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Perles spirituelles - Semaine du 17 Octobre 2022 - 1 Rois 21-22


misette

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Perles spirituelles (10 min) : 1 Rois 21-22

1 Rois 21:27-29 : Qu’est-ce qui, dans le comportement d’Achab, montre qu’il n’était pas réellement repentant ? (w21.10 3 § 4-6).

« Dès qu’Achab entendit ces paroles, il déchira ses vêtements et se mit de la toile de sac sur le corps. Il se mit à jeûner, il se couchait dans de la toile de sac et il marchait avec un air abattu. 28 Alors Jéhovah dit à Élie le Tishbite : 29 « As-tu vu comme Achab s’est humilié en entendant la condamnation que j’ai prononcée contre lui ? Parce qu’il s’est humilié devant moi, je ne ferai pas venir le malheur sur sa famille tant qu’il sera en vie. Je ferai venir le malheur au cours de la vie de son fils. »

La patience de Jéhovah a finalement atteint ses limites. Il a envoyé Élie annoncer à Achab la punition qui l’attendait, lui et sa femme. Toute leur famille allait être mise à mort. Achab n’a pas été insensible à ce message. Aussi surprenant que cela paraisse, cet homme arrogant « s’est humilié » (1 Rois 21:19-29).

Même si, sur le coup, Achab s’est humilié, la façon dont il s’est comporté par la suite indique qu’il n’était pas sincèrement repentant. En effet, il n’a pas cherché à faire disparaître le culte de Baal de son royaume. Il n’a rien fait non plus pour favoriser le culte de Jéhovah. Par ailleurs, son manque de repentir s’est manifesté d’autres façons encore.

Plus tard, quand il a invité le bon roi Josaphat de Juda à se joindre à lui pour combattre les Syriens, Josaphat a suggéré qu’ils consultent d’abord un prophète de Jéhovah. Mais Achab a refusé. Il lui a répondu : « Il y a encore un homme qui peut interroger Jéhovah pour nous. Mais je le déteste, car il ne prophétise jamais de bonnes choses à mon sujet, mais uniquement des mauvaises ! » Finalement, les deux hommes ont quand même consulté ce prophète, qui s’appelait Mikaya. Et effectivement, le prophète a annoncé de mauvaises nouvelles pour Achab. Au lieu de se repentir et de rechercher le pardon de Jéhovah, Achab a fait jeter Mikaya en prison (1 Rois 22:7-9, 23, 27). Mais cela n’a pas empêché la prophétie de se réaliser. Dans la bataille qui a suivi, Achab a été tué - w21.10 3 § 4-6

Élie est peut-être surpris de la réaction d’Achab. Nous lisons : « Dès qu’Achab entendit ces paroles, alors il déchira ses vêtements et mit une toile de sac sur sa chair ; il se mit à jeûner, et il se couchait dans une toile de sac et marchait d’un air abattu » (1 Rois 21:27). Est-ce le signe qu’il se repent ?

En tout cas, il fait au moins un pas dans la bonne direction. Il s’humilie, ce qui n’est sans doute pas facile pour un homme aussi orgueilleux et arrogant que lui. Mais est-ce de la vraie repentance ? Un roi qui est venu après lui a été encore plus loin dans la méchanceté. Il s’agit de Manassé. Quand Jéhovah l’a puni, il s’est humilié et l’a appelé à l’aide. Mais il ne s’est pas arrêté là. Il a complètement changé de vie. Il a enlevé les idoles qu’il avait mises en place, fait des efforts pour servir Dieu et même encouragé son peuple à l’imiter (2 Chroniques 33:1-17). Peut-on en dire autant d’Achab ? Malheureusement non. – TG2014 1/ 2 p15

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

La fidélité résiste à la persécution - Parfois, Satan s’en prend à notre fidélité par des attaques directes. Voyez le cas de Naboth. Au roi Achab qui le pressait de lui vendre sa vigne, il a répondu : “ Il est impensable pour moi, du point de vue de Jéhovah, de te donner la possession héréditaire de mes ancêtres. ” (1 Rois 21:3). Ce n’était pas de l’entêtement de la part de Naboth, mais de la fidélité. La Loi mosaïque interdisait aux Israélites de vendre à perpétuité une possession héréditaire de terre. Naboth savait sûrement que Achab pouvait le tuer, car ce roi malfaisant avait déjà laissé sa femme Jézabel éliminer de nombreux prophètes de Jéhovah. Naboth n’en a pas moins été ferme. —

La fidélité se paie parfois cher. Avec la complicité de “ vauriens ”, Jézabel a fait accuser Naboth d’un crime qu’il n’avait pas commis et pour lequel lui et ses fils ont été exécutés (1 Rois 21:7-16). Est-ce à dire que la fidélité de Naboth était mal placée ? Nullement. Naboth fait partie de ces nombreux hommes et femmes fidèles qui sont “ vivants ” dans la mémoire de Jéhovah et qui dorment en sécurité dans la tombe en attendant le moment de la résurrection. —

Cette promesse donne aussi de l’assurance aux fidèles de Jéhovah d’aujourd’hui. Nous sommes conscients que, dans ce monde, notre fidélité peut nous coûter cher. Jésus Christ a payé la sienne de sa vie, et il a averti ses disciples qu’ils ne seraient pas mieux traités. Comme lui, nous trouvons un soutien dans l’espérance. Dès lors, nous pouvons rester fidèles sous toutes sortes de persécutions. – TG1997  1/8 p13 §18-20

Parfois, Satan s’en prend à notre fidélité par des attaques directes. 1 Rois 21:1-3 Quand Achab lui a proposé de lui acheter sa vigne ou de lui en donner une meilleure à la place, Naboth a refusé. Pourquoi ? Avec respect, il a expliqué : « Il est impensable pour moi, du point de vue de Jéhovah, de te donner la possession héréditaire de mes ancêtres. » Son refus se fondait sur la loi donnée par Jéhovah à la nation d’Israël interdisant de vendre à perpétuité un héritage tribal. C’est un homme de foi et de courage, car il n’ignore sans doute pas qu’il est dangereux de tenir tête à Achab. Il est clair que Naboth voyait les choses comme Jéhovah. Naboth savait sûrement que Achab pouvait le tuer, car ce roi malfaisant avait déjà laissé sa femme Jézabel éliminer de nombreux prophètes de Jéhovah. Naboth n’en a pas moins été ferme – TG2017/4 p24 

La Bible nous met en garde contre la convoitise, mais elle offre en plus des exemples illustrant les conséquences funestes de ce défaut. Achab signa sa perte en convoitant la vigne de Naboth. Sachant à quel point la convoitise est enracinée dans le cœur de l’homme déchu et tout le mal qu’elle peut provoquer, Jéhovah l’a condamnée dans le dixième des Dix Commandements : “Tu ne convoiteras point la femme de ton prochain ; tu ne désireras point la maison de ton prochain, ni son champ, (...) ni aucune chose qui appartienne à ton prochain.” (Deut. 5:21). Achab se moqua royalement de la Loi de Jéhovah. Il rentra chez lui « sombre et abattu » de n’avoir pas obtenu ce qu’il voulait. Le récit poursuit : « Il se coucha sur son lit et tint son visage tourné, et il ne mangea pas de pain » (1 Rois 21:4). Quand Jézabel voit son mari bouder comme un enfant contrarié, elle met tout de suite en place un plan pour lui remonter le moral, plan qui au passage va coûter la vie à une famille honnête.

On ne peut qu’être horrifié par le complot diabolique mis au point par Jézabel. Elle sait que, selon la Loi de Dieu, une accusation grave doit être confirmée par deux témoins. Elle envoie alors, au nom d’Achab, des lettres aux hommes influents de Yizréel. L’ordre est le suivant : trouver deux hommes prêts à accuser faussement Naboth de blasphème, une faute passible de mort. Son plan fonctionne à merveille. Deux « vauriens » témoignent contre Naboth, qui est finalement lapidé. En plus de cela, ses fils sont eux aussi mis à mort ! (1 Rois 21:5-14). Achab a en quelque sorte laissé sa femme prendre les rênes et se déchaîner contre des innocents.

Imaginez ce qu’Élie a dû ressentir quand Jéhovah lui a révélé ce que le couple royal avait fait. Il peut être très décourageant d’avoir le sentiment que des méchants l’emportent sur des innocents. Aujourd’hui, de terribles injustices sont souvent commises, parfois même par des hommes puissants qui prétendent agir au nom de Dieu. Alors puisons du réconfort dans ce récit biblique. Il nous rappelle que rien n’échappe à Jéhovah. Il voit tout. – TG2014  1/ 2 p13

Jéhovah envoie Élie vers Achab. Il prononce ces paroles pleines de sous-entendu : « Voici qu’il est dans la vigne de Naboth » (1 Rois 21:18). Lorsque Jézabel a informé Achab que désormais la vigne lui appartenait, il est tout de suite parti admirer sa nouvelle propriété. Il ne lui a jamais traversé l’esprit que Jéhovah l’observait. Vous représentez-vous l’expression de son visage alors qu’il se promène dans sa vigne, imaginant déjà le magnifique jardin qu’il va pouvoir aménager sur ce terrain ? Mais soudain, Élir apparaît ! Le sourire de satisfaction d’Achab se change en une grimace haineuse. Il lui lance avec rage : « M’as-tu trouvé, ô mon ennemi ? » (1 Rois 21:20).

Ses paroles trahissent deux graves erreurs de sa part. Premièrement, en disant « m’as-tu trouvé », il révèle son aveuglement spirituel : il n’avait pas compris que Jéhovah l’avait déjà « trouvé ». Dieu l’avait vu abuser de sa liberté de choix et profiter du complot de Jézabel. Il a lu dans le cœur d’Achab. Il a vu que son amour des biens matériels a étouffé tout sentiment de pitié, de justice ou de compassion. Deuxièmement, en appelant Élie « mon ennemi », le roi a montré sa haine pour un homme qui était l’ami de Jéhovah et qui aurait pu l’aider à revenir de sa voie désastreuse.

Nous pouvons tirer des leçons capitales des erreurs d’Achab. N’oublions jamais que Jéhovah voit tout. En tant que Père aimant, il sait quand nous dévions du droit chemin et il ne souhaite qu’une chose : nous voir y revenir. Pour nous aider, il se sert souvent de ses amis, des humains fidèles qui, comme Elie, communiquent ses paroles à leur prochain. Quelle folie ce serait de considérer les amis de Dieu comme nos ennemis - TG2014  1/ 2 p13

Représentez-vous Elie en train de répondre à Achab : « Je t’ai trouvé. » Il sait exactement à quel genre d’individu il a affaire : un voleur, un meurtrier, quelqu’un qui s’est rebellé contre Jéhovah. Il lui faut une bonne dose de courage pour affronter un tel homme ! Vient le moment de transmettre le jugement de Dieu concernant Achab. Jéhovah est bien conscient de ce qui est en train de se passer : comme une gangrène, la méchanceté se répand dans tout le pays par la faute de la famille d’Achab. C’est pourquoi il lui annonce par l’intermédiaire d’Elie : « Je balaierai à fond derrière toi. » Autrement dit, il l’anéantira, lui et ses descendants. Jézabel aussi paiera pour ses crimes (1 Rois 21:20-26).

Elie ne s’est pas dit que, de toute façon, les méchants s’en sortent toujours — opinion qu’on pourrait facilement adopter aujourd’hui. Ce récit biblique nous rappelle non seulement que Jéhovah voit ce qui se passe, mais aussi qu’il fait justice en temps voulu. Sa Parole nous assure qu’il va bientôt mettre définitivement fin à toute injustice  - TG2014  1/ 2 p13

Elie est peut-être surpris de la réaction d’Achab. Nous lisons : « Dès qu’Achab entendit ces paroles, alors il déchira ses vêtements et mit une toile de sac sur sa chair ; il se mit à jeûner, et il se couchait dans une toile de sac et marchait d’un air abattu » (1 Rois 21:27). Est-ce le signe qu’il se repent ?

En tout cas, il fait au moins un pas dans la bonne direction. Il s’humilie, ce qui n’est sans doute pas facile pour un homme aussi orgueilleux et arrogant que lui. Mais est-ce de la vraie repentance ?. Jéhovah prête-t-il attention à la tristesse qu’Achab manifeste en public ? Il dit à Elie : « As-tu vu comme Achab s’est humilié à cause de moi ? Parce qu’il s’est humilié à cause de moi, je ne ferai pas venir le malheur en ses jours. Aux jours de son fils je ferai venir le malheur sur sa maison » (1 Rois 21:29). Jéhovah pardonne-t-il à Achab ? Non, seule une vraie repentance aurait entraîné le pardon de Dieu. Par contre, il lui manifeste une pitié proportionnelle au regret que montre Achab. Il lui épargne la douleur de voir toute sa famille anéantie.

Néanmoins, ce que Jéhovah a décidé en rapport avec Achab lui-même ne change pas. Peu après, le jugement de Jéhovah s’exécute. Blessé au combat, Achab se vide de son sang dans son char. Le récit ajoute ce détail sinistre : au moment où on lave le char du roi, des chiens viennent lécher son sang. Ce que Jéhovah a annoncé à Achab par Elie se réalise ainsi publiquement : « À l’endroit où les chiens ont lapé le sang de Naboth, les chiens laperont ton sang, oui le tien » (1 Rois 21:19 ; 22:19-22, 34-38).

Que nous apprend l’exemple d’Achab ? Au départ, quand Élie lui a annoncé les malheurs qui allaient frapper sa famille, Achab s’est humilié. C’était un bon début. Mais le comportement qu’il a eu par la suite a démontré qu’il n’était pas vraiment repentant. Se repentir, ce n’est donc pas simplement dire qu’on regrette ce qu’on a fait. Intéressons-nous à l’exemple d’un autre roi pour comprendre ce qu’implique un repentir sincère

Pour Elie, Élisée et tous les autres adorateurs fidèles de Jéhovah, la fin d’Achab est un rappel rassurant : Jéhovah n’a pas oublié le courage et la foi de Naboth. Tôt ou tard, le Dieu de justice punit les individus mauvais ; il manifeste également de la pitié dans son jugement chaque fois qu’il a des raisons de le faire. Quelle leçon puissante pour Elie, qui a enduré pendant des dizaines d’années sous le règne d’un roi méchant ! Avez-vous déjà été victime d’une injustice ? Êtes-vous impatient de voir Dieu redresser les choses ? Alors imitez la foi d’Elie. Avec son fidèle ami Élisée, il a continué de proclamer les messages de Dieu, endurant face à l’injustice ! - TG2014  1/ 2 p13

Écoutez attentivement. Bien que Jéhovah connaisse toutes choses, il écoute les autres. Le prophète Mikaïa a reçu une vision dans laquelle Jéhovah encourageait les anges à exposer leurs propositions sur le règlement d’une question. Dieu a alors autorisé l’un des anges à mettre à exécution la suggestion qu’il avait faite (1 Rois 22:19-22). Comment pouvez-vous, dans votre ministère, imiter la façon d’écouter de Jéhovah ?

Encouragez les autres à s’exprimer. Posez une question appropriée, et marquez une pause suffisamment longue pour leur permettre de répondre. Écoutez attentivement. Votre attention soutenue les encouragera à parler librement. Si leur réponse révèle quelque chose sur leurs centres d’intérêt, avec tact demandez davantage de détails. Sans transformer la conversation en interrogatoire, cherchez à mieux les connaître. Félicitez-les pour leurs idées, si cela est sincèrement mérité. Même si vous ne partagez pas leur opinion, montrez poliment que vous en prenez bonne note. — km2007/6

Jéhovah Dieu laisse aller “ une opération d’égarement ” vers ceux qui préfèrent le mensonge “ pour qu’ils se mettent à croire au mensonge ” plutôt qu’à la bonne nouvelle sur Jésus Christ. Ce principe est illustré par ce qui arriva il y a des siècles au roi israélite Achab. 1 Rois 22:23 «  Voilà comment Jéhovah a fait mentir tous tes prophètes. Mais en réalité, Jéhovah a décidé que le malheur allait te frapper. » Au lieu de se repentir et de rechercher le pardon de Jéhovah, Achab a fait jeter Michée en prison -  1 Rois 22 :27. Mais cela n’a pas empêché la prophétie de se réaliser. Dans la bataille qui a suivi, Achab a été tué - 1 Rois 22:34-38. Des prophètes qui mentaient l’assurèrent qu’il remporterait la guerre contre Ramoth-Guiléad, alors que Michée, prophète de Jéhovah, prédit un désastre. Conformément à ce qu’il révéla à Michée dans une vision, Jéhovah autorisa une créature spirituelle à devenir “ un esprit trompeur ” dans la bouche des prophètes d’Achab. En d’autres termes, cette créature spirituelle exerça son pouvoir sur eux afin qu’ils disent, non pas la vérité, mais ce qu’il leur plaisait de dire et ce qu’Achab souhaitait entendre de leur part. Bien qu’averti, Achab préféra se laisser duper par leurs mensonges et le paya de sa vie. — 1R 22:1-38  -

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