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Perles spirituelles - Semaine du 19 Septembre 2022 - 1 Rois 13-14


misette

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Perles spirituelles (10 min) : 1 Rois 13-14

1 Rois 14:13 : Que nous enseigne ce verset sur Jéhovah ? (w10 1/7 29 § 5).

« Tout Israël sera en deuil de lui et l’enterrera ; c’est le seul membre de la famille de Jéroboam qui sera mis dans une tombe. En effet, dans la famille de Jéroboam, c’est le seul en qui Jéhovah le Dieu d’Israël a trouvé quelque chose de bon. »

La leçon la plus importante et la plus belle que nous tirons de Un Rois 14:13 concerne Jéhovah et ce qu’il cherche en nous. Rappelez-vous que quelque chose de bon a été “ trouvé en ” Abiya. Il semble que Jéhovah ait sondé son cœur jusqu’à ce qu’il y trouve une trace de “ bon ”. Comparé à sa famille, Abiya était, pour reprendre les termes d’un bibliste, une perle perdue “ dans un tas de cailloux ”. Jéhovah a accordé de la valeur à ce “ quelque chose de bon ” et a récompensé Abiya en lui témoignant, à lui et non au reste de sa famille corrompue, une certaine miséricorde. - w10 1/7 29 § 5

Quand il nous sonde, Jéhovah fait la part du bon. Il regarde au-delà de nos imperfections et voit nos possibilités. Jéhovah voit en nous le bon que nous-mêmes ne voyons pas toujours. Et plus nous le servirons, plus il fera croître ce bon en nous, jusqu’à ce que nous soyons parfaits. Quoi que leur fasse subir le monde de Satan, Jéhovah considère ses serviteurs fidèles comme désirables, précieux. — Aggée 2:7. Par exemple, bien qu’ayant décrété l’anéantissement de la maisonnée apostate du roi Jéroboam, il a ordonné qu’un des fils, à savoir Abiya, reçoive une sépulture décente. Pour quelle raison ? “ Parce que quelque chose de bon envers Jéhovah le Dieu d’Israël s’est trouvé en lui. ” (1 Rois 14:1, 10-13). Jéhovah avait, en quelque sorte, passé au crible le cœur du jeune homme et y avait trouvé “ quelque chose de bon ”. Il a estimé que ce “ bon ”, si minime fût-il, méritait d’être mentionné dans sa Parole. Il l’a même honoré en manifestant envers cet élément d’une famille apostate une miséricorde appropriée.- cf chap24

La Bible ne dit pas qu’Abiya était un adorateur fidèle de Dieu. Quoi qu’il en soit, il avait du “ bon ” en lui. Ce “ quelque chose de bon ” était “ envers Jéhovah ”, peut-être en rapport avec Son culte. Quelle qu’ait été sa nature exacte, ce “ bon ” était remarquable. Premièrement, il était sincère ; il était “ en lui ”, c’est-à-dire dans son cœur. Deuxièmement, il était exceptionnel. Abiya a montré du “ bon ” bien qu’étant “ dans la maison de Jéroboam ”. –TG2010  1/7

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

1 Rois 13 :1-3 - Jéroboam " se tenait près de l'autel pour faire de la fumée sacrificielle "

Selon Josèphe, c'était au moment de la fête des tabernacles, « et il voulut la célébrer lui-même ». En conséquence, il bâtit un autel... et s'engagea à être lui-même grand prêtre ». Jéroboam a parcouru un long chemin sur le chemin de l'apostasie. 

Jéhovah a condamné  Jéroboam à cause de son apostasie. Il a chargé un prophète de Juda de se rendre au Nord, à Béthel, et de se présenter devant Jéroboam au moment où il officierait près de l’autel. Le prophète devait faire part au roi d’un message de condamnation cinglant. C’était là incontestablement une mission très délicate. En entendant la condamnation de Jéhovah, Jéroboam entra dans une colère terrible. Il avança sa main en direction du représentant de Dieu en criant à des hommes qui se tenaient là : “ Saisissez-le ! ” Mais, à l’instant même, avant que quiconque ne puisse bouger, “ sa main, qu’il avait avancée contre lui, se dessécha et il ne put la ramener à lui. Et l’autel se fendit, si bien que les cendres grasses se répandirent de l’autel ”. Jéroboam en fut réduit à supplier le prophète d’adoucir la face de Jéhovah et de prier pour que sa main desséchée soit guérie. C’est ce que fit le prophète, et la main redevint comme avant. Par cette intervention, Jéhovah a protégé son messager. — 1 Rois 13:4-6.

Tandis que nous participons avec fidélité à l’œuvre de prédication et de formation de disciples, il nous arrive d’essuyer des réactions inamicales, voire hostiles. Mais ne laissons jamais la crainte d’être rembarrés entamer notre zèle dans le ministère. Comme ce prophète anonyme de l’époque de Jéroboam, nous avons “ le privilège de lui offrir [à Jéhovah] sans crainte un service sacré, avec fidélité ” Aujourd’hui, nous ne nous attendons pas à ce que Jéhovah intervienne miraculeusement ; il n’empêche qu’il garde et soutient toujours ses Témoins au moyen de son esprit saint et des anges. Dieu n’abandonnera jamais ceux qui continuent de dire sans crainte sa parole – TG2008  15/8

Durant le règne de Jéroboam, Jéhovah a envoyé un prophète de Juda à Béthel transmettre un message de jugement cinglant à ce roi apostat d’Israël. L’humble prophète a fidèlement communiqué le message de Jéhovah, qui l’a protégé de la fureur du roi (1 Rois 13:1-10).

Sur le chemin du retour, le prophète a rencontré de façon inattendue un vieil homme de Béthel. Se disant prophète, l’homme l’a trompé et l’a amené à désobéir aux instructions strictes de Jéhovah de ne pas « manger de pain ni boire d’eau » en Israël et de ne pas « retourner de nouveau par le chemin par lequel [il était] allé ». Cela déplut à Jéhovah. Plus tard, alors que le prophète rentrait chez lui, un lion « le rencontra sur la route et le mit à mort » (1 Rois 13:11-24).

Pourquoi ce prophète modeste au départ a-t-il présomptueusement suivi le vieil homme trompeur ? La Bible ne le précise pas. Mais peut-être a-t-il complètement oublié qu’il devait « marcher modestement avec Dieu ». Dans la Bible, marcher avec Jéhovah emporte l’idée de lui faire confiance, de soutenir sa souveraineté et de suivre sa direction. Une personne modeste est pleinement consciente qu’elle peut et doit être en constante communication avec son Père aimant et tout-puissant. Le prophète aurait pu demander à Jéhovah de clarifier ses instructions, mais les Écritures ne disent pas qu’il l’ait fait.

Nous aussi, nous devons parfois prendre des décisions difficiles, et la voie à suivre n’apparaît peut-être pas clairement. Rechercher modestement la direction de Jéhovah nous évitera de commettre des fautes graves. – TG2017/1 p22 §1,2

Jéroboam dit alors à l’homme du vrai Dieu : “ Viens donc avec moi à la maison et mange quelque chose, et que je te donne un cadeau. ” (1 Rois 13:7). Que doit faire le prophète ? Peut-il accepter l’invitation de cet homme à qui il vient tout juste d’annoncer un message de condamnation ? Doit-il au contraire la décliner, même si le roi semble éprouver du regret ? Jéroboam a manifestement les moyens de gratifier ses amis de cadeaux extrêmement coûteux. À supposer que le prophète de Dieu rêve en secret de posséder certains biens, la proposition du roi est sans doute plus qu’alléchante. Mais voilà, Jéhovah a ordonné au prophète : “ Tu ne dois pas manger de pain ni boire d’eau, et tu ne dois pas revenir par le chemin par où tu seras allé. ” La réponse du prophète est donc catégorique : “ Si tu me donnais la moitié de ta maison, je ne viendrais pas avec toi, je ne mangerais pas de pain et je ne boirais pas d’eau dans ce lieu. ” Et le prophète de quitter alors Béthel par un autre chemin (1 Rois 13:8-10). Que nous enseigne la décision du prophète sur ce qu’implique une fidélité venant du cœur ?

Nous ne voyons peut-être pas de lien entre le matérialisme et la question de la fidélité ; pourtant, il y en a bien un. Jéhovah promet de nous accorder ce dont nous avons réellement besoin ; avons-nous confiance en sa promesse ? Si nos moyens ne nous permettent pas actuellement de nous payer certains extras, ne pouvons-nous pas nous en passer plutôt que de vouloir à tout prix les acquérir ?

Sommes-nous tentés de renoncer à des privilèges théocratiques pour obtenir sans délai ce dont nous avons envie ? Servir fidèlement Jéhovah est-il notre priorité ? Ce qui déterminera dans une large mesure notre réponse à ces questions, c’est le fait que nous servions Dieu de tout cœur ou non. – TG2008 15/8 p8-9

1 Rois 13 :11-24 - Même s’ils émanent d’un chrétien bien intentionné, des conseils ou des suggestions qui semblent discutables doivent être évalués au regard de la Parole de Dieu. — TG2005  1/7 p28

1 Rois 14 :13 - Jéhovah nous sonde pour trouver ce qu’il y a de bon en nous. Si minime ce “ bon ” soit-il, il peut le faire croître tant que nous le servons de notre mieux. – TG2005  1/7 p28

Un facteur que Jéhovah prend en compte : le pécheur est-il sincèrement repentant ? Que signifie se repentir ? C’est changer de façon de penser, d’état d’esprit ou d’objectifs. Cela implique de regretter d’avoir fait quelque chose de mal ou de s’être retenu de faire quelque chose de bien, et d’en éprouver une profonde tristesse. Une personne repentante n’est pas seulement attristée par les fautes qu’elle a commises, mais aussi par la situation spirituelle déplorable dans laquelle elle était et qui l’a amenée à commettre ces fautes. Souviens-toi que Manassé et David ont tous les deux commis des péchés graves. Pourtant, Jéhovah leur a pardonné parce qu’ils se sont repentis sincèrement (1 Rois 14:8). Ainsi, pour que Jéhovah nous accorde son pardon, il doit discerner en nous les signes d’un repentir véritable. Mais il ne nous suffit pas de regretter les péchés que nous avons commis. Nous devons également être prêts à changer de comportement. Voilà qui nous amène à parler d’un autre facteur dont Jéhovah tient compte. – TG2022/6 p6 §16

Salomon a gouverné pendant 40 ans. Dès lors, que peut-on déduire de 1 Rois 14:21 ? « Quant à Roboam fils de Salomon, il était devenu roi de Juda. Roboam avait 41 ans lorsqu’il devint roi, et il régna 17 ans à Jérusalem, la ville que Jéhovah avait choisie dans tout le territoire des tribus d’Israël pour y mettre son nom. La mère de Roboam s’appelait Naama l’Ammonite » Selon ce passage, lorsque Roboam est monté sur le trône à la mort de son père, il avait 41 ans. Sa mère était “ Naama l’Ammonite ”. Conclusion : avant de devenir roi, Salomon avait épousé une étrangère, issue d’une nation ennemie et idolâtre. Naama adorait-elle les idoles d’Ammon ? Il est possible qu’après avoir servi ses dieux pendant un temps elle les ait rejetés pour devenir une adoratrice de Jéhovah, comme Rahab et Ruth. Toujours est-il que Salomon a probablement dû entretenir des relations avec une belle-famille ammonite, qui n’adorait pas Jéhovah.

Tirerons-nous leçon de la conduite de Salomon ? Une sœur tentée de nouer une relation amoureuse sans tenir compte de l’ordre de se marier “ seulement dans le Seigneur ” pourrait se chercher des excuses. Certains seront tentés de participer à des activités extrascolaires — sportives ou autres —, de ne pas déclarer la totalité de leurs revenus, ou encore de mentir au lieu de révéler des actes dont ils ne sont pas fiers, et ils avanceront des arguments contestables pour se justifier. Retenons que Salomon a laissé un raisonnement tortueux l’amener à contourner la loi de Dieu. Ce danger nous guette également. – TG2011 12/15 p10 §11,14

Satan a utilisé une méthode pour faire prisonniers les Israélites : il les a incités à satisfaire des désirs immoraux. Les nations païennes adoraient leurs dieux en pratiquant des actes sexuels honteux. Elles pratiquaient notamment la prostitution sacrée : des hommes et des femmes se prostituaient dans les temples. L’homosexualité et d’autres actes sexuels immoraux étaient tolérés, et ils étaient même considérés comme normaux (Deut. 23:17, 18 ; 1 Rois 14:24). Les païens croyaient que ces rites sexuels encourageaient leurs dieux à rendre leurs terres plus productives. Beaucoup d’Israélites ont été attirés par ces rites et se sont laissé entraîner à servir de faux dieux. En réalité, ils ont été faits prisonniers par Satan.

Satan utilise la même méthode aujourd’hui. Il fait prisonniers les gens en se servant de leurs désirs naturels, en les incitant à commettre des actes sexuels immoraux et en les empêchant de connaître Jéhovah. La fausse religion tolère, et même encourage, les conduites immorales. Par conséquent, beaucoup de personnes qui disent servir Dieu ont abandonné ses normes de moralité, pourtant claires. C’est vraiment important pour nous d’obéir fidèlement aux enseignements de la Bible, qui sont clairs. – TG2019/6

 

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