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misette

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  1. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 6 Décembre 2021 - Juges 6-7.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 6 Décembre 2021 - Juges 6-7.pdf Perles spirituelles (10 min) : Juges 6-7 Juges 6:27 : Comment l’exemple de Gédéon peut-il nous être utile dans le ministère ? (w05 15/1 26 § 6). « Gédéon prit donc dix de ses serviteurs et fit ce que Jéhovah lui avait dit. Mais il avait trop peur de la famille de son père et des hommes de la ville pour le faire de jour ; il le fit donc de nuit » Gédéon s’est montré prudent de façon à ne pas irriter inutilement ses adversaires. Lorsque nous prêchons la bonne nouvelle, nous devons veiller à ne pas offenser nos interlocuteurs par la manière dont nous nous exprimons.- w05 15/1 26 § 6 Avant de l’envoyer au combat, Jéhovah met Gédéon à l’épreuve. Il lui demande de démolir l’autel de Baal qui appartient à son père et de couper le poteau sacré qui est à côté. La mission exige du courage, mais le jeune homme s’en acquitte avec modestie et circonspection. Plutôt que se donner en spectacle, il agit de nuit pour éviter de se faire remarquer. Prudent, il prend avec lui dix serviteurs ; peut-être quelques-uns font-ils le guet pendant que les autres l’aident à détruire l’autel et le poteau sacré. Quoi qu’il en soit, fort de la bénédiction de Jéhovah, Gédéon mène à bien cette mission et, par la suite, il libérera effectivement Israël du joug madianite. — Juges 6:25-27. La modestie de Gédéon est riche d’enseignement. Dans l’accomplissement de nos tâches, montrons la même modestie que Gédéon. Prudent, il s’est efforcé de ne pas fâcher inutilement ses adversaires. Pareillement, lorsque nous prêchons, soyons modestes et circonspects dans nos paroles. Le fait d’être engagés dans une guerre spirituelle où nous renversons “ des forteresses ” et “ des raisonnements ” ne nous autorise pas à rabaisser les gens ni à leur donner des raisons de s’offusquer de notre message. Nous devrions au contraire respecter leurs opinions, nous arrêter sur celles que nous partageons et nous concentrer ensuite sur les aspects positifs de notre message – TG2000 1/8 p17 Gédéon est un excellent exemple de modestie à l’œuvre. Quand l’ange de Jéhovah lui est apparu, Gédéon a aussitôt invoqué ses origines modestes (Juges 6:15). Après avoir accepté la mission de Jéhovah, il s’est assuré d’avoir bien compris ce qu’il devait faire et a recherché la direction divine. Bien que fort et courageux, il a agi avec prudence et astuce (Juges 6:11, 27). Il n’a pas profité de sa mission pour s’attirer la gloire ; dès qu’il a pu, il est volontiers rentré chez lui – TG2017/1 Ayant observé ses aptitudes, il le savait capable de délivrer Israël. D’une part, l’ange de Jéhovah avait remarqué que Gédéon battait le blé de toutes ses forces. Mais autre chose avait retenu son attention. Aux temps bibliques, les agriculteurs battaient généralement le grain en plein air pour tirer parti du vent, qui emportait la bale. Curieusement, Gédéon battait le blé à l’abri des regards, dans un pressoir à vin. Pourquoi ? Pour soustraire sa maigre récolte à la vue des Madianites. Quelle idée astucieuse ! Il n’est donc pas étonnant qu’aux yeux de Jéhovah, Gédéon ait été plus qu’un agriculteur prudent : c’était un homme avisé. Jéhovah a vu son potentiel et a décidé de l’utiliser.- TG2014 15/6 p29 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? De nombreux récits bibliques montrent clairement que Jéhovah voit non seulement le bon chez ses serviteurs, mais encore leur potentiel. Par exemple, lorsque Gédéon a été choisi pour libérer le peuple de Dieu de l’oppression madianite, il a dû être étonné d’entendre un ange le saluer en ces termes : « Jéhovah est avec toi, homme fort et vaillant. » De toute évidence, à ce moment-là, Gédéon se sentait tout sauf « fort ». Il a exprimé des doutes et avoué qu’il se sentait insignifiant. Mais comme l’a révélé la suite de la conversation, Jéhovah portait un regard bien plus positif sur Gédéon que Gédéon lui-même Juges 6:11-16. Ayant observé ses aptitudes, il le savait capable de délivrer Israël. – TG2014 15/6 p28 Ce qui s’est produit ensuite a renforcé la foi de Gédéon et l’a rapproché de Dieu. Gédéon a préparé un repas et l’a servi à l’ange. L’ange a alors touché les aliments avec un bâton et un feu miraculeux les a consumés. Le juge a donc compris que l’ange était vraiment un représentant de Jéhovah. Effrayé, il s’est écrié : « Hélas ! Souverain Seigneur Jéhovah ! C’est que j’ai vu l’ange de Jéhovah face à face ! » (Juges 6:17-22). Cette rencontre a-t-elle dressé un obstacle entre Gédéon et son Dieu ? Au contraire ! Gédéon a vu Jéhovah sous un angle tel qu’il s’est senti en paix avec lui. Pourquoi l’affirmer ? Parce que l’autel qu’il a bâti en ce lieu a été appelé « Jéhovah-Shalom ». Ce nom signifie « Jéhovah est Paix » (Juges 6:23, 24). À méditer sur ce que Jéhovah fait pour nous chaque jour, nous nous rendons compte qu’il est un véritable Ami. Quand nous le prions régulièrement, notre paix augmente et notre amitié avec lui se renforce.- TG2014 15/2 p22 Cette nuit-là, Jéhovah mit Gédéon à l’épreuve en lui ordonnant de démolir l’autel que son père avait consacré au dieu Baal, de couper le poteau sacré qui était à côté, de bâtir un autel à Jéhovah, et d’offrir dessus le jeune taureau de sept ans de son père (un taureau sans doute consacré à Baal) en se servant du poteau sacré comme combustible. Prenant toutes les précautions nécessaires, Gédéon s’acquitta de cette mission de nuit, avec l’aide de dix serviteurs. Quand, en se levant le lendemain matin, les hommes de la ville découvrirent ce qui s’était passé et apprirent que c’était l’œuvre de Gédéon, ils réclamèrent sa mort. Mais Joash ne leur livra pas son fils et leur rétorqua en substance que Baal n’avait qu’à se défendre lui-même. Par la suite, Joash donna à son fils Gédéon le nom de Yeroubbaal (qui signifie “ Que Baal plaide [combatte] ”) en disant : “ Que Baal plaide pour lui-même, parce que quelqu’un a abattu son autel. ” — Jg 6:25-32. - it-1 1049 Juges 6:11-15 ; 8:1-3, 22, 23. Par sa modestie, Gédéon nous enseigne trois leçons importantes : 1) Si l’on nous propose une attribution de service, nous devrions réfléchir à la responsabilité que nous endosserons plutôt qu’à la renommée ou au prestige que nous pourrions en tirer. 2) Face à des individus enclins à la querelle, la modestie est la voie de la sagesse. 3) La modestie nous empêchera d’accorder trop d’importance à notre position. - TG2005 15/1 p26 Juges 6:17-22, 36-40. Nous aussi nous devons être prudents et ‘ ne pas croire toute parole inspirée ’. Il nous faut ‘ éprouver les paroles inspirées pour voir si elles viennent de Dieu ’. (1 Jean 4:1.) Pour s’assurer que le conseil qu’il envisage de donner s’appuie solidement sur la Parole de Dieu, un ancien récemment nommé fera preuve de sagesse en consultant un ancien plus expérimenté. – TG2005 15/1 p26 Même si nous marchons par la foi, nous avons parfois besoin d’avoir la certitude que Dieu est à nos côtés. Tel a été le cas du juge Gédéon, l’un de ceux “ qui, grâce à la foi, ont vaincu des royaumes ”. (Hébreux 11:32, 33.) Lorsque les Madianites et leurs alliés ont envahi Israël, l’esprit de Dieu a enveloppé Gédéon. Comme il désirait avoir la certitude que Jéhovah était avec lui, il lui a soumis des épreuves avec une toison de laine étalée une nuit sur une aire de battage. Lors de la première épreuve, de la rosée ne s’est formée que sur la toison, et la terre est restée sèche. Lors de la deuxième épreuve, l’inverse a eu lieu. Affermi par ces garanties, Gédéon, un homme prudent, a agi par la foi et a vaincu les ennemis d’Israël (Juges 6:33-40 ; 7:19-25). Ce n’est pas parce que nous ressentons le besoin d’être rassurés le jour où nous devons prendre une décision que nous manquons de foi. En réalité, nous démontrons alors notre foi en consultant la Bible ainsi que les publications chrétiennes, et en priant pour que l’esprit saint nous guide – TG2003 15/1 p15-20 §14 Juges 7:1-3 ; 8:10 — Pourquoi Jéhovah a-t-il dit que les 32 000 hommes de Gédéon étaient trop nombreux face à une armée ennemie forte de 135 000 soldats ? Parce que c’est lui, Jéhovah, qui allait leur donner la victoire. Dieu ne voulait pas que Gédéon et ses hommes pensent qu’ils avaient vaincu les Madianites par leur propre force – TG2005 15/1 p25 Imaginez-vous faisant partie de la troupe israélite, sachant que vous allez bientôt passer à l’action. L’idée d’avoir été débarrassé des peureux et des insouciants vous rassurerait-elle ? Ou seriez-vous gagné par l’appréhension, vous demandant comment les choses vont tourner ? Ce qui est sûr, c’est que Gédéon a suivi les instructions divines. (Juges 7:9-14.) Jéhovah ne l’a pas blâmé lorsqu’il a réclamé un signe de sa part (Juges 6:36-40). Au contraire, il a fortifié la foi de son serviteur. – TG2011 15/12 p18 §13 Wallace Liverance, secrétaire de l’École de Galaad, a comparé les affectations des missionnaires aux lieux où Gédéon a envoyé ses hommes qui allaient combattre les Madianites (Juges 7:16-21). Il leur a été adressé ces encouragements : “ Appréciez votre affectation théocratique dans l’œuvre missionnaire. Tout comme les soldats de Gédéon, ‘ tenez-vous chacun à votre place ’, considérez que votre territoire est la place où vous devez vous tenir. Soyez assurés que Jéhovah peut vous employer tout comme il s’est servi des trois cents hommes de Gédéon. ” - TG1998 1/6 p24 Les nouveaux proclamateurs ont besoin d’un grand soutien pour acquérir de l’assurance. Pourriez-vous les aider à préparer et à répéter une présentation simple et attrayante ? Une fois sur le terrain, entamez les premières discussions, afin qu’ils puissent apprendre en vous observant. Vous imiterez ainsi Gédéon, qui avait dit à ses frères d’armes : “ Vous me regarderez faire, et ainsi ferez-vous. ” (Juges 7:17). Ensuite, donnez à votre compagnon de service la possibilité de participer. Félicitez-le chaudement pour ses efforts et, quand c’est approprié, faites-lui de petites suggestions pour l’aider à progresser km2011/1 p7 La stratégie pour la victoire - Les 300 soldats sont divisés en trois bandes de 100 hommes. Chacun reçoit un cor et une grande jarre vide, dans laquelle une torche est cachée. Le premier ordre de Gédéon est celui-ci : ‘ Regardez-moi, et faites exactement comme moi. Quand je sonnerai du cor, vous en sonnerez aussi et vous crierez : “ L’épée de Jéhovah et de Gédéon ! ” ’ — Juges 7:16-18, 20. À la dérobée, les 300 guerriers israélites encerclent le camp ennemi. Il est environ dix heures du soir ; la relève de la garde vient d’avoir lieu. Cela semble être le moment propice pour frapper, car il faudra un certain temps avant que les yeux des nouvelles sentinelles ne se soient habitués à la pénombre. Les Madianites vont être terrifiés ! Tout à coup, le silence est déchiré par le bris de 300 jarres, la sonnerie de 300 cors et les cris de 300 hommes. Abasourdis, surtout par le cri “ l’épée de Jéhovah et de Gédéon ! ” les Madianites ajoutent leurs propres clameurs au tumulte. Dans la panique, il leur est impossible de distinguer leurs amis de leurs ennemis. Les 300 hommes se tiennent immobiles à leurs postes tandis que Dieu fait s’entretuer leurs adversaires par l’épée. Le camp est mis en déroute, la retraite est coupée, et, au terme d’une poursuite difficile, les derniers ennemis sont éliminés... La menace madianite est définitivement écartée. Les longues années d’occupation meurtrière sont enfin arrivées à leur terme ! — Juges 7:19-25 Nous pouvons tirer un encouragement de l’histoire de Gédéon, car elle prouve que Jéhovah sait éloigner de son peuple n’importe quelle menace, même par le moyen de personnes qui paraissent faibles ou sans défense. Le fait que Gédéon et ses 300 hommes aient été capables de vaincre 135 000 Madianites atteste le pouvoir infini de Dieu. Nous pourrions nous retrouver dans une situation désespérée, nous sentir impuissants parce que nos ennemis nous seraient supérieurs en nombre. Toutefois, le récit biblique de Gédéon nous encourage à mettre notre confiance en Jéhovah, qui bénit et délivre tous ceux qui exercent la foi en lui. – TG2005 15/7 p14
  2. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 29 Novembre 2021 - Juges 4-5.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 29 Novembre 2021 - Juges 4-5.pdf Perles spirituelles (10 min) : Juges 4-5 Juges 5:20 : En quel sens les étoiles ont-elles combattu du ciel en faveur de Barak ? (w05 15/1 25 § 5). « Du ciel, les étoiles ont combattu ; depuis leurs orbites, elles ont combattu contre Sissera.» La Bible ne précise pas s’il s’agissait là d’un soutien angélique, de pluies de météorites qui, aux yeux des sages de Sissera, n’auguraient rien de bon, ou peut-être de prédictions astrologiques qui se révélèrent fausses pour Sissera. Cependant, sans l’ombre d’un doute, d’une façon ou d’une autre il y eut une intervention divine. - w05 15/1 25 § 5 Est-ce une allusion à l’aide d’anges ? Ou y a-t-il eu une pluie de météorites ? Le récit n’en dit pas plus. Mais à quoi d’autre qu’une intervention divine peut-on attribuer une pluie torrentielle tombée à cet endroit et à ce moment précis de façon à embourber 900 chars ? À trois reprises, Juges 4:14, 15 attribue la victoire à Jéhovah. Aucun des 10 000 volontaires israélites ne pouvait se vanter d’être à l’origine de cette libération. - TG2017.04 p29 Juges 5:20 a donné lieu à bien des commentaires. Certains n’y voient qu’une allusion poétique à l’aide divine (voir Jg 4:15 ; Ps 18:9). D’autres pensent qu’il y eut une chute de météorites, ou que Sissera se fiait aux prédictions astrologiques et qu’elles se révélèrent fausses. Puisque la Bible ne précise pas comment les étoiles “ ont combattu ”, il suffit, semble-t-il, de voir dans cette déclaration l’indication que Dieu intervint de façon miraculeuse en faveur de l’armée d’Israël – it-1 p821 Comment les étoiles ont-elles combattu contre Sissera ? Pour certains, cette déclaration est une allusion au secours divin. D’autres pensent à une aide angélique, à des pluies de météorites ou au fait que Sissera se fiait à des prédictions astrologiques qui se sont avérées erronées. Étant donné que la Bible ne fournit aucune explication sur la façon dont les étoiles ont combattu, il semble suffisant de voir dans cette déclaration l’indication d’une forme ou d’une autre d’intervention divine en faveur de l’armée israélite. L’homme n’a pas le pouvoir de commander les mouvements des étoiles ; il n’est pas non plus chargé de les diriger – TG2003 15/11 p30 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? PARALYSÉS PAR LA PEUR, PUIS FORTIFIÉS PAR DIEU - Cela faisait 20 ans que les Israélites étaient « opprimé[s] [...] avec dureté » par le roi cananéen Jabîn. Les habitants de la campagne craignaient même d’être vus. Militairement, les Israélites étaient mal équipés, n’ayant pas d’armes offensives ni défensives, alors que leurs ennemis disposaient de 900 chars armés de faux (Juges 4:1-3, 13 ; 5:6-8). Pourtant, Jéhovah a donné cet ordre clair à Barak par l’intermédiaire de la prophétesse Déborah : « Va ! Tu devras te déployer au mont Tabor, et tu devras prendre avec toi dix mille hommes parmi les fils de Nephtali et parmi les fils de Zabulon. Oui, j’attirerai vers toi, au ouadi de Kishôn, Sissera le chef de l’armée de Jabîn, ainsi que ses chars et sa foule, et je le livrerai bel et bien en ta main » (Juges 4:4-7). L’appel s’est répandu. Les volontaires ont afflué au mont Tabor. Barak a suivi sans tarder les instructions de Jéhovah (Juges 4:14-16). Pendant la phase principale de la bataille, à Taanak, une grosse averse a soudain transformé le sol en marécage. Barak a poursuivi l’armée de Sissera sur environ 25 kilomètres jusqu’à Harosheth. En chemin, Sissera a abandonné son redoutable char devenu inutile et a couru jusqu’à Tsaanannim. Il a trouvé refuge dans la tente de Yaël, la femme de Hébèr le Kénite. Épuisé par le combat, il s’est endormi. Il s’est alors retrouvé à la merci de Jael, qui, dans un acte de courage, l’a mis à mort (Juges 4:17-21). L’ennemi d’Israël était vaincu ! – TG2017.04 p29 La foi du juge Barak a été affermie par une certitude sous forme d’encouragement. La prophétesse Déborah l’a poussé à libérer les Israélites de l’oppression du roi cananéen Jabîn. Avec foi et ayant reçu la confirmation du soutien divin, Barak a conduit au combat 10 000 hommes mal équipés et a triomphé de l’armée largement plus imposante de Jabin que commandait Sissera. Cette victoire a été célébrée dans le chant vibrant de Déborah et de Barak (Juges 4:1–5:31). Déborah a encouragé Barak à agir en chef d’Israël établi par Dieu, et il a été l’un des serviteurs de Jéhovah qui, grâce à la foi, “ ont mis en déroute les armées des étrangers ”. (Hébreux 11:34.) Hésitons-nous à accomplir une tâche difficile au service de Jéhovah ? En réfléchissant à la bénédiction qu’il a accordée à Barak parce qu’il agissait avec foi, nous trouverons la motivation nécessaire. – TG2003 15/1 p15-20 §15 Une promesse qui a de quoi surprendre Barak ; Israël n’a aucune armée organisée et pratiquement pas de matériel de guerre. Barak accepte de partir au combat, mais à une condition : Déborah devra elle aussi se rendre au mont Tabor (Juges 4:6-8 ; 5:6-8). Cette requête en amène certains à dire que Barak manquait de foi. Mais cette critique est injuste. Il ne demande pas à Dieu de lui donner plus d’armes. Ce qui est important pour cet homme de foi, c’est d’avoir à ses côtés un représentant de Jéhovah qui les fortifiera, lui et ses hommes. Jéhovah exauce la requête de Barak et autorise Déborah à l’accompagner. Cependant, sous inspiration divine, la prophétesse annonce que la gloire finale de la bataille ne reviendra pas à un homme (Juges 4:9). Dieu a décidé qu’une femme exécutera le redoutable Sissera ! À notre époque, les femmes sont victimes de toutes sortes d’injustices, de violences et de mauvais traitements. Elles se voient rarement accorder la dignité que Dieu souhaite qu’elles reçoivent. Pourtant, hommes et femmes ont la même valeur aux yeux de Dieu, et tous peuvent obtenir son approbation. La vie de Déborah nous rappelle que Dieu donne à des femmes certains privilèges et qu’il leur témoigne sa confiance de façon particulière. Il est essentiel de nous garder des préjugés si répandus autour de nous.- TG2015 1/8 p13 Il n’est pas étonnant que cette victoire stupéfiante ait inspiré les paroles suivantes: “Qu’ainsi périssent tous tes ennemis, ô Jéhovah! Et que ceux qui t’aiment soient comme le soleil quand il se lève dans sa puissance!” (Juges 5:31). Remarquez cependant l’emploi de l’expression “qu’ainsi”. Elle suggère que cette bataille était prophétique, annonçant une guerre plus grande dans laquelle tous les ennemis de Dieu périraient. A Armaguédon, les ennemis de Dieu vont mourir, alors que ceux qui l’aiment seront sauvés. Mais il y a une grande différence entre ces deux conflits. À Armaguédon, les serviteurs de Dieu ne combattront pas. Ils ne seront même pas armés. Leur « force sera de rester calmes et d’avoir confiance » en Jéhovah et dans ses armées célestes – TG1986 15/2 p21 Sissera. Ce nom à lui seul sème la terreur en Israël. La religion et la culture cananéennes sont cruelles, comprenant sacrifices d’enfants et prostitution sacrée. À quoi ressemble la vie sous la domination d’un général cananéen et de son armée ? Le chant de Déborah révèle qu’il est quasiment impossible de voyager dans le pays et que les villages sont pour ainsi dire sans vie (Juges 5:6, 7). On peut imaginer que les Israélites se cachent dans les bois et les collines. Ils ont sans doute peur de travailler dans les champs ou d’habiter des villages sans muraille. Ils redoutent probablement d’emprunter les routes de campagne, où ils risquent d’être attaqués et de voir leurs enfants enlevés ou leurs femmes violées - TG2015 1/8 p12 En Juges 5:9, 10, on remarque une différence d’état d’esprit entre les hommes sortis combattre avec Barak et ceux qui ne l’ont pas fait. Déborah et Barak ont loué les « commandants d’Israël, qui ont été volontaires parmi le peuple ». Comme ils étaient différents de ceux « qui montaient des ânesses rouge jaune », trop orgueilleux pour participer, et de ceux qui étaient « assis sur des tapis somptueux », attachés à une vie de luxe ! Contrairement à ceux « qui marchaient sur la route », préférant la facilité, ceux qui sont allés avec Barak étaient disposés à se battre sur les pentes rocheuses du Tabor et dans le ouadi marécageux de Kishôn ! Tous ceux qui recherchaient les plaisirs étaient exhortés à « réfléchir » ! Ils devaient méditer sur l’occasion qu’ils avaient manquée de soutenir la cause de Jéhovah. Aujourd’hui, quiconque se retient de servir Dieu pleinement devrait faire de même - TG2017.04 p29 La première fois que la Bible parle de Déborah, elle la présente comme « une prophétesse ». Déborah fournissait des renseignements de la part de Jéhovah ; elle faisait connaître les jugements divins sur certaines affaires et transmettait ses directives, notamment les ordres qu’il adressa à Barak (Jg 4:4-7, 14-16). Ainsi, durant une période où la nation était faible et apostasiait, Déborah fut figurément “ une mère en Israël ”. (Jg 5:6-8.) Dans le récit biblique, ce qualificatif la distingue, mais elle n’est pas la seule à l’avoir reçu. Déborah a une autre responsabilité. Elle règle manifestement des conflits en faisant connaître les réponses de Jéhovah aux problèmes qui surviennent (Juges 4:4, 5). Déborah vit dans la région montagneuse d’Éphraïm, entre Béthel et Rama. Assise sous un palmier, elle sert le peuple, comme Jéhovah le lui a ordonné. Sa mission n’a sûrement rien de facile, mais Déborah ne se laisse pas décourager pour autant. Les Israélites ont grandement besoin de ses services. D’ailleurs, un chant divinement inspiré qu’elle contribuera à composer précisera au sujet de ce peuple infidèle : « On choisissait des dieux nouveaux. C’est alors qu’il y eut la guerre dans les portes » (Juges 5:8). Les Israélites ayant tourné le dos à Jéhovah pour servir d’autres dieux, Jéhovah les a abandonnés aux mains de leurs ennemis. C’est un roi cananéen, Jabin, qui exerce sa domination sur eux par l’intermédiaire de Sissera, un général puissant – TG2015 1/8 p12 Déborah envoya chercher Barak et lui dit : “ Jéhovah le Dieu d’Israël n’a-t-il pas donné l’ordre ? ‘ Va ! Tu devras te déployer au mont Tabor, et tu devras prendre avec toi dix mille hommes parmi les fils de Nephtali et parmi les fils de Zabulon. Oui, j’attirerai vers toi, au ouadi de Kishôn, Sissera le chef de l’armée de Jabin, ainsi que ses chars et sa foule, et je le livrerai bel et bien en ta main. ’ ” (Juges 4:6, 7). En disant “ Jéhovah n’a-t-il pas donné l’ordre ? ” Déborah nie clairement avoir autorité sur Barak. Elle se comporte uniquement en intermédiaire par lequel Dieu transmet un ordre. Comment Barak réagit-il ? “ Si tu vas avec moi, répond Barak, alors j’irai sans faute ; mais si tu ne vas pas avec moi, je n’irai pas. ” (Juges 4:8). Pourquoi Barak a-t-il hésité à accepter cette responsabilité venant de Dieu ? Par lâcheté ? Par manque de foi dans les promesses divines ? Non. Barak n’a pas refusé la mission ; il n’a pas non plus désobéi à Jéhovah. Sa réaction indique plutôt qu’il ne se sentait pas capable d’exécuter ce commandement tout seul. La présence de Déborah en qualité de représentante de Dieu assurerait la direction divine et donnerait confiance à Barak et à ses hommes. Plutôt que de traduire de la faiblesse, la condition que Barak pose est l’indice d’une foi solide. Et que dire de l’attitude de Déborah ? Elle n’a pas essayé de dominer. Au contraire, elle est restée modeste. “ Je ne manquerai pas d’aller avec toi ”, dit-elle à Barak (Juges 4:9). Elle était prête à quitter le lieu où elle habitait, un endroit plus sûr, et à se joindre à Barak pour la bataille imminente. Elle aussi est un exemple de foi et de courage.- TG2003 15/11 p28-29 Le récit de Barak nous enseigne des leçons importantes. Difficultés et frustrations sont le lot de ceux qui ne tiennent pas compte de Jéhovah dans leur vie. À l’inverse, les personnes repentantes qui se tournent vers Dieu et qui exercent la foi en lui peuvent être libérées de l’oppression sous différentes formes. Ne nous faut-il pas également cultiver un esprit obéissant ? Même lorsque les exigences divines vont à l’encontre du raisonnement humain, nous pouvons être certains qu’elles sont toujours pour notre bien éternel. Si Barak a “ mis en déroute les armées des étrangers ”, c’est uniquement parce qu’il a exercé la foi en Jéhovah et qu’il a obéi à ses instructions - TG2003 15/11 p28-29 Juges 4:8 — Pourquoi Barak va-t-il insisté pour que la prophétesse Déborah se rende avec lui sur le champ de bataille ? Manifestement, Barak jugeait inapproprié d’aller seul à la rencontre de l’armée de Sassera. La présence de la prophétesse à ses côtés attesterait que lui et ses hommes étaient guidés par Dieu et leur donnerait confiance. Par conséquent, en insistant pour que Déborah l’accompagne, Barak faisait preuve, non pas de faiblesse, mais d’une foi solide. – TG2005 15/1 p25 Après avoir été vaincu par Israël, Sissera s’enfuit vers le camp de Hébèr, qui était neutre, et Jael l’invita dans sa tente. Elle le recouvrit ensuite d’une couverture. Quand il demanda de l’eau, elle lui donna un bol de banquet de lait caillé. Après qu’elle l’eut couvert à nouveau, il lui demanda de monter la garde à l’entrée de la tente. Se croyant en sécurité puisque l’hôte de Yaël, Sissera, épuisé, s’endormit profondément. Yaël, une femme, une non-Israélite qui, vivant sous la tente, avait sans aucun doute l’habitude d’enfoncer des piquets dans le sol, s’approcha discrètement de lui, armée d’un marteau et d’un piquet de tente qu’elle lui enfonça à travers la tête jusque dans la terre. Quand le poursuivant, Barak, arriva, elle lui montra le chef d’armée, mort par “ la main d’une femme ”, comme Déborah l’avait prédit (Jg 4:9, 17-22). L’acte courageux de Yaël contre l’ennemi de Jéhovah est loué dans le chant de victoire de Déborah et Barak, chant qui la déclare également “ abondamment bénie parmi les femmes ”. Jg 5:6, 24-27.
  3. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 22 Novembre 2021 - Juges 1-3.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 22 Novembre 2021 - Juges 1-3.pdf Perles spirituelles (10 min) : Juges 1-3 Juges 2:10-12 : Quelle mise en garde peut-on dégager de ce récit ? (w05 15/1 24 § 7). « . Toute cette génération fut réunie à ses ancêtres. La génération suivante ne connaissait pas Jéhovah, ni ce qu’il avait fait pour Israël. 11 Les Israélites firent donc ce qui est mal aux yeux de Jéhovah et servirent les Baals. 12 C’est ainsi qu’ils abandonnèrent Jéhovah, le Dieu de leurs pères, qui les avait fait sortir d’Égypte. Ils obéirent à d’autres dieux, les dieux des peuples qui étaient autour d’eux ; ils se prosternèrent devant eux et ils irritèrent Jéhovah.» Il est nécessaire d’avoir un programme régulier d’étude de la Bible pour ‘ ne pas oublier les actes de Jéhovah ’. (Psaume 103:2.) Les parents doivent faire pénétrer la vérité de la Parole de Dieu dans le cœur de leurs enfants. — Deutéronome 6:6-9. w05 15/1 24 § 7 Loin d’être un simple récit de luttes et d’effusions de sang, le livre des Juges exalte Jéhovah, le grand Libérateur de son peuple. Il souligne la miséricorde et la patience incomparables exercées par Jéhovah à l’égard du peuple qui porte son nom, lorsque celui-ci va vers lui le cœur repentant. Le livre des Juges est des plus utiles de par sa défense directe du culte de Jéhovah et de ses puissantes mises en garde contre la folie de la religion démoniaque, du syncrétisme religieux et des fréquentations immorales. La condamnation sévère du culte de Baal par Jéhovah devrait nous inciter à nous tenir à l’écart de ses équivalents modernes que sont le matérialisme, le nationalisme et l’immoralité sexuelle. - Toute Écriture p50 Durant la période des juges, l’histoire d’Israël voit alterner les moments où le peuple tombe dans l’idolâtrie et est opprimé par ses ennemis, et ceux où il revient à Jéhovah qui le délivre. Sous la conduite énergique et fidèle de Josué et des hommes de sa génération qui avaient vu de leurs yeux le pouvoir souverain de Jéhovah s’exercer en faveur de ses adorateurs, Israël connut le succès. Mais, ensuite “commença à se lever une autre génération qui ne connaissait pas Jéhovah ni l’œuvre qu’il avait faite pour Israël. Et les fils d’Israël se mirent à faire ce qui est mauvais aux yeux de Jéhovah et à servir les Baals”. — Juges 2:10, 11. – TG1978 1/6 p7 Pendant plus de 1 500 ans, les Israélites ont été dans ces relations privilégiées avec Jéhovah. Mais maintes et maintes fois, ils ont fait fi de l’alliance. De façon répétée, ils ont été séduits par le faux culte, et sont devenus esclaves de l’idolâtrie et de la superstition; aussi Dieu a-t-il permis qu’ils soient physiquement asservis par leurs ennemis (Juges 2:11-19). Au lieu de jouir des bienfaits libérateurs que leur valait le respect de l’alliance, ils étaient punis parce qu’ils la transgressaient. Finalement, en 607 avant notre ère, Jéhovah a permis que la nation soit asservie par Babylone. C’était une dure leçon. Elle aurait dû leur enseigner l’importance d’observer la Loi. Néanmoins, quand, après 70 ans, les Israélites sont retournés dans leur pays, ils ont continué à ne pas se conformer à l’alliance de la Loi comme il le fallait. – TG1992 1/6 À l’exemple des juges fidèles et des surveillants qui leur étaient associés, les douze apôtres de Jésus-Christ firent fonction de rempart. Tant qu’ils vécurent, les apôtres furent une force d’empêchement vis-à-vis de “ l’apostasie ” de l’assemblée et de la révélation de “ l’homme du péché ”, “ le fils de la perdition ”. Ils veillaient sur l’assemblée. Après la mort des douze apôtres et de leurs fidèles compagnons dans la surveillance, l’apostasie, l’abandon de la pure foi et du vrai service chrétiens, se développa rapidement et “ l’homme du péché ” s’empara du contrôle de l’organisation religieuse. Nous avons été guéris de cette “ apostasie ” religieuse et de la domination de la classe de “ l’homme du péché ” de la chrétienté. Nous avons été théocratiquement organisés en une société d’un monde nouveau, qui se compose des témoins de Jéhovah. À nos côtés se tient le Grand Josué, Jésus-Christ, qui nous conduit dans le nouvel ordre des “ nouveaux cieux et d’une nouvelle terre ”. À nos côtés se tient aussi la classe de “ l’esclave fidèle et prudent ” que le Grand Josué a établi sur tous ses biens terrestres depuis l’année 1919. Le Grand Josué et sa classe ointe de l’esclave font office de barrière infranchissable vis-à-vis de toute intrusion de l’esprit d’apostasie et de “ l’homme du péché ” dans la société du monde nouveau. Néanmoins, chaque chrétien voué doit écouter le solennel avertissement de Paul, celui de prendre bien garde à sa manière de marcher. Si ce monde et son dieu et chef Satan le Diable ne peuvent plus emmener en captivité l’assemblée tout entière des témoins de Jéhovah, ils cherchent à contaminer l’organisation et à réduire en esclavage autant de membres que possible. Les Israélites, même avec le prophète Moïse en leur sein, nous fournirent un exemple, un avertissement que des individus dans l’organisation peuvent être séduits pour leur perte maintenant, pendant la présence invisible du Christ. De nos jours, bien que nous soyons très près de réaliser nos espérances du Royaume, certains voués relâchent leur vigilance quant à la manière dont ils devraient marcher selon les saintes Écritures. – TG1959 1/8 La génération qui vient après les jours de Josué ‘ ne connaît pas Jéhovah, ni l’œuvre qu’il a faite pour Israël ’. (Juges 2:10.) En outre, le peuple se met à s’allier par mariage avec les Cananéens et à servir leurs dieux. Aussi Jéhovah livre-t-il les Israélites aux mains de leurs ennemis. Toutefois, lorsque l’oppression devient pesante, les fils d’Israël appellent le vrai Dieu à l’aide. C’est dans ce contexte politique, social et religieux que se succèdent des juges que Jéhovah suscite pour sauver son peuple de ses ennemis. – TG2005 15/1 p24 De l’agriculture au culte de Baal - Quand ils sont entrés en Terre promise, les fils d’Israël ont cessé d’être des nomades et beaucoup sont devenus des cultivateurs. Ils ont probablement recouru aux mêmes méthodes que celles des gens qui avaient cultivé la terre avant eux. Toutefois, il semble que les Israélites ont fait plus que copier les méthodes agricoles des Cananéens. La fréquentation de ces personnes les a amenés à adopter leurs croyances liées à l’agriculture. Les Cananéens adoraient de nombreux Baals — des dieux censés rendre le sol fertile. En plus de labourer la terre et d’en récolter la production, avec le temps les Israélites se sont joints aux Cananéens pour honorer leurs dieux, censés assurer leur prospérité. Beaucoup d’Israélites faisaient semblant d’adorer Jéhovah, mais en réalité ils avaient complètement sombré dans l’apostasie. - Aujourd’hui, nous rencontrons des épreuves similaires à celles que les Israélites ont connues. Notre société moderne ne manque pas d’idoles. Ce sont notamment l’argent, les personnalités du spectacle, les vedettes du sport, les systèmes politiques, certains chefs religieux, voire des membres de sa propre parenté. L’un de ces éléments, quel qu’il soit, peut devenir ce qui compte le plus pour nous dans la vie. Le fait d’entretenir une amitié étroite avec des personnes qui n’aiment pas Jéhovah peut nous mener à la ruine spirituelle – km2010/2 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Juges 1:2, 4 — Pourquoi est-ce la tribu de Juda qui est désignée la première pour prendre possession du pays ? Normalement, ce privilège aurait dû revenir à la tribu de Ruben, le premier-né de Jacob. Mais, dans la prophétie qu’il a énoncée sur son lit de mort, Jacob a prédit que Ruben n’excellerait pas parce qu’il avait perdu ses droits de premier-né. Les tribus de Siméon et de Lévi, qui avaient agi avec cruauté, seraient réparties en Israël. La tribu suivante ayant droit à l’héritage était donc celle de Juda, le quatrième fils de Jacob. Siméon, qui est monté au combat avec Juda, a reçu des petites zones de terre éparpillées dans le vaste territoire de Juda. — TG2005 15/1 p24 Juges 1:6, 7 — Pourquoi coupait-on les pouces et les gros orteils des rois vaincus ? Manifestement, celui qui perdait ses pouces et ses gros orteils était dès lors dans l’incapacité de faire la guerre. En effet, sans pouces, comment un soldat pouvait-il tenir une épée ou une lance ? En outre, sans gros orteils, il était incapable de tenir correctement en équilibre. - TG2005 15/1 p24 Juges 2:14, 21, 22. Jéhovah permet que ses serviteurs désobéissants rencontrent des difficultés dans un but précis : pour les punir, les affiner et les inciter à revenir à lui. - TG2005 15/1 p24 Maintes fois Jéhovah fut le Sauveur et le Libérateur d’Israël. Il sauva non seulement la nation, mais aussi des individus qui le servaient. Souvent son salut s’opérait par le moyen d’hommes qu’il suscitait comme sauveurs. Pendant la période des juges, ces sauveurs spéciaux étaient choisis par Dieu et recevaient de lui le pouvoir de délivrer Israël de l’oppression étrangère (Jg 2:16. Tant que le juge vivait, il s’occupait de maintenir les Israélites dans le droit chemin, ce qui leur procurait du soulagement du côté de leurs ennemis (Jg 2:18). Quand Jésus était sur la terre, Jéhovah fut son Sauveur ; il le soutint et le fortifia pour qu’il reste intègre dans ses terribles épreuves. — it-2 p908 Sauveur Jéhovah fait plus que seulement ressentir de la compassion pour ses serviteurs. Il agit en leur faveur. Par exemple, quand les Israélites étaient esclaves en Égypte, Jéhovah comprenait leur douleur, ce qui l’a poussé à les soulager. Il a dit à Moïse : « Vraiment, j’ai vu la détresse de mon peuple [...], et j’ai entendu leur cri de plainte [...]. Je connais bien leurs douleurs. Je vais descendre pour les délivrer de la main des Égyptiens » (Ex. 3:7, 8). Il a alors libéré son peuple de l’esclavage. Dans les siècles qui ont suivi, alors que les Israélites étaient en Terre promise, ils ont subi des attaques ennemies. Comment Jéhovah a-t-il réagi ? Il a été « pris de pitié en les entendant gémir à cause de ceux qui les opprimaient et les maltraitaient ». Là encore, la compassion l’a incité à aider son peuple. Il a donné aux Israélites des juges pour les sauver de leurs ennemis Juges 2:16, 18. Jéhovah a des égards pour les sentiments de ses serviteurs, même lorsque leur raisonnement n’est pas bon La façon dont Jéhovah a agi avec ses serviteurs du passé nous assure qu’il a de l’empathie pour nous. Il sait quelles souffrances chacun de nous endure. Il ‘connaît réellement le cœur des humains. Il comprend toutes nos pensées, tous nos sentiments et aussi nos limites. Et ‘il ne permettra pas que nous soyons tentés au-delà de ce que nous pouvons supporter’ (1 Cor. 10:13). Comme cette promesse est encourageante ! – TG2019/3 p15 §5 Selon Juges 3:1, 2, Jéhovah laissa subsister quelques nations cananéennes “ pour éprouver par elles Israël, c’est-à-dire tous ceux qui n’avaient connu aucune des guerres de Canaan — ce fut uniquement pour que les générations des fils d’Israël aient l’expérience, afin de leur enseigner la guerre, c’est-à-dire à ceux-là uniquement qui auparavant n’avaient pas connu pareilles choses ”. Cela ne contredit pas la déclaration antérieure de Jéhovah (Jg 2:20-22) selon laquelle il permit à ces nations de rester à cause de l’infidélité d’Israël et aussi ‘ afin d’éprouver Israël, pour savoir s’ils garderaient ou non la voie de Jéhovah ’. Au contraire, cette dernière déclaration concorde avec la raison précédente et montre que les futures générations d’Israélites allaient ainsi avoir l’occasion de prouver leur obéissance aux commandements de Dieu relatifs aux Cananéens, leur foi étant mise à l’épreuve au point qu’ils devraient risquer leur vie à la guerre pour se montrer obéissants. - it-1 p392 Juges 3:10. En de nombreuses occasions, l’esprit saint a servi à donner à des hommes le pouvoir d’accomplir la volonté de Dieu. C’est l’esprit saint qui a donné aux juges le pouvoir de délivrer Israël Dans le domaine spirituel, la réussite dépend, non pas de la sagesse humaine, mais de l’esprit de Jéhovah. - TG2005 15/1 p24 Églôn, roi de Moab, avait à la porte de sa chambre haute une serrure et une clé (Jg 3:15-17). Après l’Exil, certains Lévites se virent confier le service de garde du temple ; “ ils étaient responsables de la clé, oui pour ouvrir de matin en matin ”. Emploi figuré. La Bible utilise le mot “ clé ” au sens figuré pour symboliser l’autorité, le gouvernement et le pouvoir. En qualité d’Héritier de l’alliance pour le Royaume conclue avec David, Jésus Christ s’est vu remettre le gouvernement de la maisonnée de la foi et l’autorité sur l’Israël spirituel. Cette autorité, symbolisée par “ la clé de David ”, lui permet d’ouvrir ou de fermer des portes symboliques, c’est-à-dire des possibilités et des privilèges. — it-1 p487 Clé Éhoud a commencé par ‘ se faire une épée ’ à deux tranchants, assez courte pour être dissimulée sous ses vêtements. Il s’attendait probablement à être fouillé. En principe, les épées se portaient du côté gauche, d’où les droitiers pouvaient facilement les dégainer. Étant gaucher, Éhoud a caché son arme “ sous son vêtement, sur sa cuisse droite ”, là où les gardes du roi étaient moins susceptibles de la trouver. C’est effectivement sans encombre qu’“ il entreprit de présenter le tribut à Églôn le roi de Moab ”. — Juges 3:16, 17. – TG2004 15/3 p30 Juges 3:21. Éhoud maniait l’épée avec dextérité et courage. Il nous faut devenir habiles dans le maniement de “ l’épée de l’esprit, c’est-à-dire la parole de Dieu ”. Cela signifie que nous devons utiliser courageusement les Écritures dans notre ministère. — TG2005 15/1 p24 Une évasion facile - Sans prendre le temps de retirer son épée, “ Éhoud se mit à sortir par le trou d’aération, mais il ferma derrière lui les portes de la chambre haute et les verrouilla. Et lui, il sortit. Et [les] serviteurs [d’Églôn] vinrent puis regardèrent, et voici que les portes de la chambre haute étaient verrouillées. Alors ils dirent : ‘ Il est tout simplement en train de satisfaire un besoin naturel dans la pièce intérieure bien fraîche. ’ ” — Juges 3:23, 24. Quel était “ le trou d’aération ” par lequel Éhoud est sorti ? “ On ignore la signification exacte, déclare un ouvrage de référence, mais on a suggéré ‘ colonnade ’, ‘ vestibule ’. ” Éhoud a-t-il verrouillé les portes de l’intérieur avant de s’enfuir par un autre chemin ? Ou les a-t-il verrouillées de l’extérieur après avoir pris la clé sur le cadavre du roi ? Puis est-il passé devant les gardes, l’air détaché, comme si de rien n’était ? Les Écritures sont muettes à ce sujet. Quelle qu’ait été la stratégie d’Éhoud, les serviteurs d’Églôn n’ont rien suspecté de prime abord en trouvant les portes fermées. Ils ont tout simplement pensé que le roi était “ en train de satisfaire un besoin naturel ”. - TG2004 15/3 p30,31 Lancer des ruades contre les aiguillons : Un aiguillon est un bâton muni d’une pointe servant à faire avancer un animal (Juges 3 :31). L’expression « lancer des ruades contre les aiguillons » est un proverbe que l’on rencontre dans la littérature grecque. C’est une allusion à la réaction d’un taureau têtu qui résiste aux piqûres des aiguillons en donnant des coups avec ses pattes de derrière, et qui se blesse tout seul. Dans la Bible, les paroles d’une personne sage qui encouragent quelqu’un à mettre en pratique de bons conseils sont comparées à un aiguillon. – mwbr19/janvier Tandis que les serviteurs du roi s’attardaient, Éhoud s’est échappé. Puis il a convoqué ses compatriotes et leur a dit : “ Suivez-moi, car Jéhovah a livré en votre main vos ennemis, les Moabites. ” En s’emparant des gués stratégiques du Jourdain, les hommes d’Éhoud ont barré le passage aux Moabites, privés de leur chef, qui cherchaient à regagner leur pays. Ainsi, “ en ce temps-là, ils se mirent à abattre Moab, environ dix mille hommes, tous robustes et tous hommes vaillants ; et pas un n’échappa. Moab fut donc soumis, en ce jour-là, sous la main d’Israël ; alors le pays vécut dans le calme pendant quatre-vingts ans ”. — Juges 3:25-30. Des leçons pour nous - Ce qui s’est passé aux jours d’Éhoud nous enseigne les malheurs que l’on subit quand on fait ce qui est mauvais aux yeux de Jéhovah. À l’inverse, Jéhovah aide les personnes qui se repentent et se tournent vers lui. Si les plans d’Éhoud ont réussi, ce n’est pas grâce à son intelligence, ni à une quelconque incompétence de l’ennemi. L’accomplissement des desseins divins ne dépend pas de facteurs humains. Le succès d’Éhoud tient principalement au soutien que Dieu lui accordait parce qu’il agissait en harmonie avec Sa volonté invincible de libérer Son peuple. Dieu avait suscité Éhoud, “ et quand Jéhovah [...] suscitait des juges [à son peuple], Jéhovah était avec le juge ”. — Juges 2:18 ; 3:15. – TG2004 15/3 p31
  4. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 15 Novembre 2021 - Josué 23-24.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 15 Novembre 2021 - Josué 23-24.pdf Perles spirituelles (10 min) : Josué 23-24 Josué 24:2 : Le père d’Abraham, Téra, adorait-il des idoles ? (w04 1/12 12 § 1). « Josué dit à tout le peuple : « Voici ce que dit Jéhovah le Dieu d’Israël : “C’est de l’autre côté du Fleuve que vos ancêtres vivaient autrefois et ils servaient d’autres dieux. Il y avait parmi eux Téra, le père d’Abraham et de Naor » À l’origine, Térah n’était pas un adorateur de Jéhovah Dieu. Sans doute adorait-il Sîn, le dieu-lune, divinité de premier plan à Our. D’après la tradition juive, Térah aurait même été un fabricant d’idoles. Cependant, quand Abraham quitte Our pour obéir à Dieu, Térah part avec lui à Harân. — Genèse 11:31. - w04 1/12 12 § 1 Our des Chaldéens, la ville que la Bible mentionne ensuite, n’était pas plus vouée au culte de Jéhovah, le vrai Dieu. Our était à environ 240 km au S.-E. de Babel ou Babylone. Des fouilles archéologiques ont révélé que le patron de cette cité était le dieu-lune Sîn. C’est à Our qu’habitait Térah, père d’Abram (Abraham) (Gn 11:27, 28). Vivant dans un milieu idolâtre, Térah pratiqua peut-être l’idolâtrie, comme l’indiquent ces paroles que Josué adressa aux Israélites des siècles plus tard : “ C’est de l’autre côté du Fleuve [Euphrate] qu’ont habité autrefois vos ancêtres, Térah le père d’Abraham et le père de Nahor, et ils servaient d’autres dieux. ” (Jos 24:2). En revanche, Abraham avait foi dans le vrai Dieu Jéhovah. – it-1 p1164 Le culte de la lune. Les Israélites se basaient sur la lune pour déterminer les mois et les époques de fêtes, mais ils devaient se garder de pratiquer le culte de la lune, très répandu dans les nations environnantes. Le dieu-lune Sîn était le dieu de la ville d’Our, capitale de Sumer, qu’Abraham et sa famille quittèrent pour la Terre promise. Bien que les habitants d’Our fussent polythéistes, le dieu-lune Sîn était le dieu suprême à qui le temple et les autels étaient dédiés en priorité. Abraham et ses proches quittèrent Our pour Harân, autre centre important du culte de la lune. Térah, père d’Abraham, qui mourut à Harân, pratiquait apparemment ce culte idolâtrique (Gn 11:31, 32). Quoi qu’il en soit, cette situation donne d’autant plus d’importance à l’avertissement que Josué adressa aux Israélites après leur entrée en Terre promise, consigné en Josué 24:2, - it-2 p170-171 La vie à Our présentait un véritable défi pour qui voulait servir le vrai Dieu. Cette ville offrait en effet un tas d’avantages matériels. Elle était infestée d’idolâtrie et de superstition. Elle était dominée par une imposante ziggourat dédiée au dieu-lune Nanna. On a dû plus d’une fois essayer de pousser Abraham à s’adonner à ce culte avilissant. Peut-être des membres de sa famille s’en sont-ils avisés. D’après certaines traditions juives, Térah, le père d’Abram, fabriquait des idoles (Josué 24:2, 14, 15). En tout cas, Abraham ne pratiquait pas un faux culte dégradant. Sem, son ancêtre, était toujours en vie et racontait probablement ce qu’il savait du vrai Dieu. Abraham avait donc foi en Jéhovah, non en Nanna. Galates 3:6. – TG2001 15/8 p14 Abraham vivait dans un monde gangrené par le faux culte. La ville d’Our, où il habitait au début, était dominée par un temple dédié à Nanna, le dieu-lune. Le père d’Abraham lui-même avait pendant un temps adoré de faux dieux. Malgré tout, Abraham a pris la décision d’adorer Jéhovah. Il avait sans doute entendu parler de Jéhovah par son ancêtre Sem, un des fils de Noé. En effet, Sem et Abraham ont été contemporains pendant 150 ans. Au cours de sa longue vie, Abraham a offert de nombreux sacrifices. Ces actes d’adoration s’adressaient toujours à Jéhovah, le seul Dieu digne d’en être le destinataire. rr chap2 §17,18 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? On peut voir que, dans le choix des hommes devant faire office de juges, l’âge n’était pas le seul critère. Moïse a déclaré: “Prenez des hommes sages, et avisés, et expérimentés, d’entre vos tribus, pour que je les établisse sur vous comme chefs.” (Deutéronome 1:13). Il fallait que ceux qui étaient nommés soient “expérimentés”. Mais surtout ils devaient être capables et craindre Dieu; ils devaient être des hommes sûrs, haïssant le gain injuste, sages et avisés. Il semble donc évident que les “chefs” et les “juges” dont parle Josué 23:2 et 24:1 n’étaient pas distincts des “anciens” mentionnés dans les mêmes versets, mais qu’ils étaient choisis parmi eux. — TG1992 1/7 p12 §15 La Genèse est le premier livre du Pentateuque (mot d’origine grecque qui signifie “ cinq rouleaux ” ou “ volume quintuple ”). À l’origine le Pentateuque formait vraisemblablement un seul livre appelé Torah (Loi) ou “ le livre de la loi de Moïse ”, et il fut par la suite divisé en cinq rouleaux pour plus de commodité. — Jos. 23:6 - si p13 Des non-Israélites ont été acceptés en Terre promise en raison de leurs efforts pour plaire au vrai Dieu. Les Israélites ne devaient pas avoir de relations, surtout religieuses, avec ceux qui ne servaient pas Jéhovah (Josué 23:6, 7, 12, 13). Néanmoins, de nombreux immigrants non israélites obéissaient aux lois fondamentales. D’autres sont même devenus des prosélytes circoncis, et Jéhovah les a accueillis sans réserve dans sa congrégation. Dieu ordonna aux Israélites d’imiter son attitude envers ses adorateurs étrangers: “Le résident étranger qui réside comme étranger chez vous devra devenir pour vous comme un indigène d’entre vous; et tu devras l’aimer comme toi-même, car vous étiez devenus des résidents étrangers au pays d’Égypte.” (Lévitique 19:33, 34). Il y a là une leçon pour nous, même si nous ne sommes pas sous la Loi. Il est facile de se laisser prendre au piège des préjugés et de l’hostilité envers ceux d’une autre race, nation ou culture. Aussi faisons-nous bien de nous demander: ‘Est-ce que j’essaie de me débarrasser de tels préjugés en suivant l’exemple de Jéhovah ?’- TG1992 15/4 §10,11 Jéhovah énonça dans l’alliance de la Loi les principes fondamentaux qui devaient régir les relations avec les étrangers et protéger l’État israélite ainsi que l’intégrité de ses citoyens et de ceux qui en dépendaient sur les plans économique, religieux et politique. Les Israélites ne devaient en aucun cas fraterniser avec les étrangers, particulièrement dans le domaine religieux Josué 23 :6,7. Ils ne devaient contracter aucune alliance avec eux ou avec leurs dieux. À maintes reprises, Jéhovah leur rappela la nécessité absolue de ne pas se prosterner devant les dieux des étrangers et de ne pas même se renseigner sur leurs pratiques religieuses ou s’y intéresser. Il était interdit de s’allier par mariage avec des étrangers, surtout parce qu’ils risquaient de corrompre le culte pur Josué 23 :12,13. - it-1 p821 Etranger Pourquoi Jéhovah mérite-t-il notre confiance ? Pour le savoir, arrêtons-nous sur une déclaration de Josué, un homme qui avait entièrement confiance en Jéhovah. Nous la trouvons en Josué 23:14. Dans quelles circonstances Josué prononce-t-il ces paroles ? Josué, qui avait pris la direction de la nation d’Israël à la mort de Moïse, va sur ses 110 ans. Durant sa longue vie, il a été témoin de nombreux miracles que Jéhovah a accomplis en faveur d’Israël, par exemple lors de la traversée de la mer Rouge quelque 60 ans plus tôt. Josué, qui fait à présent le point sur ce qu’il a vécu, rassemble les représentants de la nation, “ ses anciens, ses chefs, ses juges et ses préposés ”. (Josué 23:2.) Ce n’est pas seulement la sagesse d’un homme âgé qu’ils entendent alors ; ce sont aussi les méditations d’un cœur plein de foi. “ Je m’en vais aujourd’hui par le chemin de toute la terre ”, leur explique-t-il. “ Le chemin de toute la terre ” est une expression imagée qui désigne la mort. Autrement dit : “ Je n’en ai plus pour longtemps à vivre. ” Sentant sa fin prochaine, Josué a sans doute passé de longues heures à réfléchir à sa vie. Le moment est venu de dire adieu à ses frères. “ Pas une parole n’a failli de toutes les bonnes paroles que vous a dites Jéhovah votre Dieu. Toutes se sont réalisées pour vous. Pas une seule parole d’entre elles n’a failli. ” Seul un homme qui a une totale confiance en Dieu peut s’exprimer ainsi. C’est que tous les événements que Josué a vécus l’ont persuadé que Jéhovah tient ses promesses, immanquablement. Pour ses frères Israélites, le message est clairement celui-ci : ‘ Vous pouvez être sûrs et certains que Jéhovah tiendra toujours ses promesses et assurera votre avenir. ’- TG2010 1/1 p12 Josué approchait de 110 ans et avait vécu l’une des périodes les plus exaltantes de l’histoire du peuple de Dieu. Il avait vu Jéhovah opérer des actes de puissance et réaliser de nombreuses promesses. C’est avec la conviction absolue du témoin oculaire qu’il a dit : “ Vous savez bien de tout votre coeur et de toute votre âme que pas une parole n’a failli de toutes les bonnes paroles que vous a dites Jéhovah votre Dieu. Toutes se sont réalisées pour vous. Pas une seule parole d’entre elles n’a failli. ” Josué 23:14. Quelles paroles de Jéhovah s’étaient réalisées du vivant de Josué ? Arrêtons-nous sur trois assurances que Jéhovah avait données aux Israélites. Il s’était engagé, premièrement à les délivrer de l’esclavage, deuxièmement à les protéger, troisièmement à les nourrir. Jéhovah a fait les mêmes promesses à son peuple aujourd’hui et nous les avons vues se réaliser. Tout comme il a pris soin de son peuple dans le désert, de même Jéhovah prend soin de nous aujourd’hui. Il nourrit notre spiritualité par l’intermédiaire de “ l’esclave fidèle et avisé ”. (Mat 24:45.) Cet esclave nous fait connaître des vérités restées secrètes pendant des siècles. Un ange avait dit à Daniel : “ Rends secrètes ces paroles et scelle le livre, jusqu’au temps de la fin. Beaucoup rôderont çà et là, et la vraie connaissance deviendra abondante. ” Dan 12:4. – TG2007 1/11 p22 §2-4 Après la mort de Moïse, Josué devint le berger visible d’Israël sous la direction de Jéhovah. Conduite par Dieu, et par l’entremise de Josué, la nation juive commença sa marche dans la Terre promise, pays qui lui avait été donné par héritage. On continua de nommer des hommes capables, craignant Dieu et honnêtes à des positions de responsabilité, et cette disposition aida la nation à mener ses guerres et à prendre possession du pays promis. Voici ce que nous dit la Bible à propos de Josué, juste avant sa mort : “Josué assembla toutes les tribus d’Israël à Sichem, et il convoqua les anciens d’Israël, ses chefs, ses juges et ses officiers. Et ils se présentèrent devant Dieu.” (Josué 24:1). À cette occasion, Josué rappela à ces hommes capables quelles responsabilités reposaient sur leurs épaules et sur la nation tout entière, afin qu’ils continuent de marcher sous la direction de Jéhovah Dieu, le grand Berger. En agissant ainsi, ils recevraient des bénédictions et des privilèges en grand nombre. – TG1969 1/12 En 1473 avant notre ère, Josué avait fait entrer les Israélites en Terre promise. Un peu avant sa mort, il a adressé à toute la nation cette exhortation puissante : “ Si c’est mal à vos yeux de servir Jéhovah, choisissez pour vous aujourd’hui qui vous servirez, soit les dieux qu’ont servis vos ancêtres qui étaient de l’autre côté du Fleuve, soit les dieux des Amorites au pays desquels vous habitez. ” Puis, engageant sa famille, il a ajouté : “ Quant à moi et à ma maisonnée, nous servirons Jéhovah. ” — Josué 24:15. Le peuple lui répondit: “C’est Jéhovah, notre Dieu, que nous servirons et c’est sa voix que nous écouterons!” (Josué 24: 24). Mais le peuple n’a malheureusement pas agi ainsi dans les années qui ont suivi. Des années auparavant, Jéhovah avait recommandé à Josué d’être courageux et fort, et de rester obéissant à la Loi. S’il ‘ lisait le livre de la loi à voix basse jour et nuit ’, il ferait ‘ réussir sa voie ’. (Josué 1:7, 8.) Et c’est bien ce qui s’est passé. Le choix qu’a fait Josué s’est traduit par des bénédictions. Ainsi qu’il l’a rappelé, “ pas une promesse ne faillit de toute la bonne promesse que Jéhovah avait faite à la maison d’Israël ; tout se réalisa ”. — Josué 21:45. – TG2006 1/6 p27 “Quant à moi et à ma maisonnée, nous servirons Jéhovah.” (Josué 24:14, 15). Josué et les autres chefs de famille devaient impérativement prendre cette résolution pour que les familles israélites puissent résister aux pressions auxquelles seraient confrontés les pratiquants du culte pur dans le pays de Canaan. De même aujourd’hui, il nous faut rester fermement attaché au vrai culte pour avoir la force de résister, nous et notre famille, à l’influence malsaine du système de choses qui nous entoure. km1987/10 Ce n’est pas par sentimentalité que Jéhovah pardonne, car il ne laisse pas impunies des actions scandaleuses. Josué prévint les Israélites que Jéhovah ne leur pardonnerait pas l’apostasie. — Josué 24 :19,20 – A notre époque, Dieu exige une certaine marche à suivre pour rechercher et obtenir son pardon. Le pécheur doit reconnaître son péché, admettre qu’il s’agit d’une offense faite à Dieu, le confesser sans réserve, être attristé du fond du cœur du mal commis et être déterminé à abandonner la façon d’agir ou la pratique en question. Il doit faire ce qui est en son pouvoir pour réparer le mal ou le tort qu’il a causés. Puis il doit, dans la prière, demander pardon à Dieu en vertu du sacrifice rédempteur de Christ. – it-2 p490 Pardon Une chose est certaine : personne ne devrait supposer qu’il peut faire fi des lois de Dieu et ensuite demander pardon pour échapper aux conséquences de ses actes (Josué 24:19). Dans l’Israël antique, nombreux étaient ceux qui pensaient pouvoir agir ainsi : ils ne voulaient pas changer. Ils ont manqué le but de la tolérance et de la patience de Jéhovah. Mais Dieu n’a pas toléré indéfiniment leurs mauvaises actions. La Bible montre que pour échapper au jugement final de Dieu, il faut ‘ se repentir ’, c’est-à-dire reconnaître humblement devant lui que l’on est imparfait et pécheur, et se détourner sincèrement du mal RV2001 8/10 p22 Ayant fait des Israélites son bien particulier, Jéhovah pouvait à bon droit être appelé “ le Dieu d’Israël ”. Josué 24:23 En faisant des Israélites un peuple qui lui était voué, Jéhovah n’agissait pas avec partialité, car, avec bienveillance, il se souciait également des non-Israélites. Les Israélites étaient le peuple voué à Dieu moyennant certaines obligations. Ce n’était qu’à la condition d’obéir strictement à la voix de Dieu et de garder son alliance qu’ils seraient son “ bien particulier ”. Ils n’ont malheureusement pas respecté ces exigences. Cela voulait-il dire que Jéhovah n’aurait désormais plus de peuple voué à sa personne ? Non. Citant un psalmiste, Jésus Christ a annoncé : “ N’avez-vous jamais lu dans les Écritures : ‘ La pierre que les bâtisseurs ont rejetée, c’est elle qui est devenue la principale pierre angulaire. C’est de Jéhovah que cela est venu, et c’est une chose merveilleuse à nos yeux ’ ? C’est pourquoi je vous le dis : Le royaume de Dieu vous sera enlevé et sera donné à une nation qui en produira les fruits. ” — Matthieu 21:42, 43. C’est la congrégation chrétienne qui est devenue la “ nation qui en produira les fruits ”- TG1998 15/3
  5. Bonsoir Gilles

    S'il te plait, aurais-tu le samedi après-midi de l'assemblée régionale 2021

    Je te remercie

     

  6. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 8 Novembre 2021 - Josué 20-22.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 8 Novembre 2021 - Josué 20-22.pdf Perles spirituelles (10 min) : Josué 20-22 Josué 21:43, 44 : Comment ces paroles se sont-elles réalisées alors que de nombreux Cananéens ont survécu à la conquête quasi totale du pays et ne se sont pas laissé soumettre ? (it-1 390 § 4) « C’est ainsi que Jéhovah donna aux Israélites tout le pays qu’il avait promis à leurs ancêtres. Ils en prirent alors possession et s’y installèrent. 44 De plus, Jéhovah leur procura le repos de tous les côtés, comme il l’avait juré à leurs ancêtres. Aucun de leurs ennemis ne réussit à leur résister. Jéhovah leur donna la victoire sur tous leurs ennemis » Bien que de très nombreux Cananéens aient survécu à la grande conquête et résisté à l’assujettissement, il put être dit, néanmoins, que “ Jéhovah donna [...] à Israël tout le pays qu’il avait juré de donner à leurs ancêtres ”, qu’il leur avait procuré “ du repos de tous côtés ” et que “ pas une promesse ne faillit de toute la bonne promesse que Jéhovah avait faite à la maison d’Israël ; tout se réalisa ”. (Jos 21:43-45.) Tout autour des Israélites, les ennemis vivaient dans la crainte et ne constituaient pas une véritable menace pour leur sécurité. Quelque temps auparavant, Dieu avait déclaré qu’il chasserait les Cananéens “ peu à peu ”, de peur que les bêtes sauvages ne se multiplient dans un pays devenu soudainement une solitude désolée. Quoique les Cananéens aient disposé d’un matériel de guerre supérieur, notamment des chars armés de faux, on ne peut pas reprocher à Jéhovah d’avoir failli à sa promesse si au bout du compte les Israélites ne réussirent pas à prendre certains territoires. Le récit biblique montre plutôt que les quelques défaites subies par les Israélites furent imputables à leur infidélité. it-1 p390 § 4 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? L’idée de mettre en place des villes de refuge ne venait pas des hommes, mais de Jéhovah. Il a ordonné à Josué : « Parle aux fils d’Israël, en disant : “Donnez-vous les villes de refuge.” » Ces villes ont été déclarées « sacrées », c’est-à-dire mises à part (Jos. 20:1, 2, 7, 8). Alors, que nous enseigne cette disposition sur la miséricorde de Jéhovah ? Et que nous enseigne-t-elle sur le moyen de nous réfugier en lui aujourd’hui ? 6 Si un Israélite tuait quelqu’un par accident, il devait courir jusqu’à une ville de refuge et expliquer ce qui s’était passé aux anciens à l’entrée de la ville. Les anciens devaient l’accueillir avec hospitalité (Jos. 20:4). Ensuite, ils le renvoyaient vers les anciens de la ville où le meurtre avait eu lieu, pour qu’ils jugent l’affaire. Si les anciens concluaient que la mort avait été accidentelle, ils faisaient retourner le fugitif à sa ville de refuge. Aujourd’hui, un chrétien qui a commis un péché grave doit rechercher l’aide des anciens de la congrégation pour retrouver une bonne relation avec Jéhovah. Jéhovah compare les anciens à « une retraite ou un refuge contre la tempête de pluie » (Is. 32:1, 2). N’es-tu pas d’accord pour dire que cette disposition est une expression de la miséricorde de Dieu ? – TG2017/11 p8 « ELLES DEVRONT VOUS SERVIR DE REFUGE » - Une fois qu’un fugitif était dans une ville de refuge, il était en sécurité. Jéhovah a dit à propos de ces villes : « Elles devront vous servir de refuge » (Jos. 20:2, 3). Jéhovah n’exigeait pas que le meurtrier soit jugé une deuxième fois pour la même affaire. De plus, le vengeur du sang n’avait pas le droit d’entrer dans la ville pour le tuer. Le fugitif n’avait donc pas à craindre pour sa vie. Tant qu’il restait dans la ville, il était en sécurité sous la protection de Jéhovah. Ce n’était pas une prison de refuge. Il pouvait y travailler, aider les autres et servir Jéhovah en paix. Il pouvait avoir une vie heureuse et satisfaisante. Il arrive que des serviteurs de Dieu qui ont commis un péché grave, mais qui se sont repentis, se sentent quand même « prisonniers » de leur culpabilité. Certains pensent même que Jéhovah ne leur pardonnera jamais vraiment leur péché. Si tu ressens cela, sois sûr que quand Jéhovah te pardonne, il te pardonne complètement. Tu n’as donc plus à ressentir de la culpabilité. Une fois dans la ville de refuge, le fugitif n’avait plus à avoir peur de se faire tuer par le vengeur du sang. Pareillement, une fois que Jéhovah nous a pardonné un péché, nous n’avons pas à avoir peur qu’il nous le reproche plus tard ou qu’il nous condamne pour ce péché – TG2017 p11 §13,14 La procédure légale. Quand il arrivait à une ville de refuge, le fugitif devait exposer son cas aux anciens à la porte de la ville et devait être reçu avec hospitalité. Pour dissuader les meurtriers volontaires de se mettre à l’abri grâce à ces villes, le fugitif, après être entré dans la ville de refuge, devait passer en jugement aux portes de la ville dans la juridiction de laquelle le meurtre avait eu lieu, afin de prouver son innocence. S’il était jugé innocent, on le renvoyait à la ville de refuge. Toutefois, sa sécurité n’était assurée que s’il demeurait dans la ville le reste de sa vie ou jusqu’à la mort du grand prêtre. Aucune rançon ne pouvait être acceptée pour contourner cette loi (Jos 20:4-6). Même l’autel sacré de Jéhovah n’offrait pas de protection pour les meurtriers, comme l’illustre le cas de Yoab. — it-2 p1158 Les 48 villes administrées par les Lévites, dont les 6 villes de refuge, étaient toutes enclavées dans le territoire d’autres tribus (Jos 21:3-41). C’est ainsi que se réalisa la prophétie que Jacob avait prononcée sur son lit de mort au sujet de Siméon et de Lévi, selon laquelle ‘ ils auraient une portion en Jacob, mais seraient dispersés en Israël ’. — Gn 49:7. - it-2 p1159 Villes de refuge et camps militaires. Certaines villes d’Israël furent mises à part dans le but particulier d’offrir un lieu de refuge pour l’homicide involontaire. Elles furent sanctifiées, c’est-à-dire ‘ déclarées sacrées ’. — Jos 20:7-9. Les camps militaires d’Israël étaient des lieux sanctifiés, car Dieu ‘ circulait à l’intérieur du camp ’. Pour cette raison, il fallait préserver la pureté morale, spirituelle et physique. — it-2 Sanctification Les événements rapportés dans le livre de Josué attirent-ils l’attention sur le Royaume de Dieu ? Certainement ! À propos de la promesse divine faite à Abraham, à Isaac et à Jacob, et répétée aux Israélites, leurs descendants, le récit dit ce qui suit à l’époque de Josué : “ Pas une promesse ne faillit de toute la bonne promesse que Jéhovah avait faite à la maison d’Israël ; tout se réalisa. ” (Jos. 21:45). Il en sera de même de la “ bonne promesse ” de Jéhovah relative au Royaume de justice dans les cieux : tout se réalisera - « Toute Écriture » p46 Les hommes de guerre des tribus de Ruben et de Gad et de la demi-tribu de Manassé, qui ont suivi Josué jusqu’à présent, retournent maintenant dans leur possession héréditaire, de l’autre côté du Jourdain, après avoir été exhortés à la fidélité et bénis par Josué. En chemin, non loin du Jourdain, ils érigent un grand autel, ce qui provoque une crise grave. Comme le lieu désigné pour le culte de Jéhovah est la tente de réunion à Shilo, les tribus de l’ouest craignent une trahison ou une infidélité ; aussi se préparent-elles à combattre les supposés rebelles. Mais l’effusion de sang est évitée lorsque les accusés expliquent que l’autel n’est pas pour le sacrifice, mais pour servir de ‘ témoin entre eux Israélites à l’est et à l’ouest du Jourdain que Jéhovah est le vrai Dieu ’. — Josué 22:34. - « Toute Écriture » p45 Jéhovah tient toujours ses promesses (Jos. 21:45). Il le fait pour plusieurs raisons. Tout d’abord, parce que cela a des conséquences sur son nom, ou sa réputation. Jéhovah a promis qu’il prendra soin de ses fidèles serviteurs, et pour lui, c’est un devoir de tenir parole. Ensuite, il sait que, comme nous faisons partie de sa famille, nous serions très tristes et très déçus s’il ne prenait pas soin de nous. Il promet de combler nos besoins matériels et spirituels, et rien ne l’empêchera d’accomplir cette promesse – TG2020/1 §14 Des informations qui contiennent des demi-vérités ou qui sont incomplètes peuvent également amener quelqu’un à tirer de mauvaises conclusions. Pensons à ce qui est arrivé aux Israélites qui vivaient à l’ouest du Jourdain à l’époque de Josué (Jos. 22:9-34). Ils ont entendu dire que leurs frères qui vivaient à l’est du Jourdain (les Rubénites, les Gadites et ceux de la demi-tribu de Manassé) avaient construit un grand autel près du fleuve. Cette information était vraie, mais incomplète. Ils en ont conclu que leurs frères s’étaient rebellés contre Jéhovah et ils se sont rassemblés pour les combattre (Josué 22:9-12). Heureusement, avant de les attaquer, ils ont envoyé des hommes vérifier les faits. Qu’ont appris ces hommes ? Que les Israélites vivant à l’est du Jourdain n’avaient pas construit l’autel pour faire des sacrifices à de faux dieux. Cet autel devait servir de mémorial, pour que tous sachent qu’ils adoraient Jéhovah. Comme les Israélites ont dû être heureux de ne pas avoir combattu leurs frères, mais plutôt d’avoir pris le temps de réunir les faits. – TG2018/8 p3 §10 Une communication franche permet d’éviter les malentendus. Témoin cet épisode des débuts de l’histoire d’Israël. Les tribus de Ruben et de Gad, ainsi que la demi-tribu de Manassé, qui s’étaient établies à l’est du Jourdain, avaient bâti “ un grand autel, bien visible ” près du fleuve. Les autres tribus en ont tiré de mauvaises conclusions. Croyant que leurs frères de l’autre côté du Jourdain avaient commis un acte d’apostasie, les Israélites vivant à l’ouest se sont préparés à la guerre contre les “ rebelles ”. Cependant, avant de se mettre en marche, ils ont envoyé une délégation communiquer avec les tribus de l’est. Sage décision ! Ils ont ainsi appris que l’autel n’était pas destiné à offrir des holocaustes ou des sacrifices illicites. Simplement, les membres des tribus de l’est craignaient qu’à l’avenir leurs voisins leur disent : “ Vous n’avez pas de part en Jéhovah. ” L’autel devait témoigner qu’eux aussi étaient des adorateurs de Jéhovah (Josué 22:10-29). Ils ont nommé l’autel “ Témoin ”, sans doute afin de témoigner que, pour eux, Jéhovah était le vrai Dieu. — Josué 22:34 – Leur explication a suffi à convaincre les autres tribus, qui ont abandonné l’idée de prendre des mesures punitives contre eux. En somme, une communication franche a permis d’éviter un conflit armé. – TG2006 15/4 p4 Selon la loi de Jéhovah, on ne pouvait offrir des sacrifices qu’au lieu qu’il désignait. Si des offrandes agréables étaient présentées ailleurs, il s’agissait de cas spéciaux. Aux jours de Josué, les Israélites reconnaissaient que bâtir un autel pour holocauste sans autorisation revenait à se rebeller contre Dieu Josué 22 :29. – it-1 p1080 Les Israélites reçurent l’ordre de démolir tous les autels païens ainsi que de détruire les colonnes et les poteaux sacrés qu’on dressait habituellement à côté. Jamais ils ne devaient en bâtir de semblables ni offrir leurs enfants en sacrifice en les faisant passer par le feu, comme les Cananéens. . Au lieu d’une multitude d’autels, Israël devait avoir un seul autel pour adorer l’unique vrai Dieu, et cet autel serait placé à l’endroit que choisirait Jéhovah. Après la répartition de la terre conquise, les tribus de Ruben, de Gad et la demi-tribu de Manassé bâtirent un autel bien visible, près du Jourdain. Cela jeta temporairement le trouble parmi les autres tribus, jusqu’à ce qu’on établisse qu’il ne s’agissait pas d’un acte d’apostasie, mais seulement d’un mémorial de fidélité à Jéhovah, le vrai Dieu. — Jos 22:10-34. – it-1 Autel Une leçon du passé - Prêter de mauvais mobiles aux autres revient à les juger, à tirer prématurément la conclusion que ce qu’ils disent ou font cache quelque chose de sournois ou de méchant. En fait, le fond du problème réside souvent dans une vision erronée de la situation. Le récit biblique contenu en Josué chapitre 22 nous en fournit une bonne illustration. Ayant achevé la conquête de la Terre promise, les Israélites venaient de recevoir les territoires assignés à chaque tribu. Celles de Ruben et de Gad, ainsi que la demi-tribu de Manassé, bâtirent alors “ un grand autel, bien visible ”, près du Jourdain. Les autres tribus y virent à tort un acte d’apostasie. Elles présumèrent que ces trois tribus allaient désormais offrir des sacrifices sur ce monument imposant au lieu de se rendre à la tente de réunion installée à Shilo, le lieu choisi pour le culte. Immédiatement, elles se préparèrent à une action militaire. — Josué 22:10-12. Elles prirent toutefois l’heureuse initiative de se mettre en relation avec leurs frères israélites en leur envoyant une délégation officielle conduite par Phinéas. Quand les tribus incriminées apprirent qu’on les accusait d’infidélité, de rébellion et d’apostasie contre Jéhovah, elles expliquèrent pourquoi elles avaient édifié cet immense autel. En fait, il ne s’agissait pas d’un autel pour sacrifice, mais d’un “ témoin ” de l’unité des tribus d’Israël dans le culte de Jéhovah (Josué 22:26, 27). Les membres de la délégation s’en retournèrent, convaincus qu’il n’y avait rien de mauvais chez leurs frères. Ainsi fut évitée une sanglante guerre civile. Sachons en tirer leçon en ne prêtant jamais hâtivement de mauvais mobiles aux autres. Ce qui semble vrai à première vue s’avère souvent radicalement différent quand on l’examine de plus près. Ce constat se vérifie dans bien des domaines de la vie du chrétien. – TG1997 15/5
  7. RAJOUT La tribu d’Aser - Même si la population de cette tribu devenait importante, sa part serait excellente et abondante. Dans le pays d’Israël, le territoire d’Aser était situé le long de la côte méditerranéenne, au sud du port phénicien de Tyr. Les territoires de Zabulon et de Nephthali le bornaient à l’est. Son pays produisait des denrées alimentaires en abondance. — Josué 19:24-31. Grâce à sa situation géographique, Aser pouvait faire un commerce d’exportation. Cela lui permettait de fournir des délices ou des friandises au roi. Mais en même temps, Aser risquait de tomber dans le piège du matérialisme, de devenir égoïste, de prendre les choses en douceur sans se soucier du sort de ses frères. Ce pouvoir asservissant du matérialisme se fit particulièrement sentir au temps du juge Barak et de la prophétesse Débora. La tribu d’Aser ne répondit pas à l’appel. Elle n’eut pas le grand privilège de participer à la victoire de Jéhovah “aux eaux de Meguiddo ”. Elle dut avoir honte quand Barak et Débora chantèrent leur cantique triomphal et dirent : “ Aser s’est assis au rivage de la mer, et s’est reposé dans ses ports. ” (Juges 5:17). Aser se reposait non dans ses occupations matérialistes mais pour ce qui était du service direct de Jéhovah. – TG1962 15/10 Pourquoi est-ce la tribu de Juda qui est désignée la première pour prendre possession du pays ? Normalement, ce privilège aurait dû revenir à la tribu de Ruben, le premier-né de Jacob. Mais, dans la prophétie qu’il a énoncée sur son lit de mort, Jacob a prédit que Ruben n’excellerait pas parce qu’il avait perdu ses droits de premier-né. Les tribus de Siméon et de Lévi, qui avaient agi avec cruauté, seraient réparties en Israël (Genèse 49:3-5, 7). La tribu suivante ayant droit à l’héritage était donc celle de Juda, le quatrième fils de Jacob. Siméon, qui est monté au combat avec Juda, a reçu des petites zones de terre éparpillées dans le vaste territoire de Juda. — Josué 19:9. – TG2005 15/1
  8. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 1er Novembre 2021 - Josué 18-19.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 1er Novembre 2021 - Josué 18-19.pdf Perles spirituelles (10 min) : Josué 18-19 Josué 18:1-3 : Pour quelles raisons possibles les Israélites ont-ils tardé à prendre possession des derniers territoires à l’ouest du Jourdain ? (it-1 934 § 1). « Alors toute la communauté des Israélites se rassembla à Silo, et on y installa la tente de la rencontre, car le pays leur était maintenant soumis. 2 Mais il restait encore sept tribus israélites à qui aucun territoire n’avait été attribué en héritage. 3 Josué dit alors aux Israélites : « Combien de temps attendrez-vous encore avant d’aller prendre possession du pays que Jéhovah le Dieu de vos ancêtres vous a donné ?» D’après le récit de la répartition du territoire à l’O. du Jourdain, ce sont les lots de Juda (Jos 15:1-63), de Joseph (Éphraïm) (Jos 16:1-10) et de la demi-tribu de Manassé installée à l’O. du Jourdain (Jos 17:1-13) qui furent délimités en premier, puisque leurs frontières et leurs villes sont énumérées. Après quoi le partage du pays fut manifestement interrompu étant donné que le camp d’Israël se déplaça de Guilgal à Shilo (Jos 14:6 ; 18:1). Il n’est pas précisé combien de temps s’écoula, mais finalement Josué réprimanda les sept autres tribus en raison de leur lenteur à coloniser le reste du pays (Jos 18:2, 3). Plusieurs explications ont été avancées sur la raison pour laquelle les sept tribus eurent cette attitude ; certains commentateurs supposent que l’abondance du butin qu’elles avaient recueilli lors de la conquête et la relative absence de danger immédiat de la part des Cananéens amenèrent peut-être ces tribus à ne pas juger urgent de prendre possession du reste du territoire. Ces tribus répugnèrent peut-être à affronter le problème consistant à s’occuper des îlots de résistance, ce qui contribua à ce manque d’empressement (Jos 13:1-7). En outre, elles connaissaient peut-être beaucoup moins bien cette partie de la Terre promise que les secteurs qui étaient déjà attribués. - it-1 p934 § 1 Afin d’accélérer les choses, Josué envoya une délégation de 21 hommes, 3 de chacune des 7 tribus, pour qu’ils ‘ dressent un plan du pays en sept parts ’, et après que les hommes ‘ en eurent dressé le plan par villes ’, il tira les sorts pour eux de façon à connaître la décision de Jéhovah (Jos 18:4-10) – it-1 Frontière Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Jéhovah avait dit aux Lévites qu’il serait leur part. En quel sens ? Il leur confierait des fonctions particulières à son service au lieu de leur donner un territoire en héritage. “ La prêtrise de Jéhovah ” serait leur héritage (Jos. 18:7). Ils avaient été désignés en vue d’un service spécial au sanctuaire. Ils percevaient la dîme comme part ou héritage en échange de leur service. Le contexte de Nombres 18:20 montre qu’ils ne s’en trouveraient pas lésés matériellement. Ils devaient recevoir “ pour héritage [...] tout dixième en Israël, en échange de leur service ”, autrement dit 10 % des produits de la terre et 10 % des animaux domestiques qui viendraient grossir le troupeau. À leur tour, les Lévites devaient offrir un dixième de ce qu’ils recevaient, ‘ de ce qu’il y avait de meilleur ’, pour subvenir aux besoins des prêtres. On donnait aussi aux prêtres “ toutes les saintes contributions ” que les fils d’Israël apportaient à Dieu. Les membres de la prêtrise avaient donc de bonnes raisons de croire que Jéhovah prendrait soin d’eux. – TG2011 15/9 p7-8 La structure tribale. L’organisation des Israélites était en grande partie centrée sur la structure tribale. Dans le désert, tant l’ordre de marche que le plan de campement furent établis d’après les tribus (Nb 2:1-31 ; 10:5, 6, 13-28). Les héritages territoriaux furent proportionnels aux tribus, et des lois spéciales furent données pour éviter que la terre passe d’une tribu à l’autre. — Jos 19:51. – it-2 p1101 Tribu Jéhovah ordonna qu’on répartisse la Terre promise entre les 12 tribus en jetant les sorts. Le “ sort ” ou “ lot ”, apparaît plus de 20 fois. Les tirages au sort furent effectués devant Jéhovah, près de la tente de réunion qui se trouvait à Shilo, sous la direction de Josué et du grand prêtre Éléazar (Jos 17:4 ; 18:6, 8). Les villes lévitiques furent également choisies par le sort (Jos 21:8). De toute évidence, Jéhovah accorda le résultat du tirage avec sa prophétie ancienne concernant la répartition générale des tribus. — Gn 49. . Les lots devinrent de plus en plus petits à mesure que les familles en s’agrandissant morcelaient leurs parts de terrain. En conséquence, la terre était soigneusement cultivée et pleinement exploitée. On n’avait pas le droit de faire circuler les héritages d’une tribu à l’autre. Pour empêcher cela, il était exigé que les femmes qui héritaient d’une terre (parce qu’elles n’avaient pas de frère en vie) se marient avec quelqu’un de leur tribu et ainsi conservent leur héritage Toutefois, il n’est plus question d’utilisation de sorts après la Pentecôte 33 de n. è. pour choisir les anciens et leurs assistants ou régler des questions importantes. Le choix des anciens et de leurs assistants devait être fondé sur la façon dont ils manifestaient le fruit de l’esprit saint dans leur vie – it-2 Sorts
  9. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 25 Octobre 2021 - Josué 15-17.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 25 Octobre 2021 - Josué 15-17.pdf Perles spirituelles (10 min) : Josué 15-17 Josué 17:15, 18 : Comment savons-nous que dans l’Antiquité, le pays d’Israël était très boisé ? (w15 15/7 32). Verset 15 « Josué leur répondit : « Si vous êtes si nombreux, montez vers la forêt et défrichez-en une partie pour vous dans le pays des Perizites et des Refaïm, puisque la région montagneuse d’Éphraïm est trop petite pour vous. » Verset 18 « mais la région montagneuse vous appartiendra aussi. C’est une forêt, c’est vrai, mais vous la défricherez, et elle deviendra l’extrémité de votre territoire. Oui, vous chasserez les Cananéens, bien qu’ils soient forts et qu’ils aient des chars équipés de lames sur les roues. » LA BIBLE révèle que certaines parties de la Terre promise étaient couvertes de forêts et qu’il s’y trouvait des arbres « en quantité » (1 Rois 10:27 ; Jos. 17:15, 18). Mais aujourd’hui, devant le dénuement de vastes portions de ce territoire, certains pourraient être sceptiques. Selon le livre La vie dans l’Israël de la Bible (angl.), « dans l’Israël antique, les forêts étaient bien plus étendues qu’elles ne le sont actuellement ». Les hauteurs étaient naturellement couvertes de pins d’Alep (Pinus halepensis), de chênes de Palestine (Quercus calliprinos) et de térébinthes (Pistacia palaestina). Dans la Shéphéla, région de collines située entre la chaîne montagneuse centrale de Juda et la côte méditerranéenne, des sycomores (Ficus sycomorus) abondaient. Le livre Les plantes de la Bible (angl.) déclare qu’aujourd’hui, certaines régions en Israël ne comptent plus aucun arbre. Quelle en est l’une des causes ? Expliquant que le phénomène a été graduel, le manuel ajoute : « L’homme a continuellement perturbé la végétation indigène, principalement pour étendre les terres cultivables et les pâturages, mais aussi pour se procurer des matériaux de construction et du combustible. » - w15 15/7 32 Forêt de Biriya, en Galilée Grappe de figues de sycomore Autrefois, il y avait en Palestine de vastes forêts composées de nombreuses espèces d’arbres. Les renseignements que la Bible fournit sur les forêts et l’usage du bois révèlent qu’il s’y trouvait beaucoup plus d’arbres qu’aujourd’hui, malgré les efforts de reboisement de ces dernières années. Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Une fille appartenait à son père jusqu’à que celui-ci la donne en mariage – Josué 15 :16,17 et, à ce titre, elle pouvait même servir de garantie ou être vendue comme esclave, mais pas à un étranger. Tant qu’elle n’était pas mariée son père était en droit d’annuler ses vœux. Les cinq filles de Zélophéhad, un homme qui était mort sans avoir de fils, reçurent tout l’héritage de leurs ancêtres, à condition d’épouser des fils de Manassé, afin que la propriété ne sorte pas de la tribu – Josué 15 :19. Une femme divorcée ou veuve pouvait revenir dans la maison de son père. – ad p540 Fille Le “ travail forcé ” était manifestement très courant aux temps bibliques, car souvent on réduisait en esclavage les peuples conquis - Josué 16 :10. Après être entrés en Terre promise, les Israélites n’obéirent pas à l’ordre de Jéhovah de chasser tous les Cananéens et de les vouer à la destruction. Ils les assujettirent au travail forcé des esclaves. Cela eut pour triste conséquence d’entraîner Israël à adorer de faux dieux. – it-2 Travail forcé Puisque le terme Armaguédon dérive d’une expression hébraïque qui signifie “montagne de Méguiddo”, on pourrait en conclure que cette guerre aura lieu sur une éminence portant ce nom. Cependant, il n’y a jamais eu de montagne appelée Méguiddo. À une centaine de kilomètres au nord-ouest de Jérusalem, il y avait bien une ville fortifiée appelée Méguiddo, mais, à présent, seul un tell d’une vingtaine de mètres de haut en marque l’emplacement. — Josué 17:11. . De toute évidence, la bataille d’Armaguédon ne sera donc pas confinée dans une région montagneuse du Proche-Orient. Bien que ce terme tire sa signification de Méguiddo, et de ce qui s’est passé dans cette région, Armaguédon représente plutôt une situation mondiale. TG1990 15/5 Quoique les Cananéens aient disposé d’un matériel de guerre supérieur, notamment des chars armés de faux, on ne peut pas reprocher à Jéhovah d’avoir failli à sa promesse si au bout du compte les Israélites ne réussirent pas à prendre certains territoires (Jos 17:16-18). Le récit biblique montre plutôt que les quelques défaites subies par les Israélites furent imputables à leur infidélité. — it-1 Canaan Jéhovah ordonna qu’on répartisse la Terre promise entre les 12 tribus en jetant les sorts (Nb 26:55, 56). Dans le récit détaillé du partage que donne le livre de Josué (chap. 14-21), le mot gôral, traduit par “ sort ” et par “ lot ”, apparaît plus de 20 fois. Les tirages au sort furent effectués devant Jéhovah, près de la tente de réunion qui se trouvait à Shilo, sous la direction de Josué et du grand prêtre Éléazar (Jos 17:4 ; 18:6, 8). Les villes lévitiques furent également choisies par le sort (Jos 21:8). De toute évidence, Jéhovah accorda le résultat du tirage avec sa prophétie ancienne concernant la répartition générale des tribus. — Gn 49. À l’époque des apôtres. Les disciples de Jésus utilisèrent les sorts, conjointement avec leurs prières, pour déterminer qui, à la place de Judas Iscariote, serait un des 12 qui avaient été témoins des activités de Jésus et de sa résurrection ; Matthias fut choisi Il n’est plus question d’utilisation de sorts après la Pentecôte 33 de n. è. pour choisir les anciens et leurs assistants ou régler des questions importantes. Le choix des anciens et de leurs assistants devait être fondé sur la façon dont ils manifestaient le fruit de l’esprit saint dans leur vie, tandis que d’autres décisions s’appuyaient sur l’accomplissement des prophéties, l’aide des anges, les principes de la Parole de Dieu et des enseignements de Jésus et, enfin, la direction de l’esprit saint – it-2 Sort Jéhovah ordonna à Moïse : « Si un homme, quel qu’il soit, meurt sans avoir de fils, alors vous devrez faire passer son héritage à sa fille » (Nomb. 27:6-8 ; Jos. 17:1-6). Désormais, toute femme israélite se trouvant dans la même détresse sera protégée. Quelle décision bienveillante et impartiale ! Jéhovah a accordé à des femmes, qui se trouvaient dans une situation précaire, autant de dignité qu’aux Israélites jouissant d’une situation favorable (Ps. 68:5). Et ce n’est là qu’un des nombreux récits bibliques illustrant cette vérité réconfortante : Jéhovah traite ses adorateurs avec impartialité – TG2013 15/6
  10. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 18 Octobre 2021 - Josué 12-14.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 18 Octobre 2021 - Josué 12-14.pdf Perles spirituelles (10 min) : Josué 12-14 Josué 13:2, 5 : Israël a-t-il finalement conquis le « pays des Guébaliens » ? (it-1 1032). Verset 2 « Voici le pays qu’il reste à conquérir : toutes les régions où vivent les Philistins et tous les Gueshouriens » Verset 5 « le pays des Guébaliens et tout le Liban vers l’est, depuis Baal-Gad au pied du mont Hermon jusqu’à Lebo-Hamath » Jéhovah classa “ le pays des Guébalites ” parmi les régions dont Israël devait encore s’emparer aux jours de Josué (Jos 13:1-5). Les critiques considèrent qu’il s’agit d’une incohérence puisque Guébal se trouvait loin au N. d’Israël (à env. 100 km de Dân) et qu’elle n’est apparemment jamais passée sous la domination israélite. Certains biblistes sont d’avis que le texte hébreu a été altéré à cet endroit, et que le récit se lisait autrefois ainsi : “ la région proche du Liban ” ou ‘ jusqu’à la frontière des Guébalites ’. Toutefois, il faut remarquer que la promesse de Jéhovah contenue en Josué 13:2-7 était conditionnelle. Ainsi, c’est peut-être à cause de sa désobéissance qu’Israël ne conquit jamais Guébal. Elle était hors de portée des attaques israélites. — it-1 p1032 Six années avaient passé depuis le début des combats. Canaan avait été conquis en majeure partie, et la force des tribus cananéennes était brisée. La répartition du pays entre les tribus israélites pouvait donc commencer. Toutefois, il restait encore un certain nombre de régions à soumettre, y compris des régions aussi grandes que le territoire des Philistins qui, quoique n’étant pas des Cananéens, n’avaient quand même pas le droit d’occuper le pays promis à Israël, le territoire des Gueshourites ; le territoire qui s’étendait des environs de Sidon à Guébal (Byblos) ; et tout le Liban (Jos 13:2-6). Outre cela, il subsistait des poches de résistance disséminées dans tout le pays ; certaines d’entre elles furent ensuite vaincues par les tribus israélites qui avaient hérité de ces territoires, tandis que d’autres restèrent insoumises ou bien leurs habitants furent autorisés à rester sur place et assujettis au travail forcé pour les Israélites – it- p387 Canaan Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Meguiddo était un lieu saturé de sang. De dures et décisives batailles y furent livrées. Sous le juge Josué les Israélites battirent le roi de Meguiddo (Josué 12:21). Ce qui donna à cette victoire une si grande signification, ce fut le fait qu’elle n’étaitpas remportée par la seule force armée des Israélites. Le secours vint de Jéhovah. C’est parce que Jéhovah combattit pour le peuple qui portait son nom que ces armées païennes furent vaincues. C’est donc pour ces raisons qu’on peut associer d’une façon appropriée l’Armaguédon symboliqueavec le “ combat du grand jour du Dieu tout-puissant ”. À Armaguédon, Jéhovah Dieu infligera à ses ennemis une défaite décisive, écrasante, qui frappera toutes les nations et les peuples. Quand Satan, ses démons et son organisation terrestre seront anéantis, la voie sera dégagée pour les survivants de la bataille, le peuple de Jéhovah, qui commenceront l’œuvre de reconstruction pour transformer la terre en un paradis, affranchi du chagrin, de la maladie, de la douleur et de la mort – TG1961 15/4 Des années plus tard, Caleb a dit à Josué : “ Moïse le serviteur de Jéhovah m’a envoyé de Qadesh-Barnéa pour reconnaître le pays, et je suis venu lui rapporter des renseignements comme c’était dans mon cœur. Mes frères qui étaient montés avec moi ont fait fondre le cœur du peuple ; mais moi, j’ai pleinement suivi Jéhovah mon Dieu. ” (Jos. 14:6-8). Grâce à leur confiance en Jéhovah, Caleb et Josué ont pu affronter différentes épreuves. Ils étaient déterminés à se souvenir de Dieu tous les jours de leur vie. Ils ont aussi montré leur reconnaissance en rappelant que Dieu avait tenu sa promesse, leur donnant un pays fertile et préservant leur vie. De nos jours, l’assemblée chrétienne adore Jéhovah “ avec l’esprit et la vérité ”. (Jean 4:23, 24.) Contrairement à la nation d’Israël, les vrais chrétiens, en tant que groupe, n’oublieront jamais Jéhovah. Mais notre appartenance à l’assemblée ne garantit pas que, personnellement, nous resterons intègres. Comme Caleb et Josué, chacun de nous doit servir Jéhovah avec reconnaissance et endurance. Nous avons de bonnes raisons d’agir ainsi, car Jéhovah continue de guider et de protéger chacun de nous en ce temps de la fin très difficile. – TG2009 15/3 p9 Josué 14:10-13. Bien qu’âgé de 85 ans, Caleb se porte volontaire pour une mission difficile : chasser les occupants de la région de Hébrôn, qui sont pourtant des Anaqim, des hommes d’une taille supérieure à la normale. Avec l’aide de Jéhovah, ce guerrier expérimenté remporte la victoire, et Hébrôn devient une ville de refuge. L’exemple de Caleb nous encourage à ne pas nous dérober aux missions théocratiques difficiles. – TG2004 1/12 p8 Caleb, qui avait survécu à cette pérégrination et qui était alors âgé, a pu dire ensuite à Josué : “ J’ai pleinement suivi Jéhovah mon Dieu. ” (Josué 14:6-9.) À 85 ans, il a demandé à avoir la région montagneuse que Dieu lui avait promise, même si elle était peuplée d’ennemis qui habitaient dans de grandes villes fortifiées. — Jos. 14:10-15. Tout comme Caleb, qui a fait preuve de foi et d’obéissance, nous aurons le soutien divin si nous ‘ suivons pleinement Jéhovah ’. Face à des obstacles qui nous semblent insurmontables, nous serons bénis si nous ‘ suivons pleinement Jéhovah ’. Agir ainsi, tout au long de notre vie, comme l’a fait Caleb, peut être difficile. Quelles que soient les épreuves que nous rencontrons, veillons à toujours obéir entièrement à Dieu, et gardons-le constamment devant nous. – TG2008 15/2 p5 Quelques années plus tard, Caleb déclara : “ Moi, j’ai pleinement suivi Jéhovah mon Dieu. [...] Et maintenant, voilà que Jéhovah m’a gardé en vie, comme il l’a promis, ces quarante-cinq ans depuis que Jéhovah a fait cette promesse à Moïse, alors qu’Israël marchait dans le désert ; et maintenant, voilà que je suis âgé aujourd’hui de quatre-vingt-cinq ans. Pourtant je suis aussi fort aujourd’hui qu’au jour où Moïse m’a envoyé. Telle ma force alors, telle ma force à présent. ” (Josué 14:6-11). Remarquez l’attitude positive de Caleb, sa fidélité et ses capacités physiques. Ce n’est pourtant pas lui que Jéhovah avait choisi pour succéder à Moïse. Ce privilège échut à Josué. Nous pouvons être sûrs que Jéhovah avait ses raisons, et que ce choix était le meilleur. Cet exemple montre que nous devons faire attention à ne pas juger sur les apparences. Si nous mettons notre confiance en Jéhovah, nous ne douterons pas de ses choix. . Bien que sa congrégation terrestre soit composée d’humains imparfaits, qui ne prétendent pas à l’infaillibilité, il les utilise d’une manière puissante. Jéhovah confie certaines responsabilités à des individus qu’il choisit parce qu’ils ont les qualités particulières nécessaires pour guider son peuple de la manière dont il le souhaite à une époque donnée. Nous devrions nous efforcer d’accepter ce fait, ne trouvant pas à redire aux choix de Dieu, mais étant humblement satisfaits de servir Jéhovah là où il nous place individuellement. De la sorte, nous montrons que nous faisons vraiment de Jéhovah notre confiance – TG1998 15/8 Lorsque des influences extérieures menacent notre identité chrétienne, rappelons-nous que notre fidélité à Dieu est bien plus importante que le qu’en-dira-t-on ou les choix adoptés par la majorité des gens qui nous entourent. Les paroles d’Exode 23:2 constituent une règle efficace de protection : “ Tu ne dois pas suivre la foule dans une intention mauvaise. ” Quand la plupart des Israélites ont douté de la capacité de Jéhovah de tenir ses promesses, Caleb a résolument refusé de se rallier à eux. Il était certain que les promesses divines étaient dignes de confiance, et il a été abondamment récompensé pour sa prise de position (Josué 14:6-11). Et vous ? Êtes-vous bien décidé à résister à la pression du plus grand nombre afin de préserver vos relations avec Dieu ? – TG2005 15/2 p17 §12 En persévérant courageusement dans la prédication du Royaume malgré les limites que leur impose le passage des ans, les chrétiens âgés marchent sur les traces de Caleb, un Israélite fidèle qui a accompagné Moïse dans le désert pendant quatre décennies. Caleb avait 79 ans quand il a traversé le Jourdain pour entrer en Terre promise. Au bout de six années de combats victorieux dans l’armée d’Israël, il aurait pu se reposer sur ses lauriers. Mais non. Il a courageusement demandé qu’on lui confie la mission difficile consistant à s’emparer des “ grandes villes fortifiées ” de la région montagneuse de Juda, une région habitée par les Anaqim, des hommes d’une taille exceptionnelle. Et avec l’aide de Jéhovah, Caleb y est arrivé ; il les a ‘ dépossédés, comme Jéhovah l’avait promis ’. (Josué 14:9-14 ; 15:13, 14.) Soyez assuré que Jéhovah est avec vous, comme il l’était avec Caleb, tandis que vous continuez à produire le fruit du Royaume dans votre vieillesse. Et si vous lui restez fidèle, il vous accordera une place dans le monde nouveau qu’il a promis. — TG2004 15/5 p10 §8 Pour nous préparer pour le monde nouveau, nous devons apprendre à être satisfaits et à coopérer avec l’organisation de Jéhovah et les uns avec les autres. Par exemple, quand on nous donne un nouveau rôle ou une nouvelle activité, coopérons de bon cœur en faisant de notre mieux pour être joyeux et satisfaits. Si nous apprenons maintenant à coopérer avec ceux qui nous dirigent, nous ferons sans doute pareil dans le monde nouveau. Quand les Israélites sont arrivés en Terre promise, ils se sont installés là où Jéhovah leur a dit d’habiter. Josué 14 :1,2. Nous ne savons pas où on nous dira d’habiter dans le monde nouveau. Mais si nous apprenons à coopérer, nous serons heureux de faire la volonté de Jéhovah peu importe où nous habiterons. – TG2015 15/8 p19
  11. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 11 Octobre 2021 - Josué 10-11.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 11 Octobre 2021 - Josué 10-11.pdf Perles spirituelles (10 min) : Josué 10-11 Josué 10:13 : Pourquoi n’avons-nous pas besoin de connaître le contenu du « livre de Jashar » ? (w09 15/3 32 § 5). « Le soleil se tint donc immobile et la lune ne bougea plus jusqu’à ce que la nation d’Israël ait pu se venger de ses ennemis. Cet évènement est raconté dans le livre de Jashar. Le soleil resta immobile au milieu du ciel et, pendant presque un jour entier, il ne se dépêcha pas de se coucher. » Le fait que certains livres soient mentionnés dans la Bible et qu’ils aient été des sources fiables ne doit pas nous amener à conclure qu’ils étaient inspirés. Par contre, Jéhovah Dieu a préservé tous les écrits contenant “ la parole de notre Dieu ”, et ceux-ci “ dureront pour des temps indéfinis ”. (Is. 40:8.) Effectivement, les renseignements que Jéhovah a choisi de faire figurer dans les 66 livres bibliques dont nous disposons sont exactement ce dont le chrétien a besoin pour être “ pleinement qualifié, parfaitement équipé pour toute œuvre bonne ”. — 2 Tim. 3:16, 17. - w09 15/3 32 § 5 Le livre de Jashar. Ce livre est mentionné en Josué 10:12, 13, passage dans lequel Josué prie pour que le soleil et la lune s’arrêtent pendant son combat contre les Amorites, ainsi qu’en 2 Samuel 1:18-27 où on trouve un poème intitulé “ L’Arc ”, un chant funèbre sur Saül et Jonathan. On pense donc que ce livre était un recueil de poèmes, de chants et d’autres textes. Ils étaient assurément d’un grand intérêt historique et largement diffusés parmi les Hébreux – it-2 p149 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Comment un phénomène de ce genre est-il possible ? “ Y a-t-il quelque chose qui soit trop extraordinaire pour Jéhovah ”, le Créateur des cieux et de la terre ? S’il le souhaite, Jéhovah peut agir sur le mouvement de la terre de telle sorte que, vus du sol, le soleil et la lune semblent immobiles. Ou bien, sans interrompre le mouvement de la terre et de la lune, il peut faire que les rayons provenant du soleil et de la lune soient déviés afin que leur lumière continue d’atteindre la terre. Quelle que soit l’explication, “ il n’y eut pas de jour comme celui-là ” à un autre moment de l’Histoire. — Josué 10:14. – TG2004 1/12 p11 Le soleil et la lune s’immobilisent. Lorsque Jéhovah agit en faveur des Guibéonites assiégés, des Cananéens qui avaient foi en lui, il prolongea l’attaque d’Israël contre les forces qui les encerclaient en faisant que le soleil et la lune se maintiennent dans leurs positions telles qu’elles étaient perçues sur le champ de bataille, de sorte que le coucher du soleil fut retardé de près d’un jour (Jos 10:1-14). On peut certes comprendre que la terre s’arrêta de tourner, mais cela put également se faire par d’autres moyens, par exemple la réfraction de la lumière du soleil et de la lune de manière à produire le même effet. Quelle qu’ait été la méthode employée, l’événement démontra une fois de plus que “ tout ce que Jéhovah a pris plaisir à faire, il l’a fait, dans les cieux et sur la terre, dans les mers et dans tous les abîmes d’eau ”. Il ne nous appartient pas de discuter sur la façon dont Jéhovah a opéré ce miracle, pas plus que nous ne nous interrogeons sur la manière dont il a ‘fait’ les deux grands luminaires le quatrième “jour” de sa création – it-1 p916 A Gabaon. Jéhovah jette la confusion parmi les ennemis; Israël les poursuit et les abat par un grand carnage. Mais qu’est-ce qui tombe du ciel? D’énormes pierres de grêle, qui font davantage de victimes que les guerriers israélites. C’est alors que Josué parle à Jéhovah. Voici ce qu’il dit “devant les yeux d’Israël”: “Soleil, sois immobile sur Gabaon, et, lune, sur la basse plaine d’Aijalon.” Il se produit en effet un autre miracle stupéfiant. “Environ un jour entier” le soleil éclaire le champ de bataille jusqu’à ce que la vengeance de Dieu soit complètement exécutée. Il ne nous appartient pas de discuter sur la façon dont Jéhovah a opéré ce miracle, pas plus que nous ne nous interrogeons sur la manière dont il a ‘fait’ les deux grands luminaires le quatrième “jour” de sa création. Le récit se termine ainsi: “Il n’y eut pas de jour comme celui-là ni avant, ni après lui, en ce que Jéhovah écouta la voix d’un homme, car Jéhovah lui-même combattait pour Israël.” — Josué 10:10-14. Les opérations de purification se terminent par l’exécution des cinq rois, après que Josué a dit à ses commandants: “N’ayez pas peur et ne soyez pas terrifiés. Soyez courageux et forts, car c’est ainsi que Jéhovah fera à tous vos ennemis contre lesquels vous faites la guerre.” Cela s’était déjà révélé exact avec sept rois de Canaan, et il en irait de même avec le renversement d’un nombre complet de 24 royaumes. Ce n’est donc qu’après six années de guerre que le pays connaîtrait le repos. Josué 10:16-25 Aujourd’hui, alors que nous sommes tout près de la guerre finale d’Armaguedon, soyons courageux et forts comme l’ont été Josué, ses hommes puissants et tout le vaste camp d’Israël. Nous pouvons avoir l’assurance que, tout comme il a fait entrer sains et saufs en Terre promise plusieurs millions d’Israélites, Jéhovah sera capable d’opérer d’autres miracles redoutables en conduisant ses millions de serviteurs au travers d’Armaguédon jusque dans le nouveau système qu’il établira. - TG1986 15/12 p. 23 §12 Bien que Josué et les autres chefs aient été amenés par ruse à conclure une alliance avec les Guibéonites, cela s’accordait sans doute avec la volonté de Jéhovah (Jos 11:19). La preuve en est que lorsque cinq rois amorites voulurent détruire les Guibéonites, Jéhovah bénit l’opération de secours d’Israël ; il lança même de gros grêlons sur l’ennemi et prolongea miraculeusement le jour pour la bataille (Jos 10:1-14). Qui plus est, en cherchant à faire une alliance de paix avec Israël et en demandant l’aide de Josué quand ils furent menacés, les Guibéonites montrèrent qu’ils avaient foi en la capacité qu’avait Jéhovah de tenir parole et de les délivrer ; pour la même raison, Rahab de Jéricho reçut des éloges, et elle et sa maisonnée eurent la vie sauve. Par ailleurs, les Guibéonites avaient une crainte salutaire du Dieu d’Israël. Jos 10:6 – it-1 p1046 Mettre sa main ou son pied sur la nuque de ses ennemis était un geste symbolique qui montrait que ceux-ci étaient vaincus, qu’ils avaient été mis en déroute et en fuite, et qu’on les avait poursuivis et rattrapés. Jos 10:24 « Quand ces rois furent devant lui, Josué convoqua tous les hommes d’Israël et il dit aux commandants des combattants qui l’avaient accompagné : « Approchez. Posez le pied sur la nuque de ces rois. » Ils s’approchèrent donc et mirent leurs pieds sur leurs nuques » it-1 Gestes Comme armes de guerre, Jéhovah utilisera les forces de la création: pluies torrentielles qui inondent, pierres de grêle capables de tuer, averses de feu et de soufre, jaillissement des eaux de l’abîme et éclairs aveuglants. Quand Dieu fera flamboyer ses armes meurtrières contre ses ennemis, la lumière sera si intense de jour comme de nuit, que le soleil et la lune ne paraîtront plus nécessaires. Ce sera comme s’ils s’étaient arrêtés, comme si, ayant cessé de fonctionner en tant que luminaires, ils abandonnaient aux éblouissants missiles de Jéhovah le rôle de sources de lumière. Jéhovah dispose d’éléments naturels en abondance pour le jour du combat. En ce jour-là, le carnage sera très grand, car les forces engagées aux côtés de Satan dans ce combat seront considérables. En vérité, ce sera une guerre universelle, car aucune région de la terre n’échappera à la destruction. — Josué 10:11 « Pendant qu’ils fuyaient devant les Israélites dans la descente de Beth-Horôn, Jéhovah fit tomber du ciel de gros grêlons sur eux jusqu’à Azéka, et ils moururent. En réalité, les soldats qui furent tués par les grêlons furent plus nombreux que ceux que les Israélites tuèrent par l’épée. » Quand Jéhovah s’est servi de la grêle contre ses ennemis à Guibéôn, “ plus nombreux furent ceux qui moururent par les pierres de grêle que ceux que les fils d’Israël tuèrent par l’épée ”. - ws chap19 §9 Juste avant de pénétrer en Canaan, les Israélites ont reçu cette assurance de la bouche de Moïse : “ C’est Jéhovah votre Dieu qui marche devant vous. Il combattra pour vous, selon tout ce qu’il a fait avec vous en Égypte. ” (Deutéronome 1:30 ; 20:1). De fait, sous Josué pendant la période des juges, et jusque sous les rois fidèles de Juda, Jéhovah a combattu pour ses serviteurs, leur donnant de nombreuses victoires retentissantes. — Josué 10:1-14 Jéhovah n’a pas changé ni n’a renoncé à faire de la terre un paradis paisible. Sa haine de la méchanceté est intacte, et il aime infiniment ses serviteurs, en faveur de qui il interviendra sous peu. Attendons-nous en effet à ce que l’inimitié annoncée en Genèse 3:15 atteigne prochainement son paroxysme de façon spectaculaire et violente. Pour sanctifier son nom et protéger son peuple, Jéhovah se fera alors une nouvelle fois “ guerrier ”. — cl chap6 Peu après s’être rangés du côté du peuple de Jéhovah, les Gabaonites furent soumis à une épreuve très sévère. Cinq rois amorites mirent le siège devant leur ville pour les forcer à se joindre à eux dans leur lutte contre Israël. Les Gabaonites envoyèrent de toute urgence à Josué un message par lequel ils le suppliaient de venir à leur secours. Leur délivrance fut un des événements les plus spectaculaires de toute l’histoire. Jéhovah jeta la confusion parmi les ennemis d’Israël, lança des cieux des grêlons sur eux et prolongea miraculeusement la durée du jour jusqu’à ce qu’Israël les eût mis en déroute (Josué 10:1-14). Cette délivrance des Gabaonites annonçait prophétiquement celle, beaucoup plus extraordinaire, que connaîtront la grande foule des adorateurs du vrai Dieu à la bataille universelle d’Har-Maguédon. Des gens de toutes les nations pourront, s’ils agissent sagement dès maintenant, bénéficier de cette délivrance. Faites-vous ce qu’il faut pour être de leur nombre ? 13 Étant donné que nous vivons très près de la fin des “derniers jours”, quiconque désire survivre doit agir sans tarder et en toute sincérité; cela est vital. — su chap7 §13 La Bible cite les paroles qu’adressa une femme de Jéricho à deux jeunes espions israélites: “La frayeur que vous inspirez s’est abattue sur nous, et (...) tous les habitants du pays se sont démoralisés à cause de vous. Car nous avons entendu comment Jéhovah a desséché devant vous les eaux de la mer Rouge, quand vous êtes sortis d’Égypte, et ce que vous avez fait aux deux rois des Amorites qui étaient de l’autre côté du Jourdain, à savoir Sihon et Og, que vous avez voués à la destruction. Quand nous l’avons entendu, alors notre cœur a commencé à fondre et le courage n’est encore revenu chez personne à cause de vous.” — Josué 2:9-11. Les habitants de Canaan étaient en effet remplis d’une terreur qui leur ôtait tout courage. Cependant, cela ne les a pas incités à éprouver une crainte salutaire de Dieu. Ils ont endurci leurs cœurs et appelé leurs armées au combat. La Bible nous dit: “Il n’y eut pas une ville qui fit la paix avec les fils d’Israël, sauf les Hivites qui habitaient Gabaon. Toutes les autres, ils les prirent par la guerre. Car cela s’avérait être la façon de faire de Jéhovah, de laisser s’obstiner leur cœur pour déclarer la guerre à Israël.” — Josué 11:19, 20. – TG1978 15/11
  12. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 4 Octobre 2021 - Josué 8-9.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 4 Octobre 2021 - Josué 8-9.pdf Perles spirituelles (10 min) : Josué 8-9 Josué 8:29 : Pourquoi le roi d’Aï a-t-il été pendu à un poteau ? (it-2 523). « Il pendit le cadavre du roi d’Aï à un poteau jusqu’au soir. Au moment où le soleil était sur le point de se coucher, il ordonna qu’on descende le cadavre du poteau. Puis on le jeta à l’entrée de la porte de la ville et on éleva sur lui un grand tas de pierres. Ce tas s’y trouve encore aujourd’hui. » Sous la loi que Jéhovah donna à Israël, certains criminels pouvaient être pendus à un poteau après leur mise à mort, comme ‘ maudits de Dieu ’ ; cette exposition publique devait servir d’avertissement. Toutefois, le corps devait être dépendu avant la tombée de la nuit et enterré ; le laisser toute la nuit sur le poteau souillait le sol que Dieu avait donné aux Israélites (Dt 21:22, 23). Israël suivit cette règle même quand la personne exécutée n’était pas israélite. — it-2 p523 Après son exécution, le coupable était pendu à un bois, puis il est dit de lui que c’était un cadavre. La pendaison de son corps à un bois ajoutait à la malédiction du supplice et servait d’exemple pour éviter à d’autres une fin aussi malheureuse causée par la désobéissance. A noter qu’il est dit qu’on descendit le cadavre et non la personne vivante. Si le criminel avait été pendu vivant au bois, il eût été vivant quand on l’aurait descendu, comme les voleurs pendus aux côtés de Jésus. . La coutume juive, par contre, était de tuer d’abord celui qu’on allait pendre au bois. L’enlèvement du corps au coucher du soleil empêchait son gonflement, sa décomposition et sa défiguration pendant la nuit par les bêtes sauvages. – TG1952 p367 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Après la destruction de Jéricho et de Aï, les Israélites se rassemblèrent au mont Ébal, au centre de la Terre promise. Là, Josué fit ce qui était ordonné et écrivit sur les pierres d’un autel “ une copie de la loi de Moïse ”. (Josué 8:30-32.) Ce travail exigeait des personnes sachant lire et écrire. Tout cela amène à la conclusion que les Israélites avaient, dès le début de leur histoire, les connaissances et les compétences nécessaires pour préserver fidèlement leurs textes sacrés. Après les jours de Moïse et de Josué, on rédigea en hébreu d’autres rouleaux, dont on fit des copies à la main. À mesure que ces copies se détérioraient en raison de l’humidité, il fallait les remplacer. Le travail de copie se poursuivit pendant des siècles. Pour les chrétiens, la façon dont Jésus Christ considérait les premiers livres de la Bible confirme l’intégrité textuelle des Saintes Écritures. Des remarques telles que : “ N’avez-vous pas lu dans le livre de Moïse ? ” ou : “ N’est-ce pas Moïse qui vous a donné la Loi ? ” montrent que Jésus jugeait dignes de foi les copies manuscrites disponibles quand il était sur la terre. Par ailleurs, il a confirmé l’intégrité de l’ensemble des Écritures hébraïques lorsqu’il a dit : “ Il fallait que s’accomplissent toutes les choses qui sont écrites à mon sujet dans la loi de Moïse et dans les Prophètes et les Psaumes. ” Nous avons donc de solides raisons de croire que les Saintes Écritures ont été transmises fidèlement depuis les temps anciens. TG2007 15/3 p18 Nous pourrions comparer ces discours bibliques à la lecture de la Loi de Dieu, au temps où la nation d’Israël se réunissait en un vaste auditoire pour l’entendre. L’une de ces réunions eut lieu peu de temps après la traversée du Jourdain et l’entrée en Terre promise. Après la chute des villes de Jéricho et d’Aï, les Israélites se rassemblèrent dans une vallée étroite séparant le mont Garizim du mont Ébal. Josué se tenait en un endroit favorable, probablement sur le flanc du mont Ébal où il avait bâti un autel, et il lut la Loi de Dieu en présence de toute l’assemblée (Josué 8:30-35). La voix humaine pouvait sans peine franchir cette étroite vallée. Ce que les Israélites entendaient leur remettait en mémoire les exigences divines les concernant, leur rappelant qu’ils dépendaient de Dieu. Il en va de même des discours bibliques de notre époque. – TG1969 15/9 p556 §20 Jadis, comme on ne disposait pas d’exemplaires individuels des Écritures, on procédait à des lectures publiques. Ainsi, après que Jéhovah lui eut donné la victoire sur la ville de Aï, Josué rassembla les tribus d’Israël devant le mont Ébal et le mont Guerizim, puis, dit le récit, “ il lut à haute voix toutes les paroles de la loi, la bénédiction et la malédiction, selon tout ce qui est écrit dans le livre de la loi. Il n’y eut pas une parole de tout ce qu’avait ordonné Moïse que Josué ne lût à haute voix devant toute la congrégation d’Israël, avec les femmes, les petits et les résidents étrangers qui marchaient au milieu d’eux ”. (Josué 8:34, 35.) Jeunes et vieux, Israélites et résidents étrangers, tous avaient besoin de graver dans leur cœur et leur esprit quelle conduite leur assurerait la bénédiction de Jéhovah et laquelle leur ferait encourir sa désapprobation. La lecture régulière de la Bible nous aidera nous aussi sous ce rapport. De nos jours, des millions de serviteurs de Jéhovah ressemblent, spirituellement parlant, à ces “ résidents étrangers ”. Ayant cessé de se conformer aux critères du monde, ils ont transformé leurs vies, mais ont constamment besoin de se rappeler les normes divines du bon et du mauvais. D’où l’utilité pour eux de lire la Parole de Dieu chaque jour. Il y a également parmi nous de nombreux “ petits ” à qui les parents ont enseigné les normes de Jéhovah, mais qui ont besoin de se convaincre que Sa volonté est juste. Comment le peuvent-ils ? En Israël, les prêtres et les anciens avaient reçu cette instruction : “ Tu liras cette loi devant tout Israël, à leurs oreilles. Rassemble le peuple, les hommes, les femmes et les petits, ainsi que ton résident étranger qui est dans tes portes, afin qu’ils écoutent et afin qu’ils apprennent, car ils devront craindre Jéhovah votre Dieu et avoir soin d’appliquer toutes les paroles de cette loi. Et leurs fils, qui ne savaient pas, devront écouter, et ils devront apprendre à craindre Jéhovah votre Dieu. ” (Deutéronome 31:11-13). TG2000 1/10 p9-10 Une confrontation décisive se préparait. Jéricho, la porte de Canaan, avait été détruite, tout comme la fausse religion sera dévastée lorsque débutera la “grande tribulation”. Aï était tombée. Mais maintenant “tous les rois qui se trouvaient du côté du Jourdain dans la région montagneuse, et dans la Séphélah, et sur toute la côte de la Grande Mer, et vis-à-vis du Liban, (...) commencèrent à se réunir tous ensemble pour faire la guerre, d’un commun accord, contre Josué et contre Israël”. (Josué 9:1, 2.) Parallèlement, à notre époque nous voyons maintenant les nations de la terre rassemblées au sein des Nations [prétendues] unies. Elles recherchent la paix et la sécurité pour elles-mêmes et à leurs conditions, mais elles ‘se sont massées comme un seul contre Jéhovah et contre son oint’, le Grand Josué – TG1986 15/12 p22 L’imperfection pourrait nous conduire à prendre des décisions sans rechercher la direction de Jéhovah. Considérons ce qui s’est passé quand des Guibéonites sont venus trouver Josué et les anciens d’Israël. Avec ruse, ils s’étaient déguisés et prétendaient arriver d’un pays lointain. Sans interroger Jéhovah, les chefs de la nation ont conclu une alliance de paix avec eux. Même si au final Jéhovah a béni l’accord, il a fait en sorte que cet épisode, où ses serviteurs n’ont pas recherché sa direction, soit consigné dans la Bible pour notre profit. — Jos. 9:3-6, 14, 15. – TG2011 15/11 p8 Dans ses relations avec l’humanité, Jéhovah a eu la patience de permettre à des individus et à des nations de continuer à exister alors qu’ils méritaient la mort. Certains réagirent de la bonne manière en faisant le nécessaire pour bénéficier de sa miséricorde (Jos 2:8-14 ; 6:22, 23 ; 9:3-15), tandis que d’autres s’endurcirent davantage encore dans leur opposition à Jéhovah et à son peuple. Puisque Jéhovah n’empêche pas les individus de s’obstiner dans leur conduite, il est dit de lui qu’il ‘ les laisse s’obstiner ’ ou qu’il ‘ endurcit leur cœur ’. Quand finalement il exécute la vengeance sur les obstinés, cela a comme conséquences de manifester son grand pouvoir et de faire proclamer son nom – it-2 Obstination p431 Ils ont agi avec perspicacité - Comme Rahab avant eux, d’autres non-Israélites commencèrent à s’intéresser à leur survie. Il s’agissait des habitants de Gabaon, une ville importante au nord de Jérusalem. Ayant entendu parler des actes de puissance de Jéhovah, ils avaient décidé de rechercher la paix et la sécurité aux conditions voulues par Jéhovah. Mais comment? Ils envoyèrent au camp d’Israël, à Guilgal, des hommes avec des provisions sèches et émiettées, des outres et des sacs usés, et portant des sandales et des vêtements rapiécés. Étant arrivés jusqu’à Josué, ces hommes lui dirent: “C’est d’un pays très lointain que sont venus tes serviteurs, en considération du nom de Jéhovah, ton Dieu, car nous avons appris sa renommée.” Alors “Josué fit la paix avec eux et conclut avec eux une alliance pour les laisser vivre”. — Josué 9:3-15. Mais les Israélites ne tardèrent pas à apprendre qu’en réalité ces hommes “habitaient dans leurs environs”. Comment Josué allait-il réagir devant cette ruse? Il honora le serment qu’il leur avait fait, Josué conclut une alliance avec eux “ pour les laisser vivre ”.et on décida qu’‘ils vivraient et deviendraient abatteurs de bois et puiseurs d’eau pour toute l’assemblée’. Josué 9:16-27. Bon nombre des Néthinim qui, des années plus tard, servaient au temple de Jéhovah descendaient probablement de ces Gabaonites. Ceux-ci peuvent très bien préfigurer la “grande foule” des humains qui, à notre époque, servent Dieu “par un service sacré, jour et nuit, dans son temple”. Bien que vivant dans un monde comparable à Canaan, en réalité ‘ils n’en font pas partie’. Dans le passé, ils ont dû se contenter de ‘miettes’ spirituelles, celles qu’offrent les Églises de la chrétienté. Étant entrés en contact avec le peuple de Dieu, ils ont constaté que Jéhovah opère des actes de puissance par le moyen de ses Témoins. Ils ont parcouru un long chemin depuis le monde de Satan pour échanger leurs “vêtements” en loques contre quelque chose de nouveau qui les identifie à d’humbles serviteurs de Jéhovah, ayant revêtu la nouvelle personnalité. - TG1986 15/12 p22 Les Guibéonites ont réclamé la paix à Josué, qui a alors fait d’eux des “ puiseurs d’eau ”. (Josué 9:3-7, 23.) Pourquoi une telle fonction ? Samuel 2:13 et Jérémie 41:12 rapportent que Guibéôn abondait en eau. Conformément à ces extraits bibliques, un ouvrage affirme : “ La particularité la plus notable de Guibéôn est en fait son riche approvisionnement en eau, dû à la présence d’une source principale et de sept sources secondaires. ” — Archaeological Study Bible, - RV2012/5 p18 Les Guibéonites ne voulaient pas mourir en Cananéens maudits. Ils envoyèrent des représentants auprès de Josué. Ceux-ci affirmèrent qu’ils venaient de plus loin que le territoire cananéen, afin de conclure un traité d’amitié avec les Hébreux. Ces représentants déclarèrent : “ C’est d’un pays très lointain que sont venus tes serviteurs, à propos du nom de Jéhovah ton Dieu. ” (Josué 9:3-9). Leurs vêtements et leur nourriture semblaient le confirmer, alors qu’en réalité Guibéôn n’était qu’à une trentaine de kilomètres de Guilgal. Convaincus, Josué et les chefs conclurent un traité d’amitié avec Guibéôn et les villes voisines qui y étaient associées. La ruse des Guibéonites n’était-elle qu’un moyen de fuir la destruction ? En fait, elle traduisait leur désir de gagner la faveur du Dieu d’Israël. Jéhovah accepta que les Guibéonites deviennent “ ramasseurs de bois et puiseurs d’eau pour l’assemblée et pour l’autel de Jéhovah ” : ils devaient alimenter en bois l’autel des sacrifices (Josué 9:11-27). Les Guibéonites continuèrent de se montrer disposés à effectuer des tâches humbles au service de Jéhovah. Certains furent probablement au nombre des Nethinim qui revinrent de Babylone et qui servirent au temple rebâti. Nous pouvons imiter leur état d’esprit en nous efforçant de demeurer en paix avec Dieu et en étant prêts à accomplir même des tâches humbles à son service. – TG2004 15/10 p18 Alarmés par l’avancée rapide des envahisseurs, un certain nombre de petits royaumes cananéens s’allient pour arrêter la progression de Josué. Mais lorsque ‘ les habitants de Guibéôn apprennent ce que Josué a fait à Jéricho et à Aï, ils agissent avec astuce ’. (Jos. 9:3, 4.) Comme ils prétendent venir d’un pays très éloigné de Canaan, Josué conclut une alliance avec eux “ pour les laisser vivre ”. Quand la ruse est découverte, les Israélites honorent leur alliance, mais établissent les Guibéonites comme “ ramasseurs de bois et puiseurs d’eau ”, c’est-à-dire ‘ les derniers des esclaves ’, réalisant ainsi en partie la malédiction d’inspiration divine prononcée par Noé sur Canaan, le fils de Cham. — Jos. 9:15, 27 - Toute écriture, p44
  13. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 27 Septembre 2021 - Josué 6-7.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 27 Septembre 2021 - Josué 6-7.pdf Perles spirituelles (10 min) : Josué 6-7 Josué 6:20 : Quelle preuve avons-nous que l’antique Jéricho n’a pas subi un long siège avant d’être conquise ? (w15 15/11 13§ 2-3 « Alors, quand les cors retentirent, les soldats crièrent. Dès que les soldats entendirent le son du cor et qu’ils poussèrent un grand cri de guerre, la muraille s’effondra. Puis les soldats entrèrent dans la ville, chacun droit devant soi, et ils prirent la ville. » Selon Josué 6:10-15, 20, les armées israélites ont fait le tour de Jéricho une fois par jour pendant six jours. Le septième jour, ils en ont fait sept fois le tour et Dieu a provoqué l’effondrement de ses murailles impressionnantes. Les Israélites ont alors pu pénétrer dans la ville et la conquérir. L’archéologie confirme-t-elle ce que nous apprend la Bible sur la brièveté du siège de Jéricho ? Dans l’Antiquité, il était courant que des assaillants assiègent une ville fortifiée. Quelle qu’ait été la durée d’un siège, les vainqueurs pillaient les richesses de la ville, y compris ses dernières réserves de nourriture. Mais dans les ruines de Jéricho, les archéologues ont découvert d’importantes réserves de nourriture. À ce propos, une revue spécialisée déclare : « À part des poteries, ce qu’on a trouvé en plus grande quantité dans les ruines, ce sont des céréales. [...] C’est un fait hors du commun dans les annales de l’archéologie palestinienne. On trouve parfois une ou deux jarres de grains, mais trouver une aussi grande quantité de céréales, c’est exceptionnel » (Biblical Archaeology Review). Selon le récit biblique, les Israélites avaient une bonne raison de ne pas piller les réserves de Jéricho. Jéhovah leur avait ordonné de ne pas le faire. Ils ont attaqué au printemps, juste après la moisson, quand les réserves de céréales sont importantes. Le fait qu’il soit resté autant de céréales à Jéricho indique que le siège tenu par les Israélites a été de courte durée, exactement comme le rapporte la Bible.- w15 15/11 13§ 2-3 Dans les ruines de Jéricho, les archéologues ont trouvé de grandes réserves de grain. Puisque toute la nourriture n’a pas été consommée, on peut en conclure que la ville n’a pas été assiégée longtemps. Cela confirme le récit biblique, qui indique que le siège a été court et que les Israélites n’ont pas été autorisés à manger la nourriture de Jéricho. Fait intéressant, c’était l’époque de la moisson ; le moment était donc bien choisi pour conquérir le pays, car les Israélites pourraient largement trouver de quoi se nourrir dans les champs – TG2018/10 Des fouilles ont permis de découvrir que les maisons de l’ancienne ville de Jéricho contenaient d’abondantes réserves de grain. Ce détail est intéressant, car la Bible indique que Jéricho est tombée peu de temps après la moisson du printemps, et sans avoir subi de siège prolongé (Josué 3:14-16). Cela explique pourquoi les maisons de Jéricho étaient bien approvisionnées en grain quand la ville a été détruite. – TG1990 15/7 p7 Dans le passé, une armée faisait le siège d’une ville, autrement dit elle l’assiégeait, quand elle s’installait autour de ses murs avant de l’attaquer. Quand le siège durait longtemps, les habitants de la ville mangeaient presque toute la nourriture qu’ils avaient en réserve. Finalement, quand les soldats prenaient la ville, ils pillaient tout ce qu’ils voulaient, même la nourriture qui restait. - ws2015 15/11 p15 Maintenant que l’organisation pleine d’ardeur de Jéhovah arrive dans les dernières années de son activité de prédication en faveur du monde l’œuvre va sans doute prendre de l’extension. Rappelez-vous ce que les Israélites reçurent ordre de faire juste avant que Dieu détruisît Jéricho. Tout d’abord, Dieu leur avait demandé de faire le tour de la ville une fois par jour pendant six jours. Mais il leur avait dit ensuite: “Et le septième jour vous devrez marcher sept fois autour de la ville et les prêtres devront sonner des cors. Et il devra arriver, lorsqu’ils sonneront de la corne du bélier, lorsque vous entendrez le son du cor, que tout le peuple devra pousser un grand cri de guerre; et la muraille de la ville devra s’écrouler sur elle-même.” — Josué 6:2-5. Le septième et dernier jour, les Israélites devaient déployer une activité sept fois plus grande, puis “pousser un grand cri de guerre”. Ils observèrent les instructions à la lettre. “Et il advint, le septième jour, qu’ils se levèrent de bonne heure, dès le lever de l’aurore, et ils marchèrent autour de la ville, de la même façon, sept fois. (...) Et il advint, à la septième fois, que les prêtres sonnèrent des cors, et Josué dit au peuple: ‘Criez, car Jéhovah vous a livré la ville!’ (...) Et il advint, dès que le peuple eut entendu le son du cor et que le peuple se fut mis à pousser un grand cri de guerre, que la muraille s’écroula alors sur elle-même.” — Josué 6:15, 16, 20. Nous pouvons nous attendre aujourd’hui, arrivés au point culminant de l’Histoire, à une expansion semblable de notre activité de prédication. Sans doute assisterons-nous d’ici la fin de la “grande tribulation” au plus grand témoignage jamais rendu en faveur du nom de Dieu et de son Royaume. Si le témoignage comporte actuellement une invitation à trouver refuge dans l’organisation de Jéhovah, le temps viendra sans doute où le ton se durcira et où le message deviendra un “grand cri de guerre”. Révélation 16:21 dit qu’une “grande grêle, — chaque grêlon du poids d’un talent environ [45 kilos], — est descendue du ciel sur les hommes, et les hommes ont blasphémé Dieu à cause de la plaie de la grêle, car la plaie en était particulièrement grande”. Les grêlons sont de l’eau gelée. Ils illustrent donc bien le fait qu’à la fin, le message judiciaire de Jéhovah tombera sur l’humanité désobéissante comme une pluie battante de grêlons. Le fait que la plaie de la grêle est qualifiée de “particulièrement grande” sous-entend qu’en tout dernier lieu, les serviteurs de Jéhovah proclameront l’annonce sévère du “jour de vengeance” de Jéhovah. – TG1982 1/3 p21 Quelle évolution l’œuvre de prédication connaîtra-t-elle encore ? Le siège de Jéricho, relaté dans le livre de Josué, nous en donne un aperçu. Souvenez-vous que juste avant que Dieu ne détruise Jéricho, les Israélites ont reçu l’ordre de marcher autour de la ville une fois par jour, pendant six jours. Le septième jour, toutefois, leur activité devait s’intensifier nettement. Jéhovah a dit à Josué : “ Vous marcherez sept fois autour de la ville, et les prêtres sonneront du cor. Et voici ce qui devra arriver : quand ils feront retentir la corne de bélier, [...] il faudra que tout le peuple pousse un grand cri de guerre ; la muraille de la ville devra tomber sur place. ” (Jos. 6:2-5). Il se peut que l’œuvre de prédication s’intensifie pareillement. Quoi qu’il en soit, lorsque l’heure de la destruction du système de choses actuel sera venue, nous aurons assisté au plus grand témoignage qui, dans toute l’histoire de l’humanité, aura été donné en l’honneur du nom de Dieu et de son Royaume. Le moment viendra peut-être où notre message sera comme “ un grand cri de guerre ”. Quel rôle le ministère de maison en maison jouera-t-il dans la proclamation de ces ultimes messages de jugement ? Nous ne le savons pas encore. Mais ce dont nous pouvons être sûrs, c’est qu’avant la fin de “ la grande tribulation ”, le nom de Jéhovah aura été rendu public comme jamais dans toute l’histoire humaine. – TG2008 15/7 §15 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? L’ange a donné à Josué des instructions précises sur la façon de conquérir Jéricho. Au début, certaines d’entre elles ont pu sembler étranges. Les soldats se sont peut-être demandé : « Comment allons-nous pouvoir protéger nos familles si des ennemis attaquent le camp ? » Mais au lieu d’attaquer les Israélites, les hommes de Jéricho ont eu peur d’eux. Le récit rapporte : « Les portes de Jéricho étaient solidement fermées à cause des Israélites ; personne ne sortait de la ville et personne n’y entrait » (Jos. 6:1). Ce renversement de situation a dû renforcer la confiance des Israélites en la direction de Dieu, Les Israélites ont aussi reçu l’instruction de ne pas engager le combat contre Jéricho. Au lieu de cela, ils devaient marcher autour de la ville une fois par jour pendant six jours, puis sept fois le septième jour. Certains soldats se sont peut-être dit que c’était une perte de temps et d’énergie. Mais le Chef invisible d’Israël, Jéhovah, savait exactement ce qu’il faisait. Cette stratégie a évité aux Israélites de combattre les soldats de Jéricho. Ils ont ainsi pu voir qu’il est sage d’obéir aux instructions de Jéhovah, et cela a renforcé leur foi (Jos. 6:2-5). Qu’apprenons-nous de ce récit ? Parfois, l’organisation prend des décisions que nous ne comprenons pas forcément. Par exemple, au début, nous nous sommes peut-être demandé si c’était vraiment une bonne idée d’utiliser des supports électroniques pour l’étude individuelle, la prédication et les réunions. Mais aujourd’hui, nous en voyons probablement les avantages. Quand nous constatons les résultats positifs de ce genre de changements, notre foi grandit et nous nous sentons plus unis à nos frères et sœurs. – TG2018/10 p23 §7-9 En Josué 6:26, on lit : “ Josué fit prononcer un serment à cette même époque, en disant : ‘ Maudit soit devant Jéhovah l’homme qui se lèvera et rebâtira réellement cette ville, oui Jéricho. Qu’il en pose les fondations au prix de son premier-né, et qu’il en érige les portes au prix de son plus jeune fils. ’ ” Ces paroles se sont réalisées environ 500 ans plus tard, comme le confirme 1 Rois 16:34 : “ En ses jours [du roi Ahab], Hiel le Béthélite bâtit Jéricho. Au prix d’Abiram son premier-né, il en posa les fondations, et au prix de Segoub son plus jeune fils, il en érigea les portes, selon la parole de Jéhovah, celle qu’il avait prononcée par le moyen de Josué le fils de Noun. ” Seul un Dieu bien réel a pu inspirer de telles prophéties et veiller à ce qu’elles se réalisent. TG1998 15/9 p21-22 “Ainsi Jéhovah fut avec Josué et sa renommée se répandit par toute la terre.” Le nom majestueux de Jéhovah sera également justifié quand, au début de la “grande tribulation”, Babylone la Grande sera dévastée et dépouillée de ses richesses et de sa gloire. Josué 6:27 – TG1986 15/12 p19 Quand ils attaquèrent la ville de Aï, les Israélites envoyèrent une petite armée qui fut battue. Cela les démoralisa, car le récit dit que le cœur du peuple “ se mit à fondre et devint comme de l’eau ”, autrement dit les Israélites se rendirent compte qu’ils s’étaient, d’une façon ou d’une autre, attiré la défaveur de Jéhovah et qu’ils n’avaient pas son soutien. Josué fut très contrarié, sans doute parce qu’Israël, l’armée de Jéhovah, avait fui par peur devant ses ennemis, ce qui avait jeté l’opprobre sur le nom de Jéhovah. Jos 7:5-9. - it-1 p678 Des siècles plus tard, après la prise de Jéricho, les yeux de l’Israélite Akân l’ont incité à voler une partie du butin. Dieu avait ordonné que tout ce qui se trouvait dans cette ville soit détruit, sauf certaines choses qui devaient être déposées dans le trésor de Jéhovah. Les Israélites avaient reçu l’avertissement de ‘ se garder de ce qui est voué à la destruction, de peur qu’il ne leur vienne un désir ’ et qu’ils n’en prennent une partie. Après la désobéissance d’Akân, ils ont essuyé une défaite à Aï, où certains d’entre eux ont péri. Akân n’a pas avoué son vol jusqu’à ce qu’il soit découvert. “ Quand j’ai vu les objets, a-t-il dit, alors j’en ai eu envie et je les ai pris. ” Le désir de ses yeux lui a valu d’être détruit, lui et “ tout ce qui était à lui ”. (Jos. 6:18, 19 ; 7:1-26.) Akân, sa famille (qui pouvait difficilement ignorer son acte) et tout son bétail furent d’abord lapidés, après quoi ils furent brûlés avec tous les biens d’Akân dans la vallée d’Akor, nom qui signifie “ Ostracisme, Malheur ”. Jos 7:19-26. Akân a désiré dans son cœur ce qui lui était interdit. Certains considéreront peut-être le vol commis par Akân comme une infraction mineure, au motif qu’en la circonstance personne n’a été lésé. En ce qui nous concerne, soyons aussi résolus que Josué à ne pas nous laisser tenter par des actes immoraux ou illégaux – TG2010 15/4 p20-21 - it-1 p70 Tournons-nous maintenant vers Jéricho, une ville “fermée et barricadée” derrière des murs énormes. Les ruines roussies qui ont subsisté jusqu’à nos jours témoignent de sa puissance et montrent qu’elle était pratiquement imprenable. Une simple armée humaine n’aurait pu l’investir par un assaut rapide. Mais une simple armée humaine n’aurait jamais utilisé la stratégie qui fut ordonnée par Jéhovah. Les hommes de guerre d’Israël durent se mettre en marche. Une fois par jour, pendant six jours, il leur fallut faire le tour de la ville avec, au milieu d’eux, l’arche de l’alliance et des prêtres soufflant sans arrêt dans des trompettes. Quelle stratégie étrange ! Tous ceux qui se trouvaient sur les murs de Jéricho ont dû rire et se moquer. — Josué 6:6-9. Ces Israélites devaient être courageux pour marcher ainsi, en ordre théocratique, autour de la ville. Il faut également du courage aux Témoins de Jéhovah de notre époque pour continuer de marcher autour de Babylone la Grande, dont la Chrétienté est le principal bastion, tout en faisant retentir un message de condamnation. Mais nous parcourons le territoire, faisant peu de cas des injures et nous confiant fermement en Jéhovah qui est avec nous. Le message de jugement que nous proclamons vient de Dieu, et il annonce clairement que l’organisation de la fausse religion de Satan sera finalement ‘dévastée’. Seule une “sainte postérité”, qui soutient le vrai culte de Jéhovah Dieu, survivra. — És. 6:11-13. Nous en arrivons au septième jour de la marche. Était-ce le moment de “s’endormir” ou de prendre les choses à la légère étant donné la longueur de la marche ? Certainement pas ! – TG1970 p85 Josué avait donné cet ordre au peuple : “Vous ne crierez point, vous ne ferez point entendre votre voix, et il ne sortira pas un mot de votre bouche jusqu’au jour où je vous dirai : Poussez des cris ! Alors vous pousserez des cris.” (Josué 6:10). À notre époque moderne, les Témoins de Jéhovah font, eux aussi, retentir avec zèle “cette bonne nouvelle” du Royaume de Dieu établi, mais sans se lancer dans des querelles bruyantes ou des débats coléreux avec leurs adversaires endurcis de la chrétienté. Un “grand gouffre” sépare ceux-ci des vrais adorateurs de Dieu. Cependant, des personnes au cœur honnête peuvent encore fuir de la religion babylonienne, mais, à l’exemple de Rahab et de sa famille, elles doivent agir promptement – TG1970 1/ 2 §22 La famille de Rahab avait été réunie. Après le septième tour de la ville, alors que la marche touchait à sa fin et que le son des trompettes retentissait dans un final allant crescendo, Josué ordonna : “Poussez des cris, car Jéhovah vous a livré la ville.” (Josué 6:16, AC). Au moment où du peuple commençait à s’élever “une grande clameur”, les murs de Jéricho s’effondrèrent et Israël se précipita à l’intérieur de la ville pour vouer à la destruction les hommes et les animaux. Seules Rahab et sa famille survécurent à cet holocauste. Nous ne savons pas encore quelle sera, dans l’accomplissement moderne, la forme de la clameur finale et victorieuse, ni à quel moment elle s’élèvera. Cependant, nous pouvons être certains que l’œuvre consistant à proclamer les jugements de Dieu et à enseigner la vérité biblique aux humbles, prospérera et s’étendra pour atteindre finalement un point culminant. Quel grand privilège que celui du peuple de Dieu lorsqu’il poussera cette grande clameur de victoire et qu’il verra la forteresse moderne de la fausse religion s’écrouler pour ne plus jamais se relever ! À l’exemple de Jéricho, elle sera maudite à jamais. — Josué 6:20, 26 – TG1970 1/ 2 p85 §25 Avant d’entrer en guerre contre les Cananéens, les Israélites ne leur ont pas fait connaître les conditions de paix. Pourquoi ? Parce que les Cananéens avaient eu 400 ans pour corriger leur mauvais comportement. Lorsque les Israélites sont allés les combattre, collectivement, les Cananéens étaient irréformables. Ils devaient donc être complètement anéantis. Toutefois, ceux qui avaient changé de comportement ont été épargnés. Ils manifestèrent de bonnes dispositions. (Josué 6:25). TG2015 1/11 p4 Dans l’Antiquité. Les humains sur la terre qui ont été mis à part pour servir Dieu ont aussi été appelés “ saints ”. (Ps 34:9.) En entrant dans des relations d’alliance avec Dieu, Israël devint son bien particulier qu’il considéra comme saint en tant que nation. C’est pourquoi les membres de cette nation qui pratiquaient l’impureté ou l’injustice souillaient la nation et lui attiraient la défaveur de Jéhovah tant qu’aucune mesure n’était prise pour les supprimer. Témoin le cas d’Akân, homme avide et désobéissant dont le péché amena le malheur sur Israël jusqu’à ce qu’il soit démasqué et lapidé. — Jos 7. - it-2 p863 Puisque les juges devaient être des hommes droits, jugeant selon la loi de Jéhovah, ils représentaient Jéhovah. En conséquence, se tenir devant les juges équivalait à se tenir devant Jéhovah Josué 7 :19. – it-2 p1102 Tribunal Où faudra-t-il se trouver quand viendra la fin ? Rahab et sa famille, c’est en restant dans leurs maisons qu’ils ont été délivrés. Mais cela a exigé de leur part foi et obéissance. Imaginez encore Rahab et les siens en train de se blottir les uns contre les autres au fur et à mesure que se rapprochait le grondement provoqué par l’écroulement de la muraille. Il fallait à Rahab une foi authentique pour obéir et rester dans cette maison. Pour l’instant, nous ignorons comment Jéhovah protégera son peuple en ce redoutable ‘ jour de sa colère ’. En revanche, ce dont nous pouvons être certains, c’est que, quels que soient le lieu ou les circonstances, notre survie dépendra de notre foi en Jéhovah et de notre obéissance. – TG2009 15/5 p6 Y a-t-il à notre époque quelque chose que l’on puisse mettre en parallèle avec le péché d’Akan ? Oui. Josué 7 :1-26. L’apôtre Paul avait averti les chrétiens de la venue de “loups tyranniques” qui mépriseraient l’ordre théocratique et marcheraient dans leur propre désir égoïste. Depuis 1919, de tels individus avides ont parfois fait leur apparition au sein du peuple de Dieu. Par exemple, au milieu des années 1970 quelques anciens en vue devinrent mécontents. Ils jugeaient au-dessous de leur “dignité” de donner le témoignage de maison en maison pour prêcher le message relatif au Royaume selon la méthode utilisée par les apôtres de Jésus. Il leur parut bon de retourner aux enseignements babyloniens. De façon sournoise, ils cherchèrent à susciter des doutes au sujet des “derniers jours” et à ralentir l’œuvre des Témoins de Jéhovah (II Pierre 3:3, 4). Finalement il fallut les exclure. La présence d’un petit nombre d’apostats parmi les Témoins a probablement contribué au ralentissement de l’œuvre de Jéhovah au cours de la seconde moitié des années 1970. L’accroissement annuel moyen du nombre des Témoins de Jéhovah actifs était descendu à moins de 1 pour cent. Jéhovah est un Dieu pur, un Dieu saint, qui exige la pureté spirituelle et morale de ses adorateurs. S’ils ne sont pas corrigés ou mis à l’écart, les individus qui ont une conduite impure ou qui pratiquent le mal risquent de souiller toute l’assemblée et d’attirer sur elle la défaveur de Jéhovah. De nos jours, la grande majorité des frères et sœurs qui composent les assemblées du monde entier s’efforcent de préserver la pureté spirituelle de l’assemblée en gardant chacun l’approbation de Dieu. — TG1986 15/12 p20 §20 Quand ils attaquèrent la ville de Aï, les Israélites envoyèrent une petite armée qui fut battue. Cela les démoralisa, car le récit dit que le cœur du peuple “ se mit à fondre et devint comme de l’eau ”, autrement dit les Israélites se rendirent compte qu’ils s’étaient, d’une façon ou d’une autre, attiré la défaveur de Jéhovah et qu’ils n’avaient pas son soutien. Josué fut très contrarié, sans doute parce qu’Israël, l’armée de Jéhovah, avait fui par peur devant ses ennemis, ce qui avait jeté l’opprobre sur le nom de Jéhovah. — Jos 7:5-9. - it-1 p678
  14. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 20 Septembre 2021 - Josué 3-5.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 20 Septembre 2021 - Josué 3-5.pdf Perles spirituelles (10 min) : Josué 3-5 Josué 5:14, 15, note : Qui est vraisemblablement le « chef de l’armée de Jéhovah » ? (w04 1/12 9 § 2). « L’homme lui répondit : « Je suis venu en qualité de prince de l’armée de Jéhovah. » Alors Josué se mit à genoux devant lui, se prosterna face contre terre et lui dit : « Ô mon seigneur, qu’as-tu à me dire ? » 15 Le prince de l’armée de Jéhovah répondit à Josué : « Enlève tes sandales, car l’endroit où tu te trouves est saint. » Aussitôt Josué enleva ses sandales. » Qui est “ le prince de l’armée de Jéhovah ” ? Vraisemblablement, le prince qui vient fortifier Josué au commencement de la conquête de la Terre promise n’est autre que “ la Parole ”, Jésus Christ dans son existence préhumaine (Jean 1:1 ; Daniel 10:13). Il est on ne peut plus encourageant de savoir que Jésus Christ glorifié assiste aujourd’hui les serviteurs de Dieu dans leur guerre spirituelle - w04 1/12 9 § 2 Josué a rencontré un homme qui portait une épée dégainée, a marché vers lui et lui a demandé : “ Es-tu pour nous ou pour nos adversaires ? ” Imaginez la surprise de Josué quand l’étranger a révélé son identité, en disant : “ Non, mais moi, en tant que prince de l’armée de Jéhovah, je suis venu maintenant. ” Rien d’étonnant que Josué soit tombé face contre terre devant ce haut représentant de Jéhovah, sans aucun doute Jésus dans sa condition préhumaine, celui qui allait devenir “ Messie le Guide - TG1998 15/6 p24 Josué se prosterna devant un ange, “ prince de l’armée de Jéhovah ”, non pas pour l’adorer, mais parce qu’il reconnaissait la fonction supérieure de l’ange et que celui-ci avait manifestement été envoyé par Jéhovah pour lui transmettre un commandement – it-1 Attitudes gestes Les prêtres d’Israël servaient pieds nus dans le tabernacle et dans le temple. Ils avaient reçu l’ordre d’ôter leurs sandales alors qu’ils se trouvaient en un lieu saint Ce geste leur était demandé en signe de respect ou de révérence Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Comment nos actes de foi renforcent-ils notre confiance en Jéhovah ? Rappelons le récit de l’entrée d’Israël en Terre promise. Jéhovah avait ordonné aux prêtres qui portaient l’arche de l’alliance de pénétrer directement dans le Jourdain. Toutefois, en approchant du fleuve, les Israélites se sont rendu compte qu’en raison des pluies printanières, il était en crue. Qu’allaient-ils faire ? Camper sur les berges en attendant la décrue, qui prendrait des semaines, voire plus ? Non. Faisant entièrement confiance à Jéhovah, ils ont suivi ses instructions. Résultat, « dès que les prêtres [...] posèrent les pieds dans l’eau, la rivière cessa de couler [...]. Les prêtres [...] restèrent dans le lit desséché de la rivière pendant que tout le peuple d’Israël passait à pied sec » (Jos. 3:12-17, Bible en français courant). Imagine la joie qu’ont dû éprouver les Israélites en voyant les eaux déchaînées se tarir ! Parce qu’ils ont eu confiance dans les directives de Jéhovah, leur foi s’est renforcée. Aujourd’hui Jéhovah ne fait plus ce genre de miracles en faveur de ses fidèles. Il n’en bénit pas moins leurs actes de foi. Sa force agissante les aide à s’acquitter de leur mission consistant à prêcher le Royaume dans le monde entier. Et son plus éminent Témoin, Jésus Christ ressuscité, a promis de les soutenir dans cette œuvre importante. Quantité de Témoins d’un tempérament timide le confirmeraient : l’esprit saint de Dieu donne le courage de prêcher à des inconnus Si nous prenons l’initiative de prêcher même lorsqu’une mauvaise santé ou un contexte difficile nous imposent des limites, nous donnons à Jéhovah quelque chose à bénir – TG2013 15/9 §17 Josué, le successeur de Moïse, devait guider le peuple de Dieu à travers une autre masse d’eau pour le faire entrer en Terre promise. “ Sanctifiez-vous, a-t-il déclaré, car demain Jéhovah fera des choses prodigieuses au milieu de vous. ” (Josué 3:5). De quelles choses prodigieuses parlait-il ? Le récit indique que Jéhovah a de nouveau ouvert un chemin à travers une barrière d’eau (le Jourdain, cette fois-là), afin que des centaines de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants la franchissent à pied sec (Josué 3:7-17). La profondeur moyenne du Jourdain varie la plupart du temps entre 1 et 3 m, et sa largeur entre 27 et 30 m. Mais, au printemps, il déborde, ce qui le rend beaucoup plus profond et plus large (Jos 3:15). En période de crue, il aurait été dangereux pour la nation d’Israël, composée d’hommes, de femmes et d’enfants, de traverser le Jourdain, surtout près de Jéricho. Si nous avions été là pour voir le fleuve s’ouvrir, puis tous ces gens traverser sains et saufs, sans doute aurions-nous trouvé cela prodigieux. Quelle manifestation du pouvoir de Dieu sur sa création ; On peut aujourd’hui comparer le Jourdain en crue à l’humanité qui, tel un torrent, se précipite vers sa destruction. Alors que l’humanité est au bord de la chute finale, Jéhovah affermit ses serviteurs. Ce fut une preuve miraculeuse de la présence de Jéhovah au milieu de son peuple ! Aujourd’hui, il existe une preuve semblable. Alors que les peuples de toute la terre atteignent un niveau de crue, pour ce qui est de leur nombre et de leur iniquité, les Témoins de Jéhovah progressent hardiment parmi eux. Le message du Royaume n’a pas manqué de provoquer une division nette et décisive entre les personnes d’“en haut”, les amis de la justice, et celles qui sont résolues à se précipiter avec la foule vers la destruction. Tout comme les prêtres qui portaient l’arche “s’arrêtèrent de pied ferme sur le sec, au milieu du Jourdain, pendant que tout Israël passait à sec”, de même, à notre époque moderne, les Témoins de Jéhovah oints demeurent “fermes, inébranlables, ayant toujours beaucoup à faire dans l’œuvre du Seigneur”, offrant ainsi à un grand nombre de personnes la possibilité de parvenir au salut. –TG2001 15/4 p4 Tandis que les quelques millions d’Israélites traversaient le lit du fleuve, “les prêtres qui portaient l’arche de l’alliance de Jéhovah se tenaient immobiles sur un sol ferme, au milieu du Jourdain”, montrant par-là que c’est Jéhovah Dieu qui avait interrompu le cours du fleuve (Josué 3:17). C’est en 1919 que les Témoins oints de l’esprit, qui n’étaient alors qu’un petit groupe, se tinrent courageusement devant les “eaux” que sont les humains. Parmi ceux qui traversèrent le Jourdain, il y avait tous les Israélites des tribus non lévites ainsi que les descendants du “vaste mélange de gens”, des non-Israélites, qui avaient quitté l’Égypte avec Moïse. Pareillement, les membres de la “grande foule” ont part eux aussi à la traversée qui les conduira dans le nouveau système de choses promis par Dieu, tandis que les membres de la classe des prêtres spirituels encore vivants aujourd’hui demeurent “fermes, inébranlables”, démontrant une foi exemplaire. — TG1986 15/12 p13 Sur le conseil de Rahab, les deux espions sont descendus par la fenêtre au moyen d’une corde et ont disparu dans les montagnes. Au nord de Jéricho se trouvaient de nombreuses grottes où les espions pouvaient se cacher en attendant de regagner sans danger le camp israélite et d’annoncer la bonne nouvelle qu’ils avaient entendue de Rahab. Plus tard, les habitants de Jéricho ont dû trembler de peur en apprenant que Jéhovah avait miraculeusement interrompu le flot du Jourdain pour permettre à son peuple de traverser à pied sec le lit du fleuve (Josué 3:14-17). Mais pour Rahab, cette nouvelle était une preuve supplémentaire qu’elle avait eu raison de placer sa foi en Jéhovah. – TG2013 1/11 p14 Comme leurs ancêtres 40 ans plus tôt à la mer Rouge, beaucoup de ceux qui traversèrent le Jourdain ce jour-là devaient se dire : ‘ Jamais je n’oublierai ce que Jéhovah a fait ici. ’ — Jos. 3:13-17. Mais Jéhovah savait que certains Israélites ‘ oublieraient bien vite ses œuvres ’. (Ps 106:13.) Il a demandé donc à Josué, le conducteur de la nation, de prendre 12 pierres du “ milieu ” du fleuve et de les déposer à l’endroit de leur premier campement. Josué explique alors : “ Ces pierres doivent servir de mémorial aux fils d’Israël. ” (Jos. 4:1-8). Cet édifice de pierres rappellerait à la nation les actions puissantes de Jéhovah et les raisons pour lesquelles les Israélites devaient continuer de le servir fidèlement. Ce récit est-il important pour le peuple de Dieu aujourd’hui ? Oui, car nous non plus, nous ne devons pas oublier Jéhovah ni cesser de le servir fidèlement. – TG2009 15/3 Par cette destruction des forces militaires d’Égypte, Jéhovah s’est élevé aux yeux de ses serviteurs et il a fait connaître son nom au loin (Josué 2:9, 10; 4:23, 24). Son nom fut en effet élevé bien au-dessus des faux dieux d’Égypte, impuissants, qui s’avérèrent incapables de délivrer leurs adorateurs. La confiance que les Égyptiens plaçaient dans leurs divinités, dans l’homme mortel et dans la puissance militaire se solda par une amère déception. Il n’est donc pas étonnant que les Israélites se soient sentis poussés à chanter des louanges qui traduisaient leur crainte salutaire du Dieu vivant, de Celui qui délivre magistralement ses serviteurs. De même, nous devrions reconnaître qu’aucun faux dieu de notre époque ni aucune superpuissance, même dotée de l’arme nucléaire, ne peut rivaliser avec Jéhovah. Il délivrera ses serviteurs. – TG1995 15/10 p11 § 11 Le titre “ Jéhovah des armées ” figure près de trois cents fois dans les Écritures hébraïques et deux fois dans les Écritures grecques chrétiennes. En tant que Maître Souverain, Jéhovah commande une immense armée angélique (Josué 5:13-15). La puissance de destruction de cette armée est inimaginable. Évoquer la destruction d’humains n’est pas agréable, mais soyons conscients que les guerres de Dieu n’ont rien de commun avec les guerres mesquines des hommes. Les chefs militaires et politiques ont beau enrober leurs agressions de justifications nobles, leurs guerres sont invariablement empreintes de cupidité et d’égoïsme – Approchez-vous de Dieu chap6
  15. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 13 Septembre 2021 - Josué 1-2.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 13 Septembre 2021 - Josué 1-2.pdf Perles spirituelles (10 min) : Josué 1-2 Josué 2:4, 5 : Pourquoi Rahab a-t-elle trompé les envoyés du roi qui cherchaient les espions ? (w04 1/12 9 § 1). « Mais la femme avait caché les deux hommes. Elle dit alors : « Oui, ces hommes sont venus chez moi, mais je ne savais pas d’où ils venaient. 5 À la tombée de la nuit, au moment où on allait fermer la porte de la ville, ils sont sortis. Je ne sais pas où ils sont allés, mais si vous partez tout de suite à leur poursuite, vous les rattraperez. » Pourquoi Rahab dupe-t-elle les envoyés du roi qui recherchent les espions ? Rahab protège les espions au péril de sa vie parce qu’elle a foi en Jéhovah. De ce fait, elle n’est pas obligée de révéler l’endroit où ils se cachent à des hommes qui veulent nuire au peuple de Dieu. Rahab a d’ailleurs été “ déclarée juste par des œuvres ”, y compris pour avoir lancé les émissaires du roi sur une fausse piste. — Jacques 2:24-26. - w04 1/12 9 § 1 Rahab choisit son camp - Rahab reçoit bientôt deux visiteurs inattendus: des espions qui viennent du camp d’Israël. Ils cherchent un endroit où loger, et Rahab les fait entrer chez elle. Mais le roi de Jéricho apprend qu’ils sont dans sa maison. Sans tarder, il envoie des gardes pour les arrêter. Quand les gardes du roi arrivent, Rahab a déjà choisi de servir Jéhovah Dieu. Les envoyés du roi lui donnent l’ordre de faire ‘sortir les hommes qui sont venus vers elle’. Rahab a dissimulé les espions parmi les tiges de lin mises à sécher sur le toit. Elle leur dit: “Oui, les hommes sont venus vers moi, et je ne savais pas d’où ils étaient. Et il est arrivé, à la fermeture de la porte [de la ville], à la nuit, que les hommes sont sortis. Je ne sais vraiment pas où les hommes sont allés. Poursuivez-les vite, car vous les atteindrez.” (Josué 2:3-5). C’est ce que font les gardes du roi, mais en vain. Rahab a lancé les ennemis d’Israël sur une fausse piste. Que révèlent les actions de Rahab? Eh bien, elle a démontré sa foi en Jéhovah, le Dieu Tout-Puissant! Elle se soumettra à ses principes et sera déclarée juste par ses œuvres de foi. – TG1993 15/12 p22,25 Rahab n’a pas beaucoup de temps pour réfléchir, mais elle est pleine de ressources. Sans perdre une minute, elle cache les espions parmi des tiges de lin qu’elle a mises à sécher sur le toit en terrasse de sa maison. Puis elle dit aux messagers du roi : « Oui, ces hommes sont bien venus vers moi, mais je ne savais pas d’où ils étaient. Voici ce qui est arrivé : au moment où on fermait la porte à la nuit tombante, ces hommes sont sortis. Vraiment, je ne sais pas où ces hommes sont allés. Poursuivez-les bien vite, car vous les rattraperez » (Josué 2:4, 5). Représentez-vous Rahab scrutant le visage des messagers. Devinent-ils que son cœur bat à cent à l’heure ? En tout cas, sa ruse marche ! Les hommes du roi se précipitent vers les gués du Jourdain (Josué 2:7). Rahab a dû pousser un soupir de soulagement. Par une stratégie simple, elle a fait partir dans la mauvaise direction des hommes qui avaient des intentions meurtrières et n’étaient donc pas en droit de connaître la vérité. Elle a ainsi sauvé des adorateurs du vrai Dieu, Jéhovah. – TG2013 1/11 p14-15 Ayant entendu parler des grandes actions de Jéhovah et comprenant le caractère critique de la situation, Rahab prend la décision de se rallier aux adorateurs de Dieu. Si cela fait quelque temps que vous étudiez la Bible et que vous soyez conscient que nous vivons “ les derniers jours ”, ne devriez-vous pas, vous aussi, prendre la décision de servir Dieu ? – TG2004 1/12 p9 L’histoire de Rahab montre que personne n’est insignifiant aux yeux de Jéhovah. Il voit chacun de nous, il examine nos cœurs et il est très heureux quand il découvre une étincelle de foi comme celle qui a illuminé le cœur de Rahab. Sa foi l’a poussée à l’action. Comme la Bible le dit, Rahab a été « déclarée juste par des œuvres » (Jacques 2:25) – TG2013 1/11 p15 C’est sans aucun doute Dieu qui les avait guidés vers la maison de Rahab, tout comme, aujourd’hui, les anges dirigent souvent les Témoins de Jéhovah vers des gens qui prient pour recevoir une aide spirituelle. “Les yeux de Jéhovah sont vers les justes, et ses oreilles vers leur appel au secours.” — Psaume 34:15. Mais pourquoi ces espions sont-ils entrés dans la maison d’une prostituée? Non pas dans un but impur, mais probablement pour tromper les Cananéens qui les avaient observés. Par ses paroles, Rahab montra qu’elle n’avait aucune intention immorale envers eux. Sachant qu’ils étaient serviteurs de Jéhovah, elle put leur faire part de son vif désir de devenir une adoratrice de Jéhovah. Elle risqua même sa vie en les cachant sur le toit de sa maison. Elle était comme les “brebis” de la parabole de Jésus qui font preuve de bienveillance envers les “frères” du Seigneur (Matthieu 25:31-46). Tout en se montrant avisés, les Témoins de Jéhovah n’hésitent pas aujourd’hui à visiter chez eux des ‘amis de la paix’ comme Rahab pour étudier la Bible avec eux. — Afin de protéger les espions israélites, Rahab employa l’arme qu’elle avait à sa disposition: sa langue. Elle trompa les messagers du roi en disant: “Oui, les hommes sont venus vers moi, et je ne savais pas d’où ils étaient. Et il est arrivé, à la fermeture de la porte, à la nuit, que les hommes sont sortis. Je ne sais vraiment pas où les hommes sont allés. Poursuivez-les vite, car vous les atteindrez.” (Josué 2:4, 5). Outre qu’elle trompa les messagers, Rahab feignit une ignorance totale et ne laissa pas soupçonner sa sympathie pour les Israélites. Elle voulait également empêcher qu’on ne fouille sa maison. Pour prendre ainsi position contre le roi de Jéricho, elle devait être fermement persuadée que Jéhovah donnerait la victoire à Israël. Si son action avait été découverte, Rahab l’aurait sans doute payée de sa vie. – TG1978 15/11 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Concernant la lecture des Écritures, des instructions spéciales ont été données aux anciens de la nation. À Josué, Jéhovah a demandé de “veiller à faire selon toute la loi”. Pour être à la hauteur de cette responsabilité, il reçut cet ordre: “Il faudra que tu lises à voix basse en [ce livre] jour et nuit (...); car alors tu feras réussir ta voie et alors tu agiras sagement.” (Josué 1:7, 8). La lecture régulière des Écritures allait aider Josué à bien garder en mémoire les commandements précis que Jéhovah avait donnés à Son peuple, et cela est tout aussi vrai de nos jours des anciens. Josué devait également comprendre les manières d’agir de Jéhovah envers Ses serviteurs en diverses circonstances. Quand il lisait l’énoncé du dessein divin, il était important qu’il réfléchisse à sa responsabilité en rapport avec ce dessein. – TG1995 1/5 p12 Comment Jéhovah allait-il rendre Josué perspicace? Non par quelque miracle, mais par Sa Parole écrite. Josué devait en imprégner son esprit et son cœur en la lisant et en la méditant régulièrement. Comme il le savait, elle stipulait que c’était aux Lévites qu’il appartenait d’enseigner la Loi. Il devait donc respecter cette disposition, ne pas s’isoler en s’imaginant être capable de la comprendre par lui-même du fait qu’il occupait une position de responsabilité au sein de la nation. Il importait que Josué étudie assidûment la Parole écrite de Dieu. S’il agissait ainsi, en ne négligeant aucune partie de cette Parole, et s’il s’y soumettait, alors il agirait avec perspicacité. Josué 1:7, 8 Comment Jéhovah nous rend perspicaces aujourd’hui — Jéhovah accorde à ses serviteurs la direction qui leur est nécessaire pour agir sagement. Si nous voulons bénéficier de cette direction, nous devons personnellement satisfaire à plusieurs impératifs: 1) Comme Josué, nous devons respecter l’organisation de Jéhovah. Cela signifie qu’il nous faut coopérer avec les chrétiens oints, “l’esclave fidèle et avisé” et son Collège central. 2) Individuellement, nous devons étudier assidûment la Parole de Dieu et les publications que la classe de l’“esclave” nous fournit pour nous aider à la comprendre. 3) Il importe également que nous prenions le temps de méditer sur la façon dont nous pouvons appliquer dans notre vie les choses que nous apprenons et les utiliser pour aider nos semblables. – TG1989 15/3 p13 Très prochainement, le peuple de Dieu entrera dans le nouveau système de choses prévu par Jéhovah. Étant donné les événements qui se préparent dans le monde, il nous faut cultiver le courage. Comment est-ce possible? Alors que Josué s’apprêtait à entrer en Terre promise, Dieu lui donna ces instructions: “Seulement, sois courageux et très fort, pour veiller à faire selon toute la loi que Moïse, mon serviteur, t’a commandée. Ne t’en écarte ni à droite ni à gauche, afin d’agir sagement partout où tu iras. Ce livre de la loi ne devra pas s’éloigner de ta bouche, et il faudra que tu lises à voix basse en lui jour et nuit, afin que tu veilles à faire selon tout ce qui y est écrit; car alors tu feras réussir ta voie et alors tu agiras sagement.” — Josué 1:7, 8. Tel est donc le secret: lire la Bible chaque jour. Elle renferme la loi de Dieu à notre intention. Méditez-la; tenez compte de ses avertissements. Ne vous laissez pas entraîner dans le monde matérialiste et impur qui vous entoure. Quelle que soit la situation, conduisez-vous sagement. Mettez en pratique la connaissance exacte et l’intelligence spirituelle que vous avez acquises grâce à l’étude de la Parole de Dieu. Parlez de celle-ci à autrui. Si vous agissez ainsi et si vous vous reposez sur Jéhovah, vous pourrez certainement ‘être courageux et très fort, et faire réussir votre voie’. – TG1986 15/12 p10-12 En qualité de conducteur d’Israël, Josué, le successeur de Moïse, avait reçu l’ordre de lire les Écritures “ jour et nuit ”, régulièrement, afin de réussir dans la tâche que Dieu lui avait confiée. Pour se pénétrer de l’importance de la Parole de Dieu, et sans aucun doute s’en souvenir plus facilement, il devait lire “ à voix basse ”. Des recherches scientifiques montrent que, quand on étudie, prononcer les mots les rend plus faciles à retenir. Le Créateur de notre cerveau le sait. C’est pourquoi il a ordonné à Josué de lire le livre de la Loi « à voix basse » Josué 1 :8. Tu constateras probablement que lire la Bible à voix basse laisse une empreinte plus durable sur l’esprit et aide à mieux se concentrer. – it-2 p120 Lecture « Sois courageux et fort. Jéhovah ton Dieu est avec toi » (Josué 1:9). En 1473 avant notre ère, les Israélites s’apprêtaient à entrer en Terre promise, mais des ennemis puissants leur faisaient face. « Sois courageux et très fort », ordonna Dieu à Josué. S’il gardait foi, Josué vaincrait. Dieu a ajouté : « Ne tremble pas et ne sois pas terrifié, car Jéhovah ton Dieu est avec toi partout où tu iras. » Et il a bien été avec Josué, car les Israélites conquirent leurs ennemis en six ans seulement (Jos. 1:7-9). Josué a dû se sentir grandement fortifié quand il a entendu Jéhovah ajouter : « Sois courageux et fort. Ne tremble pas et ne sois pas terrifié, car Jéhovah ton Dieu est avec toi partout où tu iras » (Jos. 1:9). Jéhovah est avec nous également. Ne tremblons donc pas et ne soyons pas terrifiés, quelles que soient nos épreuves. L’exhortation : « Sois courageux et fort. [...] Jéhovah ton Dieu est avec toi » mérite particulièrement d’être soulignée. Étant sur le point d’entrer dans le monde nouveau promis, nous avons besoin d’être courageux et forts. Comme Josué, nous avons en face de nous des ennemis puissants qui cherchent à briser notre intégrité. Nous ne nous battons pas avec des lances et des épées, mais avec des armes spirituelles, que Jéhovah nous apprend à manier habilement. Quelle que soit ta situation, sois assuré que, si tu es courageux et fort et que tu gardes foi, Jéhovah sera avec toi pour te rendre victorieux. - yb13 2 Rahab était une prostituée. Ce fait a tellement troublé des commentateurs bibliques du passé qu’ils ont prétendu qu’elle était simplement aubergiste. Mais la Bible est très claire sur ce point et elle ne maquille pas les faits (Josué 2:1). Dans la société cananéenne, le métier de Rahab était sans doute considéré comme acceptable. Cependant, la culture n’étouffe pas toujours la conscience, le sens du bien et du mal que Jéhovah a donné à chacun de nous. Rahab devait savoir au fond d’elle que son mode de vie était immoral. Peut-être, comme beaucoup de personnes menant ce genre de vie aujourd’hui, se sentait-elle piégée, sans autre moyen de prendre soin de sa famille. Rahab rêvait sans doute d’une vie meilleure. Son pays était rempli de violence et de perversions, dont l’inceste et la bestialité. La religion y était pour beaucoup. Les temples servaient notamment à la prostitution sacrée, et le culte rendu à des dieux démoniaques comme Baal et Molek exigeait de sacrifier des enfants en les brûlant vifs. Jéhovah n’ignorait pas ce qui se passait à Canaan. Rahab vivait justement dans une des villes condamnées. On peut facilement imaginer ce qu’elle ressentait à mesure que les nouvelles concernant Israël lui parvenaient. Elle avait appris que le Dieu d’Israël avait accordé à son peuple, une nation d’esclaves, une victoire écrasante sur l’armée égyptienne, la plus grande puissance militaire de l’époque. Rahab était différente. Pour Rahab, il n’y a pas l’ombre d’un doute : Jéhovah donnera la victoire à son peuple. La foi de Rahab nous enseigne une vérité essentielle. Comme la Bible le dit, « la foi naît de ce qu’on a entendu » (Romains 10:17). Rahab a entendu des récits fiables au sujet de la puissance et de la justice de Jéhovah Dieu ; elle a alors mis sa foi et sa confiance en lui. Aujourd’hui, nous disposons de beaucoup plus de renseignements sur Jéhovah. Puisons-nous dans sa Parole, la Bible, pour apprendre à mieux le connaître et ainsi mettre notre foi en lui ? – TG2013 1/11 Il semble que les prostituées tenaient parfois des gîtes. Rahab, la prostituée de Jéricho, hébergea les deux espions envoyés par Josué. Elle fit preuve de bonté envers eux et se montra hospitalière en cachant leur présence à ceux qui les poursuivaient (Jos 2:1-13). Elle les a reçus chez elle et, même si elle se doutait de qui ils étaient et de la raison de leur visite, elle leur a permis de rester. Elle désirait peut-être en apprendre plus sur leur Dieu, Jéhovah. Mais soudain, des messagers du roi de Jéricho arrivent ! Le bruit court que des espions israélites se sont rendus chez Rahab. Que va-t-elle faire ? Si elle protège ces étrangers, ne se met-elle pas en danger, elle et toute sa famille ? Les habitants de Jéricho ne vont-ils pas les mettre à mort ? D’un autre côté, elle n’a plus aucun doute sur l’identité des deux hommes. Si elle a compris que Jéhovah est un bien meilleur Dieu que les siens, c’est peut-être l’occasion de prendre parti pour lui. - it-1 p1151 Rahab avait appris les actes de puissance accomplis par Jéhovah. Elle a donc pu exprimer sa foi, en disant aux espions: “Je sais que Jéhovah vous donnera à coup sûr le pays, et que la frayeur que vous inspirez s’est abattue sur nous, et que tous les habitants du pays se sont démoralisés à cause de vous.” Après avoir dit ce qu’elle avait appris sur les actes de puissance de Jéhovah, elle ajouta: “Jéhovah, votre Dieu, est Dieu dans les cieux en haut et sur la terre en bas. Et maintenant, s’il vous plaît, jurez-moi par Jéhovah que, du fait que j’ai exercé envers vous la bonté de cœur, vous aussi, vous exercerez à coup sûr la bonté de cœur envers la maisonnée de mon père, et vous devrez me donner un signe certain.” (Josué 2:9-13). À l’exemple de Rahab, tous ceux qui apprennent aujourd’hui la vérité de Dieu n’ont plus lieu d’être effrayés parce que le jugement va s’exécuter au “jour de Jéhovah”. Ils abandonnent plutôt leurs anciennes voies, celles du monde, et recherchent l’aide des Témoins de Jéhovah afin d’obtenir le salut. — TG1986 15/12 p16-17 Les espions donnèrent à Rahab un signe, un “cordon de fil écarlate” qu’elle devait attacher à la fenêtre par laquelle ils s’enfuirent (Josué 2:17-21). Rahab ayant mis en évidence ce signe, sa maisonnée fut épargnée quand Jéricho fut détruite. Pareillement aujourd’hui, s’ils veulent être épargnés, les humains qui manifestent la même foi que Rahab doivent s’identifier à des adorateurs de Jéhovah voués à lui et baptisés. – TG1986 15/12 p16-17 Les “œuvres” de Rahab consistèrent notamment à protéger les deux espions et à réunir les autres membres de sa famille pour leur salut. De la même manière, les hommes et les femmes appartenant aujourd’hui à la “grande foule” se dépensent beaucoup pour soutenir fidèlement la classe de l’“esclave fidèle et avisé”, laquelle classe, ointe de l’esprit, donne la “nourriture [spirituelle] en temps voulu” et dirige la prédication du Royaume dans le monde entier. De son côté, Rahab s’est montrée courageuse en donnant le témoignage à la maison de son père. C’était dangereux, car elle aurait pu être dénoncée. Pareillement, dans de nombreux pays où ils rencontrent de l’opposition, les Témoins de Jéhovah doivent être courageux pour donner le témoignage. Il en est résulté un très grand rassemblement, et souvent des familles entières sont sorties de Babylone la Grande et ont pris position en faveur du culte pur de Jéhovah. - TG1986 15/12 p16-17 Rahab se dépêche de regagner le toit et de raconter aux deux espions ce qu’elle vient de faire. Elle leur révèle aussi une information précieuse : les gens de la ville sont démoralisés et terrifiés par les envahisseurs. Cette bonne nouvelle a dû enthousiasmer les espions. Ces Cananéens méchants étaient terrifiés par la puissance du Dieu d’Israël, Jéhovah ! Puis, Rahab fait une déclaration qui est riche de sens : « Jéhovah votre Dieu est Dieu dans les cieux en haut et sur la terre en bas » (Josué 2:11). Ce qu’elle avait entendu dire sur Jéhovah avait suffi à la convaincre d’une chose : que le Dieu d’Israël était digne de sa confiance. Elle a donc mis sa foi en Jéhovah. Pour Rahab, il n’y a pas l’ombre d’un doute : Jéhovah donnera la victoire à son peuple. C’est pourquoi elle supplie les espions de l’épargner, elle et sa famille. Ils acceptent, précisant qu’elle doit garder l’affaire secrète et laisser pendre sur la muraille un cordon écarlate attaché à sa fenêtre pour que les soldats la protègent, elle et sa famille (Josué 2:12-14, 18). La foi de Rahab nous enseigne une vérité essentielle. Comme la Bible le dit, « la foi naît de ce qu’on a entendu » (Romains 10:17). Rahab a entendu des récits fiables au sujet de la puissance et de la justice de Jéhovah Dieu ; elle a alors mis sa foi et sa confiance en lui. Aujourd’hui, nous disposons de beaucoup plus de renseignements sur Jéhovah. Puisons-nous dans sa Parole, la Bible, pour apprendre à mieux le connaître et ainsi mettre notre foi en lui ? – TG2013 1/11 p14 Certaines maisons étaient construites sur les larges murailles des villes (Jos 2:15). Mais elles étaient de préférence bâties sur le roc et, généralement, on commençait par poser deux ou trois rangées de pierres avant de poursuivre le travail avec des briques d’argile. Lorsqu’on ne pouvait construire la maison sur du roc, on faisait souvent des fondations solides d’une profondeur équivalant à la hauteur que le mur en pierres allait avoir au-dessus du sol. Les murs de certaines maisons avaient une épaisseur d’à peu près 1 m. Les fenêtres. Des ouvertures rectangulaires dans les murs tenaient lieu de fenêtres. Certaines au moins étaient suffisamment grandes pour laisser passer un homme. Les fenêtres munies de treillis étaient surtout celles qui donnaient sur la rue. - it-2 p186
  16. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 6 Septembre 2021 - Deutéronome 33-34.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 6 Septembre 2021 - Deutéronome 33-34.pdf Perles spirituelles (10 min) : Deutéronome 33-34 Deutéronome 34:6 : Pour quelle raison possible Jéhovah n’a-t-il pas révélé le lieu où Moïse a été enterré ? (it-2 312 § 4). « Il l’enterra dans la vallée, au pays de Moab, en face de Beth-Péor, et jusqu’à aujourd’hui personne ne sait où se trouve sa tombe. » Moïse était âgé de 120 ans quand il mourut. La Bible témoigne en ces termes de sa force physique : “ Son œil ne s’était pas affaibli et sa puissance vitale ne s’était pas enfuie. ” Jéhovah l’enterra en un endroit qui n’a jamais été découvert (Dt 34:5-7). Il voulut vraisemblablement éviter que les Israélites ne tombent dans le piège du faux culte en faisant de la tombe de Moïse un sanctuaire. Apparemment, le Diable désira se servir du corps de Moïse dans un tel dessein, car le disciple chrétien Jude, demi-frère de Jésus Christ, explique : “ Quand Michel l’archange eut un différend avec le Diable et qu’il discutait au sujet du corps de Moïse, il n’osa pas porter contre lui un jugement en termes injurieux, mais il dit : ‘ Que Jéhovah te réprimande. ’ ” (Jude 9). Avant de pénétrer en Canaan sous la conduite de Josué, Israël observa un deuil de 30 jours pour Moïse. — Dt 34:8. it-2 p312 § 4 L’archange Michel a eu une contestation avec le Diable au sujet du corps de Moïse; Satan aurait pu éventuellement s’en servir pour séduire les Israélites au culte des reliques, mais ses plans ont été déjoués (Jude 9). Bien que les Israélites, on le comprend, aient pleuré la mort de Moïse, ils n’ont jamais vénéré sa dépouille. En réalité, Dieu avait empêché que cela se produise en enterrant Moïse dans une tombe non identifiée située dans un lieu inconnu des humains. — TG1991 15/11 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Les Lévites qui prenaient leur retraite à 50 ans ne cessaient pas tout service. Ils pouvaient encore servir volontairement et “ servir [leurs] frères dans la tente de réunion, en s’occupant de l’obligation ”. (Nb 8:26.) Ils servaient probablement en qualité de conseillers et participaient à certaines tâches légères faisant partie de l’obligation des Lévites, mais ils étaient dispensés des travaux pénibles. En outre, ils enseignaient toujours la Loi au peuple (Dt 33:8-10). Ceux d’entre eux qui vivaient dans les villes de refuge pouvaient apporter leur aide aux personnes venues y chercher asile. Le ministère chrétien. Ceux qui deviennent “ frères ” spirituels de Jésus Christ et qui marchent sur ses traces sont appelés “ une prêtrise royale ”. Dans leur cas, il n’est pas prévu de retraite. L’apôtre Paul demeura actif dans son ministère alors qu’il se trouvait en prison, et il poursuivit sans relâche son activité ministérielle jusqu’à ce qu’il soit mis à mort Pierre fut actif jusqu’à la fin de sa vie. Jean écrivit son Évangile et trois lettres canoniques vers 98 de n. è., à un âge extrêmement avancé. On lit que les membres de la “ grande foule ”, que Jean vit après avoir eu la vision des 144 000 “ scellés ”, “ offrent à Dieu un service sacré jour et nuit ”, c’est-à-dire continuellement. Il n’y a donc pas de retraite qui vienne interrompre le service que le chrétien offre à Dieu. — it-2 p789 Retraite Étant donné que les cieux physiques jouent un rôle capital dans l’entretien et le développement de la vie sur la terre (grâce à la lumière du soleil, à la pluie, à la rosée, aux vents rafraîchissants et à d’autres avantages de l’atmosphère), la Bible parle d’eux en termes poétiques comme du “ beau magasin ” de Jéhovah (Dt 33:13, 14). – it-1 p473 Ciel Moïse déclara qu’Asher deviendrait “ quelqu’un qui trempe son pied dans l’huile ”, indiquant par-là que cette tribu connaîtrait de grandes bénédictions sur le plan matériel. — Dt 33:24. De même que l’huile répandue sur la tête a un effet adoucissant et réconfortant, de même l’application de la Parole de Dieu à une personne spirituellement malade l’apaise, la corrige, la réconforte et la guérit. C’est pourquoi les anciens dans la congrégation chrétienne sont invités à prier sur une telle personne, “ l’enduisant [figurément parlant] d’huile au nom de Jéhovah ”, mesure indispensable pour obtenir la guérison spirituelle du malade. — it-1 p1154 Huile Moïse a déclaré que Jéhovah a le pouvoir, mais aussi le désir, d’utiliser sa puissance en faveur de son peuple. Moïse a écrit : « Dieu est un refuge depuis les temps antiques, sous toi sont ses bras éternels » (Deut. 33:27). C’est une réalité ! Si tu te tournes vers Dieu quand tu te sens désespéré, il passera ses bras sous toi pour te relever tout en douceur. Les bras éternels de Jéhovah nous soutiennent dans diverses épreuves comme la maladie, la dépression, le deuil ou lorsque nous avons commis un péché dont nous nous repentons. – rr p120 Alors que les 40 ans de pérégrinations dans le désert touchaient à leur fin, Moïse, sachant qu’il n’entrerait pas en Terre promise, a prié Jéhovah de pourvoir à un successeur. Jéhovah lui demanda d’établir Josué dans sa charge sur tout le peuple, ce que Moïse fit, bien qu’il fût encore physiquement fort et qu’il n’ait pas cessé immédiatement son service pour Israël (Deutéronome 34:5-7, 9). Avec une même humilité d’esprit, le reste oint a d’ores et déjà confié des responsabilités accrues à des hommes capables parmi les autres brebis – TG1997 15/5 p15 La Bible dit de Moïse qu’il fut vigoureux jusqu’à sa mort. Moïse ne pouvait manifestement pas dire que sa sénilité l’empêchait de guider la nation. Cela ressort du fait qu’après sa mort, on écrivit de lui ceci: “Et Moïse était âgé de cent vingt ans quand il mourut. Son œil ne s’était pas obscurci et sa vigueur vitale n’avait pas fui.” — (Deut. 34:7). Moïse était donc encore robuste. Quoi qu’il ne fût bien sûr plus aussi solide qu’un jeune homme, il avait néanmoins conservé une vigueur exceptionnelle pour son âge. Sa vieillesse ne l’avait pas rendu décrépit. Jusqu’à sa mort, il fut capable de diriger le peuple. Moïse finit cependant par céder la direction du peuple à Josué qui, bien que plus jeune, avait de l’expérience, des capacités ainsi que l’esprit de Dieu. Moïse fit cela principalement pour que Josué puisse se qualifier pour conduire le peuple en Terre promise, ce que Dieu ne lui avait pas permis de faire lui-même. Ainsi, bien qu’étant un homme encore vigoureux pour son âge, Moïse avait raison de dire qu’il ne pourrait plus ‘sortir et entrer’ devant la nation qui s’apprêtait à franchir le Jourdain. – TG1978 1/9 p31 On posait les mains sur une personne ou un objet à des fins diverses. Toutefois, la signification générale de ce geste était l’action de désigner, de signaler, que la personne ou la chose était admise, reconnue, pour une certaine fonction. Quand, sur l’ordre de Jéhovah, Moïse établit Josué comme son successeur, il posa sa main sur lui, et à la suite de cela Josué fut « plein de l’esprit de sagesse », rendu apte à diriger convenablement Israël (Dt 34:9). On posait les mains sur des personnes pour les désigner comme bénéficiaires d’une bénédiction. - it-2 p185 § 5 Main L’expression “ face à face ” suggère des fréquentations ou une communication intimes. Ainsi, il fut donné à Moïse le privilège d’avoir avec Dieu des relations si étroites et d’être utilisé par lui si puissamment qu’il est présenté comme un prophète “ que Jéhovah connaissait face à face ”. (Dt 34:10-12.) Même s’il est écrit que Moïse contempla “ l’apparition de Jéhovah ” et que ce dernier lui parlait “ bouche à bouche ”, Moïse ne vit cependant jamais la face de Jéhovah à proprement parler. Comme le contexte l’indique, cette façon d’exprimer les choses provient de ce que Dieu parla à Moïse par des porte-parole angéliques en une conversation directe et verbale (plutôt que par des visions ou par des rêves). Moïse rappela aux Israélites que Dieu avait parlé “ face à face ” avec eux, car ils avaient entendu une voix puissante au Sinaï, et pourtant aucun d’entre eux n’avait vu Jéhovah en personne. — it-1 p862 Face La fin du livre du Deutéronome explique quel rang privilégié Jéhovah lui avait donné ; on y lit : “ Mais il ne s’est encore jamais levé en Israël de prophète comme Moïse, que Jéhovah connaissait face à face, ni quant à tous les signes et miracles que Jéhovah l’envoya faire au pays d’Égypte, à l’égard de Pharaon, de tous ses serviteurs et de tout son pays, ni quant à toute la main forte et à toute la grande et redoutable puissance que Moïse mit en œuvre sous les yeux de tout Israël. ” — Dt 34:10-12. Selon les paroles de Jéhovah, comme on l’a mentionné précédemment, jamais Moïse ne vit littéralement Dieu en personne, mais il eut avec lui des relations plus directes, plus suivies et plus intimes que tout autre prophète avant Jésus Christ. En tant que médiateur d’Israël, Moïse était pour ainsi dire continuellement en dialogue avec Dieu. Il pouvait à tout moment exposer des problèmes d’importance nationale et recevoir une réponse de Dieu. - it-2 p312-313 Bénéficiant du soutien de Jéhovah, Moïse tenait sa lourde mission en haute estime. À ses yeux, elle était « plus grande que les trésors de l’Égypte ». Car qu’était le service offert à Pharaon comparé au service offert au Dieu Tout-Puissant ? Qu’était le rang de prince d’Égypte comparé au rôle de « Christ », ou d’oint, de Jéhovah ? Moïse a été récompensé pour la valeur qu’il accordait à sa mission. Il avait une intimité particulière avec Jéhovah et, pour qu’il mène les Israélites vers la Terre promise, Jéhovah lui a permis de déployer une « grande et redoutable puissance » (Deut. 34:10-12). Il a laissé Dieu l’utiliser d’une manière remarquable. Pourtant, c’était un homme ordinaire. Ceux du peuple qui avaient foi avaient une crainte salutaire de l’autorité de Moïse. Ils comprenaient que Dieu parlait par son intermédiaire. Les Israélites devaient aussi redouter le sanctuaire de Jéhovah. Cela signifiait qu’ils devaient manifester du respect vis-à-vis du sanctuaire, rendant leur culte de la manière que Jéhovah indiquait et se conduisant en harmonie avec tous ses commandements. Nous avons, nous aussi, une mission. Par l’intermédiaire de son Fils, Jéhovah nous a désignés pour un ministère : proclamer la bonne nouvelle. – TG2014 15/4 p3 §11
  17. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 30 Août 2021 - Deutéronome 31-32.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 30 Août 2021 - Deutéronome 31-32.pdf Perles spirituelles (10 min) : Deutéronome 31-32 Deutéronome 31:12 : Comment les parents chrétiens peuvent-ils appliquer le principe qui se dégage de ce verset ? w04 15/9 27 § 11 « Rassemblez le peuple, les hommes, les femmes, les enfants et les résidents étrangers qui sont dans vos villes, afin qu’ils écoutent, qu’ils apprennent à connaître Jéhovah votre Dieu et le craignent, et qu’ils aient soin d’appliquer toutes les paroles de cette Loi. » Aux réunions chrétiennes, les jeunes devraient s’asseoir avec les adultes et s’efforcer d’écouter et d’apprendre w04 15/9 27 § 11 Notez à qui s’adressait l’ordre de se rassembler pour adorer : aux hommes, aux femmes et aux petits. Oui, même les jeunes étaient exhortés à écouter, à apprendre et à suivre la direction divine. En classe, l’instituteur réclame l’attention de ses élèves, même si le sujet ne les passionne pas ou les dépasse un peu, car il sait qu’en faisant cet effort ils retireront toujours quelque chose de la leçon. Dès lors, n’est-il pas normal qu’un enfant en âge d’aller à l’école écoute attentivement l’instruction qui est dispensée lors des réunions de l’assemblée plutôt que de s’endormir à peine le programme commencé ? Reconnaissons que, parmi les précieuses vérités contenues dans les Écritures, il se trouve “ certaines choses difficiles à comprendre ”. Cependant, ne sous-estimons pas les facultés d’assimilation des enfants. Dieu ne le fait pas. Dans les temps bibliques, il demandait à ses jeunes serviteurs d’‘ écouter et d’avoir soin d’appliquer toutes les paroles de cette loi ’, sachant très bien que certaines de ces paroles étaient difficiles à comprendre pour des enfants. Jéhovah attend-il moins des enfants d’aujourd’hui ? TG2000 15/3 p17 Si les parents s’assoient avec leurs enfants, ils pourront s’assurer qu’ils écoutent attentivement. Les vidéos, chansons et activités de cette rubrique aident les parents à inculquer la Parole de Dieu à leurs jeunes enfants. Chaque vidéo enseigne une leçon importante, leçon qui est accentuée dans des activités où par exemple il faut retrouver des objets dans une image. Des cantiques et des chansons composées spécialement pour les enfants sont postés régulièrement sur le site. En effet, les enfants aiment beaucoup les chansons, et celles-ci les aident à retenir ce qu’ils apprennent. km2013/10 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Vers la fin de sa vie, bien que toujours robuste, Moïse a demandé à Jéhovah de lui trouver un successeur. C’est Josué qui a été désigné pour mener les Israélites en Terre Promise. Moïse a soutenu de tout cœur cet homme plus jeune, et a encouragé le peuple à suivre sa direction (Deutéronome 31:3-6 ; 34:7). Certes, il considérait comme un privilège de conduire les Israélites. Mais il n’a pas accordé à sa position plus d’importance qu’au bien-être des autres. QUELLES LEÇONS EN TIRER ? Ne laissons jamais le pouvoir, l’autorité ou nos capacités naturelles nous monter à la tête. Rappelons-nous : pour être utiles à Jéhovah, il nous faut avant tout être humbles, quelles que soient nos capacités. La véritable humilité nous incitera à appliquer ce sage conseil biblique : « Mets ta confiance en Jéhovah de tout ton cœur et ne t’appuie pas sur ton intelligence » (Proverbes 3:5, 6). – TG2013/ 1/ 2 p5 “ Soyez courageux et forts, leur avait-il dit. N’ayez pas peur et ne tremblez pas devant eux, car c’est Jéhovah ton Dieu qui marche avec toi. Il ne te délaissera ni ne t’abandonnera complètement. ” (Deutéronome 31:6). Le contexte montre que Moïse invitait les Israélites à manifester en Jéhovah une confiance qui allait au-delà des questions matérielles. De quoi s’agissait-il ? Pendant les 40 années où les Israélites avaient dû errer dans le désert, Dieu s’était montré fidèle en assurant leur subsistance. Quand le moment de pénétrer en Terre promise était arrivé, Jéhovah avait désigné Josué comme successeur de Moïse. On pouvait s’attendre à ce que les occupants du pays opposent de la résistance. Mais il n’y avait pas lieu de craindre ; Jéhovah n’avait-il pas marché avec son peuple pendant des dizaines d’années ? Les Israélites avaient toutes les raisons de voir en Jéhovah un Dieu en qui ils pouvaient placer leur confiance. Dans leur marche vers le monde nouveau promis par Dieu, les chrétiens de notre temps cheminent dans le désert qu’est le monde méchant, certains depuis plus de 40 ans. Aujourd’hui, ils sont aux portes du monde nouveau. Cependant, la voie n’est pas dégagée ; il y a encore des ennemis bien décidés à empêcher quiconque de pénétrer dans ce qui deviendra comme une Terre promise, plus glorieuse que celle d’autrefois qui ruisselait de lait et de miel. Combien sont donc appropriées pour les chrétiens de notre époque ces paroles de Moïse reprises par Paul : “ Je ne te quitterai en aucune façon ni ne t’abandonnerai en aucune façon. ” Tous ceux qui restent forts, courageux, pleins de foi, et qui mettent leur confiance en Jéhovah, sont assurés d’être récompensés. – TG1998 15/8 p10-11 Jéhovah a utilisé la colonne de feu et de nuage pour conduire ses serviteurs hors d’Égypte et les guider dans le désert. Ces derniers devaient se tenir prêts à la suivre. Elle n’indiquait pas la voie la plus directe vers la Terre promise, mais le seul moyen d’arriver à destination était de se fier à sa direction. La présence de cette colonne garantissait aux Israélites que Dieu était avec eux. Elle représentait Jéhovah, qui a parfois parlé du milieu d’elle. La dernière apparition du nuage rapportée dans les Écritures a confirmé que Jéhovah avait fait de Josué le successeur de Moïse (Deut. 31:14, 15). De toute évidence, l’Exode ne pouvait avoir de fin heureuse qu’à condition que les Israélites voient en la colonne le signe de la direction divine et la suivent ; Aujourd’hui, Jéhovah ne laisse pas non plus son peuple sans direction claire. De même qu’il n’a pas demandé aux Israélites de trouver tout seuls leur chemin, de même il ne nous demande pas de trouver tout seuls la voie qui mène au monde nouveau promis. Il a nommé Jésus Christ “ Conducteur ” de la congrégation. Jésus, quant à lui, a délégué une partie de son autorité à un esclave fidèle, constitué de chrétiens oints de l’esprit. Cet esclave, pour sa part, établit des anciens dans la congrégation – TG2011 15/4 p3 Si nous marchons modestement dans les voies de Jéhovah, il nous donnera courage et force (Deut. 31:6-8, 23). Hénok, l’aîné de la septième génération des descendants d’Adam, a marché courageusement avec Dieu en menant une vie droite parmi des gens corrompus. Jéhovah a donné à Hénok la force dont il avait besoin pour délivrer à ses contemporains un message puissant à cause de leurs paroles et de leurs actions impies. Avez-vous le courage nécessaire pour annoncer les jugements de Dieu ? – TG2008 15/2 p7-11 §11 Juste avant que les Israélites entrent en Terre promise, Jéhovah a enseigné à Moïse les paroles d’un chant. Moïse, à son tour, devait les enseigner au peuple (Deut. 31:19). Il ressort clairement des premières paroles de ce chant que Jéhovah ne veut pas que son nom soit gardé secret ou qu’on considère qu’il est trop sacré pour être prononcé (Deutéronome 32:2, 3). Il veut que tous les êtres intelligents qu’il a créés le connaissent ! Quel honneur les Israélites ont eu d’écouter Moïse leur parler ainsi de Jéhovah et de son nom glorieux ! Cet enseignement a nourri leur foi et les a encouragés : il a eu sur eux l’effet qu’une douce pluie a sur la végétation. Que faire pour que notre enseignement ait le même effet sur ceux qui nous écoutent ? Quand nous prêchons, nous pouvons utiliser la Bible pour montrer aux gens le nom de Dieu. Nous avons des publications à leur offrir, et nous pouvons leur montrer des vidéos ou d’autres contenus de notre site qui honorent Jéhovah. – TG2020/6 §9,10 Autrefois, Jéhovah a dit à son peuple : « Ma parole coulera comme la rosée, comme des pluies douces sur l’herbe » (Deut. 31:19, 30 ; 32:2). Les caractéristiques de la rosée illustrent bien comment aider efficacement toutes sortes de personnes dans notre ministère. La rosée est douce. Elle se forme petit à petit, s’accumulant goutte après goutte à partir de la vapeur d’eau présente dans l’air. Les paroles de Jéhovah « coulaient comme la rosée », car il parlait à son peuple avec bienveillance, douceur et gentillesse. Nous l’imitons en respectant le point de vue des autres. Nous les encourageons à raisonner par eux-mêmes et ainsi à tirer leurs propres conclusions. Quand nous manifestons une telle considération, nos paroles sont plus facilement assimilées, et notre ministère plus efficace. La rosée est rafraîchissante. Notre ministère est rafraîchissant, ou stimulant, pour les autres si nous recherchons la meilleure manière de favoriser leurs intérêts. La rosée entretient la vie. En Israël, à la saison sèche, il peut ne pas pleuvoir pendant des mois. Sans l’humidité de la rosée, les plantes se dessèchent et meurent. Aujourd’hui, une sécheresse spirituelle sévit, comme l’a prédit Jéhovah (Amos 8:11). Il a promis que les évangélisateurs oints seraient « comme une rosée venant de Jéhovah » en proclamant le message du Royaume, aidés de leurs compagnons, les « autres brebis ». Voyons-nous dans le message de la bonne nouvelle du Royaume une des dispositions de Jéhovah pour fournir l’« humidité » spirituelle synonyme de vie ? La rosée est une bénédiction de Jéhovah. Notre ministère est une bénédiction pour ceux qui y sont réceptifs. Notre ministère se révélera-t-il une bénédiction de Jéhovah pour autrui ? Il le sera si le message que nous prêchons est comme la rosée — doux, rafraîchissant et synonyme de vie – TG2016/4 L’Arche servait d’archives où on mettait en sûreté les saints rappels ou témoignage ; son contenu principal était les deux tablettes du témoignage ou Dix Commandements. Juste avant de mourir, Moïse donna une copie du “ livre de la loi ” aux prêtres lévitiques et leur ordonna de la garder non à l’intérieur, mais ‘ à côté de l’arche de l’alliance de Jéhovah, leur Dieu ’, où, dit-il, elle devait “ servir de témoin contre toi ”. — Dt 31:24-26. – it-1 p159 §4 Le Sinaï est appelé le “ pays de l’aigle ”, car il est courant d’y voir ce rapace aux ailes puissantes prendre son essor et planer dans les airs. Les Israélites rassemblés au mont Sinaï peu après leur libération durent donc apprécier la justesse des paroles imagées de Dieu quand il leur dit qu’il les avait fait sortir d’Égypte en les portant “ sur des ailes d’aigles ”. Près de 40 ans plus tard, Moïse pouvait comparer la façon dont Dieu avait conduit Israël dans le désert à la manière dont l’aigle “ excite son nid, plane sur ses oisillons, déploie ses ailes, les prend, les porte sur ses pennes ”. (Dt 32:9-12.) Quand un aiglon atteint l’âge de voler, son père ou sa mère l’excite en battant des ailes, pour l’inciter à l’imiter. Puis le père ou la mère le pousse ou l’attire hors du nid, afin qu’il essaie ses ailes. – it-1 p67 Aigle Après avoir traversé la mer Rouge, les Israélites ont pénétré dans le “ grand et redoutable désert ” du Sinaï. Au cours de leur périple sur ce ‘ sol desséché, dépourvu d’eau ’, et alors qu’il n’y avait pas assez de nourriture pour tout un peuple, Jéhovah ne les a pas abandonnés. Moïse s’est ainsi souvenu : “ Jéhovah a finalement trouvé Israël dans un pays de désert, dans des solitudes hurlantes et vides. Alors il l’a entouré, il a pris soin de lui, il l’a préservé comme la pupille de son œil. ” (Deut. 8:15 ; 32:10). Pour qu’ils continuent de servir Jéhovah et qu’ils persévèrent dans leurs efforts pour obéir à ses lois, les Israélites devaient se rappeler avec reconnaissance ses actes sauveurs. Qu’allait faire Israël ? Moïse a déclaré : “ Le Rocher qui t’a engendré, tu l’as alors oublié, tu mettais en oubli Dieu. ” (Deut. 32:18). Bien vite, ce que Jéhovah avait réalisé à la mer Rouge, la façon dont il a préservé son peuple dans le désert et toutes les autres bonnes choses qu’il a accomplies, tout cela était tombé dans l’oubli ou ignoré. Les Israélites étaient devenus rebelles. Contrairement à la nation d’Israël, les vrais chrétiens, en tant que groupe, n’oublieront jamais Jéhovah. Mais notre appartenance à la congrégation ne garantit pas que, personnellement, nous resterons intègres. Comme Caleb et Josué, chacun de nous doit servir Jéhovah avec reconnaissance et endurance. Nous avons de bonnes raisons d’agir ainsi, car Jéhovah continue de guider et de protéger chacun de nous en ce temps de la fin très difficile. – TG2009 15/3 p6 En temps voulu, tous les hommes fidèles du passé seront ressuscités dans le nouveau système de choses, et ils se réjouiront eux aussi. Les serviteurs de Dieu n’ont jamais essayé de se venger eux-mêmes des membres de la fausse religion qui les persécutaient. Ils se sont rappelé ces paroles de Jéhovah : “ À moi la vengeance ; c’est moi qui paierai de retour, dit Jéhovah. ” (Deutéronome 32:35, 41-43). Jéhovah a maintenant payé de retour. Tout le sang versé par Babylone la Grande aura été vengé. Dieu exécute la vengeance et la rétribution avec une totale maîtrise de soi, en plein accord avec sa justice et jamais sans raison flagrante – re chap37 p267-271 §8 Aux jours de Josué, Jéhovah chargea sa nation sainte de purifier la Terre promise par le moyen d’une guerre. Aujourd’hui, notre guerre est spirituelle. Les Témoins de Jéhovah n’entreprennent aucune action violente pour faire disparaître ceux qui font peu de cas de la Parole de Dieu. Jéhovah s’en chargera en son temps et à sa manière (Deutéronome 32:41, 43). Nous ne fréquentons pas étroitement les gens sans principes, bien que nous leur témoignions un amour sincère en leur faisant connaître la bonne nouvelle relative au Royaume. Nous pouvons étudier la Parole de Dieu avec eux et les encourager à ‘se repentir et à se retourner pour que leurs péchés soient effacés’. — TG1986 15/12 p15 Moïse avait prescrit aux Israélites : “ Appliquez votre cœur à toutes les paroles que je dis aujourd’hui en avertissement pour vous [...]. Car ce n’est pas une parole sans valeur pour vous, mais elle signifie votre vie, et par cette parole vous pourrez prolonger vos jours sur le sol vers lequel vous traversez le Jourdain pour en prendre possession. ” (Deut. 32:46, 47). Étant inspirées de Dieu, les paroles de Moïse avaient beaucoup de valeur ; elles étaient indispensables au bien-être de la nation. Ceux qui les ont écoutées ont vécu longtemps et ont connu la prospérité. Puissions-nous toujours rejeter les paroles sans valeur et nous cramponner aux paroles de vérité.- TG2008 15/4 p5-6 Comme Abraham, Moïse n’a pas vu les promesses de Dieu s’accomplir de son vivant. Alors que les Israélites s’apprêtaient à entrer en Terre promise, Jéhovah lui a dit : “ C’est à distance que tu verras le pays, mais tu n’y entreras pas, dans le pays que je donne aux fils d’Israël. ” Pourquoi ? Parce que précédemment Moïse et Aaron, exaspérés par l’attitude rebelle du peuple, avaient ‘ manqué à leur devoir envers Dieu, au milieu des fils d’Israël, aux eaux de Meriba ’. (Deut. 32:51, 52.) Moïse s’est-il découragé ou aigri ? Non. Après avoir béni la nation, il a déclaré : “ Heureux es-tu, ô Israël ! Qui est comme toi, peuple qui connaît le salut en Jéhovah, le bouclier de ton secours, et Celui qui est ton épée de grandeur ? ” — Deut. 33:29. Leçon pour nous : Il nous apparaît clairement que, pour courir la course chrétienne jusqu’à la fin, il nous faut avoir entièrement foi en Dieu et en ses promesses. La foi doit jouer un rôle central dans notre existence, pas un rôle accessoire. Contrairement à ceux qui n’ont pas foi en Jéhovah, nous portons nos regards au-delà du présent. – TG2011 15/9 §16,17
  18. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 23 Août 2021 - Deutéronome 29-30.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 23 Août 2021 - Deutéronome 29-30.pdf Perles spirituelles (10 min) : Deutéronome 29-30 Deutéronome 29:4 : Quel avertissement pouvons-nous dégager du comportement des Israélites ? (it-2 453 § 3). « Mais jusqu’à aujourd’hui, Jéhovah ne vous a pas donné un cœur pour comprendre, des yeux pour voir et des oreilles pour entendre » Par l’intermédiaire de ses serviteurs, Jéhovah déclara au sujet des Israélites entêtés et désobéissants qu’ils avaient des ‘ oreilles incirconcises ’. (Jr 6:10 ; Ac 7:51.) C’était comme si elles étaient bouchées par quelque chose qui les empêchait d’entendre. Jéhovah ne les avait pas ouvertes, car il donne des oreilles pour comprendre et pour obéir à ceux qui le recherchent, mais il permet que l’ouïe spirituelle de ceux qui désobéissent s’émousse (Dt 29:4 ; Rm 11:8). L’apôtre Paul prédit une époque où certains, qui se prétendraient chrétiens, se détourneraient de la vraie foi. Refusant d’entendre la vérité de la Parole de Dieu, ils préféreraient se faire “ agréablement caresser ” les oreilles par des choses qui leur plairaient, et donc écouteraient de faux enseignants (2Tm 4:3, 4 ; 1Tm 4:1). D’autre part, quelqu’un peut avoir les oreilles qui ‘ tintent ’ en entendant des nouvelles alarmantes, en particulier l’annonce d’un malheur. 1S 3:11 ; 2R 21:12 ; Jr 19:3. — it-2 p453 § 3 Dieu exigeait des Israélites, pourtant déjà circoncis dans la chair, qu’ils soient circoncis de cœur. ‘ Circoncire son cœur ’ signifie éliminer de ses pensées, de ses sentiments ou de ses mobiles tout ce qui déplaît à Jéhovah, ce qui est impur à ses yeux et ce qui rend le cœur insensible. De même, les oreilles insensibles ou non réceptives sont dites ‘ incirconcises ’. – it-1 circoncision Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Combler les besoins matériels de sa famille. Jéhovah a fourni aux Israélites ce qu’il leur fallait sur le plan matériel, même après les avoir punis pour leur désobéissance (Deut. 2:7 ; 29:5). Il leur procura la manne et l’eau, il leur donna une législation sanitaire qui protégeait leur santé, et il fit même en sorte que leurs chaussures ne s’usent pas. Et aujourd’hui encore, il comble les besoins fondamentaux de ses serviteurs. Pour plaire à Jéhovah, un chef de famille doit subvenir aux besoins matériels des siens. Mais il doit rester équilibré : il ne devrait pas consacrer trop de temps à son travail et en venir ainsi à négliger les besoins spirituels et affectifs de sa famille. Jéhovah a confié une lourde responsabilité aux chefs de famille, et ils doivent lui rendre des comptes sur la façon dont ils s’en acquittent. – TG2021/2 p2 Tous les chrétiens qui ont élevé une famille admettront volontiers que ce n’est pas là, tâche facile. Toutefois, la Parole inspirée de Dieu porte plusieurs facteurs importants à l’attention des parents. L’un d’eux se rapporte à la nécessité de commencer à éduquer les enfants lorsqu’ils sont jeunes. Qu’entendons-nous par-là ? Lorsque les Israélites se réunissaient pour recevoir l’instruction de Jéhovah, leurs “petits” étaient avec eux (Deutéronome 29:10-13; 31:12, 13). À l’évidence, les femmes israélites venaient avec leurs tout-petits en ces occasions, car tous devaient être présents. Ainsi, “depuis la plus tendre enfance”, leurs fils et leurs filles apprenaient à écouter sagement lors de ces rassemblements. Commencez très tôt, par des choses simples, à cultiver chez vos “petits” “la crainte de Jéhovah”. Si vous faites tout votre possible pour élever vos enfants dans “la crainte de Jéhovah”, les bienfaits et les joies qui en résulteront leur profiteront à eux, mais aussi à vous – TG1987 1/12 p10 Les Écritures qualifient souvent les idoles de “ sales ”, littéralement “ d’excrément ”. (Deutéronome 29:17) Notre aversion naturelle des excréments nous donne une idée du dégoût que ressent Dieu devant n’importe quelle forme d’idolâtrie. – TG2001 1/12 Devrions-nous juger étrange que Dieu garde cachés certains renseignements ? Alors que les Israélites approchaient de la Terre promise, le prophète Moïse écrivit sous l’inspiration de Dieu : “Les choses cachées appartiennent à Jéhovah, notre Dieu, mais les choses révélées nous appartiennent, à nous et à nos fils, jusqu’à des temps indéfinis, pour que nous exécutions toutes les paroles de cette loi.” (Deut. 29:29). Oui, tout ce dont nous avons vraiment besoin pour le servir fidèlement et pour affermir notre espérance et notre foi, Jéhovah Dieu nous le révèle. Mais quand cela convient mieux à la réalisation de son dessein, Dieu peut aussi cacher certaines choses, sans pour autant faire du tort à ses serviteurs ni les priver de quoi que ce soit.- TG1976 1/11 §9 Moïse a dit aux Israélites: “Les choses révélées nous appartiennent, à nous et à nos fils, jusqu’à des temps indéfinis.” (Deutéronome 29:29). La lumière qui a été répandue sur la Parole de Dieu dans les derniers jours fait-elle partie de ces “choses révélées”? Non, il ne conviendrait pas de mettre au même niveau la compréhension des prophéties que nous avons reçue dans les derniers jours et les “choses révélées” dont parlait Moïse. D’après le contexte, les “choses révélées” auxquelles Moïse faisait allusion se rapportent à l’alliance de la Loi (Deutéronome 29:25). Moïse montrait que ces “choses révélées” imposaient des responsabilités. Si le peuple manquait à ces responsabilités, Jéhovah le disciplinerait. L’alliance de la Loi, bien sûr, était une révélation de Jéhovah Dieu. Elle faisait suite à d’autres révélations qu’avaient reçues les patriarches, Noé et — pour remonter tout aux débuts de l’histoire humaine — Adam. Moïse fut utilisé pour mettre par écrit les choses révélées jusqu’à son époque, lesquelles choses ont été préservées pour nous dans les cinq premiers livres de la Bible. Plus tard, ces “choses révélées” en sont venues à englober toute la connaissance renfermée dans la Bible La Bible contient donc les “déclarations sacrées de Dieu”, les choses révélées par lui (Romains 3:2). Les Juifs selon la chair s’étant montrés infidèles, ce sont les chrétiens oints de l’esprit qui sont devenus les intendants de ces “choses révélées”, et la congrégation chrétienne la “colonne et le soutien de la vérité”. Par conséquent, les membres de la congrégation actuelle peuvent légitimement reprendre à leur compte les paroles de Moïse: “Les choses révélées nous appartiennent.” C’est à la congrégation des chrétiens oints, née à la Pentecôte de l’an 33, qu’ont été confiées “les choses révélées”. Collectivement, les chrétiens oints constituent l’esclave fidèle et avisé. La mission dont Dieu les a investis consiste à donner l’intelligence spirituelle des “choses révélées”.TG1987 15/5 Dieu exigeait des Israélites, pourtant déjà circoncis dans la chair, qu’ils soient circoncis de cœur. Circoncire son cœur ’ signifie éliminer de ses pensées, de ses sentiments ou de ses mobiles tout ce qui déplaît à Jéhovah, ce qui est impur à ses yeux et ce qui rend le cœur insensible. De même, les oreilles insensibles ou non réceptives sont dites ‘ incirconcises. pour plaire à Dieu, un chrétien doit subir une ‘ circoncision du cœur ’. (Deutéronome 10:16 ; 30:6). Elle ne s’effectue pas à l’aide d’un instrument tranchant, mais par le rejet des mauvais désirs et des pensées orgueilleuses, comme la croyance selon laquelle la circoncision dans la chair rend supérieur aux autres. C’est en endurant les épreuves et en tenant “ ferme dans la foi ” qu’un chrétien s’avère être un homme, qu’il soit circoncis ou pas. Egalement être circoncis de cœur et d’oreilles signifie avoir un cœur humble, tout à fait sincère, disposé et prompt à écouter et à obéir, qui garde son possesseur dans le culte pur. En revanche, celui dont le cœur a tendance à se détourner et à faire la sourde oreille par orgueil, ce qu’implique le cou raide, tombera fatalement dans le piège de la fausse religion et connaîtra l’échec. – it-1 p483 Deutéronome 30:11-20 - Est-il difficile de savoir puis de faire ce que Jéhovah attend de nous ? Moïse déclare : “ Ce commandement que je te commande aujourd’hui n’est pas trop difficile pour toi, et il n’est pas éloigné. ” (Verset 11). Jéhovah ne demande pas l’impossible. Ses exigences sont raisonnables et réalistes. De plus, il n’y a pas de mystère : nous n’avons pas à monter “ aux cieux ” ou à aller “ de l’autre côté de la mer ” pour apprendre ce que Dieu réclame (versets 12, 13). La Bible indique clairement comment nous devrions vivre. — Mika 6:8. Pour autant, Jéhovah ne nous force pas à lui obéir. Moïse dit : “ Je mets vraiment aujourd’hui devant toi la vie et le bien, la mort et le mal. ” (Verset 15). Nous sommes libres de choisir entre la vie et la mort, entre le bien et le mal. Nous pouvons choisir d’adorer Dieu et de lui obéir avec les bénédictions qui en découlent, ou de lui désobéir et d’en subir les conséquences. La décision nous appartient. — Versets 16-18 Notre décision importe-t-elle à Jéhovah ? Bien sûr ! Sous l’inspiration divine, Moïse recommande : “ Tu dois choisir la vie. ” (Verset 19). Comment donc choisir la vie ? Il poursuit : “ En aimant Jéhovah ton Dieu, en écoutant sa voix et en t’attachant à lui. ” (Verset 20). Si nous en venons à aimer Jéhovah, nous aurons envie de l’écouter docilement et nous nous attacherons fidèlement à lui, quoi qu’il arrive. En nous attachant à Jéhovah. Pour ‘ choisir la vie et rester en vie ’, nous devons, non seulement aimer Jéhovah et l’écouter, mais également ‘ nous attacher à lui ’, c’est-à-dire faire sa volonté avec persévérance. “ Agir ainsi, c’est choisir la vie, c’est-à-dire la meilleure façon de vivre qui soit aujourd’hui assortie de la perspective de vivre éternellement dans le futur monde nouveau de Dieu. Il ressort des paroles de Moïse une vérité rassurante. Quoi que vous ayez vécu dans ce monde mauvais, vous n’êtes pas une victime impuissante. Vous n’êtes pas non plus condamné à l’échec. Jéhovah vous a honoré du libre arbitre. Vous pouvez choisir de l’aimer, de l’écouter et de lui rester fidèle. Si vous faites ce choix, il bénira vos efforts. – TG2009 1/11 p31 Parlant au nom de Dieu, Moïse, le conducteur de la nation d’Israël, avait dit au peuple, alors sur le point d’entrer en Terre promise : « J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction ; et tu dois choisir la vie, pour que tu vives, toi et tes descendants, en aimant Jéhovah ton Dieu, en écoutant sa voix et en t’attachant à lui » (Deutéronome 30:15, 19, 20). Dieu a délivré les Israélites de l’esclavage en Égypte et a placé devant eux la perspective d’une vie en Terre promise où ils seraient libres et heureux. Mais ils n’allaient pas obtenir toutes ces bénédictions automatiquement. Pour en bénéficier, ils devaient « choisir la vie ». Comment ? En aimant Dieu, en écoutant sa voix et en s’attachant à lui. Aujourd’hui, un choix semblable s’offre à vous, et le choix que vous ferez aura une influence décisive sur votre avenir. En choisissant d’aimer Dieu, d’écouter sa voix et de vous attacher à lui, vous choisissez en réalité la vie : la vie éternelle dans un paradis sur terre - wp18.2 p14-15
  19. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 16 Août 2021 - Deutéronome 27-28.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 16 Août 2021 - Deutéronome 27-28.pdf Perles spirituelles (10 min) : Deutéronome 27-28 Deutéronome 27:17 : Pourquoi la Loi de Jéhovah interdisait-elle à un Israélite de déplacer la borne du terrain de son semblable ? (it-1 364). « “Maudit est celui qui déplace la borne du terrain de son semblable.” (Et tout le peuple dira : “Amen !”) » La loi de Jéhovah interdisait de reculer les bornes (Dt 19:14). D’ailleurs, maudit était celui qui reculait “ la borne de son semblable ”. (Dt 27:17.) Comme les propriétaires fonciers dépendaient généralement de ce que produisaient leurs parcelles de terre, celui qui reculait une borne privait quelqu’un d’autre d’une partie de ses moyens d’existence. Cette action équivalait à du vol, et c’est ainsi qu’elle était considérée dans les temps anciens. Mais des hommes sans scrupules se rendaient coupables de tels abus ; au temps d’Hoshéa, les princes de Juda furent comparés à des gens qui reculent une frontière. - it-1 p364 Après le partage du pays en territoires tribaux, les terres furent réparties en parcelles, sans aucun doute à l’aide d’une corde à mesurer. Une fois établies, ces limites devaient être respectées. Déplacer une borne était un délit non seulement sous la Loi mosaïque, mais aussi selon le code babylonien. Un tel acte fut également prohibé par le chef égyptien Amenhotep et par les législations grecque et romaine. Pourquoi Jéhovah s’est opposé à des personnages éminents au temps d’Hoshéa : “ Les princes de Juda sont devenus comme des gens qui reculent une frontière. Sur eux je déverserai ma fureur comme de l’eau. ” (Hoshéa 5:10). Quelle malversation Hoshéa dénonçait-il ? Un cultivateur judéen vivait de ses terres, dont les frontières, les limites, étaient marquées par des pierres ou des poteaux. ‘ Reculer une frontière ’ consistait à réduire la parcelle d’un cultivateur et à le priver d’une partie de son gagne-pain ; cela revenait à le voler. Hoshéa a comparé les princes de Juda, qui auraient dû défendre la justice, à ceux qui reculaient les bornes des terrains. — Deutéronome 19:14 ; 27:17 De nos jours, ceux qui effectuent des transactions immobilières peuvent être tentés de ‘ reculer des frontières ’ afin de tromper les acheteurs. Néanmoins, le même principe s’applique aux marchands, aux employeurs, aux employés et aux clients, à quiconque passe un contrat ou un accord. Comme vous le savez, certains hommes d’affaires hésitent à mettre les clauses par écrit en se disant qu’ainsi il sera plus facile par la suite d’en faire moins que ce qui était convenu ou d’imposer de nouvelles exigences. D’autres rédigent un contrat, mais ajoutent des détails en petits caractères afin d’en tordre le sens à leur avantage, quitte à léser injustement l’autre partie. Croyez-vous que quelqu’un qui agit de cette manière, qu’il soit commerçant ou client, employeur ou employé, connaisse vraiment le Dieu de justice ? Jéhovah a dit dans sa Parole : “ Ne recule pas la frontière [...] des orphelins de père. Car leur Rédempteur est fort ; il plaidera leur cause avec toi. ” – jd chap6 p70 §11 Quand les Israélites occupèrent Canaan, chaque famille reçut une parcelle de terre et les limites de ces possessions furent marquées par des repères ou bornes. La Bible ne les décrit pas, mais il pouvait s’agir de poteaux, de pierres ou même de sillons dans le sol. Le mot hébreu qui signifie “ borne ” (gevoul) est le même que celui rendu par “ frontière ” et “ territoire ” . Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? La Bible fournit des preuves que les Israélites savaient lire et écrire. Avant même d’entrer en Terre promise, ils ont reçu l’ordre d’écrire les lois de Jéhovah sur les montants de leurs portes et sur leurs portes (Deutéronome 27:1-3). – TG1992 1/11 p10 §6 Jéhovah mérite notre respect, donc ses déclarations méritent notre respect. Lorsque Moïse, prophète de Dieu, a prononcé son discours d’adieu, il a, avec les prêtres, exhorté tout Israël en ces termes : “ Fais silence [...]. Tu devras écouter la voix de Jéhovah ton Dieu. ” Quand les fils d’Israël se réunissaient pour écouter la lecture de la Loi divine, même les enfants étaient tenus d’être attentifs. “ Rassemble le peuple, a ordonné Moïse, les hommes, les femmes et les petits [...] afin qu’ils apprennent. ” — Deut. 27:9, 10 ; 31:11, 12. N’est-il pas tout aussi indiqué aujourd’hui que les adorateurs de Dieu écoutent respectueusement l’enseignement dispensé lors de leurs rassemblements, y compris les grandes assemblées ? Bavarder inutilement quand des vérités bibliques essentielles nous sont transmises ne trahirait-il pas un manque de respect envers la Parole de Dieu et son organisation ? Durant le programme, c’est le moment de faire silence et d’écouter. – TG2009 15/3 p3 « Amen » signifie « qu’il en soit ainsi » ou « certainement ». Il vient d’un mot hébreu qui veut dire « être fidèle, digne de confiance ». Examinons un exemple remarquable d’utilisation du mot « amen ». Après leur entrée en Terre promise, les Israélites allaient devoir se rassembler entre le mont Ébal et le mont Garizim pour écouter la lecture de la Loi. Ils ne devraient pas simplement écouter, mais aussi s’engager à appliquer la Loi. Ils le feraient en répondant : « Amen ! » quand les Lévites liraient les conséquences qu’ils subiraient s’ils désobéissaient (Deut. 27:15-26). Imagine avec quelle force ce mot a dû retentir quand les milliers d’hommes, de femmes et d’enfants israélites l’ont prononcé ensemble ! . Ils n’ont probablement jamais oublié l’engagement qu’ils avaient pris ce jour-là.- TG2019/3 p29 Selon la Loi, quand un homme avait été exécuté pour un péché grave, son cadavre devait parfois être attaché à un poteau ; cela indiquait que le pécheur était maudit par Dieu (Deut. 21:22, 23 ; 27:26). Jésus, qui avait respecté parfaitement la Loi, ne méritait pas la malédiction qui frappait les Juifs désobéissants. En étant attaché à un poteau, il a donc subi la malédiction à leur place. Ainsi, la nation même qui l’avait rejeté a pu elle aussi bénéficier de son sacrifice – TG2021/4 p14 Quand les Israélites approchaient de la Terre promise, Jéhovah ne leur a pas demandé d’aiguiser leurs armes ou de s’entraîner au combat (Deut. 28:1, 2). Il leur a plutôt demandé d’obéir à ses commandements et de lui faire confiance. D’un point de vue humain, ce conseil pouvait sembler complètement illogique ! Mais c’était ce qu’il y avait de mieux à faire. En effet, Jéhovah a permis à son peuple de remporter victoire après victoire sur les Cananéens. Il faut de la foi pour obéir, mais agir avec foi mène toujours à la réussite. C’était vrai par le passé, ça l’est encore aujourd’hui ! – TG2018/12 p24 Dieu a dit à la nation d’Israël, qui descendait d’Abraham : “ Toutes les bénédictions [annoncées dans l’alliance de la Loi] devront venir sur toi et t’atteindre, parce que tu continues d’écouter la voix de Jéhovah ton Dieu. ” (Deut. 28:2). Ces paroles s’appliquent aussi aux serviteurs de Dieu aujourd’hui. Si vous voulez que les bénédictions de Jéhovah ‘ viennent sur vous et vous atteignent ’, “ continuez d’écouter ” sa voix. Mais comment “ écouter ” Dieu ? L’écouter, c’est bien sûr prêter une grande attention à la Bible et à la nourriture spirituelle qu’il fournit. C’est aussi lui obéir et obéir à son Fils. Enfin, écouter Dieu signifie reconnaître volontiers la structure qu’il a mise en place : la congrégation chrétienne dirigée par des “ dons en hommes ”, les anciens. — TG2010 15/12 p16 Moïse a écrit le livre du Deutéronome, qui comprend une liste de bénédictions et de malédictions. Si le peuple d’Israël ‘ continuait d’écouter la voix de Jéhovah ’ en lui obéissant, des bénédictions ‘ l’atteindraient ’. Jéhovah aimait ce peuple ; il le tenait pour son “ bien particulier ” et voulait montrer sa force en sa faveur. En revanche, si les Israélites ne continuaient pas de l’écouter, des malédictions les atteindraient tout aussi sûrement. — Deutéronome 28:2,15. Le verbe hébreu rendu par “ continues d’écouter ” en Deutéronome 28:2 évoque une action qui dure. Les serviteurs de Jéhovah ne doivent pas l’écouter seulement de temps à autre ; ils doivent continuer de l’écouter tout au long de leur vie. C’est à cette condition que les bénédictions divines les atteindront. Le verbe hébreu traduit par “ atteindre ” a été identifié à un terme de chasse qui signifie le plus souvent “ rattraper ” ou “ frapper ”. – Les relations particulières que les Israélites avaient avec Dieu leur procurèrent des bénédictions tant qu’ils se tinrent près de Jéhovah. En suivant ses instructions et en obéissant à ses commandements, les Israélites marchaient en quelque sorte à ses côtés sur le chemin de la vie comme des compagnons qui avancent côte à côte. C’est ce que Moïse laissa entendre quand il déclara ceci dans un discours qu’il fit à la fin de sa vie : “ Jéhovah te fera subsister pour lui comme un peuple saint, ainsi qu’il te l’a juré, si tu observes les commandements de Jéhovah, ton Dieu, et si tu marches dans ses voies. ” Deut. 28:9, TG1961 15/10p308 Quand elle était fidèle, la nation d’Israël donnait un bon témoignage à propos du nom de Dieu. Moïse avait dit à cette nation : « Il faudra que tous les peuples de la terre voient que le nom de Jéhovah a été invoqué sur toi, et vraiment ils auront peur de toi » (Deut. 28:10). Malheureusement, l’histoire des Israélites a surtout été une succession d’actes d’infidélité. À maintes reprises, ils sont retournés au culte d’idoles faites à la main. De plus, à l’image des dieux cananéens qu’ils adoraient, ils sont devenus cruels : ils offraient leurs enfants en sacrifice et opprimaient les pauvres. C’est pour nous une puissante incitation à rester saints, à l’exemple du Très-Saint, dont nous portons le nom. – TG2014 15/7 p23 §7 Avant qu’Israël n’entre en Terre promise, Jéhovah avait donné au peuple, par l’intermédiaire de Moïse, l’assurance qu’il connaîtrait l’abondance s’il continuait de Le servir fidèlement. En revanche, la famine serait une des terribles conséquences de l’infidélité d’Israël (Dt 28:23, 38-42). La famine à Jérusalem pendant le siège des Babyloniens (609-607 av. n. è.) fut si intense que des femmes firent cuire leurs propres enfants et les mangèrent. Dt 28:51-53. – it-1 p866 Famine Les Israélites n’ont montré aucune gratitude pour la bénédiction de Jéhovah. Comme ils n’ont pas continué de l’écouter, les malédictions prédites les ont atteints : leurs ennemis les ont vaincus, et les habitants des royaumes d’Israël et de Juda ont été envoyés en exil (Deutéronome 28:36). Les serviteurs de Dieu ont-ils compris, en subissant tant de souffrances, que les bénédictions divines n’atteignent que ceux qui continuent d’écouter Jéhovah ? Le reste juif qui est retourné dans son pays en 537 avant notre ère a eu la possibilité de démontrer s’il avait acquis “ un cœur de sagesse ” et s’il comprenait désormais l’importance de continuer d’écouter Dieu. Les Juifs rapatriés ont dressé un autel et ont commencé la reconstruction du temple à Jérusalem. Mais une forte opposition s’est déclenchée. Leur zèle s’est alors refroidi et les travaux ont été interrompus. Leur confort est devenu leur priorité. Il est impossible d’obtenir la bénédiction de Jéhovah en sacrifiant les intérêts spirituels à la recherche des avantages matériels. — TG2001 15/9 p10 Des vignes improductives étaient une manifestation de la défaveur divine. Moïse avait prophétisé que les vignes au sens littéral dépériraient à cause de l’apostasie des Israélites. “ Tu planteras des vignes, oui tu les cultiveras, mais tu ne boiras pas de vin et tu ne récolteras rien, car le ver mangera cela. ” (Deutéronome 28:39). Une vigne peut dépérir en quelques jours si un ver se loge dans le pied et en dévore l’intérieur. — TG2006 15/6 p18 Avec quels sentiments les Israélites devaient-ils obéir ? Dans sa Loi, Dieu leur avait fait savoir qu’il ne prendrait pas plaisir en eux s’ils ne le servaient pas “ avec joie et allégresse de cœur ”. (Deutéronome 28:45-47.) Jéhovah mérite plus qu’une obéissance machinale. Même des démons ou des animaux peuvent obéir machinalement à des ordres précis. Obéir sincèrement à Dieu, c’est lui obéir par amour. La joie qui caractérise cette obéissance-là vient de la conviction que les commandements divins ne sont pas pesants et que Jéhovah “ devient celui qui récompense ceux qui le cherchent réellement ”. – TG2010 15/9 p7 Pense à ce que Moïse a dû ressentir quand, blotti dans le creux d’un rocher, il a eu en vision un aperçu de la gloire de Jéhovah. Le livre Étude perspicace fait remarquer : « Moïse eut le privilège de vivre l’événement probablement le plus impressionnant qu’un homme ait jamais vécu avant la venue de Jésus Christ. » En cette occasion, Moïse a entendu ces paroles, sans doute prononcées par un ange : « Jéhovah, Jéhovah, Dieu miséricordieux et compatissant, lent à se mettre en colère et abondant en amour fidèle et en vérité ; il témoigne de l’amour fidèle à des milliers et pardonne la faute, la transgression et le péché » (Ex. 33:17-23 ; 34:5-7). Cette vision lui revenait peut-être à l’esprit quand il utilisait le nom « Jéhovah ». Il n’est donc pas étonnant qu’il ait plus tard conseillé aux Israélites de ‘craindre ce nom glorieux et redoutable’ (Deut. 28:58). – TG2020/6 p8-13
  20. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 9 Août 2021 - Deutéronome 24-26.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 9 Août 2021 - Deutéronome 24-26.pdf Perles spirituelles (10 min) : Deutéronome 24-26 Deutéronome 24:1 : Pourquoi ne faut-il pas en conclure que la Loi mosaïque rendait le divorce facile aux maris ? (it-1 657 § 5). « Si un homme se marie avec une femme, mais qu’elle ne lui plaise pas parce qu’il a découvert quelque chose d’inconvenant à son sujet, il faudra qu’il rédige pour elle un acte de divorce, qu’il le lui donne et qu’il la renvoie de chez lui. » L’acte de divorce. Il ne faut pas conclure des abus perpétrés plus tard que la concession faite à l’origine par la Loi mosaïque rendait le divorce facile pour le mari israélite. Pour divorcer, il était tenu d’observer certaines formalités. Il fallait rédiger un document, ‘ rédiger pour elle [sa femme] un acte de divorce ’. Le mari devait ‘ le lui mettre en main et la renvoyer de sa maison ’. (Dt 24:1.) Bien que les Écritures ne fournissent pas de détails supplémentaires sur cette procédure, il semble que les formalités à suivre comprenaient la consultation d’hommes dûment habilités, lesquels, éventuellement, tentaient d’abord une réconciliation. Le temps nécessaire pour préparer l’acte et pour que le divorce devienne légalement effectif donnait au mari l’occasion de reconsidérer sa décision. Il fallait qu’il y ait un motif de divorce, et les prescriptions correctement appliquées servaient logiquement à décourager les demandes de divorce inconsidérées. Cette procédure avait aussi pour effet de protéger les droits et les intérêts de la femme. Les Écritures ne révèlent pas le contenu de l’“ acte de divorce ”. - it-1 657 § 5 Même si Jéhovah n’a jamais voulu qu’un mari et sa femme divorcent, elle permettait à un Israélite de divorcer de sa femme s’il « découvrait quelque chose d’inconvenant à son sujet ». La Loi ne précisait pas de quel genre de faute il pouvait s’agir, mais ce devait être quelque chose de honteux et de grave, pas une faute légère. A l’époque de Jésus, beaucoup de Juifs divorçaient « pour n’importe quelle raison » (Mat. 19:3). Nous ne voudrions certainement pas avoir le même état d’esprit qu’eux. – TG2018/12 p11 Sous la Loi, un mari pouvait divorcer s’il trouvait chez sa femme quelque chose d’“ inconvenant ”. Bien sûr, il n’était pas question ici d’adultère, puisque cet acte était puni de mort. Il pouvait donc s’agir de fautes comme un grave manque de respect envers le mari ou envers la maison du père du mari, ou une attitude qui jetait l’opprobre sur la maisonnée. Le mari devait remettre à sa femme un acte de divorce, rédigé de sa main, ce qui sous-entend qu’aux yeux de la communauté il devait avoir des raisons suffisantes de divorcer. L’acte de divorce étant un document légal, cela laisse supposer que le mari devait consulter les anciens ou les autorités de la ville. Quelle était la raison d’être de ce document ? Les Écritures ne révèlent pas ce qu’un tel acte contenait, mais probablement servait-il à protéger les droits et les intérêts de la femme renvoyée. La femme pouvait alors se remarier, l’acte de divorce la protégeant de toute éventuelle accusation d’adultère – it-2 p224 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Même les lois militaires profitaient à la fois à la femme et au mari en exemptant le jeune marié pendant un an. Cette disposition permettait au couple d’exercer son droit d’avoir un enfant, ce qui était par la suite un grand réconfort pour la mère quand le mari était absent, et plus encore s’il perdait la vie dans une bataille. — Dt 20:7 ; 24:5. - it-1 p874 24:6 — Pourquoi saisir ‘ comme gage le moulin à bras ou la meule de dessus ’ revenait-il à saisir “ une âme ” ? Le moulin à bras et la meule de dessus représentaient l’“ âme ”, le moyen d’existence, d’une personne. Saisir l’un ou l’autre privait une famille entière de sa ration quotidienne de pain. On cuisait le pain tous les jours, et il fallait fréquemment moudre le grain pour obtenir de la farine. De ce fait, le pain quotidien de chaque famille dépendait du moulin à bras. C’est donc par miséricorde que Dieu interdisait la saisie de ce moulin ou de sa meule de dessus. En effet, quiconque contrevenait à cette loi privait une famille de son pain quotidien, ce qui équivalait à saisir une “âme” ou ses “moyens d’existence”- TG2004 15/9 p26 La Loi protégeait un débiteur. Il était interdit au créancier d’entrer dans la maison du débiteur pour saisir un gage ; il lui fallait attendre dehors que le débiteur le lui apporte (Dt 24:10, 11). On ne pouvait saisir comme gage ni le vêtement d’une veuve ni les objets indispensables, tels que le moulin à bras ou sa meule de dessus (Dt 24:6, 17). Comme le pauvre n’avait bien souvent qu’un vêtement de dessus (manteau), dont il s’enveloppait pour dormir, si le créancier prenait ce vêtement comme gage, il devait le rendre au coucher du soleil. — Dt 24:12, 13. - it-1 p630 Les activités et les tâches courantes se poursuivaient jusqu’au coucher du soleil. À son approche, les hommes rentraient de leurs champs, leurs maîtres leur payaient leur salaire journalier, les femmes portaient chez elles une réserve d’eau pour la nuit, on fermait les portes des villes et les veilleurs entamaient la première des quatre veilles de la nuit, tandis qu’un peu partout dans la ville la lumière vacillante des lampes à huile commençait à luire dans les foyers Deut. 24 :15. Pour beaucoup, cependant, le travail reprenait après le repas du soir, car les hommes et les femmes laborieux faisaient du tissage et d’autres travaux d’intérieur. Jésus et ses apôtres poursuivaient aussi parfois leur ministère et les activités qui s’y rapportaient jusque dans la nuit. – it-2 p131 Dans le cadre de la Loi, Dieu avait donné cette instruction: “Les pères ne devront pas être mis à mort à cause des enfants et les enfants ne devront pas être mis à mort à cause des pères. Chacun devra être mis à mort pour son propre péché.” Deutéronome 24:16. Les juges israélites devaient suivre ce principe lorsqu’ils s’occupaient d’affaires judiciaires. N’étant pas capables de lire dans les cœurs, ils devaient juger chaque homme en fonction de ses actes tels qu’ils étaient établis par les faits TG86 15/3 p31 QUELLES PERSONNES LA LOI PROTÉGEAIT-ELLE EN PARTICULIER ? La Loi protégeait particulièrement ceux qui ne pouvaient pas se défendre seuls, comme les orphelins, les veuves et les étrangers. Les juges en Israël avaient reçu cette instruction : « Tu ne dois pas fausser un jugement concernant un résident étranger ou un orphelin de père, et tu ne dois pas prendre en gage le vêtement d’une veuve » (Deut. 24:17). Jéhovah s’intéressait tendrement aux plus vulnérables. Et il punissait ceux qui les traitaient mal; Leçon : Jéhovah veut que ceux à qui il a donné une certaine autorité prennent tendrement soin de ceux qui leur sont confiés – TG2019/2 p24-25 La Loi que Dieu donna aux Israélites spécifiait qu’ils ne devaient pas moissonner entièrement la lisière de leurs champs, repasser sur les branches de l’olivier après l’avoir gaulé ni cueillir ce qui restait dans leurs vignes après la vendange. Même si une gerbe de céréales avait été oubliée dans le champ, ils ne devaient pas revenir la chercher. Le glanage était un droit que Dieu donnait au pauvre du pays, à l’affligé, au résident étranger, à l’orphelin de père et à la veuve. À l’époque de la récolte, ils avaient le droit de glaner dans les champs, les vergers et les vignes ; ils n’avaient donc pas à mendier leur pain ou n’en étaient pas réduits à voler. — Dt 24:19-21. - it-1 p994 Coups - La Loi mosaïque prévoyait la punition par coups. On les donnait avec un bâton. Il appartenait aux juges de décider du nombre de coups à infliger, en fonction de la mauvaise action, mais aussi des mobiles, des circonstances, etc. La position était prescrite : “ Il faudra que le juge le fasse étendre par terre et frapper devant lui d’un nombre de coups qui corresponde à son action méchante. ” La punition était limitée à 40 coups (Dt 25:2, 3). La raison de cette limitation était que plus de 40 coups aurait déshonoré la personne aux yeux de ses compatriotes. C’est un des exemples qui montrent que la Loi donnée par l’intermédiaire de Moïse n’autorisait pas de punition cruelle ou exceptionnelle. La punition avait pour but de corriger, non de venger et de nuire, comme c’était le cas des punitions infligées chez les autres nations. Celui qui administrait les coups était puni s’il en donnait plus que le nombre légal. C’est pourquoi les Juifs limitèrent le nombre des coups à 39, afin de ne pas dépasser la limite par erreur, transgressant ainsi la loi. — it-1 p552-553 MUSELIÈRE - Appareil servant à recouvrir le museau d’un animal pour l’empêcher de mordre ou de manger. En Palestine, il était fréquent d’utiliser des bovins quand il fallait battre une grande quantité de grain. On déliait d’abord les gerbes et on les étendait sur la surface tassée de l’aire de battage jusqu’à ce qu’il y en ait une couche épaisse. Après cela, un animal, ou plusieurs, piétinait le grain avec ses sabots, à moins que celui-ci ne soit battu au moyen d’un traîneau à battre ou d’un autre instrument que l’animal tirait sur les gerbes. La Loi mosaïque ordonnait : “ Tu ne dois pas museler le taureau pendant qu’il bat le grain. ” (Dt 25:4). Ainsi, l’animal n’était pas tenaillé par le désir de manger du grain alors qu’il dépensait son énergie à le battre. L’animal devait être traité avec bonté — it-2 p357 Le mariage léviratique était une coutume des temps bibliques qui voulait que, lorsqu’un homme décédait sans avoir eu de fils, un de ses frères épouse sa veuve pour lui engendrer une descendance afin de perpétuer sa lignée. On considérait que les enfants qui naissaient de cette union étaient les descendants de son frère décédé. (Deut. 25:5, 6). Le mot français « lévirat » vient d’un mot latin qui veut dire « beau-frère ». TG2014 15/8 La Bible nous certifie que Jéhovah Dieu hait l’injustice : “ Tout homme qui fait ces choses, tout homme qui commet l’injustice, est chose détestable pour Jéhovah ton Dieu. ” (Deutéronome 25:16). Dieu n’est pas responsable des injustices. Il a donné aux humains la liberté de choix. Malheureusement, beaucoup en font un mauvais usage et commettent des injustices. Bien que par le passé Dieu ait toléré l’injustice et la méchanceté, le moment viendra bientôt où il y mettra fin. – TG2014 1/ 4 Quand un Israélite plantait un arbre, il ne devait pas en manger le fruit durant les trois premières années ; la quatrième, tous les fruits devaient être voués à l’usage du sanctuaire (Lv 19:23-25 - Dt 26:2). Les années suivantes, les premiers fruits mûrs étaient pareillement voués à la maison de Jéhovah. — it-1 p154
  21. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 2 Août 2021 - Deutéronome 22-23.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 2 Août 2021 - Deutéronome 22-23.pdf Perles spirituelles (10 min) : Deutéronome 22-23 Deutéronome 23:19, 20 : Pourquoi un Israélite pouvait-il prêter à intérêt à un étranger, mais pas à un autre Israélite ? (it-1 629). « Tu ne dois pas faire payer d’intérêt à ton frère, que ce soit un intérêt sur de l’argent, de la nourriture ou toute autre chose sur laquelle on peut réclamer un intérêt. 20 Tu pourras faire payer un intérêt à un étranger, mais tu ne feras pas payer d’intérêt à ton frère, afin que Jéhovah ton Dieu te bénisse dans tout ce que tu entreprendras dans le pays dont tu vas prendre possession. Une dette est ce qu’on doit, une obligation de payer ou de rendre quelque chose. Dans l’Israël antique, on contractait des dettes principalement à la suite de revers financiers. Pour un Israélite, contracter une dette était un malheur, car l’emprunteur devenait le serviteur du prêteur (Pr 22:7). Voilà pourquoi Dieu commanda aux Israélites de se montrer généreux et désintéressés lorsqu’ils prêtaient à leurs compagnons indigents, en ne cherchant pas à profiter de leur infortune pour leur faire payer un intérêt. Par contre, ils pouvaient réclamer un intérêt aux étrangers (Dt 23:20). D’après les commentateurs juifs, cette disposition s’appliquait aux prêts commerciaux et non aux cas de détresse. D’ordinaire, les étrangers ne restaient en Israël que temporairement ; c’étaient souvent des marchands dont on pouvait raisonnablement s’attendre à ce qu’ils paient un intérêt, d’autant plus qu’eux aussi prêtaient à intérêt - it-1 p629 Est-ce toujours un manque d’amour que de réclamer un intérêt ? Pas nécessairement; notons que si les Juifs ne pouvaient demander un intérêt à leurs frères israélites, il en allait autrement avec les étrangers. La Loi disait: “À l’étranger tu pourras faire payer un intérêt.” (Deutéronome 23:20). Pourquoi cette différence ? Parce que l’étranger serait probablement un homme d’affaires et que l’emprunt aurait vraisemblablement un but commercial. Il était dès lors tout à fait normal que le prêteur reçoive une part des bénéfices sous la forme d’un intérêt. – TG1982 1/11 p29 Un Israélite pouvait démontrer qu’il se souciait de ses frères pauvres en leur consentant un prêt. Il pouvait s’attendre à percevoir des intérêts lorsqu’il prêtait de l’argent à quelqu’un qui désirait monter ou agrandir une affaire. En revanche, Jéhovah interdisait d’imposer un intérêt à un frère pauvre, car dans son désespoir celui-ci risquait d’être tenté de commettre le mal. – TG1986 15/10 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? La Loi que Dieu a donnée aux Israélites contenait des règles qui les protégeaient du mode de vie ouvertement immoral des nations alentour. Elle montrait que Dieu désapprouve fortement les vêtements qui ne différencient pas clairement un homme d’une femme — ce qu’on appelle aujourd’hui la mode unisexe (Deutéronome 22:5). Les femmes ne devaient pas porter des vêtements d’homme, ni les hommes des vêtements de femme, cette pratique pouvant être la porte ouverte à l’impureté sexuelle, dont l’homosexualité. C’est sans aucun doute à cause de la sodomie, pratique moralement répugnante, que fut si sévère la règle qui taxait de “ détestable ” le port de vêtements de l’autre sexe. Il ressort nettement des instructions divines en matière d’habillement que Dieu n’aime pas les styles vestimentaires qui féminisent les hommes, masculinisent les femmes ou rendent difficile la distinction entre homme et femme. Les principes de la Parole de Dieu permettent aux chrétiens de bien choisir leurs vêtements. Ils sont valables quels que soient l’endroit, la culture ou le climat. Nous n’avons pas besoin d’une longue liste définissant quels styles vestimentaires sont corrects ou pas. Nous suivons les principes bibliques, qui laissent une marge aux préférences personnelles. – TG2016/9 p18 Une loi empêchait les Israélites de prendre dans un nid d’oiseau à la fois la mère et ses petits ou ses œufs. Dans bien des cas, son attachement à ses petits aurait fait d’elle une proie facile ; cependant, il fallait la renvoyer, vraisemblablement pour lui permettre d’avoir d’autres petits. Dt 22:6, 7. - it-1 p433 Les animaux aussi sont l’objet d’une considération bienveillante dans le Deutéronome. Les Israélites n’avaient pas le droit de prendre un oiseau couché sur son nid, puisque c’était son instinct de protection de ses petits qui le rendait vulnérable. Ils pouvaient prendre les petits pour eux, mais devaient laisser partir la mère, qui ainsi était en mesure d’avoir d’autres petits (Dt 22:6, 7).- it-1 p635 Pourquoi les Juifs construisaient-ils un parapet autour du toit de leur maison ? Dans l’Israël antique, la sécurité était une priorité dans tous les domaines. Par exemple, quand on construisait une maison, la loi de Dieu stipulait que son toit — lieu de nombreuses activités familiales — devait avoir un parapet. Dieu avait donné cet ordre aux Juifs : « Si tu bâtis une maison neuve, alors tu devras faire un parapet pour ton toit, afin de ne pas mettre de sang sur ta maison parce que quelqu’un [...] pourrait en tomber » (Deutéronome 22:8). Afin d’éviter aux gens de répandre le sang innocent. Il fallait construire des parapets au bord des toits plats des maisons de manière que personne ne tombe Le parapet, ou muret, était une mesure de sécurité nécessaire. En effet, les familles juives des temps bibliques se rendaient très souvent sur leur toit. La plupart des maisons israélites avait un toit plat. C’était l’endroit idéal pour profiter du soleil, prendre un peu l’air ou effectuer des tâches ménagères. En été, il était agréable d’y dormir. Un cultivateur pouvait y faire sécher des figues, des raisins ou du grain avant de le moudre. Le toit servait aussi pour le culte, aussi bien du vrai Dieu que des faux dieux. Quand une plante grimpante ou des feuilles de palmier faisaient de l’ombre sur le toit, il devait être très agréable de s’y retirer. L’agriculteur ne devait pas atteler ensemble un âne et un taureau, pour épargner des souffrances à l’animal le plus faible (22:10) La loi de Dieu ordonnait de traiter avec bonté les animaux domestiques, dont l’âne. Ainsi, on devait dégager l’âne qui était couché sous sa charge, et il était interdit de placer un âne et un taureau sous le même joug. Étant plus petit, moins fort et d’une nature différente, l’âne aurait souffert si on l’avait mis sous un joug aussi inégal. - it-1 p120 La loi de Dieu ordonnait au peuple d’Israël : “ Tu ne dois pas porter un tissu mêlé, laine et lin ensemble. ” (Dt 22). Chez les Hébreux, la plupart des vêtements étaient en laine ou en lin. La Loi interdisait de mélanger les deux matières pour confectionner des vêtements aux Israélites n’appartenant pas à la prêtrise. - it-2 p144 Si un homme accusait sa femme de l’avoir trompé en se prétendant vierge au moment du mariage et si son accusation était fausse, les anciens de la ville, en qualité de juges, devaient le discipliner et lui imposer une amende pour avoir amené un mauvais renom sur une vierge d’Israël. Cette discipline consistait peut-être en un certain nombre de coups. — Dt 22:13-19. Les Écritures montrent à plusieurs reprises que les coups sont une bonne mesure disciplinaire. Proverbes 20:30 indique que la discipline peut agir très en profondeur et avoir des effets bénéfiques. L’homme vraiment sage peut être corrigé par des paroles et n’a pas besoin de coups. - it-1 p553 Puisqu’une personne fiancée était considérée comme mariée, cet homme était coupable d’adultère. Et la fille ? « Elle n’a pas crié dans la ville. » En effet, si elle l’avait fait, on l’aurait entendue et on aurait pris sa défense. Mais comme elle n’a pas crié, elle a elle aussi commis un adultère. Les deux étaient donc jugés coupables (Deut. 22:23, 24). Les cris sont la meilleure défense pour une femme menacée de viol. – TG2019/12 p14 La Loi parle d’une situation : « Mais si l’homme a rencontré la fille fiancée dans la campagne et qu’il l’ait forcée à coucher avec lui, seul l’homme devra mourir ; tu ne devras rien faire à la fille. La fille n’a pas commis de péché et ne mérite pas la mort. Ce cas est le même que lorsqu’un homme attaque son semblable et l’assassine. Car l’homme a rencontré la fille fiancée dans la campagne, et elle a crié, mais il n’y avait personne pour la secourir » (Deut. 22:25-27). Dans ce cas, les juges accordaient à la fille le bénéfice du doute. Pourquoi ? Ils partaient du principe qu’elle ‘avait crié, mais qu’il n’y avait eu personne pour la secourir’. Elle n’avait donc pas commis d’adultère. L’homme, par contre, était coupable de viol parce qu’il l’avait « forcée à coucher avec lui », et coupable d’adultère parce qu’elle était fiancée. Ainsi, même si cette loi servait avant tout à établir que la femme était innocente, elle présentait avec raison l’homme comme étant coupable de viol et d’adultère. Nous pouvons être certains que les juges menaient « une enquête approfondie » et prenaient une décision conforme aux normes claires de Dieu, qui étaient répétées à plusieurs reprises dans la Loi TG2019/12 p14 Le chapitre 22 du Deutéronome contient diverses lois qui traitent, par exemple, du cas où un homme qui n’aime plus sa femme prétend qu’elle n’était pas vierge au moment du mariage. Les lois de Dieu relatives à l’adultère et au viol y sont également énoncées. On lit ensuite: “Si un homme rencontre une jeune personne, une vierge qui n’est pas fiancée, et qu’il la saisisse et couche avec elle, et qu’ils aient été surpris, alors l’homme qui a couché avec elle devra donner au père de la jeune personne cinquante sicles d’argent, et elle deviendra son épouse, puisqu’il l’a humiliée. Il ne lui sera pas permis de divorcer avec elle, tous ses jours durant.” — Deutéronome 22:28, 29. Il y avait là séduction et fornication. Si un homme peu scrupuleux se sentait autorisé à avoir des rapports sexuels avec une vierge, c’est surtout elle qui en subirait les conséquences. Outre qu’une naissance illégitime pouvait en résulter, elle se trouvait dévalorisée, car de nombreux Israélites n’auraient peut-être pas voulu épouser une femme qui n’était plus vierge. Par conséquent, qu’est-ce qui allait décourager un homme de prendre des libertés avec une vierge? La Loi de Dieu, qui est ‘sainte, juste et bonne’. Celui qui séduit une personne non mariée la prive de son droit à contracter ultérieurement un mariage chrétien en toute virginité. Il prive aussi le futur conjoint éventuel de cette personne du droit qu’il a d’épouser un chrétien chaste. Par-dessus tout, il faut se garder de la fornication parce qu’aux yeux de Dieu, c’est une mauvaise action, c’est un péché. TG1989 15/11 p31 Sous la Loi mosaïque, un violeur devait mourir, “ car c’est comme lorsqu’un homme se dresse contre son semblable et l’assassine bel et bien ”. (Deutéronome 22:25, 26.) Même si nous ne sommes plus soumis à cette Loi, elle nous éclaire sur la manière dont Jéhovah considère le terrible outrage qu’est le viol. À notre époque aussi, le viol est un crime passible de lourdes peines. La victime a parfaitement le droit de signaler l’agression à la police. Ainsi, les autorités compétentes pourront punir l’offenseur. Si la victime est mineure, les parents se chargeront des démarches. – TG2005 1/8 Même dans le cas le plus triste où le violeur arrive à ses fins, la résistance et les cris n’auront pas été inutiles. Au contraire, ils prouvent que la victime a fait tout son possible pour se défendre (Deutéronome 22:26). Bien que la femme ait subi l’agression, sa conscience est nette, sa dignité intacte, et elle peut être certaine qu’elle est pure aux yeux de Dieu. Même si elle garde des séquelles affectives, sa certitude d’avoir résisté au maximum contribuera grandement à sa guérison progressive. TG2003 1/ 2 Dans l’analyse de l’application de Deutéronome 22:23-27, nous devons bien comprendre que ce bref récit ne recense pas tous les cas de figure. Par exemple, il n’évoque pas celui où la femme agressée n’a pu crier parce qu’elle est muette, ou qu’elle était inconsciente ou paralysée de peur, ou encore bâillonnée par une main ou du ruban adhésif. Cependant, Jéhovah étant capable de peser tous les facteurs en cause, même les intentions, dans ces cas-là il juge avec discernement et justice, car “ toutes ses voies sont justice ”. (Deutéronome 32:4.) Il sait exactement ce qui s’est passé et a vu que la victime s’est débattue pour échapper à son agresseur. Par conséquent, une victime qui a été empêchée de crier mais qui, par ailleurs, a fait tout son possible compte tenu des circonstances peut s’en remettre à Jéhovah. Cela dit, des chrétiennes qui ont été violentées demeurent ensuite rongées par un sentiment de culpabilité. Rétrospectivement, elles se disent qu’elles auraient dû faire plus pour empêcher un tel drame. Toutefois, au lieu de s’en prendre à elles-mêmes, il vaut mieux qu’elles prient Jéhovah, lui demandent son aide et fassent confiance à son immense bonté de cœur. Ainsi, que les chrétiennes qui actuellement se remettent du traumatisme affectif consécutif à un viol se rassurent : Jéhovah comprend parfaitement les sentiments douloureux qu’elles éprouvent. — TG2003 1/ 2 La Loi donnée à Israël par l’intermédiaire de Moïse stipule : “ Si tu fais un vœu à Jéhovah ton Dieu, tu ne dois pas tarder à l’acquitter, car Jéhovah ton Dieu ne manquera pas de te le réclamer, et, vraiment, cela deviendrait chez toi un péché. ” (Deutéronome 23:21). De toute évidence, qui fait un vœu à Dieu s’engage. Il doit avoir une bonne raison de le prononcer et doit être sûr d’être capable de le respecter. Sans quoi, il est préférable qu’il s’abstienne. - TG2002 15/11
  22. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 26 Juillet 2021 - Deutéronome 19-21.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 26 Juillet 2021 - Deutéronome 19-21.pdf Perles spirituelles (10 min) : Deutéronome 19-21 Deutéronome 21:19 : Pourquoi le tribunal local se situait-il à la porte de la ville ? (it-2 1106 § 1). « son père et sa mère le prendront, l’amèneront aux anciens à la porte de sa ville » Le tribunal local se situait à la porte de la ville. Par “ porte ”, il faut entendre l’endroit dégagé qui se trouvait à l’intérieur de la ville, près de la porte. C’est aux portes que la Loi était lue au peuple rassemblé et que les ordonnances étaient annoncées (Ne 8:1-3). À la porte, il était facile de trouver des témoins pour les affaires civiles, telles les ventes de biens ou autres, puisque la plupart des personnes entraient et sortaient par là dans la journée. Qui plus est, le caractère public donné à tout procès mené à la porte incitait d’autant plus les juges à se montrer prudents et justes dans leur façon de conduire le procès et dans leurs décisions. Un endroit était sans doute aménagé près de la porte pour que les juges puissent présider dans de bonnes conditions. Samuel se déplaçait selon un circuit passant par Béthel, Guilgal et Mitspa et “ jugeait Israël dans tous ces endroits ”, ainsi qu’à Rama, où il avait sa maison. — 1S 7:16, 17. - it-2 1106 § 1 Dans le cas d’une contestation civile ou d’une affaire pénale, le plaignant déposait sa plainte devant les juges. On convoquait la partie adverse, on rassemblait les témoins, et l’audience avait lieu, en général dans un endroit public, le plus souvent aux portes de la ville. – it-2 Porte Aux temps bibliques, la plupart des villes étaient entourées de murailles protectrices. Bien souvent, devant les portes étaient aménagées des esplanades où les gens venaient pour rencontrer d’autres personnes, commercer et échanger des nouvelles. C’est là que les annonces publiques étaient faites et que les prophètes prononçaient parfois leurs messages – TG2010 1/8 Ces peines montraient combien il était grave d’enfreindre la loi divine. Par exemple, un Israélite dont le fils devenait ivrogne ou glouton devait amener le coupable devant des juges, qui étaient des hommes mûrs. Si ces juges découvraient que l’individu pratiquait le mal de façon délibérée et se montrait impénitent, il fallait que les parents prennent part à l’exécution de la justice. Ceux d’entre nous qui ont des enfants imaginent que ce ne devait pas être là chose facile. Dieu, quant à lui, savait que c’était nécessaire pour que la méchanceté ne se répande pas parmi ses véritables adorateurs (Ézéchiel 33:17-19). Cette disposition avait été prise par Celui dont on pouvait dire: “Toutes ses voies sont justice. Dieu de fidélité, chez qui il n’y a pas d’injustice; il est juste et droit.” – TG1991 15/4 §7 S’il arrivait qu’un garçon devienne obstinément rebelle et incorrigible malgré des avertissements répétés et la discipline appropriée, une mesure encore plus sévère était prise. Il était amené devant les anciens de la ville, et, sur le témoignage de ses parents attestant qu’il était un délinquant irréformable, il subissait la peine capitale par lapidation. Il est évident que cette disposition concernait un fils ayant dépassé l’âge de ce qu’on appelle habituellement un jeune enfant, car les Écritures en parlent comme d’‘ un glouton et d’un ivrogne ’. (Dt 21:18-21.) - it-1 p762 Si en grandissant un enfant se montrait rebelle, incorrigible et disposé à adopter une mauvaise conduite, les parents avaient la responsabilité de l’amener devant les anciens de la ville pour qu’il soit corrigé. À notre époque, beaucoup de gens qualifient ce traitement de cruel et d’inhumain ; mais il faut se rappeler qu’auparavant les parents avaient eu l’obligation très stricte de donner à leur enfant une éducation appropriée. Souvenez-vous du texte de Deutéronome 6:17, disant : “Mais vous observerez avec soin les commandements de Jéhovah, votre Dieu, ses préceptes et ses lois qu’il vous a donnés.” Les parents n’avaient pas le droit de traiter leurs enfants d’une manière injuste, dure, cruelle et dépourvue d’amour. Ils devaient montrer l’exemple pour ce qui était des bons traits de caractère, en leur témoignant de l’amour, en faisant preuve de considération à leur égard et en prenant soin d’eux. Le père devait être un homme en qui ses enfants pouvaient avoir confiance comme en un serviteur de Jéhovah honnête, droit, intègre et plein d’amour. La mère devait manifester un profond respect pour son mari et protéger et aider ses enfants. Ceux-ci ne devaient pas être livrés à eux-mêmes. Ils constituaient un héritage auquel il fallait accorder des soins sous tous les aspects. En conséquence, si un enfant adoptait une mauvaise attitude, c’est qu’il était rebelle, ce qui allait le conduire avec le temps, s’il n’était pas corrigé, devant les anciens de la ville pour être jugé par eux. – TG1971 p586 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Si un Israélite tuait quelqu’un, il n’était pas exécuté automatiquement. Les anciens de la ville devaient d’abord vérifier les faits pour pouvoir décider si la peine de mort était méritée ou non (Deut. 19:2-7) – TG2019/2 p20 §17 Les Israélites devaient également veiller à entretenir les routes conduisant aux six villes de refuge. Ces voies devaient être bien signalées et débarrassées des obstacles pouvant entraver la course de celui qui avait commis accidentellement un homicide Dt 19:3. Selon la tradition juive, à chaque carrefour un poteau indiquait la direction de la ville de refuge. TG2017/11 p14 Une fois définies les frontières plus précises des territoires des tribus, on put attribuer des possessions à chaque famille, et cela fut manifestement fait non par tirage au sort, mais sous la direction du comité mis en place, composé d’Éléazar, de Josué et des chefs (Jos 17:3, 4). C’est pourquoi Deutéronome 19:14 déclare que “ quand les aïeux auront fixé les limites dans ton héritage ” il ne faudra pas les reculer - it-1 p933-934 Dans l’assemblée, pourquoi faut-il au moins deux témoins pour que les anciens forment un comité de discipline religieuse ? C’est ce qu’exigent les normes de justice élevées de la Bible. Quand celui qui est accusé nie les faits, il faut au moins deux témoins pour que l’accusation soit retenue et qu’un comité de discipline religieuse soit formé (Deut. 19:15 ; Mat. 18:16; Timothée 5:19). Cela signifie-t-il que, pour signaler aux autorités une accusation d’abus sexuel sur enfant, il faut deux témoins ? Non. Cette exigence ne s’applique pas aux démarches faites par les anciens ou d’autres pour rapporter aux autorités une accusation d’acte puni par la loi. – TG2019/5 p8 §15 Comme Jéhovah avait de la compassion pour son peuple, il a établi des lois qui protégeaient les individus contre les injustices. Par exemple, elles limitaient le risque d’être condamné sur la base de fausses accusations. En effet, quelqu’un avait le droit de savoir qui portait une accusation contre lui et de se défendre en justice (Deut. 19:16-19 ; 25:1). Et il fallait au moins deux témoins pour qu’il soit condamné (Deut. 19:15) - TG2019/2 p20 §20 Se raser la tête était pour une femme un signe de deuil et d’affliction (Is 3:24). Lorsqu’un soldat israélite capturait une vierge dans une ville ennemie et désirait l’épouser, il fallait tout d’abord qu’elle se rase la tête, se fasse les ongles et mène deuil pendant un mois sur ses parents, puisqu’ils avaient été tués lors de la prise de la ville. — Dt 21:10-13 – it-1 p439 De nombreuses femmes des temps bibliques se servirent de leur parure comme d’un moyen de parvenir à des fins égoïstes. Il était d’usage chez les femmes des villes païennes sur le point d’être capturées de mettre leurs plus beaux atours afin de séduire des soldats et que ceux-ci les prennent pour épouses. Toutefois, lorsqu’un soldat israélite emmenait une captive, avant qu’il puisse l’épouser, elle ne devait plus porter les vêtements qu’elle possédait, et dont certains pouvaient avoir des liens avec la religion païenne. — Dt 21:10-13. À une époque où Israël avait adopté de nombreuses pratiques idolâtriques et immorales, Jéhovah condamna les femmes de la nation qui, orgueilleusement, s’habillaient et s’ornaient de façon à attirer les hommes, même des hommes d’autres nations, et qui se paraient des ornements de la fausse religion. La chrétienne est encouragée à ne pas rechercher des vêtements ou un style coûteux et voyant, mais plutôt à avoir une tenue modeste, quoique bien arrangée, et à faire preuve de bon sens. Elle doit donc prêter attention à sa tenue, mais se soucier avant tout de la parure qu’est un esprit doux et paisible - it-2 p1144 Que se passait-il quand un Israélite commettait un délit, mais qu’il n’y avait qu’un seul témoin ? Il ne devait pas s’attendre pour autant à échapper à la punition, car Jéhovah avait vu ce qu’il avait fait. La famille aussi était protégée contre les injustices : Un père, bien qu’établi chef sur sa famille, avait une autorité limitée. Dans certains cas de désaccord familial, c’étaient les anciens de la ville qui avaient la responsabilité de régler l’affaire (Deut. 21:18-21). - TG2019/2 p20 §20 Sous la loi que Jéhovah donna à Israël, certains criminels pouvaient être pendus à un poteau après leur mise à mort, comme ‘ maudits de Dieu ’ ; cette exposition publique devait servir d’avertissement. Toutefois, le corps devait être dépendu avant la tombée de la nuit et enterré ; le laisser toute la nuit sur le poteau souillait le sol que Dieu avait donné aux Israélites (Dt 21:22, 23). Israël suivit cette règle même quand la personne exécutée n’était pas israélite. — it-2 p523 L’apôtre Paul a déclaré : “ Christ, par rachat, nous a libérés de la malédiction de la Loi en devenant malédiction à notre place, parce qu’il est écrit : ‘ Maudit est tout homme pendu à un poteau” (Galates 3:13). Paul cite ici Deutéronome 21:22, 23, qui mentionne manifestement un poteau, et non une croix. Puisque ce mode d’exécution faisait de la personne un “ maudit ”, il ne conviendrait pas que des chrétiens décorent leur maison avec des images du Christ attaché au poteau. – lvs La Loi stipulait que le cadavre d’un homme exécuté et pendu à un poteau ne devait pas ‘ passer la nuit sur le poteau ’. (Dt 21:22, 23) Comme Jésus et ceux qui étaient attachés avec lui se trouvaient sur des poteaux l’après-midi de la Préparation (la veille du sabbat ” fut appelée “ Préparation ”) il importait pour les Juifs de hâter leur mort si nécessaire afin de pouvoir les enterrer avant le coucher du soleil. Selon la Loi, quand un homme avait été exécuté pour un péché grave, son cadavre devait parfois être attaché à un poteau ; cela indiquait que le pécheur était maudit par Dieu (Deut. 21:22, 23 ; 27:26). Jésus, qui avait respecté parfaitement la Loi, ne méritait pas la malédiction qui frappait les Juifs désobéissants. En étant attaché à un poteau, il a donc subi la malédiction à leur place. Ainsi, la nation même qui l’avait rejeté a pu elle aussi bénéficier de son sacrifice – TG2021/4 p14 §6
  23. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 19 Juillet 2021 - Deutéronome 16-18.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 19 Juillet 2021 - Deutéronome 16-18.pdf Perles spirituelles (10 min) : Deutéronome 16-18 Deutéronome 17:7 : Pourquoi la Loi exigeait-elle que les premiers à lapider un coupable soient les témoins de son péché ? (it-1 852 § 3). « Les mains des témoins seront les premières à venir sur lui pour le mettre à mort, et la main de tout le peuple suivra. Tu dois enlever du milieu de toi ce qui est mauvais. » Sous la Loi, pour effectuer un tel retranchement, il fallait que les faits soient établis sur le dire d’au moins deux témoins (Dt 19:15). Ces témoins devaient être les premiers à lapider le coupable (Dt 17:7). Cela attestait leur zèle pour la loi de Dieu et pour la pureté de la congrégation d’Israël, et c’était aussi très dissuasif contre le témoignage faux, irréfléchi ou hâtif. it-1 p852 Dans toute condamnation à mort, il était exigé des témoins qu’ils lancent la première pierre lors de l’exécution du condamné. Ainsi, la loi enjoignait aux témoins de démontrer leur zèle pour le culte pur et véritable et pour l’élimination de ce qui était mauvais en Israël. Cette mesure dissuadait aussi de porter de faux témoignages. Seul un monstre de cruauté aurait lancé une fausse accusation en sachant qu’il serait le premier à agir lorsqu’il faudrait mettre à mort l’accusé. — it-2 p667 Les personnes qui avaient connaissance de faits qui constituaient des preuves d’une mauvaise action devaient venir témoigner, sous peine d’être l’objet de l’imprécation qui était faite en public (Lév. 5:1). Quand un homme avait commis un crime pour lequel il méritait la mort, les témoins à charge devaient être les premiers à lui jeter des pierres pour exécuter la sentence. Il fallait vraiment être dur pour témoigner faussement contre un innocent et ensuite participer à son exécution. Une autre loi incitait aussi à la réflexion. Elle prévoyait que celui qui donnait un faux témoignage reçoive le châtiment qu’il voulait faire subir à l’accusé. Ces lois devaient sans doute décourager les témoignages hâtifs, irréfléchis ou faux. — RV1976 8/3 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Jésus avait devant lui les aliments qui composaient le repas pascal juif, entre autres du pain non fermenté, que Moïse appela “des gâteaux sans levain, pain d’affliction”. (Deutéronome 16:3; Exode 12:8.) On faisait ce pain avec de la farine de blé, sans utiliser de levain, de sel ou de condiments. Comme il était sans levain, ce pain était plat et cassant; il fallait le rompre en morceaux pour le manger. — TG1990 15/2 p16 §6 Si nous examinons ce qui se passait à cette époque, nous constatons que les trois grandes fêtes annuelles qui se célébraient à Jérusalem, revêtaient une importance tout à fait remarquable. Leur signification prophétique est particulièrement intéressante pour nous aujourd’hui. “Trois fois par an tout mâle de chez toi devra paraître devant Jéhovah, ton Dieu, dans le lieu qu’il choisira.” (Deut. 16:16). Notons que ces fêtes présentaient certains aspects très caractéristiques. Elles devaient être des occasions de grandes réjouissances : “Et tu devras te réjouir durant ta fête (...), et tu devras n’être que joyeux.” (Deut. 16:14, 15). De nombreux sacrifices devaient être offerts. Une disposition particulièrement impérieuse spécifiait que personne ne devait se présenter les mains vides, chacun devant apporter un don proportionné aux bénédictions d’ordre matériel qu’il avait reçues de Jéhovah (Deut. 16:16, 17). Enfin, tous les sept ans, à l’occasion de l’une de ces fêtes, on donnait lecture de la Loi de Moïse – TG1977 15/12 p761 La fête des Semaines ou Pentecôte (Deut. 16:9-12). On la célébrait le cinquantième jour à compter du 16 Nisan. C’est alors qu’étaient offertes les prémices de la moisson des blés. Elle ne durait qu’un seul jour et préfigurait les prémices de l’humanité, c’est-à-dire les 144 000 membres du corps spirituel du Christ qui ont été rachetés de la terre. C’est donc fort à propos que ce “corps”, également appelé congrégation de l’Israël spirituel, commença à être constitué le jour même de la Pentecôte. — TG1977 15/12 p761 La dernière fête annuelle était la “fête des Huttes”. (Deut. 16:13-15.) Elle se déroulait au cours du septième mois et l’on tenait une assemblée solennelle le vingt-deuxième jour. Cette célébration commémorait le fait que les Israélites avaient habité dans des huttes pendant les quarante années de leurs pérégrinations dans le désert. On l’appelait aussi “fête de la Récolte”, car elle marquait la moisson finale de toutes leurs cultures. À cette occasion, on agitait des branches de palmier. Cette caractéristique nous rappelle la vision de l’apôtre Jean dans laquelle il vit une grande foule qui agitait des palmes. De nos jours, Jésus Christ procède au rassemblement de cette “grande foule” de ses “autres brebis”, afin de les réunir finalement à son “petit troupeau”, pour qu’ensemble ils ne forment plus qu’un “seul troupeau” sous la direction de “l’excellent berger”. — TG1977 15/12 p761 L’éducation que les parents donnaient devait être régulière et constante, à la maison, au travail ou en voyage. Administrée par la parole et la discipline, elle devait l’être aussi par l’exemple, puisque les parents étaient censés se laisser diriger par la Loi de Dieu dans toutes leurs activités. Les voyages à Jérusalem pour les fêtes trois fois par an étaient l’occasion d’acquérir des notions de géographie, et en même temps l’enfant faisait connaissance avec ses compatriotes d’un peu partout en Israël. — Dt 16:16. – it-1 p697 Education Nous faisons des offrandes matérielles pour remercier Jéhovah de ses nombreux bienfaits. Arrêtons-nous sur un principe de la Loi mosaïque qui faisait intervenir la réflexion et le cœur (Deutéronome 16:16, 17). Lors des trois fêtes annuelles, chaque homme d’Israël devait faire un don « en proportion de la bénédiction de Jéhovah ». Cela signifie qu’il devait chaque fois penser à l’avance aux bénédictions qu’il avait reçues et réfléchir à ce qu’il pouvait donner de mieux. C’est la même chose pour nous. Quand nous pensons aux bienfaits dont Jéhovah nous comble, nous nous sentons poussés à lui donner ce que nous avons de mieux, notamment sur le plan matériel. Ces dons sincères sont révélateurs de notre reconnaissance pour ses bénédictions Livre Royaume en action, p196-197 Jéhovah voulait protéger son peuple contre l’influence des nations voisines corrompues. C’est pourquoi il demandait aux anciens d’appliquer la Loi en traitant tout le monde de façon égale. Cela dit, ils ne devaient pas l’appliquer de manière dure ou brutale. Ils devaient aimer la justice (Deut. 16:18-20). Comme Jéhovah avait de la compassion pour son peuple, il a établi des lois qui protégeaient les individus contre les injustices. Par exemple, elles limitaient le risque d’être condamné sur la base de fausses accusations. En effet, quelqu’un avait le droit de savoir qui portait une accusation contre lui et de se défendre en justice (Deut. 19:16-19 ; 25:1). Et il fallait au moins deux témoins pour qu’il soit condamné (Deut. 17:6 ; 19:15). Que se passait-il quand un Israélite commettait un délit, mais qu’il n’y avait qu’un seul témoin ? Il ne devait pas s’attendre pour autant à échapper à la punition, car Jéhovah avait vu ce qu’il avait fait. La famille aussi était protégée contre les injustices : Un père, bien qu’établi chef sur sa famille, avait une autorité limitée. Dans certains cas de désaccord familial, c’étaient les anciens de la ville qui avaient la responsabilité de régler l’affaire. Leçon : Jéhovah est le modèle parfait : il ne fait jamais rien d’injuste. Il récompense ceux qui obéissent fidèlement à ses normes, et il punit ceux qui profitent de leur autorité pour mal agir. Parfois, certains agissent méchamment et semblent échapper à la punition. Mais en temps voulu, Jéhovah veillera à ce que justice soit faite. Et ceux qui ne se sont pas repentis apprendront alors que « c’est terrible de tomber entre les mains du Dieu vivant » (Héb. 10:30, 31). – TG2019/2 p20 §19-20 C’étaient avant tout les prêtres qui avaient le privilège d’expliquer la loi de Dieu, et ils jouaient un grand rôle dans le système judiciaire d’Israël. Dans les villes qui leur avaient été échues, les prêtres étaient à la disposition des juges pour les seconder, et d’autre part ils siégeaient avec les juges dans les affaires exceptionnellement difficiles qui dépassaient les compétences des tribunaux locaux (Dt 17:8, 9). Dans tous les cas, le jugement rendu par les prêtres ou par les juges désignés devait être respecté ; le non-respect ou la désobéissance délibérés entraînaient la peine de mort. Dt 17:10-13 — it-2 p654 Dieu mit à part toute la tribu de Lévi comme corps enseignant religieux. Une de ses principales fonctions était d’éduquer le peuple en lui apprenant la Loi de Dieu. Le Lévite Moïse, en qualité de médiateur, était évidemment un instructeur du peuple concernant la Loi de Dieu. Quant aux prêtres, aidés des Lévites (qui n’étaient pas prêtres), ils avaient la responsabilité de veiller à ce que le peuple comprenne toutes les prescriptions prononcées par Jéhovah par l’intermédiaire de Moïse Dt 17:10-11 Les Lévites devaient lire la Loi au peuple. Ils en faisaient une lecture publique à tout le peuple chaque année sabbatique, lors de la fête des Huttes ; il n’y avait pour cela aucune discrimination d’âge ou de sexe, mais tout le peuple s’assemblait pour écouter la lecture, jeunes et vieux, y compris le résident étranger qui était dans les portes et tous ceux qui étaient en mesure de comprendre - it-1 p697 Education Les rapports que Dieu entretint avec l’ancien Israël illustre bien l’attention équilibrée qu’il accorde tant aux besoins spirituels qu’à la situation matérielle de ses adorateurs. Il a tout d’abord donné la Loi à son peuple. Les rois israélites devaient se faire une copie personnelle de cette Loi, et le peuple se rassemblait périodiquement pour en écouter la lecture (Deutéronome 17:18). La Loi prévoyait un tabernacle ou un temple ainsi que des prêtres qui offraient les sacrifices, afin que le peuple puisse obtenir la faveur de Dieu. Les Israélites se rassemblaient régulièrement à l’occasion de fêtes spirituelles, lesquelles marquaient chaque année leur culte (Deutéronome 16:1-17). Grâce à tout cela, les Israélites pouvaient individuellement être riches aux yeux de Dieu. – TG1986 15/10 p10 §5 Le nom Deutéronome vient du titre grec Deutéronomion, dans la Septante, lequel est formé de deutéros, “ deuxième ”, et de nomos, “ loi ”. Ce nom signifie donc “ Deuxième Loi, Répétition de la Loi ”. Il dérive de la traduction grecque de l’expression hébraïque mishnéh hattôrah (Deut. 17:18), correctement rendue par ‘ copie de la loi ’. En dépit de la signification du nom Deutéronome, ce livre biblique n’est ni une deuxième loi ni une simple répétition de la Loi. C’est au contraire une explication de la Loi, exhortant Israël à aimer Jéhovah et à lui obéir dans la Terre promise où il n’allait pas tarder à entrer. — « Toute Écriture », p36 Pourquoi les rois d’Israël devaient-ils se faire une copie de la Loi de Dieu et « y lire tous les jours de [leur] vie » ? Dieu a dit : “ Quand enfin tu entreras dans le pays que Jéhovah ton Dieu te donne, [...] quand tu auras dit : ‘ Que j’établisse un roi sur moi, comme toutes les nations qui sont autour de moi ’ ; il faudra absolument que tu établisses sur toi un roi que Jéhovah ton Dieu choisira. [...] Et il devra arriver ceci : quand il prendra place sur le trône de son royaume, il faudra qu’il écrive pour lui-même dans un livre une copie de cette loi [...]. Et elle devra rester auprès de lui, et il devra y lire tous les jours de sa vie, afin qu’il apprenne à craindre Jéhovah son Dieu, pour garder toutes les paroles de cette loi, ainsi que ces prescriptions, en les pratiquant. ” — Deutéronome 17:14-19. Le roi que Jéhovah choisirait pour ses adorateurs devrait se faire une copie personnelle des écrits que contient votre Bible. Puis il devrait y lire chaque jour, continuellement. Ce ne serait pas un exercice de mémoire. Ce serait une étude, qui aurait un objectif bénéfique. Le roi qui aurait l’approbation divine aurait besoin de persévérer dans son étude afin d’acquérir et de garder un bon état de cœur. Il aurait aussi besoin d’étudier les écrits inspirés afin d’assumer sa tâche correctement et avec perspicacité. . De même aujourd’hui, une lecture quotidienne de la Bible nous aide à demeurer irréprochables et innocents dans un monde méchant et corrompu. Elle nous équipe aussi pleinement pour le ministère. Efforçons-nous donc de garder de bonnes habitudes spirituelles, nous récolterons ainsi d’abondantes bénédictions de Jéhovah — TG2002 15/6 p12 Faut-il interroger les morts ? Jéhovah Dieu a jadis ordonné à son peuple : “ Il ne se trouvera chez toi personne qui [...] interroge les morts. ” (Deutéronome 18:9-13). Pourquoi une telle interdiction ? S’il était possible de parler avec les morts, ne serait-ce pas une preuve d’amour de la part de Dieu que de nous y autoriser ? La vérité, c’est qu’une telle communication est impossible. Comment le savons-nous ? Les Écritures enseignent en maints endroits que les morts sont inconscients. , beaucoup croient avoir, au moyen de pratiques spirites, été en contact avec des chers disparus. Ces témoignages étant courants, ces personnes sont de toute évidence entrées en communication avec le monde des esprits. Néanmoins, les versets ci-dessus montrent qu’elles n’ont pas pu dialoguer avec des morts. Alors, à qui ont-elles parlé ? La Bible révèle que des fils angéliques de Dieu se sont rebellés contre leur Auteur, devenant ainsi des démons. Ceux-ci véhiculent l’idée fausse selon laquelle les humains continuent de vivre après la mort. Pour alimenter cette contrevérité, ils se font passer pour des morts en parlant aux vivants depuis le monde des esprits. – RV2012/6 p10-11 Le but des signes. Jéhovah donna des signes pour prouver que ses paroles étaient véridiques et dignes de confiance. Un faux prophète pouvait accomplir un signe, mais Jéhovah donnait les moyens de discerner que c’était un faux prophète. - Dt 18:20-22. – it-2 p983 Signe Jéhovah est « le Dieu de vérité » (Ps. 31:5). Alors, que pense-t-il du spiritisme ? Il déteste cela ! Il avait ordonné aux Israélites : « On ne devra trouver chez toi personne qui fasse brûler son fils ou sa fille, qui exerce la divination, qui pratique la magie, qui cherche les présages, qui pratique la sorcellerie, qui jette des sorts aux autres, qui consulte un médium ou un diseur de bonne aventure, ou qui interroge les morts. Car celui qui fait ces choses est détestable pour Jéhovah » (Deut. 18:10-12). Les chrétiens ne sont pas soumis à la Loi que Dieu avait donnée aux Israélites. Toutefois, nous savons que son point de vue sur le spiritisme n’a pas changé. Jéhovah nous met en garde contre le spiritisme parce qu’il sait que Satan s’en sert pour faire du mal aux gens. Il s’en sert pour répandre des mensonges, par exemple pour faire croire que les morts sont vivants dans un autre monde. Satan se sert aussi du spiritisme pour maintenir les gens dans la peur et les détourner de Jéhovah. Son objectif est qu’ils aient confiance dans les esprits méchants plutôt qu’en Dieu. – TG2019/4 p21 §5,6 Trois types de magie : La magie occulte est “une forme d’occultisme”. Ses adeptes affirment que “les événements ou les processus contraires au bon sens ou aux connaissances scientifiques” sont “authentiques”. Robert Stebbins explique également que “la magie mystique est la servante de la sorcellerie, (...) de l’alchimie et, dans certains cas, de la religion”. Ceux qui pratiquent la magie d’exploitation “manipulent, ou exploitent, pour se grandir la perception que les spectateurs ont de la réalité”. Ils savent qu’ils trompent le public, mais, selon Robert Stebbins, “ils l’encouragent à penser le contraire — à croire que, par leur état de magiciens, ils ont des pouvoirs surnaturels ou entretiennent des relations spéciales avec des êtres qui en ont”. La magie récréative se propose de susciter l’étonnement par d’habiles tromperies. On en distingue cinq catégories principales, qui se chevauchent: “la magie de scène, la magie rapprochée, les tours de passe-passe, l’illusionnisme et la perception extra-sensorielle.” Quels dangers pour les chrétiens? Considérons tout d’abord la magie occulte. Celle-ci revêt plusieurs formes. Par exemple, il existe des satanistes qui pratiquent à la fois la magie “noire” et la magie “blanche”. La magie “noire” consiste entre autres à jeter des sorts à ses ennemis, à appeler sur eux des malédictions spéciales ou le mauvais œil. La magie “blanche”, elle, se propose au contraire de produire de bons résultats en brisant les sorts et en annulant les malédictions. Reste que ces deux formes de magie sont de l’occultisme. Certains recourent même à la magie occulte pour tenter d’obtenir une bonne récolte ou de remporter la victoire dans une compétition sportive. Néanmoins, la Bible est claire à propos de ce type de magie liée au spiritisme: “Vous ne devrez pas chercher de présages et vous ne devrez pas pratiquer la magie.” — Lévitique 19:26; Deutéronome 18:9-14 – RV1993 8/9 p27 Un prophète qui opérerait beaucoup de signes. Par l’intermédiaire de Moïse, Dieu avait prédit la venue d’un grand prophète (Dt 18:18). Or, aux jours de Jésus, les Juifs attendaient ce prophète (Jn 6:14). La façon dont l’apôtre Pierre cita les paroles de Moïse, selon Actes 3:22, 23, montre qu’il savait que le caractère messianique de celles-ci serait admis même par les adversaires religieux ; cela indique que Deutéronome 18:18 était bien compris par beaucoup. La Samaritaine près de la source pensait aussi que le Messie serait un prophète (Jn 4:19, 25, 29). Le peuple s’attendait à ce que le Messie opère des signes. — it-2 p271
  24. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 12 Juillet 2021 - Deutéronome 13-15.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 12 Juillet 2021 - Deutéronome 13-15.pdf Perles spirituelles (10 min) : Deutéronome 13-15 Deutéronome 14:21 : Qu’apprend-on de la loi interdisant de faire cuire un chevreau dans le lait de sa mère ? (w06 1/4 31). « Vous ne devez manger aucun animal trouvé mort. Vous pouvez le donner au résident étranger qui est dans vos villes. Il pourra en manger. On peut aussi le vendre à un étranger. Car vous êtes un peuple saint pour Jéhovah votre Dieu. « Vous ne devez pas faire cuire un chevreau dans le lait de sa mère. » Ce commandement de la Loi mosaïque, qui figure trois fois dans la Bible, fait toucher du doigt ce que Jéhovah considère comme inconvenant. Il donne un aperçu de sa compassion et de sa tendresse. Il souligne aussi que Dieu a le faux culte en horreur. — Exode 34:26 ; Deutéronome 14:21. Faire cuire un chevreau ou un autre jeune animal dans le lait de sa mère serait contraire à l’ordre naturel des choses voulu par Jéhovah. En effet, Dieu a prévu que le lait serve à l’alimentation et à la croissance du petit. Pour reprendre l’explication d’un bibliste, cuisiner un chevreau dans le lait de sa mère, ce serait “ mépriser la relation parent-petit que Dieu a établie et sanctifiée ”. De plus, selon une hypothèse, c’était un rite païen censé faire pleuvoir. Dans ce cas, l’interdiction divine a donc servi à protéger les Israélites des pratiques religieuses absurdes et cruelles des nations voisines. La Loi mosaïque interdisait expressément aux Israélites de marcher dans les ordonnances de ces nations. — Lévitique 20:23. Enfin, on perçoit dans ce commandement d’Exode 23:19 la tendre compassion de Jéhovah. À vrai dire, la Loi contenait bien d’autres injonctions semblables contre la cruauté envers les animaux, ainsi que des mesures préventives contre la violation de l’ordre naturel des choses. Elle incluait, par exemple, l’interdiction de sacrifier un animal s’il n’avait pas passé au moins sept jours avec sa mère, celle d’abattre un animal et son petit le même jour, ou encore celle de capturer dans un nid une femelle en plus de ses œufs ou de ses poussins. — Lévitique 22:27, 28 ; Deutéronome 22:6, 7. À l’évidence, la Loi n’était pas qu’un ensemble complexe d’ordres et d’interdits. Entre autres choses, ses principes nous inculquent une sensibilité morale élevée qui reflète réellement les qualités magnifiques de Jéhovah. — w06 1/4 31 On a émis l’hypothèse que cette pratique présentait un caractère païen, idolâtrique ou magique. Mais les arguments cités à l’appui ne tiennent plus à présent. Selon une autre explication, cette prescription soulignait l’existence d’un ordre des choses correct et convenable qu’il fallait respecter. Dieu fournissait le lait de la mère dans le but de nourrir le petit. L’utiliser pour faire cuire sa progéniture en vue de la manger nuisait à cette progéniture et était contraire au but dans lequel Dieu l’avait fourni. Une troisième possibilité est que ce commandement fut donné pour encourager à la compassion. Il s’harmoniserait alors avec les autres commandements qui interdisaient de sacrifier un animal s’il n’était pas resté avec sa mère pendant au moins sept jours (Lv 22:27), de tuer un animal et sa progéniture le même jour (Lv 22:28), ou de prendre dans un nid à la fois une mère et ses œufs ou ses petits - it-2 p103-104 Le résident étranger à qui on pouvait donner le cadavre d’un animal mort de lui-même était sans doute un étranger qui n’était pas devenu un adorateur de Jéhovah à part entière. — it-2 p775 Pourquoi les Israélites pouvaient-ils donner à un résident étranger ou vendre à un étranger un animal mort non saigné, qu’eux-mêmes n’auraient pas mangé ? Dans la Bible, le terme “ résident étranger ” pouvait désigner un non-Israélite devenu prosélyte, ou bien un immigrant qui respectait les lois fondamentales du pays, sans être devenu pour autant un adorateur de Jéhovah. L’étranger et le résident étranger qui n’étaient pas devenus prosélytes n’étaient pas sous la Loi et pouvaient donc utiliser de diverses manières des animaux morts non saignés. Les Israélites étaient autorisés à leur donner ou à leur vendre de tels animaux. Le prosélyte, en revanche, était lié par l’alliance de la Loi. Comme l’indique Lévitique 17:10, il lui était interdit de manger le sang d’un animal. TG2004 15/9 p26 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? On comprend pourquoi la Bible condamne aussi catégoriquement la fausse religion ! Par exemple, la Loi mosaïque mettait expressément en garde le peuple choisi de Dieu contre les faux prophètes. Tout individu qui répandait des enseignements mensongers et encourageait le culte de faux dieux devait être ‘ mis à mort, car il avait parlé de révolte contre Jéhovah ’. Les Israélites avaient ordre de ‘ balayer du milieu d’eux ce qui est mauvais ’. (Deutéronome 13:1-5.) Oui, Jéhovah considère la fausse religion comme malfaisante. Comme Jéhovah, Jésus Christ et ses apôtres éprouvaient une aversion profonde pour la fausse religion. Paul a écrit que “ la colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et injustice des hommes qui étouffent la vérité ”. (Romains 1:18.) Il est donc capital que les vrais chrétiens tiennent compte de ces avertissements et se tiennent éloignés de quiconque étouffe la vérité biblique ou répand de faux enseignements – TG2006 15/3 § 5 Le Deutéronome renferme de nombreux avertissements contre le faux culte et l’infidélité, ainsi que des instructions sur la façon de les traiter afin de préserver le culte pur. L’exhortation à la sainteté est particulièrement présente dans le Deutéronome. Il était recommandé aux Israélites de ne pas contracter de mariages avec les nations d’alentour, car ces unions représenteraient un danger pour le culte pur et la fidélité à Jéhovah. Ils étaient mis en garde contre le matérialisme et le fait de se croire justes. . Il y avait des lois énergiques concernant l’apostasie. Les Israélites devaient prendre garde de ne pas se tourner vers d’autres dieux. Ils étaient prévenus contre les faux prophètes. Même si c’était un de ses membres qui devenait apostat, une famille ne devait pas avoir pitié ; il lui fallait au contraire participer à sa lapidation. Ils étaient jugés devant des témoins — Deutéronome 13:6-11. Les villes d’Israël devenues apostates devaient être vouées à la destruction et rien n’en devait être conservé pour l’usage personnel de qui que ce soit. On ne devait jamais les rebâtir (Dt 13:12-17). Les délinquants dont les parents ne pouvaient plus rien obtenir devaient être lapidés. — it-1 p633 Juste avant que les Israélites n’entrent en Terre promise, Moïse leur a transmis ce conseil : “ C’est à la suite de Jéhovah votre Dieu que vous marcherez, et c’est lui que vous craindrez, et ce sont ses commandements que vous garderez, et c’est sa voix que vous écouterez, et c’est lui que vous servirez, et c’est à lui que vous vous attacherez. ” (Deutéronome 13:4). Ils devaient suivre Jéhovah, le craindre, lui obéir et s’attacher à lui. En rapport avec le terme traduit ici par ‘ s’attacher ’, un bibliste déclare que “ ce langage évoque des relations très étroites et très intimes ”. Le psalmiste a déclaré : “ L’intimité avec Jéhovah appartient à ceux qui le craignent. ” (Psaume 25:14). Nous entretiendrons des relations précieuses et étroites avec Jéhovah à la condition qu’il soit réel pour nous et que nous l’aimions au point de craindre de lui déplaire en quoi que ce soit. — TG2002 15/10 p16-17 Ces Israélites ont désobéi à la Loi de Dieu de deux façons : ils se sont prosternés devant des idoles et ils ont commis des actes sexuels immoraux. Des milliers d’hommes sont morts pour avoir désobéi (Deut. 13:6-9). Qu’est-ce qui a rendu cette situation encore plus tragique ? Le moment où les choses se sont passées. Si ces milliers d’Israélites avaient respecté la Loi de Dieu, ils auraient, peu de temps après, traversé le Jourdain pour entrer en Terre promise. À propos de ce récit biblique, l’apôtre Paul a écrit : « Nous pouvons tirer leçon de ces évènements, qui ont été mis par écrit pour nous avertir, nous sur qui sont arrivées les fins des systèmes de choses » (1 Cor. 10:7-11). Satan s’est certainement réjoui de voir que ces Israélites avaient commis des péchés graves et qu’ils avaient ainsi perdu la possibilité d’entrer en Terre promise. Si nous voulons agir avec sagesse, nous tirerons leçon de ce qui leur est arrivé, sachant que rien ne rendrait Satan plus heureux que de nous empêcher d’entrer dans le monde nouveau de Dieu – TG2019/6 Mener une enquête approfondie. Par l’intermédiaire de Moïse, Dieu a demandé aux juges israélites : « Quand vous écouterez ce qu’il y a entre vos frères, vous devrez juger avec justice » (Deutéronome 1:16). Un juge ne peut rendre une décision juste que s’il a tous les éléments en main. Voilà pourquoi Dieu a ordonné : « Tu devras rechercher, enquêter et interroger avec soin. » Avant de se prononcer, les juges devaient s’assurer que l’accusation était « bien établie », que c’était « la vérité » Deutéronome 13:14. Bien que ces principes clairs aient été donnés à Israël il y a plusieurs siècles, ils peuvent toujours être utiles dans les tribunaux aujourd’hui. Quand ils sont respectés, ils peuvent éviter des vices de procédures et des erreurs judiciaires. – TG2014 1/9 Israël est mon fils. ” S’adressant à Pharaon, qui se prenait pour un dieu et un fils du dieu égyptien Râ, Jéhovah appela Israël “ mon fils, mon premier-né ”, et intima cet ordre au monarque : “ Renvoie mon fils pour qu’il me serve. ” (Ex 4:22, 23). Par conséquent, Dieu considérait toute la nation d’Israël comme son “ fils ”, parce qu’elle était son peuple choisi, un “ bien particulier, parmi tous les peuples ”. (Dt 14:1, 2.) - it-1 p899 La loi de Dieu interdisait expressément aux Israélites de se faire des incisions dans la chair à cause d’un mort (Lv 19:28 ; 21:5 ; Dt 14:1). Pourquoi ? Parce qu’Israël était un peuple saint pour Jéhovah, son bien particulier (Dt 14:2). Aussi devait-il se garder de toute pratique idolâtrique. De plus, ces démonstrations d’affliction excessives, notamment l’auto-lacération, étaient totalement déplacées chez un peuple parfaitement informé sur la condition véritable des morts et sur l’espérance de la résurrection (Dn 12:13 ; Hé 11:19). En outre, l’interdiction de telles mutilations inculquait aux Israélites le respect qu’il convient d’accorder au corps humain, une création de Dieu. – it-1 p1180 Individuellement les Israélites jouissaient d’une relation particulière avec Jéhovah. Moïse avait déclaré en effet : “ Des fils de Jéhovah votre Dieu, voilà ce que vous êtes. [...] Car tu es un peuple saint pour Jéhovah ton Dieu. ” (Deutéronome 14:1, 2). Les jeunes Israélites n’avaient donc pas besoin de vouer leur vie à Jéhovah. Leur naissance faisait d’eux des membres du peuple voué à Dieu. Chaque nouvelle génération était instruite des lois divines, et tenue de les observer en vertu de l’alliance qui liait la nation à Jéhovah. Bien qu’étant né dans une nation vouée, chaque Israélite devait décider s’il servirait Dieu ou non. Les Israélites devaient donc décider individuellement d’aimer Jéhovah, d’écouter sa voix et de s’attacher à lui. L’usage qu’ils feraient de leur libre arbitre dans ce domaine aurait des conséquences, bonnes ou mauvaises. —— TG2006 1/7 §6 Outre le vin, quelles boissons alcooliques fabriquait-on aux temps bibliques ? Dans la Bible, “ vin et boisson enivrante ” sont souvent associés (Deutéronome 14:26 ; Luc 1:15). L’expression “ boisson enivrante ” ne désigne pas un produit obtenu par distillation, ce procédé ayant été inventé des siècles plus tard. Certaines boissons alcooliques étaient fabriquées à partir de fruits comme le raisin, la datte, la figue, la pomme et la grenade, ou à partir de miel. La “ boisson enivrante ” désignait aussi la bière. Le mot hébreu utilisé est apparenté à un terme akkadien qui se rapporte parfois à la bière d’orge commune de Mésopotamie. Elle était peu alcoolisée, mais consommée avec excès, elle provoquait l’ivresse (Proverbes 20:1). Des représentations de brasseries en argile et des peintures mettant en scène des brasseurs ont été découvertes dans des tombeaux égyptiens. À Babylone, la bière était une boisson de tous les jours tant au palais que chez le pauvre. Les Philistins en consommaient également. En Palestine, des archéologues ont retrouvé des cruches à becs filtrants. Ces becs retenaient la bale de l’orge qui avait servi à la fabrication du breuvage. – TG2010 1/ 2 p23 Selon Deutéronome 15:1-3, il apparaît que pendant l’année sabbatique (chaque 7e année) le créancier ne pouvait pas presser son compagnon israélite pour le paiement de sa dette. Contrairement à l’Israélite, qui observait la loi du sabbat et ne retirait pour ainsi dire rien de sa terre, l’étranger, lui, continuait à percevoir des revenus pour le travail non agricole qu’il effectuait. Par conséquent, on pouvait raisonnablement exiger de lui le paiement de sa dette pendant l’année sabbatique. À l’approche d’une année sabbatique, certains Israélites, sachant qu’ils ne pourraient pas faire pression, hésitaient peut-être à prêter à leurs frères indigents. Mais la Loi condamnait un tel égoïsme. — Dt 15:9. - it-1 p630 Quel autre bienfait le Jubilé apportait-il aux Israélites ? Jéhovah a expliqué : « Personne chez toi ne devrait devenir pauvre, car Jéhovah ne manquera pas de te bénir dans le pays que Jéhovah ton Dieu te fait posséder en héritage » (Deut. 15:4). Les choses sont bien différentes aujourd’hui dans le monde : les riches deviennent souvent plus riches, et les pauvres, plus pauvres. Nous qui sommes chrétiens, nous n’obéissons pas à la Loi de Moïse. Nous n’observons donc pas le Jubilé, durant lequel les esclaves étaient libérés, les dettes annulées et les terres héréditaires rendues à leurs propriétaires. Mais nous devrions quand même nous intéresser à cette disposition de Jéhovah. Pourquoi ? Parce que nous avons la possibilité de profiter d’une liberté qui nous rappelle celle dont les Israélites bénéficiaient grâce au Jubilé. – TG2019/12 La Bile fait mention de la main plus de 1 800 fois, dans des expressions très diverses. Par exemple, une main pure est synonyme d’innocence (2 Samuel 22:21 ; Psaume 24:3, 4). Ouvrir sa main, c’est faire preuve de générosité envers autrui (Deutéronome 15:11) – TG2002 1/ 2 En adhérant fidèlement à la loi de Dieu, les Israélites se seraient dans une large mesure préservés de la pauvreté (Dt 15:4, 5). Toutefois, s’ils désobéissaient, ils n’auraient pas la bénédiction de Jéhovah et connaîtraient alors l’appauvrissement à cause de malheurs tels que l’invasion d’armées ennemies ou la sécheresse terrible. Parce qu’ils étaient paresseux, ivrognes, gloutons ou avides de plaisirs, certains faisaient venir la pauvreté sur eux et sur leur famille. En outre, des situations imprévues pouvaient se présenter et plonger des personnes dans la pauvreté. Parfois, c’était la mort qui laissait des orphelins et des veuves, ou encore un accident ou une maladie qui empêchaient temporairement ou définitivement quelqu’un d’accomplir un travail indispensable. C’est pourquoi Jéhovah put dire à Israël : “ Le pauvre ne disparaîtra jamais du milieu du pays. ” — Dt 15:11- it-2 p508 Dans l’Israël antique, la Loi mosaïque stipulait que les esclaves hébreux devaient être libérés soit à leur septième année d’esclavage, soit l’année du Jubilé. Toutefois, une autre possibilité était ouverte. Si un esclave en venait à aimer son propriétaire, il pouvait décider de servir le restant de ses jours dans la maisonnée de son maître. (Deutéronome 15:12, 16, 17.) Nous faisons un choix similaire quand nous nous vouons à Dieu. Nous acceptons de bon gré d’accomplir sa volonté plutôt que de suivre nos inclinations. Une telle décision rend manifestes la profondeur de notre amour pour lui et notre désir de le servir à jamais – TG2008 15/10 15/8 §9 La Loi reflétait le souci que Dieu portait à la condition physique de ses serviteurs. Cela vous fait peut-être penser à certaines lois données à Israël concernant l’hygiène et les mesures à prendre pour circonscrire les infections (Deutéronome 14:11-21; 23:10-14). Il ne faut pas non plus oublier les mesures spéciales que Dieu avait prises pour aider les pauvres et les affligés. Un Israélite pouvait devenir pauvre à cause de sa mauvaise santé ou à la suite d’une catastrophe telle qu’un incendie ou une inondation. Dans sa Loi, Jéhovah reconnaissait donc que tous ne seraient pas égaux sur le plan économique (Deutéronome 15:11). Cependant, il ne se contenta pas de compatir aux malheurs des pauvres et des affligés. Il veilla à ce qu’on leur vînt en aide. Un Israélite pouvait démontrer qu’il se souciait de ses frères pauvres en leur consentant un prêt. Il pouvait s’attendre à percevoir des intérêts lorsqu’il prêtait de l’argent à quelqu’un qui désirait monter ou agrandir une affaire. En revanche, Jéhovah interdisait d’imposer un intérêt à un frère pauvre, car dans son désespoir celui-ci risquait d’être tenté de commettre le mal (Deutéronome 15:7, 8, 11). L’attitude de Dieu envers les malheureux devait servir de modèle à son peuple. Nous avons même cette promesse: “Celui qui témoigne de la faveur au petit prête à Jéhovah, et Il lui rendra sa manière d’agir.” (Proverbes 19:17). Vous rendez-vous compte: cela revient à prêter à Jéhovah avec l’assurance d’être largement payé en retour. – TG1986 15/10 §6,9
  25. PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 5 Juillet 2021 - Deutéronome 11-12.docx PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 5 Juillet 2021 - Deutéronome 11-12.pdf Perles spirituelles (10 min) : Deutéronome 11-12 Deutéronome 11:29 : Comment l’évènement que rapporte ce verset s’est-il apparemment déroulé ? (it-1 1037). « Quand Jéhovah votre Dieu vous fera entrer dans le pays que vous allez posséder, vous devrez prononcer la bénédiction depuis le mont Garizim et la malédiction depuis le mont Ébal » Peu après la conquête de Aï, conformément aux instructions de Moïse les tribus d’Israël s’assemblèrent aux monts Guerizim et Ébal sous la direction de Josué. C’est là que le peuple écouta la lecture des bénédictions qu’il recevrait s’il obéissait à Jéhovah et des malédictions qui l’attendaient s’il lui désobéissait. Les tribus de Siméon, de Lévi, de Juda, d’Issakar, de Joseph et de Benjamin se tenaient vis-à-vis du mont Guerizim. Les Lévites et l’arche de l’alliance étaient dans la vallée, tandis que les six autres tribus se tenaient vis-à-vis du mont Ébal (Dt 11:29, 30 ; 27:11-13 ; Jos 8:28-35). Apparemment, les tribus placées vis-à-vis du mont Guerizim répondaient aux bénédictions lues dans leur direction, tandis que les autres tribus répondaient aux malédictions lues vers le mont Ébal. On a avancé que les bénédictions étaient lues en direction du mont Guerizim en raison de sa grande beauté et de sa fertilité qui contrastait avec la nudité et l’aspect rocailleux du mont Ébal ; toutefois, la Bible ne donne aucune précision à ce sujet. La Loi fut lue à haute voix “ devant toute la congrégation d’Israël, avec les femmes, les petits et les résidents étrangers qui marchaient au milieu d’eux ”. (Jos 8:35.) Si cette foule immense put entendre les paroles depuis ses différentes places vis-à-vis de l’une ou de l’autre montagne, c’était probablement, au moins en partie, grâce à l’excellente acoustique de l’endroit. — Voir ÉBAL (MONT). - it-1 1037 Mont Ebal - Montagne aujourd’hui identifiée avec le djebel Eslamiyé (Har ʽÉval) et située dans le district de Samarie. Le mont Ébal fait face au mont Guerizim ; les deux montagnes sont séparées par une jolie vallée étroite, le val de Shekèm (vallée de Naplouse), où se niche la ville de Naplouse, non loin de l’ancienne Shekèm. On ne rencontre de la végétation que sur les premières pentes de cette montagne, notamment des vignes et des oliviers, car les hauteurs sont rocheuses et très dénudées. Comme d’autres montagnes de la Samarie, l’Ébal consiste en une partie centrale calcaire revêtue d’une couche de craie. Il se dresse au N.-E. du mont Guerizim et atteint plus de 900 m d’altitude par rapport au niveau de la Méditerranée. Les monts Ébal et Guerizim sont à l’O. du Jourdain. Il aurait été possible à Jéhovah Dieu d’amplifier miraculeusement la voix des Lévites. Cependant, il ne semble pas qu’un tel miracle ait été nécessaire. Dans cette vallée, l’acoustique est excellente. “Tous les voyageurs, a écrit le bibliste du XIXe siècle Alfred Edersheim, sont d’accord sur deux points: 1) Du mont Ébal et du mont Guérizim, il ne pouvait y avoir aucune difficulté à entendre distinctement tout ce qui se disait dans la vallée. 2) Ces deux montagnes offraient suffisamment de place pour tout Israël.” – TG1993 15/6 Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ? Au fil des décennies, dans de nombreux endroits du monde, la prédication et les publications ont été frappées d’interdictions et de restrictions. C’est toujours le cas dans certains pays. Mais les nations auront beau essayer d’anéantir le vrai culte, elles n’y parviendront jamais ! Jéhovah protègera son peuple de son bras puissant (Deut. 11:2). Si nous restons attachés à Jéhovah et à la vérité, lui et son Fils, Jésus Christ, agiront en notre faveur et ne permettront à rien ni personne de nous arracher de leurs mains. Plus la fin de ce système de choses approchera, plus Satan intensifiera ses attaques contre les serviteurs de Jéhovah. Jéhovah fera en sorte que l’une des attaques de Satan soit la dernière. TG2013 15/2 Quand Jéhovah déverse sa bénédiction sur son peuple, il lui donne toujours ce qu’il y a de meilleur (Jacques 1:17). Par exemple, le lieu d’habitation que Jéhovah a attribué aux Israélites était “ un pays ruisselant de lait et de miel ”. Il est vrai que le pays d’Égypte avait été aussi qualifié de la sorte, mais le pays que Jéhovah donnait aux Israélites était différent sous un aspect essentiel au moins. C’était, comme l’avait dit Moïse à la nation, “ un pays dont Jéhovah ton Dieu prend soin ”. En d’autres termes, les Israélites prospéreraient parce que Jéhovah s’occuperait d’eux. Tant qu’ils sont restés fidèles à Jéhovah, ils ont été abondamment bénis par lui et ont bénéficié d’un mode de vie manifestement supérieur à celui de toutes les nations qui les entouraient. Oui, c’est vraiment la bénédiction de Jéhovah qui “ enrichit ” ! — Deutéronome 11:8-15. – TG2007 1/8 p29 En quel sens les Israélites devaient-ils porter la loi de Dieu comme un fronteau entre leurs yeux ? Jéhovah voulait dire que les Israélites devaient garder en vue tout aussi distinctement la Loi et y prêter autant d’attention que si elle avait été écrite sur une tablette entre leurs yeux et si elle avait été un signe sur leurs mains, de sorte que, où qu’ils regardent et quoi qu’ils fassent, ils aient systématiquement la Loi devant eux. Pourtant, à un moment, après leur retour de Babylone, les Juifs forgèrent une religion formaliste fondée sur des traditions humaines (Mt 15:3, 9), dans laquelle ils firent une application littérale de cette loi. Ils utilisèrent des bandelettes de parchemin sur lesquelles étaient inscrits quatre passages de l’Écriture, à savoir Exode 13:1-10, 11-16 ; Deutéronome 6:4-9 ; 11:13-21. Plus tard au moins, ils roulèrent ce parchemin dans de petites boîtes en vélin qu’ils s’attachaient au front et au bras gauche. Les hommes les portaient pendant la prière du matin, sauf les jours de fête et le sabbat. Jésus Christ condamna l’hypocrisie des scribes et des Pharisiens qui, afin d’impressionner leurs semblables par leur justice, élargissaient les boîtes renfermant des passages de l’Écriture qu’ils portaient comme des moyens de protection. La Bible dit que ce qu’il faut garder, ce n’est pas une apparence extérieure belle ou pieuse, mais le cœur. Elle souligne également que ce n’est pas le port sur soi de textes bibliques écrits qui est d’un grand secours, mais le fait de préserver la sagesse pratique et la capacité de réflexion, ainsi que l’acquisition de l’intelligence. — it-1 p932 Jéhovah a d’abord expliqué à ses serviteurs que leur situation allait changer. Puis il leur a donné l’avertissement suivant, qui, à première vue, semble n’avoir aucun rapport avec l’agriculture : « Prenez garde, de peur que votre cœur ne se laisse égarer, et que vous n’adoriez d’autres dieux et ne vous prosterniez devant eux » (Deut. 11:16, 17). Pourquoi Jéhovah a-t-il mis son peuple en garde contre l’idolâtrie alors qu’il venait de lui parler de nouvelles méthodes pour cultiver la terre ? Jéhovah savait que les Israélites seraient tentés d’aller voir comment leurs voisins cananéens faisaient pour cultiver la terre. Bien sûr, ces peuples étaient bien plus expérimentés que les Israélites, et ils avaient sans doute des techniques très utiles à leur apprendre. Mais il y avait un danger. La façon de penser de ces peuples païens était influencée par leur croyance en Baal. Pour eux, Baal était le propriétaire du ciel et celui qui donnait les pluies. Jéhovah ne voulait pas que son peuple soit trompé par ces fausses croyances. Cependant, à de nombreuses reprises, les Israélites ont choisi d’adorer Baal. TG2019/6 p3 Satan a habilement poussé les Israélites à adorer de faux dieux. Comment s’y est-il pris ? Il savait qu’ils auraient besoin de produire de la nourriture, et il s’est servi de ce besoin. Quand les Israélites sont entrés en Terre promise, ils ont dû changer de méthodes pour cultiver la terre. En Égypte, ils irriguaient leurs champs en utilisant l’eau du Nil. Par contre, en Terre promise, l’agriculture dépendait non pas d’un immense système de cours d’eau et de canaux, mais des pluies saisonnières et de la rosée qui se déposait sur les végétaux (Deutéronome 11:10-15). Les Israélites devaient donc apprendre de nouvelles méthodes pour cultiver la terre. Cela n’allait pas être facile, car la plupart de ceux qui avaient une expérience dans l’agriculture étaient morts dans le désert. - TG2019/6 p3 Servir ou adorer Jéhovah impliquait d’obéir à tous ses commandements, de faire sa volonté en lui étant exclusivement attaché. Celui donc qui accomplissait un rite quelconque ou un acte de dévotion en l’honneur de n’importe quel autre dieu signifiait son abandon du vrai culte. — Dt 11:13-17 - it-1 p573 Jéhovah dit aux Israélites qu’ils devaient attacher ses paroles “ comme un signe sur leur main ” (Dt 11:18) et qu’il avait gravé Sion sur ses paumes, autrement dit qu’il s’en souvenait et s’en souciait toujours. –it-2 p185 Lorsque Jéhovah donna la Loi aux Israélites, il leur dit : “ Mes paroles que voici, vous devez les mettre sur votre cœur et sur votre âme et les lier comme un signe sur votre main, et elles devront servir de fronteau entre vos yeux. ” (Deutéronome 11:18). Ces paroles signifiaient que les Israélites devaient constamment garder cette Loi présente à l’esprit, afin qu’elle influence toutes leurs actions et leurs pensées. – re p197 L’étude familiale n’est pas la seule occasion de discuter de sujets spirituels importants. Vous rappelez-vous l’ordre que Jéhovah a donné aux parents ? Il a dit : “ Mes paroles que voici, vous devez les mettre sur votre cœur et sur votre âme et les lier comme un signe sur votre main, et elles devront servir de fronteau entre vos yeux. Il faudra aussi que vous les enseigniez à vos fils, de manière à parler d’elles quand tu seras assis dans ta maison et quand tu marcheras sur la route, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras. ” (Deutéronome 11:18, 19). Cela ne veut pas dire que les parents doivent constamment prêcher à leurs enfants. Mais un chef de famille qui aime ses enfants devrait saisir toute occasion d’édifier leur spiritualité. Bonheur familial p70 La Bible contient les instructions précises que Dieu a données aux Israélites à propos des offrandes qu’ils étaient tenus de faire Deutéronome 12:4-7, 11, 17, 18. Ces exigences n’avaient rien d’excessif. Et Jéhovah avait promis que, si la nation obéissait à ses lois, il la ferait “ surabonder de prospérité ”. Les Israélites pouvaient par ailleurs faire des offrandes volontaires — aussi généreuses ou aussi modestes qu’ils le désiraient. Les chrétiens sont-ils tenus de verser des sommes déterminées ? Les chrétiens ne sont pas sous la Loi donnée à Israël. Ils ne sont donc pas dans l’obligation de verser des sommes déterminées pour le culte. Il n’en reste pas moins que, dans la véritable congrégation chrétienne, le don est une grande source de joie.- TG2009 1/8 p30 Le peuple d’Israël était un modèle d’organisation. Par exemple, la Loi mosaïque prévoyait que des femmes fassent « un service organisé à l’entrée de la tente de réunion » (Ex. 38:8). Les déplacements du camp et du tabernacle s’effectuaient avec ordre. Lorsqu’ils obéissaient à Jéhovah, les Israélites vivaient dans l’ordre, la paix et l’unité (Deut. 11:26, 27) – TG2016/11 §8 Au lieu d’une multitude d’autels, Israël devait avoir un seul autel pour adorer l’unique vrai Dieu, et cet autel serait placé à l’endroit que choisirait Jéhovah (Dt 12:2-6, 13, 14, 27 ; la différence avec Babylone, où 180 autels étaient consacrés rien qu’à la déesse Ishtar). Les Israélites reçurent d’abord pour instruction de construire un autel avec des pierres brutes après leur traversée du Jourdain, ce que fit Josué sur le mont Ébal (Jos 8:30-32). Après la répartition de la terre conquise, les tribus de Ruben, de Gad et la demi-tribu de Manassé bâtirent un autel bien visible, près du Jourdain. Cela jeta temporairement le trouble parmi les autres tribus, jusqu’à ce qu’on établisse qu’il ne s’agissait pas d’un acte d’apostasie, mais seulement d’un mémorial de fidélité à Jéhovah, le vrai Dieu. — it-1 p232-233 Le régime alimentaire des Hébreux ne comportait pas beaucoup de viande en temps normal ; cependant, lorsqu’une famille voulait tuer un animal domestique pour avoir de la viande, elle l’amenait au sanctuaire Dt 12:20-27. Les membres de la famille mangeaient la viande après que le prêtre en avait offert une partie sur l’autel et avait reçu sa part. Certains sacrifices de communion devaient être mangés le jour même. D’autres ne pouvaient plus être mangés après le deuxième jour et la chair devait être brûlée au feu. Compte tenu du climat chaud de la Palestine et de l’absence de réfrigération, ces exigences protégeaient les Israélites des maladies fébriles que peuvent provoquer des toxines produites lorsque certains organismes se multiplient rapidement sur la viande qui n’est pas conservée au frais, par exemple la Salmonelle. - it-1 p894 Les dieux de l’Antiquité étaient souvent dépeints comme des personnages lubriques et assoiffés de sang. Dans le but de les apaiser, des parents allaient jusqu’à brûler vifs leurs enfants (Deutéronome 12:31). Les Cananéens et les Israélites apostats pratiquaient les sacrifices d’enfants. À l’autre extrême, des philosophes païens enseignaient que Dieu ne connaissait ni la colère ni la pitié. –TG1994 1/11
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