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JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU- Recherchons des perles spirituelles    14-20 janvier 2019      ACTES 23-24                                                                                         


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                                                                                                 JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU 
                                                                                              Recherchons des perles spirituelles  
                                                                                                          ACTES 23-24   
                                                                                                      14-20 janvier 2019




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Ac 23:6 : Pourquoi Paul a-t-il dit : « Je suis pharisien » ? (note d’étude « je suis pharisien » sur Ac 23:6, nwtsty).

Le lendemain, le cas de Paul fut porté devant le Sanhédrin. Se rendant apparemment compte qu’il ne serait pas écouté équitablement, Paul chercha à créer la division entre les Pharisiens et les Sadducéens en faisant de la résurrection un objet de litige dans son procès. Comme il croyait à la résurrection et qu’il était “ fils de Pharisiens ”, Paul fit savoir qu’il était Pharisien et parvint ainsi à monter les Sadducéens, qui ne croyaient pas à la résurrection, contre les Pharisiens et vice versa. — Ac 22:23–23:10.it-2 505




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Pourquoi Paul s’est-il dit Pharisien ? Parce qu’il était “ fils de Pharisiens ”, d’une famille qui appartenait à cette secte. Par conséquent, beaucoup le considéraient encore comme tel. Toutefois, comment a-t-il pu cautionner la croyance pharisienne en la résurrection ? Les Pharisiens pensaient qu’une âme consciente survivait à la mort et que les âmes des justes revivaient dans des corps humains. Paul ne croyait pas à ces choses, mais en la résurrection qu’avait enseignée Jésus (Jean 5:25-29). N’empêche qu’il était d’accord avec les Pharisiens sur l’espoir d’une vie après la mort, contrairement aux Sadducéens, qui ne croyaient pas en une vie future.; bt 187-188 

L’apôtre Paul n’a-t-il pas transigé avec la foi chrétienne en s’écriant devant le Sanhédrin : “ Je suis un Pharisien ” ?
Pour comprendre cette exclamation de Paul, consignée en Actes 23:6, il est indispensable de connaître le contexte.

À Jérusalem, Paul s’adresse à une foule composée de Juifs qui viennent de l’agresser. Il explique qu’il a été “ éduqué [à Jérusalem] aux pieds de Gamaliel, instruit selon la rigueur de la Loi ancestrale ”. Au début, on l’écoute, puis une nouvelle explosion de violence contraint le commandant de la troupe à faire entrer Paul au quartier militaire. Alors qu’on s’apprête à le flageller, l’apôtre demande : “ Vous est-il permis de fouetter un homme qui est un Romain et qui n’est pas condamné ? ” — Actes 21:27–22:29.

Le lendemain, le commandant le fait donc comparaître devant la cour suprême juive, le Sanhédrin. En scrutant son auditoire, l’accusé s’aperçoit qu’il est constitué de Sadducéens et de Pharisiens. Il s’écrie alors : “ Hommes, frères, je suis un Pharisien, fils de Pharisiens. C’est à propos de l’espérance en la résurrection des morts qu’on me juge. ” Aussitôt, une dissension s’élève, car “ les Sadducéens [...] disent qu’il n’y a ni résurrection, ni ange, ni esprit, tandis que les Pharisiens déclarent publiquement tout cela ”. Des membres du parti des Pharisiens contestent avec violence : “ Nous ne trouvons rien de mal en cet homme. ” — Actes 23:6-10.

Connu pour être un chrétien très zélé, Paul aurait du mal à faire croire au Sanhédrin qu’il est un Pharisien pratiquant ; les Pharisiens présents n’accepteraient ni compromis ni déformation de leur enseignement. Les paroles de Paul doivent donc s’inscrire dans un contexte précis, et c’est bien ainsi que les Pharisiens ont dû les comprendre.

En précisant qu’on le juge à propos de l’espérance en la résurrection des morts, Paul veut clairement faire savoir que, sous cet aspect-là, il s’assimile aux Pharisiens. Dans toute controverse sur le sujet, on doit le placer du côté des Pharisiens plutôt que des Sadducéens qui, eux, ne croient pas à la résurrection.

Ses croyances de chrétien ne sont pas en contradiction avec celles des Pharisiens en ce qui concerne la résurrection, les anges et certains points de la Loi (Philippiens 3:5). À l’intérieur de ces strictes limites, Paul peut donc s’associer aux Pharisiens, et c’est bien dans ces limites que ses auditeurs du Sanhédrin interprètent ses paroles. L’apôtre joue de ses antécédents pour se sortir d’affaire devant ce tribunal imbu de préjugés.
Cela étant, la meilleure preuve que Paul n’a pas transigé avec sa foi réside dans le fait que Jéhovah a continué de lui accorder son approbation. La nuit suivante, en effet, Jésus est apparu à Paul et lui a dit : “ Bon courage ! Car, de même que dans Jérusalem tu as pleinement rendu témoignage sur les choses qui me concernent, ainsi il faut également que tu témoignes à Rome. ” Si Paul avait l’approbation de Dieu, c’est manifestement qu’il n’avait pas transigé avec la foi chrétienne. — Actes 23:11.
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Ac 24:24, 27 : Qui était Drusille ? (note d’étude « Drusille » sur Ac 24:24, nwtsty).


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DRUSILLE femme du gouverneur Félix : it-1 675

Troisième et plus jeune fille d’Hérode Agrippa Ier, née vers 38 de n. è. ; sœur d’Agrippa II, de Bérénice et de Mariamne III. Le nom de sa mère était Cypros. Elle n’avait pas encore six ans qu’on arrangea son mariage avec le prince Épiphane de Commagène, mais il n’eut jamais lieu parce que le futur mari refusa de se convertir au judaïsme. Azizus d’Émèse, un roi de Syrie, accepta la clause de la circoncision et Drusille devint sa femme à l’âge de 14 ans. Exaspérée par la cruauté de son mari et irritée par la jalousie de sa sœur Bérénice, moins séduisante qu’elle, Drusille se laissa facilement persuader de divorcer d’avec Azizus, contrairement à la loi juive, et d’épouser le gouverneur Félix, vers 54 de n. è. Elle était peut-être présente quand Paul, prisonnier, “ se mit à parler de justice, de maîtrise de soi et du jugement à venir ”, sujets qui s’avérèrent des plus troublants pour le gouverneur Félix. Deux ans plus tard, quand Félix céda la place de gouverneur à Festus, il laissa Paul dans les chaînes, afin de “ se concilier la faveur des Juifs ” ; certains pensent qu’il voulut plaire à sa jeune femme, “ qui était Juive ”. (Ac 24:24-27.) Le fils que Drusille eut de Félix fut un autre Agrippa ; il aurait péri dans la grande éruption du Vésuve, en 79 de n. è.


Quelques jours après, Félix et sa femme, Drusille, une Juive, ont envoyé chercher Paul et l’ont “ écout[é] sur la foi en Christ Jésus ”. (Actes 24:24.) Cependant, quand Paul a parlé “ de justice, de maîtrise de soi et du jugement à venir, Félix prit peur ”, sans doute parce que ces thèmes troublaient sa conscience, compte tenu de la méchanceté qu’il pratiquait dans sa vie. Il a donc congédié Paul en disant : “ Maintenant va-t’en, mais quand je trouverai un moment propice, je t’enverrai chercher de nouveau. ” Il a effectivement revu Paul de nombreuses fois après cela, non parce qu’il voulait apprendre la vérité, mais parce qu’il espérait que celui-ci lui donne un pot-de-vin. — Actes 24:25, 26.
18 Pourquoi Paul a-t-il parlé à Félix et à sa femme “ de justice, de maîtrise de soi et du jugement à venir ” ? On a vu qu’ils voulaient savoir ce que “ la foi en Christ Jésus ” supposait. Sachant combien ils étaient immoraux, cruels et injustes, Paul leur a fait comprendre ce qui était exigé de quiconque voulait devenir disciple de Jésus. Ses propos ont fait ressortir la nette opposition entre les normes de justice de Dieu et la vie que menaient Félix et Drusille. Ceux-ci auraient dû saisir que tous les humains sont comptables devant Dieu de ce qu’ils pensent, font et disent, et que le jugement à rendre au sujet de Paul n’était rien comparé au jugement qui les attendait devant Dieu. Il n’est pas étonnant que Félix ait ‘ pris peur ’.bt 194-195

(Actes 24:24). L’Histoire rapporte que Félix “donna carrière à sa cruauté et à ses caprices et exerça le pouvoir royal avec l’esprit d’un esclave”. Il avait été marié deux fois lorsqu’il incita Drusille à divorcer (en violation de la loi divine) afin qu’elle devienne sa troisième femme. Peut-être était-ce elle qui voulait entendre parler de la nouvelle religion, le christianisme.

3 C’est alors que Paul a parlé “de justice, de maîtrise de soi et du jugement à venir”. (Actes 24:25.) Il est possible que ces paroles aient rendu manifeste le contraste entre les principes de justice établis par Dieu, et la cruauté et l’injustice qui régnaient dans le monde auquel appartenaient Félix et Drusille w93 15/8 17-19

Pour ce qui est de Félix, sa vraie motivation ressort de cette remarque : “ Quand deux années se furent écoulées, Félix eut pour successeur Porcius Festus ; et comme Félix voulait se concilier la faveur des Juifs, il laissa Paul lié. ” (Actes 24:27). Félix n’était pas réellement l’ami de Paul. Il savait que les disciples de “ La Voie ” n’étaient ni des séditieux ni des révolutionnaires (Actes 19:23). Il savait aussi que Paul n’avait violé aucune loi romaine ; pourtant, il l’a maintenu en prison pour “ se concilier la faveur des Juifs ”bt 195

L’apôtre Paul, un des rédacteurs de la Bible, fit précéder le nom “Jésus” du titre “Christ”. Dans les manuscrits les plus anciens, Luc emploie ce dernier mot, une fois, dans Actes 24:24, où il parle de Paul. Cela avait pour but d’attirer l’attention des gens, en premier lieu sur la fonction, et en second lieu, sur la personne qui l’exerçait. Le titre “Christ” souligne la charge officielle que Jésus remplit en sa qualité d’Oint de Jéhovah, position honorable que ne partagèrent pas ceux de ses disciples qui furent oints comme lui de l’esprit de Dieu.

À la différence des chefs religieux de la chrétienté, Jésus ne fit jamais précéder son nom d’une succession de titres. Dans la Bible, on ne trouve jamais de combinaison de titres comme Seigneur Christ Jésus ou le Roi Christ Jésus. Si plusieurs qualifications sont employées, elles sont séparées, comme dans les expressions “Seigneur Jésus-Christ” et “Christ Jésus notre Sauveur”. Pour certains, II Timothée 1:10 apparaîtra peut-être comme une exception à la règle, parce que nous trouvons dans ce passage les mots “notre Sauveur, Christ Jésus”. Mais dans le texte grec, les titres “Sauveur” et “Christ” sont séparés par un pronom, et signifie littéralement “le Seigneur de nous, Christ Jésus”.

Le fait que Pierre identifia Jésus au Messie, le Christ promis, est appuyé sur des témoignages bibliques écrasants. De plus, cet apôtre fut un témoin oculaire des œuvres et des discours de Jésus, ainsi que des événements le concernant qui se produisirent conformément aux prophéties. C’est pourquoi il dit : “Non, ce n’est pas en suivant de fausses histoires ingénieusement imaginées que nous vous avons fait connaître la puissance et la présence de notre Seigneur Jésus-Christ, mais c’est en devenant témoins oculaires de sa magnificence.” — II Pierre 1:16.w70 394
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