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RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 2 AVRIL 2018 - MATTHIEU 26


misette

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JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

Recherchons des perles spirituelles (8 min) : MATTHIEU 26

Matthieu 26:17 : Pourquoi le 13 nisan est-il appelé le « premier jour de la fête des Pains sans levain » ? (nwtsty, note d’étude).

« Le premier jour des Gâteaux sans levain, les disciples s’avancèrent vers Jésus, en disant : “ Où veux-tu que nous fassions les préparatifs pour que tu manges la Pâque ? ” »

Le premier jour de la fête des Pains sans levain : La fête des Pains sans levain commençait le 15 nisan, le lendemain de la Pâque (14 nisan), et durait sept jours (voir sgd, partie 19). Toutefois, à l’époque de Jésus, la Pâque avait fini par être étroitement liée à cette fête, si bien que les huit jours de fête, 14 nisan inclus, étaient parfois appelés « la fête des Pains sans levain » (Lc 22:1).

Dans ce contexte, l’expression « le premier jour de » pourrait être rendue par « le jour avant ». (Comparer avec Jean 1:15, 30, où le mot grec pour « premier » [prôtos] est traduit par « avant » dans une construction semblable, à savoir « il existait avant [prôtos] moi ».) Donc, le grec original, tout comme la coutume juive, laisse penser que les disciples ont posé leur question à Jésus le 13 nisan. Durant la journée du 13 nisan, les disciples ont fait les préparatifs de la Pâque, qui a été célébrée plus tard « après que le soir fut tombé » au début du 14 nisan (Mc 14:16, 17). - nwtsty, note d’étude

La première fête avait lieu durant le premier mois de l’ancien calendrier biblique, du 15 au 21 Nisan, ce qui correspond aujourd’hui à la fin mars ou au début avril. Elle était appelée fête des Gâteaux sans levain, et parce qu’elle faisait immédiatement suite à la Pâque du 14 Nisan, elle était aussi appelée “ fête de la Pâque ”. Cette fête rappelait aux Israélites qu’ils avaient été délivrés de l’affliction subie en Égypte, et les gâteaux sans levain étaient d’ailleurs appelés “ le pain d’affliction ”. Elle leur rappelait aussi que la fuite d’Égypte avait été si précipitée qu’elle ne leur avait pas laissé le temps d’ajouter du levain à la pâte et d’attendre que celle-ci ait levé. Pendant cette fête, on ne devait trouver de pain au levain dans aucun foyer israélite. Tout participant à la fête, même un résident étranger, qui mangeait du pain levé était mis à mort – TG1998  1/3

Matthieu 26:39 : Qu’est-ce qui a peut-être incité Jésus à prier : « Que cette coupe passe loin de moi » ? (nwtsty, note d’étude).

« Et s’avançant un peu, il tomba sur sa face, priant et disant : “ Mon Père, si c’est possible, que cette coupe passe loin de moi. Toutefois, non pas comme je veux, mais comme tu veux. ” »

Fais que cette coupe passe loin : Dans la Bible, le mot « coupe » est souvent utilisé dans un sens figuré pour parler de la part que Dieu a accordée à une personne, c’est-à-dire sa volonté la concernant. Il ne fait aucun doute que Jésus s’inquiétait vivement à l’idée que son exécution pour blasphème et sédition ne jette le discrédit sur Dieu, ce qui l’a poussé à prier pour que cette « coupe » passe loin de lui. - nwtsty, note d’étude

La “ coupe ” symbolique que Jéhovah versa à Jésus Christ était Sa volonté le concernant. Quant à Jésus, s’il pria pour que, si possible, cette “ coupe ” passe loin de lui, ce fut sans aucun doute parce qu’il s’inquiétait vivement à l’idée que son Père serait couvert d’opprobre par sa mort en criminel accusé de blasphème et de sédition. Toutefois, il était disposé à se soumettre à la volonté de Jéhovah et à la boire - La part, la “ coupe ”, assignée par Jéhovah à Jésus signifiait non seulement des souffrances, mais aussi le baptême dans la mort dont l’issue serait la résurrection pour la vie immortelle au ciel. Cette coupe était donc également “ la coupe du salut grandiose ” pour le Christ. Cette “ coupe ” que Jésus Christ reçut à boire, il la partage aussi, conformément à la volonté divine, avec le “ petit troupeau ” de ses cohéritiers du Royaume. – it2 p733

Vers la fin de sa vie terrestre, Jésus s’est trouvé face à une situation des plus délicates. Tout au long de son ministère, il s’était déclaré prêt à donner sa vie en sacrifice. Cependant, il savait qu’il allait être accusé mensongèrement, reconnu coupable par la loi juive et mis à mort comme blasphémateur. Cet aspect des choses l’angoissait terriblement. Aussi a-t-il prié en ces termes : “ Mon Père, si c’est possible, que cette coupe passe loin de moi. ” Mais il a ajouté : “ Toutefois, non pas comme je veux, mais comme tu veux. ” (Mat. 26:39). En restant fidèle jusqu’à la mort, Jésus a révélé sans l’ombre d’un doute que Jéhovah était la personne la plus importante dans sa vie – TG2011  15/5 p18-19 §12

Jésus avait beau prendre plaisir à faire la volonté de Jéhovah, ce n’était pas toujours facile. Songez à ce qui est arrivé juste avant son arrestation, son procès et son exécution. Dans le jardin de Gethsémané, il était ‘ profondément attristé ’ et a été “ pris d’angoisse ”. Il était en proie à une émotion si forte que, tandis qu’il priait, “ sa sueur devint comme des gouttes de sang qui tombaient à terre ”. — Matthieu 26:38.

Pourquoi Jésus était-il angoissé ? Certainement pas parce qu’il ne pensait qu’à lui ni parce qu’il rechignait à faire la volonté de Dieu. Il s’attendait à mourir ; témoin sa réaction vive à ces paroles de Pierre : “ Sois bon avec toi, Seigneur ; non, tu n’auras pas un tel sort. ” (Matthieu 16:21-23). Ce qui souciait Jésus, c’était l’incidence que sa mort en criminel méprisé aurait sur Jéhovah et son saint nom. Jésus savait que son Père serait profondément peiné de voir son Fils bien-aimé traité de façon aussi barbare.

Jésus comprenait également qu’il arrivait à un moment décisif dans l’accomplissement du dessein de Jéhovah. S’il suivait fidèlement les lois de Dieu, il démontrerait sans conteste qu’Adam aurait pu prendre le même parti. Sa fidélité réfuterait complètement Satan, qui a prétendu que dans l’épreuve les humains ne serviraient pas Dieu de bon gré et fidèlement. Grâce à Jésus, Jéhovah écraserait finalement Satan et effacerait les conséquences de sa rébellion.

Une lourde responsabilité pesait sur les épaules de Jésus. Le nom de son Père, la paix de l’univers et le salut de la famille humaine dépendaient de sa fidélité. Il en était conscient. C’est pourquoi il a prononcé cette prière : “ Mon Père, si c’est possible, que cette coupe passe loin de moi. Toutefois, non pas comme je veux, mais comme tu veux. ” (Mat.26:39). Même sous les tensions les plus fortes, Jésus n’a jamais cessé de se soumettre de bon gré à la volonté de son Père. TG2000 15/11p22

Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?

Dieu ne pardonne pas tout - Il y a des péchés que Dieu ne pardonne pas. Judas Iscariote a laissé son cœur devenir ainsi. “ Il aurait mieux valu pour lui qu’il ne soit pas né, cet homme-là ”, a déclaré Jésus (Matthieu 26:24, 25). Et, à certains chefs religieux de son époque, il a lancé : “ Vous venez, vous, de votre père le Diable. Comme Satan, ces hommes étaient corrompus jusqu’à la moelle. Ils ne regrettaient pas ce qu’ils avaient fait, mais ils s’endurcissaient dans leurs voies mauvaises. Bien sûr, à cause de leur imperfection et de leur faiblesse, même les vrais chrétiens pèchent, parfois gravement. Cependant, leurs défaillances ne reflètent pas une inclination invétérée au mal. – RV2008 Février

Pierre n’oubliera pas l’épisode du jardin de Gethsémané. Il va comprendre dans la douleur ce que peut coûter un manque de vigilance. Un peu plus tôt, Jésus avait affirmé : « Vous tous, vous trébucherez à mon sujet cette nuit-ci. » Pierre s’était alors exclamé : « Même si tous les autres trébuchent à ton sujet, moi, jamais je ne trébucherai. » Mais, avait répondu Jésus, Pierre le renierait trois fois. Imperturbable, l’apôtre avait déclaré : « Même si je devais mourir avec toi, non je ne te renierai pas » (Mat. 26:31-35). Pourtant, comme prédit, il a trébuché. Anéanti à la suite de son dernier reniement, il « pleura amèrement » Tirant certainement leçon de cet évènement, Pierre a surmonté sa tendance à être trop sûr de lui. La prière l’y a de toute évidence aidé. D’ailleurs, l’exhortation à être « vigilants en vue des prières » vient de lui. Suivons-nous ce conseil divinement inspiré ? De plus, prions-nous Jéhovah « sans cesse », reconnaissant que nous dépendons de lui ?. Retenons également cet avertissement de Paul : « Que celui qui pense être debout prenne garde de ne pas tomber » (1 Cor. 10:12). TG2013 15/11§10,11

Devons-nous prier souvent ? Oui. Jéhovah nous encourage à lui parler régulièrement. La Bible dit que nous devons « prier sans cesse », « persévérer dans la prière » et « prier constamment » (Matthieu 26:41). Jéhovah est toujours prêt à nous écouter. Nous pouvons le remercier chaque jour pour son amour et pour tout ce qu’il fait pour nous. Nous pouvons aussi lui demander de nous guider, de nous consoler et de nous donner de la force. Si nous considérons la prière comme un honneur, nous prierons Jéhovah à chaque fois que nous en avons l’occasion. – bhs chap17 §14

Alors qu’il était sur le point de subir une terrible épreuve, Jésus a clairement indiqué que ses disciples ne devaient pas transiger avec leur conscience. Il déclara : “ Tous ceux qui prennent l’épée périront par l’épée. ” (Matthieu 26:52). Pareillement, à notre époque, durant le Jour de Jéhovah, les serviteurs de Dieu doivent rester fermement attachés aux principes bibliques. Il n’y aura pas de salut pour les personnes non repentantes qui adorent la bête sauvage. Il faudra une foi inébranlable, de l’endurance, pour survivre aux persécutions et aux épreuves à venir – re chap28 §24

Jéhovah enseigne à ceux qui l’adorent à être paisibles Matthieu 26:52. Donc, ils ne prendront pas les armes pour se défendre quand viendra cette attaque. Si Dieu n’intervenait pas pour sauver son peuple, il disparaîtrait. C’est pourquoi le nom de Jéhovah, c’est-à-dire sa réputation, sera en jeu. Si les attaquants parvenaient à éliminer son peuple, Jéhovah passerait pour un Dieu sans amour, injuste et impuissant. Un tel dénouement est impossible. Puisque Dieu ne souhaite la destruction de personne, il avertit avant d’agir. La Bible nous prévient que dans l’avenir, quand Satan et ses alliés humains attaqueront son peuple, Jéhovah interviendra de nouveau et répondra par la force. Elle prédit depuis longtemps que Jéhovah détruira les méchants. À ce moment-là, les attaquants comprendront sans l’ombre d’un doute qu’ils ont provoqué le Tout-Puissant. – TG2012 1/ 2

Bien qu’il fût le Fils de Dieu, Jésus n’a pas présumé de sa force ni de sa perfection pour endurer. Il s’est tourné vers le ciel, afin de solliciter le soutien de son Père céleste. Jésus n’a pas fait monter vers Dieu seulement des requêtes, mais aussi des supplications. Le mot “ supplication ” désigne une prière particulièrement fervente, un appel au secours. L’utilisation du pluriel indique par ailleurs que Jésus a imploré Jéhovah plusieurs fois, à Gethsémané, par exemple. — Matthieu 26:36-44. Jéhovah étant le Dieu ‘ qui entend la prière ’, Jésus était sûr qu’il ne serait pas insensible à ses supplications (Psaume 65:2). Au ciel, il l’avait vu répondre aux prières de ses adorateurs fidèles, comme lorsqu’un ange s’était présenté devant le prophète Daniel avant même qu’il ait fini de prier (Daniel 9:20, 21). Dès lors, comment le Père aurait-il pu faire la sourde oreille quand son Fils unique-engendré lui ouvrait son cœur avec “ des cris puissants et des larmes ” ? De fait, il a envoyé un ange le fortifier en vue des terribles épreuves qui l’attendaient – cf chap7 §15,16

Sur le poteau de supplice, Jésus s’est écrié : “ Père, entre tes mains je remets mon esprit. ” (Luc 23:46). Puis il est mort. Quelques heures auparavant, il avait été arrêté et ses amis les plus proches l’avaient abandonné et s’étaient enfuis, parce qu’ils avaient eu peur (Matthieu 26:56). Jésus s’était retrouvé seul. Il n’avait plus qu’une personne auprès de qui puiser de la force : son Père céleste. Et cette confiance n’était pas vaine. Jéhovah a récompensé sa fidélité en le soutenant lui-même avec fidélité. Pour nous également, Jéhovah tient à être Celui de qui nous vient principalement la force. La guerre, la pauvreté, la maladie, la mort ou nos imperfections nous mettent quelquefois à rude épreuve. Quand les tourments de la vie paraissent aussi redoutables qu’un “ puissant ennemi ”, Jéhovah peut être notre force et notre puissance. . Il possède une force extraordinaire qu’il nous propose : son esprit saint. Par le moyen de son esprit, il peut donner “ de la force à celui qui est épuisé ”, au point que celui-ci soit capable de ‘ s’élever avec des ailes, comme les aigles ’.Isaïe 40:29, 31 – TG2004 1/5 p22 §17

Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

La pauvreté ne date pas d’hier. Jéhovah avait prévenu les Israélites que les pauvres ne disparaîtraient jamais du pays. Des siècles plus tard, Jésus a affirmé : « Toujours, [...] vous avez les pauvres avec vous » (Mat. 26:11). Qu’entendait-il par-là ? Qu’il y aurait toujours des pauvres sur la terre ? Non, il voulait dire qu’il y aurait des pauvres tant que ce système corrompu existerait. Il savait qu’aucun humain ne serait en mesure de débarrasser le monde de la pauvreté et de l’injustice. Il savait également que ce serait lui qui se chargerait de le faire. Bientôt, il établira un système de choses totalement différent — “ de nouveaux cieux ” et “ une nouvelle terre ” dans laquelle la douleur, la maladie, la pauvreté et la mort auront cessé d’exister. Heureusement, les miracles de Jésus annoncent des jours meilleurs sous la domination du Royaume, quand tous mangeront à satiété – TG2015  15/6 p5 §7

Le prix de la trahison. Judas fut sans aucun doute piqué au vif par la réprimande de Jésus concernant l’emploi de l’argent. À cet instant, “ Satan entra dans Judas ”, vraisemblablement en ce sens que l’apôtre devenu traître choisit d’exécuter la volonté du Diable, se faisant de son plein gré l’instrument de Satan dont le dessein était de faire obstacle à Christ. Quelques jours plus tard, le 12 Nisan, Judas alla trouver les prêtres en chef ainsi que les capitaines du temple pour savoir combien ils le paieraient s’il livrait Jésus ; ici encore, sa rapacité était flagrante (Mt 26:14-16) - it-2 76-77

Pourquoi les chefs religieux juifs offrirent-ils seulement 30 pièces d’argent à Judas pour qu’il leur livre Jésus ?

Trente pièces d’argent, tel fut le prix offert (Mt 26:14, 15). Il semble qu’en fixant cette somme les chefs religieux tinrent à marquer leur mépris à l’égard de Jésus, qu’ils jugeaient de peu de valeur. D’après Exode 21:32, le prix d’un esclave était de 30 sicles. Dans le même esprit, pour son travail de berger du peuple, Zacharie fut payé “ trente pièces d’argent ”. Jéhovah jugea cette somme dédaignable : le salaire de misère versé à Zacharie était proportionnel à l’intérêt que le peuple infidèle portait à Dieu lui-même (Zacharie 11:12, 13). Par conséquent, en offrant seulement 30 pièces d’argent pour Jésus, les chefs religieux le firent passer pour quelqu’un de peu de valeur.

 

En même temps, toutefois, ils réalisaient Zacharie 11:12, puisqu’en agissant ainsi envers le représentant que Dieu avait envoyé faire œuvre de berger pour Israël, c’est Jéhovah qu’ils traitaient comme quelqu’un de peu de valeur. L’homme corrompu que Judas était devenu “ fut d’accord sur le prix ; et il se mit à chercher une occasion favorable pour le leur livrer Jésus, sans qu’il y ait une foule alentour  - it-2 p77

Pourquoi, dans la Bible, certains personnages n’ont-ils pas de nom ? Devons-nous en conclure que, dans la Bible, tous ceux dont le nom n’est pas précisé sont méchants ou sans importance ? Non. Prenons un autre exemple : Pour sa dernière Pâque, Jésus a demandé à ses disciples d’« aller à la ville vers un tel » et de faire les préparatifs du repas chez lui (Matthieu 26:18). Si l’homme est appelé « un tel », est-ce parce qu’il était méchant ou sans importance ? Pas du tout. Ce « un tel » était sans doute un disciple de Jésus. Mais comme son nom n’était pas indispensable au récit, il n’a pas été précisé. La Bible n’explique pas à chaque fois pourquoi elle donne le nom de certains et pas d’autres. Mais nous pouvons apprendre beaucoup de ceux qui ont servi fidèlement Jéhovah sans espérer devenir célèbres. – TG2013  1/8

Dans le récit de Matthieu, Jésus a dit au sujet de la coupe : “ Ceci représente mon ‘ sang de l’alliance ’, qui va être répandu en faveur de beaucoup pour le pardon des péchés. ” (Matthieu 26:28). Jésus se servait du vin dans la coupe comme représentation, ou symbole, de son propre sang. Son sang versé poserait le fondement d’“ une alliance nouvelle ” pour ses disciples oints de l’esprit, qui régneraient en tant que rois et prêtres avec lui dans les cieux. Le vin rappelle également que le sang versé de Jésus serait le fondement nécessaire pour offrir “ le pardon des péchés ” et permettre ainsi aux participants d’être appelés à la vie céleste comme cohéritiers de Christ. On comprend donc que ceux qui reçoivent cet appel céleste, et dont le nombre est limité, sont les seuls à avoir part au pain et au vin lors du Mémorial. Mais qu’en est-il de tous ces disciples de Jésus qui ne font pas partie de la nouvelle alliance ? Ils constituent les “ autres brebis ” du Seigneur qui espèrent, non pas régner avec Christ dans les cieux, mais vivre éternellement sur une terre paradisiaque . – TG2003  1/ 4 p5

Jésus fit savoir aux disciples que le vin qu’il avait bu (lors de cette Pâque précédant le Mémorial) était le dernier produit de la vigne qu’il boirait ‘ jusqu’à ce jour-là où il le boirait, nouveau, avec eux dans le royaume de son Père ’. (Mt 26:29.) Puisqu’il ne boirait pas au ciel de vin à proprement parler, il faisait de toute évidence allusion à ce que le vin symbolisait parfois dans les Écritures, à savoir la joie. Être ensemble dans le Royaume, c’est ce qu’ils attendaient avec la plus grande impatience. it-2 p762

Les apôtres se sont une nouvelle fois disputés pour savoir lequel d’entre eux semblait être le plus grand. Sans se départir de sa patience, Jésus, plutôt que de les réprimander, les a fait raisonner. Et c’est alors qu’il leur a parlé de ce qui allait arriver : “ Vous tous, vous trébucherez à mon sujet cette nuit-ci, car il est écrit : ‘ Je frapperai le berger, et les brebis du troupeau seront dispersées. ’ ” (Matthieu 26:31 ; Zacharie 13:7). Il savait en effet que ses compagnons les plus proches l’abandonneraient au moment où il aurait besoin d’eux. Il ne les a pourtant pas condamnés.

Tout au contraire, il leur a dit : “ Mais après que j’aurai été relevé, je vous précéderai en Galilée. ” (Matthieu 26:32). Par ces paroles, il leur donnait l’assurance que, bien qu’ils l’aient abandonné, lui ne les abandonnerait pas. Une fois cette terrible épreuve passée, il irait de nouveau vers eux. Jésus a tenu parole. Ayant été ressuscité, il est effectivement apparu aux 11 apôtres fidèles, qui s’étaient, semble-t-il, réunis avec de nombreux autres disciples en Galilée – TG2000  15/2 p19

Il est moins facile de maîtriser sa langue quand on est tendu. Revenons à cet égard sur la nuit qui a précédé la mort de Jésus, un moment où il était “ extrêmement troublé ”. (Matthieu 26:37, 38.) Cela se conçoit aisément, quand on songe que de sa fidélité à Dieu dépendait l’avenir éternel de l’humanité –  TG1996 15/5 p21

Jésus avait beau prendre plaisir à faire la volonté de Jéhovah, ce n’était pas toujours facile. Songez à ce qui est arrivé juste avant son arrestation, son procès et son exécution. Dans le jardin de Gethsémané, il était ‘ profondément attristé ’ et a été “ pris d’angoisse ”. Il était en proie à une émotion si forte que, tandis qu’il priait, “ sa sueur devint comme des gouttes de sang qui tombaient à terre ”. — Matthieu 26:38 - Pourquoi Jésus était-il angoissé ? Il s’attendait à mourir. Ce qui souciait Jésus, c’était l’incidence que sa mort en criminel méprisé aurait sur Jéhovah et son saint nom. Jésus savait que son Père serait profondément peiné de voir son Fils bien-aimé traité de façon aussi barbare. – TG2000 15/11 p22-23

Dans le jardin de Gethsémané, la dernière nuit de la vie terrestre de Jésus, Pierre eut avec Jacques et Jean le privilège d’accompagner Jésus jusqu’à l’endroit où celui-ci se mit à prier avec ferveur. Comme les autres apôtres, Pierre s’assoupit, sous l’effet de la fatigue et du chagrin. Sans doute parce que cet apôtre avait clamé si haut et si fort sa détermination de demeurer avec lui, c’est à Pierre surtout que Jésus s’adressa quand il déclara : “ Ainsi, vous n’avez pas pu veiller une heure avec moi ? ” (Mt 26:36-45). Pierre omit de ‘ prier sans cesse ’ et il en subit les conséquences. - it-2 p585

Trois fois Jésus a prié son Père céleste avec ferveur, et trois fois il est revenu auprès de ses amis, mais les a trouvés en train de dormir. — Matthieu 26:40, 43, 45. Pourquoi ces hommes fidèles ont-ils déçu Jésus cette nuit-là ? En partie parce qu’ils étaient fatigués. Il était tard, probablement après minuit, et “ leurs yeux étaient lourds ” de sommeil (Matthieu 26:43). Néanmoins, Jésus a déclaré : “ Veillez et priez sans cesse, pour que vous n’entriez pas en tentation. L’esprit, en effet, est ardent, mais la chair est faible. ” — Matthieu 26:41. Il ne fait aucun doute que Jésus aussi était fatigué en cette nuit historique. Toutefois, au lieu de s’endormir, il a consacré ses derniers moments de liberté à prier avec ferveur. Si nous écoutons le conseil de Jésus et suivons son excellent exemple dans le domaine de la prière, nos supplications sincères nous aideront à demeurer spirituellement éveillés. Évidemment, Jésus savait (ce que ses disciples ignoraient alors) qu’il allait être arrêté et condamné à mort. Ses épreuves atteindraient leur paroxysme lorsqu’il agoniserait sur le poteau de supplice. Jésus avait annoncé tout cela à ses apôtres, mais ils ne l’avaient pas compris. C’est pourquoi ils se sont endormis pendant que lui restait éveillé et priait. Il en va de nous comme des apôtres : notre chair est faible et nous ignorons certaines choses à venir. Cependant, si nous perdons de vue la gravité de notre époque, nous risquons de nous endormir au sens spirituel. Ce n’est qu’en étant vigilants que nous resterons éveillés – TG2003 1/1 p20

Puisque Jésus a subi de rudes pressions dans son service pour Jéhovah, nous pouvons nous attendre à ce que Satan s’acharne contre nous. Et comme nous sommes imparfaits, même si nous servons Dieu avec plaisir, ce ne sera pas facile. Jésus a vu le combat que menaient ses apôtres pour faire tout ce qu’il leur demandait. C’est la raison pour laquelle il a déclaré : “ L’esprit, en effet, est ardent, mais la chair est faible. ” (Matthieu 26:41). Dans sa chair humaine parfaite, rien n’était faible par nature. Toutefois, il restait conscient de la faiblesse de la chair de ses disciples, l’imperfection qu’ils avaient héritée d’Adam devenu imparfait. Il savait qu’à cause de cette imperfection et des limites qu’elle leur imposait ils devraient se battre pour faire tout ce qu’ils voudraient au service de Jéhovah. – TG2000 15/11 p23

Chez les humains qui s’efforcent de servir Dieu, ‘ l’esprit [la force d’impulsion émanant du cœur symbolique] est ardent, mais la chair est faible ’. (Mt 26:41.) Un combat incessant se livre donc au-dedans des serviteurs de Dieu ; l’esprit saint de Dieu constitue une force poussant à la justice, mais la chair pécheresse combat sans relâche l’influence de l’esprit et fait pression sur la personne pour l’inciter à accomplir les œuvres de la chair. - it-1 p419

Peu après avoir été ainsi affermi, Jésus dit à ses apôtres :  Levez-vous, allons-nous-en ou selon d’autres versions : ‘Allons-y . ” (Matthieu 26:46). Quel courage dans ces paroles ! Il dit cela tout en sachant qu’il va demander à la foule d’épargner ses amis, que ceux-ci vont l’abandonner et s’enfuir, qu’il va se retrouver seul pour affronter la pire épreuve de sa vie. Et c’est seul, effectivement, qu’il va subir un procès illégal et injuste, les moqueries, le supplice et une mort atroce. Mais à aucun moment son courage n’a faibli. Jésus était-il téméraire ? Non. La témérité n’a rien à voir avec le vrai courage. Du reste, il a recommandé à ses disciples d’être prudents, de partir en cas de danger pour être en mesure de continuer à faire la volonté de Dieu (Matthieu 4:12 ; 10:16). Mais, en la circonstance, il savait qu’il n’y avait pas d’échappatoire possible. La volonté de Dieu était en cause. Déterminé à rester intègre, Jésus ne pouvait faire autrement que d’affronter l’épreuve. - cf p43-45

Un peu plus tard, Judas trouva Jésus et les apôtres fidèles dans le jardin de Gethsémané, lieu que le traître connaissait bien, car ils s’y étaient retrouvés plus d’une fois. Judas précédait une grande foule, qui comptait des soldats romains et un commandant. Ces gens portaient des bâtons et des épées, ainsi que des torches et des lampes, qui leur seraient utiles si des nuages cachaient la pleine lune ou si Jésus était dans l’ombre. Les Romains ne reconnaîtraient probablement pas Jésus ; c’est pourquoi, selon un signe convenu, Judas salua Christ et poussa l’hypocrisie jusqu’à ‘ l’embrasser très tendrement ’, afin qu’on sache que c’était lui (Mt 26:47-49) Après coup, Judas saisit la gravité de sa culpabilité. Au matin, il essaya de rendre les 30 pièces d’argent, mais les prêtres en chef les refusèrent. Finalement, il jeta l’argent dans le temple. it-2 p77

Les apôtres ont pu constater la haine intense du monde quand Jésus a été arrêté et exécuté ; ils ont vu aussi comment il s’est comporté face à cette haine. Lorsque les ennemis religieux de Jésus sont venus l’arrêter dans le jardin de Gethsémané, Pierre a tenté de s’interposer en se servant d’une épée. Mais Jésus lui a dit : “ Remets ton épée à sa place, car tous ceux qui prennent l’épée périront par l’épée. ” (Matthieu 26:52). Les Israélites d’autrefois combattaient leurs ennemis avec des épées. Mais les circonstances n’étaient plus les mêmes. Ne faisant “ pas partie du monde ”, le Royaume de Dieu n’avait pas de frontières à défendre. Pierre ferait bientôt partie d’une nation spirituelle, dont les membres auraient leur droit de cité dans les cieux. Désormais, les disciples de Jésus affronteraient donc la haine et la persécution de la même façon que leur Maître : avec courage, mais dans la paix. Ils placeraient leur confiance en Jéhovah, lui laissant le soin de régler la question et comptant sur lui pour leur donner la force d’endurer. Sur le plan personnel, soyons déterminés à agir de même quand les circonstances l’exigent – TG2005 1/1 p11

Tandis que Jésus est conduit ailleurs, ils le suivent, mais « à bonne distance » (Mat. 26:58). Pierre n’est pas un lâche. Il lui faut du courage pour suivre Jésus. Surtout que la foule est armée et que parmi elle se trouve un homme qu’il a blessé. Enfin, Pierre est quand même loin du modèle d’amour fidèle qu’il a prétendu être, lui qui s’est déclaré prêt à mourir avec le Seigneur  Aujourd’hui aussi, beaucoup veulent suivre le Christ « à bonne distance », c’est-à-dire sans que personne ne le remarque. Toutefois, comme Pierre lui-même l’écrira, la seule bonne façon de suivre le Christ, c’est de rester proche de lui, de l’imiter fidèlement, quoi qu’il en coûte - ia p199-200

En optant parfois pour le silence, Jésus a manifesté une prudence et un discernement admirables. Comprenant que s’exprimer dans le climat hostile suscité par ses ennemis ne servirait à rien, il ‘ s’est tu ’. (Mat. 26:63.) Plus tard, lors de son procès devant Pilate, il “ ne répondit rien ”. Avec prudence, il décida de laisser parler les faits. Nous aurons, nous aussi, la sagesse de retenir nos lèvres, en particulier lorsqu’on nous provoque. Dans une situation éprouvante, répondre hâtivement pourrait nous amener à lâcher des paroles que nous regretterions ensuite. Nos propos risqueraient de sembler stupides, ce qui troublerait notre sérénité – TG2009 15/5 p4

Si un chrétien est appelé à témoigner devant un tribunal, peut-il jurer de dire toute la vérité en posant la main sur la Bible ?

Il n’y a aucune objection à cela, bien qu’il appartienne à chacun de décider de faire ce serment ou de demander à en être dispensé. La coutume qui consiste à faire un serment en mettant la main sur un objet considéré comme sacré s’est largement répandue. Par exemple, les Grecs de l’Antiquité prenaient un engagement solennel en levant la main ou en la posant sur un autel. Chez les Romains, le jureur tenait une pierre dans la main et jurait, disant que s’il mentait Jupiter devait le rejeter tout comme lui jetait la pierre. De tels actes révèlent la tendance humaine à reconnaître l’existence d’une divinité puissante à qui les hommes doivent rendre compte de leurs paroles et de leurs actes. Sans aucun doute, les adorateurs du vrai Dieu, Jéhovah, sont de cet avis. D’ailleurs, la Bible montre qu’ils ont fait des serments comme si Jéhovah était présent ou en le prenant à témoin. Les vrais adorateurs de Dieu ont également accepté que d’autres leur imposent un serment. Mat. 26:63.

Il est évident qu’un chrétien n’est pas tenu de faire un serment pour appuyer chacune de ses déclarations. Son Oui devrait signifier Oui et son Non, Non. Par conséquent, s’il se présente devant un tribunal et qu’on lui demande de jurer de dire la vérité, le chrétien peut décider de faire un tel serment. Il se peut aussi qu’on lui permette simplement de certifier qu’il ne ment pas. Si la coutume veut que celui qui comparaît devant un tribunal lève la main ou la pose sur la Bible en jurant de dire la vérité, un chrétien est libre de se soumettre à cette règle compte tenu des exemples bibliques de serments appuyés par un geste. Mais ce n’est pas tellement le serment accompagné d’un geste qui compte, c’est plutôt le fait que le jureur jure devant Dieu de dire la vérité. Un tel serment est donc une chose grave. Par conséquent, si un chrétien pense qu’il peut et doit répondre à une question dans ces conditions, il est alors tenu de dire la vérité. – TG1976  1/11

Quel est le sens des paroles de Jésus : “ C’est toi qui l’as dit  ? Quand Caïphe, le grand prêtre juif, a ordonné à Jésus de déclarer publiquement s’il était le Christ, le Fils de Dieu, Jésus a répondu : “ C’est toi qui l’as dit. ” (Matthieu 26:63, 64). Qu’entendait-il par-là ? Jésus n’essayait pas d’esquiver la question de Caïphe. L’expression “ c’est toi qui l’as dit ” était apparemment une tournure juive courante pour affirmer qu’une déclaration était exacte. Garder le silence aurait pu laisser entendre qu’il niait être le Christ. La réplique de Jésus “ c’est toi qui l’as dit ” était donc une réponse affirmative au grand prêtre km2013/2

Jésus annonça qu’il serait condamné par les prêtres en chef et attaché sur un poteau par les Gentils, mais que le troisième jour il serait relevé (Mat. 20:17-19). Lorsqu’il affirma devant le Sanhédrin qu’il était “ le Christ le Fils de Dieu ”, on jugea qu’il avait blasphémé (Mat. 26:63-66). Pilate ne trouva en lui ‘ rien qui mérite la mort ’, mais parce que les Juifs l’accusaient aussi de sédition, Pilate “ livra Jésus à leur volonté ”. (Luc 23:13-15, 25.)

Ainsi, ils ‘ renièrent ’ “ l’Agent principal de la vie ” et tramèrent sa mort, bien qu’il fût incontestable qu’il avait été envoyé par Dieu. Attaché à un poteau le jour de la Pâque de l’an 33 de notre ère, le Messie fut “ retranché ”, comme cela avait été prédit (Dan. 9:26, 27). Par cette mort cruelle, il subit la blessure “ au talon ” prophétisée en Genèse 3:15. Quand vous parlez de la vérité, attirez-vous l’attention des gens sur le rôle que Jésus exerce en tant que Messie ? Ce faisant, vous ressentirez davantage de reconnaissance pour ce que Jésus a fait pour vous par le passé, pour ce qu’il fait actuellement et pour ce qu’il ne manquera pas de faire dans l’avenir. – TG2009 15/12 p22 §13,21

Le roi Salomon a écrit : “ L’homme a dominé l’homme à son détriment. ” (Ecclésiaste 8:9). Jésus savait que ces paroles étaient vraies. Du ciel, en effet, il avait vu les injustices criantes que des humains infligeaient à d’autres. Sur la terre, il a lui-même essuyé la plus grande injustice imaginable, puisque, sans avoir commis aucun péché, il a été accusé de blasphème et mis à mort comme un criminel (Matthieu 26:63-66). Aujourd’hui, l’injustice est toujours répandue, et les vrais chrétiens en ont souffert plus que leur compte, étant “ les objets de la haine de toutes les nations ”. Pourtant, bien qu’ils aient vécu des horreurs dans les camps de la mort nazis et dans les goulags soviétiques, bien que des foules les aient pris à partie, bien qu’ils aient été victimes de fausses accusations et d’attaques mensongères, la paix du Christ leur a permis de rester fermes. Ils ont imité Jésus, à propos de qui on lit : “ Quand on l’insultait, il ne rendait pas l’insulte. Quand il souffrait, il ne menaçait pas, mais il s’en remettait toujours à celui qui juge avec justice. ” — 1 Pierre 2:23. – TG2001 1/9 p14 §4

Matthieu 26:74 veut-il  dire que, sous la pression des circonstances, l’apôtre Pierre prononça des jurons ? Non; ce verset décrit la façon dont Pierre réagit quand, après l’arrestation de Jésus, on l’accusa d’être un des disciples du Nazaréen. En Matthieu 26:74, Pierre va renier son Maître pour la troisième fois. Nous lisons: “Alors il commença à faire des imprécations et à jurer: ‘Je ne connais pas cet homme !’”Dans certaines langues, les expressions “faire des imprécations” et “jurer” peuvent faire penser à des jurons. Mais quand Pierre a fait des ‘imprécations’ et a ‘juré’, il ne s’est pas répandu en jurons comme font beaucoup de gens lorsqu’ils sont en colère.

Dans la Bible, aussi bien dans le texte hébreu que dans le texte grec, “faire une imprécation”, c’était appeler le mal sur quelqu’un ou sur quelque chose. Ce n’était pas blasphémer, et parfois cela n’avait aucun rapport avec la colère. Pour attester la vérité de sa déclaration, il arrivait qu’un homme prononce une imprécation. Il disait en fait: ‘Que je sois maudit si ce que je dis n’est pas vrai; que le mal vienne sur moi !’ Pareillement, quelqu’un pouvait “jurer” pour une chose, affirmant sous serment qu’il disait la vérité et appelant sur lui tel ou tel malheur s’il mentait.

Ainsi, Pierre n’a pas blasphémé, mais, pris de peur, il a essayé de convaincre ceux qui l’entouraient qu’il leur disait la vérité en niant être un disciple du Christ. Évidemment, il s’agissait là d’un mensonge dont il dut se repentir par la suite. La Bible montre clairement que le chrétien ne doit pas prononcer de juron lorsqu’elle dit: “Qu’aucune parole ordurière ne sorte de votre bouche.” — Éph. 4:29. – TG1982  1/3

 

 

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