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Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Lévitique 6-7 - Semaine du 23 Novembre 2020


misette

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Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Lévitique 6-7

Lévitique 6:13 : Quelle était, selon une tradition juive, l’origine du feu sur l’autel, mais qu’indique la Bible ? (it-1 889§ 2).

« Le feu sera entretenu sur l’autel constamment. Il ne doit pas s’éteindre. »

Au tabernacle et au temple. Le feu avait une place dans le culte pratiqué au tabernacle, puis au temple. Chaque matin et entre les deux soirs, le grand prêtre devait brûler de l’encens sur l’autel de l’encens (Ex 30:7, 8). La Loi de Dieu exigeait qu’on maintienne continuellement allumé le feu sur l’autel de l’holocauste (Lv 6:12, 13). Bien que largement acceptée, la tradition juive selon laquelle, au départ, le feu de l’autel fut miraculeusement allumé par Dieu n’est pas corroborée par les Écritures. Selon les premières instructions que Jéhovah donna à Moïse, les fils d’Aaron devaient “ mettre du feu sur l’autel et disposer du bois sur le feu ” avant d’y déposer le sacrifice. C’est après l’installation de la prêtrise aaronique et, par conséquent, après qu’on eut offert les sacrifices d’installation, qu’un feu de Jéhovah, provenant sans doute du nuage au-dessus du tabernacle, consuma l’offrande qui se trouvait sur l’autel. Dès lors, ce feu miraculeux se manifesta, non en embrasant le bois sur l’autel, mais en ‘ consumant l’holocauste et les morceaux gras sur l’autel ’. Bien sûr, le feu qui continua à brûler ensuite sur l’autel résultait probablement à la fois du feu de Dieu et de celui qu’on y avait allumé auparavant. De même, un feu miraculeux envoyé par Jéhovah consuma les sacrifices aussitôt après la prière de Salomon lors de l’inauguration du temple. pour d’autres cas où Jéhovah provoqua un feu miraculeux lorsqu’il accepta des offrandes de ses serviteurs. - it-1 889§ 2

Chaque fois qu’un animal était sacrifié, on en faisait fumer des parties sur l’autel ; c’est pourquoi le feu sur l’autel devait être maintenu allumé ; il ne fallait pas le laisser s’éteindre (Lv 6:9-13). C’est de cet autel qu’on prenait du feu pour brûler de l’encens – it-1 p229 Autel

Lévitique 6:25 : Quelle était la différence entre, d’une part, les sacrifices pour le péché et, d’autre part, les holocaustes et les sacrifices de paix ? (si 27§ 15).

« Dis à Aaron et à ses fils : “Voici la loi concernant le sacrifice pour le péché : C’est à l’endroit où l’on tue l’holocauste que le sacrifice pour le péché sera également tué, devant Jéhovah. C’est une chose très sainte. »

Le sacrifice pour le péché est requis en cas de péché involontaire ou de péché commis par erreur. L’animal à offrir est fonction du genre de personne qui a péché et pour qui il faut faire propitiation : un prêtre, le peuple, un chef ou une personne ordinaire. À la différence de l’holocauste et du sacrifice de communion offerts volontairement en faveur d’un individu, le sacrifice pour le péché est obligatoire - si 27§ 15

Les offrandes pour le péché et les offrandes de culpabilité, elles, étaient obligatoires. Les unes avaient pour but de faire propitiation pour des péchés commis par erreur, involontairement, commis en raison de la faiblesse de la chair imparfaite, et non “ à main levée ”, c’est-à-dire ouvertement, avec orgueil, à dessein ; les autres étaient apparemment destinées à apaiser Dieu quand on avait porté atteinte à l’une de ses prérogatives, ou à rétablir le transgresseur repentant dans certains de ses droits – TG1984  15/5

L’offrande de culpabilité était requise pour des péchés beaucoup plus sérieux. Elle servait à couvrir la culpabilité personnelle en cas d’infidélité, de tromperie ou de vol, péchés qui sous-entendent une part de volonté. Pour un vol, trois choses étaient exigées : un sacrifice d’animal, la restitution de l’objet volé et, dans certains cas, une compensation correspondant à un cinquième de la chose volée. La façon dont Jéhovah Dieu a réglementé ces sacrifices révèle son merveilleux sens de la justice. Tout était pris en considération : le rang social du pécheur, ses ressources et son degré de culpabilité. – TG1977  1/8

Sacrifices de culpabilité. Les sacrifices de culpabilité étaient également des sacrifices offerts en raison d’un péché, car toute culpabilité implique un péché. Ces sacrifices étaient requis pour des péchés particuliers à cause desquels une personne portait une culpabilité, et ils différaient légèrement des autres sacrifices pour le péché en ce qu’ils avaient apparemment pour but de faire réparation par rapport à un droit ou de rendre un droit. Il y avait eu violation d’un droit, soit de Jéhovah, soit de sa nation sainte. Le sacrifice de culpabilité avait pour objet soit de faire réparation à Jéhovah au sujet du droit violé, soit de rendre ou de faire recouvrer au pécheur repentant certains droits de l’alliance et de le libérer de la punition consécutive à son péché – it-2 Sacrifices

Sacrifices de communion (ou offrandes de paix). Les sacrifices de communion agréables à Jéhovah signifiaient la paix avec Dieu. L’adorateur et sa maisonnée y avaient part (dans la cour du tabernacle ; selon la tradition, des huttes étaient dressées le long du côté intérieur du rideau clôturant cette cour ; dans le temple, des salles à manger étaient prévues). Le prêtre officiant recevait une portion, et les prêtres de service une autre portion. Jéhovah, en quelque sorte, recevait l’odeur agréable de la graisse consumée. Le sang, représentant la vie, était donné à Dieu comme lui appartenant. Ainsi, les prêtres, les adorateurs et Jéhovah partageaient en quelque sorte ce repas, ce qui signifiait des relations de paix. Quiconque en mangeait en état d’impureté (l’une quelconque des impuretés mentionnées dans la Loi) ou consommait la viande au-delà du temps prescrit (sous le climat chaud, elle commençait à se putréfier) devait être retranché du peuple. Une telle personne souillait ou profanait le repas, soit parce qu’elle était impure elle-même, soit parce qu’elle mangeait une chose infecte aux yeux de Jéhovah Dieu, montrant du mépris pour les choses sacrées – it-2 sacrifices

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Nos péchés peuvent avoir d’autres conséquences, en particulier s’ils ont fait du tort à autrui. Considérez Lévitique chapitre 6. La Loi mosaïque envisageait ici le cas où un Israélite commettait une faute grave en s’appropriant les biens d’un de ses compatriotes par le vol, l’extorsion ou la fraude, et où il niait, allant jusqu’à faire un faux serment. C’était alors sa parole contre celle de sa victime. Par la suite, tourmenté par sa conscience, il confessait son péché. Pour obtenir le pardon de Dieu, il lui fallait alors faire trois autres choses : rendre ce qu’il avait pris, verser à sa victime une amende de 20 % de la valeur de l’objet du délit et offrir un bélier en sacrifice de culpabilité. Alors, disait la Loi, ‘ le prêtre devait faire propitiation pour le coupable devant Jéhovah, et ainsi il devait lui être pardonné ’. — Lévitique 6:1-7

Cette loi était une disposition miséricordieuse de Dieu. Elle était bénéfique à la victime, car celle-ci retrouvait son bien et devait éprouver un grand soulagement quand le coupable avouait enfin son péché. Mais elle était également bénéfique à l’individu qui, aiguillonné par sa conscience, avait finalement admis sa culpabilité et corrigé le mal commis. En fait, s’il n’avait pas agi ainsi, Dieu ne lui aurait pas pardonné. Bien que nous ne soyons pas sous la Loi mosaïque, celle-ci nous est très utile pour comprendre les pensées de Jéhovah, notamment sur le pardon. Quand, ayant nui à quelqu’un par nos péchés, nous faisons notre possible pour réparer nos torts, cela est agréable à Dieu ; Il peut s’agir d’avouer notre péché, de reconnaître notre culpabilité et même de présenter des excuses à notre victime. Alors seulement, nous pouvons nous tourner vers Jéhovah en invoquant le sacrifice de Jésus et avoir l’assurance que Dieu nous a pardonné. – cl chap26 p260 §19-21

Les péchés contre les humains sont aussi des péchés contre le Créateur, à qui les hommes doivent rendre compte. Des péchés tels que le vol, la fraude ou le détournement des biens d’autrui sont considérés dans la Loi comme des ‘ infidélités envers Jéhovah ’. (Lv 6:2-4). Ceux qui endurcissaient leur cœur et fermaient leur main devant leurs frères pauvres, ou qui retenaient le salaire de leurs ouvriers, s’attiraient la désapprobation divine – it-2 p510 Péché 

Jéhovah Dieu ne peut mentir et il hait “ une langue mensongère ”. La loi qu’il donna aux Israélites exigeait une compensation pour les torts causés par une tromperie ou un mensonge malveillant (Lv 6:2-7). Et la personne qui présentait un faux témoignage devait subir le châtiment qu’elle souhaitait faire infliger à son semblable par ses mensonges. Le point de vue de Dieu sur les mensonges malveillants, tel qu’il est exprimé dans la Loi, n’a pas changé. Quiconque désire obtenir la faveur divine ne peut pratiquer le mensonge. Il ne peut pas vivre un mensonge, prétendant aimer Dieu tout en haïssant son frère  -  it-2 p254 Mensonge

Un Israélite pouvait offrir un sacrifice de paix « pour exprimer sa reconnaissance » à Dieu (Lév. 7:11-13, 16-18). Il offrait ce sacrifice, non pas parce qu’il était obligé de le faire, mais parce qu’il le voulait. Il s’agissait donc d’un sacrifice qu’une personne faisait volontairement parce qu’elle aimait son Dieu, Jéhovah. Cette personne ainsi que sa famille et les prêtres mangeaient ensuite la viande de l’animal sacrifié. – TG2019/11 p1 §9

Dans la Bible, la spoliation est généralement liée aux relations commerciales, d’abuser de sa force, de son pouvoir ou de son autorité sur autrui. La loi de Dieu interdit la malhonnêteté en affaires. À de nombreuses reprises, la Bible met en garde contre la spoliation et les pratiques frauduleuses, et elle les condamne. Elle fait également remarquer que Dieu jugera les spoliateurs et qu’il délivrera son peuple de telles personnes. Les Israélites devaient agir honnêtement entre eux. Le salarié était particulièrement protégé par la Loi. Jésus Christ inclut l’interdiction de spolier parmi les “ commandements ” de Dieu (Mc 10:19). Sous l’alliance de la Loi, si un homme qui avait spolié son compagnon se repentait par la suite, révélait l’affaire et la confessait, il devait restituer à la victime le montant complet et y ajouter le cinquième ; en outre, il devait offrir un sacrifice de culpabilité à Jéhovah. — Lv 6:1-7. – it-2 p1017 Spoliation

Le sang d’un animal destiné à la consommation devait être versé à terre et couvert de poussière. Quiconque mangeait le sang de quelque sorte de chair que ce soit devait être ‘ retranché du milieu de son peuple ’. Toute violation délibérée de la loi relative au caractère sacré du sang entraînait le ‘ retranchement ’ par mise à mort. — Lv 17:10 ; 7:26, 27

Les sacrifices que les Israélites offraient à Jéhovah étaient saints à ses yeux (Lév. 6:25 ; 7:1). Le terme hébreu pour “ sainteté ” évoque les idées de séparation, d’exclusivité, de sanctification pour Dieu. Jéhovah n’agréera nos sacrifices que s’ils sont “ séparés ” de la corruption morale du monde, préservés de son influence. Nous ne pouvons aimer aucune des choses que Dieu hait. Il nous faut donc refuser de nous livrer à des activités ou de côtoyer des personnes qui nous amèneraient à nous souiller de son point de vueTG2012  15/1 p21 §8

Jéhovah a fourni aux membres de son peuple des moyens de lui prouver qu’ils lui étaient voués de cœur. Par exemple, la Loi prévoyait tout un système de sacrifices (ou d’offrandes) dont certains étaient obligatoires et d’autres volontaires. Holocaustes, offrandes de grain et sacrifices de communion étaient autant de sacrifices volontaires qu’on offrait à Jéhovah pour obtenir sa faveur et lui rendre grâces. — Lévitique 7:11-13. Ces sacrifices volontaires lui étaient agréables. De l’holocauste et de l’offrande de grain, il est dit qu’ils étaient “ une odeur reposante pour Jéhovah ”. Jéhovah encouragea les Israélites à donner en proportion de la bénédiction qu’il leur accordaitTG2006  1/7 p21 §8

À l’approche du Mémorial, chaque année, il est important que ceux qui d’habitude ont part aux emblèmes se remettent en question. Pour participer comme il convient à ce repas de communion, ils doivent être en bonne santé spirituelle. Quiconque manque de respect envers le sacrifice de Jésus, voire le méprise, court le risque d’être ‘ retranché du peuple de Dieu ’, au même titre qu’un Israélite qui mangeait un repas de communion en étant impur. — Lévitique 7:20.

Paul a comparé le Mémorial à un repas de communion dans l’Israël antique. Après avoir parlé de ceux qui participaient ensemble au Christ, il a déclaré : “ Vous ne pouvez boire la coupe de Jéhovah et la coupe des démons ; vous ne pouvez avoir part à ‘ la table de Jéhovah ’ et à la table des démons. ” (1 Corinthiens 10:16-21). Si quelqu’un qui a ordinairement part aux emblèmes du Mémorial commet un péché grave, il doit le confesser à Jéhovah et rechercher l’aide spirituelle des anciens de la congrégation. S’il se repent sincèrement et produit le fruit qui convient à la repentance, il ne participera pas indignement – TG2003  15/2 p17 §4,5

 

 

 

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