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Vidéo par écrit : « Endurons malgré …. nos imperfections ? » - Semaine du 23 Septembre 2019


misette

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Vidéo par écrit : « Endurons malgré …. nos imperfections ? »

Frère Cázares : « J’ai connu la vérité quand j’étais enfant, et depuis, j’ai toujours dû lutter pour avoir une conduite qui plaise à Jéhovah.

J’ai du mal à me maîtriser, à rester calme.

Quand je suis arrivé dans ce pays, un frère s’est montré désagréable envers moi et il n’a pas été très accueillant.

Du coup, je me suis mis à lui en vouloir, à tel point que quand il me téléphonait, je lui répondais très sèchement.

Ma femme a dû m’aider, en me rappelant que ce frère et moi, on est tous les deux imparfaits et que ce que j’éprouvais pour lui, ça n’était pas sain.

Pendant toute cette période, je me suis vraiment senti mal et ma relation avec Jéhovah en a souffert.

La discipline ne fait jamais plaisir, surtout quand on reçoit une lettre de la filiale qui nous conseille sur quelque chose qu’on n’a pas bien fat. Ça met vraiment mal à l’aise.

Mais j’ai essayé de me dire qu’en suivant les conseils de Jéhovah, j’en retirerais des bienfaits.

La prière, les principes bibliques et la conviction que Jéhovah me donnerait la direction dont j’avais besoin, tout cela m’a beaucoup aidé.

Comme le dit le Psaume 103:14 « Car il sait bien de quoi nous sommes formés, il se souvient que nous sommes poussière. »

C’est comme s’il me disait : « Mon fils, tu fais beaucoup d’erreurs, mais je t’aime quand même. Je peux t’utiliser à mon service et je sais que tu y arriveras ».

Et, bien sûr, c’est possible parce que Jéhovah a toujours aidé chacun de ses serviteurs, depuis Abel jusqu’à aujourd’hui.

On est tous imparfaits.

« Un jour où je travaillais sur une installation électrique, j’ai été électrocuté. Quand le médecin m’a vu, il a estimé qu’il fallait m’amputer les deux mains. J’avais perdu mes mains ! Il y avait tellement de choses que je ne pourrais plus faire. Comment est-ce que j’allais pouvoir travailler ? Prendre soin de mes enfants ? De ma femme ?

La première chose que j’ai demandée, c’était une Bible. Je voulais voir si je pouvais encore tourner les pages, et j’y suis arrivé. Ça m’a rendu si heureux. Aujourd’hui, j’ai un travail qui me permet de prendre soin de ma famille. Je suis peintre, soudeur et menuisier. Je peux même conduire pour aller au travail.

Je me suis concentré sur mes priorités, comme mon rôle d’ancien dans la congrégation et surtout ma famille que je voulais continuer d’aider à progresser spirituellement.

Etre bien occupé dans les activités spirituelles m’a aidé à ne pas me focaliser sur mon handicap. Parfois, j’oublie même que je suis handicapé. Jéhovah m’a toujours soutenu.

Depuis que j’ai eu mon accident, j’ai vu comment Jéhovah m’a aidé à aller de l’avant, grâce à ma famille, ma femme et mes enfants, et aux frères et sœurs de la congrégation.

Un jour, je venais de faire un discours, et une petite fille m’a donné une lettre et un dessin qu’elle avait fait de moi. Elle m’a remercié et m’a encouragé en me disant que très bientôt, dans le Paradis, Jéhovah me redonnera mes mains.

Ce genre de choses, comme pouvoir tenir la main de ma femme, celles de mes enfants, les porter et jouer avec eux, c’est ce que j’attends, et je suis convaincu que ça va arriver, grâce à Jéhovah.

Un jeune frère : « J’ai été arrêté et condamné à deux ans et demi de prison pour ma neutralité. C’était un univers totalement nouveau pour moi et très impressionnant. Je ne connaissais personne, et je ne savais pas à quoi m’attendre. J’étais le seul Témoin.

Je priais constamment Jéhovah pour qu’il me donne la force de régler n’importe quel problème de façon pacifique et de résister ç n’importe quelle difficulté. Dans cette situation, seules la prière et la Parole de Dieu me réconfortaient.

Mais un jour, on m’a confisqué ma Bible. Heureusement, on me l’a rendue quelque temps plus tard.

J’avais le droit d’avoir des publications à une condition : que je ne prêche pas.

Bon, je n’avais pas le droit de prêcher, mais ça ne voulait pas dire que je n’avais pas le droit de parler….. J’étais déterminé à rester fidèle quoi qu’il arrive.

Ma bonne conduite a eu un effet positif sur les autres prisonniers. Certains se sont mis à lire la Bible ; j’avais même souvent du mal à la récupérer quand je voulais la lire.

Je ne disais pas de gros mots et je veillais à rester propre. Ça n’a pas échappé aux responsables de la prison.

Un jour, ils m’ont dit : « Comme tu es propre et honnête, on voudrait que tu sois notre chef cuisinier » C’est comme ça que je suis arrivé en cuisine.

Je voyais constamment la main de Jéhovah. J’ai passé des moments incroyables à parler de ma foi.

Certains mois, j’y ai même consacré 120 heures et j’ai laissé plus de 100 publications.

Grâce à Jéhovah, j’ai pu rester dans le service à plein temps pendant toute la période que j’ai passée en prison. Ça m’a comblé de joie !

1 Pierre 5 :9 qui dit que toute la communauté des frères subit le même genre de souffrances que moi, m’a beaucoup encouragé.

Je suis sûr que, quelle que soit la situation dans laquelle on se retrouve, ou les personnes qui nous entourent, Jéhovah ne nous abandonnera jamais.

Le jour de ma libération est finalement arrivé. Comme je n’avais rien dit à ma mère, elle a été très surprise.

Je n’oublierai jamais ce moment où nous avons été réunis.

Contre quoi, même après son baptême, frère Cázares a-t-il toujours dû lutter ?

De quelles différentes manières a-t-il été corrigé ?

 

 

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