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Perles spirituelles - Semaine du 31 Octobre 2022 - 2 Rois 3-4


misette

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Perles spirituelles (10 min) : 2 Rois 3-4

2 Rois 4:38 : Qui étaient probablement « les fils des prophètes » ? (it-2 672 § 6).

« Quand Élisée retourna à Guilgal, il y avait une famine dans le pays. Alors que les fils des prophètes étaient assis devant lui, il dit à son serviteur : « Place la grande marmite sur le feu et fais une soupe pour les fils des prophètes. »

 Les fils des prophètes.  Comme l’explique une grammaire hébraïque (Grammaire de l’hébreu biblique, par P. Joüon, Rome, 1923, § 129 j), les termes hébreux bèn et bené (“ fils [au singulier et au pluriel] de ”) peuvent emporter l’idée d’“ appartenance d’un individu à une classe d’êtres ” où “ membre des confectionneurs d’onguents ” se dit littéralement “ fils des confectionneurs d’onguents ”.) L’expression “ les fils des prophètes ” pouvait donc avoir trait à une école pour ceux qui avaient cette vocation ou simplement à une association coopérative de prophètes. Il existait, lit-on, de tels groupes de prophètes à Béthel, à Jéricho et à Guilgal. Samuel présidait un groupe à Rama, et il semble qu’Élisée ait eu une position analogue à son époque. Un épisode montre les fils des prophètes construisant eux-mêmes leur demeure et se servant d’un outil emprunté, ce qui indique peut-être qu’ils vivaient simplement. Même si souvent ils partageaient logement et nourriture, ils pouvaient être investis individuellement de missions prophétiques. — it-2 672 § 6

Il s’agissait vraisemblablement de groupes de serviteurs de Dieu qui travaillaient ensemble, appréciant manifestement cette agréable coopération. Les “ fils des prophètes ” semblent avoir mené une vie simple. Un de ces groupes de l’époque d’Élisée est décrit construisant son propre lieu d’habitation à l’aide d’une hache empruntée. Les Israélites fidèles appréciaient les fils des prophètes, car la Bible rapporte qu’un jour ils leur ont offert de la nourriture - TG2012  1/10

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Lorsqu’il a été invité à assumer un service spécial auprès d’Élie, Élisée a immédiatement laissé son champ pour exercer son ministère auprès du plus éminent prophète d’Israël. Il accomplissait, semble-t-il, certaines tâches domestiques, car il fut connu comme celui “ qui versait l’eau sur les mains d’Elie ”. (2 Rois 3:11.) Cela ne l’a pas empêché de considérer son service comme un privilège, et il est resté fidèlement aux côtés d’Elie. Certaines des tâches d’Élisée étaient donc inférieures. Pourtant, il considérait comme un privilège d’être le serviteur d’Élie.

Aujourd’hui, nombre de serviteurs de Dieu manifestent le même esprit d’abnégation. Ils entreprennent différentes formes de service à plein temps. Ils sont motivés par la foi et le désir d’employer leurs forces à servir Jéhovah au maximum. Certains ont quitté leurs “ champs ”, c’est-à-dire leurs moyens d’existence, pour prêcher la bonne nouvelle dans des endroits éloignés ou pour être membres de la famille d’un Béthel. D’autres sont partis à l’étranger afin de travailler sur des chantiers de construction des Témoins de Jéhovah. Beaucoup ont accepté ce qu’on pourrait appeler des tâches modestes. Pourtant, aucun de ceux qui servent Jéhovah comme des esclaves n’accomplit une œuvre insignifiante. Dieu apprécie tous ceux qui lui rendent un culte avec empressement, et il bénira leur abnégation. — TG1997  1/11 p31

Il y a près de 3 000 ans, le prophète Élie a invité le jeune Élisée à être son serviteur. Élisée a immédiatement accepté et a servi fidèlement le vieil homme en s’acquittant de tâches humbles (2 Rois 3:11). Quel réconfort pour Éliie d’avoir à ses côtés un serviteur capable et dévoué. Après six années de formation, il a appris que l’œuvre d’Élie en Israël touchait à sa fin. C’est alors qu’Elie a insisté pour que son compagnon, bien formé, arrête de le suivre. Mais Elisée lui a dit à trois reprises : « Je ne te quitterai pas. » Il était déterminé à rester auprès de son mentor aussi longtemps que possible. Jéhovah l’a récompensé pour sa loyauté et sa fidélité en lui permettant d’assister au départ, très impressionnant, d’Elie (2 Rois 2:1-12).

Comment peux-tu imiter Elisée ? En acceptant immédiatement les attributions qu’on te confie, y compris les tâches humbles. Considère ton enseignant comme un ami, et fais-lui savoir combien tu apprécies ce qu’il fait pour toi. La manière dont tu réagis peut revenir à lui dire : « Je ne te quitterai pas. » Par-dessus tout, acquitte-toi de toute attribution avec fidélité. Pourquoi est-ce important ? Parce que c’est seulement après avoir vu que tu es fidèle et digne de confiance que les anciens seront convaincus que Jéhovah veut que tu reçoives davantage de responsabilités – TG2015  15/4 p12

Verser de l’eau sur les mains de quelqu’un. On montrait qu’Elisée était le ministre ou serviteur d’Élie en disant de lui qu’il “ versait l’eau sur les mains d’Elie ”. Ce genre de tâche était accompli notamment après les repas. Au Proche-Orient, on avait l’habitude de manger avec les doigts, et non avec un couteau et une fourchette. C’est pourquoi, à la fin de chaque repas, un serviteur versait de l’eau sur les mains de son maître pour les lui laver (2R 3:11). – it-1 p225

2 Rois 3:22. « Le matin, de bonne heure, quand ils se levèrent, le soleil brillait sur l’eau. Et comme ils étaient en face, l’eau leur paraissait rouge comme du sang » Le reflet de la lumière du petit matin sur l’eau a donné l’illusion qu’il s’agissait de sang, peut-être parce que la terre des fossés fraîchement creusés contenait de l’argile rouge. Jéhovah peut décider d’utiliser un phénomène naturel pour accomplir ses desseins. – TG2005  1/8 p9

Ne te satisfais pas d’un petit nombre.  John Ekrann, membre du Comité de la filiale des Témoins de Jéhovah aux États-Unis, a commenté le récit du prophète Elisée et de la veuve à qui on va enlever ses fils pour les vendre comme esclaves (2 Rois 4:1-7). La veuve n’a qu’une petite jarre pour mettre de l’huile. Elisée lui demande d’aller chercher d’autres jarres auprès de ses voisins en précisant bien : “ Ne te satisfais pas d’un petit nombre. ” Par l’intermédiaire d’Elisée, Jéhovah fait un miracle et remplit d’huile les jarres que la veuve a rassemblées. Puis elle vend l’huile et récolte suffisamment d’argent pour payer ses dettes et subvenir aux besoins de sa famille pendant un certain temps.

Quelle leçon retirer de ce récit ? Lorsque la veuve a rassemblé les récipients supplémentaires, elle n’a certainement pas fait la difficile. “ Elle a dû prendre tout récipient pouvant contenir de l’huile, a dit frère Ekrann, des plus grands jusqu’aux plus petits. ” Il a ensuite encouragé les élèves à s’investir dans chaque affectation, quelles qu’elles soient : “ Ne faites pas les difficiles. ” Il a aussi rappelé aux élèves que la bénédiction que la veuve a reçue était proportionnelle à l’ardeur avec laquelle elle a suivi les instructions d’Elisée. L’application ? La mesure de bénédictions que nous recevons est en rapport direct avec la mesure de zèle et de foi dont nous faisons preuve. “ N’économisez pas vos efforts ”, a-t-il conclu – TG2012  1/ 2

Pourquoi est-il raisonnable de croire en la résurrection ? ? La Bible contient les récits détaillés de neuf résurrections, qui ont toutes été confirmées par des témoins (2 Rois 4:32-37). Dans la ville de Shounem vivait une Israélite qui n’avait pas d’enfant. Comme elle a été très hospitalière envers Elisée, Jéhovah l’a récompensée en lui permettant, à elle et à son mari âgé, d’avoir un fils. Quelques années plus tard, le garçon est mort. Imagine le désespoir de la mère ! Elle avait tellement de peine qu’elle a fait un trajet de 30 kilomètres pour aller trouver Elisée au mont Carmel. Le prophète a envoyé Guéhazi (son serviteur) à Shounem pour ressusciter le garçon. Mais Guéhazi n’a pas réussi. Ensuite, la mère et Elisée sont arrivés à leur tour (2 Rois 4:8-31). Elisée est entré dans la maison et il a prié près du corps de l’enfant qui doit être une supplication intense.

Par un miracle, le garçon a repris vie et a été rendu à sa mère débordante de joie. En faisant littéralement « remonter » de la mort le garçon de Shounem, Dieu a prouvé qu’il est capable de redonner la vie et qu’il en a le désir.

Dans sa mémoire infinie, il garde le souvenir détaillé de chaque personne qu’il ressuscitera grâce à sa toute-puissance. Dieu peut ressusciter les morts, et il le veut vraiment ! Parlant de la résurrection, la Bible dit qu’il ‘désirera ardemment revoir l’œuvre de ses mains. Les résurrections accomplies par Elisée et d’autres aux temps bibliques sont une garantie de ce que Jéhovah fera à une échelle bien plus grande dans son monde nouveau de justice à venir.  – TG2017/12 §6,7

Dans la Bible, nous avons l’exemple de quelqu’un qui a manqué de tact : Guéhazi, le serviteur d’Elisée. Une Shounammite, qui venait de voir mourir son fils dans ses bras, est allée chercher de la consolation auprès d’Elisée. À la question : “ Tout va-t-il bien ? ” elle a répondu : “ Tout va bien. ” Mais alors qu’elle s’avançait vers le prophète, “ Guéhazi s’approcha pour la repousser ”. Cependant, Elisée déclara : “ Laisse-la tranquille, car son âme est amère en elle. ” — 2 Rois 4:17-20, 25-27.

Comment Guéhazi a-t-il pu être aussi rude, aussi dénué de tact ? Certes, la Shounammite n’avait pas exprimé ses sentiments quand elle avait été invitée à le faire. Mais c’est que la plupart des gens ne révèlent pas leurs sentiments au premier venu. Toutefois, son émotion devait être perceptible d’une manière ou d’une autre. Apparemment, elle n’a pas échappé à Elisée ; quant à Guéhazi, soit il ne l’a pas perçue, soit il a préféré l’ignorer. Voilà qui illustre bien une cause fréquente du manque de tact. Trop préoccupé par l’importance de son travail, on en vient facilement à ne pas voir ou à négliger les besoins de ceux qu’on côtoie.

On est alors comme un conducteur d’autobus qui serait tellement soucieux d’arriver à l’heure qu’il ne s’arrêterait pas pour prendre les passagers. Afin de ne pas ressembler à Guéhazi, efforcez-vous d’être bon envers les autres, car vous ignorez leurs sentiments véritables. Soyez toujours prompt à discerner les indices qui vous renseignent à ce sujet et montrez-vous bon en paroles ou en actes - TG2003 1/8

Une femme belle a vécu à Shounem. Nous ne savons rien de son apparence physique, mais cette femme était manifestement belle de cœur. La Bible nous apprend qu’elle ‘ s’est imposé une gêne ’, ou s’est donné beaucoup de mal, afin de fournir au prophète Élisée des repas réguliers et un logement. — 2 Rois 4:8-13.

Nous pouvons imaginer Elisée, après un voyage long et fatigant, retrouvant avec gratitude la petite chambre haute que la femme et son mari lui ont préparée. Peut-être venait-il souvent chez eux, car son ministère a duré 60 ans. Pourquoi la Shounammite a-t-elle insisté pour qu’Elisée réside chez eux à chacun de ses passages ? Parce qu’elle accordait de la valeur à l’œuvre de ce prophète humble et désintéressé, qui était la conscience de la nation, rappelant aux rois, aux prêtres et au peuple leur devoir de servir Jéhovah.

La femme de Shounem était sans aucun doute au nombre de ceux à qui Jésus pensait quand il a déclaré : “ Qui reçoit un prophète parce que c’est un prophète obtiendra une récompense de prophète. ” (Matthieu 10:41). Jéhovah a accordé une récompense particulière à cette femme qui le craignait : bien qu’elle ait été stérile pendant de nombreuses années, elle a donné naissance à un fils. Plus tard, elle a reçu l’aide de Dieu lorsqu’une famine, qui a duré sept ans, a dévasté le pays.

Ce récit émouvant nous rappelle que la bonté que nous manifestons envers les serviteurs de Dieu ne passe jamais inaperçue de notre Père céleste. — 2 Rois 4:13-37TG1997 1/10 p30 § 6-8

Pourquoi ne fallait-il saluer personne ? Dans le passage biblique de 2Rois 4:29, nous lisons que le prophète Élisée, lorsqu’il envoya son serviteur Guéhazi pour accomplir une mission urgente, lui ordonna de ne saluer personne et de ne pas répondre à quiconque le saluerait. Jésus donna, lui aussi, un ordre analogue aux soixante-dix disciples qu’il envoya prêcher (Luc 10:4). Cela vous semble peut-être étrange, puisque ces fidèles serviteurs de Jéhovah devaient être aimables et bons. Pour comprendre la raison de ces ordres, il est nécessaire de connaître les coutumes des pays bibliques.

Les salutations orientales demandent souvent beaucoup de temps. Lorsque deux amis se rencontrent, ils s’inclinent, se livrent à force gestes et s’enquièrent longuement de la santé et de la famille l’un de l’autre. Toutes ces formalités demandent plusieurs minutes. La conversation se poursuit souvent par l’échange prolongé de compliments et de nouvelles, ce qui exige parfois une demi-heure. C’est pourquoi les serviteurs de Dieu avaient reçu l’ordre dans certaines circonstances de ne pas prendre le temps de se livrer à des salutations aussi longues étant donné qu’ils avaient une mission urgente à accomplir. – RV1970  22/6 p19

La Bible donne un aperçu de la joie que la résurrection procurera aux familles. Imaginez le bonheur qu’a ressenti la veuve de Naïn quand Jésus a arrêté le cortège funèbre et a ressuscité son fils unique (Luc 7:11-17). Par la suite, près de la mer de Galilée, quand Jésus a ramené à la vie une fillette de 12 ans, ses parents “ furent hors d’eux-mêmes, saisis d’un grand émerveillement ”. — 2 Rois 4:32-37. «  Quand Élisée arriva dans la maison, le garçon était étendu mort sur son lit. 33 Il entra dans la chambre et ferma la porte. Il était seul avec le garçon. Alors il se mit à prier Jéhovah. 34 Puis il monta sur le lit et s’étendit sur le corps de l’enfant : il mit sa bouche sur la bouche du garçon, ses yeux sur ses yeux et les paumes de ses mains sur ses paumes, et il resta penché sur lui. Alors le corps de l’enfant commença à se réchauffer. 35 Élisée se mit à marcher de long en large dans la maison, puis il remonta sur le lit et se pencha de nouveau sur le corps du garçon. Le garçon éternua sept fois, puis il ouvrit les yeux.  Alors Élisée appela Guéazi et lui dit : « Appelle sa mère. » Il l’appela donc, et elle vint. Il lui dit : « Prends ton fils. »  Alors elle entra, se jeta à ses pieds et s’inclina devant lui, puis elle prit son fils et sortit »

Pour des millions de personnes qui sont actuellement endormies dans la mort, la résurrection signifiera la vie dans un monde nouveau paisible. – brochure Quand on meurt

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