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Perles spirituelles - Semaine du 15 Février 2021 - Nombres 3-4


misette

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Perles spirituelles (10 min) : Nombres 3-4

Nombres 4:15 : Quelle est une des manières de manifester la crainte de Dieu ? (w06 1/8 23 § 13).

« Quand on lèvera le camp, Aaron et ses fils devront finir de couvrir le lieu saint et tous les ustensiles du lieu saint. Puis les fils de Kehath entreront pour les transporter, mais ils ne devront pas toucher au lieu saint, sinon ils mourront. Ces choses sont la responsabilité des fils de Kehath en rapport avec la tente de la rencontre »

13 Le fait que Jéhovah l’ait secouru a augmenté la confiance et la crainte que David éprouvait envers lui. Trois fois, cependant, David a mis notablement sa crainte de Dieu entre parenthèses, ce qui a eu des conséquences tragiques. La première fois, c’est quand il a décidé de faire transporter l’arche de l’alliance à Jérusalem sur un chariot, et non sur les épaules des Lévites comme le prescrivait la Loi. Ouzza, qui conduisait le chariot, a saisi l’Arche pour l’empêcher de tomber. Dieu l’a fait mourir sur le champ pour cet “ acte d’irrévérence ”. Certes, Ouzza avait commis un péché grave, mais c’est bien David qui, pour n’avoir pas respecté la Loi divine, était responsable de ce drame. Craindre Dieu suppose que l’on fasse les choses comme lui, l’entend. — w06 1/8 23 § 13

L’utilisation d’un chariot constituait une violation flagrante des instructions données par Jéhovah concernant le transport de l’Arche. Il était spécifié que les Lévites qehathites, les porteurs attitrés, devaient la transporter sur leurs épaules au moyen de barres qu’ils glissaient dans des anneaux prévus à cet effet. Le mépris de ces instructions a entraîné un malheur. Quand l’attelage a failli faire basculer l’Arche, Ouzza, sans doute un Lévite mais certainement pas un prêtre, a avancé la main pour la soutenir, commettant ainsi un acte irrévérencieux qui lui a valu d’être abattu par Jéhovah. Si des hommes habilités pour cela, les Lévites qehathites, avaient porté l’Arche au moyen de ses barres sur leurs épaules, comme Dieu l’avait prescrit, rien n’aurait attiré la colère de Dieu. – TG1996   1/ 4

Dans le désert, au moment de lever le camp, il incombait à Aaron et à ses fils de couvrir le mobilier et les ustensiles sacrés dans la tente de réunion avant que les autres Qehathites ne soient autorisés à entrer pour les transporter, afin que ces derniers ne meurent pas. De même, Aaron et ses fils découvraient et installaient ces choses dans la tente au campement suivant. Pendant la marche, c’étaient les prêtres qui portaient l’arche de l’alliance. — it-2 Prêtres

Les barres ne devaient pas être ôtées des anneaux, même lorsque l’Arche se trouvait dans le tabernacle. De cette façon, elles ne pouvaient être employées pour un autre usage. En outre, l’Arche ne devait pas être touchée ; si les barres avaient été enlevées des anneaux, à chaque transport il aurait fallu manipuler l’Arche sacrée pour les remettre en place. En Nombres 4:6, l’expression “ mettre ses barres ” sous-entend peut-être qu’il fallait ajuster les barres avant de transporter le coffre massif vers un nouveau campement. – TG2001 15/10 p31

N’oublions pas non plus qu’Ouzza ne pouvait ignorer la Loi. L’Arche était associée à la présence de Jéhovah. La Loi stipulait que quiconque n’y était pas autorisé ne devait pas y toucher, en précisant expressément que les transgresseurs seraient punis de mort. Par conséquent, le transport du coffre sacré n’était pas une tâche à prendre à la légère. Ouzza se devait de connaître la Loi puisque, à l’évidence, il était un Lévite (sans être prêtre pour autant). Par ailleurs, des années auparavant, l’Arche avait été confiée à la garde de son père. Elle était restée chez lui 70 ans, jusqu’à ce que David décide de la déplacer. Il est donc très probable qu’Ouzza connaissait les lois relatives à l’Arche depuis son enfance.

Comme cela a été dit précédemment, Jéhovah a la faculté de lire dans les cœurs. Sans doute a-t-il donc perçu chez Ouzza des mobiles égoïstes, puisque sa Parole, sans révéler précisément quels étaient ces mobiles, qualifie l’acte du Lévite d’“ irrévérencieux ”. Ouzza était-il un homme présomptueux, enclin à outrepasser ses droits ? Le fait de conduire publiquement l’Arche que sa famille avait abritée lui est-il monté à la tête ? Manquait-il à ce point de foi qu’il a estimé la main de Jéhovah trop courte pour maintenir en équilibre le coffre sacré qui symbolisait Sa présence ? Quoi qu’il en soit, nous pouvons être sûrs que Jéhovah a fait ce qui était juste. Il a très certainement discerné dans le cœur d’Ouzza quelque chose qui appelait une punition immédiate

Nous pouvons avoir confiance dans les actions futures de Jéhovah. Nous n’avons donc pas lieu de craindre que, lorsqu’il exécutera son jugement lors de la grande tribulation maintenant proche, il ne ‘ supprime le juste avec le méchant ’. TG2005 1/ 2

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Les portes du camp dans le désert. Les ‘ portes ’ du camp d’Israël étaient les chemins par où on y entrait. Nul doute qu’elles étaient bien gardées. Le tabernacle était au centre du camp ; les Lévites campaient tout à côté ; et les 12 tribus, trois par côté, étaient plus loin. Cette disposition garantissait une haute protection pour le camp. — Nb 3it-2 p610

Les fonctions sacerdotales étaient réservées aux hommes de la famille d’Aaron ; quant aux Lévites, le reste de la tribu, ils les aidaient dans leur tâche Nb 3:3. Cette disposition prit effet lorsque le tabernacle fut érigé, car auparavant aucune famille ni tribu particulière n’était désignée pour offrir les sacrifices. – it-2 p132 Lévites

Ils servent à racheter les premiers-nés. Jéhovah choisit les Lévites à la place de tous les premiers-nés des autres tribus (Nb 3:41). En comptant depuis l’âge d’un mois et au-dessus, il y avait 22 000 Lévites de sexe masculin qui pouvaient être donnés en échange du nombre équivalent de premiers-nés mâles des autres tribus. Or, le recensement effectué dans le désert du Sinaï révéla que les fils premiers-nés dans les autres tribus étaient 22 273. Par conséquent, Dieu ordonna qu’un prix de rachat s’élevant à cinq sicles (11 $) soit versé à Aaron et à ses fils pour chacun des 273 premiers-nés en excédent sur le nombre des Lévites. — Nb 3:39. - it-2 p132 Lévites

Leurs tâches. Les Lévites se composaient de trois familles issues des fils de Lévi : Guershom, Qehath et Merari  Dans le désert, chacune de ces familles se vit attribuer un emplacement près du tabernacle. La famille qehathite d’Aaron campait devant le tabernacle, à l’Est. Les autres Qehathites campaient au Sud, les Guershonites à l’Ouest. et les Merarites au Nord. (Nb 3:23) Les Lévites étaient chargés de dresser, de démonter et de transporter le tabernacle. Quand arrivait le moment de lever le camp, Aaron et ses fils descendaient le rideau séparant le Saint du Très-Saint et couvraient l’arche du témoignage, les autels et le reste du mobilier et des ustensiles sacrés. Puis les Qehathites portaient ces choses. Les Guershonites transportaient les toiles de tente, les couvertures, les voiles, les tentures de la cour et les cordes (sans doute les cordes du tabernacle lui-même). Quant aux Merarites, ils s’occupaient des cadres, des colonnes, des socles mortaisés, des piquets et des cordes (les cordes de la cour qui entouraient le tabernacle). — Nb 3:25, 26 - it-2 p132 Lévites

Jéhovah dit à Moïse: “Fais approcher la tribu de Lévi (...). Et ils devront veiller à tous les ustensiles de la tente de réunion (...). Et tu devras donner les Lévites à Aaron et à ses fils. Ce sont des donnés, donnés à lui, d’entre les fils d’Israël.” (Nombres 3:6, 8, 9, 41). Les Lévites ont été “donnés” à Aaron pour s’acquitter de divers travaux dans le service du tabernacle; voilà pourquoi Dieu a pu dire: “Ce sont des donnés, donnés à moi, du milieu des fils d’Israël.” Certains Lévites accomplissaient des tâches simples; d’autres recevaient des privilèges insignes, comme celui d’enseigner les lois de Dieu. – TG1992 15/4 p12

Sous l’alliance de la Loi. Alors que les Israélites étaient esclaves en Égypte, Jéhovah sanctifia pour lui tous les fils premiers-nés d’Israël au moment où il détruisit les premiers-nés d’Égypte par la dixième plaie (Nb 3:13). Par conséquent, ces premiers-nés lui appartenaient et devaient être employés exclusivement à un service spécial pour lui. Jéhovah aurait donc pu confier à tous ces premiers-nés d’Israël la prêtrise et le soin de son sanctuaire. Mais il convint à son dessein de choisir les éléments masculins de la tribu de Lévi pour effectuer ce service. C’est la raison pour laquelle il permit à la nation de substituer les Lévites de sexe masculin aux premiers-nés des 12 autres tribus (les descendants d’Éphraïm et de Manassé, les fils de Joseph, étant comptés comme deux tribus). Un recensement révéla que le nombre des fils premiers-nés non lévites âgés d’un mois et au-dessus excédait de 273 le nombre des hommes lévites ; Dieu réclama donc pour chacun de ces 273 premiers-nés un prix de rachat de 5 sicles (11 $), somme qui fut versée à Aaron et à ses fils (Nb 3:11-16, 40-51). Avant cette transaction, Jéhovah avait déjà mis à part les hommes de la famille d’Aaron de la tribu de Lévi pour former la prêtrise d’Israël. Nb 3:6-10. - it-2 p655

On a un excellent modèle d’administration  et de délégation d’autorité à des subordonnés dignes de confiance — dans la manière dont Moïse mena les affaires nationales d’Israël en accord avec la volonté divine pendant les 40 ans de pérégrinations dans le désert Nb 3:32. Dans la prêtrise, la principale responsabilité en matière d’administration reposait sur le grand prêtre (Nb 3:5-10) ; toutefois, d’autres hommes étaient chargés de surveiller et de diriger certains secteurs de service (Nb 3:25, 26). Les Écritures grecques chrétiennes parlent souvent du bon usage de l’autorité déléguée et de la responsabilité qui incombe à ceux qui sont chargés de veiller à l’application et à l’exécution de la volonté révélée de Dieu parmi son peuple ; elles utilisent pour cela les mots gestion et surveillance. S’il est montré que la responsabilité devant Dieu est d’une importance capitale, les intérêts de ceux qui servent sous une telle administration n’en sont pas moins mis en avant. 1 Pierre 4:10 – it-1 p46 Administration

Au sein de l’assemblée, certains hommes dignes de confiance sont utilisés pour s’occuper de tâches courantes, tandis que d’autres ont des responsabilités plus lourdes, d’ordre spirituel. Cette disposition n’est pas sans précédent. Dans l’Israël antique, Aaron et ses descendants ont été désignés comme prêtres préposés aux sacrifices à Dieu. Toutefois, Jéhovah chargea les Lévites de les seconder en ‘veillant à tous les ustensiles de la tente de réunion’. (Nombres 3:5-10.) De même aujourd’hui, les surveillants sont secondés par des assistants ministériels. – TG1994  15/8

Le mot hébreu qui se rapporte à “rançon”, le verbe padhah a pour sens premier “racheter”. Nombres 3:39-51 montre à quel point le prix de rachat devait être exact. Ayant sauvé de la mort les premiers-nés israélites, lors de la Pâque de l’an 1513 avant notre ère, Dieu en était propriétaire. Il aurait donc pu demander que tout fils premier-né d’Israël le serve au temple. Au lieu de cela, il a accepté un “prix de rachat” et a prescrit: “Tu devras prendre pour moi les Lévites (...) à la place de tous les premiers-nés d’Israël.” Mais la substitution devait être exacte. Cet exemple montre qu’une rançon doit être équivalente à ce qu’elle remplace ou couvre. Cette rançon, préfigurée par les sacrifices, devait être exactement équivalente à Adam, car la peine de mort que Dieu avait justement infligée à Adam avait entraîné la condamnation de la race humaine. Pour pouvoir être la rançon, l’homme en question devait être parfait, un homme de chair et de sang, l’équivalent exact d’Adam. Ce n’est pas un ange parmi tant d’autres que Dieu a envoyé au secours de l’humanité, mais — sacrifice suprême — son Fils unique, celui “qu’il affectionnait particulièrement”. – TG1991 15/2 p10

La sanctification d’objets. Puisque le tabernacle et le temple étaient des édifices sanctifiés, les objets qui s’y trouvaient devaient de même être saints, sanctifiés jusqu’aux vêtements des prêtres étaient des objets sanctifiés. Ils ne devaient être manipulés ou transportés que par des personnes sanctifiées, en l’occurrence les prêtres et les Lévites. Nb 4:1-33

Les prêtres qui servaient au tabernacle offraient “ un service sacré dans une représentation typique et une ombre des choses célestes ; tout comme Moïse, au moment où il allait construire entièrement la tente, reçut l’ordre divin : Car, dit-il : ‘ Veille à ce que tu fasses toutes choses d’après leur modèle, celui qui t’a été montré à la montagne. ’ ” Hé 8:4, 5. – it-2 p886 Sanctification

Toutes les images ne sont pas des idoles. La loi de Dieu qui interdisait de faire des images ne visait pas la fabrication de toutes les représentations et statues. En effet, Jéhovah ordonna plus tard de faire deux chérubins en or sur le couvercle de l’Arche et de broder des représentations de chérubins sur les dix toiles constituant la couverture intérieure du tabernacle et sur le rideau qui séparait le Saint du Très-Saint. On couvrait d’une étoffe les chérubins du tabernacle quand on les transportait, afin de les cacher aux regards du peuple (Nb 4:5, 6) Ces chérubins n’étaient pas des idoles faisant l’objet d’un culte. Ces représentations ne pouvaient servir d’objet de vénération pour le peuple, puisque les Israélites en général ne les voyaient pas et n’étaient donc pas tentés d’en faire des idoles Seuls les prêtres qui officiaient voyaient celles de l’intérieur du tabernacle et, par la suite, celles de l’intérieur du temple. Personne d’autre que le grand prêtre n’entrait dans le Très-Saint, et encore, uniquement le jour des Propitiations. Ainsi, les Israélites ne risquaient pas de tomber dans le piège consistant à idolâtrer les chérubins d’or du sanctuaire. Loin d’encourager l’idolâtrie, ces chérubins rappelaient sans cesse aux prêtres de la nation les relations qui les unissaient au Très Haut, au Roi régnant d’Israël, à Celui qui réclamait un attachement exclusif. - it-1 Chérubin

L’usage des aromates aux temps bibliques

Huile d’onction et encens sacré. Jéhovah a donné à Moïse la composition de l’huile d’onction, ou onguent, et de l’encens sacré. Ces deux préparations contenaient chacune quatre aromates différents (Exode 30:22-25, 34-38). Certains prêtres s’occupaient exclusivement de la confection de l’huile d’onction et de la gestion des réserves (Nombres 4:16) - TG2015  1/3

 

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