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Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Genèse 20-21 - Semaine du 24 Février 2020


misette

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RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 24 Février 2020 - Genèse 20-21.docx

RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 24 Février 2020 - Genèse 20-21.pdf

Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Genèse 20-21

 

Genèse 20:12 : Sara était-elle la soeur d’Abraham ? (wp17.3 12, note)

«  Et puis, elle est vraiment ma sœur, la fille de mon père, mais pas la fille de ma mère ; et elle est devenue ma femme. »

Sara était la demi-sœur d’Abraham. Ils avaient le même père, Téra, mais pas la même mère (Genèse 20:12). Bien qu’une telle union ne soit pas convenable aujourd’hui, il est important de garder à l’esprit que les choses étaient différentes en ce temps-là. Les humains étaient plus proches de la perfection (dont Adam et Ève avaient joui mais qu’ils avaient perdue). Dans le cas de ces humains robustes, l’union entre proches parents ne présentait manifestement pas de risque génétique pour la descendance. Cependant, quatre siècles après l’époque d’Abraham, l’espérance de vie était semblable à la nôtre ; la Loi mosaïque interdisait alors les unions entre proches parents (Lévitique 18:6). - wp17.3 12, note

Pourquoi Dieu a-t-il jadis autorisé des mariages entre frères et sœurs ? Dieu a créé Adam et Ève parfaits, et il avait pour dessein que toute l’humanité descende d’eux. Au début, pendant quelques générations, des mariages seraient évidemment contractés entre proches parents. Mais bien que le péché eût déjà fait son apparition à cette époque reculée, il y avait relativement peu de risques que les enfants soient affligés de tares importantes. En effet, les humains étaient encore très proches de la perfection dont Adam et Ève avaient joui, comme l’atteste leur longévité. Cependant, quelque 2 500 ans après qu’Adam a péché, Dieu a interdit les mariages incestueux pour protéger les générations futures. Cela a élevé la moralité sexuelle de ses serviteurs au-dessus de celle des peuples alentour, car, à l’époque, ceux-ci se livraient à toutes sortes de pratiques dépravées. De nos jours, les mariages entre frères et sœurs ne sont pas autorisés parmi les chrétiens. Celui qui se marie avec un proche parent risque fort de transmettre à ses enfants des tares héréditaires. – rs p228

Bien qu’avancée en âge, Sara était très belle d’apparence. C’est pourquoi Abraham lui avait demandé de dire, chaque fois que ce serait nécessaire au cours de leurs voyages, qu’il était son frère, de crainte que d’autres le tuent pour la prendre (Gn 20:13). En Égypte, cela valut à Sara d’être emmenée dans la maisonnée de Pharaon sur recommandation de ses princes. Mais l’intervention divine empêcha Pharaon de la violer. Il renvoya alors Sara à Abraham et leur demanda de quitter le pays. Il fournit également un sauf-conduit pour Abraham et ses biens – it-2 Sara

Genèse 21:33 : En quel sens Abraham a-t-il ‘loué le nom de Jéhovah’ ? (w89 1/7 20 § 9)

« Après cela, Abraham planta un tamaris à Bersabée, et là, il loua le nom de Jéhovah, le Dieu éternel. »

9 Abraham accomplit alors un autre acte de foi. Le récit rapporte qu’“il bâtit là un autel à Jéhovah”. (Genèse 12:7.) Cela signifie vraisemblablement qu’il offrit un animal en sacrifice, car le mot hébreu rendu par “autel” signifie “lieu de sacrifice”. Par la suite, Abraham répéta des actes de foi semblables dans d’autres parties du pays. Par ailleurs, il ‘invoqua le nom de Jéhovah’. (Genèse 12:8; 13:18; 21:33.) L’expression hébraïque traduite par “invoquer le nom de Jéhovah” a également pour sens “proclamer (prêcher) le nom”. Le patriarche dut proclamer hardiment le nom de son Dieu, Jéhovah, devant sa maisonnée et devant les Cananéens. Pareillement, de nos jours, tous ceux qui recherchent l’amitié de Dieu doivent invoquer son nom avec foi. Il leur faut entre autres participer à la prédication publique, en “offrant sans cesse à Dieu un sacrifice de louange, c’est-à-dire le fruit de lèvres qui font la déclaration publique pour son nom”. - w89 1/7 20 § 9

Invoquer le nom de Jéhovah signifie connaître ce nom, le respecter profondément ainsi que faire confiance au porteur de ce nom et compter sur lui.

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Dieu détailla les pratiques sexuelles qu’il avait en horreur : adultère, inceste, homosexualité et bestialité (Lévitique 18:6-23). Jéhovah a interdit formellement que l’être humain se fasse passer pour quelqu’un de l’autre sexe dans une intention immorale (Deutéronome 22:5). La Bible enseigne invariablement que les seules relations sexuelles approuvées par Dieu sont celles qui unissent deux personnes de sexe différent dans le cadre du mariage (Genèse 20:1-5, 14). - RV2003  8/10

Satan s’efforça très tôt de contrecarrer la promesse relative à la “ semence ” qui devait venir par Abraham (Gn 12:7). C’est sans doute lui qui essaya de faire que Sara soit souillée et soit indigne de donner naissance à la semence ; mais Dieu la protégea (Gn 20:1-18). Satan fit tout son possible pour détruire ceux que Dieu choisit comme semence d’Abraham, ceux qui constituaient la nation d’Israël, en les incitant à pécher et en dressant contre eux d’autres nations, ce qui est manifeste tout au long de l’histoire biblique. – it-2 Satan

C’est parce que Jéhovah examine le cœur qu’il a fait montre de considération même à l’égard de non-croyants. On en tient pour preuve la manière dont il a traité Abimélek, le roi de la ville philistine de Guérar. Abimélek, qui ne savait pas qu’Abraham et Sara étaient mari et femme, avait envoyé prendre Sara pour qu’elle devienne sa femme. Mais, avant que le roi puisse concrétiser son projet, Jéhovah lui a dit dans un rêve : “ Moi aussi, je sais bien que c’est dans la droiture de ton cœur que tu as fait cela, et c’est moi également qui te retenais de pécher contre moi. C’est pourquoi je ne t’ai pas permis de la toucher. Mais maintenant, rends la femme de cet homme, car c’est un prophète, et il suppliera pour toi. Reste donc en vie. ” — Gen. 20:1-7. Abimélek adorait de faux dieux ; Jéhovah aurait donc été en droit de le traiter avec sévérité. Mais il a discerné qu’en la circonstance cet homme avait agi en toute sincérité. C’est donc avec clémence qu’il lui a indiqué ce qu’il devait faire afin d’obtenir le pardon et de ‘ rester en vie ’. N’est-ce pas là un Dieu que nous pouvons être fiers d’adorer ? – TG2008  15/10 §4,5

Sara et son mari résidèrent temporairement à Guérar. Là, de nouveau, Abraham présenta sa femme comme sa sœur. Le roi de Guérar, Abimélek, prit alors Sara. Cette fois encore, l’intervention de Jéhovah lui évita d’être violée. Abimélek la rendit à Abraham et donna à ce dernier du bétail ainsi que des serviteurs et des servantes, peut-être en compensation pour l’avoir privé temporairement de sa femme. De plus, il donna à Abraham 1 000 pièces d’argent (env. 2 200 $) . Ces pièces d’argent devaient servir de preuve que Sara était lavée de tout opprobre quant à sa moralité. Quelque temps plus tard, ce roi conclut une alliance de paix et de confiance mutuelle avec Abraham à Béer-Shéba. Genèse 20 : 1-18 ; 21:22-34 - it-2 p897

La Bible dit qu’Abraham était prophète (Genèse 20:7). Abraham, le premier homme à être appelé “prophète” dans la Bible. Dans les Écritures, ce mot désigne un porte-parole de Dieu qui délivre un message à ses semblables. Or, si Abraham fut un vrai prophète, tous les hommes ont la possibilité d’en retirer des bienfaits, car le message qu’il reçut contenait une bonne nouvelle pour l’ensemble de l’humanité. La Bible rapporte en effet que Dieu fit cette promesse à Abraham: “Grâce à toi se béniront assurément toutes les familles du sol.” Abraham ne fut pas un “prophète” comme les autres, car Jéhovah l’utilisa pour jouer un grand “drame symbolique”, dans lequel le patriarche eut l’insigne honneur de représenter prophétiquement Dieu lui-même - TG1989  1/7

À 90 ans, Sara peut enfin savourer le moment qu’elle attendait depuis si longtemps. Elle donne un fils à son cher époux, qui a maintenant 100 ans ! Abraham appelle le bébé Isaac, ou « Rire », comme Dieu l’a demandé. Nous pouvons imaginer Sara, éreintée mais radieuse, expliquant : « Dieu m’a donné l’occasion de rire ; tous ceux qui en entendront parler riront avec moi. » (Genèse 21:6). Ce don miraculeux de Jéhovah lui a sans nul doute procuré de la joie jusqu’à la fin de ses jours. Mais il a aussi entraîné de grandes responsabilités. – TG2017/5 p14

Quand Abraham prépara “ un grand festin le jour où on sevra Isaac ” alors âgé d’environ 5 ans, Sara vit Yishmaël, le fils d’Agar, qui avait, lui, environ 19 ans, “ en train de plaisanter ” au sujet d’Isaac. Il ne s’agissait pas d’un innocent jeu d’enfant. Comme le laisse entendre le verset suivant du récit, Yishmaël provoquait peut-être Isaac sur sa qualité d’héritier. Il trahissait ainsi très tôt l’hostilité qu’il allait manifester plus tard, selon ce qu’avait annoncé l’ange de Jéhovah (Gn 16:12). Craignant sans doute pour l’avenir d’Isaac, Sara demanda à Abraham de chasser Agar et son fils. Jéhovah Dieu appuya cette requête. Cela déplut à Abraham, mais, suivant les instructions divines, il exauça la requête de sa femme. Tôt le lendemain matin, il renvoya Agar avec son fils, après lui avoir donné du pain et une outre d’eau. — Gn 21:8-14. –

Agar erra dans le désert de Béer-Shéba, se perdit, semble-t-il. Quand l’eau vint à manquer et que Yishmaël fut épuisé, “ elle jeta l’enfant sous un des buissons ”. (Gn 21:14, 15) L’expression “ jeta l’enfant ” ne signifie pas que Yishmaël était un bébé porté dans les bras. Le mot hébreu yèlèdh (enfant) ne désigne pas nécessairement un petit enfant, mais souvent un adolescent ou un jeune homme. Yishmaël n’était pas très vigoureux durant son adolescence (Gn 16:12). Il est donc possible qu’il se soit épuisé le premier et que sa mère ait dû le soutenir. Cela n’est pas inconcevable, car à cette époque-là les femmes, et surtout les esclaves, étaient habituées à porter chaque jour de lourds fardeaux. Apparemment, Agar s’épuisa à son tour au point de ne plus pouvoir soutenir Yishmaël ; elle le déposa donc, peut-être un peu brusquement, sous le premier abri venu, un buisson. – it-1 p55

La Parole de Dieu nous conseille de ne pas nous précipiter quand nous avons une décision importante à prendre. Si nous prenons le temps de peser tous les aspects ou éléments d’une question, notre décision sera sans doute meilleure. Avant de décider quoi faire, un chef de famille devrait prendre le temps d’effectuer des recherches dans les Écritures et nos publications, et d’écouter le point de vue des autres membres de sa famille. Souviens-toi que Dieu a exhorté Abraham à écouter sa femme (Gen. 21:9-12). Un jour, elle a dit à son mari, Abraham, quelque chose qui ne lui a pas plu. Mais Jéhovah a dit à Abraham : « Écoute-la » Un mari chrétien prendra rarement une décision qui s’oppose à ce que la Bible dit – TG2017/3 p13

Les femmes aussi ont une certaine influence dans la famille. La Bible parle de femmes attachées à Dieu qui, sans déroger au principe de l’autorité, ont pris l’initiative d’aiguiller leurs maris dans une bonne direction ou de leur éviter de commettre des fautes de jugement (Genèse 21:9-12). Une femme peut être plus vive d’esprit ou plus douée que son mari dans divers domaines, mais elle n’en doit pas moins lui témoigner “ un profond respect ”. Si elle cherche avant tout à plaire à Dieu, elle utilisera ses capacités pour épauler son mari plutôt que de le dénigrer ou d’essayer de le dominer. Quand un mari et une femme sont heureux en mariage, cela ne veut pas dire qu’ils sont d’accord sur tout. Si tu n’es pas toujours d’accord avec ton conjoint, ne te décourage pas. Le plus important, c’est de continuer à vous traiter avec amour et respect même quand vous n’êtes pas d’accord– cl chap10 p97

Le fait que la femme chrétienne doit avoir un esprit doux et paisible ne signifie pas qu’elle n’a pas d’opinions ni que son point de vue est sans intérêt. Dans les temps anciens, des femmes qui vivaient en accord avec les principes divins, telles Sara et Rébecca, n’ont pas hésité à exprimer leurs préoccupations, et le récit biblique indique que Jéhovah a approuvé leur initiative (Genèse 21:8-12). Les femmes chrétiennes peuvent elles aussi exprimer leurs sentiments. Toutefois, elles veillent à faire preuve de considération et se gardent d’avoir des paroles humiliantes. La communication qu’elles ont avec leurs maris devient alors certainement plus agréable et leurs attentes sont davantage prises en considération. – TG2007 1/5 §16

Conformément à la signification du nom Yishmaël, “ Dieu entendit ” l’appel au secours du jeune homme et lui fournit l’eau dont il avait besoin, ce qui lui permit de vivre et de devenir archer. Nomade du désert de Parân, il réalisa la prophétie qui avait été prononcée à son sujet : “ Il deviendra un zèbre d’homme. Sa main sera contre tous et la main de tous sera contre lui ; et il campera devant la face de tous ses frères. ” (Gn 21:17-21) – it-2 p1206

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