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Perles spirituelles - Semaine du 16 Août 2021 - Deutéronome 27-28


misette

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Perles spirituelles (10 min) : Deutéronome 27-28

Deutéronome 27:17 : Pourquoi la Loi de Jéhovah interdisait-elle à un Israélite de déplacer la borne du terrain de son semblable ? (it-1 364).

« “Maudit est celui qui déplace la borne du terrain de son semblable.” (Et tout le peuple dira : “Amen !”) »

La loi de Jéhovah interdisait de reculer les bornes (Dt 19:14). D’ailleurs, maudit était celui qui reculait “ la borne de son semblable ”. (Dt 27:17.) Comme les propriétaires fonciers dépendaient généralement de ce que produisaient leurs parcelles de terre, celui qui reculait une borne privait quelqu’un d’autre d’une partie de ses moyens d’existence. Cette action équivalait à du vol, et c’est ainsi qu’elle était considérée dans les temps anciens. Mais des hommes sans scrupules se rendaient coupables de tels abus ; au temps d’Hoshéa, les princes de Juda furent comparés à des gens qui reculent une frontière. - it-1 p364

Après le partage du pays en territoires tribaux, les terres furent réparties en parcelles, sans aucun doute à l’aide d’une corde à mesurer. Une fois établies, ces limites devaient être respectées. Déplacer une borne était un délit non seulement sous la Loi mosaïque, mais aussi selon le code babylonien. Un tel acte fut également prohibé par le chef égyptien Amenhotep et par les législations grecque et romaine.

Pourquoi Jéhovah s’est opposé à des personnages éminents au temps d’Hoshéa : “ Les princes de Juda sont devenus comme des gens qui reculent une frontière. Sur eux je déverserai ma fureur comme de l’eau. ” (Hoshéa 5:10). Quelle malversation Hoshéa dénonçait-il ? Un cultivateur judéen vivait de ses terres, dont les frontières, les limites, étaient marquées par des pierres ou des poteaux. ‘ Reculer une frontière ’ consistait à réduire la parcelle d’un cultivateur et à le priver d’une partie de son gagne-pain ; cela revenait à le voler. Hoshéa a comparé les princes de Juda, qui auraient dû défendre la justice, à ceux qui reculaient les bornes des terrains. — Deutéronome 19:14 ; 27:17

De nos jours, ceux qui effectuent des transactions immobilières peuvent être tentés de ‘ reculer des frontières ’ afin de tromper les acheteurs. Néanmoins, le même principe s’applique aux marchands, aux employeurs, aux employés et aux clients, à quiconque passe un contrat ou un accord. Comme vous le savez, certains hommes d’affaires hésitent à mettre les clauses par écrit en se disant qu’ainsi il sera plus facile par la suite d’en faire moins que ce qui était convenu ou d’imposer de nouvelles exigences. D’autres rédigent un contrat, mais ajoutent des détails en petits caractères afin d’en tordre le sens à leur avantage, quitte à léser injustement l’autre partie. Croyez-vous que quelqu’un qui agit de cette manière, qu’il soit commerçant ou client, employeur ou employé, connaisse vraiment le Dieu de justice ? Jéhovah a dit dans sa Parole : “ Ne recule pas la frontière [...] des orphelins de père. Car leur Rédempteur est fort ; il plaidera leur cause avec toi. ” – jd chap6 p70 §11

Quand les Israélites occupèrent Canaan, chaque famille reçut une parcelle de terre et les limites de ces possessions furent marquées par des repères ou bornes. La Bible ne les décrit pas, mais il pouvait s’agir de poteaux, de pierres ou même de sillons dans le sol. Le mot hébreu qui signifie “ borne ” (gevoul) est le même que celui rendu par “ frontière ” et “ territoire ”

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Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

La Bible fournit des preuves que les Israélites savaient lire et écrire. Avant même d’entrer en Terre promise, ils ont reçu l’ordre d’écrire les lois de Jéhovah sur les montants de leurs portes et sur leurs portes (Deutéronome 27:1-3). – TG1992  1/11 p10 §6

Jéhovah mérite notre respect, donc ses déclarations méritent notre respect. Lorsque Moïse, prophète de Dieu, a prononcé son discours d’adieu, il a, avec les prêtres, exhorté tout Israël en ces termes : “ Fais silence [...]. Tu devras écouter la voix de Jéhovah ton Dieu. ” Quand les fils d’Israël se réunissaient pour écouter la lecture de la Loi divine, même les enfants étaient tenus d’être attentifs. “ Rassemble le peuple, a ordonné Moïse, les hommes, les femmes et les petits [...] afin qu’ils apprennent. ” — Deut. 27:9, 10 ; 31:11, 12.

N’est-il pas tout aussi indiqué aujourd’hui que les adorateurs de Dieu écoutent respectueusement l’enseignement dispensé lors de leurs rassemblements, y compris les grandes assemblées ? Bavarder inutilement quand des vérités bibliques essentielles nous sont transmises ne trahirait-il pas un manque de respect envers la Parole de Dieu et son organisation ? Durant le programme, c’est le moment de faire silence et d’écouter. – TG2009  15/3 p3

« Amen » signifie « qu’il en soit ainsi » ou « certainement ». Il vient d’un mot hébreu qui veut dire « être fidèle, digne de confiance ». Examinons un exemple remarquable d’utilisation du mot « amen ». Après leur entrée en Terre promise, les Israélites allaient devoir se rassembler entre le mont Ébal et le mont Garizim pour écouter la lecture de la Loi. Ils ne devraient pas simplement écouter, mais aussi s’engager à appliquer la Loi. Ils le feraient en répondant : « Amen ! » quand les Lévites liraient les conséquences qu’ils subiraient s’ils désobéissaient (Deut. 27:15-26). Imagine avec quelle force ce mot a dû retentir quand les milliers d’hommes, de femmes et d’enfants israélites l’ont prononcé ensemble ! . Ils n’ont probablement jamais oublié l’engagement qu’ils avaient pris ce jour-là.- TG2019/3 p29

Selon la Loi, quand un homme avait été exécuté pour un péché grave, son cadavre devait parfois être attaché à un poteau ; cela indiquait que le pécheur était maudit par Dieu (Deut. 21:22, 23 ; 27:26). Jésus, qui avait respecté parfaitement la Loi, ne méritait pas la malédiction qui frappait les Juifs désobéissants. En étant attaché à un poteau, il a donc subi la malédiction à leur place. Ainsi, la nation même qui l’avait rejeté a pu elle aussi bénéficier de son sacrifice – TG2021/4 p14

Quand les Israélites approchaient de la Terre promise, Jéhovah ne leur a pas demandé d’aiguiser leurs armes ou de s’entraîner au combat (Deut. 28:1, 2). Il leur a plutôt demandé d’obéir à ses commandements et de lui faire confiance. D’un point de vue humain, ce conseil pouvait sembler complètement illogique ! Mais c’était ce qu’il y avait de mieux à faire. En effet, Jéhovah a permis à son peuple de remporter victoire après victoire sur les Cananéens. Il faut de la foi pour obéir, mais agir avec foi mène toujours à la réussite. C’était vrai par le passé, ça l’est encore aujourd’hui ! – TG2018/12 p24

Dieu a dit à la nation d’Israël, qui descendait d’Abraham : “ Toutes les bénédictions [annoncées dans l’alliance de la Loi] devront venir sur toi et t’atteindre, parce que tu continues d’écouter la voix de Jéhovah ton Dieu. ” (Deut. 28:2). Ces paroles s’appliquent aussi aux serviteurs de Dieu aujourd’hui. Si vous voulez que les bénédictions de Jéhovah ‘ viennent sur vous et vous atteignent ’, “ continuez d’écouter ” sa voix. Mais comment “ écouter ” Dieu ? L’écouter, c’est bien sûr prêter une grande attention à la Bible et à la nourriture spirituelle qu’il fournit. C’est aussi lui obéir et obéir à son Fils. Enfin, écouter Dieu signifie reconnaître volontiers la structure qu’il a mise en place : la congrégation chrétienne dirigée par des “ dons en hommes ”, les anciens. — TG2010 15/12 p16

Moïse a écrit le livre du Deutéronome, qui comprend une liste de bénédictions et de malédictions. Si le peuple d’Israël ‘ continuait d’écouter la voix de Jéhovah ’ en lui obéissant, des bénédictions ‘ l’atteindraient ’. Jéhovah aimait ce peuple ; il le tenait pour son “ bien particulier ” et voulait montrer sa force en sa faveur. En revanche, si les Israélites ne continuaient pas de l’écouter, des malédictions les atteindraient tout aussi sûrement. — Deutéronome 28:2,15.

Le verbe hébreu rendu par “ continues d’écouter ” en Deutéronome 28:2 évoque une action qui dure. Les serviteurs de Jéhovah ne doivent pas l’écouter seulement de temps à autre ; ils doivent continuer de l’écouter tout au long de leur vie. C’est à cette condition que les bénédictions divines les atteindront. Le verbe hébreu traduit par “ atteindre ” a été identifié à un terme de chasse qui signifie le plus souvent “ rattraper ” ou “ frapper ”. –

Les relations particulières que les Israélites avaient avec Dieu leur procurèrent des bénédictions tant qu’ils se tinrent près de Jéhovah. En suivant ses instructions et en obéissant à ses commandements, les Israélites marchaient en quelque sorte à ses côtés sur le chemin de la vie comme des compagnons qui avancent côte à côte. C’est ce que Moïse laissa entendre quand il déclara ceci dans un discours qu’il fit à la fin de sa vie : “ Jéhovah te fera subsister pour lui comme un peuple saint, ainsi qu’il te l’a juré, si tu observes les commandements de Jéhovah, ton Dieu, et si tu marches dans ses voies. ” Deut. 28:9TG1961 15/10p308

Quand elle était fidèle, la nation d’Israël donnait un bon témoignage à propos du nom de Dieu. Moïse avait dit à cette nation : « Il faudra que tous les peuples de la terre voient que le nom de Jéhovah a été invoqué sur toi, et vraiment ils auront peur de toi » (Deut. 28:10). Malheureusement, l’histoire des Israélites a surtout été une succession d’actes d’infidélité. À maintes reprises, ils sont retournés au culte d’idoles faites à la main. De plus, à l’image des dieux cananéens qu’ils adoraient, ils sont devenus cruels : ils offraient leurs enfants en sacrifice et opprimaient les pauvres. C’est pour nous une puissante incitation à rester saints, à l’exemple du Très-Saint, dont nous portons le nom. – TG2014  15/7 p23 §7

Avant qu’Israël n’entre en Terre promise, Jéhovah avait donné au peuple, par l’intermédiaire de Moïse, l’assurance qu’il connaîtrait l’abondance s’il continuait de Le servir fidèlement. En revanche, la famine serait une des terribles conséquences de l’infidélité d’Israël (Dt 28:23, 38-42). La famine à Jérusalem pendant le siège des Babyloniens (609-607 av. n. è.) fut si intense que des femmes firent cuire leurs propres enfants et les mangèrent. Dt 28:51-53. – it-1 p866 Famine

Les Israélites n’ont montré aucune gratitude pour la bénédiction de Jéhovah. Comme ils n’ont pas continué de l’écouter, les malédictions prédites les ont atteints : leurs ennemis les ont vaincus, et les habitants des royaumes d’Israël et de Juda ont été envoyés en exil (Deutéronome 28:36). Les serviteurs de Dieu ont-ils compris, en subissant tant de souffrances, que les bénédictions divines n’atteignent que ceux qui continuent d’écouter Jéhovah ? Le reste juif qui est retourné dans son pays en 537 avant notre ère a eu la possibilité de démontrer s’il avait acquis “ un cœur de sagesse ” et s’il comprenait désormais l’importance de continuer d’écouter Dieu. Les Juifs rapatriés ont dressé un autel et ont commencé la reconstruction du temple à Jérusalem. Mais une forte opposition s’est déclenchée. Leur zèle s’est alors refroidi et les travaux ont été interrompus. Leur confort est devenu leur priorité. Il est impossible d’obtenir la bénédiction de Jéhovah en sacrifiant les intérêts spirituels à la recherche des avantages matériels. — TG2001  15/9 p10

Des vignes improductives étaient une manifestation de la défaveur divine. Moïse avait prophétisé que les vignes au sens littéral dépériraient à cause de l’apostasie des Israélites. “ Tu planteras des vignes, oui tu les cultiveras, mais tu ne boiras pas de vin et tu ne récolteras rien, car le ver mangera cela. ” (Deutéronome 28:39). Une vigne peut dépérir en quelques jours si un ver se loge dans le pied et en dévore l’intérieur. — TG2006  15/6 p18

Avec quels sentiments les Israélites devaient-ils obéir ? Dans sa Loi, Dieu leur avait fait savoir qu’il ne prendrait pas plaisir en eux s’ils ne le servaient pas “ avec joie et allégresse de cœur ”. (Deutéronome 28:45-47.) Jéhovah mérite plus qu’une obéissance machinale. Même des démons ou des animaux peuvent obéir machinalement à des ordres précis. Obéir sincèrement à Dieu, c’est lui obéir par amour. La joie qui caractérise cette obéissance-là vient de la conviction que les commandements divins ne sont pas pesants et que Jéhovah “ devient celui qui récompense ceux qui le cherchent réellement ”. – TG2010  15/9 p7

Pense à ce que Moïse a dû ressentir quand, blotti dans le creux d’un rocher, il a eu en vision un aperçu de la gloire de Jéhovah. Le livre Étude perspicace fait remarquer : « Moïse eut le privilège de vivre l’événement probablement le plus impressionnant qu’un homme ait jamais vécu avant la venue de Jésus Christ. » En cette occasion, Moïse a entendu ces paroles, sans doute prononcées par un ange : « Jéhovah, Jéhovah, Dieu miséricordieux et compatissant, lent à se mettre en colère et abondant en amour fidèle et en vérité ; il témoigne de l’amour fidèle à des milliers et pardonne la faute, la transgression et le péché » (Ex. 33:17-23 ; 34:5-7). Cette vision lui revenait peut-être à l’esprit quand il utilisait le nom « Jéhovah ». Il n’est donc pas étonnant qu’il ait plus tard conseillé aux Israélites de ‘craindre ce nom glorieux et redoutable’ (Deut. 28:58). – TG2020/6 p8-13

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