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Perles spirituelles - Semaine du 4 Septembre 2023 - Esther 1 -2


misette

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Perles spirituelles (10 min) : Esther 1 - 2

Esther 2:5 : Quelle preuve semble confirmer l’exactitude du récit biblique relatif à Mardochée ? (w22.11 31 § 3-6)

« Or, à Suse la citadelle se trouvait un certain Juif qui s’appelait Mardochée. C’était le fils de Jaïr, lui-même fils de Shiméï, fils de Kish, un Benjaminite.»

Des chercheurs ont mis au jour un texte cunéiforme perse qui parle d’un homme appelé Marduka (Mardochée en français). Il était administrateur, peut-être comptable, à Suse. Arthur Ungnad, historien et spécialiste des civilisations orientales, a fait remarquer que ce texte était à l’époque « la seule référence à Mardochée en dehors de la Bible ».

Depuis, des experts ont traduit des milliers d’autres textes cunéiformes perses. Parmi ces textes, il y a les tablettes de Persépolis, qui ont été découvertes dans les ruines du Trésor, près des murailles de la ville. Ces tablettes datent du règne de Xerxès Ier. Elles sont écrites en langue élamite et contiennent plusieurs noms figurant dans le livre d’Esther.

Plusieurs tablettes de Persépolis parlent d’un homme qui était nommé Marduka et qui était scribe du roi au palais de Suse durant le règne de Xerxès Ier. Une de ces tablettes le présente comme un traducteur. Ce détail est en accord avec la description que la Bible fait de Mardochée : C’était un haut fonctionnaire à la cour du roi Assuérus (Xerxès Ier) et il parlait au moins deux langues. Il était régulièrement « assis à la porte du palais du roi », à Suse (Est. 2:19, 21 ; 3:3). Cette porte était un bâtiment imposant où travaillaient les hauts fonctionnaires du palais.

Il existe donc des ressemblances frappantes entre le Marduka des tablettes et le Mardochée de la Bible : ils ont vécu à la même époque et au même endroit, et ils ont occupé un poste de haut fonctionnaire dans le même palais. Toutes ces ressemblances révélées par les découvertes archéologiques laissent à penser que Marduka et Mardochée sont la même personne. - w22.11 31 § 3-6

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Résumé du livre d’Esther 1-2 - Esther est orpheline. Nous savons très peu de choses au sujet de ses parents, si ce n’est qu’ils l’ont appelée Hadassa, mot hébreu qui signifie « myrte ». Le myrte est un joli petit arbre aux fleurs blanches et parfumées. Lorsqu’Esther a perdu ses parents, son cousin Mardochée bien plus âgé qu’elle, l’a prise chez lui. Cet homme bon l’a élevée comme si c’était sa fille - Esther 2:5-7, 15. La Bible parle d’Esther, une femme qui fut élevée par un “tuteur” ou père adoptif à la mort de ses parents. Bien qu’il ne fût pas son vrai père, Mardochée ‘lui donnait des ordres’, et elle lui obéissait, même devenue adulte (Esther 2:7, 15, 17, 20)!

L’un comme l’autre sont des exilés juifs dans la capitale perse. Ils font probablement face à un certain mépris en raison de leur religion et de la loi qu’ils essaient de suivre, la Loi de Moïse. Mais Esther doit apprécier que Mardochée lui parle de Jéhovah, le Dieu miséricordieux qui a secouru son peuple de nombreuses fois dans le passé, et qui le fera encore. On comprend qu’un lien d’amour et de fidélité se tisse entre Esther et son cousin.

Il semble que Mardochée a un poste de fonctionnaire au château de Suse, car il s’assoit régulièrement « dans la porte du roi » avec d’autres serviteurs (Esther 2:19, 21 ; 3:3). Quelles sont les occupations de la jeune Esther ? Elle prend sans doute soin de son cousin et de sa maison, située dans les quartiers modestes sur la rive opposée au palais. Elle aime sûrement aller au marché, où les orfèvres et autres commerçants exposent leurs marchandises. Esther est loin d’imaginer que ces produits de luxe feront plus tard partie de son quotidien.

Un jour, le bruit court dans toute la ville qu’un scandale secoue la maisonnée du roi. Lors d’un grand festin au cours duquel il régalait ses nobles de plats et de vins excellents, Assuérus a décidé d’appeler la reine, Vashti, qui festoyait de son côté avec les femmes. Mais la splendide Vashti a refusé de venir. Humilié et furieux, le roi a demandé à ses conseillers comment la punir. La sanction est tombée : la reine a été détrônée. Les serviteurs du roi sont maintenant à la recherche de belles vierges dans tout le territoire. Le roi choisira une nouvelle reine parmi elles (Esther 1:1–2:4).

Mardochée regarde affectueusement Esther. Il se rend compte avec un mélange de fierté et d’inquiétude que sa petite cousine a grandi et qu’elle est très belle. « La jeune personne était belle de forme et belle d’apparence », dit le récit (Esther 2:7). La Bible présente une vision équilibrée de la beauté : elle est appréciable, mais elle doit s’accompagner de sagesse et d’humilité. Sinon, elle peut nourrir la vanité, l’orgueil et d’autres vilains défauts. Pour Esther, la beauté sera-t-elle un atout ou un piège ?

Les serviteurs du roi remarquent Esther et l’emmènent au palais, de l’autre côté du fleuve (Esther 2:8). La séparation doit être difficile, car Mardochée et Esther sont comme père et fille. Il ne souhaite pas que sa fille adoptive se marie avec un homme qui, même s’il est roi, n’adore pas Jéhovah. Cependant, Mardochée n’est pas maître des évènements. Esther écoute certainement avec attention ses conseils avant de le quitter. Alors qu’on la conduit au château, les questions se bousculent dans son esprit. Quel genre de vie l’attend ?

Esther se retrouve dans un monde entièrement nouveau pour elle. Elle fait partie des « nombreuses jeunes personnes » qui ont été rassemblées des quatre coins de l’Empire perse. Leurs coutumes, leurs langues et leurs comportements sont très variés. Placées sous la responsabilité d’un fonctionnaire nommé Hégaï, les jeunes filles vont recevoir durant une année des soins de beauté intensifs comprenant des massages avec des huiles parfumées (Esther 2:8, 12). Cet environnement et ce mode de vie pourraient facilement faire naître chez ces demoiselles de l’orgueil, une obsession pour leur physique et l’esprit de compétition. Comment Esther va-t-elle réagir ?

Personne sur terre ne se préoccupe davantage d’Esther que Mardochée. Nous lisons que, jour après jour, il s’approche aussi près que possible de la maison des femmes pour savoir comment se porte sa fille adoptive (Esther 2:11). Alors qu’il obtient petit à petit quelques nouvelles, peut-être grâce à des serviteurs, il doit être très fier d’elle. Pourquoi ?

Hégaï est tellement impressionné par Esther qu’il la traite avec bonté de cœur en lui donnant sept servantes et le meilleur endroit de la maison des femmes. Le récit ajoute : « Pendant tout ce temps Esther obtenait sans cesse faveur aux yeux de tous ceux qui la voyaient » (Esther 2:9, 15). La beauté à elle seule peut-elle éblouir tout le monde à ce point ? Non, Esther n’est pas seulement belle.

Par exemple, nous lisons qu’« Esther n’avait révélé ni son peuple ni sa parenté, car Mardochée lui avait imposé l’ordre de ne rien révéler » (Esther 2:10). Mardochée lui a dit de ne pas parler de ses origines juives. Il a certainement observé qu’à la cour de Perse, les préjugés contre son peuple sont répandus. Quelle joie pour lui d’apprendre qu’Esther, bien que séparée de lui, est toujours aussi obéissante et pleine de sagesse !

De nos jours aussi, les jeunes peuvent rendre heureux leurs parents — ou ceux qui les élèvent. Même si leurs parents ne les voient pas, ils peuvent résister aux mauvaises influences et faire ce qui est droit, y compris quand ils sont entourés de personnes superficielles, immorales ou violentes. De cette façon, comme Esther, ils réjouissent le cœur de leur Père céleste

Esther et la reine Vashti illustrent bien le contraste qui peut exister entre deux femmes. Vashti était, semble-t-il, persuadée que le roi Assuérus, sous le charme de sa beauté, accéderait à tous ses désirs. Mais sa beauté était très superficielle, ‘ épidermique ’. Vashti manquait fort de modestie, de féminité, car elle ne s’est pas montrée soumise à son mari et roi. Celui-ci l’a rejetée et a choisi pour reine une femme représentative de la vraie féminité, une femme qui craignait Jéhovah. — Esther 1:10-12 ; 2:15-17.

Esther est un exemple remarquable pour les chrétiennes. Tout en étant “ belle de forme et belle d’apparence ”, elle possédait les ornements de “ la personne cachée du cœur dans la parure incorruptible de l’esprit doux et paisible ”. (Esther 2:7 ; 1 Pierre 3:4.) Elle ne donnait pas la primauté aux parures voyantes. Elle avait du tact et de la retenue, et elle s’est montrée soumise à son mari, Assuérus, même quand son peuple a été en danger de mort. Elle a gardé le silence quand la sagesse le lui a dicté, mais elle a pris la parole avec courage quand c’est devenu nécessaire, tout en choisissant le bon moment (Esther 2:10 ; 7:3-6). Elle a suivi les conseils de son cousin Mordekaï, un homme mûr (Esther 4:12-16). Elle a démontré son amour et sa fidélité pour son peuple

Quel est le secret de la vraie féminité ? La crainte révérencielle de Dieu est primordiale ; par ailleurs, la bonté de cœur, l’amabilité, la modestie et la douceur dans le langage contribuent bien plus à la féminité que la beauté physique. TG1997 15/6 §9

Quand arrive pour Esther le moment d’être présentée au roi, elle a le droit de choisir n’importe quel accessoire qui lui semble utile, peut-être pour paraître plus belle encore. Mais avec modestie, elle ne demande rien de plus que ce que lui propose Hégaï (Esther 2:15). Elle a sûrement compris que la beauté ne suffit pas à gagner le cœur d’un roi. À la cour, l’humilité et la modestie seront des atouts bien plus rares. A-t-elle raison ?

Le récit apporte la réponse : « Le roi aima Esther plus que toutes les autres femmes, si bien qu’elle obtint faveur et bonté de cœur devant lui plus que toutes les autres vierges. Alors il mit le diadème royal sur sa tête et la fit reine à la place de Vashti » (Est. 2:17). Comme il doit être difficile pour cette humble Juive de s’adapter à ce changement de vie ! Elle est la nouvelle reine, la femme du dirigeant le plus puissant de la terre à cette époque. Devient-elle orgueilleuse pour autant ?

Esther reste obéissante à son père adoptif. Elle continue de garder le secret sur ses origines. Par ailleurs, lorsque Mardochée découvre un complot d’assassinat contre Assuérus, elle accepte de transmettre l’avertissement au roi, et les conspirateurs sont démasqués (Esther 2:20-23). Une fois de plus, Esther démontre sa foi en son Dieu par son humilité et sa soumission. À notre époque, la désobéissance et la rébellion sont monnaie courante, et l’obéissance est rarement considérée comme une qualité. L’exemple d’Esther est donc vraiment précieux. Comme elle, ceux qui ont une foi sincère accordent du prix à l’obéissance. – Livre Imitez (ia) chap15

Esther 1:3-5 « Dans la troisième année de son règne, il offrit un banquet à tous ses princes et ses fonctionnaires. Les officiers de l’armée de Perse et de Médie, les nobles et les princes des provinces vinrent au banquet. 4 Et, pendant de nombreux jours, 180 jours, il leur montra la richesse de son glorieux royaume, ainsi que la grandeur et la splendeur de sa puissance. 5 Après cette période, le roi offrit un banquet de sept jours à toutes les personnes présentes à Suse la citadelle, de la plus importante à la plus modeste, dans la cour du jardin du palais royal »

Le banquet a-t-il duré 180 jours ? Le texte ne dit pas que le banquet a duré aussi longtemps, mais que pendant 180 jours le roi a montré à ses grands les richesses et la beauté de son glorieux royaume. C’était probablement dans le but d’impressionner les nobles et de les convaincre de sa capacité à mener à bien ses projets que le roi a fait longuement étalage de la gloire de son royaume. Et dans ce cas, les versets 3 et 5 pourraient s’appliquer au banquet de 7 jours qui a eu lieu à la fin des 180 jours. – TG2006  1/3 p8

Esther 1:10-12Pourquoi la reine Vashti (femme d’Assuérus (Xerxès Ier) le roi de Perse) a-t-elle refusé obstinément de se présenter devant le roi ? Certains biblistes avancent l’idée que la reine a refusé d’obéir parce qu’elle ne voulait pas s’abaisser à paraître devant les invités avinés du roi. Mais peut-être cette reine manifestement belle était-elle insoumise de nature. Bien que la Bible ne donne pas de détails sur ses motivations, les sages de l’époque ont considéré que l’obéissance d’une femme à son mari était une question sérieuse et que l’exemple donné par Vashti aurait une mauvaise influence sur toutes les femmes des provinces de Perse.

Pour ce qui est du port de bijoux et de l’utilisation du maquillage, que doivent garder présent à l’esprit les femmes chrétiennes?

La Bible ne condamne pas l’utilisation de bijoux ou de cosmétiques (Exode 32:2, 3; Esther 2:7, 12, 15). Cependant, c’est la modestie qui doit l’emporter. Une femme pourrait en arriver facilement à imiter les habitudes du monde, et faire un usage excessif de rouge à lèvres, de fard à joues ou de fard à paupières, tout comme Jézabel (2 Rois 9:30). Il faut veiller à ne pas avoir la main lourde lorsqu’on se maquille et à ne pas porter des bijoux trop voyants. — TG1991 15/8

Esther 2:15 « Un jour, ce fut au tour d’Esther, la fille d’Abihaïl l’oncle de Mardochée, que Mardochée avait adoptée, d’entrer chez le roi. Elle ne demanda rien d’autre que ce que lui avait recommandé Hégaï, l’eunuque du roi et gardien des femmes. (Pendant tout ce temps, Esther avait gagné l’estime de tous ceux qui la voyaient.) ». Esther a fait preuve de modestie et de maîtrise de soi en ne demandant pas de bijoux supplémentaires ni de vêtements plus raffinés que ceux fournis par Hégaï. Sa beauté tenait à “ la personne cachée du cœur dans la parure incorruptible de l’esprit doux et paisible ”, ce qui lui a valu la faveur du roi. cahier2016/2

Notre modestie peut être mise à l’épreuve quand nous sommes l’objet de flatteries ou d’éloges. Réfléchis à l’excellente réaction qu’a eue Esther quand sa vie a pris un tournant inattendu. Elle était d’une beauté saisissante et, pendant une année, elle a été l’objet de soins luxueux. Elle côtoyait au quotidien des jeunes femmes de tout l’Empire perse qui se disputaient l’attention du roi. Mais elle est restée respectueuse et posée. Elle n’est pas devenue vaniteuse ni présomptueuse, même après avoir été choisie par le roi pour être reine (Est. 2:9, 12, 15, 17). – TG2017/1 §11

Une femme vraiment soumise a trouvé la faveur du roi. Mais même assise sur le trône de Perse, Esther continue de suivre les instructions de Mardochée (Esther 2:19, 20). Aujourd’hui, nous pouvons certes nous représenter Esther comme une femme ravissante vêtue d’habits royaux. Mais sa parure résidait surtout dans “la personne cachée du cœur, dans le vêtement incorruptible de l’esprit calme et doux, qui est d’une grande valeur aux yeux de Dieu”. (I Pierre 3:3, 4.) Les femmes chrétiennes du vingtième siècle ont de bonnes raisons de repousser l’égoïsme de l’ex-reine Vaschti et d’imiter la soumission et le désintéressement de la pieuse Esther

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