Perles spirituelles - Semaine du 18 Mars 2024 - Psaumes 19 - 21

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Perles spirituelles (10 min) : Psaumes 19-21

Psaume 19:7-9 : Comment ces versets poétiques illustrent-ils ce qu’est le parallélisme synthétique ? (it-1 1093)

« La loi de Jéhovah est parfaite, elle redonne des forces. Le rappel de Jéhovah est digne de foi, il rend sage celui qui est inexpérimenté.   Les ordres de Jéhovah sont justes, ils réjouissent le cœur ; le commandement de Jéhovah est pur, il fait briller les yeux.  La crainte de Jéhovah est pure, elle dure toujours. Les jugements de Jéhovah sont vrais, tous sont justes.»

On distingue aussi le parallélisme synthétique (ou formel, constructif), dans lequel le deuxième membre ne se borne pas à se faire l’écho du premier ou à établir un contraste. Il amplifie plutôt l’idée précédente et ajoute une pensée nouvelle. Psaume 19:7-9 en est une illustration :

La loi de Jéhovah est parfaite, ramenant l’âme.

Le rappel de Jéhovah est digne de foi, rendant sage l’homme inexpérimenté.

Les ordres de Jéhovah sont droits, réjouissant le cœur ; le commandement de Jéhovah est pur, faisant briller les yeux.

La crainte de Jéhovah est pure, tenant pour toujours.

Les décisions judiciaires de Jéhovah sont vérité ; elles se sont révélées justes l’une comme l’autre.

On remarque que la deuxième partie de chaque phrase ou proposition complète l’idée ; l’ensemble du vers est donc une synthèse, c’est-à-dire le résultat de la réunion de deux éléments. Ce n’est qu’avec la deuxième partie du vers, par exemple “ ramenant l’âme ” et “ rendant sage l’homme inexpérimenté ”, que le lecteur apprend en quoi la ‘ loi est parfaite ’ et le “ rappel de Jéhovah est digne de foi ”. Dans une telle suite de parallèles synthétiques, la division entre la première et la deuxième partie sert de césure. Ainsi, outre la progression de la pensée, le texte conserve une certaine structure poétique, un parallèle dans la forme. C’est pour cette raison que ce parallélisme est appelé formel ou constructif. - it-1 p1093

Salomon et son père David utilisèrent les formes poétiques traditionnelles de leur époque. La poésie hébraïque, souvent chantée sur un accompagnement musical, ne connaissait pas le procédé de la rime. Elle faisait appel au parallélisme, une forme littéraire caractérisée par le rythme de la pensée. Deux lignes consécutives peuvent contenir la même idée exprimée de deux manières différentes ou deux idées formant un contraste (Psaume 37:6, 9). Souvent, la deuxième ligne complète l’idée de la première en y ajoutant un élément nouveau. C’est ce que l’on observe par exemple en Psaume 119:1 :

Heureux ceux qui sont intègres dans leur voie,

ceux qui marchent dans la loi de Jéhovah.

Comme on le voit, la deuxième ligne révèle ce que signifie être intègre : marcher dans la loi de Jéhovah. Parce qu’elle fait appel au parallélisme des idées et non à la rime, la poésie hébraïque est relativement facile à traduire – RV2001  8/6 p21

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

En Psaume 19:1, David répond en ces termes : “ Les cieux proclament la gloire de Dieu ; et l’œuvre de ses mains, l’étendue l’annonce. ” Pour David, les étoiles et les planètes qui brillaient dans “ l’étendue ”, l’atmosphère, constituaient une preuve irréfutable de l’existence d’un Dieu glorieux. Il poursuit : “ Un jour après un autre jour fait jaillir le langage, et une nuit après une autre nuit révèle la connaissance. ” (Psaume 19:2). Jour après jour et nuit après nuit, les cieux montrent la sagesse et la puissance créatrice de Dieu. C’est comme si des louanges à l’adresse de Dieu ‘ jaillissaient ’ des cieux !

Nous pouvons fortifier notre foi dans le Créateur en observant les animaux, les plantes et les étoiles (Ps. 19:1). Plus tu étudieras la nature, plus tu seras convaincu que Jéhovah est le Créateur.

David a appris beaucoup de choses sur Jéhovah en observant la création. Quand il était jeune, il passait de nombreuses heures en pleine nature à garder les moutons de son père. C’est sans doute alors qu’il a pris l’habitude de méditer sur la création. Par exemple, quand il levait les yeux vers le ciel la nuit, il voyait non seulement des milliers d’étoiles, mais aussi les qualités de celui qui les avait créées. Il s’est d’ailleurs senti poussé à écrire : « Les cieux proclament la gloire de Dieu ; la voûte céleste proclame l’œuvre de ses mains » (Ps. 19:1, 2). . Le terme gloire peut désigner un effet perceptible impressionnant de la toute-puissance de Dieu. Lorsque David réfléchissait à la façon dont les humains étaient faits, il se rendait compte de la sagesse extraordinaire de Jéhovah. Cette méditation lui enseignait l’humilité – TG2019/12 p16 §21

Comment faire de l’étude un plaisir - Lire et étudier la Parole de Dieu réconforte et stimule tout à la fois. “ La loi de Jéhovah est parfaite, ramenant l’âme, nous dit le psalmiste. Le rappel de Jéhovah est digne de foi, rendant sage l’homme inexpérimenté. Les ordres de Jéhovah sont droits, réjouissant le cœur ; le commandement de Jéhovah est pur, faisant briller les yeux. ” (Psaume 19:7, 8). Les lois et les rappels de Jéhovah raniment notre âme, consolident notre spiritualité, nous procurent une joie intérieure et font briller nos yeux en nous donnant une vision claire de ses merveilleux desseins. Puisqu’en général on aime faire un travail dont on voit les bons résultats, pour que l’étude devienne un plaisir utilisons tout de suite ce que nous apprenons. Jacques a écrit : “ Celui qui plonge les regards dans la loi parfaite, celle de la liberté, et qui y persiste, cet homme, parce qu’il est devenu, non pas un auditeur oublieux, mais quelqu’un qui fait l’œuvre, sera heureux en la faisant. ” (Jacques 1:25). Nous retirerons une grande satisfaction à mettre immédiatement en pratique ce que nous apprenons ou à faire des recherches pour répondre à une question qu’on nous a posée dans le cadre du ministère.– TG2000 1/10 p13 §4,5

Il suffit de donner un peu de miel à un affamé pour qu’il retrouve des forces et pour que ses yeux se mettent à briller. C’est donc fort justement qu’il est dit que les paroles de Jéhovah  sont “plus douces que le miel et que le miel qui coule des rayons”. En effet, les conseils divins procurent d’immenses bienfaits à ceux qui les reçoivent avec gratitude Les décisions judiciaires de Jéhovah sont si excellentes et si bénéfiques qu’elles sont même “ plus douces que le miel et que le miel qui coule des rayons ”. (Ps 19:9, 10.)

Soyons convaincu que les normes de Jéhovah sont les meilleures. Tout ce que Jéhovah nous demande est pour notre bien. Celui qui respecte ses normes se respecte lui-même, a un but dans la vie et trouve le bonheur véritable (Ps. 19:7-11). Par contre, celui qui les rejette subit les conséquences des œuvres de la chair

Avant de décider ce que nous allons faire dans une situation donnée, consultons la Parole de Dieu ; nous y trouverons les meilleurs conseils qui soient (Ps. 19:7, 11). Beaucoup ont constaté que lorsqu’ils font des recherches sur un certain verset, ils comprennent mieux comment l’appliquer dans leur vie. Si nous recherchons dans la Bible les conseils de Jéhovah et que nous les mettons en pratique, nous maîtriserons plus facilement notre anxiété.

Étant imparfaits et pécheurs, nous faisons tous des David a fait cette requête: “Les erreurs — qui peut les discerner? De péchés cachés déclare-moi innocent. Retiens aussi ton serviteur loin des actes de présomption; qu’ils ne me dominent pas! Alors je serai un homme complet, et je serai resté innocent de beaucoup de transgressions.” (Psaume 19:12, 13). David savait qu’il avait pu commettre des péchés sans s’en rendre compte. Il a donc demandé pardon pour les transgressions cachées, transgressions dont il n’était peut-être même pas conscient. Quand il a fait une grave erreur en laissant sa chair imparfaite l’inciter à mal agir, il a recherché ardemment l’aide de Jéhovah. Il désirait que Dieu le retienne loin des actes de présomption. Il ne voulait pas que la présomption devienne chez lui une attitude dominante; son objectif était plutôt d’être complet dans son attachement à Jéhovah Dieu. Nous qui nous sommes voués à Jéhovah pour le servir, nous sommes également imparfaits et, par conséquent, nous faisons des erreurs. Jéhovah voit ces erreurs, mais il connaît ceux dont le cœur est incliné vers la justice – TG1992  15/11 p14 §5

David, à qui Dieu accorda de nombreuses faveurs et un grand pouvoir, était conscient qu’il pouvait malgré cela se rendre coupable de présomption. Il fit cette prière : “ Les erreurs — qui peut les discerner ? De péchés cachés déclare-moi innocent. Retiens aussi ton serviteur loin des actes de présomption ; qu’ils ne me dominent pas. Alors je serai complet, et je serai resté innocent de beaucoup de transgressions. ” (Ps 19:12, 13). Le danger est donc grand, et il faut l’éviter soigneusement. Un acte de présomption est un péché beaucoup plus grave qu’une erreur. Qu’il occupe une position importante ou non, celui qui prend des libertés fait une chose détestable aux yeux de Dieu. S’il nous est arrivé d’être présomptueux, nous devrions demander à Dieu de nous pardonner et de nous aider à nous garder désormais de la présomption. – it-2 p652

La Bible oppose la modestie à la présomption. David a eu la sagesse de demander à Jéhovah de le retenir « loin des actes de présomption » (Ps. 19:13). Que sont les « actes de présomption » ? Quelqu’un se montre présomptueux quand, par impatience ou orgueil, il fait quelque chose en s’arrogeant un droit ou une autorité qu’il n’a pas. Ayant hérité du péché, nous agissons tous par moments avec présomption. Mais comme le montre l’exemple du roi Saül, si nous en prenons l’habitude, tôt ou tard, nous serons désapprouvés par Dieu.

Un acte de présomption est plus grave qu’une erreur commise en toute innocence. Premièrement, en agissant présomptueusement, nous déshonorons Jéhovah. Deuxièmement, en outrepassant nos droits, nous risquons d’entrer en conflit avec les autres. Troisièmement, quand les autres se rendent compte que nous avons agi avec présomption, nous pouvons nous sentir embarrassés, voire humiliés. Les actes de présomption ne produisent rien de bon. Comme le montrent les Écritures, la modestie est toujours la solution. – TG2017/1 §4,5

La Bible, en effet, associe la méditation avec le cœur (Psaume 19:14 « Que les paroles de ma bouche et la méditation de mon cœur te soient agréables, ô Jéhovah, mon Rocher et mon Rédempteur »  Quand nous réfléchissons avec reconnaissance à ce que nous apprenons sur Dieu, nous concevons des idées qui pénètrent dans notre cœur symbolique, où elles influencent nos pensées, éveillent nos sentiments et nous poussent finalement à l’action. Plus nous aimerons Dieu, plus cet amour nous incitera à vouloir lui plaire, à lui, notre meilleur Ami (1 Jean 5:3). Pour nouer cette relation, il nous faut apprendre à connaître ses qualités et ses manières d’agir. – cl chap2 p18 §24

Confronté à une multitude de problèmes apparemment insurmontables, David était bien conscient qu’étant un homme imparfait il avait besoin de l’aide de Dieu pour agir de manière juste. Qu’est-ce qui l’a fortifié dans ces circonstances difficiles ? En Psaume 19:14 il a écrit : “ Que les paroles de ma bouche et la méditation de mon cœur deviennent agréables devant toi, ô Jéhovah mon Rocher et mon Rédempteur ! ” La racine du mot hébreu traduit ici par “ méditation ” signifie littéralement “ parler à soi-même ”. Oui, David ‘ parlait à lui-même ’ de Jéhovah, de ses actions, de ses œuvres, de ses lois et de sa justice. Lire la Bible est très bénéfique ; toutefois, après notre lecture il nous faut méditer, penser profondément, ou “ nous parler à nous-mêmes ” de ce que nous avons lu. En effet, tout comme la digestion est indispensable pour tirer pleinement profit de notre repas, la méditation est nécessaire pour assimiler ce que nous lisons dans la Bible. Une méditation appropriée ne se limite pas à chasser les pensées négatives ; elle nous permet également de réfléchir aux solutions qu’offre la Bible à nos problèmes. Une telle méditation peut nous aider à gérer les inquiétudes de la vie quotidienne — RV2000 8/9 p20

Comme cela ressort du Psaume 19, David tenait la Loi de Dieu en haute estime. Cependant, il se rendait compte qu’imparfait comme il était, il ne pouvait mener une vie droite sans l’aide de son Créateur. C’est ce qu’il souligna dans ces dernières paroles du Psaume 19: “Les erreurs — qui peut les discerner? De péchés cachés déclare-moi innocent. Retiens aussi ton serviteur loin des actes de présomption; qu’ils ne me dominent pas! Alors je serai un homme complet, et je serai resté innocent de beaucoup de transgressions. Que les paroles de ma bouche et la méditation de mon cœur deviennent agréables devant toi, ô Jéhovah, mon Rocher et mon Rédempteur!” — Ps. 19:12-14.

David était conscient qu’en raison de son imperfection, il risquait de pécher sans même le savoir. Aussi implorait-il le pardon des transgressions dont il ne se rendait pas compte. Il désirait ardemment que Dieu l’aide à se détourner des mauvaises voies où sa chair imparfaite le poussait parfois. Il voulait que Jéhovah le garde d’être tyrannique ou présomptueux, qu’il empêche ce défaut de devenir une attitude dominante dans sa vie. David savait que s’il cédait au péché, il tomberait sous sa domination. Or il voulait montrer un attachement complet au Très-Haut. Son désir était de rester autant que possible “innocent de beaucoup de transgressions”. Il priait pour que son appel à l’aide, fruit de la “méditation” à laquelle son cœur l’avait poussé, soit agréable à Dieu. C’est sur Lui que David comptait au temps du danger comme sur un solide rocher. Il voyait en Lui son Rédempteur, celui qui pouvait le sauver des griffes des méchants et l’empêcher de glisser dans le péché.

Le Psaume 19 met donc bien en évidence le témoignage que la création, la Loi consignée dans la Bible et l’aide divine en faveur des justes rendent ensemble à l’existence du Très-Haut. Ce témoignage devrait éveiller en nous le désir d’obtenir l’approbation divine. Continuons donc à nous tourner vers Jéhovah Dieu pour diriger nos pas, et puisse-t-il trouver agréable la ‘méditation de notre cœur’! – TG1979 15/6 p7

David savait en particulier que Dieu a le pouvoir de sauver (Psaumes 20:6). Chaque fois qu’il en faisait l’expérience, sa confiance en Jéhovah grandissait. Quel réconfort de savoir que nous pouvons nous exprimer spontanément devant le Créateur, assurés qu’il n’est pas arrogant, mais qu’il est humblement disposé à écouter  Ce n’est pas seulement par l’expérience que David ait parvenu à ce degré de reconnaissance. “ J’ai médité sur toute ton action, écrit-il ; sans relâche et bien volontiers je me suis intéressé à l’œuvre de tes mains. ” — Psaumes 63:6 – ct chap8

Dans la Bible, l’expression « faire appel au nom de Jéhovah » signifie plus que connaître le nom de Dieu et l’utiliser dans notre culte. Cette expression implique de faire confiance à Dieu et de rechercher son soutien (Psaume 20:7 « Certains comptent sur des chars, et d’autres sur des chevaux ; mais nous, nous faisons appel à Jéhovah notre Dieu ». La loi de Dieu avait strictement interdit aux Israélites de l’antiquité de multiplier le nombre de leurs chevaux et de leurs chars de guerre. Pourquoi ? Parce que Jéhovah ne voulait pas que son peuple place sa confiance dans la chair pour être sauvé. Il devait plutôt mettre sa foi et sa confiance en Dieu.

Quand nous demandons à notre Père céleste de nous accorder de l’esprit saint, nous pouvons être convaincus qu’il souhaite plus que tout répondre à nos requêtes. Même si nous le harcelons de prières, Jéhovah ne dira jamais : “ Cesse de me causer des ennuis. La porte est déjà verrouillée. ” (Luc 11:7). Bien au contraire, Jésus a dit : “ Continuez à demander, et on vous donnera ; continuez à chercher, et vous trouverez ; continuez à frapper, et on vous ouvrira. ” (Luc 11:9, 10). Oui, Jéhovah “ nous répondra au jour où nous appellerons ”. — Psaume 20:9 – TG2006  15/12  p23 §13

Psaume 21:3 « Car tu viens à sa rencontre avec d’abondantes bénédictions ; tu lui poses une couronne d’or fin sur la tête. »

Qu’a de révélateur le fait que la couronne soit “ d’or affiné ” ? Il n’est pas précisé s’il s’agit d’une couronne au sens littéral ou, symboliquement, d’une couronne de gloire obtenue par David en raison de ses nombreuses victoires. Toutefois, ce verset désigne prophétiquement la couronne que Jésus a reçu lorsqu’il a été fait roi par Jéhovah en 1914. Cette année-là, conformément à la vision prophétique de Daniel 7:13, 14. Le fait que la couronne soit en or laisse entendre que son règne sera le meilleur qui soit.

Jéhovah a promis à David « longueur de jours pour des temps indéfinis, oui pour toujours » (Psaume 21:4). Pour que cette promesse s’accomplisse, une résurrection sera nécessaire, comme annoncé dans plusieurs versets. La Bible laisse entrevoir pour l’avenir une vie encore plus longue; elle parle de “longueur de jours pour des temps indéfinis, oui, pour toujours”. La vie éternelle sur la terre dans des conditions idéales sera bientôt une réalité.

Le récit de la vie de David montre que Jéhovah a répondu à ses prières à maintes reprises (Psaume 21:1-5). Pareillement, quand nous subissons de fortes pressions, quand nos problèmes paraissent insurmontables, il est très réconfortant de nous tourner vers Jéhovah et de lui ouvrir notre cœur dans la prière. Jéhovah ne refuse pas de nous écouter. Bien au contraire, il nous assure qu’‘ il se soucie de nous ’. (1 Pierre 5:6, 7.) Évidemment, il ne serait pas logique de le prier, pour ensuite ne pas l’écouter, n’est-ce pas ? – TG2004  5/1 p11 §13