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Perles spirituelles - Semaine du 28 Aout 2023 - Néhémie 12-13


misette

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Perles spirituelles (10 min) : Néhémie 12-13

Néhémie 13:10 : Puisque les chanteurs du Temple étaient des Lévites, pourquoi étaient-ils énumérés séparément ? ()

« aussi appris que les Lévites n’avaient pas reçu les portions qui leur étaient destinées. C’est pourquoi les Lévites et les chanteurs qui effectuaient le service étaient partis travailler chacun dans son champ.» - it-2 359 § 7

Au temple, on accordait une place considérable au chant. On en a pour preuve les nombreux passages des Écritures où il est question des chanteurs, et le fait qu’ils étaient “ libérés de tout service ” commun aux autres Lévites, afin qu’ils se consacrent entièrement à leur tâche (1Ch 9:33). Ils demeurèrent un groupe spécial de Lévites, puisqu’ils furent énumérés séparément parmi ceux qui revinrent de Babylone (Esdras 2:40, 41). Même le roi de Perse Artaxerxès (Longue-Main) fut amené à agir en leur faveur : il les exempta, ainsi que d’autres groupes particuliers, ‘ d’impôt, de tribut et de droit de passage ’. (Esdras 7:24.) Plus tard, le roi ordonna qu’il y ait “ un salaire fixe pour les chanteurs, selon les besoins de chaque jour ”. Bien que cet ordre soit attribué à Artaxerxès, il est très probable que ce fut Esdras qui le donna, en vertu du pouvoir que lui avait conféré le souverain (Ne 11:23 ; Esdras 7:18-26). On comprend dès lors pourquoi la Bible parle des “ chanteurs, et [des] Lévites ”, faisant des chanteurs un groupe à part, alors qu’ils étaient tous Lévites. — Ne 7:1 ; 13:10. - it-2 359 § 7

Quelle était l’importance du groupe des musiciens au temple de Jérusalem ?

Parallèlement aux préparatifs pour le temple de Jéhovah, David mit 4 000 Lévites à part pour le service musical (1Ch 23:4, 5). Parmi eux, 288 étaient “ exercés au chant pour Jéhovah, tous gens experts ”. (1Ch 25:7.) L’ensemble de l’organisation fut dirigé par trois musiciens accomplis, Asaph, Hémân et Yedouthoun (apparemment aussi appelé Éthân). Comme chacun de ces trois hommes descendait d’un des trois fils de Lévi, respectivement de Guershom, de Qehath et de Merari, les trois grandes familles lévites étaient représentées dans l’organisation de la musique au temple. Le total des fils de ces trois hommes était de 24 ; tous faisaient partie des 288 musiciens capables déjà mentionnés. Chaque fils fut établi, par le sort, chef d’une division de musiciens. Chacun avait sous sa direction 11 autres “ experts ” choisis parmi ses fils et les autres Lévites. Ainsi, les 288 musiciens lévites experts étaient, comme les prêtres, répartis en 24 classes. Si les 3 712 autres, les ‘ élèves ’, étaient divisés de la même façon, chacune des 24 divisions comptait en moyenne 155 hommes supplémentaires ; dans ce cas, chaque expert avait avec lui environ 13 Lévites arrivés à différents stades de leur formation musicale (1Ch 25:1-31). Puisque les trompettistes étaient des prêtres, ils s’ajoutaient aux musiciens lévites.

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Quand le gouverneur Néhémie a dirigé la reconstruction de la muraille de Jérusalem, il a aussi organisé les chanteurs lévites avec un orchestre complet. Et quand la muraille a été inaugurée, un spectacle musical spécial a beaucoup contribué à la joie de l’évènement. Deux grandes chorales chantant des remerciements ont marché sur la muraille dans des directions opposées. Puis elles se sont rejointes au niveau du temple, et leur chant était si puissant qu’on pouvait l’entendre de loin (Néhémie 12:27, 28, 31, 38, 40, 43). Jéhovah s’est certainement réjoui en entendant ses adorateurs lui chanter des louanges avec enthousiasme.

Nous devrions chanter les « chants spirituels » de nos cantiques d’un cœur rempli de reconnaissance pour Jéhovah. Ils font partie de la nourriture spirituelle fournie par « l’esclave fidèle et avisé » - TG2017/11 p4 §6

Néhémie 13:3 « Dès que le peuple a entendu la Loi, il s’est mis à séparer d’Israël tous ceux qui étaient d’origine étrangère ».

— Qui compose ce “mélange de gens”?

Le “mélange de gens” comprend apparemment des étrangers, tels des Moabites, des Ammonites et les enfants des Israélites qui s’étaient mariés avec des étrangères (13:1, 2). C’est ce que suggère le fait que, quelque temps plus tôt, les Juifs avaient chassé à la fois leurs épouses étrangères et leurs fils (Esdras 10:44). Mais ils avaient de nouveau pris des femmes étrangères. Il fallait donc qu’ils les renvoient, elles et leurs enfants, de leur communauté, du pays lui-même, leur ôtant ainsi le privilège de pratiquer le culte de Jéhovah avec son peuple. — Néhémie 13:23-31.

Leçon pour nous: Les Juifs qui sont retombés dans le péché constituent pour nous un avertissement. Nous devons toujours être vigilants pour éviter que le matérialisme, la corruption et l’apostasie ne gagnent du terrain. – TG1986  15/2 p26

Rejetons les mauvaises fréquentations - Néhémie 13:4-9. Nous sommes exposés à quantité d’influences malsaines. Il n’est donc pas facile de rester saints. Prenons le cas d’Éliashib le grand prêtre et de Tobia l’Ammonite. Tobia était sans doute un fonctionnaire du roi de Perse qui travaillait à l’administration de Juda. Lui et d’autres se sont opposés à Néhémie, qui voulait rebâtir les murailles de Jérusalem. Selon la Loi donnée par Dieu, un Ammonite n’avait pas le droit d’entrer dans le temple. Or, le grand prêtre Éliashib a réservé une salle à manger du temple pour Tobia. Pourquoi donc ?

Tobia était un ami intime d’Éliashib. Tobia et son fils Yehohanân avaient tous deux épousé des Juives, et beaucoup d’Israélites parlaient en bien de Tobia. De plus, un petit-fils d’Éliashib s’était marié avec une fille de Sânballat, un ami de Tobia qui était gouverneur de Samarie (Néhémie. 13:28). Le fait que Tobia était un ami de la famille d’Éliashib explique en partie pourquoi ce dernier s’est laissé influencer par quelqu’un qui ne servait pas Jéhovah et qui s’opposait même à lui. En jetant tout le mobilier de Tobia hors de la salle à manger, Néhémie, lui, s’est montré fidèle à Jéhovah.

Comme nous faisons partie d’un peuple voué à Dieu, c’est avant tout à Jéhovah que nous devons être fidèles. Nous resterons sanctifiés seulement à condition de suivre ses principes justes. Ne laissons pas les liens que nous avons avec nos proches nous empêcher de respecter les normes divines. Les anciens se laissent guider par la pensée de Jéhovah, pas par leurs opinions ou leurs sentiments. Ils rejettent tout ce qui pourrait les amener à perdre leurs bonnes relations avec Dieu - TG2013 15/8 p5-7

Le culte qui se pratiquait au temple devait être soutenu en permanence. — Néhémie 13:9-14

Ceux qui soutenaient la maison de Dieu recevaient les bénédictions divines. Cela exigeait du temps, des efforts, des dépenses, mais tous s’acquittaient de leurs responsabilités pour maintenir le culte pur de Jéhovah et glorifier son nom. À l’exemple des Israélites fidèles, de nos jours, chaque Salle du Royaume devrait être présentable à l’intérieur comme à l’extérieur et constituer ainsi un témoignage silencieux rendu au nom de Jéhovah. Nous devrions être fiers de notre Salle du Royaume et heureux d’inviter les personnes à y venir pour étudier la Bible en notre compagnie. Jéhovah nous bénira tandis que nous lui donnerons nos “prémices” pour soutenir son culte. — km1978/12 p2-3

Les lois sur la dîme imposée à Israël n’étaient pas excessives. Il ne faut pas non plus oublier que Dieu avait promis de faire prospérer Israël en ouvrant “ les écluses des cieux ” si ces lois sur la dîme étaient observées. Quand les Israélites négligeaient de payer la dîme, la prêtrise en souffrait, car les prêtres et les Lévites étaient obligés de passer du temps à des travaux profanes, et par conséquent de délaisser leur ministère (Néhémie 13:10). Pareille infidélité entraînait le déclin du vrai culte. Malheureusement, quand les dix tribus d’Israël dévièrent de leur culte pour celui du veau, elles utilisèrent la dîme pour soutenir cette fausse religion. En revanche, quand Israël était fidèle à Jéhovah et avait à sa tête des administrateurs justes, le prélèvement de la dîme en faveur des Lévites était rétabli et, conformément aux promesses de Jéhovah, la nation ne manquait de rien.

Les chrétiens ne paient pas la dîme. À aucun moment il ne fut ordonné aux chrétiens du Ier siècle de payer des dîmes. Dans le cadre de la Loi, le but premier du système de la dîme était le soutien du temple et de la prêtrise d’Israël. Par conséquent, l’obligation de prélever des dîmes cesserait lorsque l’alliance de la Loi mosaïque arriverait à son terme après avoir été accomplie grâce à la mort du Christ sur le poteau de supplice. Les disciples du Christ étaient encouragés à apporter leur soutien au ministère chrétien, tant en y participant eux-mêmes qu’en y contribuant matériellement. Au lieu de donner une somme précise, fixée, afin de couvrir les dépenses de la congrégation, le principe était d’apporter “ selon ce que quelqu’un a ”, de donner comme chacun “ l’a résolu dans son cœur, non pas à regret ou par contrainte, car Dieu aime celui qui donne avec joie – it-1 p647 Dime

Néhémie 13:10-13. Au moment où Néhémie est retourné à Jérusalem, il semble que très peu d’offrandes parvenaient encore au temple. Privés de ce soutien, les Lévites se sont mis à travailler dans leurs champs et n’assumaient plus leurs tâches. C’est aux chefs adjoints que Néhémie a adressé des reproches. Manifestement, ces hommes ne remplissaient pas leur rôle : soit ils ne recueillaient pas la dîme qu’offrait le peuple, soit ils ne la faisaient pas parvenir au temple (Neh. 12:44). Néhémie a donc pris des mesures pour qu’on recueille la dîme. Il a demandé à des hommes de confiance de gérer les réserves du temple et d’organiser les distributions.

Quelle leçon tirer de cet épisode ? Gardons à l’esprit que nous pouvons honorer Jéhovah grâce à nos choses de valeur. Lorsque nous faisons des offrandes en faveur de son œuvre, nous ne faisons que donner à Jéhovah ce qui lui appartient déjà  Pensons-nous que nous n’avons pas grand-chose à offrir ? Dans ce cas, rappelons-nous que, s’il en a le désir, chacun peut donner, quels que soient ses moyens – TG2013  15/8 p5 §9,10

Montre-toi digne de confiance en faisant avec soin tout travail qui t’est confié. À l’époque où les serviteurs de Jéhovah reconstruisaient le temple, Néhémie a eu besoin d’hommes pour leur confier des responsabilités. Il a choisi des hommes qui avaient bonne réputation. Il savait que ces hommes aimaient Jéhovah et qu’ils feraient avec zèle n’importe quel travail qu’on leur confierait (Néhémie 13:12, 13). De même aujourd’hui, les chrétiens fidèles et travailleurs ont une bonne réputation, et ils peuvent recevoir plus de responsabilités. Alors, que tu sois un frère ou une sœur, fais toujours de ton mieux les travaux qu’on te confie – ws2016/8 p15-20 §12

DONNONS LA PRIORITÉ AUX CHOSES SPIRITUELLES. Néhémie 13 :15-21 - Si nous nous laissons accaparer par les choses matérielles, nous risquons de perdre petit à petit nos bonnes relations avec Jéhovah. Selon Exode 31:13, le sabbat rappelait aux Israélites qu’ils étaient un peuple sanctifié. Ils devaient réserver ce jour pour le culte en famille, la prière et la méditation sur la loi de Dieu. Mais pour certains contemporains de Néhémie le sabbat était devenu un jour d’activité comme les autres. Et le culte n’avait plus la priorité. Face à ce constat, Néhémie a chassé les marchands à la fin du sixième jour et a fermé les portes de la ville avant le début du sabbat.

Gardons à l’esprit que nous avons été sanctifiés et demandons-nous : « Mon mode de vie montre-t-il que j’ai été mis à part pour servir Jéhovah ? » - TG2013 15/8 p5-7 §13-15

Préservons notre identité chrétienne - Néhémie 13:23-27. À l’époque de Néhémie, des Israélites se mariaient avec des étrangères. Lors de la première venue de Néhémie à Jérusalem, les anciens s’étaient pourtant engagés par écrit à ne pas se marier avec des non-Juives . Après quelques années, Néhémie a constaté non seulement que les Israélites n’avaient pas tenu parole, mais aussi qu’ils étaient en train de perdre leur identité de peuple sanctifié par Dieu. Les enfants des étrangères ne savaient ni lire ni parler l’hébreu. En grandissant, allaient-ils se considérer comme des Israélites ? Ou plutôt comme des Ashdodites, des Ammonites ou des Moabites ? Comment pourraient-ils comprendre la loi de Dieu s’ils ne comprenaient pas l’hébreu ? Étant donné que leurs mères servaient de faux dieux, comment pourraient-ils apprendre à connaître Jéhovah et choisir de le servir ? Il était urgent que Néhémie prenne des mesures énergiques. Et c’est ce qu’il a fait (Néhémie. 13:28).

Quant à nous, il nous faut prendre des mesures pour aider nos enfants à développer leur identité chrétienne. Demande-toi : « Mes enfants parlent-ils correctement la “langue pure” qu’est la vérité biblique ? (Sophonie 3:9). Leurs conversations reflètent-elles l’influence de l’esprit de Dieu ou de l’esprit du monde ? » Ne te décourage pas si tu vois qu’ils ont besoin de s’améliorer. Il faut du temps pour apprendre une langue, surtout si les sources de distraction sont nombreuses. Sois conscient que tes enfants subissent d’énormes pressions. Utilise patiemment le culte familial et d’autres occasions pour les aider à développer des relations étroites avec Jéhovah. Mets en valeur les bienfaits qu’on retire à être différent du monde de Satan  Efforce-toi de toucher leur cœur.

Au final, c’est à chaque enfant de choisir s’il servira ou non Jéhovah. Mais les parents ont un grand rôle à jouer. Ils peuvent entre autres donner le bon exemple, établir des limites claires et faire réfléchir sur les conséquences de telle ou telle décision. Parents, vous êtes les mieux placés pour préparer vos enfants à se vouer à Jéhovah. Ils ont besoin de vous pour développer puis préserver leur identité chrétienne. Cela dit, n’oublions pas que chaque chrétien doit veiller à garder ses « vêtements de dessus », c’est-à-dire les qualités et les normes qui caractérisent les disciples du Christ  - TG2013 15/8 p5-7 §16-18

La 32e année du règne d’Artaxerxès, Néhémie quitta Jérusalem. À son retour, il découvrit que les Juifs ne subvenaient plus aux besoins des prêtres et des Lévites, que le sabbat était transgressé, que beaucoup de Juifs avaient épousé des étrangères et que les enfants issus de ces mariages mixtes n’étaient même pas capables de parler la langue des Juifs (Ne 13:10-27). Une situation aussi dégradée indique que l’absence de Néhémie dura longtemps. Mais il n’existe aucun moyen de déterminer avec exactitude à quel moment après 443 av. n. è. Néhémie acheva le livre qui porte son nom. – it-2 p391

Néhémie s’inquiéta grandement en apprenant que les fils nés des mariages mixtes contractés par les Juifs rapatriés ne connaissaient pas “ le juif ”, c’est-à-dire l’hébreu (Ne 13:23-25). C’était du culte pur qu’il se souciait, car il savait l’importance de comprendre les Saintes Écritures (jusque-là disponibles uniquement en hébreu) quand on les lisait et qu’on les commentait. L’unicité de langue en elle-même constituerait aussi une force unificatrice parmi le peuple. Les Écritures hébraïques étaient sans nul doute un facteur important de la stabilité de l’hébreu. Durant la période de mille ans que dura leur rédaction, on ne note pour ainsi dire aucun changement dans la langue.

Plus tard certaines des parties de la Bible furent écrites en araméen. Au Ier siècle de n. ère, le reste des Saintes Écritures fut rédigé en koinè, ou grec commun (encore que Matthieu ait d’abord écrit son Évangile en hébreu). Entre-temps les Écritures hébraïques avaient été également traduites en grec. Cette traduction, appelée la Septante, n’avait pas été inspirée par Dieu, mais les rédacteurs chrétiens de la Bible la citèrent quand même maintes fois. Pareillement, les Écritures grecques chrétiennes, et finalement toute la Bible, furent traduites en d’autres langues, à commencer par le latin, le syriaque, l’éthiopien, l’arabe et le perse. Aujourd’hui, la Bible est disponible dans son intégralité ou en partie en plus de 2 000 langues. Cela a facilité la prédication de la bonne nouvelle et a contribué à renverser la barrière que constituent les divisions linguistiques, afin d’unir les habitants de nombreux pays dans le culte pur de leur Créateur. – it-2 p110 Langue

Au nombre de ceux qui se sont bien acquittés de leurs responsabilités devant Dieu figure Néhémie, l’échanson du roi perse Artaxerxès (Longuemain) (Néhémie 2:1). Nommé gouverneur des Juifs, Néhémie rebâtit les murailles de Jérusalem malgré les ennemis et les dangers. Zélé pour le vrai culte, il fit appliquer la Loi de Dieu et se soucia des opprimés (Néhémie 5:14-19). Il exhorta les Lévites à se purifier régulièrement, à garder les portes et à sanctifier le jour du sabbat. C’est donc à bon droit qu’il pouvait prier en ces termes : “ De cela aussi, souviens-toi en ma faveur, ô mon Dieu, et veuille t’apitoyer sur moi selon l’abondance de ta bonté de cœur. ” Il n’y avait non plus rien de déplacé à ce qu’il conclût son livre divinement inspiré par cette requête : “ Souviens-toi de moi, ô mon Dieu, pour le bien. ” — Néhémie 13:22, 31.

Quelqu’un qui fait le bien est vertueux et accomplit des actions droites au profit des autres. Néhémie était ce genre d’homme. Il avait une crainte révérencielle de Dieu et beaucoup de zèle pour le vrai culte. De plus, il était reconnaissant à Jéhovah des privilèges qu’il lui donnait dans son service et il s’acquittait remarquablement de ses responsabilités devant lui. Réfléchissons à son exemple et demandons-nous quelle valeur nous accordons aux privilèges et aux responsabilités que Dieu nous a confiés, ou encore comment nous nous acquittons de nos responsabilités devant Jéhovah Dieu et Jésus Christ TG1996  15/9 p16

Qu’est-ce que Néhémie demandait à Jéhovah de faire ? Néhémie 13:31 « Et j’ai pris des dispositions pour la fourniture du bois aux moments fixés, et pour les premiers produits des récoltes. « Souviens-toi de moi et bénis-moi, ô mon Dieu ! » Néhémie fait cette prière : “ Souviens-toi de moi, ô mon Dieu, pour le bien. ” Craint-il que Dieu n’ait pas remarqué ses bonnes actions ou qu’il ne l’oublie ? Non. Néhémie sait sans aucun doute ce que les rédacteurs bibliques ont dit concernant le vif intérêt que Jéhovah porte à ses adorateurs fidèles et à leurs bonnes actions. Alors, que demande-t-il à Dieu ? Selon un spécialiste, le mot hébreu traduit par “ se souvenir ” désigne “ des pensées affectueuses et l’action qui accompagne le souvenir ”. Avec une foi totale dans le pouvoir de la prière, Néhémie demande à Dieu de garder de lui un souvenir affectueux et de le bénir. —

Jéhovah répondra-t-il à la prière de Néhémie ? D’une certaine façon, il y a déjà répondu. Le simple fait qu’il ait jugé utile de la faire consigner dans les Écritures inspirées, lui conférant ainsi un caractère permanent, est la preuve qu’il se souvient de son serviteur avec affection. Mais Celui “ qui entend la prière ” fera davantage encore pour répondre à cette requête sincère. —

Dieu continuera de récompenser Néhémie pour tout le bien qu’il a réalisé en faveur du culte pur (Hébreux 11:6). Dans le monde nouveau juste qu’il promet, Jéhovah le bénira en le ressuscitant. Néhémie aura la perspective de vivre éternellement dans le paradis terrestre et verra alors que Jéhovah s’est effectivement souvenu de lui pour le bien – TG2011  1/ 2 p14

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