Jump to content
The World News Media

RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 18 MARS 2019 - 1 Corinthiens 1-3


misette

Recommended Posts

  • Member

RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 18 MARS 2019 - 1 Corinthiens 1-3.docx

RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 18 MARS 2019 - 1 Corinthiens 1-3.pdf

JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

Recherchons des perles spirituelles (8 min) : 1 Corinthiens 1-3

1 Corinthiens 1:20 : Comment Dieu a-t-il « rendu stupide la sagesse du monde » ? (it-2 854 § 5).

« Où est le sage ? Où est le scribe ? Où est le débatteur de ce monde ? Dieu n’a-t-il pas rendu stupide la sagesse du monde ? »

Sagesse

C’est ainsi que dans sa sagesse le monde a rejeté comme étant une sottise le don de Dieu fait par le moyen de Christ ; ses chefs avaient beau être des administrateurs capables et judicieux, ils allèrent jusqu’à ‘attacher sur un poteau le Seigneur glorieux’ (1Co 1:18 ; 2:7, 8).

Cependant, Dieu prouvait désormais que la sagesse des sages du monde était sottise, et il leur faisait honte en utilisant ce qu’ils considéraient comme « une chose sotte de Dieu » pour réaliser son dessein invincible, ainsi que des personnes qu’ils jugeaient ‘sottes, faibles et sans distinction’ (1Co 1:19-28). Paul rappela aux chrétiens de Corinthe que « la sagesse de ce système de choses » et « celle des chefs de ce système de choses » seraient réduites à rien ; cette sagesse n’avait donc pas sa place dans le message spirituel de l’apôtre (1Co 2:6, 13). Il mit en garde les chrétiens de Colosses contre le piège de « la philosophie [philosophias, littéralement : « amour de la sagesse »] et d’une vaine tromperie selon la tradition des hommes » (Col 2:8 ; voir aussi v. 2:20-23) (Colossiens 2:20-23) « Si vous êtes morts avec Christ quant aux choses élémentaires du monde, pourquoi vivez-vous comme si vous faisiez toujours partie du monde, en continuant de vous soumettre à des décrets tels que :  « Ne prends pas, ne goûte pas, ne touche pas » ?  Ces décrets concernent des choses qui périssent toutes lorsqu’on les consomme. Ce sont des commandements et des enseignements d’hommes.  Bien que ces choses-là aient une apparence de sagesse par un culte que l’on s’impose à soi-même et par une fausse humilité, un dur traitement du corps, elles n’ont aucune valeur pour combattre les désirs de la chair. » - it-2 854 § 5

La fausse humilité. Celui qui manifeste “ une fausse humilité ” — une humilité feinte pour impressionner les autres, peut-être en renonçant à des choses matérielles ou en traitant son corps sévèrement — montre en réalité qu’il est “ gonflé d’orgueil [...] par sa mentalité charnelle ”.Les Écritures disent bien aux chrétiens qu’ils ne doivent pas laisser leur humilité devenir seulement un vernis. Celui qui se complaît dans une fausse humilité peut devenir “ gonflé d’orgueil sans raison véritable par sa mentalité charnelle ”. Celui qui est vraiment humble ne pensera pas que le Royaume de Dieu ou son admission dans celui-ci dépend de ce qu’il mange et boit, ou de ce qu’il s’abstient de manger ou de boire. La Bible montre qu’on peut manger, boire ou encore s’abstenir de certaines choses parce qu’on pense devoir agir ainsi pour raison de santé ou par motif de conscience. Celui qui croit que Dieu le regardera avec faveur parce qu’il s’abstient ou non de manger, de boire, de toucher à certaines choses, parce qu’il observe ou non certains jours sacrés, ne se rend pas compte que ses actions ‘ ont bien une apparence de sagesse, par un culte qu’il s’impose à lui-même et une fausse humilité, un traitement sévère du corps, mais elles n’ont aucune valeur pour combattre la satisfaction de la chair ’. — Col 2:18, 23  - it1 Humilité

Le bon usage de son corps. Le chrétien doit apprécier le corps que Dieu lui a donné et s’aimer suffisamment pour en prendre convenablement soin, afin de pouvoir le présenter en service sacré agréable à Dieu. Cela exige de faire usage de raison et d’entretenir son corps par la nourriture et d’autres choses nécessaires, sans oublier la propreté physique ; toutefois, d’autres soins sont plus importants encore. Ils comprennent la spiritualité, la recherche du Royaume de Dieu et de sa justice, ainsi que la pratique de la droiture morale (Col 2:20-23) – it1 Corps

À Corinthe, certains se laissaient abuser par des raisonnements charnels (1 Corinthiens 3:1-3). Ils s’attachaient plus à des philosophies humaines qu’à la Parole de Dieu. Les penseurs grecs de l’époque étaient assurément des hommes très intelligents. Pourtant, aux yeux de Dieu, ils faisaient figure de sots. “ Il est écrit : ‘ Je ferai périr la sagesse des sages, et l’intelligence des intellectuels, je la pousserai de côté ’, a rappelé Paul. Où est le sage ? Où est le scribe ? Où est le discuteur de ce système de choses ? Dieu n’a-t-il pas rendu sotte la sagesse du monde ? ” (1 Corinthiens 1:19, 20). Ces intellectuels étaient influencés, non par l’esprit de Dieu, mais par “ l’esprit du monde ”. (1 Corinthiens 2:12.) Leur philosophie et leurs idées étaient en contradiction avec la pensée de Jéhovah. La vérité chrétienne est renfermée dans la Parole écrite de Dieu, la Bible Pour bien comprendre cette dernière, il n’est pas nécessaire d’étudier la philosophie profane. Les sages, les hommes cultivés et les raisonneurs du temps de Paul avaient beau briller sur le plan intellectuel, ils n’apportaient aucune réponse concrète aux problèmes de l’humanité.– TG2003  15/7

Qui veut devenir vraiment sage doit devenir sot aux yeux du monde, “ car la sagesse de ce monde est sottise auprès de Dieu ”. Ce ne sont pas les sages de ce monde que Jéhovah choisit pour le représenter, mais ceux qui sont méprisés, considérés comme ignares, sots. Cela rend la sottise du monde encore plus manifeste. En outre, cela enlève à ceux qui ont des capacités toute raison de se glorifier. Au contraire, comme il se doit, toute la gloire va à Jéhovah, la Source de la sagesse – it2 Sot

1 Corinthiens 2:3-5 : Comment l’exemple de Paul peut-il nous aider ? (w08 15/7 27 § 6).

« Je suis venu chez vous faible, craintif et tout tremblant ;  et mon langage et ce que j’ai prêché n’étaient pas des paroles de sagesse persuasives, mais une démonstration d’esprit et de puissance,  pour que vous ayez foi, non pas dans la sagesse humaine, mais dans la puissance de Dieu. »

Alors qu’il donnait le témoignage à Corinthe, un haut lieu de la philosophie et de l’érudition grecques, Paul s’est peut-être demandé s’il parviendrait à persuader ses auditeurs.

Cependant, il n’a pas permis à une quelconque faiblesse ou crainte de l’empêcher d’accomplir le ministère que Dieu lui avait confié. Pareillement, nous ne devons pas permettre à des circonstances inhabituelles de nous empêcher d’annoncer la bonne nouvelle du Royaume de Dieu. Comme Paul, nous pouvons nous tourner vers Jéhovah avec confiance pour qu’il nous aide. w08 15/7 27 § 6

Quand on s’adresse à quelqu’un dans des circonstances inhabituelles, on peut avoir le souci de présenter la vérité de Dieu d’une manière convenable et efficace. Ce fut le cas même de l’apôtre Paul quand il se rendit à Corinthe, centre de la philosophie et de l’enseignement grecs. Aux chrétiens de cette ville, il écrivit : “Je suis venu chez vous dans la faiblesse, dans la crainte et avec grand tremblement.” (I Cor. 2:3). Pourquoi Paul éprouvait-il de tels sentiments ? Étant Juif et se rendant dans le centre de la culture grecque, il s’inquiétait de toute évidence de savoir si sa présentation de la vérité dans des circonstances exceptionnelles accomplirait le dessein de Dieu et toucherait le cœur de ses auditeurs.

Grâce à l’esprit de Dieu, Paul réussit parfaitement à aider des Corinthiens sincères à devenir disciples de Jésus Christ. Bien qu’étant lui-même très instruit, Paul ne les attira pas par un langage déraisonnable ni par l’emploi de la sagesse humaine, mais avec la vérité enseignée par l’esprit de Dieu

Comme Paul, en tant que vrais chrétiens, nous pouvons également aider avec succès d’autres personnes à parvenir à la connaissance de la volonté et des desseins de Dieu. Le manque de connaissance à propos de certaines questions profanes ne nous désavantage pas. Quels que soient leur instruction, leur passé et leur position sociale, les gens ont en réalité besoin de la vérité contenue dans la Bible. Or, l’esprit de Dieu nous aidera à communiquer cette vérité avec exactitude en agissant envers nous comme un enseignant. – TG1974 p607

Quand Paul arriva à Corinthe pour annoncer la bonne nouvelle, il ne se laissa pas impressionner par la sagesse des Grecs païens. Il n’essaya pas de gagner des adeptes en rivalisant avec les intellectuels grecs, ou de montrer qu’il était plus intelligent que les philosophes païens. Il ne se fit pas un devoir de flatter les oreilles des hommes qui cherchaient la sagesse du monde, les théories et les philosophies humaines. Paul était venu pour poser Jésus-Christ comme le fondement d’une congrégation de chrétiens

Tout comme l’apôtre Paul, un vrai chrétien de nos jours tremblera peut-être et se sentira faible en arrivant dans une citadelle de la sagesse et des philosophies de ce monde. Pourtant, il pourra faire une démonstration de l’esprit et de la puissance de Dieu et affermir ainsi la foi de ceux qui l’écouteront – TG1967 p74

L’exemple de l’apôtre Paul montre bien quelle doit être l’attitude du chrétien quand il fait des disciples. Dans sa première lettre aux Corinthiens, Paul explique qu’il n’a pas cherché à impressionner ses auditeurs par des paroles présomptueuses, mais qu’il voulait que ceux-ci fondent leur foi sur Jésus Christ et non sur la sagesse des hommes, et qu’ils l’affermissent grâce à l’esprit et à la puissance qui vient de Dieu. Paul accordait donc tout l’honneur de la croissance de la congrégation chrétienne à Jéhovah Dieu et il se considérait humblement comme un simple ministre ou serviteur ou esclave qui s’efforçait de faire des disciples non pas pour lui-même, mais pour Jésus Christ. Pareillement, les chrétiens qui participent aujourd’hui à cette même œuvre veilleront à ce que les futurs disciples considèrent Jéhovah Dieu et Jésus Christ, et non eux-mêmes, comme leurs véritables enseignants. Ils doivent également surveiller leur enseignement. Chacun peut ainsi se demander s’il enseigne vraiment toutes les choses que le Christ a commandées – TG1977 p465

Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ?

Jéhovah favorise les humbles, et pas les orgueilleux. Il cache la vérité « aux sages et aux intellectuels », à ceux qui sont sages et instruits aux yeux des hommes et qui, par orgueil, pensent ne pas avoir besoin de son aide (1 Corinthiens 1:19-21). Par contre, il révèle la vérité aux « tout-petits », à ceux qui se tournent vers lui d’un cœur sincère et avec l’humilité d’un enfant (1 Corinthiens 1:26-28). – TG2013  1/1 p9

La claire vision de ce que nous sommes — de vrais chrétiens — et de nos relations avec le Maître Souverain de l’univers nous incite à nous ‘ glorifier en Jéhovah ’. (1 Corinthiens 1:31.) Nous glorifier, mais en quel sens ? En ce sens que nous sommes fiers d’avoir Jéhovah pour Dieu. Nous faisons nôtre cette exhortation : “ Que celui qui se vante se vante de ceci : d’être perspicace et de me connaître, de savoir que je suis Jéhovah, Celui qui exerce la bonté de cœur, le droit et la justice sur la terre. ” (Jérémie 9:24). Nous nous ‘ glorifions ’ du privilège de connaître Dieu et d’être utilisés par lui pour venir en aide à nos semblables. – TG2005  15/2 p13

Il ne vous échappe probablement pas que les nations n’ont pas reconnu le Royaume de Christ. Elles rejettent les déclarations proclamant son établissement, et continuent à affirmer leur propre souveraineté. Cette proclamation n’est pour elles que sottise. Ainsi, “aucun des chefs de ce système de choses n’est parvenu à connaître” la sagesse que Dieu a montrée en choisissant Christ comme Roi. Aveuglées par un système placé sous l’emprise de Satan et des esprits rebelles qu’il a établis princes, elles se trouvent en opposition au Royaume messianique. — I Corinthiens 2:8TG1986  15/10 p6-7

“ L’œil ne les a pas vues 

Dans sa lettre aux Corinthiens, l’apôtre Paul cita le livre d’Isaïe ; il écrivit : “ Comme c’est écrit : ‘ L’œil ne les a pas vues, et l’oreille ne les a pas entendues, et elles n’ont pas été conçues dans le cœur de l’homme, les choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment. ’ ” (1 Corinthiens 2:9). Ni la déclaration de Paul ni les paroles d’Isaïe ne parlent des choses que Jéhovah a préparées pour ses serviteurs dans un héritage céleste ou dans un futur paradis sur la terre. Paul applique les propos d’Isaïe aux bienfaits dont les chrétiens bénéficiaient déjà au 1er siècle, par exemple la compréhension des choses profondes de Dieu et la lumière spirituelle provenant de Jéhovah. 1 Corinthiens 2:9 ne parle pas de choses matérielles, car le verset suivant, 1 Corinthiens 2:10, concerne les ‘choses profondes de Dieu’. Il s’agit de la ‘sagesse de Dieu’ liée au ‘saint secret’, de sa ‘sagesse cachée’, qui vient d’au-delà du système solaire, qui vient de Dieu lui-même.” (1 Corinthiens 2:7).

On ne peut comprendre les choses spirituelles profondes qu’au moment où Jéhovah a prévu de les révéler et, même à ce moment-là, seulement si on est spirituel et si on entretient des relations étroites avec Dieu. Les paroles de Paul s’appliquent à ceux qui ont peu ou pas de spiritualité. Leur œil ne peut voir, ou discerner, les vérités spirituelles, et leur oreille ne peut les entendre, ou les comprendre. La connaissance des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment ne pénètre même pas dans le cœur de tels individus. Mais à ceux qui sont voués à Dieu, comme Paul, Dieu a révélé ces choses grâce à son esprit. — 1 Corinthiens 2:1-16. - ip-2 p366

L’esprit de Dieu transforme le chrétien en quelqu’un qui est nettement différent de ceux qui font partie du monde. L’esprit de Dieu donne aussi au chrétien une compréhension plus étendue des choses. Paul a écrit: “Nul ne connaît les choses de Dieu, si ce n’est l’esprit de Dieu.” (1 Corinthiens 2:11). D’une manière générale, “les choses de Dieu” comprennent des vérités comme le sacrifice rédempteur, le Royaume de Dieu et de Jésus Christ, l’espérance de la vie éternelle, et l’anéantissement prochain du monde méchant. Grâce à l’aide de l’esprit de Dieu, les chrétiens connaissent ces enseignements et les tiennent pour la vérité, ce qui leur procure une conception de la vie différente de celle des personnes du monde. Ils sont heureux de trouver leur joie à servir Jéhovah dès maintenant, avec la perspective de continuer à le faire pour l’éternité. – TG1994 1/ 4 p19

En I Corinthiens 2:11, l’apôtre Paul déclare: “Car qui parmi les hommes connaît les choses de l’homme, si ce n’est l’esprit de l’homme qui est en lui?” Il en est de même pour Jésus Christ. Bien qu’il ait été utilisé par Jéhovah Dieu dans la création de l’humanité, ce fut autre chose pour lui de devenir un homme, de connaître tout ce qui constitue la vie terrestre et d’éprouver en lui-même les sentiments des humains. Aussi est-il écrit: “Bien que Fils, il a appris l’obéissance par les souffrances qu’il a endurées” en tant qu’homme sur la terre (Hébreux 5:8) – TG1987 1/4 p16-17

Jéhovah attire en douceur le cœur d’une personne qui est « dans la disposition qu’il faut » (Actes 13:48). Il le fait de deux manières : au moyen de la prédication de la bonne nouvelle, qui touche chacun personnellement, et au moyen de son esprit saint. Quand il voit un cœur réceptif aux vérités bibliques, il utilise son esprit pour aider la personne à les comprendre et à les appliquer dans sa vie (1 Corinthiens 2:11, 12). Sans cette aide, nous ne pourrions pas devenir de véritables disciples de Jésus ni de fidèles adorateurs de Jéhovah. – TG2013 1/5 p14

Si vous êtes chrétien, c’est que Dieu vous a vous aussi attiré à lui. Notre Père céleste a remarqué quelque chose de précieux dans notre cœur, il a vu du bon en vous. Quand vous avez prêté attention au message de la bonne nouvelle, Jéhovah vous a aidé à le comprendre en vous fournissant son esprit (1 Cor. 2:11, 12). Lorsque vous vous êtes efforcé d’appliquer ce que vous appreniez, il a béni vos efforts. Enfin, le jour où vous lui avez voué votre vie, il s’en est réjoui. Ainsi, depuis votre tout premier pas sur la route de la vie, Jéhovah a été à vos côtés. – TG2012  15/4 p27 §6

2:15, 16 — En quel sens sommes-nous “ une agréable odeur de Christ  ? En ce sens que nous adhérons à la Bible et diffusons son message. Bien que ce “ parfum ” puisse écœurer les injustes, il est agréable à Jéhovah et aux personnes sincères. – TG2008  15/7

Une raison de nous montrer humbles : Jéhovah lui-même fait preuve d’humilité. “ Nous sommes les compagnons de travail de Dieu ”, dit la Bible (1 Cor. 3:9). Rendez-vous compte : Jéhovah, dont la grandeur est incomparable, nous témoigne de l’honneur en nous offrant la possibilité de prêcher la bonne nouvelle à l’aide de sa Parole, la Bible. Bien que ce soit lui qui fasse croître les graines que nous semons et arrosons, il nous honore en nous permettant de collaborer avec lui (1 Cor. 3:6, 7). N’est-ce pas là une incroyable marque d’humilité ? Indéniablement, l’humilité de Jéhovah est pour chacun de nous un puissant encouragement à se comporter comme un petit. – TG201215/11 p15 §6

Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

Les serviteurs de Jéhovah doivent être “ bien unis dans la même pensée et dans la même opinion ”. (1Co 1:10) Cela signifie qu’ils doivent être unis en ce qui concerne les intérêts du culte pur — les choses importantes —, non dans les goûts personnels ou dans des questions secondaires qui se régleront lorsqu’ils atteindront la maturité. Ils doivent “ avoir même pensée dans le Seigneur ” au lieu de se quereller - it-2 p525

Apollos avait une forte influence sur les Corinthiens ; malheureusement, sa prédication a produit des effets négatifs inattendus. Paul et Apollos s’étaient tous deux beaucoup dépensés à Corinthe pour planter et arroser la semence, la vérité au sujet du Royaume. Paul y avait prêché aux environs de l’an 50 de notre ère, à peu près deux ans avant l’arrivée d’Apollos. Au moment où il écrivit sa première lettre aux Corinthiens, vers l’an 55, des clans s’étaient formés. Certains considéraient Apollos comme leur chef, d’autres penchaient pour Paul ou Pierre, et d’autres encore restaient exclusivement attachés à Christ (1 Corinthiens 1:10-12). Certains disaient : ‘ J’appartiens à Apollos. ’ Pourquoi donc ?

Le message que prêchaient Paul et Apollos était le même, mais leurs personnalités étaient différentes. De son propre aveu, Paul était “ inexpérimenté quant à la parole ” ; Apollos, lui, était “ éloquent ”. Grâce à ses aptitudes, il trouvait des oreilles attentives dans la communauté juive de Corinthe.

Il n’y avait pas de désunion ni de rivalité entre eux ; au contraire, ils collaboraient visiblement dans une confiance mutuelle pour résoudre les problèmes de Corinthe. Paul avait peut-être des doutes sur quelques Corinthiens, mais certainement pas sur Apollos. Les deux hommes travaillaient en complète harmonie ; leurs enseignements étaient complémentaires. Paul lui-même a dit : “ J’ai planté, Apollos a arrosé ” ; tous les deux étaient “ compagnons de travail de Dieu ”. — 1 Corinthiens 3:6, 9, 21-23. – TG1996 1/10 p21-22

Quelque temps après avoir défini son itinéraire initial, Paul avait reçu des nouvelles troublantes : on tolérait à Corinthe des dissensions et des comportements immoraux (1 Cor. 1:11). Pour redresser la situation, il a rédigé sa première lettre aux Corinthiens, dans laquelle il a inclus des conseils fermes. Puis, au lieu d’embarquer directement pour Corinthe, Paul a décidé de laisser aux chrétiens de cette ville le temps d’appliquer ses recommandations. Ainsi, lorsqu’il se rendrait finalement sur place, sa visite serait plus encourageante. Ne ressemblons jamais aux détracteurs de Paul. Manifestons plutôt un profond respect pour ceux qui ont été placés à notre tête. Nous avons tout lieu d’imiter l’apôtre, qui était lui-même un imitateur de Christ – TG2012  15/10 p27 §7

Pour les Juifs, Christ était un sujet d’achoppement. Pour les non-Juifs, Christ était une sottise. La Bible dit: “Nous prêchons Christ attaché sur un poteau, sujet d’achoppement pour les Juifs et sottise pour les nations.” (1 Corinthiens 1:23). Les Juifs rejetèrent Christ comme Sauveur, parce que sa manière de vivre et de mourir ne convenait pas à leurs ambitions nationalistes. Aux yeux des nations non juives qui cherchaient Dieu par le moyen de la spéculation humaine, la manière de vivre et de mourir du Christ était complètement incompréhensible. Sa mort semblait n’être qu’un gâchis inutile. La volonté et le dessein de Jéhovah Dieu révélés et accomplis par Christ étaient sottise parce que diamétralement opposés aux hypothèses et aux valeurs humaines. Même aujourd’hui, des millions de gens trébuchent à cause de Christ Jésus – vi p22-23

Paul nous aide à comprendre la différence entre un « homme spirituel » et un « homme physique » (1 Corinthiens 2:14-16). Quelqu’un de « physique » n’accepte pas « les choses de l’esprit de Dieu, car elles sont une sottise pour lui ; et il ne peut pas parvenir à les connaître ». À l’inverse, quelqu’un de « spirituel » « examine [...] toutes choses » et il a « la pensée de Christ », ce qui signifie qu’il s’efforce de penser comme Jésus. Paul nous encourage bien sûr à être des personnes spirituelles – TG2018/2 p18 §3

La Bible identifie un élément indispensable à la spiritualité. En 1 Corinthiens 2:12-15, elle dit de l’homme spirituel qu’il reçoit l’esprit qui vient de Dieu. Cet esprit est la force agissante de Dieu, et son action est une condition préalable pour parvenir à connaître les choses spirituelles. Elle rend capable d’examiner et de comprendre toute question d’un point de vue spirituel. Au contraire, celui qui n’a pas l’esprit de Dieu est qualifié d’homme physique, considérant les choses spirituelles comme une sottise. Son jugement se limite donc à ce que révèle la sagesse humaine.

Notre capacité spirituelle provenant de Dieu, qui nous a créés à son image, la spiritualité authentique ne s’atteint pas par la conscience de soi, la sagesse humaine ou la réalisation personnelle. Elle requiert l’influence de l’esprit saint de Dieu. En fait, selon la Bible, ceux qui ne veulent pas de cette influence, qui choisissent de suivre leurs propres désirs et des “ choses impies ”, n’ont pas de spiritualité. Des inclinations et des appétits charnels les animent. 1 Corinthiens 2:14 – RV2009/12 p12-13

2:16. Avoir “ la pensée de Christ ”, c’est saisir sa manière de penser, penser comme lui, bien connaître sa personnalité et suivre son exemple. Il est très important d’étudier soigneusement la vie et le ministère de Jésus. – TG2008 15/7 p27

Puisque le lait favorise la croissance physique vers la maturité, la doctrine chrétienne élémentaire est comparée à du “ lait ” pour les tout-petits sur le plan spirituel, qui les fortifie et les fait croître jusqu’à ce qu’ils soient capables d’assimiler “ la nourriture solide ”, les vérités spirituelles plus profondes (1Co 3:2) Tout comme Paul, les ministres chrétiens d’aujourd’hui s’intéressent aux petits sur le plan spirituel en leur donnant du “ lait ”, autrement dit en les aidant à s’appuyer solidement sur la doctrine chrétienne de base. Ils encouragent ces ‘ petits ’, ces nouveaux, ‘ à faire naître en eux un ardent désir pour le lait non frelaté de la parole ’. (1 Pierre 2:2.) L’apôtre Paul avait compris que les nouveaux demandaient une attention particulière, témoin ces paroles : “ Tout homme qui a part au lait ne connaît pas la parole de justice, car c’est un tout petit. ” (Hébreux 5:13). Les ministres de Dieu doivent se montrer patients, pleins d’égards, compréhensifs et doux envers ces nouveaux, ces inexpérimentés, et leur donner le lait pur de la Parole au moyen d’une étude de la Bible et dans la congrégation. RV1996 1/1 p29

Au 1er siècle, dans la congrégation de Corinthe, s’étaient infiltrés des hommes ambitieux qui se mettaient en évidence, se glorifiaient dans les hommes et suscitaient des querelles. La congrégation était donc partagée en clans qui, jalousement, se tournaient vers des hommes, les élevaient et les suivaient. Paul expliqua qu’une telle jalousie était charnelle, et non spirituelle (1Co 3:3) Il expliqua que l’amour qui vient de Dieu n’est pas jaloux, au sens péjoratif du terme, mais qu’il est confiant, plein d’espoir et qu’il agit toujours dans l’intérêt d’autrui. La jalousie comme celle que Paul censura dans la congrégation de Corinthe n’est pas juste. Elle ne favorise pas l’attachement exclusif à Jéhovah. Au contraire, c’est une forme d’idolâtrie, d’origine démoniaque, et elle engendre envie et querelle. La Bible met ses lecteurs en garde à maintes reprises contre cette jalousie, en montrant qu’elle touche le cœur lui-même. La mauvaise jalousie peut conduire celui qui l’éprouve à pécher contre Dieu - it-1 p1235

“Moi j’ai planté, Apollos a arrosé, mais Dieu le faisait croître.” (1 Cor. 3:6). Par ces paroles, l’apôtre Paul définissait trois étapes fondamentales pour faire des disciples de Christ. Les deux premières étapes, planter et arroser, sont un privilège et une responsabilité qui revient aux serviteurs de Dieu voués et baptisés. Cela suppose prêcher en public et de maison en maison, de façon informelle et d’autres manières encore. Cela implique également enseigner progressivement aux personnes à observer toutes les choses que Jésus a commandées. On ne peut s’acquitter de cette dernière étape qu’en rendant visite aux gens qui manifestent de l’intérêt, afin d’avoir des discussions bibliques et d’étudier la Bible avec eux. - km 8/91 p3-4

Il existe un feu que nous devons tous affronter : les épreuves de notre foi. Les chrétiens de Corinthe devaient savoir, comme nous aujourd’hui, que toute personne à qui nous enseignons la vérité sera éprouvée. Un enseignement médiocre risque donc d’avoir de tristes conséquences. “ Si l’œuvre de quelqu’un, qu’il a bâtie dessus, demeure, écrit Paul, il recevra une récompense ; si l’œuvre de quelqu’un est brûlée, il subira une perte, mais lui, il sera sauvé ; cependant, s’il en est ainsi, ce sera comme à travers le feu. ” 1 Corinthiens 3:14, 15. Voilà qui fait réfléchir ! Il peut être déchirant, après avoir travaillé dur pour aider quelqu’un à devenir un disciple, de le voir succomber à la tentation ou à la persécution et abandonner finalement la voie de la vérité. Paul en était conscient, et c’est pour cette raison qu’il parlait d’une perte subie en pareil cas. La peine pourrait être si intense que notre salut se ferait “ comme à travers le feu ” ; ce serait comme un homme qui perd tout dans un incendie et qui n’est sauvé lui-même que de justesse. Comment limiter ce risque de perte ? En bâtissant avec des matériaux résistants. Si nous enseignons nos étudiants de manière à toucher leur cœur, en les amenant à accorder du prix à des qualités chrétiennes aussi précieuses que la sagesse, le discernement, la crainte de Jéhovah et la vraie foi, alors c’est que nous sommes en train de bâtir avec des matériaux durables et qui résistent au feu. Ceux qui acquerront ces qualités continueront à faire la volonté de Dieu ; leur espérance de demeurer vivants pour toujours sera certaine – TG1998 1/11 p11-12

Link to comment
Share on other sites


  • Views 341
  • Replies 1
  • Created
  • Last Reply

Top Posters In This Topic

Popular Days

Top Posters In This Topic





×
×
  • Create New...

Important Information

Terms of Service Confirmation Terms of Use Privacy Policy Guidelines We have placed cookies on your device to help make this website better. You can adjust your cookie settings, otherwise we'll assume you're okay to continue.