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Perles spirituelles - Semaine du 28 Février 2022 - 1 Samuel 9-11


misette

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Perles spirituelles (10 min) : 1 Samuel 9-11

1 Samuel 9:9 : Que révèlent peut-être ces paroles ? (w05 15/3 22 § 😎

« (Autrefois, en Israël, voici ce qu’aurait dit un homme qui voulait interroger Dieu : « Viens, et allons chez le voyant. » Car celui qu’on appelle aujourd’hui le prophète, on l’appelait autrefois le voyant.) »

Quel est l’intérêt de la précision selon laquelle  le prophète d’aujourd’hui, on l’appelait autrefois le voyant  ? Peut-être faut-il comprendre par-là que, les prophètes ayant été amenés à jouer un rôle plus important aux jours de Samuel et durant la période des rois en Israël, ce mot a fini par remplacer le terme “ voyant ”. Samuel est considéré comme le premier dans la lignée des prophètes. — Actes 3:24. - w05  15/3 22 § 8

Nous lisons en I Samuel 9:9: “Le prophète d’aujourd’hui, on l’appelait autrefois le voyant.” Ces mots semblent indiquer qu’à partir de l’époque de Samuel, quand les prophètes commencèrent à jouer un rôle prépondérant en Israël, le mot “prophète” remplaça l’expression “voyant”. Les “voyants” étaient des hommes que Dieu inspirait pour qu’ils soient capables de “voir” dans les problèmes et de discerner sa volonté. Il ouvrait donc les yeux du voyant pour qu’il voie ou comprenne ce qui restait caché pour les humains en général. Même quand les yeux du prophète ne voyaient rien, les communications prophétiques portaient le nom de visions. Aussi allait-on chercher conseil auprès de ce genre de personnes – TG1980  15/6

Samuel, porte-parole de Dieu, déclare que dans les temps très reculés on donnait parfois aux prophètes le nom de voyants (I Sam. 9:9). Cependant la Bible désigne du nom de “ prophètes ” tous les hommes dont Dieu s’est servi et par l’intermédiaire desquels des prophéties ont été transmises, peu importe à quelle époque de l’histoire. Aux temps bibliques on comptait trois ordres de prophètes : premièrement les prophètes généraux ; deuxièmement la lignée des prophètes et troisièmement les prophètes mentionnés dans les Écritures grecques chrétiennes. Dans le groupe des prophètes généraux figurent des hommes tels que Énoch, Noé, Abraham, Aaron, Moïse et Jésus. De leur vivant, ces personnages étaient de puissants porte-parole de Jéhovah employés pour faire des déclarations sacrées à répercussion mondiale. Leurs prophéties mises par écrit à notre intention ont actuellement une très grande portée. — TG1952  15/8

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Si vous êtes timide, sachez que votre cas est loin d’être unique. Voyons le cas de Saül, premier roi de l’Israël antique. En temps normal, c’était un homme courageux. Un jour où les bêtes de son père s’étaient égarées, il est parti hardiment à leur recherche (1 Samuel 9:3, 4). Mais quand on l’a nommé roi de la nation, il a eu soudain un accès de timidité. Pour échapper aux acclamations des foules, il s’est caché parmi les bagages ! — 1 Samuel 10:20-24.

Ce qui semble avoir été un manque d’assurance de la part de Saül est d’autant plus curieux que la Bible le décrit comme un jeune homme beau et de belle prestance : “ À partir de ses épaules, il était plus grand que tout le peuple. ” (1 Samuel 9:2). De plus, par son prophète, Dieu l’avait assuré qu’il bénirait son règne (1 Samuel 9:17, 20). Et pourtant, Saül n’était pas sûr de lui. Il était conscient de ses limites et il hésitait à assumer plus de responsabilités ; Quand on lui a annoncé qu’il serait roi, il a répondu avec modestie : “ Ne suis-je pas un Benjaminite, de la plus petite des tribus d’Israël, et ma famille n’est-elle pas la plus insignifiante de toutes les familles de la tribu de Benjamin ? Pourquoi donc m’as-tu dit une pareille chose ? ” — 1 Samuel 9:21.

Si quelqu’un comme Saül a pu manquer d’assurance, il n’est guère étonnant que cela vous arrive aussi de temps en temps RV1999  22/10

Il y a plus de 3 000 ans, Jéhovah a dit un jour au prophète Samuel, alors âgé : « Demain, vers cette heure-ci, je t’enverrai un homme du pays de Benjamin ; tu dois l’oindre comme guide sur mon peuple Israël » (1 Sam. 9:15, 16). Samuel a compris que son rôle de guide touchait à sa fin et que Jéhovah le désignait pour oindre son successeur. « Comment puis-je préparer cet homme à cette tâche ? », a-t-il dû se demander. Il a alors eu une idée, et a imaginé un plan d’action.

Le lendemain, quand il a vu Saül, Jéhovah lui a dit : « Voici l’homme. » Alors le prophète a mis son plan à exécution. Il a invité Saül dans une salle à manger pour prendre un repas. Il a offert à Saül et à son serviteur les meilleures places et des morceaux de viande de choix. Il a dit : « Mange, car c’est pour le temps fixé qu’on l’a réservé pour toi. » Ensuite, les deux hommes ont marché jusqu’à la maison du prophète tout en parlant. Voulant tirer parti de l’ambiance agréable que le bon repas et la promenade détendue avaient créée, Samuel a invité Saül à monter sur son toit. Dans la fraîche brise du soir, il a « continué de parler avec Saül sur le toit en terrasse » jusqu’à l’heure du coucher. Le lendemain, il l’a oint, l’a embrassé et lui a donné d’autres instructions. Puis il l’a congédié. Saül était désormais préparé aux évènements qui l’attendaient (1 Sam. 9:17-27 ; 10:1).

Évidemment, il y a une différence entre oindre un homme pour qu’il soit le guide d’une nation et former un frère pour qu’il soit ancien ou assistant ministériel dans une assemblée. Malgré tout, les anciens peuvent tirer plusieurs enseignements très utiles de la façon de procéder de Samuel. - TG2015  15/4 p6

Plus qu’un enseignant, sois un ami. Le jour où il a rencontré Saül, Samuel aurait pu déboucher un flacon d’huile, lui en verser à la hâte sur la tête et congédier le nouveau roi, parfaitement oint, mais aucunement préparé. Il a plutôt pris le temps de préparer son cœur progressivement. Ce n’est qu’après un excellent repas, une agréable promenade, une longue conversation et une bonne nuit de repos qu’il a estimé que le moment était venu d’oindre Saül.

De même aujourd’hui, un enseignant devrait commencer sa formation en prenant le temps de créer entre l’apprenant et lui un climat détendu qui leur permettra de tisser des liens d’amitié. La façon de faire différera sans doute d’un pays à l’autre, en fonction du contexte et des coutumes. Mais où que tu vives, si, bien qu’étant un ancien occupé, tu libères du temps pour le passer avec un apprenant, c’est comme si tu lui disais : « Tu es important pour moi ». Et où qu’il vive, un frère disposé à apprendre percevra sans difficulté ce message implicite et y attachera une grande valeur.

Anciens, retenez ceci : Un enseignant efficace est quelqu’un qui non seulement aime former, mais qui aime la personne qu’il forme. C’est essentiel. Un apprenant a vite fait de discerner un tel intérêt de la part de son enseignant. La façon dont il réagit à la formation s’en ressentira énormément. Par conséquent, chers anciens, quand vous formez, soyez plus que des enseignants, soyez des amis – TG2015  15/4 p6

Avec quel état d’esprit Samuel obéit-il ? Avec ressentiment ? Avec indifférence ? Permet-il à la déception d’empoisonner son cœur ? Laisse-t-il l’amertume s’y enraciner ? Plus d’un homme réagirait ainsi dans une telle situation, mais pas Samuel. Il oint Saül et reconnaît que c’est Jéhovah qui l’a choisi. Il embrasse le nouveau roi en signe d’accueil et de soumission. Puis il dit au peuple : « Avez-vous vu celui que Jéhovah a choisi, qu’il n’y a personne comme lui parmi tout le peuple ? » (1 Sam. 10:1, 24).

Samuel s’est concentré, non pas sur les défauts de Saül, mais sur ce qu’il y a de bon chez cet homme choisi par Jéhovah. D’autre part, au lieu de chercher à obtenir l’approbation d’un peuple changeant, il a voulu avant tout rester intègre – ia p73

Comme ce fut le cas pour David, il n’est pas toujours facile de maîtriser notre colère. Cela sera toutefois plus facile si nous évitons de nous prendre trop au sérieux et si nous ne nous soucions pas à l’excès de notre réputation. À ce propos, nous avons l’exemple du roi Saül. Quand il fut choisi pour devenir roi d’Israël, il était modeste et humble. Avant d’être oint comme roi, il déclara au prophète Samuel : “Ne suis-je pas un Benjaminite de la plus petite des tribus d’Israël, et ma famille n’est-elle pas la plus insignifiante de toutes les familles de la tribu de Benjamin ?” (I Sam. 9:21). Sa modestie l’aida plus tard à se garder d’agir inconsidérément quand certains hommes parlèrent de lui en termes irrespectueux. Les Écritures nous rapportent : “Quant aux hommes qui ne valaient rien, ils dirent : ‘Comment celui-là nous sauvera-t-il ?’ Et ils le méprisèrent, et ils ne lui apportèrent point de don. Mais il fut comme quelqu’un qui est devenu muet.” — I Sam. 10:27. Combien il est sage de rester silencieux face à la provocation – TG1976  p357

L’histoire de Saül nous sert d’avertissement ; elle montre comment l’égoïsme peut ronger l’esprit de sacrifice. Au début de son règne, Saül avait de lui-même une opinion humble et modeste (1 Sam. 9:21). Il a refusé de punir des Israélites qui s’étaient dressés contre sa royauté, alors qu’il aurait pu s’estimer en droit de défendre l’autorité dont Jéhovah l’avait investi (1 Sam. 10:27). Acceptant la direction de l’esprit de Dieu, il a mené Israël au combat contre les Ammonites et les a vaincus. Ensuite il a humblement attribué le mérite de la victoire à Jéhovah (1 Sam. 11:6, 11-13). Plus tard, Saül s’est laissé gagner par l’égoïsme et l’orgueil, cette rouille si destructrice – TG2014 15/3

Pour Israël, la période des juges prit fin lorsque son premier roi, Saül, fut couronné. Celui-ci était à peine au pouvoir que l’hostilité des Ammonites s’enflamma de nouveau. Le roi Naash mena une attaque surprise contre la ville israélite de Jabesch-Galaad. Lorsque les hommes de la ville sollicitèrent la paix, Naash l’Ammonite eut une exigence monstrueuse: “Je la conclurai avec vous à cette condition, à la condition de vous crever à tous l’œil droit.” L’historien Flavius Josèphe interprète l’ultimatum entre autres comme une tactique défensive, car “l’œil gauche étant déjà caché par le bouclier, les soldats seraient ainsi tout à fait réduits à l’impuissance”. En fait, le véritable but de cette impitoyable mise en demeure était d’outrager les Israélites de façon exemplaire. — 1 Samuel 11:1, 2. – TG1995 15/12 p9-10

Les Ammonites répondaient de nouveau à la bonté de Jéhovah par l’hostilité. Jéhovah ne passa pas sur cette menace pleine de haine: “L’esprit de Dieu commença à agir sur Saül, quand il entendit [les] paroles [de Naash], et sa colère devint très ardente.” Guidé par l’esprit de Dieu, Saül arma 330 000 soldats, lesquels infligèrent une telle déroute aux Ammonites qu’“il n’en resta pas deux ensemble”. — 1 Samuel 11:6, 11.

Les préoccupations égoïstes des Ammonites, leur cruauté et leur avidité finirent par leur valoir une destruction totale. Ainsi que Sophonie, le prophète de Jéhovah, l’avait annoncé, ils devinrent “comme Gomorrhe, (...) une solitude désolée, pour des temps indéfinis. (...) Car ils ont outragé le peuple de Jéhovah des armées et n’ont cessé de prendre de grands airs contre lui”. — Sophonie 2:9, 10.

Les puissants de ce monde feraient bien de prendre note de ce qui arriva aux Ammonites. Dieu a les mêmes égards envers les nations en tolérant leur présence sur la terre, son marchepied. Mais au lieu de prendre soin de celle-ci, les nations égoïstes la saccagent, faisant même peser sur elle la menace d’une destruction nucléaire. Au lieu de traiter avec bonté les serviteurs de Jéhovah, elles se montrent bien souvent hostiles à leur égard, leur faisant subir de cruelles persécutions. Ainsi, la leçon à tirer du cas des Ammonites, c’est que Jéhovah ne plaisante pas quand on répond à sa bonté par l’hostilité. En son temps, il passera à l’action, tout comme il le fit aux temps anciens. — TG1995 15/12 p9-10

Samuel prit la parole : « J’ai vieilli et blanchi. » Ses cheveux blancs donnaient du poids à ses mots. Il ajoute : « J’ai marché devant vous depuis ma jeunesse jusqu’à ce jour » (1 Sam. 11:14, 15 ; 12:2). II était âgé, mais il n’avait pas oublié son passé. Ses souvenirs étaient très nets. Grâce aux décisions qu’il avait prises tout jeune, il avait mené une vie marquée par la foi et l’attachement à Jéhovah.

Samuel avait bâti et entretenu sa foi alors qu’il était entouré de personnes infidèles. Aujourd’hui, il est tout aussi difficile d’entretenir notre foi dans un monde éloigné de Dieu et corrompu – ia chap7 §3

 

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