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Perles spirituelles - Semaine du 14 Aout 2023 - Néhémie 8-9


misette

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Perles spirituelles (10 min) : Néhémie 8-9

Néhémie 8:2, 8 : Puisque toutes les personnes présentes « étaient en âge de comprendre » la lecture de la Loi, pourquoi les Lévites ont-ils également expliqué la Loi ? (it-1 151 § 7).

8:2 – « Le prêtre Esdras apporta donc la Loi devant l’assemblée composée d’hommes, de femmes et de tous ceux qui étaient en âge de comprendre ce qu’ils entendaient. C’était le premier jour du septième mois ».

8:8 « Ils lisaient le livre, la Loi du vrai Dieu, à voix haute. Ils l’expliquaient clairement et en donnaient le sens. C’est ainsi qu’ils aidèrent le peuple à comprendre ce qui était lu. »

Des années après que les Juifs furent revenus de l’Exil, Esdras le prêtre lut le livre de la Loi aux Juifs rassemblés à Jérusalem, et des Lévites l’expliquèrent au peuple. On lit en Néhémie 8:8 : “ Ils lisaient à haute voix dans le livre, dans la loi du vrai Dieu ; elle était expliquée, et on en donnait le sens ; et ils faisaient comprendre la lecture. ” Peut-être cette explication ou interprétation comprenait-elle la paraphrase du texte hébreu en araméen, les Hébreux ayant peut-être adopté cette langue lorsqu’ils étaient à Babylone. Sans aucun doute, cette explication consistait aussi à commenter afin que les Juifs, même s’ils comprenaient l’hébreu, saisissent la signification profonde de ce qu’on lisait. - it-1 151 § 7

Néhémie 8:8 dit qu’on “ donnait le sens ” de la lecture de la Loi et qu’on la ‘ faisait comprendre ’. Certains ont émis l’idée que, les Juifs revenus d’exil ne comprenant pas parfaitement l’hébreu, on paraphrasait certaines choses en araméen. Toutefois, selon le texte lui-même, il s’agissait plus d’exposer le sens et l’application de l’enseignement tiré de la Loi que de clarifier une terminologie linguistique ou des formes grammaticales. — it-1 p1090

Nous qui enseignons la Parole de Dieu, nous ‘ en donnons le sens ’ en parlant distinctement et en ayant une bonne accentuation. Nous le faisons aussi en expliquant correctement les Écritures et en montrant clairement comment appliquer ce qu’elles disent. Les publications et les réunions chrétiennes servent à ‘ donner le sens ’ de la Parole de Dieu. TG2006  1/ 2 p11

Ne pas comprendre les vérités bibliques qui nous sont enseignées dans une langue étrangère, c’est très dangereux pour notre relation avec Jéhovah. Par exemple, quand Néhémie est revenu à Jérusalem, il a remarqué que certains des enfants ne parlaient pas hébreu. Comme ces enfants ne comprenaient pas la lecture de la Parole de Dieu, leur relation avec Jéhovah s’affaiblissait. Dans certaines familles qui font partie d’assemblées étrangères, les parents remarquent que la relation de leurs enfants avec Jéhovah s’affaiblit. Comme leurs enfants ne comprennent pas bien ce qui est enseigné aux réunions, cet enseignement ne les fait pas réagir. Quand nous lisons quelque chose dans une langue étrangère, nous sommes peut-être moins touchés que si c’était dans notre langue. De plus, communiquer dans une autre langue est difficile, et cela peut tellement nous fatiguer qu’on arrive moins bien à adorer Jéhovah. C’est pourquoi, même si nous voulons vraiment servir dans une assemblée étrangère, nous devons aussi protéger notre relation avec Jéhovah. Ce sont les parents qui doivent décider ce qui est le mieux pour leurs enfants et leur relation avec Jéhovahws2016/10 p9

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Depuis les temps bibliques, les rassemblements du peuple de Dieu ont toujours été un moyen efficace de transmettre l’instruction venant de Jéhovah. À l’époque d’Esdras et de Néhémie, le peuple écouta la lecture de la Loi “ depuis l’aube jusqu’à midi ”. (Neh. 8:2, 3.) Étant parvenu, à cette occasion, à une meilleure compréhension de la Loi, le peuple se livra à “ une grande réjouissance ”. (Neh. 8:8, 12.) Nous aussi nous nous réjouissons que les assemblées nous fournissent une bonne occasion de recevoir une instruction de qualité et une nourriture spirituelle “ en temps voulu ” de la part de Jéhovah, grâce à “ l’esclave fidèle et avisé ”. Les assemblées sont indispensables à notre bien-être spirituel, car Jésus a dit que l’homme doit vivre “ de toute parole qui sort par la bouche de Jéhovah ”. – km2001/5 p3

Les Écritures nous parlent des “petits” qui écoutaient avec le reste de la nation quand la Loi de Dieu était lue à Israël. Aux jours de Néhémie, “tous ceux qui avaient assez d’intelligence pour écouter” se sont tenus debout “depuis l’aube jusqu’à midi” pour entendre la Loi (Néhémie 8:1-8). Même si les petits ne saisissaient pas tout, ils pouvaient comprendre qu’ils devaient aimer Jéhovah Dieu, l’adorer et lui obéir. Quel que soit votre âge, avez-vous écouté aux assemblées où l’on parlait de la Parole de Dieu? Avez-vous appris l’importance d’obéir à Dieu, comme le faisaient ces jeunes Israélites? Est-il possible pour des jeunes aujourd’hui de se montrer fidèles? Oui. Il est vrai que de nombreux jeunes ne pensent qu’à se donner du bon temps. Mais d’autres profitent sagement de leur jeunesse pour apprendre à connaître Dieu et sa volonté à leur égard. Ces jeunes gens font preuve d’une sagesse remarquable pour leur âge, puisque Dieu peut les aider à réussir leur vie présente et leur assurer un avenir radieux dans le monde nouveau à venir – TG1990 1/8 p4

Quand de nombreux Juifs qui avaient regagné leur pays furent encouragés à rebâtir Jérusalem et à rétablir le culte pur, le prêtre Esdras et d’autres leur firent une lecture publique du “livre de la loi de Moïse”. (Néhémie 8:1-8.) C’était donc qu’il y avait des copies des écrits originaux. D’où les tenait-on ? Quand Moïse avait annoncé le temps où Israël serait gouverné par un roi, il avait transmis cet ordre spécial: “Lorsqu’il s’assiéra sur le trône de son royaume, (...) il devra écrire pour lui sur un livre une copie de cette loi, d’après celle qui est sous la garde des prêtres, les Lévites.” (Deutéronome 17:18). Ainsi, il allait falloir faire des copies des Écritures. Copier les Écritures finit par devenir une profession en Israël. Ces copies étaient-elles fidèles? Oui, elles étaient d’une extrême fidélité. Des copistes professionnels des Écritures hébraïques, appelés sopherim, veillaient scrupuleusement à ne faire aucune faute. Pour vérifier leur travail, ils comptaient les mots, et même les lettres, de chaque manuscrit qu’ils copiaient.

Par conséquent, Jésus, l’apôtre Paul et d’autres qui citaient souvent les anciens rédacteurs de la Bible n’avaient aucun doute quant à la fidélité des copies qu’ils utilisaient. Certes, les copistes juifs et, par la suite, les copistes chrétiens, n’étaient pas infaillibles. Des erreurs se sont glissées dans les textes, mais les nombreuses copies qui existent encore nous aident à les repérer. De quelle manière? En partant du principe que des copistes différents ne faisaient pas les mêmes fautes. Ainsi, en comparant le travail de différents copistes, nous pouvons retrouver nombre de leurs erreurs.

Certes, il serait exaltant de retrouver les tout premiers documents écrits de la main de Moïse ou d’Ésaïe. Cependant, nous n’avons vraiment pas besoin des originaux. L’important n’est pas le document, mais son contenu. Et, par miracle, malgré le passage de nombreux siècles d’agitation, bien que copiée et recopiée si souvent, la Bible, nous pouvons en être sûrs, contient toujours les renseignements qui figuraient dans ces manuscrits originaux de l’Antiquité. – TG1990  15/7 p27

La joie que Jéhovah donne est une forteresse infaillible pour ceux qui marchent avec intégrité dans sa voie. Naturellement, pour posséder la joie de Dieu, les humains doivent faire la volonté divine. À ce propos, notons ce qui se passa à Jérusalem en 468 avant notre ère. Le copiste Esdras et d’autres hommes donnèrent de l’intelligence au peuple par une lecture constructive de la Loi. Puis le peuple reçut cette invitation: “Allez, mangez les choses grasses et buvez les choses douces, et envoyez des portions à celui pour qui on n’a rien préparé; car ce jour est saint pour notre Seigneur, et ne soyez pas peinés, car la joie de Jéhovah est votre forteresse.” Il se produisit une “grande réjouissance” lorsque les Juifs mirent en application la connaissance acquise et célébrèrent une joyeuse fête des Huttes (Néhémie 8:1-12). Ceux qui avaient ‘la joie de Jéhovah pour forteresse’ reprirent des forces en vue de l’adorer et de le servir. Puisque la joie de Jéhovah était leur forteresse, nous devrions nous attendre à trouver la même joie parmi les serviteurs de Dieu à notre époque. Quelles raisons entre autres ont-ils d’être joyeux aujourd’hui? Une raison majeure d’être joyeux réside dans nos rassemblements, voulus par Jéhovah en faveur de notre santé spirituelleTG1995  15/1 p10 §3

Aux jours de Néhémie, tout le peuple rassemblé à Jérusalem pour entendre la Loi comprit qu’il n’avait pas entièrement respecté les instructions qui y étaient écrites. En cette occasion, il mit promptement en application ce qu’il apprit. Quels en furent les effets? “Une très grande réjouissance.” (Néhémie 8:13-17). Lors de cette fête, au bout d’une semaine de lecture quotidienne de la Bible, les Israélites avaient pris conscience que Dieu exigeait plus de leur part. Une prière rappela les manières d’agir de Jéhovah envers ses serviteurs depuis les jours d’Abraham. Tout cela incita le peuple à faire le serment de se conformer aux exigences de la Loi, de ne pas contracter de mariages avec des étrangers et d’endosser les obligations liées au fonctionnement du temple et du service sacerdotal.

De même, dans la famille, les parents n’enseigneront pas les Écritures aux enfants par pur formalisme.  Les Juifs sont tombés dans un pur formalisme, arborant des extraits des Écritures dans des cassettes comme des porte-bonheur. Leur culte ne venait plus du cœur, et Jéhovah le rejetaTG1995  1/5 p8 §14.

Néhémie leur dit : « Allez, mangez de bonnes choses et buvez des boissons douces, et donnez des portions de nourriture à ceux qui n’ont rien de prêt, car ce jour est saint pour notre Seigneur. Et ne soyez pas tristes, car la joie qui vient de Jéhovah est votre forteresse. » - Néhémie 8:10

Ils devaient prendre un grand plaisir de déguster des portions riches, succulentes et savoureuses. Tout comme notre nourriture spirituelle, qui fait que la joie de Jéhovah est notre forteresse.

En Néhémie 8:10, les Juifs ont été invités à “ manger les mets gras ”, alors qu’en Lévitique 3:17 la Loi stipulait : “ Vous ne devez manger aucune graisse. ” Comment concilier ces deux déclarations ?

Dans la langue originale, les mots traduits par “ les mets gras ” en Néhémie 8:10 et “ graisse ” en Lévitique 3:17 sont différents. . Le terme hébreu ḥélèv, rendu par “ graisse ” en Lévitique 3:17, s’emploie à propos de la graisse soit animale, soit humaine. Le contexte du verset 17 montre que les Israélites ne devaient manger ni les couches de graisse recouvrant les intestins et les rognons des animaux destinés au sacrifice ni la graisse qui était sur les lombes, parce que “ toute la graisse appartient à Jéhovah ”. Ainsi, la graisse des animaux qui allaient être offerts à Jéhovah ne devait pas être consommée. Le mot traduit par “ les mets gras ” en Néhémie 8:10 est mashemannim, et c’est là sa seule occurrence dans les Écritures hébraïques. Il dérive du verbe shamén qui signifie “ être gras, engraisser ”. L’un des dérivés les plus courants de ce verbe est le nom shèmèn, qui est souvent traduit par “ huile ”, y compris dans l’expression “ huile d’olive ”. (Deut. 8:8 ; Lév. 24:2.) Mashemannim, tel qu’il est employé en Néhémie 8:10, semble emporter l’idée d’aliments préparés avec une bonne quantité d’huile et qui peuvent même contenir de la viande d’animaux purs sur laquelle il y avait encore des traces de gras, mais pas des couches de graisse.

S’il est vrai que les Israélites n’avaient pas le droit de consommer les couches de graisse animale, ils pouvaient néanmoins manger une nourriture de choix et savoureuse. Certaines préparations, comme les gâteaux à base de grain, étaient cuites, non dans de la graisse animale, mais dans de la graisse végétale — généralement de l’huile d’olive (Lév. 2:7). À ce propos, l’ouvrage Étude perspicace des Écritures explique qu’ici “ ‘ les mets gras ’ représentent des morceaux de choix, des choses qui n’étaient ni maigres ni sèches, mais succulentes, y compris des mets savoureux confectionnés avec des huiles végétales ”.

Bien entendu, les chrétiens gardent présent à l’esprit le fait que l’interdiction de manger de la graisse figurait dans la Loi. Ils ne sont pas sous la Loi, et donc ne sont pas concernés par ses exigences relatives aux sacrifices d’animaux – TG2008  15/8 p32

Le deuxième jour de ce mois particulier, ‘ les chefs des pères de tout le peuple, les prêtres et les Lévites se réunissent auprès d’Esdras le copiste, oui pour devenir perspicaces dans les paroles de la loi ’. (Néhémie 8:13.) Esdras est parfaitement qualifié pour présider cette réunion, car il a “ préparé son cœur à consulter la loi de Jéhovah, à la pratiquer et à enseigner en Israël la prescription et la justice ”. (Esdras 7:10.) Il est probable qu’on y aborde les domaines dans lesquels le peuple de Dieu a besoin de se conformer plus étroitement à l’alliance de la Loi. Dans l’immédiat, il faut penser aux préparatifs de la fête des Huttes qui approche.

Cette fête d’une semaine va se dérouler conformément à la manière prescrite : toute la population habite dans des abris temporaires construits avec des branches et des feuilles de différents types d’arbres. Les gens installent ces huttes sur leurs toits en terrasse, dans leurs cours, dans les cours du temple et sur les places publiques de Jérusalem (Néhémie 8:15, 16). Quelle belle occasion de réunir le peuple pour lui lire la Loi de Dieu ! C’est ce qui est fait chaque jour, “ depuis le premier jour jusqu’au dernier jour ” de la fête, ce qui provoque “ une très grande réjouissance ” parmi le peuple de Dieu. — Néhémie 8:17, 18.

Néhémie 9:1 « Le 24e jour de ce mois-là, les Israélites se réunirent. Ils s’étaient habillés avec de la toile de sac et s’étaient mis de la poussière sur la tête, et ils jeûnaient » — Pourquoi les Israélites mirent-ils sur eux des sacs et de la terre?

Lorsqu’on se couvrait d’un sac, c’est-à-dire d’un vêtement de couleur sombre tissé de poil de chèvre, c’était en signe de chagrin. De même, si l’on mettait de la terre ou des cendres sur sa tête ou sur son corps, cela signifiait que l’on était profondément affligé ou que l’on s’humiliait. Les Juifs firent cela pour montrer qu’ils regrettaient leurs péchés et en prenaient humblement conscience. Ils établirent ensuite un ‘acte’ de confession, “un engagement ferme”. (9:38.) De même, nous devons reconnaître et confesser nos péchés humblement si nous voulons sauvegarder nos relations avec Dieu. — TG1986  15/2

Comment Jéhovah a-t-il prouvé qu’il prend soin de ses serviteurs ? Jéhovah subvenait à leurs besoins élémentaires. « Leurs vêtements ne se sont pas usés et même leurs pieds ne se sont pas enflés. » Non, « ils n’ont manqué de rien » (Neh. 9:19-21). Les serviteurs de Dieu d’aujourd’hui sont aux portes d’un monde nouveau et juste. Sommes-nous convaincus que Jéhovah nous fournira le nécessaire pour survivre à la « grande tribulation » imminente ?

Bien sûr, Jéhovah ne nous guide pas vers le monde nouveau par une colonne de nuage ou de feu. Il se sert plutôt de son organisation pour entretenir notre vigilance. Par exemple, nous sommes encouragés avec de plus en plus d’insistance à fortifier notre spiritualité par une lecture individuelle de la Bible, le culte familial et la régularité aux réunions comme dans le ministère. Avons-nous fait les changements nécessaires afin de suivre ces instructions ? Cela nous aidera à acquérir le genre de foi qui nous maintiendra en vie pour entrer dans le monde nouveau. – TG2013  15/9 p7 §9,10

Quelles leçons peut-on tirer de la prière des Lévites ? Le porte-parole du peuple, les Lévites ont adressé à Jéhovah une prière bien préparée (Neh. 9:1-4).

Nul doute que leur lecture assidue de la Loi a aidé les Lévites à préparer cette prière profonde. Le début de la prière (les dix premiers versets) met exclusivement l’accent sur les œuvres et les qualités de Jéhovah. Le reste souligne à maintes reprises l’« abondante miséricorde » de Dieu tout en reconnaissant explicitement que les Israélites ne méritaient pas une telle bonté (Neh. 9:19, 27, 28, 31). Comme ces Lévites, méditons chaque jour sur la Bible. C’est une façon d’écouter Jéhovah nous parler. Nous aurons alors, nous aussi, beaucoup de choses nouvelles et profondes à exprimer à notre Dieu.

La prière ne contient qu’une modeste demande. Elle figure dans la deuxième partie du verset 32 : « Maintenant, ô notre Dieu, le Dieu grand, fort et redoutable, qui gardes l’alliance et la bonté de cœur, que n’apparaissent pas comme peu de chose devant toi toutes les tribulations qui nous ont trouvés, nous, nos rois, nos princes, nos prêtres, nos prophètes, nos ancêtres et tout ton peuple, depuis les jours des rois d’Assyrie jusqu’à ce jour. » Ainsi, les Lévites ont loué et remercié Jéhovah avant de lui adresser une demande personnelle. Ils nous laissent en cela un excellent exemple. – TG2013  15/10 p21 §5-7

Leur prière avait beau être bien préparée, ces Lévites humbles reconnaissaient manquer de mots pour exprimer pleinement à Jéhovah la louange qu’il méritait. C’est pourquoi ils ont d’abord adressé cette supplication modeste en faveur du peuple : « Qu’ils bénissent ton nom glorieux qui est élevé au-dessus de toute bénédiction et louange » (Neh. 9:5).

« Tu es Jéhovah, toi seul », poursuit la prière, « c’est toi qui as fait les cieux, oui le ciel des cieux, et toute leur armée, la terre et tout ce qui est sur elle, les mers et tout ce qui s’y trouve ; et tu les gardes tous en vie ; et l’armée des cieux se prosterne devant toi » (Neh. 9:6). Jéhovah Dieu a en effet créé l’univers entier et ses innombrables galaxies. Avec le même talent, il a créé tout ce qui se trouve sur notre magnifique planète. Il a de plus doté la terre de l’extraordinaire capacité d’entretenir une stupéfiante variété de formes de vie, des vies qui continuent ainsi à se reproduire, selon leurs espèces. Aux premières loges se trouvaient les saints anges de Dieu, qui eux aussi sont parfois appelés « l’armée des cieux ». Les anges font par ailleurs humblement la volonté de Dieu en servant les humains pécheurs « qui vont hériter du salut » (Héb. 1:14). Quel exemple magistral pour nous qui, telle une armée aguerrie, servons Jéhovah dans l’unité  - TG2013  15/10 p21 §8,9

Lorsqu’il fait une promesse ou conclut une alliance, Jéhovah peut fixer des exigences, des conditions auxquelles doivent satisfaire ceux que concerne la promesse ou l’alliance. Ainsi, il promit aux Israélites qu’ils deviendraient son “ bien particulier ” et “ un royaume de prêtres et une nation sainte ” à condition qu’ils obéissent strictement à sa voix et à condition qu’ils gardent vraiment son alliance (Ex 19:5, 6). Dieu respecta ses engagements dans cette alliance, mais pas les Israélites ; ils violèrent cette alliance à de nombreuses reprises (Ne 9:16-19, 26-31). C’est donc en toute justice que Dieu annula finalement cette alliance, et la responsabilité de la non-réalisation de la promesse en revenait totalement aux Israélites infidèles – it-2 p764

ILS ONT ÉTÉ PRÉVENUS PAR DIEU - On pourrait comparer l’exécution des jugements de Dieu à une tempête. Dans les temps bibliques, Jéhovah a fait venir plusieurs « tempêtes » sur ceux qui désobéissaient volontairement à ses commandements. Mais à chaque fois, il les a prévenus. À chaque fois, il a averti les personnes concernées à l’avance, et il leur a clairement dit quels changements elles devaient faire pour vivre en accord avec sa volonté (Néh. 9:29, 30). Pour les encourager à réagir de la bonne façon, il a souvent demandé à des humains qui le servaient fidèlement de leur annoncer ses jugements et de leur faire comprendre qu’il était urgent d’agir. Jéhovah a toujours veillé à ce que les gens aient assez de temps pour réagir à ses avertissements. Aujourd’hui encore, tous les humains doivent répondre à un appel urgent qui est lancé dans le monde entier. Pour aider les humains à avoir foi dans ses promesses, il leur fait connaître un message qui peut leur sauver la vie : la « bonne nouvelle du Royaume », qui, comme l’a dit Jésus, serait « prêchée sur toute la terre, en témoignage pour toutes les nations » Dieu a organisé ses vrais adorateurs pour qu’ils transmettent son message, ce qu’ils font en ‘témoignant’ dans environ 240 pays et territoires. Il désire qu’un maximum de personnes tiennent compte de ses avertissements et échappent ainsi à la « tempête » à venir, c’est-à-dire à l’exécution de son jugement juste – TG2019/10 p6

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