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Perles spirituelles - Semaine du 29 Mars 2021 - Nombres 15-16


misette

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Perles spirituelles (10 min) : Nombres 15-16

Nombres 15:32-35 : Quelle leçon ce récit enseigne-t-il ? (w98 1/9 20 § 1-2).

« Tandis que les Israélites étaient dans le désert, on surprit un homme qui ramassait du bois le jour du sabbat. 33 Ceux qui l’avaient trouvé ramassant du bois l’amenèrent à Moïse, à Aaron et à toute la communauté. 34 On le mit sous bonne garde, car ce qu’on devait lui faire n’avait pas été indiqué avec précision. 35 Jéhovah dit à Moïse : « L’homme doit absolument être mis à mort : toute la communauté le lapidera hors du camp. »

Aux yeux de Jéhovah, l’affaire était loin d’être anodine. “ Plus tard, lit-on dans la Bible, Jéhovah dit à Moïse : ‘ L’homme doit absolument être mis à mort. ’ ” (Nombres 15:35). Pourquoi Jéhovah jugea-t-il que l’action de cet homme était aussi grave ?

Les Israélites disposaient de six jours pour ramasser du bois et s’occuper de la nourriture, du vêtement et du logement. Le septième jour devait être consacré aux questions spirituelles. Il n’y avait rien de condamnable en soi à ramasser du bois, mais il était mal de le faire à un moment qui devait être réservé au culte de Jéhovah. Bien que les chrétiens ne soient pas sous la Loi mosaïque, cet incident ne nous montre-t-il pas l’importance de veiller à nos priorités ? - w98 1/9 20 § 1-2

Accorder la priorité aux choses spirituelles. Les Israélites ne devaient pas laisser la satisfaction de leurs besoins physiques détourner leur attention des activités spirituelles. Ils ne devaient pas axer leur vie uniquement sur des objectifs profanes. Jéhovah délimita une période hebdomadaire qu’il déclara sacrée, période destinée exclusivement aux activités liées au vrai culte. Il fallait également prendre le temps d’assister, chaque année, à de saintes assemblées décrétées par Jéhovah.  C’était là l’occasion de se remémorer les actes de puissance de Jéhovah, de se rappeler ses voies et de lui exprimer sa gratitude pour toute sa bonté. En exprimant son attachement à Jéhovah, le peuple augmenterait sa crainte et son amour pour lui, et cela l’aiderait à marcher dans ses voies. Les principes salutaires contenus dans ces instructions sont bénéfiques aux serviteurs de Jéhovah encore aujourd’hui. – TG2005 15/5 p23 §14

Le sabbat faisait ressortir l’importance de la spiritualité. Dans la Bible, la première occurrence du mot “ sabbat ” est liée à l’apparition de la manne dans le désert. Il avait été dit aux Israélites de ramasser ce pain miraculeux pendant six jours. Le sixième jour, ils devaient ramasser “ le pain de deux jours ”, car le septième jour, rien ne se produirait : ce devait être “ un saint sabbat pour Jéhovah ”, durant lequel chacun était tenu de rester à sa place. L’un des Dix Commandements stipulait qu’aucun travail ne devait être accompli ce jour-là, car ce jour-là était sacré. Qui ne le respectait pas était puni de mort.

La loi relative au sabbat témoignait de l’intérêt que Jéhovah portait au bien-être tant physique que spirituel de son peuple. Non seulement il permettait aux Israélites de se reposer, mais encore il leur offrait l’occasion de s’approcher de leur Créateur et de lui prouver leur amour. Il s’agissait d’une journée consacrée exclusivement aux activités spirituelles, notamment le culte en famille, la prière et la méditation de la Loi de Dieu. De cette façon, les Israélites n’allaient pas consacrer la totalité de leur temps et de leur énergie à des préoccupations matérielles. Le sabbat leur rappelait que leurs relations avec Dieu étaient ce qui comptait le plus.

Même si les serviteurs de Dieu ne sont plus tenus d’observer un repos sabbatique de 24 heures, le sabbat demeure bien plus qu’une curiosité historique. Ne nous rappelle-t-il pas que, nous aussi, nous devons accorder la priorité aux activités spirituelles ? Les questions matérielles ou les divertissements ne doivent pas faire passer au second plan les choses sacrées. Nous ferons donc bien de nous demander : “ Qu’est-ce qui occupe la première place dans ma vie ? Est-ce que je donne la priorité à l’étude, à la prière, aux réunions chrétiennes et à la prédication de la bonne nouvelle du Royaume ? Ou bien ces activités sont-elles étouffées par une foule d’autres occupations ? ” Jéhovah s’engage, si nous accordons aux choses spirituelles la première place, à nous procurer les nécessités de la vie. En étudiant régulièrement la Bible et les publications chrétiennes, et en réfléchissant soigneusement à leur contenu, nous nous approcherons davantage de Jéhovah — TG2006 15/6 p20

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Sous la Loi mosaïque, certaines offrandes étaient volontaires, tandis que d’autres étaient requises, comme par exemple la dîme, ou le don du dixième  Nomb. 15:17-21. Cependant, la Bible montre aussi que le Christ a accompli la Loi, de sorte que Dieu y a mis fin; c’est pourquoi les chrétiens ne sont pas tenus d’observer ses prescriptions. Ils ne paient pas la dîme et ne sont pas obligés de faire d’autres contributions spécifiques, à un moment particulier. Ils sont plutôt encouragés à cultiver la générosité le démontrant par des offrandes volontaires. Ils le font non par contrainte, mais parce qu’ils appartiennent à une véritable famille spirituelle de frères, sur toute la terre. – jv chap21 p340

Même lorsqu’on ne s’exprimait pas oralement contre Dieu, des actions contraires aux lois de l’alliance divine pouvaient de toute évidence équivaloir à ‘ parler en mal de Jéhovah ’ ou à blasphémer contre lui. Ainsi, alors que le contrevenant involontaire de la loi divine était traité avec miséricorde, celui qui commettait des offenses de propos délibéré, volontairement, qu’il soit Israélite de naissance ou résident étranger, devait être mis à mort pour avoir parlé en mal de Jéhovah et pour avoir méprisé sa parole et son commandement. — Nb 15:27-31 - it-1 352-353

Fautes, erreurs et sottise - La “ faute ” peut être intentionnelle ou involontaire ; elle peut être une déviation consciente de ce qui est droit ou un acte inconscient, une “ erreur ” qui rend néanmoins la personne responsable d’une faute et donc coupable devant Dieu (Nb 15:22-29). Si donc la faute est volontaire, elle a bien sûr des conséquences beaucoup plus graves que si elle est faite par erreur (Nb 15:30, 31). La faute s’oppose à la vérité, et ceux qui pèchent de plein gré dénaturent la vérité, façon d’agir qui ne fait qu’engendrer des péchés plus graves – it-2 p510 Péché

Nombres 15:37-41. La frange très particulière que les Israélites devaient faire pour leurs vêtements leur rappellerait qu’ils formaient un peuple mis à part pour adorer Dieu et observer ses commandements. Beaucoup aujourd’hui pourraient avoir du mal à comprendre l’importance d’une telle loi. En obéissant à cette loi, les Israélites se différenciaient et se tenaient à l’écart des nations païennes qui les entouraient. Une telle ligne de conduite s’imposait s’ils voulaient obtenir l’approbation de Jéhovah et la conserver. Ne devrions-nous pas, nous aussi, conformer notre vie aux normes de Jéhovah et nous distinguer du monde ? – TG2004  1/8 p24

Tenue : On notera avec intérêt que Jéhovah avait demandé aux Israélites de faire des bordures frangées aux pans de leurs vêtements, avec un cordon bleu au-dessus de la frange (Nomb. 15:37-41). Ce signe rappelait qu’ils faisaient partie d’un peuple mis à part pour adorer Jéhovah. De nos jours, notre tenue décente et digne lors des assemblées nous distingue du monde. Nous donnons ainsi un puissant témoignage à ceux qui nous voient, même au restaurant le soir. Réfléchissez donc soigneusement aux habits que vous porterez. – km2009/4 p4

Coré, Dathan et Abiram enviaient la fonction d’administrateur que Moïse exerçait sur le peuple de Dieu. Nombres 16:2-11. . La révolte finit par être écrasée quand “un feu s’embrasa” parmi les rebelles. Sans nul doute, nous sommes ici mis en garde contre l’orgueil et l’envie. Pareillement aujourd’hui, si nous élevons la voix contre les serviteurs de Jéhovah, nommés par son organisation, nous encourrons sa colère. — TG1986  15/12 p28

Certains prennent part, à tort, aux emblèmes du Mémorial parce qu’à vrai dire ils ne saisissent pas que l’onction “dépend, non pas de la volonté d’une personne ni de ses efforts, mais de la miséricorde de Dieu.”. (Romains 9:16.) Il ne revient pas aux humains de décider s’ils doivent ou non être admis dans la nouvelle alliance et devenir cohéritiers de Christ dans le Royaume céleste. C’est Jéhovah qui choisit. Dans l’Israël antique, Jéhovah avait décidé quels seraient ceux qui le serviraient comme prêtres, et il fit mourir Coré, qui avait eu la présomption d’aspirer à la prêtrise confiée par Dieu à la famille d’Aaron (Exode 28:1; Nombres 16:4-11. De même, Jéhovah n’apprécierait pas de voir une personne se présenter de son propre chef comme appelée à figurer parmi les rois et prêtres célestes, alors que lui-même ne lui a pas accordé cet appel.  - TG1991  15/3 p19

Comment les chrétiens devraient-ils traiter leurs proches qui ne partagent pas leur foi ? La Bible nous prévient contre l’influence des mauvaises compagnies, influence qui pourrait venir de notre famille immédiate. Autrefois, de nombreux serviteurs de Dieu ont défendu ce qui est droit, même contre l’avis de leurs parents. Ce fut à l’évidence le cas des fils de Qorah (Nombres 16:32, 33). Les vrais chrétiens ne devraient pas transiger avec leur foi afin de plaire à d’autres, même s’il s’agit de leurs proches. Il arrive que les parents ou d’autres membres de la famille d’un chrétien s’opposent vigoureusement à ses croyances. Certains deviennent même des ennemis du vrai christianisme. Dans de tels cas, les chrétiens prennent des mesures raisonnables pour protéger leur spiritualité. — RV2003  8/11 p26

Chaque fois qu’un animal était sacrifié, on en faisait fumer des parties sur l’autel ; c’est pourquoi le feu sur l’autel devait être maintenu allumé ; il ne fallait pas le laisser s’éteindre (Lv 6:9-13). C’est de cet autel qu’on prenait du feu pour brûler de l’encens (Nb 16:46). Seuls Aaron et ceux de ses descendants qui n’avaient pas de tare étaient autorisés à servir à l’autel. Les autres Lévites n’étaient que des aides. Tout homme qui n’était pas de la semence d’Aaron et qui s’approchait devait être mis à mort Nb 16:40. Qorah et son assemblée furent détruits parce qu’ils ne reconnurent pas le choix opéré par Dieu ; les récipients à feu en cuivre qu’ils s’étaient procurés furent transformés en feuilles de métal dont on revêtit l’autel, en signe que seuls les descendants d’Aaron devaient s’en approcher. — Nb 16:1-11, 16-18, 36-40. – it-1p229 Autel

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