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RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 9 JUILLET 2018 - LUC 8-9


misette

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JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

Recherchons des perles spirituelles (8 min) : LUC 8-9

Luc 8:3 : Comment ces chrétiennes servaient-elles Jésus et les apôtres ? (nwtsty, note d’étude).

« et Jeanne la femme de Chouza le préposé d’Hérode, et Suzanne et beaucoup d’autres femmes, qui les servaient de leurs biens »

Les servir : ou « pourvoir à leurs besoins ». Le mot grec diakonéô peut signifier combler les besoins physiques de quelqu’un, entre autres, en se procurant des aliments, en les cuisinant et en les servant. Il a un sens similaire en Luc 10:40 (« accomplir le travail »), en Luc 12:37 (« servir ») et en Actes 6:2 (« distribuer la nourriture »), mais il peut aussi se rapporter à tout autre service de même nature rendu à quelqu’un. Ici, il est employé pour parler de la façon dont les femmes mentionnées aux versets 2 et 3 pourvoyaient aux besoins de Jésus et de ses disciples, ce qui les aidait à s’acquitter de leur mission divine. En agissant ainsi, ces femmes glorifiaient Dieu qui, en retour, a montré qu’il accordait du prix à leurs actions en conservant dans la Bible un récit de leur belle générosité afin que les générations futures en prennent connaissance (Pr 19:17 ; Hébreux 6:10). Le même terme grec est utilisé concernant des femmes en Mt 27:55 ; Marc 15:41.- nwtsty, note d’étude

Jeanne était « la femme de Chouza le préposé d’Hérode ». Chouza a probablement été l’intendant d’Hérode Antipas. Jeanne faisait partie des quelques femmes que Jésus avait guéries. Comme d’autres femmes, elle suivait Jésus et ses apôtres dans leurs déplacements

En se joignant à Jésus et à ses apôtres, Jeanne s’exposait aux critiques de son entourage. En réalité, tous ceux qui suivaient le Christ devaient être disposés à opérer des changements dans leur vie quotidienne. Jésus a cependant dit à leur sujet : « Ma mère et mes frères, ce sont ceux qui entendent la parole de Dieu et la mettent en pratique » (Luc 8:19-21)

Jeanne et beaucoup d’autres femmes servaient « de leurs biens » Jésus et les douze (Luc 8:3). Un auteur observe : « Luc n’est pas en train de dire à ses lecteurs que les femmes faisaient la cuisine, la vaisselle et le raccommodage. Peut-être qu’elles effectuaient ce genre de tâches [...], mais Luc ne parle pas de cela. » Apparemment, ces femmes se servaient de leur argent ou de leurs biens pour subvenir aux besoins de leurs compagnons.

Durant leurs campagnes de prédication, ni Jésus ni ses apôtres ne se livraient à une activité professionnelle. Ils n’avaient donc probablement pas les moyens d’acheter toute la nourriture et les autres nécessités pour leur groupe, qui devait compter une vingtaine de personnes. Bien qu’ils aient sans doute été reçus avec hospitalité, ils possédaient une « caisse », ce qui suggère qu’ils ne dépendaient pas en permanence de l’hospitalité des gens – TG2015 15/8 p29-30

Marie la Magdalène, Jeanne, Suzanne et d’autres utilisaient “ leurs biens ” pour servir modestement Jésus et ses apôtres. Sans être indigents, ces hommes avaient abandonné leurs moyens de subsistance pour se consacrer exclusivement à leur ministère. En les aidant à accomplir la mission que Dieu leur avait confiée, ces femmes ont glorifié Dieu qui, en retour, a montré son approbation en conservant dans la Bible un témoignage de leur générosité miséricordieuse, afin que les générations futures en prennent connaissance – TG2003 1/6 p4-5

Les rabbins enseignaient que les femmes ne devaient pas fréquenter les hommes ne faisant pas partie de leur famille, et encore moins voyager avec eux. Les hommes juifs n’adressaient donc la parole aux femmes que rarement. Rejetant ces traditions, Jésus a permis à des croyantes d’accompagner son groupe.

Luc 9:49, 50 : Pourquoi Jésus n’a-t-il pas empêché un homme d’expulser des démons, alors que cet homme ne le suivait pas ?                      (w08 15/3 31 § 2).

« Alors Jean dit : “ Instructeur, nous avons vu un certain homme expulser des démons en se servant de ton nom et nous avons essayé de l’en empêcher, parce qu’il ne [te] suit pas avec nous. ” 50 Mais Jésus lui dit : “ N’essayez pas de [l’]en empêcher, car qui n’est pas contre vous est pour vous. ”

Jésus n’a pas empêché cet homme d’agir ainsi, car la congrégation chrétienne n’avait pas encore été établie. Par conséquent, cet homme n’avait pas besoin de suivre, au sens littéral, Jésus pour exercer la foi en son nom et expulser des démons. TG2008

Il n’était pas nécessaire, pour être aux côtés de Jésus, que cet homme le suive en personne. La congrégation chrétienne n’étant pas encore fondée, ce n’était pas parce que l’homme ne faisait pas partie de leur groupe qu’il appartenait à une autre congrégation. Il avait vraiment foi dans le nom de Jésus, d’où son succès à expulser des démons. Son action était assimilable à celles qui, selon Jésus, étaient dignes d’une récompense. Comme le montre Jésus, pour ce geste il ne perdra pas sa récompense – TG1988 15/2 p8

Jésus conféra le pouvoir sur les démons à ses 12 apôtres et par la suite aux 70 disciples qu’il envoya, afin qu’en son nom ils arrivent, eux aussi, à guérir les possédés. Même quelqu’un qui n’était pas un proche compagnon de Jésus ou de ses apôtres fut capable d’exorciser un démon en se servant du nom de Jésus – it1 Démon

Certains qui n’accompagnaient pas Jésus Christ lorsqu’il était sur la terre montrèrent par leurs actions qu’ils étaient ‘ de son côté ’ et qu’ils ne s’empresseraient pas de se joindre à ses adversaires pour l’injurier. Tel était le cas d’un homme qui expulsait les démons à cause du nom de Jésus. Il avait sans doute reçu ce pouvoir de Dieu. Jean et d’autres estimaient qu’il fallait l’empêcher de continuer puisqu’il ne les accompagnait pas. Mais Jésus dit : “ N’essayez pas de l’en empêcher, car il n’y a personne qui fasse une œuvre de puissance à cause de mon nom et puisse vite m’injurier [littéralement : “ parler en mal de moi ”]. . Quand Jésus prononça ces paroles, la congrégation juive était toujours reconnue par Dieu et la fondation de la congrégation chrétienne était encore à venir. De plus, Jésus n’exigeait pas que tous les croyants le suivent en personne. Par conséquent, les œuvres de puissance qu’accomplissait un Juif, appartenant au peuple de l’alliance de Dieu, à cause du nom de Jésus, étaient une preuve qu’il avait la faveur divine. Cependant, dès que la congrégation chrétienne fut fondée, quiconque désirait obtenir la faveur de Dieu devait se joindre à elle en devenant un disciple fidèle de Jésus Christ - it-1 p1193

Pourquoi empêcher cet homme de continuer à expulser les démons en faisant usage du nom de Jésus ? Cherchait-il à insulter Jésus en agissant ainsi ? Avait-il traîné le nom du Messie dans la boue, le rendant méprisable et l’associant à des choses mauvaises ? Il n’utilisait pas le nom de Jésus comme une formule d’exorcisme, tel un nom magique, comme le firent plus tard les sept fils de Scéva, un grand prêtre juif (Actes 19:13-16). Le démon n’a pas dit à cet homme : ‘Jésus, je le connais ; mais toi, qui es-tu ?’ tout en refusant de quitter sa victime. Non, cet homme avait réellement foi dans le nom de Jésus et il réussissait à expulser les démons. Il glorifiait vraiment le nom de Jésus, dont il démontrait la puissance.

Par conséquent, bien qu’il n’accompagnât pas Jésus et ses apôtres, l’homme en question n’était pas contre eux et il ne détournait pas l’attention des gens de leur œuvre de témoignage. S’il n’était pas contre eux, il est logique de penser qu’il devait être pour eux, même s’il ne les accompagnait pas. On ne pouvait guère s’attendre qu’après avoir accompli des miracles qui glorifiaient et louaient le nom de Jésus, il allait l’insulter l’instant d’après. Il serait illogique, voir déraisonnable, de penser que cet homme pouvait témoigner de l’honneur et du respect pour le nom de Jésus en opérant de grands miracles puis, aussitôt après, en privé, parler en mal du nom et de l’œuvre de la même personne et de ses apôtres. Ceux-ci ne devaient donc rien faire pour empêcher cet homme d’agir ainsi.

L’homme en question n’allait pas perdre sa récompense. Il était probablement en passe de devenir disciple de Jésus Christ. Ce qu’il faisait était comparable à une autre action que Jésus jugea favorablement et qui, selon lui, méritait une récompense : donner à boire une coupe d’eau à quelqu’un qui a soif, pour ce motif qu’il est son disciple, donc qu’il lui appartient. Un tel geste pouvait paraître bien peu de chose pour réconforter quelqu’un, mais cela révélait que son auteur était bien disposé envers le Messie et qu’il faisait tout ce qu’il pouvait pour soutenir sa cause, ce qui avait beaucoup d’importance aux yeux de Jésus Christ. Ici s’applique la règle que Jésus énonça plus tard, savoir : “Dans la mesure où vous l’avez fait à l’un des plus petits d’entre mes frères que voici, c’est à moi que vous l’avez fait.” (Mat. 25:40). Jésus Christ, le Roi, ne manquerait pas de récompenser un tel geste. – TG1977 1/12

Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?

Les chrétiens désireux d’être fidèles à Dieu s’interdisent, par conséquent, les péchés cachés qui corrompent l’esprit et le cœur, comme le fait de regarder de la pornographie ou des spectacles violents. Si certains péchés peuvent rester cachés aux humains, nous n’ignorons pas que “ toutes choses sont nues et mises à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte ”. (Luc 8:17.) En nous appliquant à rejeter tout ce qui déplaît à Jéhovah, nous conservons une conscience pure et avons la satisfaction de savoir que nous sommes agréables à Dieu. Il est absolument certain que Jéhovah accorde du prix à la personne “ qui marche de façon intègre et qui pratique la justice, et qui exprime la vérité dans son cœur ”.  Psaume 15:1, 2.

Mais comment, au juste, pouvons-nous préserver notre esprit et notre cœur dans un monde où règne le mal ? En premier lieu, il nous faut tirer profit de tout ce que Jéhovah nous donne pour affermir notre foi. Puis nous devons fournir tous les efforts possibles pour rejeter le mal et faire le bien, et agir vite avant que les désirs mauvais ne soient fécondés et n’enfantent le péché. Songez comme vous seriez heureux si Jésus disait de vous ce qu’il a dit de Nathanaël : “ Voyez : un homme en qui il n’y a pas de tromperie. ” (Jean 1:47). Nathanaël, également appelé Barthélemy, a plus tard eu le privilège d’être l’un des 12 apôtres de Jésus – TG2007  1/ 2 p20 §12,13

Bien que ses conseils soient faciles à trouver, Jéhovah ne force personne à les suivre. Il faut lui demander son esprit saint, qu’il nous donnera généreusement. Mais il est indispensable, comme le dit Jésus, de faire attention à la manière dont nous écoutons (Luc 8:18). Par exemple, il serait hypocrite de demander à Jéhovah de nous aider à surmonter un penchant pour l’immoralité sexuelle tout en continuant à regarder de la pornographie ou des films comprenant des scènes érotiques. Nous devons plutôt nous placer dans des lieux et des situations où se trouve l’esprit de Jéhovah. Comme nous le savons, c’est le cas aux réunions de la congrégation. Bien des chrétiens ont échappé au désastre en écoutant la voix de Jéhovah aux réunions. C’est ainsi qu’ils ont pris conscience que de mauvais désirs germaient en eux et qu’ils se sont ressaisis – TG2014  15/8 p25 §16

Ce que dit la Bible sur la prière est une preuve supplémentaire que Jéhovah remarque et estime les manifestations de notre attachement à sa personne. “ La prière des hommes droits est pour [Dieu] un plaisir ”, a fait observer le roi Salomon (Proverbes 15:8). Du temps de Jésus, de nombreux chefs religieux priaient en public, non parce qu’ils étaient sincèrement attachés à Dieu, mais parce qu’ils voulaient impressionner les hommes. Il va de soi que Jésus ne condamnait pas les prières publiques ; lui-même en a d’ailleurs prononcé en certaines circonstances (Luc 9:16). Le fait est que Jéhovah prend vraiment plaisir aux prières qui viennent de cœurs sincères, sans la moindre volonté d’impressionner autrui. À vrai dire, les prières que nous lui adressons en privé sont assez révélatrices de la profondeur de notre amour pour lui et de la confiance que nous lui accordons. Rien d’étonnant, donc, que Jésus ait souvent recherché des endroits retirés pour prier. – TG2007  1/ 2 p19 §8,9

Jésus a mis en évidence que, pour pratiquer le vrai culte, il est nécessaire de faire preuve d’abnégation, ce qui exige de la foi (Luc 9:23, 24). Parce qu’ils avaient la foi, certains chrétiens ont consenti des sacrifices considérables, ont supporté la pauvreté, les préjugés, l’oppression, voire la persécution. Seule une foi forte leur a permis d’y parvenir tout en conservant leur joie. Une telle foi nous rend absolument convaincus que suivre la direction de Jéhovah est toujours ce qu’il y a de mieux à faire. C’est toujours pour notre bien à long terme. Nous n’avons pas le moindre doute que la récompense offerte à ceux qui endurent fidèlement surpassera largement toute souffrance qu’ils auront pu connaître à un moment ou à un autre - TG2008  15/4 p10§12,13

Au ciel, le Fils unique-engendré de Dieu était un être spirituel puissant. Sur la terre, il fut “ le représentant du Père ”. Lors de la transfiguration, Jéhovah confirma la qualité de Messie de Jésus et formula cet ordre : “ Écoutez-le. ” (Luc 9:35). Il fallait écouter celui que Dieu avait choisi, autrement dit lui obéir. Cela exigeait de la foi et de belles œuvres, deux éléments absolument indispensables pour plaire à Dieu et obtenir la vie éternelle – TG2009 15/12 p22 §10

Qu’apprenons-nous de la façon dont Jésus a traité ses disciples ? Ces derniers ne cessaient de se disputer pour savoir lequel était le plus grand (Luc 9:46). Pour avoir longtemps vécu à ses côtés, Jésus savait ce que Jéhovah pensait de la tendance à l’orgueil. Qui plus est, il avait observé cette tendance chez Satan le Diable. Cet égoïste se souciait plus que tout d’occuper la première place. On imagine donc à quel point Jésus a dû s’attrister de remarquer de sérieux restes d’ambition chez les disciples qu’il avait formés, et même chez ceux qu’il s’était choisis pour apôtres ! Leur soif d’honneurs s’est fait sentir jusqu’au dernier jour de la vie de leur Maître. Jésus a néanmoins continué de les reprendre avec bonté, sans jamais désespérer de les voir cultiver l’humilité et manifester la même attitude mentale que lui.

Discernez-vous l’empreinte du Père dans la patience de Jésus ? À travers les paroles et les actions du Fils, reconnaissez-vous le Père, qui ne se désintéresse pas de ses serviteurs malgré leurs manquements répétés ? Cette connaissance des qualités de Dieu nous pousse à nous approcher de lui et à lui exprimer notre repentir quand nous commettons des fautes. – TG2012 15/4 p6 §12,13

 

Même si nous participons activement à la vie de la congrégation, nous ne devons pas oublier que notre cœur court un danger, danger contre lequel Jésus a mis en garde le dernier de ses interlocuteurs : “ Aucun homme qui a mis la main à la charrue et regarde les choses qui sont derrière n’est fait pour le royaume de Dieu. ” (Luc 9:62). Quelle leçon pouvons-nous tirer de cet exemple ? Pour bien faire ressortir la leçon qui se dégage de l’exemple de Jésus, étoffons-le de quelques détails. Un cultivateur est en train de labourer un champ. Mais il ne cesse de penser à sa maison où, à l’ombre, il pourrait manger, écouter de la musique et s’amuser avec sa famille et ses amis. Il rêve de tout cela. Après avoir labouré une longue bande de terre, il finit par éprouver un tel désir de profiter des plaisirs de la vie qu’il se retourne pour regarder “ les choses qui sont derrière ”. Bien qu’il reste encore beaucoup à faire avant les semailles, le cultivateur est distrait et son travail en pâtit. Naturellement, son maître est déçu de son manque de persévérance.

On pourrait établir un parallèle entre ce cultivateur et tout chrétien qui semble robuste sur le plan spirituel, mais dont le cœur est en réalité en danger. Imaginons un frère qui assiste aux réunions et prend part à la prédication, mais qui n’arrête pas de penser à des choses qui l’attirent dans le monde actuel. Au fond de son cœur, il y aspire. Après s’être acquitté de son ministère pendant plusieurs années, il finit par être tellement obnubilé par ses désirs qu’il se retourne pour regarder “ les choses qui sont derrière ”. Alors qu’il reste beaucoup à accomplir dans l’œuvre de prédication, ce chrétien cesse de ‘ tenir fermement la parole de vie ’, et ses activités théocratiques en pâtissent. La leçon est claire. Il est louable que nous prenions régulièrement part à de saines activités, qu’il s’agisse d’assister aux réunions chrétiennes ou de prêcher. Mais cela ne signifie pas forcément que nous servons Jéhovah d’un cœur complet. Si, dans le secret de notre cœur, nous continuons d’aimer “ les choses qui sont derrière ”, c’est-à-dire des choses que propose  le monde, nous risquons de perdre nos bonnes relations avec Jéhovah – TG2012 15/4 p15-16 §11-13

Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

 Entendons la parole ’ - Le récit de Luc 8:12-15 spécifie que, dans les quatre cas, les gens ‘ entendent la parole ’. Toutefois, ceux qui ont “ un cœur beau et bon ” ne se contentent pas de l’‘ entendre ’. Ils “ la retiennent et portent du fruit avec endurance ”. La terre belle et bonne étant meuble et profonde, les racines de la semence peuvent s’enfoncer, ce qui permet au grain de germer et de produire du fruit (Luc 8:8). De la même manière, ceux qui ont un cœur beau comprennent, apprécient et absorbent la parole de Dieu. Celle-ci demeure en eux. En conséquence, ils portent du fruit avec endurance. Ainsi, il est nécessaire d’apprécier profondément et sincèrement la Parole de Dieu pour être un disciple du Christ endurant – TG2003 1/2 p8 §6

 Le long de la route  : ceux qui sont trop occupés - La première sorte de terre sur laquelle le grain tombe se trouve “ le long de la route ”, où il est ‘ piétiné ’. (Luc 8:5.) Le long d’une route passagère qui traverse un champ de céréales, la terre est forcément tassée (Marc 2:23). Pareillement, ceux qui permettent aux activités incessantes du monde d’engloutir leur temps et leur énergie peuvent être trop occupés pour parvenir à attacher du prix à la parole de Dieu. Ils l’entendent, mais comme ils ne méditent pas sur elle, leur cœur reste insensible. Avant qu’ils ne parviennent à l’aimer, “ le Diable vient et enlève la parole de leur cœur, afin qu’ils ne croient pas et ne soient pas sauvés ”. (Luc 8:12.) Peut-on éviter ce piège ?

Il existe bien des moyens d’empêcher un cœur de ressembler à la terre stérile qui borde une route. Une terre piétinée et dure devient meuble et productive si on la laboure et si on fait circuler les gens ailleurs. Pareillement, en prenant le temps d’étudier et de méditer la Parole de Dieu, nous rendons notre cœur semblable à une terre belle et fertile. Le tout est de ne pas nous occuper outre mesure des questions profanes (Luc 12:13-15). Réservons-nous au contraire du temps pour réfléchir aux “ choses les plus importantes ”- TG2003 1/ 2 p10 §10,11

 Sur le roc  : ceux qui ont peur - Lorsqu’elle tombe sur la deuxième sorte de terre, la semence ne reste pas à la surface, comme dans le premier cas. Elle prend racine et germe. Seulement, quand le soleil se lève, la pousse est brûlée par la chaleur et se dessèche. Toutefois, considérez un détail significatif. La raison véritable pour laquelle la pousse se dessèche n’est pas la chaleur. En effet, la plante qui grandit dans la bonne terre est également exposée au soleil, et pourtant elle prospère. D’où vient la différence ? La pousse se dessèche, explique Jésus, ‘ parce qu’elle n’a pas de profondeur de terre ’ et ‘ parce qu’elle n’a pas d’humidité ’. (Luc 8:6.) Un “ roc ” juste au-dessous de la couche de terre empêche les grains de plonger leurs racines suffisamment loin pour trouver humidité et stabilité. La pousse se dessèche parce que le sol n’est pas profond.

Cette partie de l’exemple se rapporte à ceux qui “ reçoivent la parole avec joie ” et qui suivent Jésus avec zèle “ pour un moment ”. (Luc 8:13.) Il suffit qu’ils subissent le feu ‘ d’une tribulation ou d’une persécution ’ pour qu’ils prennent peur au point de perdre leur joie, leur force, et de ne plus suivre le Christ (Matthieu 13:21). Mais la cause réelle de leur peur n’est pas l’opposition. Des millions de disciples du Christ ne subissent-ils pas diverses tribulations et pourtant demeurent fidèles  ? La raison véritable pour laquelle certains ont peur et chutent est que leur cœur ressemble à un roc et les empêche de méditer suffisamment en profondeur sur les choses constructives et spirituelles. En conséquence, leur reconnaissance envers Jéhovah et envers sa parole est trop superficielle et trop faible pour qu’ils résistent à l’opposition. Comment éviter d’en arriver là ?

Individuellement, il est important de vérifier qu’aucun obstacle comparable à un roc ne se cache dans notre cœur : une amertume ancrée, un égoïsme sous-jacent, ou d’autres sentiments durs mais dissimulés. Si une telle barrière existe chez quelqu’un, la puissance de la parole de Dieu peut la briser. Ensuite, la méditation dans la prière provoquera “ l’implantation de la parole ” au fond de son cœur. Il aura alors la force de traverser les périodes de découragement ainsi que le courage de demeurer fidèle malgré les épreuves - TG2003 1/ 2 p10 §12-14

Portons du fruit en répandant la semence du Royaume - L’exemple du semeur et des différentes sortes de terre relaté par Jésus fournit la réponse, une réponse réconfortante pour ceux qui prêchent dans des territoires peu productifs. Jésus a expliqué que la semence est le message du Royaume contenu dans la Parole de Dieu, et que la terre représente le cœur symbolique de l’homme. Une partie de la semence “ est tombée sur la bonne terre et, après avoir germé, elle a produit du fruit ”. (Luc 8:8.) Quel fruit ? Réfléchissons : une fois que le grain a germé et mûri, la tige de blé produit, non pas de petites tiges, mais de nouveaux grains. Pareillement, un chrétien produit, non pas nécessairement de nouveaux disciples, mais de nouvelles graines du Royaume. Ainsi, en l’occurrence, le fruit ne consiste ni en nouveaux disciples ni en qualités chrétiennes. Puisque la semence qui est semée est la parole du Royaume, le fruit doit être la multiplication de cette semence. Porter du fruit, dans ce cas, c’est parler du Royaume. Nous est-il possible de porter le fruit du Royaume, de proclamer la bonne nouvelle du Royaume, quelle que soit notre situation ? Absolument ! – TG2003 1/2 p20-21 §10,11

 Parmi les épines  : ceux qui sont partagés- La troisième sorte de terre, celle que les épines envahissent, mérite particulièrement notre attention, car sous certains aspects elle ressemble à la belle terre : les grains y prennent racine et germent ; au départ, les jeunes plantes s’y développent aussi bien. Celles-ci finissent pourtant par y être étouffées à cause ‘ des épines qui poussent avec elles ’ et avec qui elles doivent rivaliser. Pendant un temps, les unes et les autres se disputent nourriture, lumière et espace, mais les épines finissent par recouvrir les jeunes pousses et par les ‘ étouffer ’. — Luc 8:7.

Quelles personnes ressemblent à la terre couverte d’épines ? Jésus explique : “ Ce sont ceux qui ont entendu, mais, en se laissant entraîner par les inquiétudes, la richesse et les plaisirs de cette vie, ils sont complètement étouffés et ne portent rien à la perfection. ” (Luc 8:14). De même que la semence du semeur et les épines poussent dans la terre simultanément, de même certains essaient de concilier la parole de Dieu et “ les plaisirs de cette vie ”. La vérité de la parole de Dieu est semée dans leur cœur, mais elle rivalise avec d’autres objectifs qui réclament leur attention. Leur cœur symbolique est partagé (Luc 9:57-62). Cela les empêche de consacrer suffisamment de temps à une réflexion profonde, et dans la prière, sur la parole de Dieu. Ils n’absorbent pas cette parole complètement, et donc n’y attachent pas assez de prix pour se montrer endurants. Petit à petit, leur intérêt pour les choses spirituelles est dépassé par des activités charnelles au point qu’ils sont “ complètement étouffés ”. Une triste fin pour les personnes qui n’aiment pas Jéhovah de tout leur cœur !

En plaçant les questions spirituelles avant les considérations d’ordre matériel, nous évitons d’être étouffés par les soucis et les plaisirs du monde. Ne négligeons jamais de lire la Bible et de réfléchir à ce que nous lisons. Nous trouverons le temps de méditer sérieusement et dans la prière si nous simplifions notre vie au maximum. Les serviteurs de Dieu qui le font (qui en somme arrachent les épines de la terre afin de laisser nourriture, lumière et espace à la plante fructifère) sont bénis par Jéhovah. Ainsi, que nous soyons jeunes ou âgés, tous nous demeurerons dans la parole de Dieu et serons des disciples du Christ endurants aussi longtemps que la parole de Dieu demeurera en nous. Veillons donc à ce que la terre qu’est notre cœur figuré ne devienne jamais dure, peu profonde ou couverte d’épines, mais à ce qu’elle reste meuble et profonde. De cette façon, nous absorberons pleinement la parole de Dieu et nous ‘ porterons du fruit avec endurance  - TG2003 1/ 2 p10 §15-18

L’inquiétude nuit au bien-être. Elle peut conduire quelqu’un à la dépression, le priver de ses forces et de toute initiative. Beaucoup plus grave est le danger que peut représenter pour la spiritualité une inquiétude excessive. Jésus Christ montra que la reconnaissance pour “ la parole de Dieu ” peut être complètement étouffée par l’inquiétude excessive à propos des difficultés qui accompagnent souvent la vie dans le système de choses actuel. Tout comme les épines peuvent empêcher les jeunes plants d’atteindre la maturité et de porter du fruit, de même ce genre d’inquiétude peut empêcher quelqu’un de grandir spirituellement et de porter du fruit à la louange de Dieu (Luc 8:7, 11, 14). Pour avoir permis à ces soucis de dominer leur vie et de prendre le pas sur les intérêts spirituels, beaucoup encourront la désapprobation du Fils de Dieu lors de son retour glorieux, pour leur perte éternelle - it-1 p1182-1183

À l’inverse, nous courons un réel danger si nous perdons de vue le but réel de notre existence et si nous desserrons notre prise sur “ la vie véritable ”. Nous risquons de nous “ laisser entraîner par les inquiétudes, la richesse et les plaisirs de cette vie ”. (Luc 8:14.) Les désirs non maîtrisés et les “ inquiétudes à propos des moyens d’existence ” peuvent nous amener à trop nous investir dans le système de choses. Hélas, certains ont été gagnés par la frénésie de l’enrichissement, et ainsi se sont “ égarés loin de la foi et se sont transpercés partout de bien des douleurs ”, perdant même leur belle amitié avec Jéhovah. Comme ils paient cher de n’avoir pas tenu “ fermement la vie éternelle  - TG2007 1/10 p19 §14

Les personnes qui acceptent rapidement “ la parole de Dieu ”, mais seulement à un niveau superficiel, manquent d’endurance. Soumises à la tribulation ou à la persécution, elles renoncent rapidement, perdant ainsi l’approbation et la bénédiction de Dieu. Mais celles qui cultivent un profond intérêt pour “ la parole de Dieu ” endurent et demeurent fermes. Elles “ portent du fruit avec endurance ”, continuant fidèlement à proclamer le message divin malgré les difficultés, la souffrance et le découragement. — Luc 8:11, 13,15. Jésus a comparé le sol rocailleux aux personnes qui “ reçoivent la parole de Dieu avec joie ” mais font défection lorsque leur foi rencontre des épreuves. Toutefois, il a comparé ses fidèles disciples à la belle terre en ce qu’ils “ retiennent ” la parole de Dieu et “ portent du fruit avec endurance ”- it-1 p759

Jésus Christ, le grand Enseignant et le Modèle dans l’œuvre qui consiste à faire des disciples, a exhorté ses auditeurs en ces termes : “ Faites [...] attention à la manière dont vous écoutez. ” (Luc 8:16-18). Ce principe est valable pour le ministère chrétien. Si vous prêtez attention à l’instruction spirituelle et que vous l’appliquiez, vous deviendrez un proclamateur du Royaume efficace. Évidemment, vous ne pouvez entendre la voix de Jésus aujourd’hui, mais en lisant les Écritures vous pouvez savoir ce qu’il a dit et fait. Que révèle la Bible quant à la manière dont Jésus traitait ceux qu’il rencontrait dans son ministère ?

Jésus était un excellent prédicateur de la bonne nouvelle et un remarquable enseignant de la vérité biblique (Luc 8:1). Pour faire des disciples, il faut à la fois prêcher et enseigner ; or, il arrive que de bons prédicateurs trouvent difficile d’enseigner efficacement. Si prêcher signifie proclamer un message, enseigner la vérité sur Jéhovah et sur ses desseins signifie en général bâtir une relation avec le futur disciple. Nous y parviendrons en imitant Jésus Christ, le grand Enseignant et le Modèle par excellence dans l’œuvre qui consiste à faire des disciples – TG2007  15/11 p27 §1,2

Grâce à Jésus, les humains obéissants seront délivrés de l’esclavage du péché. Et cette délivrance est une “ délivrance éternelle ”. Le nom Jésus signifie “ Jéhovah est salut ”. En tant que Libérateur ou Sauveur, Jésus nous sauve de nos péchés passés. De surcroît, il nous ouvre la perspective d’un avenir meilleur. En effet, en délivrant les humains de l’esclavage du péché, Jésus épargne à ses disciples la colère divine et il les introduit dans des relations d’amour avec Jéhovah.

En temps voulu, cette délivrance nous soulagera aussi des tristes conséquences du péché : la maladie et même la mort. Pour nous représenter mentalement ce que cela signifiera, réfléchissons à ce qui s’est passé quand Jésus est entré dans la maison de Jaïrus, un homme dont la fille de 12 ans venait de mourir. Juste avant, Jésus avait rassuré Jaïrus, en disant : “ N’aie pas peur, fais montre de foi seulement, et elle sera sauvée. ” (Luc 8:41, 42, 49, 50). Conformément aux paroles du Christ, la fillette s’est relevée, vivante ! Vous imaginez-vous le bonheur des parents ? Dans ce cas, vous avez une idée de la joie extraordinaire que nous ressentirons quand, à la résurrection, tous “ ceux qui sont dans les tombes de souvenir entendront sa voix [celle du Christ] et sortiront ”. (Jean 5:28, 29.) Oui, Jésus est un Sauveur ; il est notre Libérateur – TG2009  15/4 p28 §17,18

Dès le début de son ministère sur la terre, Jésus a apporté la preuve qu’il était bien “ Messie le Guide ”. En quelques jours seulement, il rassemblait des disciples et accomplissait son premier miracle (Jean 1:35–2:11). Par la suite, accompagné de ses disciples, il a prêché la bonne nouvelle du Royaume dans tout le pays (Luc 8:1). Il les a formés et a pris la tête de l’œuvre de prédication et d’enseignement, laissant ainsi un bel exemple (Luc 9:1-6) – TG2010 15/9 p22 §5

Jésus ne s’est pas contenté de trouver une foule et d’encourager ses apôtres à se mettre à prêcher. Il a commencé par leur montrer l’importance de cette œuvre, puis il les a exhortés à faire de celle-ci l’objet de leurs prières. Enfin, il leur a fourni trois éléments de base : un compagnon de service, un territoire à parcourir et un message (Luc 9:2, 6). Inspirons-nous de son exemple. Que nous nous occupions de notre enfant, d’un nouveau ou d’un chrétien qui n’a pas prêché depuis un moment, efforçons-nous de le former de cette manière. – TG2005  1/12 p31 §17

“ Si quelqu’un veut venir à ma suite, qu’il [...] me suive continuellement. ” (Luc 9:23). En d’autres termes, n’importe qui peut suivre le Christ s’il le “ veut ” vraiment, d’autant que Dieu attire les personnes sincères vers son Fils. En disant : “ quelqu’un ”, Jésus laissait entendre que tous ceux qui le veulent vraiment peuvent le suivre. Les paroles de Jésus : “ Viens, suis-moi ” ne s’adressent donc pas uniquement aux riches, ou uniquement aux pauvres, ou aux gens d’une certaine race ou d’une certaine nation, ou aux humains de cette époque-là, mais à tous. – cf p7 §7

Nous avons reçu l’ordre d’écouter le Christ - Pierre, Jean et Jacques ont été témoins de la transfiguration. Au cours de cet événement, ils ont entendu une voix venant du ciel, qui a dit : “ Celui-ci est mon Fils, celui qui a été choisi. Écoutez-le. ” (Luc 9:28, 29, 35). Il est capital que nous obéissions à l’ordre d’écouter le Messie.

Écouter Jésus signifie avoir “ les yeux fixés sur ” lui, c’est-à-dire “ considérer attentivement ” son exemple. Voilà pourquoi il nous faut “ prêter une attention plus qu’ordinaire aux choses ” que nous lisons à son sujet dans la Bible et dans les publications de “ l’esclave fidèle et avisé ”, et à ce que nous entendons sur lui lors des réunions. Soyons donc prompts à écouter la voix de notre berger Jésus et à le suivre. – TG2009 15/5 p32 §17,18

Que les priorités d’un homme reflètent sa condition de cœur, on en trouve la confirmation dans ce qui s’est passé quelque temps après que Jésus a exhorté ses disciples à ‘ continuer à chercher d’abord le royaume ’. L’évangéliste Luc rapporte que Jésus “ tourna résolument sa face pour se rendre à Jérusalem ”, tout en sachant ce qui l’attendait. En chemin, il a rencontré des hommes, qu’il a invités à le suivre. Ceux-ci y étaient disposés, mais à certaines conditions. L’un d’eux lui a répondu : “ Permets-moi d’abord de m’en aller et d’enterrer mon père. ” Un autre lui a promis : “ Je te suivrai, Seigneur ; mais permets-moi d’abord de faire mes adieux à ceux de ma maisonnée. ” (Luc 9:51, 57-61). Quel contraste avec Jésus, qui était résolu dans son cœur à accomplir la volonté de Dieu sans réserve ! Les préoccupations de ces hommes passaient avant les intérêts du Royaume. Leur cœur n’était pas complet à l’égard de Dieu.

À la différence de ces hommes irrésolus, nous avons jugé sage d’accepter l’invitation de Jésus et nous servons désormais Jéhovah jour après jour. Nous montrons de cette manière quels sentiments nous éprouvons pour Dieu. Cela étant, même si nous participons activement à la vie de la congrégation, nous ne devons pas oublier que notre cœur court un danger, danger contre lequel Jésus a mis en garde le dernier de ses interlocuteurs : “ Aucun homme qui a mis la main à la charrue et regarde les choses qui sont derrière n’est fait pour le royaume de Dieu. ” (Luc 9:62). Nous devons tous veiller à ce qu’aucune chose du monde de Satan, aussi utile ou agréable qu’elle puisse paraître, ne nous retienne de soutenir de tout cœur les intérêts du Royaume – TG2012 15/4 p15 §9,10

Jésus a encouragé la tolérance ethnique - Du temps où Jésus était sur la terre, les Juifs et les Samaritains avaient tendance à se mépriser. Une fois, les habitants d’un village samaritain ont éconduit Jésus parce qu’il était Juif et qu’il se rendait à Jérusalem. Comment auriez-vous réagi à un tel rejet ? Peut-être imprégnés des préjugés de l’époque, des disciples de Jésus lui ont demandé : “ Seigneur, veux-tu que nous disions au feu de descendre du ciel et de les anéantir ? ” (Luc 9:51-56). Jésus s’est-il laissé influencer par l’état d’esprit de ses disciples ? Au contraire, il les a repris et a cherché la paix en logeant dans un autre village. Peu après, dans la parabole du bon Samaritain, il a illustré de façon percutante que les origines ethniques d’une personne ne font pas d’elle une ennemie. À vrai dire, elle peut se révéler un très bon prochain. Les chrétiens font bien de résister à la tendance à juger les autres en raison de leur origine ethnique. La justice et l’amour leur dictent de les considérer en tant qu’individus, comme Jéhovah le fait, et non en tant que groupe. N’est-ce pas ainsi que vous aimeriez qu’on vous traite ? Sans haine ethnique, la vie est plus agréable ; on est en paix avec soi-même et avec les autres. Plus important encore, on est en harmonie avec Jéhovah Dieu, le Créateur impartial. Voilà une raison impérieuse de rejeter toute haine ethnique – RV2003 8/8 p27

L’expression “ groupe ethnique ” désigne les personnes ayant des origines raciales, nationales, tribales ou culturelles communes

Les oiseaux ont des abris.  Certaines traductions rendent le mot grec kataskênôsis par “ nid ” ; il désigne en réalité un ‘ lieu de repos ou abri ’ où les oiseaux passent la nuit, et non un nid où ils couvent des œufs et élèvent des petits. Quand un certain scribe dit à Jésus : “ Enseignant, je te suivrai partout où tu iras ”, Jésus répondit : “ Les renards ont des tanières et les oiseaux du ciel ont des abris, mais le Fils de l’homme n’a pas où poser la tête. ” (Luc 9:57, 58). Prévenant un homme qui désirait le suivre, Jésus Christ fit remarquer que les renards avaient des tanières alors que le Fils de l’homme n’avait pas d’endroit où poser la tête. À moins de se servir d’une cavité naturelle, ou bien de récupérer ou d’occuper le terrier d’un autre animal, souvent le renard se fait une tanière en creusant un trou dans le sol. Jésus faisait remarquer ici que, pour être son disciple, cet homme devait renoncer à l’idée d’avoir le confort et les commodités dont on jouit généralement, et mettre entièrement sa confiance en Jéhovah. Jésus montre ainsi à ce scribe les difficultés qui l’attendent s’il devient son disciple. Il semble donc que cet homme soit trop orgueilleux pour accepter ce mode de vie - it-2 p399-400

Jésus a indiqué que dans certains cas le service pour Dieu pouvait passer avant les questions familiales. Par exemple, quand Jésus invita un homme à le suivre et que celui-ci refusa, disant: “Permets-moi de m’en aller d’abord enterrer mon père”, il répondit: “Laisse les morts [au sens spirituel] enterrer leurs morts, mais toi, va-t’en proclamer le royaume de Dieu.” (Luc 9:59, 60). Étant donné que les Juifs enterraient leurs morts le jour même, il est peu probable que le père de cet homme ait été mort; il devait être âgé, et son fils voulait rester avec lui jusqu’à la fin de sa vie. Toutefois, cet homme âgé avait probablement une famille pour s’occuper de lui, aussi Jésus a-t-il encouragé son interlocuteur à “proclamer le royaume de Dieu TG1987 1/6 p16§11

Jésus Christ parla du labour pour souligner l’importance d’être disciple d’un cœur entier. À un homme qui exprima le désir de devenir disciple en posant la condition de pouvoir d’abord faire ses adieux à sa maisonnée, Jésus répondit : “ Aucun homme qui a mis la main à la charrue et regarde les choses qui sont derrière n’est fait pour le royaume de Dieu. ” (Luc 9:61, 62). Un laboureur qui se laisserait distraire de son travail ne ferait pas des sillons droits. Pareillement, celui qui est invité à être un disciple chrétien, mais qui se laisse détourner des responsabilités qui en découlent, n’est plus fait pour le Royaume de Dieu. Comme le Fils de Dieu le démontra dans son propre cas, même les liens familiaux les plus étroits passent après l’accomplissement fidèle de la volonté divine - it-2 p101

À notre époque, il est capital de ne pas regarder en arrière, figurément parlant. Jésus a souligné cette idée quand il a répondu à un homme qui voulait retourner chez lui pour faire ses adieux à sa famille avant de devenir son disciple : “ Aucun homme qui a mis la main à la charrue et regarde les choses qui sont derrière n’est fait pour le royaume de Dieu. ” (Luc 9:62). Jésus était-il dur, déraisonnable ? Pas du tout. Il était conscient que la requête de son interlocuteur n’était qu’une excuse pour se soustraire à sa responsabilité. Et il a associé le fait de remettre une décision à plus tard à celui de “ regarder les choses qui sont derrière ”. Que le laboureur regarde momentanément derrière lui ou qu’il abandonne carrément sa charrue et fasse demi-tour, cela change-t-il quelque chose ? Non. Dans un cas comme dans l’autre, il détourne son attention de sa tâche, qui en pâtit.

Plutôt que d’être tournés vers le passé, nous devons diriger résolument notre regard vers l’avenir. Cette pensée est clairement exprimée en Proverbes 4:25 : “ Quant à tes yeux, ils doivent regarder en face, oui tes yeux rayonnants doivent porter leurs regards droit devant toi. ” Nous avons une bonne raison de ne pas regarder les choses qui sont derrière : nous vivons “ les derniers jours ”. – TG2012  15/3 p27 §3

RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 9 JUILLET 2018 - LUC 8-9.docx

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