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RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 10 SEPEMBRE 2018 - JEAN 3-4


misette

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JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU

Recherchons des perles spirituelles (8 min) : JEAN 3-4

Jean 3:29 : Comment faut-il comprendre ce verset ? (nwtsty, note d’étude).

« Celui qui a la mariée, c’est le marié. Mais l’ami du marié, quand il se tient là et l’entend, éprouve une grande joie à cause de la voix du marié. Ma joie est donc devenue complète »

L’ami du marié : Aux temps bibliques, un ami proche du futur marié le représentait légalement et jouait un rôle important dans l’organisation du mariage. On considérait que c’était lui qui faisait se rencontrer les futurs mariés. Le jour du mariage, le cortège nuptial se rendait à la maison du marié ou à celle de son père, où le repas de mariage devait avoir lieu. Au cours de ce repas, l’ami du marié était heureux d’entendre la voix du marié quand ce dernier parlait à la mariée ; il avait alors le sentiment d’avoir rempli sa mission avec succès. Jean le Baptiseur s’est comparé à « l’ami du marié ». Ici, Jésus était donc le marié, et les disciples en tant que groupe étaient la future mariée symbolique. Jean le Baptiseur, qui préparait le chemin pour le Messie, a présenté les premiers membres de « la mariée » à Jésus Christ (Jean 1:29, 35 ; 2Co 11:2 ; Éph 5:22-27 ; Ré 21:2, 9). « L’ami du marié » a atteint son objectif en faisant des présentations qui ont eu une issue favorable ; il a alors cessé d’être un personnage central. Pareillement, en parlant de lui-même par rapport à Jésus, Jean a dit : « Lui il doit grandir, mais moi je dois diminuer » (Jean 3:30). - nwtsty, note d’étude

Pendant environ six mois, l’activité de Jean s’est poursuivie parallèlement au ministère de Jésus. Chacun comprenait l’œuvre qu’accomplissait l’autre. Jean se considérait comme l’ami de l’époux et il s’est réjoui de voir croître le Christ tandis que lui-même et son œuvre décroissaient. Jean le baptiseur n’espérait pas faire partie de l’“épouse” spirituelle du Christ. Il demeura simplement un “ami de l’époux”.  TG199515/5 p29

En sa qualité de représentant de l’époux, l’ami de l’époux se chargeait des pourparlers de mariage; parfois, il organisait les noces et remettait des cadeaux à la mariée ainsi que la dot au père de celle-ci. Ce représentant avait tout lieu d’être heureux lorsque son devoir était accompli. Pareillement, Jean s’est réjoui d’amener à Jésus les premiers membres de Son épouse. La congrégation glorifiée du Christ est présentée comme son “ épouse ”, ou sa “ femme ”, aussi appelée “ la ville sainte, la Nouvelle Jérusalem ” (Révélation 21:2, 9). De même que les services de l’ami de l’époux ne duraient que peu de temps, de même l’œuvre de Jean s’est achevée peu après. Il a continué de décroître, tandis que Jésus n’a cessé de croître. – TG1990  15/3 p24

L’ami de l’époux. “ L’ami de l’époux ” participait en grande partie aux démarches menant au mariage et on le considérait comme celui qui faisait se rencontrer l’époux et l’épouse. L’ami de l’époux se réjouissait en entendant la voix de l’époux qui parlait avec sa compagne, et il était heureux d’avoir pu mener sa tâche à bonne fin – it2 p223

Jean 4:10 : Comment la Samaritaine a-t-elle certainement compris l’expression « l’eau vive », mais à quoi Jésus faisait-il référence  (nwtsty, note d’étude).

« Jésus lui répondit : « Si tu avais entendu parler du don gratuit de Dieu et si tu savais qui est celui qui te dit : “Donne-moi à boire”, c’est toi qui lui aurais demandé à boire, et il t’aurait donné de l’eau vive. »

Eau vive : Cette expression grecque est utilisée dans un sens littéral pour désigner de l’eau qui s’écoule, de l’eau de source ou de l’eau douce provenant d’un puits approvisionné par des sources. C’est l’inverse de l’eau qui stagne dans une citerne. En Lv 14:5, l’expression hébraïque traduite par « eau courante » signifie littéralement « eau vive ». En Jr 2:13 et 17:13, Jéhovah est présenté comme « la source d’eau vive », c’est-à-dire la source de l’eau symbolique qui donne la vie. Quand il a parlé avec la Samaritaine, Jésus a utilisé l’expression « eau vive » dans un sens figuré, mais il semble que cette femme a d’abord pris cette expression au sens propre (Jean 4:11).

Jéhovah est “ la source d’eau vive ”. C’est seulement de lui et par l’intermédiaire de son Fils Jésus Christ, l’Agent principal de la vie, que les hommes peuvent recevoir la vie éternelle. Cette eau vive représente les dispositions que Dieu a prises pour que tous les humains puissent obtenir la vie éternelle, que ce soit au ciel ou sur la terre. Lorsque Jésus a parlé de la vie éternelle à la Samaritaine, il pensait bien à tous les humains qui ont foi en Dieu et en ses promesses : les héritiers du Royaume et ceux qui ont l’espérance terrestre. TG2009 15/8 p9

Jésus a donné le témoignage à une Samaritaine, certaines de ses paroles ont paru étranges à cette femme; elles ne correspondaient pas à sa façon de penser ou d’adorer. Elle femme ne savait rien de Jésus ni de la vérité vivifiante qu’il détenait. Jésus s’est montré un auditeur attentif et, dans ses réponses, il a tenu compte des propos de la Samaritaine. Il voulait l’aider. Elle avait réagi favorablement à sa prédication et avait encouragé d’autres habitants de sa ville à venir écouter Jésus.  “Un bon nombre de Samaritains eurent foi en lui.” – km1990/1

Qu’est-ce que la lecture biblique de cette semaine m’apprend sur Jéhovah ?

Jean 3:16 - Souvent, quand nous invitons les gens au Mémorial, nous leur lisons ce verset. Mais une question se pose : Comment le sacrifice de Jésus rend-il la vie éternelle possible ? La campagne d’invitation, la commémoration elle-même et les visites que nous rendons ensuite à ceux qui y ont assisté nous donnent l’occasion d’aider les personnes assoiffées de vérité à comprendre la réponse à cette question importante. Plus elles en apprendront sur la rançon, plus elles seront impressionnées par l’étendue de l’amour et de la sagesse de Jéhovah. Quels aspects de la rançon pourrions-nous faire ressortir ?

Jéhovah a prévu qu’un homme parfait fournisse une rançon. Cet homme devait lui être fidèle et disposé à donner sa vie en échange de l’humanité condamnée. Jéhovah a transféré la vie de sa toute première création depuis le ciel vers la terre. C’est ainsi que Jésus est devenu un humain parfait, comme Adam l’avait été. Mais contrairement à Adam, il s’est conformé à ce que Jéhovah attendait d’un homme parfait. Même soumis aux épreuves les plus sévères, il n’a jamais péché ni transgressé une de ses lois. – TG2017 Février p6-7 §14,15

Jésus a imité son Père à la perfection ; il s’attachait en effet à voir avant tout les points forts de ses disciples et il leur pardonnait de bon gré leurs faux pas. L’attitude de Jésus cadrait entièrement avec ce qu’il a déclaré selon Jean 3:17 : “ Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour qu’il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par son intermédiaire. ” Oui, Jéhovah et Jésus nous manifestent un amour profond et constant. Le désir qu’ils ont de nous voir obtenir la vie éternelle en est la démonstration. C’est cet amour qui nous permet de comprendre pourquoi Jéhovah nous examine, comment il nous considère et comment il réagit à ce qu’il discerne en nous. – TG2008  15/10 p4 §6

Jéhovah Dieu avait une raison bien précise pour envoyer Jésus dans le monde misérable des humains. Selon les paroles de Jésus, il y a été poussé par l’amour: “Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque exerce la foi en lui ne soit pas détruit, mais ait la vie éternelle. Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour qu’il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par son entremise.” — Jean 3:16, 17.

C’est en vue d’une mission de salut que, dans son amour, Jéhovah a envoyé son Fils unique. Il ne l’a pas envoyé sur la terre pour juger le monde. Si Jésus avait reçu une mission de jugement, l’humanité tout entière n’aurait eu aucun espoir. La lourde sentence que Jésus Christ aurait prononcée sur la famille humaine aurait été une condamnation à mort. Ainsi, par cette manifestation incomparable d’amour divin, Dieu a contrebalancé la sentence de mort qu’aurait exigée la pure justice. TG1992 15/1 p11 §7,8

Au Pharisien Nicodème, Jésus a dit un jour : “ Celui qui pratique des choses viles a de la haine pour la lumière et ne vient pas à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient reprises. Mais celui qui fait ce qui est vrai vient à la lumière, afin que ses œuvres soient manifestées comme ayant été opérées en accord avec Dieu. ” (Jean 3:20, 21). À présent, réfléchissez à ceci : Jean a appelé Jésus “ la vraie lumière qui éclaire toutes sortes d’hommes ”. (Jean 1:9, 10.) Or Jésus dit que pratiquer “ des choses viles ”, c’est-à-dire des choses mauvaises, inacceptables aux yeux de Dieu, c’est comme avoir de la haine pour la lumière. Est-il imaginable de haïr Jésus et ce qu’il représente ? C’est pourtant ce que font les pratiquants du péché qui ne se repentent pas. Qu’ils l’admettent ou non, c’est bel et bien ainsi que Jésus voit les choses. – TG2005  1/1 p9 §10

Jésus aussi parla des cieux pour désigner Dieu quand il demanda aux chefs religieux si le baptême de Jean venait “ du ciel ou des hommes ”. Jean 3 :27 « Jean répondit : « Un homme ne peut rien recevoir si cela ne lui a pas été donné du ciel »

Si un humain ne fait pas preuve de foi dans le sacrifice de Jésus, Jéhovah le considère comme un ennemi. Nous avons donc la responsabilité d’expliquer à tous les humains qu’ils peuvent devenir des amis de Jéhovah. (Jean 3:36) Heureusement, le sacrifice de Jésus nous permet de nous réconcilier avec Jéhovah. TG2016 Juillet p22 §8

Le culte que Dieu agrée. Jéhovah Dieu n’agrée que le culte de ceux qui se comportent en harmonie avec sa volonté. Jésus déclara à une Samaritaine : “ « Dieu est un Esprit, et ceux qui l’adorent doivent l’adorer avec l’esprit et la vérité. ” Jean 4:21-24.

Les paroles de Jésus montraient clairement que le vrai culte ne dépendait pas de la présence ou de l’emploi de choses visibles ni de lieux géographiques. Plutôt que de dépendre de la vue ou du toucher, le vrai adorateur exerce la foi et continue de penser à son culte, peu importent le lieu ou les choses qui l’entourent. Il n’adore donc pas au moyen de quelque chose qu’il peut voir ou toucher, mais avec l’esprit. Puisqu’il possède la vérité révélée par Dieu, son culte est conforme à la vérité. Étant venu à connaître Dieu grâce à la Bible et aux signes de l’action de l’esprit de Dieu dans sa vie, véritablement celui qui adore avec l’esprit et la vérité ‘ connaît ce qu’il adore ’. – it1 p573-575

Descriptions de sa présenceParce qu’il est un Esprit qu’il n’est pas au pouvoir des hommes de voir (Jean 4:24), toute description de son aspect dans des termes humains ne donne qu’une vague idée de sa gloire incomparable. Sans avoir réellement vu leur Créateur, certains de ses serviteurs reçurent des visions inspirées de ses cours célestes. La description qu’ils font de sa présence reflète non seulement une grande dignité et une majesté impressionnante, mais aussi la sérénité, l’ordre, la beauté et le charme – it1 p1249-1265

Peut-on voir le Dieu invisible ?  « DIEU est un Esprit », il est donc invisible à l’œil humain (Jean 4:24). Pourtant, la Bible affirme que certains ont, d’une certaine façon, vu Dieu. Comment est-ce possible ? Peut-on vraiment voir le « Dieu invisible » ?  On pourrait comparer notre situation à celle d’un aveugle de naissance. Le fait qu’il soit aveugle l’empêche-t-il de comprendre le monde qui l’entoure ? Non. Il reçoit des informations de différentes manières, ce qui lui permet de percevoir les gens, les objets et ce qui se passe autour de lui. « La vision n’est pas dans les yeux, explique un homme aveugle. Elle est dans l’esprit. » C’est vrai, vous ne pouvez pas voir Dieu avec vos yeux physiques, mais vous pouvez le voir avec « les yeux de votre cœur » - TG2014 7/1 p14-15

Jéhovah nous fournit tout ce qu’il nous faut pour garder une foi forte. Il nous donne de nombreux conseils et une excellente formation au moyen de la Bible, de nos publications, de jw.org, de JW Télédiffusion, de nos réunions et de nos assemblées. Mais Jésus a expliqué qu’acquérir des connaissances ne suffit pas. Il a dit : « Ma nourriture, c’est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé et de terminer son œuvre » (Jean 4:34). Faire la volonté de Dieu était comme de la nourriture pour Jésus. En effet, tout comme un bon repas est agréable et redonne des forces, faire la volonté de Dieu fortifie la foi. Par exemple, t’est-il déjà arrivé de partir prêcher alors que tu ne te sentais pas très bien, et de rentrer chez toi heureux et revigoré ? – TG2018 Septembre p3-7 §3

Quelles autres perles spirituelles as-tu découvertes dans la lecture biblique de cette semaine ?

Nicodème, membre du Sanhédrin, s’intéressait à l’enseignement de Jésus. Il souhaitait en savoir plus, mais il avait peur de ce que les autres diraient s’il lui parlait en public. Jésus, souple et généreux de son temps, a reçu Nicodème de nuit, à l’abri des regards (Jean 3:1, 2). Que nous apprennent ces récits ? Que le Fils de Dieu prenait le temps de bâtir la foi des personnes. De même, ne devrions-nous pas être assidus dans l’activité des nouvelles visites et des cours bibliques ? Les nouveaux proclamateurs deviendront sans aucun doute de meilleurs enseignants de la vérité biblique si nous prêchons avec eux. Encourageons-les à ne pas oublier ceux qui ont montré un intérêt même léger. Invitons-les à nous accompagner dans nos nouvelles visites et nos cours bibliques. Ainsi formés et encouragés, les proclamateurs moins expérimentés auront sûrement envie d’entretenir l’intérêt manifesté et de donner eux-mêmes des cours bibliques. Ils apprendront aussi à ne pas baisser les bras trop vite, mais à persévérer patiemment dans le ministère – TG2016  Août p25-29 §11,12

Le qu’en-dira-t-on - Certains hommes hésitent à suivre Christ à cause de la pression de leur entourage. Nicodème et Joseph d’Arimathée ont gardé secret leur intérêt pour les enseignements de Jésus parce qu’ils avaient peur de la réaction des autres Juifs (Jean 3:1, 2). Leurs craintes étaient fondées. Les chefs religieux ont fini par nourrir une telle haine pour Jésus qu’ils ont décidé d’expulser de la synagogue quiconque déclarait avoir foi en lui. Jean 9:22.

De nos jours, dans certains pays, si un homme se passionne pour Dieu, la Bible ou la religion, il est tourné en dérision par ses collègues, ses amis et sa famille. Ailleurs, il est même dangereux d’envisager de changer de religion. TG2011  15/11 p26§9,10

 

3:1-9. L’exemple de Nicodème, un chef des Juifs, nous enseigne deux leçons. Premièrement, Nicodème a fait preuve d’humilité, de perspicacité et s’est montré conscient de sa pauvreté spirituelle, en reconnaissant dans le fils d’un charpentier insignifiant un enseignant envoyé par Dieu. Les vrais chrétiens aussi doivent cultiver l’humilité. Deuxièmement, Nicodème ne s’est pas décidé à devenir un disciple lorsque Jésus était toujours sur la terre. Peut-être avait-il la crainte de l’homme ou était-il attaché à sa position dans le Sanhédrin, ou encore aimait-il à l’excès ses richesses. Il y a là une leçon importante à tirer : nous ne devons pas laisser ce genre de tendances nous retenir de ‘ prendre notre poteau de supplice et de suivre Jésus continuellement ’. Luc 9:23. – TG2008  15/4 p31

Au cours de son ministère, Jésus s’est entretenu avec de nombreux Pharisiens. Bien que certains d’entre eux aient cherché à le prendre au piège dans ses propos, Jésus n’en a pas conclu qu’ils avaient tous de mauvais mobiles. Simon, un Pharisien quelque peu critique, souhaitait apparemment en savoir plus sur Jésus ; il l’invita donc à prendre un repas. Jésus accepta l’invitation et donna le témoignage à ceux qui étaient présents (Luc 7:36-50). Un autre Pharisien, l’éminent Nicodème, vint trouver Jésus à la faveur de la nuit. Jésus ne lui reprocha pas d’avoir attendu l’obscurité. Il lui parla de l’amour que Dieu manifestait en envoyant son Fils ouvrir la voie du salut aux humains qui exerceraient la foi. Avec bienveillance, il mit également l’accent sur l’importance de se conformer aux dispositions divines (Jean 3:1-21). Plus tard, Nicodème prit le parti de Jésus lorsque d’autres Pharisiens cherchèrent à ternir un rapport favorable le concernant.

Jésus discernait aisément l’hypocrisie de ceux qui cherchaient à le prendre au piège. Il ne laissait pas ses opposants l’entraîner dans des débats stériles. Néanmoins, lorsque la situation s’y prêtait, il donnait des réponses courtes, mais consistantes : il énonçait un principe, prenait un exemple ou citait un verset. En revanche, lorsqu’il était évident qu’il ne servirait à rien de répondre, Jésus préférait se taire.

Si certains s’emportent et crient contre nous dans le cadre de notre ministère, il nous faut nous aussi nous contenir et nous efforcer de réagir avec tact et douceur. – TG2005  15/5 p28 §10-12

Lorsque l’esprit saint donne à un chrétien la conviction qu’il est oint, celui-ci subit une profonde transformation. Jésus a dit qu’un tel chrétien « naît de nouveau », ou « est engendré d’en haut » (Jean 3:3, 5). Il a ajouté : « Ne t’étonne pas parce que je t’ai dit : Vous devez naître de nouveau. Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit, mais tu ne sais pas d’où il vient ni où il va. Ainsi est tout homme qui est né de l’esprit » (Jean 3:7, 8). À l’évidence, il est impossible d’expliquer en détail à quelqu’un qui n’a pas reçu l’appel céleste ce qu’éprouve celui qui le reçoit.

Il arrive que ceux qui reçoivent cette invitation se demandent : « Pourquoi ai-je été choisi ? Pourquoi moi et pas un autre ? » Ils peuvent même douter d’en être vraiment dignes. Cependant, ils ne doutent pas d’avoir été invités. Leur cœur déborde de joie et de reconnaissance. Avant de recevoir l’appel céleste, ces chrétiens avaient l’espérance terrestre. Ils attendaient avec impatience l’époque où Jéhovah purifiera la terre, et ils voulaient avoir part à ce futur. Ils s’imaginaient peut-être même en train d’accueillir leurs êtres chers à la résurrection. Ils avaient hâte de vivre dans une maison qu’ils auraient bâtie et de manger les fruits d’arbres qu’ils auraient plantés. Pourquoi leur façon de penser a-t-elle changé ? Ce n’est pas parce que l’espérance terrestre ne leur convenait plus. Ce n’est pas non plus en raison de souffrances qu’ils auraient connues ou d’un trouble émotionnel. Ils ne se sont pas dit subitement que vivre éternellement sur terre serait ennuyeux et qu’il pourrait être intéressant d’explorer de nouveaux horizons au ciel. Ils ont plutôt changé en raison de l’opération de l’esprit de Dieu, qui non seulement les a appelés, ou invités, mais qui a aussi changé leur façon de penser et leur espérance. – TG2016 Janvier p17-21

Existe-t-il une différence entre le baptême “ avec ” de l’esprit saint et le baptême “ au nom de ” l’esprit saint ? Oui. Ceux qui sont baptisés avec de l’esprit saint naissent de nouveau en tant que fils de Dieu engendrés de l’esprit (Jean 3:3). Ils sont oints pour devenir rois et prêtres dans le Royaume céleste de Dieu et ils constituent une partie du corps spirituel du Christ. C’est à ce baptême — avec de l’esprit saint — que Jéhovah a procédé quand, à partir du jour de la Pentecôte, il a choisi des humains pour en faire les cohéritiers du Christ. Mais que dire du baptême d’eau au nom de l’esprit saint, baptême qui a lieu régulièrement au cours des assemblées des serviteurs de Jéhovah aujourd’hui ?

Le baptême d’eau est une étape que les véritables chrétiens franchissent pour montrer qu’ils se sont voués sans réserve à Dieu. C’est une étape par laquelle sont passés ceux qui reçoivent l’appel céleste. Mais c’est également une démarche indispensable pour les millions de personnes qui ont aujourd’hui l’espérance de vivre éternellement sur la terre. Quelle que soit l’espérance d’une personne, le baptême d’eau au nom du Père et du Fils et de l’esprit saint est un pas nécessaire pour être agréé par Dieu. Et tous les chrétiens qui ont reçu ce baptême se doivent de “ continuer à marcher par l’esprit ” qui est de c’est accepter l’action de l’esprit saint sur nous, lui permettre de nous influencer — en d’autres termes, nous laisser diriger par lui dans nos activités quotidiennes. Marchez-vous par l’esprit afin de respecter le vœu que vous avez fait ? TG2010 15/3 p14§2,3

Jésus posait des questions pertinentes - Pour amorcer une conversation, vous pouvez aussi aborder un sujet intéressant et observer la réaction de votre interlocuteur. C’est ce qu’a fait Jésus quand il a dit à Nicodème : “ Si quelqu’un ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. ” (Jean 3:3). Ces paroles ont tellement surpris Nicodème qu’il n’a pas pu s’empêcher de réagir, et il a écouté Jésus (Jean 3:4-20). Cette méthode vous permettra vraisemblablement d’inciter autrui à participer à la conversation – TG2007  15/11 p29 §15

Jésus Christ mit en lumière la signification prophétique de l’épisode du serpent de cuivre dans le désert lorsqu’il dit à Nicodème : “ D’autre part, aucun homme n’est monté au ciel sauf celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme. Et de même que Moïse a élevé le serpent dans le désert, de même le Fils de l’homme doit être élevé, pour que tout homme qui croit en lui ait la vie éternelle. ” (Jean 3:13-15). De même que, dans le désert, le serpent de cuivre fut placé sur une perche par Moïse, de même le Fils de Dieu fut attaché sur un poteau, apparaissant à beaucoup comme un malfaiteur et un pécheur, en quelque sorte comme un serpent ; il fut ainsi placé dans une position de maudit (Dt 21:22) le désert, il était, semble-t-il, nécessaire, pour l’Israélite mordu par un des serpents venimeux envoyés par Jéhovah, de regarder le serpent de cuivre avec foi. De même, pour obtenir la vie éternelle grâce à Christ, il est nécessaire d’exercer la foi en lui. – it2 p940 Serpent de cuivre

Image ou représentation de serpent en cuivre que Moïse fit alors qu’Israël se trouvait dans le désert. Près de la frontière d’Édom, le peuple manifesta un esprit de rébellion en se plaignant de la manne fournie miraculeusement et du manque d’eau. Jéhovah punit les Israélites en envoyant parmi eux des serpents venimeux dont les morsures firent de nombreux morts.

Après que le peuple eut montré son repentir et que Moïse eut intercédé en sa faveur, Jéhovah dit à Moïse de fabriquer une représentation de serpent et de la placer sur une perche-signal. Moïse s’exécuta et “ voici ce qui arriva : si un serpent avait mordu un homme et si ce dernier regardait le serpent de cuivre, alors il restait en vie ”. — Nb 21:4-9 

Bien qu’ils remontent à près de 2 000 ans, les conseils de Jésus n’ont manifestement pas pris une ride. N’est-ce pas la preuve qu’ils étaient empreints de la sagesse d’en haut ? Fût-il le meilleur, il n’y a pas un conseil donné par des hommes qui ne se déprécie et ne soit rapidement révisé ou abandonné. Ceux de Jésus ont passé l’épreuve du temps. Mais cela n’a rien pour nous surprendre. Le Conseiller merveilleux ne disait-il pas “ les paroles de Dieu ” ? — Jean 3:34. – cl chap21 p209-218 §8

Jésus aimait ce qu’il enseignait. Il était convaincu d’avoir quelque chose de précieux à transmettre — la vérité concernant son Père céleste, “ les paroles de Dieu ” et “ des paroles de vie éternelle ”. (Jean 3:34) Telle une vive lumière, les vérités qu’il enseignait révélaient ce qui était mauvais et permettaient de distinguer ce qui était bon. Elles apportaient espérance et réconfort aux humbles qui étaient abusés par des chefs religieux mal intentionnés ou qui étaient “ opprimés par le Diable ”. L’amour de Jésus pour la vérité se voyait non seulement dans ce qu’il enseignait, mais également dans tout ce qu’il faisait. La bonne nouvelle contenue dans la Parole de Dieu nous permet de connaître le Créateur et de nouer avec lui des relations empreintes d’amour. Cette bonne nouvelle fournit des réponses satisfaisantes aux questions importantes de la vie, elle a le pouvoir de transformer notre existence, de nous remplir d’espérance et de nous fortifier face aux difficultés. Qui plus est, elle nous offre la perspective d’une vie riche et sans fin. Il n’existe aucune connaissance plus précieuse que la bonne nouvelle. C’est un don inestimable qui nous a été fait et qui nous procure beaucoup de joie – TG2009  15/7 p15-19 §11,13

Devenons plus habiles dans le ministère - Comment faire ? On peut commencer par une remarque simple, un mot aimable. Jésus n’a pas abordé la Samaritaine en lui parlant du Royaume (Jean 4:7). On peut parfois engager une conversation par une félicitation : « Vos enfants sont vraiment bien élevés ! » Ou alors en posant une question : « Vous avez vu ce qui s’est passé [citer un fait d’actualité] ? » - km2014/7 p1

 

Quelque temps après avoir parlé à Nicodème, Jésus est monté en Galilée. En chemin, près de Sychar, il a rencontré une Samaritaine à la source de Jacob. Au cours de la conversation, Jésus lui a dit : “ Celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura pas du tout soif, jamais, mais l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau jaillissant pour communiquer la vie éternelle. ” (Jean 4:5, 6, 14). Cette eau représente les dispositions que Dieu a prises pour que tous les humains puissent obtenir la vie éternelle, que ce soit au ciel ou sur la terre. Dans la Révélation, c’est Dieu lui-même qui fait cette promesse : “ À quiconque a soif, je donnerai de la source de l’eau de la vie gratuitement. ” (Rév. 21:5, 6 ; 22:17). Lorsque Jésus a parlé de la vie éternelle à la Samaritaine, il pensait bien à tous les humains qui ont foi en Dieu et en ses promesses : les héritiers du Royaume et ceux qui ont l’espérance terrestre. – TG2009 15/8 p9 §9

 

La prédication était très importante pour Jésus. Grâce à elle, beaucoup de gens sont devenus ses disciples. Mais il savait qu’il y avait encore du travail à faire et que d’autres gens allaient croire à la bonne nouvelle. En effet, il a dit à ses disciples : « Levez les yeux et regardez les champs : ils sont blancs pour la moisson. » (Jean 4:35-38) Un bon cultivateur n’abandonnerait pas un champ prêt pour la moisson. Jésus pensait comme ce cultivateur. C’est pourquoi, juste avant de retourner au ciel, il a donné cet ordre à ses disciples : « Allez donc et faites des disciples. » En faisant cela, Jésus leur a donné un cadeau précieux : la responsabilité importante de prêcher. – TG2015  15/3 p17-23 §6

 

Les disciples sont perplexes. Jésus vient de leur dire : « Levez les yeux et regardez les champs : ils sont blancs pour la moisson. » Ils ont beau regarder dans la direction que Jésus leur indique, tout ce qu’ils voient ce sont des champs, non pas blancs, mais verts, de la couleur des jeunes pousses d’orge. « La moisson ? s’interrogent-ils probablement. Mais elle n’aura pas lieu avant plusieurs mois ! » (Jean 4:35).

En fait, les paroles de Jésus ne sont pas à prendre au sens propre. Il pense à une moisson spirituelle, une moisson d’humains, à propos de laquelle il veut enseigner à ses disciples deux idées importantes. Quelles sont les deux idées importantes que Jésus a enseignées à propos de la moisson spirituelle ? Premièrement, l’œuvre est urgente. En disant « les champs [...] sont blancs pour la moisson », Jésus invitait ses disciples à agir sans tarder. Il a même ajouté : « Déjà le moissonneur reçoit un salaire. » Autrement dit, la moisson avait déjà commencé ; il n’y avait pas une seconde à perdre ! Deuxièmement, les ouvriers sont joyeux. Semeurs et moissonneurs « se réjouissent ensemble », a dit Jésus (Jean 4:35b, 36). De même qu’il a dû être heureux de voir que « bon nombre des Samaritains [...] eurent foi en lui », de même ses disciples connaîtraient une grande joie à travailler de tout cœur à la moisson (Jean 4:39-42). Cet épisode du 1er siècle revêt un intérêt particulier pour nous, car il illustre ce qui se passe de nos jours, alors que la plus vaste moisson spirituelle de tous les temps est en cours.

Jésus a dit à ses apôtres : « Le moissonneur [...] amasse du fruit pour la vie éternelle, afin que le semeur et le moissonneur se réjouissent ensemble » (Jean 4:36). Quelles raisons avons-nous de nous « réjouir ensemble » ? Il y en a au moins trois. Premièrement, nous nous réjouissons de voir l’action de Jéhovah dans la moisson. Lorsque nous prêchons, nous semons. Lorsque nous aidons quelqu’un à devenir disciple de Christ, nous moissonnons. Dans les deux cas, nous éprouvons tous une joie profonde à admirer comment, grâce à Jéhovah, « la semence germe et grandit ». Certaines des graines que nous semons germent plus tard et sont moissonnées par d’autres.

Deuxièmement, nous restons joyeux en raison de ces paroles de Paul : « Chacun recevra sa propre récompense selon son propre labeur » (1 Cor. 3:8). La récompense dépend du labeur, non des résultats de ce labeur. Voilà qui est rassurant pour ceux qui prêchent dans des territoires peu productifs. Du point de vue de Dieu, chaque Témoin qui sème de tout cœur porte « beaucoup de fruit » et a donc tout lieu de se réjouir.

Troisièmement, nous nous réjouissons parce que notre œuvre réalise une prophétie. C’est donc la prédication, l’action de semer, qui constitue un aspect du signe. Même si nous ne réussissons pas à faire de disciple, par notre prédication nous rendons témoignage*. Ainsi, quelle que soit la réaction des gens, nous participons à l’accomplissement de la prophétie de Jésus et avons l’honneur d’être des « compagnons de travail de Dieu ». Quelle excellente raison de nous réjouir ! – kr chap6 p87-97

RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 10 SEPTEMBRE 2018 - JEAN 3-4.docx

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