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misette

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  1. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 18 Janvier 2021 - Lévitique 22-23.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 18 Janvier 2021 - Lévitique 22-23.pdf Perles spirituelles (10 min) : Lévitique 22-23 Lévitique 22:21, 22 : Pourquoi notre fidélité et notre intégrité envers Jéhovah doivent-elles être entières, ou sans faille ? w19.02 3 §3 « Si un homme présente à Jéhovah un sacrifice de paix, pour s’acquitter d’un vœu ou comme offrande volontaire, s’il veut être approuvé, ce devra être un animal sans défaut pris dans le gros bétail ou le petit bétail. Il ne devra avoir aucune tare. 22 On n’offrira en sacrifice aucun animal aveugle ou ayant une fracture, une entaille, une verrue, des dartres ou la teigne ; vous ne devez présenter à Jéhovah aucun animal de ce genre ni faire pour Jéhovah une telle offrande sur l’autel.» 3 Un chrétien intègre manifeste un amour total et indestructible pour Jéhovah, amour qui le pousse à toujours faire ce qui lui plaît. Intéressons-nous au sens premier du mot « intègre » dans la Bible. Il peut désigner ce qui est complet ou sans défaut. Par exemple, la Loi exigeait que les Israélites sacrifient à Jéhovah des animaux sans défaut (Lév. 22:21, 22). Les serviteurs de Dieu n’avaient pas le droit de sacrifier des animaux auxquels il manquait une patte, une oreille ou un œil, ou qui étaient malades. C’était important pour Jéhovah que l’animal soit complet et sans défaut (Mal. 1:6-9). Nous pouvons comprendre pourquoi il accorde de la valeur à cette qualité. En effet, quand nous achetons quelque chose, un livre ou un outil par exemple, nous ne voulons pas qu’il en manque une partie ou qu’il soit abîmé. Nous voulons qu’il soit complet et sans défaut. Pareillement, Jéhovah veut que notre amour et notre fidélité envers lui soient complets et sans défaut – w19 02 3 §3 L’intégrité est étroitement liée à l’amour pour Jéhovah. En effet, si notre attachement à notre Père céleste reste complet et sans défaut même quand nous subissons des épreuves, cela signifie que nous sommes intègres. Jéhovah attend de nous, non pas la perfection, mais un amour sans partage ; nous ne devons adorer que lui. – TG2008 15/12 p3 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Offrons à Jéhovah le meilleur de nous-mêmes - La Loi que Jéhovah avait donnée à Israël stipulait que les animaux présentés en sacrifice devaient être “ sans défaut ”. Un animal taré était inacceptable (Lév. 22:18-20). De plus, quand un sacrifice était offert, toute la graisse, la partie la plus riche, appartenait à Jéhovah. En qualité de Père d’Israël et de Grand Maître, Jéhovah méritait le meilleur. Aujourd’hui comme dans les temps anciens, Dieu s’intéresse de près à la qualité de nos offrandes. Notre service devrait refléter une juste révérence pour Jéhovah. Bien sûr, les situations varient d’une personne à l’autre. Néanmoins, nous avons de bonnes raisons de nous analyser pour nous assurer que nous lui donnons le meilleur de nous-mêmes. – km2004/4 p1 Si les Lévites bénéficiaient ultérieurement des dîmes et des offrandes, en réalité c’était à Jéhovah que ces dons étaient faits; ils devaient donc être de bonne qualité, être dignes de lui (Lévitique 22:21-25). Qu’arrivait-il lorsque les Israélites négligeaient de payer les dîmes ou qu’ils apportaient des offrandes de peu de valeur? Aucune punition n’était prévue par la Loi, mais ce manquement avait des conséquences. Jéhovah retirait sa bénédiction, et les Lévites, privés de soutien matériel, abandonnaient leurs fonctions au temple pour gagner leur vie. Ainsi, tout Israël en pâtissait. Aujourd’hui, ce sont des offrandes de nature spirituelle que Dieu demande. Paul a expliqué que notre activité de témoignage est une offrande. Elle comprend le temps, l’énergie, les ressources et les offrandes matérielles que vous consacrez au service de Dieu. – TG1992 1/12 p7 Sa souveraineté sera justifiée et son nom sanctifié. Tout ce qui a trait à la personne de Dieu est saint : son nom personnel, Jéhovah, est saint et doit en conséquence être sanctifié (Lv 22:32). Sanctifier signifie “ rendre saint, mettre à part ou tenir pour sacré ”, donc ne pas employer comme quelque chose de commun ou d’ordinaire. Toute personne éprise de justice qui lit les Écritures inspirées et en vient vraiment à “ connaître ” et à comprendre la pleine signification du nom de Jéhovah, a donc toutes les raisons d’aimer et de bénir ce nom, de le louer et de l’exalter, de le craindre et de le sanctifier, de mettre sa confiance en lui - it-1 1260-1261 Les Israélites d’autrefois célébraient “ les fêtes saisonnières de Jéhovah ” à des moments précis de l’année (Lév. 23:2). Ces périodes d’allégresse où ils réfléchissaient à la bonté de Dieu stimulaient leur zèle pour le culte pur. De même, l’époque du Mémorial est chaque année un moment joyeux où nous intensifions nos activités théocratiques. C’est pour nous l’occasion de penser plus que d’ordinaire au don inestimable que Jéhovah nous a fait en offrant son Fils unique-engendré. Cette réflexion sur l’amour de Dieu et de son Fils nous porte à louer Jéhovah et à nous dépenser pour faire sa volonté. – km2005/2 p3 Aux temps bibliques, Jéhovah a ordonné à son peuple de se rassembler régulièrement dans sa maison. Trois fois par an, tous les Israélites de sexe masculin devaient monter à Jérusalem afin d’assister aux joyeuses célébrations organisées au temple en remerciement pour la bénédiction de Jéhovah. Fort à propos, ces rassemblements étaient appelés “fêtes saisonnières de Jéhovah”, ce qui mettait l’accent sur le culte divin (Lév. 23:2). Ces rassemblements aidaient les Israélites à ne pas oublier la Parole de Dieu, leur donnant l’occasion de méditer, de se côtoyer et d’examiner la Loi de Jéhovah. Ils remplissaient ainsi leur esprit des pensées de Dieu, ce qui leur procurait des bienfaits d’ordre spirituel. Ces rassemblements étaient des moments joyeux. Ils favorisaient l’unité et le vrai culte. Des femmes pieuses y assistaient, ainsi que d’autres membres de la famille. Il n’est pas moins important aujourd’hui de se rassembler dans la maison de Dieu. – km1994/12 p1 Le 16 Nisan, le deuxième jour de la fête des Gâteaux sans levain, le grand prêtre balançait les prémices de la moisson des orges, la première récolte de l’année, qu’on pouvait appeler aussi les premières prémices du pays (Lv 23:10, 11). Il est significatif que Jésus ait été ressuscité précisément ce jour-là, le 16 Nisan de l’an 33. - it-1 p886 Pourquoi, chez les Juifs, l’observance du sabbat commençait-elle le soir ? Quand Jéhovah a donné à son peuple la loi sur le jour des Propitiations, il a déclaré : “ Vous ne devrez faire, en ce même jour, aucune sorte de travail [...]. C’est pour vous un sabbat de repos complet [...]. Depuis le soir jusqu’au soir vous observerez votre sabbat. ” (Lévitique 23:28, 32). De ce commandement, il ressort que le jour commençait le soir, après le coucher du soleil, et finissait le lendemain au coucher du soleil. Pour les Juifs, donc, le jour allait d’un soir à l’autre. Cette façon de compter les jours suivait le modèle laissé par Dieu lui-même. Le récit du premier jour symbolique de création relate : “ Vint un soir et vint un matin : premier jour. ” Pareillement, les ‘ jours ’ qui ont suivi ont commencé le “ soir ”. TG2008 1/10 L’Israël d’autrefois était une nation vouée à Jéhovah, dont les membres, aux termes de l’alliance de la Loi, avaient des obligations envers lui. Par exemple, tous les Israélites de sexe masculin étaient tenus de s’assembler au cours de trois fêtes annuelles ; l’homme qui négligeait délibérément d’observer la Pâque était ‘ retranché ’, autrement dit mis à mort (Lévitique 23:1-43). De plus, pour s’acquitter de leur obligation de peuple voué à Dieu, les Israélites devaient se réunir pour adorer tous ensemble. Nulle part la Loi ne disait : ‘ Faites-le si votre emploi du temps vous le permet. ’ Pour les chrétiens d’aujourd’hui, voués à Jéhovah eux aussi, voilà qui ajoute assurément du poids à ces paroles de l’apôtre Paul : “ Considérons-nous les uns les autres pour nous inciter à l’amour et aux belles œuvres, n’abandonnant pas notre assemblée, comme c’est l’habitude de quelques-uns, mais nous encourageant mutuellement, et cela d’autant plus que vous voyez approcher le jour. ” (Hébreux 10:24, 25). Il est clair que nous assembler régulièrement avec ceux qui partagent notre foi fait partie de notre obligation chrétienne – TG1999 15/11 p18 §7 Pourquoi les Israélites jeûnaient-ils le Jour des Propitiations - Il ne s’agissait pas d’un jeûne purement formaliste. L’observance d’un jeûne amenait les Israélites à mieux prendre conscience de leur état de pécheurs et de la nécessité d’une rédemption. Le jeûne était également une façon d’exprimer leur tristesse au sujet de leurs péchés et leur repentance devant Dieu. Lv 23 :27. Dieu nous demande-t-il de jeûner ? Jésus Christ n’a jamais ordonné à ceux qui le suivaient de jeûner, mais ses disciples et lui l’ont fait le Jour des Propitiations, parce qu’ils étaient sous la Loi de Moïse. La Loi mosaïque est arrivée à son terme lorsque “ le Christ a été offert une fois pour toutes, afin de porter les péchés de beaucoup ” Avec la Loi prenait fin le commandement de jeûner le Jour des Propitiations. Le seul jeûne obligatoire mentionné dans la Bible était supprimé. – TG1996 15/11 p5 En Israël, l’instruction ne se limitait pas à l’apprentissage de la lecture et de l’écriture. L’histoire était une matière importante. Les actions merveilleuses de Jéhovah en faveur de son peuple constituaient une partie essentielle du programme. Ces faits historiques devaient être enseignés de génération en génération. La célébration des fêtes annuelles fournissait au chef de famille une excellente occasion d’enseigner ses enfants (Exode 13:14; Lévitique 23:37-43). À cet égard, on lit dans une encyclopédie (The International Standard Bible Encyclopedia😞 “Grâce à l’instruction reçue du père à la maison et à ses explications sur la signification des fêtes, les enfants hébreux apprenaient comment Dieu s’était autrefois manifesté à [leurs ancêtres], comment ils devaient vivre aujourd’hui et quelles étaient les promesses de Dieu relativement à l’avenir de Son peuple.” – TG1992 1/11 p10 §9
  2. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 11 Janvier 2021 - Lévitique 20-21.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 11 Janvier 2021 - Lévitique 20-21.pdf Perles spirituelles (10 min) : Lévitique 20-21 Lévitique 21:5 : Pourquoi la Loi de Dieu interdisait-elle l’automutilation ? (it-1 1180). « Les prêtres ne devront pas se raser la tête, ni se raser la barbe sur les côtés, ni se faire d’entailles sur le corps » La loi de Dieu interdisait expressément aux Israélites de se faire des incisions dans la chair à cause d’un mort (Lv 19:28 ; 21:5 ; Dt 14:1). Pourquoi ? Parce qu’Israël était un peuple saint pour Jéhovah, son bien particulier. Aussi devait-il se garder de toute pratique idolâtrique. De plus, ces démonstrations d’affliction excessives, notamment l’auto lacération, étaient totalement déplacées chez un peuple parfaitement informé sur la condition véritable des morts et sur l’espérance de la résurrection. En outre, l’interdiction de telles mutilations inculquait aux Israélites le respect qu’il convient d’accorder au corps humain, une création de Dieu. – it-1 p1180 L’automutilation consiste à se faire du mal, que ce soit en se coupant, en se brûlant, en se frappant ou par un autre moyen, parce qu’on en ressent le besoin irrésistible. L’automutilation est rarement fatale, mais elle est dangereuse. Elle est souvent le symptôme d’une dépression ou d’un autre trouble. Elle n’est pas un simple tic nerveux. C’est plutôt une façon de gérer une certaine forme de tension. L’auto mutilateur se sert de la douleur physique comme d’un dérivatif à sa souffrance affective. Si c’est le cas, une aide médicale sera peut-être nécessaire – RV2013/8 INCISIONS - Dans l’Antiquité, il était apparemment très courant de s’inciser la chair ou de s’entailler les bras, les mains et le visage en période de deuil. Peut-être agissait-on ainsi pour apaiser ou se rendre propices les dieux censés régner sur les morts. Décrivant ce que faisaient les Scythes à la mort de leur roi, l’historien grec Hérodote (IV, 71) raconte : “ Ils se coupent un morceau de l’oreille, se tondent les cheveux tout autour de la tête, se font des incisions aux bras, se déchirent le front et le nez, s’enfoncent des flèches à travers la main gauche. ” Ces lacérations dans la chair ne se pratiquaient pas uniquement comme rites de deuil. Dans l’espoir que leur dieu exauce leurs requêtes, les prophètes de Baal se firent des incisions, “ selon leur coutume, avec des poignards et avec des lances, jusqu’à faire couler le sang sur eux ”. – it-1 INCISIONS Les Israélites reçurent de Dieu l’instruction de respecter leur corps et de ne pas se mutiler. Les chrétiens, bien qu’ils ne soient plus sous la Loi mosaïque, sont toujours encouragés à traiter leur corps avec respect. N’est-il pas raisonnable, par conséquent, d’éviter les risques sanitaires inutiles ? - RV2000 22/3 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Lv 20:9. Pour Jéhovah, la haine, la méchanceté et le meurtre sont à mettre sur le même plan. Aussi avait-il prévu la même peine pour l’individu qui insultait ses parents que pour celui qui les tuait effectivement. Se rebeller contre ses parents revenait à se rebeller contre Dieu lui-même. – TG2004 15/5 p24 Lv 20:9. Pourquoi le fait d’‘appeler le mal’ sur ses parents entraînait-il la peine capitale ? Celui qui maudissait son père ou sa mère et souhaitait qu’un grave malheur leur advienne trahissait ainsi sa haine et sa propension au meurtre. S’il ne prenait pas une arme pour assassiner lui-même ses parents, il n’en désirait pas moins leur mort au fond de son cœur. Étant donné que, du point de vue de Jéhovah, pareille méchanceté équivaut à un homicide, la Loi prévoyait la même peine pour l’individu qui insultait ses parents que pour celui qui les tuait effectivement. Voilà qui devrait inciter le chrétien à bannir la haine – TG1984 15/5 p27 Une personne adultère était mise à mort (Lévitique 20:10). Quand cela arrivait, les autres Israélites, et même les parents du coupable, ne pouvaient plus parler au transgresseur puisqu’il était mort. Cette fermeté dans la défense des principes justes et raisonnables de Dieu servait les intérêts de tous les Israélites en préservant la pureté de la congrégation. Elle décourageait aussi toute tentative pour répandre la corruption au sein du peuple qui portait le nom de Dieu. Celui qui commet l’adultère fait souffrir ses proches dans le simple but d’assouvir ses désirs sexuels. S’il ne se repent pas, il ne demeure pas dans l’amour de Dieu et il est excommunié. C’est à juste titre que l’apôtre Paul avertit, en Hébreux 13:4, que Jéhovah Dieu jugera les adultères et les fornicateurs. - TG2006 15/11 §14 Dans son amour, Jéhovah établit des lois détaillées définissant les mauvaises actions afin que les Israélites évitent de les commettre. Sous la Loi, certains péchés exigeaient plus que le pardon d’une personne offensée. Les cas de blasphème, d’apostasie, d’idolâtrie, ainsi que les péchés sexuels comme la fornication, l’adultère et l’homosexualité devaient être révélés aux anciens ou aux prêtres pour qu’ils les examinent. Quiconque se rendait coupable d’actes aussi dégradants était retranché de la nation d’Israël. Il en va de même dans la congrégation chrétienne (Lévitique 20:10-13) - TG1999 15/10 La Loi prescrivait que les auteurs des crimes les plus détestables soient brûlés ou pendus (Lv 20:14). Ces sentences n’étaient exécutées qu’après la mise à mort. - it-1 p569 Jéhovah donna aux Israélites cet avertissement sans ambiguïté: “Et vous devrez garder toutes mes ordonnances et toutes mes décisions judiciaires et les pratiquer, pour que ne vous vomisse pas le pays où je vous mène pour y habiter.” — Lévitique 20:22. Le message est clair. Les Cananéens ont été anéantis parce qu’ils souillaient le pays en se livrant à des actes d’une rebutante immoralité: l’adultère, l’homosexualité et le meurtre d’enfants. Si les Israélites copiaient la religion cananéenne et se mettaient à adorer Baal, ils subiraient le même sort. C’est pourtant ce qu’ils firent. - RV1989 22/1 p5 Il y a quelque chose que nous ne devons pas oublier. Dieu a dit aux Israélites : “ Vous devez garder tout le commandement que je te commande aujourd’hui, afin que vous deveniez forts et que vraiment vous entriez prendre possession du pays. ” (Deutéronome 11:8). En Lévitique 20:22, 24, le même pays est mentionné : “ Vous devez garder toutes mes ordonnances et toutes mes décisions judiciaires et les pratiquer, afin que le pays où je vous mène pour y habiter ne vous vomisse pas. Aussi vous ai-je dit : ‘ Vous prendrez, vous, possession de leur sol, et moi je vous le donnerai pour que vous en preniez possession, pays ruisselant de lait et de miel. ’ ” Ainsi, la possession de la Terre promise dépendait de bonnes relations avec Jéhovah Dieu. C’est parce que les Israélites lui ont désobéi que Dieu a laissé les Babyloniens les vaincre et les déporter. Nous sommes sans doute satisfaits de la plupart des aspects de notre paradis spirituel. L’environnement est agréable à regarder et apaisant. Nous sommes en paix avec les chrétiens qui se sont débarrassés de leurs traits de caractère bestiaux. Ils s’efforcent d’être bons et serviables. Toutefois, pour demeurer dans le paradis spirituel, il ne suffit pas d’être en bons termes avec eux. Il faut entretenir des relations d’amitié avec Jéhovah et accomplir sa volonté. Nous sommes entrés de notre plein gré dans ce paradis spirituel, mais nous pourrions en être chassés si nous ne préservions pas nos relations avec Dieu. TG2004 15/10 §12,13 Jéhovah est “puissant en sainteté”. Par l’alliance de la Loi, Dieu ‘ sépara Israël ’ en tant que peuple choisi pendant 1 545 ans (Lv 20:26), mais par la mort sacrificielle de son Fils il détruisit le “ mur intermédiaire ” symbolique qui séparait les peuples gentils des Juifs, abolissant la Loi des commandements. En Éphésiens 2:12-16, Paul fit allusion à la barrière, ou mur, qui se trouvait dans l’enceinte du temple. Il était interdit aux Gentils, sous peine de mort, de franchir cette limite : l’apôtre se servit de ce mur comme d’un exemple approprié de la séparation que créait l’alliance de la Loi. Sous la nouvelle alliance dont Christ Jésus fut le Médiateur, une démarcation spirituelle, de loin plus imposante que n’importe quelle frontière géographique, fut établie pour séparer du reste du monde des humains la nation spirituelle que forme la congrégation chrétienne - it-1 p934 Un peuple saint - Jéhovah a conclu avec Israël une alliance. Ce lien conférait à cette nation nouvellement constituée un statut spécial. Elle était sanctifiée, ou mise à part. Jéhovah a dit aux Israélites : “ Vous devez vous montrer saints pour moi, car moi, Jéhovah, je suis saint ; et j’entreprends de vous séparer des peuples pour que vous m’apparteniez. ” — Lévitique 20:26. Dès la fondation de cette nation, Jéhovah a bien fait percevoir aux Israélites le principe du sacré. Ils n’avaient à ce moment-là même pas le droit de toucher la montagne où les Dix Commandements avaient été donnés, sous peine de mort. Le mont Sinaï était dans un certain sens considéré comme sacré. La prêtrise ainsi que le tabernacle et son mobilier devaient également être tenus pour sacrés. Mais qu’en est-il de la congrégation chrétienne ? La congrégation chrétienne composée des oints est sacrée aux yeux de Jéhovah. Bien qu’ils ne constituent pas le grand temple spirituel de Jéhovah, de fait, pris collectivement, le groupe des chrétiens oints vivant sur terre à un moment donné est comparé à un saint temple. Jéhovah habite ce saint temple par le moyen de son esprit saint. Par le moyen de son esprit, Jéhovah ‘ réside ’ parmi les oints et ‘ marche parmi eux ’. Il guide continuellement son “ esclave ” fidèle. Les “ autres brebis ” chérissent le privilège d’être associées à la classe du temple – TG2006 1/11 Si nous croyons vraiment à la Parole de Dieu, nous ne nous laisserons pas aller à une curiosité malsaine pour les choses occultes, et cela nous sauvegardera. Jéhovah Dieu ne prend pas ces questions à la légère. Afin de protéger les Israélites des esprits méchants qui trompent les hommes et leur font du mal, il jugea la pratique de la divination passible de la peine de mort. Sa Parole déclare : “Tu ne devras pas garder en vie la sorcière.” (Ex. 22:18). “Quant à l’homme ou à la femme en qui se trouve un esprit de médium ou un esprit de prédiction, ils devront être mis à mort sans faute.” — Lév. 20:27. Jéhovah a-t-il changé d’avis au sujet des médiums, des sorciers et de ceux qui pratiquent la divination ? Absolument pas ! Tous ceux qui persistent à pratiquer le spiritisme sont toujours frappés par un décret divin. Dans Révélation 21:8, ces choses sont classées parmi les pratiques qui méritent le jugement de la “seconde mort”. Il s’agit d’une mort éternelle d’où aucune résurrection n’est possible. Par conséquent, si ceux qui ont touché à ces pratiques veulent accomplir la volonté de Dieu, il est grand temps qu’ils éliminent de leur vie toute activité de ce genre. – TG1975 1/5 §15,16 La prêtrise aaronique. Un descendant d’Aaron qui était boiteux ne pouvait pas servir dans la prêtrise, mais il lui était permis de manger de ce qui était fourni aux prêtres pour leur subsistance (Lv 21:16-23). Jéhovah énonça des conditions rigoureuses concernant l’état physique des prêtres, car ils le représentaient dans son sanctuaire. Pareillement, Christ, le Grand Prêtre souverain, fut “ fidèle, sans malice, sans souillure, séparé des pécheurs ” - it-1 p356 En Lévitique 21:16-23, on trouve une liste des défauts physiques qui rendaient quelqu’un inapte à la prêtrise en général. Le grand prêtre était soumis à des restrictions supplémentaires : il ne pouvait épouser qu’une vierge d’Israël ; il ne devait pas se marier avec une veuve (Lv 21:13-15). En outre, il n’avait pas le droit de se souiller pour un mort, c’est-à-dire qu’il ne devait toucher aucun cadavre humain, pas même celui de son père ou de sa mère, car cela l’aurait rendu impur. Il ne devait pas non plus laisser s’écheveler sa tête ni déchirer ses vêtements pour un mort. — Lv 21:10-12. – it-1 p1005 La virginité spirituelle. Tout comme le grand prêtre en Israël ne pouvait épouser qu’une vierge (Lv 21:10, 13, 14), de même le Grand Prêtre souverain, Jésus Christ, ne peut avoir au ciel qu’une “ vierge ” pour “ épouse ” spirituelle. L’épouse de Christ se compose de 144 000 personnes ointes de l’esprit, qui, individuellement, préservent leur ‘ virginité ’ en se tenant séparées du monde et en se gardant pures sur les plans moral et doctrinal – it-2 p1152
  3. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 4 Janvier 2021 - Lévitique 18-19.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 4 Janvier 2021 - Lévitique 18-19.pdf Perles spirituelles (10 min) : Lévitique 18-19 Lévitique 19:9, 10 : Quels égards la Loi de Dieu avait-elle pour les pauvres ? (w06 15/6 22 § 11). « “Quand vous récolterez la moisson de votre pays, tu ne devras pas moissonner complètement les bords de ton champ et tu ne devras pas ramasser ce qui reste de ta moisson. 10 Tu ne devras pas non plus grappiller ta vigne ni ramasser les grappes tombées de ta vigne. Tu les laisseras pour le pauvre et pour le résident étranger. Je suis Jéhovah votre Dieu. » 11 Le droit de glaner est un deuxième aspect de la Loi mosaïque qui montre que Dieu se soucie du bien-être de ses serviteurs. En Israël, lorsqu’un cultivateur récoltait les produits de son champ, il devait, selon la loi de Jéhovah, permettre aux pauvres de ramasser ce que les moissonneurs avaient laissé derrière eux. Il ne devait pas moissonner complètement la lisière de son champ, ni ramasser les raisins ou les olives qui restaient. Les gerbes de blé oubliées par inadvertance ne devaient pas être ramassées. C’était une disposition pleine d’amour en faveur des pauvres, des résidents étrangers, des orphelins et des veuves. Il est vrai que le glanage réclamait bien des efforts de leur part, mais au moins, ils n’avaient pas à mendier. – w06 15/6 22 §11 Une fois encore, aucune quantité n’était spécifiée. Chaque Israélite devait décider combien il laisserait aux nécessiteux. De cette manière, Jéhovah a enseigné la compassion et la considération envers les personnes désavantagées. – TG2003 1/12§17 Cette loi étant simplement une ombre des grandes choses qui se réalisent de notre temps, représente, semble-t-il, le droit qu’ont les pauvres sur le plan spirituel, ou ceux qui ne sont pas de véritables chrétiens, d’entendre le message de la vérité tel qu’il est prêché par les témoins chrétiens de Jéhovah. Par conséquent, les témoins de Jéhovah ont l’important devoir de nourrir spirituellement ces “ pauvres ” du Seigneur. Dieu a accordé à ceux-ci le droit d’entendre parler de la miséricorde divine et d’accepter la vérité pour obtenir la vie dans le monde nouveau – TG1952 p330 Un moyen de montrer leur reconnaissance avait trait aux dispositions divines relatives au glanage. Durant la moisson, certaines portions des champs devaient être laissées non moissonnées pour les nécessiteux. Non seulement cette mesure enseignait la compassion et la considération envers les pauvres, mais elle donnait l’assurance que ceux-ci ne vivraient pas d’aumône, sans avoir d’effort à faire, ce qui aurait eu pour effet de les démoraliser (Lévitique 19:9, 10). Il n’était pas spécifié quelle surface de champ devait être laissée pour le nécessiteux. Toutefois, si les cultivateurs israélites manifestaient un esprit généreux en laissant non moissonnée une bande assez large à la lisière de leurs champs, témoignant ainsi de la faveur au pauvre, ils glorifieraient Dieu. C’était à eux de décider si cette bande de terre serait étroite ou large. Mais Dieu encouragea fortement la générosité en ordonnant que toute gerbe oubliée dans le champ et tout fruit restant sur l’arbre ou la vigne soient laissés pour les glaneurs. En retour, ces derniers pouvaient démontrer leur reconnaissance à Jéhovah pour ces dispositions en allant offrir à son lieu de culte le dixième de ce qu’ils avaient glané. – TG1988 1/7 §8 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Au moment où la Loi fut donnée, Jéhovah déclara : “ Vous devez garder mes ordonnances et mes décisions judiciaires : si un homme les pratique, il doit aussi vivre par leur moyen. ” (Lv 18:5). Ces Israélites qui la reçurent acclamèrent sans nul doute la Loi comme quelque chose qui leur offrait l’espérance de la vie. La Loi était ‘ sainte et juste ’ ; et, d’après ses critères, celui qui pourrait respecter intégralement ses préceptes serait complètement juste. Cependant, les Israélites n’ayant pas été capables de respecter les préceptes parfaits de la Loi, ils se sont trouvés condamnés par cette même Loi et ont eu besoin d’être délivrés de cette condamnation — Gal. 3:13 – it-1 p1149 Une variante, parfois appelée “ accueil d’embryon ”, consiste à placer dans l’utérus de la femme des embryons qui n’ont été obtenus ni avec ses ovules ni avec les spermatozoïdes de son mari. Dans une autre variante, les ovules de la femme sont fécondés par les spermatozoïdes de son mari, mais les embryons qui en résultent sont ensuite implantés dans l’utérus d’une mère de substitution, aussi appelée mère porteuse, c’est-à-dire une femme qui porte le bébé et lui donne naissance. Les chrétiens n’acceptent aucune de ces techniques de reproduction par respect pour cette directive divine : “ À la femme de ton compagnon tu ne dois pas donner ton émission de sperme pour en devenir impur. ” (Lév. 18:20, 29). Quand la fécondation implique les ovules ou les spermatozoïdes d’une ou de deux personnes étrangères au couple, cela revient à ce que la Bible appelle de la pornéïa, l’immoralité de nature sexuelle. Ces techniques sont une utilisation des organes sexuels foncièrement contraire aux Écritures. – TG2012 15/12 p14 « “Tu ne dois pas coucher avec un homme comme on couche avec une femme. C’est un acte détestable » Lv 18:22. Cette interdiction, contenue dans la Loi mosaïque, était l’un des nombreux préceptes moraux spécifiquement donnés à la nation d’Israël. Il n’empêche que, quand le commandement dit : “ c’est un acte détestable ”, il exprime la pensée divine sur l’homosexualité, que ce soit des Juifs ou des non-Juifs qui s’y livraient. Les nations voisines d’Israël pratiquaient l’homosexualité, l’inceste, l’adultère et d’autres actes interdits par la Loi. C’est pourquoi Dieu les considérait comme impures (Lévitique 18:24, 25). La norme biblique à cet égard a-t-elle changé à l’ère chrétienne ? Le point de vue de Dieu sur l’homosexualité ne peut être édulcoré. la Bible affirme clairement que les “ hommes qui couchent avec des hommes ” font partie de ceux qui “ n’hériteront [pas] du royaume de Dieu ”. – RV2012/1 p28 BESTIALITÉ - Rapports sexuels contre nature entre un homme ou une femme et un animal. La Loi mosaïque réprouvait expressément cette pratique perverse : elle condamnait à mort la personne coupable et la bête. “ Lorsqu’un homme donne son émission séminale à une bête, il doit absolument être mis à mort, et vous tuerez la bête. Lorsqu’une femme s’approche d’une bête quelconque pour s’accoupler avec elle, tu dois tuer la femme et la bête. ” — Lv 18 :23. Cette interdiction ainsi que les autres lois de Dieu réglementant les relations sexuelles élevaient les Israélites à un niveau moral de loin supérieur à celui de leurs voisins. En Égypte, la bestialité entrait dans le culte idolâtrique des animaux ; des historiens attestent par exemple que des femmes avaient des rapports sexuels avec des boucs. De telles pratiques avaient également cours chez les Cananéens (Lv 18:23-30) et, dit-on, à Rome. Cette pratique dépravée, la bestialité, est concernée par le mot grec pornéïa qui est rendu par “ fornication ”. Quiconque se livre à cette pratique immonde est moralement impur, et si un membre de la congrégation chrétienne le faisait, il serait passible de l’excommunication – it-1 p304 Expliquant aux Israélites pourquoi il expulsait les Cananéens, Jéhovah leur déclara: “Ne vous rendez impurs par aucune de ces choses, car c’est par toutes ces choses que se sont rendues impures les nations que je chasse de devant vous. Aussi le pays est-il impur, et je ferai venir sur lui la punition pour sa faute, et le pays vomira ses habitants.” Par la suite, il leur donna cet avertissement sans ambiguïté: “Et vous devrez garder toutes mes ordonnances et toutes mes décisions judiciaires et les pratiquer, pour que ne vous vomisse pas le pays où je vous mène pour y habiter.” — Lévitique 18:24-26. Le message est clair. Les Cananéens ont été anéantis parce qu’ils souillaient le pays en se livrant à des actes d’une rebutante immoralité: l’adultère, l’homosexualité et le meurtre d’enfants. Si les Israélites copiaient la religion cananéenne et se mettaient à adorer Baal, ils subiraient le même sort. C’est pourtant ce qu’ils firent. – RV1989 22/1 p5 Jéhovah ordonna à Moïse de “ parler en son nom à toute l’assemblée des fils d’Israël ”. La déclaration qui va suivre concerne donc tous les membres de la nation. Que va leur dire Jéhovah ? “ Vous vous montrerez saints, car moi, Jéhovah votre Dieu, je suis saint. ” (Lv 19 :2). Chaque Israélite devait agir avec sainteté, c’est-à-dire se comporter avec droiture. La tournure “ vous vous montrerez ” souligne qu’il ne s’agit pas là d’une suggestion, mais d’un ordre. Dieu leur demande-t-il l’impossible ? Le commandement concernant la sainteté est précieux pour nous, parce qu’il nous permet de saisir la pensée de Jéhovah et de comprendre ses manières d’agir. Par exemple, nous découvrons que pour être proches de Jéhovah, nous devons nous efforcer d’être “ saints dans toute notre conduite ”. (1 Pierre 1:15, 16.) Respecter les préceptes divins, voilà la meilleure chose à faire, et cela nous vaudra immanquablement des bienfaits. En nous ordonnant d’être saints, Jéhovah montre aussi qu’il nous fait confiance. En effet, Dieu ne nous demandera jamais quelque chose qui dépasse nos capacités. Il sait que nous, qui sommes faits ‘ à son image ’, nous pouvons acquérir la sainteté, au moins dans une certaine mesure – TG2009 1/7 p9 Sous l’alliance de la Loi, les Israélites offraient à Dieu des sacrifices pour obtenir son approbation. “ Si vous sacrifiez un sacrifice de communion à Jéhovah, vous le sacrifierez pour vous attirer l’approbation ”, lit-on en Lévitique 19:5. Quand les Israélites sacrifiaient sur l’autel de Jéhovah des animaux qu’il convenait d’offrir, la fumée qui s’élevait alors était pour lui comme “ une odeur reposante ”. Le vrai Dieu prenait plaisir à ces manifestations d’amour de la part de son peuple. Il se dégage de ces aspects de la Loi un principe qui reste valable aujourd’hui : ceux qui offrent à Jéhovah des sacrifices qu’il agrée reçoivent son approbation. Mais quels sacrifices agrée-t-il ? Deux domaines de notre vie : notre conduite et nos paroles. TG2011 15/2 p13 §11 Dans la loi qu’il donna à la nation d’Israël, Jéhovah déclara: “Vous ne devrez pas voler, et vous ne devrez pas tromper, et vous ne devrez pas agir avec déloyauté chacun envers son compagnon. Et vous ne devrez pas jurer en mon nom pour un mensonge, de sorte que tu profanerais le nom de ton Dieu. Je suis Jéhovah.” — Lévitique 19:11, 12. Les voleurs ne s’en tiraient pas à bon compte. Ils devaient donner une compensation à leur victime et, s’ils n’avaient pas les moyens de payer le montant requis par la Loi, il leur fallait travailler comme esclaves pour rembourser leur dette. - TG1982 1/5 Jéhovah, le Créateur de l’oreille (Pr 20:12), demanda à son peuple d’avoir des égards pour les sourds. Les Israélites ne devaient pas se moquer d’un sourd ni appeler le mal sur lui, car il était incapable de se défendre contre des déclarations qu’il n’entendait pas. — Lv 19:14 - Au cours de son ministère, Jésus Christ fit montre à plusieurs reprises de pouvoirs miraculeux de guérison en rendant l’ouïe à des individus atteints de surdité. Cela donne l’assurance que, lorsqu’il dominera sur la terre, toutes les afflictions, y compris la surdité, seront supprimées. - it-2 p1019-1020 La loi de Dieu prévient l’effet aveuglant non seulement d’un don, mais aussi des sentiments, car elle déclare : “ Tu ne dois pas te montrer partial envers le petit, et tu ne dois pas avoir de préférence pour la personne du grand. ” (Lv 19:15). Ainsi, que ce soit par sentimentalisme ou par désir de plaire à la foule, un juge ne devait pas condamner les riches simplement parce qu’ils étaient riches - it-1 p410 Le verbe hébreu traduit par “calomnié” dérive du mot “pied” et veut dire “aller à pied” et, par conséquent, “circuler”. Les Israélites ont reçu cet ordre: “Tu ne devras pas circuler parmi ton peuple pour calomnier. Tu ne devras pas te lever contre le sang de ton prochain. Je suis Jéhovah.” (Lévitique 19:16). Si nous ternissons la bonne réputation de quelqu’un en le calomniant, nous ne pouvons être amis de Dieu. Si nous sommes dirigés par l’esprit de Dieu, nous agirons avec amour, mais non pas parce que des règles l’exigent et imposent des punitions aux contrevenants. Par exemple, l’amour — et non pas seulement une loi — nous empêchera de calomnier autrui – TG1989 15/9 p27 La loi que Dieu avait donnée à Israël adressait ce conseil à ceux contre qui on avait transgressé : “ Tu ne dois pas haïr ton frère dans ton cœur. Tu dois absolument reprendre ton compagnon, pour ne pas porter de péché avec lui. ” (Lv 19:17). On ne devait pas laisser couver du ressentiment envers un frère qui s’égarait. On devait le reprendre afin qu’il revienne de son péché. En n’assumant pas cette responsabilité morale, on pouvait contribuer à ce qu’il pèche encore, et celui qui s’abstenait de reprendre son compagnon partageait la responsabilité de son péché. — it-1 p351 Être disposé à passer sur les offenses et à pardonner ne veut pas dire être indifférent aux mauvaises actions ni les approuver. On ne peut attribuer toutes les fautes à l’imperfection héréditaire ; il n’est pas bon non plus de fermer les yeux sur une faute qui va au-delà d’une offense mineure (Lév. 19:17). Sous l’alliance de la Loi, on considérait que certains péchés étaient plus graves que d’autres. Il en va de même chez les chrétiens - od chap14 p141 §13 L’idée qu’il fallait haïr ses ennemis était une des additions faites à la loi de Dieu par les enseignants juifs de la tradition. Comme la Loi ordonnait aux Israélites d’aimer leur prochain (Lv 19:18), ces enseignants en avaient déduit qu’il fallait haïr ses ennemis. Ils en vinrent à penser que les termes “ ami ” et “ prochain ” s’appliquaient uniquement aux Juifs, tandis que tous les autres humains étaient considérés comme des ennemis naturels. À la lumière de leur façon traditionnelle de comprendre le mot “ prochain ” et compte tenu de la tradition d’hostilité envers les Gentils, on comprend aisément pourquoi ils ajoutèrent, abusivement, les mots “ et haïr ton ennemi ” au commandement contenu dans la loi de Dieu. — Mt 5:43. Le chrétien, par contre, est dans l’obligation d’aimer ses ennemis, c’est-à-dire ceux qui se font ses ennemis personnels. - it-1 p1064 il n’était pas permis de semer plusieurs semences mélangées ; on pouvait toutefois semer différentes espèces de semences, mais dans des parties distinctes d’un même champ (Lv 19:19). Cela servait peut-être à rappeler aux Israélites qu’ils étaient un peuple séparé et différent, le peuple de Dieu soumis à sa Royauté. Si un Israélite violait cette loi et mélangeait deux sortes de semences, toute la récolte de ce champ ou de cette vigne devenait comme quelque chose de ‘ voué par interdit ’. Elle était par conséquent confisquée au profit du sanctuaire. – it-2 p929 Si un homme commettait la fornication avec une servante assignée à un autre homme, mais qui n’avait été ni rachetée ni libérée, il fallait les punir. Cependant, on ne devait pas les mettre à mort (Lv 19:20-22), sans doute parce que la femme n’était pas encore libre et pleinement maîtresse de ses actes, comme une fiancée libre l’aurait été. Le prix de rachat n’avait pas encore été payé, du moins pas intégralement, et elle était encore l’esclave de son maître. - it-1 p920 Il existe la magie “noire” et la magie “blanche”. La magie “noire” consiste entre autres à jeter des sorts à ses ennemis, à appeler sur eux des malédictions spéciales ou le mauvais œil. La magie “blanche”, elle, se propose au contraire de produire de bons résultats en brisant les sorts et en annulant les malédictions. Reste que ces deux formes de magie sont de l’occultisme. Certains recourent même à la magie occulte pour tenter d’obtenir une bonne récolte ou de remporter la victoire dans une compétition sportive. Néanmoins, la Bible est claire à propos de ce type de magie liée au spiritisme: “Vous ne devrez pas chercher de présages et vous ne devrez pas pratiquer la magie.” — Lévitique 19:26 - Les vrais chrétiens se montrent sages en ne pratiquant pas la magie quand elle est manifestement liée au spiritisme – RV1993 8/9 p27 La loi divine donnée à Israël interdisait de couper ‘ les mèches sur les côtés de la tête ’, la chevelure entre l’œil et l’oreille, ainsi que l’extrémité de la barbe (Lv 19:27). Ce commandement ne leur interdisait pas de se tailler les cheveux et la barbe, mais visait apparemment à les empêcher d’imiter des coutumes païennes. Ils devaient avoir une barbe propre, taillée et bien soignée. Une barbe non soignée ou rasée était un signe de deuil ou de chagrin. Les Israélites se coupaient régulièrement les cheveux à moins d’avoir fait vœu de naziréat. - it-1 p270 Que dire du port de la barbe ? Convient-il pour un frère ? La barbe était exigée des hommes sous la Loi mosaïque. Cependant, les chrétiens ne sont pas soumis à cette loi ni tenus de l’observer (Lév. 19:27 “Vous ne couperez point en rond les coins de votre chevelure, et tu ne raseras point les coins de ta barbe.”). Dans certaines cultures, une barbe bien taillée peut être convenable et ne pas du tout empêcher les gens d’écouter le message du Royaume. D’ailleurs, des frères nommés portent la barbe. Malgré tout, certains frères peuvent décider de ne pas en avoir. Dans d’autres cultures ou pays, la barbe n’est pas dans les usages et n’est pas considérée comme acceptable pour un chrétien. Un frère qui la porterait n’honorerait pas Dieu par son aspect et ne serait pas irréprochable – TG2016/9 p17 §17 La loi de Dieu interdisait expressément aux Israélites de se faire des incisions dans la chair à cause d’un mort (Lv 19:28 ; 21:5). Pourquoi ? Parce qu’Israël était un peuple saint pour Jéhovah, son bien particulier. Aussi devait-il se garder de toute pratique idolâtrique. De plus, ces démonstrations d’affliction excessives, notamment l’auto lacération, étaient totalement déplacées chez un peuple parfaitement informé sur la condition véritable des morts et sur l’espérance de la résurrection. En outre, l’interdiction de telles mutilations inculquait aux Israélites le respect qu’il convient d’accorder au corps humain, une création de Dieu. - it-1 p1180 Dieu donna à Israël ce commandement: “Vous ne devrez pas vous faire d’entailles dans la chair pour une âme décédée, et vous ne devrez pas mettre sur vous de tatouage. Je suis Jéhovah.” (Lévitique 19:28). Les serviteurs de Dieu ne devaient pas imiter les nations environnantes en mutilant leur chair pour montrer leur chagrin à la suite d’un décès, ni pour toute autre raison liée à la fausse religion. Ce commandement a dû encourager les Israélites à témoigner du respect à leur corps, lequel fait partie de la création de Dieu – TG1987 1/4 p31 Bien avant l’ère chrétienne, les Écritures régissant la vie et le culte des Juifs les empêchaient de faire quoi que ce soit qui les blesserait corporellement. Par exemple, la Loi leur interdisait expressément de se faire des entailles, une pratique apparemment répandue chez les nations non juives de l’Antiquité (Lévitique 19:28). Si Dieu ne voulait pas qu’ils se fassent des entailles, il n’aurait pas davantage voulu qu’ils se lacèrent à coups de fouet. La norme biblique est claire : martyriser délibérément sa chair de quelque manière que ce soit est inacceptable pour Dieu. – RV2011/3 p10 Dans certaines parties du monde, il est d’usage pour les enfants d’honorer les adultes en s’agenouillant respectueusement en leur présence. Ainsi, ils ne risquent pas de paraître plus grands que leurs aînés. Dans ces peuples, il est également jugé irrespectueux pour un enfant de tourner le dos à un adulte. Même si le respect se témoigne de différentes façons selon les cultures, de telles marques d’honneur nous rappellent la Loi mosaïque. Elle contenait ce commandement : “ Devant les cheveux gris tu te lèveras [en signe de respect], et tu dois avoir des égards pour la personne du vieillard. ” (Lév. 19:32). Malheureusement, dans bien des pays, on a perdu l’habitude d’honorer les autres. Le manque de respect est même devenu monnaie courante. – TG2008 15/10 §1 À l’époque où Jéhovah a donné à Israël la Loi écrite, des marchands avides volaient leurs clients en employant des balances fausses ou des poids inexacts. Ayant la malhonnêteté en horreur, Jéhovah Dieu leur a dit : “ Vous aurez des balances exactes, des poids exacts. ” (Lévitique 19:36). Jéhovah ordonna l’honnêteté et l’exactitude dans l’utilisation des balances car une balance trompeuse était détestable pour lui. Il arrivait que les Israélites se servent de balances frauduleusement et ils allèrent plus loin dans la tromperie en utilisant des poids inexacts, un jeu pour acheter et un autre pour vendre. Aujourd’hui, les personnes qui vendent des marchandises feront bien de se rappeler que la pensée de Jéhovah sur l’avidité et la malhonnêteté n’a pas changé – TG2011 1/5 p24 La Loi érigeait également des garde-fous contre la perversion de la justice. Par exemple, il fallait au minimum deux témoins pour établir la validité d’une accusation. Le parjure était puni avec sévérité. La corruption et les pots-de-vin étaient strictement interdits. La corruption et les pots-de-vin étaient strictement interdits. Le respect des normes élevées de la justice divine était requis jusque dans les relations commerciales (Lévitique 19:35, 36). Ce code de lois empreint d’équité, de noblesse même, était une grande bénédiction pour Israël. – cl chap13 p128 §12 Un chrétien qui tient un commerce peut avoir de plus en plus de mal à gagner sa vie. Peut-être sera-t-il alors tenté de recourir à des pratiques frauduleuses ou à falsifier sa déclaration de revenus pour payer moins d’impôts. Même si d’autres commerçants agissent ainsi, celui qui désire plaire à Dieu sait qu’il serait mal de céder à la tentation. En effet, la Bible déclare : “Vous ne devrez pas commettre d’injustice (...) en pesant ou en mesurant (...). Vous devrez avoir des balances exactes, des poids exacts.” (Lév. 19:35, 36). “Rendez à tous ce qui leur est dû : à qui réclame l’impôt, l’impôt ; à qui réclame le tribut, le tribut.” — Rom. 13:7. – TG1976 1/12 p722 §3
  4. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 28 Décembre 2020 - Lévitique 16-17.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 28 Décembre 2020 - Lévitique 16-17.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Lévitique 16-17 Lévitique 16:10 : Sous quels rapports le bouc pour Azazel représentait-il le sacrifice de Jésus ? (it-1 242 § 3) « Mais le bouc que le sort aura désigné comme étant pour Azazel sera placé vivant devant Jéhovah, pour faire le rite de réconciliation sur lui, afin de l’envoyer dans le désert, pour Azazel. » Comme l’expliqua l’apôtre Paul, Jésus, en offrant sa vie humaine parfaite en sacrifice pour les péchés de l’humanité, a accompli autrement plus que le “ sang de taureaux et de boucs ”. (Hé 10:4, 11, 12.) Il fit ainsi office de “ bouc émissaire ” en étant le ‘ porteur de nos maladies ’, celui qui fut “ transpercé pour notre transgression ”. (Is 53:4, 5 ; Mt 8:17 ; 1P 2:24.) Il ‘ emporta ’ les péchés de tous ceux qui exercent la foi dans la valeur de son sacrifice. Il démontra que Dieu a pris des dispositions afin de faire tomber le péché dans l’oubli total. Sous ces rapports, le bouc “ pour Azazel ” représente le sacrifice de Jésus Christ. - it-1 242 § 3 Azazel - Nom hébreu qui signifie « bouc qui disparaît ». Il apparaît quatre fois dans la Bible, dans les instructions relatives au jour des Propitiations. Pendant les cérémonies du jour de la Réconciliation, le bouc « désigné comme étant pour Azazel » était envoyé dans le désert. D’une façon symbolique, il emportait les péchés que la nation avait commis pendant l’année écoulée – Lexique Un jeune bouc servait au sacrifice pour le péché requis d’un chef. Le jour des Propitiations, on utilisait deux boucs. L’un était offert en sacrifice pour le péché en faveur des 12 tribus non lévites, et l’autre était désigné pour “ Azazel ” et envoyé dans le désert. Évidemment, ces boucs offerts en sacrifice ne pouvaient pas réellement enlever les péchés. Ils préfiguraient seulement le sacrifice qui fait vraiment propitiation pour les péchés, celui de Jésus Christ. – it-1 p442 Bouc Le tirage au sort est mentionné pour la première fois dans la Bible en rapport avec le choix des boucs pour Jéhovah et pour Azazel le jour des Propitiations (Lv 16:7-10). À l’époque de Jésus, le grand prêtre effectuait ce tirage au sort dans le temple d’Hérode en prenant dans un récipient deux sorts faits, dit-on, de buis ou d’or. Les deux objets, dont l’un portait l’inscription “ Pour Jéhovah ” et l’autre “ Pour Azazel ”, étaient ensuite mis sur la tête des boucs. Toutefois, il n’est plus question d’utilisation de sorts après la Pentecôte 33 de n. è. pour choisir les anciens et leurs assistants ou régler des questions importantes. Le choix des anciens et de leurs assistants devait être fondé sur la façon dont ils manifestaient le fruit de l’esprit saint dans leur vie tandis que d’autres décisions s’appuyaient sur l’accomplissement des prophéties, l’aide des anges, les principes de la Parole de Dieu et des enseignements de Jésus et, enfin, la direction de l’esprit saint. – it-2 p1004 Sort Lévitique 17:10, 11 : Pourquoi refusons-nous les transfusions de sang ? (w14 15/11 10 § 10) « “Si un homme du peuple d’Israël ou un étranger qui habite parmi vous mange n’importe quelle sorte de sang, à coup sûr je rejetterai celui qui mange le sang et je le retrancherai du milieu de son peuple. 11 Car la vie de la chair est dans le sang, et moi je l’ai donné pour vous sur l’autel, pour le rite de réconciliation, car c’est le sang qui permet le pardon des péchés par la vie qui est en lui. » Jéhovah avait interdit aux Israélites de manger « n’importe quelle sorte de sang ». S’abstenir du sang, qu’il soit animal ou humain, est également une exigence chrétienne (Actes 15:28, 29). Nous tremblons à la seule idée que Jéhovah « tourn[e] [s]a face contre » nous et nous « retranch[e] » de sa congrégation. Nous l’aimons et voulons lui obéir. Même lorsque notre vie est en danger, nous sommes déterminés à ne pas céder aux supplications et aux exigences de ceux qui ne le connaissent pas et ne se soucient pas de lui obéir. Évidemment, nous savons que notre position à l’égard du sang peut nous valoir des moqueries, mais nous décidons d’obéir à Dieu (Jude 17, 18). Quel point de vue sur la question nous rendra « fermement résolu[s] » à ne pas manger de sang ni accepter une transfusion ? (Deut. 12:23). - w14 15/11 10 § 10 Quand les Israélites péchaient, ils pouvaient demander à Jéhovah de leur pardonner en offrant un animal en sacrifice. Le prêtre versait alors un peu du sang de l’animal sur l’autel du Temple. Jéhovah permettait aux Israélites d’utiliser le sang seulement de cette façon. – bhs chap13 p135 §17 D’après la Loi de Moïse, quand quelqu’un tuait un animal pour le manger, il devait verser son sang sur le sol. Cela montrait que la vie de l’animal était sacrée et qu’elle appartenait à son Créateur, Jéhovah. Jéhovah ne demandait pas aux Israélites d’utiliser des moyens extrêmes pour saigner l’animal. Mais ils devaient correctement vider l’animal de son sang. Ils pouvaient alors manger la viande avec une bonne conscience. En respectant ce que la Loi imposait concernant le sang des animaux, ils montraient qu’ils respectaient Celui qui donne la vie, Jéhovah. La Loi ordonnait aussi aux Israélites d’offrir des animaux en sacrifice pour que leurs péchés soient pardonnés. À l’époque des premiers chrétiens, les adorateurs de Dieu ne devaient plus offrir d’animaux en sacrifice. Mais ils devaient toujours considérer le sang comme sacré. Jéhovah exigeait d’eux qu’ils continuent de respecter quelques commandements de la Loi, comme celui de s’« abstenir [...] du sang ». C’est la même chose aujourd’hui. Nous qui sommes chrétiens, nous savons que Jéhovah est la Source de la vie et que toutes les vies lui appartiennent. Nous comprenons aussi que le sang est sacré et qu’il représente la vie. Donc, nous veillons à examiner les principes de la Bible pour prendre une décision au sujet d’un traitement médical qui implique l’utilisation du sang. – lvs chap7 p89 Les Témoins de Jéhovah acceptent-ils les traitements médicaux ? Jésus a dit que “ ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin de médecin, mais ceux qui vont mal ”. (Matthieu 9:12.) Par-là, il a laissé entendre qu’il n’y a pas d’objection biblique à recevoir l’aide de médecins. Les Témoins de Jéhovah acceptent donc volontiers les traitements médicaux. Ils veulent rester en bonne santé et vivre longtemps. D’ailleurs, comme Luc, chrétien du 1er siècle, des Témoins de Jéhovah sont médecins. Cependant, les Témoins n’acceptent pas les traitements contraires aux principes bibliques. Par exemple, ils refusent les transfusions sanguines parce que la Bible interdit d’utiliser du sang pour régénérer leurs forces physiques. La Parole de Dieu interdit également les thérapies ou les actes médicaux qui font appel aux “ pouvoirs magiques ”, c’est-à-dire au spiritisme. De nombreux professionnels de la santé proposent des traitements qui peuvent sauver la vie, sans aller à l’encontre des normes de la Bible. Ces traitements, que de nombreux Témoins choisissent d’accepter, sont souvent de meilleure qualité que ceux qui s’opposent aux commandements de Dieu. Évidemment, en rapport avec les questions de santé, les opinions varient grandement. Ce qui est bon pour une personne ne le sera pas forcément pour une autre. Ainsi, celles qui recherchent le diagnostic précis d’un professionnel et le traitement pour une maladie peuvent souhaiter avoir un deuxième avis médical. Tous les Témoins ne feront pas les mêmes choix médicaux. Quand aucune loi biblique n’est en jeu, la Parole de Dieu admet que les chrétiens aient des consciences différentes. C’est pourquoi chacun devrait se renseigner sur tout traitement proposé et s’assurer qu’il n’est pas contraire à sa conscience éduquée par la Bible. Un Témoin de Jéhovah considérera ce genre de décision comme un automobiliste aborde une intersection à grande circulation. Si ce conducteur se contentait de suivre la voiture devant lui et d’accélérer au niveau de l’intersection, il pourrait causer de graves dégâts. Un conducteur prudent, en revanche, ralentira et évaluera la densité de la circulation avant de s’engager. De même, les Témoins ne se précipitent pas pour prendre une décision médicale ; ils ne suivent pas non plus aveuglément l’opinion générale. Ils étudient plutôt les choix qui s’offrent à eux et examinent les principes bibliques en jeu avant de prendre une décision. Les Témoins de Jéhovah sont tout à fait conscients du dur travail et du dévouement de ceux qui donnent des soins médicaux. Ils sont également reconnaissants envers ces personnes qui soulagent leurs maladies. – TG2011 1/ 2 p27 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Dans l’Israël antique, que représentait la lumière miraculeuse, parfois appelée Shekina, qui éclairait le Très-Saint du tabernacle, puis du temple ? Jéhovah, en Père aimant et en Protecteur de son peuple, rendait sa présence manifeste en Israël. Il utilisait pour cela, entre autres moyens, un nuage resplendissant, qui était indissociable de son lieu de culte. Cette lumière saisissante, qui brillait miraculeusement dans le Très-Saint du tabernacle symbolisait la présence invisible de Jéhovah. Elle ne signifiait pas que Jéhovah était là en personne. Cette lumière surnaturelle dans le sanctuaire, symbole de la présence protectrice de Jéhovah, donnait au grand prêtre, et par son intermédiaire à tous les Israélites, l’assurance qu’Il prenait soin de son peuple. En araméen postbiblique, on a appelé cette lumière Shekina (shekhinah), mot qui signifie “ ce qui demeure ” ou “ demeure ” (habitation). Ce terme n’apparaît pas dans la Bible, mais on le trouve dans les traductions araméennes des Écritures hébraïques, connues aussi sous le nom de targoums. D’où Jéhovah parlerait-il ? Il le fit savoir à Moïse en ces termes : “ J’apparaîtrai dans un nuage au-dessus du couvercle. ” (Lévitique 16:2). Ce nuage flottait au-dessus de l’Arche sacrée, entre les deux chérubins. La Bible ne révèle pas à quelle hauteur il se trouvait ni jusqu’où il s’élevait au-dessus des chérubins. Ce nuage lumineux éclairait le Très-Saint. Il était même la seule source de lumière de ce compartiment. Le grand prêtre bénéficiait de son éclairage lorsqu’il entrait dans cette pièce, la plus retirée, le jour des Propitiations. Il se tenait en présence de Jéhovah. Cette lumière miraculeuse a-t-elle une signification pour les chrétiens ? Dans une vision, l’apôtre Jean a vu une ville dans laquelle “ la nuit n’existera pas ”. Il s’agit de la Nouvelle Jérusalem, composée des chrétiens oints ressuscités pour régner avec Jésus. La lumière de cette ville symbolique n’émane pas du soleil ni de la lune. La gloire de Jéhovah Dieu illumine directement cette organisation, de la même manière que la Shekina illuminait le Très-Saint. En outre, l’Agneau, Jésus Christ, en est la “ lampe ”. À son tour, pour les guider, cette “ ville ” déverse sur des gens rachetés de toutes nations sa lumière spirituelle et sa faveur. Puisqu’ils reçoivent en abondance de telles bénédictions, les adorateurs de Jéhovah peuvent avoir la certitude qu’il est pour eux un Berger protecteur et un Père affectueux. – TG2005 15/8 p31 Les deux boucs étaient considérés comme un seul et même sacrifice pour le péché, deux boucs (des chevreaux) de qualité exactement identique, à savoir sains et sans défaut, fournis par l’assemblée des fils d’Israël (Lv 16:5,7). Apparemment, on prenait deux boucs dans le but de mettre davantage en évidence les bienfaits que procurait cette disposition destinée à faire propitiation pour les péchés du peuple. Le premier bouc était sacrifié. Le deuxième, sur lequel les péchés du peuple étaient confessés et qui était envoyé loin dans le désert, mettait davantage en valeur le pardon que Jéhovah accorde à ceux qui se repentent. - it-1 p242 L’encens a-t-il sa place dans le vrai culte aujourd’hui ? Dans l’Israël antique, l’usage de l’encens faisait partie du vrai culte. L’encens brûlé dans le tabernacle était sacré, réservé exclusivement au culte de Dieu. Lévitique 16:12, 13. Chez les Israélites, l’offrande d’encens était un symbole approprié pour désigner les prières que Dieu entend. Les chrétiens décideront personnellement de brûler ou non de l’encens à des fins non religieuses. Quoi qu’il en soit, l’encens n’a pas sa place dans le culte pur aujourd’hui. Qui plus est, nous devrions prendre en considération les sentiments des autres afin de ne pas les faire trébucher. Mais l’alliance de la Loi, ainsi que l’emploi de l’encens, ont pris fin à la mort du Christ. – TG2003 15/8 p30 Il mettra l’encens sur le feu devant Jéhovah (Lév. 16:13). Chaque année, le jour de la Réconciliation, la nation d’Israël se rassemblait et des sacrifices d’animaux étaient offerts. Ces sacrifices rappelaient aux Israélites qu’ils avaient besoin d’être purifiés de leurs péchés. Mais pour commencer, le grand prêtre devait d’abord verser l’encens sacré sur des braises, ce qui remplissait la pièce d’un parfum délicat. Qu’est-ce que cela nous enseigne ? La Bible montre que, pour Jéhovah, les prières de ses fidèles adorateurs sont comparables à de l’encens. C’était avec un profond respect que le grand prêtre apportait l’encens jusque devant l’arche de l’Alliance, qui symbolisait la présence de Jéhovah. De la même façon, quand nous nous approchons de Jéhovah par la prière, nous le faisons avec beaucoup de respect. Nous sommes très reconnaissants à notre Créateur de nous permettre de nous approcher de lui comme un enfant le fait avec son père – es21/9 Grand prêtre - Nom que la Loi de Moïse donnait au prêtre qui avait la fonction la plus élevée, celui qui représentait le peuple devant Dieu et supervisait l’activité des autres prêtres. Il était aussi appelé « prêtre en chef ». Lui seul avait le droit d’entrer dans le Très-Saint, la salle qui se trouvait au fond du tabernacle et plus tard du Temple. Il ne le faisait qu’une fois par an, le jour de la Réconciliation. Jésus lui aussi est appelé « grand prêtre » (Lv 16:2,17) – Lexique L’Arche était l’élément le plus important du tabernacle et du camp d’Israël. Au-dessus du couvercle de l’Arche, entre les deux chérubins, un nuage symbolisait la présence de Dieu. Chaque année, le jour de la Réconciliation, le grand prêtre entrait dans le Très-Saint. Là, pour le pardon des péchés d’Israël, il faisait l’aspersion du sang d’un taureau et d’un bouc devant le couvercle de l’Arche (Lv 16:14, 15). Ce rite préfigurait l’entrée de Jésus, le Grand Prêtre souverain, devant la présence de Jéhovah, au ciel, pour présenter la valeur de son sacrifice – mwb2020/9 La Loi mosaïque ordonnait aux Juifs d’affliger leurs âmes, autrement dit de jeûner, une fois par an, le jour des Propitiations (Lévitique 16:29-31) C’est le seul jeûne que Jéhovah avait imposé à son peuple. Les Juifs qui vivaient sous la Loi de Moïse étaient tenus d’obéir à ce commandement. L’observance du jeûne amenait les Israélites à mieux prendre conscience de leur état de pécheurs et de la nécessité d’une rédemption. Le jeûne était également une façon d’exprimer leur tristesse au sujet de leurs péchés et leur repentance devant Dieu. Jésus Christ n’a jamais ordonné à ceux qui le suivaient de jeûner, mais ses disciples et lui l’ont fait le Jour des Propitiations, parce qu’ils étaient sous la Loi de Moïse. Aujourd’hui, les chrétiens, eux, ne sont pas sous la Loi mosaïque. Jeûner n’est pas une obligation chrétienne. – TG2009 1/ 4 p27 Les Israélites apportaient leurs sacrifices à ce tabernacle durant toute l’année. Mais le dixième jour du septième mois du calendrier juif était le jour le plus important de l’année : c’était le jour des Propitiations (Lév. 16:29-31 ; 23:27). Ils devaient l’observer chaque année. Ce jour-là, la porte de la cour était ouverte, afin que le peuple puisse voir ce qui s’y passait. Cependant, à moins d’être affecté au service du temple, personne ne pouvait y entrer. L’écran protecteur derrière les colonnes de l’entrée du tabernacle proprement dit était toujours en place, si bien qu’à l’exception des prêtres qui servaient à l’intérieur, personne ne voyait jamais ce qui s’y trouvait. Toutefois, pendant qu’était faite la propitiation, seul le grand prêtre pénétrait dans le tabernacle (Lév. 16:17). Jamais personne d’autre que lui n’entrait dans le Très-Saint, et lui-même n’y entrait que ce jour-là. – TG1974 1/7
  5. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 21 Décembre 2020 - Lévitique 14-15.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 21 Décembre 2020 - Lévitique 14-15.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Lévitique 14-15 Lévitique 14:14, 17, 25, 28 : Que pouvons-nous apprendre de la méthode de purification d’un lépreux qui était déclaré pur ? it-2 453 §5 Verset 14 « Le prêtre prendra ensuite un peu du sang du sacrifice de réparation et le mettra sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce de la main droite et sur le gros orteil du pied droit de celui qui se purifie. » Verset 17 « Le prêtre mettra un peu du reste de l’huile qui est dans sa paume sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce de la main droite et sur le gros orteil du pied droit de celui qui se purifie, par-dessus le sang du sacrifice de réparation. » Verset 25 « Puis le prêtre tuera le jeune bélier du sacrifice de réparation, et il prendra un peu du sang du sacrifice de réparation et le mettra sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce de la main droite et sur le gros orteil du pied droit de celui qui se purifie. » Verset 28 « Et le prêtre mettra un peu de l’huile qui est dans sa paume sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce de la main droite et sur le gros orteil du pied droit de celui qui se purifie, aux endroits où il a mis le sang du sacrifice de réparation. » Lors de l’installation de la prêtrise en Israël, Moïse reçut l’ordre de prendre du sang du bélier de l’installation et d’en mettre sur le lobe de l’oreille droite d’Aaron et de chacun de ses fils, ainsi que sur leur main droite et leur pied droit, pour montrer que les paroles qu’ils écouteraient, le travail qu’ils feraient et la façon dont ils marcheraient devaient être directement influencés par ce qui se déroulait alors (Lv 8:22-24). De même, dans le cas d’un lépreux qui se purifiait, la Loi prévoyait que le prêtre lui mette sur le lobe de l’oreille droite un peu du sang du bélier présenté en sacrifice de culpabilité, ainsi qu’un peu de l’huile offerte. Des dispositions similaires étaient prises lorsqu’un homme désirait rester l’esclave de son maître pour des temps indéfinis. Dans ce cas, l’esclave était amené près du montant de la porte et son maître lui perçait l’oreille avec un poinçon. Cette marque bien visible faite à l’organe de l’ouïe montrait sans doute que l’esclave désirait continuer de prêter attention à son maître avec obéissance - it-2 p453 §5 À l’origine, les prescriptions de la Loi exigeaient qu’avant de reprendre une vie normale un lépreux guéri se plie à une cérémonie complexe en deux parties ; lors de la première phase, il fallait de l’eau, du bois de cèdre, du tissu teint en écarlate de cochenille, de l’hysope et deux oiseaux. Ces choses étaient fournies par le lépreux guéri au moment où il se présentait au prêtre à l’extérieur du camp d’Israël. Un des oiseaux était alors tué au-dessus d’une eau courante, et son sang était recueilli dans un récipient de terre. Le cèdre, le tissu écarlate, l’hysope et l’oiseau vivant étaient trempés dans le sang ; le prêtre aspergeait sept fois le lépreux guéri avec le sang, et l’oiseau vivant était relâché. Après avoir été déclaré pur, l’homme se rasait, se baignait, lavait ses vêtements et entrait au camp, mais il lui fallait demeurer sept jours hors de sa tente. Le septième jour, il rasait de nouveau tout son poil, y compris ses sourcils. Le lendemain, il apportait deux béliers et une agnelle de moins d’un an avec un peu de farine et d’huile, cela constituant un sacrifice de culpabilité, un sacrifice pour le péché, un holocauste et une offrande de grain. Le sacrifice de culpabilité comportant un bélier et de l’huile était d’abord présenté en offrande balancée devant Jéhovah par le prêtre, qui tuait ensuite le bélier ; il mettait un peu du sang du bélier sur le lobe de l’oreille droite, sur le pouce droit et sur le gros orteil droit de celui qui se purifiait. De façon similaire, une partie de l’huile était ensuite appliquée par-dessus le sang aux trois endroits précités ; une partie de l’huile était aussi répandue par aspersion sept fois devant Jéhovah, et le reste était mis sur la tête de celui qui se purifiait. Le prêtre offrait alors le sacrifice pour le péché, l’holocauste et l’offrande de grain, faisant propitiation et déclarant pur le lépreux guéri. Si en raison de sa situation l’homme était très pauvre, il pouvait apporter deux tourterelles ou deux jeunes pigeons à la place de l’agnelle et d’un des béliers sacrifiés pour le péché et en holocauste. - it-2 Pur Lévitique 14:43-45 : Qu’enseignait au sujet de Jéhovah la loi sur la contamination d’une maison par la lèpre maligne ? g 1/06 14, encadré « Si, malgré cela, la contamination réapparaît et fait éruption dans la maison après qu’on aura arraché les pierres, et raclé et réenduit la maison, 44 le prêtre ira l’inspecter : si la contamination s’est étendue dans la maison, c’est une lèpre maligne. La maison est impure. 45 Il fera alors abattre la maison et transporter ses pierres, son bois, et tout le plâtre et le mortier hors de la ville, dans un lieu impur. » La Bible évoque “ la plaie de la lèpre dans une maison ”, c’est-à-dire dans l’édifice lui-même (Lévitique 14:34-48). Pour expliquer ce phénomène, également appelé “ lèpre maligne ”, on a émis l’idée qu’il s’agissait d’une sorte de moisissure ; mais cela ne reste qu’une hypothèse. Toujours est-il que la Loi de Dieu obligeait le propriétaire à ôter les pierres contaminées et à racler tout l’intérieur de la maison ; ce qui était suspect devait être emmené en dehors de la ville, “ dans un lieu impur ”. Si la plaie revenait, il fallait déclarer la maison impure et la détruire ; on en rejetait les matériaux. Les instructions très précises de Jéhovah reflétaient le profond amour qu’il éprouve pour ses serviteurs et son souci de leur bien-être. - g 1/06 14, encadré Un lieu propice à l’instruction spirituelle. Depuis des temps reculés, le foyer fonctionnait comme un centre où se transmettait l’instruction relative au culte pur. La loi que Dieu donna à Israël ordonnait explicitement aux pères d’enseigner leurs fils lorsqu’ils étaient assis dans la maison, ainsi qu’à d’autres moments. Étant donné que la maison avait cet usage sacré, celles qui étaient souillées par une “ lèpre maligne ” devaient être démolies. La loi concernant les maisons lépreuses rappelait aux Israélites qu’ils ne pouvaient vivre que dans des maisons qui étaient pures du point de vue de Dieu. Si des dépressions vert-jaune ou rougeâtres apparaissaient dans le mur d’une maison, le prêtre imposait une quarantaine. Il pouvait s’avérer nécessaire d’arracher les pierres contaminées et de racler l’intérieur de la maison ; on se débarrassait des pierres et du mortier raclé dans un lieu impur hors de la ville. Si la plaie revenait, la maison était déclarée impure et détruite, et on se défaisait des matériaux dans un lieu impur. Quant à la maison déclarée pure, des dispositions étaient prévues pour sa purification. – it-2 Maison Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? En Lv 14:5, l’expression hébraïque traduite par « eau courante » signifie littéralement « eau vive ». Jéhovah est présenté comme « la source d’eau vive », c’est-à-dire la source de l’eau symbolique qui donne la vie éternelle. L’eau de la vie représente l’ensemble des dispositions prises par Dieu pour guérir les hommes obéissants du péché et de la mort, et leur donner une vie parfaite et sans fin dans un paradis terrestre. Le sacrifice rédempteur de Jésus Christ est à la base même de ces dispositions. Quand il a parlé avec la Samaritaine, Jésus a utilisé l’expression « eau vive » dans un sens figuré, mais il semble que cette femme a d’abord pris cette expression au sens propre (Jean 4:11). – mwbr2018/9 p1-8 Si le lépreux guérissait, il existait des dispositions lui permettant de se purifier rituellement, qui comprenaient un sacrifice offert par le prêtre en sa faveur (Lv 14:1-32). Par contre, quand le prêtre déclarait impur le lépreux dont le mal persistait, il fallait que les vêtements de ce dernier soient déchirés, que sa tête soit échevelée, qu’il se couvre la moustache ou la lèvre supérieure et qu’il crie : “ Impur, impur ! ” Il devait demeurer à l’écart en dehors du camp. Cette mesure était prise afin que le lépreux ne contamine pas ceux au milieu desquels Jéhovah résidait. Il semble qu’aux temps bibliques les lépreux se fréquentaient ou vivaient en groupes, ce qui leur permettait de s’entraider – it-2 Lèpre La lèpre aujourd’hui est-elle la même qu’aux temps bibliques ? La lèpre produisait des symptômes observables non seulement chez les humains, mais aussi dans les vêtements et les maisons, chose qu’une bactérie ne fait pas. — Lévitique 14:34. Les symptômes permettant d’identifier la lèpre chez les humains de nos jours ne correspondent pas exactement à la description de la lèpre aux temps bibliques. De l’avis de certains, cela tient au fait que la nature des maladies change au fil du temps. D’autres pensent que la lèpre dont il est question dans la Bible évoque plusieurs maladies du même genre. – TG1998 1/ 4 p22 La maladie appelée aujourd’hui lèpre, ou maladie de Hansen, qui n’est que peu contagieuse, se présente sous trois formes principales. La première, nodulaire, provoque un épaississement de la peau et la formation de nodules, d’abord sur le visage, puis sur d’autres parties du corps. Elle entraîne aussi une dégénérescence des muqueuses du nez et de la gorge. C’est ce qu’on appelle la lèpre noire. Une autre forme est la lèpre anesthésique, appelée parfois lèpre blanche. Moins grave que la précédente, elle attaque essentiellement les nerfs périphériques. Elle rend parfois la peau douloureuse au toucher, mais elle peut aussi provoquer l’insensibilité. Le troisième type de lèpre est mixte, associant les symptômes des deux formes précédentes. Au fur et à mesure que la lèpre progresse vers sa phase finale, les enflures qui se sont formées suppurent ; il peut y avoir chute de la barbe et des sourcils et décollement des ongles, qui pourrissent et tombent. Ensuite les doigts, les membres, le nez ou les yeux du malade peuvent être rongés lentement. Enfin, dans les cas les plus graves, la mort s’ensuit. Le terme “ lèpre ” dans la Bible incluait certainement cette grave maladie, car Aaron dit qu’à cause d’elle la chair est “ à demi rongée ”. Dans la Loi mosaïque, Jéhovah fournit à Israël des renseignements qui permettaient au prêtre de diagnostiquer la lèpre et de la différencier d’autres affections cutanées moins graves. La lèpre pouvait commencer par une éruption, une dartre, une tache, un furoncle ou une cicatrice due au feu. Parfois, les symptômes étaient très évidents. Le poil, dans la partie atteinte, était devenu blanc et le mal paraissait plus profond que la peau. Par exemple, une éruption blanche dans la peau pouvait faire virer le poil au blanc et la chair à vif apparaître dans l’éruption. Cela signifiait que la personne avait la lèpre, et elle devait être déclarée impure. Dans d’autres cas, toutefois, le mal n’était pas plus profond que la peau. La personne était alors mise en quarantaine, puis le prêtre l’examinait et prenait une décision définitive à son sujet. Il était reconnu que la lèpre pouvait atteindre un stade où elle n’était pas contagieuse. Quand elle recouvrait tout le corps, que celui-ci était devenu tout blanc, sans qu’on voie de chair vive, c’était la preuve que la maladie n’agissait plus et que seules restaient les marques des ravages qu’elle avait causés. Le prêtre déclarait alors la personne pure, car le mal ne constituait plus un danger pour quiconque – it-2 Lèpre Sous la Loi, quiconque touchait une selle sur laquelle était montée une personne ayant un écoulement devenait impur, tout comme celui qui touchait un objet sur lequel s’était assise une femme ayant ses règles. — Lv 15:9 – it-2 Selle En Israël, des lois limitaient l’usage des facultés sexuelles, même entre conjoints. Un mari devait s’abstenir de relations avec sa femme lorsqu’elle avait ses règles (Lévitique 15:24). Dans l’antique Israël, les hommes devaient donc faire preuve de maîtrise de soi et d’une considération empreinte d’amour. – TG1989 1/6 p14 §18 Les Écritures associent les règles à la souillure et à l’impureté (Lv 12:2 ; Éz 22:10 ; 36:17), et une forme du mot hébreu qui les désigne (niddah) est parfois rendue par ‘ souillure des règles ’. (Lv 15:25, 26.) Une forme d’un autre terme hébreu, dawèh, qui peut évoquer la maladie (Lm 5:17), est traduite par “ femme qui a ses règles ”. (Lv 15:33 ; Is 30:22.) Ce sont également les règles que sous-entend la locution : “ Ce que les femmes ont coutume d’avoir. ” — Gn 31:35. – it-2 Règles Une femme était également regardée comme impure pendant la période où elle avait un écoulement de sang anormal ou ‘ un flux qui se prolongeait au-delà du temps de la souillure de ses règles ’ ; dans cet intervalle, elle rendait impurs les objets sur lesquels elle se couchait ou s’asseyait et les personnes qui touchaient ces objets. Une fois que l’écoulement anormal avait cessé, elle devait compter sept jours, et alors elle devenait pure. Le huitième jour, elle apportait deux tourterelles ou deux jeunes pigeons au prêtre, qui faisait propitiation pour elle en présentant l’une de ces créatures à Jéhovah comme sacrifice pour le péché et l’autre comme holocauste. — Lv 15:19-30 - it-2 Règles L’homme et la femme qui, délibérément, avaient des rapports sexuels alors que la femme était dans la souillure de ses règles étaient retranchés (Lv 18:19 ; 20:18). L’interdiction de s’unir sexuellement pendant les règles était probablement bénéfique pour la santé ; par exemple, cela protégeait peut-être de l’urétrite simple, une inflammation de la région génitale. On peut supposer également que les prescriptions de la Loi concernant les règles ou le flux de sang rappelaient le caractère sacré du sang. Ces prescriptions n’étaient pas discriminatoires à l’égard des femmes, car les hommes aussi étaient sujets à l’impureté par des écoulements auxquels ils étaient prédisposés (Lv 15:1-17). Les prescriptions concernant les règles montraient justement que Jéhovah est plein d’égards pour les femmes. Quoique le mari chrétien ne soit pas sous la Loi, il est bien que lui aussi tienne compte des cycles et des vicissitudes de sa femme, demeurant avec elle “ selon la connaissance ” et lui assignant de l’honneur “ comme à un vase plus faible, le vase féminin ”. — 1P 3:7. - it-2 Règles La Loi favorisait aussi la pureté mentale des Israélites. Par exemple, ses prescriptions concernant la vie intime du couple contribuaient à élever les pensées de l’homme (Lévitique 15:16-33). Les Israélites apprirent à se dominer dans le domaine sexuel, à ne pas céder à la passion débridée comme le faisaient les Cananéens. La Loi apprenait même à ceux qui l’observaient à maîtriser leurs sentiments et leurs désirs, car elle condamnait la convoitise. – TG1987 1/11 §13 Même un état d’impureté permanente de la part des Israélites était, semble-t-il, considéré comme quelque chose qui souillait le tabernacle (Lv 15:31). Ceux qui présentaient des offrandes pour la purification de la lèpre n’apportaient leur sacrifice que jusqu’à la porte de la cour (Lv 14:11). Aucune personne impure ne pouvait donc participer à un sacrifice de communion au tabernacle ou au temple, sous peine de mort. – it-2 p142 Lieu saint La Loi que Jéhovah a donnée à Moïse pour les Israélites nous montre aussi que la propreté était très importante. Par exemple, pour que Jéhovah accepte leur culte, les Israélites devaient être propres. Dans certaines situations, si quelqu’un désobéissait aux lois sur la pureté, il était puni de mort (Lévitique 15:31). Les normes de Jéhovah n’ont pas changé. Aujourd’hui, il veut toujours qu’ils soient purs. Pour Jéhovah, être pur, ce n’est pas simplement être propre et avoir des vêtements et une maison propres. La pureté concerne toute notre vie. Elle concerne notre culte, notre conduite et nos pensées. Pour être purs aux yeux de Jéhovah, nous devons être purs dans tous les domaines de notre vie. – lvs chap8 §8
  6. Merci Folens ATTENDONS PATIEMMENT LE MONDE NOUVEAU OU LA TERRE RETROUVERA SA BELLE SPLENDEUR
  7. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 14 Décembre 2020 - Lévitique 12-13.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 14 Décembre 2020 - Lévitique 12-13.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Lévitique 12-13 Lévitique 12:2, 5 : Pourquoi l’accouchement rendait-il une femme « impure » ? (w04 15/5 23 § 2). Verset 2 « Dis aux Israélites : “Si une femme est enceinte et donne naissance à un garçon, elle sera impure pendant sept jours, comme elle l’est aux jours de l’impureté due à ses règles. » Verset 5 « “Si elle donne naissance à une fille, elle sera impure pendant 14 jours, comme elle l’est lors de ses règles. Pendant les 66 jours suivants, elle continuera de se purifier du sang perdu. » Les organes reproducteurs des humains ont été conçus pour transmettre une vie parfaite. Or, à cause du péché héréditaire, la vie que les parents transmettent à leur progéniture est imparfaite et soumise au péché. L’‘ impureté ’ temporaire liée à l’accouchement ainsi qu’à d’autres situations, telles que les règles et les émissions séminales, rappelait la présence de ce péché héréditaire. Ces prescriptions de purification aideraient les Israélites à comprendre la nécessité d’un sacrifice rédempteur propre à couvrir les péchés des humains et à les ramener à la perfection. La Loi est ainsi devenue leur “ précepteur menant à Christ ”. — Galates 3:24. - w04 15/5 23 § 2 Pour rappeler que la procréation transmettait l’imperfection et le péché, une femme qui accouchait était considérée comme impure pendant une période donnée, au terme de laquelle elle devait offrir un sacrifice de propitiation. Sous l’alliance de la Loi, une femme était “ impure ” sur le plan religieux pendant 40 jours (7 plus 33) après la naissance d’un garçon, et deux fois plus longtemps, soit 80 jours (14 plus 66), après la naissance d’une fille. Pendant les 7 ou les 14 jours, elle était impure pour tout le monde, y compris pour son mari, mais pendant les 33 ou les 66 jours, elle n’était impure qu’à l’égard des choses saintes et de celles qui avaient un rapport avec les services religieux au sanctuaire. . Dans les deux cas, à la fin de la période de purification, la mère devait apporter un bélier de moins d’un an en holocauste et un jeune pigeon ou une tourterelle en sacrifice pour le péché. – it-2 p263 Aux temps bibliques, la naissance d’un garçon était d’ordinaire un événement plus joyeux que celle d’une fille, bien que dans le cercle familial une fille fût autant aimée qu’un garçon. On préférait avoir un garçon parce qu’il assurait la continuité de la lignée et du nom, ainsi que la conservation du patrimoine familial. La priorité donnée au garçon ressortait également de la durée de la période de purification prévue par la Loi, deux fois plus longue pour la naissance d’une fille. Le fils premier-né appartenait à Jéhovah et devait être racheté par un sacrifice – it-1 Enfant Lévitique 12:3 : Pour quelle raison possible Jéhovah exigeait-il que la circoncision se fasse le huitième jour ? (wp18.1 7). « Le huitième jour, l’enfant sera circoncis » La circoncision au bon moment. La Loi de Dieu stipulait qu’un garçon devait être circoncis le huitième jour de sa vie. Chez les nouveau-nés, le sang coagule de façon normale après la première semaine. Aux temps bibliques, avant que les traitements médicaux modernes ne soient disponibles, attendre plus d’une semaine avant la circoncision était une mesure de protection sage. - wp18.1 7 La circoncision fut érigée en exigence absolue de la Loi mosaïque. Elle était à ce point, importante que si le huitième jour tombait un sabbat, jour particulièrement respecté, il fallait quand même la pratiquer. La Loi exigeait également de circoncire les étrangers avant de leur permettre de manger la Pâque. – it-1 Circoncision Pourquoi le huitième jour ? On connaît maintenant les raisons physiques pour lesquelles le huitième jour convient le mieux. Ce n’est qu’entre le cinquième et le septième jour après la naissance que l’organisme d’un nouveau-né renferme une quantité normale de vitamines K qui favorisent la coagulation du sang. Il semble également que le taux de prothrombine, autre substance importante qui favorise la coagulation du sang, soit plus élevé dans l’organisme d’un enfant le huitième jour qu’à n’importe quel autre moment de sa vie. C’est pourquoi le Docteur McMillen conclut : “Le moment idéal pour procéder à une circoncision est le huitième jour.” — None of These Diseases – TG1975 15/6 p357 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Jéhovah favorise les humbles qui cherchent la vérité - Dieu favorise les humbles qui l’aiment et s’intéressent vivement à l’accomplissement de ses desseins : cette idée revient souvent dans les événements qui entourent la naissance de Jésus. Pour obéir à la Loi mosaïque, quand le bébé a eu environ un mois, Joseph et Marie l’ont présenté au temple et ont fait l’offrande d’“ une paire de tourterelles ou [de] deux jeunes pigeons ”. (Luc 2:22-24.) En réalité, la Loi demandait un bélier, mais elle autorisait cette option moins coûteuse pour les pauvres (Lévitique 12:1-8). Voilà qui fait réfléchir : Jéhovah Dieu, le Souverain de l’univers, a choisi non pas une famille riche, mais une famille pauvre pour être la maisonnée dans laquelle serait élevé son cher Fils unique-engendré. Si vous avez des enfants, souvenez-vous de cette leçon : le plus beau cadeau que vous puissiez leur faire, bien plus beau que l’aisance matérielle ou une instruction prestigieuse, c’est une ambiance familiale qui donne la priorité aux valeurs spirituelles – TG1998 15/12 p6 §5 La Loi mosaïque était précise sur les sacrifices. Ils devaient être sans défaut, car ils annonçaient le sacrifice parfait de Jésus. De plus, pour chaque type d’offrande, ou de sacrifice, il fallait suivre une procédure particulière. Par exemple,une Israélite qui venait de mettre un enfant au monde. Lévitique 12:6 déclare : « Quand seront accomplis les jours de sa purification, pour un fils ou pour une fille, elle apportera un jeune bélier dans sa première année, pour un holocauste, et un jeune pigeon ou une tourterelle, pour un sacrifice pour le péché, à l’entrée de la tente de réunion, au prêtre. » Dieu avait peut-être des exigences précises, mais la Loi reflétait magnifiquement sa nature raisonnable et pleine de tendresse. Si la mère n’avait pas les moyens d’offrir un mouton, elle était autorisée à offrir deux tourterelles ou deux jeunes pigeons (Lév. 12:8). Bien que pauvre, cette adoratrice était autant aimée et appréciée de Dieu que celui qui apportait une offrande plus coûteuse. Qu’est-ce que cela nous enseigne ? L’apôtre Paul a exhorté ses compagnons chrétiens à offrir à Dieu « un sacrifice de louange » (Héb. 13:15). Nos lèvres devraient faire la déclaration publique pour le saint nom de Jéhovah. Notre sacrifice de louange devrait correspondre à ce que nous avons de meilleur. La lèpre. Il s’agissait de la plus repoussante de toutes les maladies, et elle exigeait de sévères mesures de surveillance, notamment l’isolement prolongé ainsi que des examens attentifs et répétés afin de déterminer quand la guérison était acquise. Les Juifs des temps bibliques redoutaient la forme de lèpre courante à leur époque. Cette maladie effrayante pouvait s’attaquer aux terminaisons nerveuses et provoquer des lésions irréversibles et le défigurement. Il n’y avait aucun remède connu contre la lèpre. De ce fait, les lépreux étaient placés en quarantaine et devaient avertir les autres de leur état (Lévitique 13:45, 46). – it-2 p697 La lèpre - Le prêtre déterminait s’il s’agissait ou non de la lèpre (Lv 13:2). Le malade était mis en quarantaine pendant sept jours, puis réexaminé ; si la plaie s’était arrêtée, il était mis en quarantaine pendant sept autres jours (Lv 13:4, 5, 21, 26) ; si la plaie ne s’étendait pas ensuite, il était déclaré pur (Lv 13:6) ; si la plaie s’étendait, il s’agissait de la lèpre (Lv 13:7, 8). S’il avait la lèpre, le malade devait déchirer ses vêtements, laisser sa tête devenir échevelée, se couvrir la moustache (ou lèvre supérieure) et crier “ Impur, impur ! ” Il vivait à l’écart, en dehors du camp, jusqu’à sa guérison (Lv 13:45, 46) – it-1 p150 Dans les temps anciens, les gens qui souffraient de la lèpre subissaient souvent une mort atrocement lente. Petit à petit, divers endroits de leur corps étaient gagnés par la maladie. On disait que guérir un lépreux était aussi difficile que ressusciter un mort. Les lépreux étaient déclarés impurs ; on les fuyait, on les mettait au ban de la société. Quand ils rencontraient d’autres personnes, ils devaient les mettre en garde en criant : “ Impur, impur ! ” (Lév. 13:43-46). Un lépreux était comme quelqu’un de mort. Selon la littérature rabbinique, un lépreux ne pouvait pas approcher quelqu’un à moins de quatre coudées (1,80 mètre). Et en cas de vent, on ne devait pas s’en approcher à moins de 100 coudées (environ 45 mètres). À cause de telles règles, les lépreux étaient traités de façon cruelle. On relate qu’un certain chef religieux, quand il apercevait un lépreux, même à quelque distance, lui jetait des pierres pour le tenir éloigné.- TG2008 15/8 §14 La quarantaine. Selon la Loi, une personne atteinte d’une maladie contagieuse ou soupçonnée de l’être était mise en quarantaine, c’est-à-dire éloignée des autres ou isolée pendant un temps. Des quarantaines de sept jours étaient imposées pour établir s’il y avait la lèpre, dans le cas de personnes, de vêtements et d’autres objets, ou de maisons (Lv 13:1-59). Quiconque touchait un cadavre humain était également rendu impur pour sept jours. Bien que les Écritures ne disent pas que cette dernière prescription était motivée par des raisons de santé, elle offrait une certaine protection si le cadavre était celui d’une personne morte de maladie infectieuse. Un examen confirmait qu’elle n’était plus contagieuse– it-2 Maladies et traitement
  8. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 7 Décembre 2020 - Lévitique 10-11.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 7 Décembre 2020 - Lévitique 10-11.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Lévitique 10-11 Lévitique 10:8-11 : Que pouvons-nous apprendre de ces versets ? (w14 15/11 17 § 18). « Puis Jéhovah dit à Aaron : 9 « Toi et tes fils, ne buvez ni vin ni autre boisson alcoolisée avant d’entrer dans la tente de la rencontre, afin que vous ne mouriez pas. C’est une loi permanente de génération en génération. 10 C’est afin de faire une distinction entre la chose sainte et la chose profane, entre la chose impure et la chose pure, 11 et afin d’enseigner aux Israélites toutes les lois que Jéhovah leur a dites par l’intermédiaire de Moïse. » 18 Pour être saints, il nous faut soigneusement examiner les Écritures et faire ce que Dieu attend de nous. Revenons à Nadab et Abihou, les fils d’Aaron. Ils ont été exécutés pour avoir offert « un feu irrégulier », peut-être parce qu’ils étaient ivres (Lév. 10:1, 2). Note ce que Dieu a alors dit à Aaron. Ce passage signifie-t-il que nous ne devons rien boire d’alcoolisé avant de nous rendre à une réunion chrétienne ? Réfléchis à ces différents points : Nous ne sommes pas sous la Loi (Rom. 10:4). Dans certains pays, nos coreligionnaires ne voient pas d’objection à consommer avec modération des boissons alcoolisées aux repas avant d’assister aux réunions. Lors de la Pâque, on servait quatre coupes de vin. Quand il a institué le Mémorial, Jésus a donné à boire à ses apôtres du vin, qui représentait son sang (Mat. 26:27). La Bible condamne l’ivresse et l’ivrognerie (1 Cor. 6:10 ; 1 Tim. 3:8). Enfin, la conscience de nombreux chrétiens les incite à s’abstenir de toute boisson alcoolisée avant de participer à une forme quelconque du service sacré. Cependant, les circonstances varient d’un pays à l’autre. L’important, c’est que les chrétiens « fassent une distinction entre la chose sainte et la chose profane » afin de se conduire avec sainteté, et de plaire à Jéhovah - w14 15/11 17 § 18 Qu’impliquait peut-être le péché commis par les fils d’Aaron, Nadab et Abihou ? Peu après que Nadab et Abihou eurent pris des libertés en s’acquittant de leurs responsabilités sacerdotales, Jéhovah interdit aux prêtres de consommer du vin ou des boissons enivrantes lorsqu’ils servaient au tabernacle (Lévitique 10:9). Cela donne à penser que les deux fils d’Aaron étaient sous l’effet de l’alcool en cette circonstance. Quoi qu’il en soit, la cause effective de leur mort fut qu’ils avaient présenté à Jéhovah “ un feu irrégulier qu’il ne leur avait pas prescrit ”. Le grand prêtre et les sous-prêtres n’avaient le droit de boire ni vin ni autre boisson enivrante quand ils accomplissaient leur service sacré devant Jéhovah. Nous ne devrions pas nous livrer à des tâches théocratiques sous l’emprise de l’alcool. – TG2004 15/5 p21 Feu irrégulier c’est-à-dire interdit - Nadab et Abihou étaient ivres, ce qui les enhardit au point qu’ils offrirent un feu qui n’était pas prescrit. Ce feu était probablement illégal parce qu’il avait été offert à un moment, à un endroit et d’une manière qui ne convenaient pas, ou peut-être parce que l’encens était d’une composition différente de celle décrite en Exode 30:34, 35. L’état d’ébriété des deux hommes n’excusa pas leur péché. – it-1 feu irrégulier Remarquez que Paul a recommandé de boire “ un peu de vin ”. La Bible condamne clairement tout usage immodéré d’alcool. Quand ils n’étaient pas de service, les prêtres juifs étaient libres de boire, avec modération, mais quand ils officiaient, il leur était interdit de boire des boissons alcooliques. De nombreuses années plus tard, les chrétiens du Ier siècle ont été avertis que les ivrognes “ n’hériteront pas du royaume de Dieu ”. — RV2004 8/3 p20 Est-il mal de consommer des boissons alcoolisées ? “ Le vin est moqueur, la boisson enivrante est agitée, et tout homme qui se laisse égarer par cela n’est pas sage. ” Faut-il comprendre par ces paroles, consignées dans la Bible en Proverbes 20:1, qu’il est mal de consommer des boissons alcoolisées ? La Bible n’interdit pas de consommer des boissons alcoolisées. Ce qu’elle condamne, en revanche, ce sont l’excès de boisson et l’ivrognerie. C’est pourquoi Paul a dit de ne pas s’adonner “ à beaucoup de vin ”, et il a recommandé à Timothée de n’en boire qu’“ un peu ”. (1 Timothée 3:2, 3, 8 ; Tite 2:2, 3.). Ce que la Bible condamne c’est l’excès qui va jusqu’à l’ivresse et non l’absorption modérée de boisson. Il serait sage qu’un chrétien s’abstienne de boisson alcoolisée quand il participe au ministère. Si la loi de son pays interdit ou limite la consommation d’alcool, le chrétien y obéira. Boire ou ne pas boire, ou quelle quantité boire : c’est à chacun de décider. Toujours est-il que la Bible recommande la modération. Elle déclare : “ Soit [...] que vous mangiez, soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre chose, faites tout pour la gloire de Dieu. ” — 1 Corinthiens 10:31. – RV2012/06 p18 Que dire de quelqu’un qui aurait un penchant pour l’alcool, mais qui veillerait à ne pas boire au point d’être visiblement ivre ? Certains présentent très peu de signes d’ébriété même après avoir bu pas mal de verres. Toutefois, celui qui pense que ce genre d’habitude ne porte pas à conséquence se leurre (Jérémie 17:9). Petit à petit, il risque de contracter une dépendance à l’alcool et de devenir ‘ asservi à beaucoup de vin ’. (Tite 2:3.) Ce processus qui mène à l’alcoolisme, l’auteur Caroline Knapp le dit “ lent, graduel, insidieux, indéfinissable ”. L’abus d’alcool est vraiment un piège très dangereux. Il n’est pas nécessaire de boire jusqu’à l’ivresse pour tomber dans la somnolence et la paresse, tant physiquement que spirituellement. Et si le jour de Jéhovah nous surprenait dans cet état ? La consommation de grandes quantités d’alcool a-t-elle jamais eu pour effet de rendre gloire à Dieu ? Quel chrétien voudrait avoir une réputation de buveur ? C’est l’opprobre, et non la gloire, qu’une telle réputation attirerait sur le nom de Jéhovah. Que dire maintenant si le manque de modération d’un chrétien dans le boire faisait trébucher un de ses compagnons, un nouveau disciple par exemple. Quiconque boit à l’excès peut également perdre ses fonctions dans l’assemblée. Sans parler des tensions familiales qu’engendre souvent l’abus d’alcool. Un bon moyen de se préserver des dangers liés à l’abus d’alcool consiste à savoir où se trouve la limite, non pas la limite entre l’excès et l’ébriété, mais la limite entre la modération et l’excès. Qui peut décider où se situe cette limite dans votre cas ? Étant donné que de nombreux facteurs entrent en jeu, on ne peut établir de règle stricte quant au nombre de verres qui constitueraient un maximum. Il appartient donc à chacun de connaître sa propre limite et de ne pas la franchir. – TG2004 1/12 p18 Lévitique 11:8 : Les chrétiens doivent-ils s’interdire de consommer les animaux que la Loi mosaïque interdisait de consommer ? (it-1 124 § 6). « Vous ne devez pas en manger la viande ni toucher leur cadavre. Ils sont impurs pour vous. » Ces restrictions d’ordre alimentaire ne s’appliquaient qu’aux hommes assujettis à la Loi de Moïse, car Lévitique 11:8 dit : “ Ils sont impurs pour vous ”, c’est-à-dire pour les Israélites. Quand, grâce à la mort sacrificielle de Jésus Christ, la Loi fut abrogée, ces interdictions furent annulées, et tous les humains purent de nouveau s’en tenir aux dispositions plus larges que Dieu fit connaître à Noé après le déluge. — it-1 124 § 6 Le point de vue chrétien. Les chrétiens ne sont pas soumis aux restrictions de la Loi relatives aux aliments purs et impurs. Ils sont dans l’obligation de s’abstenir du sang et de ce qui est étouffé, c’est-à-dire de ce dont le sang n’a pas été convenablement vidé. Mais, en dehors de cette injonction biblique, ils ne doivent pas se lancer dans des controverses pour ce qui est de savoir si on peut ou non consommer tel ou tel aliment, ni essayer d’imposer leur conscience à celle d’autrui dans ce domaine. Ils sont toutefois mis en garde contre la consommation d’aliments offerts aux idoles et contre le risque de faire trébucher autrui en insistant sur leur liberté chrétienne dans ce domaine. – it-2 p420 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? En Israël, le service sacré offert à Jéhovah devait l’être en harmonie avec ses lois (Lévitique 10:1, 2). De nos jours, pareillement, Jéhovah n’agréera notre service sacré que s’il répond à ses critères. Ce n’est pas à nous de déterminer la meilleure façon d’adorer Dieu. Connaissance exacte des Écritures, compréhension spirituelle et sagesse divine nous sont donc indispensables si nous ne voulons pas aller à la catastrophe. – TG2000 15/11 §16 Ce n’est pas d’aujourd’hui que Jéhovah demande à ses serviteurs de se réunir pour l’adorer. Ainsi, la Loi qu’il a donnée à la nation d’Israël en 1513 av. n. è. prévoyait un sabbat hebdomadaire pour que chaque famille l’adore et soit instruite dans la Loi. Quand les Israélites suivaient ce commandement, les familles étaient fortes, et la nation dans son ensemble restait pure et solide. Quand ils n’appliquaient pas la Loi et négligeaient des obligations comme celles de se rassembler pour adorer Jéhovah, ils perdaient sa faveur (Lév. 10:11). De même, en assistant à nos réunions hebdomadaires et à nos assemblées annuelles, nous soutenons le Royaume de Dieu, recevons la force de l’esprit saint et encourageons nos compagnons par nos déclarations de foi. Mais, surtout, nous offrons un culte à Jéhovah par nos prières, nos commentaires et nos chants. Nos rassemblements ne se déroulent peut-être pas exactement comme ceux des Israélites ou des premiers chrétiens, mais ils sont tout aussi importants. – kr chap16 p170 §3,5 Vous filtrez le moucheron, mais vous avalez le chameau : Le moucheron et le chameau étaient respectivement la plus petite et la plus grosse des créatures impures connues des Israélites Lv 11:4 - Jésus utilise une hyperbole, avec une touche d’ironie, quand il dit que les chefs religieux filtrent leurs boissons afin de ne pas être rituellement impurs à cause d’un moucheron, alors qu’ils ne respectent pas du tout les choses les plus importantes de la Loi, ce qui reviendrait à avaler un chameau. mwbr2018/3 À l’époque de Jésus, les pêcheurs devaient savoir quelles espèces ils pouvaient attraper (Lév. 11:9-12). Ils devaient également savoir où trouver le poisson. Généralement, le poisson reste là où les conditions sont favorables et où il y a beaucoup de nourriture. Et que dire de l’heure à laquelle un pêcheur va pêcher ? A-t-elle de l’importance ? Un jour, un frère d’une île du Pacifique a invité un missionnaire à aller à la pêche avec lui. Le missionnaire lui a répondu : « D’accord. Rendez-vous demain matin à neuf heures ! » Note ce que le frère lui a alors dit : « Ce n’est pas comme ça que ça marche. On va pêcher à l’heure où on a des chances d’attraper du poisson, pas à l’heure qui nous arrange. » De la même façon, au 1er siècle, les disciples de Jésus allaient pêcher dans les zones où le « poisson » se trouvait et à une heure où ils avaient le plus de chances de l’attraper. En effet, ils prêchaient dans le Temple, dans les synagogues, de maison en maison et sur les places de marché. Nous devons nous aussi connaître les habitudes des gens de notre territoire. Il nous faut faire preuve de souplesse en prêchant à l’endroit et au moment où nous avons le plus de chances de les trouver. – TG2020/9 p2 §8,9 C’est la seule fois dans le récit biblique que l’on entend Jésus s’adresser à Dieu en l’appelant « Père saint ». Jéhovah est pur et droit au sens absolu. Il avait ordonné à Israël : « Vous devez être saints, car je suis saint » (Lév. 11:45). Nous sommes des « imitateurs de Dieu » ; nous voulons donc obéir à ce commandement ‘dans toute notre conduite’. Quand l’adjectif « saint » qualifie des humains, il signifie « mis à part ». Pendant sa dernière soirée, Jésus a donc souligné que ses disciples resteraient unis à la condition de se tenir séparés du monde et de ne pas se laisser influencer par la division qui y règne. rr chap12 p129§19 Aux Israélites qu’il délivrait de l’esclavage en Égypte, Jéhovah a dit : « Je suis Jéhovah qui vous fais monter du pays d’Égypte pour me montrer Dieu pour vous ; vous devez vous montrer saints, car je suis saint » (Lév. 11:45). La sainteté était requise du peuple d’Israël parce que Jéhovah est saint. Étant Témoins de Jéhovah, nous devons nous aussi être saints. Jéhovah est saint et il exige de ceux qui lui offrent un service sacré qu’ils le soient aussi. Ils doivent poursuivre la sainteté et demeurer physiquement et spirituellement purs - TG2014 15/11§16
  9. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 30 Novembre 2020 - Lévitique 8-9.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 30 Novembre 2020 - Lévitique 8-9.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Lévitique 8-9 Lévitique 8:6 : Qu’apprenons-nous de la propreté qui était requise des prêtres d’Israël ? (w14 15/11 9 § 6). « Moïse fit alors approcher Aaron et ses fils, et il les lava avec de l’eau. » 6 La propreté requise des prêtres d’Israël a une grande signification pour les serviteurs de Jéhovah aujourd’hui. Ceux qui étudient la Bible avec nous remarquent souvent la propreté de nos lieux de culte et nos tenues propres et soignées. Mais la propreté de la prêtrise nous enseigne aussi que toute personne qui monte à la montagne élevée du culte de Jéhovah doit avoir « le cœur pur » (Psaume 24:3, 4 ; Is. 2:2, 3). Nous devons rendre à Dieu un service sacré avec un esprit et un cœur purs, et en étant propres physiquement. Cela nous oblige à nous examiner souvent, après quoi certains d’entre nous devront opérer d’importants changements pour être saints (2 Cor. 13:5). Par exemple, un baptisé qui regarde délibérément de la pornographie devrait se demander : « Est-ce que je me montre saint ? » Ensuite, il devrait chercher de l’aide pour abandonner cette pratique répugnante (Jacq. 5:14). - w14 15/11 9 § 6 Au tabernacle, on se servait d’eau tant pour la propreté physique que d’une manière symbolique. Lors de l’installation de la prêtrise, les prêtres furent lavés avec de l’eau et, en un geste symbolique, les Lévites furent aspergés d’“ eau qui purifie du péché ”. Les prêtres se lavaient avant de servir au sanctuaire de Jéhovah et avant de s’avancer vers l’autel de l’holocauste. On se servait d’eau pour laver les sacrifices et pour des purifications rituelles. – it-1 Eau Les prêtres étaient tenus d’entretenir leur propreté physique et d’avoir des principes moraux élevés. Quand ils entraient dans la tente de réunion et avant de présenter un sacrifice sur l’autel, ils devaient se laver les mains et les pieds au bassin qui se trouvait dans la cour, “ pour qu’ils ne meurent pas ”. La pureté physique est requise de ceux qui adorent Jéhovah dans la sainteté et la pureté. C’est ce que montrent les activités au tabernacle et le service au temple. Lors de leur installation, le grand prêtre Aaron et ses fils se baignèrent avant de revêtir leurs vêtements officiels. Pour se laver les mains et les pieds, les prêtres se servaient de l’eau que contenait le bassin de cuivre dans la cour du tabernacle et, par la suite, l’immense mer en métal fondu dans le temple de Salomon. Le jour des Propitiations, le grand prêtre se baignait deux fois. – it-1 p257 Baigner Dans la Bible, la “ pureté ” désigne généralement ce qui n’est pas contaminé — frelaté, souillé ou corrompu — sur les plans moral et spirituel. Elle se rapporte aussi à la propreté physique La Bible présente la pureté sous quatre aspects que les adorateurs de Dieu devraient prendre en considération : La pureté physique. Dans la Bible, la sainteté et la propreté physique sont étroitement liées. Par exemple, Paul a écrit : “ Bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, parachevant la sainteté dans la crainte de Dieu. ” (2 Corinthiens 7:1). Par conséquent, autant que les circonstances le permettent, les vrais chrétiens devraient s’efforcer de garder une bonne hygiène corporelle et de maintenir leur maison et ses abords nets et en ordre. Même là où l’eau n’est pas facilement disponible pour la toilette ou la lessive, les chrétiens devraient faire de leur mieux pour rester propres et présentables. Soigner notre hygiène personnelle est une preuve d’amour, car nous voulons éviter d’infliger des odeurs déplaisantes à ceux qui nous entourent. Les parfums et les eaux de toilette sont peut-être agréables, mais ils ne remplacent pas la douche ou le bain réguliers ni les vêtements propres. La pureté spirituelle. Il s’agit de la pureté la plus importante, car d’elle dépendent nos perspectives de vie éternelle. Pourtant, c’est souvent la plus négligée. Dit simplement, être spirituellement pur signifie ne jamais franchir la frontière définie par Dieu entre le vrai et le faux culte, car Dieu considère comme impure toute forme de faux culte. Dieu a clairement démontré qu’il désapprouvait l’amalgame du vrai culte avec le faux, car ce dernier implique souvent des pratiques impures et l’usage d’idoles et de dieux détestables. Les vrais chrétiens sont donc incités à fuir tout contact avec un culte impur La pureté morale. Là encore, Dieu établit une frontière précise entre ce qui est pur et ce qui ne l’est pas. Dans son ensemble, le monde est devenu ce que l’on peut lire en Éphésiens 4:17-19 : “ Ils sont mentalement dans les ténèbres, et éloignés de la vie qui relève de Dieu [...]. Ayant perdu tout sens moral, ils se sont livrés au dérèglement pour pratiquer avec avidité l’impureté sous toutes ses formes. ” Un tel mode de pensée immoral s’exprime de nombreuses façons, directes ou subtiles ; les chrétiens doivent donc être sur leurs gardes. Ceux qui aiment Dieu savent que la prostitution, l’homosexualité, les relations sexuelles préconjugales et la pornographie sont des violations des normes de Jéhovah en matière de pureté morale. Pourtant, ces pratiques sont courantes dans le monde du spectacle et de la mode. Les chrétiens doivent donc se méfier de ces tendances. Le port de vêtements qui laissent entrevoir ou dénudent la chair lors de réunions chrétiennes ou d’une réunion récréative attire inutilement l’attention sur le corps et trahit un manquement à la décence. En s’habillant ainsi, non seulement on introduit l’esprit impur du monde parmi des chrétiens, mais on risque aussi d’éveiller chez autrui des pensées impures. Voilà un domaine dans lequel les chrétiens doivent travailler dur pour manifester “ la sagesse d’en haut ” La pureté mentale. Les recoins les plus cachés de notre esprit ne devraient receler aucune pensée impure. Jésus a averti de ce danger en ces termes : “ Tout homme qui continue à regarder une femme de manière à éprouver une passion pour elle a déjà commis l’adultère avec elle dans son cœur. ” (Matthieu 5:28) Cela concerne également les images et les films pornographiques, les lectures obscènes et les chansons aux paroles suggestives. Les chrétiens doivent donc éviter de se souiller en entretenant des pensées impures pouvant mener à des propos ou à des actes contraires à la pureté et à la sainteté. – TG2002 1/ 2 Un chrétien pourrait-il s’endurcir dans son habitude de regarder de la pornographie au point de devoir être renvoyé de la congrégation ? Oui. Cela souligne l’importance de rejeter énergiquement toute forme de pornographie, qu’il s’agisse d’écrits ou d’images, dans des revues, des films, des vidéos ou sur Internet. Un chrétien pris au piège de la pornographie doit se ressaisir et reconnaître qu’il a besoin d’être aidé spirituellement. Un ou deux anciens pourront lui apporter l’aide nécessaire, entre autres par ‘ la prière de la foi qui rétablit celui qui est souffrant ’. Son péché pourra alors lui être pardonné. Ceux qui ont demandé de l’aide pour se purifier de la souillure qu’est la pornographie ont constaté, que s’approcher de Dieu était bon pour eux. Regarder volontairement de la pornographie est un péché. Cela peut conduire à une dépendance au sexe, à des désirs pervers et à de graves problèmes conjugaux. Un frère qui a l’habitude de regarder de la pornographie devrait se demander : Est-ce que je suis vraiment saint ? Il devrait chercher de l’aide pour abandonner cette mauvaise habitude TG2012 15/3 Une Salle du Royaume est le centre du culte pur pour une localité. Notre façon de considérer notre Salle du Royaume — l’édifice proprement dit et les activités spirituelles qui s’y déroulent — devrait être empreinte du respect qui convient. N’est-elle pas étroitement liée à ce que nous éprouvons pour le nom de Dieu, nom qui figure généralement sur l’écriteau de la Salle du Royaume ? Les non-Témoins remarquent souvent combien nous respectons nos lieux de culte. – TG2015 15/7 Lévitique 8:14-17 : Pendant l’installation de la prêtrise, pourquoi est-ce Moïse et non Aaron qui a offert les sacrifices ? (it-2 310 § 5). « Puis il fit avancer le taureau du sacrifice pour le péché, et Aaron et ses fils posèrent les mains sur la tête du taureau du sacrifice pour le péché. 15 Moïse le tua, prit du sang avec son doigt et en mit sur toutes les cornes de l’autel, et il purifia du péché l’autel, puis il versa le reste du sang à la base de l’autel, pour le sanctifier afin de faire le rite de réconciliation sur lui. 16 Après cela, Moïse prit toute la graisse qui était sur les intestins, le tissu annexe du foie et les deux rognons et leur graisse, et les fit fumer sur l’autel. 17 Enfin, le reste du taureau, sa peau, sa chair et ses excréments, il les fit brûler en dehors du camp, comme Jéhovah le lui avait ordonné. » Dieu constitua Moïse médiateur de l’alliance de la Loi avec Israël, position d’intimité avec Dieu à laquelle aucun homme n’a plus jamais accédé, sinon Jésus Christ, le Médiateur de la nouvelle alliance. Avec le sang d’animaux sacrifiés, Moïse aspergea le livre de l’alliance, qui représentait Jéhovah, une “ partie contractante ”, et aspergea aussi le peuple (sans aucun doute les anciens qui le représentaient), l’autre “ partie contractante ”. Il lut le livre de l’alliance au peuple, qui répondit : “ Tout ce qu’a dit Jéhovah, nous sommes prêts à le faire et à obéir. ” (Ex 24:3-8 ; Hé 9:19). En qualité de médiateur, Moïse eut le privilège de diriger la construction du tabernacle et la fabrication de ses ustensiles, selon le modèle que Dieu lui avait donné, puis d’installer la prêtrise en oignant et le tabernacle et Aaron le grand prêtre avec l’huile de composition spéciale. Ensuite il dirigea les premiers services officiels des prêtres nouvellement consacrés. — it-2 310 § 5 Comme Dieu l’a ordonné, Moïse présida une cérémonie d’installation destinée à établir Aaron grand prêtre et ses quatre fils sous-prêtres. C’est ainsi que la prêtrise commencera à fonctionner. Aaron et ses fils posaient leurs mains sur certains animaux destinés au sacrifice pour indiquer que ces animaux les représentaient ou étaient sacrifiés pour eux. Un aspect de la fonction de médiateur qu’exerça Moïse consista à installer et à mettre en service la prêtrise, qui était un élément important de l’alliance de la Loi. Moïse joua également un rôle important en rapport avec les premiers services qu’accomplit la prêtrise nouvellement installée, le 8 Nisan 1512 av. n. ère car il dirigea les opérations et, avec Aaron, bénit le peuple. Du début à la fin de la mise en place de toutes les choses relatives à l’alliance de la Loi, il agit officiellement en qualité de médiateur. – it-2 p244 Installation Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Lévitique 8 :1 “” Jéhovah continua de parler à Moïse. Il lui dit : Ce verset identifie la Source et le canal d’où viennent toutes les bonnes choses que reçoivent les créatures. S’adressant à ceux qui, avec lui, avaient été “sanctifiés en union avec Christ Jésus, et appelés à être saints”, l’apôtre Paul leur dit : “Pour nous, il n’y a en fait qu’un seul Dieu, le Père, de qui sont toutes choses, et nous pour lui ; et il n’y a qu’un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui sont toutes choses, et nous par lui.” Nous pouvons être certains que la compréhension de ce que Dieu a prévu pour donner le pouvoir nécessaire à une prêtrise éternelle s’avérera être très utile pour nous. — TG1968 15/10 p617 Le livre du Lévitique parle beaucoup de la souveraineté de Jéhovah. Il est dit plus de 30 fois que les lois qui sont écrites dans ce livre viennent de Jéhovah. Moïse le savait et il a fait tout ce que Jéhovah lui a demandé de faire. (Lévitique 8:4, 5) Nous devons faire comme Moïse et obéir à tout ce que Jéhovah nous demande. L’organisation de Jéhovah nous aide à prendre de bonnes décisions. Mais parfois nous sommes tout-seuls quand nous vivons une situation difficile pour notre foi. C’est ce qui est arrivé à Jésus quand il était dans le désert. Si nous avons confiance en Jéhovah et si nous montrons que nous sommes pour sa souveraineté, nous ne transigerons pas. Nous résisterons à la peur. - TG2014 15/11§8 Lévitique 8 :5,6 « Puis Moïse dit à la communauté : Voici ce que Jéhovah nous a ordonné de faire. Moïse fit alors approcher Aaron et ses fils, et il les lava avec de l’eau » Jéhovah a choisi Aaron pour être le chef des prêtres des Israélites, c’est-à-dire le grand prêtre. Il a aussi choisi les fils d’Aaron pour être des prêtres. Ces hommes et tout ce qu’ils faisaient pour accomplir leur mission sont comme des modèles qui allaient être copiés plus tard. On dit qu’ils représentent d’autres choses. Aaron représente Jésus. Les fils d’Aaron représentent les chrétiens oints. Aaron a été lavé pour devenir prêtre. C’était un symbole pour montrer qu’il devenait pur, c’est-à-dire qu’il avait un corps propre et des pensées pures. Est-ce que cela veut dire que Jésus aussi avait besoin de devenir pur ? Non. Jésus était parfait. Il était « sans tache », c’est-à-dire sans défaut. Mais une fois qu’Aaron était lavé, il ressemblait à Jésus qui est juste et pur. Les fils d’Aaron ont été lavés eux aussi. Qu’est-ce que cela signifiait ? Quand les fils d’Aaron ont été lavés, c’était un symbole pour montrer ce qui arriverait aux chrétiens oints. Pour être prêtres dans le ciel, ils doivent devenir purs. Est-ce que c’est leur baptême qui les lave ? Non, parce que le baptême n’enlève pas les péchés. Le baptême montre que quelqu’un a offert sa vie à Dieu. Les chrétiens oints sont lavés « par le moyen de la parole ». Cela veut dire qu’ils doivent appliquer les enseignements de Jésus dans leur vie. Ainsi, ils sont purs et saints. Mais est-ce que les « autres brebis » qui ont l’espoir de vivre sur la terre ont aussi besoin d’être lavées ? Les fils d’Aaron ne représentent pas la « grande foule » des autres brebis de Jésus. (Révélation 7:9) Mais les autres brebis aussi deviennent saintes et pures par le moyen de la Parole de Dieu. Elles ont appris dans la Bible que le sacrifice de Jésus leur apporte des bienfaits. C’est pour cela qu’elles aussi veulent adorer Jéhovah « jour et nuit ». Les chrétiens oints et les autres brebis ont besoin d’être lavés constamment par la Parole de Dieu. C’est comme cela qu’ils réussissent à garder une conduite pure. Jéhovah est heureux quand il voit que tous ses adorateurs sont purs, qu’ils sont unis et qu’ils suivent fidèlement leur Berger, Jésus - TG2014 15/11§3-5 Lévitique 8 12 « Enfin, il versa une partie de l’huile d’onction sur la tête d’Aaron et l’oignit pour le sanctifier » Dans les temps bibliques, au Proche-Orient, enduire d’huile la tête d’une personne était une marque de faveur ou un geste d’hospitalité. L’huile utilisée était généralement de l’huile d’olive additionnée de parfum. Les Hébreux versaient également de l’huile sur la tête d’une personne — ils l’oignaient — pour montrer qu’elle était investie officiellement d’une autorité particulière. Par exemple, Aaron a été oint après avoir été nommé à la fonction de grand prêtre. Jésus a été investi par Dieu d’une grande autorité. Mais au lieu d’être oint avec de l’huile, il l’a été avec de l’esprit saint de Dieu – TG2009 1/8 Aaron avait été le premier d’une longue lignée de grands prêtres israélites. Après avoir été oint d’huile sainte, il avait dû attendre sept jours au tabernacle avant de recevoir pleins pouvoirs pour servir comme grand prêtre (Lévitique 8:12, 33). De même, Jésus dut attendre un certain temps avant d’être habilité à intercéder en faveur des humains. Cette période d’attente débuta au moment de son onction comme Grand Prêtre et dura jusqu’à sa résurrection. Contrairement à Aaron, le Fils immortel de Dieu n’a pas besoin de successeurs, et il est à la fois Prêtre et Roi “à la manière de Melchisédek” - TG1990 15/10 §12 Lévitique 8 14 « Puis il fit avancer le taureau du sacrifice pour le péché, et Aaron et ses fils posèrent les mains sur la tête du taureau du sacrifice pour le péché » Moïse habilla les fils d’Aaron, après quoi il leur demanda, ainsi qu’à leur père, de poser les mains sur la tête du taureau du sacrifice pour le péché. Ce geste indiquait qu’ils reconnaissaient que le sacrifice était fait pour eux, la maison sacerdotale. – it-1 p1189 Lévitique 8 22,23, 24 « Enfin, il fit avancer le deuxième bélier, le bélier de l’installation, et Aaron et ses fils posèrent les mains sur la tête du bélier. Moïse le tua, prit un peu de son sang et le mit sur le lobe de l’oreille droite d’Aaron, sur le pouce de sa main droite et sur le gros orteil de son pied droit. Puis Moïse fit approcher les fils d’Aaron et mit un peu de ce sang sur le lobe de leur oreille droite, sur le pouce de leur main droite et sur le gros orteil de leur pied droit ; mais Moïse aspergea avec le reste du sang tous les côtés de l’autel. » Quand Dieu a donné des prêtres à la nation d’Israël, il y a eu une cérémonie. Pendant cette cérémonie, Moïse a fait des sacrifices. Il a mis le sang d’un bélier sur l’oreille droite du grand prêtre Aaron et de ses fils, sur le pouce de leur main droite et sur le gros orteil de leur pied droit. (Lévitique 8:22-24) Cette façon spéciale d’utiliser le sang était un symbole : elle montrait que les prêtres devaient accomplir leur mission avec obéissance. Jésus est lui aussi Grand Prêtre. Quand il était sur la terre, il a donné un exemple parfait pour les chrétiens oints et pour les autres brebis. Il écoutait les ordres de Jéhovah, il faisait tout ce que Jéhovah lui demandait et il était saint dans toutes ses actions. Nous sommes tous des adorateurs de Jéhovah. Donc nous devons imiter Jésus qui est resté fidèle à Jéhovah. Nous devons respecter les ordres que Jéhovah nous donne dans la Bible pour éviter de le rendre triste. Comme cela, nous montrerons que nous sommes bien décidés à « faire des sentiers droits » pour nos pieds - TG2014 15/11§7,8 La Loi disait exactement quels genres de sacrifices les Israélites devaient faire. (Lévitique 9:1-4, 15-21) Les choses données en sacrifices devaient être sans défaut parce qu’elles représentaient le sacrifice parfait de Jésus. Et pour chaque sacrifice, les Israélites devaient suivre des méthodes précises. Que nous apprennent ces sacrifices ? Paul a demandé aux chrétiens de faire « des sacrifices de louanges » Nous le faisons quand nous prêchons et que nous parlons de Jéhovah. Ce qui est important, c’est de toujours donner à Jéhovah ce que nous avons de mieux à lui donner. - TG2014/11 §11,12 Jéhovah bénit la partie terrestre de son organisation. Rappelle-toi ce qui est arrivé en 1512 avant notre ère, quand le tabernacle a été dressé au pied du mont Sinaï. Moïse a présidé une cérémonie durant laquelle Aaron et ses fils ont été établis prêtres. La nation d’Israël s’était rassemblée pour voir les prêtres présenter leurs premiers sacrifices (Lév. 9:1-5). Comment Jéhovah a-t-il montré qu’il approuvait cette nouvelle prêtrise ? Alors qu’Aaron et Moïse bénissaient le peuple, Jéhovah a fait descendre du ciel un feu qui a complètement consumé le sacrifice sur l’autel (Lévitique 9:23, 24). Dans quel objectif Jéhovah a-t-il provoqué ce spectacle impressionnant à la fin de la cérémonie durant laquelle Aaron a été établi grand prêtre ? Il voulait montrer par là qu’il soutenait pleinement la prêtrise aaronique. Et les Israélites ont clairement vu qu’elle avait son approbation. Ils avaient donc toutes les raisons de la soutenir eux aussi. Est-ce important pour nous de savoir cela ? Oui ! La prêtrise en Israël n’était qu’une « ombre » d’une prêtrise bien meilleure. Le Christ est le Grand Prêtre par excellence et 144 000 humains seront prêtres et rois à ses côtés au ciel. En 1919, Jésus a choisi un petit groupe de frères oints pour former l’« esclave fidèle et avisé ». Cet esclave dirige la prédication et donne aux disciples du Christ « leur nourriture au bon moment » (Mat. 24:45). Avons-nous des preuves que Dieu l’approuve ? Satan et son monde font tout ce qu’ils peuvent pour empêcher cet esclave d’assumer ses responsabilités, à tel point que, sans l’aide de Dieu, il n’y arriverait pas. Toutefois, malgré deux guerres mondiales, des persécutions incessantes, des crises économiques mondiales et des traitements injustes, il continue de fournir de la nourriture spirituelle aux disciples du Christ sur la terre. Pense à toute la nourriture spirituelle qui est aujourd’hui disponible gratuitement dans plus de 1024 langues ! C’est une preuve incontestable du soutien de Dieu. Et voici une autre preuve encore : la prédication. La bonne nouvelle est prêchée « sur toute la terre » !. Il n’y a pas de doute, Jéhovah guide et bénit abondamment son organisation. – TG2019/11 §13-16 Qu’indiquait le fait de verser du sang à la base de l’autel et sur plusieurs objets ? Cela démontrait que Jéhovah agréait le sang à des fins propitiatoires. La propitiation avait le sang pour base. “ Presque toutes choses sont purifiées avec du sang — selon la Loi —, a écrit l’apôtre Paul, et il n’y a pas de pardon sans que du sang soit répandu. ” Lévitique 9-9 – TG2004 15/5
  10. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 23 Novembre 2020 - Lévitique 6-7.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 23 Novembre 2020 - Lévitique 6-7.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Lévitique 6-7 Lévitique 6:13 : Quelle était, selon une tradition juive, l’origine du feu sur l’autel, mais qu’indique la Bible ? (it-1 889§ 2). « Le feu sera entretenu sur l’autel constamment. Il ne doit pas s’éteindre. » Au tabernacle et au temple. Le feu avait une place dans le culte pratiqué au tabernacle, puis au temple. Chaque matin et entre les deux soirs, le grand prêtre devait brûler de l’encens sur l’autel de l’encens (Ex 30:7, 8). La Loi de Dieu exigeait qu’on maintienne continuellement allumé le feu sur l’autel de l’holocauste (Lv 6:12, 13). Bien que largement acceptée, la tradition juive selon laquelle, au départ, le feu de l’autel fut miraculeusement allumé par Dieu n’est pas corroborée par les Écritures. Selon les premières instructions que Jéhovah donna à Moïse, les fils d’Aaron devaient “ mettre du feu sur l’autel et disposer du bois sur le feu ” avant d’y déposer le sacrifice. C’est après l’installation de la prêtrise aaronique et, par conséquent, après qu’on eut offert les sacrifices d’installation, qu’un feu de Jéhovah, provenant sans doute du nuage au-dessus du tabernacle, consuma l’offrande qui se trouvait sur l’autel. Dès lors, ce feu miraculeux se manifesta, non en embrasant le bois sur l’autel, mais en ‘ consumant l’holocauste et les morceaux gras sur l’autel ’. Bien sûr, le feu qui continua à brûler ensuite sur l’autel résultait probablement à la fois du feu de Dieu et de celui qu’on y avait allumé auparavant. De même, un feu miraculeux envoyé par Jéhovah consuma les sacrifices aussitôt après la prière de Salomon lors de l’inauguration du temple. pour d’autres cas où Jéhovah provoqua un feu miraculeux lorsqu’il accepta des offrandes de ses serviteurs. - it-1 889§ 2 Chaque fois qu’un animal était sacrifié, on en faisait fumer des parties sur l’autel ; c’est pourquoi le feu sur l’autel devait être maintenu allumé ; il ne fallait pas le laisser s’éteindre (Lv 6:9-13). C’est de cet autel qu’on prenait du feu pour brûler de l’encens – it-1 p229 Autel Lévitique 6:25 : Quelle était la différence entre, d’une part, les sacrifices pour le péché et, d’autre part, les holocaustes et les sacrifices de paix ? (si 27§ 15). « Dis à Aaron et à ses fils : “Voici la loi concernant le sacrifice pour le péché : C’est à l’endroit où l’on tue l’holocauste que le sacrifice pour le péché sera également tué, devant Jéhovah. C’est une chose très sainte. » Le sacrifice pour le péché est requis en cas de péché involontaire ou de péché commis par erreur. L’animal à offrir est fonction du genre de personne qui a péché et pour qui il faut faire propitiation : un prêtre, le peuple, un chef ou une personne ordinaire. À la différence de l’holocauste et du sacrifice de communion offerts volontairement en faveur d’un individu, le sacrifice pour le péché est obligatoire - si 27§ 15 Les offrandes pour le péché et les offrandes de culpabilité, elles, étaient obligatoires. Les unes avaient pour but de faire propitiation pour des péchés commis par erreur, involontairement, commis en raison de la faiblesse de la chair imparfaite, et non “ à main levée ”, c’est-à-dire ouvertement, avec orgueil, à dessein ; les autres étaient apparemment destinées à apaiser Dieu quand on avait porté atteinte à l’une de ses prérogatives, ou à rétablir le transgresseur repentant dans certains de ses droits – TG1984 15/5 L’offrande de culpabilité était requise pour des péchés beaucoup plus sérieux. Elle servait à couvrir la culpabilité personnelle en cas d’infidélité, de tromperie ou de vol, péchés qui sous-entendent une part de volonté. Pour un vol, trois choses étaient exigées : un sacrifice d’animal, la restitution de l’objet volé et, dans certains cas, une compensation correspondant à un cinquième de la chose volée. La façon dont Jéhovah Dieu a réglementé ces sacrifices révèle son merveilleux sens de la justice. Tout était pris en considération : le rang social du pécheur, ses ressources et son degré de culpabilité. – TG1977 1/8 Sacrifices de culpabilité. Les sacrifices de culpabilité étaient également des sacrifices offerts en raison d’un péché, car toute culpabilité implique un péché. Ces sacrifices étaient requis pour des péchés particuliers à cause desquels une personne portait une culpabilité, et ils différaient légèrement des autres sacrifices pour le péché en ce qu’ils avaient apparemment pour but de faire réparation par rapport à un droit ou de rendre un droit. Il y avait eu violation d’un droit, soit de Jéhovah, soit de sa nation sainte. Le sacrifice de culpabilité avait pour objet soit de faire réparation à Jéhovah au sujet du droit violé, soit de rendre ou de faire recouvrer au pécheur repentant certains droits de l’alliance et de le libérer de la punition consécutive à son péché – it-2 Sacrifices Sacrifices de communion (ou offrandes de paix). Les sacrifices de communion agréables à Jéhovah signifiaient la paix avec Dieu. L’adorateur et sa maisonnée y avaient part (dans la cour du tabernacle ; selon la tradition, des huttes étaient dressées le long du côté intérieur du rideau clôturant cette cour ; dans le temple, des salles à manger étaient prévues). Le prêtre officiant recevait une portion, et les prêtres de service une autre portion. Jéhovah, en quelque sorte, recevait l’odeur agréable de la graisse consumée. Le sang, représentant la vie, était donné à Dieu comme lui appartenant. Ainsi, les prêtres, les adorateurs et Jéhovah partageaient en quelque sorte ce repas, ce qui signifiait des relations de paix. Quiconque en mangeait en état d’impureté (l’une quelconque des impuretés mentionnées dans la Loi) ou consommait la viande au-delà du temps prescrit (sous le climat chaud, elle commençait à se putréfier) devait être retranché du peuple. Une telle personne souillait ou profanait le repas, soit parce qu’elle était impure elle-même, soit parce qu’elle mangeait une chose infecte aux yeux de Jéhovah Dieu, montrant du mépris pour les choses sacrées – it-2 sacrifices Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Nos péchés peuvent avoir d’autres conséquences, en particulier s’ils ont fait du tort à autrui. Considérez Lévitique chapitre 6. La Loi mosaïque envisageait ici le cas où un Israélite commettait une faute grave en s’appropriant les biens d’un de ses compatriotes par le vol, l’extorsion ou la fraude, et où il niait, allant jusqu’à faire un faux serment. C’était alors sa parole contre celle de sa victime. Par la suite, tourmenté par sa conscience, il confessait son péché. Pour obtenir le pardon de Dieu, il lui fallait alors faire trois autres choses : rendre ce qu’il avait pris, verser à sa victime une amende de 20 % de la valeur de l’objet du délit et offrir un bélier en sacrifice de culpabilité. Alors, disait la Loi, ‘ le prêtre devait faire propitiation pour le coupable devant Jéhovah, et ainsi il devait lui être pardonné ’. — Lévitique 6:1-7 Cette loi était une disposition miséricordieuse de Dieu. Elle était bénéfique à la victime, car celle-ci retrouvait son bien et devait éprouver un grand soulagement quand le coupable avouait enfin son péché. Mais elle était également bénéfique à l’individu qui, aiguillonné par sa conscience, avait finalement admis sa culpabilité et corrigé le mal commis. En fait, s’il n’avait pas agi ainsi, Dieu ne lui aurait pas pardonné. Bien que nous ne soyons pas sous la Loi mosaïque, celle-ci nous est très utile pour comprendre les pensées de Jéhovah, notamment sur le pardon. Quand, ayant nui à quelqu’un par nos péchés, nous faisons notre possible pour réparer nos torts, cela est agréable à Dieu ; Il peut s’agir d’avouer notre péché, de reconnaître notre culpabilité et même de présenter des excuses à notre victime. Alors seulement, nous pouvons nous tourner vers Jéhovah en invoquant le sacrifice de Jésus et avoir l’assurance que Dieu nous a pardonné. – cl chap26 p260 §19-21 Les péchés contre les humains sont aussi des péchés contre le Créateur, à qui les hommes doivent rendre compte. Des péchés tels que le vol, la fraude ou le détournement des biens d’autrui sont considérés dans la Loi comme des ‘ infidélités envers Jéhovah ’. (Lv 6:2-4). Ceux qui endurcissaient leur cœur et fermaient leur main devant leurs frères pauvres, ou qui retenaient le salaire de leurs ouvriers, s’attiraient la désapprobation divine – it-2 p510 Péché Jéhovah Dieu ne peut mentir et il hait “ une langue mensongère ”. La loi qu’il donna aux Israélites exigeait une compensation pour les torts causés par une tromperie ou un mensonge malveillant (Lv 6:2-7). Et la personne qui présentait un faux témoignage devait subir le châtiment qu’elle souhaitait faire infliger à son semblable par ses mensonges. Le point de vue de Dieu sur les mensonges malveillants, tel qu’il est exprimé dans la Loi, n’a pas changé. Quiconque désire obtenir la faveur divine ne peut pratiquer le mensonge. Il ne peut pas vivre un mensonge, prétendant aimer Dieu tout en haïssant son frère - it-2 p254 Mensonge Un Israélite pouvait offrir un sacrifice de paix « pour exprimer sa reconnaissance » à Dieu (Lév. 7:11-13, 16-18). Il offrait ce sacrifice, non pas parce qu’il était obligé de le faire, mais parce qu’il le voulait. Il s’agissait donc d’un sacrifice qu’une personne faisait volontairement parce qu’elle aimait son Dieu, Jéhovah. Cette personne ainsi que sa famille et les prêtres mangeaient ensuite la viande de l’animal sacrifié. – TG2019/11 p1 §9 Dans la Bible, la spoliation est généralement liée aux relations commerciales, d’abuser de sa force, de son pouvoir ou de son autorité sur autrui. La loi de Dieu interdit la malhonnêteté en affaires. À de nombreuses reprises, la Bible met en garde contre la spoliation et les pratiques frauduleuses, et elle les condamne. Elle fait également remarquer que Dieu jugera les spoliateurs et qu’il délivrera son peuple de telles personnes. Les Israélites devaient agir honnêtement entre eux. Le salarié était particulièrement protégé par la Loi. Jésus Christ inclut l’interdiction de spolier parmi les “ commandements ” de Dieu (Mc 10:19). Sous l’alliance de la Loi, si un homme qui avait spolié son compagnon se repentait par la suite, révélait l’affaire et la confessait, il devait restituer à la victime le montant complet et y ajouter le cinquième ; en outre, il devait offrir un sacrifice de culpabilité à Jéhovah. — Lv 6:1-7. – it-2 p1017 Spoliation Le sang d’un animal destiné à la consommation devait être versé à terre et couvert de poussière. Quiconque mangeait le sang de quelque sorte de chair que ce soit devait être ‘ retranché du milieu de son peuple ’. Toute violation délibérée de la loi relative au caractère sacré du sang entraînait le ‘ retranchement ’ par mise à mort. — Lv 17:10 ; 7:26, 27 Les sacrifices que les Israélites offraient à Jéhovah étaient saints à ses yeux (Lév. 6:25 ; 7:1). Le terme hébreu pour “ sainteté ” évoque les idées de séparation, d’exclusivité, de sanctification pour Dieu. Jéhovah n’agréera nos sacrifices que s’ils sont “ séparés ” de la corruption morale du monde, préservés de son influence. Nous ne pouvons aimer aucune des choses que Dieu hait. Il nous faut donc refuser de nous livrer à des activités ou de côtoyer des personnes qui nous amèneraient à nous souiller de son point de vue – TG2012 15/1 p21 §8 Jéhovah a fourni aux membres de son peuple des moyens de lui prouver qu’ils lui étaient voués de cœur. Par exemple, la Loi prévoyait tout un système de sacrifices (ou d’offrandes) dont certains étaient obligatoires et d’autres volontaires. Holocaustes, offrandes de grain et sacrifices de communion étaient autant de sacrifices volontaires qu’on offrait à Jéhovah pour obtenir sa faveur et lui rendre grâces. — Lévitique 7:11-13. Ces sacrifices volontaires lui étaient agréables. De l’holocauste et de l’offrande de grain, il est dit qu’ils étaient “ une odeur reposante pour Jéhovah ”. Jéhovah encouragea les Israélites à donner en proportion de la bénédiction qu’il leur accordait – TG2006 1/7 p21 §8 À l’approche du Mémorial, chaque année, il est important que ceux qui d’habitude ont part aux emblèmes se remettent en question. Pour participer comme il convient à ce repas de communion, ils doivent être en bonne santé spirituelle. Quiconque manque de respect envers le sacrifice de Jésus, voire le méprise, court le risque d’être ‘ retranché du peuple de Dieu ’, au même titre qu’un Israélite qui mangeait un repas de communion en étant impur. — Lévitique 7:20. Paul a comparé le Mémorial à un repas de communion dans l’Israël antique. Après avoir parlé de ceux qui participaient ensemble au Christ, il a déclaré : “ Vous ne pouvez boire la coupe de Jéhovah et la coupe des démons ; vous ne pouvez avoir part à ‘ la table de Jéhovah ’ et à la table des démons. ” (1 Corinthiens 10:16-21). Si quelqu’un qui a ordinairement part aux emblèmes du Mémorial commet un péché grave, il doit le confesser à Jéhovah et rechercher l’aide spirituelle des anciens de la congrégation. S’il se repent sincèrement et produit le fruit qui convient à la repentance, il ne participera pas indignement – TG2003 15/2 p17 §4,5
  11. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 16 Novembre 2020 - Lévitique 4-5.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 16 Novembre 2020 - Lévitique 4-5.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Lévitique 4-5 Lévitique 5:1 : Comment ce verset s’applique-t-il aux chrétiens ? (w16.02 30 § 14). « “Si quelqu’un est témoin de quelque chose ou l’a vu ou l’a appris, et qu’il entende un appel à témoin mais ne révèle pas ce qu’il sait, il commet un péché et il portera la responsabilité de sa faute. » 14 La bonté peut t’aider à te montrer d’abord fidèle à Jéhovah tout en te montrant fidèle aux autres. Illustrons : Tu sais peut-être de source sûre qu’un compagnon chrétien a commis une faute grave. Et tu te sens peut-être tenu de lui rester fidèle, particulièrement s’il s’agit d’un proche, comme un ami ou un membre de ta famille. Mais si tu cherchais à couvrir sa faute, tu serais infidèle à Dieu. Ta fidélité à Jéhovah doit bien entendu avoir la première place. Alors, comme Nathân, sois bon mais ferme. Encourage ce proche à rechercher l’aide des anciens. S’il ne l’a pas fait dans un délai raisonnable, ta fidélité à Jéhovah devrait te pousser à signaler sa faute aux anciens de la congrégation. En agissant ainsi, tu te montres fidèle à Jéhovah et bon envers ton proche. En quel sens ? Tu donnes ainsi aux anciens la possibilité d’essayer de le redresser avec douceur w16.02 30 Pour certaines offenses graves, telles que les actes sexuels immoraux, l’adultère, l’homosexualité, le blasphème, l’apostasie, l’idolâtrie, etc., le pardon de la personne offensée n’est pas suffisant. La pureté spirituelle et morale de l’assemblée étant menacée, de tels péchés graves doivent être révélés aux anciens et traités par eux. Des anciens peuvent apprendre qu’un péché a été commis soit parce que le chrétien concerné vient se confesser, soit parce qu’un autre chrétien leur fait part de ce qu’il sait (Lév. 5:1). Quelle que soit la manière dont ils sont informés d’une faute grave commise par un Témoin de Jéhovah, deux anciens doivent en premier lieu vérifier les faits. S’il s’avère que l’information qui leur a été communiquée est fondée et qu’il y a des preuves qu’un péché grave a été commis, le collège des anciens désigne un comité de discipline religieuse composé d’au moins trois d’entre eux pour traiter l’affaire. – Livre Organisés (od) chap14 p141 §21 Si quelqu’un est témoin de quelque chose ou l’a vu ou l’a appris, et qu’il entende un appel à témoin mais ne révèle pas ce qu’il sait, il commet un péché et il portera la responsabilité de sa faute - od p193 Jéhovah a donné aux anciens la responsabilité d’aider les membres de l’assemblée. C’est plus facile pour les anciens de nous aider quand nous sommes honnêtes avec eux. Imagine une autre situation : Tu découvres qu’un de tes amis a commis une faute grave. Vas-tu te dire : « Si je suis vraiment son ami, je ne vais pas en parler » ? Ou bien te souviendras-tu que les anciens sont là pour lui donner l’aide dont il a besoin pour reconstruire et fortifier sa relation avec Jéhovah ? lvs chap14 p187§11 Lévitique 5:15, 16 : Comment pourrait-on se montrer « infidèle en péchant involontairement contre les choses saintes de Jéhovah » ? (it-2 861 § 8). « Si quelqu’un se montre infidèle en péchant involontairement contre les choses saintes de Jéhovah, il amènera à Jéhovah, comme sacrifice de réparation, un bélier sans défaut pris dans le petit bétail ; sa valeur en sicles d’argent est fixée d’après le sicle de référence du lieu saint. 16 Il donnera aussi la compensation pour le péché qu’il a commis contre le lieu saint, et il y ajoutera un cinquième de la valeur. Il donnera cela au prêtre, pour que le prêtre fasse le rite de réconciliation pour lui avec le bélier du sacrifice de réparation, et il lui sera pardonné. » Animaux et productions. Les mâles premiers-nés d’entre les bovins, les moutons et les chèvres étaient considérés comme saints pour Jéhovah et ne devaient pas être rachetés. Ils devaient être sacrifiés, et une portion allait aux prêtres sanctifiés (Nb 18:17-19). Les prémices et la dîme étaient sacrées, de même que tous les sacrifices et tous les dons sanctifiés pour le service du sanctuaire (Ex 28:38). Toutes les choses saintes pour Jéhovah étaient sacrées, et ne devaient ni être considérées à la légère ni prises pour un usage ordinaire, profane. C’est ce qu’illustre la loi sur la dîme. Si un homme avait mis à part la portion qui devait être offerte en dîme, par exemple sur sa récolte de blé, et que lui ou un membre de sa maisonnée en ait prélevé involontairement une partie pour un usage domestique, comme la cuisine, l’homme était coupable d’une transgression de la loi de Dieu sur les choses saintes. Il était tenu par la Loi de faire au sanctuaire une compensation de même quantité, augmentée de 20 %, en plus d’offrir en sacrifice un bélier sans défaut pris dans son petit bétail. Voilà qui engendrait un grand respect envers les choses saintes appartenant à Jéhovah. — it-2 861 § 8 En Israël, toutes les choses saintes aux yeux de Jéhovah étaient sacrées, et les serviteurs de Dieu n’avaient pas le droit de les prendre à la légère ni d’en faire un usage indigne et profane. Citons à titre d’exemple la loi relative à la dîme. Si un homme mettait de côté la dîme de sa récolte de blé, et que lui ou un membre quelconque de sa famille en prélevât involontairement une partie pour l’usage domestique, par exemple la cuisine, cette personne transgressait la loi divine touchant les choses saintes. Était-ce une affaire de peu d’importance, sur laquelle il suffisait de fermer les yeux ? Certainement pas. La Loi de Dieu exigeait que le coupable restitue, avec vingt pour cent en plus, la valeur de la chose dont il avait frustré le sanctuaire, et qu’il offre en outre en sacrifice un bélier sans défaut de son troupeau. Ainsi la Loi engendrait un profond respect pour les choses saintes appartenant à Jéhovah (Lév. 5:14-16). Cela ne devrait-il pas nous montrer qu’il est important pour nous de traiter aujourd’hui les choses utilisées dans le service de Jéhovah avec tout le respect qui convient ? – TG1971 15/3 p166 Quelqu’un qui péchait involontairement contre les choses saintes de Jéhovah (par exemple, s’appropriait involontairement du grain mis à part comme dîme pour le sanctuaire, et s’en servait pour son usage personnel ou pour celui de sa maisonnée [un usage ordinaire, ce qui profanait la chose sanctifiée]) (Lv 5:15a) : il fallait donner au sanctuaire la compensation plus un cinquième (Lv 5:16). Un bélier était présenté en sacrifice de culpabilité. — it-2 Sacrifices Les chapitres 5 et 6 du Lévitique nous éclairent sur la signification et le but des sacrifices de culpabilité. Même si c’était involontairement, peut-être un transgresseur avait-il violé les droits de son semblable ou de Jéhovah Dieu, ce qui demandait réparation. Plusieurs sortes de péchés sont mentionnées. Certains étaient d’ordre privé (5:2-6), d’autres étaient des péchés “ contre les choses saintes de Jéhovah ” (5:14-16), d’autres encore, sans être dus entièrement à l’ignorance, résultaient de mauvais désirs ou de faiblesses de la chair (6:1-3). Non seulement le transgresseur devait confesser ces péchés, mais il lui fallait aussi, quand les circonstances l’exigeaient, compenser le préjudice, puis présenter un sacrifice de culpabilité à Jéhovah. -TG2000 15/8 §11 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Les chefs devaient être respectés, mais ils n’étaient pas dispensés d’obéir à la loi de Dieu. Quand ils péchaient contre la Loi, ils devaient se soumettre à ses ordonnances concernant de tels péchés. En raison de leur position de responsabilité et des conséquences que leur conduite, leur exemple et leur influence avaient sur les autres, quand ils transgressaient involontairement un commandement divin, les sacrifices pour le péché qu’ils offraient étaient différents. Le grand prêtre devait offrir un jeune taureau, un chef était tenu de présenter un chevreau, et toute autre personne du peuple soit une chevrette, soit une agnelle. — Lv 4:3, 22, 23, 27, 28, 32. – it-1 p435 Selon la Loi, aucun sacrifice pour le péché, dont le sang était apporté dans le sanctuaire pour faire propitiation, ne devait être mangé par le prêtre. Sa carcasse et ses excréments devaient être brûlés dans un lieu pur hors du camp (Lv 4:11, 12), afin que rien de l’animal ne serve à un autre usage ou ne soit laissé se décomposer. L’animal était “ pur ”, c’est-à-dire sanctifié pour Jéhovah, et donc devait être brûlé dans un lieu pur – it-1 p831 La culpabilité rendait toujours passible d’une sanction ; il n’y avait pas d’exception. On ne pouvait pas fermer les yeux sur une faute. Chaque fois que la Loi l’exigeait, la punition devait être infligée ou, dans certains cas, la compensation fournie. Puis, pour faire la paix avec Dieu, le coupable devait présenter un sacrifice au sanctuaire. Il fallait un sacrifice pour la propitiation dans tous les cas de culpabilité (Lv 5:1-19). Même un péché involontaire entraînait la culpabilité, et il fallait faire des sacrifices pour la propitiation (Lv 4:1-35). Dans le cas de certains délits comme la tromperie, la spoliation ou l’extorsion, si le pécheur se repentait et se confessait volontairement, il devait donner la compensation et présenter aussi un sacrifice de culpabilité. it-2 p665 Procès Dans la Loi que Dieu a donnée à la nation d’Israël, nous trouvons des instructions précises sur la marche à suivre lorsqu’une personne péchait. Par exemple, si un individu péchait contre son semblable ou enfreignait une loi de Dieu, il devait se confesser à un prêtre nommé de la tribu de Lévi, qui faisait alors propitiation pour lui en offrant à Dieu un sacrifice pour le pardon du péché. — Lévitique 5:1-6. La confession des péchés est restée une exigence de Dieu dans la congrégation chrétienne du 1er siècle de notre ère. Puisque le pardon ne peut venir que de Dieu, c’est à lui que l’on doit se confesser. Pour obtenir le pardon il faut non seulement reconnaître et confesser son péché, mais aussi être disposé à abandonner sa mauvaise conduite. TG2010 1/9 p22 Sous la Loi, quiconque formulait un tel vœu irréfléchi était coupable devant Dieu et devait présenter une offrande de culpabilité pour son péché (Lv 5:4-6). Un vœu n’a aucune valeur aux yeux de Dieu s’il n’est pas conforme à ses lois justes et ne vient pas du genre de cœur et d’esprit qui conviennent. – it-2 p1164 Vœu La Bible explique qu’en raison de notre imperfection “ tous, nous trébuchons souvent ”, notamment en faisant un mauvais usage de notre langue. Que faire si nous nous apercevons que nous avons manqué à notre parole ? La Loi que Dieu avait donnée à Israël comprenait une disposition miséricordieuse pour celui qui était coupable d’avoir ‘ parlé inconsidérément ’. (Lév. 5:4-7, 11) Les chrétiens qui commettent ce genre de péché bénéficient eux aussi d’une disposition pleine d’amour. Si nous confessons notre péché à Jéhovah, nous obtiendrons son pardon grâce au service accompli par notre Grand Prêtre Jésus Christ. Mais pour conserver la faveur de Dieu, nous devons produire des fruits qui conviennent à la repentance, en ne faisant pas de ce péché une pratique et en nous efforçant de réparer les torts causés par nos propos inconsidérés. Bien entendu, il est de loin préférable de réfléchir attentivement avant de faire des promesses que nous ne sommes pas en mesure de tenir – TG2012 15/10 p27 §16 Jéhovah sait que nous n’avons pas tous les mêmes capacités ni la même situation, et il apprécie beaucoup les sacrifices que nous lui offrons. Pense aux types de sacrifices qu’il acceptait de la part des Israélites. Certains avaient les moyens d’offrir un agneau ou une chèvre. Mais quelqu’un qui était pauvre était autorisé à offrir « deux tourterelles ou deux jeunes pigeons ». Et si c’était encore trop cher pour lui, Jéhovah acceptait « un dixième d’épha de farine fine » (Lév. 5:7, 11). La farine coûtait moins cher, mais Jéhovah appréciait ce sacrifice, du moment qu’il s’agissait de « farine fine », c’est-à-dire d’excellente qualité. À notre époque, notre Dieu bienveillant voit les choses de la même façon. Souviens-toi de la veuve qui a offert les deux petites pièces de monnaie. Elle était précieuse aux yeux de Jéhovah parce qu’elle donnait tout ce qu’elle pouvait – TG2019/1 p8 §4,5 Voyons comment la nature raisonnable de Jéhovah transparaissait dans la Loi mosaïque. Si un Israélite était trop pauvre pour offrir un agneau ou une chèvre en sacrifice, il pouvait offrir deux tourterelles ou deux pigeons. Et s’il était pauvre au point de ne même pas pouvoir se procurer deux pigeons ? Jéhovah lui permettait alors d’offrir un peu de farine. Toutefois, note bien cette précision : il ne devait pas amener n’importe quelle farine, mais de la « fleur de farine », celle qu’on utilisait pour les invités de marque (Gen. 18:6). Pourquoi n’est-ce pas un détail ? (Lévitique 5:7, 11). Imagine que tu sois un Israélite ayant peu de moyens. Tu arrives au tabernacle avec la petite quantité de farine que tu comptes offrir et tu remarques des Israélites plus riches qui apportent du bétail. Avec ton offrande de farine apparemment de peu de valeur, tu es peut-être mal à l’aise. Puis tu te rappelles qu’aux yeux de Jéhovah ton offrande a une grande valeur. Pourquoi ? Notamment parce qu’il a exigé que la farine soit de haute qualité. C’est comme s’il avait dit au pauvre : « Je sais que tu ne peux pas offrir autant que d’autres, mais je sais que tu m’offres ce que tu as de meilleur. » Jéhovah se montre assurément raisonnable en tenant compte des limites et de la situation de ses serviteurs. Voilà qui nous réconforte : Jéhovah, le Dieu raisonnable, accepte notre service pourvu que nous l’offrions de toute notre âme TG2013 15/6 p15-16 Nous savons aussi que les reins sont entourés d’une couche de graisse d’un centimètre ou plus, selon la corpulence de la personne. Cela montre davantage encore à quel point ces organes sont situés profondément dans le corps humain, hors de la vue des hommes. Du fait que les reins sont recouverts d’une épaisse couche de graisse, ils constituaient une partie précieuse des sacrifices d’animaux que le peuple offrait à Jéhovah dans l’Antiquité. Les reins étaient au nombre de ces morceaux gras. De même, à propos des sacrifices que les Israélites offraient à Jéhovah, nous lisons à diverses reprises que “les deux rognons [les reins chez les animaux] et la graisse qui est sur eux” étaient réservés à Jéhovah (Lév. 4 :9) La graisse des reins brûlait très bien et dégageait une odeur agréable. Les reins n’étaient donc pas une partie insignifiante des sacrifices offerts à Dieu.
  12. https://documentcloud.adobe.com/link/review?uri=urn:aaid:scds:US:5a917ead-ca46-422c-851e-ecd04ee2b5f7 Versets-campagne Royaume.pdf
  13. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 9 Novembre 2020 - Lévitique 1-3.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 9 Novembre 2020 - Lévitique 1-3.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Lévitique 1-3 Lévitique 2:13 : Pourquoi fallait-il offrir du sel avec toutes les offrandes ? (Éz 43:24 ; w04 15/5 22 § 1).. « Toutes les offrandes de céréales que tu feras seront assaisonnées de sel ; veille à ce que le sel de l’alliance de ton Dieu ne manque pas sur ton offrande de céréales. Tu offriras du sel avec toutes tes offrandes » Il ne s’agissait pas de rehausser la saveur de ce qui était sacrifié. Le sel est utilisé dans le monde entier comme agent de conservation. On l’ajoutait vraisemblablement aux offrandes pour symboliser l’absence de corruption ou de décomposition. w04 15/5 22 § 1 La Bible emploie l’expression “ alliance de sel ” pour indiquer le caractère permanent et immuable d’une alliance. Chez les anciens, manger le sel ensemble était un signe d’amitié et sous-entendait une fidélité durable ; manger du sel avec les sacrifices de communion était symbole de fidélité perpétuelle. - it-1 p77 La Bible mentionne le sel en tant qu’élément essentiel de l’alimentation humaine, en tant qu’assaisonnement. Sous la Loi mosaïque, tout ce qui était offert à Jéhovah sur l’autel devait être salé, non pour une question de saveur, mais sans aucun doute parce que le sel représentait le fait de n’être pas corrompu ni décomposé. De grandes quantités de sel étaient certainement stockées - it-2 p921 Étant donné le nombre de ses vertus et de ses utilisations, il n’est guère surprenant que le sel soit employé comme image dans la Bible. Sous la Loi mosaïque, par exemple, tout ce qui était offert à Jéhovah sur l’autel devait être salé. Ce n’était pas pour relever le goût des sacrifices, mais sans doute parce que le sel représentait le fait de n’être pas corrompu ni décomposé TG1999 15/8 p32 La Loi mosaïque prescrivait l’assaisonnement de tous les sacrifices : “ Tu mettras du sel sur toutes tes offrandes ; tu ne laisseras point ton offrande manquer de sel, signe de l’alliance de ton Dieu ; sur toutes tes offrandes tu mettras du sel. ” Pourquoi ? Le sel préserve, il empêche la putréfaction. Il était interdit d’offrir des choses en décomposition. Le sel, en empêchant toute altération par voie de décomposition, assurait la permanence. Il était utilisé dans une alliance pour en représenter l’immutabilité, la permanence. Chez les Anciens, c’était signe d’amitié que de manger du sel ensemble ; cela dénotait une fidélité et une loyauté éternelles. Celui qui sacrifiait des offrandes de communion sur l’autel de Jéhovah était regardé comme participant avec Jéhovah ; ainsi l’emploi du sel dans les sacrifices indiquait une participation au sel avec Dieu, ce qui symbolisait une loyauté éternelle. TG1957 p87 Lévitique 3:17 : Pourquoi était-il interdit aux Israélites de manger de la graisse, et qu’est-ce que cela nous enseigne ? (it-1 1003 ; w04 15/5 22 § 2). « Vous ne devez manger d’aucune graisse ni d’aucun sang ; c’est une loi permanente de génération en génération partout où vous habiterez.” » Puisque la graisse était considérée comme la partie la meilleure ou la plus riche d’un animal, le fait d’en interdire la consommation enseignait aux Israélites que la meilleure partie revenait à Jéhovah (Genèse 45:18). Cela nous rappelle que nous devrions donner à Jéhovah ce que nous avons de meilleur. - w04 15/5 22 § 2 La graisse était considérée comme la meilleure partie de l’animal. Cela ressort des expressions figurées telles que la “graisse du pays”, le “meilleur [littéralement, la graisse] en huile”, et “le meilleur [littéralement, la graisse] en moût et en blé”. (Gen. 45:18) Par conséquent, l’interdiction de manger la graisse servait évidemment à faire bien comprendre aux Israélites que ce qu’il y a de plus délicat dans la chair des animaux appartenait à Jéhovah et devait lui être offert en sacrifice. Manger la graisse reviendrait donc à s’approprier illégalement une chose consacrée à Jéhovah. Cela équivaudrait à usurper sur ses droits. Toutefois, la graisse d’une bête morte ou déchirée par une autre bête pouvait servir à un usage quelconque. – TG1973 p126 La loi sur la graisse. Jéhovah donna aux Israélites des instructions relatives à l’usage de la graisse dans les sacrifices de communion. Lorsqu’ils présentaient des bovins ou des chèvres, ils devaient faire fumer sur l’autel la graisse qui recouvrait les lombes, les intestins et les rognons, ainsi que le tissu annexe graisseux qui est sur le foie. S’il s’agissait de moutons, la queue grasse tout entière devait également être offerte. (Les moutons de Syrie, de Palestine, d’Arabie et d’Égypte ont des queues grasses qui pèsent souvent 5 kg ou plus.) La Loi spécifiait : “ Toute la graisse appartient à Jéhovah [...] : vous ne devez manger aucune graisse ni aucun sang. ” — Lv 3:3-17. La graisse devait brûler vivement et se consumer pour ainsi dire entièrement sur l’autel. Aucune graisse offerte sur l’autel ne devait y être laissée jusqu’au lendemain matin ; elle risquait de pourrir et de sentir mauvais, ce qui aurait été très inconvenant pour n’importe quelle partie des offrandes sacrées. La défense de manger de la graisse, mentionnée dans le Lévitique, n’est plus valide aujourd’hui, car nous ne sommes plus sous la loi de Moïse que Dieu a abolie par la mort de Jésus. – it-1 p1003 Graisse Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Quand un Israélite offrait un holocauste, il le faisait “ de son plein gré devant Jéhovah ”. (Lévitique 1:3) Ce sacrifice était une déclaration publique, un geste volontaire par lequel il reconnaissait les abondantes bénédictions de Jéhovah et son immense bonté de cœur envers ses serviteurs. Rappelons que l’holocauste avait ceci de particulier que l’animal sur l’autel était brûlé en entier, image de l’attachement complet et de l’offrande totale. Pareillement, nous montrons notre foi dans le sacrifice rédempteur et la gratitude qu’il nous inspire quand nous offrons volontairement et de tout cœur à Jéhovah notre “ sacrifice de louange, c’est-à-dire le fruit de nos lèvres ”. – TG2000 15/8 p17 §17 La Loi de Moïse autorisait les Israélites à manger des animaux. De plus, elle exigeait qu’ils offrent des sacrifices d’animaux (Lévitique 1:5, 6). Mais Jéhovah n’a jamais permis à ses adorateurs d’être cruels avec les animaux. En fait, la Loi contenait des règles qui protégeaient les animaux de la cruauté. Et elle ordonnait aux Israélites de bien s’occuper de leurs animaux - lvs p238 Dans son amour, Jéhovah comprenait bien que tous ne pouvaient pas lui offrir des sacrifices de même valeur. Il n’exigeait des Israélites que ce qu’ils pouvaient donner. La Loi voulait que le sang d’un animal soit répandu ; c’était « une ombre des bonnes choses à venir » par l’intermédiaire de son Fils, Jésus. Les victimes sacrificielles elles-mêmes, des animaux sains et sans défaut offerts en holocauste ou comme sacrifices pour le péché, représentaient le sacrifice parfait et sans défaut du corps humain de Jésus Christ. Toutefois, Jéhovah n’était pas rigide. Par exemple, de la part de celui qui n’avait pas les moyens d’offrir un animal pris parmi le petit ou le gros bétail, il acceptait des tourterelles. Ainsi, même le pauvre avait la joie d’offrir des sacrifices à Jéhovah (Lév. 1:3, 10, 14). Mais quel que soit l’animal offert, deux choses étaient requises de celui qui faisait un sacrifice volontaire. Premièrement, le donneur devait offrir ce qu’il avait de meilleur. Jéhovah l’avait dit aux Israélites : s’ils voulaient s’« attirer l’approbation », toutes leurs offrandes devaient être sans défaut. Si l’animal avait une tare, il ne serait pas considéré comme acceptable pour Jéhovah. Deuxièmement, le donneur devait lui-même être pur et sans souillure. Celui qui voulait offrir un sacrifice volontaire mais se trouvait dans un état d’impureté devait d’abord retrouver l’approbation divine en offrant un sacrifice pour le péché ou un sacrifice de culpabilité. C’était une question sérieuse. Jéhovah avait bien précisé que toute personne qui, dans un état d’impureté, avait part à un sacrifice de communion (qui pouvait être une offrande volontaire) serait retranchée de son peuple. Par contre, quand il avait l’approbation de Jéhovah et que son offrande était sans tare, le donneur pouvait se réjouir « d’une grande joie » Aujourd’hui aussi, beaucoup ont envie de se dépenser au service de Jéhovah, et Jéhovah s’en réjouit. Se dévouer pour ses compagnons est très gratifiant. Jéhovah nous encourage à donner le meilleur et sans retenue - TG2013 15/12 p11 Lévitique 2:11 — Pourquoi Jéhovah n’acceptait-il pas les offrandes de miel ? Selon toute vraisemblance, le mot “miel” ne désigne pas dans ce passage la substance produite par les abeilles, mais un sirop de fruits, sans quoi le “miel” en question n’aurait pas été englobé dans les “prémices” ou ‘premiers fruits’. (Lévitique 2:12) Puisque ce “miel” ou sirop de fruits était susceptible de fermenter, il ne pouvait constituer une offrande agréable sur l’autel de Jéhovah. – TG2004 15/5 p25 Un repas de communion. Dans l’ancien Israël, un homme pouvait offrir un repas de communion. Il apportait un animal au sanctuaire, où on le tuait. Une partie de l’animal offert allait sur l’autel en “ odeur reposante pour Jéhovah ”. Une partie revenait au prêtre qui officiait, une autre partie aux prêtres fils d’Aaron, et l’offrant ainsi que sa maisonnée prenaient part au repas (Lv 3:1-16). Celui qui était ‘ impur ’ au regard de la Loi n’avait pas le droit de manger un sacrifice de communion sous peine d’être ‘ retranché de son peuple ’. — De la même façon, le Repas du Seigneur est un repas de communion, car plusieurs personnes y ont part. Jéhovah Dieu est impliqué puisqu’il est l’Auteur de cette disposition, Jésus Christ est le sacrifice rédempteur, et ses frères spirituels mangent les emblèmes en tant que coparticipants. L’acte de manger à “ la table de Jéhovah ” signifierait qu’ils sont en paix avec Jéhovah. De fait, les sacrifices de communion étaient parfois appelés “ offrandes de paix ”. — Lv 3:1 - it-2 p761 Repas du Seigneur
  14. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 2 Novembre 2020 - 4xode 39-40.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 2 Novembre 2020 - 4xode 39-40.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Exode 39-40 Exode 39:34 : Qu’est-ce qui peut expliquer que les Israélites aient pu se procurer des peaux de phoque pour le tabernacle (it-2 510). « sa couverture en peaux de béliers teintes en rouge, sa couverture en peaux de phoques, le rideau de séparation » Comment les Israélites purent s’en procurer. Si le taḥash de la Bible désigne bien une espèce de phoque, on peut se demander comment les Israélites purent se procurer des peaux de phoques. Bien qu’on associe généralement les phoques à l’Arctique et à l’Antarctique, il faut savoir que certaines espèces préfèrent des climats plus tempérés. Aujourd’hui encore, quelques phoques moines peuplent certaines parties de la Méditerranée ainsi que d’autres mers chaudes. Au cours des siècles, l’homme a considérablement réduit le nombre des phoques ; il se peut donc que dans les temps bibliques ces animaux aient abondé en Méditerranée et dans la mer Rouge. Encore en 1832, une édition du Dictionnaire de la Bible d’Augustin Calmet (p. 139) faisait cette remarque : “ On trouve des phoques sur un grand nombre des petites îles de la mer Rouge, autour de la péninsule du Sinaï. ” — Les Égyptiens de l’Antiquité faisaient du commerce sur la mer Rouge et recevaient évidemment des produits provenant de nombreuses régions de la Méditerranée. Il leur était donc possible de se procurer des peaux de phoques. Par conséquent, lorsque les Israélites quittèrent l’Égypte, il se peut qu’ils aient emporté les peaux de phoques qu’ils possédaient déjà, ainsi que d’autres qu’ils reçurent quand les Égyptiens leur remirent de nombreuses choses de valeur. — it-2 p510 Des phoques en mers chaudes ? Les phoques sont souvent présentés évoluant dans les mers glacées de l’Arctique ou de l’Antarctique. Mais savez-vous que certains phoques peuvent s’épanouir sous des climats tempérés, allongés au soleil sur le sable de plages désertes? Faisons connaissance avec le phoque moine de la Méditerranée. Ce phoque des mers chaudes, dont la taille peut atteindre 3,50 mètres, est couvert d’un pelage ras et dru à taches brunes; sa face ventrale est d’un blanc jaunâtre. Ces couleurs caractéristiques rappellent l’habit de certains moines, ce qui expliquerait son nom. Plusieurs passages bibliques parlent d’une peau (taḥash en hébreu) qui couvrait le tabernacle et les ustensiles du sanctuaire (Exode 25:5; 26:14; Nombres 4:8). Certains biblistes pensent que taḥash désigne la peau de phoque. S’agit-il de la peau du phoque moine? La présence de cet animal, jadis, dans les eaux de la mer Méditerranée appuie cette hypothèse - RV 1994 22/10 p31 Exode 40:34 : Lorsque le nuage s’est mis à couvrir la tente de la rencontre, qu’est-ce que cela a indiqué ? (w15 15/7 21 § 1). « Et le nuage se mit à couvrir la tente de la rencontre, et la gloire de Jéhovah remplit le tabernacle » Le tabernacle achevé, un nuage « se mit à couvrir la tente de réunion, et la gloire de Jéhovah remplit le tabernacle » (Ex. 40:34). Quelle preuve manifeste de l’approbation divine ! À ton avis, qu’ont éprouvé Betsalel et Oholiab à ce moment-là ? Bien que leur nom n’ait pas été gravé sur leurs œuvres, ils ont dû éprouver une grande satisfaction en constatant que Jéhovah bénissait leur dur travail. Leurs ouvrages ont continué de servir au culte pour Jéhovah pendant des années, ce qui les a sûrement réjouis. Dans le monde nouveau, quand ils ressusciteront, ils seront sans aucun doute ravis d’apprendre que le tabernacle a servi au vrai culte pendant quelque 500 ans - w15 15/7 21 § 1 Cette manifestation divine prouvait que Bézalel et Oholiab s’étaient bien acquittés de leur tâche et que Jéhovah l’agréait. Son esprit avait agi par leur entremise. Nous pouvons être certains d’une chose: l’esprit saint soutient le culte pur de Jéhovah. Il déploie tout particulièrement son activité en faveur de ceux qui pratiquent le culte du seul vrai Dieu et qui lui accordent leur soutien. Nous en avons pour preuve les événements qui se sont produits à l’époque où des juges spécialement choisis gouvernaient le peuple d’Israël. – hs p68 Le nuage demeura au-dessus du Très-Saint, dans lequel se trouvait l’arche de l’alliance, et il devenait une colonne de feu la nuit. Ce nuage était sans aucun doute visible de n’importe quel endroit du camp, dont il marquait le centre. Lorsqu’il s’élevait, les Israélites se préparaient à lever le camp. Quand il se déplaçait, ils le suivaient jusqu’au campement suivant, dont l’emplacement précis, néanmoins, était peut-être choisi avec l’aide de Hobab, qui connaissait bien le pays, y compris les points d’eau et d’autres caractéristiques nécessaires à un camp aux proportions aussi énormes. À l’intérieur du Très-Saint, au-dessus de l’arche de l’alliance, il y avait un nuage très brillant, la seule lumière à éclairer ce compartiment. En hébreu postbiblique, on l’appela la Shekina. Le jour des Propitiations, lorsqu’il entrait dans le Très-Saint avec le sang des animaux, le grand prêtre se tenait symboliquement en présence de Jéhovah. Le reste du temps, quand, sans entrer dans le Très-Saint, il se plaçait devant le rideau pour interroger Jéhovah sur une affaire importante, on considérait qu’il se tenait devant Dieu – it-2 p423 Nuage Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Vêtements officiels. S’il portait des vêtements de lin semblables à ceux des sous-prêtres quand il vaquait à ses activités courantes, le grand prêtre revêtait des vêtements spéciaux, de gloire et de beauté, à certaines occasions. Les chapitres Exode 28 et 39 les décrivent ainsi que leur confection sous la direction de Moïse, selon ce que Dieu avait ordonné. Le vêtement de dessous était la robe de fin lin (probablement blanc), en tissu quadrillé. Cette robe avait apparemment des manches longues et descendait jusqu’aux chevilles. Elle était vraisemblablement tissée d’une seule pièce. Une écharpe de fin lin retors, tissée avec du fil teint bleu, pourpre rougeâtre et écarlate de cochenille, entourait le corps, probablement au-dessus de la taille. — Exode 28:39 ; 39:29. L’éphod, sorte de tablier formé d’un devant et d’un dos, et qui descendait un peu au-dessous de la taille, était porté par tous les prêtres et parfois par des gens qui n’appartenaient pas à la prêtrise. L’éphod qui faisait partie des vêtements du grand prêtre pour la beauté était un ouvrage de broderie spéciale. Il se composait de fin lin retors, de laine teinte en pourpre rougeâtre, de tissu teint en écarlate de cochenille et de fils d’or qu’on préparait en martelant de l’or en feuilles minces, puis en les découpant en fils (Ex 39:2, 3). – it-1 p1005 grand prêtre Le grand prêtre d’Israël. En Israël, le turban du grand prêtre avait sur le devant, au-dessus du front du prêtre, une plaque d’or, “ le signe saint de consécration ”, sur laquelle étaient écrits “ en gravures de sceau ” les mots : “ La sainteté appartient à Jéhovah. ” (Ex 39:30). En sa qualité de principal représentant du culte de Jéhovah en Israël, il convenait que le grand prêtre fasse que sa fonction reste sainte ; de plus, cette inscription rappelait à tout Israël la nécessité de demeurer saint constamment au service de Jéhovah. En outre, ce signe préfigurait très bien le Grand Prêtre souverain, Jésus Christ, et le fait que Jéhovah le consacrerait au service sacerdotal qui soutient Sa sainteté - it-1 p931 Le lieu où les Israélites offraient leurs sacrifices avait-il de l’importance ? Oui. Jéhovah a demandé à son peuple de construire un tabernacle qui est devenu le centre du culte pur (Ex. 40:1-3, 29, 34). À l’époque, si les Israélites voulaient que Dieu approuve leurs offrandes, ils devaient les apporter au tabernacle (Deut. 12:17, 18) Mais il y avait plus important encore : leurs mobiles ! Les Israélites devaient avoir un amour sincère pour Jéhovah et pour ses normes – rr chap2 p15 §24 La pureté physique est requise de ceux qui adorent Jéhovah dans la sainteté et la pureté. C’est ce que montrent les activités au tabernacle et le service au temple. Lors de leur installation, le grand prêtre Aaron et ses fils se baignèrent avant de revêtir leurs vêtements officiels (Exode 40:12-15). Pour se laver les mains et les pieds, les prêtres se servaient de l’eau que contenait le bassin de cuivre dans la cour du tabernacle et, par la suite, l’immense mer en métal fondu dans le temple de Salomon (Exode 40:30-32). Le jour des Propitiations, le grand prêtre se baignait deux fois – it-1 p257 Lorsqu’en 29 de notre ère Jésus s’est fait baptiser et a été oint de l’esprit saint, il a été offert sur l’autel de la volonté divine (Luc 3:21, 22). Cet événement a été le point de départ d’une vie sacrificielle qui a duré trois ans et demi (Hébreux 10:5-10). Pendant cette période, Jésus a eu avec Dieu des relations de personne qui a été engendrée de l’esprit. Les autres humains ne pouvaient comprendre pleinement cette position unique qu’il occupait vis-à-vis de son Père céleste. Leur discernement se trouvait borné comme par un voile, comparable à celui qui empêchait de voir à l’intérieur du Saint depuis la cour du tabernacle. — Exode 40:28. – TG2000 15/1 p15 Combien de temps les colonnes de nuage et de feu miraculeuses restèrent-elles avec le camp d’Israël ? Jéhovah guida miraculeusement les Israélites hors d’Égypte et dans le désert en ‘ marchant en avant d’eux, le jour dans une colonne de nuage [...], et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer ’. (Ex 13:21.) Il ne s’agissait pas de deux colonnes, mais d’une seule “ colonne de feu et de nuage ” qui apparaissait normalement comme un nuage le jour et comme un feu la nuit (Ex 14:24). Quand les Égyptiens se lancèrent à la poursuite des Israélites, la colonne se plaça sur les arrières de ces derniers, peut-être en se déployant comme une muraille. Elle provoquait des ténèbres du côté des Égyptiens, mais répandait de la lumière du côté des Israélites. Après la construction du tabernacle, la présence de la colonne au-dessus servait à signaler que Jéhovah résidait dans son lieu saint (Ex 40:35). La colonne représentait Jéhovah, et c’est depuis la colonne qu’il parlait aux Israélites. La dernière mention de cette colonne dans l’Histoire fut faite juste avant l’entrée d’Israël en Terre promise. Une fois installé dans son pays, le peuple n’eut plus besoin de la colonne pour le guider comme lors de ses pérégrinations – it-1 Colonne Pendant les 40 années où les Israélites avaient dû errer dans le désert, Dieu s’était montré fidèle en assurant leur subsistance Il les avait également guidés, se servant notamment d’un nuage le jour et d’un feu la nuit pour les mener jusqu’à “ un pays ruisselant de lait et de miel ”. (Exode 3:8 ; 40:36-38.) Quand le moment de pénétrer en Terre promise était arrivé, Jéhovah avait désigné Josué comme successeur de Moïse. On pouvait s’attendre à ce que les occupants du pays opposent de la résistance. Mais il n’y avait pas lieu de craindre ; Jéhovah n’avait-il pas marché avec son peuple pendant des dizaines d’années ? Les Israélites avaient toutes les raisons de voir en Jéhovah un Dieu en qui ils pouvaient placer leur confiance. Dans leur marche vers le monde nouveau promis par Dieu, les chrétiens de notre temps cheminent dans le désert qu’est le monde méchant, certains depuis plus de 40 ans. Aujourd’hui, ils sont aux portes du monde nouveau. Cependant, la voie n’est pas dégagée ; il y a encore des ennemis bien décidés à empêcher quiconque de pénétrer dans ce qui deviendra comme une Terre promise, plus glorieuse que celle d’autrefois qui ruisselait de lait et de miel. Combien sont donc appropriées pour les chrétiens de notre époque ces paroles de Moïse reprises par Paul : “ Je ne te quitterai en aucune façon ni ne t’abandonnerai en aucune façon. ” Tous ceux qui restent forts, courageux, pleins de foi, et qui mettent leur confiance en Jéhovah, sont assurés d’être récompensés. – TG1998 15/8 p10 §4,5 Que Dieu soit ordonné, cela ressort clairement des dispositions qu’il prit en rapport avec le tabernacle, ou la tente, qui servait à la nation d’Israël pour que celle-ci lui rende un culte. Seuls les membres des familles sacerdotales (les Lévites) étaient autorisés à pénétrer dans le tabernacle. En outre, Jéhovah indiqua à Moïse quelle devait être la place exacte de chaque objet dans le tabernacle, et il donna des instructions détaillées sur l’usage que devaient en faire les prêtres et les Lévites (Exode 40). De cette manière, les non-Lévites pouvaient au moins se représenter mentalement ce qui se passait dans le tabernacle en rapport avec le culte rendu à Jéhovah. Cela leur permettait sans aucun doute de se sentir concernés par ces dispositions et leur donnait le sentiment de n’être pas étrangers au tabernacle. Ne pensez-vous pas qu’ils ont dû être très reconnaissants que Jéhovah soit un Dieu d’ordre ? – RV1987 22/8 p23
  15. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 26 Octobre 2020 - Exode 37-38.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 26 Octobre 2020 - Exode 37-38.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Exode 37-38 Exode 37:1, 10, 25 : Pourquoi le bois d’acacia était-il un matériau idéal pour la construction du tabernacle ? (it-1 34). VERSET 1 - « Bezalel fit ensuite l’Arche en bois d’acacia. Elle mesurait deux coudées et demie de long, une coudée et demie de large, et une coudée et demie de haut. » VERSET 10 – « Il fit ensuite la table en bois d’acacia. Elle mesurait deux coudées de long, une coudée de large, et une coudée et demie de haut. » VERSET 25 – « Il fit alors l’autel de l’encens en bois d’acacia. Il était carré : une coudée de long sur une coudée de large ; et il mesurait deux coudées de haut. Avec ses cornes, il formait une seule pièce. » Les branches de l’acacia, qui se déploient largement, sont couvertes de longues épines. Elles sont généralement enchevêtrées avec celles des acacias voisins, si bien que ceux-ci forment d’épais bosquets, d’où sans aucun doute l’utilisation dans presque tous les cas du pluriel shittim dans le récit biblique. L’acacia peut atteindre 6 à 8 m de haut, mais on ne le trouve bien souvent qu’à l’état d’arbrisseau. Son feuillage plumeux est doux au toucher. Il porte des fleurs jaunes et odorantes, et ses fruits sont enfermés dans des gousses incurvées et effilées. Son écorce noire et rugueuse entoure un bois très dur et compact, à la texture serrée, qui ne craint pas les ravages des insectes. Ces caractéristiques ajoutées à sa présence dans le désert faisaient de l’acacia un matériau idéal pour la construction du tabernacle et la fabrication de son mobilier. Il servit à la fabrication de l’arche de l’alliance, de la table des pains de proposition, des autels, des barres servant à porter ce mobilier, des colonnes pour le rideau et le voile, ainsi que des cadres et de leurs traverses - it-1 34 Le bois d’acacia est aujourd’hui encore très prisé en ébénisterie en raison de sa texture serrée, de sa couleur brun-orange et de sa durabilité. Les Égyptiens de l’Antiquité utilisaient l’acacia pour fermer leurs sarcophages et pour construire leurs bateaux. Certaines variétés fournissent au commerce la gomme arabique. Arbre qui poussait sans peine dans le désert, où séjournèrent les Israélites. Il pouvait fournir d’assez grandes planches (d’environ 4,50 m de long, les Israélites en utilisèrent pour construire le tabernacle portable. L’autel de l’encens (également appelé “ l’autel d’or ” [Ex 39:38]) était lui aussi en acacia. La partie supérieure, recouverte d’or comme les côtés, était entourée d’une bordure d’or. Cet autel, qui mesurait 44,50 cm de côté et 89 cm de hauteur, comportait également des “ cornes ” faisant saillie aux quatre coins. Quatre anneaux d’or, deux de chaque côté, étaient fixés au-dessous de la bordure. On y introduisait les barres d’acacia recouvertes d’or qui servaient à porter l’autel - it-1 p230 Exode 38 :8 : Quelle différence y a-t-il entre les miroirs des temps bibliques et ceux d’aujourd’hui ? (w15 ¼ 15 § 4). « Puis il fit le bassin en cuivre et son support en cuivre, en utilisant les miroirs des femmes qui étaient organisées pour effectuer un service à l’entrée de la tente de la rencontre » Contrairement aux miroirs actuels, ceux des temps bibliques étaient en général fabriqués en métal finement poli — bronze, mais aussi parfois cuivre, argent, or ou électrum. La première fois que la Bible parle de miroirs, c’est en rapport avec la construction du tabernacle, premier lieu de culte de la nation d’Israël. Des miroirs ont été offerts par des femmes pour la fabrication d’un bassin sacré en cuivre et de son support. À cette fin, il a probablement fallu les fondre. w15 ¼ 15 § 4 Des bassins furent utilisés à des fins religieuses dans le cadre du culte rendu à Jéhovah au tabernacle et, plus tard, dans les temples. Conformément aux instructions que Jéhovah transmit à Moïse, le matériel du tabernacle comprenait un grand bassin qu’on devait remplir d’eau. Il était en cuivre, reposait sur un support en cuivre et était placé entre la tente de réunion et l’autel, de façon que le grand prêtre et les autres prêtres disposent d’eau pour se laver les mains et les pieds avant d’entrer dans la tente de réunion ou d’accomplir leur service à l’autel. Ce bassin, appelé cuve dans certaines traductions fut fabriqué à partir des “ miroirs des femmes de service qui faisaient un service organisé à l’entrée de la tente de réunion ”. — Ex 38:8. – it1- p274 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? L’or, utilisé au tabernacle et au temple. La malléabilité de l’or permet de le marteler en une infinité de formes. Lors de la construction du tabernacle, on battit de l’or en plaques pour faire du placage et en feuilles minces qu’on découpa en fils pour tisser certains vêtements du grand prêtre (Ex 37:1, 2). On l’employa de la même manière dans le temple construit par Salomon En alliant l’or à un autre métal pour le rendre plus dur, on étend ses utilisations. Ce procédé était aussi employé dans l’ancien Israël. Lors de la construction du tabernacle, on utilisa une grande quantité d’or dont la valeur est estimée à environ 11 269 000 $ (Ex 38:24). Toutefois, ce tabernacle dans le désert n’était qu’un modèle réduit du glorieux temple de Salomon si on compare la quantité d’or qui fut consacrée à ce dernier. David avait mis de côté pas moins de 100 000 talents d’or pour ce temple, estimés aujourd’hui à plus de 38 535 000 000 $ (1Ch 22:14). Les porte-lampes et les ustensiles du temple — fourchettes, bols, cruches, bassins, coupes, etc. — étaient en or et en argent ; certains ustensiles étaient en cuivre ; les chérubins dans le Très-Saint, l’autel de l’encens et même tout l’intérieur de la maison étaient recouverts d’or. – it-2 Or DES OUVRAGES D’UNE GRANDE FINESSE QUE PEU ONT VUS - Certains éléments du mobilier du tabernacle étaient de véritables chefs-d’œuvre. Parlons des chérubins d’or, qui surmontaient l’arche de l’alliance. L’apôtre Paul les a qualifiés de « glorieux » (Héb. 9:5). Imagine la beauté saisissante de ces ouvrages en or martelé ! (Ex. 37:7-9). Si elles étaient découvertes de nos jours, ces réalisations de Betsalel et Oholiab auraient leur place dans les musées les plus prestigieux. Pourtant, à l’époque où elles ont été fabriquées, combien ont réellement vu leur splendeur ? Les chérubins se trouvaient dans le Très-Saint. Ils n’étaient donc vus que par le grand prêtre, au seul moment de l’année où il entrait dans le Très-Saint, c’est-à-dire le jour des Propitiations. Par conséquent, très peu d’humains ont eu l’occasion de les voir. TG2015 15/7 Jéhovah a désiré prendre les belles fleurs d’amandier comme modèles pour orner le porte-lampes en or à sept branches qui illuminait le Lieu Saint du tabernacle. D’après la description de Moïse, “ trois coupes en forme de fleurs d’amandier étaient sur l’une des séries de branches, avec boutons et fleurs alternés, et trois coupes en forme de fleurs d’amandier étaient sur l’autre série de branches, avec boutons et fleurs alternés. Ainsi en était-il pour les six branches partant du porte-lampes. Sur le porte-lampes lui-même étaient quatre coupes en forme de fleurs d’amandier, avec ses boutons et ses fleurs alternés ”. Exode 37:19, 20. Si la Bible parle peu de l’amandier, elle n’en attire pas moins notre attention sur ses magnifiques fleurs blanches et sur son réveil précoce. Cet arbre attrayant nous rappelle surtout que Jéhovah ne se reposera pas avant d’avoir accompli son dessein. — Isaïe 55:11. – RV2001 8/10 p31 Dans le tabernacle. Dans une vision, Jéhovah ordonna à Moïse de faire un porte-lampes ‘ d’or pur, en ouvrage martelé ’, à l’usage du tabernacle. Avec ses lampes et ses ustensiles, celui-ci devait peser un talent (Ex 37:17, 24). Cela correspondait à 34 kg environ et à une valeur, en termes modernes, de 385 350 $. – it-2 Porte-lampe Les récipients à feu avaient plusieurs usages dans le cadre du service au sanctuaire. Certains, en or, servaient apparemment recueillir les bouts de mèches brûlées enlevés des lampes du porte-lampes d’or (Ex 25:38 ; 37:23). Ceux, en cuivre, de l’autel de l’holocauste servaient sans doute de ramasse-cendres ou d’ustensiles à enlever les charbons du feu (Ex 27:3 ; 38:3). Il y avait aussi des récipients à feu pour brûler de l’encens (Lv 10:1). Tous les matins et entre les deux soirs, le grand prêtre faisait fumer de l’encens parfumé sur l’autel de l’encens en or. – it-2 p731 Il y a plus de trente-quatre siècles, une magnifique tente fut dressée dans le désert inhospitalier de la péninsule du Sinaï. Elle n’avait que cinq mètres de large, cinq mètres de haut et quinze mètres de long ; cependant, avec son parvis et son mobilier, elle avait une valeur de plus de deux millions de dollars (Ex. 38:29-31). Il s’agit du merveilleux tabernacle que les Israélites, qui venaient d’être libérés de l’esclavage égyptien, construisirent en 1512 avant notre ère selon l’ordre de Jéhovah (Ex. 36:2 à 38:20). Cette magnifique tente fut pendant 485 ans le centre du vrai culte en Israël. – TG1969 15/8 p494 Le maître ouvrier Bézalel était rempli de l’esprit de Dieu. La force issue de la Source de toute énergie animait les travailleurs; il était donc certain que la construction du tabernacle et de son mobilier serait menée à son terme. À la fin de l’année lunaire, tous les matériaux étaient prêts pour l’assemblage, et le tabernacle pouvait être dressé. Exode 38:22, 23 rapporte cet événement émouvant en ces termes: “Et Bézalel, fils d’Uri, fils de Hur, de la tribu de Juda, fit tout ce que Jéhovah avait ordonné à Moïse. Et avec lui était Oholiab, fils d’Ahisamach, de la tribu de Dan, artisan, et brodeur, et tisseur dans le fil bleu, et dans la laine teinte avec de la pourpre d’un violet rougeâtre, et dans l’écarlate de cochenille, et dans le fin lin.” Le premier jour de la nouvelle année lunaire (1er Nisan de l’an 1512 avant notre ère) a dû réjouir le cœur de Bézalel et de Oholiab. Ce jour-là, le “tabernacle de la tente de réunion” fut dressé sur l’ordre de Jéhovah. C’est alors que Bézalel et Oholiab assistèrent à un miracle: “La nuée se mit à couvrir la tente de réunion, et la gloire de Jéhovah remplit le tabernacle.” Cette manifestation divine prouvait que Bézalel et Oholiab s’étaient bien acquittés de leur tâche et que Jéhovah l’agréait. Son esprit avait agi par leur entremise hs p67 Qu’est-ce que l’“ écarlate de cochenille ” dont il est souvent question dans le livre de l’Exode ? Selon le récit de la Bible, les toiles de tente qui formaient les parois et la porte du tabernacle étaient “ en fil bleu et en laine teinte de pourpre rougeâtre, en tissu teint en écarlate de cochenille et en fin lin retors ”. (Exode 38:18.) Les “ vêtements sacrés ” des prêtres étaient eux aussi en “ tissu teint en écarlate de cochenille. L’écarlate de cochenille, aussi connue sous le nom de kermès, était une teinture d’un rouge éclatant. Elle était extraite de la femelle d’un insecte de la famille des coccidés. Ces insectes aptères vivent sur le chêne kermès, espèce endémique du Moyen-Orient et du pourtour méditerranéen. Ce sont les œufs que porte en elle la femelle qui donnent cette couleur. Lorsqu’elle est pleine, elle ressemble à une baie de la taille d’un pois accroché aux branches ou aux feuilles de l’arbre. Les insectes sont ramassés à la main et écrasés. Le pigment obtenu est soluble dans l’eau ; il est idéal pour la teinture des tissus. TG2011 1/12 p22
  16. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 19 Octobre 2020 - Exode 35-36.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 19 Octobre 2020 - Exode 35-36.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Exode 35-36 Exode 35:1-3 : Quels enseignements peut-on tirer de la loi sur le sabbat ? (w05 15/5 23 § 14). « Plus tard, Moïse rassembla toute la communauté des Israélites et leur dit : « Voici ce que Jéhovah a ordonné de faire : 2 “Pendant six jours, on pourra travailler, mais le septième jour sera pour vous quelque chose de saint, un sabbat de repos complet pour Jéhovah. Celui qui travaillera ce jour-là sera mis à mort. 3 Le jour du sabbat, vous ne devrez pas allumer de feu dans vos lieux d’habitation.” » 14 Accorder la priorité aux choses spirituelles. Les Israélites ne devaient pas laisser la satisfaction de leurs besoins physiques détourner leur attention des activités spirituelles. Ils ne devaient pas axer leur vie uniquement sur des objectifs profanes. Jéhovah délimita une période hebdomadaire qu’il déclara sacrée, période destinée exclusivement aux activités liées au vrai culte. Il fallait également prendre le temps d’assister, chaque année, à de saintes assemblées décrétées par Jéhovah (Lévitique 23:4-44). C’était là l’occasion de se remémorer les actes de puissance de Jéhovah, de se rappeler ses voies et de lui exprimer sa gratitude pour toute sa bonté. En exprimant son attachement à Jéhovah, le peuple augmenterait sa crainte et son amour pour lui, et cela l’aiderait à marcher dans ses voies. Les principes salutaires contenus dans ces instructions sont bénéfiques aux serviteurs de Jéhovah encore aujourd’hui. - w05 15/5 23 § 14 Le jour du sabbat, les Israélites devaient se reposer de leurs activités de la semaine, et ne pas même allumer de feu dans leurs habitations. On ne pouvait rien cuisiner. Il était interdit de voyager. Le sabbat devait être un jour de repos complet, le transgresseur était puni de mort. Jéhovah leur avait ordonné : “ Restez chacun à sa place. Que personne ne sorte de l’endroit où il est au septième jour. ” (Exode 16:29). Cette loi permettait aux Israélites de se reposer de leurs activités courantes et d’accorder plus d’attention à leur spiritualité.- TG2008 1/10 p11 Exode 35:21 : Que pouvons-nous apprendre de la belle générosité manifestée par les Israélites ? (w00 1/11 29 § 1). « Puis tous ceux dont le cœur et l’esprit les poussaient à offrir une contribution pour Jéhovah vinrent l’apporter, pour qu’elle serve à faire la tente de la rencontre, tout ce qui était nécessaire pour y effectuer le service, ainsi que les vêtements sacrés.’ Imaginez les sentiments des Israélites ! Pendant des générations, ils avaient subi un esclavage implacable et les privations. Voilà qu’ils étaient libres et possédaient de nombreux biens. Comment allaient-ils réagir à l’idée de se séparer d’une partie de ces biens ? Ils auraient pu estimer qu’ils les avaient bien mérités et qu’ils étaient en droit de les garder. Pourtant, quand on les a invités à soutenir financièrement le culte pur, ils ont répondu à l’appel, sans se faire prier et sans mesquinerie ! Ils n’avaient pas oublié que c’était de par Jéhovah qu’ils avaient obtenu ces biens. C’est pourquoi ils ont donné avec libéralité de leur argent, de leur or et de leur bétail. Ils avaient le “ cœur bien disposé ” ; leur cœur ‘ les y incitait ’ ; ‘ leur esprit les y incitait ’. Ce fut vraiment “ une offrande volontaire à Jéhovah ”. - w00 1/11 29 § 1 C’est un cœur bien disposé qui pousse les serviteurs de Dieu à donner d’eux-mêmes et de leurs ressources pour le soutien du dessein divin. Ainsi, les Israélites qui vivaient à l’époque de Moïse ont joyeusement apporté leur aide à la construction du tabernacle destiné au culte de Jéhovah. Le cœur de certaines femmes les a poussées à filer le poil de chèvre, alors que des hommes accomplissaient des travaux d’artisans. Le peuple a donné avec joie de l’or, de l’argent, du bois, du lin et d’autres choses comme ‘contribution’ volontaire pour Jéhovah (Exode 35:4-35). Les Israélites furent si généreux que les matériaux donnés “s’avérèrent suffisants pour tout le travail à faire, et plus que suffisants”. — Exode 36:4-7. Tous les efforts consacrés au service de Jéhovah doivent refléter l’esprit manifesté par les Israélites de l’Antiquité quand il a fallu faire des offrandes pour la construction du tabernacle. Ils n’étaient pas contraints par autrui, mais poussés par leur cœur. En fait, le texte hébreu dit littéralement que “tous ceux dont le cœur les soulevait” ont apporté des dons (c’est nous qui soulignons). Cela dit, quand donc nous sommes en compagnie de nos frères et sœurs, efforçons-nous de nous “soulever” mutuellement le cœur. L’esprit de Jéhovah peut faire le reste. – TG1995 1/ 4 p18 Quand la Bible parle du cœur, elle fait allusion à cet organe proprement dit, et non à l’esprit ou à un cœur symbolique. D’après la Parole de Dieu, le cœur, au sens littéral, a la faculté de nous pousser et de nous inciter à faire quelque chose (Ex. 35:21, 26, 29). Nous pouvons nous rendre compte à quel point le cœur exerce une influence sur notre esprit et nos actions, en considérant l’attitude des Israélites au moment de la construction de la tente de réunion au désert et de la préparation des matériaux nécessaires à celle-ci. Le récit biblique déclare que “tous ceux qui furent entraînés par le cœur”, tous ceux “dont le cœur était bien disposé” apportèrent des matériaux et contribuèrent à la construction par leur habileté et leur travail. . C’est précisément parce que le cœur a ce pouvoir qu’il attire l’attention sur ce qu’une personne est réellement à l’intérieur d’elle-même et que l’apôtre Pierre appelle “la personnalité secrète du cœur”. Il est donc vital de le protéger en le remplissant toujours de bonnes impressions.- TG1971 15/4 Avoir un cœur circoncis est donc très important et désirable. Comment cela est-il possible ? Différent de l’esprit, qui pense et raisonne sur la base des renseignements obtenus, le cœur s’identifie étroitement aux affections et aux désirs, et devient la source ou le siège des mobiles. Il a un grand pouvoir émotionnel et peut inciter quelqu’un à adopter une certaine attitude (Ex. 35:21). Le cœur peut facilement influencer l’esprit. Il est le centre ou la cause première de notre personnalité tout entière. Il est le moi véritable, la “personnalité secrète du cœur”, “l’homme que je suis au dedans”. Bien que le cœur lui-même ne pense pas, il est capable de susciter des pensées. Le cœur agit sur les pensées, car il désire qu’elles soient inclinées d’une certaine façon. Le cœur est encore le siège des motivations.– TG1971 1/11 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Les Israélites eurent le privilège de prélever des contributions pour la construction et l’équipement d’édifices destinés au vrai culte. Ils firent don de matériaux pour le tabernacle et son mobilier (Ex 35:4-9), “ une offrande volontaire à Jéhovah ” à laquelle il fallut mettre un terme parce que les dons s’avérèrent “ suffisants pour tout le travail à faire, et même plus que suffisants ”. (Ex 35:20-29). Le montant d’une contribution ne reflète pas forcément avec exactitude la générosité de celui qui la fait. Jéhovah est le meilleur exemple qui soit pour ce qui est de donner, car il a accordé aux humains “ la vie et le souffle et toutes choses ” il a offert son Fils unique-engendré pour l’humanité et il enrichit les chrétiens pour toutes sortes de générosités –it-1 p517 Les sculptures réalisées pour le tabernacle et le temple de Salomon n’étaient pas destinées à être adorées, mais avaient un caractère à la fois décoratif et symbolique. Jéhovah Dieu donna lui-même l’ordre de faire ces sculptures, et il mit son esprit sur Betsalel et Oholiab, les artisans habiles choisis pour diriger la construction du tabernacle (Ex 35:30, 31, 34). – it-2 p914 Oholiab : Principal assistant de Betsalel dans la construction du tabernacle ; de la tribu de Dân, qui était “ artisan, brodeur et tisseur qui fut rempli de sagesse divine pour aider Betsalel ; c’était un homme très habile dans la broderie et le tissage d’étoffes précieuses pour le mobilier du tabernacle - Ex 35:34, 35 – it-1 p585 Dans l’Égypte antique, hommes et femmes filaient, mais chez les Hébreux, ce travail était apparemment effectué surtout par les femmes. À l’époque où se préparait la construction du tabernacle, des femmes israélites eurent le privilège de filer et d’offrir des étoffes. — Ex 35:25, 26.- it-1 p896 Parallèlement à l’éducation religieuse, les jeunes hommes recevaient une formation dans la profession de leur père ou faisaient l’apprentissage d’un métier. Betsalel et Oholiab, artisans experts, reçurent de l’esprit de Dieu les qualités nécessaires pour former d’autres hommes pendant la construction du tabernacle dans le désert (Ex 35:34). Les jeunes filles d’une maisonnée apprenaient les tâches féminines et, futures épouses, elles étaient élevées de façon à avoir un grand respect pour leur mari, comme Sara en avait donné l’exemple – it-1 p697 Les serviteurs de Jéhovah ont toujours été heureux de construire des ouvrages à sa louange. Les Israélites, par exemple, ont construit le tabernacle, certains participant directement à sa fabrication, d’autres offrant généreusement des matériaux (Ex. 35:30-35 ; 36:1, 4-7). Pour Jéhovah, ce ne sont pas les matériaux qui comptent le plus ou qui lui font le plus honneur. Ce qui compte vraiment à ses yeux, ce qui l’honore plus que tout, c’est le culte que lui rendent ses serviteurs, culte caractérisé par un esprit volontaire et une activité zélée Ex. 35:21. Et heureusement ! Les constructions, en effet, ne durent qu’un temps. Où sont aujourd’hui le tabernacle et le temple ? Disparus. En revanche, Jéhovah n’a pas oublié la générosité et le labeur des hommes et des femmes fidèles qui se sont investis dans leur construction À notre époque aussi, les serviteurs de Jéhovah se sont beaucoup dépensés pour bâtir des lieux de culte. Ce qui a été accompli sous la direction de notre Roi Jésus Christ est vraiment remarquable. Il est clair que Jéhovah a béni nos efforts – kr chap19 p202 §1,2 Après avoir conduit les Israélites hors d’Égypte, Jéhovah a demandé que soit fabriquée une tente sacrée, le tabernacle. La réalisation de cet ouvrage et de son mobilier exigerait des moyens matériels considérables. Jéhovah souhaitant donner au peuple la possibilité de soutenir le projet, Moïse a invité « tout homme au cœur bien disposé » à apporter « une contribution pour Jéhovah » (Ex. 35:5). Comment ces hommes et ces femmes qui, il y a peu, étaient encore « esclaves sous la tyrannie » ont-ils réagi ? (Ex. 1:14). Par un soutien franc et massif. Ils ont offert de tout cœur de l’or, de l’argent et d’autres matériaux précieux qu’ils tenaient probablement de leurs anciens maîtres égyptiens (Ex. 12:35, 36). Leur générosité a été telle qu’à un moment donné il a fallu les empêcher de donner davantage (Ex. 36:4-7). Moïse n’a pas eu à forcer la main aux Israélites. C’est leur cœur qui les poussait à donner. Qu’en est-il aujourd’hui ? Les sujets du Royaume n’ont pas besoin qu’on les force à donner. Ayons donc à cœur de donner ce que nous pouvons, quand nous pouvons. Par nos offrandes volontaires, nous honorons Jéhovah et témoignons notre soutien au Royaume messianique. – kr chap18 p194 Que Betsalel et Oholiab aient été guidés par l’esprit de Dieu, cela est confirmé par la remarquable durabilité de ce qu’ils ont réalisé. Cinq cents ans plus tard, le tabernacle et son mobilier étaient toujours en service (2 Chron. 1:2-6). Contrairement aux fabricants modernes, les deux artisans ne se sont pas souciés d’apposer leur marque sur leurs ouvrages ou d’y associer leur nom. Tout le mérite revenait à Jéhovah. — Ex. 36:1, 2. – TG2011 15/12 p18 Nous ne savons pas combien de personnes ont travaillé à la réalisation du tabernacle, mais tous les Israélites ont été invités à soutenir le projet par des offrandes. Moïse leur avait dit : “ Prenez de chez vous une contribution pour Jéhovah. Que tout homme au cœur bien disposé l’apporte comme contribution de Jéhovah. ” (Exode 35:4-9). Quelle a été la réaction des Israélites ? D’après le récit d’Exode 36:3, “ ils prirent de devant Moïse toute la contribution que les fils d’Israël avaient apportée pour le travail du saint service, pour l’exécuter ; quant à ceux-ci, ils lui apportaient encore une offrande volontaire, matin après matin ”. Rapidement, on disposa d’une quantité énorme de matériaux ; mais le peuple continuait d’en apporter. Les artisans effectuant les travaux vinrent donc dire à Moïse : “ Le peuple apporte beaucoup plus qu’il n’en faut au service pour le travail que Jéhovah a ordonné d’exécuter. ” Moïse fit alors passer une nouvelle consigne : “ Hommes et femmes, ne produisez plus de matériaux pour la sainte contribution. ” Quel constat a-t-on fait ? “ Les matériaux étaient suffisants pour tout le travail à faire, et même plus que suffisants. ” — Exode 36:4-7. Grâce à la générosité des Israélites, le tabernacle fut achevé en moins d’un an. En soutenant le vrai culte, le peuple a honoré Jéhovah – TG2006 1/11 p17
  17. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 12 Octobre 2020 - Exode 33-34.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 12 Octobre 2020 - Exode 33-34.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Exode 33-34 Exode 33:11, 20 : En quel sens Dieu parlait-il à Moïse « face à face » ? (w04 15/3 27 § 5). Verset 11 « Jéhovah parlait à Moïse face à face, comme un homme parle à un autre homme. Quand il retournait au camp, son assistant, Josué, fils de Noun, ne quittait pas la tente » Verset 20 « Mais il ajouta : « Tu ne peux pas voir mon visage, car aucun homme ne peut me voir et rester en vie. » Comment Dieu parlait-il à Moïse “ face à face ” ? Cette expression désigne une conversation intime. Moïse parlait avec le représentant de Dieu et recevait, grâce à lui, des instructions orales de la part de Jéhovah. Cependant, Moïse n’a pas vu Jéhovah, puisque ‘ nul homme ne peut le voir et pourtant demeurer en vie ’. En réalité, ce n’est pas Jéhovah en personne qui parlait à Moïse. La Loi “ a été transmise par l’intermédiaire d’anges, par la main d’un médiateur ”, lit-on en Galates 3:19. – w04 15/3 27 § 5 Jéhovah et Moïse “ face à face ” - Même si Moïse ne pouvait pas voir Dieu au sens propre du terme, une intimité “ face à face ” existait entre Jéhovah et son serviteur. Moïse jouissait assurément de relations précieuses et personnelles avec son Dieu qui, bien qu’invisible, n’en est pas moins une personne. Cette expression désigne la manière dont Moïse communiquait avec Dieu et non ce qu’il voyait effectivement. L’expression parler avec Dieu “face à face” montre qu’il s’agissait d’un véritable dialogue. Il est possible, de la même façon, d’entretenir une conversation au téléphone sans pour autant voir son interlocuteur. Seuls les anges, créatures spirituelles, sont doués d’une vision telle qu’ils peuvent voir sa face au sens littéral. Toutefois, il ne fait pas courir ce risque aux hommes. Dans sa bonté de cœur, il leur permet de voir ses belles qualités par le moyen de sa Parole, qui contient la révélation qu’il donna de Lui-même par l’intermédiaire de son Fils, Christ Jésus. Si un humain de chair et de sang devait se tenir en sa présence immédiate, il n’y survivrait pas. Moïse n’a vu qu’un aperçu de la gloire de Jéhovah, de toute évidence par l’intermédiaire d’un ange, mais cela a suffi pour que son visage ‘ jette des rayons ’ pendant un certain temps. Les Israélites avaient même peur de regarder son visage – TG1997 1/10 p4-5 Jéhovah a dit : « Aucun homme ne peut me voir et rester en vie » (Ex. 33:20). Alors comment ceux qui ont le cœur pur peuvent-ils voir Dieu ? Le verbe grec traduit par « voir » peut signifier « voir par l’esprit, percevoir, connaître ». Ceux qui voient Dieu avec les « yeux du cœur » sont ceux qui le connaissent vraiment et qui apprécient ses qualités. Ce n’est pas en voyant une forme physique qu’on apprend à mieux connaître le Créateur, mais en acquérant une idée plus précise de ce qu’il est, de sa personnalité et de ses traits distinctifs. De plus, nous « voyons » Dieu quand nous constatons comment il agit en notre faveur. Nous pouvons aussi « voir » nos bénédictions futures en nous concentrant sur les choses merveilleuses que Dieu promet à ceux qui s’efforcent de rester purs et de le servir fidèlement. Et bien sûr, les oints verront Jéhovah au sens littéral quand ils seront ressuscités au ciel – TG2018/9 p17 En une certaine occasion, Moïse a vu une “ressemblance” de Jéhovah. A-t-il réellement vu la forme de Dieu ? Étant donné que lorsqu’on dit de deux personnes qu’elles parlent “bouche à bouche”, cela sous-entend qu’elles sont face à face, Moïse a-t-il réellement contemplé le visage de Dieu lorsqu’il était sur le mont Sinaï ? Le Dieu invisible n’allait pas se matérialiser sous une forme humaine, apparence que les dieux de la mythologie grecque étaient supposés prendre pour se montrer aux hommes. Il s’agissait d’une manifestation de la gloire divine à un degré qui ne serait pas trop élevé pour qu’un homme puisse la voir sans devenir aveugle, être tué ou désintégré. Dans sa miséricorde, Jéhovah promit de prendre certaines précautions particulières envers Moïse. Moïse ne nous dit pas qu’il a discerné réellement la forme de Dieu. Tout ce qu’il a vu, ce sont les derniers reflets de sa manifestation éphémère. Néanmoins, après que Moïse fut descendu de la montagne et qu’il eut apparu au peuple, son visage diffusait des rayons de lumière (Ex. 34:29, 30). Moïse avait donc appris à mieux connaître Jéhovah Dieu. Ce fut une manifestation merveilleuse de la personnalité de son Dieu. Quel prétendu dieu peut être comparé à Jéhovah ? TG1970 15/2 p107 Exode 34:23, 24 : Pourquoi fallait-il de la foi aux hommes d’Israël pour assister aux trois fêtes annuelles ? (w98 1/9 20 § 5). « Trois fois par an, tous tes hommes paraîtront devant le vrai Seigneur, Jéhovah, le Dieu d’Israël. 24 Car je chasserai les nations de devant toi et j’agrandirai ton territoire ; et personne ne convoitera ton pays pendant que tu monteras vers Jéhovah ton Dieu trois fois par an. » Trois fois par an, tous les Israélites et prosélytes mâles qui vivaient dans le pays devaient paraître devant Jéhovah. Conscients que toute la famille pouvait retirer un profit spirituel de cette disposition, de nombreux chefs de famille emmenaient leur femme et leurs enfants. Mais, en leur absence, qui protégerait leur maison et leurs champs des attaques ennemies ? Jéhovah avait promis : “ Nul ne convoitera ton pays pendant que tu monteras pour voir la face de Jéhovah ton Dieu, trois fois dans l’année. ” (Exode 34:24). Il fallait de la foi aux Israélites pour croire que s’ils donnaient la priorité aux questions spirituelles ils ne seraient pas perdants sur le plan matériel. Jéhovah a-t-il tenu parole ? Certainement ! - w98 1/9 20 § 5 Le fait de devoir monter à Jérusalem trois fois par an pour assister aux trois fêtes annuelles, seuls ou avec toute leur famille, mettait à l’épreuve la foi des Israélites en la protection de Jéhovah. Pourquoi ? Le récit historique des Écritures hébraïques nous indique que les Juifs étaient entourés d’ennemis et qu’ils devaient combattre sans cesse pour préserver leur indépendance. Quelle belle occasion pour ces ennemis d’envahir le pays alors que tous les hommes se trouvaient à Jérusalem pour les fêtes ! Seuls quelques femmes et quelques enfants restaient au foyer. La nation entière aurait-elle foi en Jéhovah pour ce qui était de la protection du pays, des villes et des maisons privées de leurs habitants, conformément à la promesse que Dieu avait faite en ces termes : “Personne ne convoitera ton pays pendant que tu monteras pour te présenter devant Jéhovah, ton Dieu, trois fois par an.” (Ex. 34:24, AC). Bien qu’aucun homme ne restât pour garder les villes et le pays, il s’avéra effectivement qu’aucune nation étrangère ne tenta jamais de s’emparer du pays des Juifs pendant leurs fêtes. Conformément aux commandements divins, les fêtes aidaient tous ceux qui y assistaient à concentrer leur pensée sur la parole de Dieu et à ne pas s’absorber dans leurs affaires personnelles au point d’oublier l’aspect spirituel, le plus important, de leur vie quotidienne. Ces fêtes leur rappelaient également qu’ils étaient un peuple pour le nom de Jéhovah. Les voyages aller et retour pour ces rassemblements de fête étaient naturellement prétextes à parler de la bonté de leur Dieu, ainsi que des bénédictions quotidiennes et saisonnières qu’ils recevaient. Les fêtes leur donnaient le temps et la possibilité de méditer, de se fréquenter et de s’entretenir de la loi de Jéhovah. Elles enrichissaient aussi leur connaissance du pays que Dieu leur avait donné, développaient chez eux la compréhension et l’amour du prochain, tout en favorisant l’unité et le culte pur. Ces fêtes étaient des occasions de se réjouir ; les participants avaient l’esprit rempli des pensées et des voies de Dieu, et tous ceux qui y prenaient part avec sincérité en retiraient de grands bienfaits spirituels. Pour les Juifs, les fêtes étaient synonymes de bonheur. Jéhovah voulut que les Israélites se réunissent régulièrement au temple de Jérusalem, à l’occasion des trois grandes fêtes annuelles. – TG1967 p660 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Comment pouvons-nous être sûrs que le gouvernement du Messie sera incorruptible ? Dieu a annoncé et préparé sa domination depuis des siècles. Même avant que son Fils ne vînt sur la terre, Dieu l’a employé comme gardien invisible de la nation d’Israël (Ex. 33:1, 2). Dans cette fonction, le Fils de Dieu a acquis beaucoup d’expérience en appliquant les lois de Dieu et en observant comment son Père traitait avec les hommes. De plus, longtemps avant cela, ce Fils, qui devint Jésus Christ, a été un ‘habile ouvrier’ durant la création de toutes choses sous la surveillance de Jéhovah. Il s’est donc vivement intéressé au genre humain. Aujourd’hui, la situation des gouvernements ne cesse de se détériorer et annonce la fin de la domination humaine sous l’influence de Satan. Cette fin étant proche, il est urgent pour chacun de se tourner vers le gouvernement de Dieu juste et non corrompu. Tous ceux qui désirent vivre doivent soutenir ce gouvernement en apprenant à le connaître et en témoignant en sa faveur auprès de leurs semblables. – TG1974 15/5 p291 “ Jéhovah parlait à Moïse face à face, comme un homme parle à son compagnon ”. (Exode 33:11) Moïse a donc eu avec Jéhovah des relations plus intimes que n’importe quel prophète avant Jésus Christ. Jéhovah se montre également fidèle envers l’humanité en général en procurant à tous les hommes ce qui est nécessaire à la vie, qu’ils soient justes ou injustes. Il a consenti au sacrifice rédempteur de son Fils afin que tous les humains aient la possibilité d’être libérés du péché et de la mort, qu’ils aient la perspective glorieuse de vivre éternellement et parfaits dans le Monde nouveau. – TG2001 1/10 p20 Les Israélites, pas plus que les Égyptiens, n’avaient jamais rien vu de pareil. Alors qu’ils fuyaient l’Égypte, une colonne de nuage se tenait auprès d’eux jour après jour. La nuit, elle se transformait en une colonne de feu. Phénomène impressionnant, s’il en est ! Mais d’où venait-elle ? Quel dessein servait-elle ? Quelque 3 500 ans plus tard, que retenir de la façon dont les Israélites ont considéré cette “ colonne de feu et de nuage ” ? — Ex. 14:24. Aux deux premières questions, la Parole de Dieu apporte cette réponse : “ Jéhovah marchait en avant d’eux, le jour dans une colonne de nuage pour les conduire par le chemin, et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer, pour qu’ils puissent marcher le jour et la nuit. ” (Ex. 13:21, 22). Jéhovah a utilisé la colonne de feu et de nuage pour conduire ses serviteurs hors d’Égypte et les guider dans le désert. Ces derniers devaient se tenir prêts à la suivre. Lorsqu’ils ont été sur le point d’être rattrapés par les forces égyptiennes, la colonne les a protégés en se plaçant entre les deux camps. Elle n’indiquait pas la voie la plus directe vers la Terre promise, mais le seul moyen d’arriver à destination était de se fier à sa direction. La présence de cette colonne garantissait aux Israélites que Dieu était avec eux. Elle représentait Jéhovah, qui a parfois parlé du milieu d’elle. En outre, elle rappelait que Moïse était le guide que Dieu avait choisi pour la nation (Ex. 33:9). La dernière apparition du nuage rapportée dans les Écritures a confirmé que Jéhovah avait fait de Josué le successeur de Moïse (Deut. 31:14, 15). De toute évidence, l’Exode ne pouvait avoir de fin heureuse qu’à condition que les Israélites voient en la colonne le signe de la direction divine et la suivent. Aujourd’hui, Jéhovah ne laisse pas non plus son peuple sans direction claire. De même qu’il n’a pas demandé aux Israélites de trouver tout seuls leur chemin, de même il ne nous demande pas de trouver tout seuls la voie qui mène au monde nouveau promis. Il a nommé Jésus Christ “ Conducteur ” de la congrégation. Jésus, quant à lui, a délégué une partie de son autorité à un esclave fidèle, constitué de chrétiens oints de l’esprit. Cet esclave, pour sa part, établit des anciens dans la congrégation – TG2011 15/4 p3 Dieu est miséricordieux et bénit ceux qui cherchent à le connaître - Le Tout-Puissant a donné au prophète Moïse le pouvoir de faire de grands miracles. Pourtant, Moïse lui a demandé : « Fais-moi connaître tes manières d’agir, pour que je te connaisse et que je continue d’avoir ta faveur » (Exode 33:13). La requête de Moïse a plu à Dieu, et il l’a béni en lui accordant une plus grande connaissance et une meilleure compréhension de ses façons d’agir et de ses qualités. Dieu l’a exaucé en lui permettant de mieux comprendre ses voies pour qu’il puisse diriger la nation d’Israël. Par exemple, Moïse a appris que le Créateur est un « Dieu miséricordieux et compatissant » (Exode 34:6, 7). Quand il a fait cette demande particulière, Moïse avait plus de 80 ans. Mais il savait qu’il avait encore beaucoup de choses à apprendre sur son Père céleste aimant Qu’apprenons-nous ? Que Dieu veut bénir toute personne qui cherche à mieux le connaître. Dans les Écritures saintes, il explique comment l’adorer et montre qu’il désire vivement nous accorder sa faveur et sa bénédiction. Que nous le servions depuis longtemps ou pas, nous devrions toujours accorder une très grande valeur à notre amitié avec Jéhovah. Nous montrerons que c’est le cas en lui parlant au moyen de la prière.– TG publique 2020/3 Pense à ce que Moïse a dû ressentir quand, blotti dans le creux d’un rocher, il a eu en vision un aperçu de la gloire de Jéhovah. Le livre Étude perspicace fait remarquer : « Moïse eut le privilège de vivre l’événement probablement le plus impressionnant qu’un homme ait jamais vécu avant la venue de Jésus Christ. » En cette occasion, Moïse a entendu ces paroles, sans doute prononcées par un ange : « Jéhovah, Jéhovah, Dieu miséricordieux et compatissant, lent à se mettre en colère et abondant en amour fidèle et en vérité ; il témoigne de l’amour fidèle à des milliers et pardonne la faute, la transgression et le péché » (Ex. 33:17-23 ; 34:5-7). Cette vision lui revenait peut-être à l’esprit quand il utilisait le nom « Jéhovah ». Il n’est donc pas étonnant qu’il ait plus tard conseillé aux Israélites de ‘craindre ce nom glorieux et redoutable Le nom de Dieu devrait nous faire penser au genre de personne qu’il est. Nous devrions méditer sur ses qualités, comme sa puissance, sa sagesse, sa justice et son amour. Cela nous remplira d’admiration pour lui – TG2020/6 §4 Qu’implique le fait de connaître le nom de Dieu ? Connaître le nom divin implique beaucoup plus que de savoir quel est ce nom. En fait, cela signifie connaître la Personne qu’est Dieu : ses desseins, ses actions et ses qualités, que révèle sa Parole. C’est ce que montre le cas de Moïse, un homme que Jéhovah ‘ connaissait de nom ’, autrement dit qu’il connaissait intimement (Ex 33:12). Moïse eut l’honneur de voir une manifestation de la gloire de Dieu et d’entendre ‘ proclamer le nom de Jéhovah ’. (Ex 34:5.) Par proclamation il ne s’agissait pas simplement de la répétition du nom “ Jéhovah ”, mais de l’énoncé des attributs et des actions de Dieu. “ Jéhovah, Jéhovah, Dieu miséricordieux et compatissant, lent à la colère et abondant en bonté de cœur et en vérité, conservant la bonté de cœur à des milliers, pardonnant la faute et la transgression et le péché, mais en aucun cas il n’accordera l’exemption de punition, faisant venir la punition pour la faute des pères sur les fils et sur les petits-fils, sur la troisième génération et sur la quatrième génération. ” (Ex 34:6, 7). De même, le chant de Moïse, qui contient ces paroles : “ Car je proclamerai le nom de Jéhovah ”, parle des relations que Dieu entretenait avec Israël et décrit sa personnalité. - it-2 p412 Les Israélites ne devaient en aucun cas fraterniser avec les étrangers, particulièrement dans le domaine religieux. Ils ne devaient contracter aucune alliance avec eux ou avec leurs dieux. À maintes reprises, Jéhovah leur rappela la nécessité absolue de ne pas se prosterner devant les dieux des étrangers et de ne pas même se renseigner sur leurs pratiques religieuses ou s’y intéresser. Ex 34:12-15. Il était interdit de s’allier par mariage avec des étrangers, surtout parce qu’ils risquaient de corrompre le culte pur Ex 34:16. – it-1 p821 Etranger Rechercher la compagnie des méchants, c’est le moyen le plus sûr de perdre l’amitié divine. Cette mise en garde, Israël l’entendit à maintes reprises mais il n’en tint aucun compte et finit par perdre l’amitié de Dieu. C’est là un exemple classique des conséquences des mauvaises compagnies. Quand Israël se trouva au mont Sinaï, Dieu lui donna cet ordre : “ Garde-toi de faire alliance avec les habitants du pays. ” Faire de telles alliances, c’était nouer des relations étroites avec ces hommes dégénérés et se placer sous une mauvaise influence. Il est écrit : “ (...) de peur que, se prostituant à leurs dieux et leur offrant des sacrifices, ils ne t’invitent (...) ” (Ex. 34:15). Mais les Israélites passèrent outre et se corrompirent dans leur culte. “ Mais ils n’écoutèrent pas même leurs juges, car ils se prostituèrent à d’autres dieux, se prosternèrent devant eux. Ils se détournèrent promptement de la voie qu’avaient suivie leurs pères, et ils n’obéirent point comme eux aux commandements de l’Éternel (Jéhovah). ” — Juges 2:17. Celui qui jouit de l’amitié de Dieu puis qui recherche l’amitié de ce monde et prend part à ses actes injustes, celui-là perdra l’amitié divine tout comme les Israélites. Comme le présent monde appartient au grand adversaire de Dieu, celui qui en est ami se fait ennemi de Dieu. Il est écrit : “ Qui veut donc être ami du monde, se rend ennemi de Dieu. ” (Jacq. 4:4, Jé). Un ami de Dieu se tiendra séparé de ce monde corrompu comme Noé et Lot se gardèrent séparés du monde corrompu de leur temps. – TG1961 15/10 p308 Les Dix Paroles (Ex 34:28), ou Dix Commandements, constituaient la partie fondamentale de la Loi, mais elles se combinaient avec environ 600 autres lois qui avaient toutes la même force et la même valeur obligatoire pour les Israélites. Par le dixième commandement, la Loi se distingue des lois de toutes les autres nations. En effet, il interdit le désir égoïste, commandement que concrètement seul Dieu peut faire respecter. De fait, le dixième commandement s’attaquait à la cause de la violation de tous les autres commandements. – it-2 p150 Loi Lorsque le prophète Moïse est descendu du mont Sinaï avec les tablettes portant les Dix Commandements, “ son visage jetait des rayons ” parce que Jéhovah s’était entretenu avec lui (Ex. 34:29, 30). Bien que cela ne nous soit jamais arrivé et que nos visages n’émettent pas de rayons, nous rayonnons de joie quand nous parlons à autrui de Jéhovah, de ses qualités et de son merveilleux dessein pour l’humanité. Comme les miroirs de métal polis des temps antiques, les chrétiens oints et les membres de la grande foule reflètent la gloire de Jéhovah dans leur vie et dans leur ministère. – TG2012 15/6 p23 §3 Sur le mont Sinaï, Moïse a imploré Jéhovah : “ S’il te plaît, fais-moi voir ta gloire. ” (Exode 33:18). Le lendemain, le prophète a eu l’honneur d’avoir un aperçu de la gloire de Dieu. Mais au lieu de rapporter en détail ce qu’il a vu dans cette vision grandiose, il a consigné quelque chose de bien plus important, à savoir ce que Dieu a dit. Jéhovah déclare qu’il est un “ Dieu miséricordieux et compatissant ”. (Verset 6.) Selon un bibliste, le terme hébreu traduit par “ miséricordieux ” indique chez Dieu “ une tendre compassion, semblable à celle d’un père envers ses enfants ”. Le mot rendu par “ compatissant ” est apparenté à un verbe qui exprime “ la réaction, venant du cœur, de quelqu’un qui a quelque chose à donner à une personne ayant un besoin ”. Manifestement, Jéhovah veut que nous sachions qu’il prend soin de ses adorateurs comme des parents prennent soin de leurs enfants : avec tendresse et un réel souci de leurs besoins. Jéhovah dit ensuite qu’il est “ lent à la colère ”. (Verset 6.) Il ne se met pas facilement en colère contre ses serviteurs terrestres. Au contraire, il est patient avec eux. Il tolère leurs manquements tout en leur laissant le temps de changer leur conduite pécheresse. Dieu poursuit en affirmant qu’il est “ abondant en bonté de cœur et en vérité ”. (Verset 6.) La bonté de cœur, ou amour fidèle, est une qualité précieuse grâce à laquelle il tisse avec ses serviteurs un lien solide, indéfectible. Jéhovah est également une source intarissable de vérité. Il ne peut ni tromper ni être trompé. Puisqu’il est “ le Dieu de vérité ”, nous pouvons avoir une confiance totale en tout ce qu’il dit, notamment en ses promesses pour l’avenir. Jéhovah nous fait connaître une autre vérité remarquable à son sujet : il pardonne “ la faute et la transgression et le péché ”. (Verset 7.) Il est “ prêt à pardonner ” aux pécheurs repentants. Toutefois, il ne ferme jamais les yeux sur la méchanceté. “ En aucun cas il n’accordera l’exemption de punition ”, explique-t-il (verset 7). Le Dieu saint et juste ne laissera pas impunis les pécheurs volontaires. Tôt ou tard, ils subiront les conséquences de leur mauvaise conduite. En décrivant ses qualités, Jéhovah montre clairement qu’il souhaite que nous apprenions à le connaître et que nous nous familiarisions avec sa personnalité et ses manières d’agir. – TG2009 1/5
  18. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 5 Octobre 2020 - Exode 31-32.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 5 Octobre 2020 - Exode 31-32.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Exode 31-32 Exode 31:17 : En quel sens Jéhovah s’est-il reposé le septième jour de création ? (w19.12 3 § 4). « C’est un signe permanent entre moi et le peuple d’Israël, car en six jours Jéhovah a fait le ciel et la terre, et le septième jour il s’est arrêté et s’est reposé.” » 4 Le fait que Jéhovah et Jésus sont travailleurs veut-il dire que le repos n’est pas nécessaire ? Pas du tout. Comme Jéhovah n’est jamais fatigué, il n’a pas besoin de se reposer. Pourtant, la Bible dit qu’après avoir créé le ciel et la terre, « il s’est arrêté et s’est reposé » (Ex. 31:17). Cela signifie manifestement qu’il a pris le temps de trouver du plaisir dans ce qu’il avait fait. Et même si Jésus a travaillé dur quand il était sur la terre, il a pris le temps de se reposer et de partager de bons repas avec ses amis (Mat. 14:13 ; Luc 7:34). - w19.12 3 § 4 Si Jéhovah s’est reposé à la fin du sixième jour de création, ce n’était pas parce qu’il avait besoin de reprendre des forces. La Bible dit: “En six jours Jéhovah a fait les cieux et la terre et le septième jour il s’est reposé et a repris haleine.” (Exode 31:17). Dieu ne s’est pas reposé alors de tout travail, mais seulement d’une œuvre créatrice en particulier. Quand il l’eut achevée, il la contempla et vit qu’elle était très bonne, conforme à ses normes de perfection, et il put alors se reposer et se réjouir d’avoir accompli un travail de la plus haute qualité. La vue d’une telle réalisation était pour Jéhovah, le Créateur, une source de joie, de satisfaction et de délassement. Tout cela montre donc que les hommes, qui sont faits à la ressemblance de Dieu, ont un besoin inné, non seulement de travailler, mais aussi d’éprouver la satisfaction du travail bien fait. – TG1982 1/11 p12 §4 Exode 32:32, 33 : Comment savons-nous que le raisonnement « une fois sauvé, sauvé pour toujours » est un enseignement faux ? (w87 1/9 29). « Mais maintenant, si tu veux bien, pardonne leur péché ; sinon, s’il te plaît, efface-moi du livre que tu as écrit. » 33 Cependant, Jéhovah dit à Moïse : « C’est celui qui a péché contre moi que j’effacerai de mon livre. » Ce n’est pas parce que Dieu décide de se souvenir d’une personne et de l’approuver (d’écrire son nom “dans le livre de vie”) qu’elle est sûre d’obtenir la vie éternelle, comme si elle était prédestinée et ne pouvait changer de voie. Moïse fit cette requête à Jéhovah en faveur des Israélites: “Mais maintenant si tu pardonnes leur péché..., sinon, efface-moi, s’il te plaît, de ton livre que tu as écrit.” Dieu lui répondit: “Celui qui a péché contre moi, c’est lui que j’effacerai de mon livre.” (Exode 32:32, 33). Oui, même après que Dieu a inscrit dans son “livre” le nom d’une personne qu’il approuve, il peut arriver que celle-ci devienne désobéissante ou renie sa foi. Dans ce cas, Dieu ‘efface son nom du livre de vie’. — Révélation 3:5 - w87 1/9 29 Un beau nom auprès de Dieu procure une plus grande sécurité qu’un nom auprès des hommes. Seul Jéhovah peut offrir la vie éternelle aux humains en inscrivant leur nom, non pas dans quelque répertoire social, mais dans son livre de vie. TG2002 15/4p4 Nous trouvons la première allusion au “ livre ” de Jéhovah dans Exode 32:32, 33. Moïse en parle comme d’un fait admis et Jéhovah ne le contredit pas mais le confirme. Bien qu’aucune parole précise ne soit donnée sur la façon dont Moïse reçut cette information, néanmoins, le fait n’est pas surprenant pour deux raisons. Tout d’abord, tous ceux qui moururent dans la foi, à partir d’Abel, avaient une grande confiance que Jéhovah garderait chacun d’eux dans sa mémoire, ou pour parler dans notre langage, garderait un récit durable les concernant, comme dans un livre. Deuxièmement, maintenant qu’il est évident que l’art de l’écriture remonte aux jours antédiluviens, il n’est pas surprenant que Moïse ait exprimé sa propre foi en la mémoire de Dieu en employant la comparaison à un livre écrit et préservé par son Auteur. Pour confirmer la suggestion déjà faite que Jéhovah peut oublier et se souvenir, et qu’il oublie ou se souvient de propos délibéré, nous citons sa propre expression dans cette circonstance : “ C’est celui qui a péché contre moi que j’effacerai de mon livre. ” — Ex. 32:33. Ainsi, de l’Exode à l’Apocalypse, nous rencontrons de nombreuses allusions à un livre contenant des noms ayant l’approbation de Jéhovah et une position juste devant lui. – TG1954 15/6 p183 §11 Très peu de dictons sont aussi trompeurs et nuisibles que celui-ci, qui est largement répandu au sein de la chrétienté : “Une fois sauvé, sauvé pour toujours.” La croyance en un tel proverbe peut conduire au désastre et faire perdre l’espérance dans le monde nouveau sous le Royaume du Dieu tout-puissant, conformément à l’enseignement biblique. Pour nous mettre en garde contre des croyances aussi pernicieuses comme “une fois sauvé, sauvé pour toujours”, et afin de nous encourager à mener un dur combat pour la vraie foi, Jude 3 “Bien-aimés, alors que je concentrais tous mes efforts pour vous écrire au sujet du salut que nous détenons en commun, j’ai estimé nécessaire de vous écrire afin de vous exhorter à combattre énergiquement pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.” (Jude 3). Pourquoi Jude a-t-il écrit cela? Parce qu’il savait que des chrétiens pouvaient encore perdre le ‘salut qu’ils détenaient en commun’. Il ajouta: “Je veux vous rappeler (...) que Jéhovah, bien qu’ayant sauvé un peuple [les Israélites] du pays d’Égypte, a détruit ensuite ceux qui ne faisaient pas montre de foi.” — Jude 5. La mise en garde de Jude ne rimerait à rien si les chrétiens ne se trouvaient pas face à un danger comparable à celui que les Israélites connurent. Jude ne mettait pas en doute la valeur du sacrifice de Jésus. Ce sacrifice nous a sauvés du péché adamique, et Jésus protégera ceux qui exercent la foi en lui. Personne ne peut les arracher de sa main. Par contre, nous pouvons perdre cette protection. Comment? En faisant ce que firent beaucoup d’Israélites après avoir été sauvés d’Égypte: Ils choisirent sciemment de désobéir à Dieu. Nous avons la perspective d’obtenir la vie éternelle. Collectivement, nous avons l’assurance d’être sauvé du péché adamique et de toutes ses conséquences. Mais individuellement, nous ne serons sauvés et nous n’obtiendrons la vie éternelle que si nous continuons de remplir toutes les conditions requises par Dieu En écrivant pour exhorter à mener un dur combat pour la foi, Jude dénonce l’erreur de la croyance selon laquelle “une fois sauvé, sauvé pour toujours”. Le fait d’être dans une condition de salut ne fournit pas au chrétien une raison de penser que rien ne peut lui enlever l’amour de Dieu et partant, qu’il est impossible qu’il perde le salut que Dieu offre aux hommes obéissants. Jésus-Christ avait parlé clairement à ce sujet, et Jude savait également que “celui qui aura enduré jusqu’à la fin, celui-là sera sauvé”. (Mat. 24:13.) Jésus désignait ici le salut sur le plan individuel, et non le salut d’une classe de personnes. TG1966 1/ 2 p72 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? L’esprit saint de Jéhovah a joué un rôle important lorsque le tabernacle a été construit, dans le désert. Jéhovah a choisi Betsalel comme principal concepteur et constructeur du tabernacle, promettant de “ le remplir de l’esprit de Dieu en sagesse, en intelligence, en connaissance et en tout genre de savoir-faire ”. (Ex. 31:3-5.) Des hommes ‘ sages de cœur ’ ont travaillé avec Betsalel et son assistant Oholiab pour mener à bien cette mission extraordinaire. Qui plus est, l’esprit de Jéhovah a poussé les personnes au cœur bien disposé à apporter généreusement leurs contributions (Ex. 31:6 ; 35:5, 30-34). C’est ce même esprit qui incite aujourd’hui les serviteurs de Dieu à faire tout ce qu’ils peuvent pour promouvoir les intérêts du Royaume. Peut-être avons-nous des compétences dans un domaine ou dans un autre ; nous devons malgré tout prier pour obtenir l’esprit saint et le laisser nous guider si nous voulons accomplir l’œuvre que Jéhovah a confiée à son peuple de nos jours.- TG2008 15/2 p3 §17 Si nous nous laissons accaparer par les choses matérielles, nous risquons de perdre petit à petit nos bonnes relations avec Jéhovah. Selon Exode 31:13, le sabbat rappelait aux Israélites qu’ils étaient un peuple sanctifié. Ils devaient réserver ce jour pour le culte en famille, la prière et la méditation sur la loi de Dieu. Mais pour certains contemporains de Néhémie le sabbat était devenu un jour d’activité comme les autres. Et le culte n’avait plus la priorité. Face à ce constat, Néhémie a chassé les marchands à la fin du sixième jour et a fermé les portes de la ville avant le début du sabbat. Jésus nous a mis en garde contre le fait de servir deux maîtres. - ws2013 15/8 p3 §13,14 Beaucoup de gens pensent que les origines d’une fête n’ont pas d’importance. Mais ce n’est pas ce que Jéhovah pense. Il n’approuve pas les fêtes qui viennent de la fausse religion ou qui mettent en avant des humains ou un pays. Par exemple, les Égyptiens avaient beaucoup de fêtes pour leurs faux dieux. Après être sortis d’Égypte, les Israélites ont copié une fête égyptienne et ont dit que c’était « une fête pour Jéhovah ». Mais Jéhovah les a punis (Exode 32:2-10). Aaron a fabriqué une idole en or en forme de veau. Les Israélites ont alors fait une fête. Ils ont dansé autour du veau et ils se sont mis à genoux devant lui. Ils croyaient qu’en se mettant à genoux devant le veau, ils adoraient Jéhovah. Mais ce n’est pas parce qu’ils disaient que cette fête était une « fête pour Jéhovah » qu’elle lui plaisait. Pour Jéhovah, c’était de l’idolâtrie. Et pour cette raison, beaucoup d’Israélites sont morts. Quelle est la leçon à retenir ? Ne te laisse pas tromper par Satan. ‘Ne touche rien d’impur’, c’est-à-dire n’aie rien à faire avec la fausse religion. Et laisse Jéhovah t’enseigner ce qui est bien et ce qui est mal – Bhs chap16 p164 §12 L’expression « doigt de Dieu » devrait rappeler à ses auditeurs ce qui s’est passé plus tôt dans l’histoire d’Israël. À la suite d’un miracle de Moïse, les membres de la cour de Pharaon se sont exclamés : « C’est le doigt de Dieu ! » C’est aussi le « doigt de Dieu » qui a écrit les Dix Commandements sur deux tablettes de pierre (Exode 31:18). De la même manière, c’est grâce au « doigt de Dieu », c’est-à-dire à son esprit saint ou force agissante, que Jésus peut expulser des démons et guérir des malades. Le royaume de Dieu est donc bel et bien arrivé jusqu’à ses opposants, car Jésus, le Roi de ce royaume, est présent et il accomplit des miracles. Le pouvoir qu’a Jésus d’expulser des démons est la preuve qu’il est plus puissant que Satan. – jy chap75 p176 Moïse a toujours cherché à mieux connaître les qualités de Jéhovah et à faire sa volonté. Après que Moïse les a fait sortir d’Égypte, les Israélites trouvaient sans cesse des raisons de se plaindre. Moïse a alors pu observer Jéhovah traiter le peuple qu’il avait libéré de l’esclavage avec une grande patience. Il a également vu Jéhovah manifester une humilité remarquable le jour où, à sa demande, il a changé d’avis (Ex. 32:9-14). – TG2019/12 p16 §8 Le médiateur qui convenait. Moïse fit plusieurs fois l’ascension du mont Horeb. Par deux fois, il y resta 40 jours et 40 nuits. La première fois, il revint avec deux tablettes de pierre “ écrites du doigt de Dieu ” portant “ les Dix Paroles ” ou Dix Commandements, les lois fondamentales de l’alliance de la Loi (Ex 31:18). En cette même circonstance, Moïse démontra qu’il était à la hauteur de son rôle de médiateur entre Jéhovah et Israël et de conducteur de cette grande nation qui comptait peut-être trois millions de personnes ou plus. Quand Moïse était dans la montagne, Jéhovah lui apprit que le peuple s’était tourné vers l’idolâtrie et lui dit : “ Maintenant donc, laisse-moi faire : que ma colère s’enflamme contre eux et que je les extermine, et que je fasse de toi une grande nation. ” La réponse immédiate de Moïse révéla que la sanctification du nom de Jéhovah était ce qui comptait avant tout à ses yeux et que, loin de rechercher sa propre gloire, il était plein d’abnégation. Il ne sollicita rien pour lui-même, mais se soucia du nom de Jéhovah, que Celui-ci venait d’élever par le miracle de la mer Rouge, et s’inquiéta pour la promesse que Dieu avait faite à Abraham, à Isaac et à Jacob. Jéhovah accéda à la supplication de Moïse et épargna le peuple. Cela indique qu’aux yeux de Dieu Moïse remplissait de façon satisfaisante son rôle de médiateur et que lui-même, Dieu, respectait la disposition par laquelle il avait établi Moïse à cette fonction. Aussi, Jéhovah “ regretta le mal qu’il avait parlé de faire à son peuple ” — autrement dit, à cause d’un changement de situation, il revint sur son intention de faire venir le mal sur le peuple. — Ex 32:7-14. – it-2 p307 Le zèle pour le vrai culte avec lequel Moïse assumait son service pour Dieu fut manifeste quand il descendit de la montagne. Lorsqu’il vit des idolâtres qui se livraient à des orgies, il jeta à terre les tablettes, qui se brisèrent, puis lança un appel à quiconque était du côté de Jéhovah. Les membres de la tribu de Lévi se rallièrent à Moïse, et il leur ordonna de mettre à mort ceux qui s’adonnaient au faux culte. Cette intervention se solda par l’exécution d’environ 3 000 hommes. Ensuite, Moïse retourna vers Jéhovah, lui confessa le péché grave du peuple et l’implora en ces termes : “ Mais maintenant, si tu pardonnes leur péché..., sinon, efface-moi, s’il te plaît, de ton livre que tu as écrit. ” Jéhovah ne s’irrita pas de la supplication de Moïse, qui agissait en médiateur, mais il répondit : “ Celui qui a péché contre moi, c’est lui que j’effacerai de mon livre. ” — Ex 32:19-33. Partie contractante de l’alliance, Jéhovah se fit très souvent représenter dans ce rôle par Moïse, qui encouragea le véritable culte pur et exécuta le jugement sur ceux qui désobéissaient. Moïse s’interposa plus d’une fois entre la nation, ou certains de ses membres, et Jéhovah sur le point de les détruire. - it-2 p307 Le culte du veau. Le culte du veau fut la première forme d’idolâtrie mentionnée dans la Bible à laquelle les Israélites succombèrent après l’Exode. Tandis que Moïse était dans la montagne et recevait la loi de Dieu, le peuple s’impatienta et demanda à Aaron de lui faire un dieu. Avec les boucles d’oreilles en or offertes par les Israélites, Aaron forma une statue en métal fondu représentant un veau, sans aucun doute un jeune taureau. Elle était censée représenter Jéhovah, et la fête qui eut lieu le lendemain fut appelée “ une fête pour Jéhovah ”. Les Israélites offrirent des sacrifices au veau d’or, se prosternèrent devant lui, mangèrent, burent, et se donnèrent du bon temps en chantant et en dansant. — Ex 32:1-8, 18, 19 ; Ne 9:18. Le veau en métal fondu n’était pas forcément en or massif. C’est ce qu’indique le fait qu’Isaïe, parlant de la fabrication d’une image en métal fondu, dit que l’ouvrier en métaux la recouvre avec de l’or (Is 40:19). Ainsi, le veau d’or était peut-être fait de bois recouvert d’or. Par conséquent, lorsque Moïse fit brûler l’image, l’ossature en bois fut réduite en charbon de bois et le revêtement d’or fondit entièrement ou en partie. Ce qui pouvait en rester fut écrasé et broyé jusqu’à être devenu fin comme la poussière, et Moïse dispersa cette poussière, composée de charbon de bois et d’or, sur la surface de l’eau. Ex 32:20 – it-2 p1130 Pourquoi Aaron ne fut-il pas puni pour avoir fabriqué le veau d’or ? Malgré sa position privilégiée, Aaron eut des manquements. La première fois que Moïse resta 40 jours sur le mont Sinaï, “ le peuple se rassembla [...] autour d’Aaron et lui dit : ‘ Lève-toi, fais-nous un dieu qui marchera en avant de nous, car, en ce qui concerne ce Moïse, l’homme qui nous a fait monter du pays d’Égypte, nous ne savons vraiment pas ce qui lui est arrivé. ’ ” (Ex 32:1). Aaron accéda à la requête des rebelles et participa avec eux à la fabrication d’une statue de veau en or (Ex 32:2-6). Devant Moïse, un peu plus tard, il donna une excuse dérisoire (Ex 32:22-24). Néanmoins, Jéhovah ne l’accusa pas d’être le principal transgresseur, mais il dit à Moïse : “ Maintenant donc, laisse-moi faire : que ma colère s’enflamme contre eux et que je les extermine. ” (Ex 32:10). Moïse provoqua le règlement de l’affaire en s’écriant : “ Qui est du côté de Jéhovah ? À moi ! ” (Ex 32:26). Tous les fils de Lévi le suivirent, y compris Aaron sans aucun doute, et ils tuèrent trois mille idolâtres, probablement les principaux meneurs de la rébellion (Ex 32:28). Cependant, Moïse rappela par la suite au reste des Israélites qu’eux aussi étaient coupables (Ex 32:30). Aaron ne fut donc pas le seul à bénéficier de la miséricorde de Dieu. Ses actions ultérieures révélèrent qu’il n’était pas de cœur avec le mouvement idolâtrique, mais qu’il avait simplement cédé aux instances des rebelles (Ex 32:35). Jéhovah montra qu’il avait pardonné à Aaron en ne revenant pas sur la validité de sa nomination de grand prêtre – it-1 p9 Aaron Les Israélites savaient que c’était mal d’adorer des idoles. Il n’a pourtant pas fallu longtemps pour qu’ils se mettent à adorer un veau en or ! Malgré leur désobéissance, ils se sont convaincus qu’ils étaient toujours du côté de Jéhovah. Aaron a même parlé de cet acte idolâtrique comme d’« une fête pour Jéhovah » ! Comment Jéhovah a-t-il réagi ? Il s’est senti trahi. Il a dit à Moïse que le peuple s’était « conduit de manière corrompue » et avait « vite dévié du chemin qu’il leur avait ordonné de suivre ». Il était tellement en colère qu’il a pensé détruire la nation tout entière (Ex. 32:5-10). Mais Jéhovah est un Dieu miséricordieux. Il a décidé de ne pas détruire les Israélites et de leur donner la possibilité de montrer qu’ils voulaient être de son côté (Ex. 32:14). Après avoir brûlé et réduit en poussière le veau en or devant lequel le peuple avait dansé, Moïse s’est écrié : « Qui est du côté de Jéhovah ? Venez avec moi ! » En réponse, « tous les Lévites se rassemblèrent » autour de Moïse (Ex. 32:17-20, 26). Même si Aaron avait fabriqué le veau en or, il s’est repenti et, comme les autres Lévites, il a choisi de se placer du côté de Jéhovah. Ces hommes fidèles se sont ainsi clairement séparés des pécheurs. C’était un choix sage, car plus tard dans la journée, des milliers d’Israélites qui avaient adoré l’idole sont morts. Par contre, ceux qui s’étaient placés du côté de Jéhovah ont survécu, et celui-ci leur a promis de les bénir (Ex. 32:27-29). Tout comme les Israélites ont eu peur en voyant que Moïse ne redescendait pas du mont Sinaï aussi vite qu’ils l’auraient pensé, nous pourrions nous aussi nous inquiéter en constatant que la fin de ce système n’arrive pas aussi vite que nous le pensions. Le merveilleux avenir que Jéhovah nous promet pourrait nous sembler encore loin ou trop beau pour être vrai. Et si nous ne chassions pas de telles pensées, nous risquerions de faire passer nos désirs personnels avant la volonté de Jéhovah. Nous pourrions même nous éloigner de lui et commettre des choses que nous n’aurions jamais imaginées. N’oublions jamais que Jéhovah exige de nous une obéissance totale et un attachement sans partage. Si nous ne faisons pas sa volonté, nous faisons la volonté de Satan, et cela ne peut nous mener qu’au malheur – TG2018/7 p17 Des anges ont aidé Moïse. Jéhovah s’est servi d’anges pour missionner, préparer et guider Moïse. Il « l’a envoyé comme chef et libérateur par la main de l’ange qui lui était apparu dans le buisson d’épines » (Actes 7:35). Il a « transmis par l’intermédiaire d’anges » la Loi, que Moïse a utilisée pour donner aux Israélites les commandements de Jéhovah. Et Jéhovah lui a dit : « Conduis le peuple où je t’ai dit. Écoute ! Mon ange marchera en avant de toi » (Ex. 32:34). La Bible ne dit pas que les Israélites aient vu un ange matérialisé accomplir ces actions. C’est la manière dont Moïse a dirigé le peuple qui a clairement montré qu’il bénéficiait d’une aide suprahumaine. – TG2017/2 p18 Les portes du camp dans le désert. Les ‘ portes ’ du camp d’Israël étaient les chemins par où on y entrait. Nul doute qu’elles étaient bien gardées. Le tabernacle était au centre du camp ; les Lévites campaient tout à côté ; et les 12 tribus, trois par côté, étaient plus loin. Cette disposition garantissait une haute protection pour le camp. — Ex 32:26, 27– it-2 610 Porte Concernant la faiblesse humaine, comment régler notre point de vue sur celui de Jéhovah ? En examinant comment il a traité diverses affaires impliquant certains de ses serviteurs. Par exemple, si tu avais été aux côtés de Moïse quand Aaron a présenté de piètres excuses pour avoir fabriqué un veau d’or, qu’aurais-tu pensé ? (Ex. 32:21-24). Jéhovah aurait pu punir Aaron sur-le-champ. Mais il a discerné que cet homme n’était ni foncièrement mauvais ni le plus coupable. Il semble qu’Aaron a laissé les circonstances ou certaines influences le détourner du droit chemin. Mais quand on lui a fait prendre conscience de ses erreurs, il les a reconnues volontiers et a soutenu les jugements divins (Ex. 32:26) Jéhovah a choisi de se concentrer sur sa foi et son attitude repentante. Des siècles plus tard, on se souvenait toujours de lui et de ses descendants comme d’hommes craignant Jéhovah – TG2014 15/8 p23 §11,12
  19. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 28 Septembre 2020 - Exode 29-30.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 28 Septembre 2020 - Exode 29-30.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Exode 29-30 Exode 29:10 : Lorsque les prêtres ‘posaient les mains sur la tête du taureau’, que signifiait ce geste ? (it-2 185 § 5). « Puis tu présenteras le taureau devant la tente de la rencontre, et Aaron et ses fils poseront les mains sur la tête du taureau. » L’imposition des mains. La main n’était pas seulement un organe de préhension ; on posait les mains sur une personne ou un objet à des fins diverses. Toutefois, la signification générale de ce geste était l’action de désigner, de signaler, que la personne ou la chose était admise, reconnue, pour une certaine fonction. Pendant la cérémonie d’installation de la prêtrise, Aaron et ses fils posèrent leurs mains sur la tête du taureau et des deux béliers qui allaient être sacrifiés, reconnaissant par-là que ces animaux étaient offerts pour eux dans le but qu’ils deviennent prêtres de Jéhovah Dieu. Quand, sur l’ordre de Jéhovah, Moïse établit Josué comme son successeur, il posa sa main sur lui, et à la suite de cela Josué fut “ plein de l’esprit de sagesse ”, rendu apte à diriger convenablement Israël. On posait les mains sur des personnes pour les désigner comme bénéficiaires d’une bénédiction. Jésus Christ toucha (ou posa les mains sur) des personnes qu’il guérit. Dans certains cas, le don de l’esprit saint fut accordé par l’imposition des mains des apôtres. — it-2 185 § 5 Le taureau du sacrifice pour le péché. Moïse habilla ensuite les fils d’Aaron, après quoi il leur demanda, ainsi qu’à leur père, de poser les mains sur la tête du taureau du sacrifice pour le péché. Ce geste indiquait qu’ils reconnaissaient que le sacrifice était fait pour eux, la maison sacerdotale. Après avoir tué le taureau, Moïse mit un peu de sang sur l’autel, puis versa le reste à sa base, ce qui symbolisait la purification de la souillure causée par la nature pécheresse des prêtres qui officiaient à l’autel. Le sang mis sur les cornes de l’autel signifiait sans doute que le pouvoir de ces sacrifices résidait dans le sang versé de l’animal sacrifié (Hé 9:22). L’aspersion du sang sur l’autel était également requise à l’occasion d’autres offrandes. Toutefois, étant donné qu’il s’agissait du jour de l’‘ ordination ’ de la prêtrise et non du jour de propitiation national pour les péchés, le sang du taureau ne fut pas porté dans le Très-Saint (voir Lv 16:14). Comme dans le cas d’autres sacrifices pour le péché, on déposa sur l’autel la graisse qui était sur les intestins, le tissu annexe du foie et les deux rognons avec leur graisse. Le reste du taureau, avec sa peau et ses excréments, fut emporté et brûlé hors du camp. – it-1 Installation Aaron et ses fils appuient leurs mains sur la tête du taureau (v. 14, NW). “Puis il fit avancer le taureau de l’offrande pour le péché et Aaron et ses fils appuyèrent leurs mains sur la tête du taureau de l’offrande pour le péché.” Leur action indique qu’ils sont directement impliqués dans la présentation de la victime. Jésus-Christ, pour sa part, accepta avec joie de ‘porter les péchés de beaucoup d’hommes, et d’intercéder pour les coupables’, et ses disciples oints déclarent spontanément qu’il constitue le sacrifice pour leurs péchés et que c’est sur lui qu’ils doivent se décharger de toutes leurs transgressions. Le taureau représente donc l’“homme, Christ Jésus, qui s’est donné lui-même en rançon correspondante pour tous”. (I Tim. 2:5, 6.) Les futurs membres de la prêtrise céleste doivent fonder fermement leur espérance de vie et leur espoir de recevoir l’approbation de Jéhovah sur leur foi en cette offrande de grande valeur. – TG1968 15/10 §15 Exode 30:31-33 : Pourquoi préparer de l’huile d’onction sainte et en mettre sur une personne non autorisée était-il un crime puni de mort ? it-2 437 §1 « Tu diras aux fils d’Israël : “Cela restera une huile d’onction sainte pour moi de génération en génération. 32 On n’en mettra pas sur le corps des humains, et vous ne devrez rien faire qui ait la même composition. C’est quelque chose de saint. Cela restera pour vous quelque chose de saint. 33 Celui qui fera un onguent comme celui-là et en mettra sur une personne non autorisée devra être retranché de son peuple.” » Dans la Loi qu’il donna à Moïse, Jéhovah prescrivit la formule de l’huile d’onction. Elle était d’une composition spéciale, comprenant les meilleurs ingrédients : myrrhe, cinnamome odorant, roseau odorant, casse et huile d’olive (Ex 30:22-25). Préparer ce mélange et l’utiliser pour un quelconque usage ordinaire ou interdit était un crime capital (Ex 30:31-33). Symboliquement, cela démontrait l’importance et le caractère sacré d’une nomination à une fonction qui avait été confirmée par l’onction avec l’huile sacrée. - it-2 p437 §1 Le premier onguent mentionné dans la Bible est l’huile d’onction sainte utilisée pour sanctifier les objets du tabernacle voués à Dieu et sa prêtrise. Il était interdit d’en faire un usage personnel, sous peine de mort. Cette loi montre le caractère sacré conféré au tabernacle et à son personnel. L’étranger (non aaronite) ne pouvait pas manger du sacrifice d’installation (Ex 29:33), ni être oint d’huile d’onction sainte ni manger aucune chose sainte – it-2 p446 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Les tâches que les prêtres se livraient-ils régulièrement dans le Saint - Chaque matin et chaque soir, un prêtre avait pour devoir d’entrer dans le tabernacle et de faire brûler de l’encens sur l’autel de l’encens (Exode 30:7, 8). Le matin, pendant que l’encens se consumait, il fallait réapprovisionner en huile les sept lampes du porte-lampes d’or. Le soir, on les allumait pour éclairer le Saint. À chaque sabbat, un prêtre plaçait 12 pains frais sur la table des pains de proposition. - TG1996 1/7 Le bassin d’eau - Une cour entourée par une palissade de dix toiles complétait le tabernacle. Elle abritait un grand bassin dans lequel les prêtres se lavaient les mains et les pieds avant de pénétrer dans le Saint ou d’offrir des sacrifices sur l’autel dressé dans la cour (Exode 30:18-21). Cette exigence de propreté est une leçon pour ceux qui servent Dieu de nos jours : Dieu n’agrée leur culte que s’ils s’efforcent d’être purs sur les plans physique, moral, mental et spirituel. Par la suite, le ramassage du bois pour le feu de l’autel et l’approvisionnement du bassin en eau ont été confiés à des esclaves non israélites rattachés au temple. - TG1996 1/7 Quelques offrandes faites sur l’autel du sacrifice. - Tous les matins et tous les soirs, on brûlait en sacrifice sur l’autel un jeune bélier, ainsi qu’une offrande de grain et une libation (Exode 29:38-41). D’autres sacrifices avaient lieu certains jours spéciaux. Parfois, il fallait en offrir un pour un péché personnel précis (Lévitique 5:5, 6). En d’autres occasions, un Israélite pouvait offrir volontairement un sacrifice de communion dont lui et les prêtres consommaient certaines portions. Cela montrait que des humains pécheurs pouvaient, en quelque sorte, partager un repas avec Dieu, c’est-à-dire être en paix avec lui. Même un résident étranger pouvait devenir un adorateur de Jéhovah et avoir le privilège de présenter des offrandes volontaires à Sa maison. Étant donné l’honneur dû à Jéhovah, les prêtres ne devaient accepter que des offrandes de première qualité : pour les offrandes de grain, de la farine finement moulue, et, pour les sacrifices, des bêtes sans défaut. – TG1996 1/7 p8 En même temps qu’il lui donna sa Loi, Dieu commanda à Israël de bâtir le tabernacle, une tente portative, appelé aussi “ la tente de réunion ”, qui serait l’élément central de la structure permettant de s’approcher de lui (Exode 39:32, 40). Ce tabernacle avait deux autels. Celui des holocaustes, en acacia plaqué de cuivre, était devant l’entrée et servait à offrir des sacrifices d’animaux (Exode 27:1-8 ; 39:39 ; 40:6, 29). L’autel de l’encens, également en acacia mais plaqué d’or, était à l’intérieur du tabernacle, devant le rideau du Très-Saint (Exode 30:1-6 ; 39:38 ; 40:5, 26, 27). On y brûlait un encens spécial deux fois par jour, matin et soir (Exode 30:7-9). Plus tard, le temple en dur que Salomon construisit fut agencé comme le tabernacle, avec deux autels. En donnant la Loi à Israël, Jéhovah fit plus que fournir des prescriptions pour réguler la vie de ses serviteurs et leur accès à lui par les sacrifices et les prières. Beaucoup de choses liées au tabernacle et au service dans le temple figuraient des réalités spirituelles. Paul parle de “ la tente véritable que Jéhovah a dressée, et non pas l’homme ”, et ajoute : “ Christ est venu comme grand prêtre des bonnes choses qui sont arrivées, par le moyen de la tente plus grande et plus parfaite, non faite par des mains, c’est-à-dire qui n’est pas de cette création. ” (Hébreux 8:2 ; 9:11). “ La tente plus grande et plus parfaite ” était le grand temple spirituel de Jéhovah, dont le langage des Écritures indique qu’il est l’ensemble des dispositions par lesquelles les humains peuvent s’approcher de Jéhovah en vertu du sacrifice propitiatoire de Jésus Christ. L’autel de l’holocauste avait lui aussi une valeur prophétique. Il représente apparemment la “ volonté ” de Dieu, son intention d’accepter le sacrifice humain parfait de Jésus – TG2003 15/2 p28 Dans le tabernacle typique et les temples successifs qui le remplacèrent, les prêtres s’approchaient de Dieu au moyen de l’encens. La Loi mosaïque exigeait qu’on brûlât de l’encens sur l’autel des parfums, situé dans le Saint du sanctuaire, deux fois par jour et chaque fois qu’on cherchait officiellement à avoir accès auprès de Jéhovah. “Aaron y fera fumer l’encens ; il le fera fumer chaque matin, lorsqu’il préparera les lampes, et entre les deux soirs, lorsqu’il les mettra sur le chandelier. On fera ainsi fumer l’encens devant Jéhovah à perpétuité parmi vos descendants.” (Ex. 30:7, 8, AC). D’après la Loi, seuls les prêtres avaient le droit de faire monter la fumée de cet encens ou parfum coûteux. Par ce geste, les prêtres rendaient ouvertement hommage au Dieu vivant, le Roi suprême de l’univers, le louant alors qu’ils se présentaient devant lui pour le servir (Ex. 30:36, 37). Le jour des Propitiations, le grand prêtre devait d’abord préparer son entrée dans le Très-Saint du sanctuaire en présentant “la nuée de l’encens” devant le trône typique de Jéhovah, le couvercle de l’arche du témoignage. Il devait le faire “afin qu’il ne meure pas”. — TG1965 15/1 p41 §4 La Loi que Jéhovah a donnée à Moïse pour les Israélites nous montre aussi que la propreté était très importante. Jéhovah Dieu étant pur et saint de façon absolue, les prêtres et les Lévites devaient, sous peine de mort, se laver les mains et les pieds avant d’approcher son autel. Par exemple, pour que Jéhovah accepte leur culte, les Israélites devaient être propres. Le jour de la Réconciliation, le grand prêtre devait se laver deux fois (Lévitique 16:4, 23, 24). Et avant d’offrir des sacrifices, les autres prêtres devaient se laver les mains et les pieds (Exode 30:17-21). Dans certaines situations, si quelqu’un désobéissait aux lois sur la pureté, il était puni de mort. Pour Jéhovah, être pur, ce n’est pas simplement être propre et avoir des vêtements et une maison propres. La pureté concerne toute notre vie. Elle concerne notre culte, notre conduite et nos pensées. Pour être purs aux yeux de Jéhovah, nous devons être purs dans tous les domaines de notre vie. Quand nous nous montrons exemplaires pour ce qui est de nos vêtements et de notre aspect général, particulièrement dans le ministère, nous réjouissons Jéhovah et lui rendons gloire. Si nous n’étions pas exemplaires dans ces domaines, les gens risqueraient de ‘ parler en mal de la parole de Dieu ’. (Tite 2:5.) – lvs chap8 p104 §6,8 La pureté physique était requise de ceux qui adoraient Jéhovah dans la sainteté et la pureté. C’est ce que montrent les activités au tabernacle et le service au temple. Lors de leur installation, le grand prêtre Aaron et ses fils se baignèrent avant de revêtir leurs vêtements officiels (Ex 29:4-9). Pour se laver les mains et les pieds, les prêtres se servaient de l’eau que contenait le bassin de cuivre dans la cour du tabernacle et, par la suite, l’immense mer en métal fondu dans le temple de Salomon (Ex 30:18-21). Le jour des Propitiations, le grand prêtre se baignait deux fois. Il est approprié de parler de se laver au sens figuré pour évoquer un état de pureté devant Jéhovah. Se baigner avec la parole véridique de Jéhovah, symbolisée par l’eau, a le pouvoir de purifier. — Ép 5:26. – it-1 p257 Le peuple de Dieu ne doit pas être pur seulement sur les plans spirituel, moral et mental, il lui faut encore veiller à être pur sur le plan physique. La loi de Jéhovah disait que ceux qui le servaient à sa tente devaient être purs de corps (Ex. 29:4 ; 30:17-20). Si donc vous êtes un serviteur voué de Jéhovah, il est important que vous vous laviez, que vous soyez proprement habillé, que vous soyez respectable d’aspect et présentable avant de vous engager dans l’œuvre de témoignage ou avant de vous rendre à la Salle du Royaume. Alors ceux qui vous observent reconnaîtront déjà par votre aspect personnel que c’est ici la pure Organisation de Dieu. – TG1960 15/12 p373 §13 Le titre “ Christ ” est utilisé de façon exceptionnelle par Paul quand, parlant de Moïse et non de Jésus, il écrit : “ Il [Moïse] a considéré l’opprobre du Christ [Khristou, “ Oint ”] comme une richesse plus grande que les trésors de l’Égypte ; car il avait les yeux fixés sur la récompense. ” (Hé 11:26). Moïse ne fut jamais oint d’huile, comme le furent les grands prêtres et les rois d’Israël (Ex 30:22-30). Jésus et ses disciples non plus, et pourtant les Écritures disent qu’ils furent oints (Ac 10:38 ; 2Co 1:21). Dans ces derniers cas, leur onction d’esprit saint fit office de nomination par Dieu, les chargea d’une mission, même si aucune huile d’onction ne fut employée. De la même façon, Moïse fut l’objet d’une nomination spéciale. Paul pouvait donc dire que Moïse était l’oint ou le Christ de Jéhovah, celui qui s’était vu confier une mission près du buisson embrasé, mission qu’il considérait comme une richesse plus grande que tous les trésors de l’Égypte. – it-1 p446 Christ ONGUENTS ET PARFUMS - Les mots hébreux relatifs aux onguents peuvent désigner non seulement des préparations pâteuses qui fondent lorsqu’on les applique sur la peau, mais aussi des émulsions huileuses qui restent liquides à des températures normales. — Ex 30:25. - it-2 p446 Huile d’onction sainte et encens. Le premier onguent mentionné dans la Bible est l’huile d’onction sainte utilisée pour sanctifier les objets du tabernacle voués à Dieu et sa prêtrise (Ex 30:25-30). Il était interdit d’en faire un usage personnel, sous peine de mort. Cette loi montre le caractère sacré conféré au tabernacle et à son personnel. — Ex 30:31-33. - it-2 p446 Jéhovah donna à Moïse la composition de l’huile d’onction sainte. Seuls les “ parfums les meilleurs ” devaient être employés ; myrrhe, cinnamome odorant, roseau odorant, casse et l’huile d’olive la plus pure, et chacun dans des proportions précises (Ex 30:22-24). Pareillement, Jéhovah prescrivit la composition de l’encens sacré. Il ne s’agissait pas simplement d’une substance qui se consumait et faisait de la fumée ; c’était un encens parfumé particulier (Ex 30:7), la formule de l’encens parfumé devait être brûlé chaque matin et chaque soir dans le sanctuaire. Sa fabrication exigeait en quantités précises des gouttes de stacté, de l’ongle odorant, du galbanum parfumé et de l’oliban pur. Dieu dit aussi que c’était “ un mélange d’aromates, œuvre de confectionneur d’onguents, salé, pur, chose sainte ”. Une partie de l’encens était réduite en poudre fine et probablement tamisée pour obtenir un produit uniforme qui convienne à son usage particulier. Son utilisation à des fins personnelles constituait un crime capital. Un manque de respect pour l’usage sacré de l’huile d’onction constituait un péché capital.— Ex 30:34-38. – it-2 p446 ONGUENTS ET PARFUMS L’encens - Mélange de gommes aromatiques et de résines qui brûle lentement en dégageant un parfum. L’encens sacré prescrit à l’usage du tabernacle dans le désert se composait de produits coûteux offerts par la congrégation. La formule de ce mélange composé de quatre ingrédients fut donnée par Jéhovah, qui déclara à Moïse : “ Procure-toi des parfums : des gouttes de stacté et de l’ongle odorant, du galbanum parfumé et de l’oliban pur. Il y aura la même portion de chaque. Tu devras en faire un encens, un mélange d’aromates, œuvre de confectionneur d’onguents, salé, pur, chose sainte. Tu devras en broyer une partie en poudre fine et en mettre un peu devant le Témoignage dans la tente de réunion, là où je me présenterai à toi. Pour vous, il sera très saint. ” Puis, pour marquer dans l’esprit des Israélites le caractère exclusif et saint de cet encens, Jéhovah ajouta : “ Quiconque en fera de semblable pour en savourer l’odeur devra être retranché de son peuple. ” — Ex 30:34-38 – it-1 p756 Encens Certaines contributions étaient requises sous la Loi. Lorsque Moïse recensa les Israélites, chaque mâle de 20 ans et au-dessus dû verser une rançon pour son âme, “ un demi-sicle [probablement 0,93 euro] selon le sicle du lieu saint ”. C’était “ la contribution de Jéhovah ” afin de faire propitiation pour leur âme et “ pour le service de la tente de réunion ”. (Ex 30:11-16.) Selon l’historien juif Josèphe (Guerre des Juifs, VII, 218 [VI, 6]), par la suite cet “ impôt sacré ” fut payé chaque année/ Au 1er siècle, il n’était pas obligatoire de donner des contributions dans la congrégation chrétienne primitive. Le montant d’une contribution ne reflète pas forcément avec exactitude la générosité de celui qui la fait. Bien que personne ne puisse enrichir Jéhovah, le propriétaire de toutes choses, donner des contributions est un privilège qui offre l’occasion à ses adorateurs de lui témoigner leur amour – it-1 p517 Contribution
  20. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 21 Septembre 2020 - Exode 27-28.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 21 Septembre 2020 - Exode 27-28.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Exode 27-28 Exode 28:15-21 : D’où venaient peut-être les pierres précieuses qui étaient sur le pectoral du grand prêtre d’Israël ? w12 1/8 26 §1-3 « Tu feras faire le pectoral du jugement par un brodeur. Il sera fait comme l’éphod, avec de l’or, du fil bleu, de la laine pourpre, du fil écarlate et du fin lin retors. 16 Une fois plié en deux, il sera carré et mesurera un empan de long et un empan de large. 17 Tu devras le garnir de pierres serties. Il aura quatre rangées de pierres. La première rangée : rubis, topaze et émeraude. 18 La deuxième rangée : turquoise, saphir et jaspe. 19 La troisième rangée : léshem, agate et améthyste. 20 La quatrième rangée : chrysolithe, onyx et jade. Elles seront serties dans des montures en or. 21 Les pierres porteront les noms des 12 fils d’Israël. Chacune sera gravée comme un sceau et portera le nom d’une des 12 tribus. » ▪ Après que les Israélites sont partis d’Égypte pour le désert, Dieu leur a donné des instructions pour la fabrication du pectoral du grand prêtre (Exode 28:15-21). Il devait être orné des pierres suivantes : rubis, topaze, émeraude, turquoise, saphir, jaspe, agate, améthyste, chrysolithe, onyx et jade. Où les Israélites allaient-ils trouver toutes ces pierres précieuses ? Aux temps bibliques, les pierres précieuses étaient très prisées et constituaient un produit de négoce. Les Égyptiens, par exemple, en faisaient venir de contrées lointaines, que l’on situerait aujourd’hui en Iran, en Afghanistan et sans doute aussi en Inde. Différentes sortes de pierres étaient également extraites des mines du pays. Les monarques égyptiens avaient le monopole des ressources minérales de leur territoire. Job a expliqué que ses contemporains creusaient des puits et des galeries souterraines à la recherche de trésors. Entre autres trésors, il mentionne spécifiquement le saphir et la topaze. Job 28:1-11, 19. Le récit de l’Exode nous apprend qu’en quittant l’Égypte les Israélites dépouillèrent ses habitants de leurs objets de valeur (Exode 12:35, 36). C’est donc peut-être de ce pays que venaient les pierres ornant le pectoral du grand prêtre. w12 1/8 26 §1-3 Le pectoral - Ornement sacré brodé, en forme de poche, que le grand prêtre d’Israël portait sur son cœur chaque fois qu’il entrait dans le Saint. Le pectoral devait servir de “ mémorial ” et était appelé “ pectoral du jugement ” apparemment parce qu’il contenait l’Ourim et le Thoummim (Objets utilisés pour connaître la volonté divine quand des questions d’importance nationale demandaient une réponse de Jéhovah), au moyen desquels étaient révélés les jugements de Jéhovah. – it-2 Pectoral Le pectoral du jugement constituait sans aucun doute la partie la plus coûteuse et la plus glorieuse de la tenue du grand prêtre. Il était fait du même tissu que l’éphod, il était rectangulaire, deux fois plus long que large, mais on le pliait en deux, si bien qu’il formait un carré d’environ 22 cm de côté. Ainsi plié en deux, le pectoral formait une sorte de poche ou de petit sac Il était orné de 12 pierres précieuses serties dans de l’or, chacune gravée du nom d’un des fils d’Israël. Ces pierres précieuses, rubis, topaze, émeraude et autres, étaient disposées en quatre rangées. Deux chaînes d’or tressées en façon de cordes étaient placées sur le pectoral, et des anneaux d’or étaient fixés aux angles ; les anneaux du haut étaient attachés aux épaulières de l’éphod par les chaînes d’or. Les deux anneaux du bas étaient reliés par des cordons bleus aux épaulières de l’éphod, juste au-dessus de la ceinture. — Ex 28:15-28 – it-1 p1005 Le pectoral du jugement se fixait aux épaulières des vêtements du grand prêtre, ce qui représentait sans doute certaines des responsabilités qui reposeraient sur les épaules du Grand Prêtre souverain, Jésus Christ. — Ex 28:6, 7, 12, 22-28 – it-1 p778 L’éphod était un vêtement spécial, recouvrant la partie supérieure du corps et porté par le grand prêtre, et auquel était attaché par devant le pectoral du jugement, orné de douze pierres précieuses et contenant l’urim et le thummim, ou sorts sacrés – TG1965 1/12 p735 L’empan - Mesure de longueur correspondant approximativement à l’intervalle compris entre l’extrémité du pouce et celle du petit doigt, lorsque la main est ouverte. Un empan devait mesurer 22,2 cm de long. – it-1 p756 Dans le désert, les Israélites eurent le privilège de prélever en contributions divers objets de valeur pour le tabernacle ainsi que pour l’éphod et le pectoral du grand prêtre ; ils offrirent certainement des objets que leur avaient donnés les Égyptiens quand ils les avaient pressés de partir. Ces objets comprenaient “ des pierres d’onyx et des pierres à enchâsser pour l’éphod et pour le pectoral ”. – it-1 p346 Bijoux et pierres précieuses Exode 28:38 : Qu’étaient « les choses sacrées » ? (it-2 861 § 8). « Elle sera sur le front d’Aaron, et Aaron sera tenu pour responsable quand quelqu’un commettra une faute contre les choses sacrées, que les Israélites sanctifient quand ils les offrent comme dons sacrés. Elle devra rester sur son front constamment, afin qu’ils obtiennent l’approbation de Jéhovah. » Animaux et productions. Les mâles premiers-nés d’entre les bovins, les moutons et les chèvres étaient considérés comme saints pour Jéhovah et ne devaient pas être rachetés. Ils devaient être sacrifiés, et une portion allait aux prêtres sanctifiés (Nb 18:17-19). Les prémices et la dîme étaient sacrées, de même que tous les sacrifices et tous les dons sanctifiés pour le service du sanctuaire (Ex 28:38). Toutes les choses saintes pour Jéhovah étaient sacrées, et ne devaient ni être considérées à la légère ni prises pour un usage ordinaire, profane. C’est ce qu’illustre la loi sur la dîme. Si un homme avait mis à part la portion qui devait être offerte en dîme, par exemple sur sa récolte de blé, et que lui ou un membre de sa maisonnée en ait prélevé involontairement une partie pour un usage domestique, comme la cuisine, l’homme était coupable d’une transgression de la loi de Dieu sur les choses saintes. Il était tenu par la Loi de faire au sanctuaire une compensation de même quantité, augmentée de 20 %, en plus d’offrir en sacrifice un bélier sans défaut pris dans son petit bétail. Voilà qui engendrait un grand respect envers les choses saintes appartenant à Jéhovah. — Lv 5:14-16. - it-2 861 § 8 Certaines choses étaient mises à part pour être employées dans le culte. Là encore, elles devenaient saintes en raison de leur sanctification pour le service de Jéhovah et non parce qu’elles avaient la sainteté en elles-mêmes, pour servir de charmes ou de fétiches. Au nombre des choses rendues saintes ou sacrées par le décret de Dieu figuraient l’autel des sacrifices (Ex 29:37), l’huile d’onction (Ex 30:25), l’encens spécial (Ex 30:35, 37), les vêtements des prêtres (Ex 28:2 ; Lv 16:4), le pain de proposition (Ex 25:30 ; 1S 21:4, 6), ainsi que tout le mobilier du sanctuaire. Ces derniers objets comprenaient l’autel de l’encens en or, la table des pains de proposition et les porte-lampes, avec leurs ustensiles. Nombre de ces objets sont énumérés en 1 Rois 7:47-51. Ces choses étaient saintes aussi dans un sens plus éminent, parce qu’elles étaient des modèles de choses célestes et servaient de types au profit de ceux qui vont hériter du salut - it-2 Sainteté Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? En même temps qu’il lui donna sa Loi, Dieu commanda à Israël de bâtir le tabernacle, une tente portative, appelé aussi “ la tente de réunion ”, qui serait l’élément central de la structure permettant de s’approcher de lui. Ce tabernacle avait deux autels. Celui des holocaustes, en acacia plaqué de cuivre, était devant l’entrée et servait à offrir des sacrifices d’animaux - Exode 27:1-8 . L’autel de l’encens, également en acacia mais plaqué d’or, était à l’intérieur du tabernacle, devant le rideau du Très-Saint. On y brûlait un encens spécial deux fois par jour, matin et soir – TG2003 15/2 p28 Il y avait de petites colonnes dans le tabernacle, quatre en bois d’acacia pour soutenir le rideau qui séparait le Saint du Très-Saint, et cinq pour soutenir le voile situé à l’entrée (Ex 26:32-37). Soixante autres colonnes supportaient les tentures en lin qui entouraient la cour et le voile mis à la porte de la cour. — Ex 27:9-16. Emploi figuré. Par la matière dont elles étaient faites et par leur fonction, les colonnes de maçonnerie étaient des symboles appropriés de l’appui solide. Elles représentaient ce qui constitue un soutien sûr. Ainsi, on a appelé la congrégation chrétienne “ colonne et soutien de la vérité ”, car elle fait valoir la vérité qui s’oppose à l’erreur religieuse. Des chrétiens vainqueurs il sera fait des colonnes dans “ le temple ” de Dieu, autrement dit ils acquerront une position permanente dans cet édifice spirituel – it-1 p499 Colonne La prêtrise. Jéhovah décida aussi de mettre à part une famille dans la tribu de Lévi, famille dont les membres serviraient en tant que prêtres-sacrificateurs pour lui, à savoir Aaron, ses fils et leurs descendants mâles (Ex 28:1-3). Ces hommes furent alors sanctifiés par des sacrifices appropriés selon un cérémonial d’actes symboliques décrit en Exode chapitre 29. Sont également sanctifiés Jésus Christ, le Grand Prêtre éternel de Jéhovah, et ses prêtres adjoints, ou sous-prêtres, c’est-à-dire ceux qui suivent les traces de Christ et que Dieu oint pour être membres du corps de Christ. – it-2 p886 sanctification Le grand prêtre d’Israël. En Israël, le turban du grand prêtre avait sur le devant, au-dessus du front du prêtre, une plaque d’or, “ le signe saint de consécration ”, sur laquelle étaient écrits “ en gravures de sceau ” les mots : “ La sainteté appartient à Jéhovah. ” (Ex 28:36-38 ; 39:30). En sa qualité de principal représentant du culte de Jéhovah en Israël, il convenait que le grand prêtre fasse que sa fonction reste sainte ; de plus, cette inscription rappelait à tout Israël la nécessité de demeurer saint constamment au service de Jéhovah contrairement aux nations païennes qui rendaient hommage à des divinités impures, Israël adorait un Dieu pur, saint. En outre, ce signe préfigurait très bien le Grand Prêtre souverain, Jésus Christ, et le fait que Jéhovah le consacrerait au service sacerdotal qui soutient Sa sainteté. Si vous êtes vous-même Témoin de Jéhovah, êtes-vous pleinement conscient que le Dieu que vous adorez est pur, saint et juste? Le rappel d’une vérité aussi élémentaire ne vous paraît peut-être guère nécessaire. Après tout, Jéhovah ne nous a-t-il pas bénis, nous qui sommes ses serviteurs, en nous accordant l’intelligence des “choses profondes de Dieu”: les prophéties complexes de la Bible, l’application de ses principes ainsi que sa doctrine. Pourtant, il apparaît que certains ne reconnaissent pas sincèrement la sainteté de Jéhovah. En effet, chaque année, plusieurs milliers de Témoins tombent dans l’impureté. Des milliers d’autres s’attirent des ennuis en s’engageant dans des actions qui frisent la transgression des lois bibliques. Manifestement, il en est qui ne comprennent pas toute l’importance de ces paroles consignées en 1 Pierre 1:15, 16: “En accord avec le Saint qui vous a appelés, vous aussi devenez saints dans toute votre conduite, parce qu’il est écrit: ‘Vous devez être saints, car je suis saint.’” – it-1 p931 Lors d’un entretien privé avec Moïse au sommet du Sinaï, Jéhovah désigna expressément Aaron pour être grand prêtre d’Israël ainsi que ses quatre fils pour être sous-prêtres et il ordonna qu’on leur fît des vêtements sacerdotaux : “ Tu en revêtiras Aaron, ton frère, et ses fils avec lui. Tu les oindras, tu les consacreras, tu les sanctifieras, et ils seront à mon service dans le sacerdoce. ” (Ex. 27:21 à 28:41). Ce qui précède nous montre que ces hommes n’étaient pas autorisés à se revêtir eux-mêmes de la charge de prêtre de l’alliance de la loi. Non, mais ils devaient d’abord être appelés et choisis, ensuite c’était Dieu qui les consacrait dans leurs fonctions au moyen de Moïse, son agent et serviteur visible. – TG1952 15/9 p275 §13 Lorsque Jéhovah eut choisi les enfants d’Israël pour en faire son peuple particulier, il ordonna qu’on revêtît ses prêtres de vêtements sacrés. Le chapitre 28 du livre de l’Exode décrit la magnificence des vêtements d’Aaron. Ils le distinguaient de tous les autres prêtres. Quand il paraissait devant Jéhovah, il était en certaines circonstances paré de ses robes de gloire et de beauté. Jadis, quand le peuple de Jéhovah marchait dans le désert, il le fit se ranger dans un certain ordre, selon la position que devait occuper chaque tribu. Tout s’effectua sous sa direction. C’était de l’organisation. Chaque tribu était heureuse d’occuper la place qu’on lui avait désignée. Une tribu ne cherchait pas à occuper une meilleure position au détriment de sa voisine. C’est Dieu qui les plaça toutes dans un certain ordre. Jéhovah était leur Dieu et leur guide. Il les conduisit à travers le désert pour les faire entrer finalement dans la Terre promise. Elles auraient dû l’adorer dans un ordre sacré. Aussi quand elles allèrent adorer d’autres dieux, Jéhovah leur manifesta-t-il sa désapprobation. – TG1953 1/ 2 p36 §11 Pour les prêtres israélites, le port d’une coiffure n’était pas une question de choix personnel ; il était dicté par Dieu. Le grand prêtre portait un turban spécial. Une petite plaque en or pur, sur laquelle on avait gravé les mots “La sainteté appartient à Jéhovah”, était placée sur le devant du turban et se trouvait donc sur le front du grand prêtre (Ex. 28:4, 36-38, NW). Les sous-prêtres portaient des bonnets d’un genre quelque peu différent (Ex. 28:40). Dans les deux cas, ces prêtres se couvraient la tête en signe de soumission à Jéhovah et “pour marquer leur dignité et pour leur servir de parure”. (Ex. 28:2, 40.) Ils portaient donc quelque chose sur la tête en signe d’obéissance à leur Dieu et Législateur. – TG1969 1/ 4 p223 Sous l’alliance de la Loi. - Les prêtres devaient se soumettre à des exigences strictes concernant la pureté physique et rituelle ; ils devaient également porter la tenue prescrite lorsqu’ils s’approchaient de l’autel ou du “ lieu saint ”. Ex 28:40-43. Quiconque méprisait ou transgressait les instructions du Dieu Souverain sur la manière d’accéder auprès de lui était condamné à mort, comme ce fut le cas de deux des propres fils d’Aaron. De toute la nation, seul Aaron, et ensuite ses successeurs à la fonction de grand prêtre, était habilité à pénétrer dans le Très-Saint devant l’arche de l’alliance, qui était associée à la présence de Jéhovah ; mais même lui n’était autorisé à y entrer qu’une seule fois dans l’année, le jour des Propitiations. Dans cette position privilégiée, Aaron préfigurait Christ Jésus en tant que Grand Prêtre de Dieu. Ce qui permet d’avoir accès auprès de Dieu sous la nouvelle alliance. L’alliance de la Loi, avec ses sacrifices d’animaux, était une base légale pour s’approcher de Dieu, mais qui tenait lieu d’image et qui annonçait une base supérieure pour avoir accès auprès de lui. Ce moyen supérieur apparut par le moyen de la nouvelle alliance, grâce à laquelle tous allaient ‘ connaître Jéhovah, du plus petit au plus grand ’. Comme il était le seul Médiateur de cette nouvelle alliance, Christ Jésus devint “ le chemin ”. Pour avoir accès auprès de Dieu, le chrétien lui présente, entre autres, des offrandes et des sacrifices d’ordre spirituel. – it-1 p35 accès auprès de Dieu
  21. Bonjour Gilles, C'est pour te dire que je ne peux plus faire par écrit les vidéos par manque de temps et en plus je suis obligée de limiter mon temps sur l'ordinateur en raison de ma vue qui baisse? Je ne suis pas jeune Bonne journée
  22. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 14 Septembre 2020 - Exode 25-26.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 14 Septembre 2020 - Exode 25-26.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Exode 25-26 Exode 25:20 : Que signifiait apparemment la posture des chérubins sur le couvercle de l’Arche ? (it-1 437 § 1). « Les chérubins devront déployer leurs deux ailes vers le haut, couvrant de leurs ailes le couvercle, et ils se feront face. Les visages des chérubins seront tournés vers le couvercle. » Des représentations de chérubins furent incluses dans le mobilier du tabernacle érigé dans le désert. Deux chérubins en or martelé se dressaient au-dessus de chaque bout du couvercle de l’Arche. Ils se faisaient face et étaient prosternés vers le couvercle dans une position d’adoration. Chacun des deux avait deux ailes déployées vers le haut qui abritaient le couvercle comme pour le garder ou le protéger (Ex 25:10-21 ; 37:7-9). De même, les couvertures intérieures de toile pour le tabernacle et le rideau qui séparait le Saint du Très-Saint, étaient ornés de chérubins brodés. — Ex 26:1, 31 ; 36:8, 35. - it-1 437 § 1 Ces chérubins étaient un signe de la présence royale de Jéhovah. Les chérubins servaient, symboliquement parlant, de “ représentation du char ” de Jéhovah sur lequel il se tenait et leurs ailes assuraient à la fois une protection et une grande rapidité de déplacement. Sur le couvercle étaient montés deux chérubins d’or, façonnés en ouvrage martelé, se faisant face à chaque extrémité du couvercle, la tête inclinée et les ailes déployées vers le haut, couvrant l’Arche. Au-dessus du couvercle et entre les chérubins, une nuée lumineuse, miraculeuse, la Schékinah, lumière représentant la présence invisible de Jéhovah indiquait que Dieu était avec son peuple dans le temple, non pas en personne, mais par l’esprit. Son esprit saint agissait en ce lieu en produisant cette lumière. - it-1 438 Exode 25:30 : Qu’était le pain de proposition ? (it-2 472). « Sur la table, tu mettras le pain de proposition devant moi, constamment » Douze gâteaux de pain qu’on plaçait sur une table dans le Saint du tabernacle ou du temple et qu’on remplaçait par des frais chaque sabbat. En hébreu, le pain de proposition est appelé littéralement le “ pain de la face ”. Le mot rendu par “ face ” se rapporte parfois à la “ présence ” (2R 13:23) ; le pain de proposition était donc devant la face de Jéhovah, en offrande constante devant lui. Le pain de proposition est également qualifié de ‘ pain disposé en piles ’ (2Ch 2:4), de “ pains de présentation ” (Mc 2:26), ou il est simplement appelé ‘ les pains ’. — Hé 9:2. “ Le pain de proposition ” du tabernacle est appelé littéralement le pain des faces en hébreu (Ex 25:30), autrement dit c’était le pain de la présence de Jéhovah. Cette expression soulignait qu’il était très proche du peuple représenté dans le sanctuaire. it-1 p864 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Toutes les images ne sont pas des idoles. Dieu lui-même ordonna aux Israélites de faire deux chérubins en or pour l’arche de l’alliance, et de broder des représentations de ces créatures spirituelles sur la face interne des dix toiles de tente qui devaient recouvrir le tabernacle et sur le rideau qui séparait le Saint du Très-Saint (Exode 25:1, 18; 26:1, 31-33). Seuls les prêtres qui officiaient voyaient ces représentations dont le rôle principal consistait à figurer les chérubins célestes. Il est évident que les représentations de chérubins qui se trouvaient dans le tabernacle ne devaient pas être vénérées, puisque des anges fidèles aux principes de justice n’ont pas accepté d’être adorés. Les chérubins représentés dans le tabernacle et dans le temple de Salomon donnaient avant tout une image des chérubins célestes – TG1993 15/1 §5 Il est conforme aux Écritures de soutenir financièrement l’œuvre de Jéhovah. Le mot hébreu rendu par “contribution” signifie “portion sacrée”. (Ex. 25:2) Les chrétiens désirent à juste titre offrir leur temps, leur énergie et leurs biens matériels pour promouvoir les intérêts du Royaume. Certes, nous n’enrichissons pas Jéhovah en faisant des contributions pour son œuvre, mais nous montrons ainsi l’amour que nous lui portons. De son côté, il bénit ceux qui font des offrandes volontaires km 12/89 3 Imaginez les sentiments des Israélites ! Pendant des générations, ils avaient subi un esclavage implacable et les privations. Voilà qu’ils étaient libres et possédaient de nombreux biens. Comment allaient-ils réagir à l’idée de se séparer d’une partie de ces biens ? Ils auraient pu estimer qu’ils les avaient bien mérités et qu’ils étaient en droit de les garder. Pourtant, quand on les a invités à soutenir financièrement le culte pur, ils ont répondu à l’appel, sans se faire prier et sans mesquinerie ! Ils n’avaient pas oublié que c’était de par Jéhovah qu’ils avaient obtenu ces biens. C’est pourquoi ils ont donné avec libéralité de leur argent, de leur or et de leur bétail. Ils avaient le “ cœur bien disposé ” ; leur cœur ‘ les y incitait ’ ; ‘ leur esprit les y incitait ’. Ce fut vraiment “ une offrande volontaire à Jéhovah ”. — Exode 25:1-9 Ce que signifie donner avec bonne volonté - Le montant d’une offrande n’est pas toujours le reflet fidèle de la générosité du donateur. Les offrandes ne sont pas une occasion de vouloir faire mieux que les autres ou de se comparer à eux. Chacun donne dans la mesure de ses moyens, et Jéhovah se réjouit de la générosité manifestée.- TG2000 1/11 p28 Il y a plus de 3 500 ans, Jéhovah a donné à Moïse une consigne concernant les Israélites : “ Ils devront me faire un sanctuaire. ” (Exode 25:8). Jéhovah a poursuivi en évoquant l’agencement de ce futur édifice : “ D’après tout ce que je te fais voir, comme modèle du tabernacle et modèle de tout son mobilier, c’est ainsi que vous le ferez. ” (Exode 25:9). Puis Jéhovah a fourni les plans de la structure du sanctuaire, de son mobilier et de ses accessoires (Exode 25:10–27:19). Ce “ tabernacle ”, ou tente, serait le centre du vrai culte pour tout Israël. Nous ne savons pas combien de personnes ont travaillé à la réalisation du tabernacle, mais tous les Israélites ont été invités à soutenir le projet par des offrandes Notre soutien est important - La construction ou la rénovation de Salles du Royaume est un aspect important de notre service sacré. Le soutien que les Témoins de Jéhovah du monde entier apportent à cette œuvre, financièrement ou par d’autres moyens, est réellement louable. N’oublions cependant pas que d’autres aspects du service sacré sont tout aussi indispensables. Il arrive que des chrétiens soient victimes de catastrophes naturelles et aient besoin de notre aide. Aujourd’hui, soutenir le vrai culte par des offrandes est source de bonheur – TG2006 1/11 Quand Jéhovah ordonna à Moïse de construire le tabernacle, il lui révéla en premier lieu le modèle et la forme de l’Arche, car elle devait être l’objet central et prédominant du tabernacle et de tout le camp d’Israël. Ce coffre mesurait 2,5 coudées de long, 1,5 coudée de large et 1,5 coudée de haut (env. 111 × 67 × 67 cm). Il était en bois d’acacia, recouvert d’or pur à l’intérieur et à l’extérieur. Une “ bordure d’or ” artistiquement travaillée formait une guirlande qui le couronnait “ tout autour ”. La deuxième partie de l’Arche, son couvercle, était en or massif, et pas seulement en bois recouvert d’or ; il faisait toute la longueur et la largeur du coffre. Sur ce couvercle étaient montés deux chérubins d’or, façonnés en ouvrage martelé, se faisant face à chaque extrémité du couvercle, la tête inclinée et les ailes déployées vers le haut, couvrant l’Arche (Ex 25:10, 11, 17-22) it-1 159 L’utilisation d’un chariot constituait une violation flagrante des instructions données par Jéhovah concernant le transport de l’Arche. Il était spécifié que les Lévites qehathites, les porteurs attitrés, devaient la transporter sur leurs épaules au moyen de barres qu’ils glissaient dans des anneaux prévus à cet effet (Exode 25:13, 14). Le mépris de ces instructions a entraîné un malheur. Quand l’attelage a failli faire basculer l’Arche, Ouzza, sans doute un Lévite mais certainement pas un prêtre, a avancé la main pour la soutenir, commettant ainsi un acte irrévérencieux qui lui a valu d’être abattu par Jéhovah. Quand nous avons des ennuis, n’attribuons-nous pas parfois la faute à Jéhovah alors que nous avons simplement négligé de suivre les instructions claires qu’il nous donne ? – TG1996 1/ 4 Les chérubins représentés dans le tabernacle et dans le temple de Salomon donnaient avant tout une image des chérubins célestes (Exode 25:18). Il est clair que ces représentations artistiques ne devaient pas être adorées, puisque le peuple ne les voyait jamais et que l’adoration des anges eux-mêmes est interdite. – TG2002 15/9 p21 Les liens qui unissent Jéhovah à ses créatures célestes. Notons que, dans cette vision, le trône de Jéhovah se situe au-dessus des chérubins. Dans d’autres parties de la Bible aussi, Jéhovah est représenté assis sur son trône au-dessus ou entre ses chérubins (Ex. 25:22). Faut-il en déduire que les chérubins portent Jéhovah ? Non. Jéhovah n’a pas besoin d’être porté par ces puissantes créatures spirituelles, pas plus qu’il n’a besoin d’un char littéral pour se déplacer. En fait, les chérubins soutiennent la souveraineté de Jéhovah, et il peut les envoyer dans n’importe quel endroit de l’univers pour exécuter sa volonté. Comme tous les autres saints anges de Dieu, les chérubins sont des ministres de Jéhovah : ils ont pour mission d’exécuter ses décisions. C’est en ce sens que Jéhovah est assis au-dessus des anges. On peut dire que, tous ensembles, les anges forment un immense véhicule que Jéhovah dirige ou conduit. – rr chap3 p30 §9 Qu’est-il au juste advenu de l’arche de l’alliance ? Pour les Israélites, la présence même de Dieu était associée à l’arche de l’alliance (Exode 25:22). L’Arche était un coffre sacré fait de bois et recouvert d’or. Moïse y déposa les deux tablettes de la Loi en pierre. Pendant le séjour des Israélites dans le désert, elle fut gardée dans le compartiment de la tente de réunion appelé Très-Saint (Exode 26:33). Elle fut finalement placée dans le Très-Saint du temple de Salomon. L’Arche est mentionnée pour la dernière fois en 2 Chroniques 35:3, lorsque le roi Yoshiya la rapporta au temple en 642 avant notre ère. Peut-être en avait-elle été enlevée par le roi précédent, Manassé, qui était apostat et avait mis une image dans le temple. Ou peut-être avait-elle été mise en lieu sûr pendant la rénovation du temple sous Yoshiya. On ignore ce qu’elle est devenue par la suite, car elle ne figure pas dans la liste des objets sacrés qui furent pris quand les Babyloniens s’emparèrent de Jérusalem en 607 avant notre ère. Les Écritures ne disent pas que l’Arche a été rapportée dans le Très-Saint du temple reconstruit par Zorobabel. Il ne semble pas non plus qu’elle ait un jour été remplacée. – TG2009 1/9 p18 Dans le tabernacle. Dans une vision, Jéhovah ordonna à Moïse de faire un porte-lampes ‘ d’or pur, en ouvrage martelé ’, à l’usage du tabernacle. Avec ses lampes et ses ustensiles, celui-ci devait peser un talent (Ex 25:31, 39, 40). Cela correspondait à 34 kg environ et à une valeur, en termes modernes, de 326 275 Euros. – it-2 p617 En vue de la construction du tabernacle, Jéhovah lui a dicté jusqu’aux moindres détails. Par exemple, pour la confection des toiles, il a indiqué la couleur du fil et le nombre de brides (Ex. 26:1-6). Lorsque Jéhovah donne de nombreux détails, il le fait pour de bonnes raisons. On notera que Moïse n’a jamais reproché à Jéhovah de lui fournir autant de précisions, comme si son Dieu le rabaissait ou ne lui laissait aucune part de créativité, de liberté. Au contraire, il a veillé à ce que les artisans ‘ fassent exactement ’ ce qui était demandé (Ex. 39:32). Belle humilité, n’est-ce pas ? Moïse reconnaissait qu’il s’agissait de l’œuvre de Jéhovah et qu’il n’était qu’un instrument dans la réalisation de cette œuvre. – TG2011 15/9
  23. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 7 Septembre 2020 - Exode 23-24.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 7 Septembre 2020 - Exode 23-24.pdf Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Exode 23-24 Exode 23:9 : Comment Jéhovah a-t-il fait appel à l’empathie des Israélites ? (w16.10 9 § 4). « Tu ne dois pas opprimer le résident étranger. Vous savez bien ce que ressent un étranger, puisque vous étiez des résidents étrangers en Égypte. » 4 Plutôt que d’ordonner aux Israélites de respecter les étrangers, Jéhovah a fait appel à leur empathie (Exode 23:9 ; note). Les Israélites savaient ce qu’était « l’existence du résident étranger ». En effet, même avant que les Hébreux soient réduits en esclavage, il est probable que les Égyptiens les aient évités par orgueil racial ou par préjugés religieux (Gen. 43:32 ; 46:34 ; Ex. 1:11-14). Les Israélites avaient connu une vie amère en tant que résidents étrangers, mais Jéhovah s’attendait à ce qu’ils traitent l’étranger « comme un indigène » parmi eux (Lév. 19:33, 34). - w16.10 9 § 4 Jéhovah rappelait régulièrement aux Israélites qu’ils avaient eux-mêmes connu les souffrances que subit un résident étranger dans un pays qui n’est pas le sien, et qu’il leur fallait par conséquent manifester aux résidents étrangers parmi eux l’état d’esprit généreux et protecteur dont eux-mêmes n’avaient pas bénéficié. Jéhovah voulait non seulement que les Israélites respectent les étrangers, mais aussi qu’ils se souviennent de ce que cela faisait d’être étranger. Fondamentalement, le résident étranger, surtout le prosélyte, devait être traité en frère. – it-2 Résident étranger L’empathie est la “ faculté de s’identifier à quelqu’un, de ressentir ce qu’il ressent ”. Elle a également été définie comme la capacité de se mettre à la place des autres. Elle implique donc, premièrement, comprendre la situation de quelqu’un et, deuxièmement, partager les sentiments que fait naître en lui cette situation. Oui, l’empathie nous porte à ressentir la douleur de l’autre dans notre cœur. Bien que le mot “ empathie ” ne figure pas dans la Bible, on y trouve des allusions indirectes à cette qualité, comme la sympathie. – TG2002 15/4 Exode 23:20, 21 : Qu’est-ce qui permet de déduire que l’ange mentionné ici est Michel ? (it-2 280). « J’envoie un ange devant toi pour te protéger pendant la route et pour te faire entrer dans le lieu que j’ai préparé. 21 Prête-lui attention et obéis-lui. Ne te rebelle pas contre lui, car il ne pardonnera pas vos transgressions, parce que mon nom est en lui. » 1. Le seul saint ange, excepté Gabriel, nommé dans la Bible et le seul appelé “ archange ”. (Jude 9.) La première mention de ce nom figure dans le dixième chapitre de Daniel, où Mikaël est présenté comme “ un des principaux princes ” ; il vint en aide à un ange moins puissant à qui s’opposait “ le prince du royaume de Perse ”. Mikaël était appelé “ votre prince [celui du peuple de Daniel] ” et “ le grand prince qui se tient là en faveur des fils [du] peuple [de Daniel] ”. (Dn 10:13, 20, 21 ; 12:1.) Ces indications identifient Mikaël à l’ange qui conduisit les Israélites à travers le désert (Ex 23:20, 21, 23 ; 32:34 ; 33:2). Cette déduction est confirmée par le fait que “ Mikaël l’archange eut un différend avec le Diable et qu’il discutait au sujet du corps de Moïse ”. — Jude 9. - it-2 p280 “Michel” signifie “Qui est comme Dieu?”, ce qui montre que ce premier prince soutient la souveraineté de Jéhovah. Puisque Michel est également un défenseur du peuple de Dieu, nous avons de bonnes raisons de l’identifier à l’ange que Dieu envoya au-devant des Israélites des siècles plus tôt, et dont le nom n’est pas précisé. – TG1985 1/11 Exode 23 :20-23 - Qui était l’ange mentionné dans ce passage, et en quel sens le nom de Jéhovah était-il “ en lui ” ? Selon toute vraisemblance, cet ange était Jésus sous sa forme préhumaine. Il fut utilisé pour guider les Israélites vers la Terre promise. Le nom de Jéhovah est “ en lui ”, parce que Jésus joue un rôle primordial dans la défense et la sanctification du nom de son père. TG2004 15/3 p24 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? À l’époque où les Israélites vivaient en Terre promise, ils ont dû choisir entre adorer Jéhovah et servir d’autres dieux. Le choix pouvait sembler facile. Mais il aurait pour résultat soit la vie, soit la mort. Les Israélites n’arrivaient pas à prendre une décision sage. Ils n’avaient pas foi en Jéhovah, et ils ne voulaient pas l’écouter. Ils ne lui faisaient pas confiance, et ils ne prenaient pas le temps de mieux le connaître, ou d’étudier sa sagesse. S’ils avaient fait cela, ils auraient appris des choses qui les auraient aidés à prendre de sages décisions. Les Israélites étaient influencés par les gens d’autres pays. Ces étrangers ont réussi à les faire penser comme eux, et ils ont même pris des décisions à leur place. Résultat ? Les Israélites ont imité ces étrangers et ont adoré leurs faux dieux. Pourtant, longtemps avant, Jéhovah les avait prévenus contre ce danger (Exode 23:2). L’exemple des Israélites nous enseigne que, si nous voulons prendre des décisions sages, nous devons nous servir de la Parole de Dieu. Chaque humain est responsable de ses choix. Un chrétien ne devrait donc pas donner à quelqu’un d’autre la responsabilité de prendre des décisions à sa place. Chacun devrait plutôt apprendre ce qui est bien selon Jéhovah, et décider de le faire. ws2017/Mars §6,7 Quels principes de la Loi de Moïse ont sans doute aidé Yiphtah ? Non seulement Yiphtah était un puissant guerrier, mais aussi il étudiait les manières d’agir de Dieu avec Son peuple. Sa bonne compréhension de l’histoire d’Israël lui permettait de savoir précisément ce qui était bien ou mal aux yeux de Jéhovah. Les principes divins contenus dans la Loi mosaïque avaient façonné tant sa pensée que son cœur. Il savait que Jéhovah désapprouve la rancune et veut que ses adorateurs s’aiment les uns les autres. La Loi lui avait aussi appris à ne pas fermer les yeux sur les besoins des autres, même de ceux qui avaient de la « haine » pour lui (Exode 23 :5). La réaction de Yiphtah a peut-être aussi été influencée par les exemples de fidèles du passé comme Joseph, qui a fait preuve de miséricorde envers ses frères même s’« ils se mirent à le haïr ». Méditer sur de tels exemples a sûrement aidé Yiphtah à choisir une ligne de conduite qui plaisait à Jéhovah. Nul doute que le comportement de ses frères l’a profondément blessé, mais cela ne l’a pas retenu de servir Jéhovah et Son peuple. Pour lui, défendre le nom de Jéhovah comptait plus que n’importe quel conflit personnel. Il était résolu à continuer d’agir avec foi, ce qui lui a valu des bénédictions, à lui et aux autres. Il a laissé la pensée de Jéhovah guider ses décisions. Il a rejeté les influences du monde qui l’entourait. Prendrons-nous exemple sur Yiphtah ? Nous avons peut-être été déçus ou traités injustement par des frères. Si c’est le cas, ne laissons pas ces difficultés nous empêcher d’assister aux réunions ou de nous investir pleinement dans le service de Jéhovah et dans la vie de l’assemblée. À l’exemple de Yiphtah, nous pouvons, grâce aux normes divines, surmonter les situations négatives et ainsi continuer à être une force pour le bien – TG2016/Avril p9 §8-10 Selon la Loi mosaïque, si l’animal d’un ennemi était tombé sous le poids de sa charge, il fallait aider cet ennemi à le relever (Ex. 23:5). En coopérant ainsi, des ennemis pouvaient devenir amis. Comme les chrétiens font preuve d’amour, beaucoup de leurs adversaires s’adoucissent. Si nous témoignons de l’amour à nos ennemis, même à des persécuteurs acharnés, et que l’un d’eux accepte le véritable christianisme, quel bonheur ce sera – TG2014 15/6 p17 §5 La corruption des pouvoirs publics a été définie comme l’abus, pour un profit personnel, de l’autorité publique que quelqu’un détient. Cette façon d’agir ne date pas d’hier. Dans la Bible, une loi concernant les affaires judiciaires interdisait les pots-de-vin. Cette pratique était donc déjà bien connue il y a plus de 3 500 ans (Exode 23:8). Bien sûr, la corruption ne se limite pas aux pots-de-vin. Parfois, des fonctionnaires corrompus s’approprient des biens, profitent de certains avantages auxquels ils n’ont pas droit, voire détournent carrément des fonds. Ils peuvent aussi utiliser leur position pour favoriser injustement leur famille ou leurs amis. Bien que la situation puisse sembler sans espoir, la Bible montre non seulement que des changements encore plus grands sont possibles, mais aussi qu’ils vont se produire. TG2015 1/1 p3 Jéhovah a fourni des lois qui protégeaient la Terre promise de la surexploitation. Par exemple, les Israélites devaient laisser leurs champs, leurs vignes et leurs oliveraies en jachère tous les sept ans (Exode 23:10, 11). La fertilité du sol était ainsi préservée. Nous pouvons être assurés que sous la domination du Royaume de Dieu, un gouvernement céleste dirigé par Jésus Christ, la terre connaîtra une productivité agricole sans précédent. Alors qu’il était sur terre, Jésus Christ, que Dieu a établi pour diriger ce Royaume, a prouvé sa capacité à maîtriser les forces naturelles préjudiciables à l’agriculture. Le Psaume 72 décrit les conditions qui existeront quand il se servira de ce pouvoir pour guérir la terre et ses habitants. On lit dans ce Psaume : “ Il y aura abondance de grain sur la terre ; sur le sommet des montagnes, ce sera la profusion. Son fruit sera comme au Liban, et ceux qui sont de la ville fleuriront comme la végétation de la terre. ” (Psaume 72:16). Une surabondance de produits récoltés dans la joie, voilà ce qui attend le peuple de Dieu dans le monde nouveau qu’Il promet. RV2003 8/10 p9 Depuis des siècles, les Juifs considéraient le magnifique temple de Jérusalem comme le centre de leur culte. Ils s’y rendaient trois fois par an pour sacrifier à leur Dieu, Jéhovah (Exode 23:14-17). Mais Jésus disait que tout cela changerait et que les « vrais adorateurs » adoreraient « avec l’esprit et la vérité ». Le temple juif était une construction matérielle située dans un lieu géographique précis. Mais l’esprit et la vérité ne sont pas matériels, ni ne sont limités à un quelconque lieu physique. Jésus expliquait donc que le véritable culte chrétien n’aurait pas pour centre une construction matérielle ou un lieu physique, ni qu’il ne dépendrait d’un tel endroit — que ce soit le mont Guerizim, le temple de Jérusalem, ou tout autre lieu sacré. En disant d’adorer avec l’esprit, Jésus voulait dire qu’il fallait se laisser guider par l’esprit saint de Dieu pour, entre autres choses, comprendre les Écritures. Par conséquent, Dieu acceptera notre culte non parce que nous adorons dans un endroit précis, mais parce que notre culte est conforme à ce que la Bible enseigne et qu’il est guidé par l’esprit saint. – wp2016 n°2 p8 Pour le peuple de Jéhovah, les assemblées remontent aux temps de l’Israël antique Exode 23:14-17. Ces rassemblements étaient des événements joyeux. Ils aidaient tous ceux qui étaient présents à garder l’esprit fixé sur la Parole de Dieu. De la même manière, les assemblées des Témoins de Jéhovah des temps modernes se concentrent sur les intérêts spirituels. Pour des observateurs objectifs, des rassemblements aussi joyeux sont la preuve indéniable que les Témoins sont unis par les liens solides de la fraternité chrétienne. – TG2001 26/9 p8 C’est dans notre plus grand intérêt que l’Organisation de Jéhovah nous exhorte à suivre ce conseil de l’apôtre Paul dans Hébreux. 10:24, 25. Les fêtes annuelles et autres rassemblements liés au culte bâtissaient la spiritualité des Israélites. De plus, des évènements comme la fête des Huttes célébrée aux jours de Néhémie étaient très joyeux (Ex. 23:15, 16). Les réunions et les assemblées nous procurent des bienfaits semblables. Tirons pleinement profit de ces dispositions prises en faveur de notre santé spirituelle et de notre bonheur – TG2014 15/5 p26 §11 Exode 23:19 — Que signifiait le commandement interdisant de faire cuire un chevreau dans le lait de sa mère ? Faire cuire un chevreau (ou le petit d’un autre animal) dans le lait de sa mère était, selon certains, un rite païen destiné à attirer la pluie. De plus, Jéhovah a prévu que le lait d’une mère serve à nourrir son petit ; l’utiliser pour faire cuire sa progéniture relèverait de la cruauté. Cette loi enseignait donc la compassion au peuple de Dieu. – TG2004 15/3 p24 Que devaient faire les Israélites pour que Jéhovah continue de les bénir ? Pendant des centaines d’années, les Israélites ont fait l’objet de l’amour de Jéhovah, qui les comblait de bienfaits tant matériels que spirituels. Ces bienfaits dépendaient de leur obéissance à la Loi divine, qui, entre autres choses, leur dictait d’offrir régulièrement à Jéhovah « le meilleur des premiers fruits mûrs » du sol (Ex. 23:19). En le faisant, ils démontraient qu’ils ne considéraient pas l’amour et les bénédictions de Dieu comme acquis. La Loi de Jéhovah exigeait que tous les sacrifices offerts au temple soient de la meilleure qualité possible. Dieu n’acceptait pas les sacrifices qui présentaient des défauts. Selon Philon, écrivain juif du Ier siècle de notre ère, les prêtres examinaient les animaux « de la tête aux pieds » afin de s’assurer qu’ils étaient en parfaite santé, « sans tache ni défaut d’aucune sorte ». Qu’en est-il de nous ? Bien qu’aujourd’hui nous ne soyons pas tenus d’offrir des sacrifices, il est normal que nous montrions à Jéhovah notre amour en l’honorant avec nos « choses de valeur ». Comment ? Bien sûr, nous pouvons nous servir de nos ressources matérielles pour soutenir l’œuvre du Royaume sur les plans local ou mondial. Que nous ayons beaucoup ou peu matériellement, c’est assurément une excellente façon d’exprimer notre amour à Jéhovah. Mais il existe d’autres façons de montrer à Jéhovah que nous l’aimons. – TG2015 15/9 p23 §6,7 Jéhovah n’a pas forcé les Israélites à lui jurer obéissance ni à entrer dans cette relation privilégiée. Ils ont déclaré de leur plein gré : “ Tout ce qu’a dit Jéhovah, nous sommes prêts à le faire. ” (Ex. 19:8). Trois jours plus tard, Dieu leur a indiqué ce qu’il exigeait de la nation qu’il s’était choisie. Ils ont tout d’abord entendu les Dix Commandements, puis Moïse leur a rapporté d’autres commandements que l’on retrouve d’Exode 20:22 à Exode 23:33. Comment ont-ils réagi ? “ Tout le peuple répondit d’une seule voix et dit : ‘ Toutes les paroles qu’a dites Jéhovah, nous sommes prêts à les exécuter. ’ ” (Ex. 24:3). Moïse a ensuite écrit ces lois dans “ le livre de l’alliance ” et les a lues à haute voix afin que toute la nation puisse les réentendre. Finalement, pour la troisième fois, les Israélites ont fait ce vœu : “ Tout ce qu’a dit Jéhovah, nous sommes prêts à le faire et à obéir. ” — Ex. 24:4, 7, 8. – TG2012 15/10 p22 §11 Les Israélites ont eu de mauvaises fréquentations et ils l’ont payé cher. Lorsque Jéhovah les a libérés de l’esclavage en Égypte et les a conduits en Terre promise, voici ce qu’il leur a dit au sujet des relations qu’ils auraient avec les habitants de ce pays : « Tu ne devras pas te prosterner devant leurs dieux, ni te laisser entraîner à les servir ; tu ne devras rien faire qui ressemble à leurs œuvres, mais il faudra absolument que tu les démolisses et que tu brises leurs colonnes sacrées. Vous devrez servir Jéhovah votre Dieu » (Ex. 23:24, 25). Au bout du compte, la plupart des Israélites n’ont pas obéi aux directives divines. Ils ne sont pas restés fidèles à Dieu. C’est pourquoi Jésus leur a dit : « Voyez ! Votre maison vous est abandonnée » (Mat. 23:38). Jéhovah a rejeté Israël et a transféré sa bénédiction à la congrégation chrétienne nouvellement formée En tant qu’adorateurs de Jéhovah, il nous faut rester à l’écart de ce système de choses mauvais et chercher de saines fréquentations parmi nos millions de frères et sœurs fidèles à Dieu. Rester proches d’humains guidés par la sagesse divine nous aidera à « tenir ferme dans la foi » en ces jours si difficiles. Songeons aux perspectives que cela ouvre à chacun de nous : Si nous prenons garde à nos fréquentations en ces derniers jours, nous survivrons sûrement à la fin de ce système mauvais et entrerons dans le monde nouveau juste de Jéhovah, à présent si proche – TG2015 15/8 p24 §8,19 En quel sens Moïse a-t-il vu Dieu ? Moïse contempla “l’apparence de Jéhovah” alors qu’il se trouvait sur le mont Sinaï en compagnie d’Aaron et d’autres hommes. Voici ce que relate Exode 24:10 : “Ils virent le Dieu d’Israël. Et sous ses pieds il y avait ce qui ressemblait à un ouvrage en dalles de saphir et aux cieux mêmes quant à la pureté.” Comment Moïse, accompagné de ces hommes, put-il ‘voir le Dieu d’Israël’, puisque Dieu lui avait dit: “Nul homme ne peut me voir et demeurer en vie”? Exode 24 : 11 fournit l’explication: “Il n’étendit pas sa main contre les hommes de distinction des fils d’Israël, mais ils eurent une vision du vrai Dieu et ils mangèrent et burent.” C’est donc au travers d’une vision que Moïse et les hommes qui l’accompagnaient ont contemplé l’apparence de Dieu. – TG1988 15/5 p21
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