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JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU - 11-17 mars 2019 recherchons des perles spirituelles romains 15_16


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  •                                                         JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU 

  •                                      11-17 mars

  •                                                    recherchons des perles spirituelles

  •                                                                    romains 15_16

  •                                                                                               
  •                                                                                             

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  • Rm 15:27 : En quel sens les chrétiens gentils avaient-ils une « dette » envers les chrétiens de Jérusalem ? (w89 1/12 24 § 3).

  • Autres dettes. Dans les Écritures, les mots “ dette ” et “ débiteur ” sont employés également en rapport avec des obligations autres que celles qui sont consécutives à un emprunt. Le salaire dû à un ouvrier est compté comme “ dette ”. (Rm 4:4.) Les pécheurs sont les “ débiteurs ” de ceux contre qui ils ont commis une faute et doivent par conséquent rechercher leur pardon. Dieu remet les “ dettes ” à une personne dans la mesure où elle a pardonné à ses “ débiteurs ”. (Mt 6:12, 14, 15 ; Lc 13:4.) Compte tenu de son obligation de prêcher “ la bonne nouvelle ”, l’apôtre Paul dit qu’il était “ débiteur ” de tous (Rm 1:14, 15). Les croyants d’origine gentile étaient en quelque sorte “ débiteurs ” des chrétiens d’origine juive de Jérusalem, parce qu’ils avaient reçu d’eux un profit spirituel. Il était donc normal qu’ils apportent une aide matérielle à leurs frères juifs pauvres. — Rm 15:26, 27.   it-1 631


  • Une vingtaine d’années après la fondation du christianisme, la congrégation de Jérusalem se trouvait dans une situation financière très difficile. Habitant ce bastion du judaïsme hostile et sectaire, les chrétiens enduraient depuis des années “un grand combat au milieu des souffrances” et avaient même subi le ‘pillage de leurs biens’. (Hébreux 10:32-34.) Une aide extérieure était maintenant impérative.
    Les Gentils qui étaient devenus leurs frères devaient certainement se sentir poussés à les aider dans leurs épreuves. N’avaient-ils pas une “dette” particulière vis-à-vis des chrétiens de Jérusalem? N’était-ce pas à partir de Jérusalem que la bonne nouvelle s’était étendue aux Gentils? Paul tient le raisonnement suivant: “Car les chrétiens juifs de Jérusalem ont partagé leurs biens spirituels avec ceux qui ne sont pas juifs; les non-Juifs doivent donc aussi les servir en les aidant de leurs biens matériels.” — Romains 15:27, Français courant. w89 1/12 24

     

  • Rm 16:25 : Qu’est-ce que le « saint secret qui a été gardé dans le silence durant des temps de longue durée » ? (it-2 647 § 2).

SAINT SECRET
Quelque chose qui provient de Dieu, qui est caché aussi longtemps qu’il le souhaite et qui est révélé uniquement à qui bon lui semble.

 

Une longue période devait s’écouler entre le moment où Dieu a exprimé pour la première fois son intention de fournir un fondement au Royaume messianique et celui où “ le saint secret [...] sera[it] mené à son terme ”. (Révélation 10:7 ; Genèse 3:15.) Comme le montre une comparaison entre Révélation 10:7 et Révélation 11:15, ce moment correspondrait à l’établissement du Royaume. Du reste, il s’est passé quelque 4 000 ans entre la première promesse relative au Royaume faite en Éden et l’apparition du Roi désigné, en 29 de notre ère. Après cela, il a encore fallu attendre l’année 1914, soit 1 885 ans, pour que le Royaume soit établi dans les cieux. C’est donc progressivement, sur une période de presque 6 000 ans, que le “ saint secret ” a été révélé (voir page 16). Paul était fondé à parler de “ la révélation du saint secret qui a été gardé dans le silence durant des temps de longue durée, mais qui a été manifesté maintenant et qu’on a fait connaître ”. — Romains 16:25-27 ; Éphésiens 3:4-11.w97 1/6 13
 

L’ON a donné au mot “mystère” la définition suivante: “Toute vérité inaccessible si elle n’est dévoilée par Dieu.” C’est un “saint secret” que Dieu révèle en son temps (Romains 16:25, 26). Pendant très longtemps, l’identité du Messie, “postérité” de la “femme” céleste de Dieu, a constitué un mystère ou “saint secret”. Il en a été de même du dessein divin relatif au Messie ou Christ. Mais, au temps fixé, Dieu a révélé, ou n’a plus conservé à l’état de secret, son dessein d’employer le Messie ou Christ à propos d’une administration ou gestion de toutes choses, comme dans la gestion d’une maison par un intendant. Une telle administration ou gestion, en vue de l’unité, signifierait que Dieu rassemblerait toutes choses dans le Messie, c’est-à-dire qu’il réunirait de nouveau toutes choses sous l’autorité du Christ. La révélation de ce mystère est une preuve de la bonté de Dieu, l’Administrateur, comme il est écrit:
2 “Celle-ci, il l’a fait abonder à notre égard en toute sagesse et bon sens, en ce qu’il nous a fait connaître le sain secret de sa volonté. Celui-ci est selon son bon plaisir qu’il s’est proposé en lui-même, en vue d’une administration [gestion comme celle d’un intendant] à l’achèvement des temps fixés, à savoir: réunir de nouveau toutes choses dans le Christ [Maschiahh], celles qui sont dans les cieux et celles qui sont sur la terre. Oui, en lui, en union avec qui nous [disciples du Christ] avons aussi été désignés comme héritiers, en ce qu’il nous a destinés par avance, selon le dessein [grec: prothésis] de celui qui opère toutes choses d’après le conseil de sa volonté, pour que nous servions à la louange de sa gloire, nous qui avons été les premiers à espérer dans le Christ.” — Éphésiens 1:8-12 .po 151

 

  • Le “ saint secret ”. Le dessein divin qui devait être révélé en la personne de Jésus Christ demeura un “ saint secret [ou : mystère] [...] gardé dans le silence durant des temps de longue durée ”. (Rm 16:25-27.) Depuis plus de 4 000 ans, depuis la rébellion en Éden, les hommes de foi attendaient la réalisation de la promesse divine selon laquelle une “ semence ” meurtrirait la tête de l’Adversaire (le “ serpent ”), apportant ainsi le soulagement à l’humanité (Gn 3:15). Depuis près de 2 000 ans, ils fondaient leur espoir sur l’alliance que Jéhovah avait conclue avec Abraham pour une “ semence ” qui ‘ prendrait possession de la porte de ses ennemis ’, et par le moyen de laquelle se béniraient toutes les nations de la terre. — Gn 22:15-18.
    Enfin, ‘ quand arriva le terme du temps, Dieu envoya son Fils ’, révéla par son intermédiaire la signification du “ saint secret ”, fournit une réponse définitive à la question soulevée par son Adversaire (voir JÉHOVAH [La question capitale est d’ordre moral]) et offrit le moyen de racheter du péché et de la mort les humains obéissants grâce au sacrifice rédempteur de son Fils (Ga 4:4 ; 1Tm 3:16 ; Jn 14:30 ; 16:33 ; Mt 20:28). Ce faisant, Jéhovah Dieu dissipa toutes les incertitudes et les ambiguïtés subsistant dans l’esprit de ses serviteurs au sujet de ses desseins. C’est pourquoi l’apôtre déclara : “ Quel que soit le nombre des promesses de Dieu, elles sont devenues Oui par [le] moyen [de Jésus Christ]. ” — 2Co 1:19-22.
    Le “ saint secret ” en question ne consistait pas seulement à faire savoir que le Fils de Dieu était ce personnage. Il se rapportait plutôt au rôle qui lui était assigné dans le cadre du dessein de Dieu décidé par avance, ainsi qu’à la révélation et à la réalisation de ce dessein par le moyen de Jésus Christ. Ce dessein, resté si longtemps secret, était “ pour une administration au terme des temps fixés, à savoir : réunir toutes choses de nouveau dans le Christ, les choses qui sont dans les cieux et les choses qui sont sur la terre ”. — Ép 1:9, 10.


  • Une des facettes du “ saint secret ” intimement lié à Christ Jésus est que ce dernier doit être à la tête d’un nouveau gouvernement céleste ; ce gouvernement doit être formé de personnes (juives et non juives) prises parmi la population de la terre, et son domaine doit comprendre le ciel et la terre. C’est pourquoi, dans la vision de Daniel 7:13, 14, “ quelqu’un de semblable à un fils d’homme ” (titre plus tard appliqué fréquemment à Christ — Mt 12:40 ; 24:30 ; Lc 17:26 ; voir aussi Ré 14:14) fait son apparition dans les cours célestes de Jéhovah et se voit donner “ domination, dignité et royaume, pour que les peuples, communautés nationales et langues le servent tous ”. La même vision précise toutefois que les “ saints du Suprême ” doivent également avoir part avec ce “ fils d’homme ” au Royaume, à la domination et à la grandeur (Dn 7:27). Lorsqu’il était sur la terre, Jésus choisit parmi ses disciples les premiers des futurs membres de son gouvernement royal et, après qu’ils furent ‘ demeurés constamment avec lui dans ses épreuves ’, il fit une alliance avec eux pour un Royaume, priant son Père pour leur sanctification (ou pour qu’ils soient rendus “ saints ”) et demandant ceci : “ Que là où je suis, ils soient eux aussi avec moi, afin qu’ils voient ma gloire que tu m’as donnée. ” (Lc 22:28, 29 ; Jn 17:5, 17, 24). Étant ainsi unie à Christ, la congrégation chrétienne joue également un rôle dans le “ saint secret ”, comme l’apôtre l’exprime par la suite sous inspiration. — Ép 3:1-11 ; 5:32 ; Col 1:26, 27 ; voir SAINT SECRET.   it-2 24, 647

     

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