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RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 30 JUILLET 2018 - LUC 14-16


misette

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RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 30 JUILLET 2018 - LUC 14-16.docx

JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

Recherchons des perles spirituelles (8 min) : LUC 14-16

Luc 14:26 : Que signifie le verbe « haïr » dans ce contexte ? (nwtsty, note d’étude).

“ Si quelqu’un vient vers moi et ne hait pas son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, ses sœurs, et même sa propre vie, il ne peut pas être mon disciple »

Ne hait pas : Dans la Bible, le verbe « haïr » a plusieurs sens. Il peut se rapporter à un sentiment d’hostilité motivé par de la méchanceté, qui pousse quelqu’un à blesser les autres. Il peut également se rapporter au sentiment profond d’aversion ou de dégoût qu’un individu a pour une personne ou une chose, et qui fait qu’il ne veut rien avoir à faire avec cette personne ou cette chose. Ce terme peut aussi simplement signifier aimer à un degré moindre. Par exemple, quand il est dit que Léa était   « haïe » par Jacob et que Rachel était aimée, cela signifie que Jacob aimait moins Léa que Rachel (Gn 29:31, note ; Dt 21:15, note) ; ce terme est d’ailleurs employé dans ce sens dans d’autres ouvrages juifs anciens. Par conséquent, Jésus ne disait pas que ses disciples devaient avoir de l’hostilité ou du dégoût envers leur famille et envers eux-mêmes ; cela serait en contradiction avec le reste des Écritures. (Comparer avec Mc 12:29-31 ; Éph 5:28, 29, 33.) Dans ce contexte, « ne hait pas »

pourrait être rendu par « n’aime pas moins ». - nwtsty, note d’étude

Dans la Bible, ‘ haïr ’ peut signifier aimer moins une personne ou une chose qu’une autre. Les chrétiens doivent ‘ haïr ’ les membres de leur famille en ce sens qu’ils doivent les aimer moins que Jésus. – TG2008 15/3 p32 

Jésus ne voulait évidemment pas dire que ses disciples devraient haïr au sens propre les membres de leur famille, puisqu’il enseignait que chacun devait aimer même ses ennemis. Il voulait plutôt dire que ses disciples devaient aimer moins les membres de leur famille que Dieu. Dans le même ordre d’idée, la Bible relate que Jacob ‘haïssait’ Léa et aimait sa sœur Rachel, autrement dit qu’il n’aimait pas la première autant que la seconde (Genèse 29:30-32). Jésus a dit aussi que nous devrions aller jusqu’à haïr notre propre “âme”, notre vie, c’est-à-dire l’aimer moins que Jéhovah. – TG1995 1/10 p8

Luc 16:10-13 : Que voulait mettre en évidence Jésus concernant les « richesses injustes » ? (w17.07 8 § 7-8).

« Celui qui est fidèle dans les toutes petites choses est fidèle aussi dans les grandes, et celui qui est injuste dans les toutes petites choses est injuste aussi dans les grandes. Si donc vous n’avez pas été fidèles dans l’utilisation des richesses injustes, qui vous confiera les vraies richesses ? Et si vous n’avez pas été fidèles dans l’utilisation de ce qui appartient à un autre, qui vous donnera quelque chose pour vous ? Personne ne peut être l’esclave de deux maîtres : soit il haïra l’un et aimera l’autre, soit il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez pas être les esclaves de Dieu et de l’Argent. »

Recherchons les vraies richesses - L’intendant de l’exemple s’est fait des amis pour en retirer un avantage. Par contre, Jésus encourage ses disciples à se faire des amis dans le ciel dans un but non égoïste. Comme il le montre, les « richesses injustes » et la fidélité à Dieu sont liées. La leçon ? Nous pouvons nous montrer fidèles dans l’utilisation de nos « richesses injustes ». Alors comment les utiliser ?

Une façon évidente de nous montrer fidèles dans l’utilisation de nos biens, c’est de soutenir financièrement l’œuvre mondiale de prédication prédite par Jésus. En Inde, une fillette avait une tirelire dans laquelle elle mettait régulièrement des pièces. Pour la remplir, elle a même renoncé à s’acheter des jouets. Quand sa tirelire a été pleine, elle a donné l’argent pour qu’il serve à la prédication. Dans le même pays, un frère qui cultive des noix de coco en a offert une grande quantité à l’antenne de traduction en malayalam, en ayant ce raisonnement : « Puisque les frères doivent en acheter, si je leur en fournis directement, je fais une offrande plus intéressante que si je donnais de l’argent. » C’est de la sagesse pratique. De même, des frères de Grèce offrent régulièrement de l’huile d’olive, du fromage et d’autres aliments à la famille du Béthel. – TG2017 Juillet p8 §7-8

D’après le contexte, les paroles de Jésus consignées en Luc 16:10 concernaient d’abord l’utilisation des “ richesses injustes ”, autrement dit de nos ressources ou biens matériels. Elles sont qualifiées d’injustes parce que les richesses matérielles, l’argent notamment, sont sous le contrôle d’humains pécheurs. Qui plus est, le désir d’acquérir des richesses risque de mener à des actions injustes. Nous faisons preuve de fidélité en usant de sagesse dans la façon dont nous employons nos biens matériels. Au lieu de les utiliser égoïstement, nous voulons les utiliser pour servir les intérêts du Royaume et aider ceux qui sont dans le besoin. En étant fidèles à cet égard, nous nous faisons des amis de Jéhovah Dieu et de Jésus Christ, les propriétaires des “ demeures éternelles ”, qui nous y accueilleront et nous accorderont la vie sans fin, soit au ciel, soit dans le Paradis sur terre. – TG2005 15/7 p27-28

L’intendant est loué, non pour son injustice, mais pour sa sagesse pratique. L’intendant était chargé de s’occuper des affaires de son maître ; c’était une position de grande confiance (Gn 24:2 ; 39:4). Dans l’exemple de Jésus, le renvoi de l’intendant signifiait qu’il devait quitter la maison, sans moyen de subsistance. La réduction des sommes dues par les débiteurs de son maître ne lui rapporta pas d’argent, mais lui gagna des amis qui pourraient l’aider par la suite - it-1 p838

Étant donné que la possession ou le désir de richesses matérielles peuvent conduire à commettre des actes illégaux, il est possible qu’elles aient été qualifiées d’“ injustes ” pour cette raison, par contraste avec les richesses spirituelles. En outre, les richesses matérielles, en particulier l’argent, appartiennent en fait à “ César ” et sont sous sa domination ; c’est lui qui met l’argent en circulation et qui lui attribue une valeur donnée. Ces richesses sont éphémères, les conditions économiques et d’autres situations pouvant provoquer leur perte. Ainsi, celui qui possède de telles richesses ne devrait pas se fier à elles, ni les utiliser comme le monde en général à des fins égoïstes, par exemple dans le but d’amasser toujours plus de fortune. Il doit au contraire être vigilant et veiller à s’assurer l’amitié de ceux qui possèdent les habitations éternelles. Ce sont Jéhovah Dieu et son Fils Christ Jésus qui possèdent “ les habitations éternelles ” Ceux qui n’utilisent pas leurs “ richesses injustes ” de la bonne façon (comme en aidant les indigents et en favorisant la diffusion de “ la bonne nouvelle ”  ne peuvent en aucune manière être amis de Dieu et de son Fils, Christ Jésus. Leur manque de fidélité dans l’usage des richesses injustes montrera qu’ils ne sont pas dignes de se voir confier des richesses spirituelles. De telles personnes ne pourront jamais être d’excellents intendants de la faveur imméritée de Dieu, qui distribuent à autrui les richesses spirituelles - it-2 p800-801

 Jésus n’a pas dit  : « si les richesses injustes disparaissent », mais : « lorsqu’elles disparaîtront » (Luc 16:9). Les faillites bancaires et économiques qui ont eu lieu durant les derniers jours ne sont rien en comparaison de ce qui va arriver bientôt dans le monde entier. La totalité du système de Satan (politique, religion et commerce) va disparaître. Ézéchiel et Sophonie ont prophétisé que l’or et l’argent, deux métaux précieux qui depuis des siècles sont des bases du monde commercial, vont perdre toute valeur (Ézéch. 7:19 ; Soph. 1:18). Comment te sentirais-tu si, en arrivant à la fin de ta vie dans ce monde, tu réalisais que tu as sacrifié les vraies richesses pour une immense réserve de « richesses injustes » ? Tu te sentirais comme quelqu’un qui a travaillé toute sa vie pour amasser une grande quantité d’argent, et qui découvre finalement que c’est de la fausse monnaie. C’est sûr que les « richesses injustes » disparaîtront. Alors, ne manque pas l’occasion de les utiliser pour « te faire des amis » au ciel. Tout ce que nous faisons pour Jéhovah et son Royaume nous rend riches spirituellement. – TG2017 Juillet §16

Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?

La Bible montre que Dieu a des sentiments et que notre conduite a beaucoup d’importance à ses yeux. Quand les Israélites des temps anciens se sont rebellés contre lui, « ils le peinèrent » (Psaume 78:40). À l’inverse, il y a une grande « joie dans le ciel » quand quelqu’un abandonne ses mauvaises pratiques (Luc 15:7). Lorsqu’une personne devient sensible aux magnifiques qualités de son Père céleste, son amour pour lui grandit, ce qui la pousse à aimer ce qu’il aime et à haïr ce qu’il hait – TG2013  1/7

Au fil du temps, les anges ont constaté que la majorité des humains ne servaient pas leur Créateur plein d’amour. Quelle peine les anges fidèles ont-ils dû ressentir ! À l’inverse, quand un pécheur se repent et se tourne vers Jéhovah, “ il y a de la joie parmi les anges ”. (Luc 15:10.) Les anges se préoccupent sincèrement du bonheur des serviteurs de Jéhovah, et celui-ci les a bien souvent utilisés pour fortifier et protéger ses serviteurs fidèles sur la terre – TG2006  15/1

Miséricordieux et prêt à pardonner - Jésus savait que les humains imparfaits ont besoin de l’abondante miséricorde de Jéhovah. Dans sa parabole du fils prodigue, il a comparé Jéhovah à un père compatissant, prêt à pardonner, qui ouvre les bras à son fils repentant qui revient vers lui (Luc 15:11-32). Il nous garantit par-là que Jéhovah recherche dans le cœur d’un humain pécheur le moindre changement qui lui donnerait des raisons d’être miséricordieux. Jéhovah a le vif désir de pardonner au pécheur repentant. “ Je vous dis, explique Jésus, que c’est ainsi qu’il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de repentance. ” (Luc 15:7). Qui ne serait pas attiré par un Dieu aussi miséricordieux ? – TG2010 1/ 4 p6-7

LE FILS PRODIGUE - Que signifie l’exemple du fils prodigue ? Le père compatissant représente Jéhovah, notre Père céleste plein d’amour. Le fils qui réclame son héritage puis le dilapide représente les personnes qui se sont éloignées de la congrégation. En la quittant, c’est comme si elles étaient parties pour « un pays lointain », le monde de Satan, qui est éloigné de Jéhovah. Mais par la suite, certaines reviennent à la raison et font le difficile voyage retour vers l’organisation de Jéhovah. Notre Père prêt à pardonner accueille à bras ouverts ces humains humbles et repentants.

Pourquoi Jésus a-t-il pris cet exemple ? Il voulait montrer, de façon émouvante, que Jéhovah veut que les égarés reviennent à lui. Le père de l’exemple n’a jamais désespéré que son fils revienne. Quand il a aperçu son fils, pourtant « encore à une bonne distance », il s’est précipité à sa rencontre pour l’accueillir. Quel puissant encouragement, pour ceux qui ont quitté la vérité, à revenir à Jéhovah sans tarder ! Peut-être sont-ils épuisés spirituellement et éprouvent-ils des difficultés et une certaine honte à revenir. Mais l’effort en vaut la peine : à leur retour, même les cieux se réjouiront.

Comment tirer profit de l’exemple du fils prodigue ? Nous devrions imiter Jéhovah. Surtout, gardons-nous d’être « juste à l’excès », d’être justes au point de ne pas vouloir accueillir les pêcheurs repentants. Nous amènerions sur nous la « désolation » spirituelle. Autre enseignement : Considérons celui qui quitte la congrégation comme « une brebis perdue » plutôt qu’une cause perdue. Que ferons-nous si nous rencontrons quelqu’un qui s’est éloigné de la congrégation ? S’il n’est pas excommunié, lui proposerons-nous affectueusement de l’aider à revenir ? Dans tous les cas, informerons-nous rapidement les anciens pour qu’ils lui apportent l’aide nécessaire ? C’est une façon d’appliquer avec sagesse ce que nous enseigne l’exemple du fils prodigue. Même si certains quittent la vérité et se détournent de Jéhovah, ne désespérons jamais de les voir revenir. Et s’ils reviennent, accueillons-les d’une manière qui reflète le point de vue de Jéhovah. – TG2014 15/12

Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

Jésus a souligné l’importance de l’humilité. Sachant que les Pharisiens couraient après les honneurs, Jésus leur avait affirmé en une autre occasion : “ Car celui qui s’élève sera humilié, et celui qui s’humilie sera élevé. ” (Luc 14:11). À l’évidence, Jésus voulait que ses disciples soient humbles, c’est-à-dire exempts d’orgueil et d’arrogance. Examinons attentivement son exemple à cet égard, avec pour objectif de l’imiter. Nous verrons également en quoi l’humilité est bénéfique tant pour celui qui la manifeste que pour les autres. – TG2012 15.11 p10 §3

“Quand tu offres un repas, le midi ou le soir, n’invite pas tes amis, tes frères, les membres de ta famille ni des voisins riches.”Eux aussi pourraient t’invite en retour et cela deviendrait ta récompense.” (Luc 14:12). Jésus n’a pas voulu montrer par-là que nous ne devons pas recevoir nos amis et notre famille. Lui-même a été heureux de partager un repas avec ses amis à certaines occasions, par exemple chez Marthe et Marie. Par contre, il a voulu faire remarquer que lorsque nous manifestons l’hospitalité, nous ne devrions pas être motivés par le désir d’obtenir quelque chose en retour. – TG1986 1/15 p23

Pour être hospitaliers, nous n’avons pas besoin de préparer quelque chose de compliqué ou de coûteux ; nous ne voudrons pas non plus inviter uniquement ceux qui pourront nous le rendre d’une façon ou d’une autre (Luc 14:12-14). Notre but est d’encourager, pas d’impressionner. Compte tenu de nos emplois du temps chargés et du stress de la vie quotidienne, il est des plus importants de ne pas oublier l’hospitalité  - TG2016 Janvier p7-11 §12

Comme Jésus l’a précisé ensuite, lorsque nous envisageons de recevoir, nous devons d’abord penser à ceux qui en retireront le plus de bienfaits (Luc 14:13). Il peut s’agir de ceux qui ont besoin d’encouragement, des nouveaux dans la vérité, de ceux qui sont timides, qui ont tendance à être renfermés ou qui sont âgés. De toute évidence, le but de tels moments n’est pas seulement de se distraire ensemble. Nous nous encourageons mutuellement et nous renforçons le lien d’amour qui unit les adorateurs de Jéhovah. Par conséquent, nous devrions surtout nous efforcer d’entretenir une ambiance stimulante et édifiante plutôt que de mettre l’accent sur l’abondance de nourriture et de boisson. Que dire en outre des activités et des conversations que nous avons en de telles occasions? Même si elles ne sont pas toutes centrées sur la Bible, ce serait faire preuve de sagesse et d’amour que d’en profiter pour s’encourager mutuellement - TG1986 1/15 p23

Au sens figuré. L’expression “ poteau de supplice ” désigne parfois les souffrances, la honte ou les supplices que quelqu’un endure parce qu’il est disciple de Jésus Christ. Jésus déclara : « Celui qui ne porte pas son poteau de supplice et ne me suit pas ne peut pas être mon disciple ». Luc 14 :27. Être disciple de Jésus, c’est aller au-devant d’épreuves et de persécutions: “Quiconque ne porte pas son poteau de supplice et ne vient pas à ma suite ne peut être mon disciple.” Par conséquent, un vrai disciple doit être disposé à porter le même poids d’opprobre que Jésus a enduré, opprobre pouvant aller si nécessaire jusqu’à la mort entre les mains des ennemis de Dieu, et c’est d’ailleurs ce qui attend Jésus. – TG1989 1/1 p8

Alors qu’il prenait un repas chez un chef des Pharisiens, Jésus a utilisé un exemple pour annoncer que des personnes d’origines diverses se verraient offrir l’accès au Royaume des cieux. Cette parabole rappelle aussi le danger de se chercher des excuses. Luc 14:16-21 Les invités ont tous invoqué des prétextes pour ne pas assister au festin. L’un a prétendu qu’il voulait aller voir un champ qu’il venait d’acquérir. Un autre a expliqué qu’il devait examiner des têtes de bétail qu’il venait d’acheter. Et un autre encore a répondu : ‘ Je ne peux pas venir parce que je viens de me marier. ’ De bien piètres excuses ! En général, c’est avant d’acheter un champ ou du bétail que l’on s’inquiète de savoir dans quel état ils sont ; après, il n’y a plus vraiment urgence. Et puis, qu’est-ce qui empêche un jeune marié d’accepter une invitation aussi exceptionnelle ? Le maître de maison avait de quoi s’indigner. 10 Cette parabole comporte une leçon pour nous tous. Laquelle ? Nous devons veiller à ne pas laisser les occupations de la vie profane, comme celles que cite Jésus, prendre le pas sur le culte que nous rendons à Dieu. Si un chrétien accorde une importance exagérée à de telles occupations, son zèle dans le ministère s’en ressentira peu à peu. Pour ne pas nous laisser accaparer, suivons la recommandation de Jésus : “ Continuez [...] à chercher d’abord le royaume. ” (Mat. 6:33). Qu’il est encourageant de voir les serviteurs de Jéhovah, jeunes ou moins jeunes, appliquer ce conseil  - TG2010  15/4 p26 §9,10

Établir un budget. C’est la seule façon pratique de contrôler ou de réduire vos dépenses. Un bon budget vous permet de savoir où va votre argent, et il peut vous aider à atteindre vos objectifs financiers. Connaissez votre revenu, et dépensez moins que vous ne gagnez. Apprenez la différence entre besoins et envies. À ce sujet, Jésus a encouragé avec sagesse ses auditeurs à “ calculer la dépense ” avant d’entreprendre un projet (Luc 14:28). Il est sage de ne pas vivre au-dessus de ses moyens. La Bible nous conseille d’éviter toute dette inutile. – RV2009 Mars p5

Luc chapitre 15 rapporte une illustration puissante de Jésus à propos d’un homme qui avait 100 brebis. Quand l’une d’elles a disparu, le berger a laissé les 99 autres dans le désert et a recherché la brebis perdue « jusqu’à ce qu’il la trouve ». Jésus poursuit : « Quand il l’a trouvée, il la met sur ses épaules et se réjouit. Jésus conclut : « Je vous dis que, de la même façon, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent que pour 99 justes qui n’ont pas besoin de se repentir.» (Luc 15:7). Le contexte montre que Jésus cherchait ici à corriger le point de vue des scribes et des Pharisiens, qui lui reprochaient de fréquenter des collecteurs d’impôts et des pécheurs (Luc 15:1-3). Jésus a fait remarquer qu’il y a de la joie dans le ciel quand un pécheur se repent. Alors demandons-nous : « S’il y a de la joie dans le ciel, ne devrions-nous pas nous aussi nous réjouir quand un pécheur se repent, revient de sa voie mauvaise et fait “des sentiers droits pour [ses] pieds” ? » (Héb. 12:13). Quand quelqu’un est réintégré, nous avons de bonnes raisons de nous réjouir. Cette personne devra bien sûr rester fidèle à Dieu, mais pour être réintégrée, elle a dû montrer sa repentance, et cela nous réjouit. Par conséquent, des applaudissements spontanés et dignes peuvent être tout à fait appropriés quand les anciens annoncent une réintégration. TG2016 mai p32

Jésus a dit à ses disciples : « Par exemple, si l’un de vous veut construire une tour, est-ce qu’il ne s’assied pas d’abord pour calculer ce qu’elle lui coûtera et voir s’il a de quoi la terminer ? » Quand une famille envisage de se déplacer dans une autre région, une bonne préparation est essentielle. Quels aspects faut-il prendre en compte ? LA SPIRITUALITÉ l’a renforcé, L’ÉLOIGNEMENT sur ce qu’on laisse derrière soi et réfléchir aux bienfaits que ce changement nous apporterait, LA CULTURE se préparer au nouvel environnement. Les proclamateurs qui trouvent de la joie à se dépenser là où il y a besoin de renfort soulignent l’importance d’être souple et positif face à des difficultés inattendues. – TG2016/1

Que représentait la perte d’une drachme pour les auditeurs de Jésus ? Dans une parabole, Jésus parle d’une femme qui, ayant perdu une des dix drachmes qu’elle possède, prend une lampe et balaie sa maison avec soin jusqu’à ce qu’elle la retrouve (Luc 15:8-10). À l’époque, une drachme équivalait presque au salaire d’une journée. Jésus évoquait donc une perte financière non négligeable. Mais la scène décrite était réaliste pour d’autres raisons encore.

D’après certaines sources, les femmes se servaient souvent de pièces de monnaie comme d’ornements. Dès lors, Jésus faisait peut-être allusion à l’élément d’une dot ou d’un héritage familial précieux. Que ce soit le cas ou non, on comprend que la femme ayant perdu sa drachme ait été extrêmement soucieuse de la récupérer.

En outre, aux jours de Jésus, les maisons modestes étaient conçues pour que la lumière et la chaleur pénètrent le moins possible. Elles avaient peu ou pas de fenêtres. Le sol était d’ordinaire recouvert de paille ou de tiges séchées de divers végétaux. Si on y faisait tomber une pièce, il était difficile de la retrouver. “ C’est pourquoi, note un commentateur, quand on perdait un objet plutôt petit comme une pièce de monnaie dans un tel endroit, le plus naturel pour le récupérer était de balayer la maison en s’éclairant d’une lampe. ”- TG2012 1/12 p21

La drachme d’argent était une monnaie grecque qui équivalait presque à une journée complète de travail (Luc 15:8, 9). Deux drachmes étaient l’impôt du temple dont tous les Juifs de sexe masculin s’acquittaient chaque année. – TG2011 1/5 p24

Se pourrait-il que l’exemple de la drachme perdue touche une sœur ou un frère qui s’est éloigné de la congrégation ou qui a perdu son zèle ? (Luc 15:8-10). La drachme égarée appartenait peut-être à un collier de prix constitué de plusieurs autres pièces de monnaie en argent. L’analyse de cet exemple pourrait aider la sœur ou le frère à comprendre qu’elle est un membre précieux de la congrégation chrétienne. Ensuite, tu pourrais lui rappeler à quel point Jéhovah se soucie d’elle, comme de toutes ses autres petites brebis. Tu pourrais aussi réconforter un compagnon en évoquant un personnage biblique dans lequel il peut se reconnaître. S’il est déprimé, il se retrouvera probablement dans des personnages comme Hannah ou Épaphrodite qui, bien qu’ayant été profondément découragés, sont restés précieux aux yeux de Dieu. Ainsi, quand cela s’y prête, n’hésite pas à utiliser de beaux exemples bibliques. – TG2013  15/6

Celui qui s’est vu confier la responsabilité de soutenir une brebis égarée pourrait se servir de l’exemple de Jésus rapporté en Luc 15:11-24. Dans cette parabole, un jeune homme dissipe son héritage en menant une vie de débauche, vie qu’il finit par avoir en horreur. Il a faim ; sa famille lui manque. C’est décidé : il rentre à la maison ! Tandis qu’il est encore loin, son père le voit, il court se jeter à son cou et l’embrasse tendrement. Quelle joie pour ce père ! S’il médite sur cet exemple, celui qui est allé à la dérive sera peut-être plus enclin au retour. Sachant que ce système de choses est près d’être détruit, il devrait “ rentrer à la maison ” dès maintenant.

La plupart de ceux qui vont à la dérive ne sont pas semblables en tout point au fils prodigue. Certains s’éloignent petit à petit, comme un bateau qui dérive lentement et s’écarte de la côte. Il en est qui, écrasés par le poids des inquiétudes, perdent de vue les choses spirituelles. D’autres sont choqués par l’attitude d’un compagnon chrétien. D’autres encore quittent la congrégation parce qu’ils ne sont pas d’accord avec la compréhension d’un enseignement biblique. Quelques-uns cèdent à une conduite contraire aux Écritures. Les conseils proposés ici pour chacune de ces situations vous seront utiles afin d’inciter au retour, avant qu’il ne soit trop tard, ceux qui ont abandonné le troupeau pour ces raisons ou pour d’autres. – TG2008  15/11

Les chefs religieux manifestaient une indifférence totale à l’égard des nécessiteux. Ces hommes sont présentés comme ‘ aimant l’argent ’ et ‘ dévorant les maisons des veuves ’. Ils se souciaient plus de leurs traditions que des personnes âgées et des indigents (Luc 16:14) Jésus était parfaitement conscient des difficultés des pauvres et qu’il était attentif à leurs besoins. Jésus faisait plus qu’éprouver de la compassion pour les pauvres ; il s’intéressait activement à leurs besoins. Ses apôtres et lui avaient une caisse commune dans laquelle ils puisaient pour aider les Israélites démunis. De nos jours également, les vrais chrétiens sont conscients que les disciples de Jésus doivent se soucier des pauvres, surtout s’ils partagent leur foi. Ils s’intéressent donc sincèrement à la situation matérielle des défavorisés quand il se produit des catastrophes. Aussi encourageantes que soient de telles initiatives, il est clair qu’elles ne suffiront pas à faire disparaître la pauvreté. C’est vrai, des pays riches et de grandes organisations humanitaires obtiennent certains résultats, mais ils sont incapables d’éliminer la pauvreté. Et pourtant ce mal séculaire et les autres plaies qui affligent l’humanité seront bel et bien supprimés. – TG2006  1/5

Le récit de Luc 16:19-31 est-il littéral ou n’est-il qu’une illustration ? Dans une note en bas de page, la Bible de Jérusalem reconnaît qu’il s’agit d’une “histoire-parabole, sans aucune attache historique”. Si l’on prenait ce récit au pied de la lettre, il faudrait conclure que ceux qui jouissent de la faveur divine vont tous dans le sein d’un seul homme, Abraham; qu’un peu d’eau sur le bout d’un doigt ne s’évapore pas dans le feu de l’Hadès; qu’une simple goutte d’eau soulage les souffrances de quelqu’un qui s’y trouve. Cela vous semble-t-il raisonnable? Si ces paroles étaient littérales, elles seraient en contradiction avec d’autres parties de la Bible. Or, si les Écritures se contredisaient ainsi, une personne sincère en ferait-elle le fondement de sa foi? En fait, la Parole de Dieu ne se contredit pas.

Que signifie cette parabole ? L’“homme riche” représentait les Pharisiens. (verset 14.) Le mendiant, Lazare, symbolisait le commun peuple, autrement dit les Juifs que méprisaient les Pharisiens, mais qui se sont repentis et sont devenus disciples de Jésus. Leur mort aussi est une image; elle marque un changement de condition à la suite duquel ceux qui étaient méprisés reçoivent une position de faveur devant Dieu, tandis que Dieu rejette ceux qui semblaient approuvés; ces derniers sont tourmentés par les messages de jugement transmis par ceux qu’ils méprisaient. - rs p128-129

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JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

Recherchons des perles spirituelles (8 min) : LUC 14-16

Luc 14:26 : Que signifie le verbe « haïr » dans ce contexte ? (nwtsty, note d’étude).

“ Si quelqu’un vient vers moi et ne hait pas son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, ses sœurs, et même sa propre vie, il ne peut pas être mon disciple »

Ne hait pas : Dans la Bible, le verbe « haïr » a plusieurs sens. Il peut se rapporter à un sentiment d’hostilité motivé par de la méchanceté, qui pousse quelqu’un à blesser les autres. Il peut également se rapporter au sentiment profond d’aversion ou de dégoût qu’un individu a pour une personne ou une chose, et qui fait qu’il ne veut rien avoir à faire avec cette personne ou cette chose. Ce terme peut aussi simplement signifier aimer à un degré moindre. Par exemple, quand il est dit que Léa était   « haïe » par Jacob et que Rachel était aimée, cela signifie que Jacob aimait moins Léa que Rachel (Gn 29:31, note ; Dt 21:15, note) ; ce terme est d’ailleurs employé dans ce sens dans d’autres ouvrages juifs anciens. Par conséquent, Jésus ne disait pas que ses disciples devaient avoir de l’hostilité ou du dégoût envers leur famille et envers eux-mêmes ; cela serait en contradiction avec le reste des Écritures. (Comparer avec Mc 12:29-31 ; Éph 5:28, 29, 33.) Dans ce contexte, « ne hait pas »

pourrait être rendu par « n’aime pas moins ». - nwtsty, note d’étude

Dans la Bible, ‘ haïr ’ peut signifier aimer moins une personne ou une chose qu’une autre. Les chrétiens doivent ‘ haïr ’ les membres de leur famille en ce sens qu’ils doivent les aimer moins que Jésus. – TG2008 15/3 p32 

Jésus ne voulait évidemment pas dire que ses disciples devraient haïr au sens propre les membres de leur famille, puisqu’il enseignait que chacun devait aimer même ses ennemis. Il voulait plutôt dire que ses disciples devaient aimer moins les membres de leur famille que Dieu. Dans le même ordre d’idée, la Bible relate que Jacob ‘haïssait’ Léa et aimait sa sœur Rachel, autrement dit qu’il n’aimait pas la première autant que la seconde (Genèse 29:30-32). Jésus a dit aussi que nous devrions aller jusqu’à haïr notre propre “âme”, notre vie, c’est-à-dire l’aimer moins que Jéhovah. – TG1995 1/10 p8

Luc 16:10-13 : Que voulait mettre en évidence Jésus concernant les « richesses injustes » ? (w17.07 8 § 7-8).

« Celui qui est fidèle dans les toutes petites choses est fidèle aussi dans les grandes, et celui qui est injuste dans les toutes petites choses est injuste aussi dans les grandes. Si donc vous n’avez pas été fidèles dans l’utilisation des richesses injustes, qui vous confiera les vraies richesses ? Et si vous n’avez pas été fidèles dans l’utilisation de ce qui appartient à un autre, qui vous donnera quelque chose pour vous ? Personne ne peut être l’esclave de deux maîtres : soit il haïra l’un et aimera l’autre, soit il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez pas être les esclaves de Dieu et de l’Argent. »

Recherchons les vraies richesses - L’intendant de l’exemple s’est fait des amis pour en retirer un avantage. Par contre, Jésus encourage ses disciples à se faire des amis dans le ciel dans un but non égoïste. Comme il le montre, les « richesses injustes » et la fidélité à Dieu sont liées. La leçon ? Nous pouvons nous montrer fidèles dans l’utilisation de nos « richesses injustes ». Alors comment les utiliser ?

Une façon évidente de nous montrer fidèles dans l’utilisation de nos biens, c’est de soutenir financièrement l’œuvre mondiale de prédication prédite par Jésus. En Inde, une fillette avait une tirelire dans laquelle elle mettait régulièrement des pièces. Pour la remplir, elle a même renoncé à s’acheter des jouets. Quand sa tirelire a été pleine, elle a donné l’argent pour qu’il serve à la prédication. Dans le même pays, un frère qui cultive des noix de coco en a offert une grande quantité à l’antenne de traduction en malayalam, en ayant ce raisonnement : « Puisque les frères doivent en acheter, si je leur en fournis directement, je fais une offrande plus intéressante que si je donnais de l’argent. » C’est de la sagesse pratique. De même, des frères de Grèce offrent régulièrement de l’huile d’olive, du fromage et d’autres aliments à la famille du Béthel. – TG2017 Juillet p8 §7-8

D’après le contexte, les paroles de Jésus consignées en Luc 16:10 concernaient d’abord l’utilisation des “ richesses injustes ”, autrement dit de nos ressources ou biens matériels. Elles sont qualifiées d’injustes parce que les richesses matérielles, l’argent notamment, sont sous le contrôle d’humains pécheurs. Qui plus est, le désir d’acquérir des richesses risque de mener à des actions injustes. Nous faisons preuve de fidélité en usant de sagesse dans la façon dont nous employons nos biens matériels. Au lieu de les utiliser égoïstement, nous voulons les utiliser pour servir les intérêts du Royaume et aider ceux qui sont dans le besoin. En étant fidèles à cet égard, nous nous faisons des amis de Jéhovah Dieu et de Jésus Christ, les propriétaires des “ demeures éternelles ”, qui nous y accueilleront et nous accorderont la vie sans fin, soit au ciel, soit dans le Paradis sur terre. – TG2005 15/7 p27-28

L’intendant est loué, non pour son injustice, mais pour sa sagesse pratique. L’intendant était chargé de s’occuper des affaires de son maître ; c’était une position de grande confiance (Gn 24:2 ; 39:4). Dans l’exemple de Jésus, le renvoi de l’intendant signifiait qu’il devait quitter la maison, sans moyen de subsistance. La réduction des sommes dues par les débiteurs de son maître ne lui rapporta pas d’argent, mais lui gagna des amis qui pourraient l’aider par la suite - it-1 p838

Étant donné que la possession ou le désir de richesses matérielles peuvent conduire à commettre des actes illégaux, il est possible qu’elles aient été qualifiées d’“ injustes ” pour cette raison, par contraste avec les richesses spirituelles. En outre, les richesses matérielles, en particulier l’argent, appartiennent en fait à “ César ” et sont sous sa domination ; c’est lui qui met l’argent en circulation et qui lui attribue une valeur donnée. Ces richesses sont éphémères, les conditions économiques et d’autres situations pouvant provoquer leur perte. Ainsi, celui qui possède de telles richesses ne devrait pas se fier à elles, ni les utiliser comme le monde en général à des fins égoïstes, par exemple dans le but d’amasser toujours plus de fortune. Il doit au contraire être vigilant et veiller à s’assurer l’amitié de ceux qui possèdent les habitations éternelles. Ce sont Jéhovah Dieu et son Fils Christ Jésus qui possèdent “ les habitations éternelles ” Ceux qui n’utilisent pas leurs “ richesses injustes ” de la bonne façon (comme en aidant les indigents et en favorisant la diffusion de “ la bonne nouvelle ”  ne peuvent en aucune manière être amis de Dieu et de son Fils, Christ Jésus. Leur manque de fidélité dans l’usage des richesses injustes montrera qu’ils ne sont pas dignes de se voir confier des richesses spirituelles. De telles personnes ne pourront jamais être d’excellents intendants de la faveur imméritée de Dieu, qui distribuent à autrui les richesses spirituelles - it-2 p800-801

 

 

 

Jésus n’a pas dit  : « si les richesses injustes disparaissent », mais : « lorsqu’elles disparaîtront » (Luc 16:9). Les faillites bancaires et économiques qui ont eu lieu durant les derniers jours ne sont rien en comparaison de ce qui va arriver bientôt dans le monde entier. La totalité du système de Satan (politique, religion et commerce) va disparaître. Ézéchiel et Sophonie ont prophétisé que l’or et l’argent, deux métaux précieux qui depuis des siècles sont des bases du monde commercial, vont perdre toute valeur (Ézéch. 7:19 ; Soph. 1:18). Comment te sentirais-tu si, en arrivant à la fin de ta vie dans ce monde, tu réalisais que tu as sacrifié les vraies richesses pour une immense réserve de « richesses injustes » ? Tu te sentirais comme quelqu’un qui a travaillé toute sa vie pour amasser une grande quantité d’argent, et qui découvre finalement que c’est de la fausse monnaie. C’est sûr que les « richesses injustes » disparaîtront. Alors, ne manque pas l’occasion de les utiliser pour « te faire des amis » au ciel. Tout ce que nous faisons pour Jéhovah et son Royaume nous rend riches spirituellement. – TG2017 Juillet §16

Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?

La Bible montre que Dieu a des sentiments et que notre conduite a beaucoup d’importance à ses yeux. Quand les Israélites des temps anciens se sont rebellés contre lui, « ils le peinèrent » (Psaume 78:40). À l’inverse, il y a une grande « joie dans le ciel » quand quelqu’un abandonne ses mauvaises pratiques (Luc 15:7). Lorsqu’une personne devient sensible aux magnifiques qualités de son Père céleste, son amour pour lui grandit, ce qui la pousse à aimer ce qu’il aime et à haïr ce qu’il hait – TG2013  1/7

Au fil du temps, les anges ont constaté que la majorité des humains ne servaient pas leur Créateur plein d’amour. Quelle peine les anges fidèles ont-ils dû ressentir ! À l’inverse, quand un pécheur se repent et se tourne vers Jéhovah, “ il y a de la joie parmi les anges ”. (Luc 15:10.) Les anges se préoccupent sincèrement du bonheur des serviteurs de Jéhovah, et celui-ci les a bien souvent utilisés pour fortifier et protéger ses serviteurs fidèles sur la terre – TG2006  15/1

Miséricordieux et prêt à pardonner - Jésus savait que les humains imparfaits ont besoin de l’abondante miséricorde de Jéhovah. Dans sa parabole du fils prodigue, il a comparé Jéhovah à un père compatissant, prêt à pardonner, qui ouvre les bras à son fils repentant qui revient vers lui (Luc 15:11-32). Il nous garantit par-là que Jéhovah recherche dans le cœur d’un humain pécheur le moindre changement qui lui donnerait des raisons d’être miséricordieux. Jéhovah a le vif désir de pardonner au pécheur repentant. “ Je vous dis, explique Jésus, que c’est ainsi qu’il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de repentance. ” (Luc 15:7). Qui ne serait pas attiré par un Dieu aussi miséricordieux ? – TG2010 1/ 4 p6-7

LE FILS PRODIGUE - Que signifie l’exemple du fils prodigue ? Le père compatissant représente Jéhovah, notre Père céleste plein d’amour. Le fils qui réclame son héritage puis le dilapide représente les personnes qui se sont éloignées de la congrégation. En la quittant, c’est comme si elles étaient parties pour « un pays lointain », le monde de Satan, qui est éloigné de Jéhovah. Mais par la suite, certaines reviennent à la raison et font le difficile voyage retour vers l’organisation de Jéhovah. Notre Père prêt à pardonner accueille à bras ouverts ces humains humbles et repentants.

Pourquoi Jésus a-t-il pris cet exemple ? Il voulait montrer, de façon émouvante, que Jéhovah veut que les égarés reviennent à lui. Le père de l’exemple n’a jamais désespéré que son fils revienne. Quand il a aperçu son fils, pourtant « encore à une bonne distance », il s’est précipité à sa rencontre pour l’accueillir. Quel puissant encouragement, pour ceux qui ont quitté la vérité, à revenir à Jéhovah sans tarder ! Peut-être sont-ils épuisés spirituellement et éprouvent-ils des difficultés et une certaine honte à revenir. Mais l’effort en vaut la peine : à leur retour, même les cieux se réjouiront.

Comment tirer profit de l’exemple du fils prodigue ? Nous devrions imiter Jéhovah. Surtout, gardons-nous d’être « juste à l’excès », d’être justes au point de ne pas vouloir accueillir les pêcheurs repentants. Nous amènerions sur nous la « désolation » spirituelle. Autre enseignement : Considérons celui qui quitte la congrégation comme « une brebis perdue » plutôt qu’une cause perdue. Que ferons-nous si nous rencontrons quelqu’un qui s’est éloigné de la congrégation ? S’il n’est pas excommunié, lui proposerons-nous affectueusement de l’aider à revenir ? Dans tous les cas, informerons-nous rapidement les anciens pour qu’ils lui apportent l’aide nécessaire ? C’est une façon d’appliquer avec sagesse ce que nous enseigne l’exemple du fils prodigue. Même si certains quittent la vérité et se détournent de Jéhovah, ne désespérons jamais de les voir revenir. Et s’ils reviennent, accueillons-les d’une manière qui reflète le point de vue de Jéhovah. – TG2014 15/12

Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

Jésus a souligné l’importance de l’humilité. Sachant que les Pharisiens couraient après les honneurs, Jésus leur avait affirmé en une autre occasion : “ Car celui qui s’élève sera humilié, et celui qui s’humilie sera élevé. ” (Luc 14:11). À l’évidence, Jésus voulait que ses disciples soient humbles, c’est-à-dire exempts d’orgueil et d’arrogance. Examinons attentivement son exemple à cet égard, avec pour objectif de l’imiter. Nous verrons également en quoi l’humilité est bénéfique tant pour celui qui la manifeste que pour les autres. – TG2012 15.11 p10 §3

“Quand tu offres un repas, le midi ou le soir, n’invite pas tes amis, tes frères, les membres de ta famille ni des voisins riches.”Eux aussi pourraient t’invite en retour et cela deviendrait ta récompense.” (Luc 14:12). Jésus n’a pas voulu montrer par-là que nous ne devons pas recevoir nos amis et notre famille. Lui-même a été heureux de partager un repas avec ses amis à certaines occasions, par exemple chez Marthe et Marie. Par contre, il a voulu faire remarquer que lorsque nous manifestons l’hospitalité, nous ne devrions pas être motivés par le désir d’obtenir quelque chose en retour. – TG1986 1/15 p23

Pour être hospitaliers, nous n’avons pas besoin de préparer quelque chose de compliqué ou de coûteux ; nous ne voudrons pas non plus inviter uniquement ceux qui pourront nous le rendre d’une façon ou d’une autre (Luc 14:12-14). Notre but est d’encourager, pas d’impressionner. Compte tenu de nos emplois du temps chargés et du stress de la vie quotidienne, il est des plus importants de ne pas oublier l’hospitalité  - TG2016 Janvier p7-11 §12

Comme Jésus l’a précisé ensuite, lorsque nous envisageons de recevoir, nous devons d’abord penser à ceux qui en retireront le plus de bienfaits (Luc 14:13). Il peut s’agir de ceux qui ont besoin d’encouragement, des nouveaux dans la vérité, de ceux qui sont timides, qui ont tendance à être renfermés ou qui sont âgés. De toute évidence, le but de tels moments n’est pas seulement de se distraire ensemble. Nous nous encourageons mutuellement et nous renforçons le lien d’amour qui unit les adorateurs de Jéhovah. Par conséquent, nous devrions surtout nous efforcer d’entretenir une ambiance stimulante et édifiante plutôt que de mettre l’accent sur l’abondance de nourriture et de boisson. Que dire en outre des activités et des conversations que nous avons en de telles occasions? Même si elles ne sont pas toutes centrées sur la Bible, ce serait faire preuve de sagesse et d’amour que d’en profiter pour s’encourager mutuellement - TG1986 1/15 p23

Au sens figuré. L’expression “ poteau de supplice ” désigne parfois les souffrances, la honte ou les supplices que quelqu’un endure parce qu’il est disciple de Jésus Christ. Jésus déclara : « Celui qui ne porte pas son poteau de supplice et ne me suit pas ne peut pas être mon disciple ». Luc 14 :27. Être disciple de Jésus, c’est aller au-devant d’épreuves et de persécutions: “Quiconque ne porte pas son poteau de supplice et ne vient pas à ma suite ne peut être mon disciple.” Par conséquent, un vrai disciple doit être disposé à porter le même poids d’opprobre que Jésus a enduré, opprobre pouvant aller si nécessaire jusqu’à la mort entre les mains des ennemis de Dieu, et c’est d’ailleurs ce qui attend Jésus. – TG1989 1/1 p8

Alors qu’il prenait un repas chez un chef des Pharisiens, Jésus a utilisé un exemple pour annoncer que des personnes d’origines diverses se verraient offrir l’accès au Royaume des cieux. Cette parabole rappelle aussi le danger de se chercher des excuses. Luc 14:16-21 Les invités ont tous invoqué des prétextes pour ne pas assister au festin. L’un a prétendu qu’il voulait aller voir un champ qu’il venait d’acquérir. Un autre a expliqué qu’il devait examiner des têtes de bétail qu’il venait d’acheter. Et un autre encore a répondu : ‘ Je ne peux pas venir parce que je viens de me marier. ’ De bien piètres excuses ! En général, c’est avant d’acheter un champ ou du bétail que l’on s’inquiète de savoir dans quel état ils sont ; après, il n’y a plus vraiment urgence. Et puis, qu’est-ce qui empêche un jeune marié d’accepter une invitation aussi exceptionnelle ? Le maître de maison avait de quoi s’indigner. 10 Cette parabole comporte une leçon pour nous tous. Laquelle ? Nous devons veiller à ne pas laisser les occupations de la vie profane, comme celles que cite Jésus, prendre le pas sur le culte que nous rendons à Dieu. Si un chrétien accorde une importance exagérée à de telles occupations, son zèle dans le ministère s’en ressentira peu à peu. Pour ne pas nous laisser accaparer, suivons la recommandation de Jésus : “ Continuez [...] à chercher d’abord le royaume. ” (Mat. 6:33). Qu’il est encourageant de voir les serviteurs de Jéhovah, jeunes ou moins jeunes, appliquer ce conseil  - TG2010  15/4 p26 §9,10

Établir un budget. C’est la seule façon pratique de contrôler ou de réduire vos dépenses. Un bon budget vous permet de savoir où va votre argent, et il peut vous aider à atteindre vos objectifs financiers. Connaissez votre revenu, et dépensez moins que vous ne gagnez. Apprenez la différence entre besoins et envies. À ce sujet, Jésus a encouragé avec sagesse ses auditeurs à “ calculer la dépense ” avant d’entreprendre un projet (Luc 14:28). Il est sage de ne pas vivre au-dessus de ses moyens. La Bible nous conseille d’éviter toute dette inutile. – RV2009 Mars p5

Luc chapitre 15 rapporte une illustration puissante de Jésus à propos d’un homme qui avait 100 brebis. Quand l’une d’elles a disparu, le berger a laissé les 99 autres dans le désert et a recherché la brebis perdue « jusqu’à ce qu’il la trouve ». Jésus poursuit : « Quand il l’a trouvée, il la met sur ses épaules et se réjouit. Jésus conclut : « Je vous dis que, de la même façon, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent que pour 99 justes qui n’ont pas besoin de se repentir.» (Luc 15:7). Le contexte montre que Jésus cherchait ici à corriger le point de vue des scribes et des Pharisiens, qui lui reprochaient de fréquenter des collecteurs d’impôts et des pécheurs (Luc 15:1-3). Jésus a fait remarquer qu’il y a de la joie dans le ciel quand un pécheur se repent. Alors demandons-nous : « S’il y a de la joie dans le ciel, ne devrions-nous pas nous aussi nous réjouir quand un pécheur se repent, revient de sa voie mauvaise et fait “des sentiers droits pour [ses] pieds” ? » (Héb. 12:13). Quand quelqu’un est réintégré, nous avons de bonnes raisons de nous réjouir. Cette personne devra bien sûr rester fidèle à Dieu, mais pour être réintégrée, elle a dû montrer sa repentance, et cela nous réjouit. Par conséquent, des applaudissements spontanés et dignes peuvent être tout à fait appropriés quand les anciens annoncent une réintégration. TG2016 mai p32

Jésus a dit à ses disciples : « Par exemple, si l’un de vous veut construire une tour, est-ce qu’il ne s’assied pas d’abord pour calculer ce qu’elle lui coûtera et voir s’il a de quoi la terminer ? » Quand une famille envisage de se déplacer dans une autre région, une bonne préparation est essentielle. Quels aspects faut-il prendre en compte ? LA SPIRITUALITÉ l’a renforcé, L’ÉLOIGNEMENT sur ce qu’on laisse derrière soi et réfléchir aux bienfaits que ce changement nous apporterait, LA CULTURE se préparer au nouvel environnement. Les proclamateurs qui trouvent de la joie à se dépenser là où il y a besoin de renfort soulignent l’importance d’être souple et positif face à des difficultés inattendues. – TG2016/1

Que représentait la perte d’une drachme pour les auditeurs de Jésus ? Dans une parabole, Jésus parle d’une femme qui, ayant perdu une des dix drachmes qu’elle possède, prend une lampe et balaie sa maison avec soin jusqu’à ce qu’elle la retrouve (Luc 15:8-10). À l’époque, une drachme équivalait presque au salaire d’une journée. Jésus évoquait donc une perte financière non négligeable. Mais la scène décrite était réaliste pour d’autres raisons encore.

D’après certaines sources, les femmes se servaient souvent de pièces de monnaie comme d’ornements. Dès lors, Jésus faisait peut-être allusion à l’élément d’une dot ou d’un héritage familial précieux. Que ce soit le cas ou non, on comprend que la femme ayant perdu sa drachme ait été extrêmement soucieuse de la récupérer.

En outre, aux jours de Jésus, les maisons modestes étaient conçues pour que la lumière et la chaleur pénètrent le moins possible. Elles avaient peu ou pas de fenêtres. Le sol était d’ordinaire recouvert de paille ou de tiges séchées de divers végétaux. Si on y faisait tomber une pièce, il était difficile de la retrouver. “ C’est pourquoi, note un commentateur, quand on perdait un objet plutôt petit comme une pièce de monnaie dans un tel endroit, le plus naturel pour le récupérer était de balayer la maison en s’éclairant d’une lampe. ”- TG2012 1/12 p21

La drachme d’argent était une monnaie grecque qui équivalait presque à une journée complète de travail (Luc 15:8, 9). Deux drachmes étaient l’impôt du temple dont tous les Juifs de sexe masculin s’acquittaient chaque année. – TG2011 1/5 p24

Se pourrait-il que l’exemple de la drachme perdue touche une sœur ou un frère qui s’est éloigné de la congrégation ou qui a perdu son zèle ? (Luc 15:8-10). La drachme égarée appartenait peut-être à un collier de prix constitué de plusieurs autres pièces de monnaie en argent. L’analyse de cet exemple pourrait aider la sœur ou le frère à comprendre qu’elle est un membre précieux de la congrégation chrétienne. Ensuite, tu pourrais lui rappeler à quel point Jéhovah se soucie d’elle, comme de toutes ses autres petites brebis. Tu pourrais aussi réconforter un compagnon en évoquant un personnage biblique dans lequel il peut se reconnaître. S’il est déprimé, il se retrouvera probablement dans des personnages comme Hannah ou Épaphrodite qui, bien qu’ayant été profondément découragés, sont restés précieux aux yeux de Dieu. Ainsi, quand cela s’y prête, n’hésite pas à utiliser de beaux exemples bibliques. – TG2013  15/6

 

 

 

Celui qui s’est vu confier la responsabilité de soutenir une brebis égarée pourrait se servir de l’exemple de Jésus rapporté en Luc 15:11-24. Dans cette parabole, un jeune homme dissipe son héritage en menant une vie de débauche, vie qu’il finit par avoir en horreur. Il a faim ; sa famille lui manque. C’est décidé : il rentre à la maison ! Tandis qu’il est encore loin, son père le voit, il court se jeter à son cou et l’embrasse tendrement. Quelle joie pour ce père ! S’il médite sur cet exemple, celui qui est allé à la dérive sera peut-être plus enclin au retour. Sachant que ce système de choses est près d’être détruit, il devrait “ rentrer à la maison ” dès maintenant.

La plupart de ceux qui vont à la dérive ne sont pas semblables en tout point au fils prodigue. Certains s’éloignent petit à petit, comme un bateau qui dérive lentement et s’écarte de la côte. Il en est qui, écrasés par le poids des inquiétudes, perdent de vue les choses spirituelles. D’autres sont choqués par l’attitude d’un compagnon chrétien. D’autres encore quittent la congrégation parce qu’ils ne sont pas d’accord avec la compréhension d’un enseignement biblique. Quelques-uns cèdent à une conduite contraire aux Écritures. Les conseils proposés ici pour chacune de ces situations vous seront utiles afin d’inciter au retour, avant qu’il ne soit trop tard, ceux qui ont abandonné le troupeau pour ces raisons ou pour d’autres. – TG2008  15/11

Les chefs religieux manifestaient une indifférence totale à l’égard des nécessiteux. Ces hommes sont présentés comme ‘ aimant l’argent ’ et ‘ dévorant les maisons des veuves ’. Ils se souciaient plus de leurs traditions que des personnes âgées et des indigents (Luc 16:14) Jésus était parfaitement conscient des difficultés des pauvres et qu’il était attentif à leurs besoins. Jésus faisait plus qu’éprouver de la compassion pour les pauvres ; il s’intéressait activement à leurs besoins. Ses apôtres et lui avaient une caisse commune dans laquelle ils puisaient pour aider les Israélites démunis. De nos jours également, les vrais chrétiens sont conscients que les disciples de Jésus doivent se soucier des pauvres, surtout s’ils partagent leur foi. Ils s’intéressent donc sincèrement à la situation matérielle des défavorisés quand il se produit des catastrophes. Aussi encourageantes que soient de telles initiatives, il est clair qu’elles ne suffiront pas à faire disparaître la pauvreté. C’est vrai, des pays riches et de grandes organisations humanitaires obtiennent certains résultats, mais ils sont incapables d’éliminer la pauvreté. Et pourtant ce mal séculaire et les autres plaies qui affligent l’humanité seront bel et bien supprimés. – TG2006  1/5

Le récit de Luc 16:19-31 est-il littéral ou n’est-il qu’une illustration ? Dans une note en bas de page, la Bible de Jérusalem reconnaît qu’il s’agit d’une “histoire-parabole, sans aucune attache historique”. Si l’on prenait ce récit au pied de la lettre, il faudrait conclure que ceux qui jouissent de la faveur divine vont tous dans le sein d’un seul homme, Abraham; qu’un peu d’eau sur le bout d’un doigt ne s’évapore pas dans le feu de l’Hadès; qu’une simple goutte d’eau soulage les souffrances de quelqu’un qui s’y trouve. Cela vous semble-t-il raisonnable? Si ces paroles étaient littérales, elles seraient en contradiction avec d’autres parties de la Bible. Or, si les Écritures se contredisaient ainsi, une personne sincère en ferait-elle le fondement de sa foi? En fait, la Parole de Dieu ne se contredit pas.

Que signifie cette parabole ? L’“homme riche” représentait les Pharisiens. (verset 14.) Le mendiant, Lazare, symbolisait le commun peuple, autrement dit les Juifs que méprisaient les Pharisiens, mais qui se sont repentis et sont devenus disciples de Jésus. Leur mort aussi est une image; elle marque un changement de condition à la suite duquel ceux qui étaient méprisés reçoivent une position de faveur devant Dieu, tandis que Dieu rejette ceux qui semblaient approuvés; ces derniers sont tourmentés par les messages de jugement transmis par ceux qu’ils méprisaient. - rs p128-129

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