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Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Genèse 31 - Semaine du 13 Avril 2020


misette

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RECHERCHONS DES PERLES SPIRITUELLES - SEMAINE DU 13 Avril 2020 - Genèse 31.docx

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Recherchons des perles spirituelles (10 min) : Genèse 31

Genèse 31:19 : Pourquoi, probablement, Rachel a-t-elle volé les statuettes de dieux familiaux de son père ? (it-2 1062)..

« Labân, lui, était allé tondre ses moutons. Pendant ce temps, Rachel avait volé les statuettes de dieux familiaux de son père. »

Les découvertes des archéologues en Mésopotamie et dans les régions voisines indiquent que la possession des teraphim avait une incidence sur les droits concernant l’héritage familial. Selon une tablette trouvée à Nouzi, la possession des dieux domestiques pouvait en certaines circonstances permettre à un gendre de comparaître devant un tribunal pour réclamer les biens de son beau-père décédé (Ancient Near Eastern Texts, par J. Pritchard, 1974, p. 219, 220, et note 51). Il se peut que Rachel, ayant eu cela à l’esprit, se soit dit qu’elle était en droit de prendre les teraphim parce que son père avait usé de tromperie envers son mari Jacob (voir Gn 31:14-16). L’importance des teraphim en rapport avec les droits d’héritage pourrait aussi expliquer pourquoi Labân se soucia tant de les récupérer, au point de prendre ses frères avec lui et de poursuivre Jacob la distance de sept jours de route (Gn 31:19-30). Bien sûr, Jacob ignorait totalement ce que Rachel avait fait (Gn 31:32), et rien ne permet de dire qu’il essaya jamais de se servir des teraphim pour obtenir l’héritage des fils de Labân. Les idoles n’intéressaient pas Jacob. Au plus tard, les teraphim disparurent lorsque Jacob enfouit sous le grand arbre qui était près de Shekèm tous les dieux étrangers que lui remirent les membres de sa maisonnée - it-2 p1062

Les textes attestent encore que les familles possédaient leurs propres dieux, souvent de petites figurines d’argile (leurs petites tailles entre 10 et 15 centimètres, qui avaient valeur de titres de propriété ; ainsi, celui qui détenait les dieux était considéré comme détenteur du droit de propriété et d’héritage. Cet usage peut aider à comprendre pourquoi Rachel prit les teraphim de son père et pourquoi celui-ci se donna tant de mal pour les retrouver. - it-1 p164

Les téraphim étaient des idoles ou des dieux domestiques. Des découvertes faites en Mésopotamie indiquent que ces images faisaient de leur possesseur l’héritier du patrimoine familial. Peut-être Rachel pensait-elle à cela et se croyait-elle en droit de prendre les téraphim à cause des tromperies dont Laban, son père, avait usé envers Jacob, son mari (Genèse 31:14-16). Toutefois, rien n’indique que Jacob ait jamais tenté de se servir des téraphim pour s’approprier l’héritage familial. Au plus tard, ces idoles disparurent lorsque Jacob enterra tous les dieux étrangers que sa maisonnée lui remit – TG1983  15/9 p25

Jacob était maintenant prêt à quitter Harân, mais son beau-père réussit à le faire rester encore, et c’est six ans plus tard que, sur l’instruction de Dieu, Jacob partit. En raison de la duplicité de Labân, Jacob ne l’avertit pas de son départ, et autant Léa que Rachel furent d’accord avec leur mari sur ce point. Avant de s’en aller, Rachel vola les “ teraphim ” de son père, sans doute des sortes d’idoles. Quand plus tard Labân rejoignit le groupe et parla du vol (apparemment sa principale préoccupation), Jacob, qui ne savait pas que Rachel était la coupable, désapprouva un tel acte et promit la mort du voleur si on le découvrait parmi les siens. Les recherches de Labân le conduisirent dans la tente de Rachel, mais elle parvint à ne pas être démasquée ; prétendant être indisposée à cause de ses règles, elle resta assise sur la corbeille de selle d’un chameau qui contenait les teraphim - it-2 p720

Genèse 31:41, 42 : Que nous enseigne l’exemple de Jacob sur la façon d’agir face à un employeur difficile ? 1P 2:18 ; w13 15/3 21 § 8

« J’ai passé 20 ans chez toi. Je t’ai servi 14 ans pour tes deux filles et 6 ans pour ton troupeau, et tu as changé dix fois mon salaire. Si le Dieu de mon père, le Dieu d’Abraham et celui que craint Isaac, n’avait pas été de mon côté, tu m’aurais renvoyé les mains vides. Dieu a vu ma souffrance et mon dur travail. C’est pour cela qu’il t’a mis en garde la nuit dernière. »

1 Pierre 2 :18  « Que les serviteurs soient soumis à leurs maîtres avec toute la crainte qui leur est due, non seulement à ceux qui sont bons et raisonnables, mais aussi à ceux qui sont difficiles »

8 À l’arrivée de Jacob à Harân, son oncle Labân l’a accueilli chaleureusement et, plus tard, lui a donné Léa et Rachel comme épouses. Mais par la suite il a essayé de l’exploiter en changeant dix fois son salaire ! (Gen. 31:41, 42). Jacob a toutefois enduré ces injustices avec la certitude que Jéhovah continuerait de prendre soin de lui. Il ne s’est pas trompé : en effet, au moment où Dieu lui a demandé de rentrer en Canaan, il était un patriarche possédant « du petit bétail en quantité, ainsi que des servantes et des serviteurs, des chameaux et des ânes » (Gen. 30:43). Très reconnaissant, il a fait cette prière : « Je suis indigne de toutes les bontés de cœur et de toute la fidélité dont tu as usé envers ton serviteur, car, avec mon seul bâton, j’ai traversé ce Jourdain et maintenant je suis devenu deux camps » (Gen. 32:10). - w13 15/3 21 § 8

Les conditions qui règnent dans le milieu professionnel font qu’il n’est pas toujours facile à un chrétien de témoigner de la bonté à ses collègues. Il pourrait arriver que l’un d’eux, par rivalité, cherche à ternir malhonnêtement la réputation du chrétien auprès de l’employeur (Ecclésiaste 4:4). Difficile de faire preuve de bonté quand son emploi se trouve ainsi menacé injustement. Mais un serviteur de Jéhovah se rappellera que la bonté est généralement la meilleure voie à suivre. Aussi fera-t-il tout son possible pour gagner ceux qui ne sont pas bien disposés envers lui. Il y parviendra peut-être par sa sollicitude, par exemple en se souciant de ce collègue si lui ou l’un de ses proches tombe malade. Le simple fait de prendre des nouvelles peut avoir un heureux effet. Ne l’oublions pas : pour autant que cela dépend d’eux, les chrétiens cherchent à favoriser la paix et l’harmonie. Il suffit parfois de montrer son intérêt pour quelqu’un par une parole aimable pour améliorer une situation. – TG2004  15/4 §9

Il pourrait également arriver qu’un employeur veuille imposer ses opinions à ses salariés en exigeant par exemple qu’ils prennent part à une cérémonie patriotique ou à quelque autre célébration contraire aux Écritures. Cela pourrait aboutir à un conflit avec le chrétien à qui sa conscience interdit de participer à l’événement en question. En la circonstance, il ne serait pas sage de vouloir expliquer en détail ce qu’il y aurait de mal à faire ce que demande l’employeur. Après tout, cette demande pourrait être jugée parfaitement légitime par quiconque n’adhère pas aux croyances chrétiennes (1 Pierre 2:21-23). Si vous deviez vous trouver dans cette situation, peut-être pourriez-vous expliquer aimablement les raisons pour lesquelles, personnellement, vous ne souhaitez pas participer à l’événement. Ne répondez pas aux sarcasmes par d’autres sarcasmes. Suivez au contraire l’excellent conseil donné en Romains 12:18 : “ Si possible, pour autant que cela dépend de vous, soyez en paix avec tous les hommes. ” - TG2004  15/4 §10

Un patron dur au travail peut même finir par se sentir honteux quand son impatience ne rencontre que la douceur ou ses exigences déraisonnables que la bonne grâce. Et, à mesure qu’il constatera que vous êtes compétente et que l’on peut compter sur vous, probablement son attitude envers vous s’adoucira-t-elle peu à peu. Si tel n’est pas le cas, vous n’avez d’autre solution que celle de ‘patienter’, consciente que votre conduite chrétienne plaît à Dieu. – TG1987  15/3

Si vous devez travailler pour un employeur, éprouverez-vous constamment du ressentiment à son égard à cause de son autorité ? Quand il vous demandera de faire quelque chose, trouverez-vous difficile de le faire ? Vous plaindrez-vous constamment de votre travail ? Quelle sera votre attitude envers vos collègues de travail ? Vous plaindrez-vous constamment, oubliant toujours de les remercier pour les services qu’ils pourront vous rendre ? – TG1973 1/3

Quand un homme accepte un certain emploi, il doit reconnaître qu’il a des comptes à rendre à son employeur, autrement dit, qu’il lui est soumis — aussi longtemps, bien entendu, qu’on ne lui demande pas de faire quelque chose qui offense sa conscience ou ses scrupules. Être soumis à son employeur signifie lui accorder le respect dû à sa position, effectuer honnêtement sa journée de travail et ne rien lui voler. Comme le lui conseille l’apôtre Paul, l’employé doit faire son travail “de toute [son] âme, comme pour Jéhovah et non pour les hommes”. (Col. 3:23.) Il est d’ailleurs à la fois juste et sage d’agir ainsi. Si cela s’avère impossible, il faudrait alors changer d’emploi. TG1980 15/8 p7

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Faire des sacrifices signifie abandonner quelque chose de précieux ou y renoncer. Les sacrifices font partie du culte pur depuis qu’Abel, le premier témoin fidèle, a offert “quelques premiers-nés de son troupeau” en sacrifice à Dieu. Des hommes de foi, comme Noé et Jacob, ont fait de même (Genèse 31:54). Les sacrifices d’animaux représentaient également un aspect important de la Loi mosaïque.

Le principe des sacrifices se retrouve dans le culte chrétien. Manifester l’esprit de sacrifice, c’est donc bien plus que s’en tenir à un programme de réunions et de participation au ministère chrétien. Cela signifie être déterminé à faire la volonté de Dieu quoi qu’il en coûte. C’est être prêt à supporter des épreuves et des désagréments – TG1992 1/2

Le travail du berger était très ardu. Il ne convenait pas aux faibles. Il présentait beaucoup de difficultés sous forme d’attaques par les lions, les ours, les loups et les voleurs, ces derniers ne reculant pas devant le meurtre plutôt que de s’exposer à être identifiés. Il y avait encore les intempéries et le souci de garder les brebis dans le troupeau. Il fallait partir à la recherche des égarées, bref il était nécessaire de veiller constamment. L’expérience de Jacob sous ce rapport est éloquente, car elle nous donne un aperçu du travail d’un berger. Il dit à son beau-père Laban : “ Tes brebis et tes chèvres n’ont point avorté, et je n’ai point mangé les béliers de ton troupeau. Je ne t’ai point rapporté de bêtes déchirées, j’en ai payé le dommage ; tu me redemandais ce qu’on me volait de jour et ce qu’on me volait de nuit. La chaleur me dévorait pendant le jour, et le froid pendant la nuit, et le sommeil fuyait de mes yeux. ” (Gen. 31:38-40). Il en est de même de nos jours : la tâche de garder les brebis n’est pas facile. TG1958  1/8 §5

Le patriarche Jacob était un berger célèbre. Il se considérait comme personnellement responsable de chaque mouton confié à ses soins. Il s’est si bien occupé des troupeaux de son beau-père, Laban, qu’après 20 ans de travail Jacob a pu dire: “Tes brebis et tes chèvres n’ont pas avorté, et je n’ai jamais mangé les béliers de ton troupeau. Je ne t’apportais pas d’animal lacéré. J’en supportais moi-même la perte. Qu’un animal ait été volé de jour ou ait été volé de nuit, tu le réclamais de ma main.” — Genèse 31:38, 39. L’exemple de Jacob montre qu’un berger paie énormément de son temps. Cette activité le prend jour et nuit et lui demande des sacrifices. Il a dit à Laban: “J’étais celui que la chaleur consume le jour et le froid la nuit, et mon sommeil fuyait loin de mes yeux.” — Genèse 31:40. – TG1993  15/7 p24

De la Genèse à la Révélation la Bible exalte la musique. Du temps des patriarches on avait souvent recours au chant et aux instruments de musique, en particulier au tambourin, lors des festivités. Genèse. 31:27. Puisque la musique servait un but honorable lors des réjouissances, les Israélites faisaient abondamment usage de leurs instruments pour louer leur Dieu Jéhovah. Rien n’empêche un chrétien de se servir d’instruments de musique pour louer Dieu, du moment qu’il reste équilibré. RV1977  8/11 p27

Labân conclut avec Jacob une alliance de paix familiale et, en mémorial de cette alliance, une colonne et un tas de pierres furent érigés par Jacob dressa qui fut appelé “ Galéed ” (“ Tas [servant de] Témoin ”) et “ La Tour de Garde ”. Labân dit ensuite : “ Que Jéhovah guette entre moi et toi, quand nous serons hors de vue l’un de l’autre. ” (Gn 31:45-49). Ce tas de pierres témoignerait du fait que Jéhovah observait si Jacob et Labân respectaient leur alliance de paix. – it-2 Tour de Garde 

Les sacrifices devinrent un moyen par lequel les hommes montraient qu’ils se confiaient en Dieu et entretenaient des relations avec lui, et il devint courant de voir le chef de famille remplir les fonctions de prêtre. — Genèse 31:54. Ces sacrifices annonçaient prophétiquement que Jésus offrirait sa vie pour sauver tous les humains obéissants. – TG1981  1/1

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Bonjour Misette, je vois que le confinement ne t'empêche pas de faire tes recherches. Merci pour ton travail et tes envois. Amitiés Michel

Abbaye - Norbertines  (Abdijstraat)  Tetragrammaton brodé sur chasuble.jpg

Abbaye - Norbertines  (Abdijstraat) Tétragramme tableau JE Quellin Jésus avec Simon le pharisien du XVIIe siècle.jpg

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