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misette

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  1. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 10 DECEMBRE 2018 - ACTES 12-14.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 10 DECEMBRE 2018 - ACTES 12-14.pdf Vidéo par écrit Jéhovah t'aidera -Semaine du 10 décembre.docx Vidéo par écrit Jéhovah t'aidera -Semaine du 10 décembre.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 12-14 Actes 12:21-23 : Qu’apprenons-nous de ce qui est arrivé à Hérode ? (w08 15/5 32 § 7) « Au jour fixé, Hérode se revêtit de vêtements royaux, s’assit au tribunal et prononça un discours. Alors l’assistance se mit à crier : « Voix d’un dieu, non d’un homme ! » À l’instant même, l’ange de Jéhovah* le frappa, parce qu’il n’avait pas attribué la gloire à Dieu ; il fut dévoré par les vers et mourut » Hérode a volontiers accepté la gloire qui n’aurait dû être attribuée qu’à Dieu seul. Quel contraste avec la réaction immédiate de Paul et de Barnabé qui ont refusé énergiquement un honneur et des louanges qui ne leur étaient pas dus ! Nous ne devrions pas désirer la gloire, quoi que nous fassions au service de Jéhovah. Lors d’un évènement diplomatique, Hérode s’est revêtu « de vêtements royaux ». La foule en adoration s’est écriée : « Voix d’un dieu, et non d’un homme ! » Hérode a manifestement savouré ces éloges. Que s’est-il passé ensuite ? « À l’instant même, l’ange de Jéhovah le frappa, parce qu’il n’avait pas donné la gloire à Dieu ; et il fut dévoré par les vers et expira » (Actes 12:21-23). Aucun observateur objectif ne pouvait parvenir à la conclusion qu’Hérode avait été choisi par Jéhovah. Jésus, en revanche, a donné des preuves convaincantes qu’il avait été établi par Dieu, et il a constamment honoré Jéhovah, reconnaissant en lui le Conducteur suprême de Son peuple. – TG2017/2 p18 §20 L’historien Josèphe a lui aussi narré l’épisode, mais de façon plus détaillée. Il décrit l’homme donnant son discours dans “ une robe toute faite d’argent ”. Il ajoute que le roi “ fut saisi d’une subite douleur d’intestins qui, dès le début, fut extrêmement vive ”, et qu’il expira cinq jours plus tard. – g2011/4 p10 Avons-nous quelque habileté à prononcer des discours ou à enseigner les vérités bibliques ? Alors, attribuons à Dieu le mérite de ce qu’il nous permet de faire. — 1 Cor. 4:6, 7 ; Jacq. 4:6. – TG2008 15/2 p7 Sa maladie et sa mort. Très vraisemblablement à cause de sa vie licencieuse, Hérode finit par être atteint d’une maladie répugnante accompagnée de fièvre et, pour citer Josèphe, “ il éprouvait une insupportable démangeaison de toute la peau, de continuelles tranchées, un œdème des pieds pareil à celui des hydropiques ; en outre la tuméfaction du bas-ventre et une gangrène des parties sexuelles qui engendrait des vers, enfin l’asthme, la suffocation, des crampes de tous les membres ”. — Guerre des Juifs, I, 656 (XXXIII, 5). Les chronologistes situent la mort du roi Hérode Agrippa Ier en 44 de n. è., alors qu’il avait 54 ans et qu’il avait régné trois ans sur toute la Judée. – it1 Hérode Actes 13:9 : Pourquoi Saul était-il « aussi appelé Paul » ? (nwtsty). « Alors Saul, aussi appelé Paul, fut rempli d’esprit saint et, le fixant du regard » Saul aussi appelé Paul : À partir de ce verset, Saul est appelé Paul. De par sa naissance, l’apôtre était Hébreu et citoyen romain. Il est donc probable que, dès l’enfance, il a porté à la fois le nom hébreu Saul et le nom romain Paul. Il était courant chez les Juifs de l’époque, en particulier chez ceux qui ne vivaient pas en Israël, de porter deux noms (Ac 12:12 ; 13:1). Des membres de la famille de Paul avaient eux aussi un nom romain ou un nom grec (Rm 16:7, 21). En tant qu’« apôtre des nations », Paul était chargé de proclamer la bonne nouvelle aux non-Juifs (Rm 11:13). Il a apparemment décidé d’utiliser son nom romain, peut-être parce que cela lui paraissait plus adapté (Ac 9:15 ; Ga 2:7, 8). Certains ont émis l’idée qu’il aurait adopté ce nom romain en l’honneur de Sergius Paulus ; mais c’est peu probable, car Paul a continué de porter ce nom même après avoir quitté Chypre. Pour d’autres, Paul aurait évité d’utiliser son nom hébreu parce que, prononcé à la grecque, il ressemblait à un mot grec désignant une personne (ou un animal) qui se pavane. Paul : Dans les Écritures grecques chrétiennes, le nom Paulos, qui est dérivé du latin Paulus et qui signifie « petit », est employé 157 fois pour désigner l’apôtre Paul et une fois pour désigner le proconsul de Chypre nommé Sergius Paulus (Actes 13:7). Quand Saul de Tarse reçut-il le nom de Paul, et pourquoi ? il semble raisonnable de penser que les deux noms, Saul et Paul, ont été donnés dès son enfance à celui qui devint plus tard l’apôtre Paul. Certains ont même émis l’idée que les parents du futur apôtre Paul avaient choisi ce nom de Saul à cause de sa signification : “demandé” ou “désiré” Quelle que soit la raison qui motiva le choix de ce nom juif, Paul, avant de devenir apôtre, avait l’habitude de se faire appeler par son nom hébreu, Saul, quand il se trouvait au milieu de ses compagnons juifs, et plus particulièrement à l’époque où il faisait ses études de Pharisien et vivait comme tel. Etant donné que ses parents juifs habitaient Tarse, une ville romaine libre, on comprend qu’ils aient pu donner à leur fils un nom romain, Paulus ou Paul, qui signifie “Petit”. Certains parents de Paul avaient aussi des noms romains et grecs. pour les Juifs de ce temps-là, et notamment pour ceux qui habitaient en dehors d’Israël, il n’était pas rare d’avoir deux noms. La Bible nous parle du disciple Siméon, qui était appelé Niger, et de Jean, qui était surnommé Marc. Dans le cas de Saul, un nom romain était particulièrement approprié du fait qu’il était né citoyen romain. – TG1968 15/11 p702 Dans les années qui ont suivi sa conversion au christianisme, cet apôtre semble avoir été connu principalement sous son nom hébreu, Saul. Toutefois, plus de dix ans après, lors de son premier voyage missionnaire, vers 47/48 de notre ère, il a semble-t-il préféré utiliser son nom romain, Paul. Comme il avait été chargé de proclamer la bonne nouvelle aux non-Juifs, il a peut-être pensé que son nom romain passerait mieux. Il est aussi possible qu’il ait opté pour le nom Paul parce que la prononciation grecque de son nom hébreu, Saul, ressemblait fortement à celle d’un mot grec qui avait un sens péjoratif. Quoi qu’il en soit, Paul a montré qu’il était prêt à “ devenir toutes choses pour des gens de toutes sortes, afin d’en sauver de toute manière quelques-uns ”. – TG2008 1/3 p12 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Tandis qu’il passe sa dernière nuit en prison, Pierre dort profondément entre ses deux gardiens. Il va alors vivre quelque chose d’extraordinaire. (Actes 12:7-11.) Une vive lumière inonde sa cellule : un ange, de toute évidence invisible pour les gardes, se tient là. Il secoue l’apôtre afin de le réveiller. Et voilà que tombent les chaînes qui entravent ses mains ! L’ange le mène hors de sa cellule, en passant tout près des gardes postés dehors, et lui fait franchir une imposante porte en fer, qui s’ouvre “ d’elle-même ”. Une fois qu’ils sont dehors, l’ange disparaît. Pierre est libre ! Notre foi n’est-elle pas fortifiée quand nous voyons ce dont Jéhovah est capable pour secourir ses serviteurs ? Bien sûr, à notre époque, nous ne nous attendons pas à ce qu’il nous délivre miraculeusement. Cependant, nous ne doutons pas qu’il emploie sa puissance en faveur de ses serviteurs. Grâce à son esprit, nous pouvons être de taille à lutter contre n’importe quelle difficulté. D’autre part, Jéhovah donnera bientôt à son Fils le pouvoir de libérer des millions de personnes de la plus impitoyable des prisons : la mort. Notre foi dans les promesses de Jéhovah nous insuffle un courage hors du commun face aux épreuves. – TG2012 15/1 p12 §15,16 D’après Actes 13:38-41, à Antioche l’apôtre Paul a montré à des Juifs ce que signifiait le rejet de Jésus et de son sacrifice rédempteur. Citant Habacuc 1:5 dans les termes de la Septante, Paul a lancé cet avertissement : “ Prenez [...] garde que ne vienne sur vous ce qui est dit dans les Prophètes : ‘ Regardez, gens pleins de mépris, et étonnez-vous de cela, et disparaissez, parce que je fais une œuvre en vos jours, une œuvre que vous ne croirez absolument pas, même si quelqu’un vous la raconte en détail. ’ ” Conformément à la citation de Paul, un deuxième accomplissement de Habacuc 1:5 a eu lieu quand les armées romaines ont détruit Jérusalem et son temple en 70 de notre ère. Pour les Juifs du temps de Habacuc, l’“ œuvre ” de Dieu qui consistait à faire détruire Jérusalem par les Babyloniens était impensable ; en effet, la ville était le siège du culte de Jéhovah et l’endroit où son roi oint était intronisé. Pour ces raisons, Jérusalem n’avait jamais été détruite. Son temple n’avait jamais été incendié. La maison royale de David n’avait jamais été renversée. Il était inconcevable que Jéhovah permette de telles choses. Pourtant, par l’intermédiaire de Habacuc, Dieu a annoncé on ne peut plus clairement que ces événements stupéfiants se produiraient. Et l’Histoire atteste qu’ils sont survenus comme cela était prédit Jéhovah va-t-il faire une “ œuvre ” incroyable à notre époque ? Soyez-en certain, même si cela semble inconcevable à ceux qui en doutent. Cette fois, l’œuvre incroyable de Jéhovah sera la destruction de la chrétienté. Comme Juda dans l’Antiquité, elle prétend adorer Dieu, mais elle est devenue foncièrement corrompue. Jéhovah veillera à ce que tout vestige du système religieux de la chrétienté disparaisse prochainement, de même que l’ensemble de “ Babylone la Grande ”- TG2000 1/ 2 Jéhovah attire en douceur le cœur d’une personne qui est « dans la disposition qu’il faut » (Actes 13:48). Il le fait de deux manières : au moyen de la prédication de la bonne nouvelle, qui touche chacun personnellement, et au moyen de son esprit saint. Quand il voit un cœur réceptif aux vérités bibliques, il utilise son esprit pour aider la personne à les comprendre et à les appliquer dans sa vie. Sans cette aide, nous ne pourrions pas devenir de véritables disciples de Jésus ni de fidèles adorateurs de Jéhovah. – TG2013 1/5 p14 Quand nous regardons tout ce que Dieu a créé sur terre, nous comprenons ce qu’il ressent pour nous. Comme l’a dit l’apôtre Paul, Dieu ‘n’a pas manqué de donner des témoignages de ce qu’il est en faisant du bien : il nous a donné pluies du ciel et saisons fertiles, nous a rassasiés de nourriture et a rempli nos cœurs de joie de vivre’ (Actes 14:17). Dieu ne nous a pas donné juste ce dont nous avons besoin pour rester en vie. Il nous a donné généreusement tant en quantité qu’en diversité pour que nous profitions pleinement de la vie. Et tout cela n’est qu’un aperçu de ce qu’il avait prévu pour nous à l’origine. WP19 n°1 p10 Le monde approchant de sa fin, les serviteurs de Jéhovah peuvent s’attendre à une intensification des épreuves et des dangers (Actes 14:22). Mais si nous cultivons dès maintenant une confiance totale en Jéhovah, nous aurons l’espérance de vivre dans le monde nouveau promis, que ce soit en franchissant la grande tribulation ou en bénéficiant de la résurrection. Ne laissons jamais le manque de confiance compromettre nos précieuses relations avec Jéhovah. –TG2001 1/6 Comment, en ces derniers jours, Jéhovah attire-t-il les gens et leur ouvre-t-il la “ porte de la foi ” ? (Actes 14:27) Essentiellement en faisant annoncer par ses Témoins ses messages de salut et de jugement contre le système de choses méchant. Cette proclamation mondiale provoque actuellement parmi les nations une secousse, présage de la destruction qui se produira bientôt lorsque le jugement sera exécuté. Simultanément, les humains qui sont ‘ précieux ’ aux yeux de Dieu sont attirés hors de ce système et ils trouvent protection à l’intérieur de sa “ maison ”, le vrai culte. Comme au 1er siècle, il charge parfois ses anges de diriger ses Témoins vers les humains sincères qui l’ont appelé à l’aide. En découvrant les dispositions merveilleuses que Dieu a prises en leur faveur par l’intermédiaire de son Fils, Jésus Christ, certains se sentent attirés vers lui en raison de son amour. En effet, Dieu attire donc les gens vers lui et vers son Fils par sa “ bonté de cœur ”, son “ amour fidèle ” – TG1999 15/7 §6,7 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Quand on leur a dit que Pierre, qu’ils croyaient en prison, était à la porte, pourquoi les disciples ont-ils répondu : “ C’est son ange ” ? — Actes 12:15. Les disciples ont sans doute supposé, à tort, qu’un messager angélique représentant Pierre se tenait au portail. Examinons le contexte de ce passage. Pierre a été arrêté par Hérode, lequel a déjà fait mettre à mort Jacques. Les disciples sont donc fondés à croire que Pierre est promis au même sort. Dans sa prison, l’apôtre est enchaîné et gardé par quatre escouades de quatre soldats chacune. Une nuit, il est libéré miraculeusement par un ange, qui le conduit hors de la prison. Lorsqu’il finit par comprendre ce qui s’est passé, Pierre dit : “ Maintenant je sais vraiment que Jéhovah a envoyé son ange et qu’il m’a délivré de la main d’Hérode. ” — Actes 12:1-11. Il se rend aussitôt à la maison de Marie la mère de Jean Marc, où de nombreux disciples se trouvent réunis. Quand il frappe au battant du portail, une servante nommée Rhode vient répondre. Reconnaissant la voix de l’apôtre, la servante court annoncer la nouvelle aux autres, laissant Pierre sur le pas de la porte ! Tout d’abord, les disciples, incrédules, concluent à tort : “ C’est son ange. ” — Actes 12:12-15. Ils savaient qu’au cours de l’Histoire des anges avaient secouru personnellement des serviteurs de Dieu. Toujours est-il que, lorsque les disciples ont dit : “ C’est son ange ”, ils supposaient probablement qu’un messager angélique représentant Pierre se tenait au portail. – TG2005 1/6 p31 Quand l’apôtre Paul prêchait à Antioche, il a rencontré un groupe de Juifs qui n’aimaient pas la vérité. Ils ont essayé de l’entraîner dans un débat en le contredisant par des blasphèmes, mais Paul leur a simplement rétorqué : “ Puisque vous [...] rejetez [la parole de Dieu] et ne vous jugez pas dignes de la vie éternelle, voyez, nous nous tournons vers les nations. ” — Actes 13:45, 46. Dans nos efforts pour que la bonne nouvelle du Royaume touche les personnes sincères, prenons garde de ne pas nous lancer dans des débats ou des controverses avec les moqueurs. Jésus Christ a fait cette recommandation à ses disciples : “ Quand vous entrerez dans la maison, saluez la maisonnée ; et si la maison en est digne, que la paix que vous lui souhaitez vienne sur elle ; mais si elle n’en est pas digne, que votre paix retourne sur vous. Partout où quelqu’un ne vous recevra pas ou n’écoutera pas vos paroles, en sortant de cette maison ou de cette ville secouez la poussière de vos pieds. ” — Matthieu 10:12-14. – TG2005 15/5 Les Écritures évoquent des individus qui, tout en étant encore incroyants, “ étaient dans la disposition qu’il faut pour la vie éternelle ”. Ils devinrent par la suite croyants (Actes 13:48). Nous ne pouvons absolument pas savoir si une personne est dans la disposition qu’il faut à moins de lui avoir exposé le témoignage, peut-être bien des fois. Conscients de cela, nous traitons “ avec douceur et profond respect ” ceux qui n’ont pas encore accepté le message de salut en espérant qu’il s’en trouvera encore parmi eux qui réagiront au message de vie. – TG2000 1/7 p12 §15 Vous êtes-vous déjà senti découragé parce que les personnes de votre territoire ne veulent pas écouter le message du Royaume ? Si c’est le cas, vous pouvez comprendre ce que l’apôtre Paul a ressenti. Pendant la trentaine d’années où il a prêché, il en a aidé beaucoup à devenir chrétiens (Actes 14:21). Toutefois, il n’a pas fait beaucoup de disciples parmi les Juifs. La plupart d’entre eux ont refusé de l’écouter et certains l’ont même persécuté (Actes 14:19). Quel effet cela a-t-il eu sur lui ? Il a admis : « J’ai une grande tristesse et une douleur incessante dans mon cœur » (Rom. 9:1-3). Pourquoi de tels sentiments ? Parce qu’il aimait vraiment prêcher et qu’il se souciait sincèrement des Juifs. Il était donc triste de les voir rejeter la miséricorde de Dieu. Comme Paul, nous prêchons aux gens parce que nous nous soucions sincèrement d’eux et que nous voulons les aider – W18 P Mai p12 §4,5 Les chrétiens apprenaient à connaître les autres membres de la congrégation et à les aimer. Loin de trouver cette association pesante, ils constataient qu’elle les bâtissait et les fortifiait. — Actes 14:27 – TG2000 1/1 Au 1er siècle, les anciens qui se déplaçaient de lieu en lieu jouaient un grand rôle pour affermir les congrégations. Ils donnaient les conseils qui s’avéraient nécessaires. Ils apportaient les instructions provenant du collège central. Ils racontaient également des faits qui s’étaient produits dans différents territoires, montrant ainsi comment d’autres personnes avaient pu connaître la bonne nouvelle (Actes 14:27, 28). Les visites régulières que font les responsables itinérants aujourd’hui favorisent également la croissance spirituelle de tous. Cependant, pour en retirer un maximum de bienfaits, nous devons personnellement avoir un bon état d’esprit et soutenir pleinement les activités organisées durant chacune de ces visites. km86/8 Jéhovah t’aidera Au baptême de son fils aîné Son fils cadet lui pose la question « C’est quand, ton tour, papa ? » Notre famille a reçu la visite des Témoins de Jéhovah pour la première fois, il y a quelques années. Rachel a été la première à étudier et puis très vite, on s’est tous mis à étudier. Pour la première fois, nous apprenions ce que la Bible enseigne réellement. On a rapidement commencé à prêcher, enfin presque toute la famille. Je savais que c’était la vérité, mais je ne savais pas si je pouvais être à la hauteur de tout ce que Jéhovah demande. En prédication, réflexion d’une personne : « Ah non, partez ! » Et si je décevais tout le monde, et si je décevais Jéhovah ? Un ancien, qui très gentil, qui s’appelle, Ben, a vu que c’était difficile pour moi. Il a pris l’initiative de m’aider. Il m’a demandé : « Qu’est-ce qui au tout début, t’a attiré vers Jéhovah ? » C’est de découvrir que Jéhovah n’est pas un Dieu dur ou exigeant mais que c’est un Dieu plein d’amour. Ben était d’accord avec moi. Il m’a dit : « Quand on fait de son mieux pour servir Jéhovah, il fait le reste » Il m’a expliqué que Jéhovah connaît bien nos limites et qu’il n’attend pas de nous la perfection, il est toujours là pour nous aider parce qu’il veut nous voir réussir. Ensuite, il m’a lu Isaïe 41 :10 « N’aie pas peur, car je suis avec toi. Ne t’inquiète pas, car je suis ton Dieu. Je te rendrai fort. Oui, je t’aiderai ; vraiment, je te soutiendrai avec ma main droite, main qui fait justice.” Je n’ai pas besoin d’être parfait pour servir Jéhovah. Je dois juste l’aimer et lui faire confiance et c’est Lui qui fera le reste. Questions : ˙ Quelles craintes peuvent retenir un étudiant de se vouer à Jéhovah et de se faire baptiser ? ˙ Comment les anciens peuvent-ils aider les étudiants à faire des progrès spirituels ? ˙ Qu’est-ce qu’Isaïe 41:10 nous apprend sur Jéhovah ? ˙ Quelles qualités nous permettront de servir Jéhovah d’une manière qu’il approuve, même si nous sommes imparfaits ?
  2. Vidéo par écrit Jéhovah t'aidera -Semaine du 10 décembre.docx Vidéo par écrit Jéhovah t'aidera -Semaine du 10 décembre.pdf Jéhovah t’aidera Au baptême de son fils aîné Son fils cadet lui pose la question « C’est quand, ton tour, papa ? » Notre famille a reçu la visite des Témoins de Jéhovah pour la première fois, il y a quelques années. Rachel a été la première à étudier et puis très vite, on s’est tous mis à étudier. Pour la première fois, nous apprenions ce que la Bible enseigne réellement. On a rapidement commencé à prêcher, enfin presque toute la famille. Je savais que c’était la vérité, mais je ne savais pas si je pouvais être à la hauteur de tout ce que Jéhovah demande. En prédication, réflexion d’une personne : « Ah non, partez ! » Et si je décevais tout le monde, et si je décevais Jéhovah ? Un ancien, qui très gentil, qui s’appelle, Ben, a vu que c’était difficile pour moi. Il a pris l’initiative de m’aider. Il m’a demandé : « Qu’est-ce qui au tout début, t’a attiré vers Jéhovah ? » C’est de découvrir que Jéhovah n’est pas un Dieu dur ou exigeant mais que c’est un Dieu plein d’amour. Ben était d’accord avec moi. Il m’a dit : « Quand on fait de son mieux pour servir Jéhovah, il fait le reste » Il m’a expliqué que Jéhovah connaît bien nos limites et qu’il n’attend pas de nous la perfection, il est toujours là pour nous aider parce qu’il veut nous voir réussir. Ensuite, il m’a lu Isaïe 41 :10 « N’aie pas peur, car je suis avec toi. Ne t’inquiète pas, car je suis ton Dieu. Je te rendrai fort. Oui, je t’aiderai ; vraiment, je te soutiendrai avec ma main droite, main qui fait justice.” Je n’ai pas besoin d’être parfait pour servir Jéhovah. Je dois juste l’aimer et lui faire confiance et c’est Lui qui fera le reste. Questions : ˙ Quelles craintes peuvent retenir un étudiant de se vouer à Jéhovah et de se faire baptiser ? ˙ Comment les anciens peuvent-ils aider les étudiants à faire des progrès spirituels ? ˙ Qu’est-ce qu’Isaïe 41:10 nous apprend sur Jéhovah ? ˙ Quelles qualités nous permettront de servir Jéhovah d’une manière qu’il approuve, même si nous sommes imparfaits ?
  3. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 3 DECEMBRE 2018 - ACTES 9-11.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 3 DECEMBRE 2018 - ACTES 9-11.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 9-11 Actes 9:4 : Pourquoi Jésus a-t-il demandé à Saul : « Pourquoi me persécutes-tu ? » (bt 60-61 § 5-6). « Il tomba par terre et entendit une voix lui dire : « Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ? » « La congrégation [...] entra dans une période de paix » 5 En arrêtant Saul sur la route de Damas, Jésus n’a pas demandé : « Pourquoi persécutes-tu mes disciples ? » mais, comme on l’a dit : « Pourquoi me persécutes-tu ? » (Actes 9:4). En effet, Jésus est personnellement affecté par les épreuves que subissent ses disciples (Mat.25:34-40, 45). 6 Si tu es opprimé à cause de ta foi en Christ, sois sûr que Jéhovah et Jésus savent tous les deux ce qui t’arrive (Mat. 10:22, 28-31). Peut-être ne supprimeront-ils pas l’épreuve pour l’instant. Rappelle-toi : Jésus a vu Saul participer à la mort d’Étienne ; il l’a vu traîner les disciples fidèles hors de chez eux jusqu’à Jérusalem (Actes 8:3). Pourtant, il n’est pas intervenu alors. N’empêche que, par son intermédiaire, Jéhovah a donné à Étienne et aux autres disciples la force nécessaire pour rester fidèles. Lorsque, après sa résurrection, Jésus est apparu à Saul sur le chemin de Damas, il lui a laissé entendre que la persécution cruelle qu’il infligeait aux disciples le touchait personnellement. “ Je suis Jésus, que tu persécutes ”, lui a-t-il dit (Actes 9:3-5). Jésus souffrait pour ses disciples, comme une mère souffre pour son enfant malade. Il ressentait la persécution de ses disciples comme une souffrance personnelle. De la même façon, étant notre Grand Prêtre céleste, il ‘ compatit à nos faiblesses ’ il ‘ comprend nos faiblesses et sympathise avec nous ’. – TG2002 15/4 Actes 10:6 : L’apôtre Pierre a logé chez un tanneur. Pourquoi cette précision est-elle intéressante ? (nwtsty). « Cet homme loge chez un tanneur du nom de Simon, qui a sa maison près de la mer. » Un tanneur du nom de Simon : Un tanneur travaillait les peaux d’animaux. Il utilisait une solution à base de chaux pour les débarrasser de leurs poils et éliminer toute trace de chair et de graisse. Puis il traitait la peau en la plongeant dans un bain de substances puissantes ; ce cuir pouvait ensuite être utilisé pour fabriquer des objets. L’opération de tannage dégageait une odeur nauséabonde et elle nécessitait un grand volume d’eau, ce qui peut expliquer pourquoi Simon vivait près de la mer, probablement aux abords de Joppé. Selon la Loi mosaïque, une personne qui touchait des cadavres d’animaux était impure du point de vue rituel (Lv 5:2 ; 11:39). C’est pourquoi de nombreux Juifs méprisaient les tanneurs et n’auraient pas voulu loger chez l’un d’eux. D’ailleurs, le Talmud a plus tard jugé le métier de tanneur comme inférieur à celui de ramasseur de crottin. Mais Pierre n’a pas laissé les préjugés l’empêcher de séjourner chez Simon. L’ouverture d’esprit dont il a fait preuve en la circonstance a été une préparation très intéressante à sa mission suivante : se rendre chez un Gentil, c’est-à-dire un non-Juif. Certains biblistes pensent que le mot grec traduit par « tanneur » (burséus) était un surnom qu’on avait donné à Simon. À l’époque, un Gentil incirconcis était tout aussi indésirable chez les Juifs que peut l’être une personne que l’on a excommuniée de la congrégation. Aussi Pierre, en tant que chrétien juif, n’était-il encore jamais entré de son propre chef dans la maison d’un non-Juif incirconcis. De ce fait, quand les chrétiens juifs et circoncis de Jérusalem apprirent plus tard que Pierre était finalement entré chez des Gentils, ils le critiquèrent, “disant qu’il avait pénétré dans une maison d’hommes incirconcis et avait mangé avec eux”. — Actes 11:3. Les races non juives passaient pour être souillées et impures. Pour se justifier, Pierre dut exposer les faits devant les apôtres et d’autres chrétiens juifs circoncis de Jérusalem. Pendant que Pierre séjournait à Joppé, chez Simon le tanneur, Dieu lui envoya une vision dans le but de lui faire comprendre qu’il ne devait pas continuer d’appeler impur ce que Dieu avait à présent purifié. Pierre allait apprendre une leçon capitale sur l’impartialité de Jéhovah – TG1980 1/1 De nos jours, il peut être difficile de maintenir l’unité parmi les pratiquants du vrai culte qui viennent “ de toutes nations et tribus et peuples et langues ”. (Rév. 7:9.) Ainsi, dans beaucoup de congrégations se mêlent diverses races, cultures et éducations. Demandons-nous : ‘ Ai-je extirpé de mon cœur toute trace de préjugé ? Suis-je décidé à ne jamais traiter mes frères et sœurs chrétiens d’une façon influencée par les mentalités diviseuses du monde — nationalisme, tribalisme, orgueil culturel et racisme ? ’ Rappelons ce qui est arrivé à Pierre (Céphas) quelques années après les premières conversions de Gentils. Cédant aux préjugés des autres, “ il a entrepris de se retirer et de se séparer ” des chrétiens gentils, si bien que Paul a dû le reprendre. Méfions-nous constamment du piège des préjugés. – bt chap9 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Dieu encouragea Paul à la reconnaissance pour la faveur imméritée qu’il lui avait déjà accordée par l’intermédiaire de Christ. Paul avait effectivement été comblé de bénédictions. Jéhovah lui permit avec amour de devenir disciple de Jésus alors qu’il s’était opposé fanatiquement aux chrétiens (Actes 9:1-4). Ensuite, il lui donna nombre de missions et de privilèges passionnants. La leçon est claire. Même dans les pires moments, nous recevons de nombreux bienfaits qui constituent autant de raisons d’être reconnaissants. Nos épreuves ne devraient jamais nous faire oublier l’abondante bonté de Jéhovah – TG2002 15/2 p18 §4 Le ministère de Paul est un exemple remarquable de la façon dont Jéhovah prépare progressivement ses serviteurs à aimer et à aider toutes sortes de gens. Au moment de la conversion de Paul, Jésus a déclaré que cet homme servirait de vase choisi pour porter Son nom aux nations (Actes 9:15). Paul est alors parti pour l’Arabie, peut-être pour méditer sur le dessein de Dieu de l’utiliser pour déclarer la bonne nouvelle aux nations. – TG2002 1/ 4 p21 Nous pouvons être absolument certains que Jéhovah veut nous aider. Alors, n’hésitons pas à le prier pour lui exprimer tout notre chagrin. Comme c’est réconfortant de savoir qu’il comprend nos sentiments et qu’il donne la consolation dont nous avons tant besoin ! Mais comment le fait-il ? Un des moyens que Jéhovah utilise est « la consolation de l’esprit saint » (Actes 9:31). En effet, sa force agissante est une source très puissante de consolation. Jésus a promis que le Père donnerait volontiers « de l’esprit saint à ceux qui le lui demanderaient » (Luc 11:13). – TG2017 Juillet p13 §5,6 Tout au long de l’histoire biblique, Jéhovah a employé divers moyens pour guider des humains. Il s’est parfois servi d’anges, de visions ou de rêves pour leur révéler des évènements à venir ou leur confier des missions particulières. Il s’est aussi servi de représentants humains, appartenant à la partie terrestre de son organisation. Quelle qu’ait été sa méthode, ceux qui ont suivi ses instructions ont été bénis.Aujourd’hui, Jéhovah guide ses serviteurs au moyen de la Bible, de son esprit saint et de l’assemblée (Actes 9:31). Sa direction est si claire que c’est comme si nos « oreilles entendaient une parole derrière nous, disant : “Voici le chemin. Marchez-y” » (Is. 30:21). Jésus, qui dirige l’assemblée par l’intermédiaire de « l’esclave fidèle et avisé », se fait lui aussi l’écho de la voix de Jéhovah. Il nous faut prendre au sérieux cette direction, car notre avenir éternel dépend de notre obéissance – TG2014 15/8 p21 §1,2 Au 1er siècle de n. ère, certains chefs juifs enseignaient que seul un Juif, ou un ami intime, méritait d’être appelé “ prochain ”. Jésus, pour sa part, a reflété à la perfection la personnalité et la pensée de son Père. Fait intéressant, par son attitude, Jésus a montré à ses disciples que Dieu ne tient pas une race, ou une nationalité, pour supérieure aux autres. L’esprit saint a plus tard révélé à l’apôtre Pierre que “ Dieu n’est pas partial, mais qu’en toute nation l’homme qui le craint et pratique la justice est agréé de lui ”. (Actes 10:28, 34, 35.) Par conséquent, nous devrions considérer tout humain comme étant notre prochain, et faire preuve d’amour même envers celui qui se comporte en ennemi à notre égard – TG2009 15/6 p16 §4 L’apôtre Pierre a déclaré : « Dieu n’est pas partial, mais [...] il approuve toute personne qui le craint et fait ce qui est juste, quelle que soit sa nation » (Actes 10:34, 35). Comme Dieu est juste, il n’est pas partial et ne fait pas de favoritisme. Nous pouvons donc tous être approuvés par lui et devenir ses adorateurs peu importe notre couleur de peau, notre nationalité, notre instruction ou notre rang social. -TG 1998 15/4 p21 Si nous voulons conformer notre façon de penser à celle de Jéhovah, c’est aussi parce qu’elle est supérieure à celle du monde. Le monde donne des conseils dans des domaines comme la moralité, la vie de famille et la réussite professionnelle. Mais beaucoup de ses conseils s’opposent totalement à la pensée de Jéhovah. Par exemple, le monde encourage souvent à réaliser des ambitions personnelles. Il présente l’immoralité sexuelle comme acceptable. Et il conseille parfois aux conjoints de se séparer ou de divorcer, même sans raisons valables, s’ils pensent qu’ils seront plus heureux ainsi. Cela s’oppose à ce que la Bible enseigne. Mais se pourrait-il que les conseils du monde soient plus adaptés à notre époque ? Ceux qui mettent en pratique les conseils de Jéhovah ont une vie de famille plus heureuse, sont en meilleure santé et sont en paix avec leurs compagnons chrétiens du monde entier (Actes 10:34, 35). Cela prouve clairement que la façon de penser de Jéhovah est supérieure à celle du monde. – TG2018 Novembre p20 §9,10 Jéhovah regarde notre cœur. Pierre a en effet ajouté : « En toute nation l’homme qui le craint et pratique la justice est agréé de lui » (Actes 10:35). Craindre Dieu signifie le respecter, l’honorer, avoir confiance en lui et faire tout son possible pour ne pas lui déplaire. Pour pratiquer la justice, il faut faire de bon gré ce qui plaît à Dieu. Jéhovah aime celui dont le cœur, rempli de crainte respectueuse, le pousse à faire ce qui est juste. – TG2013 1/6 L’esprit saint a rendu Jésus capable. Au baptême de Jésus, Jean le baptiseur a vu « les cieux s’ouvrir et l’esprit, comme une colombe, descendre sur lui ». Après quoi « l’esprit le fit aller dans le désert » (Marc 1:10-12). Pendant le reste du ministère terrestre de Jésus, l’esprit saint de Dieu l’a rendu capable d’effectuer des miracles et de parler avec pouvoir (Actes 10:38). Il a aussi produit en lui un fruit parfait, qui comprenait l’amour, la joie et une foi à toute épreuve. Aucun autre conducteur n’a donné de preuves aussi convaincantes : c’est Jéhovah qui l’avait choisi. – TG2017 Février p21 §16 Jéhovah a fait quelque chose que beaucoup n’auraient jamais imaginé et que Paul qualifie même de “ contre nature ”. (Rom. 11:24.) En quel sens ? Eh bien, il pourrait sembler étrange, voire pas naturel, de greffer une branche d’olivier sauvage sur un olivier cultivé. Cette technique était pourtant connue de certains cultivateurs au 1er siècle. Jéhovah a agi de façon quelque peu similaire. Du point de vue des Juifs, les Gentils ne pouvaient en aucune façon produire de bons fruits. Jéhovah a néanmoins fait de ces derniers des éléments de la “ nation ” qui a produit le fruit du Royaume. À partir de 36 de n. è. — année où Corneille, le premier Gentil incirconcis à s’être converti au christianisme, a été oint de l’esprit —, l’occasion a été offerte aux non-Juifs incirconcis d’être greffés sur l’olivier symbolique. — Actes 10:44-48 – TG2011 15/5 p25 §17 “ Or, quand ils [les apôtres et les autres frères] entendirent ces choses, ils acquiescèrent, et ils glorifièrent Dieu, en disant : ‘ Ainsi donc, Dieu a accordé aussi aux gens des nations la repentance pour la vie. ’ ” (Actes 11:18). Cette attitude a préservé et même favorisé l’unité des disciples de Jésus. En peu de temps, Jéhovah accordant sa bénédiction, l’œuvre de prédication s’est propagée parmi les Gentils, les gens des nations. Nous devrions nous aussi accepter quand notre coopération est sollicitée relativement à la formation d’une nouvelle congrégation ou quand une mise au point théocratique est décidée sous la direction de l’esprit saint de Dieu. Notre coopération pleine et entière plaira à Jéhovah et nous aidera à rester unis en ces derniers jours. – TG1996 15/7 p16 §5 Au Ier siècle, malgré les tribulations, la persécution et d’autres épreuves de la foi, le christianisme a progressé (Actes 11:19-21) Les chrétiens de ce temps ont prospéré spirituellement parce que Jéhovah les bénissait. Pour prospérer spirituellement, chaque chrétien devait personnellement fournir des efforts. Il fallait étudier les Écritures assidûment, adorer Dieu régulièrement aux réunions et prêcher la bonne nouvelle du Royaume avec zèle. Ces habitudes favorisaient la santé spirituelle et l’unité des serviteurs de Jéhovah, et c’est toujours le cas aujourd’hui. La ressemblance entre notre culte et celui des chrétiens du Ier siècle est évidente. Comme nous sommes reconnaissants à Jéhovah d’avoir organisé, à l’époque et aujourd’hui, l’activité de ses adorateurs – TG2014 15/5 p21 §15,16 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? On disait de ceux qui étaient devenus disciples de Jésus Christ qu’ils étaient membres de “ La Voie ”, c’est-à-dire qu’ils adhéraient à une voie, ou manière de vivre, axée sur la foi en Jésus Christ, en suivant son exemple. - Actes 9:2 – iT2 Voie Au 1er siècle de notre ère, des milliers de personnes de différentes nations ont embrassé la vérité et ont fourni la preuve de leur attachement à Dieu en se faisant baptiser. On disait alors de ces disciples qu’ils appartenaient à “ La Voie ”. (Actes 9:2) Cette expression était appropriée, car ceux qui devenaient disciples de Christ adoptaient une manière de vivre axée sur la foi en Jésus Christ et inspirée de son exemple. Ils marchaient sur le chemin que leur Maître avait tracé. Aujourd’hui, les chrétiens fidèles font de même.– TG2010 15/2 p24 §2 9:28-30. Si prêcher dans certains quartiers ou à certaines personnes devient dangereux d’un point de vue physique, moral ou spirituel, il nous faut être prudents et choisir où et quand nous allons prêcher. – TG2008 15/5 p31 9:31. En période de “ paix ”, nous devrions chercher à fortifier notre foi grâce à l’étude et à la méditation. Cela nous aidera à marcher dans la crainte de Jéhovah en appliquant ce que nous apprenons et à faire preuve de zèle dans le ministère - TG2008 15/5 p31 “ Relevez les morts ”, avait dit Jésus en envoyant les apôtres prêcher le Royaume (Matthieu 10:5-8). Pour ce faire, ils devraient évidemment compter sur la puissance de Dieu. En 36, à Joppé, la mort de la bonne et fidèle Dorcas (Tabitha) plonge dans le chagrin les veuves indigentes pour qui elle faisait des vêtements. Les disciples préparent le corps pour l’enterrement et envoient chercher Pierre, escomptant peut-être des paroles de consolation (Actes 9:32-38). Mais l’apôtre fait sortir tout le monde de la chambre haute. Puis il prie. “ Tabitha, dit-il, lève-toi ! ” À ces mots, la morte ouvre les yeux, se redresse, prend la main de Pierre et se lève. Cette résurrection, la première attribuée à un apôtre, en incitera beaucoup à devenir croyants (Actes 9:39-42). À nous, elle donne une raison supplémentaire de croire à la résurrection. TG2000 15/7 p12 §10 L’amour chrétien est un autre don béni de Jéhovah, un don que nous chérissons à juste titre. Il est gouverné par des principes, mais il implique tant d’affection qu’il rapproche les croyants davantage que les liens du sang. Intéressons-nous par exemple à Tabitha, une chrétienne admirable du 1er siècle. “ Elle était riche des bonnes actions et des dons de miséricorde qu’elle faisait ”, particulièrement pour les veuves de la congrégation (Actes 9:36). Elle avait peut-être de la famille, mais Tabitha voulait les aider et les encourager de son mieux. Quel exemple !. Les chrétiens qui lui ressemblent de nos jours ‘ ont de l’amour entre eux ’, un don béni de Dieu qui les identifie aux vrais disciples de Jésus – TG2001 15/9 p18 §12 En 36 de notre ère, l’apôtre Pierre a reçu une vision surprenante. Une voix venue du ciel lui a ordonné de tuer et de manger des oiseaux et d’autres animaux considérés comme impurs sous la Loi. Pierre était choqué. Jamais il n’avait “ rien mangé de souillé et d’impur ”. Mais la voix lui a dit : “ Toi, cesse d’appeler souillées les choses que Dieu a purifiées. ” (Actes 10:9-15). Au lieu de s’accrocher obstinément à la Loi, Pierre a corrigé sa façon de voir les choses, ce qui l’a amené à faire une découverte stupéfiante sur les desseins de Dieu.Voici ce qui s’est passé. Trois hommes se sont présentés à la maison où Pierre était hébergé pour lui demander de venir chez un Gentil incirconcis, un homme fervent du nom de Corneille. Pierre les a fait entrer et les a logés. Ayant saisi la signification de sa vision, il les a accompagnés le lendemain chez Corneille, où il a rendu pleinement témoignage concernant Jésus Christ. Après quoi il a déclaré : “ Vraiment, je me rends compte que Dieu n’est pas partial, mais qu’en toute nation l’homme qui le craint et pratique la justice est agréé de lui. ” Non seulement Corneille, mais encore les membres de sa parenté et ses amis proches ont exercé la foi en Jésus, si bien que “ l’esprit saint tomba sur tous ceux qui entendaient la parole ”. Y voyant la main de Jéhovah, Pierre “ ordonna qu’ils soient baptisés au nom de Jésus Christ ”. — Actes 10:17-48.Grâce à quoi Pierre a-t-il saisi que des Gentils qui n’étaient pas soumis à la Loi mosaïque pouvaient désormais devenir des disciples de Jésus Christ ? Grâce au discernement spirituel. Comme Dieu avait montré qu’il approuvait les Gentils incirconcis en répandant son esprit sur eux, Pierre a compris qu’on pouvait les baptiser. Apparemment, il a également discerné que Dieu ne demandait pas aux chrétiens d’origine gentile d’observer la Loi de Moïse pour être baptisés. Si vous aviez vécu à l’époque, auriez-vous accepté, comme Pierre, de modifier votre point de vue ? – TG200315/3 p21 §5 En outre, ceux qui devenaient disciples de Jésus laissaient ses enseignements influer sur leur vie. Pour beaucoup d’entre eux, cela impliquait d’importants changements sous le rapport de la conduite et de la personnalité. Certains en effet avaient été homosexuels, adultères, ivrognes ou voleurs. D’autres devaient se débarrasser de préjugés raciaux (Actes 10:25-28). Pourtant, tous ont obéi à Jésus. Ils se sont défaits de la vieille personnalité pour revêtir la nouvelle. Ils ont acquis la “ pensée de Christ ” à mesure qu’ils comprenaient et imitaient sa façon de penser et d’agir – TG2009 15/10 p15 §13 En 36, les disciples de Jésus se sont mis à prêcher à des gens de toutes les nations. Avant cela, l’apôtre Pierre ne fréquentait généralement que les Juifs. Puis Dieu a clairement indiqué que les chrétiens ne devaient pas être partiaux, et Pierre a prêché à Corneille, un soldat romain (Actes 10:28, 34, 35). À partir de ce moment-là, Pierre a passé du temps et pris des repas avec des chrétiens qui n’étaient pas d’origine juive. Mais quelques années plus tard, à Antioche, il a soudain cessé de le faire (Gal. 2:11-14). Paul a donc repris Pierre, et celui-ci a accepté la réprimande. Comment le savons-nous ? Dans sa première lettre aux chrétiens d’Asie Mineure, qui étaient d’origines juive et non juive, il a parlé de l’importance d’aimer tous les frères.Nous aussi, nous aurons peut-être besoin de temps pour nous débarrasser de préjugés. Rappelons-nous qu’à une époque, nous étions tous des « étrangers » par rapport à Dieu, en ce sens que nous étions éloignés de lui. Mais Jéhovah nous a attirés à lui « avec les cordons de l’amour ». Et Christ nous a accueillis : par son moyen, nous avons pu entrer dans la famille de Dieu. Puisque Jésus nous a acceptés malgré notre imperfection, ce devrait être impensable pour nous de rejeter qui que ce soit. – TG2018/6 §15,18 Quand l’apôtre Pierre a accueilli dans la congrégation chrétienne Corneille, le premier non-Juif, il a dit : « Dieu n’est pas partial » (Actes 10:34). Plus tard, il a écrit que Dieu « veut que tous parviennent à la repentance » (2 Pierre 3:9). Nous pourrions penser que ces versets concernent surtout ceux qui découvrent la vérité. Mais Pierre a aussi dit aux chrétiens : « Honorez des hommes de toutes sortes, aimez toute la communauté des frères » (1 Pierre 2:17). Nous devons donc saluer nos semblables quelle que soit leur race, leur culture ou leur origine sociale. Ainsi, nous leur montrons de l’honneur et de l’amour.- TG2018/6 Les disciples de Jésus l’ont vu accomplir des miracles, l’ont entendu enseigner des foules, et ont observé sa manière de traiter des gens de toutes sortes et d’appliquer les principes de Jéhovah. Ils ont dit : « Nous sommes témoins de toutes les choses qu’il a faites » (Actes 10:39). Mais aujourd’hui, nous ne pouvons pas observer Jésus. Heureusement, nous avons les récits des Évangiles, qui nous aident à bien le connaître. Quand nous lisons et méditons les livres de Matthieu, de Marc, de Luc et de Jean, nous laissons « la pensée de Christ » nous influencer. Cela nous aide à « suivre fidèlement ses traces » et à nous « armer du même état d’esprit » que lui – TG2018/2 §16 C’est un ange qui a dit à Corneille d’aller chercher l’apôtre Pierre. Cela nous prouve que les anges soutenaient beaucoup l’activité de prédication que le collège central dirigeait. Corneille a été le premier Gentil (non-Juif) incirconcis à devenir chrétien. Quand les apôtres et d’autres frères ont appris cela, ils se sont soumis à la volonté de Jéhovah : ils ont accepté les Gentils incirconcis dans la congrégation chrétienne (Actes 11:13-18). A notre époque, le Collège central est aidé par les anges. Il a la grande responsabilité de diriger la prédication des plus de huit millions de proclamateurs du monde entier. Pourquoi cette activité a-t-elle de si bons résultats ? Une des raisons, c’est que les anges la soutiennent – TG2017/2 p20 Le mot “ chrétien ” a été utilisé pour la première fois une dizaine d’années après la mort de Jésus. L’historien biblique Luc rapporte : “ Ce fut d’abord à Antioche que les disciples furent par une providence divine appelés chrétiens. ” (Actes 11:26). On remarque que ceux qui sont appelés chrétiens sont les disciples de Christ. La Bible montre que le nom de “ chrétiens ” était d’origine divine. Puisqu’il n’existait qu’une seule foi chrétienne, il n’était pas nécessaire d’employer d’autres noms pour les identifier. Les chrétiens étaient unis et suivaient les enseignements et les instructions du Fondateur du christianisme, Jésus Christ. – TG2012 1/3 Selon la Bible, les serviteurs de Jéhovah du passé faisaient des offrandes. Dans certains cas, ils donnaient pour financer des projets. Dans d’autres cas, les serviteurs de Jéhovah ont soutenu financièrement ceux qui organisaient l’œuvre. Au Ier siècle, quand des chrétiens ont appris que leurs frères de Judée avaient besoin d’aide à cause d’une famine, ils ont décidé « d’envoyer, chacun selon ses moyens, des secours [à leur] service » (Actes 11:27-30). Nous pourrions nous aussi être encouragés à soutenir un projet. Les offrandes permettent également de soutenir les missionnaires, les pionniers spéciaux, les responsables itinérants, ainsi que ceux qui servent au siège mondial et dans les Béthels du monde entier. Enfin, notre assemblée envoie peut-être régulièrement de l’argent pour soutenir le programme mondial de construction de Salles d’assemblées et de Salles du Royaume en faveur des frères d’autres régions du monde. – TG2018/1 p17 §7,10 L’Histoire atteste qu’une famine épouvantable a ravagé la Judée (Actes 11:28). L’historien juif Josèphe signale un tremblement de terre dans la région de Jérusalem peu avant la destruction de la ville. À l’approche de la fin de Jérusalem se sont succédé soulèvements, guerres intestines entre factions politiques juives et massacres dans plusieurs villes où cohabitaient Juifs et Gentils. Néanmoins, la bonne nouvelle du Royaume était prêchée ‘ dans toute la création qui était sous le ciel ’. À notre époque, une destruction encore plus dévastatrice va se produire, une destruction qui mettra fin à l’ensemble du système de choses. Six ans avant la destruction de Jérusalem, l’apôtre Pierre avait donné un conseil pressant et opportun qui s’applique particulièrement aux chrétiens d’aujourd’hui : demeurez vigilants ! Comme les chrétiens du Ier siècle, nous avons besoin de ‘ garder constamment à l’esprit la présence du jour de Jéhovah ’. Oui, plus que jamais, nous devons demeurer éveillés. – TG2003 1/1 p8-17 §4,21
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  5. Vidéo par écrit Un don pour Jéhovah.docx Vidéo par écrit Un don pour Jéhovah.pdf Vidéo par écrit : « Un don pour Jéhovah » Dans l’antiquité, quand un israélite faisait une offrande de tout son cœur pour le temple, cette offrande était considérée comme un don pour Jéhovah. Aujourd’hui, partout dans le monde, dans les Salles du Royaume des Témoins de Jéhovah, des boîtes sont prévues pour les offrandes volontaires. Quand nous faisons un don, comment est-il utilisé ? Chaque année des centaines de milliers de personnes deviennent nos frères et sœurs. Pour s’adapter à cet accroissement, les fonds sont mis à disposition pour permettre la construction de nouveaux lieux de culte et de nouvelles filiales dans le monde entier. Volontaire pour la construction, une sœur déclare : « Ce que j’aime le plus ici, c’est de voir les chefs de famille, des pères et des maris qui choisissent d’utiliser leurs vacances pour venir sur le chantier. Alors, merci aux familles et aux congrégations qui apportent leur soutien et qui nous permettent d’être ici ». Volontaire pour la construction, un frère déclare : « C’est vraiment impressionnant de savoir que des millions de frères et sœurs donnent volontairement de leurs ressources pour qu’on puisse continuer les constructions. Rien que ça, c’est une preuve de l’action extraordinaire de l’esprit de Jéhovah ». De grandes portes qui donnent accès à l’activité ont été ouvertes grâce aux écoles théocratiques. Elles permettent à ceux qui y sont inscrits, de développer des qualités spirituelles et de donner l’exemple en participant avec zèle à l’œuvre d’évangélisation. Quand on pense à l’instruction que l’Organisation offre, instruction qui vient Dieu, on se dit aujourd’hui qu’il n’y a aucun gouvernement humain qui forme ses citoyens comme le fait le Royaume de Dieu. Une sœur, qui est inscrite à ces écoles, déclare : « ça m’a rapproché de Jéhovah comme jamais auparavant ; La formation qu’on reçoit est formidable, elle donne envie de progresser spirituellement ». Les offrandes volontaires soutiennent les milliers de serviteurs spéciaux à plein temps à travers le monde parmi lesquels les béthélites. Un béthélite déclare : « Quand on travaille à l’imprimerie, on se rend compte que rien ne serait possible sans le soutien de Jéhovah qu’on voit à travers les dons de nos frères et sœurs. J’aime la mission qui m’est confiée et je l’accomplis en me souvenant que je ne serais pas là sans les sacrifices que font mes compagnons ». En plus des béthélites, les serviteurs spéciaux comprennent les missionnaires, les surveillants itinérants, les serviteurs internationaux et les pionniers spéciaux. Une sœur déclare : « Ce sont les dons qui rendent tout cela possible. Ils font de notre affectation, une source de joie et un privilège que nous attendons avec impatience, chaque semaine, chaque mois, chaque année et ça nous donne vraiment envie de nous dépenser à plein temps pour prêcher la Bonne nouvelle. Ça nous permet d’être sur le terrain pour aider le maximum de personnes qui veulent connaître Jéhovah ». Chaque année, nous nous réjouissons de recevoir des trésors spirituels lors de nos rassemblements. Grâce aux dons, nous pouvons fournir le matériel et le nécessaire pour que tout se déroule aussi bien que possible. Un responsable déclare : « Cette année, c’était formidable de voir comment la technologie a été utilisée pour favoriser l’unité. Les discours-clés prononcés par les membres du Collège central et leurs assistants, ont été retransmis par liaison vidéo dans plusieurs villes. Ça été un grand succès. On a vu davantage d’assistants restés à leur place pendant le programme parce qu’ils avaient peur de manquer quelque chose de spécial en quittant leur siège, même un instant ». Après une catastrophe, les contributions nous aident à apporter rapidement du secours à nos frères et sœurs sinistrés : nourriture, vêtements, matériaux de construction et bien d’autres choses encore sont envoyées le plus vite possible. Un jeune frère déclare : « Je réalise à quel point j’aime l’Organisation de Jéhovah. Aucune autre organisation ne lui est comparable vu le soutien qu’elle apporte avec tant d’amour ». Une sœur : « Je sais maintenant que Jéhovah prend soin de son peuple et j’en suis très reconnaissante. Je le prie pour le remercier ». En effet, nos dons contribuent grandement à soutenir les intérêts du Royaume dans le monde entier. Chacun d’eux est comme un don pour notre Père céleste Jéhovah. Quand nous donnons de tout notre cœur, nous lui exprimons notre amour et c’est le plus beau cadeau que nous puissions lui offrir.
  6. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 26 NOVEMBRE 2018 - ACTES 6-8.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 26 NOVEMBRE 2018 - ACTES 6-8.pdf Vidéo par écrit Un don pour Jéhovah.docx Vidéo par écrit Un don pour Jéhovah.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 6-8 Actes 6:15 : En quel sens le visage d’Étienne était-il « comme un visage d’ange » ? (bt 45 § 2). « Et tandis que tous ceux qui siégeaient au sanhédrin avaient les regards fixés sur Étienne, ils virent que son visage était comme un visage d’ange » « Étienne, plein de charme et de puissance » Sa physionomie en cet instant a quelque chose d’extraordinaire. Les yeux fixés sur lui, ses juges voient que son visage est « comme un visage d’ange » (Actes 6:15). Les anges, porteurs des messages de Jéhovah Dieu, ont des raisons d’être tranquilles, sereins et paisibles. C’est le cas d’Étienne ; même ses juges haineux le constatent. Comment peut-il être si calme ? L’humilité d’Étienne, de même que sa spiritualité et son intégrité, n’ont pas échappé à Jéhovah. Lorsque, dans le Sanhédrin, ce chrétien donna un témoignage à la foule hostile composée de chefs religieux, ses opposants “ virent que son visage était comme un visage d’ange ”. (Actes 6:15.) Il avait le visage d’un messager de Dieu ; on y lisait la paix qui vient du Dieu glorieux, Jéhovah. Après avoir donné un témoignage hardi aux membres du Sanhédrin, Étienne bénéficia d’une manifestation extraordinaire de la faveur imméritée de Dieu. “ Lui, plein d’esprit saint, fixa le ciel et aperçut la gloire de Dieu et Jésus debout à la droite de Dieu. ” (Actes 7:55). Pour Étienne, cette vision spectaculaire réaffirmait la position de Jésus, Fils de Dieu et Messie. Elle fortifia cet homme humble et l’assura de la faveur divine La vision que reçut Étienne indique que Jéhovah révèle sa gloire et son dessein aux humains qui le craignent, qui sont humbles et qui attachent du prix à leurs relations avec lui. “ Le résultat de l’humilité et de la crainte de Jéhovah, c’est la richesse et la gloire et la vie ”, dit la Bible (Proverbes 22:4). Il est donc indispensable que nous comprenions ce qu’est l’humilité véritable, comment cultiver cette qualité importante et quels bienfaits nous retirons à la manifester dans tous les aspects de notre vie – TG2004 1/8 p8 §3,4 Les adversaires d’Étienne pouvaient constater qu’il n’était pas un malfaiteur, mais qu’il avait la sérénité d’un ange, d’un messager de Dieu sûr d’être soutenu par Lui. Quelle différence avec leurs visages, qui reflétaient la méchanceté parce qu’ils se faisaient les suppôts de Satan. – TG1990 1/6 p16 §4 Il n’avait pas le visage abattu d’un malfaiteur, mais l’expression d’un ange, d’un messager de Dieu, sûr de bénéficier du soutien de Jéhovah. Il était courageux et serein. Après qu’Étienne eut dénoncé leur culpabilité pour le meurtre de Jésus Christ, les juges “se sentirent piqués au vif dans leurs cœurs et se mirent à grincer des dents contre lui”. Mais Étienne, “plein d’esprit saint, fixa le ciel et aperçut la gloire de Dieu et Jésus debout à la droite de Dieu”. Affermi par cette vision, il put affronter ces juges iniques avec courage, certain d’avoir fait la volonté de Jéhovah (Actes 7:52-56). Les chrétiens d’aujourd’hui ne s’attendent pas à recevoir une vision de ce genre, mais ils peuvent néanmoins endurer la persécution avec la même sérénité venant de Dieu. – TG1983 1/8 p20 §10 Quand on lit dans la Bible la description des anges qui apparurent parfois aux serviteurs de Jéhovah, on voit qu’ils avaient souvent un aspect impressionnant. Étienne, rempli de l’esprit saint, avait donc l’aspect d’un représentant de Dieu ; l’expression de son visage, à ce moment-là, semblait en imposer aux juges hostiles. Comme tous ceux qui étaient assis dans le Sanhédrin le regardaient fixement, ils virent que son visage était comme le visage d’un ange Il ne faut pas nécessairement entendre par là que le visage d’Étienne fut transfiguré, comme Jésus l’avait été sur la montagne de la transfiguration. Cependant, il a dû revêtir une certaine expression qui a fasciné les membres du Sanhédrin. Bien entendu, les juges avaient l’habitude d’observer la contenance du prisonnier qui comparaissait devant eux ; ils y découvraient parfois un indice de culpabilité ou d’innocence. Or, Étienne comparut devant le tribunal, non pas avec le visage abattu d’un homme coupable d’un crime, mais avec la contenance qu’aurait un ange, un messager envoyé par Dieu, un homme sûr d’avoir l’appui de Dieu. Sur son visage on ne pouvait lire aucun sentiment de culpabilité pour avoir fait le mal. Étienne se montrait courageux. Sa sérénité et son impassibilité, qu’il faut attribuer à sa confiance en Dieu, se peignaient sur son visage. Quelque temps auparavant Jésus avait dit : “Je vous donne ma paix (...). Que votre cœur ne se trouble ni ne se resserre de crainte.” Jean 14:27 – TG1965 15/6 p382-384 Comment Étienne a-t-il pu rester si calme face à la persécution ? Étienne est entouré de 71 juges haineux. Ils sont tous membres du sanhédrin, la cour suprême juive, et font partie des hommes les plus puissants de la nation. Ils se sont réunis sur l’ordre de Caïphe, le grand prêtre qui présidait le sanhédrin quelques mois plus tôt, quand Jésus a été condamné à mort. Alors qu’ils font venir les faux témoins les uns après les autres, ils remarquent quelque chose de très surprenant : le visage d’Étienne est « comme un visage d’ange » Avant d’être amené devant le sanhédrin, le puissant esprit de Dieu avait agi sur lui pour l’aider à accomplir une tâche dans la congrégation. Pendant le procès, ce même esprit a de nouveau agi sur lui, aussi bien pour le consoler que pour lui rappeler des choses qu’il avait apprises. Alors qu’Étienne présentait courageusement sa défense, l’esprit saint lui a rappelé au moins 20 passages des Écritures hébraïques. Mais sa foi a été encore plus fortifiée quand il a reçu une vision lui montrant Jésus « debout à la droite de Dieu » - TG2018/10 Actes 8:26-30 : Quels points communs y a-t-il entre l’activité accomplie par les chrétiens d’aujourd’hui et celle de Philippe ? (bt 58-59 § 16). « Cependant, l’ange de Jéhovah dit à Philippe : « Pars et va vers le sud, sur la route qui descend de Jérusalem à Gaza. » (C’est une route du désert.) 27 Il partit donc, et voici qu’il y avait là un eunuque éthiopien, un personnage important au service de Candace, reine des Éthiopiens ; c’était l’administrateur de tout son trésor. Il était allé à Jérusalem pour adorer 28 et il retournait chez lui. Assis sur son char, il lisait à voix haute le prophète Isaïe. 29 Alors l’esprit dit à Philippe : « Rattrape ce char et reste à côté de lui. » 30 En courant à côté du char, Philippe entendit l’Éthiopien qui lisait à voix haute le prophète Isaïe. Il lui demanda : « Comprends-tu vraiment ce que tu lis ? » « Il lui annonça la bonne nouvelle concernant Jésus » 16 Les chrétiens du XXIe siècle ont le privilège de participer à une activité semblable à celle de Philippe. Il leur est souvent possible de présenter le message du Royaume aux gens qu’ils croisent dans des situations informelles, comme en voyage. Il s’avère plus d’une fois que leur rencontre avec des personnes sincères n’est pas fortuite. Elle est plutôt prévisible, car la Bible montre bien que les anges dirigent la prédication pour que le message atteigne « toute nation, et tribu, et langue, et peuple » (Rév.14:6). Que les anges dirigent la prédication, c’est exactement ce que Jésus a prédit. Dans son exemple du blé et de la mauvaise herbe, il a expliqué que, pendant la moisson, l’achèvement du système de choses, « les moissonneurs, ce [seraient] des anges ». Ceux-ci « ramasseraient hors de son royaume toutes les choses qui font trébucher et ceux qui commettent l’illégalité » (Mat. 13:37-41). En parallèle, ils rassembleraient les futurs héritiers célestes du Royaume, et plus tard « une grande foule » d’« autres brebis », que Jéhovah veut attirer vers son organisation (Rév. 7:9 ; Jean 6:44, 65 ; 10:16). Prêcher à des hommes “ haut placés ” peut donner des résultats inespérés (1 Tim. 2:1, 2). Par exemple, l’ange de Jéhovah a dit à Philippe de parler à un “ homme au pouvoir ”, le responsable du trésor de la reine des Éthiopiens. Philippe, entendant que l’homme “ lisait à haute voix le prophète Isaïe ”, lui a exposé la bonne nouvelle à propos de Jésus. Cet Éthiopien est devenu un disciple et a certainement parlé de la bonne nouvelle sur la route du retour. Il a aussi pu donner le témoignage à la reine et à la cour, autant de personnes qui, sinon, auraient eu peu de chances d’entendre la bonne nouvelle – km2009/8 p3 Que nous apprend le ministère que Philippe a accompli en faveur des Samaritains et du fonctionnaire éthiopien ? Nous ne devrions jamais présumer que la bonne nouvelle n’intéressera pas une personne de telle nationalité, de telle race ou de tel rang social. Communiquons au contraire le message du Royaume à “ des gens de toutes sortes ”. Si nous nous mettons à la disposition de Jéhovah en prêchant à tous, il nous utilisera dans l’œuvre consistant à ‘ faire des disciples de gens d’entre toutes les nations ’ avant la fin du système méchant – TG1999 15/7 p25 Nous qui servons aujourd’hui Jéhovah, nous avons l’obligation d’aider les personnes sincères à connaître la vérité contenue dans la Parole de Dieu. Beaucoup ont obtenu de bons résultats en présentant la bonne nouvelle de façon informelle en voyage ou dans d’autres circonstances. Grâce à la prédication du Royaume, des centaines de milliers de personnes chaque année montrent qu’elles se sont vouées à Jéhovah Dieu en se faisant baptiser. – TG1996 15/7 p8 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Au Ier siècle, les apôtres ont demandé à certains de distribuer de la nourriture à ceux qui en avaient besoin. Les apôtres pouvaient ainsi se concentrer sur d’autres choses importantes. Ils savaient que le travail serait bien fait. Pourquoi ? Parce que les frères choisis avaient une bonne réputation : ils étaient dignes de confiance et fidèles (Actes 6:1-4). Jéhovah aime la fidélité, elle est une preuve de maturité – km2013/7 Abraham et Sara font partie de « ceux qui, grâce à la foi et à la patience, hériteront des promesses divines ». En effet, « après avoir fait preuve de patience », Abraham a obtenu la promesse que Jéhovah le bénirait et multiplierait sa descendance. Pourquoi Abraham a-t-il eu besoin de patienter ? Parce que la promesse a mis du temps à se réaliser. L’alliance que Jéhovah a faite avec lui a pris effet le 14 Nisan 1943 avant notre ère. C’est ce jour-là qu’il a traversé l’Euphrate avec Sara et leur maisonnée pour entrer en Terre promise. Puis Abraham a dû attendre 25 ans avant que son fils Isaac naisse (en 1918 av. n. è.), et 60 ans de plus avant que ses petits-fils Ésaü et Jacob naissent (en 1858 av. n. è.). Quelle part de la Terre promise Abraham a-t-il reçue ? La Bible raconte : « Jéhovah ne lui a donné dans ce pays aucune propriété dont on puisse hériter, pas même la largeur d’un pied ; mais il a promis de le lui donner en possession, et après lui à sa semence, alors qu’il n’avait pas encore d’enfant » (Actes 7:5). C’est 430 ans après qu’Abraham a traversé l’Euphrate que ses descendants ont été organisés en nation, la nation qui prendrait possession du pays promis Abraham a patienté volontiers parce qu’il avait foi en Jéhovah. Il a été heureux de patienter, même s’il n’a pas vu la promesse se réaliser complètement de son vivant. Mais imagine sa joie quand il ressuscitera dans le Paradis sur terre. Il sera étonné d’apprendre que son histoire et celle de ses descendants occupent une partie importante de la Bible. Imagine aussi son émotion le jour où il comprendra qu’il a joué un rôle essentiel dans la réalisation du projet de Jéhovah concernant le Messie promis. Il se dira certainement que cela avait valu la peine d’attendre longtemps.Si nous méditons sur les conséquences heureuses de sa patience, cela nous encouragera à patienter nous aussi. Si nous subissons des épreuves, soyons déterminés à « rester dans l’attente ». Peut-être que parfois nous crierons : « Jusqu’à quand, ô Jéhovah ? » (Is. 6:11). Mais grâce à l’énergie que l’esprit de Dieu donne, nous sommes tous déterminés à dire comme Jérémie : « Je resterai dans l’attente de Jéhovah - TG2017 Aout p5-6 §9-10, 19,20 Alors qu’il était en prison, Joseph a sans doute gardé son esprit fixé sur les preuves que Jéhovah le bénissait. Peut-être aussi qu’il a réfléchi aux rêves prophétiques qu’il avait eus plus jeune, et que cela lui a donné l’assurance qu’il était aimé de Jéhovah. De plus, il a sûrement prié Dieu de nombreuses fois pour lui dire tout ce qu’il avait sur le cœur. En réponse, Jéhovah lui a donné la conviction qu’il serait « avec lui » dans toutes ses épreuves (Actes 7:9, 10).Quelles que soient les difficultés que nous subissons, nous pouvons nous aussi ressentir la « paix de Dieu » qui protège notre esprit et nous aide à rester calmes. Par conséquent, si nous prions Jéhovah quand nous sommes envahis par l’inquiétude, la paix qu’il donne peut renforcer notre désir d’atteindre des objectifs spirituels sans renoncer. – TG2018 Octobre p28 §4,5 Des frères et sœurs sont victimes de tribulations soudaines. Si cela nous arrive, ne cédons pas à la peur. Pensons à Joseph. Il a été vendu en esclavage, mais Jéhovah « l’a délivré de toutes ses tribulations » (Actes 7:9, 10). Il peut en faire autant pour nous. N’oublions jamais que « Jéhovah sait délivrer de l’épreuve les hommes qui sont attachés à Dieu » (2 Pierre 2:9). Continuerons-nous à lui faire confiance, sachant qu’il peut nous délivrer de ce système de choses mauvais et nous permettre de vivre éternellement sous la domination de son Royaume ? Nous avons de bonnes raisons de lui faire confiance et d’affronter courageusement la persécution – TG2014 15/9 p13 §10 Comment rester humble quand on a une certaine autorité sur les autres - Quelqu’un qui a une certaine autorité peut avoir du mal à rester humble, surtout si on lui manque de respect ou que l’on conteste ses décisions. Cela nous est-il déjà arrivé ? Comment réagiriez-vous si un membre de votre famille vous manquait de respect ? Voyons comment Moïse a géré une situation de ce genre. Moïse s’était laissé former par Jéhovah. Une quarantaine d’années plus tôt, quand il était membre de la famille royale égyptienne, il n’était pas humble. Il manquait tellement de maîtrise qu’il a même tué un homme qui, d’après lui, agissait injustement. Il s’était dit que Jéhovah serait d’accord avec cette initiative. Jéhovah a alors passé 40 ans à l’aider à comprendre qu’il ne devait pas seulement être courageux pour guider les Israélites ; il devait aussi être humble. Et pour être humble, il devait également être obéissant et doux. Il a su accepter cette discipline et il est devenu un excellent guide - Actes 7:21-30, 36. Chefs de famille et anciens, imitez Moïse. Quand on vous manque de respect, ne vous vexez pas trop facilement. Reconnaissez humblement vos erreurs. Avec obéissance, suivez les instructions de Jéhovah sur la façon de régler les problèmes. Et parlez toujours avec douceur. Ainsi, vous plairez à Jéhovah, vous favoriserez la paix et vous donnerez un bel exemple d’humilité. – TG2019 Février p10 §9,10 Moïse s’était laissé former par Jéhovah. Une quarantaine d’années plus tôt, quand il était membre de la famille royale égyptienne, il n’était pas humble. Il manquait tellement de maîtrise qu’il a même tué un homme qui, d’après lui, agissait injustement. Il s’était dit que Jéhovah serait d’accord avec cette initiative. Jéhovah a alors passé 40 ans à l’aider à comprendre qu’il ne devait pas seulement être courageux pour guider les Israélites ; il devait aussi être humble. Et pour être humble, il devait également être obéissant et doux. Il a su accepter cette discipline et il est devenu un excellent guide - Actes 7:21-30, 36. Quelqu’un qui a une certaine autorité peut avoir du mal à rester humble, surtout si on lui manque de respect ou que l’on conteste ses décisions. Quand on vous manque de respect, ne vous vexez pas trop facilement. Reconnaissez humblement vos erreurs. Avec obéissance, suivez les instructions de Jéhovah sur la façon de régler les problèmes. Et parlez toujours avec douceur. Ainsi, vous plairez à Jéhovah, vous favoriserez la paix et vous donnerez un bel exemple d’humilité. TG2019/2§7,9,10 Les fidèles d’autrefois savaient que la pensée de Jéhovah est supérieure. Par exemple, même si Moïse avait été instruit « dans toute la sagesse des Égyptiens », il recherchait la vraie sagesse auprès de Jéhovah (Actes 7:22) Comme il laissait Jéhovah modeler sa façon de penser, celui-ci l’a utilisé de façon remarquable pour accomplir sa volonté et l’a honoré en parlant de lui comme d’un homme de grande foi. De toute évidence, la façon de penser de Jéhovah est de loin supérieure à celle de ce monde. Nous ne pouvons être heureux et réussir notre vie que si nous suivons les normes de Dieu. Mais il ne nous force pas à le faire. De plus, ni « l’esclave fidèle et avisé » ni les anciens n’ont autorité sur nos pensées. C’est à chacun de nous de conformer sa façon de penser à celle de Jéhovah – TG2018 Novembre p18 §11,13 Quand Jéhovah avait donné la Loi à Israël, il y avait eu des tonnerres, des éclairs, un épais nuage et un son de cor très fort. Le mont Sinaï tremblait et fumait. Réunis au pied de la montagne, les Israélites avaient même entendu “ les Dix Paroles ” du milieu du feu et du nuage lorsque Jéhovah leur avait parlé par l’intermédiaire d’un ange. Actes 7:38, 53 Quelles manifestations de la grandeur de Jéhovah ! Ceux qui aiment la Parole de Dieu et qui méditent sur ces récits ne peuvent qu’être éblouis par ‘ la glorieuse splendeur de la dignité de Jéhovah ’. Aujourd’hui, bien sûr, nous disposons de la Bible dans son entier, laquelle renferme plusieurs visions glorieuses qui nous pénètrent de la grandeur de Jéhovah – TG2004 15/1 p14 §17,18 Parfois, dans certaines situations, il peut sembler difficile d’appliquer ce que nous avons appris dans les Écritures. Arrêtons-nous sur le cas des Israélites. Peu après que Jéhovah les a libérés du joug égyptien, ils ‘ se sont pris de querelle avec Moïse ’ et ont mis “ Jéhovah à l’épreuve ”. Pour quelle raison ? Parce qu’ils manquaient d’eau. Moins de deux mois après s’être engagés à obéir à “ toutes les paroles qu’a dites Jéhovah ”, dans le cadre de l’alliance de la Loi, les Israélites ont violé le commandement relatif à l’idolâtrie. L’absence prolongée de Moïse, qui était alors sur le mont Horeb, les avait-elle rendus craintifs ? Redoutaient-ils une nouvelle attaque des Amaléqites ? Se sentaient-ils perdus sans Moïse, qui leur avait offert la victoire quelque temps auparavant en gardant ses mains levées ? Peut-être bien ; toujours est-il que les Israélites “ ont refusé de devenir obéissants ”. (Actes 7:39-41) De même, parce qu’ils ont pris peur, les Israélites n’ont pas voulu entrer en Terre promise. Si nous voulons nous porter vers la maturité, nous devons faire tout notre possible pour obéir à Jéhovah. Sommes-nous déterminés à obéir à Jéhovah, même lorsque surviennent des situations oppressantes ? – TG2009 15/5 p11 §11,13 Rappelez-vous les Israélites du temps de Moïse. “ Dieu, lisons-nous, s’est [...] retourné et les a livrés pour offrir un service sacré à l’armée du ciel. ” (Actes 7:42). Le fait d’avoir vu Jéhovah accomplir des actes de puissance en leur faveur ne les a pas dissuadés de se tourner vers d’autres dieux quand ils ont estimé que cela servait leurs intérêts. Ils n’ont pas été fidèles ; or Dieu ne peut accepter un service sacré si celui qui l’offre n’est pas fidèle. Évidemment, il est douteux que l’on puisse aujourd’hui encore se détourner de Jéhovah pour adorer les étoiles ou des veaux d’or. Mais l’idolâtrie peut prendre d’autres visages : Jésus nous a mis en garde contre la tentation de servir “ la Richesse ” (Matthieu 6:24) ; Paul a qualifié la convoitise d’idolâtrie (Colossiens 3:5) ; Satan se fait passer pour un dieu. Ces formes d’idolâtrie, très courantes, sont dangereuses. Que penser, par exemple, de quelqu’un qui, tout en se prétendant disciple de Jésus, n’aspire en fait qu’à devenir riche ou ne se fie qu’à lui-même et à ses idées ? Qui sert-il en réalité ? Est-il différent des Juifs contemporains d’Isaïe qui juraient par le nom de Jéhovah mais attribuaient ses actes grandioses à des idoles impures ? – TG2000 15/11 p14 §17 Les Juifs manifestaient généralement peu de respect envers les Samaritains. Philippe, quant à lui, n’a pas condamné ces gens à l’avance, et son impartialité a été récompensée, car de nombreux Samaritains se sont fait baptiser, parmi lesquels un ancien magicien du nom de Simon. — Actes 8:6-13. Que nous apprend le ministère que Philippe a accompli en faveur des Samaritains ? Nous ne devrions jamais présumer que la bonne nouvelle n’intéressera pas une personne de telle nationalité, de telle race ou de tel rang social. Communiquons au contraire le message du Royaume à “ des gens de toutes sortes ”. Si nous nous mettons à la disposition de Jéhovah en prêchant à tous, il nous utilisera dans l’œuvre consistant à ‘ faire des disciples de gens d’entre toutes les nations ’ avant la fin du système méchant – TG1999 15/7 p25 §2 Jéhovah est un Dieu généreux. Sa générosité est si grande qu’il a sacrifié son propre Fils pour nous. Quand il voit que quelqu’un cherche la vérité, il l’aide à la trouver. Et il ne demanderait jamais d’argent en échange ! Un jour, un homme qui s’appelait Simon a proposé de l’argent à l’apôtre Pierre pour obtenir le pouvoir de transmettre de l’esprit saint. Mais Pierre l’a réprimandé en disant : « Que ton argent disparaisse avec toi, parce que tu t’es imaginé pouvoir obtenir le don gratuit de Dieu contre de l’argent ! » (Actes 8:18-20). Mais alors que signifie « acheter » la vérité ? Le mot hébreu traduit par « acheter » peut signifier « acquérir ». Ces deux mots impliquent généralement de renoncer à quelque chose ou de faire un effort afin d’obtenir une chose qu’on considère comme précieuse. Il nous faut fournir des efforts pour apprendre à connaître la vérité contenue dans la Bible. Nous devons être prêts à tous les sacrifices pour elle. Et une fois que nous l’avons « achetée », que nous la connaissons, il nous faut veiller à ne jamais la « vendre », ou l’abandonner. - TG2018 Novembre p3 §3,4 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Les croyants du 1er siècle étaient imparfaits, et il surgissait des situations qui mettaient leur unité à l’épreuve. Par exemple, Actes 6:1-6 rapporte un différend survenu entre les chrétiens juifs qui parlaient hébreu et ceux qui parlaient grec. Ces derniers avaient le sentiment d’être l’objet d’une certaine discrimination. Cependant, une fois informés de l’affaire, les apôtres s’en sont occupés promptement et équitablement. Une décision fondée sur les principes bibliques a été prise, décision qui a été acceptée uniformément. Cet exemple montre que, dans la congrégation chrétienne du 1er siècle, les désaccords n’entraînaient pas de divisions ethniques, parce que les facteurs qui unissaient les premiers chrétiens, à savoir leur amour pour Jéhovah, leur foi en Jésus Christ, leur amour mutuel plein d’abnégation étaient suffisamment puissants pour maintenir l’unité et la paix dans la congrégation. – TG2005 1/1 p4 Dans la distribution quotidienne ” de nourriture, les veuves de langue grecque “ étaient négligées ”. (Actes 6:1) Celles de langue hébraïque, elles, ne l’étaient pas. Apparemment, on avait affaire à un problème de discrimination. Peu de problèmes ont autant la faculté de semer la zizanie que celui-là. Les apôtres, servant de collège central pour la congrégation en expansion, ont reconnu qu’il n’était pas judicieux qu’eux-mêmes “ délaissent la parole de Dieu pour distribuer la nourriture ”. (Actes 6:2.) Comme solution, ils ont proposé que l’on cherche sept hommes “ pleins d’esprit et de sagesse ” qu’ils puissent préposer à cette “ tâche nécessaire ”. (Actes 6:3.) Il fallait des hommes compétents, la tâche ne consistant sans doute pas qu’à servir la nourriture, mais aussi à manipuler de l’argent, à acheter des vivres et à tenir des comptes minutieux. Les sept disciples qui ont été choisis avaient tous des noms grecs, ce qui les ferait mieux accepter par les veuves lésées. Après avoir considéré leur recommandation avec force prières, les apôtres les ont donc préposés à cette “ tâche nécessaire ”. Les serviteurs de Jéhovah des temps modernes suivent le modèle apostolique. Tout homme recommandé pour des responsabilités dans la congrégation doit manifester la sagesse divine, et sa conduite doit attester que l’esprit saint opère sur lui. Les hommes qui remplissent les conditions requises dans la Bible sont établis, sous la direction du Collège central, anciens ou assistants ministériels dans les congrégations. On peut donc dire que ceux qui ont les aptitudes requises sont établis par l’esprit saint. Ces frères travailleurs assument beaucoup de ‘ tâches nécessaires ’. Ainsi, les anciens coordonnent l’aide pratique apportée aux fidèles âgés qui en ont réellement besoin – bt chap5 §17-20 Au 1er siècle, les chrétiens ont appris à surmonter les préjugés tenaces qui avaient cours parmi les Juifs. À la Pentecôte 33, ceux de Jérusalem ont offert l’hospitalité aux nouveaux convertis venus de différents pays (Actes 2:5, 44-47). Le souci affectueux des chrétiens juifs pour leurs frères étrangers montrait qu’ils comprenaient ce que signifiait l’« hospitalité », autrement dit la « bonté envers les étrangers ». Mais à mesure que la congrégation primitive grandissait, une situation apparemment due à un problème de discrimination s’est présentée. Des Juifs de langue grecque se sont plaints que leurs veuves étaient traitées injustement (Actes 6:1). Afin d’y remédier, les apôtres ont choisi sept hommes pour veiller à ce que personne ne soit oublié. Ces hommes avaient tous des noms grecs, ce qui semble indiquer que les apôtres voulaient apaiser toute tension liée aux origines (Actes 6:2-6).Si nous décelons chez nous le moindre indice de préjugé ou d’orgueil racial, faisons un effort conscient pour le déraciner de notre cœur. Réfléchissons au fait qu’aucun de nous ne mérite le salut ; nous sommes tous imparfaits, quelle que soit notre nationalité. Alors pourquoi nous sentir supérieurs à un autre ? Un effort sincère pour surmonter nos a priori sur les personnes d’une autre origine nous aidera sans nul doute à nous revêtir de la personnalité nouvelle – TG2016 Octobre p9 §6-9 7:59 — Étienne a-t-il prié Jésus ? Non. Le culte — et par conséquent les prières — ne doit être rendu qu’à Jéhovah. En temps normal, Étienne en aurait appelé à Jéhovah au nom de Jésus (Jean 15:16). Mais en cette circonstance particulière, Étienne a eu une vision du “ Fils de l’homme debout à la droite de Dieu ”. (Actes 7:56.) Sachant pertinemment que Jésus avait reçu le pouvoir de ressusciter les morts, Étienne a parlé directement à Jésus et lui a demandé de préserver son esprit, mais il ne l’a pas prié – TG2008 15/5 p31 § 2 Les premiers chrétiens prenaient leur ministère très au sérieux. Luc rapporte : “ Chaque jour, dans le temple et de maison en maison, ils continuaient sans arrêt à enseigner et à annoncer la bonne nouvelle concernant le Christ, Jésus. ” (Actes 5:42). Rien n’aurait pu les retenir, pas même la persécution (Actes 8:4) Ils faisaient connaître la vérité tous les jours.Qu’en est-il de nous ? Demandons-nous : ‘ Suis-je conscient de l’urgence des temps ? Suis-je disposé à continuer d’annoncer sans arrêt la bonne nouvelle ? ’ – km1996/8 Le mot “ simonie ” vient de l’événement rapporté en Actes 8:9-24 et désigne la pratique des arts magiques. Philippe l’évangélisateur se rendit à Samarie pour “prêcher le Christ”. (8:5-25.) Une grande joie régna dans cette ville lorsque la bonne nouvelle y fut proclamée, les esprits impurs expulsés et les gens guéris. De Jérusalem, les apôtres envoyèrent Pierre et Jean à Samarie, et quand ceux-ci priaient et posaient les mains sur les nouveaux disciples baptisés, ces derniers recevaient de l’esprit saint. Simon, ancien magicien qui venait d’être baptisé, tenta d’acheter ce pouvoir, mais Pierre lui dit: ‘Que ton argent périsse avec toi! Ton cœur n’est pas droit devant Dieu.’ Ayant été exhorté à se repentir et à supplier Jéhovah de lui pardonner, il demanda aux apôtres de prier pour lui. Voilà qui devrait inciter tous ceux qui craignent Jéhovah de nos jours à le prier pour qu’il les aide à sauvegarder leur cœur. (De cet événement vient le mot “simonie”, qui désigne “l’achat ou la vente d’une fonction religieuse ou d’une promotion ecclésiastique”.) – TG1990 1/6 p17 8 Les chrétiens qui occupent des fonctions de responsabilité, notamment les représentants itinérants doivent veiller à ne pas se rendre coupables, consciemment ou non, de ce qu’on appelle la simonie. Ce terme vient d’un certain Simon qui, selon Actes 8:9-24, a offert de l’argent aux apôtres pour que ceux-ci lui donnent le pouvoir de transmettre l’esprit saint par imposition des mains. Comment un surveillant itinérant pourrait-il se rendre coupable de simonie? S’il n’y prend pas garde, il pourrait être tenté de recommander un ancien pour qu’il participe au programme d’une assemblée parce que ce frère se montre très hospitalier ou généreux envers lui. En fait, dans de rares cas des anciens ont fait des dons généreux, tout en sollicitant un privilège spécial. Ils ne désiraient pas, semble-t-il, se comporter en ‘petits’ et laisser l’esprit saint guider les frères chargés de procéder à des nominations théocratiques (Luc 9:48). Dans de tels cas, les représentants itinérants ont refusé ce genre de dons, montrant ainsi le bon exemple pour ce qui est de ne pas abuser de son pouvoir. Il ressort de tout cela que les anciens qui occupent une position en vue doivent être vigilants pour ne pas se rendre coupables de simonie - TG15/8/1986 p15 §9 Au 1er siècle, les anges dirigeaient, dans une certaine mesure, les disciples de Jésus vers ceux qui étaient dignes d’entendre le message (Actes 8:26). Aujourd’hui encore, les serviteurs de Dieu constatent que les anges dirigent les choses. Il n’est pas rare que la personne qui ouvre la porte leur déclare qu’elle était en train de demander de l’aide à Dieu juste avant qu’ils arrivent ! Quelle joie pour nous, ainsi que pour les anges, lorsque de telles personnes écoutent le message du Royaume ! km2004/6 Pour susciter la conversation - De nombreux Témoins entament des discussions constructives en demandant simplement : “ Vous êtes-vous jamais demandé pourquoi... ? ” En choisissant une question qui préoccupe vraiment beaucoup de personnes, ils sont presque assurés d’avoir d’excellentes conversations en prédication. Et même si la question n’avait jamais effleuré l’esprit de l’interlocuteur, elle est toujours susceptible d’éveiller sa curiosité. Un grand choix de sujets peuvent être introduits par des tournures comme “ À votre avis... ? ” “ Que pensez-vous de;;; ? ” et “ Croyez-vous que.... ? ” S’approchant du fonctionnaire de la cour d’Éthiopie qui lisait à haute voix la prophétie d’Isaïe, l’évangélisateur Philippe a simplement demandé : “ Est-ce que tu comprends vraiment ce que tu lis ? ” (Actes 8:30). Cette question a permis à Philippe d’expliquer des vérités se rapportant à Jésus Christ. Par des questions semblables, des Témoins de notre époque ont découvert des personnes qui désiraient ardemment comprendre les vérités bibliques. – km2005/4 Le baptême : comment ? Il ne sert à rien de baptiser en les aspergeant, en leur versant de l’eau sur la tête ou même en les immergeant des personnes à qui l’on n’a pas enseigné la vérité biblique. L’eunuque éthiopien, un homme fervent, a été baptisé dans “ un point d’eau ”. Il fallait des points d’eau, car le baptême de Jésus et celui de ses disciples ont demandé une immersion totale. — Actes 8:36 Les mots grecs traduits par “ baptiser ”, “ baptême ”, etc., se rapportent à l’acte d’immerger, de tremper ou de plonger dans l’eau. Voilà pourquoi, à notre époque, le baptême des Témoins de Jéhovah est un acte volontaire accompli par immersion totale dans l’eau. – TG2002 1/ 4 p10 §3,5 Vidéo par écrit : « Un don pour Jéhovah » Dans l’antiquité, quand un israélite faisait une offrande de tout son cœur pour le temple, cette offrande était considérée comme un don pour Jéhovah. Aujourd’hui, partout dans le monde, dans les Salles du Royaume des Témoins de Jéhovah, des boîtes sont prévues pour les offrandes volontaires. Quand nous faisons un don, comment est-il utilisé ? Chaque année des centaines de milliers de personnes deviennent nos frères et sœurs. Pour s’adapter à cet accroissement, les fonds sont mis à disposition pour permettre la construction de nouveaux lieux de culte et de nouvelles filiales dans le monde entier. Volontaire pour la construction, une sœur déclare : « Ce que j’aime le plus ici, c’est de voir les chefs de famille, des pères et des maris qui choisissent d’utiliser leurs vacances pour venir sur le chantier. Alors, merci aux familles et aux congrégations qui apportent leur soutien et qui nous permettent d’être ici ». Volontaire pour la construction, un frère déclare : « C’est vraiment impressionnant de savoir que des millions de frères et sœurs donnent volontairement de leurs ressources pour qu’on puisse continuer les constructions. Rien que ça, c’est une preuve de l’action extraordinaire de l’esprit de Jéhovah ». De grandes portes qui donnent accès à l’activité ont été ouvertes grâce aux écoles théocratiques. Elles permettent à ceux qui y sont inscrits, de développer des qualités spirituelles et de donner l’exemple en participant avec zèle à l’œuvre d’évangélisation. Quand on pense à l’instruction que l’Organisation offre, instruction qui vient Dieu, on se dit aujourd’hui qu’il n’y a aucun gouvernement humain qui forme ses citoyens comme le fait le Royaume de Dieu. Une sœur, qui est inscrite à ces écoles, déclare : « ça m’a rapproché de Jéhovah comme jamais auparavant ; La formation qu’on reçoit est formidable, elle donne envie de progresser spirituellement ». Les offrandes volontaires soutiennent les milliers de serviteurs spéciaux à plein temps à travers le monde parmi lesquels les béthélites. Un béthélite déclare : « Quand on travaille à l’imprimerie, on se rend compte que rien ne serait possible sans le soutien de Jéhovah qu’on voit à travers les dons de nos frères et sœurs. J’aime la mission qui m’est confiée et je l’accomplis en me souvenant que je ne serais pas là sans les sacrifices que font mes compagnons ». En plus des béthélites, les serviteurs spéciaux comprennent les missionnaires, les surveillants itinérants, les serviteurs internationaux et les pionniers spéciaux. Une sœur déclare : « Ce sont les dons qui rendent tout cela possible. Ils font de notre affectation, une source de joie et un privilège que nous attendons avec impatience, chaque semaine, chaque mois, chaque année et ça nous donne vraiment envie de nous dépenser à plein temps pour prêcher la Bonne nouvelle. Ça nous permet d’être sur le terrain pour aider le maximum de personnes qui veulent connaître Jéhovah ». Chaque année, nous nous réjouissons de recevoir des trésors spirituels lors de nos rassemblements. Grâce aux dons, nous pouvons fournir le matériel et le nécessaire pour que tout se déroule aussi bien que possible. Un responsable déclare : « Cette année, c’était formidable de voir comment la technologie a été utilisée pour favoriser l’unité. Les discours-clés prononcés par les membres du Collège central et leurs assistants, ont été retransmis par liaison vidéo dans plusieurs villes. Ça été un grand succès. On a vu davantage d’assistants restés à leur place pendant le programme parce qu’ils avaient peur de manquer quelque chose de spécial en quittant leur siège, même un instant ». Après une catastrophe, les contributions nous aident à apporter rapidement du secours à nos frères et sœurs sinistrés : nourriture, vêtements, matériaux de construction et bien d’autres choses encore sont envoyées le plus vite possible. Un jeune frère déclare : « Je réalise à quel point j’aime l’Organisation de Jéhovah. Aucune autre organisation ne lui est comparable vu le soutien qu’elle apporte avec tant d’amour ». Une sœur : « Je sais maintenant que Jéhovah prend soin de son peuple et j’en suis très reconnaissante. Je le prie pour le remercier ». En effet, nos dons contribuent grandement à soutenir les intérêts du Royaume dans le monde entier. Chacun d’eux est comme un don pour notre Père céleste Jéhovah. Quand nous donnons de tout notre cœur, nous lui exprimons notre amour et c’est le plus beau cadeau que nous puissions lui offrir.
  7. Vidéo par écrit Le présentoire mobile.docx Vidéo par écrit Le présentoire mobile.pdf « Le présentoir mobile : ses bienfaits à l’échelle mondiale » En 2001, avec l’accord du Collège central, les frères de France ont expérimenté plusieurs méthodes de témoignage public notamment à l’aide de présentoirs mobiles et il y a eu d’excellents résultats. C’est ainsi qu’en 2011, un projet pilote de témoignage avec des présentoirs mobiles, a été approuvé pour la ville de New York aux Etats-Unis. Dans le quartier de Manhattan à New York, il y avait 1 Témoin de Jéhovah pour 657 habitants. Ce quartier était donc idéal. Une nouvelle forme de témoignage a commencé à être testée à Manhattan. Pendant un an, des élèves de ce qu’était alors l’Ecole biblique pour couples chrétiens y ont participé. On utilisait à ce moment-là, différentes tables de présentation, mais il était évident, qu’un présentoir mobile présentait beaucoup d’avantages. Aujourd’hui, Les Témoins de Jéhovah sont connus pour leur témoignage public effectué à l’aide de présentoirs mobiles où ils exposent leurs publications. Cette méthode permet de diffuser la Bible dans de nombreux endroits et de la rendre facilement accessible à d’innombrables personnes. Ces présentoirs ont différentes affiches qui ont pour but d’attirer l’attention vers nos publications les plus connues, d’inviter les personnes à accepter un cours biblique gratuit à domicile et de diriger l’attention des passants sur notre site Internet. Voici quelques exemples des bons résultats obtenus avec cette méthode. « Je m’appelle Mi Jung You. J’ai rencontré Les Témoins de Jéhovah pour la première fois il y a plus de vingt ans. J’ai commencé à étudier le livre Vous pouvez vivre éternellement mais environ un mois plus tard, j’ai dû arrêter l’étude. Après ça, je prenais les revues mais je n’ai jamais repris mon étude de la Bible. En juin 2014, j’ai vu un présentoir mobile. J’ai compris qu’il appartenait aux Témoins de Jéhovah. Il y avait beaucoup de publications qui m’intéressaient. J’ai demandé si je pouvais en prendre un exemplaire de chaque. Nous avons échangé nos numéros et quelques semaines plus tard, le frère m’a contacté. J’ai recommencé à étudier la Bible avec le couple et un mois plus tard, j’ai commencé à assister régulièrement aux réunions. Je me suis fait baptiser en octobre 2015 et je suis devenue pionnière auxiliaire juste après pendant dix mois. Je suis maintenant pionnière permanente. Le témoignage public m’a aidé à trouver la vérité et il me permet de rencontrer des personnes qui comme moi s’intéressent à la Bible. J’aime beaucoup cette forme de témoignage. Autre témoignage : Je m’appelle Jacob Salomé. Je suis routier. J’ai passé une grande partie de ma vie à voyager dans tout le Pérou. Du coup ça se passait mal avec la femme avec qui je vivais. J’étais jamais à la maison et je vivais pour ainsi dire dans mon camion. Je voyais les Témoins de Jéhovah prêcher près des bus et comme j’étais toujours en train de conduire, je ne pouvais pas me garer ni même leur parler. Un jour j’ai vu des Témoins qui prêchaient sur une place publique. Je suis allé leur demander ce que la Bible dit sur la vie de famille. Ça été un tournant pour ma vie. Avec ma compagne, on a commencé à assister aux réunions, on s’est marié et on s’est fait baptisé. Maintenant, on est Témoins de Jéhovah. Autre exemple : Un jour, au présentoir mobile, Annies et moi, on a rencontré le jeune Sudharshan. Annies lui a montré le dépliant « Les morts revivront-ils un jour ? » Surpris, il a dit « Comment s’est possible ? ». Quand Annies lui a expliqué Actes 24 :15, il s’est exclamé « Je suis chrétien et je ne le savais même pas ». Je lui ai demandé : « Vous voudriez en savoir plus sur les magnifiques promesses de la Bible » Il a répondu « Là maintenant, c’est possible ? ». Alors on a examiné le 1er chapitre du livre « Qu’enseigne la Bible ». C’est comme ça que ça à commencer. Sudharshan est venu avec son ami Sagar. Puis Sagar avec Shiva et Srikanth. Tous les trois assistent régulièrement à nos réunions. Sagar a même refusé une offre d’emploi incompatible avec les principes bibliques. Un seul dépliant a permis de commencer plusieurs cours bibliques. C’est évident, Jéhovah bénit cette forme de témoignage public. Il n’y a pas de doute. Le présentoir mobile est un outil qui nous aide à prêcher la Bonne nouvelle du Royaume de Dieu dans toute la terre habitée en témoignage pour toutes les nations.
  8. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 19 NOVEMBRE 2018 - ACTES 4-5.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 19 NOVEMBRE 2018 - ACTES 4-5.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 4-5 Actes 4:11 : Pourquoi Jésus est-il appelé « la principale pierre d’angle » ? (it-2 591 § 2) « Ce Jésus est “la pierre que vous, les bâtisseurs, avez considérée comme sans valeur et qui est devenue la principale pierre d’angle” Pierre angulaire : Psaume 118:22 révèle que la pierre rejetée par les bâtisseurs deviendrait « la tête de l’angle » (Héb. : ro_sh pinnah). Jésus cita cette prophétie et se l’appliqua, s’appelant « la principale pierre angulaire » (gr. : képhalê gônias, tête de l’angle) (Mt 21:42 ; Mc 12:10, 11 ; Lc 20:17). La pierre la plus élevée d’un édifice est bien en vue, tout comme l’est Jésus Christ, la pierre de couronnement de la congrégation chrétienne composée des oints, laquelle est comparée à un temple spirituel. Pierre appliqua lui aussi Psaume 118:22 à Christ, montrant qu’il était « la pierre » rejetée par les hommes, mais choisie par Dieu pour devenir « la tête de l’angle » (Ac 4:8-12 ; voir aussi 1P 2:4-7). Mais Dieu avait inspiré à un psalmiste ces paroles : “ La pierre que les bâtisseurs ont rejetée est devenue la tête de l’angle. Cela est venu de Jéhovah lui-même. ” (Ps. 118:22, 23). Jésus a attiré l’attention de ses adversaires religieux sur cette prophétie, et Pierre a affirmé qu’elle s’était accomplie en la personne de “ Jésus Christ le Nazaréen ”. Jésus est devenu la “ pierre angulaire de fondement ” de la congrégation chrétienne. Bien qu’il ait été rejeté par les impies, il n’en est pas moins ‘ choisi, précieux, auprès de Dieu ’. — 1 Pierre 2:4-6. – TG2011 15/8 p12 §4 Si Jésus était rejeté et tué, comment pourrait-il devenir la « tête de l’angle » ? Il ne le pourrait qu’à condition d’être ressuscité. C’est ce que Jésus lui-même a indiqué au moyen de cet exemple : Un propriétaire a envoyé des messagers aux cultivateurs qui travaillaient pour lui. Les cultivateurs ont maltraité les messagers. Finalement, le propriétaire a envoyé son propre fils, en espérant que les cultivateurs l’écouteraient. Mais ils l’ont tué. Après avoir raconté cette histoire, Jésus a cité les paroles prophétiques de Psaume 118:22 (Luc 20:9-17). L’apôtre Pierre a fait ce même lien quand il a dit clairement aux chefs, aux anciens et aux scribes rassemblés à Jérusalem : « Jésus Christ le Nazaréen que vous avez attaché sur un poteau, mais que Dieu a relevé d’entre les morts, [...] est “la pierre considérée comme rien par vous, les bâtisseurs, et qui est devenue la tête de l’angle” » (Actes 3:15 ; 4:5-11 ; 1 Pierre 2:5-7). La prophétie de Psaume 118:22 annonçait donc une résurrection qui aurait lieu des centaines d’années plus tard. Le Messie serait rejeté et mourrait, mais il serait ramené à la vie pour devenir la tête de l’angle. Et en effet, après sa résurrection, Jésus est devenu le seul « par lequel nous devons être sauvés » - TG2017/12 §8 Pierre placée à l’angle d’un bâtiment, à l’intersection de deux murs qu’elle sert à réunir et à fixer solidement l’un à l’autre, d’où sa grande importance. Taillées d’habitude en blocs rectangulaires, les pierres angulaires sont posées alternativement en longueur et en largeur depuis les fondations jusqu’au sommet, ou jusqu’au toit, d’un édifice. Ainsi, les pierres formant un angle de mur présentent une alternance de chants et de bouts. La principale pierre angulaire était la pierre angulaire de fondement. En général, celle qu’on choisissait pour les bâtiments publics ou pour les murailles d’une ville était particulièrement solide. La pierre angulaire de fondement servait de repère pour la mise en place des autres pierres qui étaient alignées au moyen d’un fil à plomb tombant jusqu’à elle. Pour qu’un bâtiment soit bien construit, toutes les autres pierres devaient être alignées par rapport à la pierre angulaire de fondement, qui était parfois de grande taille. La pierre angulaire de fondement assurait également la cohésion des différentes parties d’une construction. Actes 5:1 : Pourquoi Ananias et Saphira ont-ils vendu une propriété ? (w13 1/3 15 § 4 « Un homme du nom d’Ananias et sa femme, Saphira, vendirent aussi une propriété » Ananias et sa femme vendent un champ pour gagner de l’argent. Ils veulent l’utiliser pour aider ceux qui viennent de se faire baptiser. Quand Ananias apporte l’argent aux apôtres, il dit que c’est la totalité de ce qu’il a gagné. Mais c’est faux ! Il a gardé une partie de l’argent pour lui ! Dieu le fait savoir à Pierre. Alors Pierre dit à Ananias : « Tu as voulu tromper, non pas les hommes, mais Dieu. » À l’instant même, Ananias tombe au sol, mort ! Trois heures plus tard, sa femme arrive. Elle n’est pas au courant de ce qui s’est passé. Elle aussi ment, puis tombe raide morte. - w13 1/3 15 § 4 Ananias et Sapphira, qui avaient vendu un champ, n’ont apporté aux apôtres qu’une partie des revenus de la vente, tout en prétendant en offrir la totalité. Bien entendu, ils étaient libres de donner ce qu’ils voulaient, mais leurs mobiles étaient mauvais, et leur manière d’agir malhonnête. Ils comptaient faire bonne impression en laissant croire qu’ils offraient plus qu’ils ne donnaient en réalité. Sous l’inspiration de l’esprit saint, l’apôtre Pierre a dévoilé leur malhonnêteté et leur hypocrisie, après quoi Jéhovah les a fait mourir. Actes 5:1-10. Si jamais nous sommes tentés de déformer la vérité dans le but d’être bien vus, l’histoire d’Ananias et de Sapphira devrait nous rappeler à la raison. Il est toujours possible de tromper des humains, mais pas Jéhovah (Hébreux 4:13). Sans cesse les Écritures nous exhortent à être honnêtes les uns envers les autres, car les menteurs n’auront pas leur place sur la terre quand elle aura été débarrassée de l’injustice. . La raison de cela ne devrait pas nous échapper : l’instigateur de tout mensonge n’est autre que Satan le Diable – TG2006 15/6 p27 §10,11 Les couples chrétiens doivent eux aussi veiller à ne pas transgresser les lois de Dieu en couvrant les péchés graves de l’un ou de l’autre. Ils se rappelleront le cas d’Ananias et de Sapphira qui tentèrent vainement de cacher leur faute grave (Actes 5:1-11). Les anciens feront eux-mêmes attention à ne pas protéger l’un d’eux ou un serviteur ministériel si celui-ci a commis un péché grave qui pourrait motiver son exclusion. Ils suivront le principe que l’apôtre Paul a énoncé en ces termes: “N’impose hâtivement les mains à personne; ne participe pas non plus aux péchés d’autrui; garde-toi chaste.” 1 Timothée 5:22. TG1985 15/11 p21 §19 Ananias et Sapphira ont péché en ce qu’ils ont fait preuve d’hypocrisie en mentant, et ont essayé de duper la congrégation chrétienne, usant ainsi ‘de tromperie envers l’esprit saint et envers Dieu’. (Actes 5:3, 4.) C’était la manifestation d’un cœur méchant, et cela leur a valu un jugement plus sévère – TG1995 15/4 Ananias et sa femme Sapphira faisaient partie de la congrégation naissante de Jérusalem. Après la Pentecôte 33, une caisse commune avait été constituée pour venir en aide aux nouveaux croyants originaires de pays lointains qui avaient prolongé leur séjour à Jérusalem. Le fonds de secours était alimenté par des offrandes volontaires. Ananias a vendu un champ et a offert une partie de l’argent, ce dont sa femme était parfaitement au courant. Seulement, il a prétendu avoir remis tout le montant de la vente. Ce couple espérait certainement se faire une belle renommée dans la congrégation. Mais leur geste était une tromperie. De façon miraculeuse, Jéhovah a révélé la supercherie à l’apôtre Pierre, qui a convaincu Ananias de mensonge. À l’instant même, “ Ananias tomba et expira ”. Peu de temps après, Sapphira est elle aussi morte. — Actes 5:1-11. Ananias et Sapphira n’ont pas été victimes d’une faiblesse passagère. Ils avaient ‘ projeté le mal ’ et ont menti pour essayer de duper les apôtres. Ce qui est plus grave encore, c’est qu’ils ont ‘ voulu tromper l’esprit saint et Dieu ’. Il ressort clairement de la réaction de Jéhovah qu’il tient à protéger la congrégation contre les hypocrites. Vraiment, “ c’est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant ” ! — Héb. 10:31. – TG2008 15/10 p6 §14,15 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Jéhovah est le Souverain légitime de l’univers, autrement dit il a le droit d’en être le Chef. Pour quelles raisons ? Premièrement, parce qu’il est le Dieu Tout-Puissant et le Créateur. (Actes 4:24) Puisque Jéhovah a tout créé, il a totalement le droit de dominer sur les humains et sur les créatures spirituelles. En tant qu’humains, nous devons nous placer sous l’autorité juste de Jéhovah. Deuxièmement, Jéhovah est le Souverain légitime parce qu’il exerce son autorité avec une justice parfaite. Puisque la justice et la droiture sont les fondements de sa souveraineté, nous pouvons être convaincus que toutes ses lois, tous ses principes et toutes ses décisions sont justes Troisièmement, Jéhovah est le Souverain légitime parce qu’il a la connaissance et la sagesse nécessaires pour prendre soin de l’univers – TG2017 Juin p17 §3, 5,6 Les chrétiens devraient-ils prier Jésus ? - Non. Jésus nous a enseigné à prier Jéhovah, et c’est ce que lui-même faisait. Par conséquent, les premiers disciples priaient Dieu ; ils ne priaient pas Jésus (Actes 4:24). – TG2015 15/6 p32 QUI LES PREMIERS CHRÉTIENS PRIAIENT-ILS ? Au cours des semaines qui ont suivi le retour de Jésus au ciel, ses disciples ont été menacés et persécutés par leurs ennemis (Actes 4:18). Ils ont bien sûr recherché de l’aide dans la prière. Mais à qui se sont-ils adressés ? « D’un commun accord ils élevèrent la voix vers Dieu », le priant « par le nom de son saint serviteur Jésus » de continuer à les aider (Actes 4:24, 30). Ainsi, les disciples ont suivi les instructions qu’ils avaient reçues : ils ont adressé leur prière à Dieu, et non à Jésus. Comme les premiers chrétiens, nous pouvons montrer notre amour pour Jésus en suivant ses conseils au sujet de la prière – TG2015 1/1 Les réponses à nos prières. Jésus a déclaré : « Tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donnera » (Jean 15:16). Cette promesse a dû beaucoup fortifier les apôtres* ! Même s’ils ne le comprenaient pas clairement, leur Chef serait bientôt tué. Mais cela ne voulait pas dire qu’ils se retrouveraient sans soutien. Jéhovah était prêt à répondre à leurs prières et à les aider dans la prédication. Et c’est ce qu’il a fait. Peu après la mort de Jésus, les apôtres ont supplié Jéhovah de leur donner du courage, et il a répondu à leur prière (Actes 4:29, 31). Il en va de même aujourd’hui. Grâce à notre endurance dans la prédication, nous restons les amis de Jésus. De plus, nous pouvons être sûrs que Jéhovah est prêt à répondre à nos appels à l’aide quand nous rencontrons des difficultés dans la prédication (Phil. 4:13). Comme nous sommes reconnaissants que Jésus soit notre ami et que Jéhovah réponde à nos prières ! Ces dons de Jéhovah nous procurent la force de continuer à produire du fruit – TG2018 Mai p17 §17,18 Quand on est persécuté. De tout temps, des dirigeants humains ont persécuté les serviteurs de Jéhovah. Ils peuvent nous accuser de différentes choses, mais la vraie raison de leur colère, c’est que nous choisissons d’« obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes » (Actes 5:29). Il arrivera peut-être qu’on se moque de nous, qu’on nous envoie en prison ou même qu’on nous maltraite physiquement. Mais avec l’aide de Jéhovah, plutôt que de nous venger, nous garderons notre douceur. TG2019/2§11 Quelqu’un peut vivre une situation pénible, mais quand même ressentir de la joie. Par exemple, après avoir été battus pour avoir parlé du Christ, les apôtres « s’en allèrent de devant le Sanhédrin, se réjouissant parce qu’ils avaient été jugés dignes d’être déshonorés pour son nom » (Actes 5:41). Ils ne se réjouissaient pas d’avoir été battus, mais d’être restés fidèles à Dieu. La joie véritable n’est pas une qualité que nous possédons à la naissance, et elle ne se développe pas automatiquement. Pourquoi cela ? Parce qu’elle fait partie du fruit de l’esprit saint de Dieu. C’est une qualité de « la personnalité nouvelle », que l’esprit saint nous aide à développer pleinement. Si nous cultivons la joie, nous réussirons plus facilement à surmonter nos difficultés. – TG2018 Février p28 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Lorsque l’apôtre Paul s’adressait à de nouveaux convertis, il présentait le message de la bonne nouvelle avec simplicité. Il était très instruit, mais il n’utilisait pas pour autant un vocabulaire recherché. La simplicité de la vérité biblique attire et convainc les personnes sincères. Pas besoin d’être un intellectuel pour la comprendre. Actes 4:13 – TG2008 15/1 p8§11 Parfois, nous nous retenons d’exprimer nos croyances en raison d’une faiblesse ou d’une nature timide. Soyons certains que Jéhovah comprend nos limites. Toutefois, quand une occasion se présente, prions-le de nous donner le courage de parler (Actes 4:29, 31). De plus, lorsque nous étudions individuellement et méditons, pourquoi ne pas nous fixer l’objectif d’accorder davantage de prix à la bonne nouvelle ? Nous serons ainsi poussés à la proclamer avec zèle – km2013/1 §4 D’où venaient les offrandes des serviteurs de Jéhovah du passé ? Les serviteurs de Jéhovah du passé n’ont pas tous offert la même chose. Les Israélites qui ont soutenu la construction du tabernacle ont probablement offert des choses de valeur qu’ils avaient emportées d’Égypte (Ex. 3:21, 22 ; 35:22-24). Au 1er siècle, des chrétiens ont vendu certains de leurs biens, comme leurs champs ou leurs maisons, et ont apporté l’argent de la vente aux apôtres. Les apôtres ont ensuite distribué cet argent aux frères et sœurs qui en avaient besoin (Actes 4:34, 35). D’autres chrétiens mettaient régulièrement de l’argent de côté, puis l’offraient pour soutenir l’œuvre (1 Cor. 16:2). Ainsi, tous pouvaient donner quelque chose, du plus pauvre au plus riche Nous pouvons tous donner quelque chose pour soutenir les activités de l’organisation de Jéhovah en ces derniers jours. Que dire si tu as le sentiment que tes offrandes sont tellement petites qu’elles n’ont pas d’importance ? En fait, l’argent utilisé par l’organisation vient en majorité de nombreux petits dons, et non de quelques grosses offrandes. Nos frères et sœurs, y compris ceux qui n’ont pas beaucoup d’argent, imitent les chrétiens de Macédoine. – TG2018 Janvier p17 §9,11 Paul a montré son amour pour le ministère en saisissant toutes les occasions de parler aux gens. Nous aussi, comme les apôtres et les premiers chrétiens, nous prêchons de façon informelle, en public et de maison en maison (Actes 5:42). Si nous considérons notre ministère comme un trésor, nous continuerons de prêcher malgré la persécution, comme Paul. Si nous considérons le ministère comme un trésor que Jéhovah nous offre, nous ne prêcherons pas pour « faire des heures ». Au contraire, nous fournirons de grands efforts pour « rendre pleinement témoignage à la bonne nouvelle » - TG2017 Juin p17§9,11 4:13 — Pierre et Jean étaient-ils analphabètes ou sans instruction ? Non. C’est parce qu’ils n’avaient pas reçu de formation religieuse dans une école rabbinique qu’on les considérait comme “ sans instruction ” et “ ordinaires ”. Pourtant, ils étaient des prédicateurs efficaces de la bonne nouvelle, car ils s’attachaient à suivre l’exemple de Jésus. Suis-je à la hauteur ? S’il vous arrive de vous poser cette question au sujet de la prédication, ne vous découragez pas ! Ce n’est pas notre niveau d’instruction ou des capacités naturelles hors du commun qui nous qualifient pour le ministère.– km2013/6
  9. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 12 NOVEMBRE 2018 - ACTES 1-3.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 12 NOVEMBRE 2018 - ACTES 1-3.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : ACTES 1-3 Actes 3:15 : Pourquoi Jésus est-il appelé « l’Agent principal de la vie » ? (it-2 25 § 2). « alors que vous avez tué l’Agent principal de la vie. Mais Dieu l’a ressuscité ; c’est un fait dont nous sommes témoins » Jésus Christ – « L’Agent principal de la vie. » Le sacrifice de la vie humaine parfaite de Christ Jésus était une expression de la faveur imméritée de son Père. Grâce à cela, les disciples choisis par le Christ purent lui être adjoints dans son règne céleste et des dispositions purent être prises en faveur des sujets terrestres de son Royaume. C’est ainsi que Jésus devint pour toute l’humanité « l’Agent principal (prince de la vie). Le mot grec utilisé ici a pour sens premier « conducteur principal », un terme apparenté étant appliqué à Moïse, « chef » d’Israël. Dieu l’a établi “l’Agent principal de la vie”, lui seul peut nous sauver et l’application des bienfaits de son sacrifice rédempteur constitue le seul moyen prévu par Dieu pour nous permettre d’obtenir la vie éternelle – TG1973 p455 Le titre “Principal Agent” indique bien la position que Dieu accorda à Jésus-Christ. Il apparaît quatre fois dans les Écritures grecques chrétiennes. L’apôtre Pierre l’utilisa la première fois peu de temps après la Pentecôte de l’an 33 de notre ère, lorsqu’il dit aux Juifs que “Dieu (...) a glorifié son Serviteur, Jésus”. Nous ne pouvons obéir à Dieu comme chef et avoir sa faveur si nous ne reconnaissons pas que Jésus est devenu son “Principal Agent”, investi de ‘tout pouvoir dans le ciel et sur la terre’. Il est donc important que nous le considérions avec les yeux de Jéhovah et non pas avec ceux de Satan, comme l’ont fait les chefs religieux qui ont “tué le Principal Agent de la vie”. On peut cependant adopter l’un ou l’autre de ces deux points de vue contraires, qui existent manifestement à notre époque. Il n’y a qu’une seule Source, Jéhovah, qui emploie de nombreux agents, mais qui a fait de son Fils bien-aimé, Jésus-Christ, son Principal Agent. Il n’est pas étonnant que Satan se soit servi de ses agents et de la fausse religion, faisant ainsi tout son possible pour provoquer la confusion et aveugler “l’esprit des incroyants, afin que l’éclat [l’éclaircissement] de la glorieuse bonne nouvelle sur le Christ, qui est l’image de Dieu [mais non Dieu lui-même], ne les atteigne pas. Pour éviter cette influence aveuglante, nous devons examiner de près la Bible, la Parole de Dieu. En agissant ainsi, nous pourrons apprendre à regarder fixement Jésus-Christ comme Dieu le voit, par ses yeux, et reconnaître fort justement que son Fils est le Principal Agent de la vie et de la lumière. – TG1970 15/12 §11-13 Actes 3:19 : Que nous apprend ce verset sur le pardon que Jéhovah accorde aux pécheurs qui se repentent ? (cl 265 § 14) « Repentez-vous donc et retournez-vous, pour que vos péchés soient effacés, afin que des époques vivifiantes viennent de Jéhovah lui-même » Un Dieu « prêt à pardonner » - Il est également question du pardon de Jéhovah en Actes 3:19 : « Repentez-vous donc et retournez-vous, pour que vos péchés soient effacés. » « Effacer » correspond à un verbe grec qui peut vouloir dire « oblitérer, annuler ou détruire ». Selon certains biblistes, l’idée exprimée est celle d’effacer une écriture. De quelle manière ? L’encre couramment employée dans les temps anciens était un mélange de carbone, de gomme et d’eau. S’il ne tardait pas trop, le rédacteur pouvait effacer son travail en se servant d’une éponge humide. Voilà une autre belle image de la miséricorde de Jéhovah. Quand il pardonne nos péchés, c’est comme s’il les effaçait avec une éponge. L’apôtre Pierre exhortait ses auditeurs à se repentir et à se retourner. Un pécheur qui se repent vraiment regrette profondément son acte. Il est par ailleurs déterminé à ne pas commettre de nouveau ce péché. De plus, il se sent poussé à « se retourner », à abandonner sa mauvaise conduite pour faire ce qui plaît à Dieu. Si les auditeurs de Pierre se repentaient vraiment, qu’en résulterait-il ? Leurs péchés seraient « effacés ». Cette expression vient d’un terme grec qui signifie notamment « ôter en frottant ». Ainsi, lorsque Jéhovah pardonne, il passe l’éponge. Son pardon est total – TG2013 15/6 p19§12 Selon la Bible, le repentir sous-entend un changement, un changement d’état d’esprit accompagné du regret sincère d’une certaine ligne de conduite antérieure ou d’actes répréhensibles passés. Le vrai repentir amène quelqu’un à ‘se retourner’, conformément au sens du verbe “se convertir”. Celui qui se repent sincèrement ne se borne pas à regretter d’avoir mal utilisé sa vie dans le passé; il rejette cette voie mauvaise et en arrive même à haïr ses mauvaises façons d’agir. Il le prouve en ‘se retournant’ et en accomplissant “des œuvres qui conviennent à la repentance”. Il conforme sa vie à la volonté de Dieu. Se repentir et se retourner signifie aussi, pour reprendre l’expression de Jésus, ‘se renier’. Autrement dit, nous cessons de vivre uniquement selon nos désirs égoïstes, sans tenir compte de la volonté et des desseins de Dieu. Au contraire, nous reconnaissons que Jéhovah Dieu a pleinement le droit de disposer de notre vie. En effet, il est le Créateur, mais aussi notre Racheteur par le moyen de la rançon qui est le sacrifice de son Fils. La Bible dit que ‘nous ne nous appartenons pas, car nous avons été achetés à un prix’. C’est pourquoi n’abusons pas de la merveilleuse liberté que la vérité nous donne, mais soumettons-nous pleinement à la volonté de Dieu. Nous agirons ainsi parce que cela est juste, mais aussi parce que nous aimons Jéhovah Dieu ‘de tout notre cœur, de toute notre âme, de tout notre esprit et de toute notre force. Cela exige sans aucun doute que nous menions une vie qui prouve que nous nous sommes voués à Dieu. Loin d’être un fardeau, cela nous permettra de jouir de la vie comme jamais auparavant. - tp p178-180 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Nous aussi, nous devons attendre que Jéhovah agisse et écouter attentivement ce qu’il nous dit. Cela renforcera notre confiance en lui et nous aidera à garder notre paix intérieure en période d’épreuves. Jésus nous a encouragés à ne pas nous concentrer sur « les temps ou les époques » que Dieu ne nous a pas révélés (Actes 1:7). Nous devons être convaincus que Jéhovah sait quel est le meilleur moment pour agir. Alors, continuons à attendre avec humilité, patience et foi tout en utilisant notre temps pour le servir de notre mieux. Nous devons garder confiance en Jéhovah – TG2018 Novembre p13§14 Pierre avait compris qu’il fallait remplacer Judas. Mais par qui ? Le nouvel apôtre, a-t-il expliqué, devait être quelqu’un qui avait suivi Jésus dans tout son ministère et avait été témoin de sa résurrection (Actes 1:21, 22) Comment a-t-on fait le choix ? En jetant les sorts, pratique courante aux temps bibliques. Les apôtres ont jeté les sorts. Ils ont fait cette prière : “ Toi, ô Jéhovah, qui connais le cœur de tous, désigne lequel de ces deux hommes tu as choisi. ” (Actes 1:23, 24). Ils voulaient que ce soit le choix de Jéhovah ; ce choix s’est porté sur Matthias, probablement un des 70 disciples que Jésus avait envoyés prêcher. C’est ainsi que Matthias est devenu un des “ douze ” À ce jour encore, des hommes sérieux sont choisis pour servir en tant que responsables dans l’assemblée. bt chap1 p14 §20-22 En ce remarquable jour de la Pentecôte 33, Pierre a dit aux Juifs et aux prosélytes réceptifs : “ Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé. ” (Actes 2:38). Alors, environ 3 000 se sont fait baptiser. Était-ce un coup de tête ? Ce récit sert-il de précédent pour que les étudiants de la Bible et les enfants de parents chrétiens s’empressent de se faire baptiser sans y être prêts ? Pas du tout. Rappelons que les Juifs et les prosélytes qui ont été baptisés à la Pentecôte 33 étaient de fervents étudiants de la Parole de Dieu et qu’ils faisaient partie d’une nation déjà vouée à Jéhovah. De plus, ils manifestaient déjà leur zèle, pour certains en venant de loin assister à cette fête annuelle. Ayant accepté les vérités capitales relatives au rôle de Jésus Christ dans la réalisation du dessein divin, ils étaient prêts à continuer de servir Dieu, mais désormais en tant que disciples baptisés de Christ. Assurément, Jéhovah a béni ce groupe. Le récit rapporte : “ Tous ceux qui devinrent croyants étaient ensemble et avaient toutes choses en commun ; ils vendaient leurs propriétés et leurs biens et en distribuaient le produit à tous, selon qu’on en avait besoin. ” (Actes 2:44, 45). Nul doute que tous les vrais chrétiens veulent imiter un tel esprit d’amour et d’abnégation.- bt chap2 p21 §15,16 Les apôtres étaient pleins de modestie. Ils ne s’attribuaient pas les mérites des miracles qu’ils avaient opérés. Ainsi, Pierre dit : “ Pourquoi nous fixez-vous des yeux comme si c’était par notre puissance personnelle ou à cause de notre attachement à Dieu que nous l’avons fait marcher ? ” (Actes 3:12). Lui comme les autres apôtres savaient que tout le bien qu’ils accomplissaient dans leur ministère était dû à la puissance de Dieu, et non à la leur. C’est pourquoi ils renvoyaient modestement vers Jéhovah et Jésus toute louange au sujet de leurs exploits. Nous devons manifester une modestie semblable quand nous prêchons le Royaume. Aujourd’hui, c’est vrai, l’esprit saint ne donne plus la faculté d’opérer des guérisons miraculeuses. Mais nous pouvons toujours aider des gens à acquérir la foi en Dieu et en Christ, et à recevoir le même don que Pierre proposait : l’occasion d’avoir leurs péchés pardonnés et d’être ‘ rafraîchis ’ par Jéhovah. Chaque année, des centaines de milliers de personnes acceptent cette proposition et se font baptiser en tant que disciples de Christ. – bt chap3 p28 §6,7 Avant qu’une personne se fasse baptiser, elle doit étudier la vérité concernant Dieu, son projet pour les humains et la terre, et ce qu’il a fait pour sauver l’humanité. Puis, elle doit développer la foi, ce qui l’aidera à obéir aux lois de Dieu et à rejeter ce qu’il déteste (Actes 3:19). C’est important, car Jéhovah n’acceptera pas le vœu d’une personne qui pratique des choses qu’il condamne. Mais ce n’est pas tout. Celui qui désire se vouer à Jéhovah doit assister aux réunions de la congrégation et participer régulièrement à l’œuvre de prédication et d’enseignement. Jésus a dit que cette œuvre serait accomplie par ses vrais disciples (Actes 1:8). C’est seulement après avoir franchi ces différentes étapes qu’un étudiant peut se vouer à Jéhovah dans une prière personnelle et se faire baptiser. – TG2018/3 §12 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Qu’est-ce qui renforcera la foi des disciples de Jésus ? Actes 1:3 répond : “ Par de nombreuses preuves certaines, [Jésus] s’est montré vivant. ” Le mot traduit par “ preuves certaines ” n’est utilisé dans la Bible que par “ le médecin bien-aimé ” Luc. Il s’employait dans les textes médicaux techniques, au sens de preuves démonstratives, concluantes et fiables. Jésus a fourni ce genre de preuves. Il est apparu maintes fois à ses disciples, parfois à un ou deux, parfois à tous les apôtres, et une fois à plus de 500 croyants. Preuves certaines s’il en est ! La foi des vrais chrétiens aujourd’hui s’appuie pareillement sur “ de nombreuses preuves certaines ”. A-t-on des preuves que Jésus a vécu sur la terre, qu’il est mort pour nos péchés et qu’il a été relevé ? Absolument ! Des récits fiables de témoins oculaires recueillis dans la Parole inspirée de Dieu nous apportent toutes les preuves convaincantes qu’il nous faut. L’étude de ces récits accompagnée de prières peut grandement renforcer notre foi. Or des preuves solides sont ce qui différencie la vraie foi de la crédulité. La vraie foi est indispensable pour obtenir la vie éternelle – bt chap2 p14 §5,6 Jésus a fait comprendre à ses disciples que le Royaume de Dieu est important. Comment ? Juste après son baptême, il s’est mis à prêcher « la bonne nouvelle du royaume de Dieu » partout où il allait. Il a aussi ordonné à ses disciples d’être ses témoins « jusque dans la région la plus lointaine de la terre » (Actes 1:6-8). Aujourd’hui, grâce à la prédication de la bonne nouvelle du Royaume, les gens ont la possibilité d’apprendre ce qu’est la rançon, et de devenir des sujets soumis du Royaume de Dieu. Nous montrons que nous soutenons le Royaume en aidant les oints à prêcher la bonne nouvelle dans le monde entier – ws2017 Février p9 §8 Avant que Jésus monte au ciel, ses apôtres lui ont demandé : « Seigneur, est-ce en ce temps-ci que tu rétablis le royaume pour Israël ? » La réponse de Jésus a indiqué que le moment n’était pas venu de leur révéler quand le Royaume de Dieu entrerait en action. Il leur a plutôt dit de se concentrer sur l’importante œuvre de témoignage qu’il leur fallait accomplir (lire Actes 1:6-8). Mais il leur a enseigné à attendre avec impatience la venue du Royaume de Dieu. C’est pourquoi, depuis l’époque des apôtres, les chrétiens prient pour que le Royaume vienne. – TG2015/6 §11 Qu’il a dû être exaltant de se trouver à Jérusalem le dimanche 6 Sivân de l’an 33 de n. è. ! Tôt ce matin-là, peu avant 9 heures, les personnes réunies dans une chambre haute “ commencèrent [miraculeusement] à parler en d’autres langues ”. (Actes 2:4.) Aujourd’hui, les serviteurs de Dieu n’ont plus le don des langues (1 Cor. 13:8). Cela dit, les Témoins de Jéhovah proclament la bonne nouvelle du Royaume dans plus de 985 langues. – TG2008 15/8 p21 §19 L’apôtre Pierre a rapporté que Jésus avait opéré des « œuvres de puissance », qui sont aussi « des présages » (Actes 2:22). Ces œuvres de puissance étaient un avant-goût des bénédictions encore plus grandes que son règne apportera. Elles laissent entrevoir les miracles que Jésus fera à l’échelle mondiale dans le monde nouveau. Elles nous en apprennent également beaucoup sur sa personnalité et celle de son Père – TG2015/6 §2 La résurrection de Jésus s’est passée « selon les Écritures ». La Bible avait annoncé la résurrection de Jésus. Par exemple, David a écrit que le « fidèle » de Dieu ne resterait pas dans la tombe. (Psaume 16:10) Le jour de la Pentecôte de l’année 33, Pierre a expliqué que le « fidèle » c’était Jésus. Il a dit : « David a vu d’avance la résurrection du Christ et en a parlé, disant que le Christ n’a pas été abandonné à l’hadès (dans la tombe) et que sa chair n’a pas vu la corruption (son corps ne s’est pas abîmé). » (Actes 2:23-27,31). La résurrection de Jésus nous donne le courage de prêcher. Elle est la garantie que tout ce qu’il a enseigné est vrai. Grâce à la résurrection de Jésus, nous sommes sûrs que les humains seront jugés selon les règles justes et bonnes de Jéhovah. – ws2014 15/11 p8 Pierre a déclaré : “ Que toute la maison d’Israël sache donc avec certitude que Dieu l’a fait et Seigneur et Christ, ce Jésus que vous avez attaché sur un poteau. ” (Actes 2:36). La majorité de ses auditeurs n’avaient pas assisté personnellement à la mise à mort de Jésus sur le poteau de supplice. Mais, appartenant à la nation d’Israël, ils portaient la responsabilité collective de cet acte. On note toutefois que Pierre s’est adressé à ses compatriotes avec respect en faisant appel à leurs sentiments. Il ne cherchait pas à les condamner, mais à les pousser au repentir. Se sont-ils offusqués de ce qu’il a dit ? Aucunement. Au contraire, ils ont été “ touchés en plein cœur ”. “ Que nous faut-il faire ? ” ont-ils demandé. La façon constructive dont Pierre a présenté les choses a certainement contribué à émouvoir nombre d’entre eux, qui se sont repentis. — Actes 2:37. Nous pouvons imiter cette façon de parler au cœur. Quand nous donnons le témoignage à quelqu’un, ne relevons pas systématiquement les idées non bibliques qu’il exprime. Cherchons plutôt à bâtir sur celles avec lesquelles nous pouvons être d’accord. Si nous trouvons un terrain d’entente, nous pouvons ensuite raisonner avec tact à partir de la Parole de Dieu. En général, lorsqu’on présente les vérités bibliques de cette façon constructive, les gens sincères sont plus enclins à réagir favorablement. – bt chap2 p21 §12-14 La même joie de donner se retrouve chez les premiers disciples de Jésus Christ. Le jour de la Pentecôte 33 de notre ère, environ 3 000 personnes ont été baptisées. Nombre d’entre elles n’habitaient pas Jérusalem. Afin de permettre à ceux qui avaient de petits moyens de rester dans la ville pour approfondir leur nouvelle foi, un fonds commun a été temporairement constitué. Des frères ont vendu les biens qu’ils possédaient et ont apporté l’argent aux apôtres pour soutenir ceux qui en avaient besoin. Une telle expression de foi et d’amour n’a certainement pas manqué de réjouir Jéhovah. — Actes 2:41-47. Aujourd’hui, les chrétiens continuent de soutenir le culte pur en donnant généreusement et avec joie de leur temps, de leur énergie et de leur argent. L’encadré ci-dessous énumère quelques-unes des manières dont il est possible de faire des offrandes. – TG2009 15/11 p19 À l’époque des apôtres, les chrétiens étaient unis et en paix entre eux. Par exemple, tous les Juifs et les non-Juifs qui sont devenus chrétiens étaient ensemble pour écouter l’enseignement des apôtres. Ils passaient du temps ensemble, ils mangeaient ensemble, et ils priaient ensemble. (Actes 2:42) Et quand ils étaient traités durement, ils restaient unis. C’est dans ces moments-là qu’ils avaient le plus besoin les uns des autres. Nous aussi, nous devons être unis et nous encourager les uns les autres quand nous sommes traités durement. Très bientôt, nous allons vivre le moment le plus difficile de l’histoire des humains. Alors, les adorateurs de Jéhovah devront être encore plus unis qu’aujourd’hui. – ws2014 15/12 p15 §9 En étant “ assidus à l’enseignement des apôtres ”, les premiers disciples de Jésus ont favorisé un esprit d’unité au sein de la congrégation (Actes 2:42). Ils accordaient du prix aux recommandations et aux directives que les anciens leur adressaient sur la base des Écritures. De nos jours, en coopérant avec l’esclave fidèle et avisé, les anciens aident et encouragent tous les membres de la congrégation à demeurer unis. Quand nous nous soumettons aux instructions de l’organisation de Jéhovah et aux directives des anciens, nous montrons que nous nous efforçons “ réellement d’observer l’unité de l’esprit dans le lien de la paix ” – TG2012 15/2 p18 §17 2:44-47— Pourquoi des croyants ont-ils vendu leurs biens et distribué le montant des recettes ? Beaucoup de ceux qui étaient devenus croyants venaient de régions lointaines et n’avaient pas suffisamment de provisions pour prolonger leur séjour à Jérusalem. Ils désiraient néanmoins y rester plus longtemps afin d’en apprendre davantage sur leur nouvelle foi et de prêcher à d’autres. Pour les aider, des chrétiens ont vendu leurs terrains et ont partagé le montant des ventes avec eux. -TG2008 15/5 Comment Judas Iscariote est-il mort ? Matthieu 27:5 déclare que Judas s’est pendu, alors qu’Actes 1:18 dit que, “étant tombé la tête en avant, il a éclaté avec fracas par le milieu, et tous ses intestins se sont répandus”. Tandis que Matthieu semble parler de la façon dont Judas a tenté de se suicider, le livre des Actes en décrit les résultats. Judas a probablement attaché une corde à la branche d’un arbre, l’a passée autour de son cou, et a tenté de se pendre en sautant au-dessus d’un escarpement. Il semble que la corde ou la branche se soit rompue de sorte qu’il est tombé et a éclaté sur les rochers en contrebas. La topographie des alentours de Jérusalem rend cette conclusion plausible – TG1992 15/7 p6-7
  10. RAJOUT PERLES SPIRITUELLES RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES -SEMAINE DU 5 NOVEMBRE 2018 - JEAN 20-21.docx Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Ce que Jésus a dit à Thomas nous concerne au plus haut point. Pour nous aussi, Jésus est le chemin, et la vérité, et la vie. Il est celui que Dieu a envoyé dans le monde pour que, par son intermédiaire, le monde soit sauvé. En outre, personne ne peut venir vers le Père sinon par lui. À ce propos, la Bible dit clairement : “ Il n’y a de salut en aucun autre, car il n’y a pas d’autre nom sous le ciel qui ait été donné parmi les hommes par lequel nous devons être sauvés. ” (Actes 4:12). En conséquence, quelles qu’aient été nos croyances par le passé, la sagesse consiste à croire en Jésus et à le suivre de manière à obtenir la vie. — Jean 20:31. – TG2009 15/5 p32 §16 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Avant la Pentecôte, Pierre avait déjà compris bien des vérités prêchées par Jésus (Mat. 16:16, 17 ; Jean 6:68). Mais certains détails restaient obscurs, comme le fait que Christ serait ressuscité le troisième jour sous la forme d’une créature spirituelle ou que son Royaume serait au ciel (Jean 20:6-10). L’idée que des humains deviennent des créatures spirituelles et gouvernent au sein d’un Royaume céleste lui était étrangère. Une fois baptisé avec de l’esprit saint et appelé à vivre au ciel, il a été en mesure de saisir pleinement le sens des enseignements de Jésus. Après l’effusion de l’esprit saint, les disciples de Jésus ont compris des vérités qui jusque-là leur avaient été inaccessibles. Sous l’inspiration divine, les rédacteurs des Écritures grecques chrétiennes ont dévoilé — pour notre plus grand profit — des aspects stupéfiants du dessein de Jéhovah. Ces mêmes vérités sont absorbées aujourd’hui tant par les chrétiens oints que par les “ autres brebis ”. Accordez-vous du prix à la connaissance et à la compréhension de la Parole de Dieu auxquelles vous avez accès grâce à l’esprit saint ? – TG2011 15/12 p24 §7,8 Jusqu’à quand devons-nous continuer de faire des disciples ? Pendant toute la durée de l’achèvement de l’actuel système de choses (Matthieu 28:20). Mènerons-nous à terme cet aspect de la mission confiée par Jésus ? À l’échelle de la congrégation mondiale, nous sommes déterminés à le faire. Ces dernières années, nous avons dépensé avec joie de notre temps, de notre énergie et de nos ressources pour trouver ceux qui sont “ dans la disposition qu’il faut pour la vie éternelle ”. (Actes 13:48.) Actuellement, dans le monde, les Témoins de Jéhovah consacrent en moyenne plus de trois millions d’heures chaque jour de l’année à prêcher le Royaume et à faire des disciples. Nous le faisons parce que nous suivons l’exemple de Jésus. Il a déclaré : “ Ma nourriture, c’est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé et d’achever son œuvre. ” (Jean 4:34). Nous avons le même désir sincère (Jean 20:21). Nous ne voulons pas seulement commencer l’œuvre qui nous a été confiée ; nous voulons l’achever – TG2004 1/7 p16 §10 Une fois ressuscité, Jésus apparaît à ses disciples près de la mer de Galilée. Là, au sujet de Jean, il dit à Pierre : “ Si je veux qu’il reste jusqu’à ce que je vienne, en quoi cela te concerne-t-il ? ” (Jean 21:1, 20-22, 24). Ces paroles laissaient-elles entendre que l’apôtre Jean survivrait aux autres apôtres ? Il semble que oui, car il continuera de servir fidèlement Jéhovah pendant près de 70 années. Toutefois, Jésus avait en tête autre chose encore. L’expression “ jusqu’à ce que je vienne ” nous rappelle que Jésus a promis à certains de ses disciples qu’ils ‘ verraient le Fils de l’homme venir dans son royaume ’. (Matthieu 16:28.) Jean restera jusqu’à ce que Jésus vienne en ce sens qu’il aura plus tard une vision prophétique de la venue de Jésus investi de la royauté. Vers la fin de sa vie, exilé sur l’île de Patmos, Jean reçoit la Révélation dans laquelle il voit, sous la forme de nombreux signes prophétiques étonnants, des événements qui doivent se produire au cours du “ jour du Seigneur ”. Jean est si impressionné par ces visions spectaculaires que, lorsque Jésus dit : “ Oui ; je viens vite ”, Jean s’exclame : “ Amen ! Viens, Seigneur Jésus. ” Révélation 1:1, 10 ; 22:20 - TG2005 15/1 p14 §14,15
  11. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 5 NOVEMBRE 2018 - JEAN 20-21.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 5 NOVEMBRE 2018 - JEAN 20-21.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : JEAN 20-21 Jean 20:17 : Que signifie ce que Jésus a dit à Marie de Magdala ? (nwtsty). « Jésus lui dit : « Ne te cramponne pas à moi, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Mais va voir mes frères et dis-leur que je monte vers mon Père et votre Père, et vers mon Dieu et votre Dieu. » Ne te cramponne pas à moi : Le verbe grec haptomaï peut signifier soit « toucher », soit « se cramponner à ; s’accrocher à ». Certaines traductions rendent les paroles de Jésus par « ne me touche pas ». Cependant, Jésus ne s’opposait pas à ce que Marie de Magdala le touche, puisqu’il n’a pas refusé que d’autres femmes qui l’ont vu après sa résurrection « s’agripp[ent] à ses pieds » (Mt 28:9). Manifestement, Marie de Magdala craignait que Jésus soit sur le point de monter au ciel. Poussée par son vif désir d’être avec Jésus, son Seigneur, elle s’accrochait à lui pour l’empêcher de partir. Afin de lui assurer qu’il ne partait pas encore, Jésus a demandé à Marie de ne pas se cramponner à lui, mais plutôt d’aller annoncer à ses disciples la nouvelle de sa résurrection. Dans le cas de Marie Madeleine, il semble que le fait que par sa mort Jésus ait abandonné ses disciples, la tourmentait beaucoup. Quand elle le vit dans son corps matérialisé après sa résurrection, elle s’accrocha à lui comme si elle craignait de le perdre de nouveau et de ne plus jamais le revoir. Les paroles de Jésus redressèrent son raisonnement, lui montrant qu’elle ne devait pas s’accrocher craintivement à lui comme pour l’empêcher de disparaître. Au temps voulu, il monterait au ciel, d’où il enverrait l’esprit saint pour aider et fortifier ses disciples. La Traduction du monde nouveau rend d’une façon très appropriée les paroles que Jésus adressa à Marie : “Cesse de t’accrocher à moi. Car je ne suis pas encore monté vers le Père. Mais va-t’en chez mes frères et dis-leur : ‘Je monte vers mon Père et votre Père et vers mon Dieu et votre Dieu.’” — Jean 20:17 – TG1970 p31-32 Jean 20:28 : Pourquoi Thomas appelle-t-il Jésus « mon Seigneur et mon Dieu » ? (nwtsty). « Thomas lui répondit : « Mon Seigneur et mon Dieu ! » Mon Seigneur et mon Dieu ! : Litt. « le Seigneur de moi et le Dieu [ho théos] de moi ! » Certains biblistes voient cette expression comme une exclamation de stupéfaction prononcée devant Jésus, mais adressée en réalité à Dieu, son Père. D’autres soutiennent que, d’après le grec original, ces paroles s’adressaient forcément à Jésus. Même si c’est le cas, on comprend mieux le sens de l’expression « mon Seigneur et mon Dieu » si on l’examine à la lumière du reste des Écritures inspirées. En effet, le récit montre que Jésus avait précédemment envoyé à ses disciples ce message : « Je monte vers mon Père et votre Père, et vers mon Dieu et votre Dieu. » Il n’y a donc aucune raison de croire que Thomas considérait Jésus comme le Dieu Tout-Puissant (Jean 20:17). De plus, Thomas avait entendu Jésus prier son « Père » et l’appeler « le seul vrai Dieu » (Jean 17:1-3). Cela dit, Thomas pourrait avoir appelé Jésus « mon Dieu » pour les raisons suivantes : Il considérait que Jésus était « un dieu » sans pour autant être le Dieu Tout-Puissant (voir note d’étude la Parole était un dieu de Jean 1:1, mwbr18.09 1 - la Parole était un dieu : Ou « la Parole était divine [ou « un être de nature divine »] ». Par cette déclaration, Jean présentait une caractéristique de « la Parole » c’est-à-dire de Jésus Christ. La Parole est le Fils premier-né de Dieu par l’intermédiaire de qui Dieu a créé toutes les autres choses ; cette position supérieure justifie qu’on présente la Parole comme « divine », « un dieu », « un être divin », « un être de nature divine »). Ou bien il a imité la façon dont des serviteurs fidèles se sont adressés à des messagers angéliques de Jéhovah dans les Écritures hébraïques. Thomas devait bien connaître les récits bibliques dans lesquels des individus, ou parfois le rédacteur, répondaient à un messager angélique ou parlaient de lui comme s’il s’agissait de Jéhovah Dieu Ainsi, Thomas pourrait avoir appelé Jésus « mon Dieu » dans ce sens-là, reconnaissant en lui le représentant et le porte-parole du vrai Dieu. Certains affirment que l’utilisation de l’article défini grec devant les mots traduits par « seigneur» et « dieu » indique que ces mots désignent le Dieu Tout-Puissant. Mais dans ce contexte, l’utilisation de l’article est peut-être simplement une exigence de la grammaire grecque. En grec, un nom au nominatif précédé d’un article défini est parfois utilisé comme vocatif. Voici quelques exemples de versets dont la traduction littérale illustre ce cas grammatical : Lc 12:32 (litt. « le petit troupeau ») et Col 3:18–4:1 (litt. « les femmes » ; « les maris » ; « les enfants » ; « les pères » ; « les esclaves » ; « les maîtres »). De façon similaire, une traduction littérale de 1P 3:7 donnerait : « les maris ». Par conséquent, en Jean 20:28, l’emploi de l’article grec n’est pas un élément suffisant pour déterminer ce que Thomas avait à l’esprit quand il a prononcé ces paroles. Thomas a pu s’adresser à Jésus comme à “Dieu” au sens restreint de “un Dieu”, mais non comme au Dieu tout-puissant.- nwtsty Le Christ occupe une position bien supérieure à celle d’humains imparfaits ou de Satan. Si donc ceux-ci sont appelés “dieux”, il n’y a assurément rien d’inconvenant à ce que Jésus lui-même soit ainsi nommé. Étant donné la place privilégiée qu’il occupe auprès de Jéhovah, Jésus est le “dieu unique” (Jean 1:18); il est aussi “Dieu fort” (Ésaïe 9:6), et “dieu”. (Jean 1:1.) Thomas était donc pleinement habilité à s’adresser à Jésus comme il l’a fait. Ce qu’il voulait dire, c’est que Jésus était pour lui un dieu, c’est-à-dire un être fort, un être divin. Il ne disait pas que Jésus était Jéhovah; c’est pourquoi il l’a appelé “mon” Dieu, et non pas “le” Dieu. – TG1988 1/6 p19 Dans son récit de la vie de Jésus, Jean écrivit les choses qui nous convaincraient non que Jésus est Dieu, que le Christ est Dieu ou que Jésus est “ Dieu le Fils ”, mais que “ Jésus est le Christ, le Fils de Dieu ”. En disant “ Dieu le Fils ”, les trinitaires font une inversion volontaire. Quant à nous, nous préférons nous en tenir à l’explication de Jean telle qu’il la donne, c’est-à-dire, “ le Christ, le Fils de Dieu ”. Nous arrivons à la même conclusion que Jean, savoir, que Jésus est le Fils de Celui qu’il appelle lui-même, dans ce vingtième chapitre de l’Évangile de Jean, “ mon Père ” et “ mon Dieu ”. Il s’ensuit que Thomas n’adorait pas à la fois “ Dieu le Père ” et “ Dieu le Fils ” comme des égaux faisant partie d’un “ Dieu en trois personnes ”. Thomas adorait le même Dieu que Jésus-Christ, c’est-à-dire Jéhovah Dieu, le Père. Si donc Thomas appelait Jésus “ mon Dieu ”, il devait reconnaître le Père de Jésus comme étant le Dieu d’un dieu et partant, comme un Dieu plus grand que Jésus-Christ, un Dieu que Jésus lui-même adorait. Dans Apocalypse 4:1-11, nous trouvons une description symbolique de ce Dieu, du “ Seigneur Dieu, le Tout-Puissant ”, qui est assis sur le trône céleste et qui vit aux siècles des siècles. Mais dans le chapitre suivant (Apoc. 5:1-8), Jésus-Christ est décrit comme l’Agneau de Dieu qui se présente devant le trône du Seigneur Dieu, le Tout-Puissant, et qui prend un livre de la main de Dieu. C’est une image de ce que Jésus voulait dire quand il dit à Thomas et aux autres apôtres : “ Je vais au Père ; car le Père est plus grand que moi. ” (Jean 14:28). Jésus reconnut ainsi que son Père est le Seigneur Dieu, le Tout-puissant, sans égal, donc plus grand que son Fils. – TG1963 p84 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Il est arrivé aux disciples de Jésus d’être envahi par le doute Jean 20:24,25. Le disciple Thomas, par exemple, ne parvenait pas à croire que Jésus avait été ressuscité, alors même que d’autres disciples affirmaient l’avoir vu vivant. Thomas voulait des preuves. Jésus lui a donc fourni celles dont il avait besoin pour avoir une foi forte. — Jean 20:24-29. Jéhovah Dieu, au moyen de la Bible, nous fournit les réponses dont nous avons besoin pour dissiper nos doutes. –TG2009 1/5 p8 Il portait un intérêt sincère aux brebis de Dieu et il a insisté sur l’importance d’en prendre soin quand il a demandé à Simon Pierre de ‘ mener paître Ses petites brebis ’. (Jean 21:15-17.) Les brebis ont d’autant plus besoin de cette attention aujourd’hui que le Diable redouble d’efforts pour briser l’intégrité des personnes qui se sont vouées à Dieu. Satan exploite leurs faiblesses charnelles et se sert du monde pour les mener au péché. Les proclamateurs inactifs sont particulièrement vulnérables. D’où la nécessité de les aider à suivre la recommandation de “ marcher par l’esprit ”. L’accomplissement de cette mission exige de s’appuyer sur Dieu dans la prière, de rechercher la direction de son esprit et d’utiliser habilement sa Parole. TG2008 15/11 p8§6 Après sa résurrection, Jésus a eu une conversation avec Pierre qui a certainement dissipé les doutes de l’apôtre sur la question. Il n’a prononcé ni parole dure ni condamnation. Il a toutefois demandé à Pierre : “ M’aimes-tu ? ” Jean 21:15-17. Pourquoi Jésus a-t-il posé des questions auxquelles il avait déjà la réponse ? Il pouvait lire dans les cœurs ; il savait donc que Pierre l’aimait. Par cette démarche, Jésus a donné à Pierre l’occasion de confirmer son amour à trois reprises. De toute évidence, Jésus a pardonné à son apôtre repentant. Sachant que Jésus reflète à la perfection les qualités et la conduite de son Père, nous ne pouvons qu’en déduire que Jéhovah aussi a pardonné à Pierre. Loin d’agir à contrecœur, Jéhovah se montre miséricordieux, “ prêt à pardonner ” le pécheur qui se repent. N’est-ce pas là une pensée réconfortante ? TG2008 1/6 p23 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Jésus, ressuscité, observe la femme qui se tient près de sa tombe vide. Il la connaît bien. Elle s’appelle Marie la Magdalène. Près de deux ans plus tôt, il l’a délivrée des démons qui la possédaient. Ensuite, elle l’a accompagné, lui et ses apôtres, et s’est mise à leur service (Luc 8:1-3). Aujourd’hui, cependant, Marie est en pleurs. Elle est écrasée de chagrin, parce qu’elle a vu Jésus mourir et qu’à présent même son corps a disparu. Jésus lui demande : “ Femme, pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? ” Comme elle le prend pour le jardinier, elle lui répond : “ Monsieur, si tu l’as emporté, dis-moi où tu l’as mis, et je l’enlèverai. ” Jésus lui dit alors : “ Marie ! ” Immédiatement, elle reconnaît sa façon de lui parler. “ Enseignant ! ” s’exclame-t-elle avec joie. Et elle l’étreint. — Jean 20:11-18. Ce récit touchant illustre des paroles que Jésus a prononcées quelque temps auparavant. Il s’est comparé à un berger, a comparé ses disciples à des brebis, et a dit que le berger appelle ses brebis par leur nom et qu’elles connaissent sa voix. Effectivement, tout comme une brebis reconnaît son berger, Marie a reconnu son Berger, le Christ. À notre époque, les disciples de Jésus le reconnaissent également. De même qu’à l’oreille une brebis discerne qui est son berger, ce qui lui permet de rester près de lui, de même notre discernement spirituel nous permet de suivre fidèlement les traces de notre excellent Berger, Jésus Christ – TG2004 1/9 p13 §1,2 Qu’a fait Pierre quand il a commencé à couler ? Pierre savait très bien nager, donc il aurait pu choisir de nager jusqu’au bateau par ses propres forces (Jean 21:7) Mais pourquoi ne l’a-t-il pas fait ? Parce qu’il n’a pas compté sur ses propres forces. Il s’est de nouveau concentré sur Jésus, et il a accepté son aide. Si nous remarquons que notre foi s’affaiblit, nous devrions imiter Pierre. Comment ? De même que Pierre s’est de nouveau concentré sur Jésus pour recevoir de l’aide, nous devons nous aussi « avoir les yeux fixés » sur Jésus. Mais nous ne pouvons pas voir Jésus comme Pierre le voyait. Alors comment pouvons-nous « avoir les yeux fixés » sur lui ? En étudiant ce qu’il a enseigné et ce qu’il a fait, et ensuite en l’imitant fidèlement. Si nous faisons cela, nous aurons l’aide nécessaire pour renforcer notre foi. – ws2015 15/9 p15 §14,15 L’endurance de ses disciples comptait tellement aux yeux de Jésus qu’au cours de sa toute dernière conversation avec ses apôtres, rapportée elle aussi dans l’Évangile de Jean, deux fois il a dit à l’un d’eux : “ Continue à me suivre. ” (Jean 21:19, 22). Nombre de premiers chrétiens ont suivi son exhortation. Aujourd’hui, si nous voulons ‘ endurer jusqu’à la fin ’, nous devons veiller à ce que la parole de Dieu demeure en nous. – TG2003 1/ 2 p8 §3 Sept des disciples de Jésus venaient de passer toute la nuit à pêcher en mer de Galilée, sans rien attraper. Depuis la plage, Jésus ressuscité les observait. Puis il leur dit : « “Jetez le filet du côté droit du bateau et vous en trouverez.” Alors ils le jetèrent, mais ils ne pouvaient plus le ramener à cause de la multitude des poissons » (Jean 21:1-6). Après leur avoir servi le petit-déjeuner, Jésus s’est tourné vers Simon Pierre et lui a dit : « Simon fils de Jean, m’aimes-tu plus que ceux-ci ? » De quoi parlait-il ? Pierre était très attaché à la pêche. Il semble donc que Jésus lui demandait ce qu’il aimait réellement : aimait-il plus Jésus et les choses qu’il enseignait que la pêche et les poissons ? Pierre lui a répondu : « Oui, Seigneur, tu sais que j’ai de l’affection pour toi » (Jean 21:15). Pierre a été fidèle à sa parole. À partir de ce jour-là, il a prouvé son amour pour Christ en se dépensant pour faire des disciples, devenant un pilier de la congrégation chrétienne du 1er siècle Que pouvons-nous apprendre de ce que Jésus a dit à Pierre ? Nous devons veiller à ne pas laisser notre amour pour Christ diminuer et à ne pas nous laisser détourner des intérêts du Royaume. Jésus savait très bien que ce système de choses serait source d’inquiétudes et de pressions. En effet, si nous ne faisions pas attention, les soucis quotidiens pourraient tromper notre cœur et nous faire ralentir spirituellement. – TG2017 Mai p22 §2-3 21:15, 19. Jésus a demandé à Pierre s’il l’aimait plus que “ ceux-ci ”, c’est-à-dire plus que les poissons qu’ils avaient devant eux. Jésus a ainsi clairement fait comprendre à Pierre qu’il lui fallait choisir de le suivre à plein temps plutôt que de poursuivre sa carrière de pêcheur. Au terme de cet examen des Évangiles, puissions-nous être renforcés dans notre détermination à aimer Jésus plus que n’importe quelle autre chose qui pourrait nous attirer. Oui, continuons à le suivre de tout notre cœur. – TG2004 8/4 p32 L’apôtre Jean a conclu son récit du ministère de Jésus par ces mots : “ Il y a, en effet, encore beaucoup d’autres choses que Jésus a faites ; si jamais on les écrivait dans le détail, le monde lui-même, j’imagine, ne pourrait contenir les rouleaux écrits. ” (Jean 21:25). Jean savait qu’il ne pouvait relater qu’une petite partie de ce que Jésus avait dit et fait durant les trois ans et demi de son ministère. Toutefois, les événements historiques qu’il a compilés dans son Évangile nous sont très précieux. – TG2009 15/4 p24 §2
  12. Vidéo par écrit Trouvons de la joie dans la vérité.docx "Ayons de l'amour entre nous" : Trouvons de la joie, non dans l’injustice, mais dans la vérité [À la Salle du royaume] Oh, Alice ! Oh, salut, Deborah Deborah ; Il faut que je te raconte ce que j’ai entendu hier Alice : Ah ? Oui, c’est quoi ? Deborah : Tu te rappelles de Brigitte qui était dans notre congrégation quand on était petites Alice : Ah, oui, alors elle recommence à revenir aux réunions ? Deborah : Ah, non, pas du tout. Elle a quitté l’homme avec qui elle vivait pour aller avec un autre ! Alice : Quoi. Mais tu es toujours en contact avec elle ? Deborah : Bien, non, je ne suis pas en contact direct avec elle, mais tu sais les nouvelles vont vite. En tout cas, t’en pense quoi toi ? Alice : On sait que Brigitte a fait quantités de choses mauvaises depuis qu’elle n’assiste plus aux réunions et tu sais, j’espère sincèrement qu’elle reviendra à la raison. Mais tu penses vraiment que c’est une bonne idée de passer du temps à parler de tout le mal qu’elle peut faire dans sa vie pour l’instant ? Déborah : Eh bien, je suppose que non, c’est juste que, comme on était amie d’enfance, je pensais que tu voudrais savoir à quel point elle s’éloignait de Jéhovah Alice : L’amour ne se réjouit pas avec l’injustice mais avec la vérité. Déborah : Tu as raison. Pourquoi discuter de ça. Parlons plutôt de choses qui nous font du bien. Alice : Oui, c’est sûr. D’ailleurs, j’y pense. Tu te rappelles la dame qu’on voulait voir mardi. Avec Hélène, on a pu passer ce matin, on a eu une longue discussion. Elle nous a invité chez elle, on a commencé une étude. Déborah : C’est génial ! Alice : On lui a aussi montré une vidéo du site et elle a promis de venir à la Salle. Déborah : Super FIN
  13. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 29 OCTOBRE 2018 - JEAN 18-19.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 29 OCTOBRE 2018 - JEAN 18-19.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : JEAN 18-19 Jean 19:30 : Que signifie l’expression « Jésus [...] rendit son esprit » ? (nwtsty). « Quand il eut pris le vin aigre, Jésus dit : « Cela s’est accompli ! » et, inclinant la tête, il rendit son esprit » Il rendit son esprit : ou « il expira », « il cessa de respirer ». Le terme « esprit » (grec pneuma) peut désigner ici le « souffle » ou la « force vitale ». Cette compréhension est en harmonie avec l’emploi du verbe grec ékpnéô (litt. « rendre un souffle ») dans les versets parallèles Marc 15:37 et Luc 23:46 (où il est rendu par « expira » dans le texte et par « rendit son dernier souffle » dans la note). Certains pensent que l’emploi du terme grec traduit par « rendit » signifie que Jésus a volontairement arrêté de lutter pour rester en vie, car tout s’était accompli. Quoi qu’il en soit, il a volontairement « répandu sa vie jusqu’à la mort » (Is 53:12 ; Jean 10:11). – nwtsty Jésus confia sa vie à Jéhovah, convaincu qu’il allait le ressusciter. Avec une pleine confiance en son Père, Christ inclina la tête et mourut. – jy chap132 Jean 19:31 : Quelle preuve a-t-on que Jésus est mort le 14 nisan 33 de notre ère ? (nwtsty). « Comme c’était le jour de la Préparation, les Juifs demandèrent à Pilate de faire briser les jambes des suppliciés et de faire enlever les corps, pour que les corps ne restent pas sur les poteaux de supplice le sabbat (car ce sabbat était un grand sabbat) » Ce sabbat était un grand sabbat : Le 15 nisan était le lendemain de la Pâque et, peu importe le jour de la semaine où il tombait, ce jour était toujours un sabbat (Lv 23:5-7). Quand ce sabbat spécial coïncidait avec le sabbat hebdomadaire (c’est-à-dire le septième jour de la semaine juive, qui débutait le vendredi au coucher du soleil et s’achevait le samedi au coucher du soleil), c’était « un grand sabbat ». Le lendemain de la mort de Jésus était un grand sabbat, la mort de Jésus a donc eu lieu un vendredi. La seule année entre 31 et 33 de n. è. où le 14 nisan était un vendredi est l’année 33. Ce fait vient appuyer la conclusion que Jésus a dû mourir le 14 nisan 33. – nwtsty Chez les Juifs, chaque semaine, le samedi était un jour de repos qu’on appelait sabbat. Le lendemain de la Pâque, le 15 Nisan, était le premier jour de la fête des Gâteaux sans levain. C’était aussi un sabbat. Quand 2 sabbats tombaient le même jour, on appelait ce jour un « grand » sabbat. En l’an 33, le 15 Nisan a été un grand sabbat parce que c’était un samedi – TG2013 15/12 p17 On peut encore avancer une autre preuve pour démontrer que le ministère de Jésus a bien duré trois ans et demi. Le texte de Jean 19:31 nous permet de conclure que Jésus est mort un vendredi, car il indique que le lendemain était un “grand” sabbat. En effet, quand le sabbat hebdomadaire correspondait au premier jour de la fête des gâteaux non fermentés, fête qui durait une semaine, lequel premier jour était lui aussi un sabbat, il s’agissait logiquement d’un “grand” sabbat (Lév. 23:6, 7). Or, la Pâque, quatorzième jour de Nisan, n’est tombée un vendredi ni en 31 ni en 32, mais en 33. C’est donc bien le 14 Nisan de l’an 33 que Jésus est mort, ce qui fait que son ministère a duré trois ans et demi. – TG1976 15/10 p630 Une autre date certaine des Écritures grecques est celle du 14 Nisan de l’an 33, jour où Jésus fut cloué au bois. Les Écritures montrent pertinemment, dans Jean 19:31, que Jésus est mort un jour correspondant à notre vendredi, car le lendemain (15 Nisan), est-il dit, était un grand sabbat. Cela signifie que deux sabbats légaux tombaient sur le même samedi : 1o le sabbat hebdomadaire juif, selon Exode 20:10, et 2o selon la loi mosaïque, le 15 Nisan devait être un jour de repos, quel que fût le jour sur lequel il tombait, comme l’indique Lévitique 23:6, 7. Ce double sabbat ayant lieu le même jour ne se produisait qu’à des intervalles de quelques années. Cela indique que, selon les Écritures, Jésus mourut un vendredi après-midi. TG1955 15/6 p190 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Jésus Christ prenait plaisir à louer Jéhovah publiquement — dans les synagogues, lors des fêtes au temple de Dieu à Jérusalem, et avec ses disciples (Jean 18:20). Quelle joie, quel privilège, d’imiter Jésus en louant Jéhovah à chaque occasion avec nos compagnons, et ce particulièrement maintenant que nous ‘ voyons approcher le jour ’ ! – TG2007 1/3 p23 §14 La Bible est franche sur les faiblesses d’humains dont Jéhovah s’est autrefois servi pour diriger son peuple. Par exemple, Pierre, bien qu’ayant reçu une importante responsabilité dans la congrégation chrétienne du Ier siècle, il a commis de graves erreurs (Jean 18:27). Depuis Adam et Ève, aucun humain excepté Jésus n’a été parfait. Pourquoi Jéhovah a-t-il veillé à ce que les rédacteurs bibliques rapportent les erreurs d’hommes qu’il avait investis d’une autorité ? Pour montrer, entre autres choses, qu’il est capable de guider son peuple au moyen d’humains imparfaits. Il a d’ailleurs toujours procédé de cette manière. – TG2013 15/11 p25 §12,13 Jéhovah accorde-t-il de l’importance aux détails ? Tout à fait. Réfléchissez à ceci : Dans l’Antiquité, les Israélites avaient reçu l’ordre de ne briser aucun os de l’agneau pascal (Exode 12:46). Ce n’était peut-être qu’un détail. D’ailleurs, comprenaient-ils pourquoi ils ne devaient pas briser un seul de ses os ? Probablement pas. Mais Jéhovah savait que ce détail prédisait que lorsque le Messie serait mis à mort sur le poteau de supplice, pas un seul de ses os ne serait brisé (Jean 19:31-33, 36). Que nous enseignent les paroles de Jésus ? Que nous aussi nous pouvons être pleinement confiants dans le fait que toutes les promesses de Jéhovah se réaliseront jusque dans les moindres détails. – wp2017 n°4 p13 Lorsqu’il est passé en jugement devant Ponce Pilate, Jésus a dit : “ Mon royaume ne fait pas partie de ce monde. Si mon royaume faisait partie de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour que je ne sois pas livré aux Juifs. Mais voilà, mon royaume n’est pas d’ici. ” (Jean 18:36). Jésus savait qu’il deviendrait un jour un Roi céleste et qu’il ne serait pas intronisé par des humains, mais par Jéhovah. Le Royaume est le moyen par lequel le nom de Jéhovah sera sanctifié, sa souveraineté justifiée et sa volonté faite sur la terre comme dans le ciel – TG2002 1/11 p15-16 §5 Et Marie ? A-t-elle encore été honorée par la suite ? Jéhovah a-t-il continué à la récompenser d’élever Jésus et d’en prendre soin ? Oui. Il a veillé à ce que certaines de ses paroles et de ses actions soient rapportées dans la Bible. Apparemment, Marie n’a pas pu accompagner Jésus pendant les trois ans et demi où il a prêché. Elle est donc passée à côté de belles expériences. Quoi qu’il en soit, elle a pu être avec Jésus lorsque celui-ci est mort (Jean 19:26). Et, plus tard, quand l’esprit saint a été répandu sur les disciples lors de la Pentecôte, elle était présente (Actes 1:13, 14). Par conséquent, elle a sûrement été ointe comme les autres disciples. Si c’est le cas, elle a reçu la possibilité de vivre au ciel avec Jésus pour toujours. Quelle belle récompense pour son service fidèle ! – TG2018 Juillet p10 §14 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Notre modèle, Jésus, a fait preuve de hardiesse de bien des manières. Par exemple, malgré la haine de ceux qui détenaient pouvoir et influence, il n’a pas adouci le message que Dieu voulait transmettre aux humains. Il n’a pas craint de dénoncer les faux enseignements des puissants chefs religieux, imbus de leur propre justice. Il leur a déclaré sans détour qu’ils étaient condamnés. Face à une troupe de soldats, dans le jardin de Gethsémané, Jésus a courageusement dit qui il était (Jean 18:3-8). Plus tard, amené devant le Sanhédrin, il n’a pas hésité à affirmer qu’il était le Christ et le Fils de Dieu, même s’il savait que le grand prêtre qui l’interrogeait cherchait une occasion de le condamner à mort. Voilà qui réclamait bien du courage ! Cela étant, Jésus a déclaré à Pilate : “ C’est pour ceci que je suis né, et c’est pour ceci que je suis venu dans le monde : pour rendre témoignage à la vérité. ” (Jean 18:37). Jéhovah avait mandaté Jésus pour prêcher la bonne nouvelle, et Jésus était heureux de le faire parce qu’il aimait son Père céleste. . Par ailleurs, Jésus aimait profondément les gens. Il savait que leur vie n’était pas facile. C’est parce que, nous aussi, nous aimons Dieu et notre prochain que nous prêchons avec hardiesse. –TG2009 15/7 p23 §9,10 Tout au long de son ministère, Jésus a fait preuve d’un courage remarquable. La nuit précédant sa mort, lorsqu’on est venu l’arrêter, il s’est de suite fait connaître aux soldats afin de protéger ses disciples : “ Si [...] c’est moi que vous cherchez, laissez aller ceux-ci. ” (Jean 18:8). Quelques instants plus tard, il a demandé à Pierre de ranger son épée, montrant par-là que son courage ne reposait pas sur les armes, mais sur Jéhovah. — Jean 18:11. Jésus n’a pas eu peur de démasquer les chefs religieux impitoyables et la fausseté de leurs enseignements. Tous les disciples de Jésus auront inévitablement des épreuves. Pour y résister, chacun de nous doit affermir sa foi. Le courage de Jésus n’était pas simplement de la bravoure ; c’est surtout la foi qui lui donnait du courage. Nous aussi, nous puiserons notre courage dans la foi. Il nous faut pour cela, comme Jésus, nourrir notre esprit des enseignements qui constituent le fondement de la foi en lisant et en étudiant la Bible chaque jour, et aussi en assistant aux réunions. . Il nous faut également méditer, c’est-à-dire soumettre ces enseignements à une longue et profonde réflexion ; c’est ainsi que nous les faisons pénétrer dans notre cœur. Pour avoir le courage d’agir, nous devons posséder une foi vivante. Il nous faut donc demander à Dieu de nous accorder son esprit saint, car la foi est une facette du fruit de cet esprit – TG2009 15/9 p14 §12-16 Peu avant sa mort, il a répondu à des chefs religieux juifs qui l’interrogeaient sur ses méthodes d’enseignement: “C’est au grand jour que j’ai parlé au monde. J’ai toujours enseigné en synagogue et dans le temple, où se réunissent tous les Juifs; et je n’ai rien dit en secret.” — Jean 18:20. Nous pouvons noter que le message de Jésus s’adresse à un bien plus vaste auditoire que les seuls habitants de la Palestine? Il intéresse le monde entier. Jésus n’a pas dit: ‘J’ai parlé à tout le peuple’, c’est-à-dire à tous les Juifs. Dans un but prophétique, il a plutôt choisi d’employer le terme “monde”. Ainsi, Jésus ne prêchait pas une doctrine ésotérique; son message était universel. – RV1988 8/11 p19 Le grand prêtre Anne a passé outre à la règle selon laquelle les accusations capitales devaient être jugées de jour, et non de nuit. De plus, tout examen des faits aurait dû avoir lieu en audience publique, et non à huis clos. Sachant que l’interrogatoire d’Anne était illégal, Jésus lui a répondu : “ Pourquoi m’interroges-tu ? Interroge ceux qui ont entendu ce que je leur ai dit. Écoute ! Ceux-là savent ce que j’ai dit. ” (Jean 18:21). Anne aurait dû questionner les témoins, plutôt que l’accusé. La remarque de Jésus aurait poussé un juge honnête à respecter la procédure prévue, mais Anne ne se souciait pas de la justice. – TG2011 1/4 p19 Pourquoi Jésus a-t-il dit : « Ne pensez pas que je sois venu mettre la paix » ? Parce qu’il voulait aider certains de ses auditeurs à comprendre qu’en devenant ses disciples, ils auraient des difficultés. En effet, son message pouvait diviser les gens. Évidemment, son intention était de proclamer la vérité de Dieu, pas de briser des familles (Jean 18:37). Mais ce serait difficile pour les disciples d’obéir fidèlement à ses enseignements si leurs amis ou leurs proches rejetaient la vérité. Jésus a montré que l’opposition familiale faisait partie des souffrances que ses disciples devaient être prêts à subir. Pour être dignes de lui, c’est-à-dire pour lui plaire, ses disciples ont supporté que leurs proches se moquent d’eux ou même les rejettent. Mais ils ont gagné beaucoup plus qu’ils n’ont perdu. Si des proches s’opposent à notre choix d’adorer Jéhovah, nous les aimons quand même. Mais nous devons rester conscients que notre amour pour Jéhovah et Jésus passe avant tout. Nous devons aussi rester conscients que Satan pourrait utiliser notre affection pour notre famille pour briser notre fidélité à Jéhovah. – TG2017 Octobre p13 §3,4 “ Qu’est-ce que la vérité ? ” - C’est le gouverneur romain Ponce Pilate qui, d’un ton désabusé, a posé cette question à Jésus. Il ne cherchait pas de réponse, et Jésus ne lui en a pas donné. Pilate pensait sans doute que la vérité était trop difficile à saisir. — Jean 18:38. Cette attitude dédaigneuse à l’égard de la vérité se retrouve chez beaucoup de nos contemporains, y compris des chefs religieux, des enseignants et des hommes politiques. Ils pensent que la vérité, particulièrement dans les domaines moral et spirituel, n’est pas absolue, mais relative et changeante. Cela sous-entend que chacun peut déterminer par lui-même ce qui est bien et ce qui est mal. Cela autorise aussi à rejeter, sous prétexte qu’elles seraient périmées, les valeurs et les normes morales respectées par les générations précédentes. – TG2007 1/10 p32 Rendre témoignage à la vérité. ” Lorsque Pilate lui demanda : “ Alors, tu es un roi ? ” Jésus lui répondit : “ C’est toi qui dis que je suis un roi. C’est pour ceci que je suis né, et c’est pour ceci que je suis venu dans le monde : pour rendre témoignage à la vérité. Tout homme qui est du côté de la vérité écoute ma voix. ” (Jean 18:37). La vérité à laquelle Jésus rendit témoignage n’était pas simplement la vérité en général. C’était la vérité capitale sur ce qu’étaient et ce que sont les desseins de Dieu, vérité fondée sur une réalité fondamentale : la volonté souveraine de Dieu et sa capacité d’accomplir cette volonté. Par son ministère, Jésus révéla que cette vérité renfermée dans le “ saint secret ” est le Royaume de Dieu qui a pour Roi-Prêtre sur le trône Jésus Christ, le “ fils de David ”Jésus ne devait pas simplement parler, prêcher et enseigner. En plus de s’être dépouillé de sa gloire céleste pour naître en tant qu’homme, il lui fallait accomplir toutes les prophéties le concernant, dont les ombres, ou modèles, contenues dans l’alliance de la Loi. Pour confirmer la véracité de la parole et des promesses prophétiques de son Père, Jésus était tenu de vivre de façon à faire que cette vérité devienne réalité, l’accomplissant par ses paroles et par ses actions, par son mode de vie et par la manière dont il mourrait. En un mot, il devait être la vérité, en quelque sorte l’incarnation de la vérité, comme lui-même affirma l’être. - it-2 p26 Jésus, notre Modèle - De tous ceux qui ont servi Dieu animés d’un sentiment d’urgence, Jésus Christ est assurément le plus bel exemple. Il faut dire qu’il avait seulement trois ans et demi devant lui, et tant à faire ! Il a pourtant accompli plus de choses que n’importe qui d’autre en faveur du vrai culte. Il a fait connaître le nom et le dessein de son Père, prêché la bonne nouvelle du Royaume, dévoilé l’hypocrisie et les faux enseignements des chefs religieux, et défendu la souveraineté de Jéhovah au point de le payer de sa vie. Tandis qu’il parcourait le pays, il n’a jamais ménagé ses efforts ; il enseignait les gens, il les aidait et les guérissait. Personne n’en a jamais fait autant en un laps de temps si court. Personne ne s’est investi comme lui. Jean 18:37.- TG2010 15/12 p9 §5 Le type de flagellation qu’on lui a infligé provoquait, dit-on, “ des déchirures longues et profondes qui saignaient abondamment ”. On l’a cloué à un poteau, mode d’exécution qui entraînait “ une mort lente dans un maximum de souffrances ”. Essayez d’imaginer la douleur atroce qu’il a ressentie quand on lui a transpercé les mains et les pieds avec de grands clous (Jean 19:1, 16-18). Et celle, indicible, qui l’a submergé quand on a redressé le poteau, que tout son corps s’est trouvé suspendu aux clous et que son dos lacéré est venu racler le bois rugueux. Et n’oublions pas qu’il a enduré ce supplice, alors qu’il était en proie à l’accablement moral. Que pourrions-nous avoir à endurer, nous qui suivons le Christ ? Jésus a dit : “ Si quelqu’un veut venir à ma suite, qu’il [...] prenne son poteau de supplice et me suive continuellement. ” (Matthieu 16:24). Le “ poteau de supplice ” désigne ici la souffrance, la honte, voire la mort. Suivre le Christ n’est pas la voie de la facilité. Nos principes chrétiens nous rendent différents. Comme nous ne faisons pas partie du monde, il a de la haine pour nous. Néanmoins, nous sommes prêts à prendre notre poteau de supplice, prêts à souffrir, et même à mourir — plutôt que de renoncer à suivre notre Modèle. – cf p68 Pourquoi Ponce Pilate a-t-il eu peur en entendant qu’on accusait Jésus de s’être “ fait fils de Dieu ” ? — Jean 19:7. Le sénat romain avait, à titre posthume, élevé Jules César au rang de dieu. Octavien, son fils adoptif et successeur sur le trône, fut ensuite appelé divi filius, ce qui en latin signifie “ fils d’un divin ” ou “ fils de Dieu ”. Cette appellation finit par devenir une distinction solennelle accordée aux empereurs. C’est ce que confirme une multitude d’inscriptions sur des pièces de monnaie, statues, autels et temples romains. Ainsi, en reprochant à Jésus de se faire “ fils de Dieu ”, les Juifs l’accusaient en fait de s’octroyer un titre officiel, ce qui revenait à de la sédition. Au moment du procès de Jésus, c’est Tibère qui avait hérité du titre de divi filius. Cet empereur avait la réputation effrayante de mettre à mort tous ceux qu’il considérait comme ses ennemis. Le gouverneur romain Pilate eut donc “ encore plus peur ” parce que les Juifs insinuaient qu’il manquerait de loyauté envers César s’il ne condamnait pas Jésus. Cédant à la pression, il ordonna finalement son exécution. — Jean 19:8, 12-16. – TG2008 1/6 p27 Jean 19:11 — Jésus songeait-il à Judas Iscariote lorsqu’il a parlé à Pilate de l’homme qui l’avait livré à lui ? Il semble y avoir lieu de croire que Jésus avait à l’esprit tous ceux qui partageaient la responsabilité de sa mise à mort, et pas seulement Judas ou quelque autre individu en particulier. S’étaient rendus coupables de ce péché Judas, “ les prêtres en chef et le Sanhédrin tout entier ”, et même “ les foules ” que l’on avait persuadées de demander la libération de Barabbas. – TG2008 15/4 p32 Pilate essaya de disculper Jésus afin de le relâcher, mais les chefs juifs crièrent : “ Si tu relâches cet homme, tu n’es pas un ami de César. Tout homme qui se fait roi parle contre César. ” (Jean 19:12). L’expression “ ami de César ” était un titre honorifique souvent conféré aux gouverneurs des provinces, mais en l’occurrence les chefs juifs l’utilisèrent vraisemblablement dans un sens large, insinuant que Pilate s’exposait à être accusé de tolérer la haute trahison. La crainte d’un empereur jaloux fut un facteur déterminant dans la décision de Pilate de condamner à mort un innocent. Dans le même temps, les prêtres proclamèrent leur fidélité au trône impérial en disant : “ Nous n’avons de roi que César ”, rejetant ainsi toute domination théocratique (Jean 19:13-16). Ils s’élevèrent en vain contre le titre de “ Roi des Juifs ” que Pilate avait apposé sur le poteau de Jésus (Jean 19:19-22). Il était coutumier chez les Romains d’indiquer sur un panneau le crime pour lequel un malfaiteur était condamné. - it-1 p 414-415 “ Pilate continua à chercher un moyen de [...] relâcher [Jésus]. Mais les Juifs crièrent, en disant : ‘ Si tu relâches cet homme, tu n’es pas un ami de César. Tout homme qui se fait roi parle contre César. ’ ” (Jean 19:12). Le César de l’époque était l’empereur Tibère, réputé pour exécuter tout homme qu’il considérait comme infidèle — même un fonctionnaire de haut rang. Ayant déjà irrité les Juifs, Pilate ne pouvait risquer d’autres frictions, encore moins une accusation d’infidélité. Les mots de la foule équivalaient à une menace voilée, à un chantage ; Pilate a eu peur. Il a cédé sous la pression et a fait attacher Jésus, un innocent, sur un poteau. — Jean 19:16. - Jésus était innocent. Pourtant, il savait que sa mort était nécessaire au salut des humains obéissants (Matthieu 20:28). Il aimait tant la justice qu’il s’est soumis à l’injustice la plus criante de toute l’Histoire. Il l’a fait pour des pécheurs comme nous. Ne l’oublions jamais – TG2011 1/ 4 p22 Bien que n’étant pas la langue du peuple, le latin était la langue de la Rome impériale et, par conséquent, la langue officielle de la Palestine lorsque Jésus Christ était sur la terre. Il n’est dès lors pas étonnant de trouver quelques latinismes dans les Écritures grecques chrétiennes. Le mot “ latin ” lui-même ne figure qu’une seule fois dans la Bible, en Jean 19:20, où il est dit que l’inscription placée au-dessus de Jésus sur le poteau de supplice était rédigée en hébreu, en grec et en latin. - it-2 p116 Pourquoi le vêtement intérieur de Jésus intéressait-il tant les soldats romains ? Les quatre soldats qui ont surveillé l’exécution de Jésus se sont partagé ses vêtements. “ Mais, lit-on en Jean 19:23, le vêtement intérieur de Jésus était sans couture, tissé depuis le haut dans toute sa longueur. ” Plutôt que de le déchirer en quatre, les soldats ont décidé de le tirer aux sorts. Comment ce genre de vêtement était-il fabriqué ? Le vêtement intérieur désignerait une tunique en lin ou en laine semblable à une chemise, et qui descendait jusqu’aux genoux ou aux chevilles. Généralement, pour confectionner un tel vêtement, on superposait deux carrés ou deux rectangles de tissu qu’on cousait ensemble sur trois côtés, en laissant des trous pour la tête et les bras. Une tunique plus onéreuse était fabriquée selon le même procédé, si ce n’est qu’on employait “ un seul grand morceau d’étoffe, plié en deux, avec un trou au milieu pour la tête ”, explique le livre Jésus et son époque (angl.). Le tissu était ourlé. Ce genre de tunique ne nécessitait plus que deux coutures sur les côtés. Les vêtements dénués de couture comme celui que portait Jésus n’étaient fabriqués qu’en Palestine. Ils étaient tissés sur un métier de haute lice, qui comportait deux jeux de fils de chaîne verticaux, placés l’un à l’avant de la traverse de l’appareil et l’autre à l’arrière. Le tisserand faisait passer sa navette — chargée du fil de trame horizontal — de l’avant à l’arrière du tissu, réalisant, selon les termes d’un ouvrage de référence, “ une étoffe tubulaire ”. Sans doute était-il rare de posséder une tunique sans couture, ce qui explique l’intérêt des soldats pour celle de Jésus. – TG2009 1/7 p22 On jetterait les sorts sur les vêtements du Messie. “ Ils se partagent mes vêtements, a écrit David, et sur mes habits ils jettent les sorts. ” (Ps. 22:18). Ces paroles prophétiques se sont réalisées, comme le confirme le récit biblique : ‘ Quand ils eurent attaché Jésus sur un poteau, les soldats romains distribuèrent ses vêtements de dessus en jetant les sorts. ’ Jean 19:23, 24. TG2011 15/8 p15 Jean 19:25-27 relate un exemple particulièrement émouvant de son amour empreint d’abnégation. La scène se passe l’après-midi de sa mort, tandis qu’il agonise sur le poteau de supplice. Songez à tout ce qui doit le préoccuper à ce moment : ses disciples, l’œuvre de prédication et, surtout, son intégrité et l’effet qu’elle aura sur le nom de son Père. L’avenir de l’humanité tout entière dépend de lui ! Pourtant, peu avant d’expirer, Jésus pense également à sa mère, Marie, qui est, semble-t-il, déjà veuve. Il demande à l’apôtre Jean de veiller sur elle comme sur sa propre mère, ce que l’apôtre fera en la prenant chez lui. Jésus s’est soucié des besoins physiques et spirituels de sa mère. Quelle tendre manifestation d’amour désintéressé ! – cf chap29 §7 Pour abréger les souffrances des criminels condamnés à mourir sur le poteau, les Romains avaient, semble-t-il, coutume de leur donner le coup de grâce en leur brisant les jambes. À la requête des Juifs, les soldats brisèrent les jambes des hommes attachés sur des poteaux à côté de Jésus Christ, mais, constatant que Jésus était déjà mort, ils ne brisèrent pas les siennes. C’est ainsi que s’accomplit la prophétie consignée en Psaume 34:20. — Jean 19:31-36 - it-1 p1236 À la mort de Jésus Christ, Nicodème apporta “ un rouleau de myrrhe et d’aloès, environ cent livres ”. Le récit ajoute : “ Ils prirent donc le corps de Jésus et le lièrent de bandes avec les aromates, comme les Juifs ont coutume de préparer un enterrement. ” (Jean 19:39, 40). Toutefois, cela ne s’appelait pas précisément un embaumement, et c’était différent des procédés d’embaumement employés par les Égyptiens. Ce fut la manière habituelle de préparer le corps pour l’enterrement, sans aucun doute semblable à ce qu’on avait fait pour préparer Lazare à l’inhumation - it-1 p736
  14. Eléments rajoutés Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? La parole de vérité est comparable à une eau purificatrice. Jésus avait lui-même parlé du pouvoir purificateur de la parole divine qu’il proclamait. À ses disciples, il a affirmé : “ Vous êtes déjà purs à cause de la parole que je vous ai dite. ” (Jean 15:3). La vérité de la parole de Dieu a donc le pouvoir d’opérer une purification morale et spirituelle. Ce n’est qu’à la condition de laisser la vérité de Dieu nous purifier de cette façon que nous pourrons lui offrir un culte qu’il agrée. – TG2010 15/7 p18 §15 Les qualités que produit en nous l’esprit saint sont le reflet de la personnalité de Jéhovah Dieu dont cet esprit émane. Les chrétiens doivent s’efforcer d’imiter Dieu. Pourquoi ? La raison essentielle ressort de ces paroles que Jésus a adressées à ses apôtres : “ Mon Père est glorifié en ceci : que vous continuiez à porter beaucoup de fruit. ” (Jean 15:8). Quand nous cultivons “ le fruit de l’esprit ”, cela se constate dans nos actes et nos paroles. Et par ce beau comportement, Dieu est glorifié – TG2011 15/4 p20§3 Nombre de chrétiens servent fidèlement Jéhovah depuis des décennies à présent. Indubitablement, nous subirons encore de nombreuses épreuves d’ici la fin de l’actuel système de choses méchant. Ne doutons jamais, à cause d’elles, de l’amour fidèle de Dieu. On ne le répétera jamais assez : Jéhovah a de l’affection pour nous. Continuons chacun de faire notre part en observant les commandements de Dieu (Jean 15:8-10). Saisissons chaque occasion de louer son nom. Renforçons notre détermination à nous approcher de Jéhovah dans la prière et à étudier sa Parole. Quoi que demain nous apporte, si nous faisons notre maximum pour plaire à Jéhovah, nous resterons en paix, pleinement confiants dans son amour indéfectible. – TG2001 15/10 p16 §20 Nous ne devons jamais oublier l’amour que nous portons à Jéhovah Dieu. Cet amour est une puissante motivation à aimer notre prochain. Comment cela ? Lorsque nous traitons notre prochain avec amour, cela rejaillit en bien sur notre Père céleste : notre comportement est à sa gloire et à sa louange (Jean 15:8-10). Egalement, nous devons nous efforcer de voir les choses comme Jéhovah les voit. Chaque fois que nous péchons, nous péchons contre Jéhovah ; pourtant, il nous pardonne maintes et maintes fois et continue de nous aimer. Si nous nous efforçons d’acquérir le point de vue de Dieu, nous serons enclins à aimer les autres et à pardonner leurs offenses. – TG2001 1/1 p21 §18 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Jésus n’avait pas peur de dire à ses disciples qu’il les aimait (Jean 15:9). Il leur montrait également son amour en les fréquentant étroitement et régulièrement. Il n’était pas seulement leur enseignant. Ainsi, les disciples n’avaient pas à se demander si Jésus les aimait réellement – TG2015 15/11 p3 §3 De toutes les personnes qui ont vécu sur terre, Jésus est le meilleur exemple de spiritualité. Au cours de son ministère et de sa vie en général, il a montré qu’il voulait imiter son Père. Il pensait et il agissait comme lui, et il éprouvait le même genre de sentiments. Il faisait sa volonté et il se conformait à ses exigences (Jean 15:10). Sommes-nous, comme Jésus, toujours disposés à manifester de la compassion envers ceux qui ont besoin d’aide ? Comme lui, est-ce que nous prêchons et enseignons la bonne nouvelle avec zèle ? Quelqu’un de spirituel manifeste ces qualités. – TG2018 Février p21 §12 Pour ce qui est de bien choisir ses amis, il est judicieux de suivre l’exemple de Jésus. Dès la création des humains, il a éprouvé de l’amour à leur égard. Sur la terre, il a fait preuve d’un intérêt bienveillant envers toutes sortes de personnes. Mais pour lui, être amical et être l’ami proche de quelqu’un étaient deux choses bien distinctes. Il ne se faisait l’ami intime que de ceux qui remplissaient certaines conditions. À ses onze apôtres fidèles il a dit : “ Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande. ” (Jean 15:14). Les seules personnes à qui Jésus accordait son amitié étaient celles qui le suivaient et qui servaient Jéhovah. Lorsque vous vous demandez si vous devez faire de quelqu’un un ami proche, souvenez-vous de ce qu’a dit Jésus. Posez-vous les questions suivantes : ‘ Ses propos et son comportement attestent-ils qu’il obéit aux commandements de Jéhovah et de Jésus ? Respecte-t-il les valeurs et les normes morales définies dans la Bible ? Sa compagnie m’encouragera-t-elle à mettre le Royaume à la première place dans ma vie et à servir fidèlement Jéhovah ? ’ Si, après réflexion, vous répondez oui à ces questions, alors vous avez trouvé un ami avec qui vous détendre – TG2011 15/10 p11 §14,15
  15. Etude biblique - Leçon 40.docx LUC 7:36-50 Comment Jésus est-il reçu par Simon ? On ne considérait pas comme anormale la présence de quelqu’un qui n’avait pas été invité, car il semble qu’en certaines occasions des personnes sans invitation étaient libres d’accéder dans la salle où se déroulait un repas, de s’asseoir le long du mur et de s’entretenir de leur place avec ceux qui étaient étendus à table, au centre de la pièce. Jésus fit une application pertinente de la situation des deux débiteurs en signalant que Simon ne lui avait pas donné d’eau pour ses pieds, ne lui avait pas donné de baiser de salutation et ne lui avait pas enduit la tête d’huile, politesses faites d’habitude aux invités. En revanche, la femme qui avait de nombreux péchés avait manifesté plus d’amour et d’hospitalité envers Jésus, alors que ce n’était pas elle qui le recevait. Aussi Jésus lui dit-il : “ Tes péchés sont pardonnés. ” À l’époque où Jésus Christ était sur la terre, il arrivait qu’un hôte fournisse de l’eau à son invité pour qu’il se lave les pieds, lui donne un baiser et lui enduise la tête d’huile. Simon le Pharisien omit de donner ces trois marques d’hospitalité à Jésus lorsqu’il le reçut. C’est pourquoi, quand une pécheresse en pleurs mouilla les pieds de Jésus de ses larmes, les essuya avec ses cheveux, les embrassa, puis les enduisit d’huile parfumée, le Christ fit remarquer l’omission de Simon Jésus n’excusait pas ici l’immoralité. Loin de là ! Il enseignait plutôt à ce Pharisien orgueilleux la supériorité de l’amour comme motivation pour servir Dieu Pourquoi une femme de la ville vient-elle voir Jésus ? Cette femme est probablement une prostituée, le Pharisien, lui, n’était pas d’accord pour qu’elle soit pardonnée. Lorsqu’on accueille un invité, on l’embrasse, on lui enlève ses sandales, on lui lave les pieds, on lui verse sur la tête une huile parfumée rafraîchissante... C’était dans des flacons fabriqués à partir d’albâtre véritable qu’on conservait les huiles et les parfums les plus coûteux, comme ceux avec lesquels Jésus fut oint à deux reprises : une fois dans la maison d’un Pharisien, en Galilée (Lc 7:37) Jésus était un homme profondément compatissant. Il comprenait le désespoir de la femme et percevait son angoisse. On ignore ce qui l’avait amenée à vivre dans le péché. Si vraiment elle se prostituait, les hommes de la ville, des Juifs pratiquants, ne l’avaient apparemment pas aidée. Jésus voulait l’aider Cette femme a donné la preuve qu’elle regrettait sincèrement son passé impur Jésus n’excuse ni ne tolère en aucun cas l’impureté. Au contraire, cet incident révèle qu’il est compréhensif et compatissant envers les gens qui ont commis des fautes dans leur vie, mais qui démontrent qu’ils se repentent et viennent à lui pour être soulagés Il était bien, évidemment, que la femme se sente coupable de son passé. Elle était manifestement repentante : elle a versé des larmes, n’a pas cherché à justifier sa conduite antérieure et a pris l’initiative d’honorer Jésus publiquement. Voyant cela, Jésus lui a dit : “ Ta foi t’a sauvée ; va en paix. ” — Luc 7:50. En revanche, le Pharisien a continué de la considérer comme une pécheresse. Peut-être espérait-il susciter en elle la peur du châtiment et lui faire prendre honte. La réaction de Jésus montre que non seulement il connaissait la situation de cette femme, mais aussi qu’il savait ce que le Pharisien s’était dit “ en lui-même ” Trois gestes étaient toujours considérés comme nécessaires pour témoigner son hospitalité envers un hôte : l’embrasser en le saluant, lui laver les pieds et oindre sa tête. — Lc 7:44-46. Comme ils avaient l’habitude d’utiliser l’eau pour laver et pour se baigner, les Israélites étaient d’une propreté physique notable. La coutume voulait qu’on se lave les pieds quand on entrait dans une maison pour prendre un repas Ce qui inspira cet exemple à Jésus fut l’attitude de son hôte, Simon, envers une femme qui était entrée et avait enduit les pieds de Jésus d’une huile parfumée. On ne considérait pas comme anormale la présence de quelqu’un qui n’avait pas été invité, car il semble qu’en certaines occasions des personnes sans invitation étaient libres d’accéder dans la salle où se déroulait un repas, de s’asseoir le long du mur et de s’entretenir de leur place avec ceux qui étaient étendus à table, au centre de la pièce. Jésus fit une application pertinente de la situation des deux débiteurs en signalant que Simon ne lui avait pas donné d’eau pour ses pieds, ne lui avait pas donné de baiser de salutation et ne lui avait pas enduit la tête d’huile, politesses faites d’habitude aux invités. En revanche, la femme qui avait de nombreux péchés avait manifesté plus d’amour et d’hospitalité envers Jésus, alors que ce n’était pas elle qui le recevait. Aussi Jésus lui dit-il : “ Tes péchés sont pardonnés. ” Cette femme a mené une vie immorale, mais s’est repentie. Elle reconnaît qu’elle a besoin d’être rachetée du péché et montre par ses actions qu’elle estime profondément celui par qui Jéhovah fournit ce rachat. Même s’il n’est encore qu’à venir, le sacrifice de Jésus est tellement certain que sa valeur peut déjà être appliquée à des personnes comme elle. C’est pourquoi Jésus lui dit : “ Tes péchés sont pardonnés. ” Quel exemple Jésus utilise-t-il, et quelle application en fait-il ? Comparant le péché à une dette trop énorme pour être remboursée, il raconte : “ Deux hommes étaient débiteurs d’un certain prêteur Nous devons tous obéissance à Jéhovah Dieu ; aussi, quand nous péchons en lui désobéissant, nous ne lui payons pas ce que nous lui devons. Et notre dette s’accumule. Toutefois, Dieu est comme un prêteur désireux de remettre à ses débiteurs. C’est pourquoi Jésus a encouragé ses disciples à le prier ainsi : “ Remets-nous nos dettes, comme nous aussi avons remis à nos débiteurs L’exemple des deux débiteurs à qui on avait fait remise, à l’un de 500 deniers (env. 350 $ 432 euros) et à l’autre de 50 deniers (env. 35 $ 43 euros), mettait en évidence le principe suivant : “ Celui à qui on pardonne peu aime peu. ” (Luc 7:41-47). Jéhovah est désireux de pardonner à ceux qui se repentent.
  16. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 22 OCTOBRE 2018 - JEAN 15-17.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 22 OCTOBRE 2018 - JEAN 15-17.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : JEAN 15-17 Jean 17:21-23 : Quand Jésus a affirmé que ses disciples étaient « un », qu’est-ce que cela signifiait ? (nwtsty). « pour que tous soient un, comme toi, Père, tu es en union avec moi et moi je suis en union avec toi, pour qu’eux aussi soient en union avec nous, afin que le monde soit convaincu que tu m’as envoyé. Je leur ai donné la gloire que tu m’as donnée, afin qu’ils soient un comme nous sommes un. Moi en union avec eux et toi en union avec moi, afin qu’ils soient rendus parfaits dans l’unité, pour que le monde sache que c’est toi qui m’as envoyé et que tu les as aimés comme tu m’as aimé » un : ou « en union ». Jésus prie pour que ses véritables disciples soient « un », qu’ils travaillent ensemble dans l’unité avec un but commun, tout comme lui et son Père sont « un » et coopèrent dans une unité de pensée (Jean 17:22). Comme Paul le montre en 1Co 3:6-9, il existe ce même type d’unité entre les ministres chrétiens qui collaborent entre eux et avec Dieu (voir 1Co 3:8 « Même si celui qui plante et celui qui arrose sont un, chacun recevra sa propre récompense en fonction de son travail » ; Jean 17:11 « « Je ne suis plus dans le monde, mais eux sont dans le monde, et moi je viens vers toi. Père saint, veille sur eux à cause de ton nom, que tu m’as donné, afin qu’ils soient un comme nous sommes un »). nwtsty soient rendus parfaits dans l’unité : ou « soient complètement unifiés ». Dans ce verset, Jésus établit un lien entre « être parfaitement unis » et « être aimés par le Père ». Ceci est en accord avec Col 3:14, qui dit que « l’amour [...] est un lien d’union parfait ». Cette parfaite unité est relative. Cela n’exclut pas les différences : les disciples de Jésus n’ont pas tous les mêmes capacités, les mêmes habitudes, la même personnalité ni la même conscience. Cela signifie plutôt qu’ils sont rendus unis par leurs actions, leur croyance et leur enseignement.- nwtsty Jésus était convaincu que ses disciples imparfaits pouvaient croître spirituellement et former une congrégation unie. Il a prié pour que ses apôtres soient unis dans l’amour. Les disciples de Jésus ont atteint une unité comparable à celle qui existe entre Dieu et son Fils, et ce parce qu’ils ont obéi à la Parole de Dieu et aux enseignements de Jésus. La même attitude contribue de façon déterminante à l’unité que goûte aujourd’hui la famille mondiale de Jéhovah. – TG1996 15/7 p11-12 Jésus et son Père, Jéhovah Dieu, sont “ un ” en ce sens qu’ils sont en parfait accord quant à leurs intentions, à leurs normes et à leurs valeurs. Ce lien puissant ne rend toutefois pas Dieu et son Fils, Jésus, indifférenciables. Ce sont deux êtres. Ils ont chacun leur personnalité. Jésus a des sentiments, des pensées et un vécu qui lui sont propres, et jouit du libre arbitre. Néanmoins, il a décidé de soumettre sa volonté à celle de son Père. – TG2009 1/9 p28 Ils sont “en union” avec le Père et avec le Fils en ce sens qu’ils collaborent dans l’unité, étant un seul cœur et un seul esprit avec Jéhovah et Jésus, tandis qu’ils donnent le témoignage au monde des hommes- TG1986 15/2 p13 Jean 17:24 : Que désigne l’expression « la fondation du monde » ? (nwtsty). « Père, je veux que ceux que tu m’as donnés soient avec moi là où je suis, afin qu’ils voient ma gloire, celle que tu m’as donnée, parce que tu m’as aimé avant la fondation du monde » fondation du monde : Le mot grec traduit ici par « fondation » est traduit par « concevoir » en Hé 11:11, où il est employé avec le mot « descendance ». Ici, employé avec le mot « monde », il se rapporte apparemment à la naissance des enfants d’Adam et Ève. Jésus associe « la fondation du monde » à Abel, probablement le premier humain qui pouvait être racheté et le premier à avoir eu son nom « écrit dans le rouleau de vie depuis la fondation du monde » (Lc 11:50, 51 ; Ré 17:8). De plus, cette expression utilisée par Jésus dans la prière qu’il adresse à son Père confirme qu’il y a bien longtemps, avant même qu’Adam et Ève ne conçoivent une descendance, Dieu a aimé son Fils unique - nwtsty Par “ fondation du monde ”, il ne faut pas entendre le début de la création de l’univers matériel, pas plus que l’expression “ avant la fondation du monde ” ne fait remonter à une époque antérieure à la création de cet univers matériel. À l’évidence, ces expressions se rapportent plutôt à l’époque où la race humaine fut ‘ fondée ’ par l’intermédiaire du premier couple, Adam et Ève, lorsque, hors d’Éden, ils conçurent une semence en mesure de bénéficier des dispositions prises par Dieu en vue de la libération du péché héréditaire. - it-2 319 Abel est né à l’aurore de l’histoire humaine. Plus tard, Jésus a appelé l’époque d’Abel « la fondation du monde » (Luc 11:50, 51). Il parlait probablement du monde des humains pouvant espérer être rachetés du péché. Abel était le quatrième humain sur la terre, mais il semble qu’il a été le premier à être considéré par Dieu comme rachetable*. Il est clair qu’il n’a pas grandi dans le meilleur contexte qui soit. L’expression « la fondation du monde » évoque l’idée de jeter en bas de la semence, autrement dit de procréer. Cette expression se rapporte donc au premier descendant humain. Dans ce cas, pourquoi Jésus a-t-il relié « la fondation du monde » à Abel et non à Caïn, qui était le premier-né de l’humanité ? Parce que les choix et les actes de Caïn équivalaient à une rébellion délibérée contre Jéhovah. Il est logique de penser que, comme ses parents, Caïn ne pourra pas bénéficier du rachat et de la résurrection. – TG2013 1/1 p15 Il va y avoir “ une résurrection tant des justes que des injustes ”. (Actes 24:15.) Des millions d’humains seront ramenés à la vie. Ils auront des origines et des personnalités très différentes et auront vécu à toutes sortes d’époques, allant des derniers jours à “ la fondation du monde ” ! (Luc 11:50, 51.) Les aider à aimer la paix sera indéniablement un grand honneur. La formation que nous recevons dès à présent nous sera alors très précieuse – TG2011 15/8 p31 §19 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? Les réponses à nos prières. Jésus a déclaré : « Tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donnera » (Jean 15:16). Cette promesse a dû beaucoup fortifier les apôtres ! Même s’ils ne le comprenaient pas clairement, Jésus, leur Chef serait bientôt tué. Mais cela ne voulait pas dire qu’ils se retrouveraient sans soutien. Jéhovah était prêt à répondre à leurs prières et à les aider dans la prédication. Et c’est ce qu’il a fait. Peu après la mort de Jésus, les apôtres ont supplié Jéhovah de leur donner du courage, et il a répondu à leur prière – TG2018/5 Jésus a-t-il révélé tout ce qu’il savait à propos du Père ? Non. Il a eu la sagesse de taire de nombreuses choses. (Jean 16:12.) Pourquoi ? Parce que ses disciples ‘ ne pouvaient pas les porter ’. Mais comme il le leur a expliqué, une somme de connaissances leur serait révélée quand arriverait “ l’assistant ”, l’esprit saint, qui les guiderait “ dans toute la vérité ”. (Jean 16:7, 13.) Des parents réfléchis s’abstiennent de dire à leurs enfants certaines choses tant que ces derniers ne sont pas assez grands pour les comprendre. De la même façon, Jésus s’est abstenu de révéler à ses disciples certains faits au sujet du Père tant qu’ils n’ont pas été assez mûrs pour les comprendre. Il a eu la bonté de tenir compte de leurs limites. – TG2012 4/15 p6§15 “ L’esprit de la vérité. ” L’esprit qui émane de Jéhovah Dieu est pur et saint. C’est “ l’esprit de la vérité ”. Jean 15:26. . Étant “ l’esprit de la vérité ”, l’esprit saint de Dieu ne pourrait jamais être une source d’erreur, mais protégerait au contraire les disciples de Christ des mensonges doctrinaux. L’esprit saint est comme un guide patient. C’est le moyen que Jésus utilise pour faire connaître à ses disciples tout ce qu’ils doivent savoir sur le Royaume de Dieu, au moment où ils doivent le savoir. - it-2 1136-1137 Si notre conscience n’est pas bien éduquée, elle ne pourra pas nous retenir de mal agir (1 Tim. 4:1, 2). Elle risque même de nous convaincre que « le mal est bien » (Is. 5:20). Jésus a dit à ses disciples : « L’heure vient où tout homme qui vous tuera pensera avoir offert un service sacré à Dieu » (Jean 16:2). C’était le cas par exemple de ceux qui ont tué le disciple Étienne. Et depuis toujours, des fanatiques religieux commettent des atrocités telles que des meurtres en affirmant agir au nom de Dieu. Mais en réalité, leur comportement est contraire à ses lois. De toute évidence, leur conscience est loin d’être un guide sûr. Que faire pour que notre conscience fonctionne correctement ? Les lois et les principes de Jéhovah peuvent nous aider à éduquer notre conscience. – TG2018 Juin p16 §3,4 Pour marcher dans la vérité, nous devons accepter tous les enseignements de Jéhovah et y obéir. Nous devons accorder la priorité à la vérité et appliquer les principes bibliques dans notre vie de tous les jours. Nous pourrions commencer à penser aux choses auxquelles nous avons renoncé et même regretter certaines d’entre elles. Nous pourrions alors en arriver à négliger certains aspects de notre culte. Mais en tant que chrétiens, nous ne pouvons pas choisir à quels enseignements nous obéirons. Nous devons marcher « dans toute la vérité » (Jean 16:13). – TG2018 Novembre p8 §7 « J’ai manifesté ton nom aux hommes que tu m’as donnés du milieu du monde, dit encore Jésus. Ils étaient à toi, et tu me les as donnés, et ils ont observé ta parole. En outre, je ne suis plus dans le monde, mais eux sont dans le monde et moi je viens vers toi. Père saint, veille sur eux à cause de ton nom que tu m’as donné, afin qu’ils soient un comme nous le sommes » (Jean 17:6, 11). Jésus n’a pas fait connaître le nom de son Père à ses disciples en se contentant de le prononcer. Il leur a également enseigné ce que ce nom représente, autrement dit les qualités impressionnantes de Dieu et la façon dont il traite les humains. Depuis sa glorieuse position céleste, il continue d’aider ses disciples à faire connaître le nom de Jéhovah dans le monde entier. Dans quel but ? Celui de rassembler toujours plus de disciples avant la fin de l’actuel système de choses mauvais. Quel nom merveilleux Jéhovah se fera-t-il alors, tandis qu’il délivrera ses témoins fidèles – TG2013 15/10 p28-29 Sur terre, Jésus Christ ‘ manifesta le nom de son Père ’ à ses disciples (Jean 17:6, 26). Certes, les disciples connaissaient déjà ce nom et étaient familiarisés avec les actions de Dieu consignées dans les Écritures hébraïques, mais ils parvinrent à une connaissance bien meilleure et bien plus extraordinaire de Jéhovah grâce à Celui “ qui est dans le sein du Père ”. (Jn 1:18.) En faisant les œuvres de son Père et en ne parlant pas de son propre fonds, mais en disant les paroles de son Père, Christ Jésus le représenta parfaitement. C’est pourquoi il put déclarer : “ Qui m’a vu a vu le Père aussi. ” Jn 14:9. - Cela démontre que les seuls à connaître vraiment le nom de Dieu sont ses serviteurs obéissants - it-2 p412 La première demande mentionnée par Jésus dans la prière modèle concerne la sanctification du nom de Jéhovah. Son nom représente toute l’étendue de son excellence, de sa majesté et de sa sainteté. Dans une autre prière, Jésus a appelé Jéhovah « Père saint » (Jean 17:11). Jéhovah étant saint, tous les principes et les lois qui proviennent de lui sont saints. Pourtant, dans le jardin d’Éden, Satan a sournoisement mis en question le droit de Dieu d’établir des normes pour les humains. En mentant à propos de Jéhovah, il a diffamé son nom sacré – TG2017/2 Jéhovah est tout-puissant. Il a le pouvoir de protéger, à son gré, ses adorateurs fidèles. Il pourrait même les séparer physiquement du reste du monde et les placer dans un environnement sûr et paisible. Néanmoins, Jésus a dit à son Père céleste, dans une prière au sujet de ses disciples : “ Je te demande, non pas de les retirer du monde, mais de veiller sur eux à cause du méchant. ” Jean 17:15. Jéhovah a décidé de ne pas nous retirer “ du monde ”. Il veut que nous vivions au milieu de la population afin de proclamer son message d’espérance et de consolation. L’inconvénient, comme Jésus l’a laissé entendre dans sa prière, c’est qu’en vivant dans le monde, nous sommes exposés au “ méchant ”. Les humains désobéissants et les forces spirituelles méchantes provoquent bien des souffrances et des angoisses ; et les chrétiens ne sont pas immunisés contre la détresse. - TG2004 15/8 p17 §1,2 Jésus savait qu’on cherchait à le tuer. Au cours de son dernier repas avec les apôtres, il leur a donc demandé de se procurer des épées. Deux suffiraient pour qu’il leur enseigne une précieuse leçon. (Luc 22:36-38). Plus tard dans la soirée, des soldats envoyés par Caïphe, accompagnés d’autres personnes, sont venus arrêter Jésus. Pierre était tellement révolté par cette injustice qu’il a frappé un des hommes d’un coup d’épée (Jean 18:10). Mais Jésus a dit à Pierre : « Remets ton épée à sa place, car tous ceux qui prennent l’épée périront par l’épée » (Mat. 26:52, 53). Cette leçon puissante était en accord avec ce que Jésus avait dit dans une prière ce soir-là : ses disciples ne devaient pas faire partie du monde (Jean 17:16). Seul Dieu a le droit de combattre l’injustice. – TG2018 Juin p7 §11 La Parole de Dieu est vérité. La Parole de Dieu présente les choses telles qu’elles sont réellement, révélant les attributs, les desseins et les commandements de Jéhovah, ainsi que la vraie condition de l’humanité. La Parole divine de vérité montre ce qui est requis pour être sanctifié ou rendu saint, mis à part afin d’être employé par Jéhovah à son service, et ensuite pour demeurer dans cet état de sanctification. Jésus put donc faire cette requête en faveur de ses disciples : “ Sanctifie-les par le moyen de la vérité ; ta parole est vérité. ” (Jean 17:17). Leur obéissance à la vérité révélée de la Parole de Dieu les mena à la sanctification, la vérité étant le moyen par lequel ils purifièrent leurs âmes. Ils se démarquèrent ainsi comme ne faisant “ pas partie du monde ”, qui, lui, n’a pas adhéré à la vérité de Dieu - it-2 p1137 Lorsque vous connaissez bien quelqu’un et que vous trouvez sa personnalité attachante, n’avez-vous pas envie de parler de lui autour de vous ? Sur la terre, Jésus a parlé de son Père (Jean 17:25, 26). Pouvons-nous, comme lui, ‘ révéler Jéhovah ’ aux autres ? Est-il besoin de le rappeler, Jésus connaissait son Père bien mieux que quiconque. Il était cependant disposé à partager ce qu’il savait, et même à donner à ses disciples l’intelligence nécessaire pour approfondir leur compréhension de la personnalité de Dieu. Grâce à Jésus, notre connaissance du Père est plus grande que celle de la plupart de nos contemporains. Nous lui sommes reconnaissants de nous avoir volontiers ‘ révélé le Père ’ par ses enseignements et sa conduite. - TG2015 4/15 p6§16,17 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Au cours de la conversation intime qu’il a eue avec ses disciples fidèles le soir du 14 Nisan, Jésus s’est comparé à “ la vraie vigne ” par opposition à la ‘ vigne dégénérée ’ qu’était l’Israël infidèle. Il a dit : “ Je suis la vraie vigne, et mon Père est le cultivateur. ” (Jean 15:1). Des siècles plus tôt, le prophète Jérémie avait écrit ces paroles de Jéhovah adressées à sa nation renégate : “ Je t’avais plantée comme un cépage rouge de choix [...]. Comment donc t’es-tu changée à mon égard en sarments dégénérés d’une vigne étrangère ? ” (Jérémie 2:21). Au lieu de produire les fruits du vrai culte, Israël est tombé dans l’apostasie et a produit du fruit pour lui-même. Trois jours avant sa dernière réunion avec ses disciples fidèles, Jésus a dit aux chefs juifs hypocrites : “ Je vous le dis : Le royaume de Dieu vous sera enlevé et sera donné à une nation qui en produira les fruits. ” (Matthieu 21:43). Cette nouvelle nation est “ l’Israël de Dieu ”, qui se compose de 144 000 chrétiens oints, comparés aux “ sarments ” de “ la vraie vigne ”, Christ Jésus. Jean 15:5 – TG2002 2/1 p17 §14-15 COMMENT AUGMENTER SA JOIE - Un chrétien déjà joyeux peut-il ressentir encore plus de joie ? Jésus a dit : « Ces choses, je vous les ai dites pour que ma joie soit en vous et que votre joie devienne complète » (Jean 15:11). Ces paroles indiquent que notre joie peut grandir. On peut comparer la joie à un feu : pour être plus fort, un feu a besoin de bois. Pareillement, pour être plus joyeux, nous avons besoin d’esprit saint. En effet, c’est l’esprit saint qui produit en nous la joie. Prions donc régulièrement pour recevoir de l’esprit saint et méditons sur la Bible, qui est inspirée par cet esprit – TG2018/2 Jésus a dit : “ Ceci est mon commandement : que vous vous aimiez les uns les autres comme je vous ai aimés. ” Jean 15:12, 13, 17. Les chrétiens ont bien des raisons d’aimer leurs frères. Mais, en la circonstance, Jésus pensait principalement à la haine que le monde leur vouerait. En effet, il a ajouté : “ Si le monde a de la haine pour vous, vous savez qu’il m’a haï avant de vous haïr. [...] Un esclave n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi. ” (Jean 15:18, 20). Ainsi, même quand ils sont persécutés, les chrétiens imitent Jésus. Et pour endurer la haine dont ils sont l’objet, il leur faut être unis par un puissant lien d’amour. – TG2005 1/1 10-11§16 Lors de la dernière soirée qu’il a passée avec ses disciples, Jésus a mentionné l’amour près de 30 fois. Il leur a dit qu’ils devaient s’aimer les uns les autres (Jean 15:12, 17). L’amour qu’ils auraient entre eux serait si remarquable qu’il les identifierait clairement à ses vrais disciples. Jésus ne parlait pas ici d’un simple sentiment. Il parlait d’un amour puissant qui pousse à faire des sacrifices. Il a dit : « Personne n’a de plus grand amour que celui qui donne sa vie pour ses amis. Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous ordonne » (Jean 15:13, 14). À quoi reconnaît-on les serviteurs de Dieu aujourd’hui ? Aujourd’hui encore, on reconnaît les serviteurs de Dieu à leur amour véritable et désintéressé, et à leur grande unité. Mais pourquoi l’amour est-il particulièrement important aujourd’hui ? Aujourd’hui, beaucoup de nos frères et sœurs ont besoin de notre amour, car ils vivent des situations stressantes. Certains subissent des moqueries ou des persécutions. D’autres sont victimes de critiques et de bavardages malveillants de la part de leurs collègues. Ou alors ils sont épuisés par les longues journées qu’ils passent au travail et les pressions qu’ils y subissent. D’autres encore ont un conjoint non Témoin qui s’oppose sans arrêt à eux. Pour ces raisons ou d’autres, beaucoup se sentent épuisés physiquement et affectivement, et commencent à douter de leur valeur. – TG2018 Septembre p12 §1,5 Un jour, nous devrons peut-être faire face à des menaces et à des persécutions (Jean 15:20). Si nous étudions régulièrement la Bible et prêchons avec zèle, nous permettrons à l’esprit de Jéhovah d’agir sur nous. Nous trouverons alors la force d’endurer l’opposition tout en gardant notre paix intérieure – TG2018 Octobre p32 Il faut parfois du temps pour s’adapter à un changement. Certains chrétiens d’origine juive avaient du mal à accepter l’idée qu’ils n’étaient plus soumis à la Loi (Jean 16:12). Pour eux, la circoncision avait toujours été le signe qu’ils avaient une relation privilégiée avec Dieu. D’autres avaient peur d’être persécutés par les Juifs s’ils se montraient différents d’eux. Mais au moyen des lettres de Paul, Christ a fourni des directives qui aideraient ces chrétiens à s’adapter au changement. ET AUJOURD’HUI ? Aujourd’hui encore, Christ est le Chef de la congrégation. C’est pourquoi, si tu ne comprends pas certains changements que fait l’organisation, pense à la façon dont Christ a guidé le peuple de Dieu dans le passé. Que ce soit à l’époque de Josué ou à celle des apôtres, la façon de diriger de Jésus a toujours protégé le peuple de Dieu, et fortifié sa foi et son unité. Il ne fait aucun doute que notre Chef et Roi nous conduira dans le monde nouveau. Pour cela, chacun de nous doit lui faire confiance quels que soient les changements – TG2018 Octobre p22 §13 Jésus a-t-il révélé tout ce qu’il savait à propos du Père ? Non. Il a eu la sagesse de taire de nombreuses choses. (Jean 16:12.) Pourquoi ? Parce que ses disciples ‘ ne pouvaient pas les porter ’. Mais comme il le leur a expliqué, une somme de connaissances leur serait révélée quand arriverait “ l’assistant ”, l’esprit saint, qui les guiderait “ dans toute la vérité ”. (Jean 16:7, 13.) Des parents réfléchis s’abstiennent de dire à leurs enfants certaines choses tant que ces derniers ne sont pas assez grands pour les comprendre. De la même façon, Jésus s’est abstenu de révéler à ses disciples certains faits au sujet du Père tant qu’ils n’ont pas été assez mûrs pour les comprendre. Il a eu la bonté de tenir compte de leurs limites – TG2012 15/4 p6 Emploi symbolique. Malgré les douleurs entraînées par l’accouchement, la naissance d’un enfant s’accompagne de joie. Jésus Christ se servit de ce fait dans un exemple, alors qu’il s’entretenait dans l’intimité avec ses apôtres le soir qui précéda sa mort. Après leur avoir expliqué qu’il allait les quitter, Jésus ajouta : “ Oui, vraiment, je vous le dis : Vous pleurerez et vous vous lamenterez, mais le monde se réjouira ; vous serez attristés, mais votre tristesse se changera en joie. Une femme, quand elle accouche, a de la tristesse, parce que son heure est arrivée ; mais quand elle a donné le jour au petit enfant, elle ne se souvient plus de la tribulation à cause de la joie qu’un homme soit né dans le monde. Vous donc aussi, oui vous avez maintenant de la tristesse ; mais je vous verrai de nouveau et votre cœur se réjouira, et votre joie, personne ne vous l’enlèvera. ” — Jean 16:20-22. Ils connurent cette période douloureuse pendant trois jours durant lesquels, sans aucun doute, ils pleurèrent et ‘ affligèrent leur âme ’ en jeûnant. Mais, tôt le matin du troisième jour, le 16 Nisan, et pendant 40 jours ensuite, Jésus ressuscité apparut à certains de ses disciples. On imagine leur joie ! Le jour de la Pentecôte, le 50e jour à compter de la résurrection de Jésus, l’esprit saint de Dieu fut répandu sur eux et ils devinrent des témoins joyeux de la résurrection du Christ, d’abord à Jérusalem, puis dans des régions lointaines de la terr. Et personne ne put leur enlever leur joie. — Jean 16:22. - it-1 672-673 Jésus prononça cette prière : “ Père, glorifie-moi auprès de toi-même de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde soit. ” (Jean 17:5). Jésus employa ici ce terme pour parler de la position élevée qu’il occupait dans les cieux avant de venir sur la terre. En réponse à cette prière, Jéhovah “ a glorifié son Serviteur, Jésus ”, en le ressuscitant et en le rappelant au ciel - it-1 995 Jésus appela Judas le “ fils de destruction ”. (Jean 17:12.) En livrant délibérément le Fils de Dieu, Judas se rendit passible de la destruction éternelle. Jésus indiquait que, lorsque Judas mourrait, ce serait sans espoir de retour. Il ne resterait pas vivant dans la mémoire de Dieu. Judas n’est pas allé au shéol, mais dans la géhenne mais la destruction éternelle. C’est délibérément que Judas agit comme il le fit, avec méchanceté, avidité, orgueil, hypocrisie et calcul. Son forfait accompli, il éprouva du remords sous le poids de la culpabilité, tel un assassin après son crime - it-1 p628 Les relations avec les autres. Quand quelqu’un se met à appliquer ce qu’il apprend dans la Bible, ses relations avec ses amis ou sa famille peuvent changer. Jésus nous aide à comprendre pourquoi dans cette prière qu’il a faite au sujet de ses disciples : « Sanctifie-les par le moyen de la vérité ; ta parole est vérité » (Jean 17:17). « Sanctifier » peut aussi vouloir dire « mettre à part » dans le but de servir Jéhovah et de faire connaître son nom et son Royaume. Cette vérité peut sanctifier un individu, changer complètement sa vie et faire de lui un chrétien séparé du monde, parce qu’il ne suit plus les mêmes normes. Même s’il s’efforce de garder de bonnes relations avec ses amis ou sa famille, certains vont peut-être s’éloigner de lui ou même s’opposer à ses nouvelles croyances. Ce n’est pas surprenant, car Jésus a dit : « Oui, un homme aura pour ennemis les membres de sa propre famille » (Mat. 10:36). Mais il a aussi affirmé que, quelles que soient les choses auxquelles on renonce pour la vérité, on reçoit bien plus en retour – TG2018 Novembre p3 §11 “ Ta parole est vérité. ” Pour nous aujourd’hui, cette parole est la Sainte Bible ; il ne tient qu’à nous de vérifier que nos croyances et nos principes lui sont conformes. Jean 17:17. En confrontant nos croyances avec la Parole de Dieu, nous imitons les habitants de Bérée, qui s’assuraient que l’enseignement de Paul s’accordait avec les Écritures. Aujourd’hui, tant d’enseignements contradictoires circulent en matière de religion ou de morale qu’il est vraiment important d’imiter la sage prudence de ces Béréens – TG2005 1/7 p5 Venir “ dans le monde ”. ‘ Naître dans le monde ’ ne signifie pas simplement naître parmi les humains, mais aussi entrer dans les structures ou le cadre dans lesquels vivent les hommes (Jean 16:21). Cependant, venir ou entrer dans le monde ne se rapporte pas systématiquement au fait de naître au sein de la société humaine. Par exemple, Jésus pria Dieu en ces termes : “ Comme tu m’as envoyé dans le monde, moi aussi je les ai envoyés ses disciples dans le monde. ” (Jean 17:18). Les disciples qu’il a envoyés dans le monde étaient des adultes, pas des nouveau-nés. Jean déclara que des faux prophètes et des trompeurs “ sont sortis dans le monde ”. Il est clair que les nombreux textes selon lesquels Jésus ‘ est venu ou a été envoyé dans le monde ’ ne se réfèrent pas principalement, si ce n’est jamais, à sa naissance humaine, mais plus logiquement au fait qu’il est sorti parmi les humains, qu’il a publiquement accompli le ministère qui lui avait été confié à partir de son baptême et de son onction, qu’il a été un porteur de lumière pour le monde des hommes - it-2 319-320
  17. Il faudra de plus en plus s'encourager pour faire face aux épreuves que nous rencontrerons et comme montre ces deux images en dessous il faudra de plus en plus rester éveiller spirituellement l'importance de la nourriture spirituelle  Que la lumière spirituelle pénètre bien dans notre demeure    et que les reflets de cette lumière coulent à flot par toutes les publications qu'on dispose       Â
  18. Je m'excuse ça concerne la semaine du 22 octobre COMMENT AUGMENTER SA JOIE - Un chrétien déjà joyeux peut-il ressentir encore plus de joie ? Jésus a dit : « Ces choses, je vous les ai dites pour que ma joie soit en vous et que votre joie devienne complète » (Jean 15:11). Ces paroles indiquent que notre joie peut grandir. On peut comparer la joie à un feu : pour être plus fort, un feu a besoin de bois. Pareillement, pour être plus joyeux, nous avons besoin d’esprit saint. En effet, c’est l’esprit saint qui produit en nous la joie. Prions donc régulièrement pour recevoir de l’esprit saint et méditons sur la Bible, qui est inspirée par cet esprit – TG2018/2 Les réponses à nos prières. Jésus a déclaré : « Tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donnera » (Jean 15:16). Cette promesse a dû beaucoup fortifier les apôtres ! Même s’ils ne le comprenaient pas clairement, Jésus, leur Chef serait bientôt tué. Mais cela ne voulait pas dire qu’ils se retrouveraient sans soutien. Jéhovah était prêt à répondre à leurs prières et à les aider dans la prédication. Et c’est ce qu’il a fait. Peu après la mort de Jésus, les apôtres ont supplié Jéhovah de leur donner du courage, et il a répondu à leur prière – TG2018/5 La première demande mentionnée par Jésus dans la prière modèle concerne la sanctification du nom de Jéhovah. Son nom représente toute l’étendue de son excellence, de sa majesté et de sa sainteté. Dans une autre prière, Jésus a appelé Jéhovah « Père saint » (Jean 17:11). Jéhovah étant saint, tous les principes et les lois qui proviennent de lui sont saints. Pourtant, dans le jardin d’Éden, Satan a sournoisement mis en question le droit de Dieu d’établir des normes pour les humains. En mentant à propos de Jéhovah, il a diffamé son nom sacré – TG2017/2
  19. COMMENT AUGMENTER SA JOIE - Un chrétien déjà joyeux peut-il ressentir encore plus de joie ? Jésus a dit : « Ces choses, je vous les ai dites pour que ma joie soit en vous et que votre joie devienne complète » (Jean 15:11). Ces paroles indiquent que notre joie peut grandir. On peut comparer la joie à un feu : pour être plus fort, un feu a besoin de bois. Pareillement, pour être plus joyeux, nous avons besoin d’esprit saint. En effet, c’est l’esprit saint qui produit en nous la joie. Prions donc régulièrement pour recevoir de l’esprit saint et méditons sur la Bible, qui est inspirée par cet esprit – TG2018/2 Les réponses à nos prières. Jésus a déclaré : « Tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donnera » (Jean 15:16). Cette promesse a dû beaucoup fortifier les apôtres ! Même s’ils ne le comprenaient pas clairement, Jésus, leur Chef serait bientôt tué. Mais cela ne voulait pas dire qu’ils se retrouveraient sans soutien. Jéhovah était prêt à répondre à leurs prières et à les aider dans la prédication. Et c’est ce qu’il a fait. Peu après la mort de Jésus, les apôtres ont supplié Jéhovah de leur donner du courage, et il a répondu à leur prière – TG2018/5 La première demande mentionnée par Jésus dans la prière modèle concerne la sanctification du nom de Jéhovah. Son nom représente toute l’étendue de son excellence, de sa majesté et de sa sainteté. Dans une autre prière, Jésus a appelé Jéhovah « Père saint » (Jean 17:11). Jéhovah étant saint, tous les principes et les lois qui proviennent de lui sont saints. Pourtant, dans le jardin d’Éden, Satan a sournoisement mis en question le droit de Dieu d’établir des normes pour les humains. En mentant à propos de Jéhovah, il a diffamé son nom sacré – TG2017/2
  20. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 15 OCTOBRE 2018 - JEAN 13-14.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 15 OCTOBRE 2018 - JEAN 13-14.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : JEAN 13-14 Jean 14:6 : En quel sens Jésus est-il « le chemin, la vérité et la vie » ? (nwtsty). « Jésus lui répondit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie. Personne ne peut aller vers le Père si ce n’est par moi » Je suis le chemin, la vérité et la vie : Jésus est le chemin parce que c’est uniquement par lui qu’on doit passer pour prier Dieu. Mais aussi parce qu’il permet aux humains d’accéder à la réconciliation avec Dieu (Jean 16:23 ; Rm 5:8). Jésus est la vérité parce qu’il parlait et vivait en accord avec la vérité. Il a aussi réalisé de nombreuses prophéties qui mettent en évidence le rôle central qu’il joue dans l’accomplissement du projet de Dieu. Ces prophéties « sont devenues “oui” ont été réalisées par son moyen » (2Co 1:20). Jésus est la vie parce qu’en offrant sa vie en rançon, il permet à l’humanité d’obtenir « la vraie vie », c’est-à-dire « la vie éternelle » Il sera aussi « la vie » pour des millions de personnes qui seront ressuscitées avec la possibilité de vivre pour toujours dans le paradis. - nwtsty Son rôle essentiel dans le dessein de Dieu. Jéhovah Dieu jugea bon de faire de son Fils premier-né l’élément principal ou central de la réalisation de tous Ses desseins, l’élément vers lequel la lumière de toutes les prophéties convergerait et de qui cette lumière rayonnerait, la solution à tous les problèmes causés par la rébellion de Satan et le fondement sur lequel Dieu bâtirait toutes ses réalisations futures pour le bien éternel de sa famille universelle, au ciel et sur la terre. it-2 p24 Pour remplir son ministère, qui consistait à rendre témoignage à la vérité, Jésus ne devait pas simplement parler, prêcher et enseigner. En plus de s’être dépouillé de sa gloire céleste pour naître en tant qu’homme, il lui fallait accomplir toutes les prophéties le concernant, dont les ombres, ou modèles, contenues dans l’alliance de la Loi. Pour confirmer la véracité de la parole et des promesses prophétiques de son Père, Jésus était tenu de vivre de façon à faire que cette vérité devienne réalité, l’accomplissant par ses paroles et par ses actions, par son mode de vie et par la manière dont il mourrait. En un mot, il devait être la vérité, en quelque sorte l’incarnation de la vérité, comme lui-même affirma l’être. - it-2 p26 Que signifie l’affirmation selon laquelle Jésus Christ est lui-même “ la vérité ” ? De même que son Père Jéhovah, Jésus Christ est “ plein de faveur imméritée et de vérité ”. Pendant qu’il était sur la terre, il disait toujours la vérité telle qu’il l’avait reçue de son Père ; “ Il n’a pas commis de péché, et on n’a pas trouvé de tromperie dans sa bouche. ” Jésus exposait les choses telles qu’elles étaient réellement. En plus d’être ‘ plein de vérité ’, Jésus fut lui-même “ la vérité ”, et la vérité vint par lui. - it-2 p1136 Jésus Christ est “ le chemin ”. En quel sens ? En ce sens que nous ne pouvons nous approcher de Dieu que par Jésus. Ainsi, dans le domaine de la prière, nous avons l’assurance que le Père nous accordera tout ce que nous demandons, selon sa volonté, si nous prions par Jésus (Jean 15:16). Mais Jésus est aussi “ le chemin ” dans un autre domaine. Il se trouve que l’humanité a été séparée de Dieu à cause du péché (Is. 59:2). C’est pour cette raison que Jésus a donné “ son âme comme rançon en échange de beaucoup ”. Comme l’explique la Bible, “ le sang de Jésus [...] nous purifie de tout péché ”. (1 Jean 1:7.) De ce fait, le Fils nous donne accès à la réconciliation avec Dieu ; C’est donc en exerçant la foi en Jésus et en lui obéissant que nous pouvons obtenir l’approbation de Dieu Jésus est également “ la vérité ”. En effet, il enseignait toujours la vérité et vivait en accord avec elle. De plus, toutes les prophéties relatives au Messie — et elles sont nombreuses — se sont réalisées en sa personne. “ Quel que soit le nombre des promesses de Dieu, a écrit l’apôtre Paul, elles sont devenues Oui par son moyen. ” (2 Cor. 1:20). Ce qui, dans la Loi mosaïque, n’était qu’“ une ombre des bonnes choses à venir ” est devenu réalité en Christ Jésus. Toutes les prophéties convergeaient vers Jésus, et toutes ont apporté des éclaircissements sur le rôle essentiel qu’il joue dans l’accomplissement du dessein de Jéhovah. Par conséquent, si nous voulons recevoir les bénédictions qui découlent de la réalisation de ce dessein, nous devons suivre le Messie. Jésus est “ la vie ”. Effectivement, il a racheté l’humanité avec son sang ; la vie éternelle est un don de Dieu “ par Christ Jésus notre Seigneur ”. (Rom. 6:23.) Jésus représente aussi “ la vie ” pour ceux qui sont morts. . Songez à ce qu’il accomplira en sa qualité de Grand Prêtre : durant le règne millénaire, il obtiendra pour les humains obéissants la délivrance éternelle du péché et de la mort. Ainsi, ce que Jésus a dit à Thomas nous concerne au plus haut point. Pour nous aussi, Jésus est le chemin, et la vérité, et la vie. Il est celui que Dieu a envoyé dans le monde pour que, par son intermédiaire, le monde soit sauvé. En outre, personne ne peut venir vers le Père sinon par lui. À ce propos, la Bible dit clairement : “ Il n’y a de salut en aucun autre, car il n’y a pas d’autre nom sous le ciel qui ait été donné parmi les hommes par lequel nous devons être sauvés. ” (Actes 4:12). En conséquence, quelles qu’aient été nos croyances par le passé, la sagesse consiste à croire en Jésus et à le suivre de manière à obtenir la vie. – TG2009 15/5 p31-32 Jean 14:12 En quel sens ceux qui exercent la foi en Jésus font-ils « des oeuvres plus grandes » que lui ? (nwtsty). « Oui, je vous le dis, c’est la vérité : celui qui exerce la foi en moi fera aussi les œuvres que je fais ; et il fera des œuvres plus grandes que celles-ci, parce que je m’en vais vers le Père ». Oeuvres plus grandes que celles-ci : Ici, Jésus n’est pas en train de parler de miracles, il ne dit pas que ses disciples accompliraient des miracles plus grands que les siens. Il reconnaissait plutôt humblement qu’ils effectueraient une oeuvre de prédication et d’enseignement sur une plus grande échelle que lui : ses disciples parcourraient un territoire plus large, ils toucheraient plus de personnes et prêcheraient sur une plus longue période. Les paroles de Jésus montrent clairement qu’il souhaitait que ses disciples poursuivent son oeuvre. - nwtsty Christ ne voulait pas dire que ses disciples accompliraient des œuvres d’un caractère plus miraculeux que les siennes. Selon le récit biblique, aucun d’entre eux ne fit de miracle plus extraordinaire que celui de Jésus qui avait ressuscité Lazare mort depuis quatre jours (Jn 11:38-44). Mais puisque Jésus s’en allait vers le Père et que ses disciples recevraient l’esprit saint pour être ses témoins “ non seulement à Jérusalem, mais aussi dans toute la Judée et la Samarie, et jusque dans la région la plus lointaine de la terre ” (Ac 1:8), ses disciples, donc, auraient un territoire plus étendu et travailleraient plus longtemps que Jésus. C’est en ce sens qu’ils feraient des œuvres plus grandes que lui. - it-2 p1096 Aujourd’hui, les serviteurs de Dieu accomplissent des œuvres chrétiennes dans une mesure encore jamais atteinte. Plus de 8 500 000 personnes espèrent bientôt passer vivantes la grande tribulation. Jamais autant de fidèles adorateurs de Dieu n’ont prêché dans autant de pays ! Jéhovah a veillé à ce que les paroles prophétiques de Jésus relatives à “ des œuvres plus grandes ” deviennent réalité. – TG2011 15/1 p32 Jésus n’a pas caché qu’il resterait beaucoup à faire après sa mort. . Puisqu’il retournait au ciel, il appartiendrait aux apôtres — mais aussi à tout futur disciple — de poursuivre l’œuvre de prédication et d’enseignement. Avec humilité, il a annoncé que leurs œuvres seraient “ plus grandes ” que les siennes. En quel sens ? Considérons trois aspects. Premièrement, ses disciples allaient couvrir un territoire plus grand. Aujourd’hui, leur témoignage a atteint les extrémités de la terre ; leur message est proclamé largement au-delà des frontières à l’intérieur desquelles Jésus prêchait. Deuxièmement, ses disciples allaient toucher plus de personnes. D’une poignée qu’ils étaient, ils n’ont pas tardé à se compter par milliers. Aujourd’hui, ils sont des millions, auxquels se joignent chaque année des milliers et des milliers de nouveaux baptisés. Troisièmement, ses disciples allaient prêcher sur une période plus longue — en fait jusqu’à nos jours, soit près de 2 000 ans, alors que le ministère de Jésus n’a duré que trois ans et demi. En déclarant que ses disciples feraient “ des œuvres plus grandes ” que les siennes, Jésus leur exprimait sa confiance. Il remettait entre leurs mains une œuvre capitale à ses yeux, celle de prêcher et d’enseigner “ la bonne nouvelle du royaume de Dieu ”. Il ne doutait pas qu’ils l’accompliraient fidèlement. Qu’est-ce que cela signifie pour nous ? Quand nous nous dépensons avec zèle et sincérité dans le ministère, nous confirmons que la confiance de Jésus était fondée. N’est-ce pas un remarquable privilège ? – cf p88-89 Nous pouvons faire des œuvres plus grandes - En parcourant davantage de territoire : La sphère d’activité de Jésus s’était limitée à la Palestine ; pourtant, il a dit à ses premiers disciples d’être ses témoins “ jusque dans la région la plus lointaine de la terre ”, c’est-à-dire beaucoup plus loin que la région où lui-même avait prêché (Actes 1:8). L’œuvre de prédication qu’il a commencée est actuellement accomplie dans le monde entier, soit dans 240 pays. Y participons-nous pleinement en parcourant le territoire de notre assemblée ? En touchant davantage de gens : Les disciples à qui Jésus a confié l’œuvre de prédication étaient assez peu nombreux. Toutefois, en 33 de notre ère, le jour de la Pentecôte, grâce à leur prédication zélée, quelque trois mille âmes ont accepté la vérité et se sont fait baptiser. Le rassemblement de ceux qui sont “ dans la disposition qu’il faut pour la vie éternelle ” se poursuit à notre époque où, en moyenne, 1 000 personnes se font baptiser chaque jour. Faisons-nous tout notre possible pour toucher des personnes sincères partout où elles se trouvent et pour cultiver leur intérêt aussi vite que possible ? En prêchant plus longtemps : Le ministère terrestre de Jésus n’a duré que trois ans et demi. La plupart d’entre nous prêchons depuis plus de temps que cela. Qu’il nous soit donné de continuer encore longtemps ou non, nous sommes reconnaissants d’aider chaque nouveau disciple à s’engager sur la route qui mène à la vie. Avons-nous chaque mois beaucoup à faire dans l’œuvre du Seigneur ? En véritables disciples de Jésus, nous pouvons être confiants qu’avec son aide nous continuerons à faire des œuvres plus grandes – km1998/9 p1 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? En 33 de n. ère, Jésus a clairement annoncé que ceux qui régneraient avec lui dans le Royaume de Dieu seraient pris de la terre pour vivre au ciel en tant qu’esprits. Sur le coup, ses disciples n’ont pas compris cette révélation Jésus Christ promit à ses disciples qu’il s’en allait leur préparer une place dans la ‘ maison de son Père ’ ; il parlait ici de la demeure céleste de Jéhovah. Ce n’est qu’après la Pentecôte 33, quand ils ont été oints de l’esprit de Dieu, que ces futurs rois ont vraiment compris que leurs trônes seraient dans les cieux — Jean 14:2-5 - kr p35 - it2 p190 Nous avons tendance à imiter les gens dont nous admirons la personnalité et le comportement. De tous les humains que la terre ait portés, personne n’est plus digne d’être imité que Jésus Christ. Pourquoi ? Lui-même a dit : « Qui m’a vu a vu le Père aussi » (Jean 14:9). Effectivement, Jésus imite si parfaitement son Père qu’observer le Fils revient à voir le Père. Ainsi donc, si nous imitons Jésus — ses qualités et son comportement —, nous nous rapprochons de Jéhovah, le plus grand Personnage de l’univers. Quelle récompense ! – TG2015 15/2 p5 Rien ne saurait être plus précieux à nos yeux que d’être aimés par Jéhovah et par son Fils, Christ Jésus. Cependant, pour connaître et sentir cet amour, il nous faut faire quelque chose. Jésus a déclaré en effet la dernière nuit qu’il a passée avec ses disciples : “ Qui a mes commandements et les observe, c’est celui-là qui m’aime. Et qui m’aime sera aimé de mon Père, et moi je l’aimerai et me montrerai clairement à lui. ” (Jean 14:21). Puisque nous attachons du prix à nos relations avec Dieu et avec son Fils, nous obéissons joyeusement à leurs commandements. Au nombre de ces commandements figurent le nouveau, celui de montrer un amour empreint d’abnégation, ainsi que l’ordre donné par Jésus après sa résurrection, “ de prêcher au peuple et d’attester pleinement ”, en s’efforçant de ‘ faire des disciples ’ des gens qui acceptent la bonne nouvelle – TG2002 2/1 p16§9 À condition que nous soyons humbles et disposés à nous fier à lui, Jéhovah nous fournit un guide sûr, son esprit saint. Jésus a expliqué à ses disciples : “ L’assistant, l’esprit saint, que le Père enverra en mon nom, celui-là vous enseignera toutes choses et vous rappellera toutes les choses que je vous ai dites. ” (Jean 14:26). Si nous prions et étudions régulièrement la Parole de Dieu, notamment les enseignements de Christ, l’esprit saint augmentera notre compréhension de la sagesse de Jéhovah, afin que nous puissions aller dans le sens de sa volonté. En outre, à supposer que nous nous trouvions subitement à la croisée des chemins, l’esprit nous montrera la direction à prendre. Il nous rappellera des principes bibliques que nous connaissons et nous permettra de discerner quelle voie ces principes nous invitent à emprunter – TG2011 15/12 p14-15 Jean 14:26 . L’esprit saint de Jéhovah agit comme un enseignant et stimule la mémoire. Il intervient aussi pour révéler des vérités. Il peut donc nous aider à croître en connaissance, en sagesse, en perspicacité, en jugement et en capacité de réflexion. Nous devrions par conséquent persévérer dans la prière, notamment pour solliciter cet esprit – TG2008 15/4 p32 Pour s’élever et planer sur de longues distances, l’aigle n’utilise pas ses seules forces. Il se laisse porter par des colonnes d’air chaud qui l’entraînent vers le haut, ce qui lui permet de conserver son énergie. Alors face à un problème qui te semble insurmontable, pense à l’aigle. Supplie Jéhovah de te « porter » au moyen de « l’assistant, l’esprit saint » (Jean 14:26). Nous pouvons lui demander son esprit saint à chaque fois que nous en avons besoin – TG2018 Janvier p7§11 Jésus a fait savoir à ses apôtres que l’esprit agirait de deux façons. Peu de temps avant sa mort, il leur a dit : “ L’assistant, l’esprit saint, que le Père enverra en mon nom, celui-là vous enseignera toutes choses et vous rappellera toutes les choses que je vous ai dites. ” (Jean 14:26). D’une part, l’esprit saint allait enseigner les chrétiens, leur permettre de comprendre des choses jusque-là obscures. En leur faisant comprendre des choses qu’ils avaient précédemment entendues de la bouche de Jésus sans bien en saisir le sens. Et d’autre part, il allait les aider à se rappeler ce qui leur avait été expliqué pour qu’ils puissent bien l’appliquer. L’esprit allait-il continuer d’enseigner les chrétiens et de leur rappeler ce qu’ils avaient appris ? Allait-il continuer de les aider à comprendre les “ choses profondes de Dieu ” ? Oui. Aujourd’hui, quand arrive le moment de faire la lumière sur une question biblique, l’esprit saint aide les représentants de “ l’esclave fidèle et avisé ” demeurant au siège mondial à discerner des vérités profondes qui n’ont pas encore été comprises. Les membres du Collège central déterminent alors ensemble si certaines explications méritent d’être réexaminées. Ils arrêtent une décision et, au besoin, publient pour le plus grand bien de tous l’explication revue et corrigée. Si, avec le temps, des éclaircissements supplémentaires s’avèrent nécessaires, ils sont exposés en toute franchise.- TG2010 15/7 p20-21 De même, la paix que Jésus Christ donna à ses disciples, paix fondée sur la foi qu’ils exerçaient en lui, le Fils de Dieu, calma leurs cœurs et leurs esprits. Bien que Jésus leur ait expliqué que le moment approchait où il ne serait plus avec eux en personne, ils n’avaient aucune raison de s’inquiéter ou de céder à la peur. Il ne les laisserait pas sans aide, mais il leur promit de leur envoyer l’esprit saint. — Jean 14:26, 27. “ La paix de Dieu ”, c’est-à-dire le calme et la tranquillité qui résultent des relations précieuses que le chrétien entretient avec Jéhovah Dieu, protège son cœur et ses facultés mentales de l’inquiétude au sujet de ses besoins. Il a l’assurance que Jéhovah pourvoit aux besoins de ses serviteurs et qu’il répond à leurs prières, ce qui apaise son cœur et son esprit - it-2 p474 Ce soir-là, Jésus a parlé clairement de l’imminence de sa mort. Il a également expliqué pourquoi il allait se soumettre à cette fin atroce, raison que Jean est le seul à avoir rapportée : “ Afin que le monde sache que j’aime le Père, oui comme le Père m’a donné ordre de faire, ainsi je fais. Levez-vous, partons d’ici. ” — Jean 14:31. “ J’aime le Père. ” Rien ne lui importait davantage. Non qu’il ait répété ces mots à tout propos ; en fait, Jean 14:31 est le seul verset où Jésus formule aussi explicitement son amour pour son Père. Jésus ne se contentait pas d’éprouver de l’amour pour son Père ni de dire : “ J’aime le Père. ” Mais il vivait ces paroles. Son amour pour le Père transparaissait dans chacun de ses actes. Son courage, son obéissance, son endurance en étaient autant de manifestations. Cet amour motivait son ministère tout entier. Aucun humain n’a aimé Jéhovah autant que Jésus. Aucun ne l’a égalé dans l’obéissance à ce qu’il a lui-même appelé le plus grand des commandements divins, à savoir : “ Tu dois aimer Jéhovah ton Dieu de tout ton cœur, et de toute ton âme, et de toute ta pensée, et de toute ta force. ” - cf p129 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Il faut encore que les apôtres se défassent d’une certaine jalousie et d’un certain orgueil mêlés d’ambition. Aussi Jésus se ceint-il d’un linge et se met-il à leur laver les pieds. Ce n’est pas là un geste de fausse humilité, comme celui que le pape de la chrétienté renouvelle chaque année à Rome. Certainement pas! La véritable humilité est un don de soi venant d’une ‘humilité d’esprit qui amène à considérer les autres comme supérieurs’. Au début, Pierre, ne comprenant pas la leçon, refuse que Jésus lui lave les pieds. Étant corrigé, il demande à Jésus de lui laver tout le corps (Jean 13:1-10). Cependant, Pierre a dû tirer profit de cet enseignement. En effet, des années après, nous le trouvons conseillant les autres d’une bonne manière (1 Pierre 3:8, 9; 5:5). Combien il est important que tous, aujourd’hui, nous nous comportions en humbles esclaves du Christ – TG1992 1/3 p17 §4 Il semble donc manifeste qu’à l’époque où Judas fut choisi comme apôtre son cœur ne présentait aucun signe d’inclination à la traîtrise. Judas permit à une ‘ racine vénéneuse de pousser ’ et de le souiller, ce qui l’amena à faire défection et à accepter, non pas la direction de Dieu, mais celle du Diable qui le conduisit au vol et à la traîtrise (Jean 13:2). Lorsque cette défection atteignit un certain degré, Jésus put lui-même la déceler dans le cœur de Judas et prédire qu’il le livrerait. -Jean 13:10, 11. - it-2 646 Jésus “ se leva du repas et déposa ses vêtements de dessus, écrit Jean. Et, prenant une serviette, il s’en ceignit. Après quoi, il versa de l’eau dans un bassin et commença à laver les pieds des disciples et à les essuyer avec la serviette dont il était ceint ”. — Jean 13:4, 5. Sous le climat chaud du Proche-Orient de l’époque, on chemine généralement sur des routes poussiéreuses chaussé de sandales ouvertes. Chez les gens du commun, l’hôte vous accueille en vous fournissant des bassins et de l’eau pour que vous vous laviez les pieds. Chez les plus aisés, c’est un esclave qui effectue le lavement des pieds. Dans la chambre haute, personne n’a invité Jésus et ses apôtres. Il n’y a donc pas d’hôte pour fournir les bassins ni d’esclave pour effectuer le lavement des pieds. Lorsque Jésus se met à leur laver les pieds, les apôtres se sentent gênés. Il y a de quoi, c’est le plus grand d’entre eux qui accomplit la plus humble tâche. Jésus n’institue pas ici un rite. Il aide ses apôtres à changer de mentalité, c’est-à-dire cultiver l’humilité et être disposés à effectuer les tâches les plus humbles pour le bien de leurs frères. Manifestement, ils ont compris la leçon. Une leçon pour nous - En lavant les pieds de ses disciples, Jésus a donné une puissante leçon d’humilité. En effet, les chrétiens ne devraient pas se croire si importants qu’ils doivent toujours être servis ; ils ne devraient pas non plus rechercher l’honneur et le prestige, mais plutôt suivre l’exemple de Jésus qui “ est venu, non pas pour être servi, mais pour servir et donner son âme comme rançon en échange de beaucoup ”. (Matthieu 20:28.) Ils devraient donc se servir mutuellement en étant prêts à effectuer les tâches les plus humbles. – TG1999 1/3 p30-31 Pourquoi Jésus a-t-il lavé les pieds de ses apôtres ? Jadis, en Israël, beaucoup de gens du peuple vaquaient à leurs occupations pieds nus. Les chaussures, pour ceux qui en portaient, étaient des sandales, qui n’étaient guère plus que des semelles attachées aux pieds et aux chevilles. En raison de la poussière et de la boue des routes et des champs, il était difficile de ne pas se salir les pieds. Il était par conséquent d’usage d’enlever ses sandales avant d’entrer chez quelqu’un. L’hospitalité voulait qu’on lave les pieds d’un invité. C’était soit le maître de maison, soit un serviteur qui s’en chargeait. La Bible contient de nombreuses mentions de cette coutume répandue. Par exemple, Abraham a dit à des hommes qui s’étaient présentés devant sa tente : “ Qu’on prenne un peu d’eau, s’il vous plaît, et vous devrez vous faire laver les pieds. Puis étendez-vous sous l’arbre. Que j’aille chercher un morceau de pain, et ranimez votre cœur. ” — Genèse 18:4, 5. Ces divers renseignements permettent de comprendre pourquoi Jésus a lavé les pieds de ses disciples au cours de sa dernière Pâque avec eux. Ce soir-là, il n’y avait ni maître de maison ni serviteur pour effectuer cette tâche, et manifestement aucun des disciples ne s’était porté volontaire. Aussi, quand Jésus a pris un bassin d’eau et une serviette, puis a lavé et séché les pieds de ses apôtres, il leur a donné une leçon d’amour et d’humilité. — Jean 13:5-17. – TG2009 1/1 p19 Christ lave les pieds de ses disciples. Lorsqu’il leur lava les pieds, lui, leur Maître, Jésus Christ donna à ses disciples une leçon d’humilité et de dévouement à l’égard les uns des autres (Jean 13:5-14). Ce jour-là, il dit : “ Celui qui s’est baigné n’a besoin que de se faire laver les pieds, mais il est entièrement pur. ” Il songeait sans aucun doute au fait qu’il suffisait de marcher, ne serait-ce qu’un peu, pour avoir les pieds poussiéreux, ce qui obligeait à se les laver fréquemment, même si on s’était baigné auparavant. Aux jours du ministère de Jésus sur la terre, les prêtres et les Lévites en service de garde au temple, après s’être plongés dans l’eau tôt le matin, n’avaient pas besoin de se relaver dans la journée, sauf les mains et les. Apparemment, en disant : “ Vous, vous êtes purs, mais pas tous allusion à Judas ”, Jésus donna à ses actions à ce moment précis une signification spirituelle supplémentaire (Jean 13:10, 11). Selon Éphésiens 5:25, 26, Jésus purifia la congrégation chrétienne avec “ le bain d’eau par le moyen de la parole ” de vérité. Logiquement, les disciples fidèles de Jésus devaient comme lui se préoccuper humblement non seulement des besoins physiques de leurs frères, mais aussi et surtout de leurs besoins spirituels. Ainsi, les chrétiens s’aideraient mutuellement à rester purs vis-à-vis des tentations et des pièges susceptibles de les contaminer quotidiennement, puisqu’ils marchaient dans le monde. - it-2 p581 Lorsque Jésus Christ était sur la terre, ses disciples ne furent pas les seuls à l’appeler “ Seigneur ”, ou “ Monsieur ”. (Mt 8:2 ; Jn 4:11.) Dans ces cas, ces expressions étaient principalement un titre respectueux ou marquant la civilité. Cependant, à ses apôtres Jésus montra que l’appeler “ Seigneur ” impliquait plus que cela. Il dit : “ Vous m’appelez, vous, ‘ Enseignant ’ et ‘ Seigneur ’, et vous avez raison, car je le suis. ” (Jean 13:13). Étant ses disciples, les apôtres étaient ses élèves. C’est pourquoi il était leur Seigneur, ou Maître. - it-2 p917 Le Messie devait être trahi par l’un de ses intimes. David a déclaré prophétiquement : “ L’homme en paix avec moi, en qui j’avais confiance, et qui mangeait mon pain, a grandi son talon contre moi. ” (Ps. 41:9). À l’époque, manger du pain avec quelqu’un était un signe d’amitié (Gen. 31:54). Judas Iscariote s’est donc révélé un traître de la pire espèce. Jésus a signalé à ses apôtres que les paroles de David se réalisaient quand, faisant allusion à celui qui le trahissait, il leur a dit : “ Je ne parle pas de vous tous ; je connais ceux que j’ai choisis. Mais c’est afin que l’Écriture s’accomplisse : ‘ Celui qui se nourrissait de mon pain a levé son talon contre moi. ’ ” — Jean 13:18. – TG2011 15/8 p13 §5 “ Petits enfants. ” (Jean 13:33). C’est en ces termes tendres et bienveillants que Jésus s’est adressé à ses apôtres la veille de sa mort. Rien n’indique, dans les Évangiles, qu’il les ait appelés ainsi auparavant. Mais, en cette soirée particulière, il a eu envie d’employer cette expression affectueuse pour leur dire l’amour qu’il éprouvait à leur égard. D’ailleurs, ce soir-là, il a parlé une trentaine de fois de l’amour. Pourquoi a-t-il insisté autant sur cette qualité ? Jésus a expliqué pourquoi l’amour est si important. “ Par là, a-t-il annoncé, tous sauront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour entre vous. ” - (Jean 13:35). Il est impossible d’être un disciple du Christ sans manifester l’amour fraternel. Les vrais chrétiens se reconnaissent, non à un vêtement distinctif ni à des coutumes insolites, mais à l’amour chaleureux et tendre qu’ils se témoignent mutuellement. Cet amour qui sort de l’ordinaire constitue la deuxième des trois conditions principales à remplir pour être un disciple du Christ – TG2003 1/2 p13 Jésus put dire à ses disciples : “ Encore un peu de temps et le monde ne m’apercevra plus. ” Il est vrai que ses disciples l’apercevraient, le verraient, déjà parce qu’il leur apparaîtrait après sa résurrection, mais aussi parce qu’en temps voulu, ressuscités, ils le rejoindraient dans les cieux où ils ‘ verraient la gloire que son Père lui aurait donnée ’. (Jean 14:19) Mais le monde en général ne l’aperçut plus, car après avoir été ressuscité créature spirituelle (1P 3:18) Jésus n’apparut qu’à ses disciples. Eux seuls également, et pas le monde, virent son ascension, et les anges présents leur assurèrent que le retour de Jésus se ferait de “ la même manière ” c’est-à-dire sans exhibition publique, mais discernée uniquement par ses disciples fidèles - it-2 p650 En Jean 14:27, nous lisons ces paroles de Jésus à ses disciples : “ Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous la donne pas comme le monde la donne. Que votre cœur ne se trouble ni ne faiblisse de peur. ” En quoi la paix de Jésus est-elle différente de celle du monde ? En premier lieu, la paix de Jésus avait un lien étroit avec le message du Royaume qu’il proclamait. Il savait que le gouvernement céleste juste qu’il composerait avec 144 000 rois adjoints saurait éliminer et la guerre et les fauteurs de guerre. Il savait aussi que ce gouvernement établirait les conditions paradisiaques paisibles qu’il promit plus tard au malfaiteur qui mourut à ses côtés. Jésus savait également que son Royaume apporterait la consolation à toutes les personnes frappées par le deuil qui exercent la foi en lui. La paix de Jésus a trait en effet à l’espérance merveilleuse et réconfortante de la résurrection. Attendez-vous un tel moment ? – TG1997 15/4 p12
  21. RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 8 OCTOBRE 2018 - JEAN 11-12.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 8 OCTOBRE 2018 - JEAN 11-12.pdf JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : JEAN 11-12 Jean 11:49 : Par qui Caïphe a-t-il été nommé grand prêtre, et combien de temps a-t-il occupé cette fonction ? (nwtsty). « Mais lÂ’un dÂ’entre eux, Caïphe, qui était grand prêtre cette année-là , leur dit : « Vous nÂ’y connaissez rien » Grand prêtre : Quand Israël était une nation indépendante, le grand prêtre occupait sa fonction toute sa vie (Nb 35:25). Mais, pendant lÂ’occupation romaine, les dirigeants désignés par Rome avaient lÂ’autorité pour nommer le grand prêtre ou le destituer de sa fonction (voir lexique (Grand prêtre) (Nom que la Loi de Moïse donnait au prêtre qui avait la fonction la plus élevée, celui qui représentait le peuple devant Dieu et supervisait lÂ’activité des autres prêtres. Il était aussi appelé « prêtre  en chef » Lui seul avait le droit dÂ’entrer dans le Très-Saint, la salle qui se trouvait au fond du tabernacle et plus tard du Temple. Il ne le faisait quÂ’une fois par an, le jour de la Réconciliation. Jésus lui aussi est appelé « grand prêtre ». Caïphe, qui a été nommé par les Romains, était un diplomate habile qui a gardé sa fonction plus longtemps que ses derniers prédécesseurs. Il a été nommé vers 18 de n. è. et a gardé sa fonction jusquÂ’en 36 environ. Quand Jean dit que Caïphe était grand prêtre cette année-là , il faisait référence à lÂ’an 33 et il voulait probablement dire que Caïphe était encore grand prêtre lÂ’année marquante où Jésus a été exécuté (voir app. B12 pour savoir où se situait peut-être la maison de Caïphe) Elle se situait à Jérusalem au sud du côté de la Vallée Hinnom, une maison imposante.  Dans la maison de Caïphe siégea un tribunal - nwtsty Le retour à la vie de Lazare porte un coup sévère aux sadducéens, qui ne croient pas à la résurrection. Caïphe, lui-même sadducéen, prend maintenant la parole : « Vous nÂ’y connaissez rien, et vous nÂ’avez pas compris quÂ’il est dans votre intérêt quÂ’un seul homme meure pour le peuple plutôt que la nation entière soit détruite » (Jean 11:49, 50 ; Actes 5:17 ; 23:8). Caïphe ne dit pas cela « de lui-même » : cÂ’est Dieu qui lÂ’a poussé à prononcer ces paroles en raison de sa fonction de grand prêtre. DÂ’après lui, il faudrait tuer Jésus pour lÂ’empêcher de saper davantage lÂ’autorité et lÂ’influence des chefs religieux juifs. Mais sa prophétie indique quÂ’en mourant, Jésus fournira une rançon, non seulement pour les Juifs, mais aussi pour tous « les enfants de Dieu qui [sont] dispersés » (Jean 11:51, 52). – jy chap91 Jean 12:42 : Pourquoi certains Juifs avaient-ils peur de reconnaître que Jésus était le Christ ? (nwtsty). « Cependant, même parmi les chefs, beaucoup eurent vraiment foi en lui ; mais ils ne lÂ’avouaient pas à cause des pharisiens, pour ne pas être expulsés de la synagogue « Les chefs : Ici, le mot grec traduit par « chefs » désigne apparemment les membres de la cour suprême des Juifs, le sanhédrin. Ce mot est aussi utilisé en Jean 3:1 pour parler de Nicodème, un membre de cette cour. - nwtsty Expulsés de la synagogue : ou « excommuniés », « interdits de synagogue ». LÂ’adjectif grec aposunagôgos nÂ’est employé quÂ’en Jean 9:22 ; 12:42 ; et 16:2. Quand une personne était expulsée de la synagogue, elle était méprisée et mise à l’écart de la société. Être ainsi coupé de la communauté juive avait de graves conséquences économiques sur la famille. Les synagogues étaient principalement utilisées pour donner lÂ’enseignement, mais il arrivait également quÂ’elles servent de tribunaux locaux qui avaient lÂ’autorité pour prononcer la peine du supplice du fouet et lÂ’excommunication. - nwtsty Des chefs (sans doute membres du Sanhédrin, la Cour suprême juive) étaient nombreux à avoir foi en Jésus, entre autres Nicodème et Joseph dÂ’Arimathée, ils dissimulaient leur foi par crainte . Mais des chefs ne déclaraient pas leur foi, de crainte d’être expulsés de la synagogue et de perdre la position quÂ’ils y occupaient. Ils se privaient vraiment de beaucoup. La peur de lÂ’homme en a retenu plus dÂ’un de devenir chrétien.– TG1989 1/12 p8-9 Quand Jésus était sur la terre, lÂ’influence des Pharisiens était si forte que des hommes éminents craignaient de reconnaître ouvertement quÂ’il était bien le Christ. Les Pharisiens voulaient faire croire au peuple quÂ’il était plus important de sÂ’attirer lÂ’approbation des hommes que celle de Dieu. Les Pharisiens s’étaient érigés en directeurs de conscience qui édictaient leurs propres règles et jugeaient ensuite autrui selon quÂ’il sÂ’y conformait ou non. Ceux qui suivaient les Pharisiens perdaient lÂ’usage de leur conscience éduquée par les Écritures, devenant en réalité esclaves des hommes. – TG1995 15/6 §13 LÂ’orgueil les empêchait dÂ’accepter Jésus. Pourtant, la Bible dit que “même parmi les chefs, beaucoup eurent vraiment foi en lui; mais, à cause des Pharisiens, ils ne le confessaient pas, pour ne pas être expulsés de la synagogue; car ils aimaient la gloire des hommes plus que la gloire de Dieu”. Ces hommes avaient lÂ’intime conviction que Jésus détenait la vérité, mais ils refusaient de devenir ses disciples par crainte des hommes. Ces chefs estimaient tout à fait inconvenant de sacrifier leur position sociale, politique et religieuse pour suivre le Christ. Ces personnes étaient trop fières pour pratiquer une religion qui exigeait dÂ’elles quÂ’elles ‘prennent leur poteau de supplice et suivent JésusÂ’ avec humilité. Contrairement aux intellectuels de l’époque, ceux qui étaient comparables à des tout-petits se montrèrent réceptifs à la vérité. – TG1988 1/7 QuÂ’est-ce que la lecture biblique de cette semaine tÂ’a appris sur Jéhovah ? La Bible compare souvent la mort à un sommeil (Jean 11:11-14). Dieu est capable de « réveiller » les morts, tout comme nous pouvons réveiller quelquÂ’un qui dort. La Bible rapporte plusieurs résurrections, nous fournissant ainsi de solides raisons de croire que les morts seront ressuscités. Jean 11:39-44 – wp16 n°1 p16 QUI JÉSUS NOUS A-T-IL ENSEIGNÉ À PRIER ? Jésus nous a ainsi enseigné à prier celui qui est à la fois son Père et notre Père, Jéhovah Dieu. Conformément à ce quÂ’il a enseigné, Jésus a lui-même pri頓Père, je te remercie de ce que tu mÂ’as entendu” » (Jean 11:41). En priant son Père céleste, le « Seigneur du ciel et de la terre », Jésus nous a laissé à tous un exemple concret à suivre. TG2015 1/1 p14 Les chrétiens devraient-ils prier Jésus ? Non. Jésus nous a enseigné à prier Jéhovah, et cÂ’est ce que lui-même faisait - Jean 11:41. Par conséquent, les premiers disciples priaient Dieu ; ils ne priaient pas Jésus – TG2015 15/6 p32  Tout au long de sa vie terrestre, même lorsquÂ’il a été exécuté dÂ’une façon humiliante, Jésus a montré ce que voulait dire se consacrer au service du vrai Dieu avec ardeur et lui être totalement fidèle. Ses prières attestaient de la révérence quÂ’il avait pour son Père céleste plein dÂ’amour ( Jean 12:27, 28). CÂ’est pourquoi, par son esprit, Jéhovah a incité Paul à parler d’“ attachement à Dieu ” lorsquÂ’il a évoqué la vie exemplaire que Jésus a menée. Notre nature pécheresse nous empêche de manifester un parfait attachement à Dieu. Nous pouvons toutefois poursuivre cet attachement. Cela exige que nous suivions le plus fidèlement possible le modèle que Christ nous a laissé. Poursuivre lÂ’attachement à Dieu exige que nous tenions compte, au quotidien, des normes justes de Dieu. – TG2008 15/6 p11 §8,9 LÂ’esprit de Dieu a stimulé la mémoire des disciples en leur rappelant ce que Jésus leur avait enseigné. Ainsi, les prophéties qui annonçaient la mort et la résurrection du Christ ont pris soudain tout leur sens (Jean 12:16). Avec les paroles de Jésus bien présentes à lÂ’esprit, les apôtres ont pu défendre hardiment leur position devant des rois, des magistrats et autres chefs religieux. AujourdÂ’hui, Les Témoins de Jéhovah se laissent guider par lÂ’esprit saint de Dieu. Conscients que Jéhovah se sert de son esprit pour affiner progressivement leur vision spirituelle, ils sont prêts à opérer tous les changements quÂ’impose chaque nouvelle compréhension – TG2000 1/ 4 p8 Parmi les foules se trouvant à Jérusalem figuraient quelques Grecs prosélytes qui, manifestement très impressionnés par Jésus, ont demandé à lÂ’apôtre Philippe de les introduire auprès de lui. Mais Jésus nÂ’a pas voulu se laisser distraire des questions plus importantes dont il devait sÂ’occuper. Il ne voulait certainement pas tenter de se rendre populaire pour échapper à une mort sacrificielle entre les mains des ennemis de Dieu. Après avoir expliqué quÂ’il allait bientôt mourir, il a donc dit à André et à Philippe : « Qui est attaché à son âme la détruit, mais qui a de la haine pour son âme dans ce monde la préservera pour la vie éternelle. » Au lieu de satisfaire la curiosité de ces prosélytes, il a recommandé à ses disciples dÂ’imiter son esprit de sacrifice et leur a promis : « Si quelquÂ’un veut me servir, le Père lÂ’honorera. » Philippe a sûrement rapporté ce message positif aux concernés (Jean 12:20-26). – TG201515/10 p21 §13 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Quand nous perdons un être cher, il est naturel de pleurer parce quÂ’il va nous manquer. Jésus avait de lÂ’affection pour Lazare. Toutefois, il sÂ’est laissé aller aux larmes non à cause de la mort de son ami, mais par compassion pour les endeuillés, comme le montre le contexte (Jean 11:36). Pourquoi Jésus sÂ’est-il laissé aller aux larmes ? Là encore, la réponse se trouve dans le contexte. Quand Jésus et Marie, la sÂœur de Lazare, se retrouvèrent, et quÂ’il la vit pleurer, elle, ainsi que ceux qui lÂ’accompagnaient, Jésus « gémit dans lÂ’esprit et se troubla ». Il fut si ému par leur chagrin quÂ’il « gémit dans lÂ’esprit ». Voilà pourquoi « Jésus se laissa aller aux larmes. Ses amis accablés de douleur lÂ’a profondément attristé (Jean 11:33, 35). Jésus savait quÂ’il allait ressusciter Lazare. Il sÂ’est pourtant laissé aller aux larmes parce quÂ’il éprouvait un profond amour et une grande compassion pour ses amis. De même, lÂ’empathie nous poussera certainement à « pleure[r] avec ceux qui pleurent » (Rom. 12:15). Manifester ainsi sa douleur ne signifie pas manquer de foi dans lÂ’espérance de la résurrection. Assurément, en pleurant spontanément alors même quÂ’il était sur le point de ressusciter Lazare, Jésus nous a laissé un bel exemple de compassion envers les endeuillés – TG2013 15/9 p32 Quand des religions se mêlent de politique, cela mène souvent à la violence. Jésus a enseigné à ses disciples quÂ’ils devaient rester complètement neutres dans les affaires politiques. CÂ’est une des raisons pour lesquelles les prêtres en chef et les pharisiens voulaient le tuer. Ils avaient peur que les gens l’écoutent et arrêtent de les suivre, ce qui les priverait de leur pouvoir religieux et politique. Ils se sont dit entre eux : « Si nous le laissons ainsi, ils auront tous foi en lui, et les Romains viendront enlever et notre lieu et notre nation » (Jean 11:48). Le grand prêtre Caïphe a donc organisé un complot pour tuer Jésus (Jean 11:49-53). Les questions politiques entraînent des réactions vives, divisent les gens et mènent à la violence. Mais pour notre part, nous restons unis et en paix. Quand Jéhovah voit à quel point ce monde est divisé, il doit être très heureux de constater que ses adorateurs, eux, sont unis. Nous pouvons contribuer à notre unité de trois façons : 1) en comptant sur le Royaume de Dieu pour réparer toutes les injustices, 2) en refusant de prendre parti dans les affaires politiques et 3) en rejetant la violence – TG2018 Juin p3 §13,16,17 Pourquoi lÂ’huile parfumée que Marie a utilisée était-elle si chère ? Quelques jours avant la mort de Jésus, Marie, la sÂœur de Lazare, “ vint avec un récipient dÂ’albâtre rempli dÂ’huile parfumée, un nard authentique, très cher  ”, et versa lÂ’huile sur Jésus  Jean 12:3-5. Selon les récits de Marc et de Jean, ce parfum valait trois cents deniers, ce qui représentait environ le salaire annuel de lÂ’ouvrier moyen. Marie avait incontestablement fait un cadeau très coûteux, mais approprié. Pour quelle raison ? Cette femme, qui peu de temps auparavant avait vu Jésus ressusciter son frère Lazare quÂ’elle aimait tant, voulait manifester sa reconnaissance. — Jean 11:32-45. – TG2008 1/5 p31 Durant leurs campagnes de prédication, ni Jésus ni ses apôtres ne se livraient à une activité professionnelle. Ils nÂ’avaient donc probablement pas les moyens dÂ’acheter toute la nourriture et les autres nécessités pour leur groupe, qui devait compter une vingtaine de personnes. Bien quÂ’ils aient sans doute été reçus avec hospitalité, ils possédaient une « caisse », ce qui suggère quÂ’ils ne dépendaient pas en permanence de lÂ’hospitalité des gens (Jean 12:6). Jeanne et les autres femmes faisaient sans doute des offrandes pour couvrir des dépenses. Les Écritures ne disent pas expressément que Jeanne a fait des offrandes financières. Mais cette femme a fait ce quÂ’elle a pu, ce qui nous enseigne ceci : cÂ’est à nous de voir ce que nous donnerons, ou même si nous donnerons quelque chose, pour soutenir les intérêts du Royaume. Ce qui compte aux yeux de Dieu, cÂ’est que nous fassions ce que nous pouvons, avec joie – TG2015 15/8 p29 La pauvreté disparaîtra-t-elle un jour ? Jésus Christ a déclaré à ses disciples : “ Les pauvres, [...] vous les avez toujours avec vous. ” (Jean 12:8). Est-ce à dire que la pauvreté et ses tristes conséquences existeront indéfiniment ? Non, car, si Jésus nÂ’a pas promis à ses disciples quÂ’ils deviendraient tous riches, nous ne devons pas pour autant en conclure que les pauvres nÂ’ont aucun espoir. Même si les efforts humains ont rarement abouti et si les promesses de mettre fin à la pauvreté ont souvent été vaines, la Parole de Dieu, la Bible, affirme quÂ’il nÂ’y aura bientôt plus de nécessiteux. Jésus a en effet annoncé “ de bonnes nouvelles aux pauvres ”. (Luc 4:18.) Parmi ces bonnes nouvelles, figure la promesse que la pauvreté aura une fin. Cette fin surviendra lorsque le Royaume de Dieu aura établi la justice sur la terre. – TG2003 15/3 p32 Les chefs religieux juifs étaient eux aussi au courant des nombreux miracles opérés par Jésus. Après la résurrection de Lazare, ils ont même reconnu : “ Cet homme accomplit beaucoup de signes. ” Mais voir Lazare de nouveau vivant a-t-il adouci leur cÂœur ? Cela leur a-t-il donné la foi ? Pas le moins du monde ! Ils ont au contraire comploté et la mort de Jésus et celle de Lazare. Jean 12:10. Même lÂ’intervention directe de Dieu nÂ’a pas implanté la foi chez ces hommes méchants. Alors quÂ’en une certaine occasion Jésus se trouvait dans lÂ’enceinte du temple, il a prié ainsi à voix haute : “ Père, glorifie ton nom. ” En réponse, la voix de Jéhovah sÂ’est fait entendre du ciel : “ Et je lÂ’ai glorifié, et je le glorifierai de nouveau. ” Cet événement miraculeux nÂ’a cependant pas fait naître la foi dans le cÂœur de la foule présente. La Bible dit en effet : “ Bien quÂ’il eût accompli tant de signes devant eux, ils nÂ’avaient pas foi en lui. ” — Jean 12:28-30, 37. Aveuglés par leurs idées préconçues et leur égoïsme, ils nÂ’ont pas saisi la portée des miracles de Jésus. Ce sont bien souvent lÂ’ambition, lÂ’orgueil et lÂ’avidité qui ferment le cÂœur. – TG1997 15/3 p4 Satan le Diable trompe les humains. Il est « le chef de ce monde ». Jésus a rappelé cela 3 fois à ses disciples peu de temps avant de mourir (Jean 12:31). Le Diable a toujours utilisé la fausse religion pour tromper les humains. CÂ’est pourquoi beaucoup aujourdÂ’hui ne font pas attention aux prophéties bibliques qui montrent clairement que la fin de ce monde est très proche. En effet, Satan a « aveuglé lÂ’intelligence des incrédules ». En conséquence, quand nous expliquons aux gens que la fin de ce monde est proche et que Jésus règne en ce moment, beaucoup ne veulent pas écouter. Souvent, ils disent : « Ça ne mÂ’intéresse pas. » Même si beaucoup dÂ’humains ne sÂ’intéressent pas aux prophéties bibliques, ne laissons pas leur état dÂ’esprit nous décourager. Nous savons pourquoi cÂ’est important de veiller. Bientôt, Satan trompera les humains en leur faisant croire quÂ’il y a « la paix et la sécurité » dans le monde. Puis le jour de Jéhovah viendra dÂ’un coup, et ils auront un choc. Et nous ? Pour être prêts pour ce jour et ne pas nous laisser tromper comme tout le monde, nous devons rester « éveillés » et garder notre « bon sens ». CÂ’est pourquoi nous devons lire la Bible chaque jour et méditer sur ce que Jéhovah nous dit. – TG2016 Juillet p10 §11,12 Les signes prouvant que Jésus était le Messie ne manquaient pas. Bien quÂ’il eût réalisé autant de signes devant les foules, elles nÂ’avaient pas foi en lui. Ceux qui avaient sous les yeux la preuve que Jésus était le Messie, mais ne le reconnaissaient pas comme tel, étaient spirituellement aveugles. Leurs cÂœurs étaient endurcis et insensibles à la vérité. — Jean 12:37-41. QuÂ’en est-il aujourdÂ’hui ? Certains disent : “ Je ne crois que ce que je vois. ” Mais cette façon de penser est-elle vraiment sage ? Les prophéties bibliques indiquent que Jésus a déjà été intronisé dans les cieux à la tête du Royaume messianique. PuisquÂ’il est invisible, nous avons besoin dÂ’un signe qui nous aide à prendre conscience de cette entrée en fonctions qui a marqué le début des derniers jours du système de choses méchant. Reconnaissez-vous le signe ? Matthieu 24:3. – TG1996 15/11 p28 Grâce à lÂ’exemple et à lÂ’enseignement de Jésus, les apôtres ont appris à aimer « des hommes de toutes sortes » Jean 12:32 Même sÂ’il leur a fallu du temps, ils ont changé leur façon de voir les autres. Ils en sont venus à avoir la réputation de sÂ’aimer les uns les autres. En revêtant « la personnalité nouvelle », ces chrétiens ont appris à voir tous les humains comme Jéhovah les voit, cÂ’est-à -dire comme égaux. Nous aussi, nous aurons peut-être besoin de temps pour nous débarrasser de préjugés. À mesure que nous approcherons de la fin de ce monde méchant, les divisions, la haine et les préjugés seront de plus en plus courants. Mais nous qui servons Jéhovah, nous recherchons « la sagesse dÂ’en haut », qui nous aide à être impartiaux et pacifiques. Nous sommes heureux de nouer des amitiés avec des personnes dÂ’autres pays, dÂ’accepter leurs façons de faire et peut-être même dÂ’apprendre leur langue – TG2018 juin p8 §16, 17,19 A bien se nourrir - Bon appétit   Â
  22. JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : JEAN 9-10 Jean 9:38 : L’homme aveugle que Jésus a guéri s’est incliné devant lui. Que signifiait ce geste ? (nwtsty, note d’étude). Il dit : « Oui, j’ai foi en lui, Seigneur. » Et il s’inclina devant lui. s’inclina devant lui : ou « lui rendit hommage », « se mit à genoux devant lui », « se prosterna devant lui ». Quand le verbe grec proskunéô est utilisé pour parler de rendre un culte à un dieu ou à une divinité, il est traduit par « adorer » (Mt 4:10 ; Lc 4:8). Mais dans le contexte de ce verset, l’homme aveugle de naissance, qui a été guéri, voit en Jésus un représentant de Dieu et s’incline devant lui. Il le considère non comme Dieu ou comme une divinité, mais comme le « Fils de l’homme » qui avait été annoncé : le Messie qui a reçu son pouvoir de Dieu (Jean 9:35). Apparemment, en s’inclinant devant Jésus, il se met dans une position semblable à celle qu’adoptaient les personnes citées dans les Écritures hébraïques ; elles s’inclinaient quand elles se trouvaient devant des prophètes, des rois et d’autres représentants de Dieu. Quand des personnes se sont inclinées devant Jésus, la plupart du temps, c’était pour montrer qu’elles étaient reconnaissantes que Dieu leur révèle certaines vérités et leur donne des preuves qu’il approuvait Jésus. - nwtsty Lorsque Jésus était sur la terre, il ne reprit pas les gens qui se prosternaient devant lui pour lui adresser une requête ou pour lui rendre hommage. La raison en est qu’il était le Roi établi ou désigné, ce qu’il affirma lui-même en disant : “ Le royaume de Dieu s’est approché. ” Étant l’héritier du trône de David, Jésus fut fort justement honoré comme un roi. - it-1 p224 L’homme aveugle reconnaissait clairement en Jésus le représentant de Dieu, il lui rendait hommage non comme à Dieu ou à une divinité, mais en sa qualité de “ Fils de Dieu ”, le “ Fils de l’homme ” annoncé, le Messie investi du pouvoir divin. it1 hommage Jean 10:22 : Qu’était la fête de l’Inauguration ? (nwtsty, note d’étude). « Il y eut à ce moment-là à Jérusalem la fête de l’Inauguration. C’était l’hiver », La fête de l’Inauguration : En hébreu, le nom de cette fête est Hanoukka (ḥanoukkah), qui signifie « inauguration », dédicace. Elle commençait le 25e jour du mois de kislev, aux alentours du solstice d’hiver (voir app. B15 - Mois KISLEV Novembre-Décembre – Pluies plus intenses, gelées neige en montagne) et durait huit jours. Elle commémorait la nouvelle inauguration du temple de Jérusalem, qui avait eu lieu en 165 av. n. è. En effet, Antiochus IV Épiphane, roi de Syrie, avait montré qu’il méprisait Jéhovah, le Dieu des Juifs, en profanant son Temple : il a par exemple construit un autel sur le grand autel, à l’endroit où auparavant on offrait les holocaustes quotidiens à Jéhovah. Le 25 kislev 168 av. n. è., pour profaner l’ensemble du temple de Jéhovah, Antiochus a sacrifié des porcs sur l’autel et a aspergé tout le Temple avec le bouillon préparé à partir de la chair des porcs. Il a aussi brûlé les portes du Temple, démoli les locaux réservés aux prêtres et emporté l’autel d’or, la table des pains de proposition et le porte-lampes en or. Il a ensuite dédié le temple de Jéhovah à Zeus, le dieu païen de l’Olympe. Deux ans plus tard, Judas Maccabée, un chef militaire juif, a repris Jérusalem et le Temple. Une fois le Temple purifié, la nouvelle inauguration a eu lieu le 25 kislev 165 av. n. ère, exactement trois ans après l’offrande des sacrifices répugnants qu’Antiochus avait faits sur l’autel pour Zeus. On a alors de nouveau offert quotidiennement des holocaustes à Jéhovah. Dans la Bible, rien n’indique clairement que Jéhovah ait accordé la victoire à Judas Maccabée ni qu’il lui ait demandé de remettre le Temple en bon état. Toutefois, dans le passé, Jéhovah avait utilisé des hommes de nations étrangères, comme Cyrus le Perse, pour accomplir des projets liés à son culte (Is 45:1). Il est donc logique d’en conclure qu’à plus forte raison, Jéhovah a pu utiliser un homme de son propre peuple pour accomplir sa volonté. La Bible montre que le Temple devait être en fonction pour que les prophéties concernant le Messie, son ministère et son sacrifice puissent s’accomplir. De plus, les lévites devaient continuer d’offrir les sacrifices jusqu’à ce que le Messie présente un sacrifice plus grand en faveur de l’humanité : sa vie. Les disciples de Christ n’ont pas reçu le commandement de célébrer la fête de l’Inauguration. Mais la Bible ne dit pas non plus que Jésus ou ses disciples ont condamné la célébration de cette fête. - nwtsty Sa signification pour les chrétiens. Jésus se rendit au temple lors de la fête de l’Inauguration, au cours du dernier hiver de son ministère, en l’an 32 de n. è. On lit : “ À ce moment-là il y eut à Jérusalem la fête de l’Inauguration. C’était l’hiver, et Jésus marchait dans le temple, dans la colonnade de Salomon. ” (Jn 10:22, 23). Kislev, le neuvième mois, correspond à novembre-décembre. Évidemment, les Juifs savaient que cette fête avait lieu en hiver. Par conséquent, cette précision concernant l’hiver dans cet Évangile est peut-être une remarque sur le temps qu’il faisait plutôt que sur la saison, afin d’expliquer pourquoi Jésus choisit d’enseigner à l’abri, dans la “ colonnade de Salomon ”. Cette colonnade couverte se trouvait à l’E. de la cour extérieure des Gentils, un endroit où de nombreuses personnes se rassemblaient - it-1 p884 Aujourd’hui encore, les Juifs célèbrent chaque année, en décembre, une fête qu’ils appellent Hanoukka. Cette célébration commémore la fête de l’inauguration (héb. : ḥanoukkah) qui suivit la purification du temple par Judas Maccabée, en 165 av. n. è., après qu’il eut été souillé par Antiochus IV Épiphane – it1 Inauguration Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine t’a appris sur Jéhovah ? L’encens qu’offraient les prêtres en Israël préfigurait les prières que Dieu agrée. Mais il arrivait que Jéhovah trouve les offrandes d’encens répugnantes. Ce fut le cas, par exemple, à l’époque où les Israélites brûlaient de l’encens dans le temple tout en se prosternant devant des idoles (Ézéchiel 8:10, 11). De même aujourd’hui, les prières de ceux qui prétendent servir Jéhovah tout en pratiquant des œuvres contraires à ses lois lui font l’effet d’une odeur repoussante. Aussi, restons purs dans tous les aspects de notre vie de manière que nos prières soient pour Dieu comme un encens d’odeur agréable. Jéhovah prend plaisir aux prières de ceux qui suivent ses voies justes (Jean 9:31) – TG2006 1/9 p26 §19 Le berger se sentait responsable de toutes ses brebis sans exception. Si l’une d’elles s’égarait, il savait laquelle c’était, car il les connaissait toutes par le nom qu’il leur avait donné (Jean 10:3). Il n’était pas difficile de séparer les troupeaux, car chaque brebis répondait à l’appel caractéristique de son berger. — Jean 10:4. Pas question pour le berger attentionné de se reposer avant d’avoir ramené dans le troupeau la brebis perdue. Faisant l’application de cet exemple, Jésus a expliqué que Dieu ne veut pas qu’“ un seul de ces petits ” périsse. Que nous enseigne donc l’exemple de Jésus sur Jéhovah ? Jéhovah est un Berger qui se soucie profondément de chacune de ses brebis, y compris des ‘ petites ’, celles qui semblent n’avoir que peu d’importance d’un point de vue humain. À n’en pas douter, Dieu considère que chacun de ses adorateurs est unique et précieux. – TG2008 1/ 2 p10 Jéhovah est un Berger, et “ nous sommes son peuple et les brebis de son pâturage ”. Peu d’animaux sont aussi vulnérables que les moutons domestiques. Il fallait du courage au berger des temps bibliques pour protéger son petit bétail contre les lions, les loups et les ours, sans parler des voleurs ( Jean 10:12, 13). Un courage qui n’empêchait pas la tendresse. Quand une brebis mettait bas loin de l’enclos, l’homme veillait sur la bête tout le temps qu’elle était vulnérable, puis il prenait l’agneau sans défense et le portait dans l’enclos. En se comparant à un berger, Jéhovah nous assure de son désir sincère de nous protéger. Dieu assortit toutefois sa promesse d’une condition : il ne protégera que ceux qui s’approchent de lui. – cl chap7 p67 Jésus a évoqué d’“ autres brebis ” qui ne seraient pas du même “ enclos ” que le “ petit troupeau ” de ses disciples oints de l’esprit (Jean 10:16). “ Celles-là aussi, il faut que je les amène, a-t-il précisé, et elles écouteront ma voix, et elles deviendront un seul troupeau, un seul berger. ” Effectivement, deux groupes d’humains, la grande foule des “ autres brebis ” et le petit groupe des chrétiens oints, ont été associés et ne forment plus qu’un seul troupeau. N’est-il pas exaltant d’assister à l’accomplissement de ces paroles ? Bien que les “ autres brebis ” n’effectuent pas un service dans la cour intérieure du temple spirituel, elles adorent bel et bien Jéhovah dans la cour extérieure de ce temple. - TG2010 15/3 p26 §10 Si nous restons attachés à Jéhovah et à la vérité, lui et son Fils, Jésus Christ, agiront en notre faveur et ne permettront à rien ni personne de nous arracher de leurs mains (Jean 10:28, 29). Jéhovah, le Souverain de l’univers, est prêt à nous fournir toute l’aide nécessaire afin que nous lui obéissions et que nous restions de fidèles sujets du Royaume messianique. Il est indispensable que nous demeurions dans la vallée protectrice, la protection divine. car cette vallée prendra une importance plus grande encore pour les adorateurs du vrai Dieu lors de la grande tribulation imminente. Plus la fin de ce système de choses approchera, plus Satan intensifiera ses attaques contre les serviteurs de Jéhovah. Durant la grande tribulation, il sera particulièrement important de conserver notre foi dans le pouvoir salvateur de Jéhovah et de rester dans sa vallée protectrice – TG2013 15/2 p17 §13,16 Que nous servions Dieu depuis quelques mois ou depuis des dizaines d’années, notre désir n’est-il pas de le servir éternellement ? La patience nous aidera à tenir ferme jusqu’à la fin, peu importe le temps que durera ce système. Jéhovah nous offre l’occasion de montrer que nous avons totalement confiance en ses décisions et que, si nécessaire, nous sommes prêts à souffrir pour son nom. Il nous dispense également une formation afin que nous sachions attendre patiemment le salut. Jésus a tout pouvoir dans le ciel et sur la terre, et rien ni personne ne peut nous soustraire à sa protection bienveillante — sauf nous (Jean 10:28, 29). Il n’y a pas lieu de craindre l’avenir ni même la mort. Ceux qui, avec patience, endurent jusqu’à la fin seront sauvés. Veillons donc à ne pas laisser le monde nous détourner de Jéhovah et nous amener à cesser de lui faire confiance. Soyons déterminés à fortifier notre foi et à utiliser sagement le temps durant lequel Dieu fait encore preuve de patience. – TG2012 15/9 p22 §17,18 “ Moi et le Père, nous sommes un ”, a déclaré Jésus (Jean 10:30). Certains citent ce verset pour prouver que Jésus et son Père sont deux éléments d’une trinité. Est-ce là ce que Jésus voulait dire ? Jésus et son Père, Jéhovah Dieu, sont “ un ” en ce sens qu’ils sont en parfait accord quant à leurs intentions, à leurs normes et à leurs valeurs. Par conséquent, lorsque Jésus a déclaré : “ Moi et le Père, nous sommes un ”, il faisait allusion non pas à une trinité mystérieuse, mais à une unité merveilleuse, au lien le plus étroit qui puisse exister entre deux personnes – TG2009 1/9 p28 Quand nous travaillons avec ceux que nous aimons, nous devenons plus proches d’eux. Nous apprenons à mieux connaître leur personnalité et leurs qualités. Nous découvrons leurs projets et comment ils essaient de les réaliser. Jésus a travaillé avec Jéhovah peut-être pendant des milliards d’années. Leur amour et leur affection l’un pour l’autre sont devenus si forts que rien ne pourrait détruire leur relation. Jésus a parlé de la force de leur relation quand il a dit : « Moi et le Père, nous sommes un » (Jean 10:30). Ils étaient vraiment unis, et ils ont travaillé ensemble en étant toujours d’accord. – TG2016 Janvier p27 §9 Travailler avec Jéhovah : C’est prêcher et aider les gens à devenir ses amis, pour qu’ils puissent vivre pour toujours. Jéhovah pourrait faire ce travail tout seul. Pourtant, par amour, il nous invite à travailler avec lui. Ce travail nous rend heureux, il nous rapproche de Jéhovah et les uns des autres, et il nous protège. - TG2016 Janvier p27 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Au sens figuré. Le mot “ nuit ” a parfois un sens figuré ou symbolique dans la Bible. En Jean 9:4, Jésus déclara : “ La nuit vient où personne ne peut travailler. ” Il pensait ici au moment où il serait jugé, attaché sur un poteau, et mourrait, moment où il serait dans l’impossibilité d’accomplir les œuvres de son père - it-2 p426 Le temps qui reste au système de choses méchant est, lui, très limité. Le vrai chrétien doit plus que jamais s’efforcer de suivre l’exemple de Jésus et de marcher sur ses traces. Lors de sa vie sur terre, Jésus a montré sans équivoque ce qui revêtait la plus grande importance à ses yeux. Il a déclaré : “ Il nous faut accomplir les œuvres de celui qui m’a envoyé pendant qu’il fait jour ; la nuit vient où personne ne peut travailler. ” (Jean 9:4). Jésus parlait du temps où il serait enseveli et ne pourrait plus accomplir des œuvres merveilleuses comme il le faisait de son vivant. Il monta l’importance d’accomplir ces œuvres sans tarder. En parlant de la nuit à venir, Jésus évoquait son jugement, sa mise au poteau et sa mort. Ce serait la fin de son ministère terrestre et l’impossibilité pour lui d’accomplir les œuvres de son Père céleste. À l’exemple de Jésus, nous qui sommes aujourd’hui ses disciples devons voir la situation des humains comme Jéhovah Dieu la voit. Le système de choses tire à sa fin, et Dieu, dans sa miséricorde, veut que tous aient une chance d’obtenir le salut. Dès lors, ne serait-il pas judicieux de faire la volonté de Dieu et de reléguer tout autre objectif au second rang ? Une chose jugée importante en temps normal ne peut-elle pas devenir de moindre importance dans notre vie de chrétien, d’autant plus à une époque aussi particulière ?– TG1996 15/11 p22-23 La lumière vivifiante qui vient de Jéhovah attire l’attention sur la personne de Jésus Christ. Dans l’introduction de l’Évangile selon Jean, nous lisons: “Ce qui est venu à l’existence par [le] moyen [de Jésus] était vie, et la vie était la lumière des hommes. Et la lumière brille dans les ténèbres, mais les ténèbres n’ont pas eu raison d’elle.” (Jean 1:3-5). En effet, Jésus est si étroitement lié à la lumière qu’il est appelé “la vraie lumière qui éclaire toute sorte d’hommes”. (Jean 1:9.) Jésus lui-même a dit: “Tant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde.” — Jean 9:5. Par conséquent, ceux qui aiment la lumière aiment Jésus et ont foi en lui. Celui qui ne tient pas compte de Jésus ne peut absolument pas obtenir un jugement favorable. C’est seulement en portant nos regards vers Jésus, le moyen de salut désigné par Dieu, que nous pouvons être jugés avec faveur. – TG1991 1/8 p9 Jésus déclara alors: “Je suis venu en ce monde pour le jugement que voici: pour que ceux qui ne voient pas voient, et que ceux qui voient deviennent aveugles.” (Jean 9:39). En effet, la prédication de Jésus, ses autres actions et son rôle dans les desseins divins allaient permettre à certains humains d’acquérir une vision spirituelle des choses et de marcher dans la lumière, alors que d’autres resteraient dans les ténèbres spirituelles. Si les Pharisiens avaient été de simples pécheurs non avertis, leur rejet du Messie aurait pu leur être pardonné. Mais eux qui prétendaient ‘voir’, c’est-à-dire comprendre, se sont rendus particulièrement coupables en raison de leur plus grande connaissance de la Loi et de la Parole prophétique de Dieu. Ainsi, leur rejet de Jésus était un péché grave qui leur valait un jugement plus sévère que le simple fait d’être des hommes imparfaits et pécheurs – TG1988 1/8 p31 Jésus dit aux Pharisiens de son époque que s’ils avaient été aveugles, ils n’auraient pas eu de péché, ce qui signifiait sans doute que Dieu aurait pu pardonner leurs péchés en raison de leur ignorance ; toutefois, comme ils niaient être dans l’ignorance, ‘ leur péché demeurait ’. (Jean 9:39-41.) Jésus déclara qu’ils n’avaient “ pas d’excuse pour leur péché ”, car ils étaient témoins des paroles et des œuvres puissantes dont il était l’auteur grâce à l’esprit de Dieu qui était sur lui. Ceux qui, soit en paroles, soit en actions, blasphémaient volontairement et sciemment contre l’esprit de Dieu ainsi manifesté étaient ‘ coupables d’un péché éternel ’, sans pardon possible. Cela pouvait être le cas de certains qui devinrent chrétiens, mais qui se détournèrent ensuite délibérément du culte pur de Dieu - it-2 p518 Dans l’exemple de Jésus, l’étranger n’est pas un invité. Il “ n’entre pas par la porte dans l’enclos des brebis, mais [...] monte par un autre endroit ”. C’est “ un voleur et un pillard ”. (Jean 10:1.) D’après la Parole de Dieu, qui, le premier, est devenu un voleur et un pillard ? Satan le Diable. Le livre de la Genèse l’indique. Genèse 3:1-5 raconte dans quelles circonstances on a entendu la voix d’un étranger pour la première fois sur la terre. Satan s’est adressé à Ève, la première femme, au moyen d’un serpent et lui a tenu des propos mensongers. Il est vrai que ce récit ne qualifie pas expressément Satan d’“ étranger ”. Néanmoins, ses actions l’assimilent sous de nombreux rapports à l’étranger dépeint dans l’exemple de Jésus que rapporte Jean chapitre 10. Jésus dit que l’étranger s’approche de ses victimes dans l’enclos de manière détournée. Pareillement, Satan a abordé sa victime indirectement, en se servant d’un serpent. Son approche rusée a révélé ce qu’il est en réalité : un intrus retors. Ensuite, dans l’enclos, l’étranger veut voler les brebis à leur propriétaire légitime. En fait, il est pire qu’un voleur, car il projette également de “ tuer et détruire ”. (Jean 10:10.) Pareillement, Satan a été un voleur. En trompant Ève, il a volé à Dieu la soumission qu’elle lui devait. Il a en outre introduit la mort chez les humains. Il est donc un meurtrier.- TG2004 1/9 p14 Écouter la voix de Jésus. Jésus Christ se qualifia d’“ excellent berger ” dont les brebis ‘ écoutent la voix, et les brebis le suivent, parce qu’elles connaissent sa voix. Elles ne connaissent pas la voix des étrangers ’. (Jean 10:2-5, 11.) Ceux qui sont les “ brebis ” de Christ “ connaissent ” sa voix, au sens où ils acceptent et reçoivent pour véridique ce que Christ dit et que la Bible transmet. Ils n’acceptent pas l’enseignement d’‘ étrangers ’, de faux bergers. Ils “ écoutent ” sa voix, au sens où ils obéissent à ses commandements exposés dans les Écritures. Puisque Jésus Christ est le principal Représentant de Dieu, qui écoute toujours la voix de Jéhovah et énonce ce que son Père lui ordonne, celui qui suit Christ sera en union avec Jéhovah it-2 p1168 Au temps de Jésus, l’activité pastorale occupait toujours une place essentielle dans la société. Le Christ a parlé de lui-même comme de “ l’excellent berger ”, et il a souvent pris en exemple les qualités du berger pour transmettre des enseignements importants (Jean 10:2-4, 11). Le Tout-Puissant, Jéhovah, est lui aussi comparé à un berger. Le soir, le berger comptait ses brebis et vérifiait qu’elles allaient bien. Le matin, il les appelait, et elles le suivaient jusqu’au pâturage (Jean 10:3, 4). Le midi, il les amenait à un point d’eau pour qu’elles se désaltèrent. Quand les points d’eau étaient asséchés, il les guidait vers un puits, d’où il tirait de quoi les abreuver. Les bons bergers entouraient malgré tout de tendres soins les animaux dont ils avaient la charge, leur donnant même un nom, auquel ils répondaient. — Jean 10:14, 16. On comprend dès lors pourquoi Jésus et ses disciples ont donné le berger en exemple aux responsables chrétiens – TG2012 11/1 p26 Jésus prononçait le nom de Dieu et le faisait connaître à d’autres. Jésus a dit clairement : “ Je suis venu au nom de mon Père. ” Il a également souligné que ses œuvres, il les faisait “ au nom de son Père ”. Enfin, le nom même de Jésus signifie “ Jéhovah est salut ”. — Jean 10:25. – TG2008 1/8 p18 Étant le principal défenseur de la souveraineté de Jéhovah, le Fils de Dieu est devenu l’objet de prédilection de l’hostilité de Satan. Quand Jésus est venu sur la terre, Satan a cherché à le discréditer spirituellement, comme il avait discrédité Job : il l’a fait passer pour un pécheur (Jean 9:24). On l’a traité d’ivrogne et de glouton, on a dit qu’il ‘ avait un démon ’. (Jean 10:20.) On l’a accusé faussement de blasphémer (Jean 10:33-36). Ces propos ont affligé Jésus, car ils entachaient injustement le nom de son Père. Finalement, Jésus a été attaché sur un poteau comme un criminel maudit. En restant parfaitement intègre, il a enduré une grande “ contradiction de la part des pécheurs ”. A notre époque, l’intégrité des vrais adorateurs de Dieu lorsqu’ils sont poursuivis de la haine de Satan constitue un témoignage vivant à la justice et au bon droit de Jéhovah dans l’exercice de sa souveraineté. Leur fidélité réjouit le cœur de Dieu – TG2004 15/8 p14 §9,19 Écouter Jésus signifie avoir “ les yeux fixés sur ” lui, c’est-à-dire “ considérer attentivement ” son exemple. Voilà pourquoi il nous faut “ prêter une attention plus qu’ordinaire aux choses ” que nous lisons à son sujet dans la Bible et dans les publications de “ l’esclave fidèle et avisé ”, et à ce que nous entendons sur lui lors des réunions. Soyons donc prompts à écouter la voix de notre berger Jésus et à le suivre. — Jean 10:27. Est-il possible de suivre le Christ continuellement, en dépit des difficultés ? Oui, bien sûr ! À condition de ‘ retenir toujours le modèle des paroles salutaires ’, c’est-à-dire d’appliquer ce que nous apprenons “ avec la foi et l’amour qui se rapportent à Christ Jésus ”. – TG2009 15/5 p32 §18 RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 1er OCTOBRE 2018 - JEAN 9-10.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 1er OCTOBRE 2018 - JEAN 9-10.pdf
  23. JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : JEAN 7-8 Jean 7:8-10 : Jésus a-t-il menti à ses frères non croyants ? (w07 1/2 6 § 4). (nwtsty, note d’étude). « Vous, montez à la fête ; moi, je ne monte pas encore à cette fête, parce que mon temps n’est pas encore pleinement venu. » 9 Et après leur avoir dit ces choses, il resta en Galilée. 10 Mais quand ses frères furent montés à la fête, alors il monta lui aussi, non pas ouvertement, mais en secret » Pourquoi toujours dire la vérité ? Quel modèle Jésus Christ nous a-t-il laissé à cet égard ? Un jour, il conversait avec des personnes qui n’exerçaient pas la foi en lui mais voulaient savoir où il avait l’intention de se rendre. « Passe d’ici pour aller en Judée », lui ont-ils suggéré. Qu’a répondu Jésus ? « Vous, montez à la fête [à Jérusalem] ; moi, je ne monte pas encore à cette fête, parce que mon temps n’est pas encore pleinement venu. » Peu après, Jésus s’est rendu là-bas pour la fête. Pourquoi leur a-t-il donc donné cette réponse ? Parce qu’ils n’étaient pas en droit de connaître les détails précis sur l’endroit où il irait. On le voit, Jésus n’a rien dit de faux. Il a néanmoins fourni une réponse incomplète pour limiter au maximum le mal que ces personnes auraient pu leur faire, à lui ou à ses disciples. Le Christ n’a pas menti, car l’apôtre Pierre a écrit à son sujet « Il n’a pas commis de péché, et on n’a pas trouvé de tromperie dans sa bouche » (Jean 7:1-13 ; 1 Pierre 2:22).– nwtsty TG2007 1/2 Un témoin fidèle ne fait pas de faux serment. Son témoignage n’est pas sali par des mensonges. Toutefois, cela ne veut pas dire qu’il est obligé de fournir des renseignements complets à des individus qui voudraient d’une manière ou d’une autre nuire au peuple de Jéhovah. Jésus Christ lui-même s’est abstenu de divulguer des informations dans leur totalité pour ne pas causer de préjudice inutile. – TG2004 15/11 Nous sommes en automne 32. Ce n’est pas encore l’“ heure ” de Jésus. À l’approche de la fête des Tabernacles, ses demi-frères le pressent : “ Passe d’ici pour aller en Judée. ” Ils voudraient que Jésus montre ses pouvoirs miraculeux à tous ceux qui seront à Jérusalem pour la fête. Mais lui est conscient du danger. Aussi leur dit-il : “ Je ne monte pas encore à cette fête, parce que mon temps n’est pas encore pleinement venu. ” — Jean 7:1-8. – TG2000 15/9 §13 Jésus n’a pas toujours révélé toute la vérité, en particulier lorsque lui ou ses disciples auraient pu en souffrir inutilement. Pourtant, même dans ce cas il n’a jamais menti. Il a choisi soit de ne rien dire, soit de changer de sujet. La Bible nous encourage à être francs et honnêtes. Le mensonge est condamnable, et les chrétiens sont tenus d’appliquer le conseil biblique suivant : “ Dites la vérité chacun à son prochain. ” (Éphésiens 4:25). En agissant ainsi, nous garderons une conscience pure, nous favoriserons la paix et l’amour dans l’assemblée, et nous continuerons à honorer “ le Dieu de vérité ” RV2000 8/2 Si la Bible condamne expressément le mensonge malveillant, cela ne signifie pas qu’on est obligé de divulguer une information véridique à des gens qui ne sont pas en droit de la connaître. Jésus Christ conseilla : “ Ne donnez pas ce qui est saint aux chiens, et ne jetez pas vos perles devant les porcs, de peur qu’ils ne les piétinent avec leurs pieds et que, se retournant, ils ne vous déchirent. ” (Mt 7:6). Voilà pourquoi, en certaines occasions, Jésus s’abstint de donner des renseignements complets ou de répondre directement à des questions quand cela pouvait causer inutilement du tort – it2 p252 Jean 8:58 : Pourquoi la dernière expression de ce verset a-t-elle été rendue par « j’ai été » au lieu de « je suis », et pourquoi est-ce important ? (nwtsty, note d’étude). « Jésus leur dit : « Oui, je vous le dis, c’est la vérité : avant qu’Abraham vienne à l’existence, j’ai été. » j’ai été : Les Juifs qui s’opposaient à Jésus voulaient le lapider parce qu’il avait déclaré avoir « vu Abraham » alors que, pour reprendre leurs paroles, il n’avait « pas encore 50 ans » (Jean 8:57). Dans sa réponse, Jésus parlait en fait de son existence préhumaine en tant qu’esprit puissant au ciel avant la naissance d’Abraham. Certains prétendent que ce verset prouve que Jésus est Dieu. Ils soutiennent que l’expression grecque égô éïmi employée ici (traduite par « je suis » dans certaines Bibles) est une allusion à la traduction d’Ex 3:14 dans la Septante et que ces deux versets devraient être traduits de la même façon. Toutefois, dans ce contexte, l’action exprimée par le verbe grec éïmi était toujours en cours et avait commencé « avant qu’Abraham vienne à l’existence ». C’est donc à juste titre que l’expression grecque égô éïmi est traduite ici par « j’ai été », et non par « je suis ». D’ailleurs, beaucoup de traductions, aussi bien anciennes que modernes, utilisent des tournures semblables à « j’ai été ». En effet, en Jean 14:9, la même forme du verbe grec éïmi est utilisée pour rendre ces paroles de Jésus : « Philippe, malgré tout le temps que j’ai passé [ou « où j’ai été »] avec vous, tu ne me connais toujours pas ? » La plupart des traductions, dont certaines en français, utilisent une tournure semblable en Jean 14:9, ce qui montre que, selon le contexte, il n’y a pas d’objection grammaticale à traduire éïmi par « j’ai été ». (Voici des versets où un verbe grec au présent est traduit par un verbe au passé : Lc 2:48 ; 13:7 ; Jean 5:6.) De plus, le raisonnement de Jésus rapporté en Jean 8:54, 55 montre qu’il ne se présentait pas comme étant la même personne que son Père. L’expression que l’on trouve en Jean 8:58 est totalement différente de celle qui figure en Exode 3:14. Jésus ne l’emploie pas comme un nom ou un titre, mais afin d’expliquer sa préexistence le contexte atteste que c’est ainsi qu’il faut comprendre ce passage. Les Juifs veulent lapider Jésus parce qu’il affirme avoir “vu Abraham” alors que, d’après eux, il n’a pas encore 50 ans (verset 57). Il est donc naturel que Jésus les renseigne sur son âge. Aussi leur dit-il: “Avant qu’Abraham soit venu à l’existence, j’étais.” – ti p26 La Traduction du monde nouveau rend plus correctement Jean 8:58 en disant: “Avant qu’Abraham soit venu à l’existence, j’étais.” Faisant allusion à son existence préhumaine, Jésus déclara aux Juifs incrédules : “Avant qu’Abraham fût, Je Suis.” (Jean 8:58, Bible Jérusalem). Par ces paroles, Jésus s’identifiait’il à Jéhovah ? Dieu n’a-t-il pas dit à Moïse : “‘Je suis celui qui suis.’ Et il ajouta : ‘Voici en quels termes tu t’adresseras aux enfants d’Israël : “Je suis” m’a envoyé vers vous.’” (Ex. 3:14, Jé). De nombreuses traductions utilisent l’expression “Je Suis” tant dans Jean 8:58 que dans Exode 3:14. Mais ces deux textes expriment-ils la même pensée ? Non. En effet, dans la version grecque des Septante (souvent citée par les apôtres au premier siècle), Exode 3:14 est rendu par égô éïmi ho ôn, c’est-à-dire “Je suis l’Être”. Cela est tout à fait différent des mots égô éïmi (je suis) dans Jean 8:58. Dans ce verset, le verbe éïmi est de toute évidence au présent historique, car Jésus parlait de lui-même par rapport au passé d’Abraham. C’est ce qu’indiquent de nombreuses versions, dont l’American Translation qui rend ainsi le texte : “J’existais avant qu’Abraham soit né.” – TG1974 15/12 p749 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ? LA DEMEURE DE DIEU : La Bible enseigne qu’il existe deux « mondes » : un monde spirituel, où vivent des créatures spirituelles possédant un corps spirituel, et un monde physique, c’est-à-dire notre terre et l’univers (Jean 8:23). Dans la Bible, le mot « ciel » fait souvent référence au monde spirituel. La « demeure où le Créateur habite » est dans le « ciel » - TG2015 1/10 p12 Jéhovah est-il réel pour vous ? Jésus a dit : « Celui qui m’a envoyé existe réellement » et « je le connais ». (Jean 7:28, 29) Comment pouvons-nous connaître Jéhovah ? En laissant Jéhovah nous parler par sa Parole, la Bible. Nous savons que la Bible est le message de Dieu pour tous les humains. Jéhovah deviendra un Ami proche et notre relation avec Lui deviendra de plus en plus forte, cela nous aidera à tenir bon dans les épreuves. – TG2015 15/4 p15 §16 Nous retirons de grands bienfaits à mettre notre confiance en Jéhovah. La confiance absolue que Jésus avait en son Père lui a été profitable. “ Je ne suis pas seul, a-t-il dit à ses disciples, mais le Père qui m’a envoyé est avec moi. ” (Jean 8:16). Il a toujours eu la certitude que Jéhovah le soutenait. Sa confiance en son Père était restée inébranlable. Nous pouvons avoir cette même confiance. Si Jéhovah est avec nous, qu’avons-nous à craindre. L’amour que nous ressentons pour notre Père céleste nous poussera à agir avec sagesse et à le ‘ louer publiquement ’. – TG2010 15/2 p3 Jésus n’a jamais parlé de Dieu comme d’une force abstraite. Il a au contraire communiqué avec lui et l’a prié. Il l’a souvent appelé son Père céleste, ce qui révèle les liens profonds qui les unissaient. — Jean 8:19, 38, 54. Il est vrai qu’“ aucun homme n’a jamais vu Dieu ” et que “ Dieu est un Esprit ”. Mais cela ne veut pas dire qu’il n’a pas de corps, d’aucune sorte. La Bible enseigne : “ S’il y a un corps physique, il y a aussi un corps spirituel. ” De ce fait, Dieu a un corps spirituel - TG2009 1/ 2 p5 Jésus a dit : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous libérera » (Jean 8:32). En acquérant une connaissance exacte des vérités bibliques, nous sommes libérés des enseignements et des pratiques que tant de religions soutiennent et qui déshonorent Dieu. De plus, les vérités de la Parole de Dieu nous libèrent des traditions et des superstitions relatives à la mort. Notre Créateur n’avait pas prévu que les humains vivent seulement 70 ou 80 ans sur terre pour ensuite aller vivre éternellement dans un autre monde. Son dessein originel était que ses créatures humaines, qu’il considère comme ses enfants, vivent pour toujours sur terre en lui restant obéissants. Ce projet grandiose est une expression de l’amour que Dieu a pour l’humanité, et rien ne l’empêchera de le mener à bien. – TG2017 n°4 p4 Quel est le plus beau des cadeaux ? Le Fils unique de Dieu : c’est certainement le plus beau des cadeaux que l’on puisse recevoir. Par ce moyen, nous pouvons en effet être libérés de l’esclavage du péché, de la vieillesse et de la mort - Jean 8:34. Nous avons beau essayer, nous ne pouvons rien faire pour nous affranchir de cet esclavage. Mais, dans son grand amour, Dieu a pris des dispositions pour nous en libérer. En donnant son Fils unique, Jésus Christ, comme rançon, Jéhovah a permis à l’humanité obéissante d’avoir l’espérance de la vie éternelle. – TG2017 n°6 p6 À propos de Satan, Jésus a expliqué en Jean 8:44 : « Il n’a pas tenu bon dans la vérité, parce que la vérité n’est pas en lui. » Et aujourd’hui encore, Satan « égare le monde entier » avec ses mensonges. Nous ne voulons surtout pas être égarés, ou trompés, par le Diable et perdre ainsi notre amitié avec Jéhovah, comme Adam et Ève. – TG2018 Octobre p6 §4 Hébreux 11:13 dit de certains fidèles de l’époque préchrétienne : « Dans la foi, tous ceux-là sont morts sans avoir obtenu l’accomplissement des promesses, mais ils les ont vues de loin et les ont saluées. » Abraham était l’un d’eux. A-t-il gardé présente à l’esprit l’heureuse espérance de vivre sous le règne de la « semence » promise ? Jésus a répondu clairement à cette question quand il a dit à ses opposants : « Abraham votre père s’est beaucoup réjoui dans l’espoir de voir mon jour, et il l’a vu et s’est réjoui » (Jean 8:56). Il en fut de même de Sara, d’Isaac, de Jacob et de bien d’autres qui plaçaient leur espérance dans le futur Royaume, « dont Dieu est le bâtisseur et l’auteur » (Héb. 11:8-11). Comment Abraham et sa famille ont-ils gardé une foi forte ? Ils ont probablement continué d’apprendre à connaître Dieu en écoutant des hommes et des femmes de foi plus âgés, en recevant des révélations divines et en lisant des écrits anciens dignes de confiance. Mais surtout, ils n’ont pas oublié ce qu’ils avaient appris ; ils chérissaient les promesses et les exigences de Dieu, et les méditaient. Leur espérance était si certaine qu’ils étaient prêts à affronter n’importe quelle épreuve pour rester fidèles à Dieu. Pour que nous gardions une foi forte, Jéhovah nous a fourni avec bonté sa Parole complète, la Bible. Nous serons « heureux » et « réussirons » si nous la lisons régulièrement, chaque jour si possible. De plus, comme les adorateurs de Jéhovah de l’époque préchrétienne, nous devons méditer constamment les promesses de Dieu et obéir à ses exigences. Jéhovah nous donne aussi une nourriture spirituelle abondante par le moyen de « l’esclave fidèle et avisé ». En chérissant ce que nous apprenons grâce aux moyens spirituels fournis par Jéhovah, nous ressemblerons aux modèles de foi du passé qui étaient dans « l’attente assurée » de l’espérance du Royaume. – TG2016 Octobre p23 §5-7 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? Jésus, lui, se mêlait à la foule, passant parfois inaperçu (Jean 7:10, 11). Même parmi ses 11 apôtres fidèles, il ne se démarquait pas physiquement. D’ailleurs, le traître Judas a dû recourir à un baiser, « un signe convenu », pour faire savoir à la foule qui était Jésus (Marc 14:44, 45). Même si beaucoup de renseignements sur le physique de Jésus sont inconnus, une chose est sûre : Jésus ne ressemblait pas à la plupart des portraits qui ont été faits de lui. Cependant, plus que son apparence physique, c’est la vision que nous avons de lui aujourd’hui qui importe. Comment devrions-nous nous imaginer Jésus aujourd’hui ? Plus de 60 ans après la mort de Jésus, l’apôtre bien-aimé Jean l’a vu en visions. Il n’a pas vu un mourant sur une croix. Au contraire, il a vu le « Roi des rois et Seigneur des seigneurs », le Roi du Royaume de Dieu ; ce Roi vaincra bientôt les ennemis de Dieu, démons et humains, et apportera des bienfaits éternels à l’humanité – TG2017 n°6 p8 Quand Jésus était sur la terre, il a montré son humilité par ses paroles et par ses actions. Jésus ne se faisait pas remarquer si ce n’était pas nécessaire. Au contraire, il voulait que son Père ait toute la gloire. (Jean 7:16) Jésus n’était pas comme les orgueilleux qui détestent obéir. Avec humilité, il faisait tout ce que Jéhovah lui demandait. Il a même accepté de mourir. C’est évident : Jésus était « humble de cœur ». Si nous réfléchissons à l’humilité et à la tendresse de Jésus, cela nous donnera envie de l’imiter. – TG2015 15/2 p3 §7 Chaque jour, nous nous faisons des opinions sur les autres. Mais contrairement à Jésus, nous sommes imparfaits, et donc nos opinions le sont aussi. Nous sommes facilement influencés par ce que nous voyons. C’est pourquoi Jésus a ordonné : « Arrêtez de juger d’après l’apparence, mais jugez d’un jugement juste » (Jean 7:24). Manifestement, Jésus veut que nous l’imitions en ne jugeant pas les autres sur les apparences. Malgré notre imperfection, nous pouvons apprendre à voir les autres comme Jéhovah les voit, c’est-à-dire avec impartialité. Pour cela, il nous faut garder constamment à l’esprit les rappels bibliques. En les appliquant, nous obéirons à cet ordre de Jésus : « Arrêtez de juger d’après l’apparence » (Jean 7:24). TG2018 Aout p8 §18 Jésus aussi nous a appris la compassion. Il avait pitié des foules qu’il rencontrait, « parce qu’elles étaient dépouillées et éparpillées comme des brebis sans berger ». Comment réagissait-il en voyant leur triste état ? Il « leur enseignait beaucoup de choses ». Sa réaction était bien différente de celle des Pharisiens, qui n’avaient pas envie d’aider les gens ordinaires Jean 7:49. Avons-nous comme Jésus le grand désir de « nourrir » les personnes qui ont « faim » de connaître Jéhovah ? – TG2017 Septembre p8 §9 Jésus ne s’est jamais considéré comme égal à Dieu. Il appelait Jéhovah “ mon Dieu ” et “ le seul vrai Dieu ”Il a montré que lui et Dieu sont deux personnes différentes. Quelqu’un qui utilise ces expressions s’estime forcément inférieur à Dieu. Un employé qui désigne son employeur par les mots “ mon patron ” ou “ le responsable ” reconnaît clairement sa place inférieure. Jésus a un jour dit à des adversaires qui discutaient son autorité : “ Dans votre propre Loi il est écrit : ‘ Le témoignage de deux hommes est vrai. ’ C’est moi qui témoigne à mon propre sujet, et le Père qui m’a envoyé témoigne à mon sujet. ” (Jean 8:17, 18). Jésus est une autre personne que Dieu, son Père. Sinon, comment pourrait-on parler de deux témoignages ? - Jésus est le meilleur exemple à imiter. Il avait compris la valeur de son héritage spirituel. Il aimait vraiment ce que son Père lui avait appris. Il a dit : « Comme le Père m’a enseigné, moi je dis ces choses. » (Jean 8:28) Jésus aimait parler aux gens de ce qu’il avait appris. Il voulait qu’eux aussi en profitent. Le monde ne comprend pas la valeur de la vérité qui vient de Dieu. Voilà pourquoi il a dit à ses disciples de ne pas faire partie du monde. – TG2014 15/12 p21 §11 DES PRÉJUGÉS CONTRE JÉSUS ET SES DISCIPLES - Jésus lui-même a été victime de préjugés. Les chefs religieux judéens méprisaient Jésus parce qu’il venait de Galilée (Jean 7:52). Beaucoup de Judéens considéraient les Galiléens comme inférieurs. D’autres Juifs encore ont voulu insulter Jésus en le traitant de Samaritain (Jean 8:48). Les Samaritains étaient d’une origine différente des Juifs, et ils avaient une autre religion. Aussi bien les Judéens que les Galiléens avaient peu de respect pour les Samaritains et les évitaient. Les chefs religieux juifs méprisaient aussi les disciples de Jésus. Les pharisiens disaient que c’étaient des « maudits » (Jean 7:47-49). Ils considéraient tous ceux qui n’avaient pas fait d’études dans les écoles religieuses juives ou qui ne respectaient pas leurs traditions comme des gens sans valeur et ordinaires. Les préjugés dont Jésus et ses disciples ont été victimes montrent qu’à l’époque, les gens étaient fiers de leur religion, de leur statut social et de leur race. Les disciples eux-mêmes avaient des préjugés. Pour rester unis, ils allaient devoir changer leur façon de penser. À mesure que nous approcherons de la fin de ce monde méchant, les divisions, la haine et les préjugés seront de plus en plus courants. Mais nous qui servons Jéhovah, nous recherchons « la sagesse d’en haut », qui nous aide à être impartiaux et pacifiques. Nous sommes heureux de nouer des amitiés avec des personnes d’autres pays, d’accepter leurs façons de faire et peut-être même d’apprendre leur langue. – TG2018 Juin p8 §4, 5,18 Jésus Christ a indiqué un moyen simple d’obtenir la vraie liberté. Il a dit : « Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples, et vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous libérera » (Jean 8:31, 32). Pour obtenir la vraie liberté, nous devons donc faire deux choses : accepter la vérité qu’il a enseignée et devenir ses disciples. Mais de quoi serons-nous libérés ? Jésus poursuit : « Tout homme qui pratique le péché est un esclave du péché. Si donc le Fils vous libère, vous serez réellement libres » (Jean 8:34, 36). La liberté que Jésus a promise à ses disciples est largement supérieure à la liberté que beaucoup recherchent aujourd’hui. C’est seulement quand nous serons libérés de l’imperfection que nous obtiendrons la vraie liberté, celle que nos premiers parents avaient au départ. – TG2018 Avril p3 §14,15 Si de simples humains peuvent nous manipuler avec leur propagande, on imagine de quoi Satan est capable ! Il étudie le comportement humain depuis que l’homme a été créé. De plus, « le monde entier » se trouve en son pouvoir. Il peut utiliser n’importe quel élément du monde pour répandre ses mensonges ( Jean 8:44). Satan est tellement doué pour aveugler l’esprit des gens qu’à présent, il « égare la terre habitée tout entière » Pour combattre la propagande, Jésus a donné une méthode simple : « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous libérera » (Jean 8:31, 32). Un soldat engagé dans une guerre a besoin de savoir où trouver des informations fiables ; en effet, l’ennemi essaie de le piéger par des mensonges. Alors, où peux-tu trouver des informations fiables ? Dans la Parole de Dieu, la Bible. Par conséquent, fermons l’oreille à la propagande de Satan. Écoutons Jéhovah et aie confiance en sa direction dans tout ce que tu fais. Acceptons son invitation pleine d’amour : « Sois sage, mon fils, et réjouis mon cœur » (Prov. 27:11). Alors, nous gagnerons la bataille menée contre notre esprit – TG2017 Juillet p27 Nous avons de nombreux exemples d’humains qui ont gardé leur joie malgré des circonstances difficiles. C’est le cas d’Abraham. Sa vie a parfois été menacée et d’autres lui ont causé des difficultés. Comment a-t-il fait pour rester joyeux ? Il se concentrait sur son espérance de vivre dans le monde nouveau gouverné par le Messie. Jésus a dit : « Abraham votre père s’est beaucoup réjoui dans l’espoir de voir mon jour » (Jean 8:56). Nous pouvons imiter Abraham en réfléchissant aux joies qui nous attendent – TG2018 Février p28 Abraham nourrissait l’espérance d’être ressuscité sous la domination du Messie, la Semence promise. Jésus Christ qui, lors de son existence préhumaine, avait constaté la foi d’Abraham a pu dire aux Juifs : “ Abraham votre père s’est beaucoup réjoui dans l’espoir de voir mon jour. ” (Jean 8:56-58). Pour l’instant, Abraham dort dans la mort, attendant d’être ressuscité sur terre pour vivre sous le Royaume messianique de Dieu – TG2000 15/7 p13 §16 RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 1er OCTOBRE 2018 - JEAN 9-10.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 1er OCTOBRE 2018 - JEAN 9-10.pdf
  24. JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles (8 min) : JEAN 5-6 Jean 6:44 : Comment le Père attire-t-il les personnes à lui ? (nwtsty, note d’étude). « Personne ne peut venir vers moi, si le Père, qui m’a envoyé, ne l’attire ; et je le ressusciterai au dernier jour ». l’attire : Bien que le verbe grec pour « attirer » soit employé pour parler de l’action de tirer un filet à poissons (Jean 21:6, 11), il n’indique pas que Dieu « tire » les gens à lui contre leur gré. La déclaration de Jésus fait peut-être allusion à Jr 31:3, où Jéhovah dit à la nation d’Israël : « Je t’ai attirée avec bonté de coeur » (la Septante utilise ici le même verbe grec que celui qui figure en Jean 6:44). Jean 12:32 montre que, pareillement, Jésus attire des hommes de toutes sortes. La Bible indique que Jéhovah a donné aux humains le libre arbitre. Tout le monde peut choisir de le servir ou non (Dt 30:19, 20). Dieu attire avec douceur ceux qui ont un coeur bien disposé (Ps 11:5 ; Pr 21:2 ; Ac 13:48). Il le fait grâce au message de la Bible et à son esprit saint. La prophétie d’Is 54:13, citée en Jean 6:45, s’applique à ceux qui sont attirés par le Père. (Comparer avec Jean 6:65 « Il dit encore : « Voilà pourquoi je vous ai dit : “Personne ne peut venir vers moi si cela ne lui est pas accordé par le Père.” » Jéhovah lit dans les cœurs et dans les pensées, et il sait qui est susceptible de se montrer sensible à son amour, même si pour l’instant ces personnes ne le connaissent pas encore. Jéhovah lit dans les cœurs et dans les pensées, et il sait qui est susceptible de se montrer sensible à son amour, même si pour l’instant ces personnes ne le connaissent pas encore. Il se sert aussi de ses anges pour diriger ce ministère unique en son genre- nwtsty, notes d’étude Jéhovah nous attire individuellement à son Fils et à l’espérance de la vie éternelle. Comment ? Par l’œuvre de prédication, qui touche chacun personnellement, et par son esprit saint, qui nous aide à comprendre et à mettre en pratique les vérités spirituelles malgré nos limites et nos imperfections. Il peut donc nous dire, comme autrefois à la nation d’Israël : “ Je t’ai aimée d’un amour pour des temps indéfinis. C’est pourquoi je t’ai attirée avec bonté de cœur. ” Jérémie 31:3. – cl p247 Jéhovah nous « tire-t-il » à lui contre notre gré, nous forçant à le servir ? Non. Il nous a donné le libre arbitre, ou liberté de choix. Il ne nous force pas à lui ouvrir notre cœur. Un bibliste explique : « La porte de notre cœur n’a pas de poignée à l’extérieur. Elle ne s’ouvre que de l’intérieur. » Jéhovah examine les milliards de cœurs qui existent dans le monde pour trouver les personnes qui le recherchent (1 Chroniques 28:9). Quand il en trouve une, il agit envers elle de façon touchante. Comment cela ? Jéhovah attire en douceur le cœur d’une personne qui est « dans la disposition qu’il faut » . Il le fait de deux manières : au moyen de la prédication de la bonne nouvelle, qui touche chacun personnellement, et au moyen de son esprit saint. Quand il voit un cœur réceptif aux vérités bibliques, il utilise son esprit pour aider la personne à les comprendre et à les appliquer dans sa vie. Sans cette aide, nous ne pourrions pas devenir de véritables disciples de Jésus ni de fidèles adorateurs de Jéhovah. il nous attire parce qu’il voit quelque chose de bon dans notre cœur et s’intéresse à nous individuellement. ? Le fait de savoir que Jéhovah s’intéresse individuellement à ses adorateurs vous pousse-t-il à lui ouvrir la porte de votre cœur ? La porte de notre cœur n’a pas de poignée à l’extérieur. Elle ne s’ouvre que de l’intérieur.- TG2013 1/5 p14 Jean 6:64 : En quel sens Jésus savait-il « dès le commencement » que Judas le trahirait ? (nwtsty, note d’étude). « Mais il y en a quelques-uns parmi vous qui ne croient pas. » En effet, Jésus savait dès le commencement qui étaient ceux qui ne croyaient pas et qui était celui qui le trahirait » Jésus savait [...] qui était celui qui le trahirait : Jésus parlait de Judas Iscariote. Avant de choisir ses 12 apôtres, Jésus a passé la nuit entière à prier son Père (Lc 6:12-16). Donc, au départ, Judas était fidèle à Dieu. Cependant, grâce aux prophéties des Écritures hébraïques, Jésus savait qu’il serait trahi par un intime (Ps 41:9 ; 109:8 ; Jean 13:18, 19). Quand Judas a commencé à mal tourner, Jésus, qui pouvait lire dans les cœurs et les pensées, a remarqué ce changement (Mt 9:4). En utilisant sa capacité à connaître l’avenir, Dieu a su qu’un compagnon de confiance de Jésus deviendrait un traître. Mais penser que c’est Judas qui devait devenir infidèle, comme si sa trahison était prédestinée, n’est pas compatible avec les qualités et les manières d’agir de Dieu. - nwtsty, notes d’étude dès le commencement : ou « dès le début ». Cette expression ne se rapporte pas à la naissance de Judas ni au moment où il a été choisi comme apôtre, choix que Jésus a fait après avoir prié toute une nuit (Lc 6:12-16). Elle se rapporte plutôt au moment où Judas a commencé à agir en traître, attitude que Jésus a immédiatement discernée (Jean 2:24, 25 ; Ré 1:1 ; 2:23). Elle montre aussi que les actions de Judas étaient préméditées, qu’elles n’étaient pas le résultat d’un changement soudain d’état d’esprit. Dans les Écritures grecques chrétiennes, le sens du terme grec arkhê rendu par « commencement » ou « début » est relatif : il dépend du contexte. Par exemple, en 2P 3:4, où il est rendu par « commencement », il se rapporte au début de la création. Mais dans la plupart des cas, il est utilisé dans un sens plus restreint. Par exemple, Pierre a dit que l’esprit saint était venu sur les Gentils « tout comme il était venu sur nous au début » (Ac 11:15). Pierre ne parlait pas du moment de sa naissance ou de celui où il était devenu apôtre. Il parlait en fait du jour de la Pentecôte 33 de n. ère, c’est-à-dire le « début » de l’effusion de l’esprit saint dans un but précis (Ac 2:1-4). D’autres exemples qui montrent que le sens des termes « commencement » ou « début » dépend du contexte se trouvent en Lc 1:2 ; Jean 15:27 ; et 1J 2:7. - nwtsty, notes d’étude Grâce aux prophéties des Écritures hébraïques, Christ savait qu’il serait livré par un intime. Dieu aussi, en usant de sa prescience, avait vu que cet homme deviendrait un traître ; en revanche, penser que Judas devait inévitablement faillir, comme s’il avait été prédestiné, est inconciliable avec les qualités de Dieu et avec ses manières d’agir du passé. Au contraire, comme on l’a déjà dit, au début de son apostolat Judas était fidèle à Dieu et à Jésus. Par conséquent, ce que Jean dut vouloir dire, c’est que “ dès le commencement ” du moment où Judas commença à mal tourner, à succomber à l’imperfection et à des inclinations pécheresses, Jésus s’en aperçut. Judas se sentit certainement visé quand Jésus parla d’un “ calomniateur ”, mais il continua de voyager avec Jésus et les apôtres fidèles et, manifestement, il ne changea pas – it2 p76 Jéhovah Dieu prophétisa que Jésus serait trahi par un de ses apôtres, mais le traître n’est pas mentionné par son nom. Ps. 41:9. Rien ne prouve que Jésus savait, lorsqu’il choisit Judas Iscariot, que celui-ci serait le traître. Cependant la puissance que Jésus reçut de Jéhovah le rendit capable de percevoir les pensées et les intentions de l’esprit et du cœur de l’homme, et sitôt que Judas se laissa entraîner dans cette direction-là Jésus s’en aperçut. Afin de montrer qu’il était le Messie il annonça cette trahison d’avance : “ Dès à présent je vous le dis, avant que la chose arrive, afin que, lorsqu’elle arrivera, vous croyiez à ce que je suis. ”” (Jean 2:24, 25 ; 6:64, 70, 71) Les prédictions qui identifiaient personnellement Judas comme étant le traître vinrent après qu’il avait grandi spirituellement, après qu’il fut devenu un apôtre. – TG1953 p294 §9 Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ? De retour à Jérusalem, Jésus a guéri un homme près de la piscine de Bethzatha. Aux Juifs qui trouvaient à redire à cette guérison, Jésus a expliqué : “ Le Fils ne peut rien faire de sa propre initiative, mais seulement ce qu’il voit faire au Père. ” Puis il a précisé que le Père “ a remis tout le jugement au Fils ”, avant d’ajouter : “ Celui qui entend ma parole et croit celui qui m’a envoyé a la vie éternelle. ” En outre, il a annoncé : “ L’heure vient où tous ceux qui sont dans les tombes de souvenir entendront [la voix du Fils de l’homme] et sortiront, ceux qui ont fait des choses bonnes, pour une résurrection de vie, ceux qui ont pratiqué des choses viles, pour une résurrection de jugement. ” (Jean 5:1-9, 19, 22, 24-29). Par ces mots, Jésus a montré aux Juifs qui le harcelaient que c’était lui que Dieu avait désigné pour concrétiser l’espérance juive de la vie éternelle sur la terre, et qu’il le ferait en relevant les morts. On comprend dès lors que, quand Jésus a parlé à ses détracteurs de la vie éternelle, il pensait aussi bien à l’espérance de la vie céleste proposée au “ petit troupeau ” qu’à l’espérance de la vie terrestre réservée à des millions d’“ autres brebis - TG2009 15/8 p11 §10 De grandes foules de malades et d’infirmes se rassemblaient à Bethzatha. Qu’est-ce qui les y attirait ? Pour une raison inexpliquée, ils croyaient que, si un malade entrait dans la piscine lorsque l’eau était agitée, il serait miraculeusement guéri. On imagine ce que chacun devait éprouver ! La tension, l’inquiétude et le désespoir étaient sans nul doute palpables. Mais qu’est-ce qui a attiré en ce lieu un homme comme Jésus, parfait, sans défaut physique ? L’amour. Ému de pitié, Jésus y a parlé à un homme malade depuis plus longtemps que lui-même ne vivait sur terre (Jean 5:5-9). Peux-tu imaginer la détresse dans le regard de cet homme quand Jésus lui demande s’il veut retrouver la santé ? Sa réponse est immédiate. Il veut être guéri, mais comment pourrait-il l’être ? Il n’a personne pour l’aider à entrer dans la piscine ! C’est alors que Jésus lui ordonne de faire l’impossible : prendre sa couchette et marcher. Et c’est ce que l’homme fait : il prend sa couchette et se met à marcher. Quel aperçu réconfortant de ce que Jésus fera dans le monde nouveau ! Ce miracle nous montre également sa compassion. Il cherchait les gens en détresse. Son exemple devrait nous pousser à continuer à chercher dans notre territoire les personnes déprimées par les choses terribles qui se produisent dans le monde. – TG2015 15/6 p10 §9,10 Une autre raison pour laquelle les larmes de chagrin sécheront est que les humains ne seront plus malades. Lorsque Jésus était sur la terre, il a guéri beaucoup de gens : il a rendu la vue à des aveugles, l’ouïe à des sourds, la vigueur à des infirmes. Jean 5:5-9 raconte qu’il a guéri un homme boiteux depuis 38 ans. Ceux qui ont assisté à la scène ont trouvé que c’était une œuvre étonnante, une œuvre prodigieuse. C’en était une, en effet ! Mais Jésus a parlé de quelque chose d’encore plus merveilleux : de la résurrection des morts. “ Ne vous étonnez pas de cela, déclara-t-il, parce que l’heure vient où tous ceux qui sont dans les tombes de souvenir entendront sa voix et sortiront, ceux qui ont fait des choses bonnes, pour une résurrection de vie. ” — Jean 5:28, 29. Cela se produira immanquablement, car celui qui le promet est Jéhovah. Vous pouvez avoir la certitude que, lorsqu’il emploiera et dirigera avec précision sa grande puissance, les résultats seront prodigieux. De toute évidence, nous avons bien des raisons de prêter attention à toutes les œuvres prodigieuses de Jéhovah, à ce qu’il a fait dans le passé, à ce qu’il fait aujourd’hui et à ce qu’il fera dans l’avenir proche – TG2001 15/4 p13 §21 Preuve qui nous amènent à la conclusion que le septième jour se poursuivait au 1er siècle se trouve dans les propos que Jésus a tenus à ses ennemis lorsque ces derniers lui ont reproché d’avoir opéré une guérison le jour du sabbat, ce qu’ils assimilaient à un travail. “ Mon Père n’a cessé de travailler jusqu’à maintenant, et moi je ne cesse de travailler ”, leur a objecté le Seigneur (Jean 5:16, 17). C’est comme s’il avait dit à ses détracteurs : ‘ Mon Père et moi participons à la même œuvre. Étant donné que mon Père n’a cessé de travailler pendant son sabbat long de plusieurs milliers d’années, il m’est permis de travailler, même le sabbat. ’ Jésus montrait ainsi que le septième jour était toujours en cours à son époque. Durant celui-ci, Dieu se reposait de son activité créatrice en rapport avec la terre. Néanmoins, il continuait à travailler à l’accomplissement de son dessein. Le jour de repos de Dieu se poursuivra jusqu’à ce que son dessein relatif à la terre et aux humains connaisse son plein accomplissement à la fin du Règne de mille ans de Christ. – TG2011 15/7 p24 §3 Jésus Christ était incontestablement ‘ capable, qualifié et compétent ’. Et cela n’avait rien d’étonnant. Il avait été formé par Jéhovah Dieu en personne ! Quels facteurs ont rendu sa formation efficace ? Jésus en a mentionné trois, qu’on retrouve en Jean 5:20 : “ Le Père a de l’affection pour le Fils et lui montre toutes les choses qu’il fait lui-même, et il lui montrera des œuvres plus grandes que celles-ci. ”Quand ils forment les assistants ministériels, les anciens doivent penser aux besoins futurs. Même si les anciens et les assistants ministériels semblent assez nombreux pour répondre aux besoins actuels, qu’en sera-t-il si une nouvelle congrégation est formée ? si plusieurs congrégations sont formées ? Anciens, suivez-vous l’exemple de Jéhovah en entretenant des relations chaleureuses avec les hommes que vous formez ? Leur montrez-vous comment s’acquitter de leurs tâches ? Pensez-vous aux besoins futurs ? Si vous suivez l’exemple que Jéhovah a donné en formant Jésus, beaucoup en retireront de grands bienfaits. – TG2002 1/1 p29-31 D’après Jean 5:22 et 23 « Car le Père ne juge personne, mais il a confié tout le jugement au Fils, 23 afin que tous honorent le Fils comme ils honorent le Père. Celui qui n’honore pas le Fils n’honore pas le Père qui l’a envoyé » Jéhovah a fait de Jésus le juge de tous les humains. C’est surtout pour cette raison que nous devrions honorer Jésus. En l’honorant, nous honorons aussi Jéhovah. Si nous n’honorons pas Jésus et son Père, nous ne pourrons pas avoir la vie éternelle – TG2017/3 p3 §4 La Bible montre qu’en un sens Jéhovah est un Père pour nous tous (Isaïe 64:8). Quelle que soit leur espérance — aller au ciel ou vivre sur une terre paradisiaque — les chrétiens fidèles ont le droit de s’adresser à Dieu en l’appelant “ Père ”. (Matthieu 6:9.) Nous devrions avoir le désir de nous rapprocher toujours plus de notre Père et, ainsi, de nous imprégner de ses façons de voir et de ses normes (Jacques 4:8). Beaucoup n’en ont aucune envie. Ils ressemblent aux Juifs à qui Jésus a dit : “ Vous n’avez jamais entendu sa voix et vous n’avez pas non plus vu sa forme ; et sa parole, vous ne l’avez pas qui demeure en vous. ” (Jean 5:37, 38). Nous n’avons pas entendu au sens propre la voix de Dieu ; en revanche, nous pouvons avoir sa parole en nous et, de ce fait, devenir comme lui et éprouver les mêmes sentiments que lui. – TG2007 15/10 p22§15 Pourquoi Jéhovah nous demande-t-il d’être neutres ? 1) Parce que nous imitons Jésus, qui ne faisait « pas partie du monde ». Il n’a jamais pris parti dans la politique ou dans les guerres (Jean 6:15 ; 17:16). 2) Parce que nous soutenons le Royaume de Dieu. Si on soutenait les gouvernements humains, on ne pourrait pas avoir bonne conscience quand on prêche que le Royaume est le seul gouvernement qui réglera tous les problèmes ! 3) Parce que cela nous permet de rester unis avec nos frères et sœurs du monde entier. Les fausses religions, elles, prennent parti dans la politique, et en faisant cela, elles divisent les gens – TG2016 Avril p21 §3 Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ? 5:14 — La maladie est-elle la conséquence d’un péché commis ? Pas nécessairement. L’homme que Jésus avait guéri avait été malade pendant 38 ans à cause de l’imperfection héréditaire (Jean 5:1-9). Ce que Jésus voulait dire, c’est que, maintenant que l’homme avait obtenu miséricorde, il devait suivre la voie du salut et ne plus pécher volontairement, sinon il risquerait de subir quelque chose de pire que la maladie. Cet homme pourrait se rendre coupable d’un péché impardonnable et alors mériter la mort, sans aucun espoir d’être ressuscité – TG2008 15/4 p30 Durant son ministère, Jésus a fait preuve de courage de différentes façons. Il a hardiment révélé que les chefs religieux égaraient le peuple par de faux enseignements. Il a fermement résisté à l’influence du monde. Il n’a pas laissé les pressions de ses adversaires l’empêcher de prêcher (Jean 5:15-18 ; 7:14). Par deux fois, pour purifier le temple, il n’a pas eu peur de jeter dehors ceux qui le profanaient. Réfléchir au courage de Jésus face aux souffrances fortifiera notre foi. - TG2015 15/2 p11 §5 Jésus n’est pas égal à Dieu - Que signifie le texte de Jean 5:18 ? « Voilà pourquoi les Juifs cherchèrent d’autant plus à le tuer : parce que non seulement il ne respectait pas le sabbat, mais en plus il appelait Dieu son propre Père, se faisant égal à Dieu » C’étaient les Juifs incrédules qui pensaient que Jésus cherchait à se faire l’égal de Dieu en le désignant comme son Père. Bien qu’il parlât à juste titre de Dieu comme de son Père, Jésus n’a jamais prétendu qu’il en était l’égal. Il a répondu sans détour aux Juifs: “Alors Jésus leur dit : « Oui, je vous le dis, c’est la vérité : le Fils ne peut rien faire de sa propre initiative, mais il fait seulement ce qu’il voit le Père faire. Car toutes les choses que celui-là fait, le Fils aussi les fait de la même manière” (Jean 5:19). Par ces paroles, Jésus montre aux Juifs qu’il n’est pas égal à Dieu et qu’il ne peut donc agir de sa propre initiative. Peut-on imaginer quelqu’un d’égal au Dieu Tout-Puissant disant qu’il “ne peut rien faire de lui-même”? - rs p208 Ce que son Père lui disait, Jésus ne l’a pas simplement dit ou enseigné. Il est allé beaucoup plus loin. Il l’a dit ou l’a enseigné de la façon dont le Père l’aurait fait. Qui plus est, dans toutes ses activités et dans ses rapports avec chacun, il s’est conduit exactement comme son Père se serait conduit dans les mêmes circonstances. “Le Fils ne peut rien faire de sa propre initiative, a-t-il précisé, mais il ne fait que ce qu’il voit faire au Père. Car tout ce que fait Celui-ci, cela le Fils aussi le fait pareillement.” (Jean 5:19). Jésus a, en tout, été le reflet parfait de son Père, Jéhovah Dieu. Il n’est donc pas étonnant qu’il soit le plus grand homme de tous les temps – TG1992 15/2 p12 §19 5:24, 25 — Qui ‘ passe de la mort à la vie ’ ? Jésus parle ici de ceux qui étaient auparavant morts sur le plan spirituel, mais qui, ayant entendu ses paroles, ont foi en lui et abandonnent leur conduite pécheresse. Ils ‘ passent de la mort à la vie ’ en ce sens que leur condamnation à mort est levée et qu’ils se voient offrir l’espérance de la vie éternelle en raison de leur foi en Dieu. - TG2008 15/4 p30 Jésus décrit la plus précieuse des unions: les liens qui existent entre son Père et lui. Il dit aux Juifs: “Car le Père a de l’affection pour le Fils et lui montre toutes les choses qu’il fait lui-même, et il lui montrera des œuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez étonnés.” Il précise alors que le Père lui a confié des pouvoirs extraordinaires, puis il déclare: “Celui qui entend ma parole et qui croit celui qui m’a envoyé a la vie éternelle, et il ne vient pas en jugement, mais il est passé de la mort à la vie.” — Jean 5:20, 24. Oui, même ceux qui sont “morts” aux yeux de Dieu à cause du péché héréditaire peuvent ‘entendre la voix du Fils de Dieu’ et venir à la vie. Comment cela ? Jésus explique: “De même, en effet, que le Père a la vie en lui-même, ainsi a-t-il donné aussi au Fils d’avoir la vie en lui-même.” L’expression “la vie en lui-même” peut également être rendue par “en lui-même le don de la vie”. (Jean 5:25, 26) Ainsi, Jésus est capable de permettre aux hommes d’avoir un beau rang devant Dieu. En outre, il peut ressusciter ceux qui dorment dans la mort et leur communiquer la vie – TG1986 15/2 p11 La vision spirituelle de beaucoup est obscurcie du fait qu’ils ne se laissent pas enseigner et qu’ils ont des opinions arrêtées. De nombreux Juifs ont rejeté Jésus et ses enseignements parce qu’ils s’accrochaient obstinément à la Loi mosaïque. Évidemment, il y a eu des exceptions. Par exemple, après la résurrection de Jésus, “ une grande foule de prêtres obéissaient à la foi ”. (Actes 6:7.) Néanmoins, Paul a écrit à propos de la majorité des Juifs : “ Jusqu’à ce jour, chaque fois qu’on lit Moïse, un voile se trouve sur leur cœur. ” (2 Corinthiens 3:15). Paul savait probablement ce que Jésus avait dit aux chefs religieux juifs : “ Vous scrutez les Écritures, parce que vous pensez, vous, que par leur moyen vous aurez la vie éternelle ; et ce sont elles justement qui témoignent à mon sujet. ” (Jean 5:39). Les Écritures, celles-là même qu’ils scrutaient méthodiquement, auraient dû les aider à discerner que Jésus était le Messie. Or, ils avaient des idées bien arrêtées, et pas même le Fils de Dieu, en accomplissant des miracles, ne les a convaincus d’y renoncer. Il en va de même de nombreux membres de la chrétienté de nos jours. Comme les Juifs du Ier siècle, “ ils ont du zèle pour Dieu ; mais non selon la connaissance exacte ”. Quelques-uns étudient bien la Bible, mais ils ne veulent pas croire en son contenu. Ils refusent d’admettre que Jéhovah enseigne son peuple par l’intermédiaire de la classe de l’esclave fidèle et avisé, composée des chrétiens oints. Nous, pour notre part, nous comprenons que Jéhovah enseigne ses serviteurs et qu’il a toujours révélé la vérité progressivement. Nous nous laissons enseigner par lui, et il nous accorde de connaître sa volonté et son dessein. – TG2005 15/8 p21 §9,10 Au 1er siècle, certains qui avaient accepté les enseignements de Jésus ont cessé de marcher dans la vérité. Par exemple, Jésus a un jour nourri miraculeusement une foule très nombreuse, qui l’a ensuite suivi de l’autre côté de la mer de Galilée. Là, Jésus leur a dit quelque chose qui les a choqués : « Si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme et ne buvez pas son sang, vous n’avez pas de vie en vous-mêmes. » Au lieu de lui demander ce qu’il voulait dire par là, ils se sont exclamés : « Ces paroles sont choquantes ! Qui peut les écouter ? » Résultat, « beaucoup de ses disciples s’en allèrent vers les choses qui étaient derrière et ne voulurent plus l’accompagner » (Jean 6:53-66). Quand certains ont été troublés par les paroles de Jésus, qu’ils avaient mal compris certains enseignements de Jésus, celui-ci a demandé aux apôtres s’ils voulaient s’en aller eux aussi. Mais Pierre a répondu avec foi : « Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as des paroles de vie éternelle » (Jean 6:67-69). A notre époque aussi, certains chrétiens se sont éloignés volontairement de la vérité. Ils se sont peut-être laissé troubler par une nouvelle compréhension d’un passage biblique ou par quelque chose qu’un frère connu a dit ou fait. D’autres n’ont pas apprécié de recevoir un conseil biblique – TG2018 Novembre p8 §4 À l’époque de Jésus, de nombreux Juifs souhaitaient vivement être libérés de la domination romaine. La plupart des Juifs attendaient avec impatience la venue du Messie. Ils pensaient que celui-ci les libérerait des Romains et referait d’Israël une grande nation. Beaucoup croyaient qu’il établirait un royaume sur terre en Israël. C’est sans doute en raison d’un tel espoir que les Galiléens ont voulu que Jésus devienne leur roi. On imagine facilement pourquoi ils le considéraient comme un dirigeant idéal : c’était un excellent orateur ; il pouvait guérir les malades ; il pouvait même nourrir ceux qui avaient faim. Un jour qu’il venait de nourrir 5 000 hommes, il a senti que ce miracle avait provoqué l’admiration de la foule. La Bible dit : « Jésus donc, sachant qu’ils allaient venir s’emparer de lui pour le faire roi, se retira de nouveau dans la montagne, tout seul » (Jean 6:10-15). Le lendemain, l’enthousiasme des gens avait peut-être un peu faibli. Jésus leur a alors expliqué qu’il n’était pas venu pour combler leurs besoins matériels mais spirituels. Il leur a dit : « Travaillez, non pour la nourriture qui périt, mais pour la nourriture qui demeure pour la vie éternelle » (Jean 6:25-27). Jésus comprenait quelle était sa mission. Si nous comprenons quelle est la nôtre, nous ne voudrons soutenir aucun parti politique, ni en actions ni en pensées. TG2018/6 p3 Alimente ta foi au moyen de la nourriture spirituelle. Sur l’Everest, le plus haut sommet du monde, un alpiniste brûle 6 000 calories par jour, bien plus que la normale. Pour endurer et atteindre le sommet, il doit absorber un maximum de calories. De même, pour endurer dans notre course chrétienne et atteindre notre objectif, nous devons absorber régulièrement le plus de nourriture spirituelle possible. Nous devons nous discipliner pour consacrer du temps à la lecture, à l’étude et aux réunions chrétiennes. Ces activités alimentent notre foi au moyen de « la nourriture qui demeure pour la vie éternelle » (Jean 6:27). – TG2016 Avril p13 §7 Le “ dernier jour ”. La Bible parle d’un “ dernier jour ” durant lequel aura lieu la résurrection des morts (Jean 6:39, 40, 44) . Il concerne une époque beaucoup plus éloignée dans le futur que la fin de la période apostolique. Au premier siècle, certains auditeurs de Jésus manifestaient une attitude qui ne convenait pas. Un jour, Jésus a exprimé une pensée difficile à comprendre. “ Beaucoup de ses disciples donc, quand ils entendirent cela, dirent : ‘ Ce langage est choquant ! Qui peut l’écouter ? ’ ” Ceux qui s’exprimaient de la sorte avaient de toute évidence une mauvaise attitude d’esprit. Et cette mauvaise attitude les a empêchés d’écouter Jésus plus avant. Le récit se poursuit ainsi : “ À cause de cela, beaucoup de ses disciples s’en allèrent vers les choses qui étaient derrière et ne voulurent plus marcher avec lui. ” Mais tous avaient-ils une mauvaise attitude ? Non, car le récit ajoute : “ Jésus donc dit aux douze : ‘ Vous ne voulez pas vous en aller, vous aussi, n’est-ce pas ? ’ Simon Pierre lui répondit : ‘ Seigneur, vers qui irions-nous ? ’ ” Et de préciser : “ Tu as des paroles de vie éternelle. ” (Jean 6:60, 66-68). Quelle belle attitude ! Quand des explications ou une compréhension affinée des Écritures nous semblent de prime abord difficiles à accepter, n’est-il pas plus sage de manifester la même attitude d’esprit que Pierre ? Il serait insensé de cesser de servir Jéhovah ou de parler à l’encontre du “ modèle des paroles salutaires ” simplement parce que certaines pensées nous ont au départ semblé difficiles à comprendre – TG2000 1/9 p11 §15 L’apôtre Pierre, qui a affirmé sa fidélité à Jésus, constitue pour nous un autre modèle à suivre. Un jour, pour illustrer l’importance d’exercer la foi dans sa chair et dans son sang qui allaient bientôt être sacrifiés, Christ a employé un langage imagé. Cependant, beaucoup de ses disciples en ont été choqués et l’ont abandonné (Jean 6:53-60, 66). Jésus s’est alors tourné vers ses 12 apôtres et leur a demandé : “ Vous ne voulez pas vous en aller, vous aussi, n’est-ce pas ? ” Pierre lui a répondu : “ Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as des paroles de vie éternelle ; et nous avons cru et nous avons su que tu es le Saint de Dieu. ” (Jean 6:67-69). L’apôtre comprenait-il pleinement ce que Jésus venait d’expliquer au sujet de son sacrifice ? Probablement pas. Il n’en était pas moins résolu à demeurer fidèle à l’Oint de Dieu. Pierre ne s’est pas dit que son Maître devait se tromper et que, si on lui en laissait le temps, celui-ci reviendrait sur sa déclaration. Non, l’apôtre a humblement reconnu qu’il avait des “ paroles de vie éternelle ”. Et nous, comment réagissons-nous quand nous lisons dans les publications éditées par “ l’intendant fidèle ” une idée difficile à comprendre ou qui ne s’accorde pas avec notre vision des choses ? Au lieu d’espérer un éventuel rectificatif qui corresponde davantage à notre façon de voir, efforçons-nous de saisir l’explication fournie – TG2012 15/4 p10 §10,11 RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 17 SEPTEMBRE 2018 - JEAN 5-6.docx RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 17 SEPTEMBRE 2018 - JEAN 5-6.pdf
  25. Vidéo par écrit Une construction respectueuse de l’environnement honore Jéhovah (extrait). Cette conception permet à l’Organisation de faire un meilleur usage des offrandes. Bien que les experts ne s’accordent pas tous sur les pourcentages, on sait tout de même que durant le cycle de vie d’un bâtiment classique, les frais de fonctionnement et de maintenance représentent 4 à 6 fois son coût de construction. Par conséquent, plus la conception et la construction sont de qualité, plus l’Organisation fait des économies dans le temps. Par exemple, un consultant indépendant a récemment calculé que nous devrions économiser plus d’un million de dollars par an grâce aux dispositifs d’économie d’énergie mis en place en comparaison à une installation similaire classique. Vous aimeriez sans doute savoir quels dispositifs énergétiques et environnementaux ont été mis en œuvre à Warwick pour mériter ces récompenses et faire des économies. Des mesures ont été prises à différents niveaux. En gros, il y a 5 domaines : 1 –Les aménagements paysagers 2 – Le traitement des eaux pluviales 3 – La maîtrise de l’éclairage 4 – L’efficacité énergétique 5 – L’utilisation de l’eau Pour le 1er domaine, les aménagements paysagers, un système de contrôle des précipitations et des conditions météorologiques, permettent de gérer la quantité d’eau nécessaire à chaque zone d’arrosage. L’implantation d’arbres et de plantes locales qui résistent à la sécheresse réduit également le besoin en eau. Le 2ème domaine concerne le traitement des eaux pluviales. Toutes les eaux collectées à partir des toits et des surfaces construites sont traitées au moyen de toitures et de bassins de rétention végétalisés, d’un pavage de béton drainant, de lits filtrants souterrains et de bassins d’orages paysagers. Le 3ème domaine concerne l’éclairage. Les fenêtres sont équipées de capteurs reliés à un système qui ajuste l’éclairage artificiel en fonction de l’éclairage naturel tout en permettant aux utilisateurs d’effectuer des réglages personnalisés. Le 4ème domaine est lié à l’efficacité énergétique. Il implique l’usage d’équipements hautement performants pour le chauffage, la ventilation et la climatisation. De plus, grâce au forage de 120 puits géothermiques, on tire profit de cette énergie renouvelable pour contribuer tant au chauffage qu’à la climatisation des bâtiments. Pour ce qui est du 5ème domaine, l’utilisation de l’eau, tous les éléments de plomberie sont à faible consommation. Comme on l’a dit précédemment, le prix de revient d’un bâtiment est fortement lié à ces coûts de fonctionnement et de maintenance. Donc chez soi ou au travail, chacun peut faire sa part pour économiser l’eau et l’électricité et contribuer à l’efficacité des dispositifs mis en œuvre à Wallkill et Warwick. COMMENT ÉVITER DE GASPILLER... ˙ Quand nous assistons aux réunions ? Ne pas gaspiller l’éclairage de l’électricité dans des salles annexes ou pièces, hall, toilettes, etc….. Se rendre disponible pour effectuer des réparations - Il faut parfois procéder à des réparations importantes pour assurer une meilleure sécurité ou pour maintenir la salle en bon état. Des frères compétents en plomberie, maçonnerie, chauffage, électricité, etc., peuvent se rendre disponibles pour accomplir de tels travaux. – km1991/12 p 3 ˙ Quand nous demandons des publications pour notre usage personnel ? (km 5/09 3 § 4). 4 Pour ce qui est des publications personnelles, ne demandez que ce qu’il vous faut réellement. En écrivant votre nom à l’intérieur, vous risquerez moins de les égarer. Si vous vous servez du CD-ROM Watchtower Library et si vous gardez vos exemplaires personnels des périodiques, les volumes reliés ne vous seront pas nécessairement utiles - km 5/09 3 § 4 Utilisons nos publications bibliques avec sagesse - Ne les gaspillons pas : Nous pourrions en venir à accumuler plus de publications que nécessaire. Puisqu’elles sont précieuses, comment ne pas les gaspiller ? Il nous faut faire preuve de discernement quand nous allons chercher des publications en vue de notre ministère. Plutôt que de demander de nombreux exemplaires de la publication que nous présenterons, pourquoi ne pas se contenter d’un ou deux exemplaires, quitte à revenir en chercher quand nous les aurons remis à des personnes ? Cela empêcherait que des publications s’entassent chez nous en grande quantité. Pareillement, s’il nous reste beaucoup de périodiques, pensons à en demander moins – km 12/05 p8 Les publications pour notre usage personnel : Nous ne devrions commander que les publications dont nous avons réellement besoin. Soyons particulièrement raisonnables lorsque nous demandons des bibles de luxe, des bibles de référence et d’autres publications grand format, telles que la Concordance, l’Index, Étude perspicace et le livre Prédicateurs, car leur production coûte cher. Prenons-nous soin de noter notre nom et notre adresse dans les publications pour notre usage ? Cela permet de réduire les commandes destinées à remplacer les publications égarées. Si nous avons perdu un recueil de cantiques, une bible ou un manuel d’étude, peut-être figureront-ils parmi les objets trouvés à la Salle du Royaume ou sur le lieu de l’assemblée. 6 Efforçons-nous d’utiliser sagement nos publications. Nous démontrerons ainsi notre fidélité dans la gestion des outils que Jéhovah met à notre disposition - km 9/02 p1 ˙ Quand nous prenons des publications pour la prédication ? (mwb17.02 4 § 1). Jésus a enseigné : « Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement » (Mt 10:8). Nous appliquons cette instruction claire en ne faisant pas payer les bibles et les publications que nous laissons (2Co 2:17). Pour autant, ces publications contiennent les précieuses vérités de la Parole de Dieu. Elles sont imprimées puis envoyées aux congrégations du monde entier au prix de gros efforts et d’importantes dépenses. C’est pourquoi nous ne devrions prendre que les publications dont nous avons besoin. - mwb17.02 4 § 1 Évitons le gaspillage: Pour procurer de réels bienfaits, nos publications doivent être remises à des personnes qui recherchent la vérité, c’est-à-dire qui s’intéressent sincèrement à notre message et à notre œuvre (Mat. 10:11). Ne les laissons donc pas sans distinction à des gens qui ne manifestent pas un intérêt véritable pour le message de la Bible. Ce serait aussi gaspiller des périodiques, des livres ou d’autres publications que de les laisser s’accumuler chez nous. Puisque les périodiques sont datés, nous disposons d’un temps limité pour présenter chaque édition. Il nous faut donc faire un effort particulier pour participer au ministère et proposer ces périodiques aux personnes qui manifestent de l’intérêt. Si nos périodiques ont néanmoins tendance à s’accumuler, peut-être devrions-nous modifier notre programme pour consacrer davantage de temps à leur diffusion. Si cela ne nous est pas possible, il nous faut réduire notre demande. En suivant ces suggestions, nous nous montrerons de fidèles intendants de la faveur imméritée de Dieu - km 10/91 8 ˙ Quand nous prêchons ? (mwb17.02 4 § 2, encadré). Fais un bon usage des publications bibliques - Fais preuve de discernement quand tu donnes une publication à quelqu’un, même dans le cadre du témoignage public. Au lieu de simplement distribuer les publications aux passants, essaie de discuter avec eux pour savoir s’ils sont intéressés. Peux-tu répondre par l’affirmative à au moins une des questions de l’encadré de l’article ? Si tu n’arrives pas à savoir si une personne est intéressée, il vaut mieux lui laisser un tract. Bien entendu, si elle demande une revue ou une autre publication, nous la lui donnerons avec plaisir. - mwb17.02 4 § 2 Encadré EST-CE QUE LA PERSONNE... • écoute attentivement quand nous parlons ? • participe à la conversation ? • est d’accord pour lire la publication ? • propose, sans avoir été sollicitée, de faire un don ? • réagit favorablement quand nous lui lisons la Bible ? En prédication : Nous accordons une grande valeur à nos publications, conscients du message capital qu’elles transmettent et du coût de leur production. Nous ne devrions pas laisser nos publications aux gens qui n’apprécient pas vraiment le message de la Bible. Si une personne manifeste peu d’intérêt pour la bonne nouvelle, proposons-lui un dépliant au lieu d’une publication. Lorsque nous distribuons des publications, n’en déprécions pas la valeur. Ne les laissons pas dans les lieux publics de peur qu’elles ne se retrouvent par terre. Pour éviter tout gaspillage, faisons l’inventaire de nos publications avant d’en redemander. S’il nous reste régulièrement un surplus de périodiques, pensons à réduire notre commande. – km 9/02 p1 vidéo par écrit Une construction respectueuse de l’environnement -Rien n’a été gaspillé.docx
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