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Recherchons les perles spirituelles - Semaine du 4 Janvier 2021 - Lévitique 18-19


misette

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Perles spirituelles (10 min) : Lévitique 18-19

Lévitique 19:9, 10 : Quels égards la Loi de Dieu avait-elle pour les pauvres ? (w06 15/6 22 § 11).

« “Quand vous récolterez la moisson de votre pays, tu ne devras pas moissonner complètement les bords de ton champ et tu ne devras pas ramasser ce qui reste de ta moisson. 10 Tu ne devras pas non plus grappiller ta vigne ni ramasser les grappes tombées de ta vigne. Tu les laisseras pour le pauvre et pour le résident étranger. Je suis Jéhovah votre Dieu. »

11 Le droit de glaner est un deuxième aspect de la Loi mosaïque qui montre que Dieu se soucie du bien-être de ses serviteurs. En Israël, lorsqu’un cultivateur récoltait les produits de son champ, il devait, selon la loi de Jéhovah, permettre aux pauvres de ramasser ce que les moissonneurs avaient laissé derrière eux. Il ne devait pas moissonner complètement la lisière de son champ, ni ramasser les raisins ou les olives qui restaient. Les gerbes de blé oubliées par inadvertance ne devaient pas être ramassées. C’était une disposition pleine d’amour en faveur des pauvres, des résidents étrangers, des orphelins et des veuves. Il est vrai que le glanage réclamait bien des efforts de leur part, mais au moins, ils n’avaient pas à mendier. – w06 15/6 22 §11

Une fois encore, aucune quantité n’était spécifiée. Chaque Israélite devait décider combien il laisserait aux nécessiteux. De cette manière, Jéhovah a enseigné la compassion et la considération envers les personnes désavantagées. – TG2003 1/12§17

Cette loi étant simplement une ombre des grandes choses qui se réalisent de notre temps, représente, semble-t-il, le droit qu’ont les pauvres sur le plan spirituel, ou ceux qui ne sont pas de véritables chrétiens, d’entendre le message de la vérité tel qu’il est prêché par les témoins chrétiens de Jéhovah. Par conséquent, les témoins de Jéhovah ont l’important devoir de nourrir spirituellement ces “ pauvres ” du Seigneur. Dieu a accordé à ceux-ci le droit d’entendre parler de la miséricorde divine et d’accepter la vérité pour obtenir la vie dans le monde nouveau – TG1952 p330

Un moyen de montrer leur reconnaissance avait trait aux dispositions divines relatives au glanage. Durant la moisson, certaines portions des champs devaient être laissées non moissonnées pour les nécessiteux. Non seulement cette mesure enseignait la compassion et la considération envers les pauvres, mais elle donnait l’assurance que ceux-ci ne vivraient pas d’aumône, sans avoir d’effort à faire, ce qui aurait eu pour effet de les démoraliser (Lévitique 19:9, 10). Il n’était pas spécifié quelle surface de champ devait être laissée pour le nécessiteux. Toutefois, si les cultivateurs israélites manifestaient un esprit généreux en laissant non moissonnée une bande assez large à la lisière de leurs champs, témoignant ainsi de la faveur au pauvre, ils glorifieraient Dieu. C’était à eux de décider si cette bande de terre serait étroite ou large. Mais Dieu encouragea fortement la générosité en ordonnant que toute gerbe oubliée dans le champ et tout fruit restant sur l’arbre ou la vigne soient laissés pour les glaneurs. En retour, ces derniers pouvaient démontrer leur reconnaissance à Jéhovah pour ces dispositions en allant offrir à son lieu de culte le dixième de ce qu’ils avaient glané. – TG1988  1/7 §8

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Au moment où la Loi fut donnée, Jéhovah déclara : “ Vous devez garder mes ordonnances et mes décisions judiciaires : si un homme les pratique, il doit aussi vivre par leur moyen. ” (Lv 18:5). Ces Israélites qui la reçurent acclamèrent sans nul doute la Loi comme quelque chose qui leur offrait l’espérance de la vie. La Loi était ‘ sainte et juste ’ ; et, d’après ses critères, celui qui pourrait respecter intégralement ses préceptes serait complètement juste. Cependant, les Israélites n’ayant pas été capables de respecter les préceptes parfaits de la Loi, ils se sont trouvés condamnés par cette même Loi et ont eu besoin d’être délivrés de cette condamnation  — Gal. 3:13 – it-1 p1149

Une variante, parfois appelée “ accueil d’embryon ”, consiste à placer dans l’utérus de la femme des embryons qui n’ont été obtenus ni avec ses ovules ni avec les spermatozoïdes de son mari. Dans une autre variante, les ovules de la femme sont fécondés par les spermatozoïdes de son mari, mais les embryons qui en résultent sont ensuite implantés dans l’utérus d’une mère de substitution, aussi appelée mère porteuse, c’est-à-dire une femme qui porte le bébé et lui donne naissance.

Les chrétiens n’acceptent aucune de ces techniques de reproduction par respect pour cette directive divine : “ À la femme de ton compagnon tu ne dois pas donner ton émission de sperme pour en devenir impur. ” (Lév. 18:20, 29). Quand la fécondation implique les ovules ou les spermatozoïdes d’une ou de deux personnes étrangères au couple, cela revient à ce que la Bible appelle de la pornéïa, l’immoralité de nature sexuelle. Ces techniques sont une utilisation des organes sexuels foncièrement contraire aux Écritures.  – TG2012  15/12 p14

« “Tu ne dois pas coucher avec un homme comme on couche avec une femme. C’est un acte détestable » Lv 18:22. Cette interdiction, contenue dans la Loi mosaïque, était l’un des nombreux préceptes moraux spécifiquement donnés à la nation d’Israël. Il n’empêche que, quand le commandement dit : “ c’est un acte détestable ”, il exprime la pensée divine sur l’homosexualité, que ce soit des Juifs ou des non-Juifs qui s’y livraient. Les nations voisines d’Israël pratiquaient l’homosexualité, l’inceste, l’adultère et d’autres actes interdits par la Loi. C’est pourquoi Dieu les considérait comme impures (Lévitique 18:24, 25). La norme biblique à cet égard a-t-elle changé à l’ère chrétienne ? Le point de vue de Dieu sur l’homosexualité ne peut être édulcoré. la Bible affirme clairement que les “ hommes qui couchent avec des hommes ” font partie de ceux qui “ n’hériteront [pas] du royaume de Dieu ”. – RV2012/1 p28

BESTIALITÉ - Rapports sexuels contre nature entre un homme ou une femme et un animal. La Loi mosaïque réprouvait expressément cette pratique perverse : elle condamnait à mort la personne coupable et la bête. “ Lorsqu’un homme donne son émission séminale à une bête, il doit absolument être mis à mort, et vous tuerez la bête. Lorsqu’une femme s’approche d’une bête quelconque pour s’accoupler avec elle, tu dois tuer la femme et la bête. ” — Lv 18 :23.

Cette interdiction ainsi que les autres lois de Dieu réglementant les relations sexuelles élevaient les Israélites à un niveau moral de loin supérieur à celui de leurs voisins. En Égypte, la bestialité entrait dans le culte idolâtrique des animaux ; des historiens attestent par exemple que des femmes avaient des rapports sexuels avec des boucs. De telles pratiques avaient également cours chez les Cananéens (Lv 18:23-30) et, dit-on, à Rome. Cette pratique dépravée, la bestialité, est concernée par le mot grec pornéïa qui est rendu par “ fornication ”. Quiconque se livre à cette pratique immonde est moralement impur, et si un membre de la congrégation chrétienne le faisait, il serait passible de l’excommunication – it-1 p304

Expliquant aux Israélites pourquoi il expulsait les Cananéens, Jéhovah leur déclara: “Ne vous rendez impurs par aucune de ces choses, car c’est par toutes ces choses que se sont rendues impures les nations que je chasse de devant vous. Aussi le pays est-il impur, et je ferai venir sur lui la punition pour sa faute, et le pays vomira ses habitants.” Par la suite, il leur donna cet avertissement sans ambiguïté: “Et vous devrez garder toutes mes ordonnances et toutes mes décisions judiciaires et les pratiquer, pour que ne vous vomisse pas le pays où je vous mène pour y habiter.” — Lévitique 18:24-26.

Le message est clair. Les Cananéens ont été anéantis parce qu’ils souillaient le pays en se livrant à des actes d’une rebutante immoralité: l’adultère, l’homosexualité et le meurtre d’enfants. Si les Israélites copiaient la religion cananéenne et se mettaient à adorer Baal, ils subiraient le même sort. C’est pourtant ce qu’ils firent. – RV1989 22/1 p5

Jéhovah ordonna à Moïse de “ parler en son nom à toute l’assemblée des fils d’Israël ”. La déclaration qui va suivre concerne donc tous les membres de la nation. Que va leur dire Jéhovah ? “ Vous vous montrerez saints, car moi, Jéhovah votre Dieu, je suis saint. ” (Lv 19 :2). Chaque Israélite devait agir avec sainteté, c’est-à-dire se comporter avec droiture. La tournure “ vous vous montrerez ” souligne qu’il ne s’agit pas là d’une suggestion, mais d’un ordre. Dieu leur demande-t-il l’impossible ?

Le commandement concernant la sainteté est précieux pour nous, parce qu’il nous permet de saisir la pensée de Jéhovah et de comprendre ses manières d’agir. Par exemple, nous découvrons que pour être proches de Jéhovah, nous devons nous efforcer d’être “ saints dans toute notre conduite ”. (1 Pierre 1:15, 16.) Respecter les préceptes divins, voilà la meilleure chose à faire, et cela nous vaudra immanquablement des bienfaits. En nous ordonnant d’être saints, Jéhovah montre aussi qu’il nous fait confiance. En effet, Dieu ne nous demandera jamais quelque chose qui dépasse nos capacités. Il sait que nous, qui sommes faits ‘ à son image ’, nous pouvons acquérir la sainteté, au moins dans une certaine mesure – TG2009 1/7 p9

Sous l’alliance de la Loi, les Israélites offraient à Dieu des sacrifices pour obtenir son approbation. “ Si vous sacrifiez un sacrifice de communion à Jéhovah, vous le sacrifierez pour vous attirer l’approbation ”, lit-on en Lévitique 19:5. Quand les Israélites sacrifiaient sur l’autel de Jéhovah des animaux qu’il convenait d’offrir, la fumée qui s’élevait alors était pour lui comme “ une odeur reposante ”. Le vrai Dieu prenait plaisir à ces manifestations d’amour de la part de son peuple. Il se dégage de ces aspects de la Loi un principe qui reste valable aujourd’hui : ceux qui offrent à Jéhovah des sacrifices qu’il agrée reçoivent son approbation. Mais quels sacrifices agrée-t-il ? Deux domaines de notre vie : notre conduite et nos paroles. TG2011  15/2 p13 §11

Dans la loi qu’il donna à la nation d’Israël, Jéhovah déclara: “Vous ne devrez pas voler, et vous ne devrez pas tromper, et vous ne devrez pas agir avec déloyauté chacun envers son compagnon. Et vous ne devrez pas jurer en mon nom pour un mensonge, de sorte que tu profanerais le nom de ton Dieu. Je suis Jéhovah.” — Lévitique 19:11, 12.

Les voleurs ne s’en tiraient pas à bon compte. Ils devaient donner une compensation à leur victime et, s’ils n’avaient pas les moyens de payer le montant requis par la Loi, il leur fallait travailler comme esclaves pour rembourser leur dette. - TG1982 1/5

Jéhovah, le Créateur de l’oreille (Pr 20:12), demanda à son peuple d’avoir des égards pour les sourds. Les Israélites ne devaient pas se moquer d’un sourd ni appeler le mal sur lui, car il était incapable de se défendre contre des déclarations qu’il n’entendait pas. — Lv 19:14 - Au cours de son ministère, Jésus Christ fit montre à plusieurs reprises de pouvoirs miraculeux de guérison en rendant l’ouïe à des individus atteints de surdité. Cela donne l’assurance que, lorsqu’il dominera sur la terre, toutes les afflictions, y compris la surdité, seront supprimées. - it-2 p1019-1020

La loi de Dieu prévient l’effet aveuglant non seulement d’un don, mais aussi des sentiments, car elle déclare : “ Tu ne dois pas te montrer partial envers le petit, et tu ne dois pas avoir de préférence pour la personne du grand. ” (Lv 19:15). Ainsi, que ce soit par sentimentalisme ou par désir de plaire à la foule, un juge ne devait pas condamner les riches simplement parce qu’ils étaient riches - it-1 p410

Le verbe hébreu traduit par “calomnié” dérive du mot “pied” et veut dire “aller à pied” et, par conséquent, “circuler”. Les Israélites ont reçu cet ordre: “Tu ne devras pas circuler parmi ton peuple pour calomnier. Tu ne devras pas te lever contre le sang de ton prochain. Je suis Jéhovah.” (Lévitique 19:16). Si nous ternissons la bonne réputation de quelqu’un en le calomniant, nous ne pouvons être amis de Dieu. Si nous sommes dirigés par l’esprit de Dieu, nous agirons avec amour, mais non pas parce que des règles l’exigent et imposent des punitions aux contrevenants. Par exemple, l’amour — et non pas seulement une loi — nous empêchera de calomnier autrui – TG1989 15/9 p27

La loi que Dieu avait donnée à Israël adressait ce conseil à ceux contre qui on avait transgressé : “ Tu ne dois pas haïr ton frère dans ton cœur. Tu dois absolument reprendre ton compagnon, pour ne pas porter de péché avec lui. ” (Lv 19:17). On ne devait pas laisser couver du ressentiment envers un frère qui s’égarait. On devait le reprendre afin qu’il revienne de son péché. En n’assumant pas cette responsabilité morale, on pouvait contribuer à ce qu’il pèche encore, et celui qui s’abstenait de reprendre son compagnon partageait la responsabilité de son péché. — it-1 p351

Être disposé à passer sur les offenses et à pardonner ne veut pas dire être indifférent aux mauvaises actions ni les approuver. On ne peut attribuer toutes les fautes à l’imperfection héréditaire ; il n’est pas bon non plus de fermer les yeux sur une faute qui va au-delà d’une offense mineure (Lév. 19:17). Sous l’alliance de la Loi, on considérait que certains péchés étaient plus graves que d’autres. Il en va de même chez les chrétiens  - od chap14 p141 §13

L’idée qu’il fallait haïr ses ennemis était une des additions faites à la loi de Dieu par les enseignants juifs de la tradition. Comme la Loi ordonnait aux Israélites d’aimer leur prochain (Lv 19:18), ces enseignants en avaient déduit qu’il fallait haïr ses ennemis. Ils en vinrent à penser que les termes “ ami ” et “ prochain ” s’appliquaient uniquement aux Juifs, tandis que tous les autres humains étaient considérés comme des ennemis naturels. À la lumière de leur façon traditionnelle de comprendre le mot “ prochain ” et compte tenu de la tradition d’hostilité envers les Gentils, on comprend aisément pourquoi ils ajoutèrent, abusivement, les mots “ et haïr ton ennemi ” au commandement contenu dans la loi de Dieu. — Mt 5:43. Le chrétien, par contre, est dans l’obligation d’aimer ses ennemis, c’est-à-dire ceux qui se font ses ennemis personnels. - it-1 p1064

il n’était pas permis de semer plusieurs semences mélangées ; on pouvait toutefois semer différentes espèces de semences, mais dans des parties distinctes d’un même champ (Lv 19:19). Cela servait peut-être à rappeler aux Israélites qu’ils étaient un peuple séparé et différent, le peuple de Dieu soumis à sa Royauté. Si un Israélite violait cette loi et mélangeait deux sortes de semences, toute la récolte de ce champ ou de cette vigne devenait comme quelque chose de ‘ voué par interdit ’. Elle était par conséquent confisquée au profit du sanctuaire. – it-2 p929

Si un homme commettait la fornication avec une servante assignée à un autre homme, mais qui n’avait été ni rachetée ni libérée, il fallait les punir. Cependant, on ne devait pas les mettre à mort (Lv 19:20-22), sans doute parce que la femme n’était pas encore libre et pleinement maîtresse de ses actes, comme une fiancée libre l’aurait été. Le prix de rachat n’avait pas encore été payé, du moins pas intégralement, et elle était encore l’esclave de son maître. - it-1 p920

Il existe la magie “noire” et la magie “blanche”. La magie “noire” consiste entre autres à jeter des sorts à ses ennemis, à appeler sur eux des malédictions spéciales ou le mauvais œil. La magie “blanche”, elle, se propose au contraire de produire de bons résultats en brisant les sorts et en annulant les malédictions. Reste que ces deux formes de magie sont de l’occultisme. Certains recourent même à la magie occulte pour tenter d’obtenir une bonne récolte ou de remporter la victoire dans une compétition sportive. Néanmoins, la Bible est claire à propos de ce type de magie liée au spiritisme: “Vous ne devrez pas chercher de présages et vous ne devrez pas pratiquer la magie.” — Lévitique 19:26 - Les vrais chrétiens se montrent sages en ne pratiquant pas la magie quand elle est manifestement liée au spiritisme – RV1993 8/9 p27

La loi divine donnée à Israël interdisait de couper ‘ les mèches sur les côtés de la tête ’, la chevelure entre l’œil et l’oreille, ainsi que l’extrémité de la barbe (Lv 19:27). Ce commandement ne leur interdisait pas de se tailler les cheveux et la barbe, mais visait apparemment à les empêcher d’imiter des coutumes païennes. Ils devaient avoir une barbe propre, taillée et bien soignée. Une barbe non soignée ou rasée était un signe de deuil ou de chagrin. Les Israélites se coupaient régulièrement les cheveux à moins d’avoir fait vœu de naziréat. - it-1 p270

Que dire du port de la barbe ? Convient-il pour un frère ? La barbe était exigée des hommes sous la Loi mosaïque. Cependant, les chrétiens ne sont pas soumis à cette loi ni tenus de l’observer (Lév. 19:27 Vous ne couperez point en rond les coins de votre chevelure, et tu ne raseras point les coins de ta barbe.”). Dans certaines cultures, une barbe bien taillée peut être convenable et ne pas du tout empêcher les gens d’écouter le message du Royaume. D’ailleurs, des frères nommés portent la barbe. Malgré tout, certains frères peuvent décider de ne pas en avoir. Dans d’autres cultures ou pays, la barbe n’est pas dans les usages et n’est pas considérée comme acceptable pour un chrétien. Un frère qui la porterait n’honorerait pas Dieu par son aspect et ne serait pas irréprochable – TG2016/9 p17 §17

La loi de Dieu interdisait expressément aux Israélites de se faire des incisions dans la chair à cause d’un mort (Lv 19:28 ; 21:5). Pourquoi ? Parce qu’Israël était un peuple saint pour Jéhovah, son bien particulier. Aussi devait-il se garder de toute pratique idolâtrique. De plus, ces démonstrations d’affliction excessives, notamment l’auto lacération, étaient totalement déplacées chez un peuple parfaitement informé sur la condition véritable des morts et sur l’espérance de la résurrection. En outre, l’interdiction de telles mutilations inculquait aux Israélites le respect qu’il convient d’accorder au corps humain, une création de Dieu. - it-1 p1180

Dieu donna à Israël ce commandement: “Vous ne devrez pas vous faire d’entailles dans la chair pour une âme décédée, et vous ne devrez pas mettre sur vous de tatouage. Je suis Jéhovah.” (Lévitique 19:28). Les serviteurs de Dieu ne devaient pas imiter les nations environnantes en mutilant leur chair pour montrer leur chagrin à la suite d’un décès, ni pour toute autre raison liée à la fausse religion. Ce commandement a dû encourager les Israélites à témoigner du respect à leur corps, lequel fait partie de la création de Dieu – TG1987 1/4 p31

Bien avant l’ère chrétienne, les Écritures régissant la vie et le culte des Juifs les empêchaient de faire quoi que ce soit qui les blesserait corporellement. Par exemple, la Loi leur interdisait expressément de se faire des entailles, une pratique apparemment répandue chez les nations non juives de l’Antiquité (Lévitique 19:28). Si Dieu ne voulait pas qu’ils se fassent des entailles, il n’aurait pas davantage voulu qu’ils se lacèrent à coups de fouet. La norme biblique est claire : martyriser délibérément sa chair de quelque manière que ce soit est inacceptable pour Dieu. – RV2011/3 p10

Dans certaines parties du monde, il est d’usage pour les enfants d’honorer les adultes en s’agenouillant respectueusement en leur présence. Ainsi, ils ne risquent pas de paraître plus grands que leurs aînés. Dans ces peuples, il est également jugé irrespectueux pour un enfant de tourner le dos à un adulte. Même si le respect se témoigne de différentes façons selon les cultures, de telles marques d’honneur nous rappellent la Loi mosaïque. Elle contenait ce commandement : “ Devant les cheveux gris tu te lèveras [en signe de respect], et tu dois avoir des égards pour la personne du vieillard. ” (Lév. 19:32). Malheureusement, dans bien des pays, on a perdu l’habitude d’honorer les autres. Le manque de respect est même devenu monnaie courante. – TG2008  15/10 §1

À l’époque où Jéhovah a donné à Israël la Loi écrite, des marchands avides volaient leurs clients en employant des balances fausses ou des poids inexacts. Ayant la malhonnêteté en horreur, Jéhovah Dieu leur a dit : “ Vous aurez des balances exactes, des poids exacts. ” (Lévitique 19:36). Jéhovah ordonna l’honnêteté et l’exactitude dans l’utilisation des balances car une balance trompeuse était détestable pour lui. Il arrivait que les Israélites se servent de balances frauduleusement  et ils allèrent plus loin dans la tromperie en utilisant des poids inexacts, un jeu pour acheter et un autre pour vendre. Aujourd’hui, les personnes qui vendent des marchandises feront bien de se rappeler que la pensée de Jéhovah sur l’avidité et la malhonnêteté n’a pas changé – TG2011 1/5 p24

La Loi érigeait également des garde-fous contre la perversion de la justice. Par exemple, il fallait au minimum deux témoins pour établir la validité d’une accusation. Le parjure était puni avec sévérité. La corruption et les pots-de-vin étaient strictement interdits. La corruption et les pots-de-vin étaient strictement interdits. Le respect des normes élevées de la justice divine était requis jusque dans les relations commerciales (Lévitique 19:35, 36). Ce code de lois empreint d’équité, de noblesse même, était une grande bénédiction pour Israël. – cl chap13 p128 §12

Un chrétien qui tient un commerce peut avoir de plus en plus de mal à gagner sa vie. Peut-être sera-t-il alors tenté de recourir à des pratiques frauduleuses ou à falsifier sa déclaration de revenus pour payer moins d’impôts. Même si d’autres commerçants agissent ainsi, celui qui désire plaire à Dieu sait qu’il serait mal de céder à la tentation. En effet, la Bible déclare : “Vous ne devrez pas commettre d’injustice (...) en pesant ou en mesurant (...). Vous devrez avoir des balances exactes, des poids exacts.” (Lév. 19:35, 36). “Rendez à tous ce qui leur est dû : à qui réclame l’impôt, l’impôt ; à qui réclame le tribut, le tribut.” — Rom. 13:7. – TG1976  1/12 p722 §3

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