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RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 6 NOVEMBRE 2017 - AMOS 1-9


misette

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RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - Réunion du 6 au 12 novembre 2017 -AMOS 1 à 9.docx

 

RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - Réunion du 6 au 12 novembre 2017 -AMOS 1 à 9.pdf

 

JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

Recherchons des perles spirituelles (8 min) : AMOS 1-9

Amos 2:12 : Comment appliquer la leçon qui se dégage de ce verset ? (w07 1/10 14 § 8).

“ ‘ Mais vous faisiez boire du vin aux naziréens, et aux prophètes vous avez imposé un ordre, en disant : “ Vous ne devez pas prophétiser ». ”

Ne décourageons pas les vaillants pionniers, surveillants itinérants, missionnaires ou membres de la famille du Béthel en les pressant d’abandonner leur service à plein temps pour une vie prétendument normale. Au contraire, encourageons-les à poursuivre leur belle œuvre.TG2007

En voyant la fidélité des naziréens et des prophètes, ces Israélites auraient dû avoir honte et désirer changer de conduite. Au lieu de cela, ils cherchaient sans scrupules à décourager les fidèles de rendre gloire à Dieu. TG2004 15/11 § 15

Quand certains Israélites encouragèrent les naziréens à manquer aux obligations sacrées auxquelles ils s’étaient soumis d’eux-mêmes, Jéhovah réprimanda ces pécheurs (Amos 2:11-16). Les vrais chrétiens s’engagent eux aussi dans le service sacré et le prennent au sérieux. C’est un service qui comporte de nombreuses facettes, toutes importantes. TG1998 1/8 §1

Étant donné l’action sédative des boissons alcooliques, Jéhovah interdisait sous peine de mort aux prêtres et aux Lévites, de service au tabernacle ou au temple, d’en boire, même en petite quantité. En dehors du service, ils étaient libres d’en consommer modérément. Celui qui faisait vœu de naziréat devait s’abstenir d’alcool pour se conformer à une ordonnance divine. TG1970 15/6

Amos 8:1, 2 : Que signifiait « une corbeille de fruits d’été » ? (w07 1/10 14 § 6).

« Voici ce que m’a fait voir le Souverain Seigneur Jéhovah : voici qu’il y avait une corbeille de fruits d’été. 2 Alors il dit : “ Que vois-tu, Amos ? ” Et je dis : “ Une corbeille de fruits d’été. ” Puis Jéhovah me dit : “ La fin est venue pour mon peuple Israël. Je ne continuerai plus à leur pardonner ».

Elle était le signe de la proximité du jour de Jéhovah. On cueille les fruits d’été vers la fin des récoltes, c’est-à-dire vers la fin de l’année agricole. Jéhovah a fait voir à Amos “ une corbeille de fruits d’été ” pour indiquer que la fin était proche pour Israël. C’est pourquoi il lui a dit : “ La fin est venue pour mon peuple Israël. Je ne continuerai plus à leur pardonner. ”- TG2007

On cueillait les fruits d’été vers la fin des récoltes. Le terme de l’année agricole symbolisait donc qu’Israël arrivait à sa fin. “Je ne continuerai plus de l’excuser”, déclara Jéhovah. La nation allait subir l’exécution de son jugement – TG1989 1/4 p22

Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?

Jéhovah mettra-t-il un jour un terme à la méchanceté et à la souffrance sur la terre ? En ce début de XXIe siècle, cette question est plus que jamais d’actualité. Il semblerait que partout où l’on regarde, l’homme tende à se montrer inhumain envers l’homme. N’aspirons-nous pas à un monde débarrassé de la violence, du terrorisme et de la corruption ? La Bonne Nouvelle, c’est que nous pouvons être absolument certains que Jéhovah mettra fin à la méchanceté. Ses qualités nous donnent l’assurance qu’il interviendra contre les méchants. Il est juste et droit. Nous avons une autre raison d’être sûrs que Jéhovah éliminera la méchanceté. Le récit de ses actions passées en donne la garantie. Le livre biblique d’Amos renferme des exemples frappants de la manière dont Jéhovah traite les méchants. En examinant la prophétie d’Amos, nous pouvons considérer trois aspects du jugement divin. Premièrement, ce jugement est toujours mérité. Deuxièmement, on ne peut y échapper. Et troisièmement, il est sélectif, car Jéhovah exécute son jugement sur les méchants, mais il fait preuve de miséricorde envers les personnes repentantes et qui sont dans de bonnes dispositions à son égard – TG2004 15/11 §1-4

Le jugement divin est toujours mérité - Jéhovah a condamné les Syriens “ parce qu’ils ont battu Guiléad comme on bat le grain ”. (Amos 1:3.) Les Syriens avaient annexé une partie du territoire de Galaad, une région d’Israël à l’est du Jourdain, et ils avaient fait beaucoup de mal aux serviteurs de Dieu qui y résidaient. Qu’en était-il de la Philistie et de Tyr ? Les Philistins étaient coupables d’avoir emmené des Israélites en exil, ou en captivité, et de les avoir vendus aux Édomites ; d’autres Israélites étaient tombés entre les mains de marchands d’esclaves tyriens (Amos 1:6, 9). Vous rendez-vous compte ? Vendre des serviteurs de Dieu en esclavage ! Il n’est pas étonnant que Jéhovah ait décrété le malheur sur la Syrie, sur la Philistie et sur Tyr. Édom, Ammon et Moab avaient un point commun avec Israël et entre elles. Toutes trois étaient apparentées aux Israélites. Les Édomites descendaient d’Abraham par Ésaü. Les Ammonites et les Moabites étaient, quant à eux, des descendants de Lot. Ils étaient donc, en un sens, les frères d’Israël. Édom, Ammon et Moab ont-ils pour autant traité leurs parents israélites comme des frères ? Tant s’en faut ! Édom a usé, sans pitié, de l’épée contre “ son frère ”, tandis que les Ammonites ont fait preuve de cruauté envers leurs captifs israélites (Amos 1:11, 13). Même si Amos ne mentionne pas précisément les mauvais traitements que Moab a infligés au peuple de Dieu, on sait que les Moabites étaient des ennemis séculaires d’Israël. La punition de ces trois nations parentes serait sévère. Jéhovah les détruirait par le feu. TG2004 15/11 §6,7

On ne peut échapper au jugement divin - La prophétie d’Amos s’adresse ensuite à une septième nation, son propre pays, Juda. Les auditeurs d’Amos dans le royaume du Nord ont peut-être été surpris de l’entendre proclamer un jugement contre le royaume de Juda. Pourquoi les habitants de Juda méritaient-ils un jugement défavorable ? “ Parce qu’ils ont rejeté la loi de Jéhovah ”, déclare Amos 2:4. Jéhovah n’a pas pris à la légère leur mépris volontaire de sa Loi. Selon Amos 2:5, il a prédit : “ J’enverrai un feu dans Juda, et il devra dévorer les tours d’habitation de Jérusalem. ”La nation infidèle de Juda ne pouvait pas échapper au malheur qui l’attendait. Pour la septième fois, Jéhovah dit : “ Je ne le ferai pas revenir. ” (Amos 2:4). Juda a reçu la punition prédite quand elle a été mise en désolation par les Babyloniens en 607 avant notre ère. Une fois de plus, nous constatons que les méchants n’ont aucun moyen d’échapper au jugement divin. Amos venait de proclamer le jugement de Jéhovah sur sept nations. Mais quiconque pensait qu’il avait fini de prophétiser se trompait. Il était loin d’en avoir terminé ! Il avait pour mission première de proclamer un message de jugement cinglant contre Israël, le royaume du Nord. Et ce jugement divin, la nation d’Israël le méritait en raison de sa décadence morale et spirituelle. Les déclarations prophétiques d’Amos ont dénoncé l’oppression, devenue courante dans le royaume d’Israël. À cet égard, on lit en Amos 2:6, 7 : “ Voici ce qu’a dit Jéhovah : ‘ À cause de trois révoltes d’Israël, et à cause de quatre, je ne le ferai pas revenir, parce qu’ils ont vendu le juste pour de l’argent, et le pauvre pour le prix d’une paire de sandales. Ils sont haletants après la poussière de la terre sur la tête des petits ; et la voie des humbles, ils la font dévier. ’ ” Les justes étaient vendus “ pour de l’argent ” ; cela signifiait que les juges, après s’être laissé acheter, condamnaient les innocents. Les créanciers vendaient le pauvre en esclavage pour le prix d’“ une paire de sandales ”, peut-être à cause d’une dette dérisoire. Des hommes sans cœur ‘ haletaient ’, autrement dit cherchaient avidement à abaisser les “ petits ”, et les amenaient à se jeter de la poussière sur la tête en signe de détresse, de deuil ou d’humiliation. La corruption était si répandue que les “ humbles ” ne pouvaient compter sur une quelconque justice. Remarquez qui était maltraité. Les justes, les pauvres, les petits et les humbles du pays. L’alliance de la Loi que Jéhovah avait conclue avec Israël exigeait la compassion envers les personnes vulnérables et nécessiteuses. Or, leurs conditions de vie dans le royaume des dix tribus d’Israël auraient difficilement pu être pires. - TG2004 15/11 §9-14

 Prépare-toi à rencontrer ton Dieu ”- L’immoralité sexuelle et d’autres péchés s’étant généralisés en Israël, le prophète Amos a lancé, à juste titre, cet avertissement à la nation rebelle : “ Prépare-toi à rencontrer ton Dieu. ” (Amos 4:12). Les Israélites infidèles ne pouvaient échapper à l’exécution imminente du jugement divin ; pour la huitième fois, Jéhovah a déclaré en effet : “ Je ne le ferai pas revenir. ” (Amos 2:6). Au sujet des méchants qui tenteraient peut-être de se cacher, Dieu dit : “ Pas un fuyard d’entre eux ne réussira à s’enfuir, pas un rescapé d’entre eux ne parviendra à s’échapper. S’ils pénètrent au shéol, de là ma main les prendra ; et s’ils montent aux cieux, de là je les ferai descendre. ” — Amos 9:1, 2. Les méchants ne pouvaient se dérober à l’exécution du jugement de Jéhovah en pénétrant “ au shéol ”, en essayant figurément parlant de se cacher dans les parties les plus basses de la terre. Ils ne s’y soustrairaient pas non plus en montant “ aux cieux ”, c’est-à-dire en tentant de trouver refuge sur de hautes montagnes. L’avertissement de Jéhovah était clair : aucune cachette n’était hors d’atteinte pour lui. La justice divine exigeait que le royaume d’Israël rende des comptes pour ses actions méchantes. Et c’est ce qui s’est produit. En 740 avant notre ère, environ 60 ans après qu’Amos a écrit sa prophétie, le royaume d’Israël a été conquis par les Assyriens. TG2004 15/11 §15,16

Le jugement divin est sélectif - Dieu est capable de trouver les méchants et d’exécuter son jugement sur eux, où qu’ils se cachent. Il est également capable de trouver les justes et les pécheurs qui se repentent, et il décide de leur faire miséricorde ; c’est ce que le dernier chapitre du livre d’Amos met magistralement en évidence. Selon Amos chapitre 9, verset 8, Jéhovah a dit : “ Je n’anéantirai pas complètement la maison de Jacob. ” Comme cela ressort des versets 13 à 15, Jéhovah a promis qu’‘ il ramènerait les captifs de son peuple ’. Il leur fera miséricorde, et ils vivront dans la sécurité et la prospérité. “ Le laboureur rejoindra le moissonneur ”, assure Jéhovah. Imaginez un peu l’abondance de la moisson : elle ne sera pas encore terminée que, déjà, il sera temps de labourer et de semer. Le jugement de Jéhovah sur les méchants de Juda et d’Israël a été sélectif puisqu’aux Israélites repentants et bien disposés il a été fait miséricorde. Conformément à la promesse de restauration consignée en Amos chapitre 9, un reste repentant d’Israël et de Juda est revenu de la captivité à Babylone, en 537 av. notre ère. De retour dans son pays bien-aimé, ce reste a rétabli le culte pur. En toute sécurité, il a également rebâti des maisons, planté des vignes et composé des jardins. TG2004 15/11 §17-19

Le jugement de Jéhovah sera exécuté - L’examen des messages de jugement proclamés par Amos devrait nous donner l’assurance que Jéhovah mettra fin à la méchanceté à notre époque. Pourquoi pouvons-nous y croire ? D’abord, les manières dont Dieu a agi envers les méchants, dans le passé, permettent de déterminer ce qu’il fera prochainement. Ensuite, l’exécution du jugement divin sur le royaume apostat d’Israël garantit que Dieu provoquera la destruction de la chrétienté, la partie la plus répréhensible de “ Babylone la Grande ” Que la chrétienté mérite la condamnation divine ne fait aucun doute. Son état déplorable sur les plans religieux et moral parle de lui-même. Le jugement de Jéhovah contre elle (et contre le reste du monde de Satan) est mérité. Il est en outre inéluctable, car lorsqu’il sera temps pour Jéhovah de l’exécuter, les paroles d’Amos chapitre 9, verset 1, s’appliqueront : “ Pas un fuyard d’entre eux ne réussira à s’enfuir, pas un rescapé d’entre eux ne parviendra à s’échapper. ” Où que les méchants se cachent, Jéhovah les trouvera - TG2004 15/11 §20,21

Dieu examine Israël - Quand, aux jours d’Amos, le Dieu qui examine les cœurs a regardé Israël, le royaume des dix tribus, qu’a-t-il vu ? Amos 6:4-6 parle d’hommes qui étaient “ couchés sur des lits d’ivoire et vautrés sur leurs divans ”. Ils ‘ mangeaient les béliers pris dans le troupeau et les jeunes taureaux choisis parmi les veaux engraissés ’. Ils avaient “ inventé pour eux des instruments pour le chant ” et ils ‘ buvaient dans des bols de vin ’. À première vue, cette scène semble agréable. Dans le confort de leurs maisons luxueuses, les riches se délectent des meilleurs aliments et des meilleures boissons ; ils se divertissent au son d’admirables instruments de musique. Ils possèdent également des “ lits d’ivoire ”. Des archéologues ont découvert à Samarie, la capitale du royaume d’Israël, des ivoires finement sculptés, dont beaucoup avaient très probablement été appliqués sur des meubles ou incrustés dans des lambris. — Cela déplaisait-il à Jéhovah Dieu que les Israélites vivent confortablement, dégustent des mets savoureux, boivent des vins fins et écoutent de la belle musique ? Évidemment non. Ne procure-t-il pas abondamment toutes ces choses pour le bonheur des humains (1 Timothée 6:17) ? Ce qui déplaisait à Jéhovah, c’étaient les mauvais désirs des Israélites, leur condition de cœur méchante, ainsi que leur comportement irrévérencieux envers lui, et leur manque d’amour envers leurs compagnons. Ceux qui ‘ se vautraient sur leurs divans, qui mangeaient les béliers pris dans le troupeau, qui buvaient du vin et qui inventaient des instruments pour le chant ’ allaient être réveillés en sursaut. “ Bannissez-vous de votre esprit le jour du malheur ? ” leur a-t-on demandé. Ils auraient dû être profondément affligés par les conditions existant en Israël, mais ils n’étaient “ pas devenus malades à cause de la catastrophe de Joseph ”. (Amos 6:3-6.) Par-delà, la prospérité apparente de la nation, Dieu a constaté que Joseph, ou Israël, était dans une situation catastrophique sur le plan spirituel. Pourtant, le peuple vaquait à ses occupations quotidiennes comme si de rien n’était. Beaucoup aujourd’hui en font autant. Ils admettent, à la rigueur, que nous vivons une époque difficile, mais tant que les difficultés ne les atteignent pas personnellement, ils se montrent indifférents aux malheurs des autres et ne montrent aucun intérêt pour les questions spirituelles. TG2004 15/11 §3-6

 Aimez ce qui est bon ”- À tous ceux qui désirent l’adorer d’une manière qui lui plaise, Jéhovah dit : “ Haïssez ce qui est mauvais et aimez ce qui est bon. ” (Amos 5:15). L’amour et la haine sont des sentiments puissants qui naissent dans le cœur symbolique. Sachant que le cœur est traître, nous devons faire tout notre possible pour le préserver (Proverbes 4:23 ; Jérémie 17:9). Si nous le laissons nourrir des désirs méchants, nous finirons peut-être par aimer ce qui est mauvais et par haïr ce qui est bon. Et si nous succombons à ces désirs et pratiquons le péché, nous aurons beau déployer tout le zèle du monde, nous ne retrouverons pas pour autant l’approbation de Dieu - TG2004 15/11 §13

 

Jéhovah fait rendre des comptes - Dieu n’allait pas fermer les yeux sur la conduite scandaleuse des Israélites. Il n’a laissé planer aucun doute sur sa position lorsqu’il a dit : “ Je ferai rendre des comptes contre vous, pour toutes vos fautes. ” (Amos 3:2). Ces paroles devraient nous faire réfléchir sur notre délivrance de l’Égypte moderne, le présent système de choses méchant. Jéhovah ne nous a pas libérés spirituellement pour que nous poursuivions des objectifs égoïstes. Il l’a fait pour que nous lui rendions gloire de tout cœur et que nous utilisions notre liberté pour pratiquer le culte pur. Chacun de nous rendra des comptes pour la façon dont il aura employé la liberté que Dieu lui a donnée - TG2004 15/11 §18

À l’époque, il n’a pas dû être facile à quiconque vivait en Israël de rester fidèle à Jéhovah. Il est difficile de nager à contre-courant, comme on dit, et les chrétiens d’aujourd’hui, qu’ils soient jeunes ou âgés, le savent bien. Mais l’amour que les Israélites avaient pour Dieu et le désir qu’ils avaient de lui plaire les ont poussés à pratiquer le vrai culte. Jéhovah leur a lancé la chaleureuse invitation, rapportée en Amos 5:4 : “ Recherchez-moi, et restez en vie. ” Aujourd’hui encore, Dieu témoigne de la miséricorde à ceux qui se sont repentis, l’ont recherché en acquérant la connaissance exacte de sa Parole, et font maintenant sa volonté. Cette voie n’est pas facile à suivre, mais elle mène à la vie éternelle - TG2004 15/11 §20

La prospérité malgré la famine spirituelle - Qu’est-ce qui attendait ceux qui ne soutenaient pas le vrai culte ? La pire famine qui soit : la famine spirituelle ! ‘ Des jours viennent, a dit le Souverain Seigneur Jéhovah, et vraiment j’enverrai une famine dans le pays, une faim, non pas de pain, et une soif, non pas d’eau, mais d’entendre les paroles de Jéhovah. ’ (Amos 8:11). La chrétienté souffre de cette famine spirituelle. Mais ceux d’entre ses membres qui sont sincères remarquent la prospérité spirituelle du peuple de Dieu et affluent vers l’organisation de Jéhovah. Le contraste entre la situation de la chrétienté et celle des vrais chrétiens ressort bien des paroles de Jéhovah : “ Voyez ! Mes serviteurs mangeront, mais vous, vous souffrirez de la faim. Voyez ! Mes serviteurs boiront, mais vous, vous souffrirez de la soif. Voyez ! Mes serviteurs se réjouiront, mais vous, vous ressentirez de la honte. ” — Isaïe 65:13. - TG2004 15/11 §21

À propos d’une conduite condamnable, Jéhovah déclare : “ Sur des vêtements saisis comme gage, ils s’étendent à côté de tout autel ; et le vin de ceux qui ont été frappés d’amende, ils le boivent dans la maison de leurs dieux. ” (Amos 2:8). En effet, les prêtres et le peuple en général ne tiennent pas compte de la loi inscrite en Exode 22:26, 27, qui stipule qu’un vêtement saisi comme gage doit être rendu avant la tombée de la nuit. Au lieu de le rendre, ils s’en servent comme d’une couverture, sur laquelle ils se vautrent tandis qu’ils festoient et boivent en l’honneur de faux dieux. Et avec les amendes qu’ils infligent aux pauvres, ils achètent du vin, qu’ils boivent lors de fêtes religieuses païennes. Comme ils se sont écartés du culte pur ! Les Israélites désobéissaient effrontément aux deux plus grands commandements de la Loi : aimer Jéhovah et aimer son prochain. Dieu a donc envoyé Amos les condamner, à cause de leur infidélité. À notre époque, les nations, y compris celles de la chrétienté, sont aussi corrompues que l’Israël antique. Si quelques humains prospèrent, une majorité sont ruinés et brisés moralement par les pratiques malhonnêtes des hauts responsables du commerce, de la politique et de la fausse religion. Cependant, Jéhovah s’intéresse à ceux qui souffrent et qui le recherchent. Il a donc chargé ses serviteurs d’accomplir une œuvre comparable à celle qu’a effectuée Amos : prêcher Sa parole avec hardiesse. Compte tenu des similitudes entre notre œuvre et celle d’Amos, il nous est très utile de réfléchir à l’exemple du prophète. En effet, Amos nous montre 1) ce que nous devons prêcher, 2) comment nous devons accomplir cette œuvre, et 3) pourquoi aucun opposant ne peut faire cesser notre prédication.- TG2004 15/11 §9-11

Deux hommes marcheront-ils ensemble s’ils ne se sont pas rencontrés sur rendez-vous ?” demandait le prophète Amos (Amos 3:3). Mais peut-on prendre “rendez-vous” avec Dieu pour marcher avec lui ? Eh bien oui ! Effectivement, Dieu prend l’initiative de nous inviter à être ses amis. Il ne nous y contraint pas. Il nous attire plutôt vers lui par ses merveilleuses qualités. En fait, la création elle-même offre assez de preuves de la bonté de Dieu. Puisqu’on ne devient l’ami de Dieu qu’en acceptant ses conditions, il faut étudier sa Parole, la Bible, se vouer sans réserve à Lui et symboliser l’offrande de sa personne par le baptême. – TG1985 1/9 p4

Comment imiter Amos - Nous qui sommes Témoins de Jéhovah, nous axons notre ministère chrétien sur l’activité qui consiste à prêcher le Royaume et à faire des disciples. Néanmoins, nous attirons également l’attention sur les avertissements de Dieu, de la même façon qu’Amos qui a annoncé que Jéhovah exécuterait son jugement sur les méchants. Par exemple, Amos 4:6-11 montre que Jéhovah a plus d’une fois exprimé sa réprobation à l’encontre d’Israël. Il a puni le peuple par “ le manque de pain ”, lui a “ refusé la pluie torrentielle ”, l’a frappé “ par le dessèchement des céréales et par la rouille ”, et lui a envoyé “ une peste ”. Ces plaies ont-elles incité Israël à se repentir ? “ Vous n’êtes pas revenus à moi ”, dit Dieu. Effectivement, les Israélites l’ont rejeté encore et encore. Jéhovah a puni les Israélites qui ne se repentaient pas. Néanmoins, ils ont d’abord reçu un avertissement prophétique, conformément à ce que Dieu a déclaré : “ Le Souverain Seigneur Jéhovah ne fera rien qu’il n’ait révélé son affaire confidentielle à ses serviteurs les prophètes. ” (Amos 3:7). Jéhovah, après lui avoir annoncé la venue du déluge, avait demandé à Noé de proclamer un avertissement. C’est aussi ce qu’il a demandé à Amos. Malheureusement, Israël n’a tenu aucun compte de ce dernier message divin et n’a pas agi comme il aurait dû le faire. TG2004 15/11 §12,13

Vous conviendrez sans doute qu’il existe des similitudes frappantes entre l’époque d’Amos et la nôtre. Jésus Christ a prophétisé que de nombreux malheurs surviendraient au temps de la fin. Il a également annoncé une œuvre mondiale de prédication. Néanmoins, comme aux jours d’Amos, la plupart des gens ne veulent rien savoir des signes de ce temps ni du message du Royaume. Pour eux, les conséquences seront les mêmes que pour les Israélites qui ne se sont pas repentis. Jéhovah les avait avertis en ces termes : ‘ Préparez-vous à rencontrer votre Dieu. ’ (Amos 4:12). Ils ont rencontré Dieu en ce sens qu’ils ont subi son jugement quand l’Assyrie les a vaincus. De nos jours, le monde impie ‘ rencontrera Dieu ’ à Harmaguédon. Mais, tant que Jéhovah exercera sa patience, nous exhorterons le plus de personnes possible ‘ à rechercher Jéhovah et à rester en vie ’. — Amos 5:6. - TG2004 15/11 §14

Des moments difficiles. Aux jours d’Isaïe, la nation de Juda se trouvait dans une situation critique. Elle était entourée d’ennemis. Le peuple était affamé. Plus grave encore, il y avait une famine spirituelle (Amos 8:11). Au lieu de chercher de l’aide auprès de Jéhovah, les Judéens ont maudit leur roi et leur Dieu. En fait, ils rendaient Jéhovah responsable de leurs problèmes. Quand nous vivons des moments difficiles, avons-nous tendance à dire « Que fait Jéhovah alors que j’ai besoin de lui ? » - TG2013 15/8 § 8

 

Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

Amos était non seulement “ gardien de troupeaux ”, mais encore “ pinceur des figues du sycomore ”. Il pinçait, ou perçait, les figues, une opération qui accélérait leur mûrissement. Il s’agissait d’un travail saisonnier et, du reste, fastidieux. Amos avoue avec franchise : “ Je n’étais pas prophète, je n’étais pas non plus fils de prophète. ” Amos 7:14. Il n’était ni le fils d’un prophète, ni formé pour être prophète. Pourtant, parmi tous les Judéens, c’est Amos que Jéhovah a choisi pour effectuer Son œuvre. Dieu n’a choisi, à l’époque, ni un roi puissant, ni un prêtre instruit ni un chef fortuné. Cela nous enseigne une leçon rassurante. Peut-être n’avons-nous pas un rang social élevé ni beaucoup d’instruction. Mais devons-nous pour autant nous sentir inaptes à prêcher la parole de Dieu ? Certainement pas ! Jéhovah peut nous donner les moyens de proclamer son message, même dans des territoires difficiles. C’est ce qu’il a fait dans le cas d’Amos. L’exemple laissé par ce prophète courageux se révèle instructif pour tous ceux qui veulent dire la parole de Dieu avec hardiesse.TG2004 15/11 §2,3

Jéhovah chargea Amos d’une mission difficile, en ces termes : “ Va, prophétise à mon peuple Israël. ” (Amos 7:15). À l’époque, le royaume d’Israël, celui des dix tribus, connaissait la paix, la sécurité et la prospérité. Nombre de ses habitants étaient propriétaires à la fois de ‘ maisons d’hiver ’ et de ‘ maisons d’été ’ construites, non pas en briques crues ordinaires, mais “ en pierres de taille ” coûteuses. Certains possédaient de magnifiques meubles incrustés d’ivoire, et buvaient du vin produit par “ des vignes désirables ”. (Amos 3:15 ; 5:11.) En conséquence, beaucoup étaient contents de leur sort. Tout compte fait, le territoire attribué à Amos ressemblait étrangement à celui dans lequel certains d’entre nous accomplissent leur ministère aujourd’hui. TG2004 15/11 §4

Que les Israélites possèdent des biens n’avait rien de mal en soi. Cependant, certains amassaient des richesses par des moyens malhonnêtes. Les riches ‘ spoliaient les petits ’, ‘ écrasaient les pauvres ’. (Amos 4:1.) Les marchands, les juges et les prêtres, autant de personnages influents, conspiraient pour voler les plus démunis - TG2004 15/11 §5

Il est à noter que lorsqu’il a transmis certaines visions au prophète Amos, Jéhovah lui a posé la question : “ Que vois-tu, Amos ? ” (Amos 7:7, 8 ; 8:1, 2). Nous ne pouvons pas communiquer avec autrui par des visions comme Jéhovah le peut. Par contre, de nombreuses images très évocatrices figurent dans les publications. Servons-nous-en pour aider les personnes s’intéressant à la Bible à visualiser ce que sera le Paradis terrestre qui est annoncé dans la Parole de Dieu. Lors d’une étude biblique, vous pourriez attirer l’attention de l’étudiant sur une illustration qui a trait au sujet que vous étudiez, et lui demander de la décrire. Nous pouvons attirer l’attention de l’étudiant sur des illustrations prévues pour servir de supports visuels à l’enseignement et lui poser des questions similaires – be chap47 p247

Ils violent la Loi de Dieu - Sur la place du marché. Là, des marchands malhonnêtes font “ l’épha petit ” et “ le sicle grand ”, et vendent même des “ déchets ” en guise de grain (Amos 8:5, 6). Ils trichent sur les quantités, demandent un prix trop élevé et proposent des marchandises de mauvaise qualité. Une fois qu’ils ont exploité les pauvres jusqu’à les ruiner, ceux-ci n’ont plus qu’à se vendre comme esclaves. Ensuite, les marchands les achètent “ pour le prix d’une paire de sandales ”. (Amos 8:6.) Rendez-vous compte ! Ces marchands avides n’accordent pas plus de prix à leurs compagnons, des Israélites comme eux, qu’à de vulgaires chaussures ! Quelle humiliation pour les nécessiteux, et quelle violation de la Loi de Dieu ! Pourtant, les mêmes marchands observent “ le sabbat ”. (Amos 8:5.) Ils se montrent donc pieux, mais ce n’est qu’une apparence. - TG2004 15/11 §6

Comment se fait-il que les marchands enfreignent impunément la Loi de Dieu, qui ordonne : “ Tu dois aimer ton compagnon comme toi-même ” ? (Lévitique 19:18.) Ils y parviennent parce que les juges, censés la faire appliquer, sont complices de leurs méfaits. À la porte de la ville, où les procès ont lieu, les juges ‘ acceptent de l’argent pour prix de leur silence et écartent les pauvres ’. Au lieu de protéger les pauvres, les juges les trahissent en échange d’un pot-de-vin (Amos 5:10, 12). Ainsi, eux aussi font fi de la Loi de Dieu. - TG2004 15/11 §7

Qu’en est-il maintenant des prêtres ? Pour le savoir, il suffit de se rendre en un autre endroit. Notez les péchés que tolèrent les prêtres “ dans la maison de leurs dieux ” ! Par la bouche d’Amos, Dieu dit : “ Un homme et son père sont allés vers la même fille, afin de profaner mon saint nom. ” (Amos 2:7, 8). Cela paraît inconcevable ! Un Israélite et son fils commettent l’immoralité sexuelle avec la même prostituée sacrée, et ces prêtres indignes ferment les yeux sur un péché aussi grave ! – TG2004 15/11 §8

En butte à l’opposition, comme Amos - Nous pouvons imiter Amos non seulement dans la teneur du message que nous prêchons, mais aussi dans la manière dont nous prêchons. Cela ressort du chapitre 7, où il est question du prêtre mentionné dans l’introduction de cet article. Il s’agissait d’“ Amatsia le prêtre de Béthel ”. (Amos 7:10.) La ville de Béthel était un centre du culte du veau, la religion apostate d’Israël. Amatsia était donc un prêtre de la religion d’État. Quelle a été sa réaction aux déclarations hardies d’Amos ? Il a dit au prophète : “ Ô visionnaire, va-t’en, fuis au pays de Juda, et là mange le pain, et là tu peux prophétiser. Mais à Béthel tu ne dois plus continuer de prophétiser, car c’est un sanctuaire de roi et c’est une maison de royaume. ” (Amos 7:12, 13). Cela revenait à dire : ‘ Rentre chez toi ! Nous avons notre religion. ’ Il a également essayé de pousser le gouvernement à interdire les activités d’Amos, en déclarant au roi Jéroboam II : “ Amos a conspiré contre toi au sein même de la maison d’Israël. ” (Amos 7:10). Amasiah accusait tout bonnement Amos de trahison ! “ Car, a-t-il ajouté, voici ce qu’a dit Amos : ‘ Jéroboam mourra par l’épée ; et Israël, lui, partira bel et bien en exil de dessus son sol. ’ ” — Amos 7:11. En quelques mots, Amasiah a aligné trois affirmations déformées. Premièrement : “ Voici ce qu’a dit Amos. ” Amos n’avait pourtant jamais prétendu être à l’origine de la prophétie. Il avait toujours précisé au contraire : “ Voici ce qu’a dit Jéhovah. ” (Amos 1:3). Deuxièmement, Amos a été accusé d’avoir dit : “ Jéroboam mourra par l’épée. ” Or, comme nous l’avons vu en Amos 7:9, Amos avait prophétisé : “ Je [Jéhovah] me lèverai contre la maison de Jéroboam avec une épée. ” Dieu avait prédit ce malheur pour la “ maison ” de Jéroboam, pour sa postérité. Enfin, Amasiah a soutenu qu’Amos avait dit : ‘ Israël partira bel et bien en exil. ’ Mais Amos avait ajouté que tous les Israélites qui reviendraient vers Dieu seraient bénis. Manifestement, Amasiah a énoncé des demi-vérités dans l’espoir de faire interdire officiellement la prédication d’Amos.

Avez-vous remarqué combien les méthodes d’Amasiah sont semblables à celles qu’utilisent les opposants au peuple de Jéhovah aujourd’hui ? Amasiah a essayé de réduire Amos au silence ; pareillement, des prêtres, des prélats et des patriarches de notre époque essaient d’entraver la prédication des serviteurs de Jéhovah. Amasiah a accusé mensongèrement Amos de trahison ; aujourd’hui, des ecclésiastiques accusent les Témoins de Jéhovah d’être une menace pour la sécurité de leur pays. Et de même qu’Amasiah a recherché le soutien du roi dans son combat contre Amos, de même le clergé s’appuie souvent sur ses alliés politiques pour persécuter les Témoins de Jéhovah. - TG2004 15/11 §15-18

Aucun opposant ne pourra faire cesser notre prédication - Comment Amos a-t-il réagi à l’opposition d’Amasiah ? Il a tout d’abord demandé au prêtre : “ Est-ce que tu dis : ‘ Tu ne dois pas prophétiser contre Israël ’ ? ” Puis, sans hésiter, le courageux prophète de Dieu a continué de dire les paroles qu’Amasiah ne souhaitait pas entendre (Amos 7:16, 17). Amos n’était pas intimidé. Quel exemple pour nous ! Quand il s’agit de dire Sa parole, nous ne désobéissons pas à Dieu, même dans les pays où des Amasiah modernes fomentent une persécution cruelle. Comme Amos, nous continuons de proclamer : “ Voici ce qu’a dit Jéhovah. ” Aucun opposant ne parviendra à faire cesser notre prédication, car “ la main de Jéhovah ” est avec nous. —  Amasiah aurait dû savoir que ses menaces étaient inutiles. Amos avait expliqué pourquoi personne au monde ne l’empêcherait de parler ; c’est d’ailleurs le troisième point que nous allons aborder. D’après Amos 3:3-8, le prophète a montré, à l’aide de questions et d’exemples, que tout effet a une cause. Puis il a fait cette application : “ Un lion a rugi ! Qui n’aura peur ? Le Souverain Seigneur Jéhovah lui-même a parlé ! Qui ne prophétisera ? ” En d’autres termes, Amos a dit à ses auditeurs : ‘ Tout comme on ne peut s’empêcher d’avoir peur lorsqu’on entend le rugissement d’un lion, de même je ne peux m’empêcher de prêcher la parole de Dieu quand j’entends Jéhovah m’ordonner de le faire. ’ La crainte, ou le profond respect, qu’Amos ressentait pour Dieu, le poussait à parler avec hardiesse. Nous aussi, nous entendons Jéhovah nous ordonner de prêcher. Quelle est notre réaction ? À l’exemple d’Amos et des premiers disciples de Jésus, avec l’aide de Jéhovah nous disons Sa parole avec hardiesse. Ni la persécution provoquée par nos opposants, ni l’indifférence des gens à qui nous prêchons ne nous réduiront au silence. Mus par un zèle semblable à celui d’Amos, les Témoins de Jéhovah du monde entier se sentent poussés à continuer d’annoncer la bonne nouvelle avec hardiesse. Nous avons la responsabilité d’avertir nos contemporains du jugement de Jéhovah - TG2004 15/11 §19-21

 

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