Jump to content
The World News Media

JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU Recherchons des perles spirituelles  20-26 mai 2019 -2 CORINTHIENS 11-13


Guest

Recommended Posts

  • Guest

                                                                             JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
                                                                            Recherchons des perles spirituelles 
                                                                                            20-26 mai 2019
                                                                                      2 CORINTHIENS 11-13

 

 

                                          perles.jpg
  2Co 12:2-4 : Que désignent probablement le « troisième ciel » et le « paradis » ? (w18.12 8 § 10-12).

Le troisième ciel. En 2 Corinthiens 12:2-4, l’apôtre Paul parle d’un homme qui fut “ emporté [...] jusqu’au troisième ciel ” et “ dans le paradis ”. Puisque les Écritures ne parlent d’aucune autre personne qui aurait connu un tel phénomène, il est plausible qu’il s’agisse de ce que Paul lui-même avait vécu. Certains ont cherché à rapprocher l’expression de Paul, “ troisième ciel ”, et l’idée ancienne des rabbins selon laquelle il y aurait plusieurs niveaux dans le ciel, voire “ sept cieux ” au total. Mais les Écritures n’appuient nullement cette pensée. Comme on l’a vu, elles ne disent pas que les cieux sont divisés en niveaux. Il faut plutôt compter sur le contexte pour déterminer s’il s’agit des cieux à l’intérieur de l’étendue atmosphérique de la terre, des cieux de l’espace sidéral, des cieux spirituels ou d’autre chose encore. Il semble que l’expression “ troisième ciel ” désigne la forme la plus élevée de domination : celle du Royaume messianique. On peut noter que des mots et des expressions sont répétés trois fois en Isaïe 6:3 ; Ézékiel 21:27 ; Jean 21:15-17 et Révélation 4:8, vraisemblablement pour donner plus d’intensité à la qualité ou à l’idée évoquée.    it-1 476

Il apparaît que Paul (vers 41 de n. è.) eut le privilège de recevoir une vision surnaturelle si réaliste qu’il ne savait pas si c’était dans le corps ou hors du corps qu’il avait été emporté au “ troisième ciel ”. Le “ troisième ciel ” semble désigner la forme la plus élevée de domination : celle du Royaume messianique. — 2Co 12:1-4. it-2 503

Le contexte ne donne pas à penser que le “ troisième ciel ” soit l’atmosphère, l’espace sidéral ou un univers parallèle, comme le suggèrent des astrophysiciens. La Bible emploie souvent le nombre trois pour marquer l’intensité, l’accentuation ou une force accrue (Ecclésiaste 4:12 ; Isaïe 6:3 ; Matthieu 26:34, 75 ; Révélation 4:8). Partant, ce que Paul a vu en vision était élevé. C’était de nature spirituelle.w04 15/10 8


• Qui, en 2 Corinthiens 12:2-4, a été emporté dans le paradis ?


Ce passage suit immédiatement des versets dans lesquels Paul défend son apostolat. Puisque la Bible ne mentionne personne d’autre qui ait connu un tel phénomène, et que c’est Paul qui le raconte, il est probable que ce soit lui qui ait eu cette vision. — 15/10, page 8.w04 15/12 30 

  Un autre événement qui semble dater de ces années floues est évoqué en 2 Corinthiens 12:2-5. ‘ Je connais, disait Saul, un homme en union avec Christ qui, il y a quatorze ans, a été emporté jusqu’au troisième ciel, dans le paradis, et a entendu des paroles inexprimables qu’il n’est pas permis à un homme de dire. ’ Il parlait vraisemblablement de lui-même ici. Étant donné qu’il a écrit ces paroles vers 55, 14 ans plus tôt ramène à 41 de notre ère, en plein milieu de ces “ années de silence ”.
  Pareille vision insuffla certainement à Saul une perspicacité exceptionnelle. Était-ce pour lui donner l’étoffe d’un “ apôtre des nations ” ? (Romains 11:13.) A-t-elle influencé sa façon de penser, d’écrire et de parler ?
w00 15/7 27

Une vision, que l’apôtre Paul avait reçue des siècles auparavant, avait commencé à s’accomplir, quoique de façon limitée.
8 Cette vision « surnaturell[e] » est consignée en 2 Corinthiens 12:1-4 (lire). Ce que Paul a vu est qualifié de révélation et se rapportait à un évènement futur, non à quelque chose qui existait à son époque. Mais quel « paradis » Paul a-t-il vu lorsqu’il « a été emporté [...] jusqu’au troisième ciel » ? Ce paradis peut désigner plusieurs choses, qui coexisteront dans l’avenir : le paradis physique, ou terrestre, promis (Luc 23:43) ; le paradis spirituel qui existera dans toute sa plénitude dans le monde nouveau ; enfin, « le paradis de Dieu », c’est-à-dire les conditions extraordinaires existant au ciel (Rév. 2:7). 


9 Mais pourquoi Paul a-t-il dit qu’il avait « entendu des paroles inexprimables qu’il n’est pas permis à un homme de dire » ? Parce que ce n’était pas le moment d’expliquer en détail les choses merveilleuses qu’il avait vues.w15 15/7 8


Il se peut aussi que le paradis mentionné par Paul en 2 Corinthiens 12:4 se rapporte, comme ces prophéties hébraïques, au paradis à venir, à la fois physique et spirituel. Le paradis mentionné par Paul peut également être une vision du “ paradis de Dieu ”, la condition privilégiée au ciel. — Ré 2:7. it-2 487


Qui “ a été emporté dans le paradis ” ? Puisque la Bible ne parle de personne d’autre qui ait eu une telle vision et que ce passage suit la défense que Paul a présentée en faveur de son apostolat, il relatait probablement sa propre expérience. Ce qu’il a vu en vision était sans doute le paradis spirituel dans lequel se trouve la congrégation chrétienne “ au temps de la fin ”. — Dan. 12:4. w08 15/7 28 


Bien que consciente au moins en partie, une personne que Jéhovah faisait tomber en extase était, semble-t-il, plongée tout entière dans un état de concentration profonde (voir Actes 10:9-16). Dans la Bible, le terme grec rendu par “ extase ” (ékstasis) désigne ‘ un enlèvement ou un déplacement ’ ; il emporte l’idée de jeter l’esprit hors de son état normal. Un individu en extase n’avait donc plus conscience de ce qui l’entourait et était totalement réceptif à la vision. L’apôtre Paul est vraisemblablement tombé en extase lorsqu’il a été “ emporté dans le paradis et a entendu des paroles inexprimables qu’il n’est pas permis à un homme de dire ”. — 2 Corinthiens 12:2-4.w97 15/6 5

                                                              RAVISSEMENT VERTICAL ET RAVISSEMENT HORIZONTAL 


22 Il reste encore à examiner une dernière chose intéressante concernant la manière dont furent transmises les prophéties par le saint esprit de Dieu. Il s’agit du cas où la révélation transmise se définit “ ravissement vertical ” ou “ ravissement horizontal ”. Ces termes situent dans le temps l’image ou révélation en question. On entend par “ ravissement ” ce que le prophète éprouve quand, dans une vision, un songe ou une extase, la sainte force agissante emmène son esprit pour lui montrer des choses de Dieu. Si pendant son ravissement, pendant qu’il est sous l’influence de l’esprit, le serviteur inspiré reçoit des facultés visuelles supérieures pour voir des choses qui existent réellement sur la terre ou dans les cieux à ce moment donné, on nomme sa révélation “ ravissement vertical ”; “ vertical ” dans ce sens que sa révélation est une image ou se rapporte à une chose qui existe à ce moment-là et qui ne concerne pas l’avenir. Il s’ensuit qu’un “ ravissement vertical ” ne serait pas à proprement parler une prophétie. Quand le serviteur inspiré voit, sous l’influence de la force agissante de Dieu, une révélation relative à une chose qui doit arriver, qui concerne donc l’avenir, on appelle sa vision un “ ravissement horizontal ”; “ horizontal ” parce que ce qui est vu doit arriver dans le cours du temps. Un “ ravissement horizontal ” serait donc une révélation que l’on peut considérer comme une prophétie qui doit s’accomplir dans l’avenir.
23 Le cas de Paul est un excellent exemple de “ ravissement vertical ”. Dans une vision, l’apôtre fut enlevé en esprit d’une manière très réelle pour voir les cieux très-hauts, la demeure de Dieu. Il vit nettement la prospérité spirituelle et paradisiaque que connaissait déjà en son temps l’organisation de Dieu. Il entendit des paroles ineffables, qu’il n’est pas permis à un homme d’exprimer ou d’écrire (II Cor. 12:1-4). La vision de Paul n’était pas une prophétie, mais l’apôtre eut un véritable aperçu du fonctionnement de la merveilleuse organisation invisible de Dieu. Sans aucun doute, cela permit à Paul d’être non seulement un courageux défenseur des principes d’organisation théocratique et de leur observation par l’assemblée primitive, mais aussi d’introduire de nouvelles méthodes d’organisation et des conseils fondés sur l’expérience que fut son ravissement vertical. — I Cor. 7:25.
w52 248

En 1919, ceux qui avaient l’approbation de Jéhovah et qui le servaient dans son temple spirituel étaient clairement identifiés. Afin qu’ils servent Dieu d’une manière qui lui soit encore plus agréable, ils avaient été affinés spirituellement (Is. 4:2, 3 ; Mal. 3:1-4). Une vision, que l’apôtre Paul avait reçue des siècles auparavant, avait commencé à s’accomplir, quoique de façon limitée.


8 Cette vision « surnaturell[e] » est consignée en 2 Corinthiens 12:1-4 (lire). Ce que Paul a vu est qualifié de révélation et se rapportait à un évènement futur, non à quelque chose qui existait à son époque. Mais quel « paradis » Paul a-t-il vu lorsqu’il « a été emporté [...] jusqu’au troisième ciel » ? Ce paradis peut désigner plusieurs choses, qui coexisteront dans l’avenir : le paradis physique, ou terrestre, promis (Luc 23:43) ; le paradis spirituel qui existera dans toute sa plénitude dans le monde nouveau ; enfin, « le paradis de Dieu », c’est-à-dire les conditions extraordinaires existant au ciel (Rév. 2:7).


9 Mais pourquoi Paul a-t-il dit qu’il avait « entendu des paroles inexprimables qu’il n’est pas permis à un homme de dire » ? Parce que ce n’était pas le moment d’expliquer en détail les choses merveilleuses qu’il avait vues. Aujourd’hui, par contre, il est permis de parler des bienfaits dont jouissent à présent les adorateurs de Dieu ! La Tour de Garde 15/7/2015, p. 8-9

Trois. Si les déclarations de deux personnes à propos d’une même affaire suffisaient pour intenter une action judiciaire, l’attestation de trois renforçait encore le témoignage. Le nombre trois est donc employé dans certains cas pour marquer l’intensité, l’accentuation ou une force accrue. “ Un cordon triple ne se rompt pas vite. ” (Ec 4:12). Jésus accentua sa question en la posant trois fois à Pierre après que celui-ci l’eut renié trois fois (Mt 26:34, 75 ; Jn 21:15-17). Pierre eut à trois reprises — ce qui fut marquant — la vision lui demandant de manger toutes sortes d’animaux, y compris ceux que la Loi déclarait impurs. Cela l’aida sans doute à comprendre, lorsque Corneille et sa maisonnée acceptèrent la bonne nouvelle, que Dieu s’occupait désormais des gens des nations incirconcis, qui étaient impurs aux yeux des Juifs. — Ac 10:1-16 ; 28-35, 47, 48.
La déclaration des créatures célestes : “ Saint, saint, saint est Jéhovah ” souligne l’intensité de la sainteté et de la pureté de Jéhovah (Is 6:3 ; Ré 4:8). Avant d’enlever du trône le dernier roi terrestre de la lignée de David, Jéhovah déclara : “ J’en ferai une ruine, une ruine, une ruine. Quant à cela aussi, oui ce ne sera à personne jusqu’à ce que vienne celui qui a le droit légal, et vraiment je le lui donnerai. ” Il montrait ici avec insistance qu’aucun roi de la lignée davidique ne s’assiérait en son nom sur le trône à Jérusalem — celui-ci serait absolument vacant — jusqu’à ce que vienne le moment fixé par Dieu d’investir son Messie du pouvoir royal (Éz 21:27). L’intensité des malheurs à venir sur les habitants de la terre est annoncée par la triple déclaration : “ Malheur. ” — Ré 8:13.
it-2 415


2Co 13:12 : Que désigne apparemment l’expression « un saint baiser » ? (it-1 753 § 5). 


Le “ saint baiser ”. Les premiers chrétiens pratiquaient le “ saint baiser ” (Rm 16:16 ; 1Co 16:20 ; 2Co 13:12 ; 1Th 5:26) ou “ baiser d’amour ” (1P 5:14) qui ne s’échangeait peut-être qu’entre personnes du même sexe. Il est possible que cette forme de salutation des premiers chrétiens corresponde à la coutume qu’avaient les anciens Hébreux de se saluer par un baiser. Bien que les Écritures ne fournissent aucun détail à ce sujet, le “ saint baiser ” ou “ baiser d’amour ” reflétait de toute évidence l’amour sain et l’unité qui régnaient dans la congrégation chrétienne. — Jn 13:34, 35  it-1 753 


● Que veut dire la Bible quand, à propos des chrétiens, elle dit qu’ils se ‘saluent l’un l’autre par un saint baiser’ ?


Dans la conclusion de quatre de ses épîtres, l’apôtre Paul encourageait les chrétiens du premier siècle à se ‘saluer l’un l’autre par un saint baiser’. (Rom. 16:16 ; I Cor. 16:20 ; II Cor. 13:12 ; I Thess. 5:26.) De son côté, l’apôtre Pierre les exhorta dans le même esprit en disant : “Saluez-vous les uns les autres par un baiser d’amour.” (I Pierre 5:14). Bien que la Bible ne fasse pas connaître les détails relatifs à cette coutume en vigueur chez les chrétiens du premier siècle, un examen rapide de cette habitude d’embrasser courante chez les Hébreux éclairera un peu la question.
Dans les temps bibliques, le baiser sur la joue, le front, les lèvres ou la main était souvent une marque d’affection, de respect ou de relations paisibles. Il n’entrait dans ce geste aucune pensée romantique ou érotique. La Bible nous présente des cas où des hommes, voire des hommes et des femmes, appartenant à la même famille, se donnent un baiser (Gen. 29:11, 13 ; Ex. 18:7). En outre, le baiser était un signe d’affection chez des hommes liés par une amitié profonde (II Sam. 19:39 ; Actes 20:37). Ces marques d’amitié et d’affection pourraient sembler étranges à des personnes qui ont appris à se montrer plus réservées dans l’expression de leurs sentiments. Mais pour les gens de ce temps-là, le baiser n’était pas plus extraordinaire que ne l’est aujourd’hui une cordiale poignée de main échangée entre bons amis.
Ainsi donc, Paul et Pierre n’introduisaient pas une nouvelle coutume chrétienne ou un rite religieux solennel. Ils observaient plutôt une coutume déjà établie à leur époque. Chez les chrétiens, il ne s’agissait pas d’une simple formalité, mais le baiser était le reflet des relations fraternelles et de l’unité spirituelle qui régnaient parmi ceux que le vrai culte avait réunis. Quand des frères chrétiens se saluaient “l’un l’autre par un saint baiser”, ce baiser ne présentait aucune familiarité indécente ni aucun caractère scandaleux. C’était une marque d’affection pieuse et chaste. Les vrais chrétiens de notre époque cultivent aussi cette affection et cette fraternité étroites, chaudes et chastes, même si la coutume locale en matière de salutations n’est pas la même. — Jean 13:34, 35.
w69 319
 

Link to comment
Share on other sites


  • Views 215
  • Replies 0
  • Created
  • Last Reply

Popular Days

Posted Images





×
×
  • Create New...

Important Information

Terms of Service Confirmation Terms of Use Privacy Policy Guidelines We have placed cookies on your device to help make this website better. You can adjust your cookie settings, otherwise we'll assume you're okay to continue.