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Perles spirituelles - Semaine du 17 Janvier 2022 - Juges 20-21


misette

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Perles spirituelles (10 min) : Juges 20-21

Juges 20:16 : Comment, dans l’Antiquité, se servait-on d’une fronde à la guerre ? (w14 1/5 11 § 4-6).

« Dans cette armée, il y avait 700 hommes d’élite qui étaient gauchers. Quand ils lançaient des pierres avec leur fronde, aucun d’eux ne manquait jamais sa cible, pas même d’un cheveu »

David s’est servi d’une fronde pour tuer le géant Goliath. Il a certainement appris à manier cette arme durant sa jeunesse, quand il gardait son troupeau (1 Samuel 17:40-50).

On retrouve la fronde dans les œuvres d’art égyptiennes et assyriennes des temps bibliques. Cette arme était formée d’une poche ouverte en cuir ou en tissu prolongée à chaque extrémité par une lanière ou une corde. On plaçait dans cette poche une pierre lisse et ronde, mesurant entre 5 et 8 centimètres de diamètre et pesant environ 250 grammes. On faisait alors tournoyer la fronde au-dessus de sa tête et on relâchait l’une des cordes ; la pierre était ainsi propulsée avec beaucoup de force et de précision.

Des fouilles effectuées dans le Proche-Orient ont donné une belle récolte de pierres de jet qui avaient servi lors de guerres du passé. Un guerrier bien entraîné pouvait lancer des pierres à une vitesse de 160 à 240 kilomètres-heure ! Certains chercheurs pensent que la fronde avait la même portée qu’un arc, d’autres pas. Quoi qu’il en soit, elle pouvait être tout aussi meurtrière w14 1/5 11 § 4-6

Ils étaient très probablement sélectionnés pour leurs exploits à la guerre. Selon certains biblistes, “ gaucher ” désigne quelqu’un “ qui se servait de la main gauche comme de la droite ”, c’est-à-dire un ambidextre. La tribu de Benjamin était connue pour ses gauchers, des “ hommes forts – TG2004  15/3

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Le péché de Benjamin à Guibéa (19:1–21:25). Revenant chez lui avec sa concubine, un Lévite d’Éphraïm passe la nuit chez un vieil homme à Guibéa de Benjamin. Des hommes de la ville, des vauriens, entourent la maison, exigeant d’avoir des relations avec le Lévite. Ils acceptent néanmoins la concubine à sa place et abusent d’elle toute la nuit. Au matin, on la trouve morte à l’entrée de la maison. Le Lévite emporte le corps chez lui et le découpe en 12 morceaux qu’il envoie dans tout Israël. Les 12 tribus sont ainsi mises à l’épreuve. Vont-elles punir Guibéa et ôter du même coup l’immoralité en Israël ? Benjamin excuse ce crime sordide. Les autres tribus se rassemblent auprès de Jéhovah à Mitspa, où elles décident de monter contre Benjamin à Guibéa d’après le sort. Après deux défaites sanglantes, les autres tribus remportent la victoire grâce à une embuscade et anéantissent presque toute la tribu de Benjamin ; seuls 600 hommes réchappent en s’enfuyant vers le rocher de Rimmôn. Par la suite Israël regrette le retranchement d’une tribu. L’occasion s’offre à lui de donner des femmes aux Benjaminites survivants en les prenant d’entre les filles de Yabesh-Guiléad et de Silo. Ainsi s’achève le récit des luttes et des intrigues en Israël. Et nous lisons de nouveau en conclusion du livre des Juges : “ En ces jours-là, il n’y avait pas de roi en Israël. Chacun avait coutume de faire ce qui était droit à ses yeux. ” — Juges 21:25. – si chap7

La tribu de Benjamin tout entière avait été un jour jugée coupable de meurtre pour n’avoir pas puni un groupe de meurtriers en son sein. La grande majorité n’était pas directement impliquée dans le meurtre; mais, en le tolérant, elle le pardonnait et portait de ce fait une part de responsabilité (Juges 20:8-48). – RV1993  8/8

Juges 20:17-48 Pourquoi Jéhovah a-t-il laissé à deux reprises les Benjaminites l’emporter sur les autres tribus, alors qu’ils méritaient d’être punis ? En laissant en premier lieu les tribus fidèles subir de lourdes pertes, Jéhovah a mis à l’épreuve leur détermination à extirper le mal au sein d’Israël. – TG2005 15/1

Phinéas, un exemple à suivre face aux difficultés- Phinéas était relativement jeune quand les Israélites ont établi leur camp dans les plaines de Moab. Il craignait Jéhovah, non les hommes. Phinéas avait l’honneur d’exercer des fonctions sacerdotales pour le peuple que Dieu s’était choisi. Il avait un courage et une perspicacité remarquables pour son âge. Cependant, ce n’est qu’en mettant sa confiance en Jéhovah qu’il a pu résoudre des difficultés de taille. Après le viol et le meurtre de la concubine d’un Lévite par les hommes de Guibéa, qui appartenaient à la tribu de Benjamin, les membres des autres tribus ont entrepris de faire la guerre aux Benjaminites (Juges 20:1-11). Avant de partir au combat, ils ont prié Jéhovah de les aider. Pourtant, ils ont subi deux défaites écrasantes (Juges 20:14-25). En ont-ils déduit que leurs prières n’avaient pas été entendues ? Jéhovah voulait-il vraiment qu’ils punissent les transgresseurs ?

Animé d’une confiance inébranlable en Dieu, Phinéas, alors grand prêtre, a de nouveau joué un rôle de premier plan. Il a prié en ces termes : “ Dois-je recommencer encore à sortir pour aller au combat contre les fils de Benjamin mon frère, ou bien dois-je cesser ? ” Cette fois-ci, Jéhovah a livré les Benjaminites en la main d’Israël, et Guibéa a été réduite en cendres. Juges 20:27-48.

Que retenir de ce récit ? Dans l’assemblée, il arrive que certains problèmes persistent malgré les efforts et les prières des anciens. Ces derniers font donc bien de se rappeler les paroles de Jésus : “ Continuez à demander [ou à prier], et on vous donnera ; continuez à chercher, et vous trouverez ; continuez à frapper, et on vous ouvrira. ” (Luc 11:9). Même si la réponse à une prière semble tarder, les surveillants peuvent être certains qu’elle viendra au moment prévu par Jéhovah. TG2011 15/9 p30

Un avertissement ou un présage. En temps de guerre, on se servait de signaux de fumée pour transmettre des messages entre des villes ou entre les divisions d’une armée (Jg 20:38-40). La fumée indiquait également que quelque chose était en train d’être détruit par le feu, par exemple la fumée qui montait d’une ville au loin (Gn 19:28 ; Jos 8:20, 21). Elle pouvait aussi évoquer métaphoriquement une armée en marche pour détruire, souvent par l’incendie des villes conquises. — it-1 Fumée

Sans les conseils dignes de foi qui nous viennent de notre Créateur aimant, nous risquerions de contester l’autorité du Grand Moïse, Jésus Christ, en oubliant que c’est lui qui, avec son Père, guide à présent les vrais chrétiens. Nous aurions alors tôt fait de voir dans la société des Témoins de Jéhovah une organisation purement humaine et, partant, de nous sentir libres de faire ce qui est juste à nos propres yeux (Juges 21:25). Certains tomberont dans l’erreur en se disant: ‘Tant que telle ou telle ligne de conduite ne trouble pas ma conscience, tout va bien.’ D’autres en viendront à penser que l’organisation théocratique n’existe que pour leur satisfaction et leur bien-être personnels, que ses normes devraient être assouplies et qu’il n’y a pas lieu d’exiger autant d’abnégation. Un autre danger consisterait à vouloir soumettre les dispositions prises par l’organisation à notre propre volonté et non plus à celle de Dieu. Pourtant, Jésus Christ, notre Modèle, a toujours pris plaisir à faire la volonté de son Père céleste. — TG1985  1/6

Pendant la période des juges, les Israélites ont joui d’une liberté considérable pour ce qui est de l’obéissance à la Loi de Dieu: “En ces jours-là, il n’y avait pas de roi en Israël. Chacun avait coutume de faire ce qui était juste à ses propres yeux.” (Juges 21:25). Mais la majorité des Israélites se montraient peu disposés à respecter la Loi. En semant cette attitude d’esprit, Israël a récolté des siècles de catastrophes nationales. Pareillement, les nations du monde ont récolté des siècles de douleur et de souffrance. Et le pire est encore à venir. – RV1994  22/7

Intéressons-nous à l’époque où Jéhovah se servait de juges pour guider Israël. On lit dans la Bible: “En ces jours-là, il n’y avait pas de roi en Israël. Chacun avait coutume de faire ce qui était juste à ses propres yeux.” (Juges 21:25). Mais Jéhovah avait assuré à son peuple des moyens de bénéficier de sa direction. Chaque ville avait des anciens dont la maturité s’avérait précieuse lorsqu’une question ou un problème se posait. De plus, les prêtres lévitiques exerçaient une saine influence en instruisant le peuple dans les lois de Dieu. Pour les situations plus difficiles, le grand prêtre avait la possibilité de consulter Dieu au moyen de l’Ourim et du Toumim. Le livre La perspicacité grâce aux Écritures (angl.) fait les observations suivantes: “La personne qui tirait profit de ces dispositions, qui acquérait la connaissance de la loi de Dieu et la mettait en application, bénéficiait d’une direction fiable pour sa conscience. Dans ces conditions, faire ‘ce qui était juste à ses propres yeux’ n’avait pas de conséquences fâcheuses. Jéhovah permettait au peuple d’afficher un état d’esprit et un comportement dictés, soit par la bonne, soit par la mauvaise volonté.” — Perspicacité Volume 2, pages 162-3.-  TG1995 15/6 p22

l’Ourim et du Toumim ; Objets utilisés pour connaître la volonté divine quand des questions d’importance nationale demandaient une réponse de Jéhovah

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