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Perles spirituelles - Semaine du 5 Décembre 2022 - 2 Rois 13-15


misette

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Perles spirituelles (10 min) : 2 Rois 13-15

2 Rois 13:20, 21 : Ce miracle peut-il servir à justifier la vénération des reliques ? (w05 1/8 11 § 3).

« Après cela, Élisée mourut et fut enterré. Or des bandes de pillards moabites avaient l’habitude d’attaquer le pays en début d’année. 21 Un jour où des gens enterraient un homme, ils virent arriver une bande de pillards. Ils se dépêchèrent de jeter son corps dans la tombe d’Élisée et partirent en courant. Quand le corps toucha les ossements d’Élisée, l’homme reprit vie et se mit debout.»

Ce miracle appuie-t-il la vénération des reliques ? Non. La Bible n’indique pas que les ossements d’Élisée aient été vénérés. C’est la puissance de Dieu qui a rendu possible ce miracle, comme tous ceux qu’Élisée avait accomplis de son vivant - w05 1/8 11 § 3

Certains partisans de la vénération des reliques citent 2 Rois 13:21. C’était un miracle dans lequel les os sans vie d’un prophète de Dieu avaient joué un rôle. Mais Élisée était mort et ‘ne se rendait compte de rien du tout’ au moment du miracle (Ecclésiaste 9:5, 10). Cette résurrection doit donc être attribuée à Jéhovah Dieu, qui accomplit des miracles grâce à sa puissance; il a ressuscité cet homme au moyen de son esprit saint, ou force agissante. Il est également intéressant de noter que les Écritures ne disent pas que les os d’Élisée aient été vénérés – TG1991 15/11 p5

Un miracle eut lieu en rapport avec Élisée (mais après sa mort) lorsque le cadavre d’un homme qu’on avait jeté dans la sépulture du prophète reprit vie instantanément au contact des ossements de ce dernier. C’était la preuve qu’Élisée avait accompli ses miracles non par son propre pouvoir, mais par celui de Dieu. Ce témoignage puissant était comme le sceau de Dieu attestant l’authenticité de son fidèle prophète. Songez au bonheur que suscitera le retour à la vie de nos chers disparus, conformément au dessein infaillible de Jéhovah Dieu.— ad p1116

Quelles perles spirituelles as-tu tirées de la lecture de la Bible de cette semaine en rapport avec Jéhovah, la prédication ou un autre sujet ?

Un épisode de la vie de Joas illustre l’importance de faire preuve de zèle. Préoccupé par la menace syrienne, Joas s’est présenté en pleurs chez Élisée. Le prophète lui a alors demandé de tirer une flèche par la fenêtre en direction de la Syrie, geste qui symbolisait la victoire que Jéhovah allait lui accorder. Cette perspective aurait certainement dû galvaniser le roi ! Elisée lui a ensuite demandé de prendre ses flèches et d’en frapper le sol. Joas s’est contenté de trois coups. Elisée s’est indigné ! Si le roi avait frappé à terre cinq ou six fois, il aurait été assuré d’‘ abattre la Syrie jusqu’à suppression ’. Mais parce qu’en cette circonstance Joas a agi sans conviction, il n’a gagné par la suite que trois batailles, alors qu’il aurait pu anéantir l’ennemi (2 Rois 13:14-19). Parce qu’il n’a pas fait un effort zélé, Joas n’a remporté qu’une victoire limitée contre les Syriens. Quelle leçon se dégage de ce récit ? Jéhovah ne nous bénit abondamment que si nous sommes entiers et zélés. Le même principe s’applique à nous si nous voulons accomplir ce que Jéhovah nous a demandé de faire. Au lieu de nous inquiéter des obstacles rencontrés ou de la difficulté de notre tâche, nous devrions nous atteler avec zèle à celle-ci. Il nous faut fortifier nos mains et chercher de l’aide auprès de Jéhovah. — km2015/10 §11

Le zèle peut aussi être temporaire, c’est-à-dire disparaître avec le temps. Lorsque Joas, le roi d’Israël, se rendit auprès du prophète Élisée et pleura sur le sort malheureux d’Israël, Élisée lui dit d’ouvrir la fenêtre donnant à l’est et de tirer une flèche avec son arc, ce que fit Joas. Le prophète s’exclama alors : “C’est une flèche de délivrance de la part de Jéhovah, une flèche de délivrance contre les Syriens ! Tu battras les Syriens à Aphec jusqu’à leur extermination.” (II Rois 13:14-17). La déclaration d’Élisée aurait dû stimuler Joas, mais en fut-il bien ainsi ? Lorsque Élisée ordonna à Joas de frapper la terre avec ses flèches, que fit le roi ? Le son de la victoire tintant à ses oreilles, il aurait dû transpercer la terre de ses flèches ; au lieu de cela, il frappa faiblement le sol trois fois, après quoi il s’arrêta. Élisée “s’irrita contre lui et dit : Il fallait frapper cinq ou six fois ; alors tu aurais battu les Syriens jusqu’à leur extermination ; maintenant tu les battras trois fois”. (II Rois 13:18, 19.) Joas révéla de cette façon que son zèle n’était que temporaire. Il renonça. Il ne permit pas à la promesse de Jéhovah de l’enflammer comme cela aurait été le cas si sa foi avait été entière.

De même, aujourd’hui, nombreux sont ceux qui entendent les promesses de Dieu et qui s’y opposent parce qu’ils doutent ou sont sceptiques. Leur feu intérieur se change rapidement en un grésillement et ils se demandent pourquoi ils ne sont pas zélés pour Jéhovah. À celui qui doute, Jéhovah déclare : “Celui qui doute ressemble au flot de la mer poussé par le vent et chassé çà et là. En fait, que cet homme ne croie pas recevoir quoi que ce soit de Jéhovah ; c’est un homme indécis, inconstant dans toutes ses voies.” (Jacq. 1:6-8). Lorsqu’on sert Jéhovah, il n’y a pas de place pour le doute. Jéhovah réclame un attachement exclusif. Si nous nous mettons à son service, il faut le faire d’un cœur entier, sans réserve, et cela pour l’éternité. “Nous récolterons si nous ne nous lassons pas.” — Gal. 6:9. – TG1968 15/11 p684

À une certaine époque, le temple fut pillé lorsqu’un autre Joas, roi d’Israël, monta contre Jérusalem pendant le règne du roi judéen Amatsia ; “il prit tout l’or et l’argent et tous les vases qui se trouvaient dans la maison de Jéhovah et dans les trésors de la maison du roi ; il prit aussi des otages, et retourna à Samarie”. (II Rois 14:11-14)

Cet incident peut inciter un serviteur de Jéhovah à faire attention lorsqu’il utilise le mobilier ou d’autres objets de la Salle du Royaume. Il ne voudra pas se rendre coupable de s’être approprié, pour son usage personnel, des objets appartenant à la congrégation en général. On doit accorder beaucoup de respect à la Salle du Royaume qui est la propriété d’abord de Jéhovah, puis de la congrégation chrétienne qui l’utilise comme lieu de culte.- TG1969  15/8 §10

Une connaissance plus intime de Jéhovah nous retiendra de nous troubler outre mesure si, dans un récit biblique, nous ne comprenons pas pourquoi il a agi de telle ou telle manière. Par exemple, comment réagis-tu à la manière dont il a traité Azarias, un roi de Juda ? (2 Rois 15:1-5). On lit que « le peuple sacrifiait encore et faisait de la fumée sacrificielle sur les hauts lieux », mais que, pour sa part, Azarias « faisait ce qui est droit aux yeux de Jéhovah ». Pourtant, « Jéhovah frappa le roi et il resta lépreux jusqu’au jour de sa mort ». Pourquoi ? L’histoire ne le dit pas. Ce qu’a fait Jéhovah devrait-il nous troubler ou nous faire douter de la justice de sa punition ? Ce ne sera pas le cas si nous connaissons intimement ses manières d’agir, si nous savons notamment qu’il corrige toujours ses créatures « dans une juste mesure » (Jér. 30:11). Cette connaissance nous convainc que, même si nous ne savons pas pourquoi Jéhovah a traité Azarias ainsi, son jugement a été juste (2 Rois 15:1-5). – TG2015  15/4 §8

Ozias est monté sur le trône de Juda à l’âge de 16 ans et il a exercé la royauté 52 ans. Pendant presque tout son règne, il “ faisait ce qui est droit aux yeux de Jéhovah, selon tout ce qu’avait fait Amatsia son père ”. (2 Rois 15:3.) Jéhovah lui a accordé de remporter toute une série de victoires militaires retentissantes.

Malheureusement, le succès lui est monté à la tête. Il s’est enorgueilli au point de se rebeller contre Jéhovah en offrant de l’encens sur l’autel du temple, alors que cette tâche incombait exclusivement aux prêtres. Réprimandé pour cet acte, Ozias s’est mis en fureur, ce qui lui a valu d’être humilié : frappé par la lèpre, il a été obligé de vivre en isolement pendant le restant de ses jours (2 Chroniques 26:16-23). Comment son fils Jotam a-t-il réagi à tout cela ? Le jeune homme aurait facilement pu être influencé par son père et éprouver de l’amertume envers la correction infligée par Jéhovah. Le peuple, qui se livrait à des pratiques religieuses mauvaises, aurait pu, lui aussi, exercer une influence néfaste sur lui (2 Rois 15:4). Mais Jotam avait choisi : “ Il faisait ce qui est droit aux yeux de Jéhovah. ” — 2 Chroniques 27:2. – TG1998  1/11 §8

 

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