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Perles spirituelles - Semaine du 24 Mai 2021 - Nombres 34-36


misette

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Perles spirituelles (10 min) : Nombres 34-36

Nombres 35:31 : Pourquoi Adam et Ève ne bénéficieront-ils pas de la rançon payée par le sacrifice de Jésus ? w91 15/2 13 § 13

« Vous ne devez pas accepter de rançon pour la vie d’un meurtrier qui mérite la mort, car il sera obligatoirement mis à mort.

13 Néanmoins, ni Adam ni Ève ne bénéficieront de la rançon. La Loi mosaïque renfermait, en effet, ce principe: “Vous ne devrez pas accepter de rançon pour l’âme d’un meurtrier qui est digne de mort.” (Nombres 35:31). Adam n’a pas été trompé: son péché était donc volontaire, délibéré (1 Timothée 2:14). C’est comme s’il avait tué ses descendants, car ils ont hérité de son imperfection, subissant du même coup une condamnation à mort. Il est clair qu’Adam méritait la mort, car, étant parfait, il avait choisi en toute liberté de désobéir à la loi de Dieu. Jéhovah serait allé à l’encontre de ses justes principes s’il avait fait bénéficier Adam de la rançon. Cependant, le salaire du péché d’Adam étant payé, la sentence de mort qui pesait sur ses descendants pouvait être annulée (Romains 5:16). Au plan juridique, le pouvoir destructeur du péché était neutralisé à sa source. Celui qui a payé la rançon a ‘goûté la mort pour tous les hommes’, supportant, pour tous les enfants d’Adam, les conséquences du péché. — w91 15/2 13 § 13

Nos premiers parents méritaient manifestement de mourir pour avoir désobéi à Dieu volontairement et sciemment. Ils avaient de fait renoncé à la vie éternelle qui s’offrait à eux. Comme il était hors de question qu’ils puissent bénéficier du sacrifice rédempteur du Christ, à leur mort ils sont allés dans la géhenne

Sous la Loi, le meurtrier volontaire ne pouvait être racheté. Par ses actes délibérés, Adam attira la mort sur tous les humains ; il fut donc un meurtrier. Par conséquent, Dieu ne peut accepter la vie offerte en sacrifice de Jésus comme rançon pour l’homme pécheur Adam. – it-2 p728

Certains ne seront pas ressuscités. S’il est vrai que le sacrifice rédempteur de Christ fut donné en faveur des humains en général, Jésus indiqua que son application effective serait cependant limitée lorsqu’il dit : “ De même que le Fils de l’homme est venu, non pas pour être servi, mais pour servir et donner son âme comme rançon en échange de beaucoup. ” (Mt 20:28). Jéhovah Dieu est en droit de refuser une rançon proposée pour quelqu’un qu’il juge indigne. La rançon de Christ couvre les péchés que quelqu’un a parce qu’il descend du pécheur Adam, mais on peut aggraver son cas en se livrant délibérément et volontairement au péché, et on peut donc mourir pour ce péché qui ne saurait être couvert par la rançon - it-2 p787-788

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Nombres 35:9-29. Le fait que le meurtrier involontaire devait quitter son domicile et fuir dans une ville de refuge pendant un temps nous enseigne que la vie est sacrée et que nous devons la respecter. – TG2004  1/8 p24

ville de refuge. Ville où une personne qui avait tué quelqu’un involontairement pouvait demander l’asile pour échapper au vengeur du sang. Les villes de refuge appartenaient aux Lévites. Il en existait six, réparties dans toute la Terre promise. Elles ont été désignées par Moïse et plus tard par Josué sous la direction de Jéhovah. Quand le fugitif arrivait à la ville de refuge, il expliquait sa situation aux anciens se trouvant à la porte de la ville ; on lui offrait alors l’hospitalité. Pour éviter que des assassins (qui avaient tué volontairement) ne profitent de cette disposition, celui qui demandait l’asile devait passer en jugement dans la ville où la mort avait eu lieu afin de prouver son innocence. S’il était reconnu innocent, il était renvoyé dans la ville de refuge et il devait rester à l’intérieur des limites de cette ville le reste de sa vie ou jusqu’à la mort du grand prêtre (Nb 35:6, 11-15, 22-29) - nwt p1834

La ville de refuge aujourd’hui - Qu’est la ville de refuge antitypique? Il ne s’agit pas d’un lieu géographique, comme l’était par exemple Hébron, l’une des six villes de refuge lévitiques et lieu de résidence du grand prêtre d’Israël. De nos jours, la ville de refuge est la disposition que Dieu a prise, afin de nous protéger de la mort que nous méritons pour avoir violé son commandement relatif au caractère sacré du sang. Qu’il l’ait fait volontairement ou non, quiconque a commis cette infraction doit rechercher le pardon de Dieu et la remise de son péché en exerçant la foi dans le sang du Grand Prêtre, Jésus Christ. Les chrétiens oints et les membres de la “grande foule”, dont l’espérance est de vivre pour les uns au ciel et pour les autres sur la terre, ont accepté les bienfaits du sacrifice propitiatoire de Jésus et se trouvent donc dans la ville de refuge antitypique.

Quitter la ville de refuge, c’est prendre le risque d’être détruit, car le Vengeur du sang entrera bientôt en action contre tous ceux qui sont coupables de meurtre. Ce n’est donc pas le moment d’être surpris en dehors de cette ville protectrice ni dans une zone dangereuse, un peu au delà de la limite de ses pâturages. Nous nous retrouverions à l’extérieur de la ville de refuge antitypique si nous perdions la foi dans le sacrifice propitiatoire du Grand Prêtre. Nous ne serions pas non plus en sécurité si nous adoptions des comportements propres au monde, si nous n’adhérions pas pleinement à l’organisation de Jéhovah ou si nous nous écartions des principes justes de notre Père céleste.  – TG1995  15/11 p. 17 § 8

La Loi mosaïque marquait une différence entre un accident qui entraînait la mort et un autre sans conséquence fatale. Elle faisait également la distinction entre tuer volontairement et involontairement. Celui qui commettait un meurtre délibérément subissait inéluctablement la peine capitale ; par contre, des villes de refuge étaient prévues pour ceux qui s’étaient accidentellement rendus coupables d’homicide (Nb 35:11-25, 31). La loi s’appliquait à l’Israélite de naissance comme au résident étranger, et elle les instruisait des sacrifices propitiatoires à offrir pour les péchés accidentels ou involontaires – it-1 Accident

Vu sous des angles différents - Il arrive que des rédacteurs bibliques relatent le même événement sous des angles différents ou qu’ils agencent leurs récits diversement. Sachant cela, il est facile de résoudre d’autres contradictions apparentes. Nombres 35:14 en offre une illustration. Dans ce verset, Moïse utilise l’expression “de ce côté-ci du Jourdain” pour désigner la région qui se trouve à l’est du fleuve. Or, Josué parle de la même région comme étant “de l’autre côté du Jourdain”. (Josué 22:4.) Quelle est donc la bonne localisation?

Toutes les deux sont exactes. D’après le livre des Nombres, les Israélites n’avaient pas encore traversé le Jourdain pour entrer en Terre promise: pour eux, l’est du Jourdain était “de ce côté-ci”. Josué, par contre, l’avait déjà traversé et se trouvait à l’ouest du Jourdain, dans le pays de Canaan. Pour lui, l’est du Jourdain était donc “de l’autre côté”.

L’homicide involontaire devait rester dans la ville de refuge ou dans un périmètre de 1 000 coudées (environ 440 mètres) hors de ses murs (Nombres 35:2-4). S’il s’aventurait au-delà de cette limite, il risquait de rencontrer le vengeur du sang, et celui-ci pouvait alors le mettre à mort impunément. Reste que l’homicide n’était ni enchaîné ni emprisonné. Résident de la ville de refuge, il devait apprendre un métier, travailler et se comporter en élément utile de la société – TG1995 15/11 p10-14, 17

En Israël, l’homicide involontaire n’était autorisé à rester dans l’une des villes de refuge que s’il pouvait fournir la preuve qu’il avait une bonne conscience devant Dieu à propos du sang qu’il avait versé. Pour obtenir une bonne conscience, nous devons exercer la foi dans le sacrifice de Jésus, nous repentir de nos péchés et changer de conduite. Il nous faut demander à Dieu une bonne conscience en nous vouant à lui dans la prière par l’intermédiaire du Christ, et en symbolisant cet engagement par le baptême d’eau (1 Pierre 3:20, 21). Cette bonne conscience nous permet alors de nouer des relations pures avec Jéhovah. Le seul moyen de la garder est de nous conformer aux exigences de Dieu et d’accomplir l’œuvre qu’il nous a assignée dans la ville de refuge antitypique, à l’image des homicides involontaires d’autrefois qui devaient obéir à la Loi et accomplir les tâches qui leur étaient assignées dans la ville de refuge. La tâche principale confiée au peuple de Jéhovah de nos jours est celle qui consiste à diffuser le message du Royaume (Matthieu 24:14; 28:19, 20). La participation à cette activité nous permet d’être des habitants utiles de la ville de refuge antitypique. – TG1995 15/11 p19 §19

Combien de temps l’homicide involontaire devait-il demeurer dans la ville de refuge? Parfois le reste de sa vie. Dans tous les cas, la Loi déclarait: “Il doit habiter dans sa ville de refuge, jusqu’à la mort du grand prêtre, et après la mort du grand prêtre, l’homicide pourra retourner au pays de sa possession.” (Nombres 35:26-28). Pourquoi la mort du grand prêtre permettait-elle à l’homicide involontaire de quitter la ville de refuge? Le grand prêtre était l’un des hommes les plus importants de la nation. Sa mort constituait donc un événement d’une telle ampleur que la nouvelle faisait le tour de toutes les tribus d’Israël.

Tous ceux qui avaient trouvé asile dans les villes de refuge pouvaient alors rentrer chez eux sans plus craindre les vengeurs du sang. En effet, la Loi de Dieu stipulait que la possibilité offerte au vengeur du sang de tuer l’homicide prenait fin à la mort du grand prêtre, et tout le monde le savait. Quiconque vengeait la mort de son proche parent après cette limite devenait un assassin et était condamné à mort comme tel. - TG1995 15/11 p10-14, 17

Dans l’Israël d’autrefois, Jéhovah prenait au sérieux tous les cas de meurtre. Si le meurtre était volontaire, « le vengeur du sang » (le parent masculin le plus proche de la victime) devait mettre à mort le meurtrier (Nomb. 35:19). Ainsi, le meurtrier payait de sa vie celle de l’innocent qu’il avait tué. Il devait être mis à mort rapidement pour que la Terre promise ne devienne pas impure. En effet, Jéhovah avait déclaré : « Vous ne devez pas profaner le pays où vous êtes ; car le sang [d’un humain assassiné] profane le pays » (Nomb. 35:33, 34). –

Et quand un Israélite tuait quelqu’un par accident ? Même dans ce cas, l’homicide (le meurtrier) involontaire était coupable d’avoir tué un innocent. Mais grâce à la miséricorde de Jéhovah, il avait le droit d’échapper au vengeur du sang en s’enfuyant dans l’une des six villes de refuge. Là, il était protégé. Il devait y rester jusqu’à la mort du grand prêtre (Nomb. 35:15, 28). – TG2017.11 p9

Si un Israélite tuait quelqu’un par accident, il devait courir jusqu’à une ville de refuge et expliquer ce qui s’était passé aux anciens à l’entrée de la ville. Les anciens devaient l’accueillir avec hospitalité (Jos. 20:4). Ensuite, ils le renvoyaient vers les anciens de la ville où le meurtre avait eu lieu, pour qu’ils jugent l’affaire (Nombres 35:24, 25). Si les anciens concluaient que la mort avait été accidentelle, ils faisaient retourner le fugitif à sa ville de refuge.

Pourquoi les anciens devaient-ils intervenir ? Pour garder pure la congrégation d’Israël et pour aider le meurtrier involontaire à bénéficier de la miséricorde de Jéhovah. Un bibliste a expliqué que si un fugitif n’allait pas voir les anciens, c’était « à ses risques et périls. S’il était tué, c’était de sa faute, puisqu’il ne s’était pas servi du moyen que Dieu avait prévu pour le protéger ». Un meurtrier involontaire pouvait donc être aidé, mais il devait rechercher et accepter cette aide. S’il ne se réfugiait pas dans une des villes que Jéhovah avait mises à part, le vengeur du sang avait le droit de le mettre à mort.

Aujourd’hui, un chrétien qui a commis un péché grave doit rechercher l’aide des anciens de l’assemblée pour retrouver une bonne relation avec Jéhovah. Pourquoi est-ce important ? Premièrement, l’action des anciens dans les cas de péché grave est une disposition de Jéhovah. Deuxièmement, cette disposition aide le pécheur repentant à retrouver l’approbation de Dieu et à ne pas recommencer à pécher. Troisièmement, les anciens sont établis et formés pour rassurer les pécheurs repentants, en calmant leur peine et leur sentiment de culpabilité. N’es-tu pas d’accord pour dire que cette disposition est une expression de la miséricorde de Dieu ? – TG2017.11 p9

Pour qu’il lui soit fait miséricorde, un meurtrier involontaire devait agir : il devait fuir vers la ville de refuge la plus proche. Pour ne pas mourir, le fugitif devait atteindre cette ville sans tarder et y rester ! Cela l’obligerait à faire des sacrifices. En effet, il devrait abandonner son travail, le confort de sa maison et sa liberté de voyager — tout cela jusqu’à la mort du grand prêtre (Nomb. 35:25). Mais ces sacrifices en valaient la peine. Dans le cas où le fugitif quitterait la ville, il montrerait que cela lui était égal d’avoir tué quelqu’un et il mettrait sa propre vie en danger.

Pareillement aujourd’hui, pour avoir la miséricorde de Dieu, un pécheur repentant doit agir. Il doit abandonner complètement sa mauvaise conduite, en rejetant non seulement tout péché grave, mais aussi tout péché qui mène à des péchés graves. . En faisant tout pour abandonner sa mauvaise conduite, un chrétien montre à Jéhovah qu’il ne minimise pas son péché et qu’il n’estime pas avoir droit à sa miséricorde automatiquement.

Qu’est-ce qu’un chrétien doit abandonner pour continuer d’avoir la miséricorde de Dieu ? Il doit aller jusqu’à abandonner des choses qu’il aime si elles risquent de l’amener à commettre un péché. Si des amis t’encouragent à faire des choses qui déplaisent à Jéhovah, cesseras-tu de les fréquenter ? – TG2017/11 p11 §13

Le fait de garder constamment Jéhovah présent à l’esprit nous aidera à lui obéir, ce qui nous vaudra des bénédictions. Cela exige que nous soyons disposés à obéir. Intéressons-nous à l’état d’esprit de cinq jeunes femmes, les filles de Tselophehad, qui vivaient aux jours de Moïse. Chez les Israélites, c’étaient les fils qui héritaient de leur père. Tselophehad étant mort sans avoir eu de fils, Jéhovah a donné l’ordre que ses cinq filles reçoivent la totalité de l’héritage à une condition. Elles devaient épouser des fils de Manassé pour que la terre et les biens dont elles hériteraient restent dans la même tribu. — Nomb. 36:6-8.

Les filles de Tselophehad avaient foi que les choses tourneraient bien pour elles si elles obéissaient à Dieu. “ Comme Jéhovah l’avait ordonné à Moïse, ainsi firent les filles de Tselophehad ”, dit la Bible. “ Mahla, Tirtsa, Hogla, Milka et Noa, les filles de Tselophehad, devinrent donc les femmes des fils des frères de leur père. Elles devinrent femmes dans certaines des familles des fils de Manassé le fils de Joseph, afin que leur héritage reste dans la tribu de la famille de leur père. ” (Nomb. 36:10-12). Ces femmes obéissantes ont fait ce que Jéhovah avait ordonné. Animés par une foi semblable, les chrétiens spirituellement mûrs qui décident de se marier obéissent à Dieu en se mariant “ seulement dans le Seigneur ”. — 1 Cor. 7:39. – TG2008 15/2 p4-5

 

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