.

    Or le neveu de Paul a eu vent du complot et lui en a parlé. Aussitôt, Paul lui a demandé d’aller en informer le commandant romain Claude Lysias (Actes 23:16-22). Qu’apprenons-nous de ce récit, où apparaît le neveu de Paul ? — Qu’il faut du courage pour parler quand c’est nécessaire, mais qu’ainsi on peut sauver des vies. Assurément, Jéhovah aime les jeunes qui, comme ce neveu de Paul resté anonyme, font courageusement passer le bien du peuple de Dieu avant le leur et se démènent fidèlement pour servir les intérêts du Royaume. – bt chap24

    L’apôtre Paul a été taxé de “ peste ” et l’on a vu en lui le chef d’une secte qui suscitait des séditions “ dans toute la terre habitée ”. Actes 24:2-5. Nous ne sommes pas surpris que les vrais chrétiens soient aujourd’hui victimes de déformations des faits, de calomnies et de campagnes de diffamation. Il n’est pas rare qu’on accable les serviteurs de Jéhovah de propos calomnieux et de fausses accusations. – TG2007  15/12 § 5,6

    Paul nous a laissé un bon exemple à suivre si jamais nous comparaissions devant des autorités profanes à cause de notre religion et qu’on nous accuse faussement d’être des agitateurs, des séditieux ou des membres d’une “ secte dangereuse ”. Paul n’a pas usé de flatteries serviles envers le gouverneur comme l’avait fait Tertullus. Il est resté calme et respectueux. Avec tact, il a donné un témoignage clair et véridique. Il a signalé que les “ Juifs du district d’Asie ” qui l’avaient accusé de souiller le temple n’étaient pas présents et que, légalement, il aurait dû pouvoir se confronter à eux et entendre leurs accusations. — Actes 24:18, 19.- bt p192 §13

    Le cas de l’apôtre Paul illustre bien quelle attitude les chrétiens doivent avoir quand on veut leur extorquer des pots-de-vin. Le gouverneur romain Félix chercha à extorquer de l’argent à Paul en prolongeant sa détention pendant deux ans. Paul s’en rendit compte, mais il ne fit aucune offre à Félix pour obtenir sa libération. Par la suite, Félix fut remplacé par Festus. Quand Paul en appela à César, le procurateur romain Festus l’envoya à Rome- Actes 24:26, 27. - it-1 p853-854

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    Elisabeth Dolewka reacted to misette in Vidéo par écrit Jéhovah nous a appris comment élever nos enfants - Semaine du 7Janvier 2018   
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    « Jéhovah nous a appris comment élever nos enfants »
    La mère : « Déjà, toute petite, les questions spirituelles m’intéressaient.
    Mon rêve, c’était de me marier avec un homme croyant, avec qui je pourrais servir Dieu et mener une vie paisible.
    Je n’ai pas connu ça avec mes parents. Souvent, on s’entendait mieux avec la domestique qu’avec ma mère ».
    Le père : « Mon père était un homme très distant. Il était toujours très pris par son travail et il passait beaucoup de temps avec ses amis. On s’est mariés en 1971 à Paris ».
    La mère : « On s’est fait baptiser en 1974 ».
    Le père : « Je me suis rendu compte que je ne savais pas vraiment comment élever des enfants, alors j’ai commencé à appliquer ce que disait la Bible.
    Pour enseigner les enfants comme Dieu le veut, il fallait d’abord que moi-même je comprenne bien les enseignements bibliques »
    La mère : « En 1976, on a déménagé au Portugal pour servir où il y avait besoin de renfort.
    Notre fils aîné avait 4 ans 1/ 2, Maria avait 3 ans 1/ 2 et Benjamin 1 an 1/ 2 ».
    Le fils aîné : « Je me souviens quand on est arrivés. On habitait à la campagne.
    Maria : « C’était une toute petite congrégation et donc tout petits, il fallait qu’on participe aux réunions ».
    Benjamin : « Nos parents voulaient mettre les intérêts spirituels à la 1ère place dans leur vie.
    Ils ne voulaient pas se contenter de nous dire qu’il fallait mettre les intérêts du Royaume en 1er, ce qu’ils voulaient, c’était nous montrer comment le faire ».
    Maria : »Ils n’attendaient pas le culte familial pour nous parler de Jéhovah et de choses spirituelles.
    Je me souviens que parfois en rentrant à pied des réunions, nos parents nous aidaient à chercher les constellations ; c’était l’occasion de parler de Jéhovah ».
    Le père : « En Deutéronome chapitre 6, il est dit qu’on doit constamment parler à nos enfants.
    C’est bien de leur parler de Dieu et de les aider à le voir comme une personne réelle qui a un lien avec tout ce qui nous entoure.
    J’avais vraiment envie de leur montrer qu’apprendre à connaître Dieu n’a rien de triste ni d’ennuyeux ; au contraire, ça nous procure beaucoup de joie ».
    Benjamin : « Bien sûr, on n’était pas parfaits. J’ai fait beaucoup de bêtises. Mais mes parents ne m’ont jamais dit : « Fais ce qu’on te dit, un point c’est tout. Ils ont toujours essayé de nous expliquer les raisons bibliques »
    Le père : « Mes parents m’ont élevé en me donnant des ordres : « Tu dois faire ça. Tu dois. C’est comme ça qu’il faut faire ». Mais j’ai compris que dans la Bible, Dieu ne se contente pas de donner des lois : il les explique.
    Il donne des tas d’explications, il donne des raisons pour tout. En enseignant mes enfants, je dois dire que j’ai beaucoup appris moi aussi »
    Maria : « On ne s’est jamais sentis obligés d’aller aux réunions ou d’aller prêcher. On le faisait parce qu’on en avait envie.
    Le fils aîné : « Un jour, mon père m’a donné une Bible neuve. Il avait écrit à l’intérieur : « Puisse ce livre être toujours la force qui te pousse à agir dans ta vie ». Plusieurs fois, il m’a dit : « Je t’en supplie, ne renonce jamais, jamais à ton service. Jéhovah est ton Père et tu dois le servir toute ta vie »
    Le père : « Comme tous les parents, le Tout-Puissant a des enfants qui lui ont désobéi.
    Dieu ne force personne. Il respecte beaucoup notre libre arbitre. On voulait que nos enfants construisent leur propre avenir.
    Je me suis toujours dit que mes enfants ne m’appartenaient pas mais que c’est Jéhovah qui nous les a gentiment confiés pour que nous puissions en prendre soin. Une fois qu’on a fait notre part, on les laisse prendre leur envol ».
    Le fils aîné : « Mes parents nous ont toujours encouragés à être dans le service à plein temps même si il fallait déménager loin de la maison.
    Maria : « Mon mari et moi, nous sommes missionnaires à Klaipèda en Lituanie.
    Je serai toujours reconnaissante d’avoir pu utiliser ma jeunesse au service de Jéhovah, et de ne pas avoir gaspillé mon temps à travailler pour ce monde ».
    Benjamin : « Ma femme et moi, nous servons au Béthel du Portugal.
    Si Jéhovah est heureux, si mes parents sont heureux, alors moi aussi je suis heureux.
    Je suis certain qu’ils aiment ce que nous faisons. Ça les rend heureux ».
    Le père : « Nous nous réjouissons parce ce que nos enfants donnent le meilleur d’eux-mêmes à leur Créateur et ils le réjouissent. Jéhovah le mérite bien »
    La mère : « Bien sûr que nos enfants nous manquent.
    On aimerait les avoir avec nous mais on est très heureux qu’ils aient le privilège de servir Jéhovah comme ils le font ».
     
    Questions du Cahier Vie chrétienne et Ministère :
    Comment leur enfance a-t-elle influencé la façon dont ils ont élevé leurs enfants ?
     

     
    Quels beaux souvenirs d’enfance leurs enfants ont-ils ?
     

    Comment Abilio et Ulla se sont-ils efforcés d’appliquer Deutéronome 6:6, 7 ?
    Pourquoi n’ont-ils pas simplement imposé des règles à leurs enfants ?
    Comment ont-ils aidé leurs enfants à prendre de bonnes décisions ?

    Pourquoi peut-on dire qu’ils ont manifesté l’esprit de sacrifice en encourageant leurs enfants à être dans le service à plein temps ? bt 178 § 19


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    Elisabeth Dolewka reacted to jpl in Un guide pour utiliser nos tracts dans le ministère   
    Un petit document qui permet de mémoriser le contenu de nos tracts.
    Peut être utile dans le ministère, porte en porte, visite, étude…..
    Tracts Summary with Sample Conversation Options (fr).pdf
  18. Thanks
    Elisabeth Dolewka reacted to jpl in Cultes matinaux Décembre 2018 (suite)   
    Nouveau document (Approchez-vous de Jéhovah)
    Dec 2018 Approchez-vous de Jéhovah.pdf
  19. Thanks
    Elisabeth Dolewka reacted to jpl in Cultes matinaux Decembre 2018   
    Transcriptions des cultes matinaux Novembre et Décembre 2018
    Dec 2018 Mettons Jéhovah à l'épreuve.pdf
    Nov 2018 Renforçons notre espérance.pdf
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    Elisabeth Dolewka reacted to The Librarian in Examining the Scriptures Daily—2019   
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    Elisabeth Dolewka reacted to James Thomas Rook Jr. in Are Jehovah's Witnesses allowed to vote?   
    Yeah ....
    My allegiance is only to God ... but I will fight with anyone who believes as I do about Freedom and Justice.
    It is quite obvious that for the time being, we are on our own .... and we have to do the best we know how.
    The only thing necessary for evil to prevail, is Good Men to do nothing.
    At least if I screw up, and make a mistake ... it will not cost the Brotherhood 56 MILLION dollars.
     
  22. Thanks
    Elisabeth Dolewka reacted to JOHN BUTLER in Is it inappropriate for a Christian to participate in Black Friday?   
    No, I don't get involved with any traditions of men. .  And now I'm not a JW anymore i feel great that I do not have to comply with any human ideas of what I should do. I have peace.  
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    Elisabeth Dolewka reacted to JW Insider in Is it inappropriate for a Christian to participate in Black Friday?   
    I think that if we really understand the following point in the "Knowledge" book, true Christians need to treat EVERY DAY AS BLACK FRIDAY!!!
    *** kl chap. 13 pp. 126-127 par. 17 Why Living a Godly Life Brings Happiness ***
    Of course, godly parents do not await a special day to show their children love. A 13-year-old Christian girl remarked: “My family and I have lots of fun. . . . I’m very close to my parents, and when other kids ask why I don’t celebrate holidays, I tell them that I celebrate every day.” Said a Christian youth aged 17: “In our house, gift-giving is all year long.” Greater happiness results when gifts are given spontaneously.
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    Elisabeth Dolewka reacted to misette in RECHERCHONS DESPERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 29 OCTOBRE 2018 - JEAN 18-19   
    RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 29 OCTOBRE 2018 - JEAN 18-19.docx
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    JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

    Recherchons des perles spirituelles (8 min) : JEAN 18-19

    Jean 19:30 : Que signifie l’expression « Jésus [...] rendit son esprit » ? (nwtsty).

    « Quand il eut pris le vin aigre, Jésus dit : « Cela s’est accompli ! » et, inclinant la tête, il rendit son esprit »

    Il rendit son esprit : ou « il expira », « il cessa de respirer ». Le terme « esprit » (grec pneuma) peut désigner ici le « souffle » ou la « force vitale ». Cette compréhension est en harmonie avec l’emploi du verbe grec ékpnéô (litt. « rendre un souffle ») dans les versets parallèles Marc 15:37 et Luc 23:46 (où il est rendu par « expira » dans le texte et par « rendit son dernier souffle » dans la note). Certains pensent que l’emploi du terme grec traduit par « rendit » signifie que Jésus a volontairement arrêté de lutter pour rester en vie, car tout s’était accompli. Quoi qu’il en soit, il a volontairement « répandu sa vie jusqu’à la mort » (Is 53:12 ; Jean 10:11). – nwtsty

    Jésus confia  sa vie à Jéhovah, convaincu qu’il allait le ressusciter. Avec une pleine confiance en son Père, Christ inclina la tête et mourut. – jy chap132

    Jean 19:31 : Quelle preuve a-t-on que Jésus est mort le 14 nisan 33 de notre ère ? (nwtsty).

    « Comme c’était le jour de la Préparation, les Juifs demandèrent à Pilate de faire briser les jambes des suppliciés et de faire enlever les corps, pour que les corps ne restent pas sur les poteaux de supplice le sabbat (car ce sabbat était un grand sabbat) »

    Ce sabbat était un grand sabbat : Le 15 nisan était le lendemain de la Pâque et, peu importe le jour de la semaine où il tombait, ce jour était toujours un sabbat (Lv 23:5-7). Quand ce sabbat spécial coïncidait avec le sabbat hebdomadaire (c’est-à-dire le septième jour de la semaine juive, qui débutait le vendredi au coucher du soleil et s’achevait le samedi au coucher du soleil), c’était « un grand sabbat ». Le lendemain de la mort de Jésus était un grand sabbat, la mort de Jésus a donc eu lieu un vendredi. La seule année entre 31 et 33 de n. è. où le 14 nisan était un vendredi est l’année 33. Ce fait vient appuyer la conclusion que Jésus a dû mourir le 14 nisan 33. – nwtsty

    Chez les Juifs, chaque semaine, le samedi était un jour de repos qu’on appelait sabbat. Le lendemain de la Pâque, le 15 Nisan, était le premier jour de la fête des Gâteaux sans levain. C’était aussi un sabbat. Quand 2 sabbats tombaient le même jour, on appelait ce jour un « grand » sabbat. En l’an 33, le 15 Nisan a été un grand sabbat parce que c’était un samedi – TG2013  15/12 p17

    On peut encore avancer une autre preuve pour démontrer que le ministère de Jésus a bien duré trois ans et demi. Le texte de Jean 19:31 nous permet de conclure que Jésus est mort un vendredi, car il indique que le lendemain était un “grand” sabbat. En effet, quand le sabbat hebdomadaire correspondait au premier jour de la fête des gâteaux non fermentés, fête qui durait une semaine, lequel premier jour était lui aussi un sabbat, il s’agissait logiquement d’un “grand” sabbat (Lév. 23:6, 7). Or, la Pâque, quatorzième jour de Nisan, n’est tombée un vendredi ni en 31 ni en 32, mais en 33. C’est donc bien le 14 Nisan de l’an 33 que Jésus est mort, ce qui fait que son ministère a duré trois ans et demi. – TG1976  15/10 p630

    Une autre date certaine des Écritures grecques est celle du 14 Nisan de l’an 33, jour où Jésus fut cloué au bois. Les Écritures montrent pertinemment, dans Jean 19:31, que Jésus est mort un jour correspondant à notre vendredi, car le lendemain (15 Nisan), est-il dit, était un grand sabbat. Cela signifie que deux sabbats légaux tombaient sur le même samedi : 1o le sabbat hebdomadaire juif, selon Exode 20:10, et 2o selon la loi mosaïque, le 15 Nisan devait être un jour de repos, quel que fût le jour sur lequel il tombait, comme l’indique Lévitique 23:6, 7. Ce double sabbat ayant lieu le même jour ne se produisait qu’à des intervalles de quelques années. Cela indique que, selon les Écritures, Jésus mourut un vendredi après-midi. TG1955  15/6 p190

    Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

    Jésus Christ prenait plaisir à louer Jéhovah publiquement — dans les synagogues, lors des fêtes au temple de Dieu à Jérusalem, et avec ses disciples (Jean 18:20). Quelle joie, quel privilège, d’imiter Jésus en louant Jéhovah à chaque occasion avec nos compagnons, et ce particulièrement maintenant que nous ‘ voyons approcher le jour ’ ! – TG2007  1/3 p23 §14

    La Bible est franche sur les faiblesses d’humains dont Jéhovah s’est autrefois servi pour diriger son peuple. Par exemple, Pierre, bien qu’ayant reçu une importante responsabilité dans la congrégation chrétienne du Ier siècle, il a commis de graves erreurs (Jean 18:27). Depuis Adam et Ève, aucun humain excepté Jésus n’a été parfait.

    Pourquoi Jéhovah a-t-il veillé à ce que les rédacteurs bibliques rapportent les erreurs d’hommes qu’il avait investis d’une autorité ? Pour montrer, entre autres choses, qu’il est capable de guider son peuple au moyen d’humains imparfaits. Il a d’ailleurs toujours procédé de cette manière.  – TG2013  15/11 p25 §12,13

    Jéhovah accorde-t-il de l’importance aux détails ? Tout à fait. Réfléchissez à ceci : Dans l’Antiquité, les Israélites avaient reçu l’ordre de ne briser aucun os de l’agneau pascal (Exode 12:46). Ce n’était peut-être qu’un détail. D’ailleurs, comprenaient-ils pourquoi ils ne devaient pas briser un seul de ses os ? Probablement pas. Mais Jéhovah savait que ce détail prédisait que lorsque le Messie serait mis à mort sur le poteau de supplice, pas un seul de ses os ne serait brisé (Jean 19:31-33, 36).

    Que nous enseignent les paroles de Jésus ? Que nous aussi nous pouvons être pleinement confiants dans le fait que toutes les promesses de Jéhovah se réaliseront jusque dans les moindres détails. – wp2017 n°4 p13

    Lorsqu’il est passé en jugement devant Ponce Pilate, Jésus a dit : “ Mon royaume ne fait pas partie de ce monde. Si mon royaume faisait partie de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour que je ne sois pas livré aux Juifs. Mais voilà, mon royaume n’est pas d’ici. ” (Jean 18:36). Jésus savait qu’il deviendrait un jour un Roi céleste et qu’il ne serait pas intronisé par des humains, mais par Jéhovah.  Le Royaume est le moyen par lequel le nom de Jéhovah sera sanctifié, sa souveraineté justifiée et sa volonté faite sur la terre comme dans le ciel – TG2002  1/11 p15-16 §5

    Et Marie ? A-t-elle encore été honorée par la suite ? Jéhovah a-t-il continué à la récompenser d’élever Jésus et d’en prendre soin ? Oui. Il a veillé à ce que certaines de ses paroles et de ses actions soient rapportées dans la Bible. Apparemment, Marie n’a pas pu accompagner Jésus pendant les trois ans et demi où il a prêché. Elle est donc passée à côté de belles expériences. Quoi qu’il en soit, elle a pu être avec Jésus lorsque celui-ci est mort (Jean 19:26). Et, plus tard, quand l’esprit saint a été répandu sur les disciples lors de la Pentecôte, elle était présente (Actes 1:13, 14). Par conséquent, elle a sûrement été ointe comme les autres disciples. Si c’est le cas, elle a reçu la possibilité de vivre au ciel avec Jésus pour toujours. Quelle belle récompense pour son service fidèle ! – TG2018 Juillet p10 §14

    Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

    Notre modèle, Jésus, a fait preuve de hardiesse de bien des manières. Par exemple, malgré la haine de ceux qui détenaient pouvoir et influence, il n’a pas adouci le message que Dieu voulait transmettre aux humains. Il n’a pas craint de dénoncer les faux enseignements des puissants chefs religieux, imbus de leur propre justice. Il leur a déclaré sans détour qu’ils étaient condamnés. Face à une troupe de soldats, dans le jardin de Gethsémané, Jésus a courageusement dit qui il était (Jean 18:3-8). Plus tard, amené devant le Sanhédrin, il n’a pas hésité à affirmer qu’il était le Christ et le Fils de Dieu, même s’il savait que le grand prêtre qui l’interrogeait cherchait une occasion de le condamner à mort. Voilà qui réclamait bien du courage ! Cela étant, Jésus a déclaré à Pilate : “ C’est pour ceci que je suis né, et c’est pour ceci que je suis venu dans le monde : pour rendre témoignage à la vérité. ” (Jean 18:37). Jéhovah avait mandaté Jésus pour prêcher la bonne nouvelle, et Jésus était heureux de le faire parce qu’il aimait son Père céleste. . Par ailleurs, Jésus aimait profondément les gens. Il savait que leur vie n’était pas facile. C’est parce que, nous aussi, nous aimons Dieu et notre prochain que nous prêchons avec hardiesse.  –TG2009  15/7 p23 §9,10

    Tout au long de son ministère, Jésus a fait preuve d’un courage remarquable. La nuit précédant sa mort, lorsqu’on est venu l’arrêter, il s’est de suite fait connaître aux soldats afin de protéger ses disciples : “ Si [...] c’est moi que vous cherchez, laissez aller ceux-ci. ” (Jean 18:8). Quelques instants plus tard, il a demandé à Pierre de ranger son épée, montrant par-là que son courage ne reposait pas sur les armes, mais sur Jéhovah. — Jean 18:11. Jésus n’a pas eu peur de démasquer les chefs religieux impitoyables et la fausseté de leurs enseignements. Tous les disciples de Jésus auront inévitablement des épreuves. Pour y résister, chacun de nous doit affermir sa foi. Le courage de Jésus n’était pas simplement de la bravoure ; c’est surtout la foi qui lui donnait du courage. Nous aussi, nous puiserons notre courage dans la foi. Il nous faut pour cela, comme Jésus, nourrir notre esprit des enseignements qui constituent le fondement de la foi en lisant et en étudiant la Bible chaque jour, et aussi en assistant aux réunions. . Il nous faut également méditer, c’est-à-dire soumettre ces enseignements à une longue et profonde réflexion ; c’est ainsi que nous les faisons pénétrer dans notre cœur. Pour avoir le courage d’agir, nous devons posséder une foi vivante. Il nous faut donc demander à Dieu de nous accorder son esprit saint, car la foi est une facette du fruit de cet esprit – TG2009  15/9 p14 §12-16

    Peu avant sa mort, il a répondu à des chefs religieux juifs qui l’interrogeaient sur ses méthodes d’enseignement: “C’est au grand jour que j’ai parlé au monde. J’ai toujours enseigné en synagogue et dans le temple, où se réunissent tous les Juifs; et je n’ai rien dit en secret.” — Jean 18:20.

    Nous pouvons noter que le message de Jésus s’adresse à un bien plus vaste auditoire que les seuls habitants de la Palestine? Il intéresse le monde entier. Jésus n’a pas dit: ‘J’ai parlé à tout le peuple’, c’est-à-dire à tous les Juifs. Dans un but prophétique, il a plutôt choisi d’employer le terme “monde”. Ainsi, Jésus ne prêchait pas une doctrine ésotérique; son message était universel. – RV1988  8/11 p19

    Le grand prêtre Anne a passé outre à la règle selon laquelle les accusations capitales devaient être jugées de jour, et non de nuit. De plus, tout examen des faits aurait dû avoir lieu en audience publique, et non à huis clos. Sachant que l’interrogatoire d’Anne était illégal, Jésus lui a répondu : “ Pourquoi m’interroges-tu ? Interroge ceux qui ont entendu ce que je leur ai dit. Écoute ! Ceux-là savent ce que j’ai dit. ” (Jean 18:21). Anne aurait dû questionner les témoins, plutôt que l’accusé. La remarque de Jésus aurait poussé un juge honnête à respecter la procédure prévue, mais Anne ne se souciait pas de la justice. – TG2011  1/4 p19

    Pourquoi Jésus a-t-il dit : « Ne pensez pas que je sois venu mettre la paix » ? Parce qu’il voulait aider certains de ses auditeurs à comprendre qu’en devenant ses disciples, ils auraient des difficultés. En effet, son message pouvait diviser les gens. Évidemment, son intention était de proclamer la vérité de Dieu, pas de briser des familles (Jean 18:37). Mais ce serait difficile pour les disciples d’obéir fidèlement à ses enseignements si leurs amis ou leurs proches rejetaient la vérité.

    Jésus a montré que l’opposition familiale faisait partie des souffrances que ses disciples devaient être prêts à subir. Pour être dignes de lui, c’est-à-dire pour lui plaire, ses disciples ont supporté que leurs proches se moquent d’eux ou même les rejettent. Mais ils ont gagné beaucoup plus qu’ils n’ont perdu.

    Si des proches s’opposent à notre choix d’adorer Jéhovah, nous les aimons quand même. Mais nous devons rester conscients que notre amour pour Jéhovah et Jésus passe avant tout. Nous devons aussi rester conscients que Satan pourrait utiliser notre affection pour notre famille pour briser notre fidélité à Jéhovah. – TG2017 Octobre p13 §3,4

    “ Qu’est-ce que la vérité ? ” - C’est le gouverneur romain Ponce Pilate qui, d’un ton désabusé, a posé cette question à Jésus. Il ne cherchait pas de réponse, et Jésus ne lui en a pas donné. Pilate pensait sans doute que la vérité était trop difficile à saisir. — Jean 18:38. Cette attitude dédaigneuse à l’égard de la vérité se retrouve chez beaucoup de nos contemporains, y compris des chefs religieux, des enseignants et des hommes politiques. Ils pensent que la vérité, particulièrement dans les domaines moral et spirituel, n’est pas absolue, mais relative et changeante. Cela sous-entend que chacun peut déterminer par lui-même ce qui est bien et ce qui est mal. Cela autorise aussi à rejeter, sous prétexte qu’elles seraient périmées, les valeurs et les normes morales respectées par les générations précédentes. – TG2007 1/10 p32 

    Rendre témoignage à la vérité. ” Lorsque Pilate lui demanda : “ Alors, tu es un roi ? ” Jésus lui répondit : “ C’est toi qui dis que je suis un roi. C’est pour ceci que je suis né, et c’est pour ceci que je suis venu dans le monde : pour rendre témoignage à la vérité. Tout homme qui est du côté de la vérité écoute ma voix. ” (Jean 18:37). La vérité à laquelle Jésus rendit témoignage n’était pas simplement la vérité en général. C’était la vérité capitale sur ce qu’étaient et ce que sont les desseins de Dieu, vérité fondée sur une réalité fondamentale : la volonté souveraine de Dieu et sa capacité d’accomplir cette volonté. Par son ministère, Jésus révéla que cette vérité renfermée dans le “ saint secret ” est le Royaume de Dieu qui a pour Roi-Prêtre sur le trône Jésus Christ, le “ fils de David ”Jésus ne devait pas simplement parler, prêcher et enseigner. En plus de s’être dépouillé de sa gloire céleste pour naître en tant qu’homme, il lui fallait accomplir toutes les prophéties le concernant, dont les ombres, ou modèles, contenues dans l’alliance de la Loi. Pour confirmer la véracité de la parole et des promesses prophétiques de son Père, Jésus était tenu de vivre de façon à faire que cette vérité devienne réalité, l’accomplissant par ses paroles et par ses actions, par son mode de vie et par la manière dont il mourrait. En un mot, il devait être la vérité, en quelque sorte l’incarnation de la vérité, comme lui-même affirma l’être. - it-2 p26

    Jésus, notre Modèle - De tous ceux qui ont servi Dieu animés d’un sentiment d’urgence, Jésus Christ est assurément le plus bel exemple. Il faut dire qu’il avait seulement trois ans et demi devant lui, et tant à faire ! Il a pourtant accompli plus de choses que n’importe qui d’autre en faveur du vrai culte. Il a fait connaître le nom et le dessein de son Père, prêché la bonne nouvelle du Royaume, dévoilé l’hypocrisie et les faux enseignements des chefs religieux, et défendu la souveraineté de Jéhovah au point de le payer de sa vie. Tandis qu’il parcourait le pays, il n’a jamais ménagé ses efforts ; il enseignait les gens, il les aidait et les guérissait. Personne n’en a jamais fait autant en un laps de temps si court. Personne ne s’est investi comme lui.  Jean 18:37.- TG2010  15/12 p9 §5

    Le type de flagellation qu’on lui a infligé provoquait, dit-on, “ des déchirures longues et profondes qui saignaient abondamment ”. On l’a cloué à un poteau, mode d’exécution qui entraînait “ une mort lente dans un maximum de souffrances ”. Essayez d’imaginer la douleur atroce qu’il a ressentie quand on lui a transpercé les mains et les pieds avec de grands clous (Jean 19:1, 16-18). Et celle, indicible, qui l’a submergé quand on a redressé le poteau, que tout son corps s’est trouvé suspendu aux clous et que son dos lacéré est venu racler le bois rugueux. Et n’oublions pas qu’il a enduré ce supplice, alors qu’il était en proie à l’accablement moral.

    Que pourrions-nous avoir à endurer, nous qui suivons le Christ ? Jésus a dit : “ Si quelqu’un veut venir à ma suite, qu’il [...] prenne son poteau de supplice et me suive continuellement. ” (Matthieu 16:24). Le “ poteau de supplice ” désigne ici la souffrance, la honte, voire la mort. Suivre le Christ n’est pas la voie de la facilité. Nos principes chrétiens nous rendent différents. Comme nous ne faisons pas partie du monde, il a de la haine pour nous. Néanmoins, nous sommes prêts à prendre notre poteau de supplice, prêts à souffrir, et même à mourir — plutôt que de renoncer à suivre notre Modèle. – cf p68

    Pourquoi Ponce Pilate a-t-il eu peur en entendant qu’on accusait Jésus de s’être “ fait fils de Dieu ” ? — Jean 19:7.

    Le sénat romain avait, à titre posthume, élevé Jules César au rang de dieu. Octavien, son fils adoptif et successeur sur le trône, fut ensuite appelé divi filius, ce qui en latin signifie “ fils d’un divin ” ou “ fils de Dieu ”. Cette appellation finit par devenir une distinction solennelle accordée aux empereurs. C’est ce que confirme une multitude d’inscriptions sur des pièces de monnaie, statues, autels et temples romains. Ainsi, en reprochant à Jésus de se faire “ fils de Dieu ”, les Juifs l’accusaient en fait de s’octroyer un titre officiel, ce qui revenait à de la sédition.

    Au moment du procès de Jésus, c’est Tibère qui avait hérité du titre de divi filius. Cet empereur avait la réputation effrayante de mettre à mort tous ceux qu’il considérait comme ses ennemis. Le gouverneur romain Pilate eut donc “ encore plus peur ” parce que les Juifs insinuaient qu’il manquerait de loyauté envers César s’il ne condamnait pas Jésus. Cédant à la pression, il ordonna finalement son exécution. — Jean 19:8, 12-16. – TG2008 1/6 p27

    Jean 19:11 — Jésus songeait-il à Judas Iscariote lorsqu’il a parlé à Pilate de l’homme qui l’avait livré à lui ? Il semble y avoir lieu de croire que Jésus avait à l’esprit tous ceux qui partageaient la responsabilité de sa mise à mort, et pas seulement Judas ou quelque autre individu en particulier. S’étaient rendus coupables de ce péché Judas, “ les prêtres en chef et le Sanhédrin tout entier ”, et même “ les foules ” que l’on avait persuadées de demander la libération de Barabbas. – TG2008 15/4 p32

    Pilate essaya de disculper Jésus afin de le relâcher, mais les chefs juifs crièrent : “ Si tu relâches cet homme, tu n’es pas un ami de César. Tout homme qui se fait roi parle contre César. ” (Jean 19:12). L’expression “ ami de César ” était un titre honorifique souvent conféré aux gouverneurs des provinces, mais en l’occurrence les chefs juifs l’utilisèrent vraisemblablement dans un sens large, insinuant que Pilate s’exposait à être accusé de tolérer la haute trahison. La crainte d’un empereur jaloux fut un facteur déterminant dans la décision de Pilate de condamner à mort un innocent. Dans le même temps, les prêtres proclamèrent leur fidélité au trône impérial en disant : “ Nous n’avons de roi que César ”, rejetant ainsi toute domination théocratique (Jean 19:13-16). Ils s’élevèrent en vain contre le titre de “ Roi des Juifs ” que Pilate avait apposé sur le poteau de Jésus (Jean 19:19-22). Il était coutumier chez les Romains d’indiquer sur un panneau le crime pour lequel un malfaiteur était condamné. - it-1 p 414-415

    “ Pilate continua à chercher un moyen de [...] relâcher [Jésus]. Mais les Juifs crièrent, en disant : ‘ Si tu relâches cet homme, tu n’es pas un ami de César. Tout homme qui se fait roi parle contre César. ’ ” (Jean 19:12). Le César de l’époque était l’empereur Tibère, réputé pour exécuter tout homme qu’il considérait comme infidèle — même un fonctionnaire de haut rang. Ayant déjà irrité les Juifs, Pilate ne pouvait risquer d’autres frictions, encore moins une accusation d’infidélité. Les mots de la foule équivalaient à une menace voilée, à un chantage ; Pilate a eu peur. Il a cédé sous la pression et a fait attacher Jésus, un innocent, sur un poteau. — Jean 19:16. - Jésus était innocent. Pourtant, il savait que sa mort était nécessaire au salut des humains obéissants (Matthieu 20:28). Il aimait tant la justice qu’il s’est soumis à l’injustice la plus criante de toute l’Histoire. Il l’a fait pour des pécheurs comme nous. Ne l’oublions jamais – TG2011  1/ 4 p22

    Bien que n’étant pas la langue du peuple, le latin était la langue de la Rome impériale et, par conséquent, la langue officielle de la Palestine lorsque Jésus Christ était sur la terre. Il n’est dès lors pas étonnant de trouver quelques latinismes dans les Écritures grecques chrétiennes. Le mot “ latin ” lui-même ne figure qu’une seule fois dans la Bible, en Jean 19:20, où il est dit que l’inscription placée au-dessus de Jésus sur le poteau de supplice était rédigée en hébreu, en grec et en latin. - it-2 p116

    Pourquoi le vêtement intérieur de Jésus intéressait-il tant les soldats romains ?

    Les quatre soldats qui ont surveillé l’exécution de Jésus se sont partagé ses vêtements. “ Mais, lit-on en Jean 19:23, le vêtement intérieur de Jésus était sans couture, tissé depuis le haut dans toute sa longueur. ” Plutôt que de le déchirer en quatre, les soldats ont décidé de le tirer aux sorts. Comment ce genre de vêtement était-il fabriqué ?

    Le vêtement intérieur désignerait une tunique en lin ou en laine semblable à une chemise, et qui descendait jusqu’aux genoux ou aux chevilles. Généralement, pour confectionner un tel vêtement, on superposait deux carrés ou deux rectangles de tissu qu’on cousait ensemble sur trois côtés, en laissant des trous pour la tête et les bras.

    Une tunique plus onéreuse était fabriquée selon le même procédé, si ce n’est qu’on employait “ un seul grand morceau d’étoffe, plié en deux, avec un trou au milieu pour la tête ”, explique le livre Jésus et son époque (angl.). Le tissu était ourlé. Ce genre de tunique ne nécessitait plus que deux coutures sur les côtés.

    Les vêtements dénués de couture comme celui que portait Jésus n’étaient fabriqués qu’en Palestine. Ils étaient tissés sur un métier de haute lice, qui comportait deux jeux de fils de chaîne verticaux, placés l’un à l’avant de la traverse de l’appareil et l’autre à l’arrière. Le tisserand faisait passer sa navette — chargée du fil de trame horizontal — de l’avant à l’arrière du tissu, réalisant, selon les termes d’un ouvrage de référence, “ une étoffe tubulaire ”. Sans doute était-il rare de posséder une tunique sans couture, ce qui explique l’intérêt des soldats pour celle de Jésus. – TG2009  1/7 p22

    On jetterait les sorts sur les vêtements du Messie. “ Ils se partagent mes vêtements, a écrit David, et sur mes habits ils jettent les sorts. ” (Ps. 22:18). Ces paroles prophétiques se sont réalisées, comme le confirme le récit biblique : ‘ Quand ils eurent attaché Jésus sur un poteau, les soldats romains distribuèrent ses vêtements de dessus en jetant les sorts. ’ Jean 19:23, 24. TG2011 15/8 p15

    Jean 19:25-27 relate un exemple particulièrement émouvant de son amour empreint d’abnégation. La scène se passe l’après-midi de sa mort, tandis qu’il agonise sur le poteau de supplice. Songez à tout ce qui doit le préoccuper à ce moment : ses disciples, l’œuvre de prédication et, surtout, son intégrité et l’effet qu’elle aura sur le nom de son Père. L’avenir de l’humanité tout entière dépend de lui ! Pourtant, peu avant d’expirer, Jésus pense également à sa mère, Marie, qui est, semble-t-il, déjà veuve. Il demande à l’apôtre Jean de veiller sur elle comme sur sa propre mère, ce que l’apôtre fera en la prenant chez lui. Jésus s’est soucié des besoins physiques et spirituels de sa mère. Quelle tendre manifestation d’amour désintéressé !        – cf chap29 §7

    Pour abréger les souffrances des criminels condamnés à mourir sur le poteau, les Romains avaient, semble-t-il, coutume de leur donner le coup de grâce en leur brisant les jambes. À la requête des Juifs, les soldats brisèrent les jambes des hommes attachés sur des poteaux à côté de Jésus Christ, mais, constatant que Jésus était déjà mort, ils ne brisèrent pas les siennes. C’est ainsi que s’accomplit la prophétie consignée en Psaume 34:20. — Jean 19:31-36  - it-1 p1236

    À la mort de Jésus Christ, Nicodème apporta “ un rouleau de myrrhe et d’aloès, environ cent livres ”. Le récit ajoute : “ Ils prirent donc le corps de Jésus et le lièrent de bandes avec les aromates, comme les Juifs ont coutume de préparer un enterrement. ” (Jean 19:39, 40). Toutefois, cela ne s’appelait pas précisément un embaumement, et c’était différent des procédés d’embaumement employés par les Égyptiens. Ce fut la manière habituelle de préparer le corps pour l’enterrement, sans aucun doute semblable à ce qu’on avait fait pour préparer Lazare à l’inhumation - it-1 p736

     

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