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Perles spirituelles - Semaine du 9 Janvier 2023 - 2 Rois 24-25


misette

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Perles spirituelles (10 min) : 2 Rois 24-25

2 Rois 24:3, 4 : Que nous enseignent ces versets à propos de Jéhovah ? (w05 1/8 12 § 1).

« Josias débarrassa aussi le pays des médiums et des diseurs de bonne aventure, des statues de dieux familiaux, des idoles répugnantes et de toutes les choses répugnantes qui étaient apparues dans le pays de Juda et dans Jérusalem. Il fit cela afin de respecter les instructions de la Loi écrites dans le livre que le prêtre Hilkia avait trouvé dans le temple de Jéhovah. 25 Parmi les rois qui régnèrent avant lui, il n’y en eut aucun qui comme lui soit revenu à Jéhovah de tout son cœur, de toute son âme et de toute sa force, selon toute la Loi de Moïse. Et après lui non plus, il n’y eut personne comme lui.»

À cause du sang versé par Manassé, Jéhovah “ ne consentit pas à pardonner ” à Juda. Dieu accorde un grand prix au sang de l’innocent. Nous pouvons être convaincus qu’il vengera le sang innocent en anéantissant ceux qui l’auront répandu.-  — w05 1/8 12 § 1

La mort de Manassé n’annula pas la dette de sang qu’il avait contractée. Tant qu’aucune mesure satisfaisant à la justice n’avait été prise pour ôter cette culpabilité, elle continua d’entacher la nation d’Israël. C’est pourquoi Jéhovah envoya Nébucadnezzar, roi de Babylone, pour exécuter le jugement sur Jérusalem. “Ce fut uniquement sur l’ordre de Jéhovah que cela se produisit contre Juda, pour l’ôter de sa vue, à cause des péchés de Manassé, selon tout ce qu’il avait fait; et aussi à cause du sang innocent qu’il avait versé, de sorte qu’il avait rempli Jérusalem de sang innocent, et Jéhovah ne consentit pas à accorder le pardon.” — II Rois 24:1-4.

La réplique moderne de la Jérusalem infidèle est la chrétienté, au sein de laquelle ont éclaté les deux sanglantes guerres mondiales de notre siècle. La chrétienté a donc, elle aussi, sacrifié d’innombrables ‘fils et filles’ au dieu de la guerre (Jér. 7:31). Quelle dette de sang la chrétienté a ainsi contractée, dette qui s’élève à plusieurs dizaines de millions d’âmes! Si Jéhovah ne put pardonner la culpabilité de Manassé, combien moins celle de la chrétienté! Mais les organisations religieuses qui ont soutenu la violence lors des deux guerres mondiales et des autres conflits de notre siècle partagent aussi cette culpabilité. La chrétienté constitue l’élément principal de Babylone la Grande, l’empire mondial de la fausse religion, que l’apôtre Jean décrivit comme étant “ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus”. Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que la “voix venant du ciel” ait crié aux amis de la justice: “Sortez [de Babylone], mon peuple, si vous ne voulez pas participer avec elle à ses péchés, et si vous ne voulez pas recevoir une part de ses plaies. Car ses péchés se sont amoncelés jusqu’au ciel et Dieu s’est souvenu de ses actes d’injustice.” — Rév. 17:5, 6; 18:4, 5.- TG1980  1/ 2

Comme aux temps bibliques, il se peut que beaucoup de ceux qui ont tué des témoins de Dieu soient maintenant morts depuis longtemps, mais l’organisation qui a provoqué leur martyre est toujours bien vivante et elle est coupable de meurtres. Il s’agit de l’organisation terrestre de Satan. L’une de ses parties principales est Babylone la Grande, l’empire mondial de la fausse religion. Elle est décrite comme étant “ ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus ”. Oui, “ chez elle on a trouvé le sang des prophètes et des saints et de tous ceux qu’on a tués sur la terre ”. (Révélation 17:5, 6) Que de sang versé ! Tant que Babylone la Grande existera, ce sang demandera justice – re chap17 p100 §7

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

La Bible illustre bien un  danger lié à l’étalage de ses richesses. Jadis, le roi Ezéchias, qui vivait à Jérusalem, a montré à des dignitaires de Babylone “ tout ce qui se trouvait dans ses trésors ”. Sa fortune a certainement impressionné ses visiteurs. Mais elle a sans doute aussi excité leur avidité. Après leur départ, Isaïe, prophète de Dieu, a courageusement annoncé à Josias qu’un jour tout son trésor serait “ bel et bien transporté à Babylone ”. Il n’en resterait rien. Cette prédiction s’est réalisée ! Des années plus tard, les Babyloniens sont revenus et ont emporté toutes les richesses appartenant à la famille de Josias. — 2 Rois 20:12-17 ; 24:12, 13.

De même aujourd’hui, celui qui exhibe ses biens risque de les perdre, ne serait-ce qu’en partie. Un rapport sur la criminalité et la sécurité au Mexique déclarait : “ À Mexico, les richesses étalées de façon ostentatoire ont sur les voleurs l’effet d’un aimant. Les bijoux et montres de luxe, ainsi que les grosses sommes d’argent liquide attirent les regards indésirables. ” Il vaut bien mieux suivre le conseil biblique de ne pas “ se vante[r] ” de sa richesse (Jérémie 9:23). “ La sagesse est avec les modestes ”, lit-on en Proverbes 11:2. – RV2012/11 p24

Qu’arriva-t-il au saint temple et à tous ses précieux ornements? Ils ne portèrent pas bonheur à Juda. En effet, Nébucadnezzar “fit sortir de là tous les trésors de la maison de Jéhovah et les trésors de la maison du roi, et mit en pièces tous les ustensiles d’or que Salomon, roi d’Israël, avait faits dans le temple de Jéhovah”. (2 Rois 24:13.) Par la suite, Sédécias, qu’à leur départ les Babyloniens avaient fait roi sur ce qui restait de Jérusalem, se rebella lui aussi contre son suzerain. C’en était trop pour Nébucadnezzar: il assiégea de nouveau Jérusalem, qui fut prise par Nébuzaradan en 607 avant notre ère et complètement détruite. Quelle débâcle, quel malheur pour le ‘peuple élu’! En revanche, les jugements proclamés par Jérémie avaient bel et bien été exécutés. Alors que les Juifs vivaient dans l’illusion et s’imaginaient qu’il ne pouvait rien leur arriver, Jérémie, ce “prophète de malheur”, s’était montré, non pas un rêveur défaitiste, mais un homme réaliste (Jérémie 38:4; remarquons que le mot “malheur” apparaît 64 fois dans le livre de Jérémie). Le jugement de Jéhovah s’était révélé juste – TG1988  1/ 4 !18,19

MIS AU DÉFI DE TENIR PAROLE - Sédécias, fils du roi Josias et de sa femme Hamutal, porta d’abord le nom de Mattaniah. Quand les Babyloniens emmenèrent en captivité son neveu, le roi Jéhoïakin, Mattaniah monta sur le trône comme vassal de Nébucadnezzar, le roi de Babylone. C’est alors que l’on changea son nom en celui de Sédécias, qui signifie “Jéhovah est justice”. On lui fit aussi jurer sur le nom de Jéhovah qu’il resterait fidèle à Nébucadnezzar. Respecterait-il son serment? — II Rois 24:12, 17, 18. Il le respecta pendant un temps, mais finit par céder aux pressions des princes influents de son royaume qui soulevaient le peuple contre les Babyloniens. Sédécias trahit donc sa promesse, se rebella contre Nébucadnezzar et appela l’Égypte à son aide. Sur ce, le roi de Babylone conduisit son armée vers Jérusalem pour mater la révolte et, dans la neuvième année du règne de Sédécias, il assiégea la ville. Apparemment, c’est au début de ce siège que Sédécias fit demander au prophète Jérémie ce qui allait arriver. Le prophète transmit la réponse de Jéhovah selon laquelle tous les efforts pour défendre la ville étaient voués à l’échec. La seule issue possible était de se rendre aux assiégeants. — Jér. 21:1-10.

Mais une autre solution s’offrait encore au roi Sédécias et à ses fonctionnaires, s’ils voulaient que Dieu leur témoigne de la miséricorde. Par la bouche de Jérémie, Jéhovah leur donna le conseil suivant: “Chaque matin rendez sentence avec justice, et délivrez le spolié de la main de celui qui frustre, pour que ma fureur ne sorte pas comme un feu et qu’elle ne brûle point, sans personne pour éteindre, à cause de la malice de vos manières d’agir.” — Jér. 21:12.

Pendant le siège, Sédécias, ses princes et les habitants de Jérusalem essayèrent de se concilier la faveur de Jéhovah par un acte d’obéissance à sa loi. Bien que ce ne fût pas l’année du Jubilé, ils convinrent de libérer leurs esclaves hébreux, hommes et femmes, et ils les relâchèrent effectivement. Mais quand les forces égyptiennes approchèrent de Jérusalem pour la délivrer et que les Babyloniens levèrent le siège pour parer à cette menace, les Juifs revinrent sur leur décision. Ils reprirent leurs esclaves et les asservirent à nouveau. Quelle fut la réaction du roi Sédécias?

Il ne fit rien pour empêcher les princes et le peuple de violer leurs engagements. Il savait combien la conduite de ses sujets était répréhensible, mais par crainte de déplaire aux personnages de haut rang, il ferma les yeux sur leur méchanceté. Désormais, Jérusalem ne pouvait plus échapper au désastre; Jéhovah ne sauverait pas un peuple corrompu.

Le cas du roi Sédécias illustre avec force le principe selon lequel la crainte de l’homme tend un piège. Quel antidote existe-t-il contre ce mal? C’est la foi en Jéhovah et la crainte de lui déplaire, car “dans la crainte de Jéhovah il y a une forte confiance”. (Prov. 14:26.) L’esprit saint de Dieu nous aidera aussi à lutter contre la crainte de l’homme, puisque “Dieu ne nous a pas donné un esprit de lâcheté, mais un esprit de puissance, d’amour et de bon sens”. — II Tim. 1:7. – TG1981  1/7

Le dernier roi de Juda, Sédécias, quatrième fils de Josias, n’a pas cessé, selon 2 Rois 24:19, ‘de faire ce qui est mauvais aux yeux de Jéhovah, selon tout ce qu’avait fait [son frère aîné,] Jéhoïakim’. Qu’en est-il résulté? Nébucadnezzar est monté contre Jérusalem, s’est emparé de Sédécias, a tué ses fils devant lui, puis lui a crevé les yeux et l’a emmené à Babylone. De plus, les Babyloniens ont pris comme butin les vases qui servaient au culte de Jéhovah, ont brûlé le temple et la ville. Les survivants ont été déportés à Babylone.

De nos jours, comme du temps de Jérémie, la proximité de la fin d’un système de choses est marquée par une effroyable effusion de sang innocent; il en a beaucoup coulé notamment au cours des deux guerres mondiales qui ont marqué notre siècle. Ces conflits ont opposé, en grande partie, des nations de la chrétienté, qui disent adorer le Dieu de la Bible. Quelle hypocrisie! Rien d’étonnant à ce que Jéhovah leur ait envoyé ses Témoins pour leur transmettre ce message contenu en Jérémie 25:5, 6: “S’il vous plaît, revenez chacun de sa mauvaise voie, et de la malice de vos manières d’agir (...). Et ne marchez pas à la suite d’autres dieux pour les servir et pour vous prosterner devant eux, afin de ne pas m’irriter par l’œuvre de vos mains et afin que je ne vous cause pas de malheur.” - TG1994  1/3  §7

À la fin du VIIe siècle avant notre ère, Jéhovah laissa l’Empire babylonien assujettir la nation d’Israël et ravaler Sédécias, le roi de Jérusalem, au rang de vassal. Cependant, après huit années de soumission, Sédécias jugea nécessaire de s’opposer à cette disposition. Il demanda l’aide de l’Égypte: il n’était pas question de tolérer plus longtemps qu’une puissance étrangère, païenne de surcroît, domine le peuple de Dieu. Sédécias semble avoir été sincère dans sa démarche. Pourtant, comment Dieu vit-il la chose? Sédécias était-il appelé à devenir un “combattant de la liberté” de droit divin? Non! Car en se rebellant contre Babylone, il se rebellait également contre Dieu. À cause de cette révolte, Jéhovah le condamna à mourir en déportation à Babylone. — 2 Rois 24:17-20.

Le cas de Sédécias n’est pas unique. L’Histoire confirme à maintes reprises que, même pavée de bonnes intentions, la voie de la résistance passive ne peut conduire les hommes à des solutions durables. En réalité, les insurrections et les révolutions ont plutôt tendance à aggraver la situation. Dans bien des cas, après l’apparent succès d’une révolution, les “libérateurs” se transforment à leur tour en tyrans. Avec le temps, une nouvelle génération d’opprimés cherchera à se révolter. Bien des peuples sont le jouet de ce cercle vicieux.

Aujourd’hui, les véritables chrétiens ne participent pas à la résistance passive. Ils attendent le jour et l’heure de l’intervention de Dieu, qui seul est assez sage et puissant pour apporter des solutions durables aux problèmes de l’humanité. Grâce à l’œuvre de prédication, les Témoins de Jéhovah tranquillisent ceux qui souffrent de l’injustice en leur montrant que la délivrance est proche. — RV1987 8/9

Sédécias régna à Jérusalem en tant que vassal (homme soumis) de Nébucadnezzar, roi de Babylone. Quelques années après, Sédécias se révolta, et les armées babyloniennes revinrent à Jérusalem (II Rois 24:20 ; 25:1). Comme cela avait été prédit, Jérusalem et le pays de Juda furent désolés.

Ainsi, toutes les injustices abominables qu’avait commises Jéhoïakim se retournèrent contre lui et contre ses sujets. Les habitants de Jérusalem qui occupaient une position élevée tombèrent bien bas. Leur belle ville, la capitale du royaume, fut détruite, et la majorité des habitants furent exilés en Babylonie.

Jéhovah n’a donc pas fermé les yeux sur les injustices perpétrées dans le royaume de Juda. Comme les principes moraux de Dieu ne changent pas, nous pouvons être certains qu’il ne tolérera pas indéfiniment le mépris de la loi que nous voyons aujourd’hui. Veillons à ne pas imiter les pratiques de ce monde, afin de ne pas encourir la désapprobation de Jéhovah, le Dieu qui aime la justice. – TG1977 p262

Par crainte de représailles de la part des Babyloniens, le reste de ces Juifs décida de quitter Juda et de s’enfuir en Égypte pour chercher refuge sous le ‘cèdre symbolique du Liban’. Le prophète Jérémie déconseilla aux Juifs d’agir ainsi. Il les avertit que le roi de Babylone allait conquérir l’Égypte et qu’ainsi, de toute façon, ils tomberaient sous sa coupe. Ces Juifs n’écoutèrent pas Jérémie. Ils s’enfuirent en Égypte, emmenant avec eux le prophète. Cependant, l’Égypte ne réalisa pas leur espérance, car quelques années plus tard le roi de Babylone annexa le pays du Nil à son empire. Comme dans le passé, l’Égypte avait une nouvelle fois déçu les Juifs infidèles. Par contre, la Parole de Dieu, elle, se réalisa bel et bien. II Rois 25:1-26

Le système de choses mondial vit maintenant ses derniers jours. Tout comme le ‘cèdre symbolique du Liban’, l’Égypte, qui déçut les espoirs de ceux qui s’étaient réfugiés sous ses longues branches, de même le système mondial décevra ceux qui continuent à mettre leur confiance en lui et qui se placent sous sa domination pour obtenir son aide militaire et économique. Sa domination sur les affaires de la terre doit être abattue. Elle le sera par le Royaume de Jéhovah, avec à sa tête Jésus Christ, son Fils. L’espérance de l’humanité repose sur ce Royaume, car il instaurera un nouveau système de choses juste qui, lui, sera vraiment “beau”. Il rétablira le “jardin d’Éden”, un paradis édénique proprement dit sur toute la terre, et il rendra glorieuse et belle la planète tout entière.

Alors que la situation internationale est désespérée, ce n’est pas le moment de nous attacher au présent monde d’impies, qui est voué à la destruction. Si nous voulons plutôt avoir part aux bénédictions éternelles que le Roi Jésus Christ accordera à ses sujets, il nous faut adopter la même attitude que Jésus et ses apôtres, attitude définie par ces paroles du Seigneur : “Ils ne font pas partie du monde, comme je ne fais pas partie du monde.” (Jean 17:14, 16). Si nous adoptons cette attitude, nous ne serons pas détruits avec ce “monde d’impies”. Nous survivrons à sa destruction et nous aurons le bonheur de vivre éternellement sous un nouveau système de choses — TG1977  15/8 p498

La discipline venant de Dieu peut causer de la tristesse, mais la rejeter a des conséquences encore plus douloureuses (Héb. 12:11). C’est ce que montre l’exemple du roi Sédécias. Il était un roi faible et méchant. Pendant son règne, la vie à Jérusalem était très difficile. Le prophète Jérémie a plusieurs fois averti Sédécias qu’il devait changer. Mais celui-ci a rejeté la discipline venant de Jéhovah, et les conséquences ont été catastrophiques (Jér. 52:8-11). À l’évidence, Jéhovah veut nous éviter des souffrances inutiles !

Aujourd’hui, beaucoup ne prennent pas au sérieux la discipline venant de Dieu. Mais bientôt, ceux qui la rejettent en subiront les conséquences douloureuses. – TG2018/3 p32 §18

Ni Jéhovah ni ses forces d’exécution ne se laissent acheter (Ézéchiel 7:19). Aucun pot-de-vin ne put empêcher les “brigands” chaldéens de profaner le “lieu caché”, le Très-Saint, en emportant les ustensiles sacrés et en laissant le temple en ruine. Jéhovah ‘fit cesser l’orgueil des forts’ lorsque le roi Sédécias fut capturé et que les principaux membres de la prêtrise lévitique furent tués (2 Rois 25:4-7, 18-21). Les pécheurs enfermés dans la ville assiégée de Jérusalem ne purent échapper à l’adversité grâce à des pots-de-vin quand Dieu ‘les jugea’ coupables d’avoir rompu son alliance.

De même, lorsque dans un avenir proche les objets qu’elle tient pour sacrés seront profanés, la chrétienté ne pourra pas acheter son salut pour échapper à l’exécution du jugement que Dieu a prononcé sur elle. Il sera alors trop tard pour écouter le “guetteur” de Jéhovah. — TG1988  15/9 §14

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