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Perles spirituelles - Semaine du 25 Décembre 2023 - Job 30-31


misette

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Perles spirituelles (10 min) : Job 30 - 31

Job 31:35 : Lorsque quelqu’un nous fait part de choses qui le préoccupent, comment ne pas ressembler aux compagnons de Job ?

(w05 15/11 11 § 3).

« Si seulement quelqu’un m’écoutait ! Je signerais de mon nom ce que j’ai dit. Que le Tout-Puissant me réponde ! Si seulement mon accusateur avait écrit ses accusations dans un document !»

Les compagnons de Job avaient entendu pas moins de dix de ses discours. Il s’est pourtant exclamé : “ Ah ! si j’avais quelqu’un qui m’écoute. ” (Job 31:35). Pourquoi ? Parce que ses compagnons l’avaient certes écouté, mais ils ne lui avaient apporté aucun soulagement. Ils ne se souciaient pas de lui, et ils ne souhaitaient pas comprendre ce qu’il ressentait. Ils ne témoignaient assurément pas de sympathie dans leur façon d’écouter. Or l’apôtre Pierre nous adresse ce conseil : “ Ayez tous les mêmes pensées, manifestant de la sympathie, ayant de l’affection fraternelle, étant pleins d’une tendre compassion et humbles. ” (1 Pierre 3:8). Comment manifester de la sympathie ? Entre autres en montrant que nous nous intéressons aux sentiments de notre interlocuteur et en cherchant à les comprendre. Nous le montrerons par des remarques pleines d’empathie, comme : ‘ Ça n’a pas dû être facile pour toi ! ’ ou : ‘ Ça a dû être frustrant ! ’ Nous pouvons aussi reformuler ce que notre interlocuteur a dit pour qu’il voie que nous l’avons compris. Écouter avec amour, c’est prêter attention non seulement aux mots, mais également aux sentiments qui se cachent derrière. - w05 15/11 11 § 3

Nous devons démontrer que nous prenons en compte les sentiments de la personne et que notre intention ou notre objectif est de la comprendre. Nous pouvons également exprimer notre intérêt par des commentaires encourageants, tels que : « Cela a dû être terrible » ou se dire « j'ai dû me sentir incompris." Quelque chose qui peut aussi aider est de répéter avec nos mots ce que la personne nous dit, de cette façon elle saura que nous avons compris ce qu'elle a dit, car pour montrer de l'amour lorsque nous écoutons, il ne suffit pas de simplement prêter attention aux mots, mais nous devons percevoir ses sentiments

Élifaz, Bildad et Zofar n’ont pas pris le temps de réfléchir à la façon dont ils pourraient aider Job. Ils ont plutôt réfléchi à ce qu’ils pourraient dire pour lui prouver qu’il avait mal agi. Certaines de leurs affirmations étaient exactes, mais beaucoup de choses qu’ils ont dites sur Job et sur Jéhovah étaient soit méchantes, soit fausses. Ils ont jugé Job durement. Comment Jéhovah a-t-il réagi ? Il s’est mis en colère contre ces trois hommes. Il leur a reproché d’avoir parlé avec « folie », et il leur a dit de demander à Job de prier pour eux. Le mauvais exemple d’Élifaz, de Bildad et de Zofar nous enseigne plusieurs leçons. Premièrement, nous ne devons pas juger nos frères. Il nous faut plutôt les écouter attentivement avant de parler. C’est seulement alors que nous pourrons comprendre leur situation (1 Pierre 3:8).

Deuxièmement, nous devons toujours parler avec gentillesse et veiller à ce que nos paroles soient exactes (Éph. 4:25). Troisièmement, Jéhovah s’intéresse vivement à ce que nous nous disons les uns aux autres – TG2020/3 p22 §15,16

Dans l’assemblée, avoir des égards pour les sentiments des autres, c’est leur accorder de la dignité, les traiter comme nous aimerions qu’ils nous traitent. C’est notamment faire attention à ce que nous disons ainsi qu’à la façon dont nous le disons. N’oublions pas que des paroles inconsidérées peuvent être comme un coup d’épée

Bien que le mot “ empathie ” ne figure pas dans la Bible, on y trouve des allusions indirectes à cette qualité. L’apôtre Pierre a conseillé aux chrétiens de manifester ‘ de la sympathie, de l’affection fraternelle et de la compassion ’. (1 Pierre 3:8.) Le mot grec rendu par “ sympathie ” signifie littéralement “ souffrir avec ” ou “ avoir de la compassion ”.Ce terme désigne l’état d’esprit avec lequel nous partageons les sentiments des autres comme si c’étaient les nôtres. 

Les trois faux consolateurs de Job se sont révélés incapables de se mettre à sa place. C’est pourquoi, ils l’ont condamné pour des péchés dont ils supposaient qu’il s’était rendu coupable.

Nous augmentons notre aptitude à nous mettre à la place de ceux pour qui nous prions (1 Pierre 3:8). Nous éprouvons de la compassion pour eux, partageant leurs préoccupations et leurs détresses. Par exemple, dans le corps humain, si une main est blessée, l’autre en prend soin et essaie de soulager la souffrance causée par la blessure. De même, en priant pour nos frères et sœurs qui souffrent, nous éprouvons davantage de compassion pour eux et il nous est plus facile de ne pas les oublier. C’est nous qui subissons une perte si nous négligeons de parler de nos compagnons chrétiens dans nos prières, car Dieu et le Christ ne les abandonnent pas pour autant.

Si nous voulons faire grandir notre amour envers nos frères et sœurs chrétiens, nous devons tout d’abord nous mettre à leur place, partager leurs sentiments dans leurs épreuves et leurs difficultés.

Quand nous voulons aider les autres, nous devons être souples. Pourquoi ? Parce que tout le monde ne réagit pas de la même façon aux difficultés. Certains parlent facilement de leurs problèmes, mais d’autres ont plus de mal à le faire. Par conséquent, si nous voulons aider quelqu’un, nous devons éviter de poser des questions qui risquent de le gêner. . Et même quand quelqu’un accepte de se confier, rappelons-nous que nous ne serons pas forcément d’accord avec ce qu’il dira. Mais nous devons admettre qu’il a le droit d’avoir son point de vue. Soyons toujours prêts à écouter et lents à parler

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Quand Job déplore son état de maladie douloureux et le fait d'être l'objet de moqueries, il dit à propos de ceux qui le harcèlent «ils n’ont plus aucune retenue en ma présence  » Job 30:11. Les ennemis de Job ont déchaîné contre lui leur hostilité effrénée, avec un manque total de respect.

Si, grâce à l’application des principes bibliques, la maîtrise de soi est acquise et que la langue est ainsi contrôlée, le corps tout entier peut également être contrôlé. (Jacques 3:2, 3.) Celui qui prétend être un adorateur de Dieu doit retenir sa langue ; Sinon, sa forme d’adoration sera vaine. (Jac 1:26.)

Job essuyait les moqueries d’hommes plus jeunes que lui, ‘dont il aurait refusé de mettre les pères avec les chiens de son troupeau’. On le détestait et on lui crachait dessus. Malgré sa profonde affliction, on ne lui témoignait aucune considération (Job 30:1, 10, 30). Toutefois, parce qu’il était entièrement attaché à Jéhovah, il avait une conscience nette et pouvait dire: “Il me pèsera sur une balance exacte et Dieu connaîtra mon intégrité.” (Job 31:6). Job n’était ni un adultère, ni un intrigant; il n’avait jamais manqué d’aider les nécessiteux. Bien qu’ayant été riche, il n’avait jamais placé sa confiance dans l’opulence. Par ailleurs, Job n’était pas un idolâtre; il n’adorait pas des choses inanimées, comme la lune (Job 31:26-28). Confiant en Dieu, il a été d’une intégrité exemplaire. En dépit de ses nombreuses souffrances et de la présence de ses soi-disant consolateurs, Job a exposé sa défense de façon magistrale et a porté un magnifique témoignage. Le discours de Job étant fini, il s’en remit à Dieu, son Juge et son Rémunérateur. — Job 31:35-40.

L’histoire de Job montre que ceux qui respectent les normes divines peuvent être raillés (Jb 30:9, 10) et rejetés par leurs anciennes connaissances, car ces gens-là “ ont haï celui qui reprend, et ils détestent celui qui énonce des choses parfaites ”– TG1994 15/11 p7

On notera avec intérêt que Job a été confronté à des “pensées troublantes” que Satan a fait passer par Élifaz et Zofar. C’est pourquoi Job a ressenti du “déplaisir”, ce qui l’a amené à avoir des “propos en l’air” en rapport avec les “terreurs” qui affligeaient son esprit (Job 30:15, 16 « La terreur m’envahit ; ma dignité est chassée comme par le vent, et mon espoir se dissipe comme un nuage. Maintenant, ma vie se répand hors de moi ; des jours de souffrance s’emparent de moi ». Élihu a écouté calmement Job et l’a aidé sincèrement à discerner comment Jéhovah, dans sa sagesse infinie, voyait les choses.

De même aujourd’hui, des anciens compréhensifs montrent qu’ils prennent soin des affligés en ne leur ajoutant aucune “pression” supplémentaire. Au contraire, à l’instar d’Élihu, ils les écoutent patiemment et leur appliquent une huile adoucissante, la Parole de Dieu. De la sorte, un chrétien qui souffre de troubles émotionnels, réels ou imaginaires, ou qui est “terrifié par des rêves, et par des visions”, comme l’a été Job, pourra puiser du réconfort au sein de l’assemblée par l’effet adoucissant des Écritures. — TG1995  1/1 §19

La Bible ne donne pas le nom de la maladie de Job. Cependant, elle nous en décrit les symptômes. Sa chair était couverte de larves, sa peau formait des croûtes et tombait en pourriture. Son haleine était repoussante et son corps exhalait une odeur fétide. Il était rongé de douleur (Job 30:17 « La nuit, la douleur me transperce les os ; la douleur ne cesse de me ronger » verset 30 « Ma peau a noirci et elle est tombée ; mes os brûlent à cause de la chaleur ». Souffrant terriblement, Job était assis au milieu de la cendre et se grattait avec un tesson (Job 2:8). Il était réellement pitoyable à voir !

Quelle serait votre réaction si vous étiez affligé d’une maladie aussi grave ? De nos jours, Satan ne frappe pas les serviteurs de Dieu d’une maladie comme il l’a fait pour Job. Néanmoins, l’imperfection humaine, les tensions de la vie quotidienne et la dégradation de notre environnement font qu’inévitablement nous tombons parfois malades. Malgré les précautions que nous prenons, nous sommes tous sujets à la maladie, même si peu d’entre nous souffriront autant que Job. Quand la maladie frappe notre maisonnée, ce peut être un véritable combat à mener –

Considérez la situation de cet homme fidèle que Jéhovah aimait. À son insu, Satan a mis en doute son intégrité, prétendant qu’il ne servait Dieu que pour des motifs égoïstes. Pleinement confiant en Job et sachant qu’Il a le pouvoir de réparer le mal, Jéhovah a autorisé Satan à le mettre à l’épreuve. Alors, Satan “ frappa Job de furoncles malins, depuis la plante de son pied jusqu’au sommet de sa tête ”. (Job 2:7.) Sa chair s’est couverte de larves, et sa peau de croûtes ; elle a noirci et s’est détachée (Job 30:17, 30 « La nuit, la douleur me transperce les os ; la douleur ne cesse de me ronger. Ma peau a noirci et elle est tombée ; mes os brûlent à cause de la chaleur » Imaginez-vous ses souffrances atroces ? Pourtant, Job est resté fidèle et a déclaré : “ Jusqu’à ce que j’expire, je ne me dessaisirai pas de mon intégrité ! ” — Job 27:5. – TG2011  1/ 4

Les souffrances qui découlent d’un accident, de la maladie, de la mort d’un être aimé, d’une catastrophe naturelle ou de la guerre peuvent facilement amener les gens à ressentir de la déception envers Dieu. Ce n’est pas nouveau. Dans l’Antiquité, le patriarche Job a subi malheurs sur malheurs. À tort, il a accusé Dieu en ces termes : « Vers toi je crie au secours, mais tu ne me réponds pas, je me suis tenu debout pour que tu fasses attention à moi. Tu te transformes pour devenir cruel envers moi ; de toute la force de ta main, tu gardes de l’animosité à mon égard » (Job 30:20, 21).

Job ne savait pas d’où venaient ses malheurs, ni pourquoi ils lui arrivaient ou étaient permis. Les propos de Job peuvent donner l’impression qu’il s’est détourné de Dieu, mais il n’en est rien. Ils ne sont que l’expression d’une détresse profond. Ignorant que Satan est à l’origine de ses épreuves, Job pense à tort que Jéhovah l’a abandonné. Cependant, Jéhovah l’a aidé avec bonté en posant une série de questions qui dépassaient le cadre du drame que vivait Job. Ces questions ont permis à Job de percevoir plus clairement la suprématie de Dieu et l’insignifiance de l’homme. Job a suivi le raisonnement de Jéhovah et s’est rétracté.  Demeurer intègre n’exige pas d’être parfait : Job a critiqué Dieu à tort. – TG2015  1/9 p14

Job a renforcé son intégrité en s’efforçant d’obéir à Jéhovah en tout. Il savait que pour rester intègre, il faut se montrer obéissant. En fait, chaque fois qu’on obéit, on devient plus déterminé encore à rester intègre. Job faisait de gros efforts pour obéir à Dieu dans sa vie de tous les jours. Par exemple, il veillait à son comportement avec les femmes (Job 31:1 « J’ai conclu une alliance avec mes yeux. Comment donc pourrais-je prêter une attention déplacée à une vierge ? »

Il savait qu’étant un homme marié, il ne devait pas avoir de comportement amoureux avec d’autres femmes que la sienne. Aujourd’hui, nous vivons dans un monde où les tentations sexuelles sont partout. Comme Job, refuserons-nous d’avoir un comportement amoureux envers toute autre personne que notre conjoint ? Refuserons-nous aussi de regarder des images obscènes ou pornographiques, sous quelque forme que ce soit ? Si nous faisons preuve de maîtrise de soi dans notre vie de tous les jours, nous renforcerons notre intégrité. – TG2019/2 p6 §13

Les vrais chrétiens ne sont pas immunisés contre le désir des yeux et de la chair. C’est pourquoi la Parole de Dieu nous encourage à l’autodiscipline en rapport avec ce que nous regardons et désirons. Job a reconnu le lien étroit entre la vue et le désir. Il a déclaré : “ J’ai conclu une alliance avec mes yeux. Comment donc pourrais-je faire attention à une vierge ? ” (Job 31:1). Non seulement Job refusait de poser la main sur une femme de manière immorale, mais il interdisait même à son esprit de nourrir une telle pensée. Jésus a souligné la nécessité de préserver son esprit des pensées immorales en disant : “ Tout homme qui continue à regarder une femme de manière à éprouver une passion pour elle a déjà commis l’adultère avec elle dans son cœur. ” Un frère ne devrait jamais jouer au jeu de la séduction avec une sœur ni faire quoi que ce soit qui la mettrait mal à l’aise en sa présence. Un frère célibataire ne devrait jamais jouer avec les sentiments d’une sœur célibataire en lui faisant croire qu’il veut s’engager dans une relation amoureuse avec elle alors que ce n’est pas le cas— Mat. 5:28.

On en vient facilement à être affairé jusque dans les moindres minutes de la journée et à tomber dans une vie trépidante, débordante d’activités. Cela risque de nous mener à un état d’insatisfaction anxieuse, la vie nous offrant tant de choses à faire et à découvrir alors que nous en avons si peu le temps. Sommes-nous soucieux, comme David, de mener notre existence de manière à être approuvés de Dieu ? N’oublions pas que Jéhovah observe et examine soigneusement chacun de nous. Il y a 3 600 ans, Job, un homme craignant Dieu, s’est déclaré convaincu que Jéhovah observait ses voies et comptait tous ses pas. Il a donc posé cette question : “ Quand il demandera des comptes, que lui répondrai-je ? ” (Job 31:4-6, 14). Il est possible de faire que nos jours comptent pour Dieu en nous fixant des priorités d’ordre spirituel, en obéissant à ses commandements et en employant notre temps avec sagesse – TG2002  15/11

Si nous voulons être comptés parmi les personnes intègres, nous ne pouvons recourir à des méthodes tortueuses. Job a déclaré : “ Si j’ai marché avec les hommes faux, et si mon pied se hâte vers la tromperie, [Jéhovah] me pèsera dans une balance exacte et [il] pourra connaître mon intégrité. ” (Job 31:5, 6). Jéhovah pèse tous les humains dans une “ balance exacte ”. Comme il l’a fait dans le cas de Job, il se sert encore aujourd’hui de ses normes parfaites de justice pour mesurer l’intégrité de ceux qui se sont voués à lui. On ne peut demeurer intègre si l’on est “ plein de détours ”, ou fourbe - TG2010 15/11

Job a renforcé son intégrité en se concentrant sur l’espérance que Dieu le récompenserait. Il était sûr que Dieu accordait de la valeur à son intégrité (Job 31:6 « Que Dieu me pèse avec une balance exacte ; alors il constatera mon intégrité »). Malgré son épreuve, il était convaincu que Jéhovah finirait par le récompenser. Cette conviction l’a très certainement aidé à rester intègre. Jéhovah était si heureux de l’intégrité de Job qu’il l’a largement récompensé alors qu’il était encore imparfait. Et des bénédictions encore plus grandes l’attendent ! Es-tu convaincu que Jéhovah récompensera ton intégrité ? Notre Dieu ne change pas. Si nous nous rappelons qu’il accorde de la valeur à notre intégrité, notre espérance d’un avenir merveilleux restera bien vivante dans notre esprit - TG2019/2 p6 §15

Job ne se croyait pas mieux que les autres mais se préoccupait de tous, riches et pauvres, comme s’ils étaient de sa famille. Il disait : « Celui qui m’a fait dans le ventre, ne les a-t-il pas fait aussi ? » (Job 31:13-22). Même quand Job était riche et puissant, il n’est pas devenu orgueilleux. Ses serviteurs étaient traités avec humanité.  Les pauvres, les veuves, les orphelins et ceux qui périssaient faute des nécessités de la vie, trouvaient en Job un puissant soutien. Job n’usait pas de représailles envers ceux qui s’étaient montrés hostiles et ne leur souhaitait pas de mal. — Job 31:29, 30. Peu de personnes dans sa situation se comportent ainsi aujourd’hui ! – TG2018/2 §18

Pour rester intègres, il nous faut imiter Job, qui était juste, humble et attentionné. Il a posé ces questions : “ Si je refusais le jugement de mon esclave mâle ou de mon esclave femelle, dans leur litige avec moi, alors, que ferai-je quand Dieu se lèvera ? Et quand il demandera des comptes, que lui répondrai-je ? Celui qui m’a fait dans le ventre, ne l’a-t-il pas fait aussi, et n’est-ce pas Un seul qui entreprit de nous préparer dans la matrice ? ” — Job 31:13-15.

Apparemment, à l’époque de Job, le règlement des litiges n’était pas soumis à une procédure compliquée. Les procès étaient menés avec ordre, et même les esclaves pouvaient porter leur affaire devant le tribunal. Job traitait ses serviteurs avec justice et miséricorde. Pour continuer à marcher dans notre intégrité, nous devons manifester ces qualités, surtout si nous assumons la fonction d’ancien dans l’assemblée

Comment Job traitait-il ses serviteurs ? Ceux-ci le considéraient comme quelqu’un de juste et d’abordable, tel que cela ressort des propres paroles de Job : “ Si je refusais le jugement de mon esclave mâle ou de mon esclave femelle, dans leur litige avec moi, alors, que ferai-je quand Dieu se lèvera ? Et quand il demandera des comptes, que lui répondrai-je ? ” (Job 31:13, 14). Job accordait du prix à la miséricorde de Jéhovah et, par conséquent, il se montrait miséricordieux envers ses esclaves.

Job obéissait aussi à Jéhovah dans sa façon de considérer les choses matérielles. Il comprenait qu’en mettant sa confiance dans ses biens plutôt qu’en Jéhovah, il commettrait une faute grave méritant d’être punie (Job 31:24, 25, 28). Aujourd’hui, nous vivons dans un monde matérialiste. Si nous avons un point de vue équilibré sur l’argent et les biens matériels, comme les principes bibliques nous y encouragent, nous renforcerons notre détermination à rester intègres - TG2019/2 p6 §14

Lors de la “grande tribulation”, les chrétiens risquent de subir d’importantes pertes matérielles. Il peut arriver qu’on perde presque tous ses biens du jour au lendemain. Quelle sera alors votre attitude ? C’est donc le moment de vous demander en quoi vous mettez vraiment votre confiance pour connaître la sécurité : en l’argent ou en Dieu ? Sur quoi concentrez-vous votre esprit et votre cœur : sur les choses qu’offre le présent système ou sur l’ordre nouveau que promet Dieu ? Vos actions et votre vie en général montrent-elles où vous vous tournez pour trouver la sécurité ? En ce temps de la fin, ce serait commettre une faute que de se tourner dans une mauvaise direction pour trouver la sécurité. Ainsi lisons-nous en Job 31:24-28: “Si j’ai fait de l’or ma confiance, ou si j’ai dit à l’or : ‘Tu es mon assurance !’ Si je me réjouissais de ce que mes biens étaient nombreux et de ce que ma main avait trouvé beaucoup de choses, (...) cela aussi serait une faute relevant des magistrats, car j’aurais renié le vrai Dieu là-haut.” Étant donné l’imminence de l’effondrement des systèmes humains et les pertes matérielles considérables qui en découleront, ce serait être insensé que de ne pas s’y préparer mentalement à l’avance. Vous aimez sans doute la vie et vous voulez vivre. Alors ne soyez pas trop attaché aux biens matériels – TG1977 15/7 p425

Gestes religieux à l’égard d’un objet. Jéhovah interdisait de donner des baisers à de faux dieux en geste d’adoration. Job souligna le danger de laisser un objet de culte quelconque, tel que le soleil ou la lune, séduire son cœur au point de faire un geste d’adoration à l’égard de cet objet, peut-être en posant sa main sur sa bouche pour envoyer un baiser, à l’exemple des adorateurs païens de la lune ainsi que de ceux qui rendaient hommage à des idoles. Job était conscient qu’agir ainsi revenait à renier le vrai Dieu et qu’on devait rendre des comptes pour une telle faute. —

Job 31:26-28 « si j’avais vu le soleil briller ou la lune, dans sa splendeur, se déplacer 27 et que mon cœur ait été secrètement séduit et que ma bouche ait baisé ma main en geste d’adoration à leur égard, 28 ce serait une faute méritant d’être punie par les juges, car j’aurais renié le vrai Dieu là-haut ». Les Grecs et les Romains avaient coutume d’envoyer avec la main un baiser à leurs idoles quand celles-ci étaient inaccessibles et de saluer de la même manière le soleil levant. - it-1 p223

Job avoua que son cœur pouvait se laisser facilement séduire par ce qu’il regardait. “Si je voyais la lumière quand elle commençait à luire, avoua-t-il, ou la lune précieuse qui s’avançait, et si mon cœur commençait à être séduit en secret (...), cela aussi serait une faute relevant des magistrats.” Certes, la vue du firmament étoilé et de la lune resplendissante a de quoi nous impressionner. Mais voilà: Les gens qui entouraient Job adoraient la lune, voyant en elle un symbole de la fertilité. Des orgies alléchantes faisaient souvent partie intégrante du culte de la lune. Or, si Job avait pensé continuellement à ces pratiques, ‘sa main aurait baisé sa bouche’ en signe d’adoration. Son cœur aurait pu devenir de plus en plus ouvert et laxiste, de sorte qu’au fond l’idolâtrie ne lui aurait pas paru si mauvaise. Mais heureusement, il se ressaisit. — Job 31:26-28

Job n’était porté ni à la malveillance ni à la cruauté. Il savait que ces traits de caractère trahissent une intégrité défaillante. “ Si je me réjouissais de la disparition de celui qui me haïssait intensément, ou si je me sentais tout excité parce que le mal l’avait trouvé... Et je n’ai pas permis à mon palais de pécher en réclamant un serment contre son âme ”, a-t-il souligné. — Job 31:29, 30.

Job était un homme droit qui ne se réjouissait pas du malheur de ceux qui le haïssaient. Étant donné qu’il lit dans les cœurs, Jéhovah sait si nous nous réjouissons secrètement du malheur d’autrui et il ne peut que condamner une telle attitude. – TG2010 15/11 p31

Job était hospitalier (Job 31:31, 32 « Les hommes de ma tente n’ont-ils pas dit : “Qui peut trouver quelqu’un que sa nourriture n’ait pas rassasié ?” Aucun étranger n’était obligé de passer la nuit dehors ; j’ouvrais mes portes au voyageur. ». . L’hospitalité dont Job faisait preuve était une marque distinctive des serviteurs de Dieu du passé. Faut-il être riche pour “ suivre la voie de l’hospitalité ” ? (Rom. 12:13.) Non. Nous pouvons partager avec d’autres quelque chose de simple, nous souvenant que “ mieux vaut un plat de légumes, là où il y a de l’amour, qu’un taureau engraissé à la crèche et de la haine avec ”. (Prov. 15:17.) - TG2010 15/11 p31

Job ne couvrait pas ses transgressions ni ne ‘ cachait sa faute dans la poche de sa chemise ’ de peur qu’on ne le méprise en apprenant ce qu’il avait fait. Il souhaitait que Dieu l’examine et, au besoin, il était prêt à se confesser (Job 31:33-37). Si jamais il nous arrive de commettre un péché grave, ne cherchons pas à le cacher pour sauver la face. Montrons que nous tenons à notre intégrité en reconnaissant notre faute, en nous repentant, en recherchant de l’aide sur le plan spirituel et en faisant le maximum pour réparer le tort causé. Le chrétien qui reconnaît et répare le tort qu’il a pu causer à son frère démontre aussi bien à Dieu qu’à l’assemblée qu’il se repent sincèrement. On pourra alors agir avec miséricorde à son égard. En revanche, dans le même esprit que celui de la Loi, un voleur ou un extorqueur qui chercherait à cacher son péché mais qui serait finalement découvert, s’exposerait lui-même à être excommunié de l’assemblée s’il ne confesse pas ou ne reconnaît pas sa faute et s’il n’est pas disposé à la réparer— TG2010 15/11 p31

Job était un homme honnête et droit. Aussi a-t-il pu affirmer : “ Si contre moi mon propre sol appelait à l’aide, si ensemble pleuraient ses sillons ; si j’en ai mangé le fruit sans argent, si j’ai rendu haletante l’âme de ses propriétaires, qu’au lieu de blé sorte la plante épineuse et au lieu d’orge l’herbe puante. ” (Job 31:38-40). Job ne s’est jamais emparé des propriétés d’autrui ni n’a exploité un seul ouvrier. À son exemple, nous devons rester fidèles à Dieu dans les petites choses comme dans les grandes.

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