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Perles spirituelles - Semaine du 20 Novembre 2023 - Job 18 -19


misette

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Perles spirituelles (10 min) : Job 18 - 19

Job 19:1, 2 : Quel enseignement pouvons-nous tirer de la réaction de Job face aux paroles sans compassion de ses « amis » ?

(w94 1/10 32).

« Job répondit : « Jusqu’à quand irriterez-vous mon âme et m’écraserez-vous par des paroles ?.»

Toutefois, quand à son tour Job a eu besoin d’encouragement, Élifaz et ses compagnons ne lui ont pas dit de bonnes paroles. Ils l’ont accusé d’être responsable de ses malheurs, laissant entendre qu’il avait dû commettre quelque faute cachée (Job 4:8). À ce sujet, un commentaire biblique (The Interpreter’s Bible) dit: “Job avait besoin de la compassion d’un cœur humain. Or, ce qu’il entendait n’était qu’une suite de clichés religieux et de platitudes morales absolument ‘vraies’ et absolument magnifiques.” La détresse de Job était si grande qu’en écoutant les propos d’Élifaz et de ses compagnons, il s’est écrié: “Jusqu’à quand irriterez-vous mon âme et m’écraserez-vous avec des paroles?” — Job 19:2.

Nous ne devrions jamais amener un compagnon à crier de détresse à cause de nos paroles méchantes et irréfléchies  Deutéronome 24:15 « Tu lui donneras son salaire le jour même, avant le coucher du soleil, car il est dans le besoin et sa vie dépend de son salaire. Autrement, il criera vers Jéhovah contre toi, et tu seras coupable d’un péché »). Un proverbe biblique dit: “ La mort et la vie sont au pouvoir de la langue ; ceux qui aiment l’utiliser devront en accepter les conséquences..”  Proverbes 18:21 - w94 1/10 32).

La leçon que l’on peut tirer de la situation de Job et de ses soi-disant amis est l’importance de faire preuve de compassion et d’empathie au lieu de porter des jugements hâtifs et de prononcer des paroles blessantes. Même si Élifaz et ses compagnons avaient l’intention de réconforter, leurs paroles étaient inopportunes et manquaient de compréhension face aux souffrances que Job éprouvait.

Dans la vie quotidienne, la leçon que nous pouvons tirer est la nécessité de faire attention à nos mots et de faire preuve de compassion dans nos interactions avec les autres, surtout dans les moments difficiles.

Trois compagnons de Job lui ont rendu visite, soi-disant pour “ le plaindre et le consoler ”. (Job 2:11.) En fait, ils se sont révélés “ de pénibles consolateurs ”. (Job 16:2.) Leur présence aurait été bénéfique si Job avait pu se décharger sur eux de ses problèmes, mais ces trois-là ont avant tout ajouté à la confusion du patriarche et accentué son désarroi

On imagine aisément que Job se soit demandé : ‘ Pourquoi moi ? Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ça ? ’ Ses compagnons lui ont donné des explications complètement déroutantes. Ils prétendaient que Job avait provoqué lui-même tous ses malheurs en commettant un péché grave. “ Quel innocent a jamais péri ? raisonnait Élifaz. D’après ce que j’ai vu, ceux qui forgent le méfait et ceux qui sèment le malheur en feront eux-mêmes la moisson. ” — Job 4:7, 8.

Évidemment, des difficultés peuvent surgir si nous semons selon la chair plutôt que selon l’esprit (Galates 6:7, 8). Toutefois, dans le présent système, nous pouvons rencontrer des problèmes, quelle que soit notre conduite. De plus, il est faux de dire que l’innocent est protégé de toute calamité. Le raisonnement faussé d’Élifaz et de ses deux compagnons a poussé Job à défendre sa réputation et à clamer haut et fort son innocence. En s’entêtant à prétendre que Job méritait ses souffrances, ils ont peut-être même influencé sa vision de la justice divine. — TG2006  15/8§12-14

Les conseils devraient être fondés sur la Parole de Dieu et non sur des idées personnelles. Les raisonnements des compagnons de Job étaient inexacts et dévastateurs. Loin d’aider Job à se sentir plus proche de Jéhovah, ils l’ont amené à croire qu’un obstacle le séparait de son Père céleste (Job 19:2, 6, 8). Au contraire, en utilisant habilement la Bible, on peut redresser les choses, fortifier autrui et apporter un réconfort réel. — TG1995 15/2 §3

Il est facile de constater que quelqu’un a toujours des paroles défaitistes ou critiques, mais nous-mêmes pouvons nous demander: ‘Ai-je tendance à être comme cela?’ Il serait bon, de temps à autre, de réfléchir à l’esprit de nos paroles. Sont-elles avant tout défaitistes ou critiques? Ressemblons-nous aux trois faux consolateurs de Job (Job 2:11; 13:4, 5; 16:2; 19:2)? Pourquoi ne pas trouver quelque chose d’agréable à dire? Si la conversation est surtout critique, pourquoi ne pas l’orienter vers un sujet édifiant ? – TG1992 15/8 §7

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Job 18:2 « Quand mettrez-vous un terme à ces discours ? Faites preuve d’intelligence afin que nous puissions enfin parler. »

Cette déclaration d’humilité reflète un manque d’empathie envers Job, qui connaît d’intenses souffrances. Parfois, dans nos interactions avec les autres, il est essentiel d’être conscient des difficultés et des douleurs auxquelles ils peuvent être confrontés, avant de porter un jugement ou des conseils.

Job 18:3, 4 Pourquoi serions-nous considérés comme des animaux et passerions-nous pour stupides à vos yeux ?  4 Même si dans ta colère tu te déchires toi-même, la terre sera-t-elle abandonnée à cause de toi, ou le rocher quittera-t-il son emplacement ?

La colère suggère une réaction exagérée ou incontrôlée face aux difficultés. La leçon à retenir ici pourrait être l’importance de gérer ses émotions, surtout en période d’adversité. Une colère incontrôlée peut obscurcir le jugement et ne changera pas la réalité de la situation. 

Quand il insinua que Job dissimulait quelque méchanceté secrète, Bildad dit au sujet des méchants : “ Oui, une lumière s’obscurcira dans sa tente, et dedans s’éteindra sa lampe. ” Job 18:6 Cela signifie  qu’il n’y a pas d’avenir pour lui. Il ajoute dans la suite de son raisonnement : “ Il n’aura ni lignée ni postérité parmi son peupleJob 18:19”. il insinua qu’il n’y aurait “ ni lignée ni postérité ” pour Job —

Souvent, pour capturer les animaux, on mettait en place des filets, puis un groupe de chasseurs effrayaient les bêtes, généralement en faisant du bruit ; celles-ci se précipitaient alors contre les filets qui étaient disposés de manière à s’abattre sur elles. On creusait aussi des fosses qu’on dissimulait en les recouvrant d’une mince couche de branchages et de terre ; on piégeait les animaux en les faisant passer sur ce camouflage dans leur fuite. On se servait également de pièges qui retenaient l’animal par la patte ; on utilisait peut-être aussi la fosse et le filet en même temps. — Job 18:8-11 

Un chasseur n’a qu’un seul but : capturer ou tuer sa proie. Et il peut utiliser différents pièges, comme le fait remarquer le livre de Job - Job 18:8-10 « Car ses pieds le mèneront dans un filet, et il errera dans ses mailles. Un piège le saisira au talon ; un piège le capturera. Une corde est cachée pour lui au sol, et un piège l’attend sur son sentier. ». Comment s’y prend-il pour attirer l’animal ? Il étudie son comportement : Qu’est-ce qu’il aime ? Dans quels endroits se rend-il ? Comment l’attraper par surprise ? Satan est comparable à un chasseur. Il étudie notre comportement. Il observe ce que nous aimons et dans quels endroits nous nous rendons. Ensuite, il met en place un piège pour essayer de nous prendre par surprise. Toutefois, la Bible nous assure que s’il nous arrive de tomber dans un de ses pièges, nous pouvons nous en dégager. Et surtout, elle nous apprend à les éviter. – TG2021/6 p14 §1

Dans la Bible, le “ filet ” est souvent employé au sens figuré pour représenter un moyen de prendre quelqu’un au piège, de le cerner de façon à l’emmener captif ou à attirer sur lui le malheur - Job 18 :8

Aux yeux de Jéhovah, Job était juste et irréprochable, mais les trois “consolateurs” insinuèrent que Job était un apostat immoral et méchant qui mourrait sans laisser de souvenir. Ils affirmaient que Dieu n’attacherait pas de valeur à la justice de Job, puisqu’il ne se fie pas même à ses anges, et considère les cieux eux-mêmes comme impurs! — Job 18:17-19

Aujourd’hui, Satan se sert de cette ‘manœuvre’, ou ‘ruse’, essayant de persuader les hommes que personne ne les aime, qu’ils ne valent rien. Il se plaît également à priver les individus vulnérables de leur estime de soi. Il en est particulièrement ainsi durant les “derniers jours” décisifs que nous vivons. À notre époque, beaucoup grandissent dans des familles où il n’existe pas d’“affection naturelle”; beaucoup ont affaire quotidiennement à des individus cruels, égoïstes et entêtés . Ayant subi durant des années les mauvais traitements, le racisme, la haine ou les violences sexuelles, certains pensent peut-être qu’ils ne valent rien, qu’ils sont indignes d’être aimés. – TG1995  1/ 4 p10 §2,3

Avec Job Satan a essayé la persuasion. Comme s’il ne lui suffisait pas d’être privé de ses enfants, de sa richesse et de sa santé, Job a dû en plus entendre ce très mauvais conseil de sa femme : “ Maudis Dieu et meurs ! ” (Job 2:9). Ensuite, il a eu la visite de trois “ amis ” qui se sont comme ligués pour le convaincre que s’il était malade c’était par sa faute (Job 19:1-3). De cette manière, Satan a profité de l’état de faiblesse de Job pour tâcher de le décourager et d’ébranler sa confiance en la justice de Jéhovah. Mais Job a continué de fonder son espérance sur Jéhovah seul.

Nous aussi, quand nous sommes malades, nous pouvons être déprimés. Satan saisit aussitôt l’occasion pour essayer de nous faire faire un faux pas qui mette notre foi en péril. Par conséquent, lorsque nous tombons malades, il est important de ne pas oublier que la cause fondamentale de nos souffrances est probablement l’imperfection héréditaire et pas une influence mystérieuse.  – TG1999  1/9

Si nous sommes accablés à cause de propos décourageants d’un ami ou d’un proche, d’une maladie grave ou de la perte d’un être cher, l’exemple de Job peut réconforter (Job 19:1-3). Même s’il ignorait d’où venaient ses malheurs, Job n’a pas abandonné par désespoir. Pourquoi ? Avant tout, parce qu’il « craignait Dieu » (Job 1:1). Il était déterminé à plaire à Jéhovah en toutes circonstances, favorables ou défavorables. De plus, Jéhovah l’a aidé à réfléchir sur les choses extraordinaires qu’Il avait déjà accomplies au moyen de son esprit saint. Cela a renforcé sa conviction que Jéhovah mettrait fin à ses épreuves au bon moment. Quand nous endurons une épreuve, n’oublions pas que notre exemple encourage sûrement les autres à endurer. – TG2016/4 p13-17 §13

Job 19:2-6 « Jusqu’à quand irriterez-vous mon âme et m’écraserez-vous par des paroles ?  3 Voilà dix fois que vous me réprimandez ; vous n’avez pas honte de me traiter durement.  4 Si vraiment j’ai commis une erreur, ma faute ne regarde que moi.  5 Si vous tenez à vous élever au-dessus de moi en prétendant que mon humiliation est justifiée,  6 sachez alors que c’est Dieu qui m’a égaré et qui m’a attrapé dans son filet de chasse. »

Nous voyons que Job est blessé par les paroles de ses soi-disant amis et recherche la compréhension et le soutien plutôt que le jugement. Job a le sentiment que ses amis le jugent injustement et le traitent durement. Ces versets reflètent l'idée de la façon dont les mots peuvent être écrasants et causer de la douleur, même dans les situations où un soutien est attendu

Job a déploré : “ Sans cesse je crie au secours, mais il n’y a pas de justice. ” (Job 19:7). De même aujourd’hui, beaucoup réclament l’équité à grands cris, qui trop souvent restent sans écho. Mais existe-t-il un être capable d’éliminer l’injustice ? Ou bien l’espoir de lendemains plus justes n’est-il qu’un doux rêve ? Qui veut obtenir une réponse satisfaisante doit examiner les causes profondes de l’injustice – RV2012/5

Un ami fidèle n’a pas de prix. Il peut être très douloureux de le perdre. La Bible dit que lorsque Job a été abandonné par ses amis, il s’est lamenté en ces termes : “ Mes intimes ont disparu, et ceux que je connais m’ont oublié. ” (Job 19:14). Il se peut que vous éprouviez ce genre de sentiment si récemment l’amitié que vous entreteniez avec quelqu’un s’est rompue – RV1996  22/5

Job 19:13 « Il a éloigné de moi mes propres frères, et ceux qui me connaissent se sont détournés de moi. »

Job éprouve non seulement une douleur et une perte physique, mais aussi la douleur émotionnelle de la solitude. Cela nous rappelle que, dans les moments difficiles, le sentiment d’isolement peut constituer un fardeau supplémentaire. La leçon que nous en tirons est qu’il est important de se rappeler de rechercher du soutien et de la compassion en cas de besoin.

Rares sont ceux qui ont dû affronter toutes les difficultés que Job a rencontrées. Rejeté par ses amis et ses proches, il a entendu sa femme lui lancer: “Maudis Dieu et meurs!” — Job 19:13, 14. Pourtant, Job est une source d’encouragement exceptionnelle pour quiconque endure des épreuves comparables. L’heureux dénouement de son épreuve démontre que lorsque nous endurons l’adversité cela réjouit le cœur de Jéhovah, à condition d’être motivés par un attachement sincère à Dieu plutôt que par la recherche d’avantages personnels. — TG1995  15/2

La Bible ne donne pas le nom de la maladie de Job. Cependant, elle nous en décrit les symptômes. Sa chair était couverte de larves, sa peau formait des croûtes et tombait en pourriture, noircie, elle se détachait.. Son haleine était repoussante et son corps exhalait une odeur fétide. Il était rongé de douleur (Job 19:17 « Mon haleine est devenue repoussante pour ma femme, et je suis une puanteur pour mes propres frères. ». Souffrant terriblement, Job était assis au milieu de la cendre et se grattait avec un tesson (Job 2:8). Il était réellement pitoyable à voir ! Quelle serait votre réaction si vous étiez affligé d’une maladie aussi grave ? De nos jours, Satan ne frappe pas les serviteurs de Dieu d’une maladie comme il l’a fait pour Job. Néanmoins, l’imperfection humaine, les tensions de la vie quotidienne et la dégradation de notre environnement font qu’inévitablement nous tombons parfois malades. Malgré les précautions que nous prenons, nous sommes tous sujets à la maladie, même si peu d’entre nous souffriront autant que Job. Quand la maladie frappe notre maisonnée, ce peut être un véritable combat à mener. —fy chap10 §3,4

Job a perdu subitement ses richesses. Puis tous ses enfants, au nombre de dix, ont été tués dans une tempête. Peu après, il a été frappé d’une maladie débilitante et répugnante (Job 1:13-19 ; 2:7, 8). De tels malheurs ont poussé Job à s’écrier : “ C’est la main de Dieu qui m’a porté ces coups ! ” (Job 19:21, Bible en français courant). À l’évidence, comme beaucoup de nos jours, Job croyait que Dieu le punissait. – RV2009/1

Le stylet - Instrument pour écrire sur des matériaux tels que l’argile ou la cire. La pointe du stylet employé pour l’écriture cunéiforme était soit carrée, soit en forme de coin, et était ordinairement faite dans du roseau ou du bois dur.

Pour imprimer ou graver des lettres dans la pierre ou le métal, il fallait un stylet, c’est-à-dire un ciseau en métal ou en une autre matière dure. Job déclara : “ Ah ! si maintenant on mettait par écrit mes paroles ! Ah ! si on les inscrivait dans un livre ! Avec un stylet de fer et avec du plomb, ah ! si pour toujours elles étaient sculptées dans le roc ! ” (Job 19:23, 24). Job désirait apparemment que ses paroles soient gravées dans la pierre et que les lettres ainsi tracées soient remplies de plomb afin de les rendre plus durables. Des siècles plus tard, Jéhovah dit des péchés de Juda qu’ils étaient écrits avec un stylet de fer, c’est-à-dire inscrits de façon indélébile. — it-2 p1019 Stylet

Avec une humilité sincère, Job reconnut que son point de vue était erroné et admit qu’il avait parlé sans connaissance. Pourtant, il avait exprimé sa conviction de ‘contempler Dieu’ un jour (Job 19:25-27 « Car je sais bien que mon rédempteur est vivant ; il viendra plus tard et s’élèvera au-dessus de la terre. Après que ma peau aura ainsi été détruite, alors que je serai encore dans ma chair, je verrai Dieu. Je le verrai par moi-même ; mes propres yeux, non ceux d’un autre, le verront. Mais au fond de moi, je suis accablé ! ». Comment cela pourrait-il se faire, puisqu’aucun humain ne peut voir Jéhovah et continuer de vivre? En fait, Job vit la manifestation de la puissance divine, il entendit la parole de Dieu, et les yeux de sa compréhension furent ouverts pour voir la vérité concernant Jéhovah. C’est pourquoi Job ‘se rétracta et se repentit dans la poussière et dans la cendre’. (Job 42:1-6.) Les nombreuses questions auxquelles il n’avait su répondre avaient prouvé la suprématie de Dieu et révélé la petitesse des hommes, fussent-ils attachés à Dieu comme l’était Job. Cela nous donne à comprendre que nous ne devons pas accorder à nos intérêts personnels plus d’importance qu’à la sanctification du nom de Jéhovah et à la défense de sa souveraineté. Notre préoccupation première devrait être de rester fidèles à Jéhovah et d’honorer son nom – km2001/8 §17

Job espérait en une résurrection. Il se rendait bien compte qu’un arbre coupé peut repousser et devenir comme un arbre nouveau, mais que c’est différent pour l’homme (Job 19:25-27). En effet, quand un humain meurt, il ne peut pas se ramener lui-même à la vie. Cela dit, Job ne pensait pas que Dieu est incapable de ressusciter un humain. D’ailleurs, il était convaincu que Jéhovah fixerait un moment pour se souvenir de lui. Job ne pouvait pas savoir quand exactement Jéhovah lui redonnerait la vie. Cependant, il était convaincu que le Créateur de la vie humaine pouvait et allait se souvenir de lui pour le ressusciter. – TG2017/12 p3-7

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